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Notice complète:

Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1909-11-30

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 30 novembre 1909

Description : 1909/11/30 (Numéro 11735).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5345325

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 23/04/2008

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~e~ùes fra~nç~ises et.Révues étran g éres

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DES JOURNAUX FRANÇAIS

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~~ï~s.'Petits;~ ~&hsMeurs' Htis se'nomme~t, de leur nom tout entier mais trop long. pour qu'on rimprime en tête de c.es ~ignes,:<<Ia Manécànterie des petits chanteurs ~àiia.'GrQix'de bois M. Et leur nom, fait de plu'~aieurs/'est charmant aussi de plus d'une ma'~ië'ï~.i'.La, croix-de bois, qu'ils portem sur la .]~tnne,ëst le signe de. leur. croyance et de ~rê~r pa~ de « manécante~'rie~ il vient du moyen âge. Une manéçanterie ~dit .aujourd'hui .jïlaîtrise) était alors .un 'gTOUpë d'enfants.~ de chœur, d'enfants qui chan-: tà'iënt;surtoutl& matin J Pour ce motif,'on les .appelàit.aussi <: enfants d'aube H, et l'un.et l'au'tjrejiërmes ont ùn& commune poésie. K Laveuses: 'gui,'des l'heure p]ù l'Orient se dore, chantez D ~'dit/Victor. Hugu. Longtemps avant lui, Dante ~<JejâTQa.:t:'<;jTié de plus r'd'une ligne sonore .t~urë !<ou 'rhirondélle commence sa .triste :~}~htg't'B~.}e~ ~.unTppou.se: jje -JDieu. ~o.. lÈve. ~iît~~iin~'à:pb~~ 'il, ~'aim& jEnËn,' ~cs petits' chanteurs ~)onino.uS; ;6'Hs/paTler ne sont que des ehfàBts. Des jeu'nes~ens les ont rassemblés,, se sont faits fleurs maîtres et;leurs amis. Ainsi, dans.cettecompa)gTOtie à la Mis juvénile et mélodieuse, l'âge même./çômme.Ie nom, semble évoquer l'alliance 'de la musique et du matin.. ;?.

;~Ily.a,vMtuiie fois, en l'an de grâce 1906, deux étudiants,.collégiens de la veille, qui s'appe/làiènt Pierre Martin et Charles Simon. Comme .ils avaient là passion de la musique, surtout religieuse, et celle de la charité, nour satisfaire _I'une et l'autre, ils se dévouèrent d'abord aux enfants de la maîtrise, renommée entre toutes, ~e~Saint-François-Xàvier. Mais, peu a peu, l'iodée.et'le désir leur vint de faire œuvre plus përjsonnelle et de rassembler eux-mêmes, snn de'ies'.former, des 'oix et des âmes enfantines. Uh~ea.u jour, l'un des amis accourut et~ triom.phalement, dit à l'autre « J'ai un enfant H "<t J'en ai deux lui riposta son camarade. .Trois gamins et quarante francs en caisse on pouvait commencer et l'on commença. 'Ruë.Blomet, dans le quartier~ de Vaugirard, jDji~Ioùa d'abord une espèce de cabane, qui fut, 'icomme autrefois celle d'Assise, lapoT'sM~co~a de.çës autres poseMHz. Elle tombait en .ruine./De leurs mains, les tteùx jeunes gens BniMprirent.-de la réparer. L'un se Rt couvreur '~t.Tautre peintre. Avec du carton goudronné, celui-ci bouchait les trous de la toiture celui-là i!a.(ïigeonnait en.blanc gélatineux les murailles, ;et tous les deux, en travaillant ensemble, chantaient gaiement le psaume FV~ Do?H:KMS c!?<Zz.jëcauey~ ~o?KMM, (Si le Seigneur n'a bâti la ~maison). 'Le'Seignëur fit mieux que,la bâtir il la remplit~ Les' deux jeunes apôtres s'étaient mis en ~quêtp.~ Ils allaient de porte en porte. Ni les rebuts, ni les mépris éprouvés d'aborS, ne làs- paient leur opiniâtre douceur. Peu à peu, ga~'jgnës~pa.r leur jeunesse même, par la francnise ~'etta.générosité de leurs sollicitations, les patents et les maîtres leur confièrent, de plus en ~plus.iiiombreux, les enfants et les écoliers. ",îj'hostilite,'Ià déSahce même était vaincue, et ~ë~serrùrier,v6isin renonçait à couvrir du bruit ~éxprës r.e.dbublé de sa ferraille les voix inno'cënte's qu'il commençait d'écouter.

Déjà d'autres que lui se plaisaient à les en;tendre.-Le 18 juillet i907, après moins d'un an <ïë travail, la, Manécanterie put offrir à ses pre~iersprbtecteuraraudition'de quelques motets '~Mis la. salle-dés ïêtes de l'Institut catholique. Au mois de novembre, suivant, elle faisait, dans T~glisë" Saint-Gêrmain-l'Auxerrois, ses véri-tables: débùts.dë maîtrise. A 6n de la seconde "~tmée, le nombre des ofnces déjà chantés à Paris-et hprs;de Paris s'élevait à soixante. ~-Entre temps, le petit troupeau, s'accroissant 'toujours,: avait pu trouver un bercail moins .Étroit, puis un autre, plus spacieux encore. Au/~jpur<i~hu!, rue Lecourbe, 91, un ancien hôtel, .fort simple, mais de bonne apparence, avec ttBe~Qur. plantée, d'arbres,~ és.t~Ie~ siège de.,cette œuvr~ 'quL'un de~os-. confrères, M~, Trbgan, a' .joÏÏment appelée uh K patrbhâgè harmoBieux .~n patTonage, ci, hous le montrerons tout à ~lëurje' mais. une maîtrise d'attord ,et,.tel eh~jêst-Je' signe' distinctif, une maîtrise mobile où; ~trola.nte. Pour êtrë":libre de ''se.,rendre'.partout,t; ~elle Fa. ~'attache nulle :part. 'A traversa Paris, ~à'Aravers'Ia province et la campagne, ils~ vont, ~~ës petits.chanteurs.erj'ants, pareils à des ïigu~Tés\de .vitrail, vêtus de l'aube et de l'amiet.dë ~tôilé~ blanche croix de bois est susperduë. '<Sans le savoir, ils accomplissent la parole ad-. ~miraSIe qù&~Pie X' un jour, nous a dite.: « Je ,y~ux;quë. mon peuple.prie sûr.de la beauté. )' Et ,lf est-ce pas Tuie chose touchante que,.tar .tea~nfants du peuple, le peuple apprenne a '1 'pner.ainsi. ~Dë cette beauté,, support et~ parure musicala. ~e la priè~ il y à, vous le savez; deux formes ~~a~ 'axcellence. le 'chant' grégorien et la p.olyphooié; aHa Pa~.s~na.; Lès petits, chanteurs '.?D'en.,connaissent .et n'en pratiquent pas d'au~trë. Missionnaires .ingénus et Sdèles ;de ce doû~t)le'j3éal, que de cathédrales déjà, que.d'huEiA (~es~Hses.'deFra~ce..lesjont entendus Par.ut~eHF grâce~est'Ià'!plus~6rte;ët le <! monde;" .toiëtne commence à la subir.,Je sais un K- grand thMtage" qui fut célébré dernièrement aux tMita accents <ïo leurs voix. Une Mine, artiste e~

~Ù~C~i.~M.iëutr~tCtuteS~ge~ ~~Ux~e~Ntp~ë'a~~ :3â~y uno." ~és gloires ~è'sa .patrie; Nds~pàMi~s;~ '.cëses, .hën ~contents de.' recevoir ;îës"g'entils; ~<tChàDtriIlons M,'les invitent. Mgr r~trchev~que de Paris leur disait~il y aquelquesjnois Vo-, !.tre croix est de bois, mais votre voix.est d'or. Ennn, le i" août dernier, dans un bref élogieux: et tendre qui les cohnrme et les consacre, le.~ 'Saint-Përe daignait les bénir au nom du Dieu '< ~Mx ea: ofe ïK/aK<zMM. pe?'/ec:~ ~M ~M<~e~, qui sur les, lèvres des enfants a parfait s~ louange ~i. Ils neso'Bt pas indignes du plus auguste"des témoignages. Et leurs maîtres, auxquels il s'adresse d'abord, l'ont mérité pleinement. f Gomment se pourrait-il que de.moi ceci vînt? M interrogeait le patriarche, incrédule aux promesses d'un songe. Et nous,, visitant un soir la <t psallette ainsi qu'on disait jadis, et l'école, et le patronage de la rue Lecourbe, nous nous disions' Commènt~se peut-il que de deux jeunes gens d'abord, puis d'un petit groupe qu'ils ont su réunir-, .to~t.cela~ ~tout:ce: bien et tout ce beau, sôit~vohu~'B'L'ùn'dës deux, auquel nous le demandions, nous répondit avec; simplicité, pour ses compagnons et pour lui~ même « 11 suffit de prendre une heure par .'jdùr~et qùatre'ou cinq~sôirées.~par~semaine. B ÏIs~~ prennent H, comme'ils; disent, bien davantage encore. A la classe de chant quotjidienne, à deux répétitions hebdomadaires, :ajoutez,.lè dimanche, les exécutions de~plùs en: plus-frôquentes, soità:Paris, soit en province, et songez que.poùr. tout leur enseigner, pour les diriger en~tout et partout les conduire, les petits chanteurs~n'ont que'-leurs.~ grands amis,Sans., compter ;que~cëux-ci .jusqu'à prë~ën1j~aQivënt' chanter'eux-mêmes les parties de ténor et de .basse, pour fournir l'appoint et l'appui nécessaires de'leurs voix .masculines aux autres voix, toutes enfantines encore. Le zèle et le dévouement de ces jeunes hommes ne connaît pas, du moins pour eux, de repos. Mais il assure aux enfants des vacances. A 'Noirlac, en Berry, dans une ancienne et magnifique abbaye, déserte, hélas comme tant d'autres,: la [Manécanterie "a,trouvé son asile d'été. Là, pendant six semaines, sous la garde de ceux qui ne sauraient en aucun temps les quit-. ter, ils vivent, ces petits, une vie joyeuse et saine, à demi-paysanne, liturgique à demi, et toujours chantante, soit à la chapelle, soit à l'une des paroisses d'alentour. On s'en va dans les bois répéter la messe du prochain dimanehe-.Alors le pays se fait semblable au pays où' naguère s'étaient ensuis, craignant la peste, les enfants de chœur d~Aix en Provence. Il s'appelait du joli nom de Suvacane, et les forets;mêmes y chantaient. Tant do soins, et si divers, ne sauraient, de- iineurer sans récompense. Ils sont déjà payes de retour. On m'a conté de ces gamins vingt traits de malice et d'ironie autrefois, aujourd'hui de sensibilité profonde. L'un d'eux, au moment de chanter c'était à Saint-Germain-. l'Auxerrois s'émeut et pense défaillir à la pensée que Palestrina, <t pour sûr x, est dans le ciel et va les écouter. Un autre, informé qu'un incrédule se trouve dans la foule, s'écrie '( Eh bien s'il ne se convertit pas 'en nous en-.tehaaut,;c~~ra,rare.'

Dùx du;mtiws sont dooue,s ~à:toï~tés e 'oiï

Eus du~moitis, sont doones à.toutes les~egona~

On jie leur en p~taint~'aucujâë~ 'QR .ou~ré~a. tous les souffles pùrsiëurs esprits et leurs âmes toutes grandes. Aux murs blancs de leur salle de répétition j'ai vu les photographies des chefsd'œuvre. fameux. Sur la cheminée, le.Christ d'Amiens, sublime et doux, souriait et semblait redire « Tout ceque vous~ferez à ces petits~ M Encore une fois, il n'est pas de bien que là-bas on ne leur fasse. Et ce bien, tout ce bien les suivra désormais leurs maîtres d'aujourd'hui resteront leurs amis, leurs guides, leurs conseillers de demain et de toujours.

Alors, le mot que ces jeunes gens m'avaient dit me revenait en mémoire.'Etudiants, sur le seuil au moins de leur carrière, si même ils n'y sont pas entrés déjà plus avant, le temps qu'ils prennent qu'ils se prennent, à eux, et qu'ils donnent, c'est le superflu-de leur travail mais de leur loisir, et de leur plaisir, de leur plaisir surtout, ne serait-ce pas le nécessaire ? Oh le pur, le généreux sacrifice En vérité, devant l'âge qui vient, l'âge qui s'en va, le nôtre, aurait quelque raison de rougir. Que nous étions loin, naguère, de cette ardeur parfaite, de cette foi et de cet amour Rappelezvous le jeune homme romantique « II n'avait pas vingt ans, il avait abusé et la suite. Mais voici qu'un autre jeune homme a paru, qui fait de ses vingt ans un autre usage. Je vous ai montré son œuvre, ou du moins une de ses œu.vres. Il me plaît, je l'avoue, qu'elle soit musi-' cale et qu'elle le soit toute. Elle va plus .loin' que la musique, elle monte plus haut. Mais elle a la musique pour principe et. pour base. Ici la beauté sonore et laquelle est l'ouvrière et la compagne do la charité.'

CaauUe BeUsnauo

Ce qui se passe t:A POHT!QUB

QUESTION A M. BRÏAND

On nous signale un fait tellement) surprenant, nous pourrions dire tellement scandaleux, que nous refusons d'y ajouter foi. Dans une commune qu'administre une, municipalité radicale, l'église fut détruite par le feu. '1- L'église étant assurée,'le maire se ût attribuer les sommes que paya la Compagnie d'assurances et prétendit les affecter à la création d'une école laïque.

Ce magistrat déclare que la commune, étant propriétaire de l'immeuble incendié, peuf dis- poser à sa guise du million car il s'agit d'un million qui en représente la valeur. Ge n'est pas tout à fait exact. LesLcommunes sont considérées comme des mineures placéES sous la tutelle de l'Etat. L'Etat approuve ou rejette leurs budgets il autorise ou. interdit les dépenses quelles veulent engager et les .constructions qu'elles projettent. L Le maire du bourg dont.i~s'agit ne peut donc consacrer à la création d'une 'école l'argent versé par la Compagnie d'assurances 'que si l'Etatry consent. Nous demandons a. M.' Briand si,, pour ce..vi- rement, il; a/été.cpnsulté. La commune,, propriétaire incontestée d6 l'immeuble où l'on célèbre les. cérémonies religieuses, a-t-elle le -droit d'en changer arbitrairement la destination, et les chrétiens, qui parti- cipént aux dépenses publiques,,ne sônt-ils,pasfondés à exiger qu'on leur restitue l'église, qui leur appartient tout au moins pour une part ? Ennn, ?. Briand accepte-t-iMa responsabi- lité de cette expropriation partielle du culte ça- 'tholique ? j

Il a ro' 'is solènnell 'méüi e di r

II a promis, solennellement, et à diverses re"J

prises, qu'il ne fermerait pas, qu'il ne laisserait pas fermer les églises. Or, n'est-Ge: pas, 'd'une façon sournoise, fermer une église que de la ifàire payer~ar une Compagnie'd'assurances et refuser de la reconstruire ?~ v. Quand M.' Briand promit de laisser-Is jouissance des églises au cle-rgé catholique, il' éta.it rapporteur de' commission de~séparation. Devons-nous croire que, ~pour s'adapter sa fonction gouvernementale, il~ui Taut 'démentir ses prppî'es .déclarations ? L., DESMOUUNS;

~iBM'~ .MgE/AMETTË N~IRA MS, A LA BOURSE'BU.TR~VÂIL~ Nous sommes autorisés à/annoncer gué'Mgr Amette ne se Tendra pas à rmvitati6n''de M. Bousquet d'aller prendre la parole à ~la réunion corporative des,boulangers a la Bourse du travail. Y' "f. Le lieu où se tient cette réunion, nous a-t-on.~ dit.à l'archevêché, le nom des orateurs qui s'y' feront entendre, et notamment celui de l'anar- chiste Sébastien Faure, le public qui y assistera' ne fionnent~pas à l'archevêque de Paris les con- dirions de sécurité, dOjCalme'et de dignité qu'il ` est en droit d'exiger, .et lui créent'le'deyoir de ne pas risquer de compromettre, l'autorité de son caractère épiseopal danë une aventure douteuse. f Toutefois, la 'lettre de M: Bousquet étant conçue en des termes en somme très convenables,'il est possible que,, par simple courtoisie, Mgr Amette y fasse:une réponse aujourd'hui, le prélat ayant consacré toute sa journée d'hier à termine~sa visite pastorale à Levallois-~Perret. 'Ajoutons, puisque nous parlons de l'archevêché, qu'hier après-midi, on n'y avaibpas encore., reçu l'assignation que doivent envoyer à Mgr~ '1 Amette les auteurs des manuels condamnés par la lettre'collective des évoques. t be préfet de~a Seine,; déférant a une récente invitation du Conseil municipal, avait:convbqué hier la commission ~tes sites et monuments, anh de provoquer le classement des jardins de l'hôtel.Birpn.

La commission, dont font partie.MM.~uentin-rBauchari etiManquez, .~conseillers Héneràux ;~r; 'iiËh~Bëaûquiër{''d6pù~'t'Heti~~ néral des ponts et chaussées Détaille et Wil-lëtte. André Hallays et Auge de Lassus, était' présidée par M. Armand Bernard, secrétaire général, représentant le préfet de la Seine. ~près examen de la question, ïa commission; s'est prononcée, à l'unanimité, en faveur du; classement des jardins et a invité l'administra-~ tion à poursuivre cette mesure en toute dili-~ gence. r Cette décision, contrairement à ce. que l'on~ peut croire, n'oblige pas'les propriétaires, mais .elle donnera la Ville la faculté d'user de la Io~ de 1841 sur les expropriations. C'est là une pro-} cédurelongue et coûteuse, et il serait plus sim-~ pie de s'entendre avec les propriétaires eux-[! mêmes, puisqu'ils sont disposés à céder leur: domaine. En somme, après comme avant la décisipir de la commission des sites, la question se pose" ainsi

Veut-on et peut-on acheter ?

Pour la résoudre, on compte beaucoup sur les négociations déjà entamées par le préfet de là Seine avec les représentants de l'Etat et Ton disait hier,' au Conseil municipal, qu'il serait: appelé à bref délai, oeut-être aujourd'hui même, auprès de M. Briand, ann de sceller dé6-; nitivement un accord ardemment souhaité par tous les Parisiens. Le mois de décembre, sera mouillé si nous en~ croyons le .Vieux-Major, dont voici, les prohos~ tics P~ns,~nove'~br~9~ MoBi tHer Bomino, f.. s Voici mes 'pronostics pour décembre 1909 1" au 13, journées de pluie avec, réchauffement de ta température 14 au 19, cessation des pluies, période de brouillards et bruines avec grande variation de température 20 au 22, petites averses 23 au. 31, sec et ~roid, couvert ou nuageux, grand refroidissement..

Votre dévoué,

` FeViEUX.MAMR~ Nous avons parié de l'exposition, organisée à l'Ecole des beaux-arts, des œuvres achetées ou commandées par l'Etat en 1909, mais il nous faut citer encore quelques-unes de ces oeuvres, nbtammex;t la ya~'e ~e ca/c, cette toile exquisa de M. Abel Truchet à qui l'Etat a encore acheté une FMe </e Fc~~e et, cette fois, pour le Luxembourg, une délicieuse-lithographie en couleurs, la P~ace C~eA~.

A M. Oger, un des plus étonnants animaliers de l'époque,- artiste consommé dans d'autres genres, FEtat a acheté un CAa< <7e ~a~qui est une merveille, dessin rehaussé de couleurs. Et encore, l'B~o?-, de M. Auburtin le Fcm, de M. Barrau jE'e< <f.4~o:?Mte, de M. Binet la .Ba<<MMe <<eToM?'eo<!?! de M. Bdutigny SM?' Bay~ca~e, do M. Chooarne-Moreau une Wa<M?'e Mo~e, de Mlle Gervex Bp:so<fe ~M M~e ~e G'MnMKe,deM. Orange; des F~eMM, admirablement traitées, .de.'M.. Jean. PësTté le SeH~ex ëe ~a SoMMe, da M. J.-J. Rousseau~ et de5F<:eu~deMIIéAbbema. À M. Clairin, rEtat a acheté une superbe aquarelle, CM~e~e a~~c~, pour lemusée~du Luxembourg. à 'M. Desmoulins, 'une Selle;' gravure, portrait de M. Frédéric Mistral.; à~ 1\ Guirand de Scëvôla, une ravissante gravure*' ~n couleurs <SM)' 7s rëTra~e un BoMg:Me< ~e! ?~o~eMM, à Mlle Sée, et de belles gravures à' M. Oudart., j ::A la sculpture, il faut signaler les œuvres de MM. Rodin~Boucher, AIIouard, Càrrièip, Gharpentier, Convers, .Gasc, Gordonnier, Injalbert,' Gréber, Hugues, Lardie, Maillard, Marqueste,' Michelet, Vatenhe, Vital-Cornu et le classique' et~merveilleùx'.BsccAMy en bronze, de Rt. Anto-: nm Cariés. v Hier, pour la première fois, on a commencé: à appliquer le nouveau système, dont nous; avons parlé, pour faciliter la circulation dans nos rues si encombrées. Des quatre heures, du: soir, des municipaux à cheval ont.pris.possession de la place de l'Opéra et de ses. alentours. Rue de la Paix, dans le milieu de la chaussée, tous les cent mètres, se tenait un municipal à cheval, immobile sur les étriers, alternant avec 'des gardiens de la paix et faisant prendrp strictement leur droite aux innombrables véhicules. Devant les magasins, on ne tolérait, que deux nies d'équipages, et, il faut l'avouer, la circulation semblait plus~ facile. Allons-nous donc, grâce à ce système, voir Paris devenir praticable? Espérons-le!

'/00+

Une dépêche dé Londres annonce que l'Amirauté anglaise va mettre en chantier, à.Devpn-. port, un nouveau cuirassé qui sera le plus puis-~ sant des cuirassés construits jusqu'à ce jour il' 'portera le nom bien approprié de LMM et aura un déplacement de 26,000 tonnes: Comme'hous voilà' 'déjà loin du fameux~ D7'ea<~oM~, dont le lancement, en 1906, il. y a trois ans.à.peine, fut un événement partie -.culiêremënt'&ensatipnhel Et le Dye~M.oM~ ne~ tiéplaçait~que 18,800 tonnes !GommenDus:voiIà~ :.loin, surtout, des superbes cuirassés anglais dei .la période de 1894-1896, le ,7Mp~, le M~ë~~c,~ le ï~e~o~MM, le Ma~~ce~, qui:n'avaient quë~ < ~15,000 tonnes de déplacement, un peu plus. de' ;la moitié du'Lzo?! que les chantiers Devon-K ~portvontconstruire! :f .Bien que l'exposition soit particulièr& au~ ,j6.urd'hui à.là galerie Georges~Petit, il: y aura certainement foule pour admirer'la coHëction~ de; M.~ A. 'Polovtsoif. Le grand amateur'avait. j'euni de trop Ï)eHês œuvres, des œuvres trop .finement choisies, pour que-leur dispersion, ne soit'pas l'occasion d'un très: vif mouvement de:; -curiosité. Le GaM~pM a dit hier, par le détail~ quel'art- délicieux servàit'de cadre "à~'un des' plus riches é&rinsqm.se puisse rencontrer. Rap-~ pelons que la yente. occupera .les vacat.ions des 2, 3.ët-i4.déc&mbre, sous la direction dé'.M'Lair~' .Dubréuil. assisté.~es experts Falkenb~'g, Rob. -.Liozéler,- Georges Petit, ~TPàulme et Lasquin. -Demain~~xDosttio~~r.~ouMi~ue.

.4!

~ë~~Ë~âm~Ms~ .~à~asins~~e~ Vibërt, ~33,' rue' du 4-SeptembMj~etdans leur splendide succursale; i70, bou-; -lëvard Haussmann., angle de .la rue de Cour~ .celles,.où l'on trouve le plus beau choix de vas-~ ques en porcelaine de Chine,. de pieds supports en bois sculpte, de paravents brodés, de dos de' pianos en broderie à la maiïi du plus joli effet et'de mille curiosités anciennes de l'art chinois et-japonais.- M TRAVERS LES L7MES

Là-si intéressante collection desA?MM~e.s <~M T~e e< <~e /a MMs~Me, par notre distingué é confrère M. Edmond Stoullig, vient de.s'aug~ menter d'un'nouveau volume. C'est le trentequatrième de ce répertoire si complet rédigé au jour le joùr,:a.vec un rare esprit de justice de toutes les premières représentations, des reptises, des, débuts, "des rentrées d'artistes, de tout ce qui touche, en un mot, au théâtre et à la musique. Les lecteurs du Ga~OM ont eu la primeur de ta préface,intitulée « Le cinquième, acte est mort et signée Maurice Donnay, de l'Acadëmie'frànça.ise. '~A De TVoMueMe~ ~eM/e~ ë~ c6m<a Va~M~H E~er/MB~ /emMze paraissent à la librairie Pion. Dans cette publication, qui complète lea Me?MOM'M la Coyye~pon~aHce mis au .jour par -,M. Ernest Daudet, on trouvera de-nouveaux et piquants détails sur la Co~ur moscovite, sur la ~e des'émigrés en Russie et en Pologne, où "Estërhazy eut la joie de se rencontrer avec les .courtisans de Versailles,.victimes comme lui de

~RévG~uttQn.

~M~~

Bizarrerie de la langue: :`

Exécuter une st&tue, c'esHa faire .exécuter un homme, c'est le défaire! UD Domina

On Domine

Le roi Manuel à Paris

TROStÊME JOURNÉE

Dorn\ManueI a consacré toute la'matinée d'hier à de longues promenades dans Paris. Parti en automobile de l'hôtel Bristol, avec le comte de Souza-Roza et quelques membres de sa suite, le Roi a traversé la rue de la Paix et une partie des grands boulevards, puis'l'automobile' royale s'est engagée' dans la rue Lafayette,.dont. elle a parcouru la plus grande ''partie. Par moments, le souverain faisait arre'.ter sa. voiture et, mettant pied a terre, il pénê,-trait. dans un.magasin dont la devanture atti-rait son attention. A la fin, le Roi renvoya son auto. et marcha pendant plus d'une heure,' heu'Teux.et content de pouvoir faire comme tout le .'monde, se frayer un passage à travers la foule, ~assister au .mouvement parisien et prendre ses ~ca~tiQ~p6ù~~n6~as,~ ~és ~q- tomobiles, les tramways-ct ~és.VGitm'es. Le Roi visita ~unsi ~piusiéur~magasins rue Lafayette, rue de la Paix et rue Royale et nt d'importantes emplettes Au cours de ses visites, le Roi s'est' rendu -chez Gagneau, le grand tabricant de bronzes 'très connu, où il a fait plusieurs achats. Le roi Manuel, rentré à l'hôtel Bristol a midi et demi, s'est mis a, table vingt minutes après. Les invités de Sa Majesté étaient M. Pichon, ministre des affaires étrangères M. SaintRené Taillandier, ministre de France, à Lisbonne M. MbIIard, directeur du protocole ;Ie comte de Souza-Roza;, M. Barthéleme'n Ferreira, conseiller à la légation de-Portugal M. Quintella de Sampayo, premier secrétaire le colonel Schiumberger et les personnes de sa suite, <n tout quatorze convives.

.Voici le menu

` Œufs S la d'Orléans

Truites au bleu

Noisettes de veau à ta. proven~alQ

Pommes coquille

Poussins grand'mère

Salade

Croûte aux ïruits

iDessert

'A! l'issue du repas. Sa Majesté s'es~ entretenue pendant quelques minutes avec sea invites. A Versailles

Le Roi, après avoir reçu la visite ~de M. De~cassé, qui est resté un quart d'heure auprès de Sa Majesté, a quitté .l'hôtel Bristol,.par, un 'temps brumeux et maussade, à deux heures vingt, pour se rendre à Versailles. II. était accompagné du colonel .Schiumberger et de deux membres de sa suite. L'automobile royale a suivi la rue de Rivoli, la place de la Concorde, les,Champs-Elysées, le bois de Boulogne et a traversé le parc de SaintCloud et Ville-d'Avray. Il était trois heures dix quand le Roi arrivait devant le château. Il a été reçu dans la cour de marbre par M. DujardinBeaumetz, sous-secrétaire d'Etat aux beauxarts MM. Autrand, préfet de Seine-et-Oise Baillet-Revirou, niaire de Versailles, entouré de ses adjoints M. HomdIIe, directeur général des musées nationaux M. do Noihac, conservateur du'château, et. les membres de la conservation, M. ,Lambert,. architecte des domaines, et M. Hennion, directeur de la Sûreté. Les gardiens étaient en grande tenue. M. BailIet-Revirou a souhaité la bienvenue au souverain au nom de la ville de Versailles, et la visite du châ- teau a immédiatement commencé. 1 Le Roi à monté d'un, pas alerte l'escalier do marbre et pénétré dans la.Galerie des Batailles. La visité a continué, par. les grands appartements du Roi et les petits appartements de Marie-Antoinette, où le cortège s'est arrêté. M. de Noihac a.montré au souverain la fameuse pendule à musique de Majie-Antoinette, récem- ment réparée sur ics ordres de l'administrateur \'des beaux-arts par un arrière-petit-fUs du cons- -trucieur ét.pour la, première fois depuis plus j Yde cent ans,~à pendule,, mise en mouvement à :'i ~occasion delà visite royale, a fait entendre; un j 'certain nombre de vieux airs français, tels.qùe '-('Yïi pleut, il pleut, bergère, ramène tes mou~toQS,' H la f Ga.votted'Armide etc. Dom'Ma~'SuëÏ a été émerveillé 'de cette surprise. HsembTait connaître Tair de la bergère. Le chahtet~pn à Lisbonne ? Ha beaucoup admiré les tapisseries dans les grands appartements du Roï. On,a visite.ensuit~.la' chambre à coucher ~e~Louis XIV et la-chapelle, à l'entrée de làquelle le.jeune souverain s~est recueilli pendant quelques instants. Bans les salles de,.Crimêe et d'Algérie,.le Roi s'est particulièremenÈintéressé aux tableaux, des'b&tailles auxquelles- ont, pris part~et où sont représentés ses grands oncles', le duc de Nemours: le dùc'd'Aùmale, le prince de 'Jôihvillee~son-arrière-grand-père le duc d'Or'lêans. Gji s'est'rendu.ensuito au Petit Trianon, dont la visite,, vu'rheure'tardive, n'a duré que quelques minutes. Âpres un tour rapide au Hameau, le Roi a pris-congé, dans la. cour du Petit Tnanon, du-soùs-secrétan'e d'Etat et des pers.dnnes présentes en .leur exprimajtt ses vifs remerciements pour cette visite qui: l'a intéressé au plus haut point et qu'il compte.continuer à son prochain voyage.à Paris. Pendant cette'.coùrte visite au château de Versailles, 'Dom Manuel arfait preuve ..de coa.naissances artistiques et d'une -érudition qui ont surpris et émerveillé teus ces ~mesSi.eurs.

:A~du~u~n!p~iïé~e~~Hi~-ï~ me chemin' pour revenir a Pàhs.~ Avant dë'jeh" trer a l'hôtel Bristol, le Roi a rendu à, M. Emile Loubet, rue Diante, la visite eue'l'ancien président de .la. république lui avait' faite la veille. Réception a l'Rotel~ A six heures, Sa Majestés reçu etr audience particulière, à l'hôte] Bristol, Mme la duchesse d'Uzès, née Mortemart, le prince Murât, la marquise d'Harcourt, le comte et la comtesse d'HaussonviIIe, le marquis et la marquise de Lasteyrie, le vicomte d'Arjuzon, M. de Bâche-; .racht, ministre de Russie en Suisse.; le baron Louis de La Grange, le baron et la baronne de Fonscolombe, le comte J. Clary, M..et Mme Lambert de Sainte-Croix, M. Foumier-Sarlovèze, M. Ribot, la baronne Henri de Rothschild, le ministre de Norvège, M. A. du Bos, comtesse d'Oilliamson, le comte de Franqueville. le ministre de France a Lisbonne et Mme Saint-René Taillandier, M. Charles Rouvier, ancien ministre à Lisbonne, et Mme Rouvier le docteur F. Bûissier..

La duchesse de La Rochefoucauld, empêchée par son grand deuil, s'est excusée de ne pas pouvoir assister à cette réception.

Malgré son désir, le .souverain n'a pas pu, à son grand regret, faute de temps, visiter dans la matinée d'hier la galerie Georges Petit, rue de Sèze, où il y a une magni&qùe exposition de !a collection PolovtsoS et où il était'attendu. Un grand service d'ordre y était organise en prévision de cette visite royale.

Le Roi a dîné à l'hôtel-Bristol, av~c le comte de Souza-Roza et les personnes de sa suite. Voici le menu ? ~ns&mmô~ëùe~B~ {: '~Ti!ëts~ë'Lartuë~an~~ Tournedos à la Valençay Catiles à !a piémontaïs~

Poulardes rotiea

Salade

FonSs t!'artichaut3 ù, l'ivoira

Pêches Melba

Pâtisserie

Fruits

Roi à ,'neuf

Go matin, le Roi partira a neuf heures douze

de la gare des Invalides, par train spécial, avec: le président de la république, pour aller à Rambouillet, où une grande chasse est organisée en son honneur. Sa Majesté passera la soirée au Théâtre-Français, dans la loge présidentielle.

La soirée à l'Opéra

En dépit de l'incident Pataud, que nous racontons ailleurs et' dont le public ne s'est heureusement pas aperçu, la représentation de FaM~, affichée sur la demande expresse) du Roi et qu'il honorait de sa présence, a été particulièrement brillante.

Lorsque le jeune souverain, en habit noir, un œillet blanc à la boutonnière, a fait son entrée dans l'avant-scène du président de'la république, accompagné de sa suite et du colonel Schiumberger en. uniforme, ia salle; ar-, cmcomble, onrait un coup d'œil superbe et d'une élégance extrême.

Aperçu ~dahs les logeas et aux fauteuils: S,-À.. (R.Jlo Dlic,aë 'Sparte,, IJE..AÂ'. Rp. ~e.Pjunce e{..]aPri~cesse~Geprges d.eGre;ce,-marquJ~: ~dëj Muni, -prince- ë~i-mcesserBh'oh-dé-Gourlânde,* 'le ministre- de. Norvège; ~comtesse Gyidëns~pe,! -M]ï!e Isëghait, ~e ni]n'istre.dè Norvège et baronne e .de Wedel, comtesse Tyszkiewicz, comtesse'Nostitz, princesse Gérard de Luein~e, baron, baronne et MUe de Fonscolombe, ~narquise de Mun, Mme Forges, comtesse G. Chandon de BriaiMes, com-; tesse J. de Segonzac,Mme de Yturbe, comtesse R. de Fitz-James, baron et baronne de Watdner, marquise' du TiUet, comtesse L. de .Gonta.ut, vicomtesse Vigier, comtesse de Castëja, M. et Mme Fourmer-Sarloveze, duc et duchesse de Guicha, comte J. de Go~taut, comte de.Lorencez,comte de Sinety,comte de Gabrjac, marquis de La. Torre, M. André de Fouquiè~ res, comte Sata, grince C. Radxiwi! comte de Reilhac, vicomte d'Arjuzon, etc.

MM. Messager et Broussan, suivis 'de MM. Soulaine et Gobion, avaient reçu le Roi au bas du grand escalier et l'avaient processionnellement conduit jusqu'à sa loge. Dès qu'il parut, la salle tout entière se le-v'a et fit à Manuel II une chaleureuse ovation;

Le Roi écouta avec la plus grande attention et un visible plaisir la. délicieuse œuvre de 'Gounod il donna à plusieurs reprises le signal des applaudissements. L'interprétation était d'ailleurs de premier ordre

II importe de féliciter tout particulièrement Mlle Hatto, exquise dans le rôle de Marguerite Mlle Courbières, charmante" dans le rôle de Siébel, et Mlle Goulancourt;M.Muratore, qui a un de ses meilleurs rôles dans celui du docteur Faust M. Delmas, Méphistophelès de grande allure MM. Dangès et Cerdan. Le divertissement fut d'autant plus fêté que c'était Mlle Zambelli, la délicieuse étoile, qui en dansait le principal rôle Mlle Aida Boni, la gracieuse première danseuse, interprétait celui de Cléopâtre, et Mlle Urban dansa celui de Phryné.

Le retour du Roi à l'hôtel Bristol s'est effectué sans incident.

C. Chryssaphidès

F/cc-~fM y~/s/M GROSSE ËMOnON A L'OPÉRA Jouera~t~on jF'etMt aux chandelles ?

Pataud Ïe vrai roi de Parla

Son u~matum accepte, oFaustDestyouêâ/'éyectrMë et Pataud s'en va raconter son irfpntpha fue MoufMaM, cf.' M. Jaufés et

~'aud)'to;re ~'acefament

Messieurs, !e Ro!

iDe sa voix sonore, M. Atexandre, t'a!mabîe inspecteur, gênerai de l'Opéra, qui depuis un long moment guettait au seuit du péristyle l'arrivée de l'équipage royal, venait d'apprendre aux deux directeurs, par cette formule brève mais éloquente, que le moment était venu de se Tendre au-devant de S. M. Dom Manuel H, et déjà MM. Messager et Broussan se précipitaient; lorsque deux messieurs correctement vêtus de noir et porteurs d'un grand pli officiel se prêsentërent à la porte des cou'isses. .i Nous désirerions remettre cette lettre à MM. Mes- sager et Broussan, dêelarerent-iis. Mais. i l –~C'est urgent, c'est de !a pan ~RoL v Du Roi?

Du Roi do l'Electricité. Un mouvement de siupeur-st d'eïfroi s'était, en entendant ce nom redouté, manifeste parmi les'huissiers. Attendez au moins, risquèrent-its, que !estHrecteufS soient revenus ils reçoivent justement le Roi. Que! Ttoi? De Portugal, parbleu 1

Soit. Nous attendrons. Quelques instants après, MM. Messager et Broussan revenaient, en effet, suivis de M. Pierre Souiaine,. le sympathique secrétaire général, et de M. Gobion, l'administrateur de l'Opéra.

On leur remet aussitôt la missive royale.

–E!Ie est forte ceUe-Ia! s'écrie M. Messager, après en avoir pris rapidement connaissance; M. Pataud me signifie qu'il va éteindre l'électricité sur l'heure, si nous n'accordons ~pas immédiatement aux électriciens les mêmes bënéSees qu'aux machinistes!

Puis, se tournant vers tes deux hommes en noir À!ors, vous êtes les émissaires de M. Pataud? –Parfaitement..

Je préférerais parier à lui-même. Rien de plus tacite il est au café d'en face. .–Qu'il vienne donc!. Les émissaires disparaissent aussitôt. L'émoi est à son combte. Jouera-t-on Fott~ aux ehandeHes?

Donner un tel spectacle a notre hôte royal, c'est impossible !'dëe)arent les directeurs. '1 La nouvelle de l'incident.:s'est rapidement répandue. 1 a travers les coutisses. Artistes et danseuses accaorent. Ënnn, au bout de dix mmutes dix .minutes quiipa~ J. Taissent dix siècles!– tjngran~monvëment'se produit; D~ fond des couiisses on voit s'avancer .un homme trapue

.u/vI~e:,rond-o!'Bê:une~t)e!r~ l'peit~roniquë," Suivi du commissaire de police, d'un ~as~ tent et mesuré, il descend-ta~seene derrière )es portatits; tandis; que ;s~él& ventres-premiers accents ;,dë' l'adprable eayatinej «Laisse-moi contempter~pn, visage car~t représentation'continue. .}

Et voici.le dialogue qui s'engage entre tés. direeteuM

et lui –-Monsieur Pataud? ` Le citoyen Pataud )m-même.' 'T.~ –Que désirez-vous?' Que vous vous engagiez à donner aux. eSectrieieas une augmentation comme cette que vous avez été. obligea d'aecordef aux~machinistes et aux choristes. Sans quoi, j'éteins. –'C'est la.carte forcée: –.Peu importe. J'ordonne, ils m'obéirbnt.C'est") i prendre ou à laisser. ` Mais l'éteetricitê nous est fournie ainsi quelle pefsonnet par ta maiMn Edison. Nous n'avons dohe-pM voix au chapitre.. –.Je m'en f. Edison ne veut rien savoir, c'est donc à vous que je m'adresse. –Eh bien, mon cher monsieur Pataud, puisque!M est ainsi, c'est entendu, nous vous accordons fout ce que vous voudrez –C'est dit? –'C'est dit. Parfait. Alors, }e vais donner des ordres en cona6qaenee. i S'adressant aux électriciens –Vous pouvez continuer le travail.! Sur ces mots, ]e chapeau sur l'oreille, ii s'éloigne,'td.njours suivi dû-commissaire de police de plus en p!6a déférent.

..A.

Mais quoi, direz-vous, c'est une capitulation Les directeurs de -l'Opéra doivent-iis en être' Mamea? Nous Ee te pensons pas. Victimes, comme tan~d'autfea, de.t'incroyabtë anarchie que .nous-vaut le régime socialiste et~de ta toute puissante autorité, des syadicats~victimea ~e M. Pataud,, toute. resistance'eutete..vainë, ~sb!iges~dert~ù-;IMd~~ teis~e; .spee~ei~ëe~'e&t;Tév6!adonna~-dont'Ë6us~o~e~ tiBés. C'était au moins ihùttte. En cédant, d'ailleurs, MM. Messager et Broussan'~e se spnt~pas enfages-â grand'ëhose, puisqu'ils ne'soht que locataires de l'éclairage eteetrique et que ses. empto~'a

ne sont pas à leurs gages:. !)s n'ont.par consêquènt~ua 8

laisser M. Pataud se débrouitter avec ia'Compagnie Edi-'

son. -t..

L'incident n'a donc pas eu ~de fâcheux eNet, sur'~ reriêsectation, qui fut extrêmement briDante en revanche, le nouvel exploit du Roi de Paris était sévèrement }ugé dans !e public;- !es''abonnés ne dissimulaient pas leur ex&?pftation; à quo~. M. ëhéramy répondait spirituellement et avec raison. –C'est de notre faute:.npûs sommés,trente-huit mitlions.de Français qui supportons.eette tyrannie sans sourciller. II parait, au reste, que M. Pataud, enMuragë:'par/,ce sucées, entend continuer ses petites manifestations:'demain, i) ira au Théâtre-Français, aprës'dëmain a~'Ôpert!.Comique:. Dumoins, onrafarme. Mais laissons-lui !a parole.~ En, effet, tout ià-bas, rue MouSetar.d, des~'tudi.atfta collectivistes étaient'reunis pour, l'ihauguràtion d'une nouvelle école socialiste. Le citoyen Jaurès'avait'accepta de faire la conférence d'ouverture et i! avait chdtsi'cpinme étude le récent livre des citoyens Pataud et Pouget: ëcm'< mentM!tS~bM!a,R~o<ttHpf: 'L Et le conférencier disséquait, eh l'approuvant, i'puvraso du .roi de l'électricité: et de son. collaborateur, lorsqu'un mouvement se produisit: le citoyen.Pàtaud, 'effar.ë.~t

affairé, te sourire sur tes lèvres, venait ~e~aire son ett"

~tréé:en cou è-vetit.

'trcë.encoup'd.e..vent. ,i

.G'est té" moment de savoir comment nous îeronsj!<

révolution, s'exclama-t-ii~.aous venons d'en .'faire: Mt petit essai, pas tien méchant, mais quLa~parfaifëmett

'.T&USSl.

'-r.Où.ceta~ 'è' -r

–.ATQp.ëra~ -t'

-Bu-eoup, la conférence 'dn citoyen Jatires~n~vàft~tN ~ûere aimëret..Jl'fàJlàit'quelle citoyen $'aSn!a-.$iSBt), s'expliquât. Il raconta ce qui 'venait de se passer i~t t'Opéra. Eh! oui! ajouta-t-il toujours'souriant et'1'air'sa'tiS-' fait. T4ous avons agi ainsi.' Depuis trop longtemps~ hPcrë cahier de revendications présenté a l'ingénieur compétent <tait traité avec négligence. Le moment était bien cnoi!tï pour faire accepter nos desiderata. Tous nos camarades de l'électricité étaient d'accord; aussi lorsque )e donhart'~ drë –comme premier avertissement– de couper l'eteo' tricitê du « plateau )) et que subitement la scène fut ''p~gëe dans l'obscurité, ee)a.donna à réfléchir aux direo~ teurs de t'Opéra.) Il '~j Le citoyen Pataud s'interrompit un instant, ce qui.pcrmit à ses auditeurs et au citoyen Jaurès émerveilles <M l'applaudir. D'un geste large, le roi des électriciens jm~ posa silence à l'enthousiasme de son auditoire. 'E Ce n'est pas tout, poursuivit-il.. « Vive Pataud! )) clamèrent cinq cents'voix, La scène était dans l'obscurité; il suffisait ~B'u9 ordre pour que ta salte fut e!Ie-même ptongée dansljeg ténèbres; et vous voyez l'affolement des beaux mes'! sieurs et des belles madames endiamantëes~qui s'y.pf~s~ saient. Cet ordre, je n'aurais pas hésité à le donnerh.4 Bravo, Pataud! )) H n'y a que lui! ` Mais )e n'ai pas eu à lancer cet ordre.suprcme..Lc<( directeurs de l'Opéra ont compris que toute discussion! était inutile et ont accepté toutes nos revendications. Cp qui prouve, termina le citoyen Pataud avec un gros ripe, que l'on peut toujours s'entendre: il suffit'de choisir sb<) heure, j) -Deslors, le triomphe du secrétaire générât des. e!e&' trieiens fat complet: on t'ovationna à outrance, on l'ap' plaudit; te citoyen Jaurès le congratula, et le conférencier put termiher'l'étude du livre: Comment nous'~eroM !t! RërofutfOK. M?Js son succès fut moins gros.. Tout-Pànw j

") EN BELGIQUE t

La Droite et !a questîon ~mMitàî~

t)E NOTRE CORRESPONDANT PARTÏCULIEH M. Charles ~oïa~ Bruxelles, novembre, i

La toi ïQîlitairevieBt d'être voté9pàr:~a Chambre si elle a suscité de violente? polémiques au sein de la droite, il y a~dés raisons d'es* perer que bientôt personne ne songera;plus à pevenir sur le fait accompli. Au cours de<:es;âp~es discussions qui ont mis aux prises les doux parties de majorité, j'ai évité– tout en; exprimant nettement mon opinion –~de transniettre à l'étranger ces ferments de, discorder dur M sont pas articles d'exportation. Je me'sùistiorce souvent à des commentaires brefs, illustrant'ia situatibh, et j'ai franchement applaudi la ablution gouvernementale.. Je dois à'Ia verit6'de dire que, de maints côtés, cette attitude à étc approuvée.: L. î~e GaM~OMtompte ici 'de nombreux aTniB, non seulement dans les sphères politiques, m&ia également dans la société et le monde artiste. Journal bien français, il reflëte avec joi~41a vive sympathie qui unit si étroitemenMa ~Belgique et la France. Nos lecteurs ne vivent-ils < paa un peu la vie de ceux qui .écrivent pour :eu~ II est donc naturel qu'ayant lu l'article~ de "nj9tre éminent collaborateur M. Jules~ BeE~os&s sur '< Jeune Droite M, ils y aient attàclïé'Beau' coup d'importance,~ cause de la grande ~àutp- riié personnelle cet homme politique: Ba toutes parts–~membres de la société ét~po~. ticiens on m'a représenté qu'il fallait faire entendre l'autre cloche C'était mon \seï)ti< ment personnel~ j e n'ai donc pas~ hésité à Tëëtplir ce devoir dans l'intérêt de la concorde et~ie l'avenir du parti conservateur. On comprendra que, devant une queEfipn~tj!. a suscité tant d'expressions d'opinions.divërs~s, il a été impossible d'obtenir rautoHsation~~de citer tous mes interlocuteurs je me~bbr~ donc a résumer en quelques lignes.lës ~éclations de ceux que leur haute situation ~mÈnM obligent à Tanonymat, après' quoi 'reprod~rai' les: très importantes~ ~nversat~ehs'que~j~i eues avec deux 'des personnaHtës'es~nt6~ qualifiées~ pour juger 'de 'la' situation. :~MP'sdë Sadëléër~:dépu1jé 'd'Alost, ànNë~présM la Chambre, président de ~a commis~!oa"a~ëB*


:mmtaiï~'e~M~~ p

~thpiigu~ m~bjBS .les

plusjen vue d~Ia~'Jeu~ Oroite

'A'tout seigneur, toù~honneuTh.'Vôiëi quelques.

;ots;S'uh ,d~ 'léS;up'è~,9ué

monde gouy@rhemental~~ des. ,'1 a qu'un accord patriotique oUAl'ona.~LCCepté le concours de toua~'pëur le bien;dn pa~s.Ce:,n'est ~as :la ~premiÈré fois que'1'~ppositidn se, joint ~QuyeFh~nMnt~pouriTp~dre~ûe quegiion ce.ne sera pasla.dermere.Hf allait une solution, "1~ a peinemtiré~ à'~à~ Belgique' f quanta' notre i '~parti~.U:ne.pouvài~se dérober.: V~ou~verrez' que Demain, tout s'apaisera tiOn~parIe de: dissidents -ux::ëlëetians~mais croye~ypus qu'un seul dé-

..putë. proposera -aux- eleej~~rs~e rétablissement

du tirage au sort et du remplacement ? 11 n'y; ~~s'anMph?~aé~~

~'attitude que~vpus.:ayez,adQpi.ée. d~s le .~début

-idanslë GaM~, soutenant la formule g&uver~: Siemëntale,'ëta.tt ia ~onne..t i'

~t~~

~TJnè dés plus hautes perso~n~ités du mond~ 80 la .politique êtî-ahgëre et de la diplomatie

~elg&.nonsdit:

;I1 n'y a. p&s~e moindre dointé pptir ceux qutj .cohhaissëht comme moi~ les fraités, l'higMr~ et les notes djtplamatique~ que la ~~ique~ <Z~<!M(Krune arnieesufnBa.nte pour.etnpeptte~ 'Tïu'on viùlesaneutrajité: Tous les nlinistres de~ ''araires étrangères l'ont, déclare nettement.! iVoyez'le traité de La. Hay~, :arficle 6/; Tie T)ou~ '"iippose-tiil 'pas le devoir, d~-dpfpn~re.nps fron~ '"tiere~? D'Lacrësi.tion'du royaume aGtHS~n'egt-eIl&pa~ '~nep~uyp du désir des pui~sanG~B d'éta~blir un: jB<<z<~a~c~.?;Nj6seraiMl.pas Dangereux qu'ilj fût ~op fàiMe pour jouer son -rôle' en cas da icohaits ~ses'.eûtes ? :)' Dit~ cela~res eMe~eM~ et voug fe-' ~rez .oeuvre de patriote, î~. quesfion.du j-empla-' .Cpoïe'Dt T~lëvg d'un ,autre oMre d'idée~ J6 veux; StmpleMe~.vous faire rptnapquer. qu'elle une ~grande importance morale Ne 'f~ut-il pas l'ëga-~ rl H!té:qnaBd~l s'agit de d~endre son pays ?" .J~ne saurais, trop insister sur l'impression, .<qùe;m'a laissep cette entrevue c'est avec gra-~ tvjtte et. énergie'que mon interlocuteur a appuya .aHr~ertains.mots. `. 1

Notre confrère J9..S< jourjta.l neutre trè3i '~ros tarage,disait, il.y~.unijour ou deux. ehj parlant, .de ? dp Sadeleer/qui a 'bien voulu! jtous recevoir avec sa courtoisie habituelle ..J~;Gh!imbre Éco~te,Y<;iloBtiers M.e ga~ete~r, "~a ~a.s.rhabtt~as A'abuser'~ë ta.;p8ro!e; ~t, .dansr 'i'PScwrenoe, ceMe~cî .Étant, '~autant plus ~tc&~6~

~ope -!ë' j~p~t6 d'~ost ~r~sHa~.favee ~'p.Htûjritg qua

;fQasMt,'Jaco!n!pissioh;d'j6nq).j~t&!nnitaire~ ;~e ~adeleer ~e pronë~a nettement, en faveur, ït'unq réorganisation ;dÉunIt}ve,~e.~l'aj'~e ]bas6a ~ssëntieUëm'ent sur te se~vje~ pereonneL'Quand fQ' ~SMt~qus c'e~t,'principaIen)ëBt.suj;ce~~ énte~dit, &'Ia~]té'coinniissiph que M. de'Sadëleër basa. ses! ..iCQnyictions, .,oji. comprendra 4aute ~'importance de. ~se? décitaratîons'et'reîfet~u'è~ea cnt produit dana' ,ïep.ay5. :i j~fe~ew do -de S~e/ee~ i ~8i5pùM,,anciGn pr<~5idchtde!a.Chajnbre) pr~tdent'de.Ja commisEipa mlUtaire L'article;: La VeMMe ~o~e &6~~ que. yousi ..me~cpmntuniqMëz,rme ditL. mon. interlocuteur,! et dont j'ayais lu des extraits, a causé ici un~ .moi~ënéral. .]; f,

~,11 y a vingt-cinq ans'que, comme catholi-'

JI, Il, q que, comme c~t~oh-j

f!U.e, je .fats partiei du Parlementa ~'appay/M~s'! ~:tj'ot<e, je fais partie de la droite, c'est-a-i ..dire, .de, la maj orité. catholiQue -qui a 'honneur ..ct'ccbuper le pouvoir depuis .vingt-cinq ans. Je~ jte connais ni une vieille .ni une jeune; droite :a .}g-suis catholique ayant ..tout. Je- ne:me suis' inspiré, en .toutes circonstances, que des inté-! rets de la cause catholique et des intérêts du< -ays." ;T3 .M. Jules Delajfosse 'dit~'àu début de son ar-' ~mentatton.: dette alliance, .avec les-partis 'anticatholi~[ues .et anfitnonarcîiiq~es, :n'èst 'pas .une su~ ~s6;eUe .~faitl'o~iet 'd'un pacte public. Et )q,uel:t.l'o&jët decétté' MhjûratiQn?.fne;des ~lu§.~e.do~ahle.s.,ab~rations q~'u 'nenp"pùisse"commettrë l'introduction~h Bel-' gique-Mu- service Tnilitaire obligatoire''et .uni-' ~ë~6ê~; --Jasqu~ci;Bëlgiqu~Aâva~~ à' C!6néau.sEtsi~ës Belges bntl'a;ilbuvert et l'ob~ervatipn sagace, ils .n'avaient .qu'à .regarder Chez notis pour: apprendre à s'en'gàrdër. Voici ma réponse: Nous ayons ~ous la loi. actuelle: un effectif! thoyen, en .temps dé paix, de ;42,800 -hommes J 'L'effectif de guerre est dë,i80,000 hommes. Or,~ <ces mêmes chiffres sont maintenus par la loi! .Douyelle,.que; dis-je, l'effectif de paix pouvait: être dépassé. Bous le régime 'nouveau, on.ne le~ pourra plus, ët'si l'effectif de guerre devait dé-~ passer le chiffre de i8Q;000 hommes, il serait' Mterdit de rappeler les/classes Ies:plu.s ancien-' -Bë~ compMnaht les.hommes les plus âgés, pour: ta. plupart pères de'famille. 't '«Quant au service général et obligatoire~ Ie~ gouvernement et la droite l'ont rejeté par un! vote M~KN~e, lors de~la proposition des gau-! ches réunies.: Nous sommes donc (bien loin du! -se~.vice général obligàtoire;puisqu'il nous donnerait des effectifs formidables: 400,300 à! 600,000 hommes. N Gëlui-ci admet que 1~'remplacement ne! pouvait être maintenu en temps de'guerre Uni système (Sur cette basera été .préconisé par un; grand nombre de membres de la droite mais! tous reconnaissaient qu'il impliquait le service'

personnel aussi en temps de paix.

f.~Je~ïne suis expUqué'sur ce point, dans un! Ide mes discours à la Chambre, de la façon suivante; "~Faut-il que les soldats soient'suffisamment' prépares pour- le t6mp6-de~uepre-?.Nous devons! être unanimes~ le proclamer. )' Messieurs, envoyer nos jeunes gens a l'armée,, au .moment du danggr, sans qu'ils aiQnë été; préparés au, métier, de: ,spld~t, c'est'les en-' ~ôyéra,la boucherie. ,)' N'oublipns pas les leçons dp l'histoire j ~Uand,~j~dtp,s~uS,t}~:direGHdn ~e6,Van der: J~€rsch;~de& Vanrder Nûdt,de8"'Vonck, on conduisit nos~enfants d€;s Flandres à la bataille,! '~n~-(!i''pnt~ régiet~ .pendant ~quelque temps,' "~einporté' m~më dés victoires glorieuses mais,! tfaute de préparation, d'entraînement et de co-i 9iésipn,~&pn!if~}t sacrifice de ~eu.~ vie sans~ pouvoir matnt-ëntrI'ijadépendanGe de la pairie Qu'ils avaient d'abord'conqlifse-, ? :il en fut de même lors~'des soul~vemBnts M~dant la.aéyc'lntion: frapçaise. Et si, aprÈa ~MO, ,uB g'rand~pa~'s"yot§'in: n'était-pas yenu 'gOhÉréusement a notre secours, .tl'.est. &/crain-' dr~ue no~sjie serions pas'anjo.M'd'hwJa vaU-! ianM.nation jqui,;4~c ses,sept.~i~ons d'habit ~.n~.jettSOQ- petit .terr~ire, dé~jënue, .grâce ~.u;~abe~r. de spn~uple,la,'ciqquieme~puis-. paRcëaG~homique du mondé,

;pnc, jpessi~rg, fil ~ut une"-prépaMtiot<

`> "11f~' .ieil'i-'S è..ï ,` ~?.. P~.

;puf~apte en;temps de, pai~ 1~ nous déyop~

iécartor;los;mots"et e. les~Kr~es qui.~e sontque

~ee.tfompe-rcBil pt prppIanHer:qnp.s!j.ot) veut < le ,-s~~ce. peFspnnel ,en ~mp~ guerre n faut ~e;youlon.ms.si~n temps de'p~x.

NQus ~'B.uppnmons~pas.Je. yolpotajia$~ui

Qeme.Hre .!CQ~me précédemïBp,nt. Is"ba~9 du ~ë~tement~er~me~ as= 's~p: j~6 ~ou~ux enequ.r~gemBpts. A~a~, "elle ga~fit; ~hos~qui n'e~Etait pas-pr~cédçm~eht;six< mille emplQis?de l'Etat,~oha.guë ~mi~ aux.anciéns yolontaiiMs;Cë.soht'là;d~s "Y~ntages qu'ils n'o'nt.dah@. ~aucHn -pays du :~[a~]tae.r. ~~gouyernement a.fattjuqqn~ dérmpr mo. ~itpent~une possible pour: couver' .un) système falliapt ~me aïajofit~ de ,d)-oité, personne d~ ~rm~jpriJjé~'a-pu~ar~nti à~dëgi~ r ~re~n?. En,~ffet,ilrsu:f usait .de quatre dissi' .~e~.pQurï~ej~ut échouer. ?. ~i~oyant: la hé€8ssité absolue de .r~soud~ 'upe ':g~nd§ ,qu.e?tipn .~ationale, ~e gojwernement n~a;pas votjtl!! au~der~i~~mpman!' rejfùser le con~ ~CQ~ de~ppbsi!iijpn.= pouf yote ~n prbjèj, q~avatt.ë~:adppté par 2~?ï~i!~j!~ ~g

te-.mo''ns_~ v ` dans ,S i~s .1.:

~mQihs jsmq .v~~ daps~es retiens j,Ie 1~

:~h&mbre~es gauchgjs adhér~en~t ponditipr) ~u~n ~uppr~mât' le remp~ ~!L. très ~jnajenté\de~a drQ~ptësqpe rnnani\m~ -r~copnai~ qu~il ~ttut~imposstbië ~a~tem~le~mpÏ~mept J:el::qu~xistait,. I]t ~;ay~tdonc~ cho;sirrp!]~re s~suppr~ssiot) ra-,aH;,a.le et.un .~tèmé~ata'rd qu.st~ur~t te~ ~atobs de. pa~ un yér~blë së~

~'?~ ~<?~

~fort '~erenx'jo~r~de:~u~ moS?â. T'ar-, ;meë~.c~que~anne.e'ia'ux~ et le 'service général .en temps de gu~e, H h'est_ pas douteux, a~môn gens, .\que ce dernier expédient aurait été condampé 'par l'bpinipn publique dans Ie;paysjBn.tier, ~M )' Notez. que l'on m&i~~b~mpa~ë~ni-

versitaires~ enRn /Fei~&~uëz~ ren~~ l'ar=

méë efficace,, nous;,n'mentpp~P&s le~Udget j

dè'la guerre. ~X';

n Âinsr'que je l'ai <jii~n~bre,.l~deèS évoluent, tout gouvefJnLem.ëM~ tout P~lemept

doit tenir compte d~e.~ évolui~ph. -SytCBesgi-

Yemépt\rAUemagne~rao~ HaU~nde,

tous les.-pays de~l'Eu~ti~~Rt~~RtA~e-' crête la suppression du~n~pMcë~Qnlï~'qMes-~ tion~ était mûre "en Belgique, le moment de la résoudre ~tait venu, c'est p.OHi'quoi.ai-.votë l'abolition -du.. remplacement et le projet du

.èS~

"r;r:

Apres: cette finition .si claire, nous'.ayons

Yeulu voir ~t.\ Carton de .Wiart, 1& 'députe~ la

d .t é ë,~ o~ »: 'dépuW' lE\

plu~enyue de ïa.'iKjëupe Droite )'

`p fer i~ C~nion ~dé ~~Niârt ` Í

~te~ew~ M i

,'députe ae'Bru~!e9 i

:M.Carten .de W~ e~t,. parmUes mem~rea

~M":}~1\,f;t~nq~ Wl~ c~P

delà' droite, un de ceux qui ont dépendu de.~on~ gue~date et ayep le plus d'ardeur'Ia.soT.utipî! qui) vient d'intervenir. L'honorable députée que' nous rencontrera au. sortir du Palais de la'Nation, nous invite a. ~ac--1 c6mpa,gneret; toùten marchant -ai n'pBt person.ne a. droite pegonpe, en-t

tendez bien :qui ait jamai& aon~é. a.; ré~

clamer le service~ militaire obitgatoire. et uni-j versel. Naup n'aurjong que iaire du gervice] obligatoire ret umversel. Notre s~tnation .dans! :1 le aroit international nous interdit'To~en'sivë:militaire. D'autre part, notre situation danSj la concurrence économique internattona}~ naùs oblige a mêhager.tpus les facteurs/de-~ ponction industriéUe,:jqu'it. s'agisse d'hommes ou

qu'il s'ag}Sge d'argent,-

Comme nous passions a.ce mpment a. la place. du T-rone,dont un des'Cotés'est fermé paf'~nej griUe à,porte, monament&le qui -eloture te jar-' din du Roi, M. Ctn'ten de WieLrt noue montra en! 'riant- un,des grande .lions' de pierre qui ëemMent servir de BentineUeeau~ardtn:~ J Tenez, .nous dit- ~regard~ ïion. C'est; tout;~n symbole.; 11 Ëgt :soUde et: noble, bien; musclé et- bien' râblé.' Regardes plus at,tenttve-, mpht.. Vous varrëz.que dans sa' gueule ~b~nte; des biseaux, dëp petits oiseaux industrieux pnt fait leur nid. Eh bten ) nous aussi, nous ~ouis-i .sons d'une.-longue. patXt.et'jaut notre dés:r.'est~ qu'on ne dérange: pas, qu'on np déra~ga jamais; nos pacifiques concitoyens dana leur, vie familiale et laborieuse. Not?e~ajrmëa ~'a pqint''d'autre raison d'être que d'enlevër.s nos grands voi-

sins. toute velléité.dp 'violer .notre territoire

pour venir se battre chez nous plutôt qup de courir droit à leur adversaire éventuel. Nos au" torités militaires .ont. déclaré de longue date qu'il nous 'fallait à cett~ nnun. électif de guerre'de i80,QOp hommes et un effectif de paix de -42,800 hommes. Qes chiffres ëtaient;. a. la! ttase de la loi'de 1982.Mais cette loi escomptait un afnux de volontaires'qui<n'pst 'pas venu.' Par suite :de'ce mécompte, les effectifs qua nous avions voulu assurer en i902 n'ont pas 'été at-~ teints. Il s'agit de les avoir à l'avenir. Voilaj tout; Les'en'ectifs 6eront.ceux.que voulait obte-~ jnir~la loi de 1P02. Nous ne demandons pas qu'ilsj soient supérieurs.. i Mais le nouveau.système de recrutement?; Pour comprendre ce' système il faut sa-' voir .qu'il y a chaque année, en Belgique, 65,000 jeunes ~ens qui arrivent à l'âge de milice, c'est-/ à-dire~a dix-neuf ans. Commenta opérer., dans cette masse.le triage qui la réduise au nombre d'hommes nécessaire pour nous assurer l'effectif de 42,800 hommes? Jusqu'ici, le temps do: .service étant de vingt-trois mois, il, suffisait' d'enrôler', annuellement 13,300 hommes. Le ti-' rage au sort se chargeait d'opérer a proportion .de, ce. chiffre le « départ )' entre .IeS)inscrits et lès: non-inscrits. C'était une première injustice, sur laquelle s'en greffait une autre 1& remplacement à prix d'argent, c'est-à-dire le droit), RDur 'I~jeune'Komme cfispb~

l~bër~r." toute 'Te'sppce,,de service' m.nit~ir~

L~mpôt~nilitairë~etait'de Ya.sor~e un ~mpst;non .pr~pp~MnB.ë~E'é~~s~v.aht~ loterie, et récupérable par voie de contrainte par corps, à charge des indigents.

H Un des résultats de ce régime.était, vous le pensez bien. d'entretenir,dans la classe bourgeoise l'indinérence, et parfois pis encore, pour le métier de soldat, qui était abandonné aux pauvres gens. SeulTégoïsme pouvait'y trouver ,son compte. Que fait la loi nouvelle ?' Elle réduit le temps de service à quinze mois; Supprimant le tirage au sort et le remplacement, elle leur substitue~ une solution que je me permets d'appeler « élégante Chaque famille fournira un nls pas davantage. Si la famille compte plusieurs garçqns et, Dieu merci ) le cas est très fréquent dans notre pays demeuré catholique elîë bénéficiera de ce chef d'un privilège que personne n& :peut raisonnablement critiquer. Dès qu'un nls aura servi, tous les autres seront quittés du devoir militaire. Et si le cadet veut se.substituer à l'aîné, la loi autorise cette substitution. Nous établissons par ce < moyen le « départ )' entre les 65,000 .jeunes gens qui se présentent et les :15,000 ou i6,000 qui nous seront annuellement nécessaires, la réduction du temps de'service devant élever un peu le chiffre du' contingent. ` )' Quant à prétendre que~nous aurions failli au programme du parti catholique en faisant triompher cette solution, ah i non. Le remplacement a prix d'argent n'était pas un dogme, que je sache. Tousses chef&du gouvernement, catholique, depuis 1884~ s'en étaient'personnellement déclarés les adversaires. Pour m~ part,) mon premier discours à la Chambre, en 1'896, a.été pour le combattre. Le cabinet actuel, en acceptant sa suppression, a eu la bonne fortune, de, voir tonte l'opposition se rallier à sa nouvelle' loi, et n'est-ce pas. un~phénomèno .heureux que l'acQprd.patriotique se soit affirmé sur une ques-' tion~ntéPêtnàtJtpnal-commepene-C!'?'. M~Loind'a'bandonnep-quelquedhQse des idées catholiques, le gouvernement amène aujour-

d'hui Ia;gauche~ consentir aux~mîn~mtés ec-

clésiastiques, c'ëst-a-dire~ l'exemption de tout service militaire proprement dit pour tous les jeunes gens qui g@de§imMt~e. l'état eGolégiastique, gu'iLs'agj8se<du,tIergé séculier ou régulier. Je sais Bien que le fait de voir une partie .considérable de. la majorité demeurer hostile à cette solution est'anprma.L C'est a.ugsi ~nTfait regrettable. 'Je l'attribue. à ~'intppudefnce des engagements;.que certainp de nos amis de la droite ont pu prendre vis-vis de leurs comités électoraux, gui .continuent envisager la gués-' tiMmiHtmre ~ommeils'le faisaient il y a vingt .-ans, ~.répoque~uFégime p§nsjtaire, c'est-àdire au temp~ des électeurs &.42 francs. Mais ns ne tarderont pas ëux-mÈmM&.voir;clair, quand les~poùssjtèreg des quenelles actuelles se sej'opt abattues. Et Us sauront'bientôt a M. SchoL .laert d'avoir assuré a.-ce problème une solution équitable'e);,vr~me]nt national. Que fut-il.aflvenu, d'aniëùr's, srM. Sch~~aer~ en s~ moRtrant irréductiblement hostiïe-a la suppression du remplacemeïit; eut Benn~.imposstbie'te ï'ai~ liément desgauchesàsonsystëm'édo'a.un~ famille x ? C'est que ce système, même avEC~e maintien du.remplacemeja~' n'ét&nt pag accepte ..par 'M. Woeste et ses;amis, !e gpuv.e~nement se

tcôuva'i~ da~s 'J'impm~nce,, apr~ .&vQ~ .avbuë

.le déScit dans~les effectifs, de GQnf)blËP..ce~dé. Spit Qu.e~ eHét ùn~ ~elle.impuissaepe ~urfdt.éllë produit dans'Tai'meé, dans le.pays jet~ l'étranger ?, G'estfa~prs qu'on~ût pu e.CGUsér la droite d'être~un parti'usé.Y.'At! contraire, nous auroMS procxé~que lé; gouv~rnëmeht -catholique 'est de tailler reEQud!'e:;toutes ~s dt~c~ltés qHe la ~ë's.-ti~éa f~ .surgir;'to~r a .tour '~as ses~a's.~11 l'a prouvé'maintes fois~depm~ vingt-cinq aos, en faisant là~e.visiondeJ~Cons~tutipn, puis la Tëpjésen~aNën~pr.6porMonhellë,ptiis !a~ tibn' sociale, Bien qu'il ai.t~'enGQhtré:chaquBtdis .de !& j'ésistancë.de Ja:paft.de ce<;m,dc~ses).amis q~e~p.itiq~pht ëncorë'aujpur~jiui.. Chagujje de ces réfdrmËS.a'marquépûnr notre p~jt'fi~una légè~.crisp,; ~aj§ toutes Ms .crisësjprjt. ~~des Grises dë~crbissànQe 'Et nous'Jou.r deyons peut-~re notre Ipnge.vite. B J'ai tout Iiou''de croire qu'il en sera encore '< '[ .tl~e.'sëjmMe~ in~Hlë d'Fémehtèt'dë obmmentaires dés déclarations si'DtécisBS, st ê)ô<

qugnies~ dont je ~n~rcie sinGe~emën~es'"au-

teurs :J'àJQnt~a.~ sm~~ent. que lësr~ LéoRp~esïi trës.henrsux du~t~de~ loi miHta.~re'e~.je rappellerai â~ "pto'pgs que,- dès 'i§$S, ~sous.le mii~~r9~e;rem!aë~;min~E~ B~~r

~r~n~~MnM~d~~

~coû~dH~pôn~o~ntë~ë~B~rg~' ~ccQ~Hr.~lH ~~llu y~-troj~ns po~~ ~ive~~n'est~btpt.la~.c~me s~Ble, un~p~ < l~iop;V9; C~~pl.U~~g é~~iQ~l ~f3~9 qu"un tn~yen payoMtiohnturë. -e gëSviprn~Bn~a.~GpH'8~~ ÏM~O ~~oi.î-~p'ici bientôt Yën~j~~ T~~ des' ~~F~~cel~pMéé,~ s

Io 'hnn ~a li '4

d!6cuMtons:d'hi6r.~t~o~a~e~~nse~ateuï~

vàilleront' sans' amertume da.hs rint~rêt cpm-

mun..

.2'. ~t~

~~& ~G IILOH.

par sa composition entièrement végê~l€t le; remëde idéal <les' dames et -d~s' en~a.nts'Q~tre~ Gonstip~Oh, Ies;'hëmorr0ïdes,- l'emb&t'r~s gastrique et intestinal, la.'bile jet 1~' cpagestion, cërëbràle, .'Bonbon choGolaté .très ~j'ëaN~u~ go~t, il n'irrite j~ma!s l'intesHn et, confire-' inënt '.aux purgatiïs~dra.st~n~ et-' minér~mx,: sop .empiM journalier n~én''cHm!nue pas l'ëfn-t [ caO~Se prend'sans rien cnanger ~:ses.ha,bi-j ~udes'. ~nyoi d'eph~ntiÛQn~ gratuit -sur: detnapde}: adresse.3~, rne.d~s ~~iy~s~~ûris. Se trouve d~ns toutes les. pharîpaG!es.

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M. BoujFguQit,' ~jgû ù'm9t'ct!oït; s'est'Tendti

Mefr a panim pûur'v~fiper~a~aeserttfns~c Lou~c Hirts, -au: 8ujet.(icJ'~aMm&t-d& M~e Maupy, picieBe de~SHYtil], par Remhardt et~u~.cQmptic~ 1~ Mjoutter qui aurait 6te assaspinë pa.r'tes.ifïi~mep

imdi~dus Na'~t. siprnm~ '~a~n. ~<

–Rue NouveUe, 4~ M. SouJipres, ch&fde la brigade des jeux, q. op~rë ~ue descente la'M'ult-de!

niare de'p 'gens Jassl@t~iept daoa cet- immë.tible

des ecenes particulièrement, immorale~. j On'~ capture hier une bande de cinq~indi~-

dua, tous rapris de justi~, ~qui-avouant dix.sept

cambriolages dans la banlieue sud-est de Paris. <; ~~O~.S~OBMHrESM~ ,1 'Une granùo ré'unibh a "Niort'" vote un .iDraro du. jour favoj.'able & la représentation proportionnelle et demande aux Juturs candidats de l'inscrire dans le~ programme. :l '1 M. Lèbaudy, députe de Mantes depuis'1890~ ne se représentera pas aux prochaines Élections.] Un congfës choisît Mer pour.~e remplacer, M. Gues~ nier, consëiHer gênerai, président de la'Sociefé agri-j cole. j M~PerezCabaUero.'mintstre des.'aHaires~ ëtrangères d'Espagne, quitte MarseiMe. hier. matin, ~erendantàPort-Bou.. j:' A Saunnes,' près de Longwy,-deux gendar-~ mes arrêtant un jnalfaite.ur sont 'entouré.s par une'~ centaine.de personnes, îrappÉs et bousculés. Ils ne~ peuvent ae dégager, qu'en .dégainant et en tirant dix; coups de revolver. Au château de ~argouet, près de jLbrient, legendarme Bobinnet, appeletpar le garde particulier,~ aper§oit un' braconnier, à raffut .et veut 'l'arrêter. .Un coup de feu retentit et le.malheureux gendarme; tombe frappé en pleine poitrine. 11 meurt peu~aprës., 'A Goudrecoùrt-d'A~x {Meurthe-et-Mo~eHe), uûe automoMIe conduite par le lieutenant d'artulerie ViUard~de'Vcrdun~'est~&ni'pÏÈtëmentdëmoliB~ Mme Voisin, ~ui~e trouvait dans la voiture, a une

'aal1jë'.brby6e. 'Y J

Longn~val'{S6mm~~e d6cteur''Demar-~ quay. avait-.lais~Ê.~unje' .sosunë dont rle'evehu, ~o'it a 178 francs, devait être annuellement servi en trois parts égales au curé, à l'institutrice et. a. l'instituteur. La part'de l'institutrice a été attribuée à ta' nouvelle laïque. Quant au cur&, on le dépouille pu-: rement et simplement et C'est l'Etat .qui~ehcaisae. L'exécution de Riboutet aura lieu demain mercredi a Montbrison. A~B.

A.B.'

LES P!EME$ RK?NSt!TUJËES TECt.a sont faites de parcelles de pierres, véritables agglomérées scientiSquement par fusion. Elles sont les seules pierres précieuses, artinciellès égales aux pierres naturenes.

La derniëre et la plus grande des découvertes (ïu professeur Tecla. est la fabrication des.. "Perles'" qui possèdent toutes les qualités distmçtives des perles d'Orient.

Les créations Tecla. ne sont montées qu'avec 'de vrais diamants.

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Att~d'hHi pat et! ;ieu lep.cbsM~es~e~A.' R.et L'

,r~n Lo Fèrdinend oit: ~'a ~on4ëau de

!e ~ncé Lotilg-Ferdinand -Pq~on; Un monM~u da tëIéËramt~es venus de tçus les <'$!l~dë4'6t!rppe avaient

apporte & ses enfant~des opnd.oië~ees etapre~es, gntfa

PPo.. à~ ë~ ~Mf? 'y rIt''I olŸl~.

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to~mtna~el~~e~a~etne~n P~rttt~a!, SH~

ç:.et à' Rlt ~~e'p`< ¿; ti'ey dg ;~9~1p èl `de ltà

Rue. et; dë;~ P)tQ))e$se ~e<0~tres,,dH ,Çp!ate ~e la Cjëmt'~9'd'Eu;tt; Ï)H<e_t9, ~CA~te' de;~ a ço~~e' G~erta, de 'M. ~ngesse- pe~trix tte .Batt~, 't'erg.A'

Les cordon~ du po~ëeM~t teBms~par. Tbaçn ~t

'ReveU ebhsnl d'Italie~ doctetir PbzzodiBorgo, M. ?abre, 'aYocat~et.iae'Oee.sçtes, Le PrtttM! hOWs-Atpj~Me t!e ~OHrbM,; !a jPr!!)ce~sei i

Mar;a'pennar9 de~ Bçù~on 'conduisent !e de~it, ?

;paasJ~~le,ontBm~ua~ Con~se d~C~ple~, phpva):e~ de Fcssp]ës, AI. F't6rr~' Moit~iëp, .che~ de'.C.at;net'dn :prefet. 'M~Joe ctp ~tpe, :;i M'I)amas,'pamtër!.de'M)enwan.~pomteBse0~rm'de.~Coc~ 1 Gonàto~eomté et6on)t9Bsë' 'de Ho!iën\yart.i'&g<;nëra! ~Mme j {

Ge~hart, M. 6. C~tet., viae-p~gidept du OQ~seil. e~n~ra.1 ;s

M.'Ch&t)dob',admin!stt'at€wdC)ë&u6-de~9.~issë'dQ'-orÉ.<j(t de Ntce M,. Franaux,: oonsut d'AlIpmagne comtesse Efh'Ma de Revête bMDnne do'ràffenriM~ ~utuber~~ R!co)et, ~tat'gmg-de'~avaus, ~1. e~!eH~-de..ëaint-J~t!ph,

'ttOtatre, 'tr'i

"Le~ort~e ~'est~Ttge yërs'I~gt!~e de.~nn:ez. L'a~MtitStt~~apee pat-.le dë~~vant..de !a c)!a~ Apres îe'serVtcë'futlebt'e, te corps du Pfiqee a ëté~tt~nSt.:

:.por~ê%i~ar~~P~L.'M.Bt..p!aeedMSW~ago~pÏ~

~Lë c&rps p9!'Hra.dema!n pc't~,Parisj)pur être inhume ~U. ctmËttÈre tiu PÈre-Laehaise.dans le caveau' de famtile.. DAIV~~ JMONDB B' ?\ L.e rn~tiis et )a;)nàrqûise.d'Hor~ehe! vietinÈntIti'ar~ nver en leur ch&tea~ du-Lac,dans '~Att'de'ïls t~rfninentf' sans.àcctdeRt iU!i jo)i'' r~td.' sur leur. ~ehevau~ '}e: point <? cj~part ëtatt JPont-J'iétIn (JL.ptre-tB~pieure), ~s -étapes ~Mtes, FonfenB'y.-ie'Gomte, -HtQrt.; .Cognac, Agen, Tbu. 'j iQUse.~t'Narbgnne. -Chez~'Mtne Hpthon. th~ ctao tteurës, tea~ard!$ .de.~ëpembre..

-Ls~ comtesse ;B,B~cos reprend ses rëceptions <iu

.~ëaarp'di, de.q~ti'~a~Pt~a partir~~ 3 décembre.

"S~S.

~P.S~V.EGBTI~~S;

permër~~asse të~~quipage Leba;tdy en foret 'de-

.~ntain'eMea~~ St~~ ~'r. .t:~t

~Autant !e ceRra ta, ë~ë:~rëcédente,avait r~a~Mt~

~aï~les- cantons rappM~ës.Is~ns prendre par~nt';

P~em~s it 'a ?6 droit~eyao't :ui 'en une Ipngi~;Tëïente.

;ët's'es~-fàit prendre Io!n~t~Tëndez-vj6us,' qui ~tatt'Hxê

.~u:e.an~fd~u~~p!ne~ ~S~<~

~sË~~ë~retâp~s~une heure trois, qatrts ~e <

fSBUM~tetr~~teau~ciM~fQHrdu Déb.Ia). j

? '~honn~uFe~u p~~M~ne Jdur~t. ?

:$~ë''CA~~ )~ ~ënéral~.lMsandri, qu)ende~OHant-'d'~Qbus

y'a'~uelques'}ours:a fait une chute trës grave, a été

.~trat!Sp9.r{é~u~Va.l-d9'Graee. T

-~të'tnarquis et '!a ~marquise; de 'Mêd!<s-Tprnaqmnei,

~es .~rands;D~c~o';(Eo6eane,'?OBt-.quitte t&;J%tace'H6tet..

~our serëndr~'dans-~eur yiUa MédieiSi;a?F!qrence. -bif de.Paris.

Ees~oueufs.de ja~outie cnt commencê~eur semaine;

golMundi, a ChantiUy, 'ou .i)s,s'nt;transportés en', graM nombre pour prendre .part aUrConcpurs interclubs; j

C.'pst. je ~Qlf. de- Chanti}!y qn! ~t.r!ve. en: .t$te,.

moyenhë ~ës" trois meitteurB'rësuitats-nets-ayant été en~ .'Èa faveur avec ttcux'SS ett)n;9h !t Mt Vfa! de d!re que,

~t-1'tMi'qes S~ eterobtenu ~ar M. ~a~~eau~, r~stdmt à

Chantitty, rautfe'S~ a 4te Mt par M,- P. A~orT est un membre de )a Bou!!e, egatem~tit ingent p Ghan)!)~ dépits' l'ouverture;M. M.-C. V~g))ano et: M, R~hard

Carter :eta!ënt~)-f~tto pour !eresu)tat de,9t. L~Gd!

~arte~,étpept: exr~ué pqur le res,u)tat de, 91. Lpy ~oll ~Ig

Parig est arrive second; ven~ënf ensuite'Compîëgtie et t~Peea.. 'Le~prix de la Spc~te~'BncP'J~gament, Mfp)! K%

cap,, ~ptferte â-cetta oe~tpn'par la 8<K)!et6 de ;)a Bou)jie'

pour le~memeur resuttat net de la )Qurnëe (handi'capma~

mum 34), a été Shalèment .gagne Mr M. H,-Ch"<'ch, aff

r ~an~arDV~ p~fp avee P..M;or,&.Chant!ny, a d~' remuer contre lui a TBoulië pour dëe;der dp 1~ vietotre;j

M.Ghui~h est un nouveau venu au GoH de Paris Bt !t!

6'~nnbtiëe comme un joueur d'avenir, poU Pans A~di dermer ie beau jtemps avait atdre do nombreuMSj

epn&urrenteset sept'~ames se~oM !nMr!ieft dan&)~'priX)

de,p prqh94ées pb'et d art raeleusement olïert pat.4Mrne~

des Orchidées, pbjet d'art grac!eusement pnert paf .MtM)

It,wdéyqnand' é',est Mme~d, anéuvéjvr, upe:nou.vell.e;

R. de MnMd, c'est Mme pd. ~aneuvrter, une:npu.veHe!

et~RthoH~Mte aaept&"ttu' gp)!, egt Mrtvëe bfjHam-

mgnt e!t&tç 'avee 60 net.; Mme Noaitiy s'est ç!assee se-'

~.pni, u; Je.g p; M. Y

condë itVe~~7'et'M'e'B, Brinqùapt 3~.avec:-7(). Pendant te cours de <a semaine, !es parties ppur !9 Br!xt [ du Président se sont pourEuiv~es; dans le, second tourj M. P. DeEChampg a battt~ M. J.-H. Spaujding Mr 7 tf9us~ d'avattee et 5; à jouer; M- N, Q)yen battu M. P.-Ampr! par 4. trous d'avance et 3.à jouer; M, A, Macbeth a.battu' M'. G.-B. Hayes par ttrou d'avance etM. N.'RMpath a! battu M. R. BatMàni par 3 trous d'avanee et 4 & jouei-;j dans !e trotsième tour M. François de BeUet a battt!; ?. Pr.R. Berard par t trou d'avappe; M.'P.'DpMhamps! a.~att~e baron Jean de Beltet pa)r 3 trous d'ayance et< H joue! M- ?. Owen a battH M. dp Knyg par 4;trous~ d'avance et. 3 & .!pHer, ef M.. A, Macbeth a b&ttu M. Ridpath par S;troùs d'avance et~ à iouer,

Dans)a semstne qu: vient, M,-P, peschamps rgncon~

.trera M. François de BeUet, et M. R. Ow~n renccatrerai 'A!? A. Macbeth pour teedemi'.nnaies, CS, "'i SamNii d~'er, la ccupe.~s Maison6'~e!ntte,"EUr 36.! trofs, ouverte aux ~oueure dont.)e hand~ap n'est pas 8f-!

-pêrieur~~S, ar~un; tp,ooneurfejats, :e nombre;etanttou-:

]oure'p}us hm!të pour des épreuves.qu~ demandent unei

~tiu,r><ép. estièreyajtl,. R, Owpn, qpqQk,,ug eu` trés régu-~

Journée ent~re, ,'M, R. Owen, ~uant. un )6u' tr~s rêgu"

lier; ~est arrive MHament l~.avee 84 le màthi et'88! rapres-mid! soit hn' totat de' 173, a)Qrs que' M. H; Ha-i tmotr{a)S9itt77etM.deConstantmov!tcht78. Neof joueurs, se sont inscrits dans le prix des ArcMteE,

.~gante~upe, en argent, ~acteusementogert~ par M.

A. PeUerin; c'est M. J.-N.Christie qui s'est c!assÉ en tête avec )e bon résultat de 88, M. L.-V. Twysnort !e serrant de près avec 89, a;ors que Mt. C."B. Hayes ~tait 3~ avec,80. Aujourd'hu: mard), prix Qee Gardentas, en parties sim-! pies, pour tes dames.. ) Samedt prochain, medai)Iesd~argejit et ~0 bronze men-~

.suenes pour; tes .measieurs.

Le Go]f de ponta!neb!eau a organisê;st!r Bon terrain pour ~Ië tundi 6 décembre un concours auquel sont tonviës tesi jopeur~ de !a Boutie, Comptègnet ChanttUy. et Le: Pëcq ;j ~a'journée promet un excei!ent sport, commç'cshu .que

l ~eu CWantill aine

'6n a eu à ChantiHy semaine dernière, 'et une quin< zaine de }oj)eurs de )a Bouiie se sont-déjà inscrits.

MARI~GBa

Contre npus l'avons annoncé, !e mariage 'de A!. lierre rDomahge avec' Mtle'Renëë jPasqueUe, Bile de j ~l'éditeur parisien, a été cëtébrê hier, â.midi, en t'église~ Saint-Augustin, en présence d'une assistance~ndmbreuse~ dans ~aque~)e on remarquait beaucoup de notabitttës lit-; tërairès.. S La: messe a été dite par le premier:;vieai!'e.de ta paroisse, et !a bénédiction nuptiaie donnée par t'abbë Ja-~

nin, qui a prononce une charmante aDocution.

Les témoins; rappelons-le~ étaient, pour marié.,

MM~Jutës Richard et Dubosc'; pour !a mariée M. Edmond Rostandj_de. FAcademie ~amaise, et M. Octave jMir-

beau~

Reconnu': `: <

.t<

M\t. Paul Hervieu et M~ûricië Donnay, 'de t'Acadënue française MM. Victor Margueritte, Edouarc) Roa, Georges Lecomte, René Baschët, Emite Bergcrat, Ginisty, F~ammar~oh, CaJmann Levy, OUendorH,- -Latttte,Paul

~Rtiboux'. 'Gregb, de Fduquiërea, Adolphe ~Brisson, Heh-j

nique, Deschaumës, comtesse A. de rterrëboùrg, M. et' Mme Raymond L6cuyer, Mme De)arue-MardruE, MM.Re-t deisperger, Paul Strauss, Michel Corday, Trouutot, Kis-i tcmaëoherB, Abel Bonnard, etc.. ¡ –-L~ 23-novembre a été eétêbrê, en la cathédrale ae Nantes, en présence d'une assistance nombreuse et é)êgante,!e mariage de M. Louis .'Le GaIÏic de Kerizouët avec M))~ Marie-Thérèse .Hersart de La Vittemarquê. La bénédiction nuptiale a été donnée par. rabbé Boismain, curé de Vigneux. °

Les témoins étaient, pour !a mariée': M. 'Alain Hersart de La Villemarqué, son oncle, et te marquis de Grosourdy de Saint-Pierre, Ueutenant au 130~jégimentd'in-: fanterie, son cousin germain; pour !e marié M. ~e Pon-' say, son oncle, et M. Alain de Kerizouet, son frère, La quête a été faite par Mtles do-Ponsay, G. etjC. Hersart de La Vi))emarqué et de Kerizouët, accompagnées par le vicomte Georges Hersart de La Vii)emarqué, MM. Yves et Hervé de Kerizouët et !e vicpmte! Henri Hersart de La Vi))emarqué. La jeune mariée a été conduite & t'autel par son père,; t te comte :E. Hersart,de La ViHemarqu~ !e marié don-~ ¡ nait !e brasè sa mère, Mme Le GaUje'de; Kerizouët. 4 Très nombreuse assistance, composée de parents et' d'amis des deux' famines.' –Mardi dernier 23 novembre, en t'égiise Saint-; Léon IX de Nancy, a été cétêbrê le mariage de MHe Mag-t deteine de Bbissonnéaux de Chevigny avec M. Maurice~ de Chantemete, ingénieur des arts et: manufactures, t' Les témoins étaient, du côté de .la mariée M. Jean: de Boissonneaux de Chevigny, 'oïne!et' des haras, son~ frère, et le baron Henry de-Bonnegardo, son cousine 'du~côtê du marié )e général de Oëdc, commandeur ije~

.ta'région, d'honneur, son oncle, et te Ueutenant René de*

~la`~ét;IOn,d'>aonnéur, son, pdcle,-ét.te lleutenant René de!

Chentemète, son frère. f r La-quête a été faite par Mt}e Certrude tte Boisson-! neaux.de Chevigtiy et Mt!e Colette Oe!avat,qu'Bcco:npa-' gna;en't-MM. ~ené de Chantemète et Oswatd de .Novme.t Apres~ la cérémonie re)!g)euse, au cours de taquelie onj a entendu a'exee!]ente musique, 'Mme de'Chev!gny-fêu-; nissait ~n~uti tunch de cent cinquante <!ouver~ai'h6teU de t'Europe, teg parente et amis doe dcus famiUes. L< jeudi 2 décembre sera célébré, à LQeuwSaittt4 Pierre tBelgique), te mariage du .vicomte François de~ Chabot, fit~du'vjtootnte.et de !a viepmtesse R, de Cha-!

bpt.né~ Cotbert, avec M!)e,Marthe~ittouct:. BUe de M.

Félix ~ittouek et de Mme, n~e Drugman. Mardi dernier a été célébré, en l'église de SauHes,' (Haute-Marne), te mariage de Mtie Mane-'jpsëphe de TTî~

Oornot.~He du..baron Adrjen dp Tjneprnqt, conse;))er gé~

nêraj, recédé, et de .ta baronne, née de Rènepont, ~vec te caRttsitie de Cabrens, ~Is de M. R, dp Cabrons et de Mme, née de La Bouvière de Gast!!)on. Les témoins étaient, pour te marte !e comte Du" rantide La.Gaiade~tM. de Sêiandy, ses cousins; pour !a marjêe ::MM. H. de.Tricomot. pt~. da Rènepont, ses

iQ'ne~sj

) Qn remarquait dans t'assjgtance.; Comte et comtesse de Masson d'Autume.'M, et Mme da

-Moptwby~ capi~nne et. Mme de Mt)!ie!)v, comtesse ~e

S&uit9-M&rie d'Agneau. Mme de Bël)~]gue de "Bughas, M. ~.f de_ Be)laigue. de Bughas, M.-dë Heurtaumont. -Je pomtë'.M. ~e:S~)ite~~më d'Agneau~ papt~~ine ot vi.

côniMs'së de SëziUe, MHe de R~neppnt., Ueutonapt et Mme

H. Q~ Tripompt, vicomtesse et.M})os'de Rot~er,.M~et

Mme~H. d'Arbigny, lieutenant Bonne~UE. lieutenant, et

Mme. G&voiHë; cpm~ et.' comtesse ce' E'My, ~âufanan~ Lësne~ lieutenant et Mme Haltar, comte'et comtesse de ,Saint~(~}~ma}}). Mme de .Lavi)}an~r6. ~He'~e ~ez~tB, etc,

~J\Eqj~MB~

Le$ obsèques du comte des C:ourt!!e ont ë(6 ce!ë~

br~s'jeud! dernier, et; l'egUse Saint-~tenna dp goueon.

v~ts, au-mitieu d'Mp a~!stahce~~$.'dë!-ab!e. --=-Le'de~;( ët~t cond<}ttT)ar ]e\<:Qmte Jeao des Ct~ft!!s,

son ~'9 M. Pêne des ,CQHr<t!s, CabfM, A!H6i!}e;

Francc'!s,~Ldt!!s'ct C:hâr)es_de~ ~ourtt)s. §es petjts-atsj

)e M'nte de ~ndjeu, ~~eau-frëre; te vicomte oe&Cour~ :titE~e ~m(e 'etivte~~de~ t;e Roptte~ctn, ceinte <}8

Ijùee~et -te tornte ~ëa~ de purfort's?s ~oveuX.

Reconnu: Vicomte et 'vicomteE.se de ChôMt)M, oomte et comtesse

de MiÈrien!oHt,~emta ('t/<Q,Chr}atiaR d')~t~p]pes,

'marquis et. m~rguisë d6'M~c~, ccrate H. ~e~pntëy. 'nurd~icomte .et y;ccfmtesse:H; ~e Vinet)euvë-Sargëmôpt,

cot~te~ et citasse de Vi))a!raoc!}e, vIcbmte-de.'Rongë,

:M!te~e.Lii9ay, comtesse .de ~uQheroa,m~~Q A..da

-Durfort, comtesse dë..I<Q..ndû~etbulûQ, manquis d'Ës~

pies, Meomtesse-H. de La Y~]tar~BO~s. ~ron Nivierp. marquis :det R~santo, ~vicomte ~de' Mertet&oht, 'murquis d~ Fohtcnitles, M, Mo 'Coudetœrque'Lambpeoht. ;jopmte et

yicomt~pe de -Lnmptte,;ma!'qnis-des Rqys.~Otptë Kobert.

deyllteneuYe-J3argemqnt;:lri: et.ht~e'~a'~ol aeàïlè.é(,

de ViUeneuve-Pargemont/ftt. et Mme~depoty, comte et

co)Nte.~e de' BërHer-g~vtgny, eo~nt~ L. de- Mont~yQarf).

\'icomte'Pierre de Cti~MUës. M. de Le: .Chaise,'viùomte d~ Coutombiers, baron de L'Epina, vicp;m;e d'Hat'd}Vt]}ier6, vjcom~R. de-Rpngc, comte d'ArHncourt, t, M. de:'CMë~ câudë, .t~qrg~s ~de. Fraguier, c6)i)te 'CSfnudet. banbn 'de

prav; comte et comtesse de Reviers ~8ë:;Mounv, baronne

de i~foi~estie, ep'int¢.et eg~itésso:Jeëri'de Dur~ort; M,·tlg

de Morëhesne, comtp.et comtesse: r Jean'de DurMrtj M~-aç

Carj~re,,l)a.Mn.~e.QirEsse,,et~ etc. )

.Le,jeomtè~dês CjDUrfi!s_aVatt~dt;!nandé qu<au~i% <sco)ir~ ne f&i: pronoBGé ma!s se faisant~'eeht) de'ià-' rcoohtiaisi

sance desliaMtaots'de Boncoov!))ers et des pays'vd!s!tis,

s~ncé des habikants'dé l3oueoàviliers ét des peÿ,s;volstüs;

jCabbé AH~W. cur~ de taparoissë, a~)t un dermeradten

a~e gr~n~c~ëtien' qu!. toute ;sa yie, .fut Jp~Nenfaiteur de l~eo~ee~ ~b.

sei)!er d~tat,.prê~nt-ia'hotmeur de la, Société des

~ïëo~es, pfHcîer dë~égion d'hKnne~tr, pnt e'të celé-. .br~ës htpr, a dix h&Nt~, en:l'ég!ise'Saitit-Honorë;d'Ey-

~NU v.

;e'det!H était co~ijRpar MM. Henn M~au.Tabbe '.BtiMnanuet(-J\tarbeau~'ct!rê ,de. Samt-Hmioré d'Eytau; i ~Bdouard.~bea~re~po:s.'et Pierire A~rb&ati, le comte ~EtWil~ttHe! de Las-G~sës, Joseph EadueI~a'Ougtrae, le ba-

~n:: C.CM'gcs Tupinief.~PhiUpM de Làs-Cas~s; et ses au-

;C.t}s t'dnce {~Meral marquis d'OrmessQ)t,j)rince

:.Au~u6te';d'~ej)'bQrg,'sMnie~l'fupira'Ie Jaurès,' marqua de ~hLam~rua~ëëaërM~M!), comte Horace de Croisent, ~genér~ SaK'a~p'S~y~e'Rônand, ~M: pa~in de Vil'iame,~ A;-Cp)~e~u~ 'LegraM, E..Roltuid-Gosselin, Edouard D.utey-Harispe, Pau)~Bu{{et, Cebrjges yjoaire,. çomt~.Loins Atfre~de .SaintrRdnfp, t~aTonhë de S~riay,' abi~Loms.de Bëngy, comte de"FrangueviHe, -Vtcomtessa, d'AngIemont.; comte'ët comtesse Terray, -v)comta de' L'Es~e,!iBSÉAi'R~t.Mme'P&Ms~n;tessë.~ Hèr!~e- couft, M. et-.Hme:C<uaU)e Gûvbt de VjUëneuvë, doote!M' Nëu~ann,~e&mte'et.!Gomtgssë de La Brtère, Anatole L Legi'apd, IS&n Marpiltjacy, Jacques Huesehqt-Qeseiion-. ,gës,J. de pasteinw, M.-et-Mpie'de L;a'l%)~ie, dt)t.'e,Do-!

.Tnergue, cônttagse de MontferrMid, Mine~ Lucien MiHe-'

'v<}y.o,~oomt~ L.: de Teryes, baron et .baronMfigeon.'co~

lone! con!tCtKeHet'. bar~n et.barpnne Mûwn'd-de'L'Eg'!

P~ 'S~?"~ ~toheyerry,i ab&ë R. Peti~pë~ange. com~.et bQm~gsg,Pau)t~r~eu,j

M, et~tnie Etp})ey de La Rpnsgëttere, comte ë~oomtessa,

~e aat!ï9);Mmi9~A.'dti Bos; oo~të et obn)tess$ da -Dampie!-Fe,M.-et!Mn)6 Dieulafoy. MM; Le Tr~or dp'~a.. ~oac[He, de BonjoMn./eto.. L~humattO)} a ~-H.~ M cim~re ~-Për~acha'Ee.! 'VatS~y- t .AUTO-ET~ROPLANE

'Les ess~/d'a.y~tioH dénient Hau-à des poM- m}ques nombrënsps entré aviateurs et autômoMistes. Be~ceup- augurent qn& Taëropl&ne. Hb~nUe sportsman dn c~uchema!' d~ pneum~tiqnes, tuera. v<t8 r&ntomoMle, Toute npe caté- go~Q d~ ehan~urs aopuëiUe n~guoisen~ent ces pçm~rps pronostip~Ce gpnt lee ]p~ine qm oot rnnM ~nr vo;ture de p~eus <' CautMe et pp~r ~sq~als la-.gneëHoï] d& panM ne s'est ~M~s~ j !o)'~na!!MmB!tt z

!)<tuM ~ld I

tj'aoh~veme~ de cette grande op6rai!on qm

a, el de cette grande P.. qui

s'~ppeUe ;e p~rc~ment du boutëvam Hauesm~nn est nph sëulemp~t d~c!d6, mais prochain, et le préfet de la Seine se préoccupe ainsi que noup r~von~ annonce de mënager la. notrveUe 'vote une entpee sur les bpnlevards di'~nedesohbril~nf.aventr.

Pive.rsM solutions sont envisagées dans le rapport fed~é à oe sujet par l'architecte voyar en.cbef,'M.Louis Bonnier, et M. de Selves les recon~mta,nde a l'attention de nos conseIHers mumoipa-ux, « en attendant, le travail d'ensemble qui leur sera ~ounns ultériëurentent x. L<a plus simple, mans aussi la moins heureuse de ces solutions/serait le prolongement du boulevard Haussmann suivant le tracé de l'alignem6nt, c'eat-dire en suivant la ligne inexorablement droite son raccordement avec le boulevard des italiens se 'ferait moyennant un angle de 30 degrés, toujours en ligne droite. Mais ajoute r~nuneht architecte cet angle produira'un résultat assez gauche, trës peu décoratif, par la. répartition des masses des immeubles qui p'y construiront rapidement~t surtout difficile pour f'prganisation des circulations qui donneront Ueu à des'remous inévitabi.es.

L'arrangement serait brutat et médiocre. H sem,b~e utite d'élargir ce conf tuent et d'y créer un car~'ë,four important, sinon'une place. Le teM-ain étant. '~xceestvement coûteux dans cette région de Paris, i!'conviendrai, tout en donnant à cette jonction l'ampleur nécessaire à la circulation,' d'éviter l'extension exagérée des expropriations, en tous cas 'de ta .restreindre au strict minimum;

Partant de ces considérations, M. Louis Bonnier envisage la création d'un carrefour plus 'vaste, permettant une 'circulation Mus divisée par r.instàllatioh d'un important refuge .central, ou des élérnents décoratifs pourraient'être aménagés. Cette disposition, qui n'entraînerait au'cun& expropriation supplémentaire~ ~e ,le'sàtis~fait'.paB~tputëfqis.~ë .manière, complète, .car eUe n'améliore~ qu~mëdibcremeht brutalité du.

trace projeté.

Ses. préférences le portent~ examiner TetaNissemBnt d'une place de dimensions moyennes, dont l'ensemble donnerait l'impression d'une c composition M et même d'une ordonnance architecturale.

.Les deux immeubles d'angle du boulevard MontjmaTtre étant construits on n'y touche pas et on en tait abstraction dans le parti général. Les portions jcourbes des îagades sont suffisamment importantes pour'que l'cei! sente la. parenté qui les relie et la iforme ovale de la placeja fait compter en un tout décoratif. Celle-ci occupe, une surface plus grande tque dans le projet précédent, sans qu'il soit besoin d'expropriation supplémentaire, sauf pour l'immeuble qui accuse Tangle de la rue. Richelieu et du boulevard des Italiens. On peut tirer de ce parti un fésultat décoratif intéressant. e ce partyun'. Enfin M. Louis Bonnier esquisse mais sans y insister davantage une variante plus ample du projet précédent mêmes avantages, ma~s plus complets, de circulation, de composition d'ensemble, d'architecture ordonnancée. Toutefois, cet agrandissement des dimensions -exigerait l'expropriatibn de deux immeubles sur le boulevard des Italiens au Yieu d'un ~t du numéro 4 de la rue Chauchat.

L'adoption de l'un ou de l'autre de ces derniers plans modifiera.it de manière trÈs heureuse le tracé deTalighement actuel.

JEt l'on doit ajouter sans grands frais aussi, car nous estimons, avec. l'éminent architecte en 'chef, que la revente des. terrains expropriés e~ bordure d'une place aussi centrale donnerait des résultats qui compenseraient !a. diminution de leur surface.

Je pense enfin, 'dit M. Louis Ponnier, que l'abcu'Hssementde l'etforteonsaoré par'la ville de Pans. .depuis de longues années à ja réunion des, deux .~r~des Y.0te,a de. cjtrcula.tion) centrale mérite une consécration mMquéo.~ï)epu{E .~ongtemps~-aucune tentative d'aménagement décoratif d'eMs places publiques n'a été faite. La dernière, celle de la place de. là~éputlique,. :8'ëf)t, hopnÉeï &. ~installation d'une: Statue et de,quatrem~ts décoratifs,, sans qu'il ait rien-essayé, j)o,ur le c~drearchiteetural'qui tient: .ù. si'juste titre ùhé.importance capitale sur les pla~a.des ytctQ~eg.'de~yosges et Vendôme. La: sollicitude que~témoigne M. Louis Bonnier a cette futU!~ <et ~'agaifique perspective 'Centrale ~'étend.aux o aspects x des autres régies parisienne. C'est-animé de cet esprit, ea même temps que désireux de concilier da.h8 un 6quHihre rationnel les droits de l'hygiène et ceux des constructeuBS, qu'il demande formellen~nt une ~vision de~~ordonna.nceE des rueB, des :quais, des espaces -libres. JSt) pour obtenir c0 yëgultat, voici les mesures qu'il propose i~ Coptinuer. leg Fecher~hes entreprises par ïe sepvMse du p~a~ relativement aux voies pri-

vées~

8'Etablip, au mQyen.a'une enquête, un atlas

de tou~s ~es (instructions classées ou a; clas~

.ser qu'il'impor)~ de maintenir '3" T'j~voquer des décrets d'alignement pour les voies .qui n'en ~nt pas ou dont les plans ont

disRapu ;fpaur cë~es qui sont projetéëaou dé-

crétées mais.dont les ordonnancements sont "mauvais ou i~réa.Usa.bles et étudier désormais .dans un même sens Is tracé des voies h.ouvël-

'Ïes.

On instituerait a .cet effet une commission compJ'GnsBt le-géomètre en chef de la Ville,e chef du. bureau des alignements, promenades et. plaatations,e chef dufbureau t'es traités et 'acquisitions,'Tarchitecte'voyer en chef. 'O' -L'expmple tiFé du'.bQuIeyard Baussmann montre! que les vues de :I'émin,ent ar~hitecto s'inspirent d~ujne pxpérjehce pratique et ~u'it ëRt possible d'améUorer sans grandes dépenses là-physionomie'de'nos perspectives. O'O'

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~?~ -J'ai donné l'autre jQurr mon .sentiment ;për~

'sonhel, ceim de matnfs constructeur~ àu~s~, qui.

l; W.. ~ts 'v, teu,, g, ausszi .çlu~

est favorable an.rëtablissement'dés Salons annuels à'Pans. Il n'est que'juste'de donner rautrë;~M cloeho. M. Auscher,-l'un dès c~e'fs l~maisoh Rothschild, est d'avis qu'il est "dë~'bohne stratégie.de porter la guerre'en terrain ~en.nemi.-et qu'il-est préférahie d'exposer.étr~n-

g~r que, .chez soi qu'il .ne faut,par contre,'pàa

manqupr.une o.ccasion de se produire et que les industriels lançais, ne deymiéht, en ~ucuh cas, se désintéresser des expositions étrangere's. Po.ur la,ca.r:'ossej:ie/RothsGhild.Ja,.sùpppes6!0nflu;8alon de Paris se traduit pàFtiheipàrch~ ininterrompue de la ~abriicatjLoh< .car u~p recrudescence de commandes, alors-que c~est un ralentissement qui s~ produisait chaque année en septembre. .L.

Et Londres a apporté fn gur~roît de besogne

à ~l. Rliéiqç~ .e Auecher,qûi..àŸajent dëj~

~M. Rhéin~es.e). Auechër. qui âv~eht déjà

hiur carnet bien rempli.. M.'Brasier, que j'M rencontré à Londres~ est exactement du même. avis et .il a poussé la con. viction jusqu'à ne pas exposer. Pendant ce temps, ceux gui.ont cru qh'il etaU de l'intérêt .général de; M produiFe~'oht qu'à ~n féliciter. Us ont pu.pHrir aux visiteurs pt. aux acheteurs des termes de comparaison et cela n'a été qu'a ~'avantage de l'mdustrie fran.. çaise. Et. comme ~'intérêt, général n'est jamais, que la pomme des intér~s particuliers, ces pôr-tèdfapeaux ont, ave~ l'honneur, trouvé 1& pre; La maison de Dion-Bouton n'a nàs eu que des adorateurs platonique~ pour go)t cbSsai~ co~e i4 HP,; les acheteurs ont été extrêmement nom~ breux ponr tous les types et spécialement p~r la merve);leuse 35 HP 8 cyltndrep.'ïa, yOttu~ de ïuxe d'aujourd'hui la voiture de tou~ avec le temps de m~n;9 que ceux. qui le peuve~ n'achetant, après comparaison, que des 4 cylin~ dres, Iprgqu't~ abanc[onnent la monocylindn? que, de même un essai les convertira en moins de temps qu'il ne faut pour le'dire a la tri6m< phante 8 cylindres..

~a Société DQlaunay-BeUevUlej avec s~~cy. lincfree si souples, st robustes,-si ëlégahtep aussi, a eu é~alen;entsa,paft de pucces, sa. mot'sson de lauriers d'W~. > ~es Anglais, si amoureux de confortable, pht éfé des premiers à appréoer ces. voitures'icit~ dines parfaites et routi~rea incomparables t~ut Û la fois. v 'A. y. y~Nous avons dit l'extrême pimplincation~ îaqueUe M. Léon Bol!6e étàit~rpivé elle h'a.'pas été sans faire impression sur tous ceux, et~ls étaient nombreux, ,qm faisaient I@,toi;u"du ~$lon carnet et crayon en main. Et cela nous, promet do nombreuses copies qui, on s'en doute,

;ne vaudront jamais l'original.-On n'improvïsa

'pas une semblable constructiph, elle résulte de nombreuses années de pratique et chaque progrès est né d'un progrès précédent. Quand, aux usines Léon Bollée, op se décide déplacer un boulon ou. un écrou~ ce n'est qu'à la suite d'une étude théorique approfondie. Puis, cette décision prise, oh la met eh pratique et ce n'est que lorsque cette vérincation,(.par. l'usage, a prouvé l'excellence de l'idée, qu'on la livra au pubHc. De la les châssis Léon Bollée tels qu'ils sont, admirables et admiras.

Si je n'ai parlé jusqu'ici que do la 6 cylindres Charron, il n'en faut p&s conclure que Je type nouveau~étp.it seul à représenter, ~'ài ait avec quel éclat, la marque si justement rppu< Me. Non, il y avait aussi, à l'Olympia, les mo" dèles désormais classiques des Charrùh lee 15,22 et 30 HP, les trois forces si utilement g-ra. duées des 4 cylindres. Et, bien que ~'9:j[:ynw dre5 ait, de sa gloire naissante, éclipse" sea at" nées, les acheteurs,'dont~es~outs,~Ies.moyeM~ '.ne s'ont. pa.'s iden.tiques..Jn'ohtt p&s 'tëmoi~iê mtdhs de faveur, au lahdâulët 15 HP, âu~M~ &pM/.de même forpet aux superbes limousinea 82 HP, à l'autre limousine 30 HP. Le résultat, c'est que le's usines Charron ont leur ann~è à8-< surée et .que M. Georges Kœnigs~artër, leur très compétent directeur, a tout loisir de soigner sa construction dans les moindres détails,

Un mot, en terminant, des spécialités ;Belvalletté. Si tout Paris –.tout Lopdrës aussi– connaît la désormais célèbre suspension huit ,ressorts, ~es tampons caoutchouc, la. limousine pliante dont la vogue augmente avec les''années, on connaît moins, par contre, les plus ré~ centes créations des grands carrossiers de la rue Duret. Ce sont un strapontin perfectionne tout a. fait remarquable et un phaëtoh-IàhdâHlet-limousine, le seul pouvant être ouvert et fermé par une seule personne. Mêty

LES Am!~ de Maisons-Là Œtte i\

Après les Amis du Louvre, ceux du Luxembourg, de Versailles, de Fontainebleau, .yoici une nouvelle Société du même genre qui se constitue: les Amis de .Maisons-JLsfntte. Le château a été sauvé de la démolition et achète par l'Etat, après que le,.Ra.rc,Jbëla,s i.en avait déj~ été morcelé mais qu'enjera-t-on ?

Un projet est séduisant: Y reconstituer la de-

meure d'un grand seigneur du dix-septième siècle, telte qu'elle était et telle qu'on la c~hh'a!t t par des documents précis, avec les iiapisser~ès, les meubles, les œuvres d'art, tout cela ép~fs de. coté et d'a,utre; certames pièces du,mobilier sont en Angleterre, des statues se,trouvent au château de V&ux, une grille est la galerie d'Apollon au Louvre, ~c. La besogne apperatt fort intéressante qui incombera, au Tppservatë~r. fonctionnaire peu privilégié au reste pui~î n'aura ni logement, ni appointements, ;1 ~~à pas de'chapitre prévu au budget., Avec ïo coh.CQurs de rmitiative pdy~ avee.la.volpnté très

ferme des Amts de~îaigons-Laffitte, nous au*

'ferme soüs AmJs m i i r `-

rons sous peu un muséQpréCieu~ Vtsitp~ ~Bk BEAUX BIJOUX

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dùt-HafHid. La Chambre aUant acceptër.cetiëBfSpo-

BUton 'quatid Dôreff, :Butgat-e. ~nstst.a!Yt %urT~. -portancefde ja qucsttmi; a' fëelame'~a'dtsû'às~dn't.à Cb.bre a a~ors dëëidp qu'ëUe aurait :!iem prMhtH.

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;CJL J.jLi.~JL C<. ,JLiJL~ ULJL,~

~tS~ POHTMtIE AXULAÉE ~et débats sur !e budget à ta Chambre des

tords–La séance d'hier

Londres, 29. novembre-; Les jdëbats sur le budget ont repris cet après-midi, &Ia.)Eh{unbre des lords..Il~y avait beaucoup décides ..s)ir.lés bane:s des lords,et peu monde dans les

"tnbunes.

'Lord'Morley ouvre le .débat. Il s'étonne-que les Mr3s.; veuillent s'arroger'le contrôle des finances-et ?te;~oif d'imposer une dissolution de la Chambre des 'communes. Puisque le budget -était si mal établi, pqurquoi.ne pas l'avoir-laissé soumettre à une expé.fiëncejorcément transitoire qui aurait convaincu le pays ? On en aurait alors appelé à ce même pays

exaspéré.

-Sahs doute, ajoute l'orateur, les lords oht.légaïement le droit de rejeter un budget.Dans certains ~cas, ce,droit légal'pourrait même'devenir'un devoir tnaral,. par exemple sll s'agissait de propositions ÏoUes-ypMes'par une Chambre en état de démence. Mais ce n'est pas le cas aujourd'hui. Vos Seigneuries .~croient-elles être les champions des droits du peuEte;'en rejetant le budget ? Crient-elles que la ChamBre des communes, ainsi tenue en lisière,' puisse conserver le-sentiment de sa responsabilité? Croient-elles que les'électeurs aillent voter avec l'intention d'élire une- Chambre vouée d'avance l'impuissance, incapable de' faire entendre leurs désirs

légitimes ?.

Lprd-Morley.termihe.-Bn ces termes

Voter, t'amendement Lamsdowne, c'est réclamer '&' révision de la Constitution voter cet amendement, .c'est; s'engager dans une entreprise terrible. Que-Vos Seigneuries, regagnant leurs loyers après ie vote; ne s'imaginent pas que la Chambre qu'elles ont (nuitée n'est plus qu'une salle de théâtre et que te rideau est tombé sur le dernier acte du drame 1 Qu'elles sachent dans le fond de' leur âme'' que !e JB~up de clairon vient de sonner pour la bataille furieuse et;neut-6tre bien longue..M. tDiscours de lord Rothschild _~ord Rothschild dit qu'il croit interpréter !ea sen~unents du haut commerce et de la finance de la ~Ëité de Londres. La Cité estime que certaines dispositions du budget sapent le .crédit, détruisent la ~nïiancë et portent une atteinte vitale aux sources des. revenus de l'Etat. La. Cité trouve détestables tes. impôts, fonciers perçus ~sans appel, préalablement, à toute expertise. Trois rniHions'de propriétairea terriens, parmi lesquels nombre dé compagnies d'assurances et.de~ sociétés de secours mutuels, sont ainsi lésés.

-:La Cité-.a cpnstat~,que Ïes.capitaùx, effrayés, ont jeng~and nombre cherché uh refuge à l'étranger. Il ne s"agif pas là d'emprunts ni d'entreprises à l'étranger iqui sont profitables chose curieuse l'arëent abonde quand il s'agit de placements à 'éJjanger il est devenu très rare quand il s'agit des entreprises, anglaises les meilleures.. ° .Ce c'est pas la. guerre du Transvaal qui fait que tes valeurs anglaises sont dépréciées. Les valeurs russes. et japonaises se sont améliorées âpres la ëuerre et malgré de nouveaux emprunts aussi importants que ceux faits par l'Angleterre. .{.Le 'grand banquier Montagne, aujourd'hui lord tS~a.ythUng,'riposte.à lord Rothschild.'II dit que le i~rêdit anglais est resté le meilleur du monde entier.'Les capitalistes et les banquiers étrangers ont teur.a portefeuilles bourrés de titres et de papier an-

ëMs. p P

"~e Sébaî ës~. ajourné 'et la séance est .levée à tU.heures ~50.

Le vote -sur motion La.nsdowne aura lieu detnain, vers minuit.

~tte ~t JSo~s~et archevêque de Paris enverra-t-it un « émis. · ~aire a au meeting des boutangers? Une affiche du syndicat

On se préoccupait beaucoup, hier, à la Bourse du travaiL de la, correspondance entamée entre le ciftoy~en Bousquet et Mgr Amette, et le bruit courait .<~[ue l'archévëgue de Paris ~devait se faire représenter .'à .la réunion des boulangers, jeudi prochain. 'Nous ayons demandé au citoyen Bousquet confirma"tion.'de cette importante nouvelle mais le secrétaire du syndicat des boulangers nous opposa ie tnutisma le plus complet.

Je n'ai ;pas.reçu, dit-il de lettre de M. Amette ~m'annonçant qu'il.enverrait un « émissaire )) à.no~~meeting c'est tout ce que je puis ,vous dire~Mala vous l'avez ..peut-être appris quand jnemB.sans~ avoir reçu une lettre? 2 r ~o.us"h'oiaién(Lre~~as'dëmô~unjnotde'.plL~ t -Et"Ie citoyen .nous-signifie gravement,de jie pas

tn~ister. .i-

~Le/syndicat dès ouvriers boulangers va faire apposer à Paris une affiche où il est dit P

~"Nun'.où.jopR?.

-Camarades ouvriers boulangers, syndiqués ou .)Mii syndiqués,'

Tous en masse au GR.D MEETiKG qui aura lieu ie jeudi 8 décembre 1309, à huit heures et demie du matin, salle Ferrer, Bourse du travail, 3, rue du Chàteau-d'Eau, sous la présidence du camarade Sa-

voie. ))

Cette affiche se termine ainsi '1

-~Par lettre recommandée a été spécialement incite apprendre. )a parole M. AMETTE, archevêque 'de BarM, lequel a. déclaré être contre te travail de nuit

)en boulangerie. ))

'PERSÉCUTION RELIGIEUSE

tA PERSÉCUHON REL!G!EU8E

UnedeciarationducardinatAndrieu

Bordeaux, 29 novembre. Le NoMueHt'ste dit que le cardinal Andrieu, à l'occasion d'une cérémonie au grand séminaire, a adressé a son clergé à peu près textuellement ces paroles Nous faisons nôtres les déclarations de l'aLbé Cayraud, député du Finistère, et j'espère que tous, avec moi, vous affirmerez en .ce. moment que nous resterons toujours, quoi. qu'il arrive, les fils détvouéa et'soumis du Souverain Pontife. )) LES ESPMHOLS A~t MAROC

`` i-aMumission des tribus

Un envoyé jduSuttah Melilla, 28 novembre. "Hier soir, le gênerai en chef 'des troupes espagnoles a .reçu la soumission de chefs importants des .Kabyles, des Beni-Bou-Frbur et des Beni-Sidel, qui ~se.-rendent .sans condition. Cette soumission a eu ~ieu solennellement; en. présence des géRéraùx qui ~commandent les troupes espagnoles..

~Lea'Maures ont sacrifié un taureau devant le géané! qui .leur. a dit que l'on respecterait leurs .douars.' Le,général défend, au cours des opérations de:l'AtIanten, de faire Jeu sur les Maures qui s'en- fuient: J:e;g€néra.I est revenu aujourd'hui en automobile

~NBMmBËMËS ,1

a

~ue si vous me demandiez lequel, de M. De.j<Banté;ou de M; Alexandre Blanc, est le~plus ridicule, assurément vous m'embarrasseriez ~ort..D'une manière générale, je crois bien que .c'est M.~BIanc qui détient le record mais en ce \qtn concerne'la seule journée, d'hier, pas d'er'T~ëur :'ils'estIaissé.dépasserpâr:M. Dejèante.. M: Blanc s'est borné, en effet, à plaider la Cause de M. Nègre. 'Ge Nègre est ~h ancien'instituteur, jadis révoqué pour cause de propagande révolution.tiaire. Je vous laisse à penser s'il faut qu'il ait mérité cent fois sa'révocationj.

'Gepondant,Blanc,~ancien maître d'école lui fMSSi;~est constitue le champion de son'frère Nègre et de temps à autre, avec le concours de M. Ferdinand Buisson, devant jequel on ne peut parler instruction primaire sans qu'il éprouve aussitôt le besoin de placer un discours, ïïï'éclame de la Chambre sa réintégration. ~Je dois rendre à M. Briand; cette justice, qu'il a~ortéloquemment invité M. Blanc, etme- me <wup M. Buisson, à ~'occuper désormais de ceqm-Ie~regarde. Votre motion, a/déclaré le président du consei!, empiète singulièrement sur les attributions du ~gouvernement, au premier rang des<ÏueHës~igure le droit de nomination et de rêvoCt3.tion.des fonctionnaires, et je n'admettrais pas :gu.e~a''CbambEeintërvînt,en pareille matière).. ''II-paraît, d'ailleurs, que M. Nègre ~ui, 'e~iï fait. demander sa réintégration par M.! Blanc, ne l'a. jamais, sollicitée lui-même n'a pas cessé de continuer la propagande qui Fa fait F révoquer il continue à réclamer l'afnliation" du'syndicatdes instituteurs à la C. G. T. et dé'dtare OTiyertement que l'Etat n'a rieii a voir à l'6coie;;où les instituteurs doivent rester maîtres

'absolue.

~Le moment, pour dépareilles déclarations, ~~tj~t-étra.Bas très bien choisi, ~ait'obser-

Melilla. Les lanciers et~une division, sous ts co~n. ;mandement;du général Cobos, rentreront demain dans la ville., ~p Tanger (source anglaise), 29 novembre. Le maghzen envoie aujourd'hui à MeliUa l'ancien gsuvemeur de Tanger, Abd-el-Saaec, à la tête d'une: mission pour remplacer le caïd Bén-Sena. Abd-el-, Sadec, qui est populaire parmi les Européens et tes 'indigènes de~T~nger, appartient'~ une famille rif-: .faine~et jouit d'une grande influence dans pays riffain.

lË~TTRE AJL.LÏJES

La défense des ffontièresaustro.itaHennes Rome, 29 novembre.! Au congrès radical, l'ancien ministre Sacchi'a' parlé/de la question militaire et préconisé l'union de tous les partis. Il a déploré les millions dépensés tnutilement pour la'dêfense de la frontière occideti'tàlé, puisque la France n'a jamais songé à envahir l'Italie, tandis que la frontière orientale'a été lais-

.séésansdëfehse.

M..Sacchi a conclu .que la politique étrangle de 1 Itahe doit lui assurer le respect et l'indépendance: pour cela elle doit faire des sacrifices, afin d'être bien.~armée pour soutenir ses,droits.

L'ANARCHIE EN PERSE

,Troubles graves Chiraz

TMuMesgMvesàChiraz

Saint-Pétersbourg, 29 novembre.

Une. émeute s'est produite, hier, à. Chiraz,'parée.Qu'on avait tu6 d'un coup de feu une personne qui: voulait passer et qui ne connaissait'pas le mot d'or'<dre.

gouverneur a été obligé de quitter te palais et de chercher un reïuge ailleurs.

.Téhéran, 29 novembre.

Aux tiermërea nouvelles de Cbiraz, tout ~tait calme, mais le'gouverneur ne disposant que d'une centaine de, cosaques, on craignait le renouveUement des désordres.

.,)",

L A~TTENTAT DE D~~AN q.

L'ATTENTAT ~EMMANCHE

t-'etat de santé du gehera! Verand

'D'après les nouvelles prises dans'la soirée, hier, au Val'de-Grâcë, le général Verand souffre beaucoup de la tête et ne peut se remuer il a cependant peu ou pas de fièvre. L'état général'est stationnaire, les complications sont toujours à craindre.'Le Messé'a. toute sa connaissance et-on l'a laissé recevoir les membres de sa famille. Mme Verand ne qmtte pas le..chevet 'de son man.. < D'après une dépôche d'Oran au Pe<t< ParM:eH. Endeisi, l'auteur de l'attentat de dimanche, est un israélite 'd'origine marocaine dont le bëre est mort fou à Tétouan et dont mère serait également folle.;

Petites nouvelles de nuit Le prince Georges de Grèce est .Mctré Iiier à Athènes.

M. Labori, avocat à la cour de PariSt député de Seme-et-Marne, annonce qu'il a décidé depuis longtemps de-ne pas demander le renouvellement de son mandat aux prochaines élections législatives <' si l'application de la représentation proportionnelle ne venait pas modifier nos mœurs politiques Une dépêche de Saint-Pétersbourg à l'agence Fourmer dit que M. Maxime Gorki a été exclu du parti.soeial-démocrate « à cause de ses tendances conservatrices grandissantes

A Compiègne, aujourd'hui, dit l'EcMr, les caîés et. débits.fermeront dans.l'après-mMi pour- protester contre les nouveaux impûts.

Le conseil municipal de Cherbourg a voté, hier, 200 francs pour soutenir les instituteurs de la Manche dans leur action contre les éveques, et il a décide ensuite de donner à la place de l'église du Vœu, lonomdûFrancisco-Ferrer.

A Cherbourg,, dit l'agence Fournier, une cinquantaine de marins ont été malades~ la suite de l'absorption de viandes .de conserve. Plusieurssontal'hûpita).

Aujourd'hui le conseil de guerre 80 Marseille juge quatre soldats du 4* colonial qui tentèrent d'assassiner dans' les locaux disciplinaires te caporal de garde atin de faire évader les prisonniers. Mm.e.Lecocq, .blanchisseuse, quarante-six-ans, .50, rue Davy, eët renversée hier, .boulevard Pereire, par une Toiture fourragère appartenant a M. Valentm, 9,= rue Forèst.'Graves contusions. 'A'Bichat~ ` M. Georges Bidaux, vingt ans, 2~ rue de Charenton, en descendant un fût de vin dans une cave, s'écrase la jambe. Blessé à Saint-Antoine. Etat

~rave.

Un violent incendie s'est déclaré vers minuit au dépôt do ~a Compagnie des auto-places, à Leva!lois-Pcrret. Pas d'accidents~ mais dega.ts considéra. Mes:

Le Jû!H'Ha! dit que Mariette Wolff a été engagée par une agence de publiciét, comme colleuse d'affiches. Elle débutera aujourd'hui.'

LES JOURNAUX_DE CE MATM HYG!ÊME ET BEAUTÉ

De M. Ernest Judet, dans l'Ecta!

L'esprit d'intolérance et de barbarie qurprësidcH ]a a liquidation des biens reiigieux n'a pas seulement fait du droit do propriété une dérision it s'acharne à détruire des merveilles artistiques que la nature et l'histoire avaient consacrées. m ce qui est plus grave, c'est que, s'il a a des juges a. Paris, ils sont, au nom de ta toi, pour, les dcmoHtiotM scandaleuses et tes pires abominations. Heureusement, il y a encore ici des braves gens, des gens de goût, capables de s'indigner, capables surtout de se coaliser et de s'organiser pour empêcher certains attentats révoltants.

La commission des sites et monuments naturels de caractère artistique a sauve Mer du moMéHement e~.de ta mort, un des plus beaux bijoux de ta capitale, lesiaj'dins du Saor6-Co;-ur, sur le point d'être convertis en maisons de .rapport. A L'OFFICIEL

Le JoM~:a! oj~:c:e.! publie ce matin .?'<t(a;'pM6HM. DÉcrot. autorisant les ~travaux de reconstruction du pont Notre-Dame. La dépense, évatuëe à 1,070,000 francs, sera supportée moitié par rEtat et moitié par la Vitte de Paris.

Guerfe. Un rapport du'ministre de la guerre relatif à l'obtention de la mëfiailte militaire par les généraux de division. Ce rapport dit que la mëdaiite militaire peut être etëccrnf-o aux généraux de division, grands-croix de ta Légion d'honneur, ayant commande un corps d'armée plus de trois aùs ou exerce ces hautes fonctions ou celles de membre du conseil stn'ëneur de ta guerre et qui auront, rendu des services exceptionnels pour i'orsanisation de ladefense nationale.

Ma'!?M. Circulaire de M. Cheron relative au fonctionnement du contrôle de ta marme.

A.

ver le président du conseil, au milieu des rires. Et malgré les vociférations bien méridionales de M. Blanc, comme sans souci des machiavéliques insinuations de M. Buisson, 4i9 voix contre i06 ont repoussé la motion du député de Vaucluse..

A J

J'ai dit que plus ridicule encore s'était montré M. Dejeante. Qu'on en juge. Ne s'est-il pas avisé, dans sa haine antireligieuse, de présenter une motion en vue d'interdire aux prêtres le port de la soutane! Ah ça, vous ngurez-vous, lui a demandé M. Briand, que je n'aie pas mieux à.faire que de réglementer la Terme et la coupe du vêtement des citoyens?

Le président du conseil se demande, d'ailleurs, en vertu de quel droit il pourrait intervenir dans le' sens indiqué par la .proposition

"un'peù étonnante "de M. Dejeante. Un peu

~6ton leuet 1 .1 1 ~pbrjan M. niu îtr' e, cou èt~i.,s,

étonnante H! M. Briand a voulu être courtois, cela se'voit. Mais, quel que soit son désir, de n'être pas désagréable à M. Dejeante, il n'en constate pas, moins qu'aucun texte ne permet d'interdire un costume a qui n'est ecclésiastique que dans la .pensée de M. Dejeante ".les prêtres étant, depuis la loi séparation, des citoyens comme les. autres. 'Ët:Ia motion Déjeahte fut repoussée, à mains levées, a une énorme majorité;' Cela'se passait à l'occasion de la discussion du budget des cultes, dont la Chambre adopta ensuite, sajis~autre incident, les derniers chapi-, ~res.

Après quoi, elle préluda à l'examen du budget des finances par lardiscussion d'une interpellation de M. Leroy-Bëskulieu, sur les condi.tions dansjesquelles s'eSectue la nouvelle évaluation .des prdpriétës. non bâties et sur l'insuf-~ .jisànce des renseignements fournis par l'administration aux contribuables intéressés.

Au prenuer rang des griefs formulés-par'

i ~riht~rpell~tëur~igurë'rihtërve~ dans la composition des. commissions; de~classinGation: et~de contrôle, dont ils écartent~esj citoyens les plus qualifiés lorsque ;I.es opinions de ceux-ci ne sont: pas de leur goût.. ,j Par suite de, l'insuffisance desjcpmmissions; ainsi,constituées,: le.cpntr~leur~est~~peu prës seul-maître de .la, situation~ et do~nB'u classement; un caractère dp nscalité excessif." Aussi.M.'Leroy~Ëeaulieu.demande~t-il, pour mettre les contribuables' en mesura de se d~ fendre contre les excès~de radministration, que'' celle-.ci communique aux intéressés~ses jjrppres~ renseignements sur chacune des parcelles qu'elle évalue. Ce ne serait quejùstice, ainsi-que le demoû-~ trente successivement, aprèsTinterpeII.ateur~ et~ M.'Lefas et M. Bonnevay. Cependant, M[. René' Rehoult, sous-secrétaire d'Etat aux nuancée~ commence par s'opppser~fo.rmellëtneËt;~ la communication~ demandée,, comme' de nature à entraver 'gravement l'effort si diïncile de' l'administration p. Mais, sur une fort judicieuse observation de M. Jules Roche, touchant' l'impossibilité pour les cbntribuables-d'usër 'avec le système du sous-secrétaire d'Etat; ~du~ droit de réclamation que leur reconnaît .la.lo! M. Cochery intervient-pour déclarer que 's'il, ne lui est pas possible d'accepter un ~exte~tro~p~ étroit, son administration ne 'demander .pas .mieux que de permettre le contrôle desJmtë-; tressés.. Nous ~prescrirons à nos agents, ajoût~Ie mmistre des finances, de donner des indications assez larges pour que tous les'contribuables puissent se rendre compte des divergences' qui séparent leur.évaluation de celle de cornmission. Ayant ainsi toute satisfaction, M.Leroy* Beaulieu s'est alors rallié à un ordre du jour prenant acte des déclarations du gouverne- ment n, ~t cet ordre du jour a été adopté maina levées. Aujourd'hui, discussion générala du budget des finances. GieorgMFecehM CouMsaès politiques i.a referme é!ectera!ë `

Un certain nombre de députés républicains se sont rendus hier à la Chambre pour s'occuper de la ré- forme électorale. Tous ont 'été d'avis que cette rc- forme s'imposait, mais qu'elle était'étroitement liée a la. réorganisation administrative de la. Fiance, l'une étant la condition essentielle de l'autre.. Ce; nouveau groupe parlementaire, qui sera; définitivement constitué: vendredi prochain et qui,comprend'des proportionnausfes et des ajitiprqportionnalistes,r a, dans sa séance d'hier, décidé de poursuivre réforme électorale sur la base du scrutin, de liste et de mettre à l'étude la représentation'pro-; i

portionnelle./ }

<.e budget <!est)MMs r LB rapport'de M. Gh. Dumont.sur te Budget dés~ postes et télégraphes met tout d'abord; en évidence. ce fait que les bénéfices du monopole Vont en diminuant chaque année, ïls étaient de 91 millions-en 1905; de 51 en 1906, oe 58 en 1907, de 44 eh 1908; de; 47 millions en 1909. Pour 1910, on prévoit 9,691,798: francs de'dépenses en plus et 8,369,000: francs de re-~ eettës en moins, ce'qui réduirait le produit du'nio. nopole des postes et télégraphea à S8 millions e) demi. C'est la rançon de ta réduction a 10: centimes de ta taxe des .lettres. te budget de tamaWne

Le budget de la marme passe de 333,845, 628 fr. en 1909 à 371,475,862 fr. en 1910. Cette augmentation de 37,630,2M fr. porte principalement sur' les équipages de la flotte (1,638,662 fr.) par suite.. de la nouvelle composition des escadres suj~Ms' constructions navales (11,543,021 fr.) et sur.rartil-" lerie (17,799,923 fr.). La commission du budget a cru devoir, cette année, accorder à la marine tous le~ crédits demandés son sentiment est que les crédits affecta à' l'artillerie, tout au moins, ne seront pas ent}&pe-. ment employés en 1910. Sur la question du nouveau programme iMLV.al,' la'; rapporteur, après avoir/rendu hommage a l'actiViié; déployée'-par le ministre pour la mise au point dé'* finitive des plans construction des nouveaux cuirassés, examine rapidement les grandes lignes de ce programme machines, chaudières, artillerie. Le cuirassé de demain sera, d'après 'lui, de 23,000' tonnes et & turbines, avec 10 pièces de 305 et 18 de }40, et tourelles du type DaH<oM. r

y" t'.I'.

~opp.

BM

UVRES CONDA~ MS M~ES Noua trouvons, dan~ les journaux de la-Hauts-Marne, une intéressante lettre do M. le due de Rarécourt-Pimodan, l'écrivain et poète connu, conseiller général de ce département. Voici cette lettre, qui a produit beaucoup d'eHet local et nous a semblé digne d'une plus grande publicité

Monsieur le directeur, Au: moment où les évoques de France viennent, avec beaucoup de raison, de signaler plusieurs livres de classe, usités dans certaines écoles, comme absolument dangereux, il est intéressant de prendre un de ces volumes, parmi les plus notoires, et de voir ce qu'il renferme.

Je me suis-simplement procuré L~ .Morale, par Albert Bayet, jointe à l'JHS~'MctM'K C!t'~MC, par A. Aulard; dont le nom est plus connu et qui pau'onne toute cette collection. Le'volume du cours moyen en est à son soixante-dis-septieme mille. C'est donc un ouvrage très répandu et il y a bien soixantequinze mille malheureux petits Français auxquels oh enseigne ce qui suit

Ouvrons, page 139 :<t Ceux gu! contînéttent des cnTHCS. S0!ît (ré~ SOUUSHt ~OMt (HMSt (MHS QtM HÛM~ et ce H'e~t pas ~tN' ~<m!e s' sottt (~em~ cn'nn!M<$. '))

No;is ne prétendons pas qu'il'n'y ait point de criminels excusables,, mais est-ce bien cela qu'il fautenseigner à de jeunes cerveaux, en faisant de l'ek-* ception presque la règle et alors que, surtout.dans les grandes villes, la criminalité augmente toù' jours ? Page 155 CojHTne on n~ pett! pa~ sauo!f sczeM' ` <~ttemen! ce gM't< aMra.opré~ <(t t/iort, Aommes o?:t esM!/ë de /e ttèMn~r et !/s oMt'faït)'~ ce SM~et, Mn ~ramd npm()!'c de s!tppM!<:on.J. ".Atnst t'!s on! jfond~ tMt cc7'!<nn. Ho?nt're)de reH- g:OKS. n L Le mot de .suppositions appliqué a. toutes ~es religions qu'on cnumëre plus bas est également insultant pour les catholiques, les protestants, les isràélites. ïl faut donc, de-par la loi actuelle, que des parents catholiques, protestants, israélites~ soient: obligés de confier leurs enfanta à des maîtres qui, dans certaines écoles, insultent les croyances des pareht-s .Nous a~ons .peut-etre.plus fort encore au. point de vue social. Page 135, nous lisons « Pu reK(:er gué ~'E<a( pa'ï'e pour ?M rMK ~M'e ne d?~ere ~Mcfc, d me~t/etHc, d'M!! br~aHdt~u: ~M QtM:'dépens des paMsnfs. J~ sais bien que cela est tiré de Jean-Jacques. Rousseau, très grand écrivain et très vilain hommë~ mais ses brillants paradoxes sont plus que déplaces dans un livre de morale.. j l' .:Nous pourrions citer 'd'autres phrases. Celles-ci suffisent. Que doit croire le' mallieureux enfant qui a suivi le cours de morale de. M. A. Bayet ~? L-es cri- mihels très souvent ne sont pas coupables, la reli- gion.de mes parents n'est qu'une supposition, les 'gens qui ont la Mnte sur l'Etat français ne,diffë- trent guère-dès brigands, t. ,Inutile d'aller plus;!oin, en ajoutant que notis ne -visons: ici aucune/école .déterminée, et que r~onoT. .rabilité personnelle de' l'auteurin'est pas en chuse,. mais seulement ses qualités d'éducateur. j Veuillez agréer,, iponsiëur le-.directeur, l'exprès-~ sion .de ma. considération la plus 'distinguée..

:J: P~DAK.~

Echènay (Haute~îar.ne), ce22B,oyémbre .MOS~ j ` ~S~~MESO'ESP/0~4GE J

ESPM~MMM~-(~M!&!

On; ne sait..p.as encore.exactement s'iIs'agitK'rai-

()n~ fl,e .P, sal s'agy;zrai

;mënt d'une affâu'e'd'éspiohnage ou d'une audacieuse .tentative d'escroquerie, mais l'incident, dont on ~âit le plus grsmd mystère, provoque dans les tni-' ~lieux; militaires .une 'assez vive émotion en 'raison .des norhs derrière lesquels tenté de~ s'abriter-l'mdi'vidu: arrêté tuer; et qui prétend ~tre: un soùs-offieiër idëTarmée italienne, du nom de Rossi.. \j Il y a quelques semaiDes;dejà que le vrai où-faux'! u' ~Rossi se présentait au.généra.1 commandant'ia place ` ide Nice et lui.annon~it qu'il possédait la. preuve' 'de la trahison d'officiers'français, ïl Tacohta' .'qu'il avait réussi à: dérobera Rome, dans-;les.bù- t 'reaux~du ministère.de guerre italien, un certain~ ~.nombre,, de- documents mtë.rëssàht notre i défense' jnalionale-, et. livrés a l'Italie par des officiers îran- J çais. ~1 offrait, à l'appui, de; ses accusations les photographies des documents ën'questioh. I.e ~en~ral.ccmniahdajit la blace de Nice'jnii le

)' ~sous-officiel' RpssL"sous la ~surveillance' d~un of!fi-

cier~quitdëvaifleconduire'à Paris au ministère de

la'guërre: a'il LecolonelEbener.chefdu bureau des renseignejnents.~au~ntinistère de la guerre, reçut le déhon:<:iàteur'et lui fit'préciser la nature dës~ documents' .livrés~et l'interrogea longuement sur. l'identité: des officiers qu'il accusait de les avoir livrés. Rossi précisa; que~ ces docum'ents-, avaient trait. au plan de mobilisaHon du quinzième cbrps,~ a l'ar-, -piërnen~ des;f6rts dë~'A~lpes./aux troupes dè:cbùvër-~ ture ils comporteraient en plus un plan..du, cui.( rass.6 DëmocfaMe.-rAd'appui~de ses affirmations il ` 4~ëfia par;Jëurs~noms d~es officiers d'état-màjdr aeilaguerré.etdelàmsu'ine. ;;Gt)mme Rossi n'apportait aucune preuve matérielle de ses .déclarations et ne consentait à remet-

tre-les photographies qu'après qu'on lui aurait

versé'une'-prëmièresom'më de 3,900 francs, le colonels Ebener invita 'le service d'espionnage de ta. Sûreté. générale' à" lui fournir quelques~ renseigne-~ ments au'sujet du personnage. ° Des qu'il entendit parler de la Sûreté-générale,' Rossi protesta avec violence. 1~ ne voulait pa~ avoir affaire à la police'mais seulement à des offi-' ciers ou au gouverhement'frahcais. Il déclara que Si on, refusait ses renseignements il'les porterait, à" .Allemagnë.. "Gettê 'attitude parut suspecte, et, comme on re!eva,r dans les fiches de la Sûreté ~ëhéralë, qu'une arrêté ~d'expulsion 'avait été pris il v 'a quelque~ temps contre X. dit Rossi, par le préfet des Alpes-Maritimes, on~profita de son infraction à cet' arrêté :ppur s'assuren de la personne du sous-offi-" cientaUen qui fut conduit au Dépôt.

M. Boucard, juge d'instruction, aussitôt commis pour suivre cette affaire. & inculpé Rossi de tenta<ave d escroquerie. Le bâtonnier désigna d'office'M* René Fabre. pour défendre l'inculpé.

'~Les offieiers;nommés par Rossi ont. tous déclaré n avoir jamais eu affaire à lui et l'ignorer complètement.. A la Sùreië générale on déclare que le faux Rossi car ce nom n'est pas celui du personnage.n'est. qu un yulgaipe n~altre chanteur. On'en'quête sur son passé et notamment sur son. séjour à. Nice. i ;Em.B.

!`

L'attentat contre LE.

gênerai Vérand

,L'état u blessé~ R* réclame le, régime dès,

L~tat <!u bteMë Rojbm ~éctame teTégime des

dMenue po!)t!quts Ses

revendications

L'état du général Vérand était, hier matin, satisfaisant, et jtes médecins estimaient que, désorinais, aucune complication n'est à redouter le blessé souffre néanmoins beaucoup de ~a blessure, placée, comme on le sait/à la nu~ue, c'est-à-dire dans un endroit des plus dangereux et aussi des plus pénibles à supporter. "M. le général Vérand a pu s'entretenir lon"guement avec. sa femme et recevoir quelques garnis intimes. Le plus g'rand repos lui est toute-jfoisprescrit. Le dossier d'EndeIsi Robin, l'auteur de l'at- tentat, a ëié transmis à. M. Bburdeaux, juge d'mstruction,.par M. Guichardon, juge de seriVtCe au petit parquet, qui a procédé au.premier mterrogatoire du meurtrier et l'avait mis sous ` mandat de dépôt..

M. Bourdeaux va continuer la procédure, .mais un premier jt~cident s'est produ~: M" Bonzon/avoeat de Robin, a adressé une lettre au président du conseil, ministre de-Fintérieur, pour lui demander de faire mettre son client au régime politique.

Le mobile, .dit-i], auquel a, obéi Endaisi Robin dans sa surexcitation grandisss.nte est 'absolumeh .'politique. 11 n'avait'aucune ammosité personneHeL contre le général qu'il et si mallieureusement atteint. 11 ne le connaissait même pas. Bien plus, ce n'est pas lui qu'iF croyait frapper, mais un'de vos collègues, M. le ministre de.la guerre. Son geste était inspiré par des préoccupations se rattachât! une'question politique, cel~e des malversations ~commises dans les bureaux arabes'.

Voici, d'ailleurs, les revëndicati.ons contenues 'dans la plainte adressée par Fancien secrétaire 'de la commune de Bou-Saada:

Doit la commune militaire'indigène de Bou-Saada (département d'Alger) à M.'Endeisi Robin, ancien secrétajre civil de ladite commune, 4], rue des Pe' tites-Eeuries, àParis, savoir

Traitement du 5 au 31 décembre 1908, à raison de 260 francs par mois, soit. 260x26 30=?25 fr. 50. Gratification votée, par la commission municipale. qans sa session de novembre 1.908'{j.'ai'été-rayé,de' ..l&liste des gratificatmns après le vote de.la.CQmmis- sion municipale, ce qui est irrégulier.et bien mes~ .quin~pour'des ofticieps)'2? francs.' Tj'aiten~ent ~é'janviér'MOa septembre (360 francs par mois), jusqu'au jour de la' notification d'un arrête de révocation conformément A la. loi du 5 avril' 1.88~

Dommages et intérêts 30.000 francs.

Total général 32,!)&0 fr. 33.

I! ne semble pas que la liquidation de ce compte– même retardée par des difficultés de procédure soit de nature à motiver l'attentat dont .s'est rendu'coupable le réclamant. A' sept< heures du soir, une perquisition ordonnée par M. Bourdeaux, iuge d'instruction, à été opérée au domicile de Robin, 4i, rue des Petites-Ecuries. Les papiers et 'là-correspondance de'l'ancien .secrétaire ont été saisis.. P.R.

HOTEL BJE VILLE

<-M dons Chaucha~d

M..Badmi-Jourdin rappelle.au conseil municipal que lors du décès de M. Chauchard il fit'mettre.ù l'ordre .du jour une question sur le mode de répartition'.des sommes provenant'des dons. ou legs de M. Chauehard aux pauvres l'administration repondit qu'elle ignorait Texistence de ces libéralités. Mais il pa~att,que depuis des sommes ont été touchées. Est-cë'~ëxa.ct etcomment oni~ëlles été distribuées' ?

Le directeur de l'Assistance publique répond qu'il y a deux ou trois f:rnois"aes notaires de M. Chauchard et de !~me Boursm-ont fait savoir que le~ héTitiers do M. Chauebard: étaient disposés a .faire un don manuel de ~200,000. francs et Mme Boursin un don manuel de l,OOQ,t)CO, aTAssiatance publique. Les donateurs ont demandé que! serait~le meilleur'emploi de ces libéralités. Le directeur de l'Assistance publique suggéra à Mme Boursind& répartir lé'revenu'du don de 1 mil[ion 200,OQO francs ~en cent-vingt, secours de 300 francs qui~seront accordés .aux ouvrières seules et chargées ide famille.. Mme Boursin eMes~héritiers de M. Chauchard ont àppro.uvé cette répartition qui profitera à des ouvrières dont le travail a'sou vent aidé à faire la fortune du Louvre et :des grands magasins. Ce n'est pas-un.legs de M." Chauchard, fait re. ` marquer M. Mesureur. L'argent a été verse de la n)ain.à;la.majLn..

M. Badini-Jourdin se déclare satisfait et remercie es donateurs au nom du conseil.

En faweufdM indigents

M. Emile Massard propose qu'à t'avenir les cartes "d'assistés délivrées par les' bureaux de bienfaisance soient envoyées soua enveloppe. ~Ledirecteur~de l'Assistance pubhque objecta qùe~ ta mesure proposée par.M. Massard enlèverait toute responsabilité aux administrateurs des bureaux Ue bienfaisance. Et puis, une carte sous enveloppe 'et. sans signe extérieur risquerait de s'égarer parmi l6s prospectus. Il en résulterait des difficultés considérables et des réclamations, car la. carte constitue une piëëe comptable justiciable de !a.eour des conip~tes. 'J: ~M.Deslandres~dit_qùe. les cartes ddivent;6trË retïlises eh mains~propres aux indigents par .les commissaires, des bureaux-de bienfaisance. Quand ils ae trouvent pas l'indigent à domjëilë, ils doivent, au ,beu de/.laissër la.c~rtee.n vue dans la loge du cohcierge/la mettre sous enveloppe'au nom du titu-

laire.

~En outre il:signale ce fait'que, 'très souvent, .ce sont des'mtermédiaires qui,~ munis de ~,carte.; se présentent a. la plac.e du titulaire pour'toucher le së'~cours mensuel, ils remettent ensuite: ~.l'intéresse ce (pu leur convient: C'est umabus.qu'il faut faire ces.j'ser. M. Emile Massardf se ralliant a cet avis, modifie ~.spn ordre', du 'jour :en~ce. sens.qu'il dë\Ta~etre,fàit i usagé d'enveloppes, toutes les fois :,qûe ..? carte

'n'aura pa~ .été remise au~ indigents en majns pro-

~res.'Lc conseil adopte. ).:L~ Le monopote dM~jëux

~M~Chassaigne~Goyon~président du~comite du bud- get,'va demander que les jeux de hasard soient é~jtlôites Qtrectement par l'Etat-dans les Casinos 'et ~sutres'établissements ouverts au puMic.~ ~Les bén,ëfMês qui en. pourront: provenir seront -affectes pour- les -trois, quarts à'. l'Etat .et' réservés' à rétablissement, des. retraites ouvrières -l'autre' quart- ira .aux ~sièges des 'établissements et sera .consacre aux ouvres d'assistance,, d'hygiène, etc.-

.M. 'Paul'~s.çudier fait émettre un-o.Vts favorable à une demandë.du comité ~qùi sollicité un emplacement-place dësJËtats-Unis~poùr v ériger un'monu-' ment a'. Horace-Wells,'savant ouh-le premier, atipuquêl'anestKésie. ` ::S.aint.RÉai-

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L'ÉTRANGER J~ J~~O~C mondotïne ~-LONMES.. –~Le~Ro! Edouard a chassé jeudi; avec son hôte tord -Farquhar.-Beitës battues de faisans. Les autres fusils étaient lord 'Leicester, lord Dalmeny, lord 'Herbert Vane-Tem~est, M. Henry Stonor et sir WiHiam Pfolkes. –Le Jour de naissance de ta Reine'Maud de Norvège a ëtë célébré jeudi à AppletonHouse. Sa Majesté a reçu un très grand nombre de beaux présents, des souverains;~e l'Europe'et d'amis personnels. Le .Roi Edouard est vehtt en automobile de. Castle Rising, chez tord et lady Farouhar, pour apportera sa.BHe ses vœux et un fort beau cadeau,et n'a lunchê avec elle. Dans la soiree; un-grand banquet fut,dohné en l'honneur de la ReineMaud, a'Sandringham. La, sont conviés de nombreux invités, mercredi, pour l'anniversaire de la Reine Alexandra. Le'Prince et .la Princesse de Galles ont terminé ven"dredi leur séjour chez lord et lady Powis, à Powis Castle, puis sont retournés & Sandringham. À leur passage dans les rués~pavoisées~de Wëlshpool, i!s ont été fêtés par tes ovations de miiliers d'habitants et..d'entants dës-éeoles. Pendant les trois jours de battues i) a été tue p!us de 3~000 faisans et perdreaux. Le.prince de. Galies a tiré en perfection; il a réalise entre àutrës.ce record remarqûab)ë ~de' tuer quatre oiseaux d'un' seul coup de fusii. –Leeapitaine'hon. Charles GreviHe, seul Ms'survivant de:!ord et lady'Gréville, a épousé, & Saint-Paut's Church (Knigbtsbridge), à Londres, te 24 novembre, Mrs Henry Kerr, nile de M. J. W: Graw, décédé. Citons parmMes parents et amis lord et )ady Gré* ville,' bon. Mrs Hay, le duc et la duchesse de Montrosé, miss 0. Hay, non. Mrs George Greviite, comte de La Bédoyëre; vicomte et vicomtesse de La Bédoyëre, Pnnce Atexandre de Teck, lord et lady Northcotë, tady :Decies, hon. Mrs He.nry Denison, capitaine et bon. Mrs. Ltimb, marquis et.marquise of'Breadalbahe; iord et !ady Donoughmorè, marquis et marquise or Graham, earl et couhtess or Longford, ear! et countess'of Oùslow, marquis; et marquise ot Graham, etc.

Apres'ta cérémonie, réception 22, CarKonTerrace. –'A.CastIe-Rising, !eRo: Edouard a créé ehevalierscommaadeurs de t'ordre de Victoria sir Wi)uam Ffolkes et sir Somervitje Gurney. Ses deux nominations ont donné )iëu à une intéressante cérémonie.. 'Le RoL assis sur un tron~ placé sur uae estrade, a procédé à t'investiture des deux nouveaux chevaJiers} qui ont piëye te genou devant lui. Prenant une épée, il a frappé légèrement tes deux épsules des deux. chevaliers en disant à l'un « Risë, sir WiUiam n, et a l'autre « Rise, sir Somerviite )', puis U leur a remis les insignes de l'ordre. Ce qu'il y a de particulièrement intéressant, c'ëst:que j'épêe dont Edouard Vt! s'est servi est celle du célèbre Roi Jean d'Angleterre,-mort en 1216. Cette épée appar- tient a. la corporation de la viUe de King's-Lynn et, selon la tradition, elle aurait .été donée par le Roi Jean à un moioe de cette .ancienne viUe; Elle est conservée soigneusement à l'hôtel de vi))e,de King's-Lynn, dont elle est une des~plus précieuses curiosités.

~BRUXELLES

La vente de la collection d'objets d'art laissée par M. Fétis~a réalisé 71,000 francs. La société Les Amis du Musée a acheté 9,OM francs Z/jMoMttO!: des Atages, de Breughel l'aîné. ~poHon er Diane, de Cranach, a atteint 4,300 francs. A'signaler encore un tableau d'un. peintre ftamand inconnu, vendu 10,000 francs; un diptyque représentant les enfants de Jeanne la FoUe, qui est monté â7,0û0franes.

M. Beau,'ministre de France à Bruxelles, vient de. rentrer de congé, et a repris ses fonctions..

1) est p!us que probaNe que !a légation de France pourra être installée yere )a mi-décembre dans l'Mtel de Spoetbereh de Lovenjou], boutevard du Régent, dont lès travaux d'aménagement avancent rapidement.

–.Le.premier secrétaire de la légation d'Angleterre et. )a comtesse de GranviHe sont partis samedi en 'congé d'un mois.

–Le, capitaine Duruy, attaché mi)itaire de France, et Mme Duruy viennent de s'installer dans un coquet hôte! qu'i)s ont loué 36, rue Vitain-XI! près de l'avenue Louise. –L'Infante Eu!a!ie d'Espagne est actuellement en visite chez le'ministre de Costa-Riea et la marquise de Peratta, au château de Kinkempois, près d'Angleur (Belgique).' Jeudi, '!es~chatë)ains ont donné, en son honneur, un dîner de quarante-couverts; i)s. étaient aidés à faire les honneurs par le marquis et la marquise de GontautSaint-B~neard.

Parm'ies convives: le.gouverneur de Liège, le bourg-, mestre.~Li~ge, M. Em'!e.D.upont, viee-président du Sé- '6at,:min!stre d'Etat; Mme E. Dupont, et toutes )es no;tabiI)tes'f}é,la'vii)e;M. et Mme Grenier, leurs fils et, teÙes-fHtës; taron de'Se'narclen~etsa~Delle-fine, 'M. et; Mme Emile Digne.B'e.

Le. titre de baron vient d'être conféré à M. Léon Janssen.ie nnaneier bien connu. En outre, l'extension du titre de baron a été accordée aux fi!s du baron Lambert et du baron Beyens, directeur de la Société Générale. M. de Baguer y Corsi, ministre d'Espagne, a donne ces jours derniers un très élégant dîner en t'hpnneur de sir Constantine Phipps, ancien ministre d'Angteterre à BruxeDes, et de lady Phipps..

Le prince Henri de Ligne, secrétaire de !a légation de Belgique à Tanger, vient d'être nommé secrétaire de )a légation aux Etats-Unis.

~VEJ?S

–La~aronne de Catérs, née de Caix de Saint-Aymour, vient de donner à Anvers, à l'occasion de la semaine d'aviation, qui avait attiré dans cette ville une toule considérable, un grand diner, auquel assistaient, centre autres convives comte et comtesse Adetin van de :Werve, baron et baronne Pierre d& Caters, baron et baronne'Guy van Zuyten de Nyeveit, baronne Enguerrand de Gaters, baronne de Caters, née Ciosset, M. Uiiecs de Merxem. baron Georges de Caters, comte de Caix de Saint-Aymour, etc., etc.

Le lendemain, à cette même occasion, le consul généra) de France et Mme Crozier donnaient un élégant dîner, dont les convives étaient Mme Osterrietb, M. et A~me. Robert Osterrieth, Mme de Cort, comte de La Vautx, baron van'Haeften, le'sculpteur Bugatti, etc. ~~œs

L'Archiduc Francois-FerdittaDd vient de chasser pendant deu}{ jpurs chez le comte et la comtesse Lariseh- Moennich, dans le domaine de'Solza, près de Karwin. Le tableau~des deux .journées représentait 4,400. îaisans, dont l'Archiduc ~avait'tiré 1,200.

Parm! les .invités les comtes Haos.Harry et Frédëne Lariseh, le'prince de Starhemberg, !e comte Ernest de Silva.Tarouca, le comte et ta comtesse Lêopold de .Stemberg, le colonel comte Fétix de Thun et Hohenstein, la comtesse Henriette Chotek, )e baron et la baronne Charles de RumersMreb, le comte et la comtesse Ottdkar Czernin, le comte Eugène de Ledebburg, 'etc. L'ambassadeur de'France & Vienne, M. Croziër, a inauguré la série de ses réceptions, d'automne par un dînersuivide bridge. Le couvert, était mis dans !a salle à manger en rotonde, dont l'harmonie des tons gris et or pâtis étaient rehaussés par la décoration ftorate, chrysanthèmes et ïeùi))ages empourprés de l'automne.

Parmi, les convives princesse Demidon', comte H. Lariseh, le chargé d'affaires d'Angleterre, thé bon. Th. Russe!, Mr et Mrs Wood, née comtesse Lonyai le chargé d'aBairës d'Amérique et Mrs O'Shanghnessy, Al. Bibikofr, M. et Mme Leghait, )e capitaine et Mme Levesque, MM. Dard, Sauerwein, Guerlet et de Toulgoët. ~BRM~V

On se rappëHera que lorsque, au printemps dernier, la santé du ;.rince-évêque de Bresiau, Mgr Kopp, inspirait:Ies plus vives inquiétudes, l'Empereur a demandé à être tous les jours tenu par dépêche au courant de l'état de l'auguste préiat. Apres'son rétablissement, Mgr Kopp avait prié Guillaume II de bien vouloir lui fournir l'occasion de' !e remercier verbalement de toutes les sympathies qu'il'lùi a témoignées. C'est dans ce but que GùiHaùme I! va rendre visite au prince-êvêque des son arTivêeâB''esIau.

On annonce pffieieHement que la Grande-Duchesse Alexandra de'MeekIembourg-Schwerin~e trouve dans une situation intéressante. U'hèureux événement est attendu au printemps prochain.

/M7CH Le Prinee régent de Bavière a quitté Munich mercredi, pour a)!er-chasser dans Eesabmainesde Spessart.. H-êtait accompagné des Princes Louis et Lêopold, du consei!)er impëria) Ferdinand von Mitter et du comte Wolfskee).

.4LS~7--PB7'EMBQUKG

Le'Grand-Duc Serge MDdiaiJbvitch a présidé ces jours-ei ta fête du centenaire de'artit)erie de ]a forteresse Pierre~et-Pau), à laquetle ont assisté tous les géaergu\et les orficiers'supérieurs'actueUemënt~dans la capital.? –Lundi dernier a eu Heu !e ba) anhuë! de l'Univer site. M:était précédé d'un'eoncert~auquel ont pris part les~ principaux artistes'de l'Opéra impériai.

Concert êgà)ement à )a:sal)e de la Noblesse La Grande-Duehesse'Mi)itza-Nico)aevna. le Due et ia Du- chessedeMecklembourg-Strelitz. la Princesse Hëlëne de Leuchtenberg étaient aux premiers rangs;

La Grande-Duchesse Olga-Aiexandrovna et )e Prince Pierre d'Oldenbourg, avec leurs enfants, sont rentrés dé-

finitivement à Saint-Pétersbourg.

~Af~D~D La marquise de Aranda est morte dimanche. Dona B~trix de Saavedra.y Satamanea était ladite .du comte de

~Ubasaet.là petite-8)]e'dudue ae'Rivss, qui'fot'ua~

r tresdistîngue. –,0n.annonce'1e~.proehaio mariage e A~ie./Marie" f Parages. mie du. président~deia chambre 'de commerce française a.~ Madrid,: avec "D~on~ Leopoido' Oajrcia. Duran. –On annonce plusieurs fiançailles dans la haute sociêté madrilène. Mlle: Concepeion de los-Santos Guzman y O'Faril~s'unrira bientôt-a don<Fernand6 Suarez; Proe~am'emënt sera béhi"lë':mar)agë de M!ie Juaha de .Vilehes.y G.uiros. petite-fiDe de ta. vicomtesse de Barrantes,'avec don Francisco'Gutierrez'Gamero. '.i~ ~N~PLE~ 7 c –Pluie incessante-pendant huit jours. Depuis, assez beau. temps; avec ciel gris et température au-dessous'de lanormate.; Au Tennis-Glub, !e tournoi Partenop&o s'est poursuiv! ayee~ ardeur. Les handicaps termines/tes prix ont. été distribues dans [e,sa)on du club,par. !a marquise Gar!ghant, assistée: du vice-président, le marquis Pedicini. .De nouveaux membres du ciub ont été admis )e.marquis Arati,.M. Joseph GaraecioloCastagneta.-M. de Montemajor.. –<A")'occasion du vmgtiëmean'iiversaire de sa topdation, le C)ub Cahotterieri était en tête. Les régates ont très tien réussi,: maigre la mer houleuse. Trois.hofuvettës embarcations, yoles et canot, ont eu respectivement pour marraines Ml~es de Seta. Marguerite de Lo .Feid et Beatrix Caraeciolo Forino.

~BUC~RBSr –LL. MM. ie Roi et )a Reine ont quitte Sinata samedi pour rentrer à Bucarest, mais aucune réception ofScteIle, suivant la volonté royale, n'a été faite, à la gare.. Seuls tes ministres et. le préfet attendaient ,1'arriyée.au.train. .S. A. )a Princesse Sophie de Wied, qui était i'hôte.de Leurs Majestés depuis .plusieurs semaines/est repartie pour l'Allemagne.

M. Spiro Haret, ministre des cultes et de. l'instruction publique, a quitté Neuheim, où il faisait une cure, pour aller terminer son congé a Menton.

S. A. S. le Prince de.Sehoenbourg vient, son congé termné, de rentrer a Bucarest. Le général docteur Dianu, ancien médecin en e~ef, est mort subitement jeudi, à l'âge de soixante-nëut ans. ~~7'HEMES

Su* Francis EIliott, ministre de Grande-Bretagne, lady EDiott donnent des soirées de bridge dans l'intimité Dîners très élégants à la légation de Belgique, che? le prince et la princesse Pierre de Caraman-Chimay; i la légation ~d'Italie; thez le marquis Carlotti; à la lëga. tien de ~Hollande, chez le jonhheer et Mine de Sturler. M. Jules Bois a fait une conférence très intéressante. Vient d'être célébré'le mariage de M. Henri de Littinières, ingénieur français; avec ~MIIe Skousës, nièce de l'ancien ministre des affaires étrangères. Universel

LETTRE~ BERLIN ¡'

Le quafanttëme anniversaffe de !a Société phi. tanthro~ique ft-ahça!se. Motre co!bnie et iësëléments qui !a constituent. L'ambassade, centre de vie nationa!e. Entre noua. Berlin, 37 novembre.

La Société, philanthropique française de Berlin/qui a, comme on sait, l'ambassadeur, de France pour président d'honneur, célébrera. prochainement le quarantième anniversaire de sa fondation. La Société philanthropique étant l'âme et la', vie de notre colonie, qu'elle personnifie et résume en quelque sorte, le moment me paraît opportun pour consacrer à la colonie ellemême quelques notes sans prétention, dans le but d'attirer sur elle l'intérêt bienveillant de la patrieàbsente. II est à peine besoin de faire observer qu'il ne s'agit point ici de la colonie huguenote, dont les premiers membres arrivèrent jadis en Prusse, sous le Grand Electeur, car, bien qu'ils aient conservé une certaine autbnomie'ét quelques particularités sociales et religieuses dénotant l'origine française, leurs descendants sont depuis longtemps de fidèles sujets des Hohenzollern. La colonie française, notre colonie à nous, se compose de l'ensemble des .Français oui'habitent temporairement ou de façon permanente la capitale de l'empire allemand,. Cette colonie n'est pas nombreuse. Elle compte un millier de membres en tout. Aussi paaset-elle à bon droit pour l'une des plus petites colonies étrangères de Berlin. 'Elle doit donc être regardée comme infime; comparée surtout à la colonie allemande de Paris, qui compta .près .de cent mille membres. 'Elle. accuse cependant'une tendance marquée s'accroître, et chaque, jannee qui s'écoule;la .voit auginteBter, mais dans une faible mesure seulement. Jl n'émpËChe qua.Ia..cQldMe franc~i.s.ë dE; .Berlin pourrait et devrait être infiniment plus considérable. Les raisons de son peu de développement veulent peut-être être recherchées dans les événements de 1870-71. Pourtant, ces événements sont déjà bien loin de nous et notre colonie n'a progressé que d'une façon inappréciable. Sans doute, il y a la"" poussée vers l'ouest cette loi ethnique qui fait que le mouvement de migration s'effectue de'l'est à l'ouest et non de l'ouest à l'est. Mais cette loi, dont l'existence n'est pas douteuse, paraît cependant insuffisante pour expliquer notre cas. D'ailleurs, et contrairement à ce que l'on peut constater dans les autres colonies, l'élément ouvrier proprement dit n'est presque pas réprésent<ë dans la nôtre. Le gros de la population française habitant Berlin se compose de maîtres de îang'ue des deux sexes/de ~précepteurs et dp gouvernantes, de « premières." dans les.gran~ des maisons de couture et de modes, de cuisiniers et de coiffeurs, d'apprentis et de'volontaires dan? le commerce, la banque et l'industrie, de représentants de maisons parisiennes, lyonnaises, stéphanoises, bordelaises, etc. Il y & aussi des commerçants, des industriels établis mais en très petit nombre.. j

A

x,t

Mais si peu importante qu'elle soit.numérïquement, notre colonie existe et compte peutêtre plus, moralement, que d'autres colonies matériellement plus développées. Cette importance relative, elle la dpit. surtout à la Soctété philanthropique, qui constitue son centre d'action et d'attraction, qui groupe tous ses membres par .la sollicitude dont elle les environné et les fêtes brillantes qu'elle donne, et qui, tout eh les groupant entre eux, les rattache solidement à l'ambassade, point central où se font sentir le plus fortement les pulsations de notre vie nationale. Car si les ambassadeurs- changent, l'ambassade reste. Elle est d'ordre permanent, tout comme les' intérêts dont elle à là .garde. L'ambassadeur actuel, M. Jules Gamr bon, a succédé, on s'en souvient, il y a;uh,peu plus de trois ans, à M. Bihourd, qui avait succédé lui-même au marquis de.Nôailles, cet ambassadeur idéal que l'Empereur avait en si haute estime. M. Bihourd, qui n'avait 'pas le sens des choses de la presse,- était peu accueillant pour les journa!istes..Mais ce n'en était pas moins un esprit clairvoyant et fin, qui donna parfois à notre gouvernement des conseils ih'finiment précieux.

Lorsque M. Cambon vint à Berlin, ]a situation entre Ia,.France'et l'AIlemaghé avàit'déj~ perdu en grande partie'son caractère'd'acuité, mais elle n'était pas encore devenue absolument normale. M.'Cambon,'qui arrivait d'Espagne, connaissait très imparfaitement l'Allemagne et les circonstances spéciales à ce pays..Il dut s'initier et, naturellement, il tâtonna, parfois .même il'së trompa;'Mais, diplomate intelligent, ayant à. un hâut'degréJa connaissance des hommes et,-d'aiHeurs, très désireux de réussir, ne tarda pas à trouver-la bonne voie, d'où il ne s'écarta plus. Il convient d'ajouter qu'il~est entouré d'excellents ~collaborateurs. M.de .Bérc. kheim, notre conseiller, est; un homme charmant, qui possède son Allemagne comme pas un autre de nos diplomates. M', de Carbdnnel, qui vient de. nous quitter, est l'anabilité eHa pondération mêmes. M. Hei-mitte est un ,Iabp. rieux et. un modeste, qui né. semble pas avoir suffisamment conscience de sa valeur.' M. Tripier est un diplomate bienveillant et avisé. MM. Màugras et Bruère sont des professidhhëIs.'Les attachés militaire et naval, le lieutenant-colonel Pelle et le capitaine de frégate 'd'AndrezelIe sont' dëp.uis :peu de tëmps'à Berline lis' passent ."éahmoins pour .des spécialistes très au fait de !eur métier. Le consul Béuh'é, qui vient de 'prendre sa' retraite/était d'abord~ un peu IfroM 'et d'apparence quelque peu .'fruste/Mais; é'n'rëalité., c'étâit'.uh homme d.e~ valeur qui -connais~sait admirablement le& choses de',ce .pav's~ M Fuchs., qunui succède.;es~ encore trpp nouveau

ici pour qu'il me' soit possible de~pàrlër.'de Jui

'¡CI :P., ,P.de.ly

en connaissance .cause. J'en dirai.autant''dés jeunes~ attachés du consulat. -MM~ Soupéz 'et

d'Ab~bas.

'.M~B~our.d~.Ie~majqu~ ceh'ures .r~r'ihassadé.se-.trouvJt.. de co fait. ouelque oëu délaissée. Pourtant diSt


'~ntës.Tëprises/TEmpereur .'s'était~'invité ;~hez''

'~ùp~et chez'rautre/~ù;i ~rériatt, d'aijléurs,~un~ visible plaisir.â se trouver. Bepûis'qnë:~M:Cam~: ~on''e'st'icr,:t'âmëassàde~a=':ëtÉ~'Objët\a'uin~ 'se ~nëuf:con~èt~. Sbn'~îtstalîatiôn a~ é renouvelée 'de fond eti combla Tjës~~irconstaù~ ces~idht~ fait qtie; jùsq~. ce qour~l'Ëîapereur "n'a pas ëncore'té l'hôte dtp nouvel ambassa-

dëùr.'Celâf~ënQra.. ÏÏ.y~ liëu''dé'cohstàter quJ3,

~ouÈ M.Cambon., '.j~àmb~sëade'ëst. s 1 sd~'He. du

.q~àsi-isolement :de;;naguèr~M.ët Mme ;Cam-

~bon:'y" donnëht~d'assëz frëquënts dîners, ou fi'.gûr~ht de nombreux invités. Ils procëdent p&r r ,.sër!es. Tantôt -ils' -réunissent à leur; table une .isoeiété.~r.istccratique'triée sur;~e:volet,~ tantôt :ils invitent des hommes politiques, d6S:fdnctipnna.ires''inipëriâMx 6t''prties!erts. H leur arrive.'mênië~, par'"ci: par la, d'inviter des journa"tistës .allemands'– mais ils ne le.font qu'a'.bon

'cî.ent. < 'r

"II y; a:deux ans tahtpt, .rambàssadeur:.donna

de.ux grands déjeuners a des compatriotes. de distinction. les .membres dn congres. ;d'hygiene. et cë.ùx 'dû. congres .dp" la presse. Perspnne~n'a à oublié lef très; diplomatique discours qu~il i pro- .nopca en cette occasion et la réponse si spiri::tueHement sensée que Ïui~ntM~ Adrien ,'H.ë- ;b:rar,d~ M:Gambon prêta: ïnpmë/'rànnëe der~nière, ses salons aux organisàteuràdeâ Gonce~rts de musique trancaisé, patronnes par de hautes personnalités ~de'France, 'et" qUi 'eurent lie.u en présence d''uné tres.briilaTnt.e assistance. :0n ne saurait'prétendre, toutefois, que les artistes français,'lorsqu'ils n& sont pas très. connus ou très recommandés, trouvept a rambas~adë un .concours Futile. Laissez-moi vous citer un exemple à l'appui de mon dire,. Ces derniers jours, .Mlle MagdëleineTrelIi, une. toute jeune ',e.ttrès talentueuse chanteuse p~nsienne, est; venue a Berlin pour .y donner un concert par in- vitation. La réalisation jde son projet lui fut d'autant plus facile que.la direction de l'hôtel Esplanade mit à sa disposition, à titre absolu.mënt gracieux, sat superbe salle des. fêtes,. Le "premier soin de Mlle. Trelli fut, naturellement, d'inviter, et cela nominalement,' tous les membres de l'ambassade, et,du' consulat.. Grâce aux amis'de bonhé'volonté.'qu'elle possède jci, la salle fut;bôhdéë et elle put chanter, avec un succes L que toute la, pr~sse~se plut a constater, en présence d'un ..public choisi où l'on voyait non seulement des gens .du monde, mais encore des artistes, des professeurs, des écrivains et même, si je: ce: fais erreur~ desy conseillers de l'office des affaires étrangères. Mais pas un membre, de l'ambassade de France -–pa9 un seul Ji.y,'a là, peut-~tre, quelque chose'a changer.

Ne-vous.semble-t-il-pas?.

/I~t'i'i~

Une'Ms par an~'lé'i4 juillet –'jour de la .fêie~nationale .l'ambassadeur, suivant un usage antique' et solennel rëgpit.lé, gros -de la colonie 'fràncaise/ Ce; j o.ur-Ià, les salons de' l'hôtel'~ù'.Parisërplàtz se démocratisent, si.'je; puisainsi dire.' Toutes les conditions: §oeia1.es y sant représentées, et l'on éprouve vraiment l'impres- sion de'se trouver sur la terre'dé France, en contact avec le peuple français .lui-même~ L'ambassadeur prononce un discours vibrant de patriotisme et'sable le Champagne avec ses compatriotes. G'est du reste l'unique fois de l'année .1 l'occasion lui soit oSerië de trinquer avec. des. ~cuisiniers, des coiSeurs, des couturières,' des maitreB.'de langues, etc., .tous ces braves gens qui,'pour n'être que des ~humbles,n'en sont. pas moins des.agents pjécieux de notre influen- ce et de notre rayonnement en Allemagne et:

ailleurs.

Mais.'à co~é de sa « robuste démocratie np-' tre colonie ;comprend aussi uce. aristocratie J dansja meilleure acception !du mot. Elle est représentëe-par des hommes qui occupent les po.sitions Jes plus diverses. Voici, par exemple, M. Armand Formstecher, 'qui a créé à Berlin une grande et prospère industrie de papier. M. Formstecher 'est le'président très actif-et'très dévoué de la Société philanthropique, dont M., Romain ust l'infatigable secrétaire: Voici M. Edouard Lœb, qui se trouve a la tête d'une maison~de soieries et de lainages fort.importantes Voici M. Jules Bister, qui possède une des plus .grandes maisons jie couture et.de modes de la capitale. Voici.. M. Pjoux, qui représente une des plus considérables maisons de soieries lyonnaises. Voici M. Léfort, qui vend ~annuellement id'énormes quantités de Champagne a~x.BerU-, nois.Voici MM. Gérard et Ha.by.-les'prdprié- taires des'~eux plus importants salons de coiffure de Berlin. Le dernier est même l'inventeur, de~'ingëniëux appareil qui. a permise'Gu.iliau- me H de porter pendant des années la fameuse moustache que le monde a admirée Voici M-, MarcHoullegatte, l'habile directeur général de; i'hôtel Monopol, si complaisant pour tous nos. compatriotes de passage en cette ville. Voici l'expérimenté et sage M. Robert, qui représente le groupe Rothschild dans la Sociétédés Pétroles, et M. Roger Serres, le jeune et frétillant secrétaire du directeur de cette Société. Voici M. Henri Marillier, un des ingénieurs du Crédit Lyonnais,qui suit avec l'attention la plus. soutenue Faction des banques dans le mouvement industriel allemand. Voici M. Huguenin, qui enseigne avec succès notre littérature à la Faculté de philosophie, et M. Marteau,, qui professe avec autorité le violon au Conserva~

toiré.

Voici iM.Grosset, qui-inculque les sacrosaints principes de notre langue aux officiers de l'Académie de guerre .et qui est la Providence; des étudiants .français .qui désirent donner des' leçons: particulières.' Voici .MM. Puy-Fourcat, Péricard et Gaston CaudreHer, qui initient au lancinant mystère du participe passé d'innombrables potaches dans'différents collèges et lycées berlinois.

Voici Mme Rirsinger, dont la maison hospitalière est si favorablement connue de tous les Français qui viennent à/Berlin, notamment de '-nos artistes. J'en passe études meiUeurs.

II y a seulement,une -quinzaine d'années, il ne.se trouvait~prësque~ucuh correspondant de e .journaux; français à- demeure à; Berlin. Ceux qu'on y envoyait de tNpps~â autre, n'y venaient ..pour ainsi .dire que.'temporairement et en vue

de certains .événements, yout est bien. changé

aujourd'hui. Les grands joTirnaux parisiens'entretiennent maintenant ici; .des correspondants eh permanence. Trois d'entré eux ont .une heure de .location de, RI .télégraphique par tous ou .presque, tous sont abonnes au téléphone. Le .fo~naZ~ësD~a~. est représenté par' M. Sa.jnoscli:; -lë.~TKp~ par M. Edgar Raels. le \Mc~, par'M- Àngel Caro'; le'So/ par M.

~U~tE~O~ DU ~GA?LOIS< DU ~P.KOVËM~RE 1,909 A3 ~]! ,?. .xvur

J. C .CHRISTÏNE~STME

I r 1~ j~em~ère pëasée de Rào~.i âpres la ,dispa' Tlt:on fantastique ;deChcisttne D~ avatt ~tô pour accuser Enk,.U ne doutait plus ~u ponvoi r quasi.Burna~urel deTAngede ]a in~sique, dans ~<:ëdomaJnëderOpjÉM,ouceIui'ciavaitdiab(d~ quemçht étàM! so~i:~mpiy€ > Bt Raouï s'ëta~rue sûr. la'scêpe,'dans une ~olie~de~ désespoir et d'amour, GHristihB~ <~rMujë~ 'g~issait~ epecdu~J'~ppe~ .comme eUe devait) l'appeler, foûd d~ ,<e gbuj~~obscur le monstrg~'ava! ~mme/ùnë~proie, touta:frén}MSante en(~re d~ &on ;exaltatton ~diyme,. toute v~~ du Manc 1mceùîdajns~quëleHe~s'pfïtaitdëjà'aux~hgès du paradis'~ << t~isti~arGhristine~~jBpÉtat~RaouL~~ et. inJNi'~emëIa.it éatendre 3es .cris de;la. jeuN~ .iBe~t~v~rsc~pIâBCË~s~ s~pâ-, T~âuieUon'j'~m~ùctîoo ï~BSéM'~Q F~'çÉ' et'& 8, .<M~tM

J~ieh'Lgu~âis~~i~eKce~a~as;~

.Meyaot~~H ,l'4~eM~ .B~ M.w-

i~lfw~ t,1~S~Vo'irr~é~Lés ar'~yit ~é~Rbs~tab$~

~~M~H'ài'&~Ë8nH~fb~ ;°~ J~r paiR: M. Ange. Moi'jé,ët .le-tGaM~OM,, par: voti-e sërvitem' .? r' 'Tous mes confrères et moi-même nous. allons régulièrement ~u~nouyelles'.ja. l'ambassade. Hélas cela jie~signi&ë~as~~l nou

souvent<d'ën obtenir. D'abord, ta .nouvelle, c'est

~du3j<~rnalisme.\Et puis, s'il ~St: vrai que la diplomatie, soit discrète ]par.dénni-; tiôh, la nôtre ,l'est~dout:jlement., -car ~lle l'est aussi par timidité'ùne' timidité jjarfpis,excessive. Ge qui fait'~u'en'général il est plus facile de se renseigner à la'.Wiln~lmstrà'sse, pourtant, on est loin .d'être bavard, .qu'au P&risèrplàtz, ôù/ l'on" est éternellement'. JfTiuët~ Mais si ]e~ dois constater'avec; r.egtpt'qt.ie, sous le rapport dès nouvelles hous~somines-plutôt mal servis à'notre ambassade, Taccuëil~dont.. noùs.y .somm~esTôbjet, aussi: bien de Ja.part de l'ambassadeur ,que de ~celle. denses coHab~rateures~- est;.toujours;exGellënt,C'est là~ipjofessiohneHement parlant, une 'compensation -insuffisante, j'en conviens. Mais enfin, on peut' faire observer qu'une; ambassade '.a d'autres fonctions à remplir que celle de rënseignér'ies journalistes et qu'il lui suffit de représenter so~ pays .dans .de bonnes, conditions et de veiller avec sollicitude sùf'.ses~nàtio.hau~, pdUr accomplir son devoir d~hs tôute.Sa'plénitudé., <Rheîngold

mOÉ~DK~MCES

La ptan&té Me~cut-e Le canoef «es poufis La potofatipn du diamant

La planète Mercure a. donné bien de la. tablature aux astronomes~ < Presque toujours noyée dans les-rayons solaires, l'examen sa surface est excessivement difficile. Aussi, ne sera-t-on pas surpris qu'on n'ait pas encore pu .Sxer.sa d~e de rotation. Autrefois, on croyait'que cette durée de rotation était'à peu prës. semblable .'à celle: de la' t Terre, soit vingt~quatre heures mais, d'autres ` observateurs~ sont .venus, qui l'ont estimée a quatre-vingt-huit.joùrs, ce qui, n'est pas tout à .fait la même chose.

C'est ce qu'à fait ressortir M. Bigpurdan, dans -une communication qui n'a, hélas! apporté aucune lumière dans le débat. M. Maquenne revient sur le. noircissement des -feuilles exposées à: la lumière électrique. .On sait que les rayons ultrà-violets'de cette lumi&re détruisent le'tissu cellulaire des végétaux. Le chloroforme a, paraît-il, la-même innuençe. 'M. Violle présente un travail de M. Guilbert, un 'météorologiste-connu, -sur la~révision;du temps. I M. Guilbert, en notant la direction des vents pendant une certaine période,~ et la dépression barométrique qui en résulte, croit pouvoir en tirer des conclusions formelles. C'ést-de l'empirisme, mais il est imprudent vouloir faire de la science en météorologie M. Carpentier présenté un bâromëtre à.air isotherme, inventé par le marquis de Montnchard. Ce baromètre, dont les variations sont produites par une couche.. d'air enfermé dans un récipient imperméable à la chaleur, .est d'une sensibilité extraordinaire. L'index liquide qui indique la pression, arrive à des dénivellations vmgt fois plus, grandes-que celles du baromètre à mercure.

a .:1'

S

M. Dastre fait une communication du plus haut intérêt, puisqu'il y est-question de la guérison du cancer.

Il à inoculé à des souris des solutions,contenant des fragments de tumeurs cancéreuses. Ces souris ont contracté la.terrible maladie et ont succombé. Mais, sur d'autres souris en lactation, c'est-à-dire nourrissant leurs petits, les tumeurs cancéreuses se sont résorbées. Bien mieux, on a inoculé à ces mêmes souris' le même virus, mais,.cette fois, vainement, les petites bêtes étaient immunisées,

M. le professeur Labbé a objecté qtie, peutêtre, il ne s'agissait pas'du cancer proprement dit. M. Dastre a formellement déclaré qu'il n'y avait aucun doute cet égard, et qu'on était bien. en présence de tumeurs cancéreuses.. Les, choses en sont là. M. Bouty présente, .au.Tfiomde'.M:Pau.l'a.-t cerdote, docteur ès~ciences,.professeur au .cdl-~ .lège-'Gnaptal, des diam.ant~uii ;ayaht'sùl3i rin- fluence des rayons cathodiques, .sont.devenus presque noirs, ce qui a, parait-il', de beaucoup augmenté leur valeur. Mais si ces mêmes diamants sont soumis à une chal&ur de trois, cents degrés, ils reviennent.à leur couleur .naturelle. M. Ghauveau communique, au nom de .M.. Arloing, le, résultat d'une série d'expériences. sur la vaccination antituberculeuse du'bœuf,; commencées en 1902.. Les vaccins employés ont été obtenus par un mode particulier de culture. On les fait agir par les voies intraveineuses, digestives et sous-; cutanées. Les résultats dépassentr .toute espérance, et c'est à bon droit que le savant M. Chauveau s'en est montré heureux.

George~ WQIU

MOS SNFORMATÏONS TetUpératura

'Une profonde dépression cohtmae a s'aMnCer sur le nord-ouest de l'Europe. En Franëe, des pluies sont probables 'dans' le nord et l'ouest, a'vec lempsdoux. Hu'r, a Paris, pctite'pluie; Thermomètre, 12°. Parometre, en. îorte baisse, 756'm/m. FAITS DU JOUR Les Par:s:eHS de Par~. L'assemblée générale des « Parisiens de Paris a eu. lieu le. 26 novembre. 'Le'comité' de la Société, pour 1910, est ainsi constitue MM. AHouard, président Dupuy etLëcreux,_ vice-présMents Chaumetin, .'sëer~t.aire' général. Ghassevent, secrétaire Përrier, trésorier ;,Dëtrois, .commissaire des. Jetés' Trollet, architecte ;Au§e. de Lhssus, Dèpre, <~ueIdry.Guyot, Lacroix, Le \~1tain et. Renie. Le'statuaire Fournier, vice-pnésident 'démissionnaire pôur-raisoils de santé, est nommé, président honoraire. .Le <!o!/CK.de FacM~c (!c ~ro!< Le conspU de rUhiver.sité à'dresse, Ïner matin, :sa liste de présentation pour la-'fonction'de'<îoyen'de'la'Faculté de droit. Par 15 'voix sur 16 votams, il a décidé de pré-

senter en première ifgne. M. Lyon-Caén, doyen ~or-

t~ht, et eh deuxième Hgne'M~CfLÙwes.

raient'd'elle: Ïl se'.pënohait, il écoutait. ;-il errait sur le. plateau :comme ~n insensé. Att descendre descendre descendre t. dans. ce'puits de'~nèbres~dont toutes.les issues 1~ sont fermées Ah cet obstacle-fragile qui gHsse l'Qrdt-" naire si facilement sur~lui-mêmë pour laisser apercevoir' le gouffre o.ù tout spn~esir 4€nd. ces planches que son pas fait'craquer: .et'qm sonnent sous son poids le prodigieux vide~des « .dessous "ces planches sont''plus qu'inimobiles ce soir elles paraissent/immuables. ËHes $e' donnent'desaiTS solides..de' n'a.votr.jaM~is.Temué: e~vQ'iÏa.qùe.lçs ëscia.lters ~m per- mettant <;te' jde&cendré so.ns scène sont'm.tèr-

dits 'a '.tout'ie monde ');

-~e vs-t~il.dp\'enir ?:Que~e~ién.t-elle? Q.ù: 'estelle ?.ffCnMsiine.! .Christih~ '-On.Je.Te-. ppussp priant. 0~ s~ntoque.dëTui~H croit.

qu'il a. lâ'çe'rveUe derangee~Je pauvre. fi~jp<

Dans queHé course forcenée, ~parpn'!jes"!MUIoiT,s de~nuit et de wy&tèrë~conpûs .de Tu! seuT~ Eril!a't-U entca!nÉ- la .pure Enfant jupgu'a ce repaur~ atfréuXide la ch~'mbre.bpu.tB-Rh~ippe, dont la porte .s')Q.uyre. sur ;.ce- ;']a.c;d'Enfe!"h.. K Ghristine JChrjstine ~Tu Es-tu seulement' encore ~iyanté,-Chpis~n~ ? 9 N'as-tu'p6int<ë~haIé~t!deF~ier so~{fle/:dans une mmùte, de surHùna~ine~hprreur, sous l'haÏëine ~ht)rasÉè~du ~monstre ? D'atfreuse5.:pën~es tr~ers~t coaitne/de.~oudfëyants .épiàirs ~e ..cëryëau conge$t)onné de RaouT(/ Evid~ment. Et-j~.d~' puH-prend~Ieur, se.crët~~oir~ qu'il; 'ét~it ~TaHi p~r.. Christine~ J QueUe'~engêahcë va.;être,la.:gienhe ? < Qu6~'cser~t~Ange~e;-I'&UsiqM,~Tjë du haut .dë~Son orgueil ? ;.Ctnasiine. entre'jBSj bras tou~puiË5antë~u:-mon~t~S~pGr~ T Ë~aoul~pMse €n&oce au~t.diles' ~r qm:

:sont v~hu~s'ià muit dëfOtcre er.rer.'etfr-Eon T]a~.

con,, que' )në les a-t-il~ùcdroyees ~e?son;î'me'

.impùissante'r '<

pearles" il' a. des'; ~e~ eXtraordjnai MS

~em~pBu~chôi~r.entc&~ë~.d~u~p~~S~ts~ r; ïnais:;il- est; ~t'usagé cdnstan't"que~on c~s~ se~~xe,: ~ur..celui pr~sontë. ent.pren)iëCe;'ughe. La~jéélge~Qn de M. Lyon-Eae~ aii dépannât est'.d.onc~a~ëuré~ Dès ~ne ta hoUyelle ;~t. conhùë~ans quaf;ier Lat;n, trois, pcnta é.tudi.~hts ae dirigèrent, fti~f-~ :flot pour conspuer; M.' L~on-Gaeh. La po~.l~~is- ptBr.sait.~e denii.heur~P~s taM) 11 n'y ~t: 'pas

Q'arresfatipn.

:Le~ LomttrttfHë~ An palai~Or.~ay'~e~t a'a~ voir Heu le (unër;dea ~niartin~hs dônt-le~ i)i-és~~ den~'d'nonnëûr est M. Emile .FagSet, de l'A<?a~mie~ tranGaisë." '? "1/ 'Apres "une TihëL~et- sp~ritueUë ,\allocùM<de M' Cnérapiy~MM. Dotchain,t:arra'~ë Vau~ .:r~ Maurisson .parlèrent; avec éloquent .'de Latn~rime~

et'dë''sônœ~Yre. L.

La~spirëë se termina pàr'unbriHant.conc~

.yenfes'de c~of~c. -r-J~u jë~Si 8. dé~ë~bre~aq~et.uli~

9 déc,ë!hbre,l'.Union-d;ass~.tance.par.l& tra~t du,: seizièipé. arrondissement fera, dàns-s.on:nt~asin,' 1~5, rue 'de' la Pdnipë, une. grande ~ën~e d~ tinge ,dë': maison: et de;Èt(;ménts- ~e,'bie.nfaisah.çe. He~ trê~ bonnè.qua)ite,yehdus a pMx coûtant, .bn 'doit -signaler cette. (~uxre, qui -viënt/e!) qide nonibreusesi niëres ,de fàmiMe et ,a',dë,B fefnnies j âgées on leur .donnant à. domicile un traY~tl facile etrÉmunérateur.' C'est. soutenir, efficacement pette œuvi'e, ptutat~- < 'itiropique jque .cTy MrehSas .achats ;dp,ipg.e,j~ur ~aider & ~GpUlGr~le .travail de 89S assistées j .OU~LB~J!EL~EUSË~ ~(t e~MOR:e de oe M!r A'~otMrD~me; cerémohie de ciôturc de t'AdOEàtionperpëtue~e qui,tCh:aqtië-an.. née, réunit plusi~UM miniers d'ttommësA N.otr~-pamp de Paris, aura liëu'.eë soir & huit heures. Mgr, omette. présidera grande procession. t.à!!ocution se~'a prononcée par )e chanoine Coriton. Des.cierges, seroM remis gratuitement, a t'entrée de feMeinte rëservÉe a~x hommes, à'tous ceu~ qui iesdemanderoDt. jD<'c!aM(tons de M<?r 0~(!p!te. .~ne tfês..impbrtanïe `

reuhion de përes et de ipëres de famiUe ehrAtiens.a eu

lieu avant-hier à Dijon, souS ia presidettoc de Mgr Dadotte, qui, repondant au discours de M. Jean Ou)raud, professeur a l'Université de Besancon, a ajouté que ta. lettre des evêques a jeté non te résultat d'un'mot d'ordre Étranger, mais rémanaHôn de,la conscience uniycrselie deTéptscOpat franc&ip, tequet est prct a tous les sacri- fioes, persuadé~qu'il sera*'sutvt par ies'p~rents. Saiut soiënnel )a oathÉdrate. qui est comNe..Discours de Mgr Dado~e -sur~ les ~evoir~des. ~cathouques aux tBihps~pi~seht~ !1'dit; que -nous-éOtnmeE'en~~mps de guerre. L'ennemi est le ma!, notre arme est !e bien. L'eveque se montre sévère pour tes inutjtes et les génueseurs, et it montre ta' nécessité d'qne action taïq~e 6n ooHaboraj-ion avec jë'Gt6rgé<a-"Franoe ne périra pas, ¡: ëHê ~era-' sauvée par cette cottaboràtion.

L'ue de Grenob~ et M. BrMnd. Au cours de ta ~réunion~d'ane association-dé perës~e famiUe.a.Vif, Mgr Henry,' 'évëque de GrendMe,La, fait ta~ dëc!aMion suivante <. Le président du'~onset~tt'a pas craint de dire que tes eathotiques ne seront jamais des patriotes, car .ns obéis-

sent avant tout.aux' ordres de Rome ja;réponds. moi

Avez-vous Je'droit'de nous..insulter, vo~s qui.défendex rjfn!erna<!<)?!(t!e.et qui n'ayez pas craint de .vous proc'amer te défenseur et t'ami'de cetui qui'voûtait planter. dans te fumier le drapeau~ français-? .0, Les catholiques, sont t.es/VTais,patriptes. ~~ouMJL.LE.s ~~ë5 A'ouue![e demfHiM. Une correspondance parjiculi~e reçue a Brest dit que, durant ta eroisiëro effectuee\sur. tes cotes d'Afrique par ta division de t'antira~ Auyjert,3es' bâtiment~ auraient sut); des avaries assez ~érieuses.&u ministère de fa marine, on dément formenéme.nt,~ette nouvette. De mëme~ppur tes bruits relatifs &.nne mutinerie qui se serait produite dans ta division. .MOUSSUES COLON7~!LE~ Dans t'B.E~më-~Ma-OrdtiO!S. Une dépêche cte~Golomb-Béchar annonce qu'un: fort rezzou ,de.Beraber6 se serait formé dans le Tafilalet pour aiiaquer.les:.Douimena, habitant; le HauM!hir..Gëux-ci leur auraient récemment razzié des chameaux. Trois cents hompies, sous. le commandement du capitaine.A'taret.son~ partis en.reconna'ssancQ. Trente Sahariens,, sous tes~prdMS d'un maréchat des logis, sont partis de Coiomb-Bechar. FÀ:1['T'§"blVËRS

L'EX-t)RAGONÀ!<DRAUDENCOMECTM!MËHE Depuis deux mois, M. Boucard instruisait dans ie plus grand secret une affairé, d'espionnage ~contre un nommé Andr.aùd, mécanicien, qui ~t son' service miHtmre dans un régiment de dragons ae'frontière de rEst. Au régiment, en raison de saprofessi.on, Andraud avait 6t6 affecté au service de.1. entretien des mittuUeuses du régiment, mitraillënses sémb}àbles h. celle, qui fut volée à Chalons par: te caporal Deschamps'. Andraûd a-t-it pris des croquis et- dresse des schémas du mÉcanisme de ces' mitrailleuses ? C'est ce que rmstruetion. n'a pu .établir. Quoi qu'il .en soit, après sa libération, l~x-dragpn fut en relations avec un agent de l'espionnage aHëmtuid; et il o. ~reconnu avoir reçu quatre mille'marks en Échange 'd'une «promesse .de documente i'. Andraud affirme n'avoir rien livre en éehang& de cet argent. L'-ex-dragon, qui a fourni un .signalement ireë complet de l'agent allemand lequërn'a.jm ~tre: retrouvé a été renvoyé devant Ja correctionneHe. sous l'inculpation d'espionnage. Il'.s.erà' ,jUge~B~-

medi par la QtXiÈme chambre..

DRAME DE LA JALOUSIE.:

Une-violente scène de latalt hier entie

Une violente scène de jatousie.éclatait hier entre~

Raoul Thierceim, âgé de vingt-neuf ans et demeu-, rant 75, .Kvenue d'Argentenil,Asnieres, et son amie Berthe Frenai..Celle.ci, effrayée par-là menace du chaudronnier, saisissant soudain un couteau, l'en frappa, en pleine poitrine. Thiercelin s'affaissa, sans un en il avait été tue sur le coup.. DÉsesperée, Berthe Frenai alla immédiatement se constituer prisonnière entre tes mains du-commissaire de police d'Asmëres, à qui elte a raconté que; son ami lui rendait la vie intolérable par de continuelles scènes de jalousie. En rentrant hier de !a fôt.e des Gobelins, Thiercelin, sous un prétexte quelconque, avait eu avec Berthe Frenai une terrible discussion ~qui donna heu à la scène dramatiquë'Jque i'on connaït.-

Le récitée la jeune, femme paraJt.jCHautant~plus vraisemMablë qu'ôn~:trouvé,dans la châmbre.pres du cadavre,'un rëvotver encore:'chtirge. Les voisins, interrogés, ont confirmé te récit a? la meurtrière.-Us ont déclaré ~u~ls avaient, en effet, entendu le bruit de la querelle .entre, les deuxjeunes gens et la menace du chaudronnier.. Les personnes qui possèdent des objets précieu~, tels que bronzes.d'art, .tapisseries, meubles anciens, porcelaines 'de Saxe et de Sèvres, même des objets & partir du douzième siècle, 'trouvÈront a' tes. céder au comptant et au-dessus, de leur valeur en s'adressant a ~1M. ~ëUgnttm, 23; plaëe T/ëndorne. qui se dérangerojits'il~a'IieUt LESC'AMBRMI.EUJtg Mme'Joanny~ concierge de lUmmeuble~ Saint-Mërn, Était :réveiMée hier 'niatin, y~rs.six. heures, par :un brùit~e, Vitres,cassé'es. 'Ë)le 'm~pta aussitôt'jusqu'au dernier étage po.ur ~'assurer d où: venait ce bruit elle aperçut'alors'un individu se promenant sur toit. Mme Joanny appe)a.a J'aide; mais, quand des vojsins arrivèrent, Findividu avait disparu'èt l'on ne'pùt le retrouver. Paf 'contre, on s'apsrçut que l'appartement' de M; Martin, qui bccupe'Ie-cinqi.iième ~t lë'sixtème étages,avait été complètement cambriolé; Le montant du~vor atteint plus de trois mile francs. PMsqua a le: même heure. M. Jutes Rot)et, jar~ ditnerde laVHle"~eParis,'18,~ue Quincampoix,

d'homme qui. se dilatent dans les;ténebMs et brillent comme ides~eto.iles~u ..csmme tes yeux des, chats.. (Certains hommes albrnos~qui paraissent avoir~dës yeux de lapin :le jour, ont des yeux de .châtia nuit, chacun satt cela .!)'~ Oui, oui, c'était :bien sur Erik :que Raoul avait tire Que ne ravait-il tu6?i ÎJa' mons~ s'était enfui 'par }& ~uttiëre .comme pnco're,'}es chats o.ù tes {ôrçats~ui chacun sait encore .cela. –sscataderaient. le çie! a'ptc avec l'appui d'une gpMtti~re. Sans doute'En~ m.editait.a}Qrë;queigue entreprise décisive 'contre le je~ne homm'e, mMS il; avMt été 'blessé t ~t il- s'Mait 'sauvé pour se retourner conire la 'pauvre'Gh~st;ho. ~Âinsi pen~ëcruëUetnent le pauvre Raoul en courant a'la~Iogè de la'chanteuse. ~/i, ehristine' Ghristinë' B: Pes'-Iarptes ambres .ttTulënt. les 'p~p~rëS du .jenne'.homme

qjîF:~aJj,et.wjf' ,ep~rs ~1,if, le,s -u 9..jes: =v"i,é:

qui -a.per~oit ëpars sur.' les Yne.uMea, les ;ye~

-mëntsdésHhés à vêtir sa belle lancée a l'he~ de leur.fuite ~<.iÂhtque~n'aTt'eHevo~lu' plus tot~? Pourquoi avoir tant 'tarde ?. 'Pp~;quoi; avo~ jpue avec; la~catagtraphe menaçante '?; ave~'lë cG~ùr du .mdnst,re! poujfjq~i bavoir voulu, pitié suprême jetë! en~pâtu~ dorhiere a cette' âme de.;ôentOn,'ce.eHant~c~

'leste ? ..i~

A'nges ptirs~ An~es .radieux-t.'portéz- mon

âmë'Su se~:de$.

Raoul, don~a gQr~ro~e~e~5.ang~ ~es

sermehts..et"desinjpres,tâte;;de ëes. malhabile~ là:rande.~lace'qui~e8t'i~ver~e un soir de~~nHui .:ppur laïssei' "Ghristina ~e'sMndreautënëbreu~;gejoùr~n.app~ip,il'pres~, il tatonnë~lt~appE! du poin~!a grande place !mmobile: ?mais ..la ~lace, li~ paraît, 'n'obéit. qu~ Eri~ Pèut~tr.eles gestes. sont-Uâ-inutilës avec une. gl~paFMe?,Reut~ '-de prononcer' cëri~ins mats?.~ Quand !l était ~ôut pëi-it- enfanta jon-l~i'-racontait qu~l ,y:avatt Hes objets ''qui obéissaient ai~Sî a-.I~ ~a~lë' ;~out à coup, Raoul'pp,eMë~ ùne'~rUle ._donnant/ sur' !a;Tûë*-8crihe/Bnspnt$rrajn

~EtNMMS~~SS~~ >n ~.°-o:3.rss;W .v .t:

~'i~<&mb!ri(~ë'~i~dès ;m~~d'ns .qui Ip): Gjmpqrtë-

r~n't~q~nxe~e~frBh'CE~.stX~os~~ ` or~;e~MEon'po:ur ~inq,~en~ .t)a'~echerche~.ès~ canibrjpt~u.du~ a~aieht un <i)ief 'CbmRi~ù 'connu ~ouë -le ~Mn~Mt. jde ";Choeo"; j\

paùJ~àUc~MS

~?'< ~j'

')B'

:CtME~OimW.HQt~e'm~~ de voates. ..<

.~È ~rcparatioTi's dit9'B't'eët8ra!ës sôjit l~ion, hi&

it~aût Mén"ie'rec6hnaitfe; dë-yàlpùr'inégatë. No~us cfay~a ~o~c -fa~e .oÈ)ï~Te tiii~' en rappelant une sp~eiaMt~'qùt a pour~eRp la sar).ci!QH d~aae~pngue

nn&t!(j}ië~p'ast te .9!r6p' de .P!ej:rc Ijam;o!tfo:<a;, ~ui

ës~ mis ~ti vën~e daM toutëa tes;.phar~acies. ]$ff-' ~EfeT ëKSERAl,?, ~R .9a!'n<e.t)e,Paris. < ~'R~M~B E°B~~

C6MËN)~EHA'sE :e,M(triag~ (îc, ~ijarû {remise au rep~fo}rc~Yec,ui)e dtstnbuttçn;M~ Avant~hier, 'on a repris, ;à~ la. Comédie, Le ~HMace ~e P~a~. Il y avait'dëjà qu~ques années'que n'avait été: jouée l'd.tnirable comédie de BeaumaTchais~Tun des<p~us pups joyaux -du répertoire. J'ai une profonde admiratjion pour~cè chef-d'-œnyfe, que je ne saurats..m'eippëcher d'aner revoir, chaque fois qu'on le reprend, avec des in'tërprètes nouveaux.- ~J'ai cùnosité de me, rendre compte de ce-gué d~nne chacun d'eux, et chaque fois je constate, avant tout, que .là-pièce n'a jamais vieilli ,,que son 'esprit est~plus jeune gué jamais, qu'il n a pas pris une ride. Chacun des traits, que nous sommes prêts redire ~avec le comédien, nous paraît, quand même, prendre une fraîcheur nouvelle, ïl-y a ~le tout, dans cette pièce, qui participe à.la. fois ~de tant de genres, comédie de mœurs, d'intrigue, de caractère, o~ l'tronie ~'enveloppe .de tant de traits charmants,: Ja satire, pour cinglante qu'eHe soit, provoque plus belle-humeur que l'indignation. Et tou-. tes ces impressions'ique m'a-~dohnées-le <;héf~:œu~e~~6''Je~;pass~je~~ l~~n)Uv~~s,

Cëtté''{ois~ncorë,anpsi'vjbrântes~qù~ jour.Maintenant,- qu'est ]t'interprjÉt;ation nouvelle.? De très bonne' moyenne,' aahs son. ensemble, sans'éclat fulgurant. J~ai vu pire, mais j'ai vu m)èux. C'est, qùand~me,ime:agréable soirée .a passer.. ..J'en veux-prendre le. détail tout d'abord,' Figaro, c'est Berr, Inutile, de dire qu'il joue avec intelligence ce rôle écrasant et qu'il le dit avec sa/maîtri~' et sa finesse GQutumières, pnais, il y manque d'ampleur, ses épaules m'ont paru étroites, pour" porter un poids si lourde et Ba voix un peti grêle pour lancer certaines tirages.. Ça n'est pas, grands dieux qu'il me paraisse qu'une voix .de clairpn sôit:.néc'es5ËLire,' pour .jouer'le'role~dë Figaro, qui n'est pas Mira-. beau, mais je'trouve que Berrdë joue: un peu en dedans et trop eh raisonneur malin. Ce persohnage est d'un entrain exubérant et philosophise.eh flehors. S'il est. inutile ~u'il. nous annonce, en ~rophëte, la 'Révolutipn française,. comme le firent certains'qui transformaient jle K monologue "en Déclaration des Droits, de l'homme et du citoyen ayant peine, à ne pas crier, en manière de conclusion « Vive la répubHqùe F ce' qui eût été Ain''peu vif, je crois, ce-' pendant qu'il faut jouer le rôle avec verdeur sans recoure.au to~-plaint~ :Fenoux est/un, comte Almaviva plus 'bpur-~ geois que grand d'Espagne. Ïl,,a de, la; tenue, mais manque d'élégance- D'ailleurs, sur ce~ point, je me récuse, parce que j'ai vu Bressant, C dans ce rôle, qui passe pour médiocre, :et qui avec cë'comé~ien, au charmé sans pareil, deve-.nait ,une adorable ngure de grand seigneur. 8iblot,,conlédien' correct, est un Bridoisôh irop modéré. Il n'y donne passes effets de: grand cpmique que savaient en faire jaillir ceux qui l'ont précédé., Sanisoh, Barre, Thirçn,et'il manque à une tradition passée a Fêtât proverbial, il fait dire à Bridoisôh: « forme. 'alors que l'usage consacré est découper le mot en deux « La fo.orme ) doit-on dire, avee~ deuK'o:et je crois bien que Samson en met- tait ~trois. Les r6~ës d~Sàrtholo, Basile, Antonio sont bien t~nus par Joliet,'Ravet et Croué. "Jj'intërpfëtation-féminine-est-sùpÉrieure,.avec~ MUe .C~cUe 'o'rel:, ~res?,pl~i.qu~ ~h;cpstun~e;: Louis XVI, et qui semble l'idéal physique de la comtesse. EÏle a l'élégance du personnage au-: -queL ~elîe~s'.adapië ;'à'.mervèillë,~t;; jpu.e.le~ ];ôle. avec beaucoup de tàct'ËIle lui donne l'émotion nécessaire au second acte, qui est son aeteià elle ;.Mlle Marie Leconte est un Chérubin aimable et séduisant, c'est bien l'enfant amoureux de toutes les femme~. Elle a chanté de' façon exquise'la romance fameuse J'a~M «ne 77M?'?7M7!e. oh lui aurait volontiers bissée. Mlle Lifraud est une gentille Fanchettë, qui a' la plus grande des qualités, la jeunesse sou-

riarite:

Quanta Mlle Cerny, tout en reconnaissant qu'elle joue'très'agréablement le rôle 'de Sti~ahne, qu'elle a repris, sans doute, en souvenir de l'Odeoù, il. me paraît'que ses qualités et sa nature la poriént bien plus'vers les grandes coquettes et les premiers rôles, que vers lés soubrettes, et, quoi qu'on en dise, Suzanne n'est; qu'une coquette soubrette, ou une amoureuse soubrette. C'est ~insi qu'on J'eût catégorisée, au temps ioù il y avait des emplois Je sais bien que Mlle Mars, qui jouait Célimené 'et'EIniirè,.jouait aussi Suzanne,'mais~ c'est l'a un fait exceptionnel, et le résultat d'une aptitude particulière..Du temps où le Tôle de Figaro était tenu. par'Régnier, c'est Augùstine. ~fohah, ce~e qu'op~appelait la~9ine des soubrettes, qui tenait le rôle'de Suzanne.: .F~Da~aoaher' ~THÉ~RE .DES MouVËAU.TÉe. -t iPrecuëre:représentâtion :,)4rMj?~ 30~, p;Èce Bn trois~ctes ae~M.,Geo~ gës DuvaJ. Aux ~o~ve&utês, ~~7'~c~ ~est une comédie~ j~sbchiehne. qui demande, pour ~ëtre bien comprise, quelque'.teinture de jurisprudehde. Ça ]~st~pas!.ënnuyeqx~bien.lpi,n de-la,:mais un peu compliqué l'époux'divorcé auquel son ex-cbnjoint fait une pension alimentaire,'perd tout'droit a cette pension s'il se remarie. Voilé. le principe. L'auteur en a tiré'des situations asse~ plaisantes ~ui, d'alUeurs, prennent plus ngut'e de-comédie que de'vaudeville.

moBtàpt directement du t'ac à la rue Scribe.

ùi~ Ghristiné iü' a bieii a;rh; dë. çeia;s. ;Et

-Gu~ Christine lui a bien parle de. cela, Et

il court, il sort.

!-? voUà dehors, il promène, ses mains tremblantes sur les pierres cydôpeennes, il cherche des .issues. il rencontre des barreaux. sônt~ ce Eieù~la?. ou ceux-là?;ou encore n'est-ce

point ce'soupirail?. plonge des regards im-

puissants entre les barreau~ Quelle :nuit.pro-

.fQ~dë là-dedans. Il ,éeoute Quel silence

H- jtburne autour 'du :monumen}. Ali vo~ci de'vastes barreaUx t desgriUes.prodigieuses). C'est jappr~etdala:c0ur deTa~ministration l 'Rptoul cou'rt chez la concierge « Pardon,

madame, vo~s.'ne~pourriM 'pas m'indiquer une

pbrte griHee,' opi, une porte faite de barrea.ux,

de Uàrreaùx. de jfer.gui .donne .sur la i:ue Scrit~ë. et qui~cohdmt au LacY,yous savez 'iën, le.La.c ? 'Oui, ~e :.Lac, quoi~, Le ,Lac. iqui =estBou%terre. sous la terre de.lQp~rà. –Monsieur, je sais bien .qu'il y.a:un l~c ~Bous~l'0péra,mais:je\ne .sajis guêlle e porte jY copd!.ut' je n'y suis jamais allée t. /J.. ~6~a tuë~Scribé~m~ rue:Scpi: be ? Y êtes-vous jamais l~; 'allge dans la a rue'

~SGr~ ~f't~ .~i'

i~Ellie' a ri;-yl~e5ë~~a~ B~try=,~ Rao~1=~'énfqit

~~ij~i~~

.en mugissam., tl.bpndtt~ grunRe des escaliers,

ë~ descB!]tcL d'autres, traverse; toute .ràdmjms-

'tr~tion, retrouve'dans la.lumiere.du « pla-

~~ii. »

;~1 B'arre~sont dopuic bat. ~'sp'rompre.~an~~à

poitrine haletante :.sî on avait retrouva Cm'~s-

;t~ine Daaév7°Vo2pi un .4upe ;i1 mtg~rrnpe

.iipe Daaé'?~oipl un ~upe ~Hnte~roge

~ard6'n, mëssMurs, vous. n'avez pas -~u

.C~n~B~ .L~.

.Et~'Qli.r.,

A, même minute, la plaiesm gronde .d'une rlinïeur n0)7~1e, pt, d&tis une foule, d'habits noirs qui l'entourent dë~ôrce mouvements .dé br&s-~pUcàtjfs~ apparaït'tn nom~ë qui, lui, sën~% fort catnjë et montre une Jmine.:a~

-toute'~ rosé' et '~Sjt~ jottînu~, '~ncadfée~ d~ ché-

VËUX<îrisÉs. ~l&iree;pàr"'ae~x~yëux"blëu$~d

t'~&?.&t~ ~3i~

/D~a,n)pernp~jai.t".mâ:ùv~is;.mënagp/a~ ~ëminë'~t::në demande q~~j.r~ alo)s .'dite

,~bn àmi.BasureaM; qui le.t~mp~~ne.deinande,

Sui~ssF Épousa .M~~ônn~ ~ïa~4

~rnel~pre~di~orcë~ais~-oilà~Bâdurë~u'~t

"ét~él ~~cés;dy~ôly:~ys,voila~~àdureau-é~t-~

~arié,~n'~ûssi:' ~~éelâ~ 'ti~~e,- il .diKOf-

cera de son :/côté.. Justement'Mme ~Badureau n'es.t autre que'Zëzëtte,UBëéxqu~ë je~né për- .sonne que Champernël annà autrefois,'et iqu'il 'regrette .fort,L depui6''qu'il a la quitter pour se marier..Cha.mperitel, divorcé,'est'c'on'dahihé~ servir si~ mille francs de. pension a. Yvonne,- son, ex-épouse~ tandis ;que Baduï'eau, en ~ituati.on.analegué, est_c.ondatnné~;lui aussi, a.se.rvir ~ix mi}le francs ~e pension.a Zézette. H.-n'y~qu'un moyen d&~ tout: arrangera que -l'ex-~MmeChàmperhûl épouse Baduréau..et'qne .x-'Mïne BaduMâu 'épouse 'Ghamper-nel tout' sera pour le mieux, puisque les pensions, par.. cë.prpc~dé,g'ët.6ihdrôntt0u~~d L

Aansë.se';&it*ll,~apre.s'le~~di~

par lesquelles doit passer toutiboh vaudeville.. '(Sel~-c!~ tire :allègremeh~ ses deux 'premiers actes, –tle;premiër. es.t. inêm'e amusant et de e .'bon comique,le troisième est .un. peu. disparate,.c'est, une sorte d'épilogue, après,, dénouement,. car la pièce semblait Rnië après le second acte. C'est bien joué par la troupe coutumière Gerinain, Gorby, Landri'n on leur à adjointe 'Goqùet, un grand garçon qui .a'dp l'entrain, des âhurissetnëhts, et'ne n)anqùe;pasde naturel.: Du côté des dames, toutes du presque, sont' nouvelles dans la maison': Marguerite Caron,une Boméd~enne sure; aimable et bien disante; ~l.ànche. Toutain,-adroite, iine, avec la pointe e <ie perversité, qu~-réclame le personnage de Zézette quant à la brave Rosine ~aurel, elle est là, chez'ëlle;'vivândière'sans peur et sans rèprocbe, du bataillon des Nouveautés.

':F.D.

CONCERTS.

6

r' a Symphonia

Soyons tout pénétrés de empathie pour le leune orchestre'de Symphonia <ïue M. Paul Vidai a dirigé avec toute: 'sa conscience artistique. 'On y compte d'excellents éléments. Tout peut donc et doit marcher pour .le mieux. même le contrôle et le vestiaipe, qui sont d'une désespérante lenteur,.

Première,audition:, deux..fragments de la' Te7?tp~e 'd'après Shakespeare par M. Constantin-Gilles. La personnalité n'en est pas fort accusée. Tous les ingrédients dont on fait usage pour traduire le tumulte des ndts trê-' molos éperdus des violons, rauques hurlements des çuiyres, stridences suraigùes 'des bois, cascades .du'chapeau chinois reparaissent, congrumeht malaxés, et parfois rajeunis dans le premier. Je préférera mélancolie du second pu, parmi les prestes ébats des elfes, .les cors chantent ~ës adieux de Prospère, Intermède de .R~cm-p~o~, une suite,sur le~ piquant SaMe~c, de M. Vincent d'Indy, d'un art subtil/pittoresque et définitif, et la Fan<aMïë, de 'Guy Ropartz, dont l'exubérance un peu laborieuse, a tant de saveur, et dont le rythme à Cinq temps vous obsède. C'est un joli menu..

Mme. Laute~Brun a chanté,, avec une grâce innhie, trois mélodies de Grétry et une de Mon- signy. M. Vidal avait orchestré l'accompagne- ment. On a été ravi. « Comme ils sont jeunes, ces antiques '"C'est vrai. Et leur jeunesse nous

enchante.

Au ChStetét

Le C~~Ker M<MHe e< D!a&~ <~HM Z'A&&aye est la première œuvre orchestrale de M. .Pierre Coindrèau. C'est l'illustration symphonique d'un vieux conte médiéval. Attaqué'dansune forêt, le chevalier est blessé il se réfugie dans une abbaye, où les moines le soignent et le guérissent. Ravi de ce miracle, il prononce ses vœux, ce qui irrite fort « Messire Dyable en enfer Celui-ci délègue une troupe de diables. pour pervertir le couvent. Ils y parviennent sibien que "Monseigneur Dieu détruit à coups s de tonnerre la coupable abbaye. Il y a la, vous le voye!i; une suite de tableaux très variés et' fort proprés à inspirer un musicien, M. Goindreau a cherché manifestement à exprimer chaque idée de façon .concise et forte, tout eh conservant à l'ensemble un ragoût d'archaïsme et de simplicité; N'était-ce pas un peu contradic-~ toire ? Noa'oreilles modernes connaissent de' si savoureuses évocations de ~forêts nocturnes,; de bacchanales et*de courroux céleste, que ceux~ de M. Coindrèau n'ont pas semblé avoir toute la fraîcheur et la saveur désirables.Et les tableaux ne se distinguaient pas entre eux d'une façon assez vive. Pris isolément, nombre de détails sont adroits l'orchestration est .pleine de' mérite, mais les idées, empruntées à des mélodies populaires, manquent parfois d'accent et de vie. Attendons pour mieux juger M. Coindrèau. Beethoven continue de régner en despote sur les programmes. OMuef/MM ~e Co/zo~aM et SyM-. pAoTMe /~?'oz~Më fort cohgrûment .exécutées, avec, pour cette dernière, une fougue bien re-

marquable.

Mlle Van Barentzen, qui remporta à onze ans et demi un,si brillant prix de piano, s'est fait entendre dans son morceau de concours FafM~tOTM de Beethoven, sur le thème même qui devait servir au final de l'H~T'OM~e. Le méeahisme aisé, cursi.f et précis de la petite pianiste, sa sonorité fine dans les passages de douceur pour les forte elle <ape encore et le son devient âpre et surtout l'évidente musicalité de son interprétation, l'audace et la malice de certains détails, lui ont valu une ovation. C'est vraiment très gentil. Tout de même, il ne faudrait pas,crier au miracle Laissez travailler cette enfant si joliment douée, et ne la produisez pas tropt G, Felcâ I) m~ i l G. Petca 1

COÛrrier,' ~~E8 ,8D~ctaclES

MO.RT.bEM.MLÔIR

M. Leioir, sociétaire de ta Comédie-Française et mem.brë du comité, e~t mort hier, Sans son appartement de la rue Castiglione, à la suite d'une longue et douloureuse matadie. Depuis longtemps déjà, Leiolr était atteint du mal qui devait remporter et it te supportait courageusement. Combien de fois le vtmes-nous entrer en scène,- surmontant'tes'horribles souffrances qu'il endurait Maïs, une fois sur le plateau, il n'y pen-

sérénité fnervëilleusë.; L'administrateur Mer'

ciër désigne le nouvel arrivant au vicomte/de Châghyen lui disante Voici l'homme, monsieur, à qui il faudra déso'rmais-poser votre' question.' Je vous présente monsieur .Je commissatre de police Mifro'id. Il –AhJ. monsieur le .vicomte do ~Ghagny 1 enchanté de. vous voir, .monsieur, faijL le commissaire. Si vous voulez prendre la. peine de me suivre.Et; maintenant sont les. directeurs?. où'sont les dipecteurs.?. ..Comme 1,'administrateur se taitj le.secrétaire Rémy prend sur lui d'apprendre~ M, le commissaire, que MM. les directeurs sont enfermés dan~ leur bureau et qu'ils ne connaissent en-

core t'ien .de l'événement..

Est-il-Rossible?. Allons à. Jeur bureau.! .l .t .M..Mifroid, suivi, 'd'un -cortège, toujours .grossissant, se- 'dirige vers. l'administration~ Mercier profite de -la .cotlue/pour glisser upë clëf~dans la main de Gabriel: .Tout' cela 'tourne mal, lurmurmurë't-il. Va.donc donner de l'air'à la mëre Giry. Et Gabriel s'éloigne. Bientôt pn'.est a.rFiYé.dovant la porte directoriale C'est en vain que Mercier! fait~ entendre ses-objurgations, la porte .ne s'ouvre pas. Ouvr.ez, au nom de loi commande Y0;x claire ët'un 'peu iHquiëtë-'dë ~M. Mifroid. Enfin 1s porte ~'ouvre. On ,se pjécipitê dans les:bureaux,,6ur les pas du commissaire; {Raoul estle dernier à entrer.-Comme il se dispose a..suivre le groupe dans: l'appartement, ùnë'ipai.n se pose sur son épaule et'il.entend ces'motspronpncés.a;son;preillë; 'M.MCT'e~ d'~A Ke.?'e<?er~~ ~e~o~Ke~

~l.se r.etourne en étonnant un~cri,majn

qui s'était posée sur son épaule est maintenant ..gur les.Iëv~ês d'un p6rsonnagé'aù~teint;d'ébehë, aux veux de jade et cbin'é d'un Bonnet, d'ast'ra-

~â~ ~;f~

mncdpou prolongÊ le geste.qui;.recotnman.de .la.discrétion.~t dans'le moment oue le'vicomte.

-A~M.

B~t.plus. B etait;;i6ut;ëmier.on't&ie.I&

raison dernierë'pQ!irMlt~ t' é'x~Ér r

ip Tûîe-~e, Cajiuche, da~s' ha R~ttre~~m~~y~.

empir~Qu 'pmhi,&qu~~ful.ablige'~ie Mem~itâBr .~n.

~ng'6..Jl~a~it p~r~tretat~û~ra~~la~e ggt-

sbn~~uhë~aT~ëIio'thtion sënsibI~ùt~i~bDM'~a~sî~.

s, a, i 1 rt ~k~a~t r

:tëë' .qai~~ë%ont4hua~(s.s0n~ut~lig6'&i'' à Paris ,1e pauvre art~te;gu~l&rs,~ta~ ainsi d.tre c.Qndamnc. ILpassa. dgputs~~o.h~retaut'ar des-altepiiativës diKeEsea dont~uelques-unes paient. donne de.respojr mafs, .dëpu.js~ Huit'~ur~o~n~es~ ?

poraii plus ef, .luer.Letoir.a cessé. dë~sda~r,(.

.Letoir était à Vincenhe§ en ISGO.Tdùt te~ne, ~I-se''sentit 'utié'vocatiôh' de' th'caire.~i'eBir~'&Q ë5h-

sërvatpire'aans la'cin~sexdë BrësMnt..h'pp~t)egt~e

p~rattre,il quitta-Fécole pour débuter; c~e~B.alla~s; qui dirigeait alors,, a Déjazet, le troisième JThé&~trje- Français.. Les.rûiës du J'épëi-ibire: éiàieht'~a.prédi- lection. îl avait de bonne heure'adopté; t'e]'npM"dë9, grimés, auqùel-'son physique semblait''le~'ûe~Hn.ej'. Il ne i'it, que pas:?er;.a.u Gymnase où,'aV~nt'.u'<Q.o!r vmgt'ans, u ci'éa dans !~7n.t7:c!de"M~ Jacques Ndrjnand, 16 rôle de .l'ordbnnarLCe du c$pitainë~ nus, qu'il devait bien plus. tard ~'éprendre ~'Tnéatre-FràncaiE: ,ïl avait en, effet' débute dahs';l&~ai- son de MoHère.-qûi a~vatt été l'objëctif.dè.~ute sa jeunesse -studieUse,' par le r'ûle d~Hàrpa'ëop: .ë'i~ait -~rs ~8.80, entres .vite U y prit "une .placé Importante. Sa verve était faite de goû.t, de,mesùi'e,'ët ses'~iialités'de comique savoureux~ .mais' toujRUt'd'upp'. tenue parfaite, lui valurent dans le répertoire'~lassi< que des succcg rapides., Cnpns quelques-uns de ses jpr-incipaux-r0!esdhna

'le Fëpertotre'moderne te marquis d'A'ul)erivé;'na,na

-Lë& E~roHMs, fit LR' de Gtbo~.er ;e'niarguis, de ~fadcmo!?e!fB ~f 'La 'Se~h'érc Aniubal, dè'L'~eK./w!Ct'e le baron, d'ô~neba~tnë pas'à~ec,A- moM?! Le BoMomMë Jd~, 'Laverdëhs, de DAmi dM-'Femmes, etc. tjëloir~ avait fait aussi d'iihpQrtan~s créations dans S~'ùen~e~Pay~.G~tn~~Oot OMtcfM~e, Ger~c~, Le Ftb tfe t'X~Htt~ ~Cnëp.

Le.~A~M soKt ~~re~, ~6!è&tte~6,~e

Ma7'~M!'s de Pnota, La Marbre, etc. ~<Leioir se plaisait à écrire des pièces de théâtre

Le AomttK de Fra~coMe fut représenté &Âtnbigt],,

et Mo~re et Scen'amn!M;he'& ~a~omëdie-t'ratt~aisê.) 11 caisse une A?wat!dÈ Be!(irt, en vers, regue & 1'Q"

dÉon,

Il était prof~ssettr au Conservatoire, !t tortRa, d'excellents élevés, dont quelques-uns Sont devëtlua des artistes. Leioir, qui ëtait chevalier de 'la Le~ôji d'Honneur, avait épouse Mlle Thùillier, sacàniaradë.de rOpÉrà"

Comique.

Lp défunt appartenant & ia religion; -réformée, ts cérBmonie religieuse se fera demain mercredi, & dix heures du matin, à la maison mortuaire~ou l'oh se réunira. L'inhumation a'uralieu'huleimeuere,dut

Përe-Lachaise.'

La Comédie-Française, aux termes oe son règlement, fera relâche mercredi, jour des obsèques. Ce soir A l'Odéon, répétition générale de Contre ~es FeM:~e~ comédie .en quatre actes, de Giacosa.(traduction de Mlle Darsenne), pour ta rentrée de M!le Sylvie. On commencera'à Huit heures, et -demtë par jr~5 MoraKte nou~ette d'un Empereur {adaptation. de~Mt C. Rial-Faber). Pt.

Voici les résultats de l'examen des classes de la danse qui a. eu lieu à l'Opéra, le 23..novembre dernier et auquel ont pris part seulement les 'coryphées, le premier quadrille, le deuxième quadrille et les élevés. Les sujets et petits sujets n'ont pas passé cet examen dont les résultats ont été affichés hier soir au grand foyer, pendant ~e quatrième ttcte- de F<M~. Mlles. Charrier, Soutzo, Jeanne Ka<s, tiermaine Franck, Berthe Uequien.'Brana, Pichard et. Marcelle ont été nommées petits sujets. Ont été nommées coryphées Mlles GabrIeUet Kats, Dupré, E. Roger, Henriette Dàuwe, Belâmare, C. Boss et L. NoinviIIe. Sont passées au. 1" quadrille. Mlles BpûVier.'R., Lequien, de Gonèt.'M.'NoinviHe, Vûlsi. -'Aftre, Bousquat et Carré. Y Dans le quadrille Mlles Suzanne Dan~e, Léonce, !G. Aveline, Pisé, Maillard, Morarde't, Laprë et Franchet. .< A la Comédie-Française i Ge 'soif,- reprêJ3ent~t)<)n en l'honneur .du roi de Portugal, 96* représèntatiph de L'.AmoU!' uetMe.. -r,: Le spectacle sera terminé par La JVMtt ~D.cfoBrë, d'Alfred de Musset, avec M. Mpunët-Sullv et Mme Bartet. ·

x

Les critiques du lundi, après ceuX dd lendemain, ont enregistré le grand succès de Stî'e; a la Corné" die-Francaise. Notre collaborateur M. -Féli~ Duquesnel a été le premier à l'établir devant nos lec~eurp. Nous avons pensé qu'il serait intéressant, & la suite du bel article consacré par lui à la pièce nouvelle de M. Henri Lavedan de mettre sous les yeu'x'de'no~ lecteurs l'opinion de ses confrères les plus, autorisés qui sont d'accord'avëc.lui pour reconnaîtra que les cinq actes de S7fe renferment nhe partie~CQm}queues plus franches et une.partie ~dramatique-es plus émotionnantes qui se'résujnent en:ûne 'piëoe trës, goûtée et.tr.ès-applaudie par. 1g publit; ~< Apres avoirs r.endu un ~uste hommage & tQ;itfrie talent.dëpensÊ par. M. Henri La.~da~'Qans.iës etpq actes de Stfc, M. Adolphe Brisson. e6hciu.t ainsi dans ..leJemp~ :L. Voici donc enfin une pîtce out, .paf sdn bonhêtûte.hop moins que par ses beautés littéraires, rfl\'ira Je pubijc !ami)ial ) Voilà, une pièce nouvene que les jeunes'fiUëp, à qui tant de théâtres sont. fermes, pourront entendre } Elles sauront un gr6 itifini &. M. Lavedan de teùr'avoir ~fert ce régal. H. aura.. ieurs.'applaudissements, 'tëim émotion, teur sQurire. Dans le Ft~aro, M. FranctS'Gheyassu Pièce pleine de mouvement, de situations heures ou jolies.-d'ijonie narquoise, de comique discret et aè'sentiment tëger, animes par la faconde multiforme de .Roulette, dont M. Huguenot joue ta t'oie en verve et'en nuances avec un art sans cesse attentif,. et qui, commencée dans M grâce et dans le bàdinage,. finit d~n sune ba~te atmosphère moi'a)e. Dans le Journa! de& Débats, M. HenrJ.de. Régmer S M.. Heori Lavedan nous a.donné.dans son Strc~n quvrage fort curieux et fort personnel où, en dehotg fait intéressant que .cet ouvrage, appartieot. à jun gppTe~ nouveau dans t'ceuvi'e théâtrale de~f. LavedSp. jl a/montré cet't~ines'de sesmeiiteures qualités dramatiques'don~ l'une esteetamement son don de dialogue. Le dialogue de Nre est ptein de reparties ctmrmantes, de detaits.pittoresques et de fantaisie vcrbnte. La répliqua y est ~tye et lo couplet composé avec une ingéniosité ~ëlicieuM, offre d'exeoilehts prétextas & ta virtuosité des eomëdienE. Le'succes~e 5tr6 aidon)té:raison'a M.;Layedan, oe dont nous nous réjouissons fort.

Dans la Ltbe~c, M. Robert de Fiefs Avant de vous raconter ces cinq actes, dë.votls.en dire les mérites très rares et très neufs, je ne buis -hr~mpëcher de m'6mer\'eii)er de tout te talent précis,' :Bub})!, minutieux, ~qui y est'dëpensc.' Jc.ne'cohn'aispas d'6vp;;ation'ptùs spieuse et ptus vivante ;a~a''fotS que celtërci. Hien que t'anëcdo.te soit mince, grâce a miUe~peUts'jÏc.taits heureusement choisis, c'est tûute une'époque' qui s.eçoue sa .poussière et'qui se meut'dovan~Ndus. DànsleAf~îMn.M.GuyLaunay:

Les deux premiers actes il y en a. cinq sept amusants, légers, ironiques, comme une 'bpërëtta~de Metthao et Hatevy.~I~a situation .devient ensuite .'melànoonque, tragique mëme.'Mais quand tombe~e!'idëau,,ph se souvient encore.d'avoir ri. ï Dans'ComcpdM.M.LéonBlum:. Toutes ces inventions sont. extrêmement <ngenfëusea

et divertissantes, ét;roh y retrouYë\toUté')'abonaahce%o-

mi.que, toute l'imagination' fantaisiste de M; Henri J~-

veddn.

Daps le Jour?)a< Intérim i: II n'y ~a,pas de fantaisie plu~ p).a!san~e,:Be drame Rlua

stupéfait; va jui ~den~ahder~Ta~r~SQ~ -M

mystérieuse ~nter.vention,îlisalue'!ë't~ispàKnt.

~r. %~K.t.M.

RÉVÉLATIONS. ÉTONNANTES DE M'" MRY,'RËLA'?H~S A 8~S "RÈtjATIONS PERSONNELLES ~VEG ~FAN. -TOMEDE~'OPÉRA.=~ Ayant de smvre M. Je c6!ï!tnissa.!r~ ~epoÏtoe

Mifroid chez-'MtM..les directeurs, ~e lecteur .mQ

permettra de 'rentretenir do certains ~vepe'. ments extradrcUhair~s qui yencuent ~le~a.id~ rouler dans ce bureau le secr~faire Réïhy ? l'administrateur ]Merc{ër àvaientrenvam lente de pénétrer, et Q.ù~M..R'pKa.rd~ei'~Qnc.~r. min's'éta.ieht si herj'nét'tquement'eRfe~iés.~ns un dessë.i n que le ;'lepteur jgçore. encore, ntaia qu'il .est de :mpn/deyon~~igtQrique, ,ie 'v%~ dipë d.e ïn()~;dëypiï d'Hj~tofieh~– de ,h'ë point

lui. c~ler pIu~}Qp'gte]!Hps.

Je n'etotinerai,. personne en "âf~r~nant. que

MM. Hic'hard.~t ~MQncharmin n'à~aieni pomt

abandonné' l'espoir 'de fai~ « .~éja'treî' d~ns'

leur ~sse les' p~mtersyiïtgt.miUe .'franco q~ë

le Fantôme Bn avait fait sorur. Et~dah6:p~I~ut,

iIS'-h'à~iéht'p6tï}tL~esit~T;~ t tnille'a~tre~. C'est 1~du rë~u'ne~â~ ,.9,

spéculatiô]~ pu, si vous v.pule&, ûn"Tiâtcti-<cS!~l

qui est assë. ~~équent chez les.joue~r~m.a.lheprpux. MM. les directeurs avaient përdpl~,?~ 'mièrè manche contre de r0,ils ëspÉratëpt 'gagner'la seGo~dB/ 'i~ A. npus' !a seconds ;ma~cH~ ~~i},dc~c

écrie .RiçHard. Je lie t'ai .Gt'prep}ie~â~

tiënce, mgn pauvre ~MoîtG~m~~ t1AI1r,

mieuX prends .aë l'O.la' jiiai~~a.~s~e~~ 1. I~e' sM,,en" lMjMupFencë,n~tait. ~1s

"L~


~b]re~t~~ùà~~f6itd ~e:tai compte-en. eiDq actes-di-; 'er~ 'qHe:°Kigot iap;man& bttnj*. )e TRëatye-Rrancais, ~C'est

t~si~npl~ ~touîfu~ ~aiU&rd~et toussant, pittoresque, at-

:du,in~rÉvjii,vtvMt~jtcut, d'):me ,vie:.coloree.et nuan-

~e~ecS~sUtt}ë&BaHpmipent et johnjent, jusqu'au, nlira-

jR~e,§y~ ~Q ~ër~pne; --de ta ::tarce au

-n~t'~Ms~ce~rpgr~Biohfjcomtpë nonct)&!ànte; Uns-

j6~a~BC9-~a<et bmÉê, tm:4a6t-et une science.voUes

~Jd.'tm'e~tta!Te'leg6re~' j. .1-;

~D~~ppet~(!r~

p~~va~-r~d'ab~d~ ensu~.an~u. K'est~a po!nt

'BHX~Ïfe~e,~g9"-l'art.,d!~niati9Me :Ei. c~st

MW~eta;~e.rœus~oit~I)e:do:l'aLiLttenr du.p!~ a eM,

'e;'parje$ ,chatet'eu~8t,nanintes ~pp}at~isse. ~M~

~o~s;p~'pôm'K!z~tM! .goM~a S~ un ptaipir exqatg,

Je~.R~ëHoatës de l'esprtt, du ~œur pt'a~s

1 1

:tsttouE ~e;:pouYct!)s~' 5, dans-.M~ frpMë 'anaTy~e,

.pESBZiMdiguer itout 'ee:qtië)e style de t'àûtaur~ vivacité,

~s!}~' f~ncli~-le~CMac~ traf1 de t'exprea-

~~t~majn.~ocus a v&iu.tm u- npuvM~ grand suocës

d~ U!! :g~ë enç()~:temt~ fcn<, diffc~nd– du ~iom-

'pMRt:$ut~,d~ 1Rt~{ dH'~rg~s;.dp' ~o~,

~K~g'T}9nMnes ~eùretix .de; dire. te mérité. Je g!&rieux

:o~.d$'M- HenEt Bftveda~uccÈ9 gm géra'long e~

~MtM~, n'ea.dontez-Fag.

/P~oa,~eudjt; pro'pb&in,e'Q. maimëa, .àj: ~enx

~s, :J?<s j!Q~H<~ (débuts de ;M~e du

..S~J&t~~t~ ~a8.-cpn99t!rs du GoaseryEttçtre.).

~~r~oe~r;M.,ï~.6ta~~

h~aM~.P~~n 4 .d6(;em~, ~n.m~nëp, ~d~x

CHy~rtu~'e. d~s ~Mm~es.MioMreMeg. du 6& ~em.cpo~t!~e9' & ~;R[;stptrp du Rom~at~me et dn

T~a~ecdeanT~~e. ";i,

I.: Y~e~rMram'n~ de cette pre~i&ï'e gÉsnoe. mti

/s6~~ns~r~Victor,~o;

~o~mes 1. RomanM m~irego«e (M. Gèrbault.) 3.

i~~e;%OM~ ~cqu6)) J~ ~M es! t<~ p~ .Mdt~e~t' (MUo de P(mM]g);

5.f?'M:!<t'. Mite Venmr~ 6. f<!6!< !n~'

M_Stephë~ 7. ~t'~m~e ~m' (Ml'e Céliat~ M, J~aMM~; S.~cu~~r.s .<!<: ~:tk. Guen'e. [M. Jdu~ë)

,S.~tt,~e!e der~er Mtte Ba~jaG; 10..J'a:me Mq p~~

'.En~ ~bambMuiJ) 1t. C~< 'dtt tMtM- pe~~r (M. ~os}~).; .C~o~cn <!u Cran~ra (M)!e Faber). -L~ ~r.~ H~B.(!'t(ft t'P~ (MIe:~M gyngr, ~ep Mlle

M. Sc~d'~&s.~ satyre],

:9'ûÈm~.l. J0!e (M; Fabre) ?.< Vo-

~<(~ (MHe:lCû!pn~~o:naRO) 9.=P~M)h3s S'M~ Con~r'

'pa~M,.pea:s 'd'Jnos).; 4. Cg QMe dH ~{)!<o (deM{

Ë~ .(M. Bernard)

~M. D~fon~neg) 7. B' .S~, Pre~ o~M!e Qrnmbas!}) g.jL~ c~f~MM.(M"e Vén~t) M, ~i~M ~consc~n~ (M. Re-

ROm~U.~aMOP~denx enfants). t

~Pr<ttKMfë~.

~p, coaMre!!)~ sera ftUtc pap.. ~Jean R!e!)ep:n. ~nq heures, q:'eu~iem'&ssem!)!6e genëFa!e 'ti9nn~es\d(l-tMat!du 'Vaudev!~ qM & .JPp!'Mne~,et'Simplement aspep~la, dÉrnispion d& M' ~Wtn Bt jm~ten~ M, Ppret con~ë seul

~.fdir~ur.

.A.ta~Eyriqtie!: Les Yil~ 6e M. Sien~e~cz <tgsistfuent à îa seconde'r9prêsen~~on de pttp Va* d!~ J't ont ëtë~ïnoit's de l'aepoeit triotnphn} Mt ~8ë$<ïUB'MM- 'Kertn GMn et JeanN~guës ont ~nfa du célèbre rômsm de leur p~re.

AntpH)e. ;/Le ,6UCCë3 'de P~M~. <m ~O~tut~ ? JM~, &p!'cs.p!us de 80 reprcsMtations, ?.a~H~i"S! eonstd~Me qu'it est impoagibte de

.K~Y~r-pMue à t4queHe pourra p~er le~ro~

c~~p~ctiact6,,Qm &c oompQse de -~8~. pièce en .ap M.C~pnet Ntgond, et de Tott{ e~ Sau~ ~MT~OM~ttf, ~r<~e de M. ~aob~Guitry. Ces deux p!eceB, eependa~t, sont'8uës, répétées, toutes prêtes, ce-sort~gue. depuis QuetqueB )ours on rëpMe~ne ..con~~dte.~iEi. André Picqrd. Mmos Mëgard, Carher ~et M. Pierre Magnier Ont été spÉcia~ment en-

.~a~'P~cettaipieee.~qu'ttB iDterprëteront aux cû-

ur".Ce ce; lits nter ttà aux cô~

~tss\de,t..pemier,~ et qu'on .va se mettre à debroui!-

ter,toHt d9uc~tnent/

{; Ai~n~ns'que dëp~ pr68ënt,a.to~~ est ou. ye.rtj&oiH'~Ia 6oiréeïdu T6vei!!on,~avec Pap~MoM df! .,jLH~i!S~ JMs~ et L~ Ro! ~e)MM:ë surTaïîiche, car c6~spactac~e sera joué pendant tes fêtes et sans

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,de ta, cour'd'assises. A ce point de vue, it n'est pas ~eme~teu~ modèle que la cour d'assises amÉricaine '<tU premier acte de Mch~H~er, et nous engageons ~vem~nt'hos législateurs à. FaMer voir à rAmbigu. .{-ÏiB.'n'aùrbnt pas perdu teur moirée, d'autant pîua ~)que cela te.ur permettra d'applaudir en môme temps ia très viKànte, ~rës amusante -et très passionnante ~~i~ë.aëMMf~Btbsôn''ët-I.ivetët~ces étonnants ctuens ~e~po}ice ~qni,' présentes pour'Ia promi~rë".f6t's ~ur ,'uhoj6cëne,~Gnt l'admiration de tous les spectateurs~ JVtc~ Ccr~r sera donné en matinée supplémentaire ~.dtt jeudi, aptrès-demain a deux heures, avec ta beUe '.dtstnbution applaudie tous tes soirs et tes chiens de

.police..

~a direction Su théâtre Ctuny vient S'engager M. '<joradtn-pour-intertB'éter !e principal rôle de'Let 2Voce~ourd:~o, pièce-nouvelle de M. GardeI-Hervé qui passera très-prochainement.

'Au; théâtre du Grand-Guignot, jeudi, a: deus! heures et demie, matinée. Le programme comprendra tMtes tes ~ièëes'du nouveau spectacle.: ~ory:b~ ~pëneHee, L'Am! des .DëM~, Le Hangar de r!<c Mc9-d~z!r, Afattsme ~MfcKe, La Bo~e.

-'t.a.'sëif.ée'dea Trente Aps de TIléAtre que dirigera '~t:Massepet, jeudi soir, satté Gaveau, comprendra ~Maf:6-Mdg''de!ettj~, Nër<.)f:ade, Tha?~ Le\Rot de La.K'ore, ArMHe, BtMchu~, Le AfeM/et d<'x Grands y:o,~OMTët~-)SaMbKe de Pu~~oM, chantés, dansés, exéeûtes ~pàrt'O.péra, et se tenminera par tes C/mHsoH~ foM ~A?na~n<Ke qui," également tous ta direc~on;'de,M,.Massenet, seront':chantées par Mîtes TLiouise Grandjëan, 'Lucy Arbëll et M. Dëtmas, aux-

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-~jpoinï He~ue' th'é4t~tes ~qui est~comme le~it', Tun' ~es pnHcapÉ.hx prétextes à ma~]tf6~i6nS-el6ga,nte8,"noù8 aybns TÉté p~rticu' .lièrement 'favongees depuis Quelques jô~r~,

;~outes~nô$ ~Mnctes~c.&nes et ~os'~aHes botHe-

'vàt~iëFes ont renouveié leur spectacle, BjBut' être jnême ~~c un peu trop de p~cipitat~pn ~u~re~e ~.critique~ obligée d'être partout;~

~a.~s,ï.='est~y~,q~e ta ~critique est parfQis

~e~ërnmagëe~e ce Burn~eoagp pnrfQls

GOBHLptilneiA.SaGu par dës:irphM~attëH8eB sur

lë-tàlënt au' les petits travers da j.el ouvtel de

se~pi'~<%s.és~ïëni~tes ëtdps înedes trouyent ïa.r~emëht le~r ~énéûce a. ~ptte ï'rêcipMq.tioH.

(~ sont que tot~tt~~o~ven Ûans tesquel-

~M~MM,.couturier attpprtë un peu plus de

:~ï~

.r.a~~ ;V.C

quels 'se joindra te 'cnarmaht t~nor~M. .Le" Lube~

q'aété'in~dlE:~ë M arma. .1~ n~é` 7p r;¢é'T'ê é~

L'acte" înédi~'de'' M:' QabpMl ~uré,. J~t, ~e;

(Mlles Jeann~RbIly~ Aliep Bë~R~, M. jBailtët~'t'om-:menceraje ëp&ctablë avec le-prolo!gup:ip6dit de'M. Paul Fërriep, ~àns lequel MUe' Piérat et M.Leitner personmpërbnt, en/coStumes/Manon;etWe~

-c

Le théât!'e.,des Ar~, av~ë ~c~~i- ~tt)re de nombreux m~tomahps ~ut~~ienaènt applaudir la. cur~eHaçp~rHttonL;du:maïtre'A~s~

'm'usique sauvage, pittoresque et colorée~. ajout~~ à

la,. 'E.;Èc& de;, M~e J. d'Ortiac' u~ atmosphère spéc}Qte qui rBad~plus tragiques encprp las forces situations de cette, belle oÈ,nvrë. ? ~.Pierre Atiq.vient.en. oppû~ittonavep~bp charme

prenant, gt copsacr~tous~Uës.sp~rg~ Ia.:CbM)Bpn.s

tri lés 'ù'alités àè' .Qét¢,~dé ~~st` ié>1; t,d"i~itër. ëte:

.~riplesguaHtBS deppëte~ dem~stç~~ e pl'

Vendredis .dp; Femina Thé.Mre Pëpuna, 4 tr~s

.heures, .cpmérenBe répétée de ~.Marcel'.Prévôt

sur ~a Yië intérieure ;pt mteH.eciueUe.de ta

Femme.)'

De Roue~ JL'4ttH~e~t'c. p~gnant drame, i~

rjque de MM, AdaH)ept Merctec po~r'Ia musique et Jean.B'ervat.pQur le liyrei,Bera dpnn~.au th~tre des Arta le 8' d6ce.mërê-proçhaip. ,o. Mmes gomi et .ponaMëph, MM~otreuit et Lavarenpecréerç~tissr~lesdelaptëce,

~est~w~x viennpip; anno~nt qup S&rt'sp

ve~t n~yeau.se mariiër. ]L'ue de go~ ccpur ser.att uhëjeu~ë.et joMe'Sttane~he'qm ~tait veBdeus'ë

dans Tin. magasin de Mt!an.

Mme Jane Norîa, appta~ie à l'Opëra. spua Ja

pr~~d~ntë dipectiap, est actuel~mc~ engagée &

-~Iréçéd ~çpte .~directiqp -pst Lepkué.Q-,à

~ew-York iet-& Boston, et!e orient n~sHec~

considérable;

EUe a adni!OLb}emeat chante,, au MetrepeUteLU

Opéra, !erMedeVënuade 'Ta~h~ et, quelques

jours aprôs, eUe a donne & t'Opéra ~e Bosta~ une pepr~entatioM de <?at)a! fM~jitcMtq;, qm fut d'un bout & l'autre un v~ritaMe triomphe.

P.

t)fi Philadelphie ~Yvette ~ui~ert prolonge son sëjour en Amérique et na rentrera, que le'g0'décembre Papia. Apr&s quarante.eisq~ reprÉsent&tions données & New-York et qùarantc'cinjï entre Boston, ;Broo~Iyn et Philadelptîte, eMe est~nvi~ë re~ Venir a New-York se taire entendre au théâtre 'dë<l~ avenue. De plus, ][' « Antoine )) iiméNeafn: Be-: !asco organise à son tbë&tre troi~ grandes matmees, afin, que la diseuse franeaise se fa.sse apptaudir par un pubhe ~e!ec~.

` '/<

SP~T~~R~~ 3

Université.dea~M~a~ AujouFd'hui, cinq heu~

res JLa M~ ~c~ct~ XV~ <tw: :~t~rtes La-~eH-

trëe des Boürba~p,s. t7e Hartw !6 ù. pEi' e

~e (~ jBour&p! pe ~<tf~P'{ tHVp<f<B<tM~. ~8n'.

îûrenpa de M, Q. ~enotre, lue par M. Br6montt Au-

ditions.

Les plus grandes ventes, lee plus jolies temmea

joueront la ~eMMe~~ Fot}M~P!p mais ce n'est

as tout M, Gl. ~tl~lnel-a Yqhl!1 A. e! ~clH~dü:cc elOtl:

pastout :M, CI. BMnclavouIn qt)el'(;elatdu!«ilou.

de la saison )) soit~r~haussë par ta primeur .d'au-. tree « ctous aussi a-t-i< engag~ppup ta-revue de MM. P.~L;,FJers et;Eug. Hëro~~a tt'oupe.Jaxon, Les Harwey Boys et L6onette'Robertys et ees .danseurs.. La pFsmière de samedi nous réserve de nombreu-

6G9;eurprises.

On ne:pMme pas à ia~Botte S Fursy Hier SOtr, Furëy a. chanté pour ta première fois da nouveaux couplets sur ".Jeanpe. d'Arc Son ~uccea tut ~m. menée. La chansonnière Jane Aytac a. !ahc6. BHe ~ussi, ~e&c[pt!so:t!s;~ fu.e~ de Pan.?, actua!it6 fort bien'v~nue, et enfin Mévi~to aîn6, tr~s amusant avec son épilogue de refaire SteinhëH.

Pour les îamittes, le spëctacie Meal est'donne' tous tes jour~entre deu~ et six heures, au plus par-, fait des cihématograpnes, celui des grands~ magasins Dufaye!. Les vues d'actuatité, panoramiques, sportives, historiques, comiques et à transformations, choisies avec soin parmi les meilleures nou-, veautés, captivent aussi Mea des~pettts que les grands. Le riche cotoris donnant l'umsion meme'de. la vie, tes dialogues humoristiques, jes charmantes adaptations musicales, les .choeurs, les soti, )a scru. puteuse inutation des bruits et les conférences donnent un. cachet artistique et de bon goût à ces reprÉ. sentatiohs, 'qui sont classiques dans leur genre comme FOpéra et te Français dans le leur. A ta sortie, five o'cloc. M. Gaston Akoun vient de réaiiser'!c gigantesque tour de force, de construire en trois semaines une salte de patinage unique au monde. Claire,. pim. pante, admirablement éclairée, la merveilleuse piste rectangulaire en coeur d'érable du rollep skating de Luna Park est maintenant achevée. C'est vendredi soir, à neuf heures, qu'aura. lieu le gala d'inauguration, pour lequel le tout-Pans des premières est d'ores et déjà'invité. A titre exceptionnel, M.' Gaston Akoun a,jdÉcidé que le? porteura de.cartes d'entrée, permanente .de ,la.: saison d'~té.seî~ient admis

~vendredi sou\

SË~CES MUS)CALÈS

Le comité de l'Association des concerts Lamoureux a insGrit & son programme de dimanche prochain.Ia symphonie de Bruckner, dont ce sera ja première. audition aux concerts Lafnoureux. Mme Croiza, du théâtre de la Monnaie, se fera entendre dansim fragment des Trot/Bjm de Berlioz elle interprétera également deux mélodies de M. Chëvu-' lard (1" audition) et MartHe de Lalo. A ce même programme figure le concerto en tn! bémol'de Mozart pour piano, dont l'interprète sera M. Camille Decreus, et la S~ symphonie de Beethoven. bimancne prochain, au Ch&telët, le septième .concert Colonne sera donné avec le concours du violonce!HstePablo Casals et de Mme Lauto-Brun. La deuxième partie de la séance sera consacrée & Haydn, pour célébrer le centenaire du maître autrichien. Malgré l'austérité'de son programme, le premier récital de chant de Mile Germaine Chevalet, consacré en partie a des cantiques de Bach et de Beethoven. avait attire une grande affluence à ta salle

Berlioz.

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son talent ce ne sont qne colipchets nouveaux ou trouvailles inattendues dont cliacuneafûrme cette grâce inépuisable de P&ris, qui sait 59 traduire tous les jours sous tant de charmants aspects, I/unë de ces derniëres trouvailles est un bijo~ que Fon peut voir a' prégenf "sur toutes les femmes phics. Il consiste ~hnne large, très large plaque ronde d'cr ou de piétine nnenjent ajourée et sertie de minuscules diaf ntants sur lesquels rayonnëpt d'autres diamants ~plus importants. On la suÉp.end en pendentif ~u~out d'un ruban de velours on de moire .Mire, -La sortie des iheatres, en 'ces soirs-là, n'est pas nloins'agréable .pour rosii épris de gracieux enchin'ohneoients. On p~ut y.vo~r des vêtements que seule'l'ingeniositë rainée de la femme'peut'.CQnceypif, En montrant son talent de collectionneur et .sa grande érudition, M. ~nri Lavedan a. Gontribùé répandra le goût de l'étofîe ancienne, Jln'e~pas un couturier aujourd'itui qui he.~oit, compie lut,un peu '.bibeIotem'Nous en ayons eu le plus délicieux exemple par Mme ~hpruit. EUe 'porfait, -:à la répétition générée du ~M~c, up m~nteaS gu;

6t sensation,~ était de/repoquem~m~ ja.

-Renaissance, de-pe seizième siècle'si pPHpIë de magmïieences dont .tant de vestiges ~ous ~ont parvenus..I~~taitap- velours trappe vi~x. rouge et peHt-etr&~yait-i~abritë Ips ëpanl6s:dé quelque grande dame nor~tine.OH vénitienne '~vant de parer ceU~.plus 'fragile~; d'une.Pari" siënne de nds~ours,de~tte~Mm~h~rUtt qu'on posait appeler <~la"pen8ée blonde. .connue M. Maurice ~'Donnay'appelait .autrefois '&Tme Marthe BrandÈs..Sur ~.mante~ inp=: derbisme avait ~ete ulr'beau cot'Q~ fourrure, ïl enveloppaitnoe toilettg~ont la Sëdn~tion"ré-: .volutionna la saU~~EUe~ëtait en~taS~tas bro~ ,&hé vieux -ro§e,~cretem~at brodé :~un p$u: d'or. L'amolenr de la iuBa '~ajrtenëe eR an'ri~r~

.9<j.'<i! ~l;

.U~e'v~nt~Ië ovation a: été'f~itë&'la'.car~a.tpîce, au)S!:rqM'&M. PM!ipp~:Q(m~Brt et;Jea~.Y~pd,Lqm otitadmiraë~ement exécuté une .sonate de Bach pour

-n~t~etptano.

~.yéCtta~He.mtûers~af~ <

U~rÈ~ np~br.eux/pubUc d:c~eùr~ëeinen~

p}~dh~ay4n~ter.Ie'B~n!s~e~'B9rna%~ën~erg,.pac}!Ue;PaR:js;n~yatt'pas entënau..dep)~s gOR'fe. .toup;<l'!taUe. Hemmersbat~: ~f~t .go~ter~he~ais- v ete plu's~ technique .impeccaJ~ë'ët"s6p3~!pe'ar\tiste dan~ np :}~'<5!ude et une faëtweie jie''JBàe~, ta 'grande ~ntaig~e:t!p; Beettiovan, r~psodië~de Brahn~.aeux ~~deS.e~~oë~taU~e ~e~Sbpin, deux .Ueder-de~Sc~uKerf-~i~t' ët,t~ 2~.vallu~e ~e.Lxé~t. Puis~t~f~t t~ prtmeur d~qtiatre do'së6.N'!U~r§B '.pompQ~ittû~s ~p~MC' ~a~c ~<~ -~erps, Iwpro~p~ CapMco'o, (cuvfes i fcrtempM. ~rltes;otnt pefnMp.'que.le so~ei! d'Ma!!9 a ]m!~ d$?.ta. vte et de ta couteur,

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Attr~~oManc~: qui pilotait" t'~e-dë~a~ë, a et~ dfs.

-maUM. en se"t:appëHe que son 'ballon s'échappa iors

d'uü~âttë~issuge'9w'fitt9âtpilleurs Ppti m44iv~pi,ënié'et

..d'u~~tt~rriEsage''qui fut'd'!ai)leurs fprt mouvetnënté ~et

~U~~Rarut.

't.E'KGRQSS- Le" ilir~geabië -TmiUtaire %r'ass- qui, a deiix' ~prises,

:jadi~t~naufmg0,une .p~nni&ro fçis au.nipis dë'jms

;'dern;er~,lorsqu'j~resta s~gpendu dans:un: arbre du.OrUMe-

~\y~d,prëc dë'-Benin, .et: .une secopde fois en septemËre,

ibrsa'ut)~omba';aaRs ta ~.aië-.de StdHn, :pres dp 'WcUin, 'a fait'iyBndr~i'pa r~pparition, 'entierentent Mtnani~

Le.dirigeaN&'a 6të aUpngë de huit.m~res,.a mut~

;de mptS~s plus puis~ts et a;sHM tl'aMtrep MBea~io'j'~eh'et madif!eat]0!)s fqui'.le' font FessemMèr <p" tp~s \'po:nts'~u;GroN$~7, qnl J&st. c.Hë stationner~es' jon~S-t;! 'Met~MoMt~ -?& ]o 'jnajor Spërting, Tingërneur ~n cttBf ''BttsehacH et.d~s sc)!dats.di,t bat~Ion deB'.a~ostieps, M'a. t.fa:t'6p 'jouc- sa. pren)i&t'e ascension au cbamp de tu' de Teg~f Cette'sortie-tt~u~icu''par ci~q-degr~'Qp froid, et .a pMfs;temQht~Hss!B~s.sHe )eE essai.s.seront terrâmes, 'e dirig~Ie .rejoindra pon port d'attache, qui est Co-

logne."

i[.P t["F~SEVAL ADMtcmB!

.f.prGjhiei-. dirigea j,)!e,a.utt'ioMen, q~i qst. co~n}e oh

,b,alt, ~a. t' evPars-upt, a etfeçtüé ven$rpc~r di3rnia~ sa

,sa~'qu 'iyipe'P(!M~a~ a effectue vendredi dermor sa

p!'em)Èt'ëasoeHsioh a'l'aerodronje que radn');nistraU6n

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donnent ttu sang fpuge ~t pur

H.jo.'est pas de m~Mtip ta. n~igeace sptt p~s ~~mgerèu~e qup daap !anëmie on ptmvreté. du. sang, Or, cette malade, qui frappe ~rfout le~ jeuiies Mteg,'lp6 personnes ~urruenÉes et ce!lpg qu) tfavaillent d~na dos locaux;dont l'aeratiQn est ijieuîfisante, B'~mp~re d6 Forg&MsrnÊ id'une façon si sournptse. qu'e}!e est dÉj~ en p~d~vploppsme&t alors qu'on s'est & peine aperçu de sa présence.. B&n~ raa~mic, H y q. une ditTuntitioM ~phpMÉraMe "des globuies rouges'dti sang. Ces globules, qui don.~nt~tern~t.a.u.sang sa coloration roug~ sont te 1e ~ht~ule de l'p~ygëne'qu'ils absorbetifIorsqu'Us

trayer.sÊnt les' poumons. Voilà .pourquoi. U ne peut

y nvoihde santé olië~ celui qui n'a pas un sang rouge. Chacun sfut que le corps n9 peut V}vre $ans oxygëne. Or, lorequti '}e$ globules rouges dimi. :nuent, le. quantité d'oxygène absorbée par l'orgajnisme diminue proport!onn,el!emeut, et l'état de saute ~uit le .m~tne .motiyëiïient. C'est alors qu~pr ~paraissent les syjn.ptQnies caracté!'istiqueg,1lM~

gueur, pâleur des lèvres et du visage, perte de l'ap-

tétit, Gerçure autour des yeux, Moelératioh de la ''respiration,~ palpitation du cceur lors d'un exercice un tant'soit peu violent. Si la maladie est négligée, ces syMptômes augmentent' de fréquence, d'iMen-'Site tout natupellement et il vient un. moment :où tout espoir se perd de réparer le mal. Pris a temps, ,1e maf'est très facilement guérissable et le specifique à'employer ost u~ jnédicament tonique, ayant '.le pouvoir d'augmeoter la, quantité des gl<)bules rou~ca dulsang~et de porter l'oxygène dans tes tissus ct,!es.ïnuscles. I~es pilules Pink sont ce médicament tonique/et, dans la science médicale, il n'y a rien .d'aussi certain que la guërison de l'anémie par les pilules Pink.

Ijn exemple Mme.Monturat, 3, rue des Piedsd'AMoups,~AuxeiTë (Yonne), écrit

Je n'ai eu qu'A me louer du traitement des pi}u-lës PinIc.Jepuia dire que j'étais arrivée a l'ëxtré~mité de ta fcilblesse, ratais désespérée et je croyais tbien que je ne verrats pas l'année nouvelle. Grâce .aux pilules Pink je .suis tout a fait rétablie, je va'que à mes occupations comme auparavant. Voila plusieurs années que: j'étais dans cet état de îai~Mêsse. Mon estomac était délabré et j'étais obligée de manger seulement certaines choses. Aujourd'hui, "je-mange comme tout le monde. ))

Les pilules; Pink. sont souveraines contre l'ané-,mie, ~chlorose, la îaiblesse générale, les maux .estomac, migrâmes, névralgies, danse de sainte Guy, heurasthême. Elles s.ont en vente.dans.~outës les pharmacies ëtj' au dépût, pharmacie Gablin, S3, rue Ballu, Paris. 3 îr. 50 la boite, 17 fr. 50 les six bottes, franco. RENSEISNE.ms~

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Comtesse d'Aux, à Gien.

Georges de Bacquenoourt, & Nice.

Marquise de Beaupuy de Génis, à Nice..

De Bëlot, a Versailles.

Edmond Boclon, à Roanne.

Comtesse Eizear de Boigne, au château de Grancey. Bolot, & Alais..

Brosset-Heckel, à Lyon.

H. de La Chaise, au château de 'ViUers-sur-There. Comtesse de Chalus, à. Libourne.

Marquise Dodun de Keroman, au château des Bor< des. Marquise de La .Mazeliere, à Nice.

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.vu deFniërenient une.robe de liherty noir a.llon-

'gée de' plus de six mi}le francs de vënise, le~ .quel se voilait M corsée .et a. la. mpe de mous' féline dévoie noire. A oe.veniëe se mélangeait t ~6ou& la guimpe un! peu- de dentelle ~d'argent .~ehauss~'d'.u~ transparent vieux Meu. Citait la ~un.ensemble.d'uee'très grande distinction, plus pnya,'plus;le noir est rec~erclié, même ~ans.les -toilettes'd.u soi~.Si leg réunions ir~s\{~miDines ny gagnant pa~en éclat, elles y gagnent çepeh~QaQt en~on goût, par il n'est tel.que le Jïoir

if'Ppur évitera de~tomber dans certaines erreuï's ott

~le.c~QiK das GQuIenrs vous entraîne parfois. Une

~çt~ &?? ~.P~le.au~i ic'ëêt 'r.ext~m~

~esse.ttes tailles .que lep jeunes auteurs;tels que ~î~ Henry Bataille 'et Bersnt'ein préconisent ~t~ëulent. pour-leurs interprète~ et que tradui.

~sent~i ~jjëïil.es peintres comme les Boldini et

~les~ÇaTo Delyaille.-Qette souplesse, nous-la de.~von~a.n po~bprateu~d$s ;ro~es de Mme/Ghë' ruit~ au pUMllot de ~me Rabeau, qui i supprime tout~ q~i :peut-noug gen~r" sous:-prétexte, ~e

nous~nainténir, et no.us soutient sahs~xercer

.mojiB~re contMinte. N'est p~r.lui que ~d~eie

~a grâce d'attit~dp. de.la îemme~d~uJQurd'hu~ !dQnt~e corp~emble :se fondre~d~nE la~Garesse -des-toffeË. ~dës~ fourrures.Hh.n'y. a pas 'jus-;

nqu'4~;esp~~nces de maternité qui ne puissent

~cô~ryer~cette ai8.ancë,,plus indispensable que .jatu~ dan~ Ms ca~-là,gr~Ge à~'expérie~nce de

!Mm~.RabeaU) que tousses pra~ ~.a~tenE

~n~amie ~'presque en' confrëM,Spii, ïttaillot j;c'est;toutes nous. n nous permettra dp faire êpo-

~que'comme ]ës: noR~halaMces de J~sëpli~ne et de

~Mm~Recam'iM.: S''

Âpr~s ayoi!' menp tant de bruit autour des

;petitg '~ape~x, on~~c~~ à donner Ia:prë-

~reace au~rand;~lui que Mme~afeelle Len'

nett pottT.~oa~.dans Tordre que voici~

BaroBne:.C.eLaviIIéot~XDger~

AJt'ëï'ip de Le!jc5uesamg,à: pannes.

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Mercredi Sarnson et DatUa. CoppÊHa.

Vendredi Aïdtt.

Samedi L'Or du R[un,

COMED!E-FRANÇAISE (Tëh 108.S3), 8 h. 1/ L'Amour vsfUe:–La I~mt d'octobre.

Mercredi retâche.

Jeudi 11 t'itait une Bergère. Connais-tot. Vendredi et samedi Sire.

OPÈRA.COMIOUE (Te). 105.76), S h. 1/4. Le Chenuneau. Mercredi Le Roi d'Ye.

Jeudt Werther.

Vendredi M)~e Butterf)y.

Satnedj Le Chemineau.

ODMN (T6). S11.42). -Kei&che. ~V~

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NOUVEAUTES (Te!. 10S.5I), 8 h. 3/4. Le Portrait, de jta Baronne. Article 301.

THEATRE SARAH-BERNHARDT (Tel. 274.33), 8 h. 1/2. Le Procès de Jeanne d'Arc.

THEATRE'REJANE (Te!. 591.77), h. Le Risquer' CHATELET, 8 h. 1~. –.La Petite Capora! PORTE-SA!NT-MART!N (Te). ~37.53), 8 h. 3~. La Griu~ RENAISSANCE, 9 h. La, Petite Chocolatiëre..

PALA~-ROyAL jt6! 102.6m, s;h. 1/3. La.Vatse des'

Rosés, = Revahef?é'â'~vë:

Rosés. La Revanche d'Eve.

ATHENEE fTe). 3S3:83), 8 h. 1/2. Sophie ou le Dësir de o&atenter. Page blanche.

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grande nouveauté cohsistë dahs les vûHe.s de

dentiBUe, très charges en dessins, dont quelques i~mmes se couvrent le visage d'une façon, tout à !f ait L imprévue et bien seyante elles tes serrentjsup:lë 'nientoh, à la fàççn ~'un masque, et les maintiennent en arrière avêc~a tnëm~ 'bar~ Mtté.d'ecaillës bu cte joaillerie qui sert .a contenir la rëvo~te des cheveux sur la hûg~e, ~'our obtenir ce-petit résultat avec tout le chic voulu, il .faut avoir .un tour de math pajHeuli6r~dans lequel se révële toafû l'adressë~de Ja P~risienhp. Ph s'imagine 1~ Brofondeur d'exorasHOQ Qu~

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BOURSE DE PARIS

Paris, le 29 novembre 1909.

Comme il fallait s'y attendre, la réponse des primes a provoque un certain nombre de .dégagements,, d'autant plus que si le tatix des répdrts~doit~ être .très'modéré demain, en raison dé l'abondance de l'argent, on se montre particulièrement exigeant en ce qui concerne la qualité, des clients et des intermédiaires ayant. & faire -reporter des positions.. N.jÉanmoins il est, très vraisemblable ,.quë..la liquidation se passera sans encombre et qu'on n'aura. pas de défaillances, à enregistrer. D'autre part la mauvaise tenue du RioTihto, conséquence de ta réaction des Cuprifères à WaMStreet~ et de la baisse de [iv; st 1 5/Ssur.le cuivre, a contribué dans -une certaine mesure à, l'indécision qui se fait.jour dans lacote et à laquelle certains compartiments'n'ont pur se soustraire qu'en Hh de séance. C'est ainsi que les Mines d'or, faibles; d'abord, se sont légèrement raffermies en clôture. Quoi qu'il en soit, la note prédominante demeure l'indécision et on peut s'attendre à voir cet. état de choses se continuer..

Influencé, comme le reste.du marché par les opérations de la réponse des primes, notre 3 0/0 se montre hésitant à 98 95. A noter cependant Je chiffre élevé des acbats des Caisses qui .ont atteint 51,000 francs :de Rente.

',Le groupe des Fonds d'Etats étrangers fait exception aux tendances plus haut signalées et accentuer en général ses bonnes dispositions antérieures..Seuls les Fonds 'russes se tassent légèrement c'est ainsi que le Consolidé s'inscrit à 94 12 contre 94 15, que le 3 0/0 1891 abandonne 10 centimes à 77 05 quant au 5 0/0 1906 il termine ,i 103 15, venant de 103 37 lé 4 1/2 0/0 1909 est plus résistant à 99 45. L'Extérieure espagnole .est en progrès de 85 cent; à 96 60,1e Turc unifié se maintient 93 90, le Serbe est indécis à 85 75 contre 8597, le.Portugais, au contraire, reprend de 63'80 & 64.05.

Ï~bs grands Et~blissements:de:crédit font

bonne contenance et. s'inscrivent .sans changement appréciable sur leurs précédents'cours la Banque de Paris Teste à. t,780, le Crédit lyonnais se maintient également a .l,358,.cëDÉndant que le- Comptoir 4'escompte ~aLandonne 5 points à 800; Union parisienne 934, fermeté de'la. Société générale qui s~avance de ,702 à ?07, le Crédit fnobiuer est plus calme a 61C contre 619. Au groupe étranger les tendances sont Sensiblement les mêmes la Banque ottotnane est .soutenuo.à 734, là-Banque nationale Mexique termine à 1,077, fe~seracnt ~e'Ia/Russo-Chinoise à.600 contre 808. 'Parmi l<s grands Chemins l'rancais les ~spositions sont .calmes sauf pour le P.-L.-M. qui .gagné le cours de 1,325,, venant

'de.381.

La fermeté, au. contraire, s'accentue sur

.~es.Chemins espagnols, recherehés'pai~l'ar-

pitràge bruxellois. l'An dàlo'u reste ~~?5,

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? Nord-Espagne progresse 351 a 353, le Baragossé. gagne 3 pointa à 411;. 'Uhe~'certaine'irrégularité prévaut dans Je j

compartiment 'de la faction :cependaht

pOmmbus, toujours soutenu, gagne 7 francs :K~1,477, tan.dis que .la JThornson-Houston

~Fbgresse'de-5 francs: à ~)3'. le'Métropoli-'

.~nn ..Eëvi ont de 606 à. 6(b, le. 'Nord-Sud ;aban- '6aimé3franes.à363. '-j~s valeurs .'éléetnqûés sont bien-fenués '~H'ansieane d& DistrUHition.s'inscrit avec

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5 points de hausse à 427, l'Electricité de Pa-

ris gagne 1 franc à 504..

Indécision 'des. valeurs industnelles russes :~la Sosnowice seule fait preuve de fermeté à l,502contre 1,50, la Briansk et la Bakou perdent respectivement 1 et 3 points à 297 et 844. Comme nous, l'avons d~t, le Rio-Tintp, en réaction marquée, abandonne 23 francs à 1,952 on semble avoir :mdins confiance dans la conclusion de Faceord dès-producteurs de cuivre. Cependant des informations puisées à la source nous permettent d'affirmer que, loin.d'être interrompues, tes négociations se poursuivent toujours activement et ont les plus grandes chances d'être menées à bonne fin~ malgré l'opposition de quelques intéressés.

EN BANQUE

Les Mines d'or, d'abord .alourdies, comme l'ensemble du marché, reprennent cepen- dant en clôture la Goldtieids se retrouve a148 50, Rand Mines 220 .contre 221, East Rand 135 50; au comptant l'Ashanti and Gold Coast Limited continue à être recherchée à

.44 50.

44 LeR valeurs. euprifèMS sont nettement faibles, ~surtout Cape Copper: qui. revient de ~9~ à 191 50, Tharsis à 155 contre 1S8. Valeurs industrielles indécises pour la plupart la Hartmann se maintient 565, .ia Maitzotf rev~ent~de 953 à..945,.le PiatLne, par contrer est en reprise de 7 points à 544. Parmi les valeurs industrielles' traitées .au comptant,, notons la bomïe tenue des obligations 4 1/2 0/0 de'la Société Roubaisienne d'Eclairage par le gaz'et l'élëctj-icité, qui scmt l'objet de demandes suivies à 477. Recul sensible des Diamantifères sur la': diminution des importations de diamants aux Etats-Unis la De Beers à ~l'abandonnée points, la Jagersfont~m egtnius résistante SL.193 50 côntr.e 195 50.~ "KERÂRMOR.

~F(~MT!m;~

ZmpofhtHons <ïe d!fHnan<s<Mta: Efa~Ums.

Les.importations de pierres prôcieuses aux EtatsUnis et'consistant surtout 'en diamants, seront ëlevëës,' pour cette .semaine, à., .396,0.00 doHars contre 1,OM,OÛO pour la semaine prëoëdente.

Bi!aK.dMB<tnguescMOC!ëM<~A'eu'-Fo~ Différences; < sursemam'3 2Tnov;1909 pt'éc6deai<;

DoUara'DonaJ.'s;~ Prêts escomptea. 1.196.1'Kt.M)0 -8.460.0.00: Esp'ÈMs. 235.090.000–S.OOO.O~. Cirf-ulatioa. 58.970.000– 50.0<M~ .Dep&ts nets. 1.17o.580;000;lS.110:000; 'Dépôts du gouverne- ~D;

'uieitt. 1.-€80.<MO+:M.M.O.

,B[inknotes.6S.1SO.OÛO '320.000;. .Surplus de)a rêser've ;9.310.000J– ~300;000~ Le' Mtàn des Banques .et Contpagnies de trusts 'ne iaisant~pas.partjé des ÇhdtBbT'cs dë.cQmpen.'sation s'étaNit~comme suit" r'

'Difiêrences'

'.L: sur-semaine

27 n&v.;1909 préoeden),e

Prêts .1.193.810;0b0–9.650';000'

EspËces li9.570;000. 1:470.000; DepSt5'1.388'.850.080 15:330.000 BatùaMt~s 2i.5M.OOQ'+- 150:000.

1Mve,'49:à., c.' tr; bLcuis., p&t., entr., d.'extra'3;m.

t ou'donh.lën.cuis. d. chat. prov-.alm. Erëtagne.

Vyë,~out.y ,a St~Pau! ,p. St-G.-le-.Gaulauer (Sartce) TnrÈE bne euiem.-p&Ms., 35 a.dem. !pt&ce;ou. axtra jt'majsbn bourgeoise. M. J,, 38, ;-rue.'t;egenare. ~uisimërë trÈs capabte, rensëigném'vërb., dem. L/6X.ti~'bu-jpurn~N.,64,'bouI.dë;t6urcel~s~ ~euve, 43:aDS,bomië.(~simëre-paUasiëré,-dè:d. t place ouo~extra.. Prëv.o'st, .5; rue .de:.Van'iemi~ Tnrës.bonne' ~cmsin;. fais.paëss., ~uD'jeu méa: 't des.'p.I. Tr~s b. T:eL verb.-J.M., 78, r./Mon&aau~ jpuismiere-pâtissiere, 40~ans~emandë"piace~ù" f,, tstrà. Bonnes .Mf%' G.- JE., .6, rùe,QbLomei, TrÈs t). cuism'pâtiss., xëu~, 39 ans, excellentes ,j[;~î. ~erb.~dÉsire'placer F. JD.37~r:~MarBeuî; TprÈS bonne cuisiniÈre, dem. extrh.s.ù mois.bu à: I-a' journée. ,B.~]'ëfér.7E, S., ~S,:rfiëLPigaUe. ftuisin.-pâtiss., veuve, 38 ans, demande-place. L Références verbale?. B. P., Sa,'rue d'As.torg.

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40/0 ~i)0t. .2S-~ SC. :i6a5'WagOM=Lits, 3Ta.. 3MSO ()rieaMS-447.. 449.. Snddet.&.ii% MS35 4~6..

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I .]1 P°.. 93~90 -93-90 i9 i EauYpour. X~ttaluK6 6 6 9 g~8,.y l 333: -enoue.l q90, PSb °_5

~n;f,hirct'~um&e 9390 -9390 "S~x~ '3' eo< 602 –;9%~J.333.. –S%nou-fJsM. SM2S

M~<.t~an.<<< 484` 484 ~d.au~ ~o:: ~1' 399

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