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Notice complète:

Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1903-01-04

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 04 janvier 1903

Description : 1903/01/04 (Numéro 9213).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5320021

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 14/03/2008

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~Da7n~ma~

.:p~

t P B P HPC Um<fB~8 ?

LE ROLE BES HHMBË~ ..7 DANS. )~M !~B~

Je m'excuse tout d'abord d'avoir à reparler de l'affaire Dreyfus cëtteaffaire pour nous, comme '-pour le.pàys,' est.défmitrvement close par ta .condamnation du.traître. Tous nos lecteurs sont de notre avis, et tes hommes .de bonne .foi irre-vocablëmënt Bxés. Mais.<pour établir ta coope-. "ration de la. dynastie des Humbert Ma tentative de .sauvetage de Dreyfus, il me faut bien, à ïnon'corps défendant, et malgré ma répugnance a. rééditer 'des faits .bien ~connus, préciser les Hens qui rattachent les.de.ux affaires, c'est-à-dire indiquer'que~la. deuxième version'de la. fameuse dépêche Pànizzardi''fournit à Mme Humbert l'occasion de prêter son concours .a Dreyfus, et que son-: agent Jdë:prédilection collabora efn- cacëment au maquillage providentiel du télé- gramme:accusateur.

.Me.voiià donc amehé, .comme-je le cr&igna.is, 'à/reprendre l'histoire de. l'affaire-PanizzàrdiDrevfus, obligé que je:.suis::dë.: ;souUgne.r;la, ma- tériâlitê du faux :pour~taËiir;. plus surënient~le rôle de ceux qui s'en sont" rendus coupables. -Donc, le: 4 novembre 1894, le colonel Panizzardi,-attachémilitaire,d'Italie en France,: déposait au bureau télégraphique, de la rue .Montaigne une dépêche adressée au chef del'éta.t-major général à Rome, dépêche composée do vingt groupesde chiures et portant sa signature. Cette/dépêche, comme toutes celles de même nature, fut traduite'en clair.au ministère dés auairës'êtrangères, .et le lendemain, c'est-à-dire le 5 novembre.i894. un attaché de'ce ministère. apportait au colonel'SahdherrTa dépêche ainsi traduite :'«C<:p!<a!M~ Drëy/'us ar~e M:a:s~erc 7ayMerreap7'eMue~e!'e~<:07Ma~ec~~M!MyMe t?M~'MC<!&M pOUMM~aM~ /C~~ ~'T'a~C~ MCr~M<!Ï?'Cpt'ejUCHM..Pa?MZ,SG?'dt. M On a déjà dit et imprimé, et je le répète encore pour mémoire, que la dépêche ainsi traduite par-le bureau du chiffre'dù ministère .des araires étrangères fut réclamée le lendemain au gé- i, jiéral Mercier,' ministre de la guerre, à qui le j colonel Sandherr l'avait .donnée'sous prétexte que lairaduction était erronée et qu'on en.fournirâit bientôt une..no.uvelle.Le mimstre de la guerre estima qu'onpossédait des preuves suffisantes de la culpabilité de Dreyfus pour pouvoir se passer de la'dépêche Pànizzardi, et il rendit cette pièce à.son collègue des affaires éti'angëres;'sansy attacher autrement d'importance. Le;2Taioyembr.e i894,lë 'même att.a.ché. des af-faires êtrangërës qui avait porLé,le 5 novembre,' aû.cdl'onelSandherr~Ia traduction.en clair de la "dépêc~e.nizzard), re.m~t au mmistëre de la .guerre nnë\nouvelle traduciion de cette dépêche

.mh3i~.coneuB~ï'?'~t'? "1-

~<<t~iK?~ 'ë''Te~!OMs aMCc7!< ï/ co?tt)tey!s!/ ')~'i:N.~t<er7'a~&~a~eM!' a pM&/MrMM ~e~!i?M.<! o/"~Ctc7, poMf eu:/er/M'co!?!?7:eK~<)'ey ~c ~a p?'Mse. )' Bien entendu, l'original' do la dépêche ne fut;:t~as~éndu au ministère de .la guerre, qui, sans occuper .davantage; de la pièce en question, décida qu'ellé~në-ng'urerait pas au procès. \'PëIle:est 1~'premiëTe phase d'un incident, te~u~t~uelqùës cannées plus tard, alors que la campaLgn~è de révision. affecte un caractère nettement, an~tinàttonà~prën~ ,les proportions réelles quilui conviens~nt c'est. que nous trouverons l'ihftùpncë~éterminànte des Humbërt, là. que cette famille apparaîtra pour corser l'apothéose projetée.

Nous sommes en mai i89S; les partisans du "traître s'agitent, cherchent à allumer l'opinion, préparent enfin par tous les moyens le retour de Dreyfus en France. C'est alors quëTétat~-major général de Farjnée, prévoyant la revision prochaine, 's'apprête à défendre, à l'aide des armes qu'il possède, rintégritéet l'honneur de nos_ institutions militaires. Le ..général Billot, ministrë~e là guerre, envoie le colonel Henry, chef des renseignements, =chez M. Paléologue, pour.lui'réelamer l'original de la dépêche Pà-

nizzardi. t

M. Paléologue réfuse de s'en dessaisir. Le génêral Gonsé: fait -ensuite, pour le même objet, une démarche au sous-secrétariat des postées et télégraphes, ou H est reçu par M. Wunschendorf, .chef du service télégraphique. Ce fonctionnaire commence par ajourner legénéral àvingt- quatre heurBs; puis, ce délai écoulé, il déclare renvoyë du ministre de là.guerre que toutes. ses recherches ont été infructueuses et qu'il ne reste plus trace de l'original de la dépêche Panizzardtaumimstère des postes 'et télégraphes. Les choses restent en l'état jusqu'à la déposi~iion.du commandant Cuignet, .qui ~a. lieu le 5 janvier.i899 et les jours suivants. Le commandant Cuignet démontra d'abord, textes en mains, qu'il ne pouvait y'avoir deux textes diffërënts en clair: de même dépêche chiu'réè.'alors surtout que cette dépêche avait été traduite avec le même dictionnaire dont s'ëtait~servi le :colonel Pànizzardi pour écrire son télégramme, et quelle-fait d'avoir, obtehu deux textes clairs différents de la même~dépêche chiSréë ouyrait:,Ïa porte à toutes les suppositiohs.A ce moment un conseiller, M. Dumas, .s'avança vers le commandant Guignet, le poing levé, et lui demanda s'il voulait insinuer que M. Delcassé, ministr<Ldes affaires étrangères, avait t commis un faux. Le commandant resta impassible et continua sa déposition..

'De son' coté,M.DeIcassé ayant été misau courant de ladépositioh.ducommandàntGuignet, s'en plaignit au mimstre de la guerre et ~demanda àson collègue de forcer le commandant; Cuignet à faire devant la 'cour/de cassation une. nouvelle déposition rétractant catégoriquement la. première, ou bien de prendre contre lui une inësuM disciplinaire-imTnécliatë. Le çom~nàn-. dant Cuighet,interrogéj)ar .son ministre, répon-: dit.qu'ilne seTé~racterait que lorsqu'on lui au-, rait fourni Jàpreuve~anuscrite de la prétehdue erreur en lui mettant sous:les.yeux l'original de la dépêche avec la démonstcation~u système par:lëquëloji l'avait traduite.. Enfin l'on se décida à. fournir une piëcë, et ~c'est- ici que je me permets de.recla.mer de nos'Iccteùrs Inattention ïâ plus soùtë&ùë, car nous,touchons au maquillage, nous entrons dans'Ië domaine malsain du' mensonge et du faux. Les Humbert~e :pro-

Ëtent..dans la profondeur.des~.cou!isses.

'J, Donc, !e ministre ides aftaires étrangères fit enfin: remettre en communication M. dëFreycinet, ministre de la guerre,'un décalque de <lépêchë Paaizzardr chiffrée conformément a /a. ~tM~~e.Mr~on de'cette dépêche. Le. décalque fut mis'pài~le~mihistre sous les. y~ du coTnmahdahtCuignet; C.elui-ci eut: Timpressif~i~im- médiate que Ia:piëce..avait tous les caractères. d'un':fan.tx, et l'on sait Ja ~sagacité deT;ët officier "qui découvrit le faux Hënry'j là-pièce fut néan'môins.'pour.plus de sûreté, SB'mtM<° ~~Ttc co~ï~!MïOM Ma~Mïfa~~on!?Hec y)a7' '~f. 'A~MM Z~m~e.Cette cb'mnns'stpb: fut saisië'én même .temps'de'd&ux lettres, l'une~ Paù~ Delôm-. ~bre, !a:iiiistre,es:;ppstes et tëlë.gra.phés, rautre\ ..de:M.Gtauzel,chëf\do: cabinet:de*:iM. Mo.ugeot, sous-secrétaire /dës postes' et: télégraphes, qui ëtatt alops~ Tunisie pour maugurcr~ lài .st;rlüé-

de ,M;Jules Ferry~Cp~deuxI~

t~q~es;qua~t~u fohS.KDëlQmb~ tt~IOta~

g6~K:tjM~~E;.t~ë-T.

~~nt~regrëtt~~ë~~trvot]~u~

ginardëladépêHbe Panizzardi,' mais se~lem~ ~un décalque de cette dépêche. En efTet, ajouta~~ le ministre, l'original àva~tétë.'dêtruitdan~ délais réglementaires,' c'ëst~.à-dirë dans l'ann~~ qui avait suivi la remise de rexpéditibh*plus~rd le 3i décembre. 1895. Or. commission-des magistrats remE~Mâ~ que 16 nouveau décalque fourni par les àS~i~' étrangères présentait ces trois caractères éx~Smèmënt suspects 1° D'après la lettre de M.BeIombre.Ie décalgue avait été obtenu'avec le copie-lettres; or, parceprocédé, l'encre de Toriginal s'imprègne dans~toute ~page/c'est-à-dire qu'elle existe au' verso et au recto -de,la page qui doivent Être teintes avec la même intensité. Et Fintensité de l'encre, dans le décalque en question, était déjà très faiMe au recto et nulle au verso. D'où il apparut nettement à la commission des magistrats nue le décalque, au' lieu d'être obtenu par le copie-lettres~ avait été écrit directement sur le .papier.décalque.

La signature du colonel Panizzardi, telle qujellë existait sur le décalque, ofîrait un& nbta.ble diEférence avec la signature habituelle de cet officier. 3°-AIorsqiieMM.Delo,mbrè et Clauzel affirmaient, dans leurs lettres pfncieHes que l'origi- nal de la dépêche PanizzaTdiat'a!< ~c ~rMt< CM. 'coM~ ~esa7MeM /yS95-, le décalque fourni par les affaires étrangères portait en marge la note.suivante: Cp~e:eo~/o~7:<?a.rort~m~. H'~CMS, /e /aur!/ /S.99, ;Ir'!?M~e~M~ cAcr~c cfM'serM!ce ;p/C!

-='S~n~GA'n'SôT~

COMMENT M. GARDOT POUVAIT-IL, A LA DATE DU il AVRIL i899, CERTIFIER LA CONFORMITÉ D'UN DËCALQpE AVEC L'ORIGINAL DÉTRUIT EN i895. ?

Cette contradiction nagrante, efTrontée, fut ~pour les magistrats un noùveau.trait de lumière. Se préoccupant, par. ailleurs, do savoir comment la deuxième version, dont le décalque portait )a .trace, avait pu être obtenue, iis apprirent que, pour justifier la transformation scandaleuse qui avait été opérée, on avait procédé de. 1~. façon: 0' suivante le premier des vingt groupes de~chif-: fres'dontse composait vraie dépêche' Panizzardiavaitétéconsidëré parles traducteurs bénévoles eom?H6 MM MM~ero a!'o?'d're dont se serait servi le colonel Panizzardi pour cataloguer sa' ` dépêche, ce qui avait permis de'bouleverser complètement le sens de cette dépêche. Or, ce procédé trouve .sa réfutation, naturelle dans le colonel Panizzardi lui-même; en effet, les affairës étrangères et le service: des renseignements avaient en leur possession les oïlginàux de ONZE dépêches du colonel/dont l'une-datéedu 30 octobre, c'est-à-dire antérieure, de cinq-jours à la dépêche incriminée, et dans.aucun de ces télégrammes ne se trouve un numéro d'ordre, quelconque. Onapprit aussi que.ce.rtains chiffres de lajdépeche du 4 novembre i894 avaient été truqués, des 6 ayant été transformés en 8 et des 0 ',en6.. 0~ SM< <°K/ e/ t)0!'Ct 0?~! /<? ~'ëM.:e ~M ~fMM&~p7a7te SMr ~'a~tre D?'ey/'M$ ~Me 6~M)'<m< Zaps ~c;s ~Mz s~ecoM/a e~e /es rec~na~'OMS ~i~i~~t-M't~~ë~ ~4<c-e<MM- m~C<Ï<MK ~M <foCMM!C~, MM a~M~ <res COMMM <?e/a /'SHï!M<M~er/~ pr<?Mue <M/zc ~e~M~e s:7~u/~rc, e~ ~'Mt 7M, coM<:or~s~ ~Mcrc aucc s~ /07M<tQ?H/m6:<:M~S~ ,p'

Ce~ o~enJ! se moH~c~ aueeMKe aM~ace.~OMïe ~a?M~:AMM~M~ ~u:, en <OM/c aM~'e c:rco?M'<a?!cc, /Mt.eMMCM~ ~e~er~ a~M~< eoHï/Me, /eMa?t~a~'c de/a/N! ~~anefe, /~6eM~c, ~'M/t~Me <fMpeyMa~r:cema~'y!6:H!'?Me~c7Œ??!C[nnede ~e'eMxe repM~Hca!Me e< ~'e~tMŒ E< ee~ AoMmc, ~o?MMcaH<~M?'<~cpa?'ueMM, c~ar~e <o!~a coMp d'e ??:MS:o/!s prôu:<?//cs, 7M se e~cAs~joas pOMrc~ter~a~/QM'c c~ ~e~7::r~~oMUO!M~eefaM~

$'M't/ c!?'ep<M/_(?M'o~ tnterro~e, M o~ ~'ose,

mme ~?OM~e~<, QU'ON LUI PARLE DE LA DEUXIÈME VERSION DE LA DÉPECÉE PANIZZARDI, ~M'O~ /a prte ~e ~?'e'etser ~s serMCM ~M'on /Mt a ~cMK!a~e.s c ee~~e occ<M:07!. e~ cc</e jM<'r«~!ona/e e~cëyoMr-MeMMM.e yrancAMe, cJ/e ?'eco~?M~ra ~«e M c~co~ on fOM~M~ /M! /ù!M'e saMuer, parftK~rMe'dtaït'c t~Mn ~c SM /'<M!<o<uHM e<pa:)' ~OM. !M/~«°Mee perso~MC~e. ~ep?'Mon7t!e?'~c /c ~M Z)!aMe/ ~HcM oM,Me ~M~tOHMcya p~ Mme HMm6e?'<, pcrcf g'M'c/~e 7?'<z c/e c~E~'a~ee o'M<* M<r /e cAe/' ~fe~c~o~MerM, e~ ~Mp ~'0~ ;'e<fou<<'a 60~ ~'o~ ~es re~e~<!Q?MCOM~e ~M eoM~ d'<MSOMMHO!r.. .?< en~M~M.KOMSTM se/'07M~<M,<MSC.S,?M; pOMr pM~cr :'et c~ MtWM cc~ norn~, o~ eo/t!ta~rc: scTM 7ï0!<s,joa;r ?~eeanMme Ka~<?'e~ d'UMe !'yM~rue/tOM ~M't~ e~ f~esormaM :mpossï6~ "<fe~oM~er. L:e~ RM~&ert p~< re~M o:< re~re 4;focc<i~!07K~e~~epecAe ~a~Msa~t MM !7Mp- ~ree!'a&/e ~rMec a,Z)rey/'M~, en ccAo~e ~a?M (~oM/e c~e ccMa: yM'~s cua~M~ re~M~ ~M~ MïCM~re de ~aM!!He._Ce ?t'e~ a<M Mo<re o~'<7'e, c'~

ac<MeKe/n~<c~e~MCo/07te2du /'s~y~e C/an!,

ce~e ~:<~< ~M:e MM.E ~'espe~r, ?M /'N!HiM p~~a~aMeAe..

II nous.sufnt~pour l'instant de constater que la commission des magistrats nommée, par M. lepremierprésidentMazea.u. décida, à rùnani~ mité~que le décalque fourni en avril i899 parle j J mimstre.des àn'aires étrangères 'CONSTITUAIT UN FAux.M.Mazeaù vint en personne trouver M. de Freycinet, ministre de la guerre, êt;'lui notifia te verdict de la commission des magist're.ts. Le ministre, Messe dans sa'haute probité par~cette ré~v.élatidn, déclara spontanément qu'ilallait démis-. sionner, puisque M. Delcassé, empoisonné, sans." doute, par l'atmosphère spéciale que les Humbert avaient créée dans son ministÈre, persistait à couvrir le mystérieux faussaire,. et le ministre de la guerre profita, pour donner sà~démission trois jsour plus'tàrd, d'un incident qui n'a- vait aucun rapport~avec rafïaire Panizzardi et sur lequel il est inutile ~d'insister.

r J'ajouterai que 'le' grand honnête homme qu'était te colonel Sandhérr avait ftairé'un faux dès que la deuxième version de lajdépêche Panizzardi fut remise à son bureau et qu'ilchargea spontanément, comme je l'ai raconte-hier, un de ses plus brillants coItaborateurs.'Te commandant Munier, de faire un rapport détaillé sur la dépêche Panizzardi..Fa~dit aussi que lemalheureux commandant avait été trouve mort en wa-. -goh, comme sontmorts, dans des circonstanf.es. identiques, le commandant d'Athel, M. Chàulin'Servmière, ceux enfin qui étaientles~dépositaires directs ou indirects des aveux du.traître et qui pouvaient empêcher la criminelle Téhabilitation quL-së.tramait dans l'ombre! Mais le rapport Munier existe encore dans les archives du ministère de la guerre, si. toutefois~ ~oh.në~l'en a pas fait disparaitre, ce qui est bien possible; m/!M Mo/yt ~;HK?H6cr~ /ï~'M~ e~ "o~Me p~.ce <f<!?~ /e~ ~a~~r.! &MreaM MM~et~?MK:eH~maisiI y a, à;défaut' de ceux qui ne'sontplus, des'hûmmes .qui parleront qui ont déjà parlé, grâce auxquels.nous connaissons le faux révélateur, cette symbolique dépêche* Panizzàrdi qui lie immuàblem.ént les escrocs ;et les ~traîtres et lesfait chavirer dans le~.même nau-

frage~

G~&ston Pollonnai~

P.S'LejouFnane~~ prête sa publicité à'ùne note~of~cieuse suivant làquèUe M. lesubstitut;Poncet-n'aurait pas .assisté, à la' déposition de M~lecol6neî'dU'PatydeGlam;c'est tout ce-que Ïe pàrqùët'à pu'dëmenti~an ,les fai ts p r6ci s que, j'ai àvancésr Bieh en tendu, je /maintiens~tons-mes dipés/y~bmprtsia'p~ dp M. le substitu~dàns '!(~caDinetdcM..le-"juge:'

Leyde~ -.j'

J'ai adressa hiccsoir à m6ii dListiagneei.spu'i'

.tuëlcqnfrëpe/I..ë6n-.Bauby, directe~ir~

f .Mon'bher confrère~

~otre/excëHent/joùrnal me prête~une 'con~rs~ion

.M~Ss~di.t'~que le colpnel da"Paty_ âe Clam, .~9r~quelj'à~'d'~L~eurs une très ylve~a~~ 4ût mon ami, Tl'aytmt pas le droit de~ui' donner ce ..quaUuda.tif. ~Jen'~ipasnomm61'age.!itSouiIrain.. "Bien cordialement'votre '>

Je prie mon sympathique coQfrëre'dëm'excù-ser- si je publie cette tettre en _même temps qu'il la. rëpoit, mais il comprendra qu'il ne faut pa.s laisser le temps a certaines inexactitudes de s'accréditer. GaLStonPOLLONNAÏS..

Ce .qm se;paëse

LA PQL:T:QUE I

LE GOUVERNEMENT ET LES CAISSES D'ÉPARGNE Je croyais naïvement que les retraits de fonds qui's'effectuent aux :caisses 'd'épargne indi- quaient un retrait correspondant delà confiance pendant si longtemps tëmojgnée par le publie àno~e~àdmiraMë.gouvernement. J'intcrprétaismal–dumoins il me faut le croire'une situation que le T'émis juge floris-

sante et même exceptipnnellemëntfaY'oràbIe..

~Qn.confrëre estime qu'une dctt~.énprme; .s~st'coastituëe'pàr-l~mpôrtance ~x~éFee~ dépôts aux caisses d'épargne,'que les iinanciërs sérieux s'en montrent~ alarmés, que l'on doit' souhaiter que. la masse des engagements contractés par I~Etat envers la. petite épargne soit allégée et qu'il'est plutôt heureux pour les cals-, ses d'épargne qu'elles subissent une aussi notable diminution.

Je reste confondu.

Eh quoi) on rend service au gouvernement en retirant les fonds déposés aux caisses-d'épargne elle parquet s'obstine à poursuivre, les tri- bunaux persistent a condamner les braves gens qui consentent ou seulement constatent les re- traits quotidiens?. Décidément, le gouvernement de la~défense républicaine exagère l'ingratitude.

Ceci dit, il reste à démêler les causes de cette `

emigration de nos économies.

Je me disais si 'le paysan; l'ouvrier, le petit employée ne veulent plus confisr aux caisses publiques les quelques.so.us qu'ils ont épargnes, c'est que le crédit du régime actuel ne leur dit rien qui vaille.. Eh bien, je me trompais, et c'est encore le yc/H~os qui assure qu'on vide les caisses d'é-j pargne, parce qu'on trouve dans la Rente française un placement plus avantageux. JEt pourquoi ce placement est-il plus avànta-;

~geux?

Farce que la Rente, étant au-dessous du pair, celui qui'l'acquiert au taux actuel retire de son argent un intérêt supérieur a 3 0/0. Et pourquoi la Rente est-elle au-dessous du pajï'? .Parce~qu'on ne veut pas qu'on en acheté~

capitaux qui désertent les caisses d'épargne:– 200 millions pour cette année se -placent en rente 3 0/0. Dès lors, il paraît inexplicable que le cours de ce fonds d'Etat ne ~oit pas influence par d'aussi considérables achats! J'ai lu, j'ai relu le plaidoyer du 7'c~~M; il ne m'a pas convaincu.

Le gouvernement, quoi qu'il en dise, a cessé de plaire à la.classe la plus intéressante des travailIeurSj celle qui épargne "et constitue, sou par sou, la réserve qui nous a permis, il .y a trente ans, de libérer rapidement-le territoire. Voilà pourquoi les caisses d'épargne remboursent beaucoup plus qu'elles ne reçoivent voilà, pourquoi la rente estau-dessous du pair. L. DESMOULINS. ~CHOS DE PARTOUT

L'Académie des beaux arts a tenu séance hier.. Le président sortant, M. Jean-Paul Laurens, aprj~s avoir prononcé le discours d'usage, a installé M. Marqueste, vice-président Rn 1903, à la présidence, et M.J.-L. Pascal, le distingué architecte delà Bibliothèque nationale, à. la viceprésidence'dëIaGompagnie.

Notre éminent confrère M. Gustave Larroumet, secrétaire perpétuel de l'Académie des beaux-arts, critique dramatique ;du2<M, ya quitter Paris pour quelques mois a8n de prendre~ un repos que l'inexorable Faculté lui ordonne. II y a déjà deux ans, une laryngite contraignit M. Gustave Larroumet au repos. L'été dernier, 'souffrant encore, il se retira à Villecresnes.mais il ne cessa pas de rédiger: son feuilleton dramatique, on sait avec quelle haute autorité. Afin d'éviter tout. surmenage, le trës distingua docteur ~larfan a exigé de M. G. Larrqumët qu'il il quittât Paris sans plus tarder c'est au doux climat d'Àjaccio 'et. de là Méditerranée,que'le brillant écrivain ira demander le complet rétablissement de sa santé.. On compte que M. Larroumet pourra reprendre .ses travaux; pendant le cours du printemps, -rc'és~à~dire vers le mois d'avril. En son absence, et cqnformémenL au règlement, les fonctions de secrétaire perpétuel de .l'Académie des beaux-arts seront remplies \par M. Pascal, vice-président. Quant au feuilleton dramatique, du ?~!ps, par un. sentiment de délicatesse que tout Ic.mohde appréciera) M. ~Adrien Hébrard.e.n cohnel'intérim à un des c61.laborateurs'dë;ce journal, qui. écrit des articles trës spirituels-sous ~e pseudonyme de Nozière. Les'nombreuxamis de M. Gustave Larroumet font des-voeux pour que, à l'expiration de son congé,:notr.eémihënt confrère revienne entière-, ment.rétabiiàParis.' Qui n'a entendu parler du célèbœ curé d'Ars, de,cet abbé Jean-Baptiste Vianney, dont.la mémoire–~ cn~attendant que l'EgIis.e.l'élève sur ses autels –-est _en si grande vénération dans;touteFranœ, cathpHque. et qui eut si souY~n~au-. cours d'une vie réellement tissée de mcrveilleux/ desiétranges.diYtnations' On hou~racqnté que la mëre de M. ~Combea

-lé mena jadis a Ars, quand il avait dix ans., .,<

A,sà vue, .le cure se recula comme épouvante ''ens'écriant:

OA ~u~.tKa/c/'s cc~cK/aM~ 1 Ccpe7!~a?~<

~D:e.M.7~et'st?!~rtco~ Est-ce qu'il~nous-.serait réservéyd'assisterà -la

.co~versionde~Combes?'

'On fërme! j Aujourd'hui'diiaà'nche, dernier jour de chasse pour les Parisiens,.et, a daier-de demain~perdrix et liëvres 'ne' pourront plus ctrc ~mah~és que commële.Kfrui.tdëfendÙH.

L'année i902 marque~a-t-cllë'dans les àhna!és ,c~n,égétiques ? Oui,_ mais en mal; L, C'est ce que nous ont déclaré la fois les .chasseurs eUes marchands -de gibier. prësque~toutes les couvées de faisans ont ~raté K,,<;Dmmë uisentlës'dis.ciplesde saintjHu-

bert. Lcs-perdreaux ont cté peu ,nombr~ux,"ët

'pàrticularitc' .constatée un; peu .partout ils étaient, ~cétte" année,: inabordables, -partant de

..fort lo~n~et d'un vol'remacquaMement puissant,

ce qui& fait'surnommer; les pp~dreâ 490~

.P~rdr.û'auxboul.Gts'').'

La ca.tUe'cst~venuo 'très tard et ostpartic-trè:}

&'K't~tjnant~a.ux~ecassBSj eues ne sontpas venues

~u~'u~ ,i To.utefQ),s ,'poûr être complètement yeridique 'i'en~qù~l' s'agisse d'histoire .de, chasse, il .fàu~recpnnaître' qu'il. y a eu Beaucoup de fièvres ..cette an~néë.. II y.;a.~u-au§si:de joombreux lapins, sans com:ptër.celui, symbolique, du cou'rë fort de MmeHumbert!,

La mort de M. de La' Haye-Jousselin laissera, comme nous l'avons dit l'autre jour, un grand vide dans le monde du sport.

~on'nom s'est trouvé, en effet, intimement~Ue ,BL la Société des steeple-cbases.

M. de, La Haye-Jousselin avait, pris une part active a.sa reconstitution, en i873, .et depuis s'êjtait attaché avec dévouement à la tache qui lui était dévolue. II avait rempli les fonctions de commissaire, des courses depuis cette époque jusqu'en 1897 et fut alors nommé vice-président de la Société.

Nous ne voulons pas indtquer~et l'heure n'en est pas propice, ceux qui ontle plus de chance de'lui succéder, mais nous croyons intéressant de nommer les membres actuels du 'sous-comité et les commissaires de la Société ~les {steeple-chases, dont le duc de Talleyrànd et Sagan est rësté.présidentjnalgré sa maladie.

Sous-comité Prince Murât, M. A. du.Bos, général O'Connor, duc de La Trémoille, baron de Nëunize; `. '? Commissaires :-Prince Murât; M;. À. du Bos, comte Robert de CIermont-Tonnerrë. Là' Société' hippique; dont M. de HayeJoussëlin était' également le dévoué président. Tut fdndëp.en i866. L'empereur Napoléon~ .~aimait beaucoup les chevaux, et'dont les-atte-

~agës~sënt restés comme des mdd&les de goût et

de tenue, pLht-sous sa protection la nouveHe société, et lui fit accorder le palais de l'Industrie pour son concours annuel. Il fit plus et s'inscrivit en tëte:de la liste des membres fondateurs ."avec le prince impérial, la Princesse Matbilde, ~le Prince Napolpon et le Prince Joachim Murât. Le comité était, composé comme suit: Marquis.de Mornay, président comte de Juigné, vice-président; MM. A. de Baylen, viceprésident, etLaffitte de Canson, secrétaire du co,mité._

Depuis cette époque, de nombreux change;ments. se sont produits dans ~la composition du comité, dont M. de La Haye-Jousselin occupait ~la présidence depuis la mort du comte de Ju)gué qui, lui-même, avait succédé au marquis de 'Mornay le vice-président actuel est. le marquis de Barbentane.

A l'occasion du renouvellement partiel du Sénat qui a lieu aujourd'hui, nous pouvons annoncer que la médaille des sénateurs ya être trans-

formée.

L'éminent graveur M. H. Dubois vient, en cf*'fet,. de ferminer l'œûvre qui lui avait été confiée par la questure de la haute Assemolée. L'avers porte une image de la république coiffée du bonnet phrygien et portant les attributs de la Sagesse (?). Au revers, la médaille ~présente une lampe~ui s'éteint, tandis que le -soleil se :Iëvea~-rhorizon. Un cartouche reçoit le '.nom dutitùi,air)3. Le Sénat'représënte par une'K lampe qui s'é~temt!Quelle ironiej I

~-j. ,)~ w :'<- .0:

TJn de nos amis, qui habite une jolie viHa dans ~!a-banlieue de Londres, nous racontait hier la ';difncultë qu~il y à maintenant, à se procurer des 'domestiques femmes en Angleterre.

Je n'ai pu obtenir une bonne pour mon enfant, que dé huit heures du matin à cinq heures et demie du soir.

~–Pourquoi pas au delà?

Mademoiselle prend sa leçon de piano à six heures, et elle veut d!ner et coucher dans sa fa.mH.le. Quahtaux cuisinières, c'est à peu près la même chose, et l'une m'a refusé~l'entrcr chez moi parce que l'arriëre-cuisine n'était pàs~ssezgrande, l'autre parce que je n'avais pas une remise pour sa bicyclette. C'est trop fort! Mais à quoi attribuez-vous cet état de choses 2 A la guerre du Transvaal, qui a pris commjB 'soldats ou employés beaucoup d'employés des administrations publiques. Il a bien fallu les remplacer et Ips-remplacer par des femmes, demoiselles de magasin pour la plupart. Mais !es .magasins ne pouvaient pas chômer, et ce sont les petites bonnes qui ont pris leur place, profitant de cette poussée. Celles qui restent dans le métier ont doublé leur prix et n'en font qu'à leur.tête. Ajoutez à cela que la vie matérieiïe a àngmentéde soixante pour cent en Angleterre, et vous aurez une idée du changement qui s'est opéré depuis quelques années.

La. faux. chez les morts.

,Une singuliëre~adjudica'tion va avoir Heu dans quelques jours à~a préfecture de la Seine celle" du «. droit de fauchage dans les cimetières parisiens H pour, l'année i903. Les herbes et le gazon qui bordent les allées et poussent le long des murs des nécropoles fournissent, en ëuet, une fenaison importante, puisque cette récolte représente plusieurs milliers de francs, entrant chaque année dans le budget la Ville.

'~11 n'y a d'ailleurs qu'à Paris que l'on songe à tirer pront des herbages funèbres. La fenaison, dansl~s cimetières de province, appartient .aux .pauvres.

Et même, dans certaines petites communes de là campagne, on permet de semer du blé dans les espaces non encore occupés des cimetières, et la moisson en est faite pour les indigents Dans lo cimetière.a.M murs blaTics

Oùno'repose'encôrpetsonne,

Ont pousse les Mes opulents, Et pour le pauvre on y moisonne.

Et les morts aident ainsi à la vie.

Statistique des petites bàraquûs.

"Elle a~te-faite hier.à propos, du nouvel An, et ."donne de.l'espoir pour les premiers de l'An de Tavenir. On a constate que le nombre des etala~es.à quatre vents avait, depuis quelques années, 'diminue de moitié, tout simplement. =. -Les causes de'bette'diminution ne' résident certes pas dans ie-manque d'enthousiasme des ~,pëtits;ma.r.chands, puisque, tandis que la quantité des baraques serait moindre d'année en .année, ce)Ic ,dcs demandes des camelots augmente. t Alors! Ce sontMes'commerçants ayant pignon sur boulevard qur se montrent recalci-

~rants~IJs,sc,plaignent de ce 'que les baraques

cuisent a ~.eur commerce et gênent la circulaî'Hon,e.eqm;est:for~justë. :J~1I parait que .cette année, ou plutôt l'année ~dern~ère, ult~grànd hômbre de magasins se son t ~fûrmelIemëjnt.ppposËs.a ce qu;'bh dresse des pe4!,ts''màgasins dc'bpis en face. de leurs élégantes ,:dcya.ntures.,

> Et peut-être pourrà-t-on bientôt, Gomme-nous ~l'a.fSrmere'nt plusieurs camelots, assister à K l'a~gonie des petites baraques'). NbuVËLLES A LA M ~A'Ià neuviëme: chambre.

,–Prévenu, vôicitrbis fois, depuis un an, que vous comparaissez devant le tribunal. Que', voulez-vous, mon président, ou bien j'_tra.Yàille, ou bien j' n' fravàule~ pas. Quand j' tra.YS.ilte,~on~m'arRete pour ~'01~ quand j'n'~ravaHIe pas~ on-m'arrêtë pour vagabondage, alors jen~sa.is~.plus'comment~faire. 'Enseighe=ûuëiHte~dahs la banlieue: JFa~ur d'ca! üixtiïréüés,

'UnDominc

IcrTC'TV~~T TE3T3TS"7'T~

LE CHEF DE'GARE °.

(--r:

Les bouto~iii&rës sont'dans lasaisQn elles Ûeu'issent. Un petit ruban rouge vient d'ëclore à cène de. M. Robert, chef de gare de la Compagnie d'Orléans. La distinction est, soyez en sûrs, méritée, car il est peu de métiers où on soit plus souvent à la peine que celui de chef de gare; il est donc bien juste qu'on y soit quelquefois à l'honneur.

Sans doute Vous connaissez un des chefs de gare d'une des grandes gares de Paris. Tout le monde tient, à plaisir et à profit de les connaître..Us ont un cercle de relations qui va s'étendant chaque jour, dans tous les mondes. La professiontest très parisienne. Elle permet au titulaire de se~montrer aimable pour ses amis et les amis de ses amis, qui deviennent ses amis. Il apparaît comme une véritable Providence. Lorsque vous allez le trouver-pourle prier de. vous accorder un compartiment < réserve*]– rêve du voyageur vous trouvez généralement un monsieur correct qui se promené de long en large sur un quai, en fumant des cigarettes de l'air le plus détaché du monde. Mais tandis que vous faites quelques pas avec lui –généralement il vous accorde la faveur demandée avec la plus grande courtoisie et si, par impossible, il vous la refuse, c'est avec plus de courtoisie encore–vous pouvez prendre conscience que sa fonction n'est pas une sinécure; sans cesse une galopade, affolée. d'employés le poursuit et ce sont.mille petites difficultés 'sans cesse renaissantes qu'il lui faut -trancher d'un mot, résoudre d'un signe de tête, après; à peine, 'quelques secondés de réflexion. Sa coquetterie, c'est d'avoir l'air de n'attacher à tout cela mille importance. Mais quand vous songez qu'il est le maître et le seul maître de ce vaste et effrayant petit mondequ'estune grande gare en activité, qu'il régne sur, tout un peupleagitéd'employës,qu'ilsait et qu'il doit savoir, minute par minuté, tout se qui se passe dans son domaine, qu'il doit concentrer dans sa tête les renseignements divers qu'on lui apporte de tous côtés, les combiner sous peine des plus graves accidents; quand vous vous rappelez toutes les responsabilités qu'U assume, vous éprouvez un peu de vertige et une sorte d'admiration.

Le prototype du chef de gare < bien parisien fut l'ancien chef de gare, aujourd'hui retraité, du P.-L.-M., M. Regnoult, le sympathique M. Regnoult, dont la complaisance était légendaire et universellement réputée. On voyageait sur la ligne, rien que pour avoir le plaisir d'être mis en wagon par cet aimable fonctionnaire et pour s'entendre souhaiter: <Bonvpyage!~ a d'une bonne grosse voix dont le timbre avait une vague ressemblance avec celui de Baron. Il était ingénieur comme le sont d'aiUeurs à.; peu prés tous,les chefs de gare des grandes gares, aidés, .d'ailleurs, dans leur service, par plusieurs chefs adjoints et un nombre infini de sous-chefs. Mais, dans certaines gares de moindre importance, Iejc}iëfdegareest souvent privé de ces utiles auxiIt~rep., II arrive même dans les toutes petites stations ~p, véritable Maitre Jacques de l'administration, il -cumule sur sa tête l'emploi tout honorifique de chef de gare avec les. fonctions plus. modestes de buraliste, voire même, l'occasion, d'homme d'équipe. Et l'on vieillit vite dans le métier. Il arrive aussi qu~force d'émotions répétées, on y prenne des maladies de cœur..

Et voici la tragédie sans paroles qui eut .pour théâtre le cabinet dtrcnefde~gare d'une des stations de la ligne de Culoz à Amberieu, il y à dix ans environ. Le chef ae gare en question venait de donner le signal du départ à un train qui venait de Cuioz, et rentrait tranquillement, lorsqu'il trouva sur sa table une dépêchë.quilui enjoignait d'arrêter et débloquer le train. sur.St~voie de garage. Celui-ci était, déjà parti. Aucuh~oyen de le rappeler ni de l'enrayer par un.signahDs. fonctionnaire, condamné à la passivité, suivit d'un regard ajïolé la marche des secondes sur le cadran de sa montre. Au moment même. où le terrible tamponnement dont on. se souvient se produisait, le -chef de gare devenait fou! Fort heureusement tous les chefs.dcgaro.n'ont pas faire & lcurjhé_tier le sacrince de. leur vie, ni de leur raison mais aucun ne ménage son ~ctudté.~son~zèle et son dévouement, dévouement qu'en temps de mo-bilisation le service ~le la patrie mettrait a. sérieuse épreuve.

Jean Silvère

UNE LETTRE

DE

M. EMILE OLLIVIER

La Mptitte, 2 envier 1903.

Mon cher monsieur Meyer,

Je-laisse un moment les Autrichiens et les Prussiens aux prises sur les coteaux de Sadowa pour signaler à votre attention un article qui vient, dit-on, d'être voté par ta commission du budget, article ainsi conçu:

Les maisons de banque et les maisons de crédit devront, dans les trois mois de -l'ouverture d'un compte indivis ou collectif avec solidarité, faire connaître au directeur do l'enregistrement les noms et domicile de chaque déposant ainsi que la date d'ouverture du compte, sous peine d'une amende de 500 francs à 5,000 francs.

Dans la quinzaine de la notLË.eation qui leur sera faite, par l'administration, du décès d'ua des déposants,.ils devront adresser au directeur de l'enregistrement là liste des titres, sommes ou valour.existant au jour du décès au crédit des cotiiulaires du compte. Ces titres, sommes ou valeurs seront considères, pour la perception des droits' de succession, sauf preuve contraire, comme appartona.nt conjointement aux déposants et dépendant de la succession de chacun pour une part virile. Voilà le préliminaire du régime inquisitoptal de fiscalité que l'on nous annonce comme devant constituer l'œûvre de la Chambre nouvelle.. -L'article.addptéparla commission du,budget est' en effet le premier chapitre des tables officielles de la fortune individuelle, d'après les~quèlles on éta-b~ira plus tard la proscription et la spoliation des riches par l'impôtautrement., C'est, de plus, la violation des règles séculaires du Droit. Dans tous les "temps, on a considéré un dépositaire comme tenu a la plus inviolable discrétion sur le dépôt qui lui a été confié la commission du budget lui en impose la violation sous peine d'amende.' D'un contrat de confiance, elle iait.uncontratdeguet-a.pens. Le drôit'dë propriété est encore pTus.outrageusement méconnu..Les établissements de crédit ne sont pas dos institutions d'Etat. Formés libre-~ ment, sans autorisation préalable, sans investi-. ture gouvernementale, n'étant sbum!s"â aucune' surveillance administrative, ne pouvant encourir d'autre responsabilité que celle de la loi civile-et commerciale, commune, ils constituent une propriété-privée inviolable." Contre eux, on ne peut pas plus que contre le -premier particulier venu. Les faire, sous peine d'amende, des dénonciateurs et des espions fiscaux, c'est paralyser ou plutôt confisquer partiellement le libre exercice de leur droit .de propriété et en même temps porter l'atteinte la-plus grave'a leurs intérêts légitimes, ca.ril est~vid~nt qu'on, ne confjera plus. sa. fortune a des 'agents de l'inquisition révolutionQatre. II y a plus les établissements Jdë crédit sont punis's'ils'ne dénoncent pas les dépôts de leurs clients mais comment saura-t-on qu'ils neTont passait?- 'Il faudra acheter la trahison de quelques-uns de leurs employés ou autoriser te parquet etia police a faire irruption à t'imprbviste dans leurs 'bureaux, a. visiter, ~eurs livres, .~violer le secret

de leurs opérations~ les:sbumettre' eh un mot à

I~erc!cc comme ~les débitants de' bbisson.

Es~-c.e tolërablë. ?.: L

Si~dans nos institutions, anarchiqu~s parfois mais jamais libérales, ilexistaitcommcBn -Amé-

r'iqûë uüé-rëùr süprémë dè;jûstice; çhargéç.de

rique une cour suprême de.justice, chargée de

sauycsaLrder les-arôits des citoyens, une pare~lo

dlsposition,'fût-elle votée, serait incojttLnent an*

~lee,

ÏI 'apparient aux interprètes de 'TbpItùon-pN-' blique de remplacer autant.qu'il est. en eux! -protection légale qui nous manque.~ La monstruosité sur. laquelle j'appelle votre àttentiondevenant une loi, consacrèrale premier acte de prise de possession de notre société j3ar le collectivisme. Le reste suivra invinciblement avecletemps.

Sonnez donc l~alarme et signalez a la France, si insouciance et si engourdie, ce qu'il peut y avoir de venin caché .dans un recoin de l'immense loi du budget, r-.

Puisse cet avertissement démontrer le péril des déclamations sentimentales sur ta nécessité de mieux répartir des impôts déjà bien répartis, machinalement répétées par tant de braves gens qui, sans s'en douter, facilitent ainsi la subversion dont ils ne veulent pas. On a déjà trop transigé avec le mal, dans l'espérance de le limiter :il serait temps de l'attaquer en face sans ménagements.. Quand je me rappelle les admirables et vigoureux discours ,des Berryer, des Thiers, des Montalembert, des Falloux, -des Dufaure et que je les compare aux gémissements aimables de ceux qui devraient continuer leur combat, je ne m'étonne pas qu'aux victoires d'autrefois aient succédé des défaites peut-être, hélas t sans revanche! Bien cordialement à vous.

Emile OUivier

s è LI

~/<M-~ ~M P~

p~~rre D n

P!érre Dupont t

Qui ne connaît lesj&o'M/ ou bien les C<;)*M,ou encore les ~~ïfts, du grand chansonnier Pierre Du'pont, une des gloires de notre chanson française ? Oh a enterre, hier samedi, dans une commune de la banlieue lyonnaise, la sœur de Pierre Dupont, morte a. l'âge de soixante-dix-sept ans. Cette sœur, MarieLouise Dupont, avait voué un vrai culte à la mémoire de'soh frère. Depuis 1870, depuis le jour on avait enterré Pierre Dupont, elle vivait au milieu des souvenirs dudéfunt.'

Ce fut un type bien étrange que ce Pierre Dupont, un compose d'homme politique qui frondait le pouvoir et un être idyllique qui chantait la nature, un Tyrtée mâtiné de Virgile.

Il était né à Lyon ëa iSsr, et le bruit régulier dés métiers des ouvriers c<t!tM~ qui donnent à la CroixRousse une physionomie si particulière l'attira au point qu'il fut d'abord eanM~; mais il lâcha l'industrie de la soie pour la basoche, et fut clerc de notaire et, là, entre deux copies d'actes il se' mit & griffonner des vers. Ce fut même un grand scandale dans l'étude de son patron quand on apprit que l'Académie française lui avait décerné un prix pour un envoi de poésies. Pierre Dupont vint a Paris pour toucher son prix, et il y resta; il avait profité de son voyage pour exposerausecrétaire perpétuel 'd'alors l'ennui qu'il éprouvait à copier des contrats de mariage ou des testaments, et il accepta un poste d'aide au dictionnajre de l'Académie française, qui se trouvait vacant et que le secrétaire perpétuel lui offrit, tant Pierre Dupont lui paraissait malheureux d'être obligé de retourner en province et chez un notaire.

Mais Pierre Dupont s'ennuya aussi à copier les dé-' libérations des Immortels, au sujet du fameux dictionnaire; et, un beau jour, le poète prit son vol. II paya d'audace et se,présenta chez Victor Hugo, dont il savait que l'accueil était toujours bienveillant pour les jeunes. Victor Hugo était absent à ce moment, et Pierre Dupont griffonna sur un chifionde papier cette poésie qu'il lui ]aissa:

Situvoyaisuneauëmone,

Languissante et près de mourir,

Te demander, comme une aumône,

Une goutte d'eau pour fleurir

Si tu voyais une hirondelle,

Un soir d'hiver, te supplier,

A ta vitre battre de l'aile,

Demanderplacoàton.foyer;

L'hirondelle aurait sa retraite,

L'anémone sa goutte d'eau.

Pour moi, que ne suis-je, ô poète,

Ou. l'humble neur ou l'humble oiseau ? R

Victor Hugo ne résista pas à cette supplique, qui était du reste exquise, ~t répondit immédiatement au jeune poète qu'il était de la maison. Pierre Dupont fut dès lors admis chez lui et il fit comme le maître–nous approchions de 1848– de la poésie et pas mal de politique. C'est de ce moment que date le vigoureux C/MM< des OMprt~r~, qui enthousiasma tous les ate" liers et que Pierre Dupont lui-méme chantait dans les cabarets d'une voix, parait-il, vraiment entraînante. Cette chanson/qui semblerait de l'orgeat à coté du vitriol de nos < Internationales modernes, cette chanson et aussi l'attitude politique de Pierre Dupont valurent à leur auteur une belle condamnation à la déportation, sept ans de Lambessa, en 1852. Mais le. poète n'était un violent qu'en poésie; il demanda pardon des écarts de sa muse et obtint de rester à Paria en promettant d'être plus sage à l'avenir. 1.

Ses convictions furent une série de palinodies, cac sous l'Empire il se remit a conspirer, se créa de nouveau quelques amis parmi les'rèpublicains d'alors, et un beau jour, en 1865, alors que l'Empereur passait en voiture boulevard Montmartre, devant le café de Madrid, un homme se précipita à la tête des chevaux arrêtés par un embarras de voiture, et cria Sire, vous êtes le plus grand empereur de l'histoire et le plus grand citoyen de France

Qui êtes-vous donc ? :lui dit l'Empereur interloqué..

:–Je suis Pierre Dupont. Et l'Empereur lui tendit la main.

**x

C'en était trop pour les amis du poète avoir accepté la main de l'Empereur'.Pierre Dupont vit dès lors sez camarades faire le vide. autour de lui. En vain il protesta qu'il était ivre au moment où il avait eu cet accès d'enthousiasme. Le pseudo-républicain ne trouva pas grâce; il continua, du reste, a. vivre entre deux perpétuels verres d'absinthe; les traits congestionnés, la parole pâteuse, misérable et sans commisération de la part des siens. 11 s'en alla mourirdans son pays natal, à Lyon, le 25 juiilet 18~0, et fut enterré dans le .petit cimetière d'Oultins, où, depuis hier samedi,~a. sœurreposeâcôtédelui. Pierre:Dupont, cetAlfred de Musset .du pauvre, a heureusement d'autres titres à notre souvenir.: Nul mieux que lui ne sut faire parler, avec simplicité là ~grande voix des bois, le murmure des peupliers plantés le long des grandes routes, lesbœufs etiespaysans.les oiseaux et les bergers, les chardonnerets et les fleurs des haies. Ce fut un petit poète qui eut de grandes idées. Il a droit à une grande place parmi les chansonniers, cet Ange Pitou à là forme si pure, ce TibuUe, ce Prbperce, qui s'égara dans les sentiers obscurs des politiciens.

~Tout-Paris

T~f~C~t~V C<t~tY~~C!

JTi CbGHLCZ <miiCb.

PAR M. LE LIEUTENANT-COLONEL ROUSSET .L Un des'symptomes, a mon sens,~ les plus inquiétants de dësorganisation .progressive de ce pays, est, assurément la. confusion; des attribuUons et.Tétra.ngc résignattoh~avectâqueUe on 'la supporte. Qu'un déposit<nre quelconque du pouvoir .prenne une décision,mauvaise ou' bonne, juste ou :injuste, régulière ou. usurpëe) chacun là discute, évidemment,, mais Qùl"na" :peut en contester la légaUté.EHe;:est promut* .guce, donc ~i!e est impérative, ou réputée teHe. Ut-aucun organe constitutionnel n'existe, ouau~ moins ne se s manifeste, à qui l'on puisse en ré-; férer pour appeler d'un abus de pouvoir. J Ce qui se p~sse en ce moment dans l'àrméa est, à ce point de ~vue, bien caractéristique, et je. ne.connais, rien, pour ma. pari, qui tienne de~ plus presàranarchie. On saitrafïaire, M. leg néral André, qui est un grandréformatèur,-s'e9t.

avise de supprimer dans te règlement de, ma.

nœuvres deux mouvements de maniement d'arme's~qui spht a Portez armes H et M Présentez; armB~!j). Lai~ispn.Je rignore, Qu:pmtôt'je ma~~ refuse a. ra-ccept~r. O.n'dit Nen que'.ces:; mouvements étaient difGci!cs/lQngs~app~

licats àen5eigner;;Je\nem'casuisjamaj.s:aj)brCu~

staon par quelques reyuesdëgénét~uxplu~n~ <.


~a~up~m~~ ;$~ ~~ë&p~a~t~~tËa;~ ~e,pt~sl?ntta~a~

~daSs~enp~s~u~a~

~~u'ana~ua~t'~la~'usi~ tous les ~~ie.~âs~mge3e:urs~ a la mémt;'hâu

~sF~ai'~a~u~tion~S'jës~ ~es ~?itôu ,e,

~ËëQts~inïa:ê':jë;S~Q~ ~ré`sorlts é'nnl

~~tot~isMfpa~mn~ocu~~ qm ~'âppela;t~~ü~re $'

~r~s~o~?M~~ët ~u~é~anai~u~ S ~ouve~tï~~bmmeal~M~e'eaGjoi~ ~~n'i~ênë~a~ë~~a~~

~~uË~que.~qnt~t~~Sês~ afiïrmër,~ ar

~atQës.catë~~ës~'Ao~eï~a~QQSidë~n~~ ,j !ûe~u~er~~dë iJ~`tat, ~liyre<~ ~t,ulls

'~S~es.KbnQëûrs~'c~~ùs~mêm~~ tout comine 5

~mâQie'mênt~'ar'mês~~n.ëst~ basé, Tégl~s r

S~ap.pyësa~eT~ ~cl;s~l>~$

~a~x~dôcumënts,flë'~êcrëi:du~ ~S~~m.Qdi~~pIusiëùps/fois,~ et~cèlin du ~x ~octo t

~~Bi~~î~ujR~ë~~er~cë;!dps;~aces~~ 1 uh nI ~gaM'àutEe ~ië. ~oht~bMgëSt ï~s;diM~g~ ~~entT~teQ~~ën~~QËB~~Qt~qu~ de- ~n~~s~ùra-pâs,~ ~st~msi~ue~aaëpa~er~ës~ ~f~~îé~s,.ie~

~~Mmis~ës~~DatèuM~ ~E~é~ëQ~Qs.tiitŒjB~eyAu~~yetu~~ de ~~euï~aas~e.s~onf~p'mt~~ prësenïatl'on des

~StSM~nat~quj~n~~ eelle.s °~I aux ,çburs `'

~assiseSj~ibnnaux~ mûntoigaax; ètF

~~E~o~BB~s~acl~ëllemëQt~ma~ de ~~fnser

~i~ës'~stmctiBhs~cëux~;qm' elles ~àËpaï'~eEmeQt t ~yëmëQ~ w a < z

r

~a~ëcisi,~ja~~n~ne~qm)/~ .la

~fois~ês-.mou~'ë~ênti~d~ -et. les honneurs

~S~~iIs~ëprës.ehtêQt.est~oQC~t~le et`noli ave v

~uë~~msig~i~'ëxi~~ ~pri a~bme ~le àiro~t ~IOI~tI; v

~quëi~dniimstrâti~êt~u3iciairë qui~eme~~ tout ~Wpou~uët'~qu'jl.~ ~soli, la qnallfik nél;Éssalre

~~pour~madiBep.~Dnu

~~pj~e;par.ljn~ ~supérieür ôu slulplé_ment>

~~P~~Ne;tlruB;mo~ mims~rè ne pe>rt; mlé `

~Me~ëntL.-mBGnsUtutibnn~~ cbariger en `

~quo~quë'ccsoYt~në'mcsu~~ éteûécxëtèe

~~me~RëMë~'Ëtât. ~ëntëQ'as-Men.quë'M~ëgénë~cd~ ~aii $~~cjt:~Qe'dup.i~~soirë'

~~manoeuyrës~taut'a~ l essai, qnI suppry~esdlts.:

~~SiNoùy~m~nts~e~mistrë\p'rê~ de sDn àdop

!i(~?:ët~ài~'disparaiti~~d~~ avancé certams exer

~ëë~qu'iL-~uge~nutU polir plus iard~est

~K~ir'.inégalëm~Bt~ë.tTnëHpeSu;

~Q]~CDmpêtëht'en.prëseDc~ açqüis Je-~

~{~rais.~iënjS~bir~ qu1 _se;passera~ü,si un~

~irë~ën~a~c~mB~~exë~~ réelamâi$ u~e;;

~umHb~ontj'ë:uBë~BQtiQeJJe,qii~ séraat ;restéè':

~~de~aDt~!uM'arme~iau~ë~ ~1 qm-~ourrait ron

~s~~prênQM~ë~ce~&nquemënt~ ~~smëp~u~m~nis~e~ûi-mêmë;ë~ r~sponsabte>:

~~N~obcâsmn~ ~$~,CeYûi-Ët~au,~rplus,ëst;~ du a t ll.:

~jSL~a.it~ëniiër.emënt' dëposë'UQ;pEoJ ëtïtë fioi~Qr- ~Qt~.ë'tr~s~m~ a six mors d,e prsson taux

~ëspojidamuatîbQs:~n6c~ qu'ün.3eunë;

~ldat;~bit-mco~Qr~~à,~ liata~llons d'~frtque

ë~ais~~më~lë.~të's'.en;~ âttendr`è; il avart::

~r-is~sur~m-~ë;~ pointrfamepârtir av la ~lassë

~~ësl~oQ~crïfsaYàTttf.ëQCOH~u~ molsa

~~dëprjSQ~Q~sbrie~,que:c~ t1u a'

~êup~araHtë/~btoirëmcnt~~ ca

~ques~sëm de _s~rviée, é,i ne se:

~(~~sjg~pbur~€~ blagüer les pauvrés

~M;a~Bs~ùe-~ëur?abSË~cë~ çâsler 3ildiC~ali~ev:

~~crçait;a~irc~ëxër~ i esp~ianatie:des În v

~aïiS~s~ar~hijit~ëgrës~

~Q.autrës~emps~~ se fut ému

~~emblajb~eB~xc~s~e'~pbHybir~ éstblen ft!op

~up~ujou~ra!hm~e:mâm~ _`lè ,bloc çontr~

~n~êt~a~Ëes~pou~~s'a~.a~ssë~ rés'

~Ï'~ëct~du~dyoï~ë~dë~ Tarabnstor les,.cures~

S~s~dë;ai~a!rè.~bur~e~ste~ hasard`: ~a~pau~GIBKa.

~Ëst%n~i~ue'd]sparai~entp a ~ïéu les

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'S~comtë'SMaBSi-e,'dë~borde;4é;~ Brnnët, .la~ba v:

~&!me~ë~Neuaiz€,MB:tefDollfu~ membrës·

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Sà~SËc' sëjo~ir Ses souveraiDsJ He~oit~ajs, ~en~ :tpat ~durcr~us~d~trois/semaines.~ `

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~ptiBcë'~uad,~pncle'du~EM~ye,:Altbas~Hnmi. La Cour ~ë&ivîale<p!'endlè,de.uil pbur-qn~a~ étrtoutës

~Mjrêtcs~m'~evaient~votr'It.eu~ anyala~s ont`été con

~eTD~ndë.es. '-v\ ~,ES ~MBAS,5~1DES ` `

~assadéuf- .~t ~a p»ncèssé

~a~6!in~6DtM&!Mté'h:;ër.jsoir, âThë~l'~yam~aMade;~ ~TU~de~lle.un ;din~ 1u' M. -BlhOur~ ~e~no~vel~ambass~ar~d'e~ran~~ t ~a.~prMcesse~Ràdo6n~ a ,ait:â'aa droité' M Br'

~UT~sa~auche~RaiBareJ~ noùve'l~mbassa=~

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~j~e)OiB<îM~Qn%b's~

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~p.ms.tt~

~3~ ~?'M' ~Uii.-mduvempnt~aiplomahquB~est~spa.ratt-t!, en. ~S~~reparSttbnIau~numstÈr~ësl-~aire ktraâgére~:et

~a~s'.pMptàiMmë~ ` ~<mëjdvèmept~~B~ dn~

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~p~ùSGëss~~i~.du~cojN~~de'ui~Èux~~ëlgïaa~ ~st~ga~CB~d~gn'~et;ji'pu~s~~cs~onB~ no-. ~i!~on~~sito&Mn'~aù'~<)UV.~ ~â~Û't~'utf'~o~te~efcaTM~eU~ ~dispG~nttê~qu~tai~ rlelca~ans, le

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iCB&unotti ? ~T&nts~deTE'ays~OSiS~iOSgaas~aUêM~eB- yiëti~~ohs.~ajtnnjëtoùr.es-

~ais~ëis;-lës~Bntës-à-Bà~Ms~Roi;"le~aB- j;_ :Brê~rëpM~ Ie''iroo~er~Cu~er~~tUôn~jâ~route ~e'7

~aris~GlaijboiBplë'DÉseft~ù-Caâir~ois.or~

'Qieis~ë :Eb]iM.~aù-B&~id:U6S;' .~ëntds-ae-P'rancha.rd.ie ,car-~ ~Teîo~&ës~ïsMir~e~roië~Ie.s ~entes-GatUo~ .Sautes-

Tiai~s~o~il~~tèët~oër,~avëisë~ê'-jocher~'dë< <~

Tl'all~ë~là'h~ni-M.~ts, ;SM)irs'cniëns~trest<por.té~pré8;de~~aguëd~ des dê'la"Vttcine,~ntrë?~jâ *Topc~e-aux-Mulël~et: .?, ~nUypapreË~ë ~eare'~roïs~a~ d~tne ~hasse vite ~f. -T.J- ~-f ;Miss€r~<miTe.s~taie, "c

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S~S~§~~ .,i ~~nf~te~çu5~~tre;de,~ permanents

~~Mon;RoËert3e.~net~pi~entej'arl~ de è~ Je" Mm~Ld~spoui&es-~MnM~ ~mte'~acquesde Pange~ Méu.tënâ~aQ%t~ënte:'pat3e.~arqu.is~de P~g~ -n: et;4e~ptnM~è'~aMumân M:Tthur;tja:ai&guerloi;-prestenteS- ~at~ëa)aMn'.Hài~uerlot'ët~~du~CoT/ `d~:Auprat ycô>nte

'd'J~pëuiti~sons~ëm~namt~au~~cuiràssiers, ie~~6rat{marqms;d~speuUlds;?~ :eomté de;:Çastela,

~lacoïnte'Ëdotiard~.dë GoulomHièfs~presënté paT.~ë .Yioom'te:~ i .~oGonIojtiluers~ët-Jbi~icomte~Tthur'.de.'GhÈz~ :j ~&ùa~aë.KFi~-Jâmës. prèMitM~pàr co~te Titz-es ëtlp gen6ral'JSumaim];M~A~ Ntél;'sôus lietilei~t~.au~M' ~ragohâ,~p ~] 'Niër<~ ~o eomte i~donard-' d~tmëcourtj -M~; ûastbn~'Ni&t, ?' ~ns-[ieutsnant~-a:u;.]A' dragons' présente par le. ~ë~ral' 'tomteNiatenè yicbmte;d'BAMopr.t: I~~Bë~and~du~or~ë~Bupra.ous-Hentenant~à~ âül5~ R ~assëur~~pKsënté~pM'dN~QT de~at ~icomitë; < ~5&iare;dtiBoMHcd6J~aDriëhnays liaron Dad-fisard, ~ous- ;Iientehant aTl-.li'cutrassi~~ pnesenté -par le comta Dadyi- sardetlë (~mtèAlîrcd de~ramon~ ~prInce~~e.~Èpn~ pr~ 'sentojparïe dùcMëSQhan:cne RëhÉral.e.~deÏjestapis ta- 'f

~n 7Jean de.'GhampcheTrier/~Ksetite ~de-: :i

Ghampchë~er eUe tbaMn\~Hànrlce,?de~BassMre .'vicomte"; Ojs~àM~da Bnmbnt~r&Mntc p ';je baron'de. Brii&ont et"; de .oomtë~Rogër/de :-GtiabMl, vicomte Eem-y ;de TrÉdërn; .~resemtê patrie ~iœmte'~e~Tr~dern'4et--Ie ~a.ci''dë BrissaU; 'r

~mte.StamsiM~'de~aBtcjaj ~presentë,par~~ ~m~

'ja.:otl~géheral;n:frquia '~dtEspMuUcs; Gomta Emmamu.el~ .i

3ë~âst~ja~.présente'parlq;comtë',deCastojâct~

'!nà.r<mis 'd'Ëspëumës ~cbmtc Gustave de~PùisëuX) '~prosen~ par~jComtë d<~d~soax~ie' M 'de~Bunse!; pr~enM~ sn l;dinund ~ambassadeur d~A~g~eterfea'Pa~is~ ? EoHis~' '~è~irenBe,t6 .re~Mër- mëm~M cercle de ~'UB1M~ ;,j-ema!n3uBdJjau~.t~ .aug P t g éons'du ~`~ ./Bbisde'Boulogn6~t'u. .'J :ae,s~rimas,j';p]!~ hancbcap r f ,a ~Asreë~poQ~e.~Ying~six;më~ j~ ~? j' I~ETIT .CARNj~T\ 3~e. duc: et la ~udiesse;de .(~ramont, pDt. deSnitiyê~ mcnt;quttte Jeur. chatea de rëin~egrer ~lëurhbtëI\de~~TÛë~dc/~aniot, > L-~?Ajputons?quë,-contrairement~~e~ q annoncé, hiër~cërtains jouniàux,:rétat/de''sante.~ej~ ;de W~gràm,;sœurtde~iafduche~~ dë'~ Gramônt; 'toùjours~assëz- grave, ~matgré< les ëom~ 'luiront-prodtguës. ~jje assistance 'aùsst~bmbréuse.qu'ëlëgaate'~ 'pressait"hier.chëz~M.?SÉbastiën B wSctilèsingér Schl~nger,.qui'doniiaienfleur~dërDiÈre~ .sicaI.e/de'Jà~.sàis.pn, .C~ -t' ~~prpgTamme~particuUérëment~attra~ :~ait..M:~Andrô Moràtiy; jèurie dans ~l'air .de\. ~jSt~M~et'jLa/:<MO~~ litlaüatiaégine;~kune riôüveYle

~composition~ d'une''exqmse"îns~iràfiQa':de\ M. ;S/ B ~ScMeMngër~C)n~-t~~€m~Bnt~qrt~~ r

ét-~apaTfaite!3tction dë':MUe'.SchIpsin~ '` 'pxqutsélïaçôn'Ia'romancë'.deiG .et des'mé ~&di€S~de~M~ S< Schlèsipger, i` Puisse ~aîtreJ.~p!,anisté\HaroM~ a ehaimé :`

~rauditqire~n~xécutant;aY€c son-.tri&et~~ sa niaitrtse.;

Habituelle ~~cc~oH~, .de :~opinj~M~d~ "'Schubert'e~~FM;\de?:Samt-Sàen SMUëBôngny:etê~drt;applàudiè dànà,~ d ~èt~OM/met~c ~nl&n~M.~SeHlësingërj'cëdà~nt~ '~hvItésj~a'~ant~~ltMteHr~desesjL~ r ~AUrpjano~~ceUëat~ccompag~à~ l~i; de 'B'Mme~êv~~îë.nun~~

~IgërTe~~est~a.rti~tier~~ Alger; à.~ôTd du Mqxe `-

?<7<S~eaM~ ~r' ~~i~M~R~

t.7-~I.e~anagè\~du~marqui~ë~~ .~mment~mb,assade~r~a~ec.në'v~ ._Mme Thiïi9n= r.MDntàubani' Me ~MàgSë, ~qui~.devàit~ être '.cël&bre 'hier, i. ~ei~a~ap;eir~de~a'~Vi€rgBde';l'eg~ Sâmt~teire ::SHalUo.t~ja'-ëtë*KmisLau~;y. janvier~

~~MUeMe~a<ër,ëmoMe,reHg~

âura'ltëu~cn~ez:Mmë~~gnëj~venue;M<)ntai~ ~I~mërcredi~janYier~era~cÉl~ en l'eglsé de I

\Tressâint,~resDinan;;temanage~~d~~ da~tr'Ille Marie-The `;

--résë'Behaguë,~llë'~u'~n6ral'-Be!iàguë,'çom ~de'laiLëgion.d~o!nnemj avec ;M.;Borang lièute~ànt

au g~j.egimeu~.dejThasseurs. '( -J 'Cn,ânhDncë'ie-prdcHain mariage de ~M. Max.d'Ql- lone,~ ancien'pensionnaire ~e'd'AcàdëmterdBJ~nce.a~ Rome,nls du~Eûmfe~on~ced~ ~tMéil~c~m- ~tessej~nêe'?'Am~dré,~vëc~MUe~ -Isabollé dé: Pon:

'-tluere~: ~le~.de.-M~e'Pohthi~ dëcedë, 'et de Mme, "n~.de yernëyillp: .'J. On;-vjent~de célëbrër à Ijlle, en. reglisë ~Sainte-' 'CàtTiërinë, le. mariage.de MUe.Madeleine Faquin, ËIIe~ ~deM'. Fredëric'Paqûin', agent;~de;chMge~ h~ ~chevalier jdeïa.LegiOBLd'hoBnëur, et;de Mme Tredëric ? Bàquih~- ;hëe"D!elgrâng~âvec'r M. I~éon~ Mabille de i''PoncTteyHIë, notaire à Valenciennes,' Sis -de Mme 'Char]gs 'MabiHs de PdnchëxiUë, Gezard. Le Saint- yP&rë ayait'ëhvoyë sa~enédictiorL apx ,~eunes Èpowi

'Tjes'tëmoins~dù man~taiënt'MM:. Ghàrlës~ Yienrt' .Mâbtile de'P~ncheyille,ses frère, et oncle ;ëuxdë~~ là' marteë .;M. S~nrI Paquin ~et M. Blin, ..ses;frèr<! et ~'beau-frerc. '~Onrfëmarquait-dan~'iano~breuse assistance; = ~IMmë WaUMrt;'M.ë~M Scr'Ce M et Minè' Al

'~bert~atillëdë'PdncheviUë~M~ëtMmë~ëcamps.'M~H Henti ''N~ur, M/et ~me:Bo~te,MmB,'de;Be~ 31; 'Mme 'dô'GbTc,,Mm&et'.Mite~nglC, M:Anàto~ Dslgéan è; M

'J.ët NmeT~.[MmCj:~tc;.r. NECRO~ ~.f'" ,A~nudt/ihï~ :en~I~ Saînte Clotilde, a,

-\€U~ienle'së~ce~unÈbre;d€[Mme~~ Cliârpentter;dü Mo-r

~iëz,~neB~enàis.ide:edëe~I

~~La~messefa~të.'dttëpar/l'abb~ rabsoùtef L donnée.par le"curé,;l'àb;be'&ardey,vica]T.e~ tln; ~dio.c~së. ~.i~- ;%Ijë~dë'ûil a'étë'coBduit~ar,: lèg Châr.pent~é>

~u~ori'RZ~anc~n~tta~h~ de rràùçé ~e>i'

~Suts~~son'~s~~co~m ,chéf ae

~ba.t~IIoh~u-&e 'désigne, ~son'g~ndje.îM .;Stamslas. 'ëtTërnand~u~Mo~z% Penssé' l~.vicomté;léfau-

,:ncë~u F.rësaei"etRoger duTrë~ pettts=fils

~parm~asststMM~ ~Buc'dGS~Gaja.'gènëM.nx~.dë~' ~aKts,~ Pënaezcc.Pëigne, Gnny,vël/'Mloitc~~&ë~Gen6siërc6mtë ;'de; Gtiambrun, cotonoiRoy~comte: d'Eure,' 'aMrai -Bnrët; colomël~e. ';Mau- croix,~M.ë~,Prëaudëau,eatën~ de:raissoau'~omü-'

'vUle~colonëH -Colombe, .?Mmmah3ant'~ema, une' dele~a-_ 'tio~dps''ofBciërs\~ ~es souB-o~ dû~^ d'inianterte,

~étc~fëtc~ .i~: cercueil,déposé'~ les .cav.éâux l'église, 'sera/~ansporté à iMnent~onr-TinHu~~ ~es, obsèques de. Mme 'v€Uve;Ballot-Beaupre, nëe ~Gréàu~.ûnt/eH~ieu amidi~hier; l'éghse Saidt=Àü-`

~ghstm~ r :S'?r Le~etiil a ~té~cQndmt~ar 'MM~ Aixxis Ballbt-Bëau~pré.-pFëmier président'de ~â~burïdë cassation,~ ''Ns~~éon~et~Emèst~BaIIbt-Beaupr~ Vtetor Bùilot,`'

~gouv€rneur~és~blpnies,~ès\neveux;:]e~capitaine~Dë- 7 sirë''BaUot,~ 'spn;~6,usin -germain, et ~6 capitaine.' .de 'yaisseau~à.la~rë~~te~eyhau~B~ soü çoü_

~~IJ'inhumation 'a'e~Mëu~au~cimëUe~ du Péré-T~

~c~ais~ ~Y 'tous~a'VMis~nnonc'ë~à mdrt~prëmaturee~lta- ronAuguste~e~Gat~nley~~en qùelques:~o~~ par ~uhë'Ëuxioh dépoitTine~'aû'thateau' dè:Bettange,~prèE- ~MonviU~~Lorraine). Son/inn~matiod a~u~ie~ en lâ:y -'châpeUe'.Sain~e-Magd~eme'du~ de Pièisch,

I':qm5est~â,sëpult~~de,~f.àmiIIs.

NB:€n~86j,.Ie;j3aron~Aaguste~e~-<3argan~ jila, .~ne~ ~du.tarôn~Gharles\'dë Gargan et'de~a 'b ~éë',

~Pcscâto~e.-qm~residëKt~IjUxe~ depms ~Yan `;

~n~on~étaitdëvënu?apres;sa-sor~ Ecole-centtale:'

?un des'co~ér~ts.d'une grande usaé':·-inétallûïgique

~iHaisse,;3ës~n;mariage'a~ ~131e de Sâlaberxy,

~u~Msbts~~ats;e~fants"eBbas;ag~

~Sa~antë'estlataronne'de Gargan~sje~s~ 'Ea~lëbo~sn~i~s-connue par sa' 'çüàrtté;e;

avec laqueUe jL:;demeuràit~au3:Iiate,au .de~BeKang-e~; et~ ~.dans'Je'bel~oteldê~a'plac~dQm

~~êtajt-le~rere'de'~à'comtcss~~o~ de ..Mitry~:

'de~ataroBne~~annônccBë~dù'T~ T.ows G.ar- ~n-~ari~a.MUe'~ë.I.aB~ ~villes ~éànne,;

-M~ne'el E-ulaÏte~ë' Gargan.' '< '.1~ -rès~Iê~savant:~B6hedj'~ Doin2e Fez; lafa

mUie'de~aTgan~int d~ Nor~iùnd~e;

~p~xër)~~uîn~ë!në;~siecle,~n-.ATtois

~Lës~ugements~~mntehue~de~oNesse~ ~coiEme~'anaecne~tractMn" au,qüâtor :v

'ème~ièclë:~ëjâp'~j'A~

~Ùe-sê'~a~D.T~nspar~.ê;.mànagëd~ âe ~GargàB~dQ~astel-Vis,~ël~r~& fihtonvallé, en·

~i.â~cMÙemu~ lZemy

-Sb~!5;~Ïë~ro~~nëb'dorB:'de;G~ mgëineur.`;

~aes~hëSj~onn~~ époû~ânt ~illé de i~endelj son

Tpr~cië~'co'néo.ùrs'caù~~sin'ës.~ëla~am r

~I~Ë~anTb~Dt~(~gent~ bandea de.;

~guëu~sont'.àUië.s-aux~~AD~ de Tâ~si~nyt`;

FdëBeaun~~ë'~o.ntein~ r

~M~ ~°' if ~t a v`F .°,

ë~pign~EsFëë~a'Ha~o~ d·i~unn7stem, ;;y,n

a~S~uët~aë.~ôpiaigi~~iMaÛté,~ NËdonclsêl, "n

e;Np:nanGou~F~ë~Pai~~e~ omnierg~Préssÿ, de I,a

'anouse~dë~<~Ti~MH~t~taQt~de;~GQm Lioc~UeM~ ~~ils~~pnsj~ a r

;J)e~J~nam~'ou~tenr'~ë!a~ ~io- · ertJaScctQr~~ochëIontamë~décSdo'âge~dt~

n~~Sd gen~tab~~hamj'ctetr~nmussa; ~m-~ p,,

èrm'de~Ms~4'JËxp6siCpiiL~6 :l&03?'â~dé~-MwTiïne,3 ~~6.cmqn~t~~uÏ;an8!dQ::doBte~N~ri~rme~ -;C S~oùr:~i~~J~c~t~dë.;m~ëomeLdc~ MS~daSs ~.sa ~â~nte-qna.triéme ajmee~~CQstjeS&Ue~. pjes- 'Syet~~sM~.y&r~ .i'S'S~ '~? s _e:

\)~ ,`: ~3~T~<~c~~ ~§' '0.n'u~n'vëptn~e.Ia~ du 3~' luilletd9©i.:

êsf~emàhdes ~d'âutonsà~o~~dep~osëes~ ~es y idngregaiibnsy.autërisëës~jp.ourt~ céux~dë ~leurs; s'~

't~blis.s~ments~qui'n~Ie~o~ spééï,emenï,

~iv~~trë.é~amlh~ëSy&oii~à~ies~~ js Qâis~~r''lë~col6sei~'d'E. et ~l on se ia~~elle

{ù~om'b.e~'K'Gj~n~ de toùtes piècés~une ~u, _j

asprudënGe'qui~ui~p.ermït~d'e~sbuyii~s~ t rôle~ës~haines":dB:"reu6~t,d~~ _à,vec-la ~I

iompnGite~dn'cons~.iL~'E~ lüi memé 'gu ~l r~nsmëtti~i~à'.péttë:assBmbl6e"qù~ës~ tës~qu'iL\aurâtt'jug6:es~l~ àyor~lQm,ënt~ccùentiës. i

'Nous.~a.vo,ns~, àppr~ciLë ~n son' tëinps~e.tté inter- t ~ëtâ~o~ndn;'sëul~ëôtjdp~ ,~ats tiadiz 'I l noms fan tatstste~: qu'odié'usp,~ ~'use~iol idont~an j l'ayàtt pc'urtant?pas besom'ae pressurer te'iëxte -'< :)djùr. en.fairé ~n'-mstrumen~ ~~MaYnLteiiantt M~ 'Com~jM;passe aux 'ac~s, Un r ] ;ertâmmombte~e'cangrêgatLdhs~de~énimës :`) ;ar ~est 'contre :le3 femmes toujours que M. j i ~ombës/airige~sës premiers ~oups~ ay.aut-. j ïëposë pdur~eurs étabUssements; non autorises: :j à~dëmandë' prévue par 'l'article i3, paragraphe~; ( de lo~du~uînet,: ytennent de recevo orésideht'dùcqnsei~une. sorte de eircutaireaoBt~ voici~ conclusion Aprèst examen" des pièces.ro~mtes a.i'a.ppui' de i ;ette'demande e't'des~resultats de l'instï-.uction. ,a.;].a- ~uélleilaéte'prooêdé,yafdÈGtde qa'il\n''y a\'mt pas Liëu~e~ transmettre les dossiers~u;pônseil~Etat-.en~ yde~des'a.uionsations .sclliëttees.: ] 'En'cbnsèquèïicej j'ai r~pnnenr de~pus~notiûer~ votM.demande ~st ?rejetpe ;en~&e qui '(Mncerne/ces ~ta- blissëmeafs ~e~votre.eongT~aiipn. J.evopsjappeUë qu'aux ~mes de loi-dn'4 decem-'

bre~902,sont passibles des pBines'portBOsàl'ar paràgr~he/8;e.~à'loi~u;~crjuuictii9Q~ ~là5,~00~r.j~tempt~6nneme!i ~us;mfii\'ldus~ù~ sàns~tre~umis~d j BxJigée'pRr.Tarticle 43~àTàgi'aphe-3j.. ~auront~ùv&rt~ ou~dirige un' éta'blissenieTit qongmganiste; de~uelque Q~urequ'nsoit,;quo,cët etablissëmeht~pparUennea. ta congrégation: ou: a'destiërs~qu~UMinprenne~ plaBiëuisJcongmganistës; ~M'ëK<'tÏ~COK~M~ t.~ ~M~ .6~ges.CM~es, J E.~CQMBES. Cet ului'sela'ëtë .porté'a. la connaissances 'des. mtêrëss~espàr'les;préfets,.qut:y.on~ajdni~'una K inyita.tio.n a ;se' retirër~dans la JrmiaLinp-sous `: peinë;de poursuites:judYC)aires,~ C~est- CDcore,on ra~ devmë, renseignement = co.ngr6ganiste~que Gompes-le~réné~~ a'le d'atteindre et ":d~prosprire.Sept Banne'Écolcs = –ien~ërtu dù'nduvet acces;de:~ ma.- maquë:~è~a~plàG'ë'BëàUYau~Qn~ 11ÇLI1-·

ciÉ.es ~a~ëille âèla'reiMrëe'-dësGbàm~ Ce. sont-"de%.ëtrennesp;our1a.Tra~ maçori~ërie pai'=

lementàire~ ~& j

'Mais.pÏus~M.'Gombes s'e~ -de~ détruire

l'enseignement congnégahiste,~ plus;~Iairement apparaîtra aux catholiquës~Ie~ devoir~ qm 'est:~

dë'sauver~out:.prixcett&œ de: rEgnse~'La;iuttë'est~ngagée.~L<à ;vi~iM- < sefâ~ala.Ïiberté.si lescati~ saw~t ie voû- ``

;Julien~e:.Bïarfôn ~aspd'fn~scr~~n~~ Le :~rocureur,' ~énénal:

~~s àvo~~s </es p~ Régime de`°:

'faveur. ~o~afh~ Daurignac ef Frederlc

~um6e~fâ;~)nst~c~

~ësxc~ahgemehts~~ 's4ht hier, dans Jaj désignation des'avocat~ l'affaare: _` À' .présehtj la'dëféns.e est :aihsi~repr~sentée~ .M'Hënri Robert- pouï" Frëdëric: ;e.t: Th'érësë `, -Humbèrt; ?" Andrë~Hësse, pdurB.ômain~D.a.u-~ ,°: r]gnac.M~ Glunet, désigné-d'oîncë:par'te ëâtan- ` niër,-pqur"Em~ë;BàurignaGj~tM"~en~ p'our~: Maria'BàurIgnàc.J~përons~queces~'chb~ idënnitiï's~tqùe nous n'aurons plus a y revenu'; jMaintënant qùetous'ies~efenseursdé r~{Iai~ sont-cdnnûs, le procureur~ gÉhBraI~Jëur~a. fait. savoir qù'ir.Têprimerait' toute,ihdiscr6tion''sur~ J'instruction; et ~u'ir: défërërait les .avocats qui~ v auraient fourni' des'Tens.èignéments,devanne. conseil.deTordrepo~~ v~olâtion du 'séçret 'fëssiohnël. < :'Gommë ou leyôit, oh.rëdoùte de )p!u~ en plus les mdiscrétions~a.~a pressez-les insp.ecteurs de .la Sûreté et les muluctpaux places. .toutes les?-. portes .dans tbus.les couloirs, dans les. -escaliers~ ~du petit parquet në.:sufnsàieht'pa.s.Il:ne faut p'as:qùe les journalistes sachëntce qui~ë pa.sse'dans~ 1 es cabinets ~insiructiôn, iet voi!à que les avb-~ cats viennent'd'~n~tre~av.értië'fn-e `

Les dossiers renferment dofîc bien des'Ghoses.?.' ..dôlicâiesl~ soyons~polis, r~ chargé `de haute;s:;

.personnalités dë'.Ia~ëpubliqùe~ J~ ;~Hës;t)nM heures;,lMM.'Leydet~ André, qni;~

'dànsràprës-m!di,eYaieht-.iQtërjG~

~Daùngnas et;Frëdëric'-Huiùbert)~ ai'rivàient:

~16ùrsLca.binets,~nn dëprëpàreMes dds.siers..con- ~ceMant les,:dëux~n.pu}pgg.

~L Â!la~ême..he~r.ë~cëu~~

.sepvice'anihropométriq'ue.rOù.M~

phpbDgraphiës .et:: :a pris leurs; ~iphes ~ignaiêtjqu~s'. Puis Iës"Humb.er~Baurignac}Q été 'DÉintëgrës~~Cohiiërg~rié.B~ ils ont~àéjeune -= A' cë~ prppos,' slgna.lons~que:~es'~prison.Qigrs n'ont ~àsielë~mis. au fégimë.~du-Dëpot,. comme 'l.es' autres:prëvënus.-Pà~: faveur spéci~ s6nt~raités.cpmmè~dës.aladës~b6n.É~ ainsi-dû .Tégime de l'in~rmeFië.~bëàucoup~ doù~et~dansJequëI,a~ânde~de..Lbb. > rtre::pQU~unëMassez graQ.de;p'a.aux .repas~du matin .e~.dti-'soir~ ~ëërégime~fav~ur~appliq~ aùx..` ilum~ért-

~âurignac,:pa;r'compassiOQjpQ~r~ënr 6~ pli'y- ~stque ët.mpTa~~remon~eau~s~ jôur dé;léu~

d6,tëptidn.. ns~Qe pouvaient ~contimier a. ~'air~veL hir lëur& i'e,pas~du 'restaurant yoisin~ ;par. Ia!simpléja!sbnqu8%toùt\à~nt- q~

Iëurâ~të:conHsqu&aMadrM~ D'auleurs, sauf Dâur~gùaç, qui-s un

êxcellent~ppetit; ïës~pnsonniers màngent~ ce .qui~~i'a'.Tien' d'exë'aordina.ire,iant: donnée ..leurinactidh~ .f~ ?' ,7. .Deput~l!àrayëe:â~aris~e; famille;

.ilnë:së-pàssépasde jôur'qu'on~e.i~ ço

'IaConciergërte.,sbit~ux~ cab~ de;r~M ~éy-

detet;Andrë,-des.c~ aux~oms;'üés~r

prëyënus.~Elles~ont~presque~t~~ illûstrées<etv

viehnent de-l'é.trang.ër. '?. A.; Lës.cartes'.pbstà~ adresséës a iVl~lé:.Lve~inriï~°-~

'beri sontlësplùs~nombreùses~lëui~signata~ .'protesten~de~hte~ la 3ëurie:`

~G'estensuitë~u~àcëUëux~~ paurigaàc:-

j que ~n.adrëssë~es quantités .dë~ar~ eugéilé='~ 'i'ral'amusantës,%t~r~ ën vors ~Ephn; dés-

~cpUectiQnnëurs~cIàYùënt~des~~p~ ~oüi' :avoîr.~des~autog~phes~ y

~< ~~ErMéiQ~Humbert~ aùv'cab~net ~lè:;

~N.~ydët~n~ëmë~mps~

L?gnac~t~it~mëa6;;ëhez-M André

:Frëdênc~JiuJmbërt'a"saiu~ coup~léa;

;chapëa~esgaraês-ët~lës~g%rc

;'du~àlQri~rë?~U~~t.;c.Qifr~d~ ahàpeau melôn~

~~oir:eiportâ!~n~long~ pa,rdèssus Îopcé II pà`-`:

"'laissait 'accable ~ë~âti~e/~Ën'~ntraht; ~ugë~Us'ëst'assis'u~

.sur~he~cha)së,;ët'ëycMpëa a~ lav:matn, a~~#

.;iëndu.qne.M~Qa~~Uniëfrbgëât~ ~Il~'a~'t6'~uê5tiQn~durant~ quey:

~.t~y~ ~Frédënc'Humhërt~ait~au~gistra~ ~anciëh.:mtëndànt;él~~ le-plüshonnétê',f~

~qu'joh pùtrëncëntT~ C'exait,un trava,illeur obs=:

~inê.~n~Ëryitëu~ëyoQ~ ~II-.ëst~impSssiblë~ il écr~`~; 'quç cèi.'

~om~qu~j~ ~a l'céûvre et .-dont nôus;'`,

~s~='

t~'y~s.jamais:eH~u.~no~usjp]~r.a~

M~trë~ë~ëiit~u~ul~~mchê'ën;Sd >

a~~Q~ai~m~a~

~~Pârayrë~é~R~urant;de'~

~a&àu~s? në*~Bn'ai~ii~as,"ie',M~ éèhéânt,

~~s~&

~~S~~Te.n'a~ama,is~elë~ à~

.ub~n~psj:jac'tës.,G'étaLYt~~ etr2 pàssaf ~q>u~ `.

xêButait~pbnctuënemënt~ës~ordrës; qu'on', lu

~<%aa~

~~ë~et~d~aiidê~e~ui~a;son~ `

[§~i~s~iës'aë~a~ dé.~a~yrë..com:mè'mtë~~

[aat.lMle~tjpR~u süjet de la;Rènte

~~s~édMSEu~.e~~est~borné~ ~pQn~ës;vâg~ës il[s'ëst~6ut ? `~. te-ager~ië'plus~possibrc~so~

ëur~

:Aquatrë~ëùres" et dëmie,~

itàit~îtt~~dans; 1'a 5mvi°'MB.

ïênnL~RQlj~rt.~n-Lassëz~ entret~en a éü heu',

~~dérI~H~ïnbert's'estpIamt~

'Q~iQ~té~t~së~~ ei cr;3ch'e.;

~bp'nd~a~n:am

!U'!dëvGi.r~nstruGtionsë tcrmin rapidëmént `-

~M~enriliRo~ ¡ iënce/1p~~ënc~à:j'épondu-~Yec'~ ]

'itait.Tassu~su~i'ïssue'jde~ët~

~ap~eiite;EO~àn~ë.aans:~ayënu'~

~Nous~ommes~~Û~6Tlarê;es'

lela.fat.alitê.

'Romain.Daurig~ac'.à'son arrivëe.aupë~

][uet, .~as~ué personne ;~un'Iàrgê~<som~ cachait-a-'moitié; json'v 'amt~dë:Nme~Ba.!azza.~ë~t-tr&s~surëë; nëani-~ noins~san~attitude'shëz M,.AM trës:

)xëmpte~e~ànfardnnadës.

jCômmé~vaQt-niër son-frère Emile, RbmaiQ 3àurignac. ;a?6të ..interroge longuement sur 'la Evente Yjag~e.r~coGHrmé au jug~ "ait pas <}uë-la,ociété avait'été ~constituée d'une 'a~on ir.rëgpUerë.- Il: sayâit 'aussi que des dix miHions'quijformaient'Ie~icàpital, nen~D pres- ~ue n'ayait'versé. 'y Ma.lgré;iout,'snà- débâcle' n'était 'pas~.sur-; ~enue sii brutaIement~~a.Rëntë~ .àùiait. rempiLse.s engagements; c'ëtai~'une 'très bonne

iSaire~ 'L~r' ~L

'–Quel.~tait votre emploi dans Société.~ ~'en:ëtà1s Je directeur.G~est moi.qui.ai cbn-~

seilIê~Thérese :de transîér.er;Iës

pue;Auber,'

~~o~re'sûeurJsJ'intéressait-ënë~s.érieùsemè~~

~laR~htë" viagère?~

.~Ma.is/certaihémëht; je dois? vous dire aussi~

que masseur ;était~ l'âînë :dë.- toutes les', affaires,

qui.Be~ fai sa.ipnt~ a,Ià niaison- nous~subissions~' ~us'~jrrësistible~s~ cétte fem'mèLs~r~, ` G~s~aùssi-unë.përsonnea'un;,grand~C<mir~ son.: sëul~bn~eur.étajt~ raimibils.'et'~a~mirionstoûsi '1'" J

'ECmai'htënant'?.

~Acette hëur.e;ilBous;ëst~~ impbssIbl~decroiM qu'ene.aitjamais'~g~d'une~

façon .maluonnete.,

romain Ràurigtiac a parlé ensuite en.termes. inâign~s-de.s. innombrabïes usuriers ..qui ont'; conduit sà;tamiHe. a iajuinë. .hë demLi-beure .'avant d'être ramené ;a.]a' Conciergerie~ et~à&rs que.;rmtërrbgat~ ternnne, RomainjDaurignac~a: màt[ifestë:a~ Lëydet-le.désir.de~ypirMmë:Barvallo,;ain

scs;jdëuxëntànts/

.Jjeydeta. pris~Qtë,dë.soD:désir~

~A~sëptïieures m.bins.un~quartc Rpmàm .Daù-

rignaca..quittéle,eabmël'/de M. Lëydët,.ën compagniëjde~AndréBëssë, sbn.'defens.eu Ito=. main Daurignac.a appris qu'oR? lui.

lâTpress'e une réputation ~é' .mousquetaire n

s'en est;p.Ia.int ën.termes amers. Jë':në~.ùispas;un rodomont~ a-t-il'- déclaré,

tout ce'qu'on e.cnt:?sùr: mon.compte esf'~

pénitile. :-i'

~.Rbiïia.in,qui?oc'cupe ,ses, loisirs aL la rédactioli~

f~ës: ;b<r;ë$, sera ;noùveau: mterrjOg~" 1 lu~di'parM~Leydet;,et"T~ Humbér't: sèra~ ~ntcndueYpar;M~.An~drê.; J" L'auteur de là~ettre 'andnymp''qùi a déhoncê~ ]ës;'Hûmbert-Dàurig'Jàc~;à'.l~ambassadëur~~ -France: en EspagicLe Pës.t-àù~oujrû'hui'oÏ'ncie'llè-~j m~~ent'.e6nnu.,G'est,Dpus~avons';d ''â~ :EmiIio._ Gotàrëlo, membre ~dë l'Académie' r.oyalë~spa~e~qui:ans;une n~ux dëMadrja~.vIënt de 'se dévoilera ?~D6n~ËmUid:'Cotarèld dit~dans cette lettré .qu'ils :VQu~ut-v6irM.:Patenotre,m~~srilnc.'put y parvenir.; alors ~lëcrjvitsa lettre; sans'sigher~ré.solu; à 'remettre aux pauvres :de son' quaTtier. l'argent :uu'ertparle~gouverhemëhtfrança.is. M. CotarBio~' ajou te. qu'il .dohnera~une;bohne; partie de la~sommë aux agents qui ont.opéré la .Cc~pture des ~éscrocs.et une. autre au~veiHeurde ;nu.it:qùi'aidâ'aux perquisitions'et\empêcha ~police i~troublée au 'pré mi er moment, d'arrêter, Go tarël6~e.t\ sa famille au U~ 'Enunle reliquat sera remis.âu~omitê des carnes :.l)iëhîaisa.ntes/do:' Madrid, avec prière de sécôu~rir de préférence les pauvres'dù quartier. TI 'terminé én.disant.quë des centaines de familles so trouvent .aujourd'hui; dans la misère ;pôur .avoir conné leurs épon pmies a ces ~escrocs 'K.jJe. Jië ~peux pas intervenir de nouveau dans tt;ette ~affaire ~mais, 'si 'elle se reproduisait cent fois,je .réitérerais'cent f.ojs,; car je'-n'a~.jamm 'pu être.unanxiliairédes~voleurs. -On'saittqu'aprës'a'voir'àppris. le nom; de l'auteur de cette lettre de dénonciation, M. Gomez ;CariHb~ membre~ correspondant 'de l'Académie ;r6yale'de Madrid, qui habité~Pàris il répr~.sente E~ L:6~'s~ de Madrid, a envoyé sa dénussion~motivëea.u'secrétaire général de rAçadémieTÔyale. M.GotareIo s~est~jugë offensé par les termës;;de lettre.de.démissionde.son collègue il vient 'de 66nstituer:des~émoins'poùr lui'demander Tê~paratibn ou rétrattation, ~MJ'GbmëzCanlIo est tout idisposé-a accorder, ~~t.~i'imiliQ'Gotaerlo réparation~ exige, j Tmals~a la~ conQitioh que !è; duet "aura' lieu en Ffance et co.nformëment àTix~usages français. ` ~y.Qilà, certes~ un incident assez piquant, provoqua par;ràr~ Huniueri Dàürignac:

.~F~ ~~j~rmand~VilIetto;;

?Ôn~annbnçait hier que le~prësident du'consëil, 'spuiëis, 'on'le sait, '~n sa qualité de séSateur de' la' Ghàrente-Infërieùre, au renouvellement trien'hal, se~aissait~prêsenfër en même-temps dans /la'Corsë,: par un groupe d'électeurs~~ La~oùyellé~poùr;. si extraordinaire qu'ëHë p~sse~araitrë;estàbsolument~xacte.:M,. ~ésestcandidat sënatoriale~dàns la C

Tafëriëure et'dânsia Corse.

Ije~pi~sident~ ~plébisciter, et '~st-'ce ~vec. mtentipmqu'il aura)t cÏioisFia terre même -qui 'donna inaissance aux. Bonaparte? Non.: M. Combes ~~mënt iprêtê à'' une (manœuvre;, 'électorale dë~Ia derMëreheure,;c[u'irhb\is'pIa~t,de' ;r ~1~ ux~sÉhàtë.ù.rs ~sortants'de~aCktrse, ànt~mp 'jitsfénels, MM: dëCasabjancaetFàriho)e, avaient 'manifesté l'intentton~e.pas se représent~~ M. 'Jacques ~'Hébrard~dëyait sollicitër~.rënou~pnêmcn~ë'sQn'manda.'t; Mais, àù~dëpnier mo-' mërit~ cëlûi~i .déGlar~it eaùtii- '.daturë, -tSLndis~que ses collëguës, MM. 9e Ca.sa~ biatca~et .Fàrmôlê, au* contraire, j'evenant sur leur prëmiere~m'prëssioh, faisaient acte de; can~idats. 'l' t:lEetteaëcision~eta'dans!ëc!anm~ vive'emotton.-Gomment faire; débàrràs= ~~èrSës'dëux anti.ministenëls;récaicitranis~?~ Payait, bien--rsoùs.la~ma!n~n'~ ~càndida~s~u~bloc~~inais.cbacundëcescan~~

~së presënt~i;indiYiduë~ômentsôus~ sa .réspon-

'sàbii!t6tprop~t isans'aucu tique. La ~BpuMtioh~ihistérieI!ë,1j'~sper~ ~eco~cërta:ët~dèeida~d'é!aborë~ une. :list~~c~ë~ur.laquelIe~gurerait~aux~M dés deùg anciens dépu'ës,;Ië~noni''mêmëÏdë M..Combes

la~pi sur Jes'Gandidaturës'multiples ne s'appli-

~quant'pa~aTé.IëciiQh dësséna~ :~LëiprësiTdënt~u.EonseiI,é~ ëri meme';temp~

~dans'deux;dëp.àrtemënls,"aurait a

~poùr~p'tër'ën-'fayëur~Qe/l'un'dës~ 'pën~ant~ë'Taps'~e~ëmps, lës~ministéHBl~

~Gorsej en ce< moment des'empa~és~ laï~

~jgëmënt'ië~ëm~ps'de~e~ëssàisiret-~ë~~ ~Sdidàt''â~~e~~dëvD~on: lë:~pur sei~;ü=a>asi

~pu~o;là;l'histOM~~ dé°'cétte donble eân=

~diâ~m'ë~s~dentiëne~

~~C~So'us~îê~ ~1ë iaRôchélle, 3lativaer; 3i

~oir~

~ij~gms~ciâënt;s~ nrodàit,r.ce sa~r~ ~a f-èu=

1 1 1 1

~?~y~

'-y~~ï~u~ongnè's~~GiSpaI~u~ hiM ~ombés;,

'G~rmêr~~NYëtr~efJ~u~er~can<î

nàl~riaiLx,ev~ent'?ë~IêM~

S&Eli'ordï~tï.e~OD~g~ commissa~res

~jJL~~Iacé,s~Ïa;porte~~la~ én oiztrç- :jù

euseâTehtréë~M.BisseËH.âênatëur sbrtànt.Té-

~ubiî~t~dëré~ ;'t

'~$M~)LS~t!iI.~protest~~at~ -.r

'~a~Se: ~r.cette~~esÙM~aï'b~

.~i~êmGntpë~a~~i~ que niës r

jëhts~t~uyent~bïnprb~ttant pburjëur;prbp~ ;c

~candi~~rë~aybir~o.sër.lë~

~n~mê~ps~~uë.~ë~Qurr~ .j; m!ëii~daQs4à~'êmesâ~6~t:~evaQt:;Jes-m

~u~t'i~~

M:yBisseml,;ën-se;rëtirant,a'éte;àcc~ ,i:

'de nd.mËr.ëux:de!égués sénatoriaux.'

Dans~a~sbir~ee,;les <Éle~~ séuatoxia~sx \a

.sërvaieuFS ;;dë ':la; .Charëute-Infé'riëuTë, sé~sont ;r$ùnis;i;<~nrîel. ,'B~ .LouisIRoy de ;1jou!ày,anciën député;;ëHë;baron r

Oudet ;bntiipi'is, Ja~ parole. iL'assémblëe a .décidé.~ -}

'q~ë !es;;conBe~vatëurs vbtërpnJ.ui'.M ~'i

~é~3~~6haEt~ur~6r~nt,t~M.~Er~

~B~HëT~onbràirë;'a~la;courjd'ap~

~aals~sti~sia'M.JGom~ ` >a

~ï~~bn~ès~s~del~guës~sénatbriaux~ '{

~dë5!gn6? comtQe; Gan.didatsi:M~~C!oniT)es, i

~S~~i;YBUc'Paul)nbùv~ /,i

.3~M~C~v~t,~sêQa~ur.sbFta[it,paj'~33 et "t

~~aNupr,jdëputë..bar~iX. ? ~< .i

'~t~is;seùi!s5ïiateur sot~nt~àQ~im~mstéM

':a ob1~u'49/suû']:~ëës.

Les.Necieur's~sën~ CliarEnte-In-

férieure-'sontaUfQombM de.i,~D7.~J

SiJ'on .étudie-les éIpGSonssêaatbrmIes d~au;- ( jbùrd'Rui au boint.dê'vue Qe; la..tëpàt'tition des'' partis,voici ce -gueToïi .trouye 'PaTiinles.s~pateurssorta.ots eiquijdëinandent le reQQUVeIIement :de leurs-mandats, il y a ëxàc~te]nen:t~j. ,~4immist6t'i'els.determin6s~ ~< Ge,:sont;MM.. (~oùjon~. ëignet, Pochoti (Ain);J .Grimaud, Vagnat (Hautes-AJpes~ PradaI.-Saint-. PriXj Fougeirol (Ardechë};,So.utâpt,3?ay:oJ.'(Ar-~ dënnes~ Ff4zbui,;Delpech ;(ArJëgc).authier, Mirj(Aude) ;~?oseph I~bM.(Aveyœn) 'et" j 'Jjëydet (Boucbes-du-Rhône~ Laconibe~ (Chà- rente) Gonibes, Galvet,. Raùvier. (Gharente-In-: feneuM): G]rault,P~uliat;:(Œer) de~S La-; ~Muss.e.Dën€stable-(Cprrëze~iHugot,:Pibt(Co- `

< te-d'Or),. Vittard, -~Renard (Creusé) .DussblieF~

T)enpix,,Po~zi.(Dbrdog'he) ;Bernard7:(Dd

;-Fâyard,"Louis "Blanc, Maurice Fau're. (Drome) -BdQhefGy-SibQur,.DesmbBs{Gard); Géante (Al- ;ge.r.); .Gicér.(m,(&uadëlbupe). ~mgt et;~n~publiGains;;gui~Qteni,s ~OM:' le.inihistère,-mais~qui;o~~ ~une cer- -me~ndépehdanee,'qu'ils ,soi~ -ou

râdicaüx: '<, '0-

Ce -Bdnt':MM/Ma!ezieux, Mâcherez v

~Corhii (Aï.në): :Fruchisr ..et, César AHeïaand'

~-Basses-Alpes), Gayot; Ràmbbupgt, Renauda.t~ (Auëe); Peytral (Bouchës-du-Rhôney~Badùel, .Francis Charmes (GcLutat)'; .Bissëuil (Gharënte- Inférieure); Dufoassat (Creuse) Guilliër{Dordogne.) Vmèt et Labiche ;(Eure~t-Loip)., .Delo-- beau, PiGhoQ,-Porquier(Fjimstëre};'Silhol (Gard); rDrouhet (Réumoh); Quatorze -republiçams qurvôtent Je p~s sou.vëut ~con~'e'le mMstëre ~es: republicams dits ..libéraux: .r. ;?. Ce sont.: MM. SebHue (Aisne); 'Monsservin et: "j Ouvrier ÏAveyron) ;,Turgis, Buchesue-'Fournet, Tillàyë (Calvados) :;MartëH- (Charente) :Ram- batid, Sàinard'(Doubs)~Mniiard,'JParisot, Thorel '(E)jre);~ëCasabiaQcaétFarino!e(Gorse).. ,Sep.t conservjELtëurs libéraux àntiministéMels, Ge sont M~. ~Oliivier, Haugoumar des Portês,\de 'Garn~ Le Provost-de Ijaunay, <Ie"Tr6ve- -:npùc{Gôtes-du-Nord~ dë.GuYervine~etPôlithier ;dëChaŒàinardJ!(Fihistère). IFfaudrait ajouter a ces noms les sénateurs; ~[u~ne se représentent pà~ ét~qu'il est par cdnsé~.quentjnutile d'cnum~rer. Ce ne- sant: pas les~ moindres. Parmi .eux- ~gurent, en', effet, M. ~Mazeau, amien'premiEr président .de !a cour :de cassation Jacques Hëbrard, gênerai Bërënger, GaiIIy,etc.~ ,j. ~i.:(~ ~Soit !es quatre-vingt-quatorze siëges~à pour- voir,~auxquels ~Lfaut ajouter, aussi les quatre'dé- ~artëmehts ~ù~ii~ -y -a. un'sëhateur'a .nommer, .apures vacance par .~ece$.:ce~.uifàitjè:tôtà~ des;;

quatre-~mgMix-huii61ections:qm~aurbht~

-4 janvier.

US. B ~=' E~ S°% B F* B H B~

jB~ :a, ~a–L. Tr--i~ 8 a 'i Ms

.j~, & i.& a~ a-Et. ~aH

` Le véritàbte aspect de ta question 't~arocaine~ ..Y -Mjes .nouvelles; continuent a être rares. D'aU-. leups les quelques 'dépêches qui nous parviennent émanent soit des correspondants- de journaux espagnols et anglais, ~soit de: Madrid. -Ge 'sontlà des sources d'information forcément tën.dancieusës,.d'autant plus que certaines persdn~halités ont intérêt a nous présenter situation beaucoup plus, alarmante qu'elle ne l'est en réaUté, car 'elles espèrent de cette façon créer une émotion et une inquiétude en Europe qui précipiteraient les événements en encourageant prématurément des mesures .extrêmes. ~.NoUs laisserons donc de côté'les bruits d'âpres ~esqUeIs onaurait reçu- a:'Madrid une -'dépêche de Tanger, ue laissant subsister aucun doute sur la situation désespérée du Suttan nous accueillerons avec une égale circonspection les. informations :~e~at~vés au spulève..ment des.israélites'contrelë-gQuvernement im- périal et-au prochain mvestissëmcnt de Fez par' les rebelles dém.entid'aineurs par des telégrain-. ..tnes.beauGôuppius optimistes; qu'.on~ lira plus ~loià. Ce sdnt~e ~simples « on dit',B contradicpoirés et vagues ne' reposant que sur des im- pressions très superficielles et sur des hypothèses plus ou moins raisonnées. A vrai dire, je crois que la situation est exac"tëment semblable a.ce.lle que nous .avions; si- '.gnàléc.des le lendëmainjcle la défaite des troupes '.du'Sultan. ;Le jeune ;mohat'que-demeure ~enferme dans;; ~son palais, irpossëde;encore. une armée très res-~pectable, suf~sammënt'approvisiohnée et pELr- fâitëment. capa'b le'dë reprendre .l'ptïensive. En ce qui concerne les rebelles, il~est'dMcnë~ sinon ~impossible, de dénnirleur situatiôn;et de suppu~.Lter leurs 'chances de succës~Ï.tës pluies torréntielles" qui tombent; dans U'intérieur .dû-Maroc ;sbnt évidemment un obstacle à leur marche sur 'Fez ils août donc' réduits a, camper-.dans .les .plaines. N'pubhons ~pas, ~d'autre' pa.rt,' qu'il he ~s'agit pas dégroupes réguliëres, mais 'de hordes indisciplinées, qui se cômposeht.de tribus plus ou 'mjoins hostiles entre elles dont les rivalités peuvent se réveiller:sdus 'le plus futile prétexter .'Ajoutez à cela quelle pseùdo «prophètes Bou~ Hamara qui .les com maude; apparaît? plutôt ~comms un~perspnnageémgmatique~plus~re-dbùtable~par..spnfanatismëquep~ aptitïiàés guerrières et qui s'à'bstiènt jusqu'à présent de; faire'bonnaître; Je Dut .qu'il pp~ On:lüi'â décerné-Ie~titrë.;so.iënnol ;dé 'a prétëndaat j).;Pré- .tendant à quoi~'Âù~rohe ?.Imp6ssible, puisque <. n'etani.pas~«'chértf:~ c'~st~à-direissu de famille noble,ses partisans ëux-memës:i.s'opp,bsëraiënt~

.a.sbnavënemënt.

.j~ :j

'vulgaire parvenue "soldat de; fortune, ambi-~

tieux entreprenant, ayant de plus-trouve-.un;tërrain~admiràblemënt préparé ppurentrepren- drë ~on œuvre;"d' a assainissëment'mora~xil a-; ~réussi .a se~ faire acceptet comme le chef de la réaction-conservatrice..Mais -ici Jaquestipn.së pbse;de.' qui est-il ragent~? Au'.profit;de:qùel~ « cbêrif )~travaille-1ril:?,;0ji .a nommé le frërë ~du Sultan.ûr, ';Ge' personnage.àssez efîacé: ~d'ailleurs, est complètement récoQGillé.a.yec;le pouvoir actuel: II faut~doncrûcarter~n~~C~ que les "princes 'pouvant aspirer ~la.'couronQë 'sont 'nombreux .et~que -Bou-Hainaj'a?;n'aurait .que-1'emDarras du choix. Mais, comme je;,l'ài deja%fait~hserver, ;n'en sbmmes.pas' là.: La" '.destitution; du Sultan actuel supposerait au préalable;'non seulement .~une houvëuedéTaite' aboutissant à la ~Fez.-jmais '~h;core le; soulèvement général.: de ~toutes les .Ijihus~sans~distincttoh.~bht~e ;Fâuto-

ritë;'souvcraine d'A~d-ël-~Aziz,;

f Etje he;ci'bis'-rpas; que cë'ttë' éventualité soit-' aussi: imminentes que; Ics{-coiTespônd~ journaÛK~étran"gërs~véulêht;~iën'lë;d~ ~l~Ïémen~~anàtiqu~rdië~fàro~ des..tr'adu`~

'tiions'Mritienhës, qûi~reprbche'~ I

~êtrë~aissë~ircbnv~

glaisës~ët'd'avbir~mtroduit~ 'de la ci-Y `'

L ~'vilisation~bccidëntalë~.Ia~our,

~~pas~bntràiremëht ~~imQn;xgMérgleméQ~

~4-?~s~ ~t~?l~

· r

.dmfse~Ë~tà~té~6~a'~6pu!atiôn~M

~°~o~~ y

[u~ ne s'étend, ;pas~au-Qelà~du,~prttGir& sltné

La.Qs~e~QtsiQagëf4mmëdiàt'eT~z~ `:Ouez v

&n. .?. ~?~ "?

QuM qu~I ën~sëit,ë~ou!~ement~Q'a;dmët-,

antmeme~gu~n-~cgnie~ plusi~

aM;.deyptr ~onsëryer~è.

)urem6nt:mtestme,dont'HnQ~~ atigtâise se

'ésseniira/cer~inëmeQt.maigqurDë saurait .e'ss~er~ rm~éren'Gë'~ës.puissaaG~

j'Angleterre, quriLe\se soucie -aultemën~

totre.ydisiaë'~ ~ugŒeQt~r ~pQ'mpiret' ttaipar~es~cquisittbns,~

.erait, je'ne rignore~pas,enchanteë'de~ou~ vo~r

Q,tervenir.'daBs'.cë~-débat.~?' ~Mais,:for~ heureusement, ~nous,,paraissong

Lvoir.<ompnts-quéjnatpe\3attitude'~ey~ bor~:

)er~ ~ury.ejller~es cy6nemënts;et~ prènd~es nesures' p)'rua~i)es.sur.nbtre frontiere'algc-'

'iënne~ ~?:

RappeIer~.Qptrepr.êsenMdahs~ë~~yô!~ min~diàt dës~Yepements.~Qrmër~nbtre, i~ ion .de.ne permette ~ancunë/ipterventioQ'~tran~

~rë(dpQt- nous sërions~ex~ afFirmer~on ~:éé'

tas.Iapnorité~.de posUfeits 'ët"dé"n6trë '~actiol) t&mmi&~iahtla puissance la 'plus.~irëctemeQt' ntjGress~ë dans:la,-question.:marocame,exiger.!e naintien,du-5~MO,ë~ si~ loUsnedësli~ns'f&~elm'lë.jeu.d~ ncehu;deTEspagne. k~ :R6Në~Aral.

~n~r~

Notr;e~rMsp6hdaB~ nous télégraphie ~ne;~ mëre_di~ipB dercscaLdrë~-enÛTi<:ompTe.të''soii 'ra- ,` ~itaiUément~t. ses eSectiîs~ et, qu~olle attend l'ôrdi'o leTse (lirigersur Tanger." On .croii 'que :son; départ

i.uja lieu demain.

Les derh !eres repêchés

-j Tanger, 3 jan-vier. Deux cavaliers~.paj-tis le décembre de JFez,-por~urs d'une lettre dn~uKan.sont-arrives à' Tanger '.La lettrej lue .à. la graitde nioscnMe ce matin par le pachà,,annonce qu'après une~ série de-; 6u.cceBde9 &'pupes chériBennes cèlîes-ei ont~ <te;.t)attues le 33, Etpres avoir été surprises au milieu do la huit. ,< Le Sultan fait savôji' qu'il .ne tardera pas à' pren3rë lui-même le commandement de Epn armée et qu'il ËSpere-pbuYbir/'vaincre le ~naudit ngitateur., ( Un message semblable à etë':enYoyé dans toutes les 'ntlIes.soumisesa.uSultan. >' Le8:npuvellès'de ]''czarrivcntlentement,parsuito du mauyais~etat;dës routes. -L i

;Màdrid,3jan'vier.,

M.SiIveIa a fait ppnnMtre au Roi que le'Sultan-dû Marob. continue ses prëpàratifs de guerre. Une batailla estimminentë. M. Bilvela.a, eu.une~ntreyue.avec;Ie.mimstr~dë la., guei2'e;pp.url*ad6pt![qn_-do mesures preventiyes pour te~cas les ~événements du Maroc rendraient nëcessaire une intërventibn jugée pour le moment impro- bable. Lcs.na'nres do l'Etâtco'nûnuenta'së reunir aCadi'x. Les garnisons de'Ceuta et de Melilla ne serontpas rcnfoi'cees. PRÉT~DUES CHÈVES A BaTOUm

On~ repand!:[_a. Berlin le bt.'uit que dès-grèves avaient éclate'à Batoum. Renseignements pris au~ nieilleujes sources, cette nouvelle ~s.t Inexacte.; < L'ENT~TE\SU~,Lt QUESTfON maCÉDONiEHNE · Le silence est gardé jusqu'à présent sur les con< yersationsducomteLàmsdorfï et du~omte Goln.chowsky. J La ~VeMe~esM.croit, pourtant savoir qu'une .entente complète est intervenue entre eux. àprop'os des moyens-destines à maintenir la.tranquillite dans les Balkans,'surtout en Macédoine. Les mesurea conveTtue.s nB seraient communiquées aux autres puissances~ signataires du traite,do Berlin que sida situation ~anslës Balkans ou en Macédoine obligoait la Russie et l'Autriche a faire'un pas décisif. L~M6LADJE DU ROi DE SAXE ~L~'roi Georges a: rempli son devoir jusqu'au bout: il a assisté, au dernier* conseil des'mimstres.qMia~ déterminé la procédure de séparation dëcorps devant la~cour'd'appelde Dresde. Dëpuis,létatduR6i\âempii'e.Hiër suivies fô'hc:tiQns cardiaques étaient, aû'aibties, le poumon dilaté, 'le~pouls très faible, l'alimentation.presque~nulle. ~a nuit:derniere,)la &OYrB s'estdeclaree..La~doctëu'r ~Fidelër, appelea;o.nzcjieures au -château,,à .;canstaMi' une.diminution~de forces et; un ~commehcempiit~em--

;pliyseme. 'V

AU~VENEZUELt~ L'' LA. CONTRE-PROP03iTÏON DU PRÉSIDENT CASTRO .I- La réponse .du président Castro contenait en quel~ quesorteunenouvellepropositiou. Le Président, dés le début, s'estmontré.pen dispose a. en référera, la eo.ur de La Haye, et, tout en ac- ceptant le principe deTarbitrage, il a demanda-que le .cas fût soumis à une des répuMiquës américaines. :Commë-M. Roosëvelt'a.vait déjà refusé de-sërvir d'arbitre et comme le même motif qui avait inspiré ~son refus s~appliquait'au~mëmedegt'é à. tout autre Etat américain, M. Rooseveit était obligé de repousser ridée suggérée par le.président Castro. On peut donc considérer cette idée comme en dehors du do.maine des elioses possibles, et, à moins que le prési- dent Castro n'insiste d'une faeoh-inattehdue pour l'a~doption de sa proposition~ on s'en tiendra a~la proposition primitive de soumettre question mi tribunal deLaHaye, On n'a rien reçu de Londres, de Rome ou de Berlin quipuisseetreconsidêré comme une j'eponse a la proposition du Venezuela. Les .représentants des Etats-Unis dans ces trois capitales ont informe M. Hayqu~ils avaient'communiqué la proposition aux 'différents ministères de~ suaires/étrangères~ et \on .sait qu'un éohange:de'vuos~ est en cours entre Londres et Berlin, aSu d'assurer l'entente des.a.Iiiés.; NOUVELLES HOSTIUTËSJDES ESCADRES-ALUi~S Suivant un t~lëgramme de Puerto-Oàbolio, :les es- cadres aHiées_ se sont emparées pendant la, matinée du 2 janvier ~e toute la batellerie ~ui se trpuvaitdana le port; Etios-ont, pendant, cette opération,; débarqué des troupes sur leurs apppntements. 11-n~y a pas jeu -unseul'cpup.defeu.. L'qccupation,n'etait,quetempo-

-raire.

UnëgrahdeeSorvëscënce.regne en-ville. ? j 'NOUVELLIES~MËNACES D')N~ EN ^CNII!£- Les nouvelles, de. Chine sont mauvaises depuis .quelque .temps. Et: l'on commence à envisager .serieu- sèment réventualite~d'uhénbuvéUëinsurrection~xc.'nophobe. OnannoncequeTung-Fuli-Siang/estda.nsleKau~ou il mobilise dix~miilelibmmes de troupes, .cb

;qui n'empêche paB que la~garnison delà province,

:~i P, P q, g" de P.

.forte dë4,0(K) 'hommes, a été licenciée~

~.périal.

'Les. soldats croient que .l'intention deTunh-Fuh~Siang est d'es.tGrnuner~ tous .les .ctrangers dans lo .Chan-Si et dans le Ean-Sou~ët de-s'emparer dë'Kiao~Fou.' t" Les fonctionnairea -xénophiles conseiUont a. tous les ëtrangers de quitter Je Kan-Sou.Le~princpT~ agitde concert avec Tung-Fuh-Siàng.\ ":?' nsemblequolo gouvernement -oe~rveuille ou :ne .puisse pas.Jes combattre,

~~Chan-Chih-Toung, dégoûté de l'attitude ddgôuver-'

.'HBment,dëmàndë.âsë retirer.

~]~Inf6Nn~_ Sirop a. l'acide phémque du docteur Dé.çlat, contre toux,'rhumÈs,brpnchites,:inÙuenza.. <

.c.~

~Jempèraturp-

iUnB profonde dépression persiste ~ur le nord-ouest -de l'Europe, amenant' aes'~àuyais,lemps;du.sud-- ouest sur;nos côtes de la Manehopt do l'Océan.

EnFranee, le même;temps doux,:et. pluvieux reste

probable; y' r A~ns~Mer,asse?.belle journéé~'plùie'dans~a soirée. Thermométro; maximum,4.Bar

~en~iausse~égerë,o8~mm.

.'I.a'Havrë~Thenno~strë. ~ënt onest;_

;âccQmpagne':de-~lolentës~ ond~~ ~er tiëà grossë:

~Ciël'cpuvërt.; '$~ J' ~'t.

'MarséiUe.Thermomètre "dSp.Vent' S:~0.

F~ble;Brise::Mer <me.- Ciel- beau.~T. doua; hu~:

-~mide. Sorizoh~tres brumeux, van~

~TS~~m~~jou~

-Néprologie.?~Notr~ eollaborâteur ~`

BierrëO.rsim'vient d'avôu'ia. dôuleur~e perdre son~pére, M.~ominiqueOrsmi, ancien maire de LBn~ décédé à~ù~ge avance dàns~cettë. commune,~mùntdes~sacTemen~~dë ~rEglise~ëntouMlde;r-àSeG~

~;siens'et~ de TBstimo/dëjcëux ,qui l'àvaiënt;<cpn:nu.~Nouw

'nous sssocions.sincérëmënt son afûictipn~

M. Dominique'Srsini -ava~'iempli,~ lalsàiisMe'

~ion'dësjustiBiàbIës.Iés~fonctims'g~tmtesae~

~mier.~ugo sùpplé~mt.dans ;s.on canton :~apres'plus~da

.-trentë:àBs'do-sërvicës,:il' fut destitue.s.ans Tin ~mot~

;'d'ëxpliiea,tKin, par l~cam~HIa-Dpportumste~ ~~ant!

a!ors,?qui lo'tj6ùvait:indocile.àux- .~c.

''poUUquë.~Ge~u seüié r~compëriserle 'cët-~umbl~:

~et.dèsmtêrësseauxiliàirB.de;la justice.

La' DMul~ton~dB~Lë~io~to~ enüe;e, ~t de nom~


e ~t~x~~ta~ts~éà~ nnéâ~omnes bn~ dea`om·.

"a~a;d6~um~e~

~ge~e~ ~o bli~ ::1~

.ôrt,~ragiqaë~ë~~ '3~jdaa3~ce'j!~u~6?&E~~f.(~it~~ 'smvië :de,`

L G&Ile~èJ'soNpe're~ quelqnès~Mrs~lus~àrd~M. Stetn ~'a~a~ëpouse, pn~

~'lemertt~èGédee.S~

:L.MUe;SQ]~ojse.tt~san'm~ etùiën# ~n

muBanté~de~iena~et'uD~ journà~aMton~t~er-ma-

'~n~el&~oïtàné'cpnsidèrà&ielM~.ë~p~ >M Stërn,

.retoujmë~ta la'~œn de ,Ml~e 'Sopliîe m.à-~

rlée-~upëiiitrei~ip~us'~jt~&

.CettB~mfojma~o~ï~cIare~ Dnran âny

-A~somp.lete~men~ine~ âete

'N6u~Bpu~oh3~6~ter. que fpr~utie laissee ~psr.

'M.~Btûrh :gui s'elèyë exactem~~ i ti~d8

est~enaë aù&~ér~iérs~ë~c.elQi~i~t Aon 'p.as-a~x j

:éMtiërs~ C'est-.it=ilirè a sy:"smui, v forgea ~HaIp~ën~.ët~àTi~~Ëls de: 'som ;h'e~;e,~MA'I~Mus_

.'SiëmM'

Lesanciens~ieveside~r~ San~Elme i

:banquet, annuel des ~nciens~~èMS;.<Ie; Saült=:

YElmë~ach~n.~jeu~e~ de`:qnatrév~ngts;:

,nytves~rXseDfsS~nn&'aT~ênt''Mpond~

~du~omit~

aAu~'a~agne~.dG~regide~t~dB~'A~M A'I .ûe

~Mpn't~Ëe,\à~d~BB~tUM~ ~PPlâudie,

~n~~t~~a~MHmBn~~pr~êiI~p~ ~en

s,- pit'~t~~aiS6n~~me~ëE~u~~

~camarades~e~aint~Mme.gm~~ plas

~cojë'etsélsentiraiënt;les'coudes.~

~e~JP~re.m'jE~r~ë~~ÏB~~ la prôle t

L, e~smtë~W e~lapgage~tr~s~~ ~ai~;&es~ emuj,-a' sàluê;<Mtt~ ~i6nlqui,res~~ :Io lien,

qaïa.umiGs~leYes-ct~~ait;~ ;amn ~ai snyent

~et se s6uiiennènt'.daits~:yie~ «

Messag~jes~a~times~HD'~ ~isoirë~ë~Ë~ërY~nu'~ntTè~e'ministëre d~ et~a~o~p~m~es~MessageEies; jnaritimBs.~ le maintien deSiligncs postales de~Bôrdëaux L Bur Da.'kar ~~ti'Amerîque~da Sud-~u~pa~ i annéei903.

Lesj~oyageu~~e:b6mnierce. –Ij'assëmNëe ge- ne~e~dQ'o~icat~ de -1~ -J'éderatton 'fransaise des~

voyageurs ~è~rûmerceàétctenue~i~soir~ au/si

'Eoelal, :92;Tue;delBoh(ly;?;,

tordre du jpur~Brtait-nominattë~d'un~ dërtt et~du trësorj~~n-rempïaoeme~ M. E. 'Vau- tier,deeëâé~'et de~M A d:ar~che üèmissionnmie :0nt;~te ëlus'a~unanimite :M?it. Henri Modot~de;' Dijon;'ët;M.Joseph~erttU~de:[Paris,~tous~ les dëùg

'voyageurs ~e.:c6mmercë. 'Y ''S. .1.

Ije'.premiëi\ a'eîë~n< seçond'

//t~orjer.

Ijs~ureauj;con~tituê,~ quéations d'intérêt

c6rporat)Jf ~D.~etc-dis.cutges~-notàm~eM~

~.li&quBStibn~es~mpIoyes~t~

T~at-'qui ae-Mvrënt' a la TepreMntatMn-~oinm.er-. ~iale ;t~f?-

=:2p La ûé o du 'cla ~` o

~3o La queglion ;dudecIâssemBnt pourles-voyàgeurs,

;~concei~auties''<~Bipâgnies de cTiemnis~de~ër

Les'hôt~s a~ony-maT~ âcceptaüt-le

d'~në'; remise'de jcinq;.po~:cept~MM~ voy~èùrs:

-eTcbmmer'ce; "J~' .j'

'Sur:Ia;:prcpositipn dë~ il e.st_, `

t-Seetde Be:fajrë.uBë;demàrcËe-al]prës dës~b~yoirspu--

:bMsiëIaUYement-auipro]e~dë~oi~ .,des

.de~.oru~

~'BaL;aeance~ levee,.ailia heiües,é~ demie

.Sucoes~~të.~L'àlman~ch agéndâ ~ourl'ânnée

.1903~e notre confrère la L~&re Parole :vif J,èt,méritesrmces. .butrê~d'interessantg- cpnMm's/~d~ jmx d'ùne~ = ,rëeUe~aIeur~on~ heureuse,~ ~TeBsejgBementa~ët les. ~Uustràttohs .~hmnp~~ ;qu~ï-contiënt .en foDt'~ livre'tagrëablë~et :taBtquc'd'un-prix;des:plus'a~ .r'Tnë'~iyiecmej'~arIs. .'f'" ET.rî.ajH .La~reve des;con6seurs~

Dno.au~ve~quë~oua~Bommës;ieare~

gnaier, est-celledës~Blâùx.estomaLO.due~ ;a"I'emplm" .dë~àu~dë.;Ja/Soui~e. ~ac~ d'lïvirin:: ~p,1~8 quë~premiérojët a.des ~ifë~ aussi lüéù=-= ~~aisaBts~po.ùr'~ë/'pas'~dire-.plus~ !(Gh~

:ecteur~l)epot:~i8,~ Fàvart:

Toute ettquet1~ortë'Ïë;nôm-dëIa; cëlèbrë'~s «-;èn rouge;~ et cëlurSu: difëctëur~ 'VérLQei'. soigoëù' 'IQ~.S~ ~J/

'L'& .~èilgreuses: v

;~M~.MM;p~!a<M.~p" tHMomë~.Jean Ijenormand, /'3by~.dn.chapitM-d'ùXt;i~t~d'~e nommer pr~

,Bà'Samteté.

C'est snr~Ia'dëmaTt~ë de; Mgr-~eiin!6Kque~Iie~)m XIII

a'accordé tette 3isUnction~;M.LënQ~ J)~MMO)~MM~ ~M.;rai)beCh'Mlës~ 'de Vitry, :.Yi<mtde/rés~ër,.po.ur~:rajsdns\dë: Ban~ fônc~-? tions .~paroissiales. Le cardinù Richard a accepte s a ~e– mussion~~ 't.~ M.'1'~tè Jàcqnef~ËOli~te~dtx~ànB. (3~No~ pretM''ëifr' /~t860~~i~t;depn]S;sept~ I'- /C~eMoM.wf~M.<M:~ de Çlét v`

jDo.nt;n'iëift d'insptuer~në'; !ximmisMO%;d~chëo~ côm-

!Bq~d&jpMtrës'~t;dë'~ajqQ~ çtiât`gce do:`sè:

;Jes~cons~ctip'ifso~T~àT~ :et:là. yjestauration ~~a~~nëuH.ës -.hù'tnRhenble~s praiionta~nt un G& ~rac~rB;~rHsUqùc.J~?~fi;

'?: ~It'inst:Stîon:dë 'cëttë~mnuEsiOB~rej~ à un

-tosom, qm~e.îait d'aiHel~~ s~ -phaque'Miocëse.Iés. cu.rMne'pon~anf tous .avoir les' con7 naissances'spëciales qui~senles, Jenr penneitraiont de tran-s '? 'cher, saBS~prendre consei!, les questions prâtiqaés eo~vent

jBi deUcates~ulinIcressentJ'~r.eUgied~ ~i"

Ke<C <~M 'Mt~MO~. Sùr~ i47jmtssionnaires

'ca.tholigues.qm-sont jnbrtsdopnis un'an-Bnr Ieitérrain;?de

leur appstQlat, .Iâ;mbiti~enYJnpn~ exa'ctemeht'69, _àpparte- naieht.~la :FranM. Uji'eniSora .plus de 'mémo dans 'qiië~- quei~annëea, quand~les CQm~es.et'conBorts auroniT~nssi à v. ;.t~rJr dans ~la'jmetropolë? les; ~puroesde~]a~ë~ Mais, en- attcndant/.JaJ~~ çâtholiqae:~ént 'ta'ajtiùts: à

l'etrangerjapiMe.d'honnenr..

Mûme proportion pour les év6qnes,'mlssiônnaires'd6cê-- ,dés.~ui'-sept~ ~.yyjBnuvàif! trois :frança.is~ NN.' SS~ Hac.quajd;des Pères 'Blancs,i&aire apostolique du Soudan; française Bte~'des missions étrangères, Ticaire-apostolique d)i.TËlbet,t~'Vàn-Camëlbë!te,~vjMura apostoliques de la

.Cochinchmeonontalë.

Ce.sonUes'JEefes das.Missions -Étrangères deJ'M'is/et-de la~Çùmpagnie de Jésus qui' sont reprèsentes.par le plus' .grand ndnLbre~ejelipcùx sur eë.gIprieù.xneorOloge..

J Motfvë~es nj~~atres;' ~i-

ZB~t~t~tMtMeMr.~L otfiçiera do resèise at de. v

mëë-tcrritoria!ë se plaignont.qu.e les nominations dans~ ~a · .Légion-d'Honneur les concernant niaient pas encore paro; alorsquëceIIes'concernàntl'ànneê'actiYe bntJ5te 'insérées dansl~~etetdu~l''docemb'r6.~

~'M~t<M~6 drapeœtMC. ~I~-colonel'Burupt, corn-.

mandant.Ië'5S'dë.]!gne,\a prononcera .'cotte 'occasion. une lie-. ~pstttë.haj~j~edontnons extrayons ce~

.~<~Jeune&'spldats.~n;~9°,- n<MS ~evons~t'nôus~youto

fairejdof'vous.de~'soldats.~otis, enfants de~Mnttère~des PyreheëSj~i:ogeois,.TQutousainSj Gascons <t;~ousa:ntrps.' qui:Yënex\X)ùtton~'dansmotroregimen~

D~aTënso~F.nedIànd;,Giudad-Rodngb~ Elearns, gravés

enlëftrès-d~Faar la spie tappèllént; p,onr. ~e ,~ass~é,< les

enJtëttrM~d~~tLr.JaEpië, iapp.eUcnt,– -Édur, -P ass, les

.principales desjtombrëuseSi~ictoires àuxquëlles.a priE part .îe o9* J~)Mph'on. Dans Jaj~ste'des,; capitame.s'de,~ mommës~àn~adë'snpêrieur.. jaous~a~ nom~du.t capitaihë-deJBDUsqnct.-du'M* dTagOns~omm&~ l'ésGa=.

dronsau'T'/calràssiers. ~L'?~

5~~0M~ <?M"?bHAt'Le generaI~GeU/ vënant'.dn Tcn-

kin~ est.:arriYc~ër~TJaMpillë.

Ept~~tMtMl ,Jba_aiminuUon I.a.mortalitë.dàns/rar-i. L i~t!~ncaise;estdeyenue une'question capitale dëla'statistiquë attes.tantl~s meiUeurës~conditions~doLl'ar-' .F

m~emandë. Tous les/Bn~arts~endent donc à n~

-rattoh~cIiëz'mQus'

A~3* cuirasslers,:à ChMtres.-i'oniploi- dn s&rum anti- fv d~htÉriqne'~ ëu~ràison'nne'êpi&ëhuë-,de''dipMer~~ qai durait depuis quelque temps. Bar contre; -Ja .Sevré ~'pnoide'vient'de :~aire. son; appati-~ ~Uoh an mëine Moment, co qui n'indiquëpas un ;I)pn-.ëtàt

~f/~anitajrelocN~ -J

Est~ quël~ppUcation~n sérum'UtypMo~ âoo- tënr 'Chantemesse.jne devait 'pa.s'~iro'Teqtuso'cn; pareil..

.cas?~ 'j' ~i

-Ls MMe:te~CA!Me.–La. médaille, yotee dèpuis~prês

d'un an en faYeardes_trQupes:quionMait~en.l9W-190î~

S~~m~o'

'T)U~JÂNVJBR~%9Q3;

"?'J~.MRT&~T~

l.'étràQgët6~d',ua& découverte, s! côm~lëte~etttjtm if'ijû'-e11e;,f.{}}içhà.i -a- p tique;

~i ~ë-~Iéh'cp',dg;cette pjèce~énagë.è~

.r. les~ruits~ aë~a.u~ 'sll-encl!3u sêene~:ro eme;:

;n'ia.'rriyaient qu'a.me/ Ïè'Tcontraste 'ëntreice'

/.q~il;tvenu cKe~ ytM'u-

yatt, fout~àyait contn~uë~a.:frappe.~ Chali

d'une, ~ortefd'~y~ ,d

.edup.parrappTOcHe~ë l'barn me'auq~eJ.Ü,sepre~.

~;?païait,~x minutes plusjiot,~

cati&n~ûtHceparIam~ e. or ~à: é

~nts, sltuëe;;en:tFe:.<ïeùxdés~jOB~s.:T;)as de; .I.aL'~bi-'

;/b][iothëque~€ssimùlait'

'venMt ;ap, ,'s'ôuYNF?~s~ëtù)t .d'uB~'tourd -.fàmt~uU

màuœu~j~'sur. desi'o~es~acnpajEiàit.râï'~ëe c[u.

malade; ~Dumont~j~~

";immobi!ë daQs',$B.Stè.ge mëcaniquë'~ que~pëussait'

"um~i~mier~ët~:qu&~

qu~. a~ti.~v~rt ~u~isit~ paralytique;

'étattun~a~me~de sotxantQ~~

'anc, et'qûi'~ày~

son~sage; ~mâ~4e:Isngiies~so~

.gardai~argës~et~<

~la.;racë.~Dc~'uiés JégèMS ;d6fôrmatioQS~ ~.lë~O!Q'

j~e~bQUC~~

~dMit'un peu~Q~ë;"jSaï~uaient~

~d~une~aAa!eJ.m~aQ'c~

'~jablë~~ëvrbse. Son~

~~mbî~<xpMiH6&~a:~tiipe~t~~t~~<~M.p~Ïà'~

;dittnbntibn<ën-pt~t~co~ën'Mr~ ié; mal&pxt~it~rn.

;e~ej~a~

.i~b.ff.a.

j~J~~SS~P~dêûrët~ anvier 1903,

.~oht-promus:3anslë coTps?des:oÏËcIersNe'mannë': < 'j

~Au;grade<[ë~pitaines de''vaisseau~ les~ M

frëgatë-Cof&nierës: i-Nordeck, B~gouy, Lepna~&ubin,

'Hauteîenmë; ?. ~r; ?~u~rade'de capitainM.de frêga<B,;?e~Rentënàn~

~ëànXënhuëI, I~&~cbis, 'Eonruier~Gôndorëà d3anon,

M~Tins.~Fa.tbû~'Yiajd. ~<

~T~y~ ~e~M ~M Mt4~ .Il y.

gudques~semainës, om,6'en~ment;~ peliét~n créé

nmJEO~ps d~aminiStrateaM.ëi~is~de~'insciTpttontmaritime.

:La.?.commission~ubùdget'4rOBvé la fantaisie ~Mp~

L3;comm>ssiqn=du. bud~t'tahrotivéla#antuste~rop coù'

~nM, .et,Gn\senlement~nu~Ios;j~mHa~saire8 del

màrmëJsnNsantamp!ëmênt pour le servi ce, ~~àis~corë~J

~er~t -mal;<aître'Ytetan ~ë,4e; u rl-=

.6'est;'în<~në. ~Bieni'?au\M)n)~re,;U~a sëles;~çhos sens '-M!at, ët;personnë.me's'en~sërait apersn'si, au'SIdeoemt'rë~ MM. Jes admintstfatenra~~ qoy.

élâlent.p~augaichët p<)ùr,lon~ appointemenis;

n'a.Y~ént'pom~ tMnvB le ~sdit.gujcitethe~ ;a;s d~rgen~'pMN'adtnimsfr&tënrs~.M~~ .t-j~MtR~de~la~oiimissï&n'a~ou~të~

6~dé&nittTe,'que~ha~ iM~Cba.mtr~~ ipjs~e~ d~spns

~Mn'du:bdd~t.~ë.la*mann6~ ~àur~t~~ ,pn: àttèndant/lM~îéressMi&uvent'a.\pîa~n~tié~~ du~plns

~UYàjs~ûJt:7Q~~y~cë:q~'le~ est àh Y e

~ptëwj~?JR&r~a:~ duzeon .tre-~rp!Henr ~i~e~e.qni~a marche' â"3;B<<~<

~essal&;ont~te~ËatiË~alsants,

'~ESisat~. 1~ ~rp~ënr'~HcrtyoM'f a-fait,' a Gttert)0ti~: des essais.'gui ont'.plëmememt réussi ;Ml)&U!ment,a.'donné une vitesse .ma:mnum -do 39 'hœuds. < ?'a&~M~Ma;MC6!neMt. –Sont msciits'~otirJ.o gradt! de .'eapttamë~'de Vaisseau, ''les .capitaines~do jMgato.tijbiT&T'd.

;I~mome.dcs MMesrSTOsse~ Le NepyeuL')ïë'OàrJord,:Festy,

'TMba.Tili, -Jacquet, :HantefenilIo, Pugibet, "Salaim.'SorpettB, Bonthet de GënnoUureS, 'Lefèvi~, Ropèrt, de ~ergrohen de ]&r~dM.'f(~ëpratte~ MartcI;'CaJloch do EcnUis, L&courtois/~oTMU,Rôuyer,Bouxin,Gervais, Clément. ~~M:e ~jj'~hp!EiL J~pa:gnej la nomination .~dc~ Tamu'al Cerverat'comme~chef d~tat-m~or de.Ja marine est cm.;pMmier pas;; vers i'ex&cution; du', programme de refe,c-

uon.des forces jia~ales espagnoles;

j~: 'ou.ve~ ~~cp7es' ~.<;

J~S'eat~cM<yai' f!M a~rïc~!i!~r~ ~e.-FraMC~. 'f L'as.~Mmblëe générale annueUedti syndicat central aura ~'Uëti le Iundi'9 mars, à neuf neuros'et demie du.matin, dans J'hÔtel de'la Société -des Agncult<:n''s~dc"T''rance~ 9, rue d'Attië-.

nes. ~i~ J~

.'Ïjes'membreS'fôndatetirs.etsonscripteurssont'seu~s.'appelés;pies Jes statuts, à fajtepârhe de M~ ''assemMée~~

pa~mte'~l!énën<aer4e~~duotion;dë'53Dy'<)quelës Cqm~

TSgnies'~e ohëmihs'de~forct~dë:; ~navigation- accordent, au Syndicat central;en.cetto circpnstancë. Co~eoMf~ ttt~~?ts<~)M! tfe ïot'te/'t'c.La Société nati.b- jialoûo"làitërië\organisë un ~on~rés'qui So tiendra à Bruxël-

Jes~au;mois~do~sëpl€mbM~)rp6hài[u ~.y.\

~Y~. m.wwwv.vwvwy

:S~ï~ys~

? P 'L'ES Ët~~JE~'ntt-~EnjDa~CRISTAiN.

~n indîvi3u'au ~visage ~rasé~jet"-yêtu'd'ùnë;~lo~gu~

redingote:; noire!' un ~peii ~sé&~j~~pj'.esentatt.i~dcpms .huitaine ~e jours,chez~.lesîFcommerçan~ ét les prôpriétai~es~u ~daMiter' S~uit-Roeh~ëtt sollieitait~'dcs~étrennBS. 'Je ëuis le sacristain de. la paToisse/ disait-il, ~De

.m'oubliez pas.

La ~plup&rt'des personnes Chez lesquelles l'escroc. ~e.presehta.itLH'osaient"lui'j'ëfQserle!ir obole. Elles lui 'glissaient parfois des~pièces blanches. Alors'le pseudo-, sacristain, tirait d'un pahier une briocHe dont il cou-' pait.'un morceau qQ'JLr~olfrait en. gu~ iémerëie=' ment'àa.es genorëu~'bienfaiteurs.~ Get,ingënieux eseroc'a.fait,.de cette .fa~bn,:UB-'grand:

nombre do dupeai'.IlaTneme~ousse~'aùdace'ju~ a'

Bollfciter la. générosité* d'un commissaiM de yiolice ~do, l'arrondissemeht.~IA magistrat; etM A son:' retour,: il a fait prendre ides renseignements a j'eglise' Saiht-Ropli'~et~a-Japjpris~ce.dônt'il se -.dôutait~un v

peu –qnefle solliciteur ~éjta~7. qu'un'escroc~-n~st

activement'recherche, j~ °,, i\

~~L_t~rm.:SUR~RIS;

-M. GuillaumeT.oùrnië!&gé de cmquantë-dguxTtn~

inaj'chand.de.gr'ains et îourragës, 143, rue de iSrimeé, =

cqnstatait/~depuisguelqu.es~ours~/guë .des 'ycis~im;p"ortantë;'de~ Me'et !d~V(~në étaient commis da~ magasin .sépare par un mur de deux-m.ë~ .'$o haù ` tëur du: quai de halagë'dù canal de là. 'Villëttë.' ~11 jit~ une enquêtent etablihunesuryeiUance. m celle-ci n'amena aucun~TesuItat Chaque fMs' que le com~mercant-:placait un de.ses employas dans'iema.gasin,:le voleur ~aLstenait de s'y.rendrë,; 'M. Toùrnier. résolut alp.rsd'ayqir recours a. un 'stra- .tagëme ;pbur ,'découvrir ~ë~.yoleur. .11 plaça dàns'iës v deux.<-immehseSi;cbE'resJ~ervan~ ai'M etle"Me,,sg,s;deux,cMens~e'gardë~Bqulot~ë~ Pyrame; pmâil~se.bIûitit~aBs'un~~a~deLottM~ îoïn" resolü:

'ày~passër~Ja~uit' J~j'

~~ers~rtatre~heutes du.maUn/.des à fn i

rîeux.'se.nrent entendre, ~suivis de'crls~d&. douleur. 'M.

T6ùrMer?sb~it;aosa~aChëttë;et'Tse~ôuYa'en~

d'uh~de ses ;'a.nciens;employes nomnie~ Michel ~er-, coin, agê'de ''trentè~dëux~ ans, demeurant 39., rue de. Nantes,ui cherchait .a. prendrB,la~fuiie en escaladant le,UT,<:f: K/ 'f'J~e~Tàalfaiteu.q~ eu lë'~lantalon;,presqne

complètement arrache par';lës deux, môlosëes,~

conduit.dans~ un costume/pëu réjouissant an poste; de la ruo Tan gër,' d'où ~î. Ducrocq, commissaire de

pôlice; :1'a~iàït ;kcroüëi au Depô~:

police, Ta'fàit ..ëcrouer au Bëp'ôt.

:S~.D~ DB 7iESSBNCE '5tme ~Fauverte~ ;ageo ~deirentë-deux :ans, ;ouvrière brodeuse, :<Iëmëui'ant'J.i,ueRougemont, avait j)lace h~cr matin sur un 'fourneau à petrol&une .'petite casserole dans laquelle elle faisait fondre de la cire;et de.l'essence de~érebenthine, afin de produire de rencàustiqùë., -Squdain,~e fourneau nt -explosion. La casserole se renversa et Mme F.auvertex,. eclàhoussee par 6pn/ contenu,qut-s*iBtait~nQâmme,.futb~ enyeloppeër' dans une ~rbe de feu. ~le.youint "jeter .son-tablier sûr le fourneau, ,mais elle; ne Teussit qu'à se brûler grièvement au visage, aux mains et à la poitrine. ';On'accpuFut;& ses ,cris'et on parTint a l'envelopper dans'Tine couverture, jtuis on la conduisit dans une pharmacie d'où, apl'es~-avou~ reçu les soins les plus urgents, elle a~cté transportée .a. l'hôpital Lariboisiere. Son-etat'est.dÉËespere. .EXPLOSION DE GA~ PL. P~r.suite .d'une nssu.pe dans .canalisation :du.gaz, ùnë''ëxplôsion s'est-jt'rodnite, hier ~Mr,.ver~ 'six bë~~ t'es~'au~coptact.d'une lumiërë,.chéz~ 5, pas,

sâge~aulnièr.

~Ijës.'vitres-de 1~ devan'tùre.etles portesiInterieUreB:. .du magasiû'/ontvple;en'éclats, mais tout; s'est borjiej bëujeusëmënladësdëgâtstnatêrië~s.

J' 'OOLIJSIp~/D~ TRèItiSVATS e-

.JLe tramway 597 de la lignë/Pbrjte~ d'Iv.ry-les~HaHe~ a;tampohne, .hier-sotr,' vers sept '.h'eùi'ës.et dëmio.~e tramway elëctrique.~9 de la ligne Jvry-Concbi'de,' au:; croisement des~deux"voies, à-1'entreë du pont Samt- Michei.~i. ~r' "r. ~Quatre 'voyageura.. de;cë ..dernier 'véhicule ont.ete

blëssë&'lêgcremënt~tu-yis~e'~et~aux mains parades.;

éelats~e: verre. Ils' ont ~continue leur chemin sans i yQnloirJMCëvoir aucuns soins. Le ~ram~~y ~7, fortement endomma'gej.a être remorque jusqu'ia~soai:dëp8t. i -–TJn:ëa'fant de~.s~t~ns, le .jeune Lo'uls Pell.egri,,

à<t6''tamppnnëet rënyerse~pâr. le tramway 48 ~e;'la'

ligne~vry-~âtelet; au~oitient:6u~l1ravcrsa la~ne=

Monge. Le\pauvre'pBtit~qui a. eu le bras[drôit,e&rasë, a 'Bto. :v transporte :a.~i.'}iopitaT~ des Enfants~ala'ies, par les r' sbins de M; 'MGnlillier,'eommissairede~Q~cë:

~pouvait pLusbougerirëposàitjnert~sursajam~~

ti3,riâis: plus- e sa'. màin g aiïclic:ilv'ction a âit üü=::

taridis.jque: de~sa' niain gauclic~l~ctioQnait,lm~

'mêm~~në.poigQëede; cuiyre/àt~cbéc. au~~ ~eui~ et~u~ ëQ~as~ la.direction.Sa~toSette ° '.mîëux~ quë';ppopre,p.~squ~ .rechér!cla`éè; tra hissajt~ ]à/,mmutië~'dë ~ces~ ~érsi~nnels, ~,si rares 'chE~~cës condâm~s~Tnbrt~.ét q~ ~sont~'u~ë ~ërQi'ëre et ~;pa.Ïh6Hqu€~ pretestalipn~ ~ôhtre~leur:;dëcMaBce. d~s yéux, si

'remàTQuablë~aTis~'cès'IpB~ ~gofiés, 46-'

non~lt~Ià:~utt~désespërëë~ ë,. l'en~~gt~~ni-~ ;ma.!e'. e cûntreSja~liQ~toute e voisine; Jls~n~p.H-, :ma,ient, cies yeux~r!ila.ii~;ëtTtrÈs noirs, "tandjs ~que'les:rouës,'du~u{BUYt~issaieiit vers !ap~ :àupuo~rsssëùUmentdëJ~mpr€ssioh~ âHait~ ~app~aître.tp~tàrheure~~â~ aloütEr; et G~~i'~pUcatioh' 'de ta' fâcnitë ,y~

lëA'i'siteur ay~jLt~lë i.egu, que', ']ors\dê/:sa.~der- niere ~lëiteTuë~c~eaë~ce -funes)~ Mn3i~ fde ÏNtaligny' aYait~a~êj. au :màiade;d n

:G~an~qui~aT~itdejS~ës~~tù~

7'itëme s~cJe~L~chat; quelqüé capa-

'Ële.depreQdï'ë'pIace' ~ur~Tte~dë~ ses~i.bUôthë-

quës:'ëu~aans~~g~Qde~itrm~ at~ ~'ond

gaiëlrjë~tait~Më.joie~'dë~l~ 3'i~l~rné T3ltye ces

ma.ieiitend~s~q~ë&hnënt~dë ~Ï~îâ~Uiê ;'ët~ ~sont sa!ns';d0!ute~une'dës~ form~ de 7a ~aYàit youTu.qu'a~a~ëcëpHoji dëiacartëSe~a~ëli-"

':ëBëj.coI!ëctipBnenr/ de~lâ~: dem~

tpBa~sse~gu'Bn&'iui.~aY~ iaite::d21m

~cël~mme.~ùand.sQnifautedH rou~aut~

seuU~q~irapër~ut~aù~Mëùt d bboéâhtèur at·

têt! du, .!& ~lheuette;de"N Chatigny~ sa. `-

~~na.tn ~Yautë~js~~ispa~ur~ë b~ ~'d~n. inouvem~t~pr~squJ~ehYLU~sih .b~ ste '~së~rëdMssa~~ëB~ m ~nsit&êxtraBi~màu'&D)p9sa-ses.âra

~.CK~~E~ppa~e?~chë~~ z31

f~it?âux~ëùx~ër~iiëurs~i"lë?e~ n.;

~z~M~te~të~ë~cam&e~

~'<~ux~&'arrê~ent~e~ t~'ss~z d~

~ëmps?pour'-que~~ ~m~pbVe lûi=mê~e

'~ëCëùrpN~dë~.atLt~œ~ apparyon,

~~t'dëux'~ôsses'~arm~ ces prunelles

a i S

s

~~ŒeË~ers:sixÎ!euM6~Q~oir;~ d'~arie

!~raTp~u9.a~ête~comm~ pley ~entre d'~ge,n~

~teui~~ch~z~A, GoU~cul~Yatear~âe~

~rne'd~~uches~ `:

.~jReJcuttiyatenr habite'&yec~ ièmme nn p,e,tiC~

~yi~)D; dont .l'~ne des chamb~es~' située sûr la.~ë~Jie

~se~=~e'.de:~hambrsa~ucË'er;~

:$es càmbriblëiu-s,devaiënt~û'e '.au~cour~nt'du'fait,

:ca~estpar~a/.en se.:fais~t~a cnurteec&~ qü'ils

'~se.~oht introduits,dans la~aison/

~Tar.ne<;omcidënce~~bizaj~ni 3é. culti~ât2ür.-ni ~esyoisins::Be yjrent'Ie:~ dés;troos.homniés: '~ux-M~empar~rent-de~]ou:x.en~6r~bracelets7s~ ;i6ij-~et .-broches plus ~deux billets' de mille" francs ~gur.sotrquyaiënt dansl'àjmoiTéa~lac'e. ':(-Plauitea,été portée pâr~ Collas, qui estime -gué e

ievâl:commis.cliez lm s'é'lê'.ve,â lüs de `C>n "m~lè

le*vol:cominis chez luU'éleyë' plus de~ cinq mille

~ffancs..f. -.<

"j!L Jj'JNSTRDCTION

~c~me .~a~a~Kt-~NM. –M. Larchër~uge ~iDstruction,'chaT~-pàrJe parque /dëTlojimbnd GaTiy~assassiBprM

Jouannpt, ~ieDt-de "commettre; Je:' doctpun'.fSocguet~ médecin jegiBtë, pour ~roMder.i'autopsie~d~ '~ë.e'la'vië'ëmë. ~J~~

';[';Fiorimon~(jarj~ a subuïer, nn .vïtérropa~' ïre'~e

()171im-e -TY;ASU i- .,S'

~~6rme;B~~6uryu.d~nnaTocat~ )<l'flfficé

h%S~St~

Les~.doc~èrs,it~ 'h~

.MABSEiLLt:. -–Ijë~prefët vient de TeceToir. commn-

ïticàtion d'une "'lettre àdrëssée'~u ~'président,.de la .chambre.de'commerce p~r J\I. Manot~ëeretaire generaldes'.doe'kèrs.

~Geux-ci-seplaignènt'd'infractions~regaent.es~de la

pa~t. 'des entrepreneurs,- aux aMords~tipules dans la fameuse a~ûçhe.Tougë (contrat qui mit ~in'a~a.~ grève

~dës~ocI:ei~ën.'iS!0d).' ~s;<!ÔntrcmàttKs émbâüéhe-

raieNt de préférence lës~ouyriers qui .se co.ntêntën.t

.d'un salaire inférieur au tarif de C francs' par-jour,

mulueUement~consenti.En outre, la pMportibn~~

~yriers~étràngërs embauchés' dépasserait journelle-

~mën~80;0/0.

:Si les entrepreneurs persistent dans ''cette yotej lés

.dockers seraieut.decides à déserter lës'chantiers,'m

ils demandent préalablement que le préfet ordonne

une enqù6të,a&n d'établir, d'orés et dëjà, ~ës respon-

;Babi~~s~d'unL~onÏlit'eyëntuel.' K'i:'

\< ~aol~Bartel,

Ïj.'admjnistj'at~on Qe.a;~ yent d'oüvrïi!. ~un~oncpurs! pouE~a~re~Hërc~ irodüit ?pou~ant~supp!&et"; le.-pai rr de~ueg"e dans; !ë~ .yi-, ;~ps*~d,u/~sac~.u. ;"d6butd L'fâéë: ~est pas malaise, 'et si !e ;cô~cours 'donne. ~qljelque résultat, pratique;' QnTt'aùra perdu tti ~tëmps,nipeihe. .La question; de, ralimeniàtion des primordtale. G'es.t fort bien 'd'avoir un fusH excëIlRntët1emeU!ëur canon qui soit au monde.; c'estj'ort bien aussi d'avoir des :en'ectifs considërab!es a mettre en-ligne, mais à quoi tout cela servira-t-il si l'ouvrier, entre 'les mains duquel on. mettra'.ces outils ,perfectiono.6s,,ne peut.Jp.ar .Jaiblesse, s'en'.servir:? J~ '"Bepuis-quelemondeexiste, lëprelûier~ de: ~toutef victoire 'a toujours été. l'ënerg~e des

troupes., Pojjr ~quc~Thdmméfait cette 'éuërgierin~

disgënsablé; il~aùt que ~lè" corps soit sbiide, et' pDur-que le~coFps soit solide, ;;il?Ta.ut le hôurrir~ « Quand le .soldat mange, il marche, disait -Napelëon, tomme qui se connaissa.it en la ma-

:ti~re. ~i~

,D.onc, pTus~on'ap.porterâ'd'àmcIiorâ~ .JeTë~ime alimentaire 'des~'troupes,' plus o lés 'Tendra aptes ~a Prendre 'les~seryjGes'~ .atten'd et pour lesquelles~ eues sont taitës. '? H Taut avouer que, sous ce rappbrt.nous sommes plutôt dans-un \éta.t d'inMriontë.j'y.is-à-vjs d'autres puissances milita.ires;.biën.plus,.on fàisaKb'e~n mieux,"chez npus,;autrefpis,en -pleine

'moha~cHie autocratique, aune époque' qu'il.' est

lie~ôrt'-ton~ujourd'hm dë~rBprése~ la,

Vûrit~Mstoriqueen-~grandemeht-:souSn~ ;sous

~es~'c6ul~~rs les -plus pitoyâNesS. .'J'~i'soù& les yeux Ttn,d~8eumen~ti'ëscur~ C'est ùne~rdônhancë -Tendue ~par ;Lo.ui$ xy le '13,]ûinet'd7~il~y a~rGs'de.dë~~ slëcles– .~utSx~.d~UB6maniërje:nssez~uggesti,Ye..les,.ra--

.tions-de la troupe..

~D'âpres cette ordonnance, le fantassin, doi~ 'toucher i4'bhcQS (750 grah'imes).de pain de:~m nitioh, i livr.e (50p~grammos)'dëvian(Ie, i-.pin~~

(près d'un'litrë),de vin ou i pot ~un Ûtre .ëjË 'demi)'.

~de biëreoucidre.; <i .~Poùr.Ie .cavalier: 36 onces ;(i-,350 grammes~ de pain,.2~ivres de viande, i pintë~et~dëmie de: -vin ou<i pot et demi'.de bière ou .cidre ,J

Pour~e dragon: :;34;pnces (750 gram'mesJ~Qe~

pajn,;i. livre et demie de viàTUle, i' pintc-ae vm:. ou-i pot de b'iërë;.ou,cidre:; ".Pour le gëndarmé~pù grenadier à .cheyal~' :v .deux livres et: demie de pam. deux~/livres' de ~viande,-deûx pintes de vin :oudeux.pots de biërë~

~du\cidrë.

On voitque-les rations de l'époque sont plutôt' .satisfaisantes, ëtrpn constate, non sans quelque surprise, que le.soldàt\estbeaucoup~fQoins-bieh traite aujdu~d~ui,quoique depuis prës de deux siëclës le régime général de la: h'ation se sbit .fort am6Uor6..Cë qurcaractërise encore l'ordonnance .de 1737 c'est qu'elle prescrit des rations différentes suivant les armes, c'est-à-dire suivant la tailledes.hommes et la somme de travail

qu'iJ.&.sont àppelés.a fournir.

Toui-ccla est jbrt. sage, et jl nous.'sëmble que, sur ce~chap;itre,\Ie -nlinistre. de,=jjduis XV pourrait rendre quelques ,p.QintsTasoQ~act~ succes-- ~seur.: :j'

Lés'armees:éti'arigèieës ne sorit,pas~si. mal'

;LesarmeesL.étrangères ne~sont. pas-si~mal

n.ourriësque.i'lB -veulent bien ;dirë des légendes~ .d'aùtaTitplusfausses qu'ellessontplùs'aneiennës.~ Jadis,on,'ch~tàitqu'B.u.seryIcë de rÀutrtcTte,.Ie. militaire-n'est;-pas~ i assûrément, le. tr.ës~ brave soldat~: que'hos troupiers ont~yu a rœuvre en 1859, n~est pas plus millipnnairé qu'il .ne 1*6.tait~aùtrefojs, .inais-son ahmentati on est boRne et "sufHsantSt~ ~De meme'ën~Se.Igtque, ou Ja poming de terre çonstituë'làbase:(ê.~MMeHe de la~j'iournturedu' soldat ];. en Italie~ ou-Iës~ rations sont; g peu: prës ~gmyaIentesa~celÏes-de.Fr<incë,.et.6u inentj on cou somme beaucoup :J ~de pâtes en; Su~âe~oÙJa morue, entre .p~ part~ t. dàn's.T'.alimentation. EnÂllema~e, les temps :sqnt bien .cuangés.

depuis;.Tepoque~où.~on~puya~ le ~fâ-

meux~proy~rbe;I.te 3i du:mjois, misère 'en Prùsse~~ Le soldât allemând~~quqr .qu'on. ea

dise, estplutôt~gaté. Le systÈme'd'a.limeutation

Hxes 'et Touler, sur \ces joues, mdéeset~ ses./Pui%, ;de;~avoix;toujoui's~r~ lg:vieil==

ia.rd ge.mit~c Rentrez,mais pentrez~. don6~

'rentrez. D',ËaQgoisse: de son ~CGent et jde.tqut, ~bn~yisagë,:epouyan1ta. sans. dôufe te& ,domes- tLques, habituës.~ces-prodrom.es~~ '~àâpgë:= ~eusti .crise. 'Hs~se 'hâtërëqt de 'tirer -Je 'fautemi~ enarriëre ètdë ~ë~ pories Clia~ign~

n'était ~as en:CDpe';remis' du' .frisson que~ui~

a~aitdônQë'Gette~'SGM~âu~si-.terrine ;qu~

~it ~'6t6~courtp, qTiâïid~:ijn ~'de~ servjteu~s,

celui-là'm~e\qui'Tavait-~ mteôdûit,epàrut;°,

trembIaQtttc'tôùt .son corps ~tlit~ra.leïBent àt-

~iê. .i r

Monsieur :.a ;.unë attaque M, ,r6ponpiMl, a~ l'interruption jduw~siteur~~ct~n'-y.a. a la maison quë'rmnrm.ter et mei. '–« QueHe 1 e est- radresse~e.son inédecin ?

mterrompit'C~angny, K je'm lé.

prevenir. << Ail r monsieur r~ditThom & je n'osais~ t

pas.yôus:le~emànder~Mais;~të';yite.

ëtHenu;~You&~e:t~ lui. est

monsieur l~dqcl~ùr~alyan.irËabiie~ boule-

Y&rdSaintr~rmam~D

~f' ;S~

~ËMGtŒ~

;De3aruei.acëpëdeàJa~ma~ dë~ l'èxti~müé `.

sud de TinlprmiQàM6'oû!eyardSain~ >1 oùjë'célëbre spécia~ste en, mata.d.ies -neM'euses `. ~~ïpg6;?ourrésj~r~ de Ia, JSalpé-

tri8re,~5on~opita.Ia distance .n'est pas~gr~ B.urant;Ie.dem.i-quàrt;'d~ què-;Chalagny,'init a'Jafi:anchn~h~sâ~p~ de rh,isô~ner.suï' lâ: smt&~e:{a;pour~u~solum~ ri i~compréli''en s~lës.~ui~e~aisn't ~de"s~rodu..u?e. 'Dans 1~ ~Gu~ fëvë~ë~ë~de~'n~sa~~ ia

guellé;d!~ëh~td&s~eurtëëd'ù~~ pres-:`

que~o!a&te~n,point~de'l~ â,pp~raissaittrès':

au~oinl~e~sa~e'.dupa~lyHque, sur~ dévant:

lui'&u;Bëuu"de?cett~ étr'ângere;-gû ~1';

aY~t trpuyé, a'vëc;'sti~ :pértr~its sa

;~e~~upeê~â~z'~ompR~ë'BR~~ ;.vantjes'garntsojas~mais.-par~ ëst ftirt`bién' ?<;8'mprjs. ~~En pnucjpje,;lë~~ dyér ~midi,- mais, ~n-rëaUt~ -repas:. r~ ;jguliërspapjour un-petit~e ,~é: café; ~noi r ou cafélaù lait, s ai vaut les. localités a jntdi, '~pas:de~8nd~e:soir,"d'aprës les~économies~~d ~.journêe.sBt le ~boni,; dernier 'repas, ~plus. léger' ~ùe le précédent, mais fort ;cbnK€nable- encore~:

~Sur 'ce ~lapitM,~ la .M~a~ <;oNï?7ïMHpM,

commission :iJes ordinaires ~es,~ ~~solumen~ItbM;~pourvu<[ué les prescriptions~ ~latiYesau.pbids des victuanUëset à la dépense .~Bient striëtemënt observéës~ëue peut fatre ce ~~ui luijp~ait~ acheter. Jes denrées bon~lui ;sem-

~ble ëtyarier a spn.jgré t'aumëntation.

~;Dans.<;haque;eorps il n~y à ( pas longtemps encore, et il~oitr en être de~ même aujourd'hui

des. menus sont/~taNis''chaque semaine.'J'aT.'

;punoter~uelques-uhs. de ces meims; ils sont

r'purieux~ ~r. v

~MayMce/par/Bx~mpIë,Ie matin, c noir;

'midi,~iaQde.avec.aeuxlegum,ës~.Je- soïr;aau-'

~sBûn~etjtCafé:'X Dresde, caf~ noil·rle alatin;: ~an3ëet~egùmës;a~miûi,~oupe;QU~~ spir.-A~arlsru~ë,est3meaxenco matiü:, 'cafe~ioir ;;a miai, pOtagé, Ytande~et légumes~ 1e'

soir~CEff 6 &u 'saucisson;

Jlfaut~Mire que:cer~gime adu"~ cac .lé soldat a~eiDahd; est/solide et vigoureux, Let la prosortioa~des malades chez nos yoisms~del'JEst ..estmoins~fortequecheznous. La question de ralimentàtion des troupes, on Ie.v<3!t, ~préoccupe toutes les nations militaires et part.out on cherche à la rësoudre, au mieux tous les intérêts. En temps~te guerre, cette question deviendra, sinon Ja plus importante, du .moins rune'decellës~uipréoccùperon le plus .le haut commandement. ~1 est sage, il est indispensable qu't)h\a'en inquiète des-le temps de

~.paix.'

Lucien.Nicot LES pEC8RaT!0~1~ JAN~~£R GRANDE CHANCELLERIE;- .L.

'.0/)!cie~

:M: Morha~n, soTis-intendaTit militaire de 1~ classe 1

.enj.etraiie. ;f

'C~cua~M~.

-M.Bernnger, .adjudant ~de gendarmerie en.~j'ë-

.~traite.

.M. Blondeau, capitame hbnqi~ire à la compagnie -des sapeurs-pompiers de Rennes, (A assiste 2~4'is-.

diés.et.ix.eté:4~fois: iiè emeht bleseé=

t;Gendi.os:et-a..cte 4-fois.gHevement Mesaei)

M.'Bdr~ :retraitë. M. ~Havl.d, artiste .peintre,' directeur du. dessm aux

,maisons .de ~a Légion ~d'honneur d'J~ouen~et' de

;bges. der> r'M. Delinon, avoué près le tribunal de là. Sëmë, ayoue~dc la grande chanoelIcTie. M.Et'sa~.ofûcierd~admimstratiôneQ:retraite. M. Fauvel~.proviseur en retraite.

M.Gogu.eIat.ëontrôleur d'armes en retraite. M..Gueden, directeur des' cohti'Lbutions directes en retraite. M.IEllioh, premier maître de manœuvre en retraite. M. Këryalla, premier maître canonniërdelamarine en reh'àite. 'M. Làtreille, conseiller honoraire à la cour d'appel '~de Toulouse.. M. Rëulet, inspecteur, de l'enregistrement en re.tra.ite. M. Rbl)ërt~ chef de gare delà Compàghied'Orléans 'en retraite~ M. Serot, capitaine de cavalerie en retraite.~

f M Wfîfl ??? ft~C 'P'6 Î8 !?M A ~V

~EMQN~ Q..ij;D'ES ,'TR'IBUNAUX'

EPILOGUE DES\A~A~RESDEJBRETA~ Le comtedeLa Moussay.e,dontonn'a pas-ou:'blie le rôle si dôyoué lors des dcrmers ëy6ne'.ments de Bretagne, est cité le 23 devanfle tribunal cbrrëctionner de Brest, a rais.on d'un prëtûndu d61it de voies de-fait envers les-agents de ;Tautorit6;que; Ie'.mihistëre"piïNic :n'a pas mîs ~.mbins de'trois mois à releyer.contre'lui.. <>' Le\'(H~tede)LaMdussàyeést avocat & la cour ',jd~appel.<le~.R<3n[ies. Il~est.Iê: Ïils.du génerarde .~La-l!onss~'e;'tel,de: la marqmge) In~e ~éran. r~l~est T'le petit-nis, du marquis de Moussaye, ~qui fut ministre plënipotentiaire,- député' de Bre-tagnë et 'cpair de Fran'cé. Sa grand'mëre, née 'La.Ro.chefoucauld,, était ~'a nièce du. cardinal de ~La'B.oGbefoucàuld, .ar&hevcque:' de Rouen. Son ~'grandTon'clë'.futtué a ~abâtaHIe de Quiberon. II.n'en fallait pas tant pour attirer sur l'inculpé de demain les foudres'de la justice du l)lpc.'L ;.J' 3 'l;'est.juste d'ajouter, cependant, que les juges Brest, ont" 'déjà su .faire preuye d'indépën-~~dance'et'd'équité; p e, ye d ~L'ASSASSINÂT DU~MA.RQUIS.DE~ORÊS Le lieutenant-colonel eh retraite Rebillet, àn~cieh'attaché à. la résidence de France en Tunisië;sviënt d'assigner M. Jules Delahàye en cent .mille francs de dommaRes:et intérêts devant le Mbunal de Moulins, il reproche à M. Delabaye 'de .l'avojr~ dans une: plainte adressée" au procu reur"cte !a république S'AIger, /dér)oncé calomhieùsemënt comme ava:nt joué un rôle odieux Sans l'assassinat du marquis de Mores. M. Delâhayë aurait, paraît-il, l'intention d'appeler en cause à cg.proces Mme la marquise de ~or6s, car ce serait en qualité de mandataire de 'cette dernière qu'il aurait déposé la.plainte ea .question.

~TÀILLITE DE:'L'« ESPÉRANCE~' v' ~Le directeur de. la~Compagnie d~assurances 'r«< Espérance, qui ~s'était réfugie a.~Londres, à 4;cpmparu hier devante le tribunal de Bow Street. qLe- gouvernement français demandait son extradition pour: esëroquerie et abus de confiance; ~.n déucit de ciaq millions ayant, été constaté ~dans~es~comptesjde la Compagnie. M. Charles .~Mathews se présentait pour l'accusé et M..j~stcul représentait legouvernement ~français. Une partie des dépositions n'ayant pas été Mçue~l'auaife~adû être remise."

M..Mathéws a ~demandé 'avec msistànce que 'Taccuse spiimisen.hbërté sous caution. M.'A's,touls'yestLoppos~eta:dttque,depuis son ar~resiàtion, on- a trouvé ~sur lui des lettres de ses ~avocats lui: indiquant, les pays ou il aurait le moins de chances d'être.extradé, Le juge a rëfnsé là~demandedemiso en li-

berté, sous caution.

~NEAEFAmEDE~.RAOU~

L'ami de :notre.ineS'abIeminist!'e.dë!a mariné s'étaitadressé, U y a quelqùesmois;'à~t. &êo~

mère, lëssiehs, ceux de safemme-etdë'sës enfants, il se rappelait maintenant. J'avoir déjà. rencontré.Mais quand ~ais ou ?~Il revoyait,: .dansées plus obs'cures profondeurs de ses sou-' ° vënirs.une physionomie d'homme jeune encore, sur~aquelle ce masque~dë yiëiHard et de mori-, /bondysë juxtaposait. C'était une de ~ces remi- -nissëBces si loihtàines~si 'noyées~d'incertitudë, ~-que la-réalité s'y confond avec-lerêve. « M. ~umont?. M~umont?. Ohàlig-ny se'répétatt. cê~'pom~mentalenleat. ir n'arrivait pas a rassôcierLa.uxjm~ésstYagùes'et ppurtant discernables, déjà qui se renluaient 'dans:~a mémoire. Dës~a.mteauxdë .scènes~'est6jnp'aîent.,daQS- les 'porHons.;a.d~mi-inconscienies~de

,gencë~èt, à-tcutps.c~SjScënes~~ nièrevét3e ma~i

"de sa m'ë're, -celui qu'il aYait toujours cru, qu'il 'croyait toujours son père, –"étaient inelés. Mais comment ~'appelait:; a3ors,cë~ personnage~'qui. avait~ien les grands'traits nobles, les yeux prô- Ë)nds dinnalade,?. Et ycicr que 'des svHabIës ;i~ndisMnëtës commençaient de se prdnoncer.eh~lui .toutes seules «~fa~~M~e ~ane~t~ l~y~c~?~<?~?.En-même; temps,r quel :mys- ~épi eux ir.a'van de son espnt angoissé ? tl revoyait le Jegard'dë son përë.du~éfunt marquis Me.CUialigny: don~t~il ë.ondüit-ie` dëu;l, · il,y -vait longtemps Qëja'A. quel pr&pos: s'en souve- ~ait-ilj. et pourquoi, éprouvait~! i;~ -âpres des,années,, rindéSnissa.blehiiaIaise qu'il '.avaittôujoui'sTessenUën~présencëjdeceth ~auquel il -n'avait pourtant jamais eu rien ~a re: 'prochêr, sinon ~pëut-êltrë une préférence pour, ,~ôn-~ frère amé ? Mais~tous ;deux, ce. frëre et'Iui., ~aYaiënt-iIspàs~.éIëyésdeiii~ Ics'-Përë5'au;même~ dàn:s jes m~mës ~ndi-; .tiens;.? .~us';doute~~i:çé.fr~ n'étaii .pas moit_.

::un;.peu~dë~ë]mps~vanneu~p~ u aürait étë

~ti~&eaMntayanta~ · rGumëa~r.ëtrouy~pa~~ du ~narqys~ ~r&uvait~iëHiqu'a~~oMl~ fa-~ ~Bur'~Bson/a~né~de-iou~~ lesvlois: ~u! Jaissâtënt~à;'Iiberte.'MaisNdrbërt<bnnM = '~p~ês~déesdudëfuntig

:>" "r 'r- -:IY .t.o. ~Goo:4"~ .¡.¡¡

jLange ;'pt .Louts :pjep~ constituer. uSd~so-

ctéi&destméeàI'ëxp~dKatJÔnd'ùn~ôtêQr~esÔn

'iBvënt~oB.' .f

Après.. :une'sérië~d'Bntreyués~~ étâit

.parti; un .beau jour pour:'Londres, puis pour

-'Berlin–pu, corsait, .il a.dë beUës rëIatiDns;– ~'etjd'ou il annonçadesr.enseignementsconcluants et ~ës.r.àpports superbes. qu'il: n'enyoya"jà~mais. ~MM; Géo Lange et Ferrée avaient, de leur :~oté;commencé,'dës démarches' ann "de faire adopter le iiqùveaù.môteur par le ministère de la marine, à~'époque, relativement heureuse pour .'notre pays,~u il c'était pas régi par M. `

PelleJ~n,et/pù". bn~était" obligé .de~s'adressera

d'autres qu'à~ M. Pictët pour eo faire ouyririés

'portes.

PuisM. PictetpIongea~dansTbubU. 'J Hn~se,manifesta plus à ses associés ~jue pour

leur réclamer~unë s6mme'de~.2o,~00 fr~iics~re-

.-présentant sa part. dans.'Ia.,soc{et~ en formation.

P ,P -sociét& en formation.

C'est cette demande que soutenait, hier, M'Paul Mord devant la quatrième chambre delà cour,

présideepar~. Potier,

"M" Aùbépin, au'nom de MM. Lange et-Perrée, a-répliquéquë,"sil'a{îàire ne s'était pas 'faite~Ia faute'ën rempntai~a. M.~Pictet, quru'àvàit point tehu'~es 'ehgagëHrents la~~our '-s'est rangée à l'avis' de l'éloquent avocat elle à déclarô .le ~traité.Msilié, .aux torts.de l'ami de M. PeHetan, et ra' en outre condamné a. i,500 francs de dommages-intérêts envers ses adversaires.. PanIOlagnier

QnanBonceIamortde Mme Marie-Adèle Lamy, 'veuve d~'StI.BertheIm-, conseiller à la. cour de cassatioB.~

Les ohseques auront lieu majdi. 6 courant, a midi très précis, en TëgllBe de la Madeleine, sa paroisse~ Lion-Fleurs ënyoie dans les eh&tëaux, villas, etc., 'de superlies corbeiHesdënancaiIles depuis ~Q'francs. Fleurs alongues tiges, pour'îetës et.-présents~'de''p.ms 10 francs. Expeditionsfranco à domicile. 7 -0- Matinées d'aujourd'hui: t.. .Comedie-Francause, 1 h: 1/3. Les.et?ttKe<. Mpa:tt<M et

.-Iej!fa!adetHia~(!tre.

'ÔpeM-Comique,ni.l/3.C'ftrm~)t.

Gymnase,~ h.Jd:~o~ .fderniëre'repl'esentatton). OdÉon, 1 li. ~/2: VaudeviUe, 1 ~h.374;"N6ùvea.Tites, 1 h. 8/4 Variétés, 1 h. 1/3; Renaissance:, 3 h.; Sarab-Bem-'bardt, 2 h.; Palais-Royal, 3 h.; Pbrte-Saint-Martm, 1 h. 1/3; -Gaîte, 2 h.; AmMgu, 3 h.; -AtMnee, & b?; Folies-Dramati- ques, 3 h.; ihèatce Amtoine, 3 h.; T'rianoh, S h.; Chmy. 3 h.; ChaLt&lét, 3 ]).; D~azet, 2 h.; .ChMëàu-d'Eaû, 1 h.'l/3: mêmes spectacles qiie le jsoir.. Conservatoi]-~ 3 h. 6' concert de la. Société. Programme.: Symphonie, en fe minetir, n" 4 (Schumarm). S!eF/Tr:e~-7~y~ ;(Wagner). Or~orto de ~oe! (SaintSaëhs), soli: Mmes Leclerc, Marty, Camber, MM.. Cazeneu.veetDarau.x.–Ouverture de .Mo7we,n° 3 (Beetho-

ven)..

NouTaau-Theâtre, 3 h. 11< concert L&mourenx. Programme jSy)Kpho?:M ?tM<ot'a!e (BaethoYeD).– La .Ba~n~e~e~fMM~jLisxt)~–Concerto "pour vioJon (BeethoTen), par M. Henri Marteau~Eragments symphoniques de Afa)!/?'~ (Schuma!Ui).–Ouvertujo duCaMMfs! t'o-

motM (Berlioz).

Folies-Bergère, 3 h. 1/3; Nouveau-CimM, 3 h. 1/3; ,Girqtied'Hi?er.3h.l/3; Scala.Sh.; TheMre d'Art International, 3 h.: Eldorado, 3 h.: Olympia, 2 h.; Parisiana, 3 II.: Ea Cigale, 2 h.; Cirque Medr&no, S h. 1/3; Mathurins, 2 3 h. 1/3.Spectacles divers.

Spectacles de la semaine:

À l'Opéra lundi, ~oAëK~tM mercredi, ~az~tM~e .ctSaMM.'OMe<DaK~; vendredi, Rom~o e< JMKe~e; samedi, premier bal masque.

A la. Comédie-Française lundi, mercredi, vendredi et samedi, rA<<<fe .DaH~er; mardi et jeudi, lé .Ma?'t /ïe Vet~e et Mlle t!c Be~e-7~~ jeudi, en matinée,

les.Ti'aM~aM.

~rOpera-Gomique: lundi, mercredi et vendredi, la CNrMeK~e; mardi, jPc~eas c< ~fe~Ma~e; jeudi, la .BaspcAe; samedi, .Z.OMMC;

,A l'Odcon Lundi, les-FoMes amoM~etMés, les -.P'eMtMM sa~M~M) mardi, mercredi jeudi; vendredi, .samedi,e.!Mr/~c<MM.fjaudi)~une'heure: et- demi~

conférence de M. Leopold Làcbur, Jcs ~OM)''6eJ'~<c!e à

~'Scapw.les~eMr's.'f:'

Hier soir, a l'Opëra, on donnait SaMtsoK et Da!~a accompagne 3e Faf~~M~f~ Dans rouvrage.de M..LeoncavaIIo, M. Jean de Reszké s'est encore une fois surpasse. lia été admiTable, aûssibien comme chanteur que comme comédien. ~La recette .a dépassé 17,000 francs, chiffre qu'elle Tl'avait pas encore atteint avec l'abonnement du sa-

medi.

M.. Raphaël DuQos étant complètement rétabli, la Comcdie-Francaisô donnera ce .soir le .PaM~, la belle pièce de M. Georges de Porto-Rieho. MUe.Rrandès est Également afBchoe pour cette représentation.

~J.

'C'est'seulement-dimanch.e~ soir que M ComédieFrançaise donnera, le ..M'MaK~fOp~.aveoM~Silvain dans le rôle d'AIccste, et Mlle Cécile Sorel pour la première fois dans le rôle de Célimene.

.~L'AM~'e DaMs'e~, la pièce émouvante de M. Maurice Donnay, a réalise la LeDe recette de 9,350 fr. Et la pièce est jouée toujours avec cette perfection que toute. la presse a été ùhanime~à enregistrer au lendemain de la première représentation. Mlle Bartet est,.dë,l'aveu de tous, incomparabl& dans samagninque création du. personnage de Mme Jadin.

La sixième.représentation de laCarMK~e a atteint hier soir une des plus grosses recettes deTOpera-Comiqup 9,891. fi' ahiSre précisi MUe Cesëron' et toua les interprètes ont-été rappelés et acclames. Aujourd'hui, a la Port~Saint-Martin, dernière matinée,'et ce soir dernière représentation de CyraMO '<Ze Bergerac a.vecM. Coquelin aîné.

Demain lundi, première représentation dë'ia. l'é-

prise du-BoMM.

Le-théatre Antoine, pour no pas déranger la criti- que en même temps que le Gymnase, remet à mardi, deux~ heures et demie, la répétition générale des ra- Met's 6!a?;cs. Première .représentation irrévocablement le lende- :main.soir mercredi.. Le théâtre des BouN'ës-Parisien8, pour. activer les dernières répétitions-de r-SbM~eaMa; FoMpee~, C'o!om&!M€ et le 'S'o':{pe)'d'a~eM, décide de supprimer la matinée d'aujourd'hui. E t amsi, des mardi, on applaudira la délicieuse Charlotte Wiche.

ESMRB-M~~ TMBEREMMS~~

~Tout état ~jh~ueur et d'arMighasement ayant pour eauBe la~dënutnHon trouve une gn&risM~

~WBs~

êtpnné~de .cet essai de reconstitution du droit d'aînesse. Quel r.appo'rt établissait-il donc tout J d'un coup entre ces indices de la froideur de son përe et l'événement auquel la-dénonciation de sa femme par~ sa maîtresse l'avait mêlé ? H n'aurait pa.s su le dire, ni~. quelle hypothèse .s'esquissait doulourëusemcntjObscurémeht dans son imagination, hypothèse, aussitôt rejetée, -comme aussi sacrilège qu'i nsensée ?~. 'A.bsiu.rde cauchemar, que dissi paTart'êt de sa "voiture deyànHa maison" du professeur Salvan"! ––«Jë'saurai quelque chose par lui~, se dit-il. -~Pourvu qu'il soiflaL~.N -~e.professëur était chez lui.'Chaligny ne lui eut pas ;plntôtta.it .passer sa carte, sup laqueHe il aYait'écrit « Z)e 7a ~ar~ <~c .~f. DMnMM~, g'M! e~ pytf~!a~ qu'il' fut .introduit. Le .mari de Y~ ieniine le devma~ 'du .-premier coup d'œil cet ~omme de quarante-cinq~ ans gué Madame de ;'Ija~;pde-a~a.it vu.arriyer, dans un coupé de-romise.'a.u~pavillon de la rue Lacépede~ c'6taiHe.. médecin. Le pEOf.ësseur Salvanayatt, eh réalU~, dix'ans~de plus-; mais, conservé par-une existence continûment active et presque~ascétiqûé, il ne les paraissait pas, 11 était ïnihee et robuste, avec uhc-tété petiie, ;dont le masque saisissant et'glabre ï'appeiIe'IafaGe napoléonienne de son maître~ Charcot. ~Dans ce .thonde des grands docteurs; parisiens, oû~së sont rencontrés depuis quelqnes années tant de përsohnahtés si'remarquables, Salvah a.su. se Jaire unengurë à part, ;jen associant, comme son ~mi et; condisciple ;jEugënë C6rbiëre,Jentréaujourd'hm dans les or-' d['es(voir l'Ec~sn~~ le càtholi.cism~ le plus de_tei'miné au plus solide' talent de'cHnicien et d'a-~ hatomiste~ -Plus fameux que~ connût sps immen-

''ses'travaux-I~nt;foùj6ujs~ehu~ dé`s sa-`~

'lons,~t~pn( gô~t~pour~Ies';M ,R~rëm"ënt.sclentiuque, èliénrtèlo ~à,moct.~ -.deson~ls'unique,'arrjvëé~~e~ i~98; dans;'dés c~r .w

.~constânces'cruellesf~e~eunë a'étant`:

'empoisohhëj-;par?'désëspQir 'd'amoùr~~ :'sieds~ dâns~h:ho~el deNa~ës, –~r&M

~SB~<~j.i.<&<~ .s' r~ï~

t F ~'7,i.4` ~`,e i ~i.h~p-

'dop~ 3suvAe~â

~ut!ie~re~e~J'ŒKvreae:T~ ~e

~umainë'~pro6t sëa aispenisaires antituberca-~Ss 4eàx,TMM~liassoucIiBet~~or~jouercnt'une~N~

inedite~7~ '.E~eK~es Se t'Z~~cM'j de MM; Laa*

Bouchent Emmanuel.

Au Musée. ~Grevin. Programme .'dn:;j6~al~i5mi<

neux ~-l'Ajiivee des Humbërt. à paris..Un''Yoyage

Venise. Retour jluTa6;Mak<mnen àuHarrar." Au théâtre <~é~m., Aujorn-d'hui.et'tous les jou~ en matinée, .à trois henreSj ce soir et tousles soirs a huit heures' trois quarts ~Xb~Më,. vaudeville en~~ trois actes~de~M. GandiUot. On mande de New-York au Manc~es~ CMat'aM~ que le nombre des théâtres .aotnellement ouverts' à.New-Yorkest;de soixante-sept et _qu'ilYas'<inoa– yrir six autres. On'estime'à soixante-quinze'mille chaque soir le nomhM desitërsonnes qui vont ao

théâtre

PETIT COURRtËt!

Au'thS&tre~esBouBes-Parisiens, on demande de~eoheg et jolies femmes pourlës petits..ro!es. et les. ensembles da ~oro~o~a; S'adresser à la rég~e/to~~a~esjou~s~ de .deux-ft

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.NOTES

Dans !e prix Vulcain, les chevaux qui ont les meUleuMs performances sont fulgur et Marr~CELZ.- Danslë prix du Rouet~ousremarqùonsJ~iammeotadont la. couj~se à Àuteuil derriëre Mohœci Arx semble suffisante pour cattre le !ot qu'ello rencontre ici. Nëuwied est ensuite le plus re- commandable. Hexamëtre et Redon sont assez indiqués dans leprixdeIaGorniche. q, Peut-être Arkinglass fera-t-il ses débuts dans IejprixduPàrc-BoréIy,ohdiique,.Ie cheval de M'. J. Lieux saute à merveine; nous pensons qu'il sera réserve pour, les épreu.vés de. Nice, eh son absence, je verrats î~oùlm Neuf ~i- Winnipeg. Nos..pronostics:-

Prix Vulcain.M~Mf/~farraca~.

~'Prixda Rouet. -y!a?M.Mëo~,JVeM<Me~ Prix.deIa'Gôrniche.Netca?Më~e,Re~OH. Prix du Parc-Borcly. –~foMHM .VeM~KMtpe~ 'NOUVELLES SPORTIVES

La. suspension prohoncce contre t'cntraînon.rL. Robert, sur l'hippodrome de la Société sportive, cesse a. pMiir da ce jour. Les chevaux de M. Je prince Murât sont entrés depuia le 1" janvier chez Lyntiam.' Le jockey Alec Carter s'est cassé la clavicule à l'OMrctce en montant Véronique.

'111

Le même jour que la vente Lemomnor seront presentéaf auTattersaltdela porte Maillot, plusienrs très bons Iota! de yearlings par Mirabeau, Soberano, Espton, Fils de Roi, SherIdan.Barberousse, M. Gabriel et Gournay. Cesani-' maux n'ont encore subi aucun dressage. La Société dTEnconragement, dans la séance du comité dn 4 décembre, a décidé que tous les départs n'excédant paa 3,000 mètres, seraient donnés àla starting gâte. Fontangy

FOOTBALL RUGBY

C'est anjourd'hni, à .3 heures et demie que sedispu- tera, au Parc des Princes, le match, de JootbaU entre la Racing-Club de France et le Stade Français. Ijos équipes sont composées comme suit:.

R. C.~F. –Arriéres Besançon; trois-quarts Goudard, Levée. Butherford (cap;), Kingelhœfer; demis: Binocho, Reichel; avants Sajrade, Pe!let,. Poulengeon, Stott, Gom*. més,-Chapuis,-M)ïntz, Ertzbischou'. Remplaçant: Bems- tein. S. F. Arhëro V. Soulier trois qnarts~S. Cagninacei, G.Beaurin, F. et Pi. Mouronval.;domis: H. Arnaud, B.

<~aljchon .avants J. :Jduir (cap.). AHémard, R: Bl~n-

chard, A. Pojrrie]-. R. Lefebyre, G. d'Harcourt, P. Cauder-~ naën, P.-Rousseau. Remplaçants R. Saulmer, F Ancons. ~M. Gilliard. arbitre ofucielde la Rugby Football Union d'Angleterre, a bien voulu venir spécialement d'Angleterre, pour remplir les fonctions d'arbitre dans ce match Ei attendu do tous los~sportsmén. ATHLÉT!SME

–Dans la. matinée, se courra le Crdss-Cycto Pédestre orgamiBé par notre confrère l'~fu~o-ï~~o.-

Le parcours comprend une douzaine de kilomètres ayant' comme point de départ la route de Versailles; à vingt métrés de la gare de Villo-d'Avray–.les concurrents auront à pou près autant de chemin à parcourir à pied qu'à bicy*

dette.

aUTOMOBtUSME

'Le procureur de la république vient d'adresser UM circuïaireàtousiéscommissaires de police faisant fonction do mmistcre public prés les tribunaux de simple po- lico de la Seine.. Rieur enjoint de suspendre l'exécution de tontes les peines-d'emprisonnement prononcées contre les chaun'eurs jusqu'au ~7 décembre.

D'après le .T~s~o, il est question de construire aux en.- virons de Londres une route d'une longueur de 5 miiles, sur laquelle les chauffeurs .anglais pourraient faire les plua' follesvitessesettenter les records du mille et du kilo-' métré.

Plusieurs spécialistes, entre autres Edge et Jarrott, vont aller reconnaître la piste, qui sera pour l'Angleterre, ce qm la. route de Dourdan est pour la. France.

Mëry

BtLLARD

J''ct~ ~e !a: ~Mnat'Ma

Très jolie ûnale du championnat aux trois, bandes entre les sociétaires du Billard-Club-Amâtëurs, dont siégé est àTàcadémie Plot. Le gagnant a été~M. Jean-Laure Outtant, MM.' DtiluarC~ et Serey, second et troisième. ;Les amateurs de billard apprendront avec peine qu~' Y Gaston Gibelin, ne voulant pas s'astreindre pendant qua-' ranto jours.encore à un .entraînement sévère,.a déclaré fot~ fait dans le championnat du monde;~dont la date, à<~us& du retard apporte parnn procès à la 'veuve de Slosson,~a. été renvoyé au 15 février par la Compagnie Brunswic! Collender. Ma!gré son échec do l'an dernier dans ~le tournoi des quatre. Gibelin était considéré comme ayant une chanca sérieuse dans le championnat du monde, et son absence seraunanim~ment'rcgrett~opar~tous cëuxquiappréclaient, à.-sa valeur, son style classique-et correct. R;D.;

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Armée;i56,aY.Malakoff.CQnt.-malt.P!aK<'an~.T.503.5<!

prompie et çertatne par,l'emplot da,.

sauvage encore. C'est à ~ette date qu'il a quitta- son installation du bouleyàrdMàlèsherbës pour se réfugier ici, dans une maison plus modeste,. –mais elle est à lui, et elle ne lui rappei)e pas~ l'enfant tragiquement perdu. Ce détail prouyeas- ,s.ez combien ce'ma.nieur~ .de .misères ~mmames

.reste sensible, maigre des âllur~svotontiers brus-

qùës" qù~expHquc son métier de neurologue et~ maigre une dureté chiruj"gicale de son perçant. _regard.Ôn~e rappelle combien r6clàt;de ses" yeux ayait~ frappe l'espionne, tmand elle les avait rencontrés, à sa.descente de ypiiure. Cet; éclat aigu, ou semble passer !unê;frbideUuear. de biëtouri, frappa aussi Cbaligny,~ tandis -qu'j][~~ ''racontait 'l'attaque dont venait d'être: yidima., '? Monsieur Dùmbïtt. Le médecin était deboui~de- yant un feu, dans un petit s!a,lon-qui servait'aux «jours Tjë~â femme, le torse serre dans la. redingote noire de deuil qu'il ne quitte' ph~ depuis la mort. de.eup Rls,et,a. mesure que .son /yisite.ur avançait~dans son récit, son visage, d'une expression si énergique, s'assombrissait~ <' 11 -est bien ~malade, n'est-ce pas.?-~ ûplt=

«Bien malade~, réponditSàlyaTî. '«Ji est à &

merci de plus petite secousse. G'est mêmQ~ .étonnant qu~il ait tant-duré M, continùa-t-il, ~~ton-~ nanji 'Sa premiërë attaque Tembntë à six'ans.f~ Je.l'ai cru perdu yingtTois. Mais il~ une telle vo- ~lonié de vivre I. 'Et tant qu'on veut yraiment vi-

yre,Qn vit. Pourtant, monsieur, j'ai le dro~~

vous le dire. ~aus .les soins de ces dames,dë Gha~ Hgny,.il n'aurait .pas résisté. EIIes.:onteté t admî- ,raNës toutes- deux;'C'est leurs usités 'qurTpQt soutenu. Vous~'ousêt~s décidera Ie~oir,va~

aussi. €~oy~&-mo:,Y.YGus 'ave~~Ëien- ïàit.~ïaès,

'brouilles de'f~illé.dbivent ~disparaitre'di~~

:~â'jBort~Mats~esRëre';qu'iltn~ ~-p

;'encore ~ujQUEd'~hùi.?'~ 'z, av- o

~~s~de~emp~'a~ perdre.

vingt mmutes."yôu~pouy~z~m~annpn~e~ -à'4

~)~ ~tf~i<;ë;OUR~


~batt~nt,aë' quatre~heures~~emp~~ de;attelier~ B:

~M~'Mcydetta de la ~opieté e t.& JFràmçaise À ~ARQUC~b~MA.NT. S;

~~m!&TS ~!L~~ s

~?' 'c<

~~ËPi.AGEMENTS~ET 'VILLÊ&IATURËS

t!M.<~<MtM~s 'dM. &: Ca'M~o~ 3

~M~~ Moteur le Due d~~ L~ ~'Madame la Comtesse de Paris.'au palais de Villa~MmesJea~Hennes8y,aacMteandeSamt-Bj'tce.

princesse L à Niçe..

~)~r MassoY, à Rouen..

.Comtesse Henri, de Nun;.à Sassetôt-le-Mauconduit. M :Gustave Piëronj à Gh&tëHerault.. j. ~PrmMsseMathiasRadziwiU.àOber-Schtes~

~MM. Raoul Aubërhô~~ g C a~ines.

S~DeBalathi.er-Lantagc.a.Sed~n.

~~?S'Maurice fteBoisset,'a Lyon.

.'Georges Espiyent de La Yillesboisnet.'à-Nantes. 'ga ~~Gtrou-Lanauze,aLaroque-TimLauj[~ ïj!

a~M~~ j.

s~g; B~R~NB-HO'Tm; P~RI S s~ -T~

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LA BOURSE

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Paris, le3janvier.

L t Existe-t-il une question marocaine ? On ne le dirait pas, à voir comment se comporte la t Rente d'un Etat très interesse dans la question tel que l'Espagne. Ce qui paraissait si t dangereux avant la liquidation, perd son importance après. Afïairo de situation de place, 0 Pendant que la Rente maintient simple- ment ses cours/et non toujours avec .faciliter les fonds d'Etat de second et troisième ordre continuent à être très recherches, un peu par le public, beaucoup par les groupes, qui préparent la voie,à de grandes .opérationa/inter-

nationales:

L'animation est toujours aussi vive sur les [) mines d'or et do cuivre; mais les premières 0 reperdent du terrain, influencées par la baisse de la De Beers. Il paraîtrait, diaprés une depêche, que de nouveaux, et importants gisëmehts de.diamants auraient été/découverts D au nord de Pretoria. Qued'or! que de diamants En attendante la réaction actuelle se-' rait tout simplement la conséquence de réalisations de bénéfices, qu'il n'y aurait là rien que de très explicable.

3fa)'c7iep/~cte!

La Rente française débute un peu faible sur la nouvelle de la mobilisation de 12,000 hommes dans le. Sud-Oranais, par suite des événements du Maroc. Mais elle se relevé en clôture, ct.ûnit à 9987, un peu au-dessus du coursd'hier. .Dans le groupe'des établissements decrêdit, la Banque de Paris est lourde A 1,097. a Le Grédit foncier ~'éleve vivement de Toi a. 76~. Le Comptoir d'Escompte est bien tenu à t ;5S9. Le Crédit lyonnais reste indécis à 1,091.La Banque française fait 335.- ~z. t Les Chemins de fer sont peu actifs, maig [ très fermes. Le Paris-Lyon s'inscrit à 1.439, et le Nord à 1,855: r'

) LeSuezestlourdà3,aiO:~ ) LeGaz parisien'ne -varie pas à 780. Les Omnibus soht'.oEferts à 684;

Les valeurs de traction sont, p'n gênerai, Lplutôt faibles. Le Métropolitain est a 605, la Parisienne électrique à 310, rEst parisien à LM9fr., les ~Tramways français à 541. LaTràction se remet un.-peu 'de la baisse d'hier et Teviënt a .19 contre'IpSO.La.Thomsoh-HoustonfaitG~oo.ntrcC~. LàDynamite centrale-~st bien tenue af ~50 fr. Les Les Argentins continuent leur mouvement ascensionnel et montrent la route aux autres tt fonds d'Etat étrangers. L'emprunt 1896 fait 75 25 contre 74 75, et. le !19DO;7395contre7360/ Le~Bresil40/Opassodë7730à7745~1'Italien/de 10415 a 10440. Le Portugais'fait. 3337: Parmi les fonds russes, le 3 O/Ô 1891 s'avance à 88 75. Le.3 0/0 1896 !-estë/ sans variation, à8750. Le Serbe 4-0/0 progresse à

81 35.eontre 80 85. Le Bulgare 190~ est ferme

!:à477.-

Les fonds turcs sont irreguliers. La série B

est très' ferme à 58 25 contre 57T90. L& série C

fait 3~-30 &t la serioD39~0.'La Banque ottomane Bst faible à 597.

L'Extérieure" espagnole s'avance un-mo- c ment~~ 10.E)le elôtuM aa795contre8770; bien'tejlue. &r. yilïavordë a annoncé, paraît-

:H, .qu'il avatt unprojetjrMattÏ a l'anmiioratibti

de la.situation.monétaire, mais ce plan n'ap~ v 'par~t pas encore ti'es'jelàir a travers les dh-

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changements. Les Andalous ~ont 194, le Nord de l'Espagne 30~et le Madrid-Sarago.5së337. La fermeté des valeurs cuprifères à NewYork maintient le Rio au cours d'hier, 1,083. La Briansk est lourde à 301. La Sbsnôwica reprend à 1,625. Les Sels Gemmes sont sans

a&'aires.

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Valeurs sud-afrfcaines plus faibles qu'hier: Da Beers, action'ôrdinairè, 568 contre 574 50 action de préférence, 495. BuSeladoorn 27 75 contre. 38 53. Chàrterëd 9375contre 95.50. GoIdNeIds 313 50. East Rand 330 50 contre 323; Ferreira 633 50. Johannesburg Cohsolidated 93 50. Làng;aagte 113. Randfontein 90. Rand Mines 393 contre'396: Robihson Gcld 289 50. Transvaal Land 154 coM- r trc 155 50.Viltage 334.Wemmer 354 50. Ecrste Fabrieken 35. `

Cape Cppper 70 contre 71 50. Tharsis 11350 contre 114~ Harpener 1,290 contre 1,298. Kertch 47 contre45. Huânohac~ 89. Columhian Rubber 49. Brésil 50/0, 91 35 contre 9105. Mexicam 3795contre3S50. Nouvelles du marchê'de l'Ouest Africain & »I

Londres:

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Ces dispositions (Tarif G. V. 110) permettent aux voyageurs (touristes, bicyclistes, automobilistes, etc.) do se faire adresser, u, ravancej' dans Jes- gares de" leur itinërfure, ceux de leurs bagages dont ils n'ont ~as jugo nécessaire dc-se'faire accompagner. :La faveur avec laquelle'cette, innq~stioT -A.-

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