.~O er e~ /HeM~e t& MARÇH~ .On mande du quartier.du général Eurp)n,vi& Fusan,25jutn.
Les Japopaîs poursuivent leur marche en avant depuis deux~ours, et on s'attend à une bataille près du deBIe de Mo-Tien-Ling, où ies Russes sont retranches:
Le temps est spleudide..
M. LEP!NE ET LA COM~HSStOM La commission d'enquête a demandé à M. Combes l'autorisation de faire comparaître -devant elle le préfet de police.
Elle a demandé, en outre, que M. Lepine îût délié du secret professionnel.
L'AFFAtRELEPÈRE
M. Berr. juge d'instruction, qui a interrompu ses vacances en raison de l'aûaire Lepère, est venu à son cabinet cet aprèsmidi pour compulser les dossiers de cette affaire.
A quatre heures, il a été mandé chez M. Bulot, procureur générât, et a eu une longue conférence avec ce magistrat..
–s~s-
A L'ELYSÉE
Le Président de la République et MmeLoubet ont reçu, cet après-midi, le prince royal de Grèce.
–r~
VtOLENTtNCENQ!E
Un violentincendie a éclaté, à cinq heures, fue Poissonnière, n°. 3, dans un appartement sis au cinquième étage. Les pompiers sont encore, à l'heure où aous paraissons, sur les tieux du sinistre. Les dégâts sont importants.
–r~
DOMESUQUES 1
Les passants n'étaient pas peu étonnés de voir cet après-midi, boulevard Poissonnière, Nne équipe de soldats du ~6° de ligne, avec an& voiture des équipages militaires, occupés à enlever les drapeaux ayant servi à la .décoration d'unjournaidu matin, lors d'une bruyante manifestation sportive consacrée & l'armée. C'est déjà bien de prêter nos soldats pour servir d'agents d'une publicité meurtrière à âne entreprise commerciale; mais les obliger à devenir ensuite les domestiques de ces mêmes entrepreneurs, c'est excessif. M. le ministre de la guerre, à la tribune de ~Chambre, a reconnu quele rôle de l'armée n'était pas de se prêter à de pareilles com- ` binaisons. Reegretterait-il déjà son tardif meacMfpa?
MOM-UEU
M. Joliot,juga d'instruction, sur la demande de M" Bourgerie, 'vient de rendre une ordonnance de non-lieu en faveurdo l'ancien huissier B. qui était prévenu d'avoirescroqué quatre ou cinq cent mille francs au 81s d'un sénateur et au nls d'un général, jeu. faes prodigues pourvus de conseils judiciai-
_res.
LA FRÀNCEAU MA~C
On'mandedeTc.ngerauTtmes~
En dépit des nouveaux attentats, la France semble ne rien faire. La France ne peut cepeBdànt manquer de se rendre compte que le -récent accord est un engagement de sa part de mettre tout en œuvre pour fétaMir l'ordre .MMaroc.
~V~teric~ Aujourd'hui ~5 /M/M 7~o~, on a mauguré un monument à la mémoire des soldats français tombés à Waterloo tej~jr'Mt'M~
Est-ce que le rapprochement de ces deux dates n'en dit pas bien long à lui tout seul? Pourquoi a-t-on attendu qaatre-vingt-neuf ans pour dresser à nos vingt mille morts le moindre monument funèbre ? Encore faut-il remarquer que c'est une société privée, une initiative particulière, qui a dressé ce souvenir dans ta morne plaine,et que, tes fonds recueillis n'ayant même pas été assez considérables pour permettre l'exécution du plan primitif, it a fallu réduire à des proportions très modestes le mbhumenthaut de cinq à six mètres qui perpétuera désormais le souvenir de cette journée que Wellington appela K une lutte de géants)).. Mais. nous sommes'ainsi fâitaen France, et il ne faut pas s'en étonner. Le succès a sescourtisans, le malheur n'en compte ~guëre~ MM. Edouard Détaille et Henry Houssaye, qui inauguraient Waterloo,ontSenti qu'illeur ia!!ait s'excuser d'abord de n'avoir pas dressé l'aigle mourant deGérôme à Ligny, par exemple, ou Napoléon avait remporté une de ses dernières victoires contre !es armées prussiennes. Pour Ligny, on aurait pu sans doute recueillir un nombre considérable de souscriptions. Pour Waterloo, pour ta commémoration d'une défaite, de la plus notoire de nos défaites, c'est à grand'peine qu'on a réuni quelques milliers de francs. < 1 ~1 A quoi tient pourtant le sort d'une campagne ou d'une journée comme celle-là? Si un orage épouvantable n'était pas tombé la veiHe et n'avait pas transformé h plaine de Sa~n~
Jean en vastes marécages où Tes troupes &ançaises étaient -embourbées, sans doute Napoléon aurait décidé plus tôt la bataille.Il n'aurait pas attendu jusqu'à t'apT&s-nudi pour ouvrir le feu, et par là même il eût défait et mis en déroute les troupes deWeIMngtoh avant que t'armée prussienne vînt leur apporter du reniort. Sans cet orage encore, Grouchy sans doute serait arrivé à temps pour soutenir nos rangs décimés, et au renfort de Blucher Napoléon eût opposé tes troupes fraîches de Grouchy. Toutes ces hypothèses qu'ons'attardc à faire après coup, et qui sont d'ailleurs tellement inutiles, ne servent qu'à démontrer une chose, à savoir l'effroyable aléa dépareilles rencontres où se joue, en quelques heures, sur un coup de dés hasardeux, l'avenir de toutunpeuple.
Aussi, qu'il s'agisse d'une défaite ou d'une victoire, la mort des braves gens qui ont, en ces heures-là, défendu le drapeau est toujours aussi glorieuse elle mérite les mêmes honneurs à Waterloo qu'àVa!my. Et Cambronne, refusant de se rendre, est aussi beau que Hoche, Kiëber,Desaix, les généraux des jours heureux.
LÉON BAILBY.
~VO~RÀ LA DEUX/Ë~E P~GB Nos T~iëgrammes sur ta Guerre. Chez MHe Marthe Dupuy, par Pau) Herv!er.
Le Japon Vu par une femme, par Ta!<o!res.
M!EUXWAUTTARO.
M. Pelletan a enfin vu qu'il était nécessaire de dotAl'escadre d'Extrême-Orient d'une divisionfle contre-torpilleurs, et de fortifie)" nos points d'appui, à Saigon, a Dicgo-Suarcz et à Bizerte; il veutennn pourvoir aux besoins des défenses mobiles, en cnmmandant des torpilles c'est pour cela qu'il demande à la Chambre un crédit de neuf millions huit cent cinquante et un mille deuxcentsfrancs.
LES VACANCES PARLEMENTAtRES On commence A sa préoccuper de la date des vacances des Chambres. C'est en oS'et le 31 juillet que l'on doit procéder au renouvellement des conseils généraux et d'arrondissement.
Nos députés voudraient donc partir avant le 14 juillet. Mais on considère comme nécessaire l'achèvement de la loi sur le service de deux ans et ce résultat pourra, à la rigueur, être atteint en multipliant les séances du matin. D'autre part, le vote des quatre contributions directes est obligatoire avant la clôture de la session, comme tous les ans à pareille époque.
Nous commencerons demain mercredi ta pubHcatton d un roman mëd~t. Mon Cher!, mon Cher. .Par OLIVIER BIRÀISON-SEYLOR L'ëcrfuahT. qu! appela smmement !'at{enMonsursape~ot~~e et ~SMt' son Hure Les Maritimes ) !e jeune. oj'tc:e?' qm, après une sërie -de due!s ~etenttssants, prpuoques par cette pub!tcattpn, ye?ionça.
à sa carrtére pour se coMacrer à !a !tt-
terature, a ~ou!u. donner à ~a Presse ~a prtmeur de sbn;nouue~ ouvrage.' Mon Cher!, mon Cher.
I! s'agtt, cette ~ots, d'un roman cnrteux, d'une attrapante ëfuc~e de pst/cho!o~~e conjugale, que ~os !eçtr:ces,'surtout, su~ro))t a~ec ,u?t s~mpathïque intérêt.
BOURSE DES VALEURS C'est la. réponse des primes de demain, et la. liquidation de fin juin qui aura lieu jeudi, qui priment, en ce moment, toutes les autres considérations. Et encourages par l'allure que !e marché a affectée dans ces derniers temps, les acheteurs ne pensent qu'à une chose pousser les vendeurs jusque dans leurs derniers retranchements. La tactique, 11 faut bien le dire, est parfaitement bien menée, mais il reste à savoir si lorsque tes derniers vendeurs se seront rachetés, les acheteurs qui se trouveront alors seuls en présence n'auront pas. a compter, a Içur tour, avec quelques embarras. Leur grand espoir est dans !e public et dans les remplois qu'il fera de ses coupons de juillet. N'auront-ils pas'la'à compter avec quelque déception ? En attendant, la liquidation s annonce, M point de vue do l'argent, -comme très. facile, et le gouvernement t russe, d'après les avis donnés, ne procédera encore à aucun reirait a valoir sur les fonds produits par la récente émission des Bons du Trésor 5 0/0.. La Rente 3 0/0 française est a 97 95, en raison des rachats des échelliers la Caisse a. acheté aujourd'hui 22,000 {rancs de rente. Italien, 104 37. Rente ottomane unifiée 4 0/0, .86.50. Extérieura espagnole, 8820; on dit à Madrid qu'aussitôt après le vote définitif de la loi sur les alcools, tes Certes se sépareront. H s'ensuit que la discussion dos projets financiers du gouvernement et,.conséquemment, de celui ayant trait'a l'amélioration du change, sera do nouveau reculée. Brésil 4 0/0 t889, 7840; Portugais 30/0, 6227. fonds russes .maintenus, en dépit des nouvelles reçues .d'Extrême-Orient.' le Russe 3 0/0 18911894 reste à 75 10. le. 3 0/0 1896 a 73 15, le 4 0/0 1901 a 92.
'Les Sociétés de Crédit sont de nouveau demandées. Le Crédit Foncier s'inscrit à 694, le Crédit Lyonnais à 1,124, et la Banque do Paris et des Pays-Bas al,160, Comptoir'NationaI d'Escompte 602, Société Générale 6M. 1 Les Chemins Français ne s'écartent pas sensiblement de leurs cours précédents Lyon 1,312, Nord'1,748, Chemins Espagnols fermes.
..Le Suez est a 4; 183 et la TË~S~-Soustona â
695 Bosnovicë 1,496 Rio-Tiato, 1,32! .<Les valeurs sud-~&icaines sont en meu!eurë
allure. Les aIlàgeiaM~s signalés ces derniers
jours ont.prisHK:.La Rand Mines cote 258, ta Goidneids t58'50~ët !'EitSt Rand 191 50. D~ soa
côté, la: Rôsè Déé 't~S~ R~a~~â~ ifgj; dQ~rQf:;
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T ~A Tn T '1~ T~T7 ~A T~ D T f~ f~
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!H~6URAT!OH W ~O~U~ENT .MORTS ~R~N~IlS Quatre-wihgt-neuf ans après. Hommage aux héros d'une grande défaite.–Sur te champ de bàtaïHe. La cérémonSe d'aujourd'hui.–Nombreuse
afftuence.–S-es discours.– Les
Angta!s sont toujours !à! i
(DE NOTRE ENVOYE SPÉCIAL) De tous les côtés les trains, les tramways, les voitures et les carrioles les plus invraisemblables ont amené ici une foule énorme. De Bruxelles et desos environs de nombreux Français sont arrivés. Ils se reconnaissent à la cocarde tricolore dont s'orne leur chapeauouleur boutonnière, et qui ré- pond comme un joyeux et patriotique écho aux couleurs françaises et belges nottant sur toutes les maisons et aux angles des carrefours, dans les villages et lesroutes environnant Waterloo. Le temps est splendide; le soleil déverse des Sots de lumière et la chaleur est intense. Le mouvement est continu et joyeux. Cette plaine de mort, d'où n'émergent que des mo- ` numents funèbres; ce champ de carnage devenu un champ de repos, où semblent vibrer encore les dernières rumeurs de la bataille, resplendit et parle d'allégresse. C'est par 'une véritable fête .que se commémore l'anni_versaire de la plus formidable défaite que l'Histoire ait enregistrée, de cette journée fameuse où se jouèrent, pour de longs siècles, les destinées du mondé. Les paroles graves qui sonttombées de la bouche des orateurs, en pesant sur les cœurs, n'ont pas dissipe ce sentiment'très explicabie, très nature. Jusqu'ici, Belges, Anglais, Prussiens, Hanovriens, morts de tousies pavs qut M liguèrent contre nous, sentaient !eurs cendres orgueilleusement écrasées par le poids dès monuments élevés en admiration de leur valeur.
Seuls les véritables héros de la journée, les Français doublement sublimes par la grandeur de la défaite et par la magnincence de leur sacnnce n'avaient pas leur souvenir.
En le leur apportant aujourd'hui,, par les soins de la.~a&fetach.e, U'est permis à l'âme française, do ressentir, à travers ce deuil centenaire, beaucoup de &erté et un peu de joie..
Le monument, bien. que moins imposant–par la force des choses que celui des Bel-, ges, est émouvant. L'aigte de Gérôme est tragique et beau. Brisé, meurtri, expirant, H regarde encore fièrement le ciel, d'un regard de dén, du regard de ceux qui peuvent être vaincus mais qui né capitulent pas. Les vers de Victor Hugo chantent en ma mémoire a Oui, l'aigle un jourpI~Mit &ux voûtes <6ter-
fneHes,
Lorsqu'un grand coup de vent !ni brisa les deux tailM.
Depuis longtemps'on se prépare & cette fête à laquelle les Belges se sont associés avec une sympathie à laquelle il faut rendre hommage.'Toutes'les Sociétés patriotiques de France et do Belgique ont voulu apporter leur concours à l'oeuvre de la Sabretache. Elles ont défilé d'ailleurs cet après-midi devant le monument, en corps, avec leurs dra'peauxet leurs insignes.
'De nombreuses notabilités sont arrivées encore ce matin à Bruxelles, parmi lesquelles je citerai MM. Gotterdn, sénateur de la Haute-Vienne Paul Le Roux, sénateur de 'la Vendée; Levert, secrétaire de la Sa6retach.e; le commandant Martin le vicomte d'Hàrcourt, ancien secrétaire du maréchal de Mac-Manon; le général baron Baitiod; le baron da Grandmaison, député de Màine-etLLoire; le colonel do~Lannoy, le comte LëTnMoirétM.YvesGuyot.
Aremàrquér.en passant, la présence de véritables bandes d'Anglais qui ont traverse ô le détroit pour assister à cette commémoration. Ils soot là froids, impassibles, insupportables d'assurance et de sans-gêne, par-îant tout haut leur langue qui devrait être prosçriteen ce jour de ce lieu. Ces gens-là n'ont pas le sentiment de la décente opportunité. La. cérémonie
Bien que là cérémonie ne doive avoir lieu qu'à trois heures et demie, dès dix heures 'du matin Waterloo est envahi par le public. 'Les hôtels et les cafés regorgent de monde, des trains spéciaux déversent à chaque instant des &ots de voyageurs. Les routes conduisant à Mont-Saint-Jean sont noires de monde et à PIancenoit les abords du monument présentent une animation extraordinaire. 11 y a partout des échoppes où l'on vend dos victuailles, comme à une kermesse, et l'on est assourdi par les cris des camelots qui vous ocrent des cartes postales avec la photographie de l'Aigle.Des portraits do Gérôme, de Détaille, d'Henry Houasayë,' de M. Loubet. et de Napoléon. La Butte du Lion est noire de curieux.
Le monument.qu'on a recouvert d'un voile, paraît modeste dans l'immensité delà plaine. berrière a été~élevée une grande tribune, ornée de drapeaux français et belges,et dai)S laquelle prennent place dès trois heures M. Gérard, ministre de France, accompagné du.' commandant Siclou, attaché militaire à la légation, et de tout sun personnel; le.lieutenant-général Bruyiant, le commandant Curvèlier.etle commandant de Màrchovelette,'représentant le gouvernement belge, MM. Détaille, Henry Houssaye, le général Baillod, M. Léon van Neck, secrétaire du comité belge du monument, et le major Cruypiants préaident, M. Xavier Niessen,représentant le Souvenir Français, les membres de la Sabretache, au nombre d'une quarantaine environ, ainsi que la foule des invités.
On remarque'parmi ceux-ci de nombreux officiers français en uniforme, mêlés, aux rangs des officiers belges.
En bas, de chaque côté, viennent soran.ger la musique du 9° do ligne belge, le comité de la Croix-Verte, les sociétés d'anciens 'militaires, drapeaux .en fête, ainsi que des
délegationa d'une trentaine de sociétés pa-
triOiiquM.
Le spectacle, aussi loin que p~r~ ~v"6'
Lest dëa ptua pittoresques; un bruissement
domine cette fou!e dont le tumulte: s'est L~pà!~ au sMmeat o& muaiciesa B!!H-
taires belges exécutent -une cantate de MM. Schepers et Van Doren.Tandis que s'éteignent tes dernières notes !e voile qui recouvrete monument glissé peu à peu et l'aigle apparaît'superbe en son agonie et semblant encore braver le monde.
r Les discours
M. Edouard Détaille'ae lève alors et d'une voix vibrante prononce 'un beau discours, dont les périodes s'envolent dans là lumière de l'atmosphère pour~ .s'.étemdre très .loin, ttàa loin. Après avoir rappelé en deux mots le culte de la Sabretache, dont il est le président, pour ces traditions militaires du pays, Torateurdit
–Près de quatre-vingt-dixanneessesoûtécôulées depuis Waterloo, et le -souvenir n'est pas .atténue: Si ce grand drame a engendre une émotion aussi profonds et aussi durable, c'est que le choc des idées fut aussi terrible que le choc des armes;.il semble; qu'en cette journée, la Providence ait voulu.Hxer le terme de ces guerres qui éclatèrent dès tes'premiers jours de !a Révolution française et qui devaient changer ta constitution de ta vieille Europe et apporter peu à peu des modifications si profondes dans l'état social des peuples; !a philosophie de ces grands événements s'est dégagée et il est permis, en honorant les morts glorieux, d'apprécier t'œuvre immense accomplie par eux; Instruments inconscients et sublimes, luttant pour la liberté et pour ta gloire, incarnés dans l'idée de patrie, puis enSammés~ .d'enthousiasme pour l'Empereur qui tes avait conduits de victoire en victoire, dans toutes les capitales de l'Europe,
Ces Aehiiles.d'une Iliade
° Qu'Homère n'tnvehteraitpas,
se doutaient-its, tes braves petits troupiers français, en secouant la poussière de leurs guêtres à travers le monde, courant du Nit au Danube et des bords du Tage a la Bërésina, qu'ils déposaient partout tes germes et ta semence data grande Révolution qui avait ébranle leur pays de fond en comble.. .A citer de son discours cette phrase qui cingle en passant les pacinstes outranciers;: Mais queDe besogne ils ont accomplie, peut-être même sans le savoir Les philosophes ne voient de'iaguerrë que les horreurs il en faut voir, à travers~ tes ans, ta grandeur épi- que, et ta fécondation en Europe des idées et la Rëvotation française n'a-t-ette pas été le résultat <tc cette immense et sanglante moisson? M. Edouard Détaille adresse un salut aux ,I morts tombés le 18 juin 1815 et termine par:
cette belle péroraisons
Si te temps a fait œuvre d'apaisement, si nos vaillants 'adversaires furent depuis nos frères "~I d'armes, la grandeur des événements n'a pas diminué, t'émotioh reste intacte et nous pouvons nous y abandonner avec plus de sécurité, mais; aussi avec ia même sincérité que nos pères. L'aigle qui est devant, nous a, dans ses ailes meurtries, tes mêmes frissons, et'il semble que ta vent de la bataille agite encore ses plumes 'noircies par la fumée de ta poudre." Il fallait l'âme d'un grand artiste pour donner un corps à cette sublime vision et Gêromë, dont nous pleu- rons la mort, était bien l'artiste admirable, seul capable d'exécuter cette sculpture héroïque, di- gne des sentiments qui faisaient battre son cœur do Français et digne des braves qui dorment sous cette terre. c M. de Niessen prend possession du monument et, en termes émus, promet de veiller pieusement & sa. garde; puis les musiques militaires jouent les airs des .régiments bel'ges qui prirent part à la bataille après quoi M. Henry Houssaye, de l'Académie française, prend la parole à son tour.
IIdit:
Si la Sabre~achc avait voulu ériger en Bel- gique un monument de victoire, ce n'est pas ici quelle l'aurait.placé; c'estàLigny. Pieusement, tristement, elle a élevé un cénotaphe aux nobles vaincus de Waterloo. Ella a voulu que, à côté du monument belge, du monument anglais, du monument prussien, du .monument -hanovrien, iLy eût une pierre française dans ce cimetière delà gloire.
Tous les braves, morts pour ta patrie, ne doivent-fts pas être honorés, qu'ils soient tombés, dans l'ivresse de la victoire ou dans la rage do la défaite? Le Sacrifice et le dévouement sont lës~ mêmes; le courage est identique. G~o)':s :D!C{!S L'enort vaut par lui-même sans tes contingences~ du résultat. Et, dans toutes les guerres, y a-t-il plus sublimes efforts que ta course à la mort des. cuirassiers sur lé plateau de Mont-Saint-Jean, l'assaut de la moyenne garde offrant à la mitraille anglaise des rangs alignes comme aux parades du Carrousel, la défense de.Planoenoit ou nos jeunes soldats tenaient encore sous tes chaumes croulant des masures en nammes. Ici même, où l'aigle blessée a mort agite avec fureur son ailetrouée comme un vieux~drapeau, l'Histoire évoque une autre scène. G'~tt au crépuscule. Les ombres de la nuit épaissfSs par la fumée montent 'lentement vers le ciet-qu'am- pourprent & l'horizon les derniers renets du soleil disparu. Les fugitifs, l'ennemi tes pour- suivant de tout près, couvrent les chemins et les champs. A la droite étala gauche de la grande
route, les deux bataillons du t" grenadiers, de la
vieille garde, le régiment du général ~ètit, s, de ,la
vieille garde, te régiment du général Petit, for-
ment deux carrés, disposés de façon a croiser 'leurs .feux; L'orateur, avec une remarquable érudition fait l'historique de cotte journée oùlafataItté sembla ~acharner contre Napoléon et son étoile. Les ordres de l'Empereur mal interprétés et mal exécutés, la confusion dans les rangs, qui empêchait de distinguer les ennemis et obligeait les hommes à tirer au hasard, le désordre se mettant dans les carres, les eSbrt.s désespérés tentés pour rallier les troupes débordées et tout l'héroïsme des ré.sistances qui, dans cette Sevré, de carnage 'ne cessèrent qu~avec la mortdescombat'tants.; –Onaécrit, diten terminantM. Houssaye, cinq volumes sur Austerlitz, trois sur léna, quatre sur Wagram. On en a.écrit cent sur Waterloo. C'est parce que Waterloo est te dernier chant de l'Epopêe. C'est encore parce que dans cette bataille des Géants, selon l'expression de Wellington, il n'y avait pas seulement que des armées.qui combattaient, it y avait aussi les idées. Il n'y avait p,ts seulement l'Europe contre ta- France, it y.avait les lois traditionnelles contre te droit nouveau, it y avait l'ancien régime contre la Révolution. La Révolution fut vaincue.
Mais ce ~drapeau, qui est ngurê !ci, brise et abafta-°6 ~!ëva'ë::4830.et fit briller derechef, Mfaîte des jaonuments et M'f~ ~s ~U-
~lotts, «l'Mc-en-ciel de la Liberté! Ainsi !a.r6volu'ttbh de JùUIët fut una revanche de Waterloo. Deux mois après, ta Betgique soulevée déchirait une pàge'dès tfattës de. Vienne, portait le premier coup a i'œuvre de là Sainte-AHiance. 'Et l'anhêe'suivante, en octobre'J~S~t, les Belges et les'. Français se retrou vëréht'côtè a cote, les armes a la main, comme leurs aieux contre Cësar 'et comme leurs pères avec Napoléon. Des applaudissements nourris saluent !a fin de ce discours, en une magnifique explosion d'enthousiasme..
C'est une grandiose et inoubliable manifestation.
M. Gérard, ministre de France, à pris la parole au début de ta c.érémonié; le général Bruyiants, .représentant le gouvernement belge, la prendra tout à l'heure a son tour.
–s~
Ijà loi de deux ans A LA CHAMBRE
Séance dé l'après-midi. Les horsd'oeuvre. Sac au dos.
M. Brissonprésidela seconde séance de la journée.
M. le président annonce qu'il a reçu une demande d'interpellation de M. l'abbé Gayraud à M. Chaumié relativement à la décision prise par lui qui écarte du concours de l'agrégation des lettres tous les candidats appartenant à l'état ecclésiastique. M.Berteaux. –Apres la loi militaire! M. le ministre de l'instruction publique. –Le gouvernement est aux ordres de la Chambre. Voix (à gauche). –A la suite!
La Chambre décide de renvoyer l'interpellation de M. l'abbé Gayraud à la suite des autres, c'est-à-dire aux calendes.
On adopte un projet de loi autorisant une loterie en vue de créer un musée àAutun; un projet de loi concernant ta ville du Havre un projet de toi portant ouverture et annulation de crédits aur les exercices 1903 et 1904; un projet de loi tendant à la création d'ins. tallatiohs en vue de la fabrication intensive du pain dé guerre nécessaire a ta mobilisation un p.rojet de loi portant ouverture de crédita au budget annexe dès monnaies et
médailles.
On discute ensuite un projet de loi ten'dant à ouvrir un crédit de cinquante mille francs destiné à venir en aide à la ville de Mamers, à l'occasion de l'inondation qui a dévasté cette ville.
MM. Bansard des Bois et Galpin exposent qu'il y a d'autres victimes que celles de Mamers les cultivateurs de la Sarthe ont été très éprouvés; des secours doivent leur être accordés. Ils demandent donc un crédit de cent mille francs.
M. Caillaux s'étonne que le projet de loi accorde cinquante mille francs à la ville de Mamers. Ce n'est pas à la ville qu'on doit donner des secours; c'est aux victimes de l'inondation.
L'orateur estime que des secours doivent être accordés non seulement aux victimes habitant Mamers, mais aussi à celles des campagnes. M. Caillaux demande donc cent mille francs aulieu de cinquante.'
Apres intervention de MM. Doumer et Morlot, l'amendement de MM. Caillaux, Galpin etBanaart des Bois est adopté par 461 voix contre 129.
Les victimes de Mamers et des environs auront cent mille francs.
Ls *o: m!Hta:re
On revient ensuite à la loi-militaire Article 41, relatif à l'appel des réservistes et des territoriaux.
M. CGlUa.rd demande la suppression des appels territoriaux.
La suppression des tre!ze Jours Le généra,! André combat la proposition deM. Colliard.
M. Berteaux, rapporteur, dit la nécessité impérieuse de maintenir au moins une période d'exercice de six jours pour les territoriaux si l'on veut avoir une armée solide.. M. Le Hérissé parle dans le même sens. M. le généra,! André insiste pour que la proposition de M. Colliard soitrepoussêo. M. Lasies défend l'amendement de M. Colliard, qui est combattu par M. le lieutenant-coioneIRousset.
Par 346 voix. contre 224, l'amendement CoHiard est adopté les treize jours sont donc supprimés intégralement..
L'époque des appe!s
M. J.-L. Breton demande que les réservistes ne puissent être appelés aux époques de Ta moisson ou de la vendangé.
M. Lasies appuie cette demande, qui est combattue par le ministre de la guerre, par M. Guyot-Deasaigne, et par-M. le lieutenantcolonel Rousset. Par 402 voix contre 147, l'amendement de M. Breton est adopté. Le ministre et la commission sont donc par deux fois battus. Autres amendements
M. Arna.1 demande que les réservistes ne -soient pas appelés en temps do période élec-
torale.
M. le ministre de la. guerre accepte cet amendement.
M. Maure demande que les hommes mariés de la réserve aient le droit d'accomplir leurs périodes d'instruction dans le corps le plus rapproché de leur domicile.
M.Iemimstrede la guerre accepte cet amendement.
L'AFFAtRE MASSOTMULAC On mande de Marseille
Les interrogatoires définitifs des accusés dansi'aSaire d'empoisonnementMassot ayant eu lieu, l'instruction a été close et !e dossier transmis au parquet général d'Aix pour la rédaction du réquisitoire d'instance. .L'afTaire viendra à la session des assises des Bouches-du-Rhône, au mois d'août prochain elle sera inscrite à la fin du rôle.
EDOUARD VH EN ALLEMAGNE On mande de Hambourg: Le roi d'Angleterre estarrivêîci vers midi avec sa suite et a été reçu à la gare par les sénateurs de la ville ttbre et lea haut9 fonctioNaaires civils et militaires.
L@§ rScà~da!es
A LA ÇOMMrSStON D ENCUÊTE
~¡.! -77-=
BéppSttion de M. Chenavaz La séance est ouverte à une heure, sous
présidence de M. FIandin.
La commission décide d'entendre demàie M. de Maizière, journaliste, et M. Devoe, ad' ministrateur de la Ltëre Paro!e et vendredi prochain, le cuisinier Ceadre de Pour~ voisie.
La cammission décide qù'eUe rédigera ua questionnaire qui sera envoyé à M. Pierre Baragnon.à Paria, empêché d& se rendra devant-là commission.
M. Chena.vaz est introduit.
M. Chenavaz (Octave), député, quaranteneuf ans; i5, rua du Rocher, à Pans, prête serment.
M. Chenavaz. –Bien que je n'ai pas êt$ m61é à toutes ces intrigues, j'at demandé à êtrt entendu, parce que mon nom a été proncé. M. Pichat a rappelé que son interview da ~tfatut avait été mal reproduite. Danscette interviewa il disait qu'il hésitait à me parler. Apres sa declaration qu'it connaissait tes quatre parlementaires, cela pouvait éveiller la suspicion a moa égard or, c'est moi qui ai rompu toute relation avec M. Pichat, parce qu'il avait soutenu mon concurrent.
M. Besson a parlé de moi avec une familiariM qui ne m'honore qu'à demi.
J'ai eu avec lui des relations de journaliste: nous avons fait campagne ensemble aux diverses périodes électorales depuis 1898, c'est ayante nomination de la commission des congrégations qu'il est venu me voir le 28 ou 29 octobre 1902 et il a essayé non de me convertir à la cause dea Chartreux (i! savait que ce n'était pas possible) mais de me détacher de mes collègues de l'Isère, surtout de M. Rajon. Il voulait que nous ne prissions pas_ parti pour M. Rajon dans la campagna qu'it voulait entreprendre contre lui. It a en ene* déjeune chez moite 7 ou le 8 novembre suivant, mais je n'ai pas tenu les- propos qu'il me prêta que chez lui <le cœur allait plus vite que la raison x. Je l'ai simplement plaisanté lut, anticlérical ëtradicai-socialiste, de défendre les Chartreux.
Je ne l'ai.pas rencontré depuis. Quant au prétendu faux que te président du conseil a lu à !a. tribune, c'est en effet moi -qui l'ai communiqué c'était une revue au nom de l'ofâee catholique. Je l'ai communiqu6_à'ptusieurs de mes collègues de la droite, ce nêtait pas ua faux.
M. Codet. A quetie ëpoquo. placcz-yaus It visite de l'X.a la Grande Charti'eus& M. Chenavaz.– Ja l'ignore complètement. Je n'ai, sur ce point, aucun renseigaen~ent personnel. .1-~ 1.
M. Codet. Y a-t-il eu plusieurs visites da
l'X?
M. Chena.va.z.– Je crois qu'il y en a eu plusieurs.
M. Codet.–A votre connaissance, outre 1~ visite de l'X, y a-t-il eu d'autres'tentatives ds chantage?
M. Chema.va.z. Je l'ignore.
Interrogé par M. Codet sur une lettre da M. Edgar Combes qui a paru dans le PeK6 Dauphmots.ML Chenavaz dit que cette lettra lui était adressée en réponse à des messages de comités ministériels. M~ Chenavaz fournit ensuite quelques renseignements sur Fépoque où a commencé la campagne du Pett~DauphmotS.
M. Poulain. Savez-vous si M. Baragnon & offert son appui à des hommes politiques moyën'nant finances ?'
M. Chenavaz. Ceci est assez délicat. Mais il y a eu pourtant une démarche de ce genre ff~ta autrefois par M. Baragnon auprès d'un groupe da députés dont j'étais pour en obtenir un concourut financier.
Déposition de M. MaHtard M. Maillard, syndic de faillite, prête serment. Il déclare que lorsque la caisse industrielle de Paris a été déclarée en faillite, il a fait mettre les scellés au domicile de Lepère et un inventaire a.été fait. Lepère faisait des opérations pour lé compte des Chartreux comme syndic. Il ne veut rien dire de ces opérations d'autant plus qu'una instructioa est ouverte.
Avant la nomination de-M. Maillard, il y a au un liquidateur M. Ract, nommé par une assemblée d'actionnaires que l'on peut' qualifier de fictive. M. Bommeva.y. En dehors des afîaires da Bourse a-t-ii été fait par la banque Lepëre d'autres opérations pour le compte des Chartreux ? M. Maillard. Pas à ma connaissance. M. Anthime Ménard. Ces opérations dont vous parlez sont des ventes ou des achats, = .c'est-à-dire les relations ordinaires d'un client avec une banque?
M. Maillard. Oui, des opérations absolu' ment régulières.. `
M. Anthime Ménard. Et pour ie compta d'hommes politiques, Leperë a-t-il fait des opérations ?
M. Maillard. Pas que je sache. Mais ]~ suis convaincu que certaines affaires n'ont pas Sgurê sur les hvres il a créé, de plus, des sociétés filiales pour lesquelles il a fait des opérations.
M. Colin. Quoi est le juge d'instructif saisi..
M. Maillard.–M. Berr.
M. Bonneray.– Une troisième saisie a et lieu depuis votre nomination ? M. Maillard.–Oui, en mai.
M. Colin. Cette saisie a distrait certaine* pièces a vos investigations. nt..
M. Maillard.–Certainement.
M; Poulain.– Avez-vous vu les lettres r<~ tives à MM. Besson, Vervoort, Guerre, etc.? M.MailIart.–Non. Je n'ai contMjtdarts~ pièces saisies que celles dont j'ai dejNÀnd~ communication comme syndic.
M. Berthoula.t. Vous n'avez pas trouva trace d'une société pour l'exploitation d&!aGraadC Chartreuse ?M. Maillard.–Non.
M. Maillard se rstire.
La commission décide qu'elle eNtendra, ça soir, si possible, MM. Ract, Herbeaux, pro.. cureurde~Ia République, et M..la Préfet de police, si le président du conseil l'autorise -f déposer. La commission décide que s'il est nécessaire, elle se réunira ce soir.
M. Colin, appuyé par M. Codet, propose, que l'on n'entende plus de témoins dam FaS'aire dite du million.
La déclaration do M. Colin est approuvét par la commission.
M. Déribéré-Desgardes remplace M. Flan' din au fautenil. w
Les documents Chabert
M. le président communique à la commis* sion un rapport du procureur de la Républi< que rendant compte de la façon dont ont été opérées les perquisitions Uhabert et du r6< sùltat de ces perquisitions.
Il estime au'ilya tieu de conclure par uo non-lieu.
M. Bonneva,y croît qu'il serait nécessaire d< pr~adre c~nnatssMC~ de certaines pièces dont M
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Cavatine vient de bien courîr à Amiens. Elle par.a!t.un peu chargée ainsi que La La- cMndièré.Batiko et Footit. Asie -et Iris se e .Boni rencontrées en dernier lieu sur cette même pister et. sur cette distance derrière' ` Fée Dodo-et Lissitza. Malgré un .mauvais tournant. Iris précédait nettement Asie. Me-. Mse a très bien couru samedi à Saint-CIoud, ïinissant quatrième, en tout autre société, derrière I''r.ench.Foxet.Kirizel. Minuscule a: âne bonne course sur cet hippodrome, der.fièreCliaateIle.'Mes favoris, sont .e<'isee't Minuscule. 7 PRIXDEBEAULIEU
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Tjohissa a bien couru lors de sa dernière Sortie,finissant troisième derrière Ether II et .FeuiUe de Chou; elle était mal partie et finissaitfort. Son compagnon d'écurie Sarpedoh, après une bonne course sur cet hippodrome, N'a pas britie hier à Rouen contre Champ de Mars et Roublarde. Puygarëau a fait ses meilleures courses sur les courtes distances. Il ade la quaiiie et est bien placé au poids. Mito, second dimanche à .Amiens en;tro Saxonne et Roquiague, est le moiHeur des G5 kilos. Mes favoris sont
Puygareau~tLoMssa.
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Thorne. 3 Ma Ladv Lu. 49 A. Veil-Picard. 3 Solfatare. 48 Achille Fouid.3 La Neve. 47 F. Charron, SRanavato II.45 Champion.3 La MMurë. 44 }<, De Rodellec du Porzic. 3 Pervenche 44 Maurice Deiamarre. 3 Nvmphe. 44 F.Charron.3 Couronne.41
uoiumcia n pas bien couru hier à Rouen. Elle avait montré auparavant une excellente -forme/battant notamment Faconde au Bois. La Sarre a battu La Nèvo sur cet hippodrome mais elle lui rend ici dix livres. Celle-ci est actuellement en bonne forme. Yester Lily est en rupture d'obstacles. Solfatare n'était pas placée en dernier lieu à Ssint-CIoud derrière Brème et DayDream. Parmi les poids légers la plus recommandable est Couronne, qui n'a pas mal couru en dernier lieu à Colombes derrière Fée Dodo, Lissitza et Iris. Mes favoris sont
La Nève et La Sarre. 1 PRIX JUPITER
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'F. Charron. 3 EmanviHe. 45
F. Charron.3 Saint Hubert.42~ H. Debray.3 Vent d'Autan.42:
Marsan, après une Donne course aans le Prix de Lpngchamp, a pris la seconde place, .à.Saint'CIoud, derrière Loriot, précédant un lot très'bien composé. Cateb le précédait à. cinq livres danslo Prix de Longchamp. L/6rdre d'arrivée sera peut-être interverti, vu la distance favorable à Marsan. Saint Hubert n'a. pas figuré à Rouen, hier, et Emanvilla doit courir aujourd'hui. Vent d'Autan etAvec ont quelques performances favorables. Mes favoris sont Marsan et Caïeb
PRIX DE NICE
Course de haies–8,000fr.–3,000 mëtrës environ
A. r aaquet-uemantre 3 Quousque. 62 1 Ch.LiënMt.30swa) (t. 62 Ch.Liénart.3 Promoteur. 62 P.Jahn.3LesMoitiers.62 Ed.At'chdea.Mtl.3 Buria.ts. 62
Les Moi tiers, second dans le. Prix Onésime Aguado, barre nettement Quousque, Te troiSteme de cette épreuve, et Gretschen, qui 6nissait huitième dans lamêmecourse et s'est placée troisième à Rouen, hier. Burlats a couru très honorablement dans le PrixWild 'Monarch, à Auteuil. Promoteur et Oswald débutent: on dit du bien du premier. Mes fa-: voris sont
Promoteur et Les Moitiers.
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j'Vanderbilt.5 Bright. 7t t
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Befteviite, S h. i/2. La Poricuse:de Pain..
COMERTS ET SPECTACLES OVERS tmbassadours (té!. 244-84). Max Dear!y.–Qui trop Ambass revue.. Mm~s Maud d'Orby, Gaudet, Mayol, Pautette Darty, etc. Matinées dimanches.jeudisetfëtes. t icazsr d'été (té).244-84). A travers Chants, A revue. –Dranem, Gabin. .Mmes Sylvain, MbrIy,Mistinguett,Bervine,Marteiis,d'HervtHy. .MaUnees jeu.di.s, dim. et fêtes a .2 heures. pAR t S A N A~Direction P. Ruez (te!. i56-70.')–fLes gaites de ia Caserne, scènes de !a. vie miiitaire, 2 actes et 6 tableaux. La. belte Dziria. Matinées dimanches, jéudisët'fëtesàïh.~
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Alcazar après une bonne course contre Laura et Beliane n'a pas figuré derrière Le Matin et Kriss dimanche. Aune livre on doit lui préférer Bright, qui vient de battre Récaldia de dix longueurs en haies et qui venait de gagner en steeple.Tuticau, vainqueur hier à Rouen, avait bien couru contre Nacarat. Le Matin et Lauraà Auteuil. Vitellius II vient de battre L'Orfèvrerie en Raies à Auteui!. La jument est plus conSmiëe que lui sur le steeple. Hameau a battu très facilement Chiipéric sur ce parcours pour sa rentrée. Regulus III et Edna n'ont encore rien fait en steeple. Evohô n'a battu que Donne II sur cette piste. Vichnou n'a rien à son actif cette année. Mes favoris sont Bri~ht et Hameau.
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Pn~ des Essais. Titzi a pris de suite le commandement, tandis que- Girasol-perdait trente longueurs. Dorothée, Cascadeuse, Vestal et Sablonnière galopaient immédiatement derrière la pouliche de M. CaiIIault. A la distance, Sablonnière faisait son eH'ort et venait attaquer Titzi, mais celle-ci conservait jusqu'au bout un léger avantage. Prt'x Rat/o~-d'Or. La course 's'est tout entière passée entre Stilvio et Décimètre, Le cheval de M. Dousdebès a d'abord laissé Décimètre faire le jeu, puis il a forcé le train, passant en tête dans la boucle. Dans la ligne droite. Décimètre est revenu courageusement à la tête de Stilvio, mais après lutte ce dernier a repris nettement l'avantage dans les dernières foulées.
Pr~ d'Ai~remonf, Alcade II a mené au lever des rubans devant Le Fram, Auch et Mascaret. Au tournant de la ligne droite, Alcade II était devant Dynamo. On thé Grcen venait l'attaquer à la distance pour gagner tacitement. Hildegarde troisième sur ia un. Prtx Grandmas~er. Berenda à la corde .s'est élancée en tête devant Ethe~ II et Apis au milieu de la piste. A la distance Apis prenait le meilleur sur Ether II et résistait à une bonne attaque de French Fox qui Baissait fort. Ether II troisième tout près devant Zimpanet.
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sont partis dans cet ordre. Bientôt jGénêraI Paul prenait le commandement et dans la ligne droite il avait course gagnée. Banshee tentait "vainement de le surprendre à la distance dans un rush bien ménagé.
.Pn'x de PëptMuas~. Bérengor II a pris !a tète devant Viteliius, Constanzia et Aoste. Oural H, Vitellius et EmanviUe galopaient derrière le leader entre les tournants. Dans la ligne droite Huguette venait à la corde un instant et bientôt Bérengernéchissait. Vitellius prenait alors le meilleur surOural.Toast troisième, sur la Ëo..
RÉSULTATS
PRIX DES ESSARTS
A réclamer 4,000 francs 1,000 mètres environ 1. Titzi (Spencer).– 2. Sablonniëre (Belhouse) 3. Cascadeuse II (Birkenruth).
Non ptaees Queen Bee 11 (A. Carter), Vestal (J. Ransch), Fontanabran (G. Stern), Girasol (0. Pratt), Tunique (Spears), Métissa (L. Robert), La Mandchourie (J. Chiids), Fleur d'Iris (Chapital), Brousse (R. Robert), Handsome (W. Lavis), Baltou (J. Lane), Marphise (Waugh), EIMcja.II (Gafîney). Dorothëe (Ch. CMIds), Perce Neige (Doux).ForestBird(Bray). Encolure, 3 longueurs. PRIX RAYON-D'OR
6,000 francs 2,600 mètres environ
1. Sti!vio(MaoIntyre). Décimètre (A!ec Carter). 3. Xënophon (G. Stern).
Non'piacës Xiphias II (O'Connor). Fair~hot'
(Ransch)..
Encolure, 1 longueur.
PRIXD'AIGREMONT
Arêelamer–3,000-francs–2,500 mëtres environ 1. On thé Green (Belhouse). 2. Hildegarde (L. Robert). 3. A)cade II (thompson). Non places Gibra)tarII (G. Stern), .Ivanhoë (M. Charron), Le Fram (Ctapson), Le Matamore (A. Carter), Mascaret (F. Hott), Roger Bontemps (Delo!me), Washington (Doux), Mlle des Enclos (J. Lane), Neauphe (Daniels), Auch (L.Berthod), Dynamo (Ch. Chitds).
4 longueurs, 4'longueurs.
PRIX GRANDMASTER
15,000 francs i,400 mètres environ
t. Apis (G. Stern). 3. Ether II (Mac Intyre). 2. French Fox-(Nash Turner).
Non places Zimpanet (A. Carter). Petit Frère (L. Robert), Feuille de Chou II (W.Brav), Priom (Ctemson), Berenda (Birkenruth), AIkestvs (0. Pratt), Fol Amour (Ransch).
3/4 de longueur, une tête.
PRIX FOU RIRE
5,000 francs–2,100 mètres environ
I. Général Paul (G. Stern). 2. Banshee (Ransch). –3. Idëatine(J.Lane).
Non p)aces Duc du Maine (A. Carter), Marjolaine (J. CMIds), Ambleteuse (BeUhouse), Fil Vite (Spears).
1 longueur, 4 longueurs.
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AU JOUR LE JOUR Titzi, après sa victoire dans le Prix deSt Essarts, a été réclamé pour 9,800 francs pat M.Pechy. `
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Bu à réprimer les étonnements de M. Borgaet, qui ne peut comprendre:<omment si
~eu dé députés viennent au Pal&is Bourbon,
Ïe matin. Les IMS, a dit M. Etienae, sont ainsi votées ~ans te recueillement. Le mot a fait rire M. Borgnet l'a relevé, en disant que:c'était
'<. ta te rocùeillecoient de l'absence.
On a adopté Jes cinq premiers articles de tatoitendantà établir la surveillance et le 'contrôle des compagnies d'assurances sûr la vie et de toutes les entreprises dans les opérations desquelles intervient la durée de la 'vie~imaarne. Ces compagnies devront être soumises a !'enregistrement; eties tievront avoir un capttal de deux millions au moins. Quand ces compagnies .seront de forme mutuelle ou tontiniëres, elles devront avoir un capital de 200,000 francs au moins ;i'articie 6 dit qu'elles devront constituer des réserve~mathématiques équivalentes a.léurs'èngag'emëhts. Cet article 6 été vot~ à moiKé. On votera vautre moiUé jeudi prochain.
&fM. Congy,"F6rrette,,d~ Casteinau, Auffrey, Chastenet, Borguet, Bonne vày, Guieysse, et Paulet, directeur de l'Assurance et de ta Prévoyance sociale au ministère du comjmerce, ont pris part à la discussion, au cours de laquelle un contre-projet de M. -Congy a été repoussé. Ce contre-projet remplaçait la formalité jie l'enregistrement par celle do l'autorisation du gouvernement.
Etaient exceptés de la formalité de l'autotisation, les sociétés de forme mutuelle.
NOS MINISTRES
L.e Conseil d'aujdurd'hni
Les ministres se sont réunis ce matin en conseil à FElysée, sous la présidence de
M. Loubet.
La séance a été consacrée à l'expédition des affaires courantes. M. Dëlcassé a fait un exposé de la situation en Extrême-Orient et des différentes aS'aiFesextérieùres en cours.
NOS HOTES
On mande de Vienne:
Le comte Goluchowski,.ministre des.aS'aires étrangères d'Autriche-Hongrie, est parti aujourd'hui pour Paris, d'où il se rendra à Vittel(Vosges)..
JLt~s T~fiTb~mL~ttx t.e procès Rochefort Valcarlos A la liste des témoins cités à ta requête de JM. de Vatcartos, il faut ajouter le nom de M. Gustave Voulquin, rédacteur à !a L~fe
Parole.
JL élection dnbâtonn!er
On a procédé, aujourd'hui, à l'élection du bâtonnier de rordrè des avocats. Cette élection est de pure forme, car il est d'usagé de fenommer le même bâtonnier deux années consécutives. M. le bàtonnier BourdiHon a'étant élu que -depuis un an.son élection était donc certaine, et le scrutin n'était qu'une simple consécration.
M" Bourdillon a été réélu par 296 voix sur 4i.6vot.ants.. Ont obtenu après lui, M" Rousse, 31 voix t)udard,i5;Chenu,9,etc.
te drame de ta me Championnet Louis Huard, âgé de trente ans, peintre en t&timents, comparaît aujourd'hui devant la c~ur d'assises de la Seine sous l'accusation de tentative d'assassinat.
Huard avait fait, il y a sept mois environ, ta connaissance d'une bonne, Jeanne BoeIIe, âgée de vingt-trois ans, qu'il décida à aller Vtvre avec lui..
Huard était joueur et bientôt tout l'argent ~u ménage fut dissipé aux courses, et pour 68 créer do nouvelles ressources i! obligea .~maîtresse à se livrer à la prostitution. Celle-ci le quitta bientôt pour se replacer ~omme domestique. HUard la rencontra rue lÛoudoauviUe et lui tira quatre coups de revolver à la tête. Jeanne.Boello fut grièvement blessée, mais ella est aujourd'hui gué-
fie. :?:
Huard a d6j& subi cinq condamnations. Il dit avoir été exaspéré par la jalousie il nie toutefois avoir pousse sa maîtresse à se
prostituer: 0
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H est défendu par M" Jean Ledreux,.
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~ars. 42;:S S287 i62.. 660
'A~'it. 4275 OS? Jt62.675
¢~id 4~.7ù b387 ~62 :G_7â
M&i 43 64 ? <. 6 85
.t,<Mes. –La diminution du stock aux-Etats"-unis. jointe-à.des achats pour compte delà spégalation locale, a-détermine sur le marche de 'New-York un mouvement en avant des cours. Par ta -suite, fa. tendance est a nouveau plus catmesurquë)Quesrëa)isations.
Au Havre il s'est traité des affaires suivies, ce qui donne une allure soutenue au marche toutefois; les cours sont inohanges'sur hier. CotoNS.– .Les marches de New-York et du Havre sont fermes sur des rachats de fin de mois et des nouvettes moins favorables sur l'état de la rëcolte. Cette fermeté ne parait que reiative/car, maigre des avis de hausse dé Liverpos], la clôture au Havre se fait en réaction de 50 c. sur les prix du début.
Sacrée. –La tendance a été calme des l'ouverture et a continue ahisi pendant toute !a BëMceen sympathie avec tes p!aces étrangères. Ciôtare en légère reprise sur tes ptus bas cours. B<ës et Farines. Le marche a étë encore jtssez soutenu par suite de ta réserve <ks veatsars, mais tes autres ont MMouê d'acHv~të. ~twresMs changement sur M9f.
~AGUERRE COMBAT A TAKOU-SHAM
La. sitùa.tion & Port-Arthur Nouvelles de source chinoise.–L'armée de Sta-ckelberg.–&'a.f-
fa.irede«l'Allantoun".
Les autorités militaires russes attendent toujours des nouvelles officielles du combat naval du 23, devant Port-Arthur. On en reste donc aux hypothèses 'dans les cercles petersbourgeois les mieux informes..
On croit à l'état-major de la marine, dit le correspondant de l'agence l'Information, que l'amiral Togo est lui-même dàns l'incertitude des résultats quant aux pertes russes et qu'il cherche, par la publication de ses rapports, a. provoquer des déclarations de l'autorité maritime russe sùrce point. C'est lanate optimiste. Í, La note pessimiste nous est fournie par l'Agence Havas, àqui l'on télégraphie, cet après-midi, dé Saint-Pétersbourg, que le langage tenu maintenant parlés fonctionnaires de la marine russe donne clairement à entendre que la défaite est réelle ainsi que la perte de plusieurs nayiresrussëa.
Ces opinions extrêmes indiquent assez l'état des esprits, l'inquiétude que provoque, dans les cercles militaires, l'incer~titude due à l'isolement de Port-Arthur, De source'chinoise cependant, les nouvelles suivantes de la citadelle du KouanToung, nouvelles postérieures au combat naval:
yche-Fou, 27 j'uïK, 3 heures aprés-m~dt. Des .Canots, qui om qut~ë Port-~r~hur !e 24, dfsen.t qu'tt t/ aua~, dans ~e port, ~e 23jutn,4cutrassës,5crofseursë~ des torpt~eut's.DaTtsceTtOiTtOre, ï! ~auatf 3 vautres /br~emetit auartës gui so~t rëît~rss.mafs aucun~'aë~ëcouië. Le24jut~. !e~ros de !'armëe j'apônatsëëtattâ~4)mnesdePort-Ar~ur; !esëc!at-
reurs sont en(, ptus-près dé la vitie.
reurs sont encore p!us prés de !a Ut!<e.
7~ est/aux que (es indt~é~es mandchous ate?t{ repu tordre de quêter Port-~rt~ur; cesont seu!eme!it!est?td!oéMes des au~res~ proumces, en. dehors de ta Mandehourte, qui ont ëtë muttës à quttfer Port-Ari'h.ur. (Agence Havas).
Aurons-nous bientôt le rapport transmis par courrier de la ville investie ? EnMandchourie
'En Mandchourie, la situation reste sans changement notable. Les avantpostes de Kouropatkine sont actuelle-. ment aux prises avec les armées des généraux Nb.dzu et Kuroki. Mais il est probable que le généralissime ne s'engagera pas à fond, qu'il livrera de petits combats eh se repliant jusqu'à une cinquantaine de kilomètres de Liao-Yang, où, sur le terrain de son choix, aura sans doute lieu la bataille attendue.
On mande de Tche-Fou à l'agence
H'auas~
Tche.Foù, 27 jum. Mille Chinois, se trouvent à l'hôpital de Liao-Yang qui .est eacombré.
Des lettres de Feng-Hoang-Cheng disent que les Japonais éprouvent de grandes difficultés pour leurs transports à travers les routes qui sont dans un état déplorable. De nouvelles troupes, cependant, débarquent, qui iront rejoindre les armées des généraux Nodzu et Kuroki.
Débarquement disputé
La légation du Japon communique, en effet, la dépêche suivante, rec.ue aujourd'hui
Tokio, 28 juin.–L'armée japonaise a débarqué à Takou-Shan, après une bataille acharnée, te 27 juin, qui dura six heures, et a occupé Fenshuiling à 23 milles nord-ouest de Siou-Yen.
Les forces ennemies se composaient de cinq bataillons d'infanterie, deux régiments de cavalerie et 16 canons; elles furent, mises en désordre et prirent la fuite vers Toma~hindi. On estime les pertes japonaises à unecentaine de tuéa et Messes. De son côté,.le général Kouropatkine reçoit sans cesse de nouveaux renforts qui bientôt équilibreront les forces des. belligérants:
-Saint-Pétersbourg, 28 juin. Le premier corps d'armée partira prochainement pour le théâtre de la guerre.
Ce corps comprend, comme on le sait, le régiment de Viborg,' dont l'empereur Guillaume est le chef honoraire. Le 10" corps est presque complètement arrivé à destination. De ce fait, les forces du général Kouropatkine se trouvent donc augmentées de 25,000 hommes.
Dans le 10" corps, se trouve aussi une division des troupes du général Dragomiroa',
comprenant les quatre régjments quisesont
particulièrement distingués à la passe de Tchika pendant la guerre'russo-turque. Le 17° corps n'arrivera pas à destination avant la mi-juiUet; par contre, les cosaques de'l'Oural sont déjà arrivés a destination. 140,000 hommes se trouvent présentement aurlethéâtre de là guerre.
Stackelberg hors d'a.t teinte
Saint-Pétersbourg, 28 juin, 9 h. 45.– Sui.vant les renseignements parvenus du quartier général au ministère de la guerre, le corps d'armée du général Stackelberg qui se trouvait menacé par les forces supérieures du général Oku a opéré sa jonction avec le gros de l'armée du général Kouropatkino. LeNouotë VrenHa déclare que les critiques militaires sont unanimes à reconnaître que l'armée du général Stackelberg aurait p.u courir les plus grands dangers si l'esca-'dre japonaise avait bombardé Ka'fchdjoou. La non-intervention do l'escadre nipponne
est attribuée a la' fatbiesse d.e toutes ses
unités, à la suite de leur longue campagne. C'est à cette.même cause que l'on attr!bué l'échec de l'amiral Kamimura lors de sa tentative de couper la retraite aux croiseurs russes de Vladivostok, (~ence .Russe.) Les nouvelles du « Messager de
l'Aralée') ,'c-
Saint-Pétersbourg, 28 juin, 9 h. 20. –.Une ` dépêche de Liao-YB&g annonce que l'orgatio ofnciel du général Kouropatkine, le ~essaoet' ~TAt'mee, rapporte qu'a la bataille do Vafargou les troupes russes de l'aile gauche, sous le commandement du général Querugross, ont pris aux Japonais 4càhons de campagne ainsi que plusieurs canons-revolvers.. Le Messager de !ir)nëe confirme que la plupart des officiers ef; soldats nippons allaient au combat surexcités par l'absorption d'alcool et attire l'attention sur une ruse à. laquelle ont souvent recours les troupes japonaises, ruse consistant a hisser des drapeaux aux couleurs nationales japonaises qui; vues de loin, ressemblent au pavillon de la Croix-Rouge, ~~encerusse.~ De bonne prise
Saint-Pétersbourg, 28 juin, 10 heures. Une dépêche de Vladivostok annonce que lé tribùna! dea priséa; présidé par le colonet A~XMdMw, ~u~, ~J~j~ dll' p·
peur anglais .A!!a!tt<!u~, capturé par !e9 croi-
seurs rasBesdaaa la mer 9u Japon. ,,0
Le tribunal a unanimement reconnu le capitaine coupable d'avoir transporté do ta contrebande de guerre de Sasebo pour les besoins de l'escadre japonaise.
Pour <;es motifs juge de bonne prise le navire et les 6,500 tonnes de sa cargaison. Un délai de 1 mois a été accordé à ta Compagnie propriétaire pour se pourvoir en appel devant le conseil administratif, ~.s'ence
]*usse.~
russe. 'L'esc&dre de renfort
Saint-Pétorsbourg-, 28 juin, H h. iO. Nous venons d'apprendre de source autorisée que l'escadre russe, sous le Commandement de l'amiral Rojdenstvenski.qui se a rendra prochainement en Extrême-Orient, sera accompagnée par un grand nombre de navires de la société russe de navigation à vapeur, qui serviront de transports à la seconde escadre d'Extrême-Orient. < Tous les officiers de réserve de. la marine: fourniront les états-majors de ces transports qui seront placés sous le commandement du capitaine do vaisseau RadIoQ'. f/i~ence russe.) r
L'EïïseigsemsntcoBgregmste SÉANCEbUSÉNAT
Une interpella-tion. Conventions télégraphiques interha.tlona.Ies. Discours de M. de La,ma,rzeUe. M. Fallières ouvr.e la séance à deux heures s quinze et annonce.tout d'abord, que M.Pon.thieu de Chamaillard.demande à interpeller le ministre, des travaux.publics sur le retard apporté par un fonctionnaire do ce départe'ment à communiquer le dossier intéressant -:la proposition do loi relative aux changeurs, mécaniciens et agents des trains. La date de la discussion de cette interpeilation sera fixée quand M. Maruëjpuls sera présent.A l'unanimité, on vote ensuite un. projet de loi concernant l'ouverture et l'annulation de crédits sur l'exercice 1903 et .1~04. M. Piettre fait adopter diverses conventions télégraphiques internationales. Puis on revient à la loi relative à lasuppression de l'enseignement congréganiste. M. de Lamarzellea la parole. Il s'en prend surtout au président du conseil et réfute les arguments invoques par lui en faveur de la loi. M. Combes a dit que le droit de l'Etat devait avoir le pas sur'celui du père de famille en ce qui concerne le droit du père de famille. Le droit de l'Etat doit se borner à exiger du professeur et des. éducateurs des conditions de moralité, et de capacité. Hors de cela on tombe dansie despotisme. M. Combes a dit ensuite que lescongréganistes étant engagés par des vœux, notamment par ceux du célibat et d'obéissance ne pouvaient enseigner et former des hommes indépendants. L'argument est mauvais. Ilest.réfuté par les partisans de la loi en discussion qui ont reproché aux religieux d'avoir enseigné et éduqué toutes les générations de l'ancienne Franco. Comme si ces générations n'ont pas été-les plus libres, les plus.vaitlahtës, celles ~enSn qui ont poussé le plus loin le développement de l'idée de famille! 1
–Mais tous ces argumentsne sont que desprëtextes. C'est à la religion et aux catholiques qu'on en veut. On a d'abord frappé les congrégations non autorisés; aujourd'hui, on vent at-. teindre les congrégations autorisées demain, on visera tes prêtres puis,viendront tes catholiques. Pour obtenir ces résultats on est obligé de violer la liberté..M..Combes devrait bien te voir.
Les partisans de ta toi reprochent à nos adversaires d'être des hommes du Sj/~abMS. Est-ce que M. M&ret, est-ce que M. Gobtet sont des hommes du 'St/Ha&us ? 'N'est-ce pas M. Gobtet qui a fait voter la loi de l'enseignement primaire laïque ? N'est-ce pas M. Gobiet qui a déclaré que l'enseignement privé resterait tibt'e? Et voici que d'un trait de plume vous venez annuler les engagements pris par ce ministre républicain Vous n'en avez pas te droit (Applaudissements aucentreetàdroite.)
L'orateur réfute ensuite les arguments du rapporteur, M. Saint-Germain.
M. de Lamarzetle revient à l'unité morale que veut établir M. Combes. Le moyen employé et peu Ordinaire consiste à semer la division chez les Français, et d'ailteurs cette unité existe-t-elle chez les républicains, existo-t-elle au seiu du gouvernement? (Très bien!).
Votre politique, dit-il en terminant, loin de faire l'union dans le pays, fait la désunion et nous voyons en ce 'moment proStant de nos discordes une Francequi jusqu'ici n'osait pas lever la tête, la France du drapeau r.ouge. (Trèsbien.)–
Voilà le mal que vous avez fait, il sera bien dif6ci!e à nos adversaires de le réparer. (Applaudissements.) v-
M. Goùrji monte à la tribune. Après avoir. déclaré qu'il n'a aucune attache avec les congrégations, il combat le projet en reprenant la plupart des arguments développés par les précédents orateurs. Il examine plus particulièrement les droits de l'Ëtat en matière d'enseignement et déclare eh terminant que tous les libéraux et tous les vrais .républicains doivent voter contre le projet do loi.
L'ESP!CN ELL!S A Quessa.nt. –Suite de l'enquête He d'Ouessaut, 28 .juin. Le commandant Mauguin, chef de -ta garnison, vient d'être chargé par l'autorité militaire de' l'enquête aur 1 espion EMis.. M. Mauguia a déjà envoyé un premier rapport au préfet maritime. Il a entendu les, gendarmes et les témoins concernant l'enquête déjà faite par M. Moërdès. ~e d'Ouessant, 28 juin.–Le vapeur Loutse v~.nt d'arriver, ayant a bord le commissaire de la marine, des' gendarmes/du Conquet et l'espion EHis étroitement gardé à vue. L'enquête va ainsi.se continuer activement sur place. Déjà Ip personnel de l'entreprise Gardet a été informé d'avoir à se tenir à la disposition dos gendarmes pour fournir tous.les renseignements nécessaires. 1 Ile d'Ouessant, 28 juin.– Le complice soupçonné d'EHis vient d'être interrogé par M. Moërdès. C'est M. Bapsain Richard,'directeur d'une Société de sauvetage des navires naufragés, demeurant à Liverpooi. Richard, qui est arrivé ~deputs .six semaines et est descendu àl'hotel Péchât, travaille avec une vingtaine d'Espagnols au sauvetage, des épaves du vapeur Vesper, de Marseille, naufragé, a la. pointe du Perh. Ni hn ni ses hommes n'ont fait les déclarations proscritës'aux étrangers. Richard s'est défendu.de.a'ocouper-d'espionnàge; les papiers d'identité qui! possède ont été saisis
parM..Moërdès.'
UH PEU PARTOUT
Fort-de-France. Le Ju)'!e~-de-!a-6rautëre part ~oUr Haïti; il sera après-demain'à Port-auPrince.'
Vienne. Le khédive d'Egypte est parti dans la matinée pour Paris.
Cettigne. Le prince héritier DanHo représentera 5on'père aux (êtes du couronnement à Belgrade, à la fin d'août.. Mantes-sur-Seine. Un drame de famille s'est déroulé cette nuit dans la commune de Septeui), près Mantes. Un notaire, M. Richard, sa femme et son nts, se sont donne la mort. Le parquet do Mantes s'est rendu ce matin à Septeui! et a ouvert une enquête sur tes causes de _ee drame..
SM-Francîscb.– Le vapeur Mari/posa venant
de ~ahit! annonce qu'une explosion de chaudière
s'est produite a bord de t'aviso français Durahce,
p~M~ntson voy~e de Papetti & 'Nouméa;
quinze tt:arthso;tt été tues. ;«.- r
La~Mra)~ ë~ aftvëe Moaa~fn !e ca.p!*
~'M'8a~m<~$~~9a~.
~visrrjES.
ChezM"'Narthe Oupuy La. I&urêate du prix SulIy-Prudhomme Les petites misères d'une femme de lettres. Déceptions et
projets. Dos vers
inédits..
Lorsque, dans Faprès-midt d'hier, a l'issue de la réunion du comité qui proclama le prix SulIy-Prudhomme. je demandai à M. Léonce de Larmandie, délègue de la Société des Gens do Lettres, de me donner l'adresse de -Mlle Marthe Dupuy, iF me refusa gentiment,, m'expliquant que le comité tenait à ce que la bonne nouvelle parvînt à la «lauréate" par un télégramme de la Société et non par la bouche d'un;journaliste,
C'est par la Presse que tous mes amis ont appris à sept heures le ~bonheur qui m'advenàit, me raconte cependant Mlle Dupuy, à qui j'ai rendu visite ce matin. Que de .visites depuis hier, que de visites et que: de questions! Pourtant il faut bien se laisserifairc, puisque c'est la coutume. Mlle Marthe Dupuy habite rue du Vieux-
Colombier, a deux pas de l'église Saint-SuI-
pice, non loin du Collège .de France; dont elle suivit assidûment certains cours, non loin du jardin du Luxembourg, qu'elle aime éperdumeht, et sa poésie est simple et puise tous j seseffetsdans le 'sein toujours inspirateur de la Nature.Mlle Marthe Dupuy habite un appartement modeste dans un hôtel tranquille. Malgré l'heure matinale où je me présente, MlleDupuy .estfisible..Je l'attends dans le salon de l'hôtel, un salon un peu obscur. Au mur, des cadres de peluche entourent des aggrandissements photographiques. Des plantes vertes ..dorm.ent.sw.Ie piano et sur des guéridoM.Les poètes trouvent l'inspiratioa dans les milieuxlesplus simples. Mais voici Mite Dupuy, vêtue sobrement de noir. -Une: ngure triste, dea yeux bleus, pensifs, sous des cheveux foncés. Une 'bou- j chétrèsexpressive.très mobile, qui semble garder malgré le sourire une expression d'amertume.
Puisque je dois me confesser sans restrictions me dit-elle, il me faut commencer par vous avouer que j'ai eu beaucoup de souffrances.
Mou père' était sculpteur. H fut médaillé' au Salon et parmi ses œuvres dont le souvenir est toujours vivant dans ma mémoire, bien que je fusse très jeune lorsque mon père mourut, je crois devoir admirer surtout un groupe fort impressionnant intitulé: le Trtomphe ds Mërouëe ëht rot des Francs.Après la mort de mon père, ma mère se retire aux environs de E!ois, où je vis un peucommeune sauvage jusque rage de quatorze ans.La forêt était proche et je ne me souviens pas sans attendrissement des promenades longues que j'y fis et qui devaient ouvrir mon esprit d'une façon si forte aux beautés de la vie champêtre. Les débuts difnciles
Puisque vous me demandez de vous conter comment le désir de faire des vers naquit en .moi,, je m'arrêterai sur une anecdote qui peut-être vous paraîtra insigninante, mais. qui eut une grande innuence sur ma destinée.
.J'ayais neuf ans– j'en ai vingt-huit à présent et j'étais élève dans un couvent à Esvres, près de Blois. Un jour, une de nos' camarades étant morte, les sœurs nous emmenèrent toutes pour voir une dernière fois lé visage do la pauvre petite. La pâleur de cire, les yeux clos et les. neurs. parfumées donfles corolles pleuraient sur ia blancheur du linceul, frappèrent vivement mon imagination enfantine. De retour dans machambrette, j'écrivis ce qui me passa par la tête, une prose rythmée, des sortes de vers, et je lus avec des larmes dans les yeux, une voix émue, tremblante, ce premier essai à mes compagnes. Elles s'inqmétèrent t Comment « as-tu fait', cela ? Tu as copié ces lignes « dans un livre! )' Le bruit en arriva aux oreilles des maîtresses, qui lurent cette tentative et me'louèrent fort. J'apportai, dès lors, une ardeur toute nouvelle dans. mes études.' Plus tard je vine à Paris et j'entrai dans les télégraphes au Poste Central de la fue de.Grenelle. Durant mon stage, je fis paraître une. demi-douzaine de plaquettes. Ces plaquettes de quelques pages contenaient des pièces à dire dans les saions. Le mysticisme y éclatait à chaque mot. Je ne me rappelle que le titre de la dernière plaquette: le Passant dtu~t. Je n'avais que dix-huit ans et je sentais que mon éducation ne répondait pas à tous les désirs'que je formais. Pendant sept ans, je suivis les cours de littéra.ture du Collège do France, je m'intéres.sai tout particulièrement aux cours de M. Deschanel. L'a mort dema.grand'mère maternelle qui.survient ace moment me plonge dans la tristesse et dans la sentimentalité. Je me-procùre, ne connaissant ni le iatin ni le grec, de bonnes traductions'de Virgite et Théocrite;'jelis l'YHade et l'Odt/ssëedans leg traductions si belles de Leconte de Lisle. Une vingtaine de sonnets qui se trouvent dans.fd<een ~eur, la,première partie du livre qui sera publié à la.suite du prix SuIIyPrudhomma,ont été composés après ces lectures." Quelques vers paraissent alors dans des .revues de jeunes. Oh! daus quelques revues seulement, car les femmes ne sont pas accueillies avec joie dans les rédactions! J'ai le plai:sir de voir ma signature dans le Penseur 'dans;la Jeune Champagne..
Ma santé..s'ébran)e, je suis obligée de donner ma démission de postière,emploi qui me rapporte quatre-vingt-quinze francs par mois, et depuis trois ans ce sont dés soucis matériels ininterrompus, car ma msre est dame de compagnie à Nice, je suis seule à Paris. J'accepte une place de maîtresse dans une école a Versailles.
Je n'y étais pas depuis huit jours que la directrice me fait appeler.– «Vous seriez chez vous, vous auriez votre ménage affaire ? '? 'Sans doute.C'est bien; considérez-vous .icicdnTme chez vous, pour" le n~nagé s'entend!–Mon rôle de maîtresse impliquait les attributions les moins agréables dos domestiques. Je. devais me.lever a.six.heures. 'du matin et me coucher tard après avoir travaillé,.Dieu sait comme. Je gagnai vingt. francs par mois. Au bout de tren.te jours, je 'rendis it n'y a pas d'expression plus juste -montabiier.
'crhetra.va.inëuse
Je sais .gré cependah* a la Providence de m'avoir fait connaître toutes ces vicissitudes. Le parc de Versailles aperçu & 'la dérobée .durant .des minutes 'brèves .mais jamais ou-. Miées m'inspira quelques poésies qui s'~at parmi mespréférées.. 1 Dépuis, j'ai beaucoup travaillé, iiyadeux ans que je suis de la Société des poètes fran- cais dont M.'SuIly-Prudhommeeat;. le. président. Il y a un mois environ, j'ai envoyé à la Société des gens de lettres la poésie qui m'a valu le prix sur lequel, je vous assure, je ne comptais guère. Mon volume de vers'est divisé en deux parties Jdt/~e.en /!eur, la première contient des sonnets et des poésies champêtres la Vote doM~oufeuse, la seconde, est une suite dé poésies personnelles intimes qui sont loin d'être gaies, comme le titre l'indique. Je demande alors à MHe Marthe Dupuy de bien vouloir me donner pour les lecteurs dé la Presse une poésie inédite. EUe me confie la Ma.tSQM. de T'eue, qui fait partie: de la Vote dou!oureMse; r, i; La, Maison de rêve
J'évoque b!én souvent; le soirées mains inertes, La maisonnette Hanche, au fondTdu bois muet,
Etroite cdmm~un nM entre 'ié~ branches Vertos~
jEtqaa vouiait p<mt'nous soa amour taquet*
Ja ne t'tijMxats va, matsje s&ts qu~i! etïste Cet asi!9, rêvé aùrte coteau penchant; Et sa fenêtre ouverte ainsi qu'un regard triste En vain guette nos pas de l'aurore au couchant. Sur les marbres polis et froids, tescoupes frêles Dans leur léger cristal n'ont pas de fieurs encor, Seul, un oiseau furtif y vient mouiller ses aiies, Et met un peu de vie en ce catmo décor. Sous t'ombre de l'alcôve en des frissons de voiles Le grand lit solitaire a des appels troublants, Une senteur de thym émane de ses toiles Mais nul front n'a dormi sur ces oreillers Mânes. .Voici que par degré la vision s'efface, Le retrait.meurt sous ta poussière enseveli, Sous la poussière fine et qui, tonte,.s'amasse, Comme sur le bonheur ia cendre de l'oubli. Je voudrais pùbl;er aussi entièrement la Chapet<e du BoM-Jo!t, une pièce inédite, mais la place me manque. Je ne cite que quelques strophes Dans l'abside, une tourterelle
Varôdant d'un vol apeuré;
On dirait, vers t'autet doré,
Quoique angeiet battant de Faite.
Unmoiheau franc àl'œit moqueur,
Et que vêt un plumage sombre,
'.Sautille et'picore dans t'ombre, GourmanNcommeuhënfahtdechœur.
Maintes hirondeties hâtives,
Ont remis à neuf t'ancien nid
Aux pierres que le temps brunit
Sous t'archivoite dos ogives.
tes espoirs
.on poète préféré, c'est Alfred de Musset. j'adore toutes les œuvres de Loti, ce sont mes deux auteurs favoris.
Mlle Dupuy parle lentement; car en disant ces mots elle évoque des pages qui ia charmèrent.
J'ai beaucoup travaillé et je travaillerai beaucoup encore, j'ai prêt pour l'édition un livre de pensées et de maximes dont le titre n'est pas arrêté, je l'aisoumis.à des auteurs .célèbres qmeatdaifttâ- y'trouver quelque intérêt.' M. Giuisty a depuis deux. ans, dans ses cartons.à l'Odéon, une pièce en vers en cinq actes de moi, cette pièce,intitulée .He)'0!'çue, se passe sous là Révolution, mais elle n'est pas tirée de l'Histoire, c'est simplement un sujet d'imagination où l'amour tient une grande place.
La fortune commence à sourire à Mlle Marthe Dupuy qui.mieux portante à présent, postule de nouveau une place dans l'administration de M. Bérard. mais en vain. Un bon mouvement, monsieur le sous-secrétaire d'Etat, que le mois de juin apporte deux bonheurs au lieu d'un au poète qui nous est révélé. Un bonheur n'arrive jamais seul, il ne faut pas faire mentir les proverbes.
Ajoutons que, dans les articles que la Presse a consacrés, l'année dernière aux Jeunes poètes, il a été parlé, pour la première fois, dans un quotidien de MM. Raoul Gaubert et Emile Despax, qui ont obtenu les mentions ex asquodu prixSuIIy-Prudhomme. Noussommes'heureux que la Presse ait ainsi donné son parrainage aux deux jeunes écrivains qui, en reconnaissance, sont venus. ce matin nous remercier dans nos bureaux. PaulHerYîer.
r~s ECHC~s
LE MO~DE On ne peut_ imaginer assistance_ptus nom-_ jreuse et plus aristocratique que cette qui, auourd'hui a midi, se trouvait réunie en l'église Saint-Pierre-de-ChaiIlot, où l'on célébrait te mariage de Mite Marthe Leishman, fille de M. Leishman, ambassadeur des Etats-Unis a Cons~atltinopte, avec. te comte Louis de GontautBiron..
Les témoins du marié étaient te comte Théodore de Gontaut-Biron et le comte Raoutde la Panouse; ta jeune.mariée était assistée du général Horace Porter, ambassadeur des Etats-Unis en France, et du générât Winstow.
-Tant dans te cortège que.dans l'assistance, nous avons reconnu: baron et baronne, de Grancéy, baron et baronne Guillaume de Grancey, comtesse de Cossé, comte Ch.de Brissac, marquise de Maussabrë, comte et comtesse R. de la Panouse, comte et comtesse de Lévis-Mirepoix, comte et comtesse de Lambertye, comtesse de Durfort.Mme Potter-Patmer, marquis et marquise de-Laste'yne, prince de Brogiie, duc et duchesse d'Uzës, marquise de Talleyrand, marquise'de Tathouët, Mme Spreckels, duc et duchesse de Fézensac, comte et comtesse de Ludro, comte de Rochefort, M. André de Fouquières, Mme B)ack,. marquis et marquise de Lubersac. baronne Raymond Seitiiere, comte et comtesse Odonde Lubersac, comte et comtesse de CasteHane, marquise~ et Mtte de Saint-Sauveur, M. et Mme Charles Singer, .M. Maurice HotMnguer, comte H. de Mun, le peintre Chartran, princesse F. de Faucigny-Lucinge, Mme Satanson, baronne La Gaze, vicomte et vicomtesse Louis de la Panouse, Mme Spencer, vicomte P.de Bonneval, baron A. deNeufvitte, prince et princesse A. de Brogtie, etc., etc. Apres 1 interminable défilé à ta sacristie, parents et amis des deux familles se sont rendus à t'hôtel de'Mme Leishman, square du Bois-deBoutogne, où, durant ta réception qui a eu tieu, tes jeuuë~épbux ont de nouveau été très complimentés.
A ta même heure, M. Aimé Schneider, lieutenant au t3° cuirassiers, épousait, au temple de l'Etoile, avenue de la Grande-Armée. Mtte Marguerite Fournier.filtè de Mme Emile Foùrnior.
Le jeune marié est le Hts du général etdeMme Schneider.
Cet âpres-midi M. FernandDepas a donné, rue Chaptat.~une dernière audition de ses élèves. Les heureux privilégiés qui avaient été conviés à cette réunion artistique ont en outre beaucoup applaudi Mme Fournery-Coquard, Mme Madeleine Depas et Mlle Alice Deville, dans des œu-. Yres de M. Arthur Coquard.
Le lieutenant Le Brecq, du Î02" d'infanterie, est fiancé à Mtte Suzanne Yver.
On. nous annonce également les Sancailtes de M.'Henry Ptomet, avocat à la c<?ur d'appel de Paris, avec Mite Camille Weber, ntle de M. Weber, te notaire bien connu.
Ce soir, grand diner suivi de réception · .chez Mme Edouard André; dîner chez ta comtesse Edmond de Pout-tates et réception restreinte chez la'comtesseGrefiulhe.. 1 '~M.etMmePiert'eLebaudy ont donné ces jours derniers dans leur'hôtel do la rue François I"' un grand dîner en l'honneur du prince et de la princesse Murât. Dimanche t9 juin dernier, très bette matinée chez M. etMmeDrees Brun, en leurs salons de_Ia. rue de Berlin. Ont été supérieurement interprétées d'ift'érentes œuvres maîtresses de M.. Théodore Dubois. de l'Institut, qui en dirigeait et eh'accompagnait'I'exécùtion. Succès très vif pour chaque Artiste, 'à commencer par le maitré' et ta.maitrasse de maison. Les invités/entres~ grand: nombre, étaient 'dignes de l'exquis- pro- gramma que tf l'Institut libre de musique i! leur offrait. LES CENTRAUX L~ REVC/E Les élèves de l~Ecole Centrale des Arts et Manufactures, qui n'avaient pas pris part l'année derntère-à_ la', revue dénieront cette année en uniforme entre los polytechniciens et lès élèves de t Ecole de Versailles. Les trois cè'ntsoixante'éîèves, qui ugureront cette année dans le 'cortèg-a sefont pris parmi les élèves de troisième classe et dès/volontaires de deuxième et première .année. Nous pourrons donc admirer l'allure martiale de tous ces jeunes gens destinés à fournir les cadres de notre armée de seconde ligne.
fNFORM~ TVONS Le générât Hot'ace Porter, ambassadeur des Etats-Unis a Paris, vient de transmettre'a"M. Delcassé, ministre des affaires étrangÈres, les remerciements de son gouvernement pour,Ie concours de ta France dans tes-négociationspôur la misa en liberté de MM. Perdioaris et Variez. .L'Institut zooiogiqite organise toute une série de conférences expérimentales avec le concours de MM; Albert Raphaël et de notre collaborateur; P. Hachët-SoupIet, le fondateur do l'Institut. La première décès conférences aura lieu jeudi
a que~e heures, <m CiNUe CSycholoMque, 8~
M9 Ef~S~ tM~fMt.
~KEt/RS D'EXTRËMB-OMENr
LeJ~oBYnuarmefemmë Une gra-nde da.me en voyage. Unf 1f douche sons la. pompe. Une leçon inattendue.
Ce sont surtout des voyageurs et pouf cause, puisqu'ils sont le nombre! qui da< puis les débuts de la guerre d'Extrême' Orient ont fourni à la presse des notes per~ sonnelles sur les deux peuples belligérants. Ce n'est pas que les voyageuses n'auraient pu contribuer de leur quote-part à l'eti.quête. Mais on peut faire aux rares F'ran. caises qui exécutent leur tour du mondé l'é* loge qui se trouve être ici-uu reproche defuir la publicité.
Car, nous aussi, et peut-être à l'égal de l'Angleterre et des Etats-Unis, nous avoM nos stio&e-tro~euse~, etsi des femmes ausaf ~distinguées que Madame Massieu ou Ma. dame Henri Cros, pour ne. nommer que ce~i deux grandes voyageuses, se décidaient f confier au livre ou au journal le résultat de leurs lointaines excursions, combien d'ob~ servations curieuses et de sensationa inédt-tes ne recueillerait-on pas dans leurs souva~ hirs! i.. Une illustre dame anglaise.IadyRandolph ChurchiM.vahpus prouver que la "femme, en voyage, voit et observe sous un augle vi sue! qui lui est particulier. Maints détails~ de menus traits de mœurs, qu'un homme eu;. dédaignes ou qu'il n'eût pas aperçus, pren.<nent place dans une.relationdue à unëplum', féminine, et vous allez roir par quelques ci. tations que, si la ;.voyageuso complète It voyageur~. il arrive aussi qu'elle le contredise.'
On nous a répété sur tous les tons que le b'êbé japonais est un enfant modèle, que jamais il ne crie ni ne pleure, et l'on a dit, ëa outM, que le Japon, terre de poésie et de charme; est comme imprégné de senteurs délicieuses.
En sa remarquable étudo~ Journée m -~apa~) que publie le dernier numéro dx .PanMaMMagazme, lady Churchill met lea choses au point
« Les Japonais ont la réputation méritée d'adorer les enfants dès leur naissance, il~r leur attachent au cou une petite médaillelqui porte leurs noms et adresse, pour le cas on ils seraient perdus. Ces bébés sônt~res intéressants leurs manières son.t gracieuses, amusantes mais il est faux de dire qu'ils ne critent jamais à ce point de vue, ils~e conduisent comme les enfants des autres races. Il n'est pas plus vrai que les villes japonaises soient exemptes de mauvaises odeurs. Les égouts, très défectueux, et les poissonneries, nombreuses dans ces villes, ne rappellent pas précisément les parfums de l'Arabie. impressions vécues
.Voici une note plus porsonnelto: Lady ChurchiM.transportée en juurt&tsha (voiture tirée par des hommes) àtravers la campagne japonaise, décrit une halte à l'auberge du village « L'hôtelière nous reçut en retenant, au. prix d'efforts comiques, sa respiration, car il est impoli de soutSer dans la direction de l'interlocuteur. Pendant ce temps, nos pousse-poMsse, ruisselants de sueur, se débarrassaient de leur unique, vêtement et se mettaient on mesure de s'administrer una douche dans le baquet de la pompe publique Cette dernière était si jolie qu on pourrait l'appeler une fontaine. Elle consistait en. deux x bambous, l'un peint en noir, l'autre en vert sombre, tous doux enguirlandés de lianes Souries et de plantes grimpantes. Et les traits de ma dame de compagnie (personne fort guindée, d'ailleurs fort respectable~ étaient à photographier, tandis qu'elle clignait des yeux du côté de nos deux pousse–pousse qui, sans se hâter, remettaient leur tunique et plantaient sur leurs têtes le chapeau champignon.
La description d'une représentation théâtrale dans un faubourg de Tokio n'est pas moins amusante
« Assis sur le plancher de notresoi-disant loge, et buvant notre thé à petites gorgées, nous surveillions l'assistance plus que les acteurs. On voyait là des familles entières, bellaa-mères, brus, enfants de tous âges, grands-pères, pères et petits-RIs. Tous avaient apporté leurdiner. C'était très amusant de les voir manger à l'aide de leurs bâtonnets, d'étudier la composition de leur menu petites galettes, mignonnes boîtes remplies de riz, bols dé toutes dimensiona contenant du poisson cru, des légumes inconnus, des mets de toutes les couleurs. Les mères mettaient à proËt les entr'actes pour changer les jeunea langes des bébés inconvenants.
Elles pouvaient choisir leur moment, lear mères japonaises; la pièce, qui dura toute une journée, no comprenait pas moins de quatorze actes Et lady Churchill se hâte de remarquer que le sujet lui en fut inintelligible, mais qu'elle admira fort la grâce et 1~ charme des actrices et des danseuses–pour apprendre à la sortie que les unes et les autres étaient dos hommes en travestis La, pudeur jàpona.ise
Maisécoutez-pour Haef ce charmant aveu. Guidée dans Tokio par un Japonais qui parlait tant bien que mal anglais, notre auteur tint à suivre les rue!Io3 qui passent derrière les maison'Les cloisons étaient ouvertes et elle put apercevoir l'intérieur de plusieurs maisons. Un moment, la curiosité l'emporta sur sa résolution:
« Je ne pus m'empêcher de m'arrêter et do regarder dans la chambre. Au fond, je distinguai une petite femme assise sur une natte et chantant doucement une chansoa aux modulations étranges, tout en s'accompagnant sur une san~sen (harpe). Dans une pièce plus éloignée, une autre femme mettait en ordre des ustensiles de cuisine. 't Je demandai à Matsuda si ses charmas tes compatriotes n'avaient pas peur de s'es poser ainsi aux regards des pass&uts. question le troubla il répOMlH noc.sans hésitation aO/t.' Japanese ~o ~oAe.m- no; gocd Tnatms}'s/ (Les Japonais passent sad~ regarder. Ce n'est'pas bien élev&'))t L'a grande'dame anglaise reco!tuaitqu'o]Ie empocha sans broncher le cbmpHmeni.Maia elle se console aussitôt:*
<f Je suis bien sûre que, si nos maisons do Londres étaient ouvertes de la même.façon, une dame japonaise ne se priverait pas d'à* gir comme je l'ai fait. x La réflexion est très « nlle d'Eve
Tailoires,
DE7 SO~R /tU M~~6à" La déposition, de Mme Guerre a suivi a !tt commission d'enquête cette de son mari. Puis-on a entendu M. Mazet, quiadù être rappelé plusieurs fois & l'ordre, en raison de la violence de son tangage,vis-a-vis de M~ Pichat, notamment.
L'instruction judiciaire ouverte pour tentative de corruption de fonctionnaire par X. abouti a une ordonnance de non-lieu en favouf de M-. Chabert. MM. Denys Cochin et i'abbê Gayraud viennent de faire connaitre au ministère de l'instruction publique leur intention de t'interpeller sut la décision récente qui écarte du concours d'agrégation dos lettres tous les candidats eccie< siastiques.
C'est a Tou!on que débarquera le bey dt Tunis, qui assistera, comme on sait, a la revua du 14 jutUet.
–MM~'Ue Rothschild ont informa !ë ministre du commerce qu'Us consacraient un< somme de dix miiiionsu. une fondation qui au" rait pour objet la création d'habitations à bo<t marché.
Le ro! Edouard et l'empereur GtiiHaum* ont asstste à un banquet ~onn<s en teur bonnet nM~~chtC~b(t9S~t
L:P~ -d" VIE ~PORT1CVE
lEt'EMap~ËUNmm Une enquête ouverte par notre ccnfrëre Mery, dans le Gau!ots, remet ~eh question Te principe de l'épreuve ëlimiDatoire de la Coupe Gordon-Bennett. "En 1905, interroge notre confrère, la maison Georges Richard-Brasier devra'-t-elle ayôir une voiture 'qualifiée d'ofnce pour disputer la, nnale de Coupe ? ou deyra-t- j elle subir, comme toutes ses concurrentes, j Fépreuve éliminatoire'D Gomme il fallait s'y attendre, les réponses sont toutes favorables au maintien de cette dernicre'épreuve pour toutes voitures, 'y compris 'celles de la Maison Richard-.Brusier. Et les dirigeants de cette dernière,MM. Cuénod et Brasier -sont. eux-mêmes: de eet avis., ce qui les hoiior-e.<l'allleurs..
A I& Yërité, tout le monde ~'e rend compte que c'est au principe de l'éliminatoire que nous devons la rentrée de la Coup.e en.France cette année,.Car, la mai\sou qui Fa remportée, n'ayan.~ que très ~eu fait courir aupa.raYant,'n'aurait sûrement.; pas été désignée .pour défendre Dotre pavillon et Jenatzy et sa Mercedes eussent pa'sse WwM:n<j; Po..s< au Tauhus. Certes, il -y a,bien. des chances pour que, étant donnée'Inexpérience acquise, ta, maison Richard-Brasier nbu's sorte'en. 1905, un. engin supérieur encore -&'celu~ de 1904. Mais, dans ce cas, cet en.cin se classera dans les trois premiers de la-prochaine éliminatoire et sera qualiuc pour .la.Hnalcdela Coupe.. Pourtant,ncn.;ne nous difque d'autres ConstrucEeurs n"établiront pas aussi des ~oitu.r-és'tTës perfectionnées, qui pour-~ .raient se déclarer'Iésé's 'dans' leurs inte- rets si l'une des trois places d'honneur était d'ores et déj.a dcsignëe d'ofSce'. .-Nous. avons voulu avoir, a.* ce sujet, ~l'avis du marquis de Dion,qui fut le champien de principe de l'éliminatoire lors de \.a gran'de discussion devant le comité de TA.C. F.
–Je m'opposerai, avec I& .plus grande énergie, n.Qus..a déclaré, be matin, M. de Dibn; à ce qu'il soit apporté la plus petite modification au ~~Mt~o. Le. principe de f éliminatoire est. juste; il adonné les meilleurs résultats; il n'y faut rien chau.ger! D'ailleurs, M. Brasier renonce luimême a.u tour de faveur qu'on voudraiflai. donner.
'La question parait donc entendue et devant cette'unanimité et les heureux rësultats obtenus grâce & l'éliminatoire, .cette année, il est peu 'probable que t'A. C.F. adopte une autre façon de faire pour Faunée prochaine.
~G. DE;LA.FRETÉ. L'ÉT~BLÏSSE~ENT~MS~UE Ccs*opargncrabien des aHccs et venues 'Ba'së rendant: tout d'abord, chex Maunce'
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FEUILLETON DE LA PRESSE 1. Du 29 Juin 1904
'gIT'
i-.CBi-L:~
ROM/t.VCOA/TEMPOR~M
J~ar ~'À.tt'Y'-<~IL.]L..
H L'A.<~O~IE.
.Suita–
29juillet. Je yiens. de. m'attendrir au sein d'une famille heureuse. Je quitte de Lraves gens qui m'ont arrache, il n'y a qu'un instant, 1 une promesse désagréable, mais je ne leur Ir en garde pas rancune j'ai pu voir chez eux le bonheur, cette chose queje croyais
jmpossible, le bonheur réfugié dans ce
coin perdu de.la basse Normandie. Deux entants, jouaient, cet âpres-midi, jtur la grëye, à'quelques pas de moi. Je Suivais distraitement leurs. ébats 'quand fan .d'eux~ charmant garçonnet d'une
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hier à l'A. C.F., Tins curieuse 'communica-
"'tiôn'a eta faito~.parun'do's membres delà
Ligue. Ce monsieur nous h donne lecture de quelques passages d'un rapport. d'Alphand qui prouve que, des tS55, on avait songé à lutter contre la poussière des routes. L'es-' planado de, l'Exposition universelle avait été arroscë 'au moyen ~d'un produit dont on n'a' pas voulu nous dire hier ni le nom ni la composition d'autres essais avaient été faits avec succès dans des 'allées du Bois. Mais l'argent avait manqué pour l'adoption dénni-
tivc do ce procédé, beaucoup plus écono-
mique,'paraît-i),:quë ceux actueUementeu .usage (goudronnage, westrumito, etc.). ),` Le rapport en question a été GonSé au docteur Guglielmine.tti, qui on prendra connaissance et fera procéder, si possible; à des 'essais au Bois de Boulogne.
C'est égal, qui se doutait que.la lutte contre la poussière remontait à.une époque déjà si lontainc? f Sis-nalons, aussi,-le! très .ingénieux appa"
',(; reil uu a I'inventinn"dë M. Forestier, le dis-
tingué consorvsteur du Bois de Boulogne, et qui permet do répandre do la wostrumite 'aveu les moYena d'arrosage urdiaaire, sans risquer de.deteriorerccs derniers.
Enfin, pendant que nous y sommes, signalons encore le succès de la souscription.ouverte sur l'initiative do la Ligue contre la poussière entre les riverains des maisons du boulevard MaiHot. Une somme de 2,000 fr. ) a déjà été recueillie qui sera remise entre les mains de l'administration. Celle-ci fournira )o complément nécessaire et le boulevard MaiHot, sillonné-par les automobiles, .sera bientôt a l'abri du redoutable ïléau. La séaneo do la Ligue a été rendue également très intéressante par la communication j que 'M. Forestier a bien voulu noua faire au sujet des essais récemment tentés sous sa. direction au Bois de Boulogne. Elle s'est terminée par le renvoi à uns commission d'un vœu do H. -Deufsch.dela Me.urthe, tendant a l'abolition des droits de douane sur les produits .destinés a combattre la poussière. L'expression de ce vœu sera sans douts transmise au gouvernement. ,,1 La séance était présidée par le docteur-Lucas-Championnière, président, do la Ligue. G. DE L.. `
P.S. On a commencé cet apres-mi des cssais~dc goudronnage sur 'le boulevard pe-
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&V!S ET 00 M M U S PAT 0 M S Quest-ce que la beauté? Qu'est-ce qui j'ai!, le sentiment esthétique, ct'ie génie? 'C
–M. Maurice Grivsau vous éclairera peut-être a ce sujet, dans les conférences-promenades qu'il renouvelle cet été dans la. nature et dans les musées. Jeudi dernier, au Jardin des Plantes, il dirigeait ses auditeurs tout au long des' parcs et des volières, caractérisant chaque type,' et précisant son expression, démontrant ta splendeur du namand rosé, et l'hor.eur du crocodile~ aux tons de pierre, grâce aux lois naturelles de l'adaptation,.que notre psychologie interprète en sympathie–ou en antipathie.
Mo'credt 22, a trois heures, au musée de sculpture du Trocadéro, M. Griveau, commentera le a ]jiyré do pierre ))- des c&thédrales là aussi.se révèle une évolution, mais d'ordre supê'. rieur, qui adapte les formes artistiques 'au' temps, au milieu, les perfectionne et les dégrade.
6 &t~! M! ~~f~Hora concours 1900
DU ~iil9tA'UP od4lt hygiéniqu~Q
MMV MiJ ~l%UProdntt hygiénique
dizaine d'années; à la mine éveiUée et volontaire, apostropha'soudain sa soeur aînée, jolie.et douce nUette, d'un niot.quii me stupéna a Dourra ') s'était écrie l'enfant. Comment? m'exclamai-jç involontairement en russe; tant je venais d'être' surprise'.d'entendre le tambm profërer, à l'adresse de sa co.mpagne de jeux, cette gronderie familière.
Etonnés, gênes, tous deux me nxèrent' d'abord d'un regard inquiet, baissèrent la;
tête, honteux, l'un d'avoir été si vivement'
traité d'<'imbécile'), .l'autre d'avoir .étécompris par une étrangère.
Je me reprochai aussitôt l'embarras où:' je venais de les; mettre et j'interrogeai ,1 'bienveillammentlaullette: –Vous.êtes Russe? Non, madame, me répondit-elle dans ma langue maternelle. –Mais vous. parlez le russe? –Non, madame, dit-elle, en français, cette fois. L'enfant était sincère. J'apprenais d'elle que ses parents, après un long séjour à Pétersbourg, ëtaient revenus en France, pour se nxer dënnitivement à Senêts/le' village natale Ma jeune interlocutrice a.y ait publie presque totalement la. langue qu'elle avait parlée, tout enfant. Mais le gamj~ ~ui s'~t 6clipS9 aUS
reire, entre _Iè pont des Ternes et la PortoMaillot.
ÇOLmaES~A PSED JLcs grands Prix du ~C..F. t La réunion toujours si suivie' des' Grands"Prix d~ Racing-Club de France aura lieu dimanche prochain sur la piste de la CroixCatelan. Sout interçaleea dans cette réunion deux épreuves:
!°!jC Grand-Prix de Parla, 1,000 motrea. interclubs (U. S. E. S. A.).
.2'' Le Grand-Prix de la.ViUe de Paris, SOOmètres.interc.lubs.. Les Championnats dÂngïete!'re Un team d'athlètes du H.C.F. ira participer aux. Championnats d'Angleterre qui se disputeront samedi prochain a Manchester.. Voici les noms de ces athlètes: Puysëgur (saut a la perche, poids), Belin du Coteau (400 m.}. Baget, Paraskdvopoulos, Klingclhoefer (tiû m., haies), de FIeurac (:e
mille).
H est certain que ce team est de premier ordre.
MOTOCVCLETTE DERNiER CRt
Victorieuse dans toutes les grandes courses, et dans tous les concours d'endurance, la motocyclette Werner conserve encore, en '1904, la suprématie, et le cycliste qui passe, au nouvel engin-de locomotion s'épargne des déboires en/passant dans les magasins de la Werrrer Hnuied, 10, avenue de la .GrandeArmée.
Ï-.& Cotipe érL 1 S'05
Un Circuit tt&nsieCantai
Nous recevons, au sujet de 'la question du parcours pour la,.Coupe de 1905, le mot suivant
K On trouvera dans le Cantalle CiTCuit rêve. La route, en excellent état, qui traverse le massif du Gantai, se qualiËo .tout particulièrement. Les automobilistes qui passent par icisont unanimes afaire des louanges. Chose curieuse, cette route ne connaît ?tt ~a ~oue ni <a. poussière, là iave provenant des volcans préhistoriques, qui est employée pour les routes, forme un sol dur et sec. ))
La commission sportive de l'A.G.F. pourrait envoyer un délégué examiner ces routes qu:, parait-il,'ont la chance inouïe d'être, à l'abri de la boue et de la poussière.
TR.ÊS BEAUX CHIENS CARLINS à vendre. Pure race. S'adresser-au concierge, 15,ruc.LaPérous3.
ESCRIME: L Victoire frauçsise
Le match-tournoi franco-italo-beigo 'de Londres s'est terminé & Earl's-Court par une soirée de gala suivie de la distributioh des prix.
L'équipe française, composée de. Adolphe .Rouleau, Georges Rouleau et Ramua, a
E~~ T ë~i B~
APrinta.nia,
'.J'ai déjà. n diSérentes reprises, esquisse quel-
ques mots sur ce neuve! Établissement. Printania.
vaut .mieux que. M. que j'avais: dit. Je lui dois
repacatiGn.
Printania, donc, .s'élève sur le terrain deFaerodrôme, aux confins du Bois, et.iltieht do la place, plusieurs milliers de mètres carres. Cet cmpiacement, d'MDeurs, est très joliment occupe dabord par unthëatre, par des jeux divers et par deux terrasses, l'une surmontant l'autre. De ta première, la vue s'étend jusqu'à Courbevoie, & droite; a gauche, an.dsia da l'Etoile. Ça st la dans le vaste'parterre s'élancent des groupes d'arbustes du plus joli efiët.
J'ai parjêp'ushautdes amusements groupes à Printania: yen cii.e quelques-uns:
t II y a d'abo:d le jeu a. la mode un Toboggan. Celui dePrintania ne ressemble en rien à ceux connus.
C'est tout un voyage que l'on fait duns le Tobo~gan-Printania.
lUss'j jusqu'au faite 18 mëtres par un ascenseur, l'on décrit des courbes et des recourbes pour venir, voyage autour du monde, descendre .à deux pas des fauteuils. où l'on s'instaUe. .Jenedoispas oublier le Mai de cocagne pour dames; oui, pour damssjle sexe laid n'a aucun droit à ce mât, seules !es jeunes et jolies femmes peuvent en tenter l'ascension. Quelques-unes restentcn détresse,jedois]edirC) car ce matest. d'un raide! Certaines cependant, les exportes, arrivent a, la couronne. A elles les gros lots. Ge.mat est une trouvaille
.I.'pnvoi!enRore.maispassons!
Nous v'jici au théâtre..
Là, une troupe très habilement composée cha"me pendant toute la soirée ou l'après-midi, suivant )o cas, !e spectateur !o plus difficile. Il y a diu'ërents numéros que je "ecommande, notamment les.Navaros, des jongleurs extraordinaires Ariette Oary et ses chiens; The Eight Biseras, huit délicieuses Anglaises; Foot-Gers; le trio Torelas, etc., des tours de chants par des artistes cotes~. notamment GabrieDe Lange, CamiifeOber, Francis Dufor, etc. Puis la lutte, lutte impayable d'imprévu, entre Thé Gérard Brothers et un taureau vivant. C'est la répétition. d'une course espagnole. II y a, il y a. que saisje encore!
i C'est M. Paul Ruez, directeur de Parisiana, qui a conçu et fait exécuter Printauia, dont il est propriétaire. M. Pau! Huez a fait, cette année, mervei!!e bouievard Poissonnière: cedia.b)a d'homme s'est surpasse a la Porte-~aiUot. Sachons-!u.i"en.g)'e et constatons une fois de plus ses succès.–E.P. P.
L'Opéra donnera denain S<air.mbô.Le magnifique ouvrage du maitre R?yt,r. qui n'avait potnt $t6 représente depuis quelle tsmps déjà, aura une interprétation digne de sa haute va.ieur. Mtle L. Brevai chantera Saiammbô où el!o se
premier? mets de l'entretien, revenait, a.c- q compagne d un monsieur et d'une dame, d le pë.'e et la siere des enfants. Ceux-1~. d m'abordaientcordialement, heureux d'ap- .d prendre, me dirent-ils, qu'une jeune d femme rus&e villégiaturait à Genêta. e: II était vraiment.opportun de me créer des relations nouvelles!Je n'échappai jt cependant pas à l'invitation pressante n qui m'était faite j'allai causer de mon pays, près d'un samovar fumant. d Âvair .s'épanouir sur leurs visages la 1' -santé physique et morale; les membres de, h 'cette .[amille française, qui me paraissent b b unis par }a plus é~rpite affection, sem" r~ blént avoir t~nvëjpôur leur usage, la formule du bonheur. Cet homme et cette femme ne désirent rien que voir joyeux et bien portants les enfants qui les chéris- sent. Ils vivent et ne demandent qu'à c vivre, loin du tumulte des villes, indiffé- d rents presque à la beauté grandiose de la baie qui les a vu naître, puisant toutes s leurs joies, sans en souhaiter d'autres, I: dans une mutuelle tendresse, p M. Dubreuil, c'est le nom du chef de d cette heureuse .famille, m'avoua même p qu'il ne lisait aucun journal! d Cette singulière rencontre est la der- L niëre leçon du .destin-Je.devaiscompren- g
dre, avant de mourir,que seules les âmes q
amples peuvent' connaître béatitude a
~t~'
.triomphe suivie des équipes italienne et belge.
Dans le classement individuel, Adolphe Rouleau a obtenu la première place et a teçù la médaille d'or offerte par le roi d'I-
talie.
'Bravo!' f Ccrcïe de l'Homnte Armé
La .poule d'honneur de la coquette, salle de 0 la'rue de Braque s'est disputée avec succès dans la propriété Desmarais, à Champigny. De nombreux 'membres du Cercle avaient répondu à rappel, et c'est après une lutte dès-plus vives que Bernard Gravier, qui s'afËrme de jour en jour, a été déclaré vainqueur, recevant la paire d'épées ofïertes par le maître A. Nissard, professeur du Cercle 2 Desmarais, plaquette en argent; 3 L. Peron, -4 A. Poupa.n puis Remi; Duni.as, Combes, DeS'oux.Roberg'e~etPéron. tje jury .était composé de MM.A. Nissard, E.Alexandre/président du Cercle; Pichon, Grac, Vannier. RENE LACROIX.
C~C~ISME:
Lears gains
Voici la liste des principaux gains réalisés par les. lauréats des courses d0 dimanche dernier (reunion du Grand-Prix Cycliste).
Mayer. Fr..5.250 Rut. 3:450 Gougôitz. 2.000 'EIlegaard. 1.225 .i. Guigaard. 1.000 Petit-breton. 500: Meyers: 4M ""SchiUms. MO-
Darragou,400; Piard.307 50~; T.huau,253fr.
50 E. Jacquelin.-250;. Del Rosso, 250;.0.tto
Mever, 2-HJjO;; Huber, 220; 'Arend,;Bourotte
etBixio, i75;il.ue, 170; Gov.en et A, Fessier,'
150- Poulain', 120; Massart, il2 50; Conelli,
Gentël'cteoHomb, 100.
Paris-NeufçhMtel
G'cst dimanche-prochatn qu'aura lieu la course de Paris-Neufchâtel, organisce par le Véloce Club de Montmartre. Elle est réser'vée aux amateurs.. Critêrtuoide tandems (amateurs) C'est le .t0 juillet prochain, que l'A.V-.A. fera disputer sa grande course de tandems réservée aux amateurs de l'U. V. F. et de l'U. S. F,S. A. et dénommée <( Critérium de tandems sur route)' L'itinéraire sera modifié comme suit Départ de Sain't-Germain, Mantes (contrôle volant), Evreux (contrôle fixe assuré par r l'Union Sportive d'Evreux) au carrefour de Maison-Rouge,. 23 kil., après Evrcux, quitter la grande route allant sur !a Rivière, ThibouviHe et bifurquer sur Beaumont-le-Rogér (contrôle nxë, qui sera assuré, par l'Union'Vëlocipédique de Beaumont-lo-Roger), Serquigny et. Bernay, où rarrivée se fera boulevard Dubry.
Le contrôle sera installé a.Fhôtel du Liond'Or.rudThicrs.
Les engagements sont reçus au siège social de l'U.V.F., 6, boulevard des Italiens, accompagnés d'une somme de: 5 francs par équipe, le nom dQ club et les numéros des licences.
montre superbe tragédienne lyrique M. Rousse- E hère Matho 'les .autres rôles, par' MM. Note, p Laffitte, Riddaz, Gilly.Delpouget, Mlle Vincent. t(
é,
~M.Ginisty vient de renouveler l'engagement de Mlle Jeanne Rèmy qui a débuté cette année a P' l'Odéon avec un succès remarqué.
Le Trust. n, On a dit que MM. Xanrof, Dcvol et Richemond ;.} deviendraient locataires au Casino de Paris à l'expiration du bail de MM. Borney et Despres; A soit en 1907, et M. Xanrof a d'aiileurs écrit à l'un ~t de nos confrères pour démentir assez timide- ment, il est vrai cette information. Nous sommes eu mesure de la compléter en la rectifiant.' La vérité est que M. Xanrof a, depuis de longs mois déjà, obtenu du propriétaire de l'immeuble Pl du Casino de Paris et du Nouveau-Théâtre lequel n'est autre que notre ancien confrère, M. Edwards, fondateur du' Matm. la promesse du: bail, à'l'expiration de celui consenti a MM. `., Bornay et Uesprës. Ceux-ci n'avaient d'aiileurs pas l'intention de le renouveler. M. Xanrof, qui n'entend pas se faire lui-même imprésario, s'occupe, naturellement, de. céder'la pTopriéte de son.bail à.un tiers, ou à constituer n: une Société d'exploitation. Il a ainsi proposé & ..j rr. MM. Devol et Richmohd, nonpas le bail du Casino de Paris, mais celui du Nouveau-Théâtre.~ Si la. combinaison aboutissait, on procéderait 'g a d'importants travaux d'aménagement qui iso-. leraient complètement ]a salle du Casino de g celle du Nouyeau-Tiieàtre et donneraient a ce p dernier une complète autonomie.. f c Et ce serait un théâtre do plus a ajouter a ceux d -que possède déjà ou possédera bier~ôt le g
«Trust )).
MM. Devol et Richemond-n'ont pas encore ac- p îi cepté les offres de M. Xenrof. ils ne les ont pas ?t non plus nettement refusées.. Telle est, croyons-nous, la vérité. Et'nous se" 1 'rions bien étonne si notre aimable confrère, M. I. 'Xanrof, croyait devoir démentir notre informa-. tion. d Le théâtre Trianon, qui a décidément repris son ancien titre, annonce, pour les représenta- t~ tions de Mlle Eugénie Nau, une série de soirées B de la'Ft~e ~Ma. 1 Le drame poignant de M. Jean Ajalbert sera t' accompagne, sur l'affiche, de la pièce de M. r Oourteiine:.LeCot~?ntssaM'eest&o~en./anf. s
Depuis hier, a l'Àthënéo, une comédie de M. Auguste Germain Ti'o«tnet<c, accompagne TAngiatS <e! Qu'o?t !e par!e etie P}'tnce-Co!tsor<. ?~o~:neHe est jouée par Mlles LiMie Régan; ( Sydney; MM. ErémontatÂn'iigues.
M. Albert Lambert, fits le très distingué. sociétaire de la Comédie-Braneaiso, vient d'épouser MUeAngeIe Bassaler, si connue et si ap- g plaudie au théâtre, sous le nom d'Angèle. Le ma- g -riage a été célébré le 25 juin dans les environs t de Bordeaux. A i'Alhambra, la sorte de pyramide finale des
qu'elles peuvent seules jouir paisiblement des dons de la vie, que le bonheur ne s'identine pas avec.la vertu, quoi qu'en ait dit Platon, si la pratique de celle-ci exige des combats, des dévouements études saeriËces.
J'accompagnerai demain mes amis d'un jour–ils me l'ont 'fait pr.omëttrè au montSaint-Michel.
La promenade à pied réserve, m'ont-ils dit, d'agréables suprises! Nous ferons, à l'aller, la traversée en barque de la plus large des rivières qui sillonnent les sables nous la franchirons à gué, a. notre retour.
Je serai bien fatiguée demain soir 31 juillet.
Aquinzeheuresd'mteryalle mes yeux conservent l'ëblouissement~du spectacle d'hier.
Nous revenions' du Mont, à la fin de la soirée, après un crochet vers Tombelaine harasses de fatigue, nous marchions péniblement sur le sable mouillé, mes deux compagnons et moi, chacun à. ses pensées; le clapotement de nos pieds nus dans'Ie's uaqùes d'eau'salée'troublait.seul. le~ sil'ence absolu de ce soir d'été sur là grève; je suivais des yeux le globe rouge qui descendait à l'horizon en songeant
aux mystérieuses, ptofondèù.r~ d.e .1% ,'fogge
La course aura lieu quel que soit le nom-' bredescquipes engagées.
tfn!on vétoctpediqu~dn Louvre L'U.V. L. donnera le dimanche iO juillet, à deux heures, à la Piste municipale, sa reuniou amiueUe de courses yelocipodiques. Au programme: Handicap 900 m' intermagasins 1,000 'm., championnat dû'Vitesse ~,500, 5,000 m. pônr.coureur ;de:.2" catégorie, 5,000m. vétérans, i0.lu!, pour coureurs de i' catÉgorie.'taudëms~iOOO m'
Les engagements doivent être. adresses au Garage -du. Louvre,. ?, rue. de Valois, à M. Itier, président. Dernier délai 30 juin. Le siège social do l'U.V.L.esttransfërô Café MarengO,-149, rue Saint-Honore.
Pelote basque )
La Bnaïe du Grand Prix de P~ris
I~a finale <iu Grànd Prix ûe Paris de la
La finale du Grand-Prix de Paris de )a
Pelote Basque, dont le premier prix est de' 5,000 francs, et qui'n'a pu être disputée dimanche par suite de la blessure de Landa, sëjouera jeudi soir a la lumière électrique. Les équipes de.Ia~nale sont ainsi compo-
sées~
Bleus Jbseitb, Diharce, Landa.. Rouges .:Arrué, Arruty, Americaao. Uneguttt.]'e~se jouera comme lever de 1 rideau. Voici.Ia com.position-'des équipes Mu-nifa-Polonito, Etchev'erria-Goni, Irun-. Marcelo.Arrué-Americano. "1: TEUF_i_TEUF;S"
L'Exposifïoh de Vîenae
Détache du rapport que M.Mougoot, mî- mstre de l'agriculture, vient d'adresser au' Président de la République, au sujet de l'Exposition de Vienne, ce passage suivant qui concerne spécialement l'exposition automa– °
bile.'
Mais une place a part doit être faite a l'Ex-position des automobiles, si savamment organisée par .l'Automobile Club de France, sous l'habile direction de M. Gustave Rives, commissaire généra! de la section française. Nos grandes maisons seules y avaient envoyé leurs modèles les plus parfaits, dont chacun a pu admirer la solidité jointe a !a légèreté, et la précision alliée à l'éiégance.Une fois de plus, l'étranger a pu constater la supériorité incontestable et la prospérité toujours croissante de cette branche de notre industrie nationale qui devait quelques se- '1 .maines plus tard courir ~à une nouvelle victoire en enlevant la Coupe Gordon-Bennett à ses concurrents coalises.
Contre la Poussière
On a. goudronné l'avenue de la GrandeArmée. mais les routes continuent a être poussiéreuses a'l'excès. Aussi, pour ne pas 1 trop souffrir du terrible Seau, faut-il aïïer s'équiper chez Strom,où l'on trouvera les cache-poussière, l'auio-spiro et les lunettes I les mieux établies.
Lu jaute dêmoutuMc Péter
Tous les pneus d'automobiles, Pcter et an.tres, se montent en moins d'une minute sur la jante démontable Péter, qui rend le démontage et le remontage d'un pneu d'une fa- cilité inouïe et trouve sa meilleure applica- L
Ergoti,avec fenègre colossal comme support,'le père comme jongleur-moteur et les deux enfants tournant dans les airs avec une vitesse énorme. e.meuila fouie, qui dissimule son angoisse sous un f.onnern&de bravos. Gros succès, également, pourMarie\Vinchester, la danseuse ang'.aise.' A la représentation de la Maragzi-.DDigenii, notre confrère Louis Gastine donnait en lever de rideau ~et/rss ancrantes, qui fut fort bien interprétée par deux jeunes artistes: Mlles Isabei. Amori et Jeanne Lambert, auxquelles lo cuhiic~ a fait une véritable ovation. On dit le mikado assuré de vaincre. I! faisait,! ces jours-ci, conSdent de sa eonnance le correspondant-d'un journal anglais:
Si jamais le .sort des armes nous devcnmt contraire, j'en serais quitte pour rappeler les fameux Ten-Ichi qui, chaque soir, au thëâtrc Marigny, domptent les éléments et font ce qu'ils veuie.nt de l'eau et du feu. Les Ten-Ichi, c'est la magie mise à notre service, et nous les conser-'vons pour les combats suprêmes. 1
Ainsi paria le mikado. Mais il comptait sans MM. Borney et Desprez qui, pour tout l'or. du monde, ne laisseraient les Ten-îcIn.quitter'Ma"gny. La plus. suivie .des attractious, parisiennes est certainement le Cinëmatogr.ipho des Grands. Magasins'Dufavet où chaque après-midi aX'h.iy5, 3 h." 1/2 et4 h. I/'2 et le dimanche à 10 et.ll h. de- fitentles'vuesies pius variées et les pius recontes. Au programme: !e voyage du Président dé !a R6pub)ique ën'IIaiie, les émouvantes -épisodes de la guerre russo-japonaise; les magnifiques vues en couleurs .Ma!'te-A?tto!)':e/fe, f'.Epopëe, scènes historiques: IaBe'!ea:t BotsDo!nta!t)!,)eC/ta<Bo«e,etc.' Au Cabaret des Quat'-z-Arts, ce soir, demain et après-demain soir, trois dernières auditions des chansons nouve))es le Sa<)'e dtt Bo:s.de JBou!ot/ne, la Manche de i'Armëe, Dedans !a i!t~e de A~euers, les A~mphes d[( Bon de jBou!of;ne, )a Bat~omëe, le Gt'attd Vot/ageur, etc., T3arNumaB]ës,Montoya, Lucien Boyer, GhezeU, Dominus et Yon-Lug. Trois dernières représentations aussi des '.Soudons de .Pa)tU)'ge, la revuette téléphonique en un acte de Numa Blés et Lucien Boyer, interprétée parles deux auteurs et par Mlle Lucie Pezet. (Tél. 547.39.) Georges Boudin.
« ~'M§E!~MM~_PRÂ~a~ e Une visite a,u musée Ga.HieraLa Société l'Euseignenient Pratique, prosidéo par lo gravem' Roty, de l'Institut, a fait deux visites tr~.s intéressantes, l'une à l'exposition des denteUes du musée Galliera, l'autre au musée de souipturo comparée. Plus de trois cents personnes, dirigées
que je venais enfin de voir, là-bas, au pied du rocher sinistre, de la fosse qui m'engloutira demain nous arrivâmes ainsi, sans échanger d'impressions, sur le bord de la rivière.
Dans l'eau jusqu'à la ceinture, nous,. cramponnant les uns aux autres pour résister au courant, nous restions maintenant immobiles au milieu du fleuve, petrifiés par la. surprise, étouffant dans notre gorge les exclamations admirât! vos que lespectacle se déroulant sous nos yeux, unique dans sa magniScence, nous arrachait. Devant nous une nappe rutilante ondulait, se précipitait vers le disque étincelant du soleiF couchant qui semblait brûler l'horizon, du côte de la mer. Nos regards éblouis ne se détachaient pas de la surface des eaux miroitante de feux ardents, de cette coulée d'or liquide qui fuyait impétueusement vers l'astre splendide. C'était féérique et grandiose, et nous sentions nos âmes oppressées dans jios poitrines. Chaque seconde s'écoulant modifiait le spectacle.
Le globe plus rouge du soleil s'enfonçait lentement au loin dans le métal en fusion qui paraissait s'épaissir, devenir plus dense, rouler .plus mollement sur la pente, adoucie des. grèves. La. nappe rougissait. Bientôt j'eus.l'impressiôn'de b.ai~n.er dans use iminen'se mare. d.e'sang.
tion sur les voitures légères. Pneus Petef< ,07,rue,de.Courcellcs..
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Indépeudammentdes automobiles Martin! (licence Rochet-Schneider) dontil a l'exclusivité.'Iës sportsmcn trouveront; comme pa< le passé, à i/7)~e)'ntëc!ta~'c, 17, rue Monsignyr un chpi;x'çonsid6rablû .de voitures Panhard, Renault frères, de Dibn,, Georget Richard-Braxier, etc., etc., modèles 190'i, ré' glées, mises au point et prêtes à aSrontC!' lt rputoen~touto sécurité.
AUPÂM~ES~m~CÉS La rCuuioa de dimaMche prbcha~ En dehors de la course de l'heure dans Ia.< queilo sont inscrits Michaë], Contenet, ~S:! mon, Urecy., Gùiguard et Bac, ie programma de la: réunion du 3 .juiHet comportera ie! opr.euves suivantes:
i'' Une course scratch (t50,' 1CO, 50, 25 e< 25 franc:!):
2° .Un handicap de 1,500 mètres (150, 100, 50, 25 et~a francs); SoUno course de primes, '10 kilometres~K;
francs tous les kilomètres. Primes finales
50, .30 et 20 francs).:
Les engag-oments pour ces trois épreuves seront clos demain soir mercredi a cinq heu'' res au vélodrome du Parc des Princes. .La PRESSE est entente dans fous les ~'ôsqués, chez /es p~nc/pat<x .ûra/re~ e~ aux b/i)//ofhèques des ~ares, fous ~es jours, à sept heures du sc.'r. Avis Divers MTNPMfW-PÏHÎ AHn!!P ru& de Chartres. !JUmM!N UaALRHiJHa a NeuiHy, près de la JPorte-Ma:iUot,n achète au comptant d'occa.sio;t
quêtes voitures' des marques Panhard-I~evassbf
etRens.ultfreres. UNE ÉCOLE POUR MÉCAM!G~S Cette école est ouverte au Garage Bon)*, 5, rue de Berri (Champs-Elysées) ,où les apprentis mécànicieus-chauSeurs reçoivent, à forfait, des leçons de conduite de voitures à pétroie et électrique.
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La voiture « Coupe de Régularité )), tel es<. le titre qu'on pourrait donner à la M Boye~ 2 cylindres )) qui, dans toutes les épreuves de tourisme de l'année, s'est classée première.. i H. Loste et C'°, concessionnaires, 64, avenue de la -Grande-Armée, Paris. Télé~ phone 548-63.
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par M. Lucien Graux, le sympathique com< missaire général, ont assiste ù la conl'ére'nca très documentée de Mme Laurence de Laprade. EUe a tenu son auditoire sous la charme pendant'près dédeux heures. Les membres de la Société se sont ensuite rendus au Musée de sculpture comparée, où M. Eutart, le savant directeur, leur a fait une conférence sur la sculpture du moyen âge, puis les a gmdés dans les galeries du Musée; en leur donnant toutes les explications nécessaires. Un grand nombre de dames assistaient a ces visites.ainsi que les élèves de l'Ecolo Edgar-Qumet, que M. DubreuH, le dévoua délégué général de la Société, avait in* vitées.
c;o~rvoc;Tior~~ Là France prc'voyantc
On nous prie de rappeler que !a-f6te annuoi!e de la Franco prévoyante, Société de retraites, au~Heu le dimanche ~3 juillet. A onze heure'! et'*emie, banquet, a la.Société des Jlorticuitoura de France, 84, rue de GrenoUe.
m~m~m~~
Dtmanehe 3'JHiUet.
Excnrs!sn a Font3ine!]!eau, Bar~oM, Me!t!i! VMtte du château, promenade en/b)'ët 7 heures. –Reunion'à. ]a gare de Lyon, a]'~Ktrëe des sa!!es d'aUonto de f classe.
7 h. 25. Départ pouf Meiun. Arrivée z
8 h. tt.
Les voitures attendent dans ]a cour de iagare. Départ immédiat .pour la foret. La Tab!e-du'. Roi la Croix du Grand Veneur; Bas-Broau. Arrêt pour visiter la' Caverne des Brigands.. A onze heures, déjeuner à l'Mtel des ChariEet" tes, a Barbizoh.
A midi et demi, départ on voiture. Le chaos 'd'Apremont; io Bouquet dtrRci; les gorges do Franchard. Arrêt. 'Vers trois heures et demie, arrivée a Fontaineblaau. Visite.du château. Continuation en voiture. Traversée de ]a ville, !a tour Denecourt, Bois-Ie-Roi, Chartrcttes, ics bords de la Seine, Melun.
Arrivée a Melun vers septheuros. D:ner. Apres diner, ies voitures reconduiront a !ft gare pour prendre Je train- de- SI arrivant à Paris a M h. 22.
Prix a forfait: 1" c]. 28 fr.; 2" -c). 17 fr. 50, 3° s]. )5fr. comprenant: chemin de fer aHûrcx, reto'ur; promenade en break; dë-jeuncr et dîner, vin et café compris guides et pourboires. On souscrit,"]usqu'a. samedi midi, au bureau du journa! et a'l'agence des Voyages Pratiques, 9, rue de Rome, Paris.
Les yeux îargement ouverts par l'ëpou-~vante,'le'bes'qih de voir eTicore',decom-< prendre, je m'efforçais de repousser l'haï" lucinante vision.
La masse sanglante montait, montait, me glaçant les jambes, ,m& glanant le torse, me glaçant les bras. Secouée d'ua grand frisson, je poussai un cri. Deu~ bras robustes m'enlacèrent; une voix anxieuse d'homme, m'interrogeant chassa' l'eblouissement; je me ressaisis et regardai la rivière .roulait ses eaux grise: vers lelarge, le soleil avait dispara l'horison.
–Hâtons-nous, disait M. Dubreuilea m'entraînant, l'eau devient froide. J'aitremblë de Sevré cette nuit.
~'août.
Qu'ajouterais-je à ces pages? J'ai prolongé à les écrire quelques heures d'une vie qui me pèse. Je n'ai' plus rien à dire. Je n'éterniserai pas mon agonie 1
Avant de les clore, je leur conûe ce programme J'accompagne la mer qui se retire dans une heure; je pense à Boris,, je pense à Pierre en gagnant Tombelaime.~ En souvenir de L'un, j'emporte une corder je trouverai bien là-bas le caillou qu< me retiendra'tout au fond de la fosse, d~ la fosse redoutée par l'autre.~
Fm.