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Notice complète:

Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1902-08-05

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 05 août 1902

Description : 1902/08/05 (Numéro 9061).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5318498

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/04/2008

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~¢' ,.s,

~$ );~7'~

:Nos~ejcteur~ font aux .SoMue~t~du ~Baérat de

~5all!uetIë;suLeçès,.qùe nous-ayions~prév'u. Nous-~ Broyons-leur être agréables en doublant 1'~ Se cette publication, si particulièrement, savbuTeuse.par une série: qui, en cette période de vacànces.'sera certainement bienvenue.

~11 s'agit, en .effet, des

SOUVENIRS DE VACANCES

N RS DE VACANCES

que nous avons demandés :a. un certain nombre e &e~ personnalités du monde,, des lettres, des tLrts, des sciences et du théâtre. Citons, au bâtard de la pLume: Mmes !a duchesse d'Ùzës, Duchesse de. Rohan. Juliette Adam, Madeleine Lemaire, DamelLesueur, comtesse Mathieu de NoaUIës;Gyp.

Mmes Sarah Berhhardt,;Bartet, Pierson.Ackté, Aidiny, Brandës, Réjane, Jeanne Granier,' Héglon, Ha.ding', Rachel Boyer, Gécile Sdrel, Wanda~deBdncza.etc. `

MM. Emile Ôihvier, Jules Breton, Gérôme, F. Coppéë, Jules Claretie, .râul Bourget, A. Raffa!ovitch,. Léon Bohhat, G. Larroùmet, Jules Le;na.ître, Albert Sorel,. Albert V~ndal, Massepët, Saint-Sa6ns,vico,mte E.-M. de .Vogué; A. Méziëres, Rey&r, Gaston Boissier, Berthelot, Brquarde!, comte.Albertde Mun, Lucàs-Championnière, docteur Doyen, Paul de ~Cassagnàc, ËdpuaT'd Drùmoht, Henri "Rochefort, Jean Bëraud, A. Capus.-G~deTorto-Ric.he, Emile Pouvillon, Bonyalot, Georges Berger, Adrien Ber-

.nheim, P. GfailRard, Albert .Carré ,~P. Ginisty.A.~

Antoine, GdurtëJthe~Sëm, Tristan Bernard, P.~ aa-vault, ,M6.unet-Sûlly, S~vam," Le Bargy,. de Heraudy, .Gdquettn~c.adët, .Guitry, Huguehët, ~aSpauxj'ëtc. On voit que nos demandes se sont inspirées au plus large~esprit d'éclectisme nous avons confiance, grâce aux SOUVENIRS déjà~eçus,; que nos lecteurs rapprécieront.

Après-demain 1& GaM~o~ commencera donc

JtCS..

Souvenirs de Vacances Nous craignons que la politique ne chôme pas, cet été,_a,utaht qu'il eûtété' désiraMe nous tâ.ctiërons du. moins que nos lecteurs ne s'en aperçoivent pàs.trop. i

I~i~ns

a~

7 ~ojtha,:BeIarBy,,Do Wet à_Londrës? .tëneles.yvoispas.. 'Dans 'cette ville ennévrée d'orgueil et de thauvinismë:sattsfait, attendant, avec une impatience qui compte les minutes, sa revanche de ~a .décëptîbh. cruelle~câuséë par/le retard du cëûrdnnemcnt ~d.e 'son' rb!qùe! spé~ vien- ~d.roht~ils'dohnër'~àu.mondée?

~~D'63ît~âp!~s4és-:no~ dyer; lésy détails~`

–r~je~Te~pt~~sqn~g!ës~ 'aprësla'grànde revue navale, que ~e~ ceyra;; Lorsque les quatre-vingt-six~ monstres -acierqui ne" constituent qu'une partie de la flotte anglaise aurqntdé.SIé devant .lui/attestant par l'impeccable évolution de leurs masses dosiies la; discipline a laqùeiïe la Grande-Bretagne 60; ûatte d'avoir, asservi les mers, Edouard VII accordera ta. grâce ~de quelques instants d'audience aux trots hom~aes qui viennent de traverser ce~ mers domptëes~pour lui apporter le iemoignage de leur-propre soumission. Si l'on m'avait dit, i! y a trois mois « Dans quelques semaines, Botha, Delarey et DeWet Eeront en Angleterre B, ce n'est pas ainsi que ie m'y serais ngurë leur présence. J'aurais dû, d'abord, faire effort sur moi-même pour repousser l'anachronisme d'une vision obsédanteef ne pas m'imaginer les trois chefs boërs.ies fers aux. mains, suivantle carrosse d'Edouard Vil 'cdm(, me autrefois des cbefs germains bu gaulois chard'unC6sar'victorieux. Le souvenir de leur tùtteachamëëëûtimposé'.à mon esprit cette ËYOcationarchaYque du servage physique auquel .elle 'eût ..jadis abouti. Et il ne m'eût pas ,'5emblë 'possible 'que ces ~érps d'obstination et d'audace pussent, aùtrëment.gue par la violence,' eubir la~cohfrbntatidn avec des -Yamqueurs dont

)e sucçës, si chèrement paye, 'devait leur être

d'autant, plus-odieux. J'étais loui de compte." ` J Déjà cet;tb foi naïve en un -idéal .qum'est eviTieniment~plus de 'notre temps avait été quelquepeu Ébranlée. Un journal illustré'm'étaittomËé- Bbus les yeux, oHs'6tala)t!a reproduction d'une .photographie représentant une conférence des sbefs anglais et des chefs bbers. Au premier .Ian,.s.qusTœiI rond de lord Jdtchener dardant sur lui un regard d'oiseau de proie, De Wet; ~msàis'Issàble~ De Wet, penché: sur un'papier, esquissait l'ëhigma.tique sourire qui est le trait persistant de sa. curieuse physionomie, et qui, ja, me paraissait avoir je ne sais quoi de tranquiUement resigne, presaue_ de ."débonnaire. Le

~ul fait:que-ces deux hommes,~dônt l'un avait

braqué l'autre pendant des mois et des. mois comm~ une bête fauve, pussent ainsi se trouver paisiblement face a face, m'àpparais.sait comme .quelque chose d'illogique ~et de monstrueux.

Puisque De-Wëtetaitla,"a deux pas: du~chef qui j

a-vait jeduit ëami. son' invrâisëmblabl& fésis~àhee.j'ëusse souhaité lui. voir aux levi'es/au.i ~eu de ce sourire 'ambigu,)-un p!i de révolte ~ui'm'y eût semblé mieux placé.

C'ëtatt absurde, je Të'rëconnais. Car, lorsque ~eux adversaires ont conclu 'qu'ils doiveht'd'ë~ o,armer,-ilest,aaturel qu'ils se mettent d'accordé sur~la~fa.çon de :pbser les armës.~ ~is les chefs bocrsnë\doivent~s'ën prendre qu'à eux-mêmes Bi co qui semble hâturël.pQur.d'aufTes~cessë-'de ~e.pSLraître'lQrsque c'est-d'ëux~qù'iL s'agit.. Le~ '~uUé.contpc'.l~A.ngleie.rre a changé les ordinaires Gonditiôhs ~deTopUqûë .morale. A force' d'héroïsme constant, ils ont jëndu impossible .pour -~x'Thv:ppth6se d'une QëIailIànëje.-Depuis trois &hs qu'à'cb'ups.~de. miracles, avec uns poignée. d'hommes, ils.tëhaiën.t-en.échec une des plus formidables puissance~du~lobë. i!s apparais-~ Baient commë.invinciblës,~autant du moins qù'ils'sëra.~ent vivants et 'debout.SëIon la pro'J messe deIëur~euxKruger.iIs avaieht:.étonné temo~deau.point'que celui-ci sërefùsàit''àJëur \j appliquer .les. !ois normales de l'humanité.Le Trànsvaal~'était plus un~peuplë, mais "un L symbole, le. symbole de; l'mdëpëndance absb-: 'lue~mtransigëànte;. qui, au prix,d'une exis~ tëncë~'d.'ayance sàcl'i.nêë,' a crié à toutë'vetléité ~~d'sh~'c~t'b~unirr~uctihië~ f'H :` "Seuls avec 'leurs compagnons, il est'~ certain ;'gu°il6'~us.sent 'tënu~ jusqu'au :bout leur rôle de .rotëstatau~ës du'droft'.contre la force. Mai.sn.es :femmës-êt-'des\enfants -le~ Ïeurs. femines -–mbut<tieht loih''d'eux par centaines et par miHters, et,par-dessus~les -;barriÈres de leurs~geples, lëuradj'essaient, àtrav~rs l'espace," "~à~muettë'sùpplicatiotude leurs bras~tordus par ~'agonie. 'Lord Kitchenër: recrutë'Jà~dës al- tiës~qùi valaient mieux quë~cent.mnietnimmes ~c troupes fraîches; Que les champions des ré-

;'<ft'MMiquës.-sud--afriëainës.àieni succombe a tcë'

~j~~ge.~n~ surprénap'f, riën~qui -puisse'

~r aimmuer d un a~me!'admij'atioBou~sur reste

~ue,et~uë~ous;l6u~rdo~

~Mais~ :~i~nnent ils' ~a Àngleterre

~dMe~~o~

pos~~d'e~x~smes.~p~ !e~ ~rëMésën~i~utrëmën~~s~rës~Bn

.~su~ë~ë~aSetîtW~rëm~

;duc, d'où leur défaite même ne: parvenait pas s tes chasser.. Us. y Eëin tégraient. leurs .familles :;proscrLtes,j6oEgàHis,atént leur patrie et, :'sa.~

rompre le .pacte qu~Ies lie désormais leurs~-

epactè qui-, 1 sie ( sormais leurs;'

vàinqû~urs, gardaient en face d'eux l'attitude de résigna.tiôh'Hëre qui sied'à' des vaincus de leur sorte. Ou, s'ils venaient en Europe, c'était.' ~pour'prendre contact, avec la terre d'où'leur ~jace est sortie, pour trouver dans la cordiale 'étreinte de leurs fr.erës de Hollande le reconfort mérité par.une si be!te dépense d'énergie~pour recevoir, dans uneatmospbere de dignité calme, l'hospitalité dé cette-jeune Reine, pure et frêle comme un lis, qui a si joliment su rappeler à ~'Europe le cours de droit international dont les 'murs de La Haye sont seuls, paraît-il, à garder les ironiques'échos.

Un des leurs a compris ainsi son rôle. C'est

l'ancien président de'l'Etat d'Orange,celui qu'on

appelle partoùtrespectueûsement M. Steijn. Le président Steijn,~ nul ne l'ignore aujourd'hui, a été l'âme de cette prodigieuse résistance opposée par les deux républiques sœurs à FAngletërrë.. Moraleme.nt et physiquement, par !a pensée et par la parole aussi bien que par un continue! défi de la fatigue et.du danger, M. Steijn & donné un exemple unique de courage et d'endurance. H t'a même donné, jusqu'à l'excès, puisqu'il y a succombé. Non tout ehtipr, puisque j.sQn.mteHigencëët sa .volonté sont restées intactes, mais a. moitié,, puisque son. corps, miné ~par uji mal implacable, nc.lui obéit/plus. "C'est quelque cHosë"comme~un cadavre vivante .qu'ùn-

Raquebot ~hglais,;te Cc~~r~c C~ â ap-

porté av~nt-hièr en vue des côtes d'Angleterre En vue seulement. À' peine le vapeur anglais avait-il stoppé en ;rade de Southampton, qu'un navire hoMahdais, le ~a~uM.777, s'amarrait à sonLavant. Une équipe de matelots hollandais s'en détachait, munie d'une civière, et rapportait un instant âpres à son bord le corps vivant, mais inerte, du président Steijn, qui est ainsi rentré en'HoUande sans avoir seulement a touché ~te sol anglais.. Cette abstention significative ne fait sans; doute-pas l'affaire du.peuple anglais, qui a, pa-

raît-U,,des trésors d'admiration à exhiber en

l'honneur des héros du Transvaa!, et se propose de leur faire une réception enthousiaste. H préfûre évidemment l'attitude de cet autre général ~boer qui, depuis une semaine, emplit littératement Londres de sa personne. Lundi dernier, itrendait visite à'lord Rothschild et à !ord Kitchener; mercredi, il dînait chez M. Alfred de Rothschild ravant-hier, U lunchàit avec lord Roberts. 'Entre temps, H manifestait l'espoir d'avoir prochainement une entrevue avec M. Chamberlain. « Je' voudrais, déclarait-il dans une inter.view, accepter plus d'invitations, si c'était possible, et particull~rement'ceUe de sir Walter Gilbey, qui m'a; prié d'aHer visiter son fa.meux haras, car j'aime JMELUCoup: les cheY.aux,~J''ja.tirais voulu aussi rester pour:1~~js.uroï~në~eDt,mais c'est

iaipossibJe.

Je piense que si4ës généraux'Botha.,Delarey

et DeWet viennent à~Londres, ce-n'estpas pour l.uncheravëc'!drdKitchen8r ni pour visiter !c haras'de sir Walter Gilbëy. j'espère même que cen'ëst pas pour recueil!ir sur leur passage les

~o~iT~~u~eupleM~aisr'qut,.si<§ihc~res~q

~as~upppsënt, sonneront ibut de même assez .étrangement a leurs oreilles..Une hypothèse Lreste possible,' et" je m'y attache. C'est qu'ils aient décidé de venir en Angleterre~ demander a leur vainqueur une concession capitaie qu'ils estiment être seuls capables de lui arracher. Ce sërait.en ce cas, un dernier combat que ces guerriers désarmés viendraient livrer ici pour

leur patrie.

/Jele souhaite pour leur pays, pour eux. et pour nous-mêmes, qui gardons le besoin d'admirer sans restriction de belles et nobles ngures. Or, ce besoin diminuerait notablement, n'en doutez pas, s'il nous fallait voir les .généraux Botha.Delarey et DeWet, transformés en « lions') » de la saison londonienne, épingler à leur smo-. king les orchidées de M. Chamberlain. Joseph Montât

,ro

En jf'absence du d/recîet/r dt/ G/!Ui.O/S, par~/ ~er en w'a~Hre, pr/é~a d'adresser /es /effres ef manuscr~s qut concernent /a rédacffon au secrëta~e de ~a rédacf/on.

Ce qui se p~ss~e LA POUTtQUE

DEUX.ÀGÏTÉS Tandis que !cs ministres politiques,.peu soucieux de se montrer en.public~ évitent les occasions do manifester en plein air leurs senti-' ments'etd'exprimerleursbpinions~ës deux chefs de nos armées de terre et de mer se multiplient, inaugurent des théories de statues et pérorent abondamment sur des sujets qui ne devraient pas~ëtrë de leur compétence.

Le citoyen Àndrë déclare qu'un bon général n'est'jamais populaire, .ce qui est une façon de se louer lui-même en discréditant ses camarades. Cecidit, il selance a Gorps perdu dans une de ces: divagations politico-sociales dont j! a et dont j~espërc qu'il gardera le secret.

De.son cô.té{M:.]ReIIeta.n, qui, à ses moments -perdus, se divertit a. ce jeu de massacre dont nos meuleurs amiraux'' font' tous les frais, vient~dc fourmr à. Salon une passe d'armes contre les moulinsii vent de la réaction.

Notre confrëre administre' la marine comme il rédigeait son'journal au pied lève,.une cigarette a la. bouche, le coude sur table, .une ca-

:.nettea. proximité. L"

Chez lui, l'homme d'Etat n'a pas étoufîc !e'po-- iGmtste.~et .dans ses harangues, ofucielles, nous- retrouvons la Yervë frondeuse;et paradoxale qui donnait a ses'articlesieur saveur;- Cegrand~cTieMe notre marine chtreticTit ceux

~qur l'ëcoutent 'dù~.peril clérical, de.«. Ï'appeMn-

sùrrectionne! du tbcsm:M, de la révolte: rnih- taire; etc. etc.. De notre;Botte,' de nos marins~. du péril asiatique pu africain, il ne soufûe mot, et je: crois vraiment qu'il'faûtLattribuer à son incompétence cet exe8~:dë discr;étidn. Nos màrms, cependant, ne sont pa.s destines à prendre des:eg!ises à l'abordage, ni même a. saborder lâTea~tiph j'âjpute/qu'il est peu séanp de~le.ur faire un.~Qurs.de pohtiqu vio~ Iënle;~igressive,alor~qu'ôn exige d'eux, et ayec" juste raison, qu'iis'serenferinent.exclùsivement t dans leùrs'.attri butions prôfessibnneties.' Je fcra~rë'mëmë reproche au' génëra-l~Andre. Ce guerriërtantaisiste est de tous n6s"mihistres;le.plus bavard; .a' tous propos, et le.pJus~ souvent hors.de~pj'ôpos, il parle, il'jacasse, sans nul souci du ridicule r auquel il .s'expose bravëmenf~ Cette incontinence dc~à.jnguë est /surprenante chez un hominc qui représente «la. grande muette et'jë~demeure convamcu qu'elle sert surtout à-masqû~r..son insuffisa.nce militaire. ..Bonaparte ctatt'-plus concis et !ë"graLnd Gondë se m ohtraittoujours.:tres~ sobre de'paroles, Par contre, I'empërëur~oulouqùeàva4t~ plorâble manie de dep'énsec;;eh discours IsHnëit-

tëuFe~p&rtJd&sQn.àctivii~ i;

-,rEn.r~sumé,'nos-deuxmin~t~ ~:m;htàic_~s, quy:;

reëommandënt;atëuM~sûborQdnn'es'dëne;'p~

Tâir&'?de~olitique.eur~Q 18`

m&~ts~eXj~n~lig~ de leur d~,si';

~ner~e~t~~rs Quë4ô~ou' ~e'ut=ëté~ il:~ v

~a~combattre~g~

~acrdeg'e~es'~fan~îs~'aè~~s~on~Fr&

e.n leur disant « 'Voilà, l'ennemi M 0 patriotisme f-–L..DESMbuLMs.

~CHOS~DE PARTOM [

Hier matin.Ies membres de labsection d'architecture, MM. Bemier, Daumet.Girault.Moyaux, Nénot, Normand et Pascale présidés par'M. Vaudremer et assistés de MM. d'Espouy, Lambert, Mayeux et Thomas, jurés adjoints, se sont réunis à l'EcoIedes beaux-arts pour le jugement t préparatoire du concours de Rome en architecture. Leur décision pour le jugement défmitif a été soumis à l'Académie des beaux-arts', réunie en séance pléniëre.- Apres examen, délibération et vote.J'Acadé-mio a décerne les récompenses suivantes.

G~M~M?, à M. Prôst (LeoD;-Eugène-Henri), na

le 25 tovrier 1874, a, Paris, élève de M. Lambert. i ?~ rt-e~tet'eeo.~î ~raHd ~a'. & M. Chifilot (MarieEugone), ne le 35 janvier 1872, a Dois (Jura), éleYe do MM.DMmet/Gii-auJt-etEsquië.' `

-~eua?!eme ~cco?M~ ~t'sK~~pt'~ & M..Coutan (Eticnne-Paul-Eugcne~ -ne le 15 mai 1875,' à Nantes (LoireInférieure), élèy~do M, Pascal. Unbraye.

Le capitaine de frégate Le Bns est nommé capitaine de vaisseau il se trouve être le plus jeune officier do son grade :il;'a quarante-six ansapei.në.'

M. Le Bris est cet officier supérieur dont !a

conduite, lors de la catastrophe de la-Mariim-

C:ondtiitB, 101's de la catastrophe $e a.I1'Larlim-

que. a été si- simplement .admirabIe.JI commande le croiseur .S'MC/ alà divIsiDn~des AQ- -tiiles !g ~endemam~e~'epoù~ntah~dësàst~ accompagné ~de quelques braves ..comme lui et malgré l'immense danger, il débarqua au m(lieu des ruines fumantes de Saint-Pierre pour essayer, s'il en était temps encore, d'arracher quelque proie a. là mort. Et il réussit à sauver quelques centaines de malheureux qu'il fit transporter à bord de son navire. J. ~Quelques semaines plus tard, chargé d'aller protéger nos nationaux dans les ports du Venezuela alor~ en pleine' insurrection, le commandant.Le.Brisa fait preuve, dans cette mission difficile, d'autant de tact que d'énergie. Rappellerons-nous encore que, M. Le Bris fut Nesse aux côtés du .commandant Rivière, lors-' que celui-ci fut tue, en 1883,'sous les murs d'Hanoi'. Un bravêj dans (oute l'acception du mbt,comme l'on voit. 1 'i

-Villégiature.. M.Hcnry Roujon, membre de l'Institut, direct teur des beaux-arts, a quitte Paris pour se ren-~ dre en Suisse, il passera une partie de ses vacances. Vacances d'ailleurs occupées, puis- qu'il doit on-profiter pour écrire la préface des Trc~e <ms </e <Ae~r< que M. A. Bernheim, inspecteur générât, commissaire du gouvernement près les théâtres subventionnes, publiera l'hiver

prochain..

M. H. Roujon, accompagné de son jeune nJs -S

Jacques Roujon,.le front lourd des lauriers du

b ~1, lourd des laur~ers du.

baccalauréat do philosophie, terminera ses vacances en Italie, de Venise à Padôue, Ravenae' etBolpgne.

,j.T~

C'était hier l'anniversaire. de ta nuit du août, où~ se fit un beau geste que M. Paul Bourget trouve au' moins maladroit, c.e.~tn~st le.cas ~de.plus ~un beau geste. L'iilustrs ecrivaiti estime que l'ordre'de ~a. noblesse s'est dëpouillÉ, cette nuit-là, de .privilèges dont quelques-uns ne lui appartenaient pas, un peu à la façon de ce brave bourgeois parisien du siège qui jurait devant moi de brûler sa maison plutôt que de capituler et qui, sur ma question :*< EHe est à vous, votre maison? m'apprenait qu'il en. était simplement locataire.

Quoi qu'il en soit, la nuit du août n~en reste pas moins, en son ensemble, une belle manifestation de désintéressement. La noblesse a voulu finir, en cette heure mémorable, comme elle avait commencé, par de la chevalerie. Qu'importe qu'aujourd'hui, en dépit de ses renonciations d'alors et, plus tard, des conquêtes démocratiques, elle ait gardé un indéniable prestige, il n'en est pas moins certain '.qu'un..titre ne sort 'plus guère aujourd'hui à un gentilhomme marié, qu'à payer plus cher une facture de fournisseur ou une note d'hôtel. Malheureusement ce suicide de privilégiés n'a pas tué par contrecoup les privilèges. L'ordre de la noblesse se trouve .présentement remplacé par la majorité de la Chambre des députés. Les vrais féodaux sont les défense républicaines, montrant une écharpe en guise de bannière, avec vassaus qui s'appëtlënt~ôus-préfets, vavassaux qui ont nom gardes champêtres, cantonniers.~acteurs. Donc, aujourd'hui, comme il y a cent' treize ans, une nuit du août s'impose pour peu~ que la Chambre compte dans ~son" sein des émûles\d'un vicomte de NoaiUes ou d'un~duc ~d'Aiguillon. J'aimerais, pour ;i ma part, à être :du spectacle, dusse-je, pour cela, assister à la ..contemplation -insuffisamment esthétique de M. Camille PeJIetan se dépouiUant de~ucique chose.–Gaston Jôllivet.

PourtaScience. Les lecteurs du 6'~t~OM sont au courant de la uoMe et pérttleuse expérience, par laquelle le doct.eur Gamault voulut' démontrer au docteur;' Koch L'que la. tuberculose bbvdnQ est contai gieuse. IIrësolut, faitunique.dans.Ies annales- de ja.' science, ~e prouver'!e danger en s~mocutaat lut-meme !e virus mortel ;~dans. une lettre très simple et trësëmouvante même par so.n man;quc d'emphase, il.expliqua que.sur. la'.peau dti~ bras, au préalable dënildce par un vésicatoire et raclée, it avait applique'un cataplasme/de ma- tiëp.e.tuberculeuse bovme,-et qu'en outre n avait Sx6 a demeure sous sa peau incisée,' un fragment de/tubercùle bovin, opérations qu'il estimait toutes'deux mprteJlës. Le résultat); qu'it'_ craignait qu'il, esp'eraity doit-on p!utot:dn'e –ne se nt.pas longtemps at-. tendre: sur'Ia surface infectée se dévcioppëreht '.des formations tùbercuteuses.qui furent enievécs jeudi dernier.e~ëxaminëeshierparlepro-~ fesseur Tuf fier, à l'Institut Pasteur. On a. trouve; en. grand nombre des cenules géantes po'lynu'c!6ës, caractéristiques des for- mations tuberculeuses de tà~ peau. On n'a pas .encore,-à !a vcrite~pu:decouvrir..de baciHes.1,ubercuicux; mais:ilen.;est presque teujours.ainsi dans'ces cas et on-peut. tenir pour. à peu pr6s certain que, ces bacHles. -se rencontreront .chez les cobayes dnojculés avec les autres fragments de peau enlevés. .La démonstration de !a fausseM des théories de Koch en résulterait, par conséquent, et c'est :ams]Lque,en'j'isquant sa.vie, le docteur Gar-~ uau~t~a.-sa.uvé J_a.;LV]e.ae milliers de-, petits- êtres

qu'infecte'châque jour le lait contamine.

-~tJn peu de prévoyance. Chaque fois.que lapluie ou un. arrosage .trop

éoPiéû:ï r'e~nderü:le` avé:en bois articülièïé

'copieux rendent, le pave .~en bois par.ticuliëre~

mentg)issant, iL se produit de fréquents accideQts~ur'lë.boulëvard, notamment à. la~mon fée du bbuleyard.; Montmartre,~ à partir de la rue Drouot. On'assiste alors.a une série de chutes de chevaux d'omttibus qui'bn.bpo'irconsëquence ..d'entraver complÈtémeht.làcir.&utation. C'est le ~spectacle qu'il.nous a encore, été donné de voir ~"dàns la'soirée d'hier. L'averse ayant mouillé le sol, .lès:chevaùx he pouvaiect.~gri.mper la cote et s'abattaient les quatre fers ~n l'air. Plusieurs omnibus'sont ainsi restés enipanne, malg'r6- les coups de'fquetquipjeuvaient dru sur les. malhëureuses'betes.' La Compagme~ïes Ommbus; ne poùrrait-eUë pas; faire jeter un peu de sable, à cet endroit,

'quand le sol est môumé ? 7

:Un:MrtamnombreQem la 5ôeiété ;.Mt'stiqùe,des'Smàt&urs.ayâutaIeurtêtëIëco~~ ~e~R&~è.~ préydént la Sociét,é; .y'~nentd~ccbmp~tr-lepëlërihagê;~

l~ges~OM~ts'OQtT~PCuê~ empré`ssé.'

~e~part:des,~ganisate.urs:de-cette.~dmirable~

;f ''<ldJ1lir:~b,l~

osu~on'~1'a .üt' 'a nun,ttirçi-cï~;

~~3~~Q~~y~i~~u~~[r~n;

~~é~momf~ttés artislëscties~ du.m~ii~ë~ entier. -r ~Le comte.~UrseI.gouverneurdelaFlandt'e ocCtdentale Je baron Kérvyn de Lettenhove, présidenf, MM.Tulpinck et Hulin, membresdu comité, ont fa~ à .nos Concitoyens les honneurs de l'exposition avec une amabilité et une bonne grâceparjraitès.~Aussi est-ce avec l'approbation unanime .de ses côliëgues./que M. de La Rochefoucauld a 7 pu dire à,M. le baron Kervyn en le quittant, que .c'était décidément en Flandre que l'hospitauté écossaise s'ex~re-ait le mieux.

Plus de cinq cents kilomètres sans une cre~vàison, la premiëre place dans la catégorie des grosses voitures avec Jarrott, la première place également dans les voituresIégèresavecRigoIly, sans oublier une moyenne superbe dans le classement général, tel est le bilan dupneuContinenta~, à bandé de roulement étroite, dans le circuit des Ardehnes.

Le'simplé rapprochement de ces résultats et ~ds ceux de Paris-Vienne dispense de tous ~commentaire;

A Spa, la saison est dans son plein. Foulerpartout aux'conçerts du Parc, au théâtre, et. surtout dans les salons de jeux du casino, où la partie est très grosse. Rencontré autour des tables les clubmen les plus en vue et les plus jolies Parisiennes.

i. Le concours hippique commence !e 10. Tout le monde du sport est à Spa pour cet event sen.sationnel,,excellent prétexte à un déplacement Ldans lesArdennes, soit par le chemin do fer. qui né. prend'que quelques heures, soit par. les rou'tËS,aussi;belle,squebQn'nes.

°. A travers les livrer

tJntrèsvivànt,trës captivant livre en prose <lu poète Edmond Haraueourt vient de paraître ches'FasquelIe, sous le titre A~M/ro~e; C'est toute une famille d'êtres bizarres emportés par la vie dans des aventures étranges, qui nous livrent, leur secret.

Le LtUt'e/~e ~'E~craM~e, de A. Suarës, qui .vient de paraître, nous raconte le pays breton, dont l'auteur, avec un tempérament d'artiste, a noté tous les aspects, rendu toute la poésie. A l'heure du départ vers les côtes, il sera très lu, et très goûté. MOUVELLES A LA MA!N

Les. résultats de l'instruction obligatoire et laïque.

Un métayer limousin, disait dernièrement à M. de Z. en lui montrant le bétail de son domaine

–Ah! monsieur, je ne sa,is pas pourquoi on parle tant de -la race bovine, là ra.{;e limousine lui est pourtant bien supérieure

Authentique t

Un Domino.

tVos tecfeMfs f/'ot/M/'onf à /a deM~/é/Me~a~e. SM/ef/e <f /Votre Enquêfe en Bretagne M par notre co~aborateur M.- G. de MafZtère.

SOUVENIRS

:DU..

MML BE EAUmT e

Avanf- ro ôs énéral de nies Sôuverürs

~~anf-propos ~nëra/ cfe mes Sot/~enfrs

En Fnmce le.plus souvent,– qu'un homme est devenu le président de la RF–jninistre– membre de n'importe quelle academie –candidat à ces académies administrateur d'une compagnie quelconque agent de change –exploratëuf– président d'un comice plus ou moins agricole membre de la Société de Géographie président d'un cercle~– commissaire délégué à la surveillance des cuisines de ce cercle–voyageur de commerce– starter au départ ou juge à l'arrivée des chevaux courses etc., etc., etc. il se croît.devenu un homme célèbre, met un faux ~col en zinc –ne rit plus et né permet pas aux autres de rire. C'est à cette, manie déplorable qu'il faut attri'-buer la tristesse' qui a envahi presque tous les

Eranpais.

.'A défaut d'antres choses perdues, hélas! il nous restait l'esprit! –Il s'en va–.

Général deGALUFFET

~86~. Dans f~ cha~eatv de Së7ne-ef-Marne .Ily aun an,.je prenais mon ser~ceici. J'é'tais arrive le dimanche comme d'habitude, pour l'heure de la messe. Le maître et la maîtresse de la maison y assistaient régulièrement le dimanche, pour le moins ce qui n'empêchait personne de dormir dans le pays de France. II faut vous-dire que dans ce château il y avait une grande pièce'd'eau dans cette pièce d'eau beaucoup de carpes–et parmi elles une carpe qui détenait depuis des siècles une bague magniuqùe fixée à ses ouïes du moins on le disais–Je commence Le camarade quejeréle'vais de semaine avait été promu au grade supérieur;et devait sous peu de jours rejoindre son nouveau poste à cette époque, on aurait rougi de fair.o toute sa carrière dans la société du chef de l'Etat.–Je'h'insiste pas.

Mon'camarade était très ému: n–Voici, me d)Ml, ce qui:Tn'est arrivé ma. femme, que "j'aime et je respecte, a voulu que je lui rapH por'te une carpe ù!?t/Ae7!~Me de cet endroit–la plus grosse sr possible. Ce matin diman» che, dès le~potron-minet, je suis .descendu jus- r H qu'a la. piëpe d'eau j'ai nni par harponner 'une carpe~de dix-huit vingt livres. Je l'ai "jetée dans ~on; plaid apporté- tout exprès, et H j'ai regagné rapidement, ma chambre. J'ai M'jeté sur le plancher'plaid et carpe; mais voici M que~cei!gaiHa,rde s'est mise a sauter.Je la B saisissais, mais elle m'échappait toujours, ~glissant entre mes doigts tout à coup on ;Hjfra.ppe\à. ma porte.–Je crie: « Qui vive? » ~))tjG'était le patron tt La terreur rend ma main ~plus.'habite. –Je saisis la carpe,, je la- jette ~'aans m'on lit-la CQUverturp~essus. .~oJ'oùvre au patron sa chambre à coucher, ~ai oublié de le: dire, était. au-dessous de la M ~enne. « J'ai, me dit le patron, entendu un grU.nd bruit. J'a~craint que vous ne soyez ma-.-~ade, 'et, sans .vouloir réveiller personne, je S.uis monté pour m'informerdevous.~ & II s'inB formait de moi–c'est certain, car c'était son intention; mais~l ne cessait de regarder mon' "it, ou était is carpe qui agonisait; sans, pudeur aucune,- en dansant sous mes couvertu') res. Le patron s'est retiré mais il 'm'a paru inquiet de te qu'il y avait dans mon "lit, et je le'suis aussi, car il unira par connaître ~monlarcin.. ');LBS femmes, et principalement les légit~ "mes, ont'quelquefois des désirs baroques'; la imennë~m'aura mis une ma.uva.ise auairc sur

Mie.'dos.M'

Hiersoir~Dn était, après,Io<I!ner, réuni dansMn: salon.– Le'temps, très sombre, prêtait à latris~ :tesse,"Qn parla <t crimes'): Les femmes ràffûlëht .dë,.c.e~ujct.C~gu':ëU~ le crime, .e'M~~t.ft-e –'Je crimmël~quana elles' par-" 'yiepnMt~Ië'cohna.~tre~ n'est'.aim~~ su&e mMcM–où 'Lien

yent~ue'-pa~amou~'d'clles~ii.Tëc~~

Apr~ a~vot~~I~~s'cfLmës"~ gt cla-`

tiês. on pada .des autres. s H y .a, dit :Ie maître :~u/6Mteau,rdës~mm,eg~ue"B; perçoit pou~

K;ainsi'd]re,ëtsi~~në~Grie~s~~

M c'est par peur .d'accuser un mnocent..H y'a un" M an~environ,jeme suis trouva dans une tcrribte "perplexité.M C'EST LA c~RpE DEScH.z )), nepus-je m'empêcher de m'ccnerH. On m'interrogea avec grande bienveillance je vendis mon camarade dans l'intérêt de la morale tout !e monde rit beaucoup –ie maître de la maison me remercia et j'eus un succès qui aurait dû.en bonne justice, revenir à mon ami Sch.z.

~Vo<<' du co/~Mf. C'était encore le bon temps non plus celui d'Austerlitz mais préférable à l'ère inaugurée par le mémorable siège de Frigolet.– ° (A .!M!M'C.)

Gênerai do Galliffet t

1 11

NOTES D'UN Bmm ~eudt yM:~<?~. L~ Espo: 0 cette grande cour triste de caserne qu~tounent des façades mornes et grises trouées d'étroites fenêtres, ce couvoir officiel que je ne sais quel ironiste dénomma si drôlement le bureau des Vo-, cations 0 ces bavardages d'entr'actes, passionnés, enfiévrés, grineurs qui commentent la toilette de celle-ci. le talent de celle-là, à tort et à travers, qui s'emballent, qui font songer à quelque débat de parieurs avant le prix du premier pas et que dominent des strideurs de trompettes qui préparent leur concours, qui semblent parodier une~marche de triomphe 0 ces bonnes têtes anxieuses, ~endimànchéas dé-mères ou de tantes qui se reconnaissent, se surveillent, se dévisagent jalousement. <:o sourient avec des lèvres pincées, des attitudes papelardes qui réjouiraient l'inimitable Huard et Forain Et tous ces petits masques roses, charmants, froufroutants, qui sentent la jeunesse, qui n'ont encore montré qu'a peine'le bout de leur nez dans le carnaval de Paris I

Quelqu'un les nomme les uns après les autres à côté de moi.

Cette blonde ingénue aux prunelles d'eau limpide et qui donne l'illusion d'une petite cousine de Baretta s'appelle Sylvie comme une bergère de. fête galante; cette brune exquise qui sourit a la vie avec une bouche si radieuse et dont la distinction suprême, l'élégance simple ne paraissent pas à leur placé dans cette cohue bohème est mademoiselle Fava. Voici encore mademoiselle Carmen de Raisy, une fleur meurtrie, un camée de Montmartre au charme étrange, mademoiselle Robme grande, souple, avec comme du soleil d'octobre dans ses bouclettes de soie et d'une harmonie de lignes, d'une joliesse délicate qui suggère aussitôt le souvenir des pas-. tels adorables d'Helleu, mademoiselle Colonna Romano, alanguie. indénnissàble, comme quelque princesse d'amour et d'exil et dont les yeux nostalgiques, profonds, veloutés s'irradient .comme de clartés irréelles. Et tant d'autres que j'oublie les rosés de de'main.

LMMCf: ,/M! Le MaM~M/eAe.–Nous parlions de ces ((souvenirs'! le ner entraineur.d'hommes que fut-le.général de Galliffet détaille ses aventures de sabre au clair ej. de sabre au fourreau, et le comte deX. qui fit toute la campagne du Mexique dans cette contre-guérilla dont les prouesses folles mériteraient d'avoir leur historien, s'écria a C'était après une chaude journée oùnous avions tenu bon pendant plusieurs heures contre toute une ruée de cavaliers qui pensaient nous surprendre au gite mais avaient compté sans leur hôte. L'ennemi balayé ainsi qu'il convenait, Dupin, flairant quelque trahison et n'aimant pas ce genre de plaisanterie, avait séance tenante composé une façon de conseil de guerre et à l'exemple de Montluc fait brancher autour du village, pour le bon exemple, la douzaine complète de notables. Les arbres étant rares, les lanternes encore plus, les poteauxtélégraphiques avaient, pour la circonstance, servi de gibets. Ces représailles accomplies, tandis queues hommes dormaient ou montaient la garde, n'eus avions, pour nous tenir éveillés, entamé une émouvante par- tie do « monte un petit jeu que je vous recommande pour vous décaver encore plus vite qu'au poker ou au baccara. J'avais, ce soir-là, une de ces déveines qui comptent dans la vie d'un joueur, je ne'cessais de perdre et de reperdre tout ce que j'avais et tout ce que je n'avais pas. Et soudain, ne sachant plus à qui'-me vouer, je songeai aux pendus qui se balançaient,-la-bas, le long de la route d'Orizaba. je m'esquivai de l'air le plus indifférent pour allerrëcolter quelque bout de corde qui ne pouvait manquer de me~ porter .la chance. Aht mes amis, quelle équipée macabre! Et fallait-il que 'j'aie le cerveau d'aplomb pour n'y'avoir pas laissé toute ma raison! Une-nuit d'orage, noire à ne pas distinguer une 'sentinelle d'une borne. À tâtons, je heurtai l'un des poteaux. Et me voila grimpant sur ce sinistre mât de Cocagne. Do lourdes ailes, probablement de vautours repus qui sommeillaient sur les épaules du macohabé, s'éploient, me soufflètent. Le poteau craque, oscille, s'effondre. Nous roulons, le pendu et moi; dans le fossé. Vous voyez cela d'ici. Mais je tenais à mon fétiche, je coupe en hâte un morceau de la corde et je m'enfuis pour ne m'arrêter qu'à la table de jeu, où l'on no s'éta.it même pas aperçu.de. mon absence. Dans quel état. je vous le laisse à penser. Le moins drôle de l'histoire, c'est que je recommençai de plus belle à m'enfoncer, que je ne~p.assai-pas une seule fois. Et comme je m'en éberluaLmalgrémo~ et racontai avec quelque dépit, aux camarades ~e que je venais de faire, Dupin éclata de rire et s'exclama <'11 y a maldonne, mon M cher, la corde ne vaut quelque chose que si le ') monsieur s'est pendu pour son propre plaisir t Et il reprit la banque jusqu'auxpremières lueurs de l'aube. H

Je:<y~7Je/. –tfGMn~Pa~'s. –La divine fête pour Ies.yeuxqui.ne savent que préférer parmi ces scënes de victoires; de légendes, 1 d'églogues, dont rien ne saurait surpasser l'arrangement ingénieux, l'harmonie somptueuse! l Et tout le passé, toute la magnificence, tou-~ tes les choses belles et grandes qu'elles évoquent. les .cortèges, _les galas, .le- cérémonial "de cette Cour de France -quL emplissait le monde d'une éblouissante lueur de phare .et où. chacun-venait apprendre ce que la. plupart du~' i~ bHent et ignorent dans le pêle-mêle d'aujourd'hui Les batailles que domine le geste majestueux de Louis XIV, qu'emplissent des che- vauchées roses et grises de. mousquetaires, des horizons de remparts et d'églises pcrdua dans une fumée.decanonnade~les Saisons où Bérain prodigua, fantaisiste délicieux, sur des fonds rô-. f ses et.ambrés d'aurore toutes sortes d'ornements,' de guirlandes, de médaillons, d'une grâce inftnie ;!es épisodes du «.Don Quichotte e .où des singes malicieux brandissent môqucusementlourde lance surannée du famélique compagnon de SànchoPança; le tumultueux et magnifique cortège de Dyonusos et d'Ariane avec son char tramé par des panthères, qui de leurs crocs arrachent des grappes mûres et le Silène ycntru, radieux, que narguent.etagui- chent les Bacchantes éehevëlées le paysager calme sous les feuilles frissonnantes des àul-

nes'et des.sàulës, entre :Iës tiges' dès roseaux, la

princesse: d'Egypte et ses ailles d'honiieur se'

penCRent~nx[~ùsessur!e'~rM~

M~ïse, ~urient au c!~ souripe du'nouyeau-në;

Et, au Idio, .:ce ~ht~ de ,~ble'ni~~cdups'

,marteau;qurTësdanënt;sans3re~ un bp`ut.a

raQtfc'd~t ~~Ts'Ënc~ré~ duv -i

Mpbdier.~des ~qups .saccades qui ..vous împres" :sionnent'vous~~ënrent.'comme. ~'pï~sag<~ ~ë~âiyairË~t-~dap's.~d~~rnyûQcës~'i'o~~ qui répète, la'voixcifa.udë'et vibrante de made!noiseHëBiII&, pour qui, l'autre jour, à !a maison Dubois, d'aucuns faiMirent enti~eprendre un sem' ~blant d'émeute. <

Montmirail

~/cc-~fe~ Pc/v~/M

oc- o es a r~s~en

Les dernières jansémstes

La folie de la persécution qui sévit en cemomën' dans les régions gouvernementales n'a épargné ni les Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul, ni les Lazaristes, ni même les Diaconesses, cette congrégation protestante-qu'on n'a pas encore dissoute, mais qu'on dit menacée.

Or dans cette œuvre de barbares, il y a une congrégation, peut-être la seule, qui est à l'abri d'una dissolution, et c'est une congrégation janséniste, autorisée expressément par un décret de Napoléon 1er la congrégation des Sœurs de Sainte-Marthe. Ces pauvres femmes ne sont pas bien nombreuses il en reste cinq; ce n'est pas de quoi préoccuper le gouvernement, et ce n'est plus qu'un souvenir qu'on peut dire respectable, car, à part leur erreur religieuse, ces femmes ont toujours pratiqué la charité sous toutes ses formes.

Elles disparaissent lentement, par voie d'extinction, dans un petit village des environs de Paris, à Magnyles-deux-Hameaux, où elles se sont réfugiées, il y longtemps.. )

Magny est entre Versailles et Chevreusc, à peu de ~dtstaneede Port-RoyaI-des-Champs. où il n'y a plus pour rappeler le souvenir du grand Arnauld, de sa sœur,.la Mère Angélique, et des dernières religieuses de 1 abbaye cistercienne, qu'une 'chapelle récemment élevée sur l'emplacement de l'ancienne église. < Chapelle est un terme impropre, si ce n'est par l'exté.rieur; en réalité, c'est un oratoire-musée, et un musée bien pauvre, gardé par un concierge janséniste. On sait que.la congrégation des Bénédictines cisterciennes de Port-Royal, réformée par la Mère Angélique, fut dispersée en 1700, en vertu d'un bref apos.tolique qui datait de 170~.

Ni la Mère Angélique, ni le grand Arnauld, ni Pas.cal, ni la duchesse de Longueville, ni le doux Racine n étaient plus là pour les protéger. Nicole aussi avait disparu.

La tombe de Racine fut transportée à ce moment~ Saint-Etienne-du-Mont, où elle est encore. Les daHes: des autres tombes ont été réunies dans l'église de Magny, où elles sont rangées le long des murs intérieurs et cataloguées monuments historiques. L'aute) de l'église est aussi un souvenir, dit-on, celui sur lequel officiaient l'abbé de Saint-Cyran et l'abbé de Sainte-Marthe. Le Louvre a les autres souvenirs de Port-Royal-des-Chàmps, les portraits et le retable de Philippe de Champagne.

Les Sœurs de .Sainte-Marthe n'existaient pas ec I7P9- C'est en 1713 qu'une élève de Port-Royal, Mme J ourdàn, créa cet ordre nouveau pour continuer l'œu~ vre des < petites écoles~. Elles recueillirent des enfants abandonnés, et on les laissa tranquilles jusqu'à ît Révolution, qui les dispersa à son tour.

En 1810, Napoléon 1er les réunit de nouveau veau, teur accorda une autorisation formelle et lem 'donna des fonctions presque officielles en les chargeant du. service de divers hôpitaux et des innrm'ehe: de lycées. Elles étaient A Beaujon, à Saint-Antoine et à l'Hôtel-Dieu. Beaucoup d'anciens élèves de Louis' le-Grand se rappellent encore la Sœur Adrien, chargée de leur infirmerie, janséniste intransigeante qui es) morte presque centenaire.

Il y'avait aussi, au dix-huitième siècle, des Frères hospitaliers, ndèles à la doctrine de Jahsénius, qu'oc appelait < les Frères Tabourin Ceux-là ont disparu dénnitivement à l'époque de la Révolution, mais Ici Sœurs de Sainte-Marthe ont gardé leur situation jusqu'aux laïcisations d'il y a vingt ans.

Elles se réfugièrent alors, au nombre de dix-neuf, dans cette maison de Magny-Ics-Deux-Hameaux, où elles ont un jardin, une tranquillité absolue, le vois:nage de Port-Royal et les pierres tombales de l'église. On peut voir chez elles le moulage de la tète de la Mère Angélique après sa mort, et le portrait de l'abbé de Saint-Cyran.

Elles n'étaient plus que onze en 1801. Elles ne sont plus que cinq, et placidement elles attendent Finexorahlc&n. Voici leur costume religieux: une robe noire, une guimpe blanche et un bonnet blanc. Ce n'est pas le costume des cisterciennes.-qui portaient une grande croix d'étofFë sur la poitrine cf~ûtf~ voile noif sur le bonnet blanc qui entourait la t6te et rejoignait la guimpe.

Le jansénisme est donc bien nai en France. H brilla d'un dernier éclat~au dix-neuvième siècle, avec RoyerCollard, et il conserve encore quelques adeptes, no< tamment un professeur en Sorbonne, et d'autres a Lyon, mais il n'ya'plus en France de clergé janséniste. C'est en Hollande qu'il faut chercher un clergé janséniste. Il y a là trois éveques, l'archevêque d'Utrecht et les évoques de Haarlem et de Dcventer, qui ordonnent des prêtres et ont même sacré un évoque 1873, le professeur Rcickens, de Munich, qui s'était fait le champH~n des <. vieux catholiques Un instant, M. Loyson~l'ex-Pére Hyacinthe, s'était rattaché aux jansénistes de Hollande, mais c'est ËnF: jan- sénistes et'Yieux catholiques disparaissent par voie d'extinction dans le grand mouvement qui. emporte les esprits .vers le catholicisme ou la haine du catholicisme.

Tout-P&rls

Le Vice-Roi

ce Ol

"de Toulon

CmMMti.mamtirmxmfttteammt PAR M. GASTON POLMKKAIS

L'impeccablesoldat, l'homme courageux e' bon auquel les ouvriers de !'arsenal de notre premier port, de guerre avaient donné le surnom. qui est un hommage, de f?cc-?'o! de ro~n, M. l'amiral de La Bonniniere de Beaumont, se repose pour la premi&re fois depuis quarante et un ans, à la suite des circonstances que j'ai racontées, et de ce repos, cette fois encore, -c'est la France qui pâtira. 7 J'ai voulu .voir,l'ancien ~préfet maritime de Toulon quelques jours âpres la,mesure quil'a frappé,'c'est-à-dire dans cette période ou ta philosophie .propre, aux grands cœurs corrige et tempère les coups de l'abominabie .politique.L'amiral de Bcaumont'~m'a paru doué dëcctto .sérénité'immuable, qui reflète les consciences droites et. libres de tout reproche. bonscief)cos

De :taH!e mince, serrée, .dans une redïngoto noire, son profU anguieux, éclaire pa~ deux yeux gris-bleu singuhërement Umpides et doux, donne .!a profonde impression, d~un homme brave et d'un brave homme. On comprend, en: Ypyant.rhpmme, lés' dévouements passionnéa qu'il inspirait à ses équipages, aux.ouyriers des~ ports, à fous ceux qui vivaient'autour de lût, dans sa zone.

Je regrette, amira!, –lu~dis-je– devouz rencontrer en pareiHe circonstance t i Mais !ui, m'interrompant J:

–Laissons cela! Le ministre"!n'a. donne ua

ordte.jerai exécuté, voilà tout!

"J'ajoute qu'on :mt:-notiuaà~ quatre heu~jt l'ordre d'avoir à jquitter tes,- services de la~rë.-fecture maritime'à six Ilcures ef demie. je ma 'suis rigoureusement conforme à ces instruc-

.tions.

J'insiste, cependant, pour/obtënir!a:ersioa ~exacte de l'incident qui a servi de prétexte.àl&'

disgr&cë~de l'amiral.

1: –II', n'y a .pas un.mot,de yra.i, répond:m6nmtëridcùteur d'une ~'pix ne't.te~~a.ns te recit~-qut ~a.,ëte jmprim6,_L' a:mctdeM du Il* ju~liet se~ redmt à cëci:BÈs -m6mn'civ~ë 'dans .ta'~ ti'.ibûn~/ -oTncrëlle, j'm'etésaluer~p~âùltoStés.'G~

~déyot~açc6mp!i;.jeip~d&ht'g ~t'~u e~r's~;r

~niassaiBht~vahtJ~déntë~jë~më~iâ~Q~a~

-prë5-ÏM~ai~uvài~


:'dë.a tribune, et.~echau~éjg~ mots: awéç~;

a .Puis, tout~ën regagnant; ina.L-pIiMe,ai p~ss~

{devant une'enco)gi'iu~~ùëtaie,nt,.yang'éesquol~

;ques chaises r6seryjëes:auxpuy~c~q~i'a~~

.construi.t.Ies tribunes, et-e'ëst.qu'&yan~aperçn;

? personne~~onf il: a~e~u.estia~. daus.' j.es~

..journaux,~e'.lM~ ar-Csa~eh'passani-un sigTïC,?d&; -politesse avec la .m.ùi~ IIi est dons. ~aux de;diro que cette pei~QQ~6~i~ a; cotg~maiEe., du; 'sous-préfet,: ët.des ofn'ciërs~ ella,ëtàit dans un,. .cbin-obscur/ayec ,queIqu~:Qu:vriccs,, tncs.IpicL~ des~ autoritcs~ J'a]ouie:~que'"jë'ne lui: ai. pas;d0nnc~ Ïë 'moindre laa&se~pa'ssB~bien. qtie~esjommaux ~ài.en.t~ paraît-i~pubH.~ fae~simi~dë' ce. prétcndù:Ja]sse~-passerT€'vêtu'de sta~ËJgn.ntûre: H;'

J'.ou'vre/:ici'une.r parenthèse,.poup-noter qu'il ~r~:reste.n'iEN~ ~soLïjMEN~.j~N', des'~icfB~pa- T<?~s invoqués contre' l'amiral de. Bea.uTnont, po~r. excuscrja, ddubts disgrâce.~ qui lui fut in-

~'Ëj~e,tjë;'ë@nSa~e.

–Vous~'ig~~ez'; pas, ajnira~ qu'une

'dàas?Ija~spsc7M-de/T~BL3Hsë, j;uy~-

-dera!Br,an~Gle iBspJ!& 'par '.Ie?~ca;biaet.' du; mi-

;mstre~e~ë(~it,,d'i~o~pjar -Je' commaud~~ ~?i::

gn.ot. d<HBaaaa.]t ,V0.h:e .l'évoica.tiaYii,. sous-p~ëK~ei

que/vous, aviez porté, le dais,, a<v6js'- J~a.'nii.r.al. ~dë~ Maigret,?' une cërëmomè: que~ présidait. Mgr

'é~G.q:ue..dsFi'éjUs. '<. > c

-Cegrtef,merépond.neMën]eQ.t,l'amiral,ji'esi: .pas~.plus.. exa-ct que le,"préGede.nt.. Je; n'aj':pa.s:

Tbaimeuc de cannaitr~ M~p' l'4v~que:'dë~ Fpê'jùsy.

je~n'ai jamais. pQrt~Ië'-dais;a,'UTte Gërémohie re-

l]gieuse~av<a\I'am}r~Ide/ M'aigri 6.u aivec .qui que ~e soit, et'je;në connais même pasTendj.'oit (m'.s~est.ë~ectUGc, cette; cë~ë~o.me. –.Mais~alars., pourquoi: vo.us-.a-t-oi~ frapp&?

–JB~igBp~e;ettne; veux'pas, Ïo~sa-voir; le: m.i-

ms)n'ei~u6S'de son'.drait&nme;peDipIaga;nt,,je M'a~ pa& a discuter ce droit'. Tout au'pius-puis-je; EectHier les. lôgendës dans lesquelles. on.= 'm'attrib.ue

".UTiroIeqj.iejeh'ai.pa&JQuë..

–On prelend, amirar,. que. le; .commandant,. ~ignot.SËEait.l'ihstigatënr d&Ia.Biesure. qùH you~;

-a atteint.?~

Jë:-n& connais; pas personiienëmenË M. le .Kmima.Bdant; Vignot;- il':a- quitte d'ep'uis'lbng~mps la marinë'.pour le journalLsme, et' Ic~orps~. de&oMciers n'a.plus- rpccasiçA d'avoir des rap-

ports a.vec lui. Jë::crois, 'd.'aiHeùrs,: queLM.yigriot,,

jo.urna.Hate~m~atta.quë da.ns;les,jo'tirnaux, ma~s Eomme~publiciéte il ëehappe. a~ ma, ~cojnpë.ie.nce

atijie~ac:epnpais;pa.s~FofïLeicr.,

!), Au surplus, laissons, voulez-vous~ ce~tfisies -gùge.is~ j-'aime; nai'eux me,' -sauvenir de\ l'a. tou-shaute 'ma.mfestatMn.dont.]'a:i' 6të FobjeMors: dë-

MGn.~dëpàrtt dc~Tou!en,/T&e.,fouLë; d~

ymgt millB personnes,- appar6ëha;nt\ a. toutes les

elasae~de~'soËlë'm'a.doQ~~ lë:plus~.prëeiëux;

I~mmage.d'-ëstime,et,mon.&~ e,st: ë~cors;

t~u LëmN. J'ai même., interrompre un- nëgocianttaulaQnais'qtUi:dans;sa;-harân'g.uB' a.va,it~ugë:bon ~attaquer-M~. CajiEulte'; JPeJïetan.

«.Je neJpui5,pëEmettre,ui ai-je: di~, qu'on' àita;-

? que Te. ministre: de~ 1s. marine. E.N MA PRÉŒNOE"

~;ETA,'C!A.ÙSE.,DjE:M.OltB »

r~VQ~QU~aj.Q.uta~l'a.niiral: dë~ sa. bonne. '\fojx, ft~'ncli6"et~eite,;j'aimË. trop~msa-pays pour Lnë'pas~;mëttrje rmtërêt essentiel de la. discipline.

-ra~~dessus ds.t'o.usJ8aa~es.-Po.tu''moi,-E'~

~N~BSTRŒN,/EA.;M6GIPLlNE-TËST'~r0.1jT'

.Bt.'d'us sign'e~.l~amu'al me. 61 sentir (~u'il~vouI~reRte~ su~cëttë'adjnirabIè/paroJsJdeTëstgna- ~Qn ~atlàoiKjue; e,t .d'abhë'gatibn' persbnneuë~ JEt tandi~q.ue~é.cou.~is: ce~ che~l'rapp~. en: pleine:. -]8~nejs.s.e,;dansda.ûe.ur'd6.son activité- &t,de~sj3Q

talent, ppecti.er 1~. s&min:ssj.on~. a.Moiu& à- un'.

ordre; qmU.'a.vàit atteint au.p.œm', jB- me: souvenais, quiuer encore~ JM-Gamille: Pellëtan, dans.son discours de, ~.aloj! déclarait. que:-le

'c gé.me, ds.Ia. Fràn<eL))tpJanajt';suE s_a,tete.

J'espère, que,,si~ ce. g~nJLe-n'es~ p,as. Gelui: du

M:a~.H;s.ug'g'ëi'ëra. &.M.- GàmiJte Pelletam l'inspira-

Son de pe.ndre; M'. l'amu'al- de; Beau mont: à ses; navires" et à se&êqùipàges, dût.. M.. la comman,da'nt., ën:Tetrait'e~V~noi Briser dë.dëpitia; plume 'mystérieuse, avec; !aque~e;il'- prépare; e:t.'f6j-

~ule~l~ret&.de~

s'" jQ''a.ston:ToIlonnais;

n'ÏlE~~DEi~ERJ.'n~'

Oa'acGjase; la.: soci.étë.modepne~de.degGaérQs-

M~c.e~–D.'oj~vient iG.matI;?~ Suj'toH~de/Jf'usag'e:

Bxag~é'de~ apéritifs à essences qui apport.ent. dès ~noubles~si' grades M~ circuiatioBj, à: mi-

.PlusiBjirs, mëdècms ont pTOpose de. subsntuer tous' ces; apéritiîs iB.yinD~siles. (Sb; ~in est, en

eSst,mervei!reux' sous. ce rappDrt' iT dËcon~es-

tio.rme~tous. tes Gr~a.n~s, tonine le cceur, ealm~: Eësjacaa.û, qu'U; prépare; .adtnira..bLeHieut à: cet aGiapnnûipàldùj0ur:.le.rëpa.s.

M;ON:DANIT'ÉS G~t-0!S-€îU1DE E'

.AUJOUM)?SUI MARDÏ'-

Marchés aux~flëurs,–Place de la MadeJeuM, place~'~oItàiTe.Passy~rieDubaD).

't3&u-h. a.~h. –Mttséc de l'QpÉra (maquettes de, dëcors,. manuscrits des gcanda GQjapQsiMms,

portraits/d'artist~e.s,)..

Ce n h.. à: 4:h.Musé&et hôtel de Cluny-t palais' des~Th.ermes,,24~.]:ued)iSQ.nim.erard~.

9'p;h..â~'h.MTJ~e: Cërnusclii,; 31 avenue Vëlasquez:('lës.mardi, jeudi et dimanche). Bouddha deMëgdm:o(.Yeddo),3irz~av.J.-C:–l€:Dra~on: japonais eiEem par' Toun.. le Vase dB SacriRce~.

2io6;av..J;C.

~e n.h.du'màtm., â-irh'd).i sb.l]- Visit.& dans tes

galeries du-mùse'éGrévdp.

-w_

CHRONIQUE DE L'ÉLËGANCE La' mode- est anx..cha~!ies~de cou & coulants. On ~licrcKë âleurdonherdé l'o~ginalit~etdel'a rithesse 3ans se préoccuper-des .ptoportions, qui sont parfois.

~ssez étendues. .L

"Cette mode .permettra d~utilisëEcertams bijoux: liors

l'usage plaques de bracelets ou médaillons, Boucles ~'oreilles façonnëes~ anciennes épingles de. cravates, smNéma~ques.~EnvoMi une entr'aùtres, figurant une. ~que de jockey. I~a'coiSe est uns grosse-perle.barotrue ornée: d'une visiéfe de 'brilltmts avec bdurdalbue ~e rubis et bouton dBrnhi.s surle haut de la toque. Eh supprimant la tige~ de l'épingle, on en a fait un roulant des plus; elëgant~ accampagnant un simple cordon d'br/soup~é:get~e'empire.G~

~tiES..C:OIIRS,

–1.Ïmp.eratrlceEùgënië est'àrrivëe~ hier abord ?: ~c.son yacht, Ço~s (ilëde Wight), ët~ rendu visite ~Y~'mRo!, Edouard VII-, â.bord du' Vfc~~t~. a~~6<f/

~J:i~e~tactueIlemenf~enrade'de;Cowes.

N.ous avons.~mtiQDcc):n'y a. quelqnas jours, que: t~.tjaih qui: transporta.iC: d~. ~enise<.a; Saint-Fëte.ES.o.ufg. la.' Rcitië: 0]g~a.?ec. leJPcmee,€tu-istpphe, le. plùs,~ëu.ne des enfants dmRoi:et de laReine GrecB,. '?, &yalt dËraill~ sur le temtoJEe. russe, mais~qu.e, ÎLeuieuJemept~les augustes voyageurs n'avaient eu auc'un' ~al~~&'R.em~.a.~pu'continuer sans encombre son.. .=.- voyage à Saint-Pétersbourg. On-telégraph~ maihtenaht"~e'"la ~capitale russe ~'un ~service: d'actions de grâce ~êtë.'c~it~)t.e~dans la. :IiapeÙe du palais 'impé'nal.eiLpreSËnce~du, Tsar Nico-,

f. ''a~ II~de.'Ia Tsarine, ,dë tons les ,Grands-Dues:etides!

Grandes~ùthesses;actueUèmëntaSaini-Tet~sbourg.

.chiduc- Fred~c, .rAr~c~ Isab~elle~.

I-ArcM~ c 1?,Arciiiàuc RëniêjR ~ëtaient rendus Rier,.à/la.~aM~à''yiénne,au.-devant

Reine Marie-ChrisUne. et. de~ l'Enfante Marie-

-LES 0

~tB'd~Grand-Brix,.de"?icËy,f~ tour.

~îe.vaise.'très°\elë&ant ~G&ëz la comtesse''Edmond' de-

Eastic,' eh. sa ~ravtssa.nte.~iUa des Brosses~ à;Bëlle-

~ù~noinbre./a.BS.în~Ltës:

;f ~L Coin~esse Le Gonidec,' TnMgiusë: de, Poyan; bàmune da'

~omm~ hajomi&~d~ Ij~~M~ fte, lime~~de,Saint- er,.

<<~meBLtbost'3e~Chtzor, vicomte d'J~ey..Y!~mt&~e

~Ta~'lieutNi~ M~ci~ baToh I~îcbvre,< coniie. de; 'Péla.-

~?'jof,baMn~aë ~nrëtte.î~Bergeon; vicomte .de~T~

~DB~Gmidec,b~ I~BeauIuerc,etc.y.'

~Ea.' comt~ n c;

~,A '"Ïeme~jrëilieùreusement a~ e,une. e.

~La~eM~t~'ënfant.se pM~

SMi~eni3:j.j!!M'mand~ organisa, ~fmC-~e'.3i~

:ëlon~l~~co~

~&6b'ei~Tlanqnët~~ët':pëndact~~

t~ooetes'ëneams~e~ançais~

~~s=p~

ëmitë,' Ic-mariage'-du-ntarqûis de Vaucouleuës de Lan-

jamj&tàvec'iabarpnnë'Pa.nlLeVavasscur;

'En l'ëgUsc Saint~er<ltnanddesTernes,l!M~àëté\

'.célèbre le mariage de Mile délaye. Elle du'baroaetde la baronne de Baye; aYe'clc;c,ojnt.e de La 'Erade, &is

de la. comtesse de L~~a~d~~ç AuB~ '~e~te.

'union rcunit. deux des '~S~'Nt~nesmes tamNj~ ..&e

Champag'ne.~t.d'Aùvcrgn'

E~'b.cnediGtionnuptialQ.Ë'té dMT~: p~l'a:: cha-

noine Marb'cau, cure de- Saiiht. d'1'~j~qui, ~.dans,'une-touchante al!ccuti6a,r~p€lc les~SïBatra-

ttba~.dc~dcuxfannUcs.

Les; témoins étatent, ~j~u~' 1~ jaa.riee, B~ eo.mte: 'Sec~c Chercmetleff~ mçj~Ëce~ du c'atj.scN de;'l:'eB3pire: ds-RjKsie. c't-le çomtc'dc~E.u~e~dap~ts; de,~ ~fauEth~et-MoseUe,.son cousin p&l~-m~u~le..nMcqBis,dfe Fiers, son oncle,, et.le comte. Sëfwï-d'e' ILigjTrviUë,son cousin germain. Dansle~ge.: jEa:mtease~a~Ea.Prade,.barbnet.b&rônnede Baye, comte. Gérard ~o:LigruviHe,-eomtcssc,de~LigTtivJU.o, .comte et conitossa Bao!il:do, Q~Sen~ comte de.Ludrc,. vicomtesse de.I'ers~ vicomtesse. dc\~n.lot;o, comto Hocquart de Turtot, marquise do:Saint~Jean-Le~tiHtac, c.omtc et comt&sse de.'V-illors-GrigDpnco~art,, Mlle do; La. Pradë,'vicomte de. CpnLEMvron, comte, de~GhatcaubEun.THc: Yolande ?. Baye,, vicomte Hippoiyte: dë~evrbnno~ M'. 'GHbbrt; de La. Prad'e. MUe, 'de.SaM-t-Jean-; LontU'hac,M.JëamdpQuelen,,MUë'~be:rtB:dq.~uel6;a, i La.tquôïs,àt ë:tij: faite.par''M'Ue'ya!,andB.jde j3ayë ayefp 'Gilhe)d:;de: 'La:,Ei;ad~~ et-: ~Il.ïe.. -~le: ~aict-J&a~-LentiUlac avec le capitaine de.Peyronnejt.. ¡ -(~uelques.tDt~ettes' La. Ta?jssa.n.le marjae portatt-mie robe, de: 'm6.usseuh& ds! sciaNanch~ enliëj'emant Mcouvorf.s: de; poiT!Lt'd*Àng~eteMO.

e~bordÉo de guir.IsndM.de:nëuŒ d'ofamgor; mantea.u de

Cour,:cn.pouit3'A.ng]oLcrre, MiS'u.ra. grGcqtia. ayee. Bande- de lëHes de. ftcu.rs.d'Ql'u.nger.. voiio do tnllG baromip de Bayb. rob&prlncessë en ga.iptu;e/d'Irlande. sarmau~sclinB de aoic gris perle. cha.p! biMU; et Boi! c'einture-dB. ttule gns.

porte; MUe, Yolande de.Ba~'o. robe de mousscime de. spie

blanche, col de~~encK'iLn.cs, chapeau noif: comtesso: de: La:Prade:robe de guipure soie fond paLUe~-comtessa. Hao tii de.Qtielon:obe~ do. guipure créms.incfnstde.da chantilly/chapeau rosé; marqtuse dti~&nnt.-Jë.anLentU.hM robe. guipure.noire'~et'Manche. Dans rassistance Duchesse de La'Roche-Gu-yon.donairiore; M. François Gappée; eomto- H. de La. Roc.hofpManIdt Gomtes.se de Ve-.sins, rabbe Gartuor,. viGomtesso Gh. de .Lsusse, comte~~e do~S.mëly,. comte, ef~comtèsso.' (~. do Maigret,, princesse.' e.t; MI]e:Xt!fJo; 'viMmtessa'de.Brimont; marquise ~}ë,'PoIepm, ~tiio de.Pa.nissa-Passis, comtesse Terray. neeBa.r.ba.ntanc~ marquise de Noe, Mlle Poizat, M. Alfred Polzat, comte G. deMiïamon,etc.etc..

Après-là cërcnionie- religieuse, la baronne de Baye

a.doané une jëception'dans son: hôtel de' ravenue.de:

!a,Grahde-Armce,.o.ù les: nombreux cadeAuxët'aiiejQ.t expjosés' t Dans la corbeille.: diadème Jauriers en. diamants, brocha perle, et diamants~, bague cmeràude.et. diamants,, bague saphir et diamants, bague perles, bague diamant,/bo.urse en or,. çoFrët argent, 'superbe-collet. de zibeline et.maneHon,eveDtait, boas plumes, sac de ~voyagé, missel, gros diamant.s.olitaire.:

'Baronne de Baye, d'onau'iorë-: drgahtcrio' compleLe Lotus XVL snrtontde table argent; baroa etharonnë do Baye dMdmpe,omorande.&ct,diamaBts,.g'raQd.e,fI'3che en: diaiDants,. croissant/en.. diamants, bracelet diamants, 'montre Louis. i XVL chàmeor-ot. turquoises, bagnes diamanta, saphir, ru-. bis, denteUes-anciennes, fourrures~ cven.tâil; eomtoBsèda' ~La'Pj'ade:; plats d'argent.Ldilis.X~ Mlle doLLa. Pjade~ et, M'GiibBrJ;dc.La. Prado.: i;fands candélabres, argent. Louis XVI MUe. Yolande, de Baye 'ba.gtie rubis et diamants,, "nœud'diamants,' épingIo'parIe,'gourmcUe sa.pjlirs~ :eoritou'e. ;de: voyage, boita.Yermail;' Mme Hew.itt Wiikinson collier. y duperies et; diamants~

Marquis; de, Elors,.tM argent ;.CQmtGSËC do. L~ruville,,

~montre, en baillants; marqins et margjLiise de Samt~Jean

.LenHUiac; bagne saphirs et- diamant,, gourmette saphirs S comte et comtesse Raoul-do Quelen, ga.mitùr.e do toilette eN: Ye.rmeil.Loais XVI; camte.'et; comtesse de; Y'lUcrs-Grignonoburt, chocolatière argent Louis TCV ~'comte GÉrard de: 'Lignixille, pelle à glace.Yerineil; M.~jan et.Mllë Robcrte de Queien, tonilloi.re~ à œufs:arHen~ duc c~duchesso do.Rohan, corbeille ~iaux serres; princesse Ma.n~ ~Bonaparte, bague! perle, et diamants:; comte, et oojnteBS~-de.LudrCj co.npecristàl et yermeil; duchesse de 'Ba.ufft'emdnt,. nao d'A~ibusson Lt.FemiIàde, boite ~a.thé.TormBil;'duchesse, de. La RocheGny.on. douairière, table ancienne Louis Xyi'; comtesse: Gaston; de MontBS.qniou-Fexen.sac,.IIacon; duo. et. duchesse: de Trovise, soupière vieux saxe.; comtesse de.~Mbrian doua]~ nere,/v.aseartnonveatL; duc et duchesse d*Aoran'Ms, boîte à th6 vieux saxo; marquis: et marquise d'Arf;enson, bolts cristal.: -Marquis, et marquise de:Forbjn,, groupa bis.cuit. marqui s;

et marquise de Penna.titiër, chevalière en or;, vicomte etvi-

eomtesse do: CoTirtivron, vase-; comtesse, de Korgariou, encrMcargo:i. marquis <:t'm.arqNiSB do'VilJefranche. soupiejBeancionno:comtesse de. Liëdokerke-BMufort, ombrelle; comte etj comtesse des ~!etumieres,~bouclo:; princa et priu~ .cesse ScherbatoS, ombrelle, comte &t comtesse du .Noday, Ba;mbeaux~comtesse. L. de; La- ~Prade, épingle ancienne' comte; et comtessB de Montsaublin,, tM de vovago; vicomte et.~6omtessed'Aula.h,.ba~uê opalB et.rubis; epmto~et.comtesse CamiUo de LKultpsptn, vase; vicomtesse'de Millo~iIIe, .corheille argent; comte ~.et- comtesse diiLua.rt; -flambeaux comte et comtesse A. d'Elva, sucrier vermeil vicomte; et. viso.mtBS~a Hervé "do .G-oureuD' miroir Louis.XVI;-M.; et Mme'.de' Saalty, en-cas; marquis dBÇasa-.Riera,.me.ryei}Jeuso ombrelle pointa l'aiguille, manche emora.udes et diamants; baron .et baronne, de' Vaufreland,'coupe-papier; comte et'comtesse d'YanvilIe, tasse ancienne; Mme do Vërbruggë, thé .argent-~ comleLc.t corn [esse G. de '~Maigret, .brocha art. nouveau;, comte et comtess.o Bruneel,. épingle à chapeau, ba.ron .et baronne, P. de Cha.mbry,.miroir vor[ mGif;con!tB-et: comtesse do La'Cpi'nmcre.broca'champagne.vermeil ;M. Orville~~encrier. yernieil;icomta de: Sain'H:jBon,.dë]euner vieux saxe.

.M. Desgeneiais, hrocY.ermoilLonisXV.r:. comte.et comtesscdeM'ontgon.boîteofLonisXVI; vicomtesse deVauloge douairière,.vicomte et. vicomtesse .'de V~ulogé, Sticrier 'vermcil'; comtesse~Ed~ de Peyronnet, table ancienne M.. et. Mme Oppenheim, éventail, plumes .blanches; baron et ba'ronneBeyens, aiguière argent; marquis et'marquise de Massingy d'Auzac, coupe-papier comte et~omtesse 'de PeyMnnët.n~mbeaux; M. etMme de'Gëpian, broc à champa~. gTM; comt&.et-comtèsse Dtilong de Rosna.y, boutons: portes vicomtessé~'HauLpsul,. ûacôn 'or comtesse do, Courta.rvat de Rougat, ombrelle'; M. et Mtnc'deSretry. Yases~argaht; comte.et comtesse H. de Monspey;'plàteati a;rgent;~omtBsse dc.la:Tout: du Fin. Vercla.use,.boticlc .-comtesse- d'Adhomar,, naMn marquiso: de Saint-Paul, evonMil peint; M. et Mme de Barthélémy, verre d'eau criEtal et vermeil; baron et baronne dm Mesnil, Jthë vieux sèvres M. et Mme Henri L Tonro, épingle a. cheveux rabis. et diamants.. Citons encore parmi les donateurs Comte et.comtcsse: de Baraxols; baron, et baronne d'Ari quinvillicrs, baron et baronne H. de La.ngla.de, comte et comtesse R..da Peyronnet, comte et comtesse de. SainteCroiY, baron et. baronne Roger de Montesquieu, baron et. baronne-dG.Plinval, baron et baronne de Ghaubry, M. et Mme Paulze d'Ivoy, geccralet baronne .Eirgencr de Planta~ comte et comtesse Clar; vicomte otvicomtess&.doVierra, vicomiesso doWaresquiel, M. et.Mmcd.eVIasson, comte et.comtesseMeunierduHoussoy,M.etMm& d'Arbois~ da .Jnbainville, vicomtesse de Lambertyo, comte et comtesse 'de.VàuxSaint-Cyr.M. et Mme Fôurhiër-SarIovuze, comtesse de.Longperier-Grimoard, vicomte et. yicomtessG des Touches, miss Peai-som,. M. etMme du,Bourg, baronret baronno do.Itabaudy,~ ccmtesse des Mel6ii!Cs,;cdmtosse' A. de. Gprminy~ vicomtesse de Saint-Georges, MmedeViIleplaino,. Mlle de.BonteYilic, 'M. et Mme de Pommerean, miss.Potter, vicomtesse: de La. Mettrie, M. ot.MmeOIry-Roederer, vi-; comte H~nri de La. Mettrie,. M. Bt Mme &. Noail)y, c.omto et comtesse H. de Masin.: /'M.et'MmeL Paul Musaïus: Bey.comie~ et comtesse de M.ere, Mme.dd Vega; M. et: Mme Grombez,, comte et Gomtcsse. Hocquart de Turtot,; vicomte et vicomtesse d'Ainva! comto-etcomtesso de 'Vorges; M.'Le Roux do.ViIlers, vicomte Paliuat de Besset, baronne do Saint-Brisson,: Mme KonsnetzbS, comte'de Chabërt-FondviIlë, comte ~comtesse E; de Bueil.HIles de Panissc-Passijs,. de Montebello, ,de Monteynard' de Rui]I& doBsaumont, de Pëyronnet,. de Fiers, de La Roehocantin, de Chargères, de- La. Torre, do Jallorahge, de La BIottarie, Niviero, de RoIIajid-Dalôn, HéreIIe, de.Saint-Sënoch, Zurlo,. du Tillet, Eir~cnerde Planta, de Tristan, Ma.rochetti, Fournier-SarIoveze, de Bueil, de Sinëty, de La.mbertyë.de Chavagnac, etc., etc. NËCROiib&IE On. annonce Jamort du lieutenant-colonel, âla'rctraite, Huot, qui s'est ëteint dans sa quatre-vingtdeuxième année.

Ses obsèques auront Heu mercredi, à midi, a l'église Saint-François-Xavier et :l'4nlmmation au cimetière d'Auteuil.. t. RaoTil ChëroB

'elle.,

:Notte ::eïiqu-ête; 'en~Bî'e~~agne

DE NOTRE. E'N~OTÉ SPÉCIAL.;

Saint-Mëen,'1[e 3 Août 1003'. Enn.n~y'suis, ttaùs ce ~Hlage oU);depu.is moa a.i'riy6~ dânsJa. contrée, .chacun.. se'pia.ts.a.it ù me dirëique jë:né pëurraLis pénétrer. Je suis à SalhtMeen~c~ëjst uh fait, à~Sa.mt.M6en dont~ une le-,

gende ridicute-rëprBsehiRtjt les Jiabitants comme

de sauTag-es-fànatiqu-cs prets.~tautes/Iës brutaUt6s, pEompta aux- coups de" fpurche,empress~s.~ sad~bâfrasser des. 6tran~ers'tr,6p-curieux. aN'y~.UËz pas, m'ttvatt-oEL.dtt, ayant-hLËriIsont brisé Tautomobile 'de.deux'rédacteurs dë" la. De-

~pëe~e de jS~y~ quelques, jours ~au ils,

f:ont.avccla dernièré~vujIence.'BM.tmjené îroisàuitres~ônfrërés qui, pour péBétr~Jaans Te bourg. féroce~ aYaieatéu:ridëebizarï~:a~~ ~dégüiser eh~'gàr~âns~ bouchers. Ceux-là~' l'ont jëchapp6 i bëÙe et h'ont~~l&ur.~saluL~ la. rapidité 'de

Iem~fuitè,B. \~j'

rmpreBsionae;paT~M~tëiTi6atits récits, j avais préparo mon BxcursiDn'~omme une. expédition ,cliBX lès; sauvages,' ~prB'nant.Ië.soin en quittant: Eandeméau'de Qe më~conHer qu'a. un cocher du pays ~e,Saint-MéeM~ q~i~e~ai.t;êtrë mon répondant;auprès',dës in~gène.s, "'me;~m,untssânt n ènnn

d~unëLlë~ë'dë-recomm~dalMn'~ d'.üzi' pretre ori-

sgih~re~a~~ourg~~ ~de S,a~nt=~~Iéen, `lfL.

l'àbbé. GuîllëEm%:mc~së a: a. Lândeyneâù, pour'

rabbé~a.taBh~rë~cu~ë-ce ;mêmë.Saint~Mëen.

-Mpn~Diëù~ ë~poai~s.Gmmen.t .vous dife~ -moLa~ssi~~quë'j~~ch'a~p~ es dangers= -ëï~je;n~puM~ grace l éxtreme;

.nnëâsë~ë~ës~.us~sagëjsse~ ;d~ més$pré=v

'Cc~tiops.:ët.au~i;cbuf~~& °:

~e~qu~ë: ~.f''Sat~ts=

.~è~ë~Ti~~Q~hëntM~~M~ L~ë;

aussi: iQutiIement'pfudent. Non seulement, je n'ai, nuxab&rds:V!~ge, été arroté. par personne, mattr~té~Ra~ ~personne, mals~-je n'ai même ï'encontrûp.~annB, si bien que lorsque ;.je me-d&Gidaia. m~ca la:. -marn, a.u I.o.quet.dela

~cgIise;Q- 6ta~ ~innndep.

j~Q~m~ je n~is; :~â 6rop et si Ic~s,?

,~eiBts.gpuve~;a~ent ~vaiea~~pa~, a.

~~nict% he.ure.~e~uls&a: se~~a.'ent t tes; ~<mu's d~I~ole., ma~ave~ to~=les hab,ir,,`

'S.

X?~E~3glis.~ eepend~t~était~~ae, I~~@Lge ea-. tie~' s'y paiessa-it, l'es~ ~e,Nimes..d:'u:Q cojËé~Llignaa.~ e~ Q~seEr6es,Ie%Èl~~eh~N~ lëu:p~coi'F6Gs'. I~Ëg~mes de I''a~tr&t le: o~~j~LU-. pja;sous,- le~, bras, égrenant de leurs mains jointes .de longs chapelets. A fautei, trois, prêtres: ofndaiènt. a~;ec. une solennit&lente,' revêtus~'ornements dont la' richesse n'apparait d'ordinaire~ qu'aux grandes fêt'os-de l'Eglise.. L~uB: d'eux,: eel.ûi .qui célébrait lamesse.étaitd'une pâleur livide, et sa. voix toute tremblante trahissait une émotion extrême. tHh peu surpris, 'je, demandai à man~ calendrier ` de Hie rappeler'quelle cérémonie~ religieuse')~. quelle- fête gardée justiSait en~ ce dimanche 3 àoût.une. telle pompe. C'est la fête de sainte Lydie,, mei répondit ~Falmanach sans me sattsfaire,ët, renoneântârëaoudrele~proMème.j'ac- cepta.i la chaise; qu'a bout.-ds: bras' uu grand gaiUard~iie. tendit par-de.ssus: les coiSes. blanches; incliaée.s. Le sermon' du recteur, de cet abbé Malach, pour lequel j'avais dans ma pochej une inutile lettre, 'devait me. donner la. clef du mystère. Le prêtne pâle qui. of Sciait, était .un~eafant du pays,. et il y était venu célébrer, à. la veille, d'une persécution odieuse, sa première, messe. ..A.. i VoUa pourquoi ils étaient tous a l'église, unissantr.-leurs, acdente.s:: prières à celles du prêtre, quiavàittenu â.ofucierpour la. première fois: à l'autel de son' 'village. voila pourquoi. la messe se dëroula.itayecsiunesQlsnneIIe minutie, pourquoi- aussi le: discours du .«recteurs sut, trouver des.<iccents:d'une énergie si chaleureuse. qu'eUe semblait.: laisser loin derriëre elle l'habi-, tuelle éloquence d'homélies plus savantes. Je dis « sembIa.itK, car je n'ai pu suivre mot a mot un sermon prononcé e.n breton,, 'encore bien que le soin que prenait- le prêtre défaire' précéder chaque, partie de. son discours d'un texte, latin qui' l'annonçai t..et)e: résumait permit cependant.de se-rendre compte, du développe-. ment généra! dignité du prêtre, ~ace?'~o~s ~~M/a~, qui pardonne~ qui console, qui absout, fut le thème de ce sermon, et.déja, jem'etonnais qu'cnce:pays de.Hdëies et de croyants,.Ie~prêtrë eût pu se réjsignerà-ije.faire en chaire aucune~ allusion-auxj~nminentes injustices qui les. menacent lorsqu'un incidentqui a marqué lan~n du discours, .m'a, je Favoue en-toute-sincéritc, d'au- I tant plus ému: et. trouble, que n'en.. ayant pas. d'abord saisi la portée,, son vértta.ble sens m'est, a nmproviste,/apparu,,sQus. un geste' de l'orateur, comme _eji quelque coup de.;theatre tragique. ,,r i J'avais tajot bien~ q,ue. mal'deviné que les rudes syllabes bretonnes, les mêmes: ;quij avaient résonner sous les voûtes des ~chênes au temps des persécutions: passées, disaient: main- tenant, à ces paysans: assemblés autour d~un des leurs', la gloire du prêtre'assez puissant, pour exalter les souffrances humaines et vanter jus- qu'à la joie.~e mourir e~comme à côté.de moi Je voyais toutes les; femmes pleurer, tous: les "hommes baisser la tête~ une erreur ~interpré- tation d'un langage imparfaitement compris me faisait.pos.er cette, question. Qui donc tousses gens pleurent-ils et quel mort chez eux a-làissé tant de regrets que son seul souvenir fasse.;a.ux j femmes verser tant; de larmes et-auxbonimes montrer tant d~émpi? a Mais le doigt duprêh'e désigne au premier rang quatre, places vides, celles des quatre femmes qui, maintenant, en- ~fermées dans Ie.ur école, attendent que demain la troupe vienne: les: chasser.. Les morts que l'on pleure ici, ceux'pour qui Je recteur demande au nouveau prêtre do prier, ce sont les Sœurs qui ont, élevé.-les enfants de Samt-Méen,'celles qui ~.demain quitteront le pays.

Prions ppurnotre patrie, prions.pour laFranc.c, aëtélë-dernier mot, du. sermon, celui-là je l'ai Jparfajtement compris. Dire qu'a la sortie de la messe, les .trois, cents hommes du village ont dédaigne de s~nt6Këss;ep-, à la personne, de l'étrangeF que j'étais, serait Finexact, dire que je.n~ai pas lu dans.certains regards une injuste méHance, le seraitaussi, mais il m'a suffi pour me tiret' d'embarras, de proçlamer la vérité et de dire àl'undes curieux qu'une femme du pays m'avait, désigné pour entendre. et pa.Tlerle fra~eais~ « Je pense comme: vous que les gens qui prétendent chasser vos Sœurs sont des êtres ignobles, jamais vous ne protesterez assez contre une pareille lâcheté et maintenant menez-moi chez le recteur M. Et tout de suite on m'a conduit, chez le recteur.

Petit, trapu, l'œil vif et la parole ardente, M. l'abbé Malach est le type de ces prêtres bretons comme j'en ai tant vus depuis: une semaine que je cours-le pays, de ces êtres de vaillance et de bonté qui doivent rinnueTice qu'ils ont. prise au village autant à- la simplicité de leur vie'qu'a. l'austérité de leurs vertus. M. Combes aura beau' faire, jamais il n'obtiendra desBre~ns qu'ils se J rallient a la prétentieuse.morgue de leurs institu- `'' teurs laïques lorsqu'ils .ont au milieu d'eux un homme simple et bon qui, pour toute: propagande, se contente de leur dire aux heures de' souffrances ou de détresse: «.Vous souffrez~ faites comme moi, venez .priera a L'instituteur' aura beau, en manière de consolation, leur pro-– poser la Déclaration des droits dé; I'homme,Ie$: Bretons préféreront r-Ev.angiIerfde ~eùr recteur. Les sergents de ville, la troupe n'y feront~rien.: L'abbé Malach est un peu irrité de tout. je bruit fait autour de son village. Quelle stupide légende,, me dit-il, que celles accréditée par les journaux~ministériels de la. férocité de nos. paysans. L'mst.ituteuc~ frappé,; L d'orties? Voici sur 'ce point la vérité un de' ces~ jours derniers, cet hQ.nime.-qui est boiteux, en- treprit de faire/a lui seul évacuer une route se pressaient les habitants inquiets de: voir.jpoin- dre au loin la silhouette de deux gendarmes. « Place, place aux gendarmes! M criait-ilâ~pleias poumons. D'un coup de coude, quelqu'un l'a.~en:voyé rouler dans. un.fossé. Hestye.n-euet tombé sur des orties, et c'est tout. .u"

pLes journalistes maltraités ?A-t-pn dit que l'un d'eux accompagna sa demande devoir les Soeurs d'un complim'ent qu'il h'est:pas d'usage d~adre'sser a des religieuses.? Faut-il s'étonner que nos paysans qui avaient entendu le propos ~l'aient relevé et aient prié~ces étrangers de' déguerpir ? J'ai écrit au journal <!e 'ces messieurs :poùr prier de rétablir les-faits. Pensez-vous donc qu'on ait inséré ma'lettre.aUons donc?. a Ici, nous n'avons pas Tesprit de,Paris, yoyezvous, ici, on n'est pas léger, spirituel, badin, on esjt sérieux, chacun'se&ïualitês,.n'est-ce pas. Ôn'a. ici, le respect' sérieux, la' reconnaissance sëFieuse. on défendra'les Sceurs sérieusement, mais, entendez, par que protestation ne sera. que.:cë qu'eUe doit êire. lêgale~Non, il n'y aura ni côups.dë feu, ni coups de fourche, màjs 11 y aura Je village entier aporte~des Sœurs .pour exiger de-l'autorité, qu'elle "use devio'lence. ''1' s H Pas d'hypocrisie, ni.de fourberie que chacun ait'ie courage deses:opmions; ils veulent, chasser rës. Soeurs, qu'ils' les chassent, mais qu'ils les chassent publiquement, devant le pays rassemblé, qui sera témoin del'outrage. Non, monsieur, il n'y aurà:.ici d'autre violence que celle que. commettront les exécuteurs d'un décretjque ~beaucoup de bons' esprits jugentavoirété'rcn-~ ;!du:dans aes conditions illégales. Et je vais vous, dire pourquoi: je suis certain qu'aucun déiit_,ne~ sera cbmmts:"par:~mes paroissiens, c'est parce; .que je suis sûr d'eux," sûr de leur atta.cheme.nt, sûr de lëur/parole,\et que je,"leura,i ordonaé, vous entendez, ~ordonné de~s'aLbstenir,de;tout acte de violence.et cela je l'ai fait. montrant 'sârobe.umqùë.mënt parce! que je suisppê-

~tre.

:–5'a~?'~o~ ~m<<M, monsieur le recteur, comme vous disiëz.:to ut a l'heure, en chaire. C'est cela.'Rendez-moi le -service, je vous; eh prie, dB démen&~Jes fables absurdes qui cou'"reht~sur' notre'malheureux village, tous:~ës ~gens-là ne sont ni"dës féroces, ni.des fansftiques.?/ Ge sont seulement des croyants qui souffreni, beaucoup. Ce<sont aussi des.-gens'ma.I .ihstrutts:dësyilenies:de~a'pbIitique':TaIliésa~ iT~p~bhque jusqu'à.'hier, pus. von).m~ ~cônfondrë~dans une même'Uaiiïeië régime eHes r.-mibistres~. ët~'est'pQurqùoi)îapersécutt~ rèln:

'-gii~Be.snme.m~ë~tem~ qu'od~éuse, csl,;en Bre

:g3e,~prudënte: ~~ombla~t,: On

crË~B~a.'houyeauK~a haine'' &pp~~ .v

~i'i.butë'~Yrû~e..hamo''est'~&au~

J5u"vu aussi Ie& .Sccurs, dont l'une est au seryiGe'des.paûvr~~<~s;cnfants de .Sàmt-Meen .depuis plus d~a~ en race de ces quatre-s.s~a.~tes.icu, mais aussi des ~~is~res hum~~s', je~~trouvais rien à dire, S~p.ut expri~&r~, conM~e. le sentais, le rea-: :pe'c~~àtant de dev(N!tieBa~nt ignore, comBa!ë< :'g6n~;et.muet,.jesalua.isee&quatre femmes, q~: -pleuraient s~~c.iBjusëBa~a.~cn caressant des. ;'<~t~d'e.nfan~L~qus~ ta.tït d'un coup un soiï~ '~a.Œ faut !~ejaiÉ.'m"a tt~\?eFse l'esprit. /t~h:erÏë0~.dans~U!n.Mtcl'deLandern6a~ ~c~mstt-t.utc~&.d~.t.Qu,tU& département, réunis- Uo<K~~on de'~BQ' sa~a queUe fête professib~;fdonnai&&I)a.t. Ils étaient la environ' quatre cents hommes et femmes. Des hommes e~'E.s.dLngot.e.rid~uIe, erav~.té.s da-bt&nc, châussé.s:i:fe'soti~e~ de, fa~ars, g~'imaça-ient en face de femmes généralement laides, pom'nadees et l.uisa.ntes,; tjin&ëj.u.ehées.d~oripeauxd&pefieon.tre. Tout ce monde jouait la distinction, se. tortillait ''aycc'prétention, gesticulant: et minaudant, sans. ~rcB<trje garde que de_tous!BH.rs corps remu.es mie effroyable odeu'r'montait. ''JIsLn'avaient même-pas l'excuse;de's!amuser, non, ils s:'<&hnuy<iient. a paserentre'eux, inbabiLe~' à' cacher leur-trivialité et 'leurs ri'd~cules,sous.des 'dehors de morgue-maladcoi:te et de.soricux risible. J'ai pensé à Gela en voyan-t la vieilie Sœur toute trem'blante~passer sa main .blanf.he dans les cheveux blonds d'Hne pet.ito.nlle agenouillée près. d'elle, et du couples laïques, me: sout apparus odieux. Ils soht.Ies maMres: et. ils dansent.

Je. reviens àLande.t'neau. ou j'ai eu l'autorisation de passer la nuit à rinsUtut Samt-J.ulien,. dont Ies;S.œurs doivent,, aux dermares.nouvell.es,. être expulsées demain, a la première, heure. Je v.ous tiendrai au courant., par depâche, de.' ce qui se sera'passé .tant a Landorneau qu'a: Saint-Méch, ou je retournerai certainemeni. G.deMa.lzière'

DANS LES DÉPARTEMENTS. Les .dépêches reçues de B''est, hier soir. et cette. nuit, portent que l'agitation va croissant dans'tout la pays.

A Ploudanie!, au Folgoct, à Saint-Méen, les travaux agricoles sont complètement suspendus les? cultivateurs sont massas devantTécoIë. A Bloudahiel, hier matin, une alerte s'est produite douze cents paysans sont accourus, quelques-uns portant des fourches ou des bêches. Il en est de même un peu partout.

En présence de l'attitude énergique do la population, les commissaires do police auraiont.reçu l'ordre de surseoir à l'éxecution.

_De Brest, on' annonce que, 'lanuilderniéra, un' train spécial formé en gdre do Brest était à'-Ia disposition des troupes. Trois compagnies du 'IDs d'infantcrm et deux~ compagttios. d'infanterie coloniale sont

consignées et attendent les ordres de-départ.

;;GHAMB:<:ny. Divers incidents significatifs' se sont'. produits hier sur plusieurs points du departemeht: ''ASaint-Picrre-d'A1bigny,la gendarmerie a été obligée d'ouvrir une treche dans les murs de l'école. A. la Motte-Servolex, à l'arrivée' de la. police et. dc.s gendarmes, on a sonn-è le.tocsin; la police a dil requérir des maçons pour démolir le mur. d'enceinte de: l'œole, .caT les Sœurs refusaient d'ouvrir le portail. Des pancartes et des banderoles portant les mots: «.Vivent les Sœurs s <t A-bientôt )) étaient afusMcs. Les manifestants, au nombre de. trois cents, crièrent: «Vive la:liberte!)) 1

.Aonzeheurcsqtiarante-cinq, une brèche fnt ou'yerte; le commissaire y passa et les Sœnrs sortirent aux cris de :«Vi vénales Sœurs

:Aleurrentre.e;.àChambe.'y, les. Sœurs ont. &tc vi.vement acclamées.

GRENOBLE~A Montbonnot, M. de Mitibel', ayant à deux reprises brise les scelles apposes sur l'établissement des Sœurs~de Saint-Thomas de Villenenve, a été mis en état d'arrestation.

:MACOX.–Depuis trente-sept ans,, les: Sœurs de Saint-Joseph tiennent à Sully une. école dans. un imn~uble (pli-est la propriété de.Ia marquise de~ MacMahon. Les habitants do Sully montent la garde autour de l'école pour s'opposer à l'expulsion. La. marquise de Mac-Mahon dit qu'elle entend maintenir et. défendre ses droits de propriétaire.

RoDEZ. Pour oparar la fermeture de l'école et du .couvent de Saint-Georges do Luzençon, presMilla.u: il a fallu que la police employât la. force. Les sis. religieuses de la; maison ont été expulsées.

~VANNES. L'exécution du~décre~formant les éco-

les libres n'a pu avoir lieu a. Lanouee. La population' .armée s'y est opposBe.'Là. gend'armeri.é.cst retirée. -D.'

i UN BOULEVERSEMENT

Les m'àladcs ~a.tt.cints de la. tuberculose, et. ceux-ci font légion, seront heureux d'appreudre que, très prochainement, ils auront enQ:n la certitude absolue, d'obtenir une: guérisan radicale,. grâce à un nouveau médicament: qui a fait, ses i preuves et dont les merveilleux résultats/sont' indiscutable?. C'est donc faire acte humanitaire en désignant le «DépurateurHarva sur lequeUI sera intéressaut de revenir pour le propager.

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n o e .DES e A ® e o~ e

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f (Par ~epcë~e de Mo~e c~~o~~ecta~,

Nosdiv~s!onsfrontièra G(!rardmcr, 4 août.

Voir nos divisions frontière à la tache, c'est le véritable- préambule de la période des ma~ncBuvrës d'automne nous entrons. Toutes nos divisions frontière sont admirablement entraînées et rivalisent entre elles mais celle qui }; a lagârde des Vosges, en' cette zone pittoresque;-tourmentée, grandiose,. la 41° .division~ a ~l'avantage d'un tMâtre d'opérations qui double irattractionduspecta.cle,

Me voici donc a Gérardmer, la perJe..des.Vos~ges, avec son lac poétique enchâssé dans les ~npntagnes vertes, couronnées de Ba.pins noirs,. "? Le général de Négrier, venant d'Epinalen tournée d'inspection, est descendu parle mêBfie~ train que moi. Ce n'est pas un général à ce.mo~aent, c'est un simple, touriste en Complet marron, accompagné d'un autre civil, son aide de M.mp. Les officiers, a la gare, ne le reconnaissent qu'âpres coup,- et après s'être retournés. Lui meL reconnaît bien et me salue d'un cordial bonjour.

"Nous échangeons quelques mots, et je lui demande s'il vient voir sur le terrain vosgien et avec nos soldats l'application des enseignements' de la guerre sud-africaine. C'est le titre de son' récent article de la ~e~Me <f~ -OeM~ ~on~<?~. qui reste encore le document militau'e d'actualité. Le général sourit avec un hochement de té.të, et cette conversation au vol nous amène à son article de l'an dernier sur les tendances de l'armée allemande. Je lui rappelle que j'en don,nai la primeur au général Sakharoff, le chef d'état-major gênéral-de l'armée russe présenta nos manœuvres de l'Est.

'Mais le général de Négrier n'est pas sûr d'avoir converti son éminent collègue de L'armée alliÉe'àsamaniëfe.dévoir.

~h se quitte. C'est dimanche, jour de repos pour-les troupes en cantonn&ment.

Je, croise chasseurs et lign~ards de la 82" hn.gaae, général. Bizoh Quels gas! Quels'vrai& typps de soldats Mon Dieu! Oui,; je les admire~ II h'y a qu'une France où l'on peut voie façonjier avec le service obligatoire des soldats d'aspect et d'allure aussi militaires. ` Les chasseurs doivent quelque chose de plus à leur uniforme qui est une vraie tenue de guerre. .~BieQ pris dans leur tunique, les guêtres blanches'~aux pieds, ils sont à peindre. Et quels lapins!'J'~n fais mon compliment au génécaL.Bizot, à qui je vais-présenter mes devoirs. Quand on les prend par là, me dit-il en se frappantia.u côté gauche-de la poitrine, oh eh fait ce qu'on veut, et'ils se donnent'plus de mal. pourfaire~honneura-leur chef. C~esti'amourpropre de leur général et de leurs pfScicrs qu'il& ontà c(Bur;autant queL leur propre .~gî'oriole. Je les'cohnais tous et tous.me connaissent. Militaire de père en Bis, peutroh' dira 'du. génëral.Bizot, comme de'tant d'autres officiers généraux ou supérieurs, épris de son métier, 1e- feu sàcré;dan5 le sang'la tête est d'un GalliSet dansl*ihfanterie ;L Et venu de .Paris plem des doutes, qui. uottentdans l'air au sujet de l'avenir denotre armée, je.. suis déjà'toùt réconforté.: J'ai :-resDh'é :un. autre

air de .l'armée .agissante, yaillante..et croyante

ensamission. -<

I-a manœuvra

~-Ge TB~iin, Ï~noi~ dës~uBë,; en Toute. Les vapeurs matinales uotteQt'sùr-IëIàc~uhe.fraishe~

pênéiraDtë to~be;;du':haa~e& sér~

'nité'derfmino~~Ie~atupe~

.`' r .< >

traste avec le bruissement lointain: des troupes

en marche. .T.;

Elles se sont m)ie~ mouvement, ces trou-' peSi.qu'it faisait a p.e9~~dur.

Las suivredans Je~dtëÈa.lc montagneux.dans le -J~h.~Runthe des bois~.ësit une afïaire. lorsque

v{M9ia'yezfra.nchi,~M'F~re elles, les premiers~

gr~EjS des hauteurs! surplombantes et npirâtEes~Yolturevou&àeïtide-psu, surtout a~'ec'" uBt~aosiier comme !a:nM'en qui se perd à travers ro@iBË~ou"lEeàdriètses;~Ee jarret seul, avec un bo~Mion fsrrê,. pcuâ-vo.us mener, au but. Maisoù:esi:I~bu~~G~est-a-direest la prise dEi~Qhtact..âssdiB~'t0~es;en présence~ ee.s-deuXiEoreeStSoa.ti.Tes; deux brigades delà 4i" division-: 81° brigade d3 Remiremcn.t,, général Didi; 83° brigade de Samt-Dië, gé.KéraI'Bizdt, déjà nommé. Partie 'Sud la première, partie.

Nord la. seconde, avec le manchon blanc.-

Le'thème, de la manœuvre-: la. 82? brigade: ayant occupé Gérardmer,'a pour mission de defendre la position, et la Si" brigade do l'attaquer .et deTa.dëlpgC!'de cette: jolie station pleine de' charme pour l'oecupiint.t, une Capoue au. peSt."~pied.. En styléplus gTaye,: ef .pour appliquer' à l'a.: situation respective des bcHig.éranis- une hypo-' i thesc~de; guerre, la brig.ade'Bizolr, 8~, formerait' ~ravanicgardë d'un'corps ennemi voulant péhe~trer parie col, de ce côté, sur notrs.temtoi.re, et !/la brigade Didi)0,.8j. est. envoyée, pourretoulep cette, pointe-audacieuse. Au- pa'rli-Sud, par can'séquënt, l'honneur de ro{fensive qmsejusH'Se d'autant, plus, que la- brigade B.idio:possùdeunelégère supériorité, de forces,, 5° et~ 13~ bataillons de chasseurs,. 152~ d'infanterie, un groupe d~artiMeric,~unesc.adrond'c dragons et, en plus, un batalHon du 44° de ligne.- Même composition pour le'parti N:brd, L'ennemi', avec-ce bata.i)lon en' moins: un régiment d'infantëne, l'e 149'=,dëux. bataiilons de chasseurs,et: i0°, artiHcri~ et'' jea-valerie égales.. Ce n'est pas l'importance numérique et autre des forces qui faii l'intéEet:de cette manconvreà double action, c'est la 'nature du terrain-et la. spécialité des méthodes, de. combat. les plus pratiques en cette région~ de jnon.tagn.es, comme aussi le degré, d'endurance et. d-'entrainement. propres a ces troupes de couverture.

Jt; marche au canon,i comme tout bon milrtaire doit le faire.. Il est sept heures, et )p brutal: commence a gronder au-dessus d'un semblant de viltage au. nem bizarre, Hautr-du-Tôt.. Nonobstant cette appellation locale, ma carte porte l'église, de-Haut-du-Tët~ et je: comprends'm,ieux.. Modeste église aux murs et au clocher recou;-verts en écaiHes de bois; c'est le systamepro~tecteurenusag'e uon seulement pour l'église,, ) mais.pour.lcs'chalets, ici comme' ejj' Suisse, protecteur-vériné contre le.s neiges hivernales. J Le combat

La.répercussion de la fusillade par les échos,; surtout a travers bois-, donne une im-pressionoreh&straJLe qui n'est pas ordinaire. Mais~ comment se.rcconna!trë dans ies: phases de l'action?' On ne voit rien ou presque rien du parti adverse. C'est bataille de l'invisible cont're l'invisible. Exemple le général de Négrier est venu pour assist~r'a cette opératibn nuale: des marches~manœuv~s qu'exécute la 41~ divisiciT depuis quinze~jours Pour se.- renseigner, il accoste au passage le-général Dockerr, comma'ndant'.Iadivision,, et lui demande en sont les bataillonsde chasseurs duparti Sud' –Je; puis vous dire ce que. j'en'ai vu: rien ~qu'une:scctioa;Ies autres, même les plus voisines;, impossible: d~en; discerner le. mouvemejit 'et le plan. Elles: ultren.ttros'bien;.

–La ultratmn, répond li3 général de Négrier' satisfait, Fart deulti'er,.c'est-à-dire de se dénier, i de se mouvoir hors: des: vues de l'adversaire' voila le principe; du combat moderne- Ne pas' 'confondre avec l'acte nnal,. la décision ou le' Ghocindispensable pour obtenir un résultat décisif.

On peut donc dire que toute cette- matinée s'est-passée: en filtration, mais en passant à force de jambes d''uir parti- dans l'autre'et en' ~suivantles: demandes et les i~éponses d'e la: mousqueterje. comme de l'artillerie, je puis me rendre compte dès-grandes lignes de l'opération de part'&t d'autre,'le générai Bidio cherchant à, prendre.I'cnnemi dans ses: pinces/qu'il resser.rait méthodiquement,, le général Bizot l'empêchant de les refermer par ses savantes, contre-

ripostés.

Et ce qu'il fallait voir, d'un côté com'me de l'autre, c'était le nerf, l'agihté. la force de résistance des hommes pour exécuter ce travail de mouvement perpétuel, a travers, bois, ravins~. escarpements prodigieux i

A cet égard les chasseurs à' pied des deux parties: sont admirables. Je les vois fonctionner avec leurs mitrailleuses. Le com'blë de l'invisiblé! Pan pan pan comme coups de'ftéau répétés dans le lointain. Mais où, dans quelle direction?

Le général de Négrier a dû constater que ses enseignements de. la guerre sud-africaine ne sont pas lettre morte parmi nos ofnciers et nos soldats. Il y avait assaut de méthode et de soin dans l'exécution dans les deux brigades. Bref, manœuvre trës serrée, étude approfondie d'exercices de guerre sur terrain varié s'il en'fut..0n.sentait quand~ même approcher le dênouement, c'est-à-dire la face-à-face des adversaires se démasquant pour s'entrechoquer définitivement.

Sonnerie de cesser le feu. Pas de tableau pour ~Ics spectateurs.. –On n'en fait plus, me dit-!e général Bizot, et la manœuvre aura été d'autant plus réussie qu'on n'y aura rien vu.

Quelpinee-saiis-rire!

La rentnée des troupes à Gérardme;' fut étourdissante. Après avoir marché, de l'aube jusqu'à dix heures vingt,elles marchaient encore mieux à leur retour, sous les yeux admiratifs des Parisiennes, Parisiens et autres peuplant la jolie station. Le coup d'œit était d'une armée victo-

rieuse.

–Jë:ne~sais, aurait dit le générai de Négrier, si je n'aimerais pas mieux me cattre, faire la "guerre avec l'armée actuelle qu'avec celle de i87G,, si. brave, fut-elle )

Eloge expressif,, que je part-âge pour ma part,: en me dispensant d'y rien ajouter.

Gregore

Dragues molles de Gouache, i8, bo;u!. Italiens. Gfa.ndenouvea.ut6 de'-Ia sajsonppup baptêmes-

Csuterets~–Hôtel d'Angleterre, MmIFon.

Bt B E ~BN B~F~ B~S Ep~ B RNKB a B B*~

B ~~B~~a~ii~

F'~ BL– E, a ~aaS~t~~Na

LES EÉ~ÉRAUX BOERS

LEGAS MEYEB.

ï Lucas Meyer, qui avait quitté Londres avant-hier après .a.'voir décliné l'invitation: du roi Edouard, d~assister au couronnement, est arrive à La Haye, n a etéjeçu par toutes Jos autorités de l'aBoicu gouyernement.hoër. Lucas. Meyer~ avant de repartir pour Dresde, où il va faire une cm'e, aura prpJbaJblement. une entrevue aveGM-Ki-ùger.

.Intëryiewëj)a)'un journaliste hol!andaiSj il a refuse -de parler des négociât! ons de. Vereeni ging. Il a~ déclare que la'paix avait etc signée par une'dure ne*

ü c~ssité:

Sa visite en Europe a un caractère prive. Il ne remplit, pas; de mission politiques Botba, De Wet ût Delarey viennent exclusivement pour quêter au proRt des victimes de la guerre et créer un fonds de: secours pour les veuves et les or-

phelins.

Pour nepas éveiller des susceptibilités', Lu.casMeyer a garde le silence Eur les .questions pol'tiques actuëllementpendahtes et sur les entrctiens'qu'il a eus dans le monde ofSeiel.à Londres.,

INTEaVIË~DEnOTHA. nOTa:A ,Lc correspondant du jDs~ Ma~ rapporic la; c.onversatMn qu'il a eue avec Botha avant le départ, du gênerai LoërpduEl'Europe.

D y a.'toute-citaneë de maintenir la paix., a-t-u dit, si les deux peuples consentent ~oublier leurs griëfs.particuliers et à .trayailler ensemble pour I& bien du paya..

–Croyez-vous quedansleur.cnsemble ~~Bur'gherssontsatisfaitsJdes~conditionsde~paix? i Botba pesé un mstant sa réponse.~

E .–Cela est difncue a.dirë.NaturelIcment, il y a das conditions que nous' aurions voulu voir écarter. Beaucoup de Bur~ers, par c'sc]mple, sont'méconlonts de la clause quijéglamento le port, désarmer

Mais/queUs dif&culté pj'éseni$ cette clause ?

r l~~Uà Lëa hurghers ne.pour!'oiit'"posseder.un fusil qu'autant qu'ils &eront:auiorlses parlesniagi~ tyats.O~vou&Je.savez~ chaque Bujgher'v.eut-un.fu- Ml,"et'iÏ:ya~ait~n ~e grand"

~nabKaKts'dêsarmés~dans~m~T~m~s~n'présenEs~d~s-

1:>

L'vQyez~o~~un't'e~~sindj~e~

Non, je ne'crois pas'qu'il se produise d'embar~

ra.ssefi~ax'.

.En partant ainsi, Botaa'etait visiblement trasper<

plexeethèsitant.

Ajoutons que Botha.DeIarëy et De Wet ont lanc~ unB.prôclama.tibn' aux Boëra avant de partir, dana ` laquelle: ils. laur.'aononcent q.u'ils. so?. rendent, ea Eu.ronBpB.m'EacueiU.u'des fonds, aun'dolouryenif eN.aide.. LA PESTE A ODESSA

La. peste 'vient de faire son apparitiona Odessa Eihq;ca.s se.sonidecIaTes suivis de décès. Les .autorités.pfeE.ci'LVGnl: des mesures ra.dicaie3rp3ur mettre m) à l'épidémie- On organMe d~s sections d'isolation c< des hôpitaux spéciaux autour de la ville.

LE CHOIES A P~RT-ARTnUR ET a~MiRE Tandis que la peste se déclare À Odessa, le choléra sévit a P'or~Ar'thur.' L'cpi'dëmie/jusqu'a présent, n'X pas encore prN une grande extension., maM' on crainit qu~eHë ne soit facilement propagée par l'clëaieht chinois. Au Caire, le choleca continue A fa're des vie" timcs. On signaJo dans la journso d'hier quinze nou' veaux cas,, ça qui'élevé-lé: tbtai des' cas. dcpui~.le la juil,l~.à.8.S5. UKPHOJETDUR(n:DESBEL8E& j"'

Si ? temps le permot,le Roi' s'em'barqu(~a<;eite-nuit. â.horrd du yacht A~6Ë~a[ pour une .croisMrc d]S:' pluSteurs.jpurs. Léo.poidJIj.quis'intëresscRat'~uliero- nientaux qùesiions'-mafitimes, et.qui-.TuMe dc'dotet. son pays d'une marine marchande hatiouale, visitera au cours de cotte croisière, les prirmipaux ports. allemands: Brème et son ayant-port, Bremerha.ven, Guxhaven, ainsi que Hambourg. Le Roi visitera proDaLleinent aussi en passant, quelques ports IioNan- dais..

M. de Smet de Naoyer, ministre des finances et dea travaux publics, accompagnera le Roi.

L'~t~e! rentrera, probablement à Qstcnd~lelC ouleiiaoût.

LEVOYa8ÈÛ}JRB)D'ESPAESE:

Le roi Alphonse .XHI poursuit son.voypge~tl'a.. vers l'Espagne sans incidents. Il est accueilli partout avec le plus. grand enthous.ia.sme. A Oviedo, o.n iL se trouvait: hier, on lui a fait'le. plus chaleureux ac' cueil.. Là princesse des Asturles, qui devait s'embarquer' hier sur la Gtr~Ma pour retoLirner à Saint-Sebastien' a-ajourne son.depart par .suite, d'un cas de rougeole constatcàbojdduyacht.

.L'Informa

–<

COMMUNICATION D'UNE-LETTRE

Monsieur Henneguicr, M, .rne des

.Lombards, Papis.

Pans, le 8 mars 1902.

J'a.i le vif plaisir de vous adresser i.melet,tj'ode~ profonds remerciements pour la saHf.equem'OQf rendue vos .each'ets de « Laxatose' mes- maux. d'estomac et, maGonst.ipatio.n sont,.cûmplet.cment' disparus et ue voulant pas resLer SAtt's. avoLr à ma disposition votre mcrveiHeùx' remède,. js'j vaus prie; de n'l'en~euvoYcr une boite. J.e~vous.renouveUe nijesremerdementset voua'

ou're,e.tc.

oiTLè; e.tc. Daire, i7, rue Maître-Albert..

.<

A~i dessert, «Fteurs des Neiges PerhotB..

°–<

Gtyco-.PMmq.uB du docteur Décrit, .aniis.eptique, maux de gorge, toilette, hygiène.

–<t-

Bicyclette Gladiator a: changemeat.de. vttesse.

r ~F&~7ÏM~ .Ks)YH eoKt. 'SstM< -F'eK.~ `

TempêratLrra

La température a baisse dans le Sud et des pluies sont tbmbeessur l'ouest e~lËSuddu.continent. En France, des ondées orageuses sont probaMoa dans Je Nord et FOneetaTes température voisine de la normale.

Hier, à Paris, le thermomètre n'a pas dépassé 23c'. Le baromètre, à 763 mm. le matin, baissait dans la soireea.760.mm. Marseille. Thermomètre + 33~ Vent N.-O. p&tite brise. CMl pur. M.oi' moutonneuse. Tempe chaudetiourd.

FAITS DU JOUR

Charitë. Plusieurs de. nos abonnes recomman~ dent à la charité des amis. du. G~tdoM l'église.-par'ois~ siale de Saint-Âyit,, par Lévignao-de-Seyches (Lbt-et~ Garoune). Toute~o.bole sera l'a. bienven.u.e.qui.perniGttTa. de hMer son achcYemen.t. On peut envoyer direc-~ te ment..

Une nonveUe ponr les chasseurs. La S. C. F., Société des Chasseurs de Franco, similaire du. Tbu'ringetdesAgj'iculteujs de France, vient d'être fon~ dée,3, ruËdes:Mathurins.-

Les comniunications sont publiées par le jouma}: officiel do la Société.

Son président d'honneur est M. le prince de Wa' gram.

Mouve~es re~e~ses'

Afo~'t ~n p!'ë!.a<: Mgr Ain d'Y&tiis,. protonotaiM apostolifjue, ancien zouave ponLiËcat, vient de- mourir .t Saint-Mato.

Mgr Alii.d'Yenis etaJt vicaire général de la Guadeloupe, Mom/e/Jes mtfffayre!

Z~cat'yozMe! ~e~fw~M)'. Hier, grand carrousel l'Ecole d.'applica.tion de Saumur. Cciio tête équestre n'a paï eu moins de sn&CM que les années précédentes mie foula énorme y assistait, y compris un grand' nombre de femmes en degantes.toilettës~ le eoup d'ce'i uUut superbe. La fête était présidée par.le: colonel Dubois, commandant de l'Ecole; le commandant de Gontadcs, le bnUaniinstruc* teur en chef d'ëquitation de Saumur, dirigeait les exercices.. OÛEcicrs et élevés ont eto TigouretisomeTit. appla.udis Ht ONt montre une fois de plus que nob-je grande .Ecole de ça* yalorie est toujours n. la hantenr. On a_ particulièrement acclame les ofticiers qui roTicnnmit de Turm,. ils on~ remporte, au rëcent coticours tii-ppiq.ue international' donne dans'catte ville, les brillants succès que l'on sait. ~L~miajstre_ de la guerre Htait..i.'enu.de Pans' pour assister au carrousel; il ctô a'ccneill i froidement. Dansfas~sistanoc, remarque le gênerai Tànchot, commandant la 9~eorps;ramira.ÏAlguier, M. de. Grandmaison.etioutea les. notabilités du .pay~ Ze« rr;OMtp7t<' Ija fête traditionnelle du « Triomplie')), qm marque la nn de l'année d'etudea e.t au'eaurs Ttt laquelle la promotion arriTee l'an dernier est solennellement baptisée, sa fera, à l'Ecole spéciale, militaire de Saint* Cyr, le 14 août prochain.

~.M eatMp'de CM<(MM. –Les. manœuvres do siège, qu~ ont commence hier, dureront jnsqu.'sml~ août; 25,030 hom' mesyprocnent'pa.rt,dont5,0(X) pour la défense. · Des trains renfermant des obus à mélinite sont arm'ot cette nuit à Caperly. Les sapeurs et. les artilleurs reser vistes sont venus ce matin, par voie ferroe, renforcer leuj< régiments respec.tifs..

Afo~e//esf?a~aA3s

J'r<w:oh'OM.–Les capihmes do frégate Le Prieur, La; mogne et La Bris les lieutemMits de vaissea.n ChovaIieE Jonrdon, DourYcr, Du.b<us, BLM<1 et Dupj'lcx;.Ics enscjgne~ Lecamhs, Cbssuret, Ferlât. dss.Cburtils do Bessy, Faon <t Ssdmon sont nommes au grade supérieur.

FAITS DI.VERS

UNVIEOXTIUJC'

Le .truc de la malle et du prisonnier espagp.ol es* -vieux CQmmo. les voleurs, et cependant il est toujours renouvelé –parfolsavec succès. Un de nos Icc< teur~ M. J. nous communique la lettre suivante qu'il vient de recevoir de Madrid Monsieur,

Prisonnier dans cette ville pour taiHité -et malheureuse ment' condamné, 'je viens .vous.- demander, si vous vouIe~ m'aider à .retirer, une somme di) 830,000 francs en billets d& bajiqnc, nue jo poMÊde dans une grande maLUë qui se lrou\'oendep&tdans une gajb de.chpmin de fer enFran.ec et pour cela. Tenir iti ]ev6r la saistC do mes bagages en payant ap greffe du.trlbnnal.Ies. f!:aisnecessajM& pour ypm emparée d'une de mes pelites ya)ises .conten.iin~t. un. Mo'e< dans lequel est enferme un chëquo de 40,<M!) fjancs payable au porteur et to.rccepissc au .chemin de fer, indispen-* sable pour retirer ma-grandeimalle à la. gare.oA 'eUnjM trou\e;co.depût. En. récompense, je vous cëdëral ]e tiers de la somme.. Dans ia crainte que cette lettre ne \'qus parvienne pas. j'attendrai yotre'réponse pour signer mon. nom et von: CQDSertou-tTnoD. secret. Comme je ne puis recevoir votr~ correspondance en prison, je vous prie do me répondre par une dépêche, que je n.e rëccyjatpas, mais dont j'aurai ravis de votre réponse par un gardien de la prison. Voici l'adresse ou vous devez envoyer votre télégramme me disant simplement: « Expliquez miem. a-Cela sutura pour savoir que vous avez reçu. ma missive et je vous enverraile complément:

Scnor D;{ Car~Qï T~~C&at

C9~&Saeramet:<o,.< 1

Jtfat!)-~ Dans l'Impatience de vôtre Kponse, je ne signe dono qne

Surtôntrupondcz.parTtno dépêche et nORpaj'lettre; n< la signez pas de votre npm~par prudence..

MadEid,l"aoutl982. II est probable que de iiombreux.~ Parisiens auront reçti la mëm& proposition. Est-il encore utile de 1~ mettre en garde contra leBagissejD.~ts du senor 84~'

';lo8~erdebal?-

AUDAGIEUXÇJt~fBRmLAGE

Un c~mbMoIage d'une /audacG ino.Tue.SL ot6 a.cc&ns* pU dimàncKe solr'vers'dixneures'etdemië''d~n?l~p~ ~~cment,uab!.tep.a.r~hotra-ëoRàborà~

~oUoQRa.is, 34, rtie-AmpèTë~

Pendant' que ~tt%e!T'oHon~àij5 ~~H:: ~ec, qaelqnea

'~is~.d~Btit:§a!G&%pj~~


~f~atteur~se~ BMLt ~itrod~ts 'par. 1~ ~'eaêtr~dnt.

~avej't F<3n'aioirp~t<g!t~c .avec.. :~M~a~QSs'& t3ei~ .p'ms

~nt'ït&gagnë~a.a~eTpM' 1& m&mQ~eamt.louig.ÏM'

naj3. <

It'ppët'ation îut Jaite'jd&i& 'un '~gra.Qd. sile~qe, '&vëi:.

Ijn&i~iecMtip~cxtEaof~Mairej~ cewoi;

jptL se tja~a;H3at,à. deQx~~L~ ~:clia.miiro~t)ù op6- tai~iM~~enrs,n'pnt~as:enten ~Ut~cuj Iau'e soùpçonR~ ilé~ouillâit: EttËn.~il fa:t)tnpter qnjë~le]5.~ca.?hl)rloleuts. ti~xpù -es~la3(u',mie~.TnmsoB,'tLansuùe rae ~s.frec[ueBt.ée;, et -aàTl'&xteneur,~a.ns qne p&i~&njne,.mpoltce, n

tants~aSeht's~mIs éneysil~~ "i

.DEmL TRëTE~DOS MEEnSGS

~?rL cei'ta.iBTionLbre de jQunia.nKont lannoncë que,

~ur une conyocation 'yanne on'ne''Bàlt -d'où) tous les

sobi allâtes 'étaient invi tes, à-s& ï'eunirjiier soir, a~o~f:

beurM, pl~ce de la.'Rëp'qRlique pour les comités 4~TR Mve droîte~ct pl~e ëajn~Micliel pour con~dë~la ri've

-jgauche. `

De la~ groupes en UDemassiB.aniposahtë~t la bou~OBBiereorBée de~I~gIantj~e'Tcvolutionnau'ë, ils de-;raient'se répandra dans Pans et sur jes: Itoulevàrds, aim de mamîestera'l'o&caBMn,de'l'anîuver6aire~d€ la

Rmt~i.~ aottt.1792,

En~Boyjmôn~ë~H~Sestàtip~ des ..mesures :sp'ëciales 'de-~oiMe-v~ent ~te éprises. Une~entame ji'agente des .dixième ~t; bùziem o; :a.r.K)B.~sa;inoQts '-avaient éta ~dis~ëmim3S sur place -3e Ja~IÏeptLbIique

~nBC'Ymgtaine'd'agënta~en liôurgeois se' .sont tenus,

~Eii 'peiManeTice au g0ste;igiej en -cbEip~gnio de MM. 'Jeàn/oîMer de patx~u dixième, et Cjruorjietj'oiSc.ier de.paix d~onzieme.àïTondissement. ~jja police a.éj.é;inobilisceen'pure perte et jusqu'à ~minuit..ëlle a vainement attendu les jNanifeEtants, 3ans doute peu-dispôsés.àaû'Mnterla.pluie.' L Quelques .groupes de jeunes-gens porteurs de

!'églàntme revolutionna.ire ontcté 'disperses sans~~

.Mdents;:AucuncriTi~aétë pousse. ;j.f' -D'autrc'partj oji~ajinonce que-des jeunes gens du comité royaliste du: cinquième''arrondissement tvaijent. l'intention de se Teunu' sur le boulevard

'Saint~MicheI.

CeLruit était dénué de tout fondements

Aucun-moment D'est mieux choisi ~pur rendre tiommage aux .eiforts incessants que fait ta. Compagnie Fermiëre .pour maintenir 'Vichy au premier rang;.dës .grandes ~tsttipns~jntèmationales, Les faits spnt.la'.qui .tëmoignent~tes merveilleux résultats -obtenus non feulement da.ns 'le domaine 'des instaUEtHonsËydrotherapiques, _jnais encore.dans celui des .distractions artistiques, et des sports de tout .genre. Aussi quelle foule et quelles élégances autour des Cedestins, de ~a:~rsndë~rillé, de ~Hôpi.tal.au~Pàrc, au.

.Sasino.-partout

'PARIS lA'NUIT~~

D~uxànciens camarades de régiment~ MM. Charles' 'i~ntonan~agë 'de ~ingt-'h'ois-~ansj employé de commerce,. dëmeuTaQt' ruë'du Département, et'Eugène 'Broui/ingt-qiatre -ans./domic.Hiel.rue ..des RoBos, :près.ayQir dîné ensemble et paBsë. la moirée au .t'b'eà~re/entraient leur 'domicile 'vers 'une heure du ~matiB7;J"

'~En pa~aut.bouleya.rà'dola CEapelIo, ils fiirehtin–

~rpëÛës?par:'Tjuatre individus'do-TiiihepatibulMrc, '~ui'sanE ~provocation~'aucune 'bondirent sur eux~ les -'a.ssômmerennittëralement' et' les 'dépouilîërent d& .toutj'argent'qu'ils avaient sur eux, les laissant ;pôur imortssurlaplâce. Gc~n'est que'vers deux heures du matin que dés agents <lu:pdste dcla.rue -I~hiIippe~de-Girard, en pré nanUeur/servicë,' ont découvert les 'deux malheureux

~rai gisaient-manimes au mili&u. d'une mare~de sang.

=.~s"~avàlent éf~.fra PP ë,s -àrceu~ ps.'de; tieifs :dé 'sang.

"JIs~-avàKht éte:frappës à:'coups do nerfs de LœuL

Tous .deux, après avoir recu.~ssoms'dansjtjnepharmacie/ ont elciransportes~ l~ôpitarLariboisiere.~ Une enquête a Été ouverte pour découvrir.les auleurs'dc'celiejnqualma.ble agression.

J- SmGttI~R~C~ÈS DEGAGE'

A'' ''frots'Tieures~.de" 'l'am'ës-mi&i, hier, un ouy.ri&r

peintrej nommé André berret, demeurant 5, Tue du .temple, qui, juché Bur une échelle, était en train de 'badigeonner la façade d'un immeuble situe villa des Ternes, est tombe sur ~e sol d'une hauteur de cinq 'mètres. q .Ses camarades, le croyant atteinte d'une attaque 'd'èpilepsie, le iransporterent.d'abord dans une pharjnacie-pui;s l'hôpital Bëaujon, ou. Jes. internes appetes.à lui prodiguer des sbins constatèrent qu'il était atteint delà rage., OnTa cônd.mtdans la soirée" à. l'Institut Rasteur, 'ainsi que ~son ami, Georges' Charpentier, domicilié 39,'i'ueduChemin-yert, qu'il avaitmordu à. lambin.

.Ijespersonujes .qui..possèdent _des objets precionx, 'tels. que' bronzes' d'art,ltapisseries, meubles anciens, .porcelaines de/Saxe .et,.deSeyres,memG-des'objets à ~partit'du\douzièîne si&cle, trouveront a lea.céder au ;con~)tant et au~essua de leur'valë.ur en s'adrcssà'nt ''à MM..Seligman, place .yendômë,\qm se .derange-

'jont~s'il y'~ l~u. \'R~

'DNE;~tJRTN~E DE~

Vers~'huit~~rM, Saat-

~Oueh, un .employé 'd'octroi, M. Fr&ncois Lapeyre, en' vouIant~vër.iaerJe contenu d'une Loutet.Up guo tenait 'àla-TUMn, enpassa.ntà la. ]3M'nère, uno.Stlëttë da seizë'a.ns, a.été 'violemment pps à pSLT.ti.e pa.r celle-ci. Tirant soudain un couteau de .sa. poche, elle: lui en porta, la tête deux Mups terribles.

Commeremployë d'octroi cherchait a la desarmer, l'irascible jeune :sne se .jeta sur lui une seconde fois et lui arracha.littéralement d'un .coup de denta le pouce de la main gauche. Cependant des collègues de M. Lapeyr&.acconraront.Rs purent, s'emparer de la forcenée; qùi,Armee de son couteau, essaya vainement deleBenîrapperaléurtpur.

Elle les mordit et leur _lança .plusieurs coups de pied ;~nais elle fut ènSn m~ûtrisèe et conduite chez M.Dupuis,'commMsau'e -de poli<M;du quartier des Srandes-.Camëres, elle dpolara~e nommer Armandine Lacoste, '&gée<h3.seize ans, dimeurant rue Lagille. Elle ,a, été, ~prës 'interrogatoire, écrouée au

Dépôt. ~.),

Quant à M./Lapeyre, dontrctaMnspiro de très Yi.Ms inquiotudesj n a été, sur l'ordre -du commissaire, transporté à l'hôpital Bichat. IjcFluîdeiatif Jones estincomparablé pour adoucir, velduter et~blahchir la peau" du -visage et desTnains. ~nvoi .franco. 3 fr. 85. 33.-boulevard des CapucincE.

ItES.FAUXM&NKAYËORS .DEPCTEA.UX..

Nous avons dit hier~ que M. LtOmpré,:commissaiTe âe police de Puteaux, avait mis en état d'arrestation -tes membres d'un e'tande. de :faux monnayeurs qui, depuis-longtemps; ~éc&ulaient.~ians toute Ta banlieue ouest .de Paris de-faûssespièces deimonnaie. LeTliàgistr,at,:poursui'7ant~sbn enquête.'s'est tranaporte. liier. ~près-midi 717, jue du Retrait, a STuesnës, pour y procéder à une .minutieuse perquisition. M. Lompré avait, en -eS'et, acquis :la con'viction que des complices dë'Tùn des" indi'vidus arrêtes, le sieur Maugnard, habitaient À <iette .adresse. 11 Et surveilier~a maispn toute la nuit par ses inspecteurs et des le matin, .au petit jour, deux..individus étaient pinces. r- On les trouva porteurs de pièces de M francs fausses à l'efSgie. de Victor-Emmanuel,' ~semblables à celles fabriquées par Raoul, l'anarchiste, le chef. de la bande.. L'onde ces individus avait signe sa location, rue tluTLetraitjSoùsIè nbmde Jourdain; Je magistrat stait persuadé que ëe nom était faux. -Danssaperguisitipn;M. Lompre à découvert des moules bjlsos; et des piles électriques, ainsi ;qùe plusieurs livrets militaires], évidemment volés pâj': les :tnaIfaJtteuM. L' On~roit que d'autres arrestations soNt'imminentes. A.-Maghe.

FE~L~TO~? GAULOISE

D65'AOH.T.-i903

~A. T/r'Er'

~J~ i/~D~

~'< Pàlacro Valdés

,!Sm!e) Ennn-iLiSnit. par méjtta'e; presque a T~reUië St tu'~ùi'vats mon co~ëen~'tù reii6ncem!s a lâ~'vie de marir~~qm, qùol:"que.tu en'dises~est ~ien'a.~entureuse/e~cpoùserais:uTie personne gér~euBe. \~viRa.s- tu toùjcurs seul ?-Ne penses~tu paB'tBL'ia yiëitië~e;.? H est~~itste de-passer:~ derm~r~s~annéës~e? sa vië~'tiyr& à des mains' mercenaires, samsjpMaois pour~ë~ay~r Ja mai~Son,~sa~:fëmme~pcur~msmtëni~ .~e

~leh-ê~F~T'

~Jp SLus~dëjà.vieux, dis-je; souriant,. bien guë~ë~ssetri~eurem~ Six

'~ns.' ~y. <.<

~est !.ë'~el.âge ;piaur-uri 'homTOLe~'àuia.nt

~p~~uë~ p'6m~~oFëë~ntë,tu' ~às

'tO~'p.ar~H~e cc~MSf~où~ ~i:

~e~x-huitpM~mps~~q:ur~~duge~ )nén ~d~;

~pye%i~BGeâ"Sus~e~iëunes~bosde:l~n~

~~u~ iet sbje~ecieuxpa~artenanhà aetme' -~NlBa~

w

Meofy ~eH~p~e.ss~

M. Henry peu~ch (deja~eurthe), ~e spo~r mà.n Lic&~bnhu, a.~të./yicËmB~'i~er, d'un âccidentd~uioBioMIe~quj~'est heureusement pa~ aussi ~ravc~u'oiii~aitcM''tout~d'àt)6rd. 'f ~~ryoiciiesr~QSëignemects que~ous~ re cuciUis à ce ~ujet. ~M.Dëutsc~~ri.~illGgLature~on: cMi~~ Roihain'v'iUe~ ~ituê a. quë~què''disté.hce 'de Meùlatij ~.vait' décidé,; hier ma.tiQj'de se-Lpendre a. Paris, sur son~automobUe~ une. ~oH~ a -acgu]S6~de M; Renaud, Jet. quï-agagnÉJa~c~ Paris~ienniB.. M. Deutscb était acc.Q.mpagné de son mëcantcieQ ttëspres, un homme trës expérimente et depuis ~ngtemps auservice du sports-, _iQan.' L~automobile marchait grand ~traHi. :Au. pant déyemeùU, lavoiture', .béurta-~a palissade qui ser~ de.gaj'de-ïoTLi -et icuibùlâ dans-un :f6ssé; de quàtcemètres de profûndëur.ïl faut dire' qué~a, route, a- cet endroit~ est extremcErent dange-' 'reuse eUen'-csJ. guere~plus Jarge que ?lë'Qnt, 'de'plu6,nëfaitune:cdurëeassez.~çcentuêe. '-M. Deutscii ét"1e mécanicien rpuiërént 'tous. deux dans, je .tusse.' P.lusieurs personnes,\se pré. cipiterent~ !eur;secours~notammen~-M;: Vi~ qui jsuivàtt dans -sa voiture Tautonmbile' de M. Deutscû. Le mécanicien n~avatï. que quelques .contusions tëgëres. M.Henry Deutsch ëtait p~s sérieusement blessé. On le releya, et, on le transporta'sur ~un.branca.rd' dans. jih hôtel de MeuÏan.- -Il n'avait~pas perdu' cônnaissançe,.iBais se plaignait de 'vives 'douleurs dansja'poitrine, Les premiers_soins lui .furent prodigues-parlés docteurs; Brûuët et Mignon., Prévenue.par télepHohe~ Mme Henry Deutsch accourut à Meu!an,;en -même temps .qu'éHe priaii.Ie docteur Doyen de venir .en, toute hâte examiner le blessé. Après un examen attentif du.malade, !e docteur Boyen a .déclaré qu'aucun .organe ess.eni.iel n"avait été atteint et que M. Henry Deutsch en serait, quitte pour un repos d'une quinzaine de jours. M. Deutsch sera transporté aujourd'hui à son.-château de RomainviUe. La veille de l'accident, M. Deutsch avait présidé Ie,,déjeuner'de .clôture du rallye automobile..de, Meulan et-assisté ensuite aux régates de Basse-Seine..

~A.~

Madame Antocolsky.'trop accablée par son immense douleur pour pûNy~ir 'répondre persoimcilëm eu taux ~nombreuses condoléances qui lui ont été adressées, remercie tous 6e.s:aDiis~et ses connaissan-ces pour leurs marques.de'sympathie.

~N P~~INGE

M.Waldéck-Rousseau à Rambouillet

RAMDOUtLLET.– Le président de la republique a repu ce matin M. Waldcck-Rousseau et l'a retenu a

déjeuner. Rupture d'un pont suspendu

déjeunei: Rupture d'un pont suspendù.

C.KHORS. Dimanche, le pont suspendu de <!arennac, prcs.Vayrac (L.ot),~s'est rompu sous le poids,des charrettes et des personnes qui le traversaient; plusieurs personnes ont été grièvement blessées; deux bœufs ont été noyés dans la Dordogne.

Paul Bartel

-La Comedie-~Française. donne ce &pir RMy B~a~. ~Mlle Génial jouera pourla première. lois le rôle 'de Ca~Uda dans le drame de/Victor Hugo.

Lebruit a courubier, àParis., que. Mme Rejan~ ~tait a Rio-de-Janeiro, alitée par une attaque de nèvre jaune et que son~iat inspirait de sërieu&es inquictu-. des. Nous .a-vûnstélëgraphièraussitot a-'M..Ppj.'el, en

ce moment en'YJllogiaturG à.SIonnequMille, et 'voici

dépêche que rexcellent dirëetëur~du 'Vaudeville nous'aàdressec sans retard:' &?'ai'des'nouvelles d'hier, Rojane .a le plus grand succès ot'seporte très bien. J

'T) Amitiés. –t- ü

'(>AIDltiés. '~FOREL.B

,-Est-il besoin d'ajouter que .nous..somm~s très heu.reus. de pouvoir dèmentir.Tc bl'uit Iû.cllcux. que 'nous

a.YMns.hiei'reGacL!U.

En inëme temps que la dépêche de M. Porol,nous recevions de Saint-Paul (Brésil) une lettr.e d'un ami d'où nous extrayons le passage suivant

Mme Réjane continue sa tournée triomphale. A Rio-de-Janeirb elle a. îa.itsa.lle comble tous les soirs.

A Saint-Pànl toutes iës places sont .retenues au théâ-

tre/ainsi qu'à'Montevideo et Buenos-Ayres, .la mené son itmeraire.

Mme Réjame sera de retour au milieu deseptembre. Joseph Renot~ le père noNe traditionnel de 'l'ABihigu.lemetteurenscènedistinguë, le professeur de diction cme.rite., jouant un .grand premier comique~ 'voilà qui n'est pas banal, aussi tous les habitues de l'Amhigufont-il fête au grosMauduit de ZajF~CM}'M/e <Ze~ .BaMM, qu'chaquesou, soulevé les éclats de rire de toute la salle. c

De notre'en'voye spécial:

c Dieppe, 4 août, minuit.

? Le festival'Widor avec le précieux concours de M. Francis Plante, a eu lieu ce. sou'. La salle était arcMcomble. Le suCces a ote considérable. A demain des détails.

~E. N.T)

La démission de .M: Mascagni. r 'On sait que M. Masbagni, rauteur applaudi .de Ça-: <M~e)'M: .fus<:c<Mta_, est directeur, du Conservatoire !Rossini~do Pesato. II vient'de ~.pnner_ sa démission à la suite d'un incident .qui s'est produit dans: les cir-~ Tonstances suivantes. Depuis ~quelques années, le compositeur et. le conseil d'administration du Conservatoire se trouvaient ien 'désaccord sur certaines questions artistiques. Une rupture faillit se produire a ce sujet. Puis le calme se rétablit, gf&ce à l'intervention du ministre de l'instruction publique..

Dernierementj le conseil, d'administration.pronta de la présence de M. Mascagmau' fêtes dcjt'avène'ment au trône du roi AlpnbnseXin pour .nommer un inspecteur général du Conservatoire, bien que dans un rapport motivé, le directeur se fût prononce contre la création'de ce poste. Aussi., à son retour, a Pcsaro, M. Màscagni refusat-il de reconnaître le. nouveau fonctionnaire. Eh re.tponse. ~e refus, le conseil .d'administration ut poser suritoutes les portes du Conservatoire dea plaques portant,.ce mot jK~ec<'o.r.M. Mascagai nt enlever ces plaques ;le~conseil les ût reposer. Ce petit jeu durerait probablement encore si les ele-: ,'ves du Conservatoire n avaient pris position dans le conuit. Tous se Tangèrent du côté .de leur directeur. Alors, pour se venger, le conseil d'administration ne trouva rien de mieux, que de rogner fortement, sur le

.–Bah! ceUe jeune ïiiïe rirait, si on tui proposait un.hommë. ayant le double de son âge.. "–Ne ie crois pas, puisque tu sais de qui il

s'agit, je te dirai en conudënce qu'lBabelita..t'ad-

jnire beaucoup.

–'Majs.

–Jesuis.cBrtàtndecëquoj~avance.

chose eLai t gra~e. ti~tte'. adthi~ation inopi-

~6ë m'inquiétait etjn'hunnUait.'Je~ ne pquvais ~pas:i:egarder mon-Yisage dans 'une?'~a.ce parce qu."ira'y"cn, ayait. pas ia, mais Je-voyais mes; mainsA~uesct.~ales,: amsi que mes; pieds; qui n'étaient ni petits ni bien chausses; et':u m~etait Lmpossible de deviner, comment gavais pu~

~plaire. '1

moms .que'pmsse ~aire~n R~mme qui se saitappr6ci6 par une jeune n!Ië, c~est de lui passer le ravier- des hors-d'œuvre, en. lui-de-~ ~mamdant si eile en désire. C'est ce que je ns peuàp~ës. Elle piquanne olive avec sa fourchette et,' auss~ptson joli visage'* se ".GOUYrit'. de rougeur, eomme:si, au lieu deTouve,eBe eût attrape mon

'.cœur.-

~i'Je.ne me ra.ppe.ne pas bien~ mais'je croîs .q~a- près les olives ~lui passai dés ronden.es ~e. sà~'Gisspn. La meîne~moHon se Tenouvela~cë'' Q'ui'm~'troublastnguIiërëmëht..Més.sentiments chevalëresfjùës se rëveilferent .àj'ce.point que, coup ;Bur coup, je lui passai [aveeëmpressemcht :Jesautres~lats. .Jcpense.quë~si eUea.vait acceptê'tout ce que :je mi oïTris cette aprÈs;'m!di;aucuhëpurge-n~u-

ràit pu_Gombattï'e~es~euets de mà~galantene, et

~ëtre/angélique-auraii..jdëpioyû;ge~ ~er''s: le'cië! victime d'une iMigeEtion. t~ne fais lamce~ .'sur-!a pente des gëntniëssesy':jë~n''h6sitai pas -a"

.m'asseoir'~ ~t6;.d'eHe,pd~~ d~ré:°.qu'ellé:

avait~es~yeitix~'ëxt~rdi~

dësjouss~rosea~yeloutéës~oQ~ üide~erap~, ~blë~~é~vi~an~s'~eii~s' matns~.inQesprip-'

~ës'â~a~ sürprtse, étr~sà p~~

~iopoiSe.xpri~~uQ~e&~i~~i~~

~~ondâ-nBl.aQ~s'I~la~

~ciredtt -aiIoQB~&t~x' eprëuTcs'de nn ~a.nn&B~'M'. Ma's'cë. gni 'oSrit' de payer de sa poche là" somme BtippnmeeJ'' -:Cette libéralité ïut, refusse .et le conseiI.o~donna~ MérmetaTc du .Conservatoire.' en -'pleme psr,iode -Sës~ 'ëxamens. M. Maseagni.s'adTessa au. ministre del'inst.ruction ;j)Ti'bliqûë qui, ~cetté -fois, n'a p~s'oru -deySir pr6Qdjë'ia'~ dêlensejdu .célebrejcompositeur,' Conclusion .M. M-as-~ -cagni~ien.tde-jse démettre~e.sësïùa<Aions.~J-.epï'iB- cipal grieî invoqué contre: tulj-ce sont ses fréquentes..

htguMàl'étranget'

D'Enghien: L'anBonce de Ca~tMeM~aYait attire -samedi iliaGl'otEe.Me~veiUense~une fo~e des plus élégantes; JSeshmt.lieures, ion ne trouya.it plus 'uû 'etrapontui~â* louer.-LaMpresentatMn.a été b'ès ~rUIantc eton:à ` 'Jait~uBe véritable ovation a Nllè-~harlotte 'Wyns, .` UBe~Carmen.ideale, < Hier, la .Ro~e ~o]<~ avec :M. Huguenet, a oMenu uhgrand;succes. ;=' ~Demain mereredi, ~ttM)C a'yec MUe Marguerite Picard)der0pei'à. >" .DeSaint-Ssitàstien: M. Mounet-SulIy est venu a. Pasages visiter la., -maison de~ictM- Hùgo.~11 ajcté re~upar MM. Paul Deronlade et Marcel -Haber~ l'aloaLde de Pasages ~t 'un:ccrtaiQ nombre de Fràncais.et~d'Espagnols.AprËjs .avoir déposé un Itouquct'de H.em's devant le médajl-~ _-loa du-gMLnd ppote,' M. Mounot-Sùlly a récite OceaMO, JVoa;eHesfatH?fes'Gcas~Au~. 'applaudissements de l'assis'tànGC~/ A quatre beoies; ':il~ rendait' en 'France'~par l'express,- De Rome.t- < `. ~M. Gabriele d~Annunzio-u'a pas reNO~.c6 à son projet d'établir un thù&trp.ideal B, .avec Mme ,Duse comme co-directrice:. GrAce à une combinaispn Gh'anciere 'qu'il.gardé encore ~seorcte,ce .ftheittre sera eniiercmont/gL'a.tu.ttj'dù. moms pour les places, inféTi.GUrÈS. 'Le poète met la dernière main'a une tfagediG~Je JBo: JVMMM,'où Mme Dnse'- remplira, le .rôlede~la nymphe Egérie.. Ijes étran gers de passage à Paris ne manquent pas do comprendre~le cmématographe des Grands Magasins Dutayel dans la.Hste des attractions qu'ils doivent visiter.

n est imuossiNe d'ailleurs ue trouver nn spectacle plus intéressant que celui qui y est. donné a~8,.3, 4; et. 5 heures en. semaine et'le dimanche aiO ct~l-hëures et au programme duquel ûgurent des pièces d'ombres avec partitions musicales, ~soli et chœurs, les têtes franco-russes et espagnoles avec accompagnement d~orohestre; musique'militaire, sonneries, etc.. ` .S~ÉCT~CLES DS~ERS La moyenne des recettes encaissées aux Ambassadeurs depuis la première, de .PafM /!cw de e/tte, est de 4,000 francs par jeprésentation.

La fantaisiste revue do.'MM. de Gorsse et Nanteuil détient d.pnc le rccor.d du. succès' d'aTgent, car ce concert: n'en connut jamais encore de pareil. EL l'on peut ajoutei'-recoTd du succès do rh'e, car ou .s'amuse fol-' lementauxscènes''d'actuaUté si heureusement' traitées par Jes auteurs et si rondement menées.par'ies. interprètes. Un des grands succès dé, rannée est assurément-~ pa C~!g'M'&la .revue de.M. P.-L. Fiers, que'dpnne-' depuis lin grand mois.dëjà et avec' une vogue gran-' dis.santel'Alcazar.d'Ëtt;On s'y poite en .fouJë. et on 'sort enchanto :de sa'soirée,; diverti par le bclentrain des in terprotes autant qu'cmsrveiUé par le bon goût, le luxe do.Ia mise* eil sbéne, et charmé pa.r la mutine gentillesse, des New Snowdrops,-danseuses angla.ises, qu'on ne se lasse ni de voir ni d'appiau- dir. Nioolat

A la mer et da.ns les villes d'eaux on manque sou- vent do bonne huile d'olive- Hatons-noua .de dire que~ l'Union des propriétaires de Nice, 10, avenue de~ l'Opéra, Paris, envoie par colis postaux son exquise J huile d'olive, si saine, si pure et si appréciée.

PATE DENT!FR!CE GLYCEf~E Se ojëBer des ~~att~jtjonai i ~R°~ ~r.n? t:~S S°*S?.

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Les courses commenceront à deux heures. .NpsprotLOsties Prix d'Apprentis,Repaie.

Prix de la Socictë Sportive d'Encouragement.–for~aM~

Prix de la Ville.Be~e)' Prix des Conscrits. .d.M<MM.

Prix de la Société d'Encouragement. AMCf .PteOM..

PrixduCasmo.–Vtc7tKoa.

Prix de la. Société des Steeple-chases de France. ~&aif; COURSES A'VICETY A

LMt~t aot~ ~O~

(Résultats)

Un temps ravissa.nta favorisa hier la réumon, qui a. été réussie en tous points.. Neuf chevaux se sont rangés sous les ordres du starter dans !e prix de la. Ville de Vichy, l'épreuve importante la .journée.. MonteHa est partie'en tête, suivie de. La Peigaerle et de MàMa; a centrée de la Jigne droite Ivry 'vi€nt attaquer M~ntella et- semble gagner.îacnement .quand Malta surgit ep dehors et le batt par surprise juste sûr le poteau. D&TAILS Prix do~a.'Société sportive d'Encouiàgemoni. (prix spécial –.3.0~3 îra.ncs,2,000'metFcs). ~ElorcntiD.o. 6/4 (Spears),l;Tapa.gcur, 8/1 ~RifiÈre), 3:j Heraelee,.3/l(ThbTpB},3; Norrplaces Le Breimus, Fitz Plutus, Vulcam n~ Sc~ef-, BeJd..E.arna&. G&gnô da cinq longueurs Id troisième à trois longuLenrs. Pari-mutuel: Sîr.SO et 6ii-.plac~S',18fr.;3' .7fr.50. Prix des Jouvenceaux (critérium, des poulains–4,000îrancs, 930 mètres) En Ga-rde, 4/6 (Spears), t Laboureur, S/l (Thorpe), 2 Saint Germain, 6/1 (A'. CMIds), 3. < .J Non places: Tremplin, Cynique, .Sylvino, Na.tal (dc-~ robe).. Gagne de doux longueurs et demie; le troisième à une.' loJMueuretdemie. Pari mutuel 7 fr. 50 ût 6 fr. place 3", 6 fr. 50. Prix.de laTUIe de Vichy (handicap–10,000 francs, 3,000~ 'mètres). Malta, 13/1 (Lamartine), 1; Iwy, 3/1~ (Gomez), MonteUa, .4/l(Thorpe),3. Non placés ;.Bosine, Zerliue, La Peljgnerio, Toiras,'LU- crece, Edelweiss.

rougissant de plus en "plus. La,-conversation se prolongea, un moment, avec dès-répliques iines~ et spirituelles, ainsi que si nous avions joué une: comédie de cape et d'epee.

j Isabelita rouissait et pâlissait tour à' tour. ..Notre bavardage folâtre attira.; ~attention; des~ -.autres personnes, qiii nous regardaient avec eu-

-riosité ense faisant-des signes malicieux. Ne sa-'

'~uan~ quelle fo~ë inventer, '~e ~suppliât Touef .d'aller .cher-cher sa corjiemuse et; je proposai a.~ toute Jà~ociëtÉ-de danser. OQ-acGepta.a.vecplai-~ ~sir en riant 'bea.uçoup (peut-être de moi) et on; }' ~s'organi sa: par cou pies. 'J*mvi.tai, cela va. 'de- soi~ Isabelita,.etjc me mis à sauter àvcc eïïe comm~ un.collcgien. Au bout d'un: moment, j~ m'aper- çus que'les autres danseurs 's'arrêtaient et-que;

(nous étiôns'.Vpbjetdë .râtt(mtion:gë Aton

excitation ne t'aima pas pDursi"peu~ Je cph'ti-,

nuai encore longtemps le même exercice, ~.ù muièu:dës rires..et des ba~tement&.Qe inajns;Ûe'. ceux.quijious regardaiËnt~n riaïti. Seul, le si-. lencieux Touëtetson impassib~'RIs nôùs~con-~ tcmplai.ent~aYement,m61ancoItquementj;;M me s''Hs~voulaient nous rappeler le néaQt.des ~choses humaines, la briëvet~-derexistence. Christma, qm~jusque-la. s'était. montrBë'/sÉ-, ~neuse,surlë'front'soucieuxdeaaquëIleo~M S'~i). voir les~tra~es de Ja scëne du matm, .-s'ammatoutàcdup. S& gaieté 'futEi-dëbordaii~ qu'èHe T.a.usa-i'adtniratioB.dc tous', il y avàtt des ànhees~que l'on ne ràvaitvué~ âmsi., Dona Ane- parodëclàr~t~que depuis son enfance, pendant: JaqueHe'~a ~urbulenee lui avaitisausé tden des

~tourments, H nejtu..êta.it:pas arjri~ de' .s'exciter

~ce point. EHe neus aeclamai.t~nous applaudis~Bait, naus jetait jies~cmifas. et'' des -amandes, nisme~lle. mamîes~lë~dësiT~; danser qrissï. -~mtno-Bce.ë'Spm~ecbe~~

fêtât- aù~Ue :së trouvait~ -'ma~s de sa -u~e. ne,

:cessai~nt.e sortir ~es.pI~sM~ries~

~rëpaf!S.r;fà~~rtt'?e é~later â~evrne ou t la:

~ëu&ipn~=~?'

~~î~a~âit ~'es~rîtr~m~ -e~natur~t,- '.qui,

i? .qui

;Gàgne tfane Tconrtc tête le -troistëmc tHM -deïm~pn-

-~gneur. !y'

Pan muinol: l", 0 fi~. 59 ctl3 fr.-M plàpe; 3' 6 tr. M;

~,?-fr.

-'Prix des JoBvenceIles (triterïum 3e9'tôuiichos –4,000 "francs, SOO~etres): « ':=, Reyna.l JCastaingl, 1~ I~me, 7/4 ~Spears), 8~ Màl-onno,l.(MmaTtme); Non plaeësj: Ij~Orfovrenc, Hermopolis, Etincelle, rt:yanc. Cagne d'une jencoluje; le troisième à une encolure. Pari mntud': 38 fr. ~0-et 16 fr. p~oé ~3', 9 tr. 60. Prm.dela.6oeMtë d'encouragement (!s6ne–5,000 Jr~mesf

'~OOmctrcs)-

DarhonLu~3.(Spears), 1; L~Enfant, 3/l'(Freem&n), 3;

Vu}camIH,~l<ea9taing).3.

Gagne d'<me.~ougueur;letroisiuiQe loin..

*.Pa.ri!BUt]aëH,7û' COURSES A-CAEN

~M~~ey~M'<t~0~ {RësuUa.is)

LaT~uaion a ~M contparice par une petite .pluie JiAe'qui tombait depuis Je matin malgrë~e!a, n y avait un public assez nombreux au pe-

..sageetBurlapelouse;

~uéieurs incY dents ont eu H~u .au cours de la :T'~uaMn~.qut'ont'am&ne deîiombreùscsr6dama-. lions Fela.part, du public. Au dopArt- du. pnx de JjQn~ç}iamps, ur~ !<gtirë bôuscuJadë. s~tant.'produite', mats tout .â~

'Imt'au.dë'part, VasGo~ayant pï'is'"Ïa .tstë ~sàns~

être rejoint par Fortuny 'pendant' le reste du parcours, s'est vu retirer le bénéfice, du prix par les commissaires pour avoir gen6 Les concur-

rents.

La décision des commissaires a cte prise sans que le publie en soit. averti, si ce n'est par le cha.ngementde numéro duvainqueur au tableau aulùornent~do la sonnerie indiquant de mettre Ic.«roug'eH.;

.Le second incident est le remboursement, de Top liane, qui, cependant, s'est pr6sent6e sous les ordres du~.starter,puisqu'cHe acte la cause de nombreux faux départs; nnalement, on a 'donne le départ et elle est rentrée au pesage; les paris'faits sur elle ont éLé rembourses. .Sésostns I~avaitpris la têLe,' dans le Grand Saint-Léger de France, des le baisser du drapeau, suiyi j<ar Château Gontier, qui était'a bout aé.forces.avant letournaut. Gabrielle d'Est-rBes et-RoIIy Polly se rapprochaient alors, et la jument tentait ùne~bonnc attaque costreScso.stris, mais celui-ci résistait sans peine, pour gagner d'une longueur et demie. Rolly Polly était troisième à dix-longueurs.

.Voici les gagnants du Graud Saint-Léger de France, pendant les cinq dernières anaées i897 CbamLertin, m.,551~. 1/~ par .Le Sancy, à M:J.Prat.(Madgo). ~1893 Lo S.ama.ritain, m., 37 k. 1/2, par Le Sa,ncy, au

vicomte Foy~Dodge).'

1899. Alha.m~a 111, m,, o7 le. 1/3, par Little Duck,. .-aucomtëdeFeIs(Madge), 1900 Kaiser, m., Sa k., par Chatet, à M. M. Cail-

-lault(F.'PMtt).

4901-Croix. du.Sud, t., 54 k. 1/ par Lo Sancy, ~u ;baronA~deSchtc'kler(A..ChUds). PrixduGmiveDiemcnt'– (3,&[)3 francs, ~,620 mctrcsj Nossibs, a M.'l< Carter, 4/13 (A Carter), 1 Fanion. 3/1 '(Mac liityro), 3: GagM d'une longueur et demie.

Parimntuol:6fr.M. 50.

Prix. de. Lonehamps (handicap 5,000 û-mes, S,000

niHtMs)

Fortunv, a M. CaiUa'jJt, ~/1 (Mac Intyrc), 1; Lion.ne, 7/1 'fCh. CMfds), 3; ML: Monarque, 12/1 (Harrisson~3. Non places Hocdic, Radietise, Vasco (distancede').

Gagna <Ie'troielongueura;Io~ a quatre longueurs.

Parimutuel l", 31 fr. et 0 fr. 53 place; 13 fr. 50. Grand Saint-L~er de ~France ~lo.OOO trancs, 3,003 më-

.'tresj:.

Sesostris II. ?/% au baron Foy (TJiompson), 1 GabneBo -d'Estrccs, liylO(A:. CartËr), 3; RoJly PoUy, 8/1 (Màf. In-

-.tyro)~

Non pla.<~ ChMeau Gontier.. Gagna d'une longueur, le troisième à dix longueurs; Pari mutuel l", 31 tr. 5U et 5 fr. M piMO & tr. 50. .~Pri~de la Sociotc d'Encouragement (hors série, 10,003

.t'JraTics, 3,200'mètres)~

Arcadius, 8/l,~àM. F. Charron (Mac Intvre), Missive, ~3/1 (Thompsonj. S~'Rose Kito, 9/8 <Gh. Ctnids), 3. Non places Coucou, BristoL `

Gagna d'une encolure, le trolsle.me à une demi-longueur.

Pari mutuel 1"10 jf. et 7 .fr. place 2', 8 fr.

Prix du .Chemin de fer de l'Ouest (a Mdamor–3,500

Irànes,S03 mètres)

I.,eGjjLubn,5/aM.Deb.ray(MacGinn),l;We!comGll, 7/4 fWeatherdon), S; Santoline, 8/1 (À. Carter), 3. Nonpta.cec:'raloyalia. Gagné d'ûns longueur et demie; le troisième à deu~ lon!.guours.

,arimntuel;.l" 7fr.5ûct5fr.50.placë; Sfr.SO. \Trix de Louyjgny (course de haies, handicap–2,'OCO ,'fsmcs, 3,800.-mètres). iLysias, 2/1, à M. Tonllier (A. Ne'n'by), 1; Eglantine 111, -~g~AHinsôn),S;DtU-foM.6/I;(Harf;

~Nom places :'V<AHgcusc;'Piston,aTi'6te.

COURSESA.OSTENDE

ZMM~aO:

(Pai'dcpëcbe)

~RësuJta.1 du Grand .'Ct'Herlùm internationale

1" Reine Margot (Hoifï), à M. CaiUauH 2', 'Vinicms <S[~rn),à M. Edmond Blanc; 3°, EssJing (Highy~, à M. -Ephrussi.

10 partant.

Très nombl'eusc assistance.

CYCUSME

~–TLe velodromo'du Parc des Princes fera sa réouverture le dimancife 10 août.; avec une'course de trois jours. RoN, Tom-Linton, Boultburs~ sa rencontreront en. trois épreuves successives de 50, 83 et 100 kilomètres, les M, 15 et-17aoùt.

Les racontes tentatives do Tom-Linton pour le record de l'heure double Tintent que présenta une telie course de trois jours, et la rivalite-ancicnne etpersisfante~do Tom et de l~exceileut .RobIjMus promet une lutte sans merci. Comme à ce régal sportif viendront s'ajouter encore des épreuves de vitesse dont la. direction du vélodrome du Parc des Princes est en train d'élaborer le programme, il est bien certain que les trois journées des 10, 15 et 17 resteront avec'celle de l'arrivée Bordeaux-Paria pajmi les pius intéressantes et les pins .suivies par la 'foule des Parisiens. –-Ijes~lus hautes récompenses, et par-dessns toutes les faveurs du public ont consacre le succès de l'AcateneMe~tropoIe.Ja'reine des .bicyclettes sans cRaInc,celle <~u'on 'inuto toujours'sans jamais l'égaler. On peutla. trouver aux. diScronts magasins elle est exposée.: 29, rue du Quatre-Septembre, 47, rue des Acacias, 197, a.venuo'Da.umesnil: Usine: 17, rue Saint-

Mam',

.guperberÈUmon dimanche au vélodrome de Cologne. 'Sp3rt"4ntBTessant et rcgulio: maigre la chute de Jacquelin, .<;fui s'est Idesse aTJ bras et n'a pu continuer.

'Voici les résultats: r

.j.- Derby ~e l'Allemagne de l'Ouest, 1,300 mètres.– Tjes Séries sont.cagnécs suMessiyement par Rutt, Ellogaard, '~acquelin, bander. Bom, Grogna, Buisson, Bixio, Orla"Nord, Momo. Finala': 1. Etlega,ard, S. Rutt, 3. Momo. ~.Handiea'p.S~XtO mètres. 1. Jùe,. 8. Buisson, 3. Grogna. Tandems, !~030:;metros. 1. Ellegaa.rd-'Vau der Boni, ~.Rutt-Grogna,3.Bmo-Eros.

–Résultat de la course da six heures, qui s'est disputée dimanche à Berlin sur le vélodrome do l'~riodenan 1. Robi, 358 liil. 5M (record). 3. Hickeutm:LQn,347kiI. 9M. ,'3. Ryser. 839 kit.' 510. 4. Hùret. 318 kii. 0~. 5. Joseph -~Fischer. 303 ki). 3~0. 6. Contenet, 393 kil. 850. 7. JeanFis';chef().om.be],Ë28kiI.890. ` AUtpmOB!L!SME

Nous &vons le plaisir -de voir ûgurej- M, Darmcq, le

idonnait beaucoup décela ses paroles; quelques-unes,~cependant, me parurent un peu osées, :~ans je'Tadmirais tant que je n'y pris pas attention..Lorsque Fon parle beaucoup et sur le ton ''de la/bouffonnerie, il n'est guère possible de se. ~maintenir dans les limites de la pruderie. f–-C'est tres~T)iën,' me, dit ~Sàbas à l'oreille, \quand nous nous assîmes, ma.~tënant il,në faut '~pas laisser ï'efmidir,le four. Insinuez-vous dans ,.la cdnSapce.de.m.dn oncle. Pariez~ui de ;Ia.' haussë"duceLcao.

.Jeris, mais ne tins 'aucun compte de sàte~cbmmàndatipQ. Je continuai à faire la cour a IsabeHta, ayëG l'approbation de tout le monde. '.Je me trpmpe, donaOara. dirigeait de t~mps ea ~témps Yers'nous ses yeux encore un .peu plus :'sÉxëï'es,que<Ie ~coutume. EHe îronça.it.-soh /nez 'b'outboniëo, -tout ~en:.prenant un sorbet aux ~ch'ùTâs. 'Je ne sais;si J'entendis bien, mais U me. sém~a qu'ene'murmurait le mot « shockin~' Cë!a~aLurait rien ~u d'étonnant,. car dans les 'moment~ ditûciles, cette illustre matrone préférait~~angag-e anglo-saxon au sien. 'Ge~que je p~ii.s' cëruner~.sàns que_persenne puissë,Tne'contredire, c'est que jela vis manger plus â'ûii kilogramme de cacattoùets,et cette opérà~on vulgaire ne lui i5t pas perdre un, .atome~de sa dignité.-L~ieure de rentrer sonna. enfin:. "Mais au moment de/nous mettre-~ en~ màrG'he,Chnstina se sentit indispos6'e; EUe'pâ.lit et pojtaplusieurs fois la main a. satete et a son cœur.:Ïies sels de dona Ampajo n'eurent a.ucun eS'ef(_pas plus: que reau demciisseeUa.neur d'o~n~r, doht:cettë nerveuse dame ne SB scpa.raitgamais. Ch.ristina dcsjrQ .rester seule avec; !a. femme de Toûet, qui lui jitjprendEe une tasse de tîllëul;~n~quELrtd'hem'G-apres,clIe sdrtH'de; Ya ch~m~ea; ~pparence/~r~ av~o~e~~eux~oùges;Ia..çrJsë:~rA'ë,use;~ syt~t,

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Baducld'Oustrac,aGerardmer.

Comtesse de Balincourt, aBouIogne-sur-Mer. Comtesse Jean de Beaumont, au château da Rbs.anbo. Albert Benoist, àSaint-Nectaii-e-Ie-Bas. Emmanuel Bocher, au château de Ris-Chauvron. Victo.SBodsoB. aBockcnricd.

Baronne du Bourdieu, au Tréport.

Comtesse de La Bourdonnaye, au château de Vay. Boutai:, à Monceau. Baronne Olivier de Boutray, à Clialouze.

Comtesse do Brëmond d'Ars, a Deauville.

De Cazotte, à Aigle.

De Chabaloyret, a Londres.

Raoul de Chaivron, à Moulins-EngiIbsrt.

<hene, jau château de Gluges.e ~t, Gomtesso Tillette de Clormont-Tonncrre, au château de Pornic.

G. Collas, à Lucerne.

Comtesse Elle de Cosnac. f,u. château de Clemery. Comtesse de Courey, née Goyon, au château de la Sa-

nzmiete;

Baronne de Croze, A Massongy.

E.deCurzon,àNérls-les-Baiùs.

Alfred Février, a Royat..

Marquise de Grammont,. aü château de Pont~ DuHameIdeCffno~tY;'à<3crardmer.' IIërman, a Bruxelles.

Baronne d'Houdemare, à Dinard.

Comtesse de Jan~sens, au château de Romainvillp. Paul Labbë,, au château de Sauqueville.

M. de La Lande, à Eecamp.

Legrand, a Uriage.

G. Legraud, née de Fournès, a Trouville-sur-Mer.

Le Jaindi~e, au château ci-- Clévant,

Le Joindre, au château ds devant.

Le Marchand, à Salin s-le~-Batns.

Comtesse Le Maroia, à DeauviIIe.

Baronne de Loujon., au château de Be~sanies. VicjmMsse MarLm du Nord, à Gauterets;

A. du M~artray, au château de Chantelonp. Comtesse Charles de Montallyet, au ch&teau de Villedieu.

Baronne de Montenach, à Vittel.

De Montgeon, à MaroIIes-sur-Seine.

Vicomtesse de Montsaulnin, au château de Bernay. De Navenne~ a.Brides-los-Bains.

Marquise de Nicolay, au château de Brmon-surSauldre. Paul Nombel, à-Biarritz.

-'Marquise de Perussis, au château du Rosanlien. Comtesse de Rayenel, a DeauviIIe.

Comtesse Marc de Rostang, à Thonon.

Duchesse de San-Marco, à Ischl.

Charles Sa'<'ary, à Etalans.

Paul Sédille, au château de Boisrond.

Segonne~ au cluitcau de Cabriac.

Gcneraio.Soigia.nd, à Traoy-.le-Mont.

De Somer d'Assenoy, au Coudray

Comtesse ~VanRobais, au château de Pihen.. Comtesse Vigier, douairière, au.ch'.itoaudcSaintPiorrc-du-Fresne.

M!IcsdoBarj'in,.au.chMeaudùLapërouze. Louise Bonpard, à Tannois.

Bordet, a Viliers-Vicomte,

Bouissavin, a Benodet.

Pierat.àCabourg.

De Roùalle, a Saint-Honorè-les-Bains.

MM. G. Aladane de Paràize, aux SaNcs-d'OlonM. Marquis d'Anglars, au château de Champagne. Comte Guiliaume d'Aramon, a BercT:-Plage. M. Ardenno, au château de Vertbois.

Albert d'Ardenne do Tizac, au château de Requista. Pierre d'Artcmàre, au château de Sarsoux. R. d'Arvengas, à Saint-Germain-en-Laye. Maurice Barrès, à Niederbronn.

Bessan, à Bourb.onne-les-Bains.

Bilhaut-Durouyet, à Rosières.

DeBUly.auCàmpot.

B. de Blanpre, a HerouviIle-Saint-CIair.

Cointe Georges de Biois, au château de la Rochejaquolein.

Ferdinand Borde, a Biarritz.

Charles Bortoli, aBridcs-les-Bains.

Comte Jules Boselli, à Salins.

Baron de Boucheporn, à Dinard.

Baron Robert de Bbulëmont, au château de Largentaye.

Vicomte de Calan, au Mans.

C: Clado, a Zurich.

Condron, a Saint-Ay.

Marquis de Courey, au château de Claireau. Vicomte A. de Courey, à Montargis.

Comte de Courville, au Groisic.

Alexis ~Creuze de Lesser, à Aix-los-Bains.

A.Danglade.a.Montauban.~ Dauvillier,.àEYiaji.. Maurice Déchelette, à Pouilly-les-Nonains. 'Jules Demory, àyersa'illes.

Desportes de,La Fosse, à Fontainebleau.

Deteneuille, Sott.OTille-sur-Mcr.

Comte EHonne.<leDr&ux-Brezê, auchMeau deGGr-mancy..

René Duboscq, à Contis.

Comte Arnold du Monceau de Bergendal,-à Bonlez. Marquis d'Elbée, à Gucthary.

E.EsnaùltPelterie.aMontgeron.

Etienne.a.Ia Ronce..

Lucien Etiënne,-a Nogent-sui'-SeiM.

Comte Gabriel d'Evry, au château de'Bruycrcs-.IéCbatel. Rodolphe Faulquior, à Palavas.

Maurice Fanre, à Villers-sur-Mer.

De Francquevillë, au château de Rennencourt. F. de Gallatin, à Champol. Gay-Lussac, à Chaumont-cn-Vexin.

Ch.GorI~en.àBienne.

Gervais, à Provins.

Albert Giniez, à Bagnères-de-Luehon.

Eugène Godofroy, a Reims.

René Gravereaux; a 'l'Hay.

Gaston do La Guillonniere, à Divonne-Ies-Bains. RobertdeHeU.àObernai.

Fontang~y

Une fois J'impctuosité chevaleresque excitée par l'admiration d'Isabelita calmée, je demeurai pensif et triste. Je marchai quelque temps à' coté de ceHe-ci et de.Mathilde, faisantdes e~'orts pour.ne pas. laisser paraître son changement d'humeur; mais, craignant qu'on vînt a le remarquer, je restai en arrière pour. me trouver seul.jë.n'étais.pas content de mai, le .flirt de cette après-midi me paraissait une 'trahison à mes sen.timents,' a l'amour pur et délicat que je gardais au fond du cœur comme un trésor. LJ -Je me désolais en pensant que je m'étais abaisse à la plus puérile vulgarité. Je craignais avec raison que Christina, dont je croyais avoir gagné TaSection. et l'estime'par. ma conduite, me méprisât maintenant, et cette pensée me na-

-vrait.~Depuis qu'elle s'était sehtic indisposée,'

Christina. ne m'avait plus ni regardé ~n adressé la parole. Le.hasard fit qu'eJIeneput m'evi~ter. .Ayant oublie sa montre chez'.fd.ùgt et désirant envoyée ~quelqu'un la, chercher, je m'ofTris avec empre.ssement. Quand je la lui rapportai, -elle était un peu~en arrière du 'reste de~a &pmpa.-

gme. '<

Merci, :dit-e~e..sëchementj et eïïe tenta de. rejbind.ce ses-compaguons déboute.

'-Quiconque-a; passé par les transes de ~'amour me' croira ,si 'je .dis que ce visage sombre mo causaune.jbié~ndescriptible.. –écoutez-moi un moment, Ghristina, j'~n à. vous parler~lui -dis-je d'une voix.'maI.assurcQ. Eh bien~'dttas. m&rëpUqua-t-eUe avecun ioh~Iàcial. ~sans me regarder, Ge. <[ui ausBL ne

me.déplufpas. L -j~

–-J~~voudrâtS vous .de~aTider- ,'un'. cojiseil.et ~gTose à ip'cn'nc. Vou~v~z da~rema.rquer~'tantot

qu&aijété plus démoostHt.tif.que ,de :cout[na.e,~

a~€e,strë Gpusinp'ïsateli{a)..je l'~i~urtisée.

~?9e~~jai'~uneŒe'pt ~t''a.tten~

~jrua~nvcc~ncore~Ius~d.Ë. ~Mais.c'est~vè'it~ct~~ «I

Eûudia.'â.BeUey. "?, ,0

BarbnHenryHuiot~'RoyaTt.' Jàccard,àDieppe.

C.Jea.nTiequm.'an.ch&îeam deZufaIL

Marquis de La Jon~uière,.à Salina. Ludovic Labhe, a Noirmoùtiers.'

LaPerrmed'HaTitpoulj.àLacerne.

Comte E. de Las-Cases, au Val~Andrê.

GastonR.Laurens,.au<ch&teati-duTM.; LaVeu've,&Bagnole8-de-l'Orne.

Lemoine, à LimeU-Brevannes. LeinperMre.ÂSaint-Lunaira.

Duc de L6\Ti8-Mircpoix, au château de LcraJt. Alfred Manceron, aUrville.

Comte L. de Mecl:enheim d'Artaizë, à Biarritz. Vicomte Alexandre de MelLerenc de Saint-Pierre~ a5 chilteaudelaVinegourio.

'Vicomte Roger de La Mettriè, au ch&tëàu Maucamp. AndredeMicuIle.auPouliguen..

BarondeMolembai~àAnderlues.

Jacques de Mo.nbrison.au château de Monbrison. Comté de.Monchy, à Rimo~ne.

Comte-Niet, au château d'Aufrëry..

Numa, à Bsuzoval;

FerâmandPer.ier~ àEvian..

P.Peri'inDatjàIaGentLHe.'

JàoqussPiou, au château -de Tusta~.

Baron dé Plinyal, à Bergères.

Comté dePluyie, au~ château de Henehouanne.

Geoi'goa'dePommere.au,'à Art'o'niaacbe~-les-Bama.

Paul de Raynal, au château du Montet.

PaulRene,aHeidelhorg.

Georges Rocher, aBrissy.

tiomte Guillaume de La Romagere, au Pouliguen.. Marquis de Romand, au ch&teau de Voryant. A. Rostovitz Bey, à Carishad.

Louis do Royer, a.u thûteau de Pcyrusso.

E. Le Roy de Sommevert, a Deauville. De Saint-Quentin~ à Cherbourg.

Comte Thibault de Samt-Seine, à. Samt-Beatenber~ Sa~mon-Legagheur,àHattonçh&tcl.

DoSaugy.àBex.

Louis Schneider, à ToMach..

J. Sicar<~ à Saint-Jean-de-Buèges.

Comte Stienon du Pré, à Blan~enberghe.

Paul Teisseronc, aLamalou-Ies-Bains.

.Camille Vadon, àNeris.

Vicomte R. de Va~n, au château de Vatimesnil. Do 'Varine, au cMtcau de Fenoyi.

Maurice Vatm-Perignon, à Brie~Comte-Rohert. Marcel Vayssiere, au château de Nouchet. RENTRHES A. 'PARIS

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TJEEÉATRES

OPÉRA. Relâche.

Mercredi G: Guillaume Tell.

Vendredi 8 Samson et Dalila. Çoppëlia.

COMEDIE-FRANÇAISE, 8 h. Ruy-Blas. Mercredi C Francis le Champ). L.Ecole des Maria. Jeudi 7 Andromaquc. Bataille do Dames.

Vendredi 8 II ne faut jurer de rien. Le Malade imagi-

naire..

Samedi 9 Mademoiselle de La Sciglierc.

NOUVEAUTES, 9 h. ))/!). Loute.

PORTE-SAJNT-~tARTIN. 8 h. 1/4. L'Hercule Farnese. Madame La Maréchale.

FOLIES-DRAMATIQUES, 8 h. L'Hôtel Godet. La Billet de Logement.

AMBIGU-COMIQUE, 8 h. 1/3. La Fleuriste des Salles~ CLUNY. 8 h. 1/3. La Loterie. Pour ne pas l'être. SPECTACLES DIVERS

LA CIGALE (Tdeph. A07.&0). FioufroM et Calottes ron. ~es.fa.nta.tsic-v&udeviUc. Mmes .Jeanne. BIbch. Alloms, Seviano MM- Gabm, Max.Morel,I''6rcol. Spectacle-conce.rt; AMBASSADEURS (Teteph.'407.60), 3 h.–Paris ueur de chic. rerue. Mmes Cernay, Gaudet. Debernay, C. Obcr, Bianka< Genevois MM. Hss cha[.Dranem,.Raiter,yasser. LitUe Pich ALCAZAJR D'ËTJS. –.A 10 h. PoUi. A 10 h. 1/3: Ça.Cla. qu'fort, revue. MmesP.Dclys. Bertille, Mistinguotte, Martens, Morly, B. La.roche. T)ie New Snowdrqps. JOLI-THËATRE-GRËVIN; 9 II. Dm-smd et Durand. JARDIN DE PARIS. Tous les soirs, a 8 h. 1/2. Aux'Champs-Elysecs..Spectacle-Conccrt-Prome!iade. Tous les dimanches et fêtes, matinées à deux heures.

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à le faire maigre la grande différence d'âge qu'H; y a entre nous, c~est uniquement parce que Isabelita m'admire. EUe me regarda stupéfaite, comme si ël!e avait des craintes pour ma raison.

–An. moins, c'est ce que m'ont dit ~catégort<' quement aussi bien Sabasqu'Emitiô. Quels sots s'exclama-t-elle.avec un léget sourire, comprenant mon intention, Ils. seraient capables de rendre n'importe qui ridicule. Heu- reusement, 'vous êtes un homme; sensé, sans cela, ou ~nsepait-eile, ma pauvre cousine? C'est _au point~que, maigre tout, j'arfait .quelques tentatives pour conquérir, ses bonnea grâces mais avant d'aiier plus loin, je voudrais avoir votre appro.balion..

–Mon approbation, dit-elle troublée, d'un& voix sourde. Pourquoi avez-vous besoin de mon .approbation. Gela ne'me regarde pas.~DcmaQ. dez-la à. ses parents.. Avant de la demander a ses parents, je dé* sire vous la demander à vous-même. Je saie que vous n'avez aucun intérêt, direct dans ce~tta anaire, mais il est questioadevotrë cousine, que vous paraissez aimer mQmment,. et de mo~ a qui vousayex accordé votre estime, ,b]en plus 'que je ne-là mérite. Personne mieux que vous no peut donner en ceci un Gonseil loyal et je vous le demande comme une faveur dont je'ypus ss- rai reconnaissant tQU's les jours de .ma vie. Elle garda .'longtemps ie silence: Nous~cj~ minions côte'iL côte entre les;iiautsma'fs, q~fdi-~ ~minuatent ëneor~ la ~aibic clarté du crép~s&u~ë.~ Je l'obsédai dn corn. de l~œit-et, il-.ms:.sûEntila~t voir sur son visage de légers, ~d'impeEcept~le~ changements. Son Tront'd'a~prd~ç~~s~.t, pui9. s'éclairait, ses; levrë~'ï~mHër~t~~ns~a.iaset échapper- ~ucun son. sEnnn~'iS!oix~~

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Tr&m d'excursion de Pari.s & Belfort et & Petit-Groix,ayec retour facultatif par les trains ordinaires

Le mardi i2 août 1803, la Compagnie des chemins de fer de l'Est mettra en marche, au départ de Paris pour HelfortetPetit-Croix, un train spécial œ excursion a prix très réduits, compose de voitures de troisième classe.

LA BOURSE Paris, le 4 Mût 1902.

J Curieuse séance que celle d'aujourd'hui. On avait parlé, au début, de grosses exécutions sur les Renies, par suite de la défaillance d'un ou deux grands spéculateurs. Ces exém entions avaient-elles été faites d'avance par. j lescouiissiors eux-mêmes? C'est a le croire, car au lieu d'un nouveau recul, nous avons t eu une reprise assez sensible. Le comptant s'en est mêlé. Bref, très .bonne séance pour j les Rentes. J

) -La situation était identique sur les autres valeurs, particulièrement sur les mines sudJ africaihes. Si de ce côté il n'y a pas eu forte t reprise, il y a eu au moins de la fermeté, et t c'est beaucoup, si l'on tient compte de ce que la Bourse de Londres était fermée aujour-

d'hui.

A signaler toujours do l'animation sur les v fonds ottomans. L'unification va être probablement une des grandes opérations de la rentrée; mais, pour le moment, nous no sommes qu~au début des vacances, et celles-ci se font lourdement sentir parla rareté des_transactions.

Les Rentes françaises reprennent donc une fermeté remarquable, le 3 0/0 à 100 65 et le 3-1/2 à 10110.

6 Parmi les établissements de crédita le 5 Comptoir d'Escompte est bien tenu à 583; le 6 Crédit foncier avance sûrement à 733. Le a Crédit lyonnais reste a 1,057. @'-

B Les chemins de fer sont également en forte reprise :]e Paris-Lyon passe à 1,425, le Nord à 1,835. Toutefois, l'Orléans est moins ferme à 1.513:

Le Suez est mieux à 3,950.

Les Omnibus sont offerts à 740.. Le.Métropolitain est en bonne tendance à 547. La Parisienne électrique fléchit à 317. L'Est parisien est bien tenu à 89 50; ainsi, que les ) Tramways parisiens à 201. La Traction s'immobilise à 30 et Thomson Houston est 6 lourde à. 600. La Dynamite centrale est indêcise-aGGl, ainsi que la Compagnie de Mines d'or' a108. Parmi les emprunts étrangers, ~l'Argentin 1896 est ferme à 67 75. Le Brésil 40/0 j-e'eùle' légèrement à 7385. LTtalien'est beaucoup moins bien tenu à 101 90. Le Portugais s'avance à 2975. j Peu d'auaires sur les fonds russes. Le 3 0/0 = 1891 est hésitant à 83 30. t) La Rente serbe unifiée 4.0/0;est~très ferme 6 à.7235. On'dit que le projet d'emprunt est e assuré des maintenant d'une majorité de' } 20-voix.

Les fond& turcs sont favorablement impressionnes par la nouvelle que .l'ambassadeurTurquie, a officiellement informe M.: Rouyierdéradoptionde son projet d'unifi- cation. La série C fait-30~0 .et la série D": 8890.LaBânqueôttomano'passëà563. L'Extériéurofaiblit u'n)pëuà81. On parle' de nouveau d'une opération sur les mines d'Almaden, qui rapporteront environ 80 millions au Trésor. Les chemins do fer sont en progrés Andalous 173,; Madrid-Saragosse

28û. Le Nord de l'Esp;igne est sans âffàiëe's: `

280. Le Nord de l'Espagne est sans aS'âiMs..

) LeRio-Tinfoest àpeu près sans changement à 1,083. La Briansk s'aCFermit à 199 et la Sosnowlce s'avance rapidement a'1,73~.

Jtf<!)''eMeH.&a.)t~ue..

VRieurs~sud-africaines, plutôt bien.tenues:).. De.-BBërs, 'action~dinaiM,: 586., action :de~

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Ce train prendra des voyageurs pour certaines stations comprises entre Vendeuvro et Petit-Croix.

Le nombre des places est limite.

Le prix des billets d'aller, et retour, dont la durée devalidite est de huit jours, sont lea suivants Pour Vendeuvro et Chaumont, 11 fr.

Pour Langres (Marne), Vesoul, Belfort, Pe. tit-Croix.lCfr. 50.

Au retour, les voyageurs seront admis & leur choix dans tous les trains ordinaires (express et rapides non compris), comportant des voitures de 3" classe aux mêmes conditiens que les voyageurs a plein tarif, dans la limite des ~places disponibles à chacun de M9 trains.

Les voyageurs .devront être rentrés à Paris, le 20 a.oût, avant minuit.

ExceptionneJlement, ils seront admis, aux conditions indiquées ci-dessus, dans les trains de nuit arrivant a Paris dans la matinée du 31 août, pour vu que l'heure réglementaire d9 départ du train de la station de r.etour~,soit pas ûxée âpres'minuit. Lea-McycIcttéB~ans moteur mécanique~ à l'exclusion des tandems, tricycles, etc., seront admises dans ce train d'excursion aux 'conditions qui figurent dans l'afËche spéciale; la nombre de ces bicyclettes est limité a 50. Pour tous autres renseignements, consulter tes affiches et bulletins publies par la Compagnie des Chemins de fer de l'Est.

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Billets d'nUer et retour à prix très reduitt, valables pendant quatorze jours

délivres les.i3et.l4 août 1902

.Prix. des .places 1~ ~asse, 49 fr. 05; 3* classe,37~Tr:80;3ecIasse/33fr.50. AUer: Départ chaque jQur(les'13 et 11 aoM inclus) de la gare Saint-Lazare -paT le servica de'nuit,à.9!i. du. soir; a.rriY&e à Londres a 7:hf40du matin.

Le retour devra, s'effectuer, par service ordinaire de nuit, dans un ~delai'de'quatorze joura.à pàr~r de la'date d'Émissioa daa

billetR:

Départ de Lôndon-Bridgea 9 h. du soir départ de Victoria à 8 h. 50 du soir arriv&e àParis-Sanit-Lazarea7b.l5 du matin. Les trains partant de Paris-Saint-Lazarc à 9 heures "du soir ef de Dieppe à "3 b.57 du matin, cûmportent.des voitures a couloir des trois classes: avec w.-cl. et toilette.

La voiture do première classe a couloir de ces trains comporte des compartiments :) couchettes- (supplément 5 fr. par place); Le~ ~ouehettes~psuvent êtré.'j'etenuBS a l'avanM aux gares de Paris et de Dieppe'~moyonaant une surtaxe ~dolfi. par couchette. 't.eavoyageu'rsportsurs de Itiil~ts-d'excur* sion. de première et~de deuxième classe, pou)'Tout, pendant la penoda'd'emission et do YaIiditc,des.biliets,efîeetuei'lau]' voyage par le

service de jour, moyennant les'.suppléments

ci-aprëg payea. ~.ttprjd .du paquebot; par traverscc Premiere'-classo 10 fr; -95~ deuxiema classe, 6 fc. 75.

Toutefois, ces mêmes voyageurs pourront utiliser le service de jour le jeudi 14 aoû<. eahs avoir à payer les suppléments ui-dessis. NOTA. Ces billets soatdetivrés les 13 E< 14 août, a la gare de Pa.ri5-Satnt-La.zare (galerie du rez-de-chaussée), et a la. Société des < Voyage3_Duchëmia 30, rae de Gram'

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