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Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1929-02-13

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 13 février 1929

Description : 1929/02/13 (Numéro 18758).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k541525c

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 26/03/2008

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connu la nécessité de ,régler la question romaine, le traité proclame conformément à l'article premier de la Constitution italienne de 1848 que le catholicisme est la seule religion d'Etat, puisai reconnaît la pleine propriété, l'autorité exclusive et absolue et la juridiction souveraine du Saint-Siège sur le, YftUcan tel qu'il est actuellement constitué et il crée la Cité du Vatican en déclarant que dans cette Cité aucune ingérence du gouvernement italien ne pourra se produire et qu'il n'y aura aucune autre autorité que celle du SaintSiège-,

Un plan de la Cité du Vatican est joint -au traité.

Une clause énumère. tous les services publics dont sera dotée, la Cité du VatU. can par les soins de l'Etat italien, notamment une gare. de chemin de fer ainsi quhirie liaison directe, même avec les autres Etats par des services télé- graphique, téléphoniques, radiotélégpaphiqucs, radiotéléphoniques et postaux.

Le traité règle la question des moyens de transport, la situation civile et judiciaire, des personnes soumises à l'autorité- du Saint-Siège il établit les immunités territoriales des basiliques partriarcales et de divers édifices, l'établissement des relations diplomatiques entre le Vatican et l'Italie.

Enfin une clause stipule que le SaintSiège «.déclare qu'il veut rester et restera étranger aux compétitions temporelles entre les autres Etats et aux congrès internationaux convoqués à cet effets, à. moins que les parties en conflit lassent unanimement appel à sa mission cle paix, et tout en se réservant, dans tous les cas, de faire valoir son autorité morale et spirituelle. En consé'.quence, le territoire de la Cité du Vatican sera toujours, et dans tous les cas, considéré comme territoire neutre et Diçk M'Huot,

Pour célébrer le jubilé sacerdotal de Pie XI et Je septième anniversaire de son avènement, au trône pontifical, un « Te peum » été chanté hier matin, 3, 11 Heures, à Notre-Dame.

Dans le chœur, au-dessus du maître autel se détachaient, en gros caractères, les mots de « Tu es Petrus ». La décoration se complétait de trophées formés de drapeaux français et- pontificaux.

La cérémonie, très brève, comprenait le chant du versent « Tu es Petrus », le « Te Deüm » chanté par le cardinal Dubois, repris en chœur par l'assistance et enfin l' « Oraison pour le Pape », suivie de la bénédiction solennelle donnée pair le cardinal. Au premier rang des personnes présentes on remarquait les camériers secrets, les chevaliers du Saint-Sépulcre, les chevaliers de Malte, revêtus du long manteau blanc à la croix écarlate, les dignitaires de l'ordre de Saint-Grégoire-. le-rGr?nd MM. Benoît-Ozanam, le comte "Raoul de Dieshach de Bellérocloe, MM. Maurice Godfernaux, Paul Lefebvre, L. Guillemaud'. J, Barbu, le comte Louis de Béïie-TsTe, ^"cliaflùlne1 Guèrviïi, lë'Daron L--P. de Lormais. le comte' de'Montgerrtdi¥t/1présideiii"!d:e' lvAssociation des chevaliers pontificaux, M. Geoffroy de Grandmaison, le comte de Montenôn, MM. Henri Rosier et DelrM. Briend, ministre, des affaires étrangères,, était représenté par l'Il. de Bernard- M- Georges Leygues, ministre de la mariné, par le lieutenant de vaisseau Lapierre. Les ambassadeurs d'Italie, de Pologne. d'Espagne, d'Allemagne, de la Ré ublique Argentine, les ministres". plénipotentiaires de LithuaHi.e, de Finlande, du Canada,'de nombreuses personnalités dû corps diplomatique occupaient les chaises réservées.

Le général de Castelnau, MM. de Ramel, député Jean de Castellane, Beaud, Bucaille, des Isnards, conseillers municipaux le marquis de Pampierre assistaient également à cette cérémonie. S. Em. le cardinal Dubois avait en de lui le nonce Mgr Magfione et à' ses, côtés les secrétaires de la nonciaturé. Les archidiacres Adam et Gaston assistaient le cardinal.

Parmi les nombreux évêques qui avaient pris place dans le chmur se trouvaient Mgr Chaptal et Mgr Crépin, évêques auxiliaires de Paris Mgr Hersçher,Mgr de Guébriant, Mgr dçnotjd, évêques de la GuckdftiéHpe Mgr Baudrillart et enfin.. ilacohinnintlrite Mér Evreïnof. ̃ -••'

L'Enseignement

des Langues méridionales Le, discours de M. Léon Bérard a donné,hier, au,:Sénat, au débat sur l'enseignement des langues méridionales, le ton académique qui convenait à cette discussion pédagogique. Certes, M. Mario' Rôustân, l'auteur de l'interpellation, avait dit d'excellentes choses en se plaip-ftânt/de la suppression des classes d'italien et d'espagnol dans les lycées du Midi, mais il n'avait point atteint aux profonds aperçus, en même temps qu'aux observations si justes de psychologie ,et à l'occasion si spirituelles du sénateur des Basses-Pyrénées. On n'est pas vainement du pays d'Henri IV, et le Béarn, une fois de plus, parlait à la France le langage du bon sens et de la raison, avec quelle bonhomie et aussi quelle causticité.

Vers la fin de juillet,, dit en débutant M. Léon Bérard, on a iaauguré chez nous le transpyrénéen. Nos montagnes mêmes étaient pavoisées, l'amitié franco-espagnole avait été consacrée par des paroles solennelles, des associations de fraternité latine s'étaient; créées et, cependant, en octobre, il était interdit, dans les lycées de Pau fit dé Bayonne, d'étudier l'espagnol et l'italien dans les classes de cinquième et de, sixième. 11 y a là quelque incohérence les travaux publics construisent un tunnel, l'instruction publique fait sauter un pont

^'orateur déclare ensuite qu'il veut appuyer le discours de M. Mario Roustan et obtenir des moyens d'arrêter une action diffuse qui se développe en marge des règlements. Ceux-ci, en 1902, ont placé les langues méridionales à égalité des langues septentrionales mais, dans La pratique, il n'en est pas ainsi. Et NI.

Bérard, avec ses autres collègues insnits, demande que l'égalité soit rétablie et qu'il a'y sait pas surtout dans le Midi de campagne contre les langues méridionales. Il continue ̃»̃••, Il Nous demandons qu'à l'avenir aucun inspecteur général de l'instruction publique ne puisse se moquer de la géographie. Il v a chez nous des provinces médiatrices où peut se faire, entre deux nations, l'œuvre de compréhension mutuelle, C'est là que l'étude de la langue la plus voisine est indispensable. Le rapprochement. des peuples n'implique nullement que nous reconnaissions une primauté exclusive à tel ou tel de nos voisins. On n'a pas le droit de faire une place secondaire à l'Italie, berceau de notre culture à l'Espagne, où nos plus grands poètes ont trouvé le climat de leur génie, et où toute défaillance de notre part bénéficie aussitôt à une autre influence spirituelle, notre concurrente. On a dit qu'il y avaitt intérêt à dépayser l'esprit de l'enfant. Encore faut-il le mener dans des régions où il ne soit pas tout à fait un étranger. Aussi mis-je heureux d'appuyer les observations de M. Feuga sur l'utilité de l'enseignement du dialecte local, Gelles de nos familles où l'on parle le plus mal le français sont celles qui ont décidé de ne plus parler que le français.. -NI, Léon Bérard reconnaît qu'il ,,ést difficile de choisir une méthode pour l'enseignement de ces langues et il conclnt

Nous vous demandons, monsieur le ministre, de donner des instructions pour que l'enseignement des langues méridionales soit organisé dès la classe de sixième. Cela ne suffira peut-être pas. Il faut opposer des spécialistes à d'autres spécialistes. Aussi demandons-nous la création d'inspecteurs de l'enseignement des langues méridionales. L'administration a invoqué la raison d'économie. Qr, depuis quatre ou cinq ans, elle a préparé l'école unique, qui implique la gratuité de l'enseignement se- condaire, et elle supprimerait, pour raison d'économie, une classe d'espagnol à Bayonne et à Pau

M.- Rou'sfari. Le maintien de ces classes, d'ailleurs, ne ooûtait pas un sou, en avaient été pris. hauts intérêts spirituels sont^iei en jeu. Il faut appliquer les règlements. Ne conférons pas à ceux-ci une sorte de précarité officielle, en nous abstenant, de les appliquer tapt qu'ils sont en vigueur.

Il est presque inutile d'ajouter que ce discours, suivi avec la plus grande attention, a été très applaudi par la Haute Assemblée.

Parmi les autres interventions, il faut signaler celles de M. Feuga, qui a plüs spécialement plaidé la cause de la langue d'oc, et de M. Reynald, qui a parlé dans le même sens.

Dans sa réponse, le ministre de l'instruction publique M. M.arraud- s'est efforcé d'apporter des apaisements aux divers orateurs. Il a notamment cité ces chiffres

Depuis 1919, le nombre des élèves d'elle- mand n'est pas parvenu à rejoindre le !hiffre d'àvant-guerre. Le pourcentage d'augmentation de l'effectif pour l'anglais et l'allemand n'est que de 18 0/0 pour l'espagnol et. l'italien il atteint 71 0/0. Sur les 540 établissements d'enseignement secondaire. il y en avait 34 èn"ï913 y <jn:al!i04' aujourd'hui? ̃ '• .•:̃:̃̃ L'a discussion a été close par i'<wioplion de l'ordre du jour suivant Le Sénat, confiant dans le gouvernement pour maintenir à l'étude des langues et littératures méridionales le même respect, et les mêmes droits qu'aux autres langues et littératures étrangères, dans toutes les Académies, qu'unissent. aux nal ions latines le voisinage. la tradition et la communauté de sentiment et d'intérêt, passe à l'ordre du jour.

Séance jeudi.

Cathelineau

LE GENERAL GAMELIN

commandant le 20 corps d'armée Ainsi que nous l'avons fait prévoir, le général Gamelin va succéder au général Penet à la tête du 20° corps d'armée. Voici quelques détails sur la carrière de ce grand chef. Né à Paris, en 1872, entré à Saint-Cyr en 1891, il en sortit le premier de sa promotion. Souslieutenant et, lieutenant au 3* tirailleurs algériens, il entra à l'Ecole de guerre en 1899 et en sortit avec le n" 2, Attaché à l'état. -major du général Joffre de ào l'9kt, "iHcomaianda ensuite 'le bataillon de chasseurs alpins. Au début de la guerre, on trouve le commandant Gamelin à l'état-major du général Joffre. Chef du 3e bureau à l'étatmajor général, il commande tour à tour la brigade de chasseurs alpins, la division et enfin la 9' division. Après l'armistice, le général Gamelin dirigea pendant six années la mission militaire française au Brésil. En septembre 1915, sur la demande du général Sarrail, on lui donne le commandement des troupes du Levant. On sait le rôle brillant qu'il joua en Syrie, notamment dans le Djebel Druse où, après une série d'actions rapides, il étouffa la rébellion- Il parvint ensuite, au milieu de grandes difficultés à pacifier les tribus placées sous le mandat de la France. Le général Gamelin est grand officier de la Légion d'honneur.

LE SCANDALE DE LA GAZETTE DU FRANC, Refus de mise en liberté

A raison de la gravité des faits relevés par l'enquête, la chambre des mises en accusation a rejeté, hier, le pourvoi formé par M" Noguères au nom de M. Paul Hersant contre l'ordonnance de M. Glard lui refusant sa mise en liberté provisoire.

D'autre part, M. Glard a informé M* Jean Dars qu'il rejetait la demande de mise en liberté provisoire de Nimoun Amar.

Le krach de la Société minière franco-belge

Un groupe d'actionnaires de la Société minière franco-belge vient de se constituer partie civile entre les mains de M. Brack, juge d'instruction, contre M. Meurisse, administrateur délégué de ladite société et tous autres qui par leurs manoeuvres 'dè Bourse auraient provoqué l'effondrement de cette valeur.

M. Meurisse a choisi comme défen* seur M" Odin, Darmond et Campinchi.

Les Elégances

de la semaine

Lassitude. Combien cet hiver nous semble long, n'a-t-il pas duré déjà Mille et un joui ? Heureusement nous avons pour nous consoler (1 Aux Mille et une Nuits » ̃' Et toutes leurs blancheurs nous font oublier heureusement le manteau neigeux qui si souvent cette année recouvre notre sol parisien.

Qu'y a-t-il donc de'si attirant dans ce joli magasin bien connu des Parisiennes ? C'est encore l'exposition de blanc et l'on peut y admirer les luxueux trousseaux pour lesquels aucune tqjle'.n'a paru trop fine. ni en même temps trop résistante, do. sorte que nous ne résistons pas au plaisir

de toucher les beau draps au grain si délicat, comme les aimaient nos s grand' mères. Les s torchons eux-mêmes, aux Mille et une Nuits, semblent' plus séduisants qu'ailleurs. Le linge de table est une merveille d'éclat et de travail, car les plus belles pièces sont ornées de ,jours et de délicates: broderies.

Si la réputation des' Mille et une Nuits n'était déjà faite, elle aurait été acquise rien que par son effort réalisé en ces quelques' semaines, aussi bien par les prix attrayantss qu'elle a su offrir à sa clientèle si fidèle.

Mais en même temps. il faut aller visiter ses rayons de couture, ou l'on trouve les robes les plus charmantes pour

les jeunes nues, r ms et

élégants, les modèles très haiaillés pour les réception, les matinées et les soirées feront bien'ÛPff un: gracieux sourire sur les jolies bouchés? ne:; filles et le rayon pour dames est 'tout aussi at trayant. Leurs costumes de tricot tissés chez'eux sont des plus charmants, et offrent mille variétés. Celui dessiné' ici montre un pull-over, marine et bleu nattier, sur jupe de lainage bleu nattier. Le prix ?, Je vous en laisse l'aimable surprise.

NOUVEAUTÉ. Noùs voulons sans cesse: du nouveau et notre élégance est faite de mille détails inédits et, très parisiens. Aussi combien nous avons admiré ces jolis bas de Gléraat, si délicieusement imaginées. « Ombre et lumière », tel pourrait être leur nqm, car ils sont dégradés, par exemple beige rosé arrivant un beige beaucoup plus foncé, mais c'est en avant que se trouve la partie claire qui s'en va se fonçant en arrière, de sorte que cela donne

de très jolis reflets la jambe. Mais les bas classiques de Glénat sont aussi infini-' ment séduisanls et bien connus pour leur parfaite solidité et la nouveauté de leurs tons. De sorte que nous ne savons plus ce que nous devons préférer, de ses bas ou de ses gants si souples, si bien coupés qu'en les portant nous avons toutes l'impression d'être. une petite main Et cela nous

Donnez-nous DES détails Que de jolies idées chez nos couturiers et combien amusantes. L'un d'eux, avéc une robe d'après-midi, nous présente un grand chapeau larges bords, et lorsque le mannequin a fini de se faire admirer de la tête aux pieds, il enlève tout. simplement la passe mobile du chapeau, et il ne lui reste plus, comme coiffure, que la calotte, ce qui est d'ailleurs fort gentil.

Dans une autre maison, c'est au contraire la basque d'une petites robe qui est posée' sur les hanches et simule la jaquette qui se retire à volonté pour,ne plus laisser que la petite robe droite.

La, l'on pose un bouquet de fleurs plates' en bas de.la-manç&e d'-UA manteau, ici un(¡ théorie de^gros bputo^VHde corozo descend' des deux côtés de la jaquette, sous le bras, tandis que certaines-robes d'après-midi, en tissu léger et même en dentelle présentent un boutonnage tout le long, de l'eiir- colure jusqu'en bas, en arrière. C'est dire le grand succès des boutons. Il n'est pas de robe ni de manteau sans boutons. D'ailleurs n'a-t-on pas souvent parlé de l'influence du printemps. sur les boutons ?

Une de nos grandes maîtresses de la mode pose sur l'épaule un gros nœud de ruban de plusieurs tons à ses robes du soir. Un ruban très large en moire rouge est aussi posé sur une robe du soir, à la hanche, mais il fait le tour de l'emmanchure très échancrée. Cela est original et vraiment nouveau, car l'on obtient fort souvent des effets inédits avec le ruban que tout le monde emploie cependant. Encore un gracieux détail les grands empiècements clairs, rosés ou blancs, qui cette année prennent le haut de la manche et viennent apporter une note gaie aux petites robes noires.

Mais si l'on voulait conter toutes les trouvailles de nos couturiers, le dictionnaire de l'Académie n'y suffirait certainement pas.

CONTRE LE FnoiD. Bien vite des lainages chauds et douillets pour les petits et les grands Jamais ils ne furent plus indispensables qu'en ce dur et long hiver. Gostumes de garçonnets avec la culotte et le sweater, costumes de fillettes complétés par la petite jupe. Et cela à des prix que l'on ne saurait croire depuis 150 francs. Liseuses, pull-over et petits paletot.?'' feront aussi les délices des mamans, qui y' trouveront aussi les dessous moelleux en tissu angora qui ne grossit pas.

Mais l'on peut s'attendre à tout de la part de la maison Pierre n'a-t-elle pas inauguré une série de prix les plus intéressants de Paris

Renée Bonheur

Ce qu'it faut savoir

Nouvelle méthode pour blondir Les cheveux foncés en une seule application

Jusqu'à présent, il était impossible d'obtenir, par une seule application, une jolie nuance dorée sans altérer les cheveux. D'autre part, le règne des cheveux courts rend impratique toute opération dont le but recherché ne peut être obtenu

en une seule application. Voici la manière, à présent, de réaliser ce joli réstiltat « ^ersezîdans une soucoupe, une cuillère à bouche environ eje Camomille Lalanne et *y ^jouter un grand et un petit comprima "de }Or de Paris (après les avoir au préâla-r blé écrasés entre du papier). Mêlant jusqu'à complète dissolution des compris nies, il n'est pas utile de laver les clieveux avant d'appliquer. Pour retrouver, après une application semblable, une chevelure luxuriante et souple, il est indispensable do faire un shampoing- bien mousseux, Lorsque ce shampoing sera terminé, c'està-dire après son dernier rinçage, frictionnée énergiquement d'un bon jus de citron (de préférence) ou à défaut du bon vinaigre de cuisine toute la masse des cheveux mouillés et terminez,par un nouveau rinçage à l'eau chaude. » Les cheveux ainsi traités supportent toutes les sortes de shampoing et d'ondulations, môme la Permanente.

̃>.••• Lalanne,

̃r 104 et 106, Fg St-Honoré, Paris. Aux Mille et une NUITS

8. rue de la Chaussée-d'Antin

GLÉNAT 281, rue Saint-Honoré

Pierre 39, boulevard Malesherbes

ACADÉMIE DE MÉDECINE Deux élections de correspondauts nationaux le docteur Oudard, de Toulon, et le docteur Leriche, de Strasbourg. Ensuite on a parlé de masques, non à cause du mardi gras, mais contre la grippe les médecins et le personnel hospitalier qui soignent les grippés devront .être masqués. Ce conseil du professeur Mavchoux, de l'Institut Pasteur, a été adopté par l'Académie, ainsi que la prophylaxie- qu'il préconise pour épargner au public la contamination, prophylaxie bien siyple la grippe se transmettant par éternuement, toux, même par la parole, éviter de recevoir :si :'l'on visite M. Béclère a réclamé le'contrôle des instruments de radiologie médicale par le laboratoire central d'électricité que dirige M. Paul Janet, de l'Institut, et l'académie s'est associée à ce vœu. ..Notices nécrologiques de MM. Ler= moyez et Baumel par M. Claude. Adrien Oubreuil

Grave accident d'automobile Le vicomte de Luigne se fracture le crâne sa fiancée à la cuisse brisée

Lyon, 12 février.

;Une automobile venant de Paris, qui roulait sur la route couverte do verglas, a dérapé près de Saint-Georges-de-Renëins et s'est jetée contre un platane. La voiture, réduite en miettes, commençait a prendre feu, lorsque survint le docteur Gauther, de Yillefranche-sur-Saône, qui rentrait en auto avec sou mécanicien. Ies deux hommes étouffèrent le commencement d'incendie, et secoururent les occu- fiants de l'auto.1

Luigne,. âgé dé trente 'ans', demeurant à iPai'is, iQj'rlVp.ïiéppler/a a eu 1Ç crâne frac'turc; sajfiancee, Mlle Miette Font, vingt ans, domiciliée 24, place avait la cuisse droite brisée et portait de nombreuses contusions. L'indicateur de vitesse était bloqué, en effet, à cent cinq kilomètres il l'heure.

Le vicomte de Luigne a été trépané aussitôt. On conserve l'espoir de le sauver. Une explosion à Boulogne-sur Seine dans une usine d'air liquide

2 morts, 6 blessés

L'usine de l'Air liquide, avenue de la Reine, à Boulogno-sur-Seine, où l'on exploite les brevets de M. Georges Claude, a été mis en émoi, hier matin, par une .explosion qui a fait sept victimes deux tués et cinq blessés.

Il était 5 h. 40. L'équipe de nuit, qui termine son service il 6 heures, allait quitter les ateliers, quand, dans la salle des « purgeurs » d'oxygène, une formidable ^.détonation retentit.

Un tube, renfermant de la « purge » servant pour les rampes de déchargement 'd'oxygène, avait été pulvérisé.

'cfu'un pfenr'de" inur'.voisiri^ïut: renversé, tuant net^iiec, Agé de 37 ans, domicilié rue de Bièvre, ïi Paris.

Les vitres des bâtiments voisins votèrent eu éclats avec des fragments de ferrure et de maçonnerie,1 qui atteignirent à la tête M. Pierre Le Guen, 42 ans, habitant rue de Saint-Gloud, à Boulogne, qui fut transporté dans le coma a l'hôpital de ̃Boulogne, où il succomba dans l'après'Les cinq blessés sont MM. Flament, 41 ans, rue des à à Boulogne Galliez (Constant), 44 ans, 24, rue des Menus, à Boulogne Dey (Georges), 29 ans, ̃45, rue Thiers, à Boulogne Ait Ami, Algérien, 30 ans, 47, rue des Tilleuls, à Boulogne, et Berrahman Mohamed, Algérien, 25 ans, même adresse.

Ils furent transportés it l'hôpital, et puvent regagner leur domicile après panseL'enquête menée par M. Lafille, commissaire de police de Boulogne, et l'IL Paulet, son secrétaire, commença aussitôt. On i;'en est encore qu'aux hypothèses. La rentrée des ouvriers s'est effectuée ̃ à..13 h. 30, dans les bureaux et ateliers. Le travail ne reprendra que ce matin dans la salle des transformateurs électriques. Nous rappéLons à nos abonnés que !oute demande de changement d'adresse doit être kccompagnée de la aomme de f i franc pour frais de réimpression. i Nous rappelons que tous les Abonnés du GAULOIS ont droit annuellement

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LES MONDANITÉS

LES COURS

Le mariage de S. A. le Prince héritier de Norvège #vçc S. A. Jî. la Princesse Marthe de Suède sera célébré le 1" mars.

On annoncé la mort, au château de Feldsberg, du prince Jean de Lichtenstein, qui régnait sur la principauté depuis soixante-dix ans. Le prince Jean était le doyen des souverains -du monde; il s'est éteint à l'âge de quatre-vingt-huit ans.

Une messe de Requiem a été célébrée hier matin, en l'église Saint-J^mès, Londres, pour le repos de l'âme déjà Reiné douairière d'Espagne.

L'ambassadeur d'Espagne 'et les membres du corps diplomatique y assistaient.

Le Roi, le Prince de Galles, le Duc de Connaught et m Austeii Chamberlain s'étaient fait représenter.

LES AMBASSADES

-t- A l'occasion de l'anniversaire du couronnement de S. S. le Pape Pie XI, S. Exe. Mgr Maglione, nonce apostolique à Paris, a donné, hier, de cinq à sept heures, une grande réception.

S. Em. le cardinal Dubois, archevêque de Paris, recevait et se tenait auprès du nonce. Venaient ensuite Mgr Baudrillart, Mgr Chaptal, représentant les Eglises étrangères à Paris; Mgr Forti, secrétaire de la nonciature Mgr de Guébriant, Mgr Levanne, auditeur de la nonciature, et Mgr Evreimoff, recteur de l'Eglise catholique russe.

Parmi les invités

S. Exc. l'ambassadeur d'Italie et la comtesse Manzoni, S. Exc. l'ambassadeur d'Angleterre, S. Exc. M. Myron T. Herrick, ambassadeur des Etats-Unis; S. Exe. l'ambassadeur de Pologne et Mme de Chlapowska, S. Exc. l'ambassadeur du Jappn et Mme Adatci, S. Exc, l'ambassadeur de la République Argentine, S. Exc. l'ambassadeur du Brésil, M. Loudon,ministre des Pays-Bas; le comte Ehrensward, ministre de Suède; le ministre de Norvège et la baronne de Wedel jarlsberg, le ministre du Portugal et Mme de Gama Ochoa, le ministre. de Suisse et,Mme Dunant, le ministre, de, France à Vieng'e et la comtesse CÏauzeï-, le marquis de Peralta,. ministre de Costa-Rica.M- poirnsj,p.ir)ini,strè., du Pérou; le .ministre du 'Canada' -e^.Mme Ph. Roy, le ministre d'Afghanistan" le miuist;e; du Paraguay et Mme Çaballero de Bedoya, le ministre de Guatemala, le ministre du Chili et Mme Alemparte, le ministre de Salvador, le ministre de l'Uruguay, le ministre de Lettonie, le ministre de Georgie, le ministre de Lithuanie et Mme Klimas, le président Millerand, Mme Poincaré, le ministre des finances et Mme Henry Chéron, le ministre du commerce et Mme Bonnefous, le ministre de l'agriculture et Mme Jean Hennessy, M. Bouju, préfet de la Seine; le directeur du Protocole et Mme P. de Fouquières, général et Mme Lasson, M. Lemarchand, président du conseil municipal de Paris; marquise de Castellane, duc et duchesse de Premio Rea!, comtesse Guy de La Rochefoucauld, le secrétaire de la légation de Roumanie, le Père de La Bouillerie, général de Castelnau, comtesse Frarîçois de La Rochefoucauld, général Détroyat, comtesse Xavier de La Rochefoucauld, colonel et Mme Martholo, M. et Aime Maurice Quentin, comtesse d'Harcourt, comtesse Jean de Castellane, comtesse de France, comtesse de Menthon, comte et comtesse de Roehambeau, M. Charlier, baronne de Senevas, M. Boscarelli, conseiller de l'ambassade d'Italie; vicomte et vicomtesse 0. de Rougé, duchesse de Morfiy, M. et Mme Charles de Beaumarchais, Mme SeWins,' colonel de Ménil, baron et baronne de Lassus, M. et Mme Serbat, comte et comtesse Robert '.LBudety duchesse ids LaTrétnoïWev marquis et marquise de Dampierre,! marquise de Rochemonteix, l'abbé Flynn; curé de 'la Madeleine; M. et Mme Georges Piot, l'abbé iQuérin-, Mme L. de Sinçay, docteur et Mme Laval, marquise Doria, M. et Mme F. de Sinçay, M. P. de La Raudiëre, M. A.-K. Frouhas, attaché à la légation de, Perse; M. et Mme de Osse, marquise d'Ornano, M. et Mme René Pinon, marquise d'Imécourt, miss Beatty, marquis et marquise de Moustiér, baron et baronne de Fontenay, comtesse de Blacas, comte Jean de Leusse, sénateur du Bas-Rhin; M. et Mme Corregioni d'Orelli, M. Georges Mathan, Mlle de Boubé de Gramont, comte et comtesse d'Oilliamson, comtesse Michel de Pierredon, Mlle Falcoyano, comte de Germiny, colonel, Mme et Mlle Cuertas, M. et Mme Yves Bazin de jessey, Mme de Lapisse, comtesse Joseph de Bremond d'Ars, Mme Demachy, comtesse Chandon-Moët, comtesse de Montgermont, le R. P. supérieur général et assistant des Lazaristes. le conseiller de légaticn de Lettonie,

M. et Mme R. de Courcel, prince de Leca Colonna, comte et comtesse Alex. Celier, Mme H. Bowen, colonel Parent du Chatelet, M. et Mme Paul Cottin, M. Edouard Girod de l'Ain, M. Anatole Manceau, sénateur; M. Pierre Lyautey, le conseiller de l'ambassade d'Ar- gentine et Mme L. Bemberg, le colonel Cochin, Mme Christian de La Verteville, M. Paul Fournier, de l'Institut; M. et Mme Widor, le professeur et Mlle Bazy, marquis de Caumont, Mgr Merio, comte et comtesse de Fontgalland, M. et Mme Le Bqst, M, Paul Vinson, comte de'-Montgon, comte ïài'cW et baronne d'Ornellas, M. E. de Nàiëçhe, comte Pierre Guillaume, M. Lehideux, M. A. Champetier de Ribes, comte et comtesse Pierre de Béarn, comte et comtesse OfConnor, M. et Mme Zuccoli, M. et Mme P. Lesourd, princesse de Mésagne, comtesse Robert d'Harcourt, M. et Mme Henry Reverdy, marquis du Crozet, Mme de Esteban, M. Paul Clément, comte André d'Humières, M. et Mme Ch. Flory, M. Maurice Papillon, Mme Gustave Bertin, comte et comtesse J. de Montbron, comte Albert de Beauregard, comte et comtesse Allart du Chollet, M. Raymond Durand-Fardel, le premier secrétaire de la légation du Pérou et Mme M. Ortiz de Zevallos M. Paul Gay, ancien député; comtesse de Montbron douairière, M. Poussielgue, le secrétaire de la légation de Danemark et Mme Borch, comte et comtesse Frémy, M. et Mme Victor de Cléry, comte et comtesse de Lapérouse, vicomte F. de Lapérouse, Mlle Morel de Teincey, dame d'honneur de S. A. R. Mme la Duchesse de Vendôme Mme de Laboulaye, comte et comtesse A. de Pontac, le conseiller municipal de Paris et Mme Victor Bucaille, marquise de Bonneval, amirale Wedel, Mme M. Rondet-Saint, Mlle de La Jaille, comte Jean de Castellane, Mme Paul Pugliesi-Conti, comte et comtesse Pal7luat de Besset, Mgrjle La Serre, commandant et Mme Lhopital, M. N.-B. Cantacuzène, ministre plénipotentiaire; Mme A. Dutey-Harispe, comte, comtesse et Mlle de Diesbach de Belleroche, colonel comte et comtesse Keller, M. et Mme Ternaux-Compans, M., Mme et Mlle Sevène, M. Henry Bordeaux, de.l'Académie française; M. et Mme de Quenelle, duc de Montmorency, vicomte de Roux, comte et comtesse de L'Espinois, M. F. Engerand, député;_ M. R. de Laboulaye, vicomte et vicomtesse Obert de Thieusies, comtesse Ed. de Warren, vicomtesse de Melun, comte et comtesse de Menthon, vicomtesse A. de Tarragon, comte et comtesse B. de Menthon, le sénateur et Mme Monsservin, commandant et Mme Gonnet, vicomte et vicomtesse de Jessaint, le Père Lhande, baton G. de Grandmaison, général comte de Bellaigue, vicomte de Beaupré, marquise de Manville-Bianchi douairière, prince Bianchi di Medicis, Mme Louis Singer, M. Le Cour-Grandmaison, député; M. Léon Guillet, de l'Institut; prince P. Wolkonski, colonel et Mme Féquant, M. et Mme Frangulis, prince Dominique Radziwill, j'abbé Em. Boyveau, comte et comtesse de Montenon, comte Lagarde, ministre plénipotentiaire M. René Bazin, M. L. Berteaux, comtesse de Gonçalves Pereira, comte A. d'Esparbès, général et Mme Le Rond, comte et comtesse de Fontgalland, comte et comtesse de Guébriant, marquis et marquise Dadvisard, comte et comtesse Guy

de Dampierre, Mme L. de L'Eglise, comte etcomtesse Pierre de Cossé-Brissae, comté, et, comtesse de Manneville, M. et Mme ProuvéDrouot, comte et comtesse de Villeneuve. Flayosç, Mlle L. de Bremond d'Ars, M. Piquemal, comtesse de Nettancourt-Vaubecourt, M. et Mme de Fontenay, M. et Mme Jean Balsan, baron Coche de La Ferté, comte, de. Rochefort, comtesse L. de Blois, Mlle da Silva; Ramos, M. et Mme Girod de l'Ain, comte et comtesse de Rostang, M. et Mme F. Laudet,. prince de Leça Colonna, çomtesse de Gala.rc}Béarn, comtesse Vigier, comte de Beaumont, M, et Mme de Boislisle, baron et baronne de Vitrolles; M. de Bernard, Mme Yêsnitch, comtesse Jean dg Montebello, oornt;s,se.J. de Vallombrosa, comtesse 'H. de Reinaeh-Fqussemagne, commandant Henry Montureux, Ros-, sôlato bey et Mme Rossolato, le conseiller de. la légation de Finlande et Mme Numelin, Mlle Girod de l'Ain, vicomtesse de Buysieulx, M. de Robien, vicomtesse Henry de Sars, Mme P. Boivin-Champeaux, Mme V. de Wolmar, M. et Mme de Boislisle, M. Robert de Billy, M. et Mme Louis Bénard, M. et Mme F. Dussaud, M. et Mme de Castella, le Père Choquer, directeur des Missions diocésaines à Paris; Mme Henry Cochin, comtesse H. de Seilhac, comte et comtesse de La Redorte, Mme Emile Moreau, comte Lefèvre-Dibon, comtesse de Las Cases, duc de Morny, marquise de Bonneval, née Albuféra; marquise de Modène, comte et comtesse Becci, M. et Mme PierreDupuy, comte Cornudet, comte et comtesse René Lestre, baron Girod de l'Ain, comte de Rougé, marquise de Fondeville,. Mme de Virel, M. et Mme A. de Laboulaye, Mme Dansette, le conseiller de l'ambassade de Pologne et Mme Frankowska, M. et Mme H. Dansette, M. et Mme Geoffroy de Grandmaison, Mme Delamarre, comte et comtesse Bruneel, comtesse de Rougé, comte et comtesse de France de Tersant, le sénateur et Mme Lefebvre du Prey, l'abbé Loutil, M. Henri Béraud, Mme J. Saint, vicomte et vicomtesse de Froissard. Broissia, baron et baronne Jean de Beauregard, comte et comtesse G. Meunier du Hous-: soy, général Boigues, le Père da La Chapelle, M. A. Gilbert, ministre plénipotentiaire, et Mme A. Gilbert; Mgr Diey, comte et comtesse de feis, Mme A. Mithouard, marquis de Migré, Mme et Mlle Matos, comtesse de Boishue, né$ >Gpohin;vC3mtess,§ Desplaces, M. Albert Liou-« :vi'né,m.3rq-uise.>siie La Meussaye, M. ;Guy,d#v Saint-Rémy, marquise Gavçtti, M. Moreau de La Tour, marquis de Chambrun, député; comte Robert d'Harcourt, l'abbé de Boissieu, curé de Montrouge; comte et comtesse Michel de Pierredon, M. et Mme Jules Michel, vicomte de Montozon-Brachet, comtesse d'Harcourt, née Mun; Mme Léon Desmarais, M. François Hébrard, M. et Mme J. Denais, comte et com· tesse de Franqueville, M. et Mme Pierre, Morane, comtesse Le Tourneur d'Ison douairière, comte et comtesse Fleury, duc de La Tour-Corio, comte de Morny, comte A. de Valiombrosa, comte Fouquet de Belle-Islej M. Zimmermarin, M. Geo London, baronne de Belcastel, Mme Drouet, M. A. Boulanger, le chanoine Guenet, M. Bastin, consul général du Luxembourg; comte et comtesse "de Mori-< tholon, comte d'Hendecourt-Gontreuil, comte et comtesse P. di San Martini, M. et Mme John Car'.os Sutton, M. et Mme Piccioni.'Mme F. Foarcade, Dom Vincent Padovani, M. Vincardo Shappote, M. Francois Veuillot, le cur^ de la Trinité, l'abbé H. Courbé, etc., etc. • DANS LE MONDE

Le samedi 9 février, la comtesse d'Es-4 claibes d'Hust et la baronne de Fontenay ont donné, dans les salons de l'hôtel Maj-sstic, un. baJ pour les amies de leur nièce et fille. Parmi les invités Mme et Mlle de Chlaa poS.vska,"pi'in€ess;é ef 'Mlle d'Arenberg, duchesse et Mlles- ̃d'Ab'ra'iitè'sy comtesse et Mlle flel Cossé-Brissac, marquise et Miles Dadvisard, comtesse et Mlle de Visl-Càstel, marquise et Mlle de Lillers, comtesse de Bernis et 'Mils de Bourbon-Chalus, comtesse et Mlle d'Ollone, marquise et Mlle de Maillé, comtesse et Mlle de Vallombrosa, comtesse et Mlle de L'Aigle, M. et Mlle de Wgndel, comtesse et Mlle de Deauregard, baronne et Mlle de Lassus, marquise et Mlle de Chambray, marquise et Mlle de Marescot, comtesse et Mlles de Manneville, Mme et Mlle de Waru, comtesse et Mlle .de Montesquiou-Fezensac, marquise de Talhouët; et Mlle de Rohan, Mme et Mlle de Vienne, comtesse et Mlle de Séguier, Mme et Mlle Dutreil, comtesse et Mlle de Saint-Priest, Mme, et Mlles Gay, comtesse et Mlle de Montalembert, Mme et Mlles Gouin, Mme et Mlle du Buit, vicomtesse et Mlle de Thoisy, comtesse et Mlle de Ganay, comtesse et Mlle .de Vibraye, prince Ch. de Broglie, comte d'Armaillé, comte de Contades, comte de Chézelles, comte de Palaminy, vicomte de Pelet, comte de Talhouët, vicomte de Saint-Priest, vicomte de Truchis, comte de Virieu, comte d'Hspous, MM. de Laporte, Niel, de Langie, de Nervo, de La Chaise, de L'Estoile, de Costa de Beauregard, de Lagarde, de Blois, de Montrichard, de Cal-i mels, de La Laurencie, Morel, de Côulombiers. de Montjou, etc., etc.

DANS LES CERCLES

S. Exe. M. Alvarez ge Tokdo, ambassade- la République Argentine, a été admis comme membre permanent du Cercle de l'Union.

Ont été reçus, en date du 11 février, comme membres permanents le général Serrigny, présenté par le général marquis de Laguiche et le duc de Broglie; le marquis d'Argent, présenté par le baron de Senevas et le comte Xavier de La Rochefoucauld; M. Pierre d'Espezel, présenté par M. de Saint-André et le marquis de Luppé;. le comte Bertrand d'Aramon, présenté par le comte Stanislas de Castellane et le comte Georges de Montesquiou.

MARIAGES

Ces jours derniers a été célébré, en l'église de Lamothe (Landes), le mariage de Mlle de Laborde-Noguez, fille de M. de Laborde-Noguez et de Mme, née de Navàtlles, avec le vicomte de La Loge d'Ausson, enseigne de vaisseau, fils du comte de La Loge d'Ausson et de la comtesse, née d'Andurain de Maytie. La bénédiction nuptiale leur a été donnée par l'abbé de Lavalette-Monbrun, oncle de la mariée.

Au premier rang de l'assistance se tenait lg comte de Marcellus, représentant Monseigneur le Duc de Guise.

Les témoins de la mariée étaient: le baron de Navaiiles, son oncle, et Mlle de Laborde.Noguez, -sa tante; ceux du marié: M. d'Andurain de Maytie et le vicomte de Malartic, ses oncle.

La mariée portait une très '-jolie robe- de velours blanc que recouvrait un voile de vieux point d'Angleterre. La quête a été faite par Miles de LabordeNoguez, de La Loge d'Ausson, d'Andurain de Maytie, de Malartic, Marrast, de Lestapis, accompagnées par le sous-lieutenant de Chergé, MM. de Souhy, de Navailles, de Muret, d'Elis.sagaray et Nodon.

Un lunch assis réunissait ensuite, au châ.teau de Lamothe, la nombreuse et brillante assistance. Reconnu: comte de Marcellus, Mme de Fourcaud, baron et baronne de Navailles, Mme d'Arthez-Lassalle, Mme Pochet, M. et Mme d'Andurain de Maytie, vicomte et vicomtesse de Malartic, marquis et marquise de Castelbajac, comte et comtesse dé Navailles, M. et Mme de Muret, baron et baronne de Portal, comtesse de Malet, Mme A. d'ArthezLassalle, M. Jean d'Andurain, M. de La Noë, Mlle de Camiade, Mme Nodon, M. Brettes, Mme Hector du Poy, le colonel et Mme de Ro'quemaurel, marquise de Lajallet, M. et Mme de Roll-Montpelller, baronne Portalis, comte et comtesse de Castelbajac, baron et baronne