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Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1901-03-12

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 12 mars 1901

Description : 1901/03/12 (Numéro 7031).

Description : Note : supplément pages 5 et 6.

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5313278

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 14/03/2008

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'J~

t, ha, 5 ii

~M~$~3mm~

'tj~ttre.de~ruxeUes.pharlesWpMf

JGanBenë hippique. Comte .do Com-

La .reforme de rûrtliô{p'apïie.

Causerie agri<Mle,?..JC~~B~ do

'LaùjM'dière'-

Camet 3e l&Ghantê. Paal d'Auroy

Notes militàu-és. V~tinat Fe~eto~: t Casa Maria.s' Pan! Perrot Un/maTqui répand la terreur, ce n'estplua la peste, maisHiën l'appendicite. p On s~esttellement.ôccupé d'appendicite depuis ~elqùes jours?aTAca~ de médecine, dàna les journaux, dans.les.'causeries mondâmes, que les ~trois quarts des ~Pàrisiehs se tâtënt en ce mojnentjçttse'dëmandent :;<< L'aurai-jë'? B

-n'y.~a. quelques' années~ tétait frëatien- porte

'a.vDi~ûnë~ppBhdicite~ maladie i étant nbu~u~

a>i'i~t é- s`: ,[¡t:i j;iii~~j¡~:

~td~vo~t~.Da~r~~a.~

~ugaJa~ejia~GoMediË-EraQçàis~ éÎégâ.uuts nev

You!aient?as avpir~d'autrb'm~ Bobo qurles~enatt 'un mois éloigùes du monde ~.pàssa.it:pour de l'appendicite.( eChère madame, impossible d'assister à votre soirée ~e demain, hélas ) je .suis' alité. Les docteurs craignent une appendicite. )/ <

Gecustait rexcuse des gens comme il faut, vera 1895, quand l'innuënza. fut .démodée. Puis, cette maladie, devenant trop commune, se démoda à ySpn tour.II fallut chercher autre chose.

Le ~-rëinûottàntf Tut très porté dana les der:niëres années ~du siècle. Je connais une charmante femme qui'est très .(iëre d'avoir eu le prë-' mier-(<reihûottantB. Pour un peu, eile prendrait" un brevet. Ce fut en 189?, je crois, qu'elle inau- gurà,.d~:cpncërt avec son docteur,;cé genre de màIadie.Une rivale, jalouse ses succès~ essaye biende faire croire partout qu'elle a eu un K rein nottant ? en 1896 mais ce doit Btre de la calomnie.' Cejpendantle rein nottant s'avoue encore, tandis que l'appendicite ne s'avoue plus. G'est bon .pourra province maintenant. La. neurasthénie a subi le même sort. Personne n'en veut p]us dans la société. Les petites ouvrières en ont toutes. Neurasthénie et bandeaux bouffants: c'est devenu la coilTure du peuple. QueIques~légantM,,a. qui la neurasthénie aliait si.bien,'ont essayé .de lancer-'la çérébrasthénie,~up,:aes médecins obligeants leur: avaient. indi/queé?;.maiscë,mot ressemble trop à l'au~ il ne Teussitguére~ sent-l'imitation. Pour réussir, ~né Tnaladie'dbitfavpir un jiom; bien ,a elle~ùn -~om'-grëc et moderne &,la fois, qui ëE~ et séduise en.même-temps. Les àSections en ~c baissent plutôt. Ge sont les ~/to&:M qui ontmain-

.tenanf'la vogue. Aussi .les jeunes, docteurs font-

es-, la chasse aux ~o~ïcs à coups de dictionnaires, et rêvent-ils d'en trouver denouvelles. Une bonne~&të, œ peut être la fortune et la gloire. JQu*impdrtë si cela. désigne un~mal aussi vieux quelle monder Avec des mots nouveaux, lançons des maux

"anticrues J.

L'appendicite,'est-ce un mai nouveau ou anti'que ?,

Les avis~ont très partages. 11 y a des docteurs qui prétendent reconnaître sous cevbcable une an'ection surannée qui a cessé de,plaire, tandis "que d'autrëa'~y yoipnt. une ~maladie réellement .nouvëlle.ii sépeut bien que ceux-ci aient raison. Gomment cela ne. serait-ce pas un mal nouveau puisqu'il se propage d'une manière si enrayante et puisque les chirurgiens font maintenant, en six mois, autant d'opérations d'appendicite qu'ils eh faisaient'naguère en six ans? Un virtuose du bistouri n'a-t-il pas déclaré qu'il soupçonnait le tiers.de l'humanité .d'en être atteint-P.Et n'avonsnous~pas Jusque certains,, chirurgiens allemands. emettaient'de vœu d'enlevier l'appendice à tous les nouy~au-nés pour leur .épargner des désàgrémenta ultérieurs?- tout le monde opère, par ordre, ce serait bien assurément et nquà y.yiendrons'peut-etre. ~En attendajit~.les inortels dénués jde 'bravoure ~ui~n'aiment.pas .avoir des roncontres avec les ~cMrurglëns;' surtout'quând'Iës armes sont tellëment.inégales, se demandent ce :qu'il faut faire pj)ur.écha.pperaumalnouyeau.

A ces timorés, la Faculté répond K Soyez moins gourmands, mangez moins de viande, bannissez îë cuissot de chevreuil pour faire place à l'idyllique épinard.N

-Etvoilà que 'les maîtresses'de'maison s'en'ar.ent,Va-t'ilfa.noir'bouleverser les menus, entreprendre unerévolutio~ ses invites .au végétarisme?:

On n&y.a..plûs,pser faire bien manger ses amis. ~Un-répas'tropsucculënttva~paraltpe une invitation à.Tappendicite') Les.canetons de Rouen, les foies~gras de Strasbourg, les'ortoians dodus– mes divins compatriotes"– vont passer pour des ~malfaiteurs sournois.' Quel bôuleversement~dans' lëa. rapports sociaux~t Jadis.~c'~tait en bien dînant qu'on 'gouverhait.Iës.homtnes commentlesgoun'ernër désormais ? Jadis, c'était pour se témoiguer leurs bons sentiments que les Français se réunissaient autour d'une table copieusement servie dorénavant, ce sera peut-être pour venger de secrets affro.hts. < Ah ftu m'as calomnié chez Mme Une. Telle ? 9 Attends un peu i.)) Et l'on invitera le 'calômniateùr;a venir faire.un repas lucullesque.

.F.aut-il qu'on nous déteste dans cette maison);~ pepsërdht les convives, en voyant tomber lesjperdreaux'dans leur assiette. Et ils ne diront du bien que des'tables circuleront la benoîte oseille, l,e jovial choù-ileur. On assurait autreTois que rien nese pardonnait .moins qu'un méchant dîner voici .que les lapns menacent de prpvo.quërplus de rancunes ~.encore. Que. le rôle d'amphitryon, devient donc mfncile't' "~Heureusement Ïëa maîtresses de maison'n~ "qu'à réQéçTur ~h~peu pour se ;rassurër. 11 leur ` sùf&rà de sei-appëlërcommënii-sont 'morts Lucullus, Vitellius, Grimod de. Rëyniërë, Brillat-Savai'in,.Mpnsëlet/ tant d'autres.' Aucun gàs- trono'më célèbre n'est mort d'une maladie qui Mssemblë a l'appendicite~ Danton~ q~ fut l'un' des plu&.ëmiD.ents– il'donnait des~uînërs a. quatrë'cents franca~par'tetë –.est bien mort-de certaine opération malheureuse, mais la chirurgie' a'j-futpa:spourgrand'chosë. Nous aimons donc à croire qu'on peut encore fa.irc de bons dînera sans trop de péril. Néan- m'oins, Tindicati6nidë;la Faculté n'est .pas rnaù-. vaisê. Nous maQgebns:;tr'ûp, c'est évident. Un dîner un, dë.ienips en temps, peut être une'chose Excellente; m~~ quand les dîners nns se rêpë- = tent,trop~cëla"peut devenir dangereux. L'esto- /E&ac,a-t=on :dit,'est le plus grand.. des ingrats

Nus vous faites pour ~ui.etplua :U vous joue de

mauvais tours.

-Certes;.nos Testins'a.ctuels.aveG leurs dix plats' ¡

;et,-[euj-s, cinq.ou six~vins, 'paLraitràient de .piètres

cp~.des rëpa3.ae,~Qs.-ah<~trëB,~u le. < ~oid~ct~di~f&isa

~es~~p~~Mi.Bot~B~

t~Ddis ~ue t~ plup~ descendants "ne~Ié~

~sontjan~ais~Les jrejationa .sont~~b~ ~étendues;qu'autrëfois~ Tout le monde' d& "villër~tsirph'olne quelquefois bien,~t e~ oh y dtne -toujours 'trop vjte.Tout ~le' mal vient peut==êtrédela. Les moeurs:àctuelles- sbnt-~déplo~râblés pour l~stomac. Peu de maîtresses se rési- gnent à orgaBiser un dîner'pour vingt personnes, sans en myitcr quarante â~dix heures, ~t alors il n'y a pas de temps à perdre/On "mange comme on pédale. En une heure, une heure et quart au plus.ilfautque tout lemenuypàsse. Hop) on n'est paspour s'amuser. Quand on a une voisine aimable, on s'oublie a causer parfois jnais on sent derrière soi un domestique sévère qui,.ù[ie assiette a la main, semble vous blâmer tte retarder"Ie service. Et l'estomac se bouscule, gâche besogne, ouvre la porte aux futures gastralgies. Que les mœurs de nos përes étaient donôpius raisonnables l! On avait deux heures, trbia heurea pour manger les bonnes choses on pouvait saVourer et déguster, .et il n'était pas besoin de négliger poularde du Mans pour tourner soo madrigal à la voisine.

-Ce qu'il y asingulier dans ces discussions auxquelles l'appendicite vient de donner lieu,

c'est que la science et la religion y sont tombées

pariaitëment d'accord..

Les docteurs les mieux renseignés déplorent aujourd'hui que-les prescriptions de l'Eglise aient s été négligées .depuis vingt ans, et ils voient là. j l'une des~riginêsde;ïa ternblë maladie. Ils. déplorent.que nous ne ~jeûni~ns plus,. que nous

~angtô9a~<]rus~les~ou.ra''dej~à~iâ~ quexloùs.:

S~a~m~t~

~aqûe~s~ t t

I~;n et~ie~t do~-pas~Bi~gM~nts que cëlà,-ces prêtt~s:;du:temps~passé:qui~piaa d J' ;f Vendrcdt,.chairne mangerM,

NUe samedi mêmement.

Ils n'avaient pourtant jamais entendu parler d'appendicite. ,c" '~ela prouve une fois de plus que le christianis-

me avait ~u tout prévoir..C'était pour être agréa-

twe- avait -àii- tout .P pour être agréa-

~bles àDieu qu'il nous conseillait d'être sobres de temps à autre; Faculté nous donne le même conseil; mais pour être agréables à l'estomac. Toute la différence est dans ces deux expressions, et il ne semble pas que colle de la Faculté

soit la plus'heureuse.

Les conseils .des doçteursdiminueront-ils beaucouple nombre des gourmands? J'en doute. La religionet la sciences auront beau ae liguer, je crains que leurs efforts ne soient souvent stériles. La gastronomie~f'une chose éminemment t française. Un philosoj~he du siècle dernier ne prétendait-il point que,-si la France restait à la tête des nations, c'était parce qu'elle avait la meilleure cuisine ? Ceci n'est pas aussi paradoxal qu'on le croit.

<Bien,des gens, par patriotisme sinon par goût, voudront probablement continuer cette tradition française, malgré les cris d'alarme dé la Faculté; ce n'est pas celle qui donne le plus de mal à sui-~

vre.

Le gourmand ,est son propre bourreau, à dit

Rcgnar,d,junjourd'indigestiQh.pëut-etre.

;Aforcëde;Mgo&t9etdemets.succtdents. .n creuse son tombeau lui-même arec sea dents t Sans doute, sans douter. Mais cette manière dejcreuser son tombeau en;~aut~bieQ uh~autre. JoanRameam

Ce qui s~ pa~se LA POL!T!QUE

LA. MAIN DA~S LE SA.C

Vendredi dernier, M. Millerand constatait aux applaudissements de toute l'extrême-gauchè que les grévistes de Marseille avaient décliné les oSres.de subsides qui leur avaient été faites par

les syndicats anglais.

Ce scrupule leur était survenu brusquement sur une dépêche du ministre leur faisant connaître qu'il allait être interpellé.

L'attitude si désintéressée, si patriotique, d'un syndicat où les Français sont en minorité m'avait causé quelque surprise. Je ne me représentais paatrës bien les meneurs de la grève dans la pose noble d'Hippocrate refusant les présents d'Artaxerxès et je pensais que cet élan de dignité avait du être imposé par.leichéf suprême de tous

les.grë~'istes de Ei'ance, M.lMillerand.

-,gr,e,vis.tes ea. S~ç, X.,Millerand.,

Or.s'ilfautajouter quoique créance àunedépêchepubliée par notre confrère le r<MMM,le parquetde Marseille auraitacquis laçertitadequeles mencufs de la'grèvë ~o: ~M SM~eM~'o~ de~N~ca~~a~et* j Le rédacteur de la .Pe~/e ~MM~M~ qui: raillait si agréablement .nos craintes patriotiques au ~uj et des grèves de Marseille conserverà-i-il son ton badina

Et,dés Iops,que nous taut-il penser des afnrmations si nettes de M. le ministre du commerce et de l'étrange comédie jouée à son pro&t par le syndicat international ?.. ,Lea grévistes, avec lesquels il négocie par l'entremise d'un maire qui depuis longtemps aurait du être révoqué, les grévistes; dont il s'est constitué le protecteUret l'avocat, ne sont que des agents .salariés des industriels anglais et des armateurs italiens. ° a ateura

Le parquet en a la preuve, et l'on ne peut comprendre son inaction en présence d'un véritable complot formé contre notre pays par des concurrents étrangers.. Aht s'il s'agissait de détendre les intérêts électoTaux de la majorité ministérielle, le'procureur delà république y mettrai~plus d'empressement, etj'imaginequelaHaùte Cour n'attendrait pas longtemps sa convocation..

Mais c'est la France qui .est en jeu, non la république, c'est notre situation commerciale et industrielle que l'on veut atteindre, c'est Marseille que l'on entend ruiner; il n'y a pas là,pour ceux qui nous gouvernent, matière à s'émou-voir. Et, familièrement,, cordialement, on'discute avec nos pires ennemis. Favoriser un nationaliste, cela~ne pourrait se supporter, mais trahir la patrie au prdnt de l'étranger, ce n'est quepeccadillë et le mieux est d'en Tire.– L. DESMOULINS;

ËCEOS~ POMTI~ES

M. Trarieux, qui ne doute de rien, ayant pris sur lui d'aviser M. Emile Zola qu'il était réintégré dans la Légion d'honneur en vertu de la loi d'amnistie, et M~Zola ayant répondu à son-comjpeEoque'sa suspension ayant été publique, il s'étonnait ~que sa réintégration restât secrète, il nous,paraît necessaire-dë souligner que 'M. Trarieuxs'avance beaucoup en autorisant M. Zola a. reprendre.la rosette de la Legion~d'honneur. 'Nous croyons', en~e~et, pouvoir aÏSrmer que le conseil déTordre s'est vivement ému~ de n'ayoir pas été .consulté à cette occasion, et qu'il paraît à!ix membres de.ce conseil qu'ayant prononcé la suspension jde M. Zola, il leur appartenait exclusivement de ae prononcer sur l'opportunité d& réintégration de l'auteur~e la ZM~cJ'e dans lea ~cadres de la Legibn"d'h6jQneur. Et puisque~nous~rlons de la.gcande chancellerie, donnons c.e .renseignement inédit et rigdùreMsement exact,~que le ëbuvernement ayant dejnandépar dëux.fois au conseil de l'ordpe de-retirersa çrpix.~M.~Pâul Derpùledë, Je conseil .a.

repoussé deux fois~ette. prêtent

&Laua~

~ë~mandarJLna.t~ .Jx~

I~dir~ :l'éusen" tiëme nt,prtm~uE.yient:

,b~er 1~âea ~aâme ~t .b~

._L.~ ~k-n

-On en compte une soixantaine depuis lej-eerU~ ûcat d'aptitude & l'enseignement .de Ia.<c:,coupe i,: i et de la ~confections j usqu'au Nrë vêt supérieur. i Dans ce chiffre ne sont pas compris les examens dont les dates sont nxées parles différents ~mittistëres. Et iljie .s'agit que de l'enseignement primaire 1 Ajoutez-y la part des examens' de l'enseigne-

ment secondaire et de l'enseignement supérieur

ment aI et t e supérieur

et des diverses écolea spéciales et vous aurez, pourParis seulement, autant de concours qu'il yadeleversdesoleii.

On ne peut envisager sans frémir le bouleversement qu'apporterait dans notre machine sociale la suppression subite de tant de lauriepe à conquérir et l'on se'sënt, pris de pitié pour ces pauvres Chinois a. qui .les diplomates viennent d'inQiger une épreuve aussi cruelle.,

Trois millions d'enveloppes ofilcielles.

Un gros travail matériel vient d'être 'terminé dansles.mairiës de Paris: c'est la mise. sous 'enveloppes, non cachetées, des formules-questionnaires destinées aux opérations du recensemëntquinquenna.l.du34mars,

II a fallu trois millions d'enveloppea": ce travail a été exécuté par des employés dejl'Hôtel de Ville, détachés à cet effet <tans les mairies, et par dé nombreux surnuméraires.

A l'heure actuelle, on procède au collationnement des inscriptions immobilières de chaque arrondissement. Cette opération sera terminée, calcule-t-on, le 33~mars au soir. n e,

Le lendemain~toutes les enveloppes sërontdiatribuees dans les.~maisbns'parisiennes. Nous n'aurons plus t[u!&:Fempli~lës formulée

~l~è~>~m~~t~~soua~Q~~3~~39;p~s~;a~r'r

s

~rnieresyetà~ttBndre'qu'on~iennëaea~eprsnS

~d~à?3jomicile~

Le ctimité de, la ë terIDine, en:

Le comité de. la Société hippique termine, en

ce moment, le projet du prochain concours annuel qui, on le sait, doit s'ouvrir le 25 mars. Ce sera une véritable solennité parisienne que ce concours qui, pour la première fois, sera donné dans le Grand Palais dès Champs-Elysées. Aussi. la Société,quo préside avec !a plusgrande activité M. de La Haye-Jousselin, s'est-eUe imposé do réels aacrinces. L'ancien matériel qui servit naguère au Palais de l'Industrie, à la Galerie des Machines et, plus récemment, place Breteuilaera presque totalement remis à neuf. La tribune présidentielle et celle du jury, qui se trouveront en face l'entrée principale, seront, dit-on, tout particulièrement luxueuses.

Les_écuries seront aménagées dans les soussols avec.iout le confort moderne elles seront éclairées ;par une.centaine de lampes électriques. Quant au petit Salon qu'organise chaque année la Société des peintres.et sculpteurs de chevaux, elle se tiendra à, droite de la porte Alexandre in, et noua, pouvons, dés aujourd'hui, dire que ce petit « Salon à coté )) sera beaucoup plus important que précédemment, car jamais, trois semaines ayant son vernissage, le secrétaire de la Société n'avait reçu un aussi grand nombre de lettres.lui annonçant des. envoia. de tableaux et d'oeuvres sculpturales.

Un télégramme .avait été envoyé au maire de Milan et au ministre de l'instruction publique a Rome, par M. Beauquier, député. président .{lu comité franco-italien, à~~issuë de la.~solentute, eh PhonneurdèVerdi, à la Sorbonne. f~ .Le; ministre de l'instruction publique d'Italie, M. Masi, vient de répondre par un~ télégramme de remerciement qui se termine ainsi « Le salut qui nous vient de Paris à cette occasion, en même temps qu'un hommage au génie de l'art, est l'expression des sentiments d'amitié que l'Italie vous envoie à son tour et de. tout cœur. a

BILLET DU SOIR

M. Brieux est un auteur dramatique qui entend faire des. pteces donnant non seulement à penser, mais à agir. Après avoir vu sa ~o&e roMg'e, )e spectateur rêve d'un gouvernement qui châtierait rudement tes magistrats 'iniques et féroces. Après avoir vu ses .Remp~panfM~ (e même spectateur souhaite une prompte application de la toi Rousse).

Qu'est-ce que la loi Roussel ? C'est une des rares initiatives parlementaires depuis vingt ans qui vaitie ta peine qu'on en parie. M. Roussel, député, puis sénateur de la Lozère, a fait voter par les deux Chambres une disposition en vertu de taquette une mère ne pourra se mettreen condition pour être t)oumçe qu'autant qu'elle aura aiiaité son propre enfant pendant sept mois. C'est bien le moins que cet' ordre chronologique s'impose. Ce n'est pas seulement te respect qui est du à l'enfant, selon le proverbe tatin, .c'est ta vie, d'abord ta vie. Or, les .Remp~pa~Mvous diront ce qui meurt -t d'enfants de nourrices abandonnés trop tôt a la campagne pàrtëurs mères venues -dans ta capitale atiaiter tes petits Parisiens. C'est M. Brieux tui-meme qui, dans une lettre rendue publique et adressée à l'autorité compétente, demande t'appticationdeta loi Roussel, Le haut fonctionnaire mis en cause jettera-t-it ta supplique dans te panier, sous prétexte, qu'un auteur dramatique, un < amuseur.~ n'a pas sufEsàmment qualité pourretever tes pouvoirs publics du péché de paresse ? S'il te fait, it a grand tort. L'enseignement du théâtre est un' des-derniers qu~un gouTernement sérieux doive dédaigner, quand ce ne serait que parce que fauteur a Un intérêt professionne) âne défendre que des thèses non seotement généreuses et populaires, mais justes.

Un ciment quasi historique.

Si les hasards d'une promenade, malgré ces mauvais jours, conduisent les sportsmen cyclistes au bois de Vincennes, ils y assistèrent, en ce moment, à un spectacle qui sera sans doute mélancolique à leur cœur de vélocipédistes. L'ancien vélodrome municipal, celui où, jusqu'à l'année dernière, se coururent régulièrement les Grands Prix dé Paris, est en ce moment livré aux démolisseurs.

Le ciment sur lequel, depuis 1895, pédalèrent, dans les ovations populaires et les fanfares, les plus illustres coureurs cyclistes, est, depuis quelques jours, attaqué par le pic des ouvriers qui le découpent en larges dalles.

Dans quinze jours, l'ancien vélodrome municipal, jadis construit par. M. Forestier, alors conservateur du bois de Vincennes, n'existera .plus. On sait qu'il est remplacé par la fameuse piste construite dans l'enceinte de l'Exposition, annexe de Vincennes. Ce 'nouveau vélodrome est d'ailleurs tout ce que Fon gardera là-bas de l'Ëx.position. Ce ciment n'était donc pas arme, qu'il n'a pa~ su se défendre ?.- P

f JJnejambe~de:400,000 francs..

O.n se rappelle le terribip: accident de chemin de fer qui eut lieu a. Gnatel Giubileo, le lendemain des funeraillea du roi Humbert et qui coût~ Ja;vie a de.np.mbreux voyageurs~; r~' ~Parmi les blessas se trouvait le général Buf&B~ chef de~à_mission belge chargée de représentera

le roi Léopold à la fuhëbre cérêmonié~Le gênerai

BufSn eut une jambe si mal arrangée qu'il Ïallut ~ramputer. En revanche, ~il~ vient d'obtenir de la jGompagnie de e chemin de fer'italienne'une in-t 'demnite de quatre centmillefranca. Unmùséesous'iesmera. Nous avonapaTlé déjà dèajtrésors 'decouverta au fond de-la mer à Çengo, ~'ancienne ;Cythëre,

~do'galanteméjnoire.

D'après .une dépêche que'noua recevôna d'Athè-

P h q Aihe-

nes, les plongeurs viennent de retirer des proton-~

~deùrsdë~'eau quatre nouYeltes statues en mà~~ ;d'un:art~xquis et d'une grande Taleurarchéolë;"gic[ue. L'une.~e ces statues{ost plug grande que nature et représeajte Hercule s'appuyant 'sur aa. -massue. Elle~a.ppelle beaucoup le & Her-

;cuIe.Farnëse.

b~mpsdeTen~moinsm~

sous-marina-vônt maintenant continuer aYëcplùa ~d'actîyité~èmtntstrea~.rins~ de Crrëee et rihspecteur général "dès autistes

!snt.â~MGhër~e9,r~n~d!e

Et e-est~une baMI~nàvalë comoie "une àutre~

Aujourd'hui s'ouvrira à l'hôtel Dpouot; salle 6, une expositipnq~ui mérite de Sxer l'attention des connaisseurs: vingt aquarelles seulement, mais 9 vingt aquarelles de J.-B. Jongkind triées sor le volet. Quelques pièces sont tout à fait hors de pair, ijelles~que ~s\8ords ~e~e/a! <?~M&~e; Bo?~ d'MM catM!~ a Do~-ec/ Te ~aM&OM~ ~a!M<Vacg'M.a;Va~; O~er~Me, .Pe'tM~jpr~ la Cd~-jSafMï-M~r~; ~a< 2bM~OM., etc. La vente- de ces précieux feuillets se fera demain 13 mars, par le ministère de M~ Paul Chevallier, assiste de M. Georges Petit, expert. L'exposition des eaux-fortes originales deBracquemond,chez Arthur Tooth and Sons, boulevard des Capucines, est simplement admirable; jamais le maître ne nous ~vait montré un plus bel ensemble de planches, il y a la de très rares épreuves que les amateurs vont se.disputer pour leurs portefeuilles. Dans !a galerie voisine, les aquarelles et les études peintes de M. Gaston La Tarde mérifënt également d'êh-e louées. D'ailleurs, la nouvelle installation de MM. Tooth and Sons'est: si exquise .qu'après l'avoir visitée, on

se promet bien d'y revenir.

p., bien Y emr.

Nous voilà déjà à la veille do la clôture deJ'exposifion. des œuvres de Georges Clairin, à la galerie Georges Petit, et le succès ne s'est pas ra-

lenti un instant. Le 15 mars au soir, ces belles

peintures, d'une si riche ~uleur, rentreront à l'atelier ou prendront le chemin des collections tuiles attendent avec une joie impatiente. ~e~attra~n~destiBée à faire une jgrosse sen~ 'l9n~<c'6stj~ë~qM,~s joùra-cl, ~ur,la scène des Foliés-Bergère il s'agit de l'assaut d'un mur de cinq métrés exécuté en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, par une troupe de «Turcoss.C'est là un numéro militaire et sportif à la fois, découvert par M. Marchand, qui remportera tous les soirs dans le luxueux music-hall de la rue Richer un sucées certain, considérable.

MOUVELLES A LA MA!N

On pade de certain poëtereau de la Butte qui affecte en tout lieu et envers tout le monde des allures impertinentes et frisant parfois l'inconvenance.

Quel personnage mal embouché (

Jusqu'à ses sonnets qui ne sont pas suffisamment polis 1

Un Domine

L'lucideu( Bu~c(-DCroalèdc

A. FA:RIS

Leretour de M. de Cassagnac. –Lettre

de M. Buffet t a ses témoins

Parti de Bruxelles hier à midi..M. de Cagsàgnac était de retour à Paria A six heures, Ala gare du Nord, ou i nous l'abordons.à sa descente du train, M. de Cassagnac nous dit sim'ent;: K n~y a; -du nouveau venezme v~iF ;chez~noi, ce:s6ir à huit heures et demie, et Je vous communiquerai les documenta. ? ~i. Nous n'ayons eu garde, est-ilbesoin de le dire ? R de manquer au rendez-vous.

–N'oubliez pas, Tious dit, pour commencer, te directeur de l'.4ï~o?~,sur un ton moitié aérieuxmoitié souriant, que M n'est pas le « confrère ? p que vous interviewez, c'est le « témoin B. M Voua voulez savoir où en sont les pourparlers?Eh! bien, voici.:

» J'ai, vous le savez, passé l'après-midi d'hier à m'entretenir avec M. Buffet, que je voyais pour la première fois, et~ nous sommes tombés absolument d'accord en ce qui concerne la suite a donner à l'affaire peMOMMe~e gui existe entre M.Buo'et et M.Déroulëde; c'est-à-dire que je crois un duel inévitable. Avant de quitter Bruxelles, j'ai télégraphie aux témoins de M. Déroulëde, pour leur dire que M. de, Ramel et moi nous aurions l'honneur de nous rencontrer demain avec ~ux.

Où et à quelle heure hasardons-nous. Je vous ai dit tout à l'heure, noua répond en souriant M. de Cassagnac, que vous parliez à un témoin et non à un confrère. Votre rôle, à vous, est d'être indiscret le mien, au contraire, est de nepasi'être; Alors?.

Plusieurs journaux annonçaient ce soir que votre premier soin, dès votre retour à Paris, serait de vou~ entendre avec M: de Ramel, votre co-témoin? 9 -nt .–Mais nous nous sommes entendus avant mon départ pour Bruxelles t Est-ce que des nanoésse rendent à l'église avantde s'être entendus ? La vérité est que j'ai revu, dès ce soir, M. 'de Ramel, et que je lui ai fait part du long entretien que j'ai eu, hier, avec M. Buffet. C'est tout Ce que je puis vous dire, et je n'ai plus qu'à vous communiquer le document dont je vous ai parlé à six heures, sur le quai de la gare. C'est une lettre que nous a adressée, à M. de Rame! et à moi, M. André Bunet, et notre réponse à cette lettre. Voici ces documents:

.Bt~M!~M,wa~~90jf.

A MJtf. de Ca~a~~ac, depM~dM Cet~, de~a~M~depM~d~G'ard.~

J~ëMteM~,

~t'pMS deMM~da~ de M~'aM~e~ da~M t~Ma~e~e p~ase de MMW a/~a!~ aMec M. ~)~OM- ~e, ye~te~M<ï ~OMS MM~~er Me~MMt~ wa! /apOM de co~preMd~, ~OM~ï!.Ma~M~'M de ~e co~MH<erfO~ co~coMfs OM de M~ ~e-

/'Mser.

~dots we Sa/~e. ~e doï~, bien g'M~ ce dMe~, aM_~o~de~Mede7'oW~Me de ? ?Me~eHe,tt~ ~o~e a&so~M~e~ ~!ett~ .SM~OM< ~e ~wt~e ~CM, s~ &M~ ~M'att-~0!M< de ~Me ~eK~!eMa? ~'eMeproM~ede~ya~e~~c~M~M~.

j- v ~aïS~e~M$Ttera~de~e~t<t!e?*.c~ac/teMye ~o~M~,deua~ ~a~~MS OM~a~eatt~des injures, ~«'MMe~OMM~~ ~e~e de M. ~~OM~ede vient eMCO~e d'aggraver, ~~e ~Ms o~~a~eaM~e, \st c'e$~F0~6~ ~Me rien de MM~a~ M'a MM~e~e, e~He,\pOM~ rï~<a~,j'e ~M6Ke ~as, yaf ~~M~e eM~er~ wo~ ~dt~Mc~e.

ya~OMe que, da~ c<M co~~om ï~oMïe~ de ~~o~c'caMo~a~M~e,o&e~e, aje~ co~~MM,~ e~,dMpaM<?Më~Me~e coM~s o~d~Ma~cHteM~ res~ec~d'M~e a/ed~/a K~e, Je~eN~e seMS~pas ? c~M~a~ de ~epc'MMe~7e p~~t~jfe d'MMe re~~9~e,$ta~M~degM'!2Mt'a~'paraMse. ~:Cec! d!~CM~ w'ea?C!~er de ce g'Mozj'e ~M~ redMÏ~, ~'e ?6 ~M~For~era~a~~M'M~ dMë~ pM~e' c7ore 2'~c~de~ e< d~eMser :M..Dero~ede de j~)M~7H~ Ja preM~e M-~CMsa&~ de ~arMc~a~'o~dM~a~~oya~~ a une trahison ?Mî au?~a~ecAoMerM~coM~o~ ~a~:MH.a ~'occas:o~ de ~a~MeKë t~d~MoMce BM ~OMt)e~M~))MM~ fa coMtpKc~ de~ c/M/%~'a~wee /~aMpa~e. -E~'e ~M~ d'aM~a~~ K'M):?~e~e à Af. J9~OMMde d'es~Mf~er ~e~pHca~oM ~M'~ dot< ~MMF~4 .~e'ya~e, <ï~'op~!0~ pM&~Me e~ a ~o~~o~tOMMeM~aMa ce ~'es~ ~a& ~a pre~!e~ /o~, ~'a/~a'~e ~O~oK es~ Za ~OMr le Ta~e~e~, ~M'~ accMse ~Mei~M'M~ de ~A~OM, ~~M~OMMO~e~ad~er~a~eMNe. .Le~o~dM ~r~e~dM ~~)"e, ~'e ~eM~, J'eM~Md$~e,coMMat~e/

E~~ë~ ~ere~at~aso~M.~e~OM /e~?M<e,

~a SoMC~ û:M d~N! ~Md: e~ /a ~!e)t?M. ? f~e~a~ott M~cessa~e, aï?ec ~~e croMe de

jp~Je~

eMë\s< d'aoeK/Mre ~eM~a~ a~ M ~o~

de~o~aëtK~deMbt~~M~~o~

~ca~ dp~~ ~a~ v~ tM< s~

.f

~t~aN~ d'MMe oT'MMïM~e !?i! <~Nte

:~<M~ -Y' -?.

;e~~M~ ~ï!:

CM~ ~o~M~e~ ~MM ~OM~ ~~SF~~e "ë~ër

~?! .<~ ~Mï~M de moï, <e < M~tt~wr B ?

T~MïHe? a~~e~, ~M-s~eM~ ~'e~es.sfon de.

WM M~!MeM~ de 7tNM~ coM~d~a~ott;

AndréBuFFET. ~v JtfAf. de CaMC~~ac e< de ~aMteJ OM< repo~M~ JMo~M~Mf,

2VO!M accep~O~M W~StOM gMC VOt~ )MM~ do~tte~

FeMtMe~ agréer, e~c.

Ÿe~ctlléz agréer, Paul de CASSA.GNAo,

FernahddeR~MEL. Peut-être, ce texte n'est-il pas tout à fait conforme à celui que publieront ce matin les journaux de Bruxelles il n'en doit pas mbina être considère c~mme le seul exact.

:A BRÛ'XELL~

A. BH'CT~ELIj.ES

CHEZM.ANDRËBUFFEI

(P~* ~~p/MMe~ tïe Mo~re cbt'r<on~<nt< ~ectat) BruxeUM, Itindi soir.

J'ai tenu, après le départ de M. de Cassagnac, à voir M. André Bun'et, qui a bien voulu lever pour moi la consigne qui, depuis deux jours, interdisait sa porte à tout le monde. J'ai trouvé l'exilé, qui était allé accompagner M. de Cassagnae à la gare, en excellente humeuf, cordial et aimable comme à son'ordinaire. Mais, par exemple, il s'est montre on ne peut plus réservé et je n'ai rien pu~obtenir de Itti, en~dehors de la très

-intéTOssante lettre qu'il. a~adressée.à.Bës; témoins

<t dont voua. avez déjà le texte. Voulez-vous, lui dis-je, me permettre seulement une bu deux questions?

–Non pas t Et vous me désobligeriez en le faisant. Je ne dois pas ajouter un commentaire, un seul, à la lettre dont vous venez~ de prendre connaissance. Vous me rendrez service en n'insistant pas.

B Si vous tenez absolument à ce. que je vous raconte quelque chose, je ne vois aucun inconvénient à vous faire part d'une petite découverte que nous avons faite, ce matin, M. de Cassagnac et moi c'est que nous nous étions déjà rencontrés, il y a quinze ans, en juillet 1886, et voici dans quelles circonstances j'aRcompagnais mon père à Londres et M. de Cassagnae allait chasser dans la Somme. Nous ne nous étions pas aperçus au départ de Paris, et c'est seulement à Amiens que mon père le salua et prit place dans son compartiment. A la station suivante, le député du Gers ayant exprimé le désir de faire ma connaissance, mon père m'appela, me présenta à lui, et une conversation s'engagea entre nous deux, qui dura une demi-heure environ. Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai rappelé cette rencontre à M. de Cassagnae.

a Et maintenant, ajoute M. BuSët en me serrant la main, pas un mot de plus; vojl~ tout ~e que je puis donner en pâture à votre curiosité M. Je n'avais pas à insister. J'aurais voulu avoir. quelque indication sur l'endroit où. aura 'lieu la rencontre, maia "M. Bun'et à donné sa parole d'honneur.de n'en pas soufrer mot, Toùt~e que je sais, c'est qu'à minuit M. BuSet n'avait pas

quitte Bruxelles,

~Charl'es"WoLFF.

A GJENES

(farft~pee~tte Motree?tuoys~scM<)

Notre collaboratetir M. G. de Maiziere, partt da Paris dimanche soir, noua adresse de Gênes~ il est arnve, hier, à cinq heures; la dépêche suivante (Maes, 11 mars, 8 h. 45 soir.

J'ai voyagé avec M. Galli, rencontré, hier soir, a la gare de Lyon, et, des notre arrivée, j'ai pu voir M. Déroulede, que j'ai trouvé très bien portant, mais aussi très impatient: t Je n'ai pas de nouvelles de M. Bu~et~me dit-il, et j'at reçu de Barrés une dépêche m'annonçant que la première entrevue des quatre témoins aura lieu seulement demain, à trois heures. Je suis très contrarié de tous ces retards qui, après les lettres et dépêches échangées avec M. Buffet, me semblent inexplicables. » Je trouve également très étrangea certaines interviews, mais c'est à mes témoins qu'il appartient d'en faire l'observation, et je compte qu'ils n'y manqueront pas. a Gr. MAIZII:RE

Gr. MAtZIËRE

L'éloignembnt dans lequel se trouve M. Déroulede explique son impatience. Nos lecteurs, qui

ont été régulièrement tenus au courant des di-

verses phases de l'anaire, savent déjà que les retards dont se plaint M. Déroulede ne sauraient en aucune façon être imputés a M. BuSet.

.L. L.

l,

s r r

~C-M ~C~/M t~E SECRET JDE ïj ACE

Est-on obligé de dire son âge exact, bien entendu, quand on n'est poursuivi devant aucune juridiction répressive depuis ta simple pouce jusqu'à la Haute Cour, et qu'ayant tous les droits d'un citoyen libre, on est simplement interroge paries représentants de M. te préfet de ta Seine, au sujet du prochain dénombrement r~ La question n'est pas sans intérêt, surtout pour les femmes que les enveloppes gommées de M. de Selves ne rassureront qu'imparfaitement sur des indiscrétions possibles. Car, enfin, s'it est au monde un secret professionnel, c'est bien !e secret de t'Age.

La question s'est posée du temps des NMce~Mg-MK~ de nos gouvernants de défense républicaine, c'est-àdire en t7ç3, et tes ancêtres avaient *ait grand comme on faisait a cette époque. 7-,

La Convention, que les précautions de M. de Selves et les enveloppes gommées auraient fait rougir comme constituant un crime de Girondin, avait décrété que sur chaque porte de chaque appartement seraient inscrits les noms des personnes habitant t'appartement et leur âge.

C'était le secret professionnel affiché.

Toute la terreur du monde ne pouvait, empêcher, dans une pareitte occurrence, l'indignation de se produire. Une femme se.chargea .d'exprimer !es doléances de ses contemporaines et fit circuler les vers suivants 0 citoyens législateurs,

Ecoutez notre humble prière,

Ecoutez les grâces en pleurs

r Qui vont implorer pour leur mère. Pourquoi d'un décret importun

Souiller votre gloire et la nôtre;

Endécrétantles droits de l'un Deviez-vous nuire aux droits de l'autre r .11 en .est un bien précieux H, Dont l'amour nous rend responsables, C'est le droit de nous rendre heureux

En cherchant à vous rendre aimables.

Pour le conserver plus longtemps,

D'une main que l'amour éclaire, (

Nous ornons des Beurs du printemps

Notre tête quadragénaire. Nos cheveux blancs, notre secret.

Sont bien souvent cachés par eftes~

Faut-il qu'un funeste décret

Trahisse le secret des belles ?

Eh quoi, dire avec vérité

Combien d'hivers couvrent nos têtes! 1

Au moins, si vous aviez compté

Parie nombre de nos conquêtes!~

Ah) de nos plus chers intérêts

'Nous soutiendrons'mieux l'avantage,

Et Jtous braverons vos décrets,

Puisque vous "bfavez notre usage. < Permettez-nous donc.d'eS'acer Les màuxqueie temps nous apprête,

Ou, si vous voûtez le nxer,

~Âvant, décrctéz.qu'il s''a'-réte. Ces vers'eurent un succès que ta peu~delaConYen-' tioamemene" f tC~êcher et ils furent pubttésdat~ 1

~~?'<?H<!c~ ~M MuïM en J7o6, sous te~om de com*

%P~dM~

~0 s~t'.pius~tajr'd~ue .ce-~n~m TÊe~p~et ~cachatt .1$

~erspnha1it%~e~~ide~atm-Salm~oMir~

questton dans le~ourna! intime.de'Etenjain~n~onstant.Le gouvernement' de !a,défënse. répubticàme; 'obtient dra-t4t ce quêta Convention n'a'pu obtenir, ~Nëtui~ ppndra-t-onpasen comme on a répondu ~niyQS, qu'oc n'a pas te droit de 6xer.~)e 'temps torsqu'bn~h'~ pas te pouvoir de.Carrêter ? Nous .sommes fort portes~ le croire. Mais du reste le ma) ne serait, pas ~rand. Pourquoi nos .administrateurs et magistrats n'adoptet raient-U~pas ta jurisprudence de ça vieux président qui, torsqu'it interrogeait une femme, commençait sans au* cune observation par tui demander son nom et so~ âge. C'est seulement torsqu'efte avait répondu tant bien q~e mat a cette dernière question, que le président s'ecnait avec bonne humeur: <: Ëh b~n, madame, A partir de ce moment vous aUez jurer de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. 1

Ce vieux magistrat avait raison et se conformait une doctrine de scotastique qu'a eu tort de ne pas traiter M. Trouillot, te scotiaste habituel du Patai~Bourbon. On distingue les mensonges pernicieux, ofncieux et gracieux. Cacher son âge afors que ta découverte de la vérité pourrait causer chez autrui les ptus cruelles désillusions, n'est-ce pas te ptus gracieux de tous tes mensonges t* Livrer cette yérité même à une enveloppe gommée serait impardonnable. Nous n'abdiquerons pa-; ptus qu'en [793 « te droit précieux dont l'amour nous rend responsables~.

Tout-Paria

UNEOÉNO~C!AT!OM

t<es sermons du B* I*.JL6on&Nott*e-Da)m~'

de-~borètte

Le .F!a'cru devoir dénoncer ~àux Joudroa

gouvernementales un sermon dé carême qui a été prononcé,: avant-hier, à-l'église 'Notrie-Dame-dëLorette, par un/prédicateur, capucin/le R.P. Léon. Au dire de ce journal, le Père Léon aurait provoqué un véritable scandale en se livrante à une charge des plus violentes contre le gouvernement, et en s'oubliant au point de déclarer qu'H ~mdrait rayer de notre histoire nationale lea vingt-cinq dernières années de république a. Le ~~aro ajoutait que beaucoup de personnes sont sorties de l'église « en proie à une indignation trop justifTée ? En présence de ces accusations, nous nous sommes rendu, hier, à l'église Nptre-Dame-de-Lorette, où, en l'absence de M. le chanoine Dillenscger, curé de la paroisse, noua avons pu recueillir les déclarations du second vicaire, qui assistait au sermon du Père Léon. J'ai pris connaissance, nous dit cet ecclé< siastique, de l'article du Ft'yaro, puisque c'est s& publication, sans doute, qui nous a valu, aujourd'hui, la visite d'un fonctionnaire du ministère de l'intérieur, chargé de faire une enquête sur 1~ sermon du Père Léon.

M Tout d'abord, laissez-moi voua déclarer que les faits allégués dans cet article sont sans fondement. Je les discuterai dans un instant, lea~ uns après les autres.

? Le Père Léon est un prédicateur que son éloquence et la rare élévation de sa pensée placent au premier rang des orateurs sacrés. Il a choisi, cette année., comme, sujet de son germon de cai'ême,Thistoire biblique de l'Enfant.prodigue Vous voyez d'ici, n'est-ce pas, ~ea développements que comporte un pareil sujet quand le prédicateur les Applique à la religion chrétienne. Le Père Léon a passé eh revue les nations européennes dont il'a exposé l'âme, lea croyances, les tendances religieuses.

))Et c'est ce que lej?~a?'o appelle inexactement; f( un cours de politique étrangère, susceptible de créer des incidents diplomatiques Je ne voia pas en quoi les réflexions émises sur ce point par le Père Léon pourraient créerdos incidents diplomatiques. En vérité, l'accusation est des plus ri< dicules.

M Poursuivant son sujet, l'éloquent prédicateur a étudié les époques troublées de l'histoire de France, les temps où lea croyances chrétiennes subissaient une sorte d'éclipsé passagère, les années où la Foi catholique menaçait de sombrer. Et c'est ainsi que le Père Léon est arrivé aux temps actuels, mais sans se livrer à aucune attaque contre le gouvernement. Il a seulement fait une discrète allusion aux tristesses de l'heure présente, aux persécutions qui semblent devoir s'appesantir sur l'Eglise et sur les catholiques. BLe Père Léon a parlé en termes saisissants d~la France, cette fille aînée de l'Eglise, qui, pareille à l'enfant prodigue, reviendra un jour an bercail du bon pasteur. Il a rappelé que le christianisme était né dans la persécution et dans le 'e sang et a affirmé que la crise religieuse donf souffre momentanément la France se dissipera un jour. Par ses origines chrétiennes, la France est et doit rester indissolublement attachée à 1% foi catholique. Je vous cite, sans ordre, les principaux passages du sermon du Père Léon, mau ce sont ceux précisément que semblent viser lea allégations de l'article que voua savez.

))Loin de s'aventurer sur le terrain politique, I< Père Léon s'en est tenu à des considérationa générales. Son sermon a été admirable d'un bout & L'autre. C'était le sentiment unanime des përaon' nés qui l'ont entendu. Quant aux aùditcura qui sont sortis de l'église e en proie à une indigna*tion trop justifiée a, c'est une paré invention. Et je me demande à quel mobile le ~</a?*o a obe< en alléguantde pareilles inexactitude! t

HA.vant de commencer son carême, le Père Léon s'est rendu, suivant l'usage, à l'archevêché.. n y & entendu les instructions de Mgr Richard, et c'est lui prêter une attitude indisciplinée que de supposer qu'il a enfreint tes recommandationa de Son Eminence. En un mot, ileat imp6asib!e, à quiconque est de bonne foi, d'incriminer le langage a du vaillant prédicateur. Le Père Léon s'est tenu strictement sur le terrain religieux, w j~onis Lambert

La Dynamite. 'i

Mfttitpot)) tpc Mince

dimt)M)t'!M-MM

~DcKo~e eKMyJ~cM~

Montce!m,lellmàfal9pl.

Alors qu'on pouvait croire que la grève allait se terminer sans qu'aucune des éventualités ià~ cheuses redoutées au début se~ût produite, voicî que les têtes recommencent à s'échauffer, que lea agitateurs redoublent de violence dans leurs discours et que les propagandistes par le fait reprennent la série de .leurs tristes exploita. De nouveau l'on entend l'apologie de l'action révolutionnaire et les attentats contre les jaùnea reprennent mais le gourdin, le revolver ne suf< fisent plus aux rouges, il leur faut la bombe,

maintenant.

Voicilasfaits:

Hier,vera minuit, M. Francourt, chauffeur & la Compagnie des minea de Blanzy, lisait son journal dans la salle à manger d'une petite mai- son, dont il occupe le rez-de-chaussëe. Cette maison est située me de Cnàloo,'tout près du fort Chabrol. Un perron de trois marches précède la porte d'entrée; à gauche s'ouvre une fenêtre. La logement comporte une petite cuisine, la salle t manger et une chambre prenant Joursur nue cour. Au premier ~iàge se trouve aa logement identique.

Il y a quelques jours, des pierres avaient ë~ lancées dans les vitres deM. Francoùrt, dontUt~ présence à une réunion da syndicat numéro~ avait été signalée par lea <t observateurs D, que,

les.a rpuges~ postent dans ~but aux abords~

fort Chabrol. Depuis, lea Volets étaient ~!os'~cn~'

que sûir et le changeur M cfpyàit ep~Bécan~~


.était.~oma'ï'ass.uree~ "J?.

La lecture de M. Fràncoort'fut soudain trbu~-biée par J~ bruit d'un ehoc violent un volet fut '~ri~et l'une des vi~da Ïa &n~r~~ en' ,tct~ts. Comprenant qa'Q~ chercba~~ a'âttirér 3L. ~ehors.pQu~u~ un màü~~is paLir,l~ cli~'uf-. fëurtë tintfCOi. 'Mais les voisina, qùi~ occupent le 'premier étage, ouvrirent Ttèur~jnêtr~ von ce qui se pa8sait:;unë'ion~ue;aamme monta jus~ qu eux ils ae reJ etèréht ;ën arrière. Au même moment~upë f~ts detonatibQ ébran!àit Fair. Le;û~c~d~ pemeQt~d~ et quatre hommes fuirent: expédiés ponip- M: rendre~compte de ce qui était arrivé. Mais tout s'était tu et tien ne guidait leora rechercher Ha ~ehcont~Mpt une patrouille ,de.chas9eurs a cheval qui n'avait, au cours de sa rande,relevé aucun fait àhormaî. Au poste de police, aucune déclaration n'avait été reçue. C'est au matin seulementque M. Francourt, en BOFtantd&aa. demeure, âprëà s~être rendu-compte ~il~~ gueïtê, ramassa;, dass l'angle~ :~ua~n~che:une; boîte ~con~ cylindrique j M~ér-bl&oc~~u&nddeîa~ trativaiqnt:en-. ~Hp~:poudr~gnsâtret~dë~ gue~t Tfles bjoulph& de' jEer.~a. ~~è axait -été re,~ouy€rie,d~jo&raauxbQurréa fortement au-dësBNs de la. charge de poudre et des 'projectiles. Dit El defërFésis~ant avait ét&;6Bro~é en tous sens autour de l'engin, auquel le feu fut commuhiqûê timide d'une mèche de ;p!us d'un métrer, ainsi tpi~on le-constata au cours des rechercher uttéHeures. Quelques pas' pins loin, M. Francourt pàmàssâit un énorme pavé auquel adhéraient en-~ Bore des fragmenta d~J~oia et do peinture arra-eBé&à son volet.

Ilalla iairet sa déelaratton à la gendarmerie~ ~utôuyntaùssit.ot une enquête, qui semble bien. ne pas dévoir aboutira car les coupables sont protégés par la terreur qu'ils inspirent aux uha et par ~ac&mplîcité morale du plus grand nombre. Pour la forme, les rouges répudièrent les auteurs de ce~attentat [nais tout sëjbornera..à des .alapifestat.iQnjS oratoires de sincérité douteuse~ ~oonestoutauplus: a tromper les gens qui ne sonnaissent.pas l'état exact des esprits à Mont-~ Matt.

H estmalheureùsemenThorsdedoute que les faunes sont menacés jusque dàn&ïeur vie par les .deux AQ trois cents énergumènes qui ont décidé. tagrève et ehtraînéà leur suite tous les- faibles d'esprit. Nous avons déjà signalé, il y a un mois, !e.Garactere violent et sournois des vengeances tramées; contre les jaunes; H~faut'le rappeler àu~CHrdJhui avant que des'bombes~tissent posées, des noyades donnèrent à. penser. Quant aux asBp~umades à.coups.de gourdins, ce. n'étaient que vétilles dôôt messieurs les.~ouges acceptaient\fesponsabi!ité.~f. )' i,' .J~;est, d'ajileurs, à remarquer que l'attentat '~ioBimis; contre M. Francourt coïncide avec une. '~crodescëneade menaces 'de la part de M; Màxence Roldes et le& appels à la révolte du de" 'puti3Létang. A-ïa rê.uniQn de dimanche. M.. Maxence Roldes jt secoué l'apathie de s.es auditeurs en leur disant: <Onvous.trahi~.Qn vous berne !B Ceth&me~ habilement développé deyan.t dea hommes en qui ~pa&sioii parle plus, haut que, la raison et, qui viennent da s'imposer pendant, prës -de deux!nois les plus dures privations, produit l'e.Q'et, 'qu'on:en devait .attendre.

Alors qu'ils témoignaient, d'une, iiidi~érence grandissante depuis que 1& débat leur paraissait Hmité aune, question de salaires, ils se sont retournés comme- galvanisés aussitôt qu'ils -ont entendu les claires aHusions'aux. luttes iratriciâës « Si les capitalistes ne se prêtent pa~ à l'étolution~ tant mieux.! Us avanceront rhëure d& aotre triomphe qui sortira de la révolution Ouvriers de Montceau, vous montrerez la voie au prolétariat .tout entier; quels que soient les -moyens qu'il vous faudra employer pour assurer votre victoire, vous ne reculerez pas et, vous me trouverez jusqu'au bout au premier rang des vôtres' » .Y Les orateurs donnent une semaine aux admi~ M~trateuFs de la mine pour adhérer' aux revendi- satioas ues~révistes. Si datns huit Jours une so- 'hilicir àmia.ble, n'est pas ~nter.venuë, ce' serà~ si ~'Ëence -HoMes impose ~sa~ubie, l'ëxbde vers ;&tâeon, ou Paris, ou bien la grève générale, ai comité fédéFàl nattai obÉit à' mise enae- sieure.qui'Imsefa.adi'esséë.~ F&Ttl Roche

'Voir lea~ nappes et stores en pomta de Venise <;ïtez,MeIvil!e et, ZiKcr, M, Faubourg-St-Honoré.

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T~ M T~ A MTT'~ €*

A~~ 1~ JJ~'M~ i i~~

GAULP!S-CU!DE

AUJOURD'HUI MtRBI

A a heures.–Courses à Enghieh.

Marché aux F)eurs.– PIape de ta Madekm~ plare Voltaire, Passy (rue Duban).. De Q~. a. 6 h. du soir. Gâteries BuUoz, ajj rue Boa~- parte, exposition des reproductions des 65o des- ~th? de Ingres damusee de Moatauban. Detjh.â~h.– Alusea et Mtet de Quayet p~ais desTherjnes~a4,ruëduSommerard. ï~ tt h. à4h. etde 6h. a Mh. dusoir. –Bibilothe. que Sainte-Geneviève ;Excetlent portrait de Marie. Stuart.–CoHectiond'Atdeetd'EtzévIrs. De M h.à 4h.Visit~ au Trésor de J~otre-Dame et à: r ~Sainte-ChapeHe (cour du Palais de'J.ustiçe). AitJ~t/a. Ec&te du Louvre, cour-Lefue), M. v Piencet, conservateur des Antiquités égyptienne cdhdnuera .a étudier ies grands monuments du. mu~ed~Lquvre.. iA ~0 h. 3/4., Au CotJège de France, Mite 5, M. Ça- gnat~ membre de l'Institut. Cours d'épigraptue et anHquitésTomatnes.yiënlUDicipate dans le monde 'romain. '` pe soif, 4tner au Grand-Hôte!, 8 &ancs Yin compris '(peutes tables~ CaaRÔNIQUE DE L'ÉLÉGANCE ¡

~JLes eonntures, cp vieux mets tradHiomiet, relégué depuis iongtémps~ ayec ta bouiilie, à ta tabte desenfants~ reparaissent, avec honneur~ dans îes maisons tes plus t!ëgahtes.!r B~estpîus de !unch recherché, p!us de t~é: de cinq aeures un peu ouatiné l'on ne vous ofTrë des conStùres vanees. Cest raccompagnement Obligatoire de tout goûter bien compris. Les hommes s'en montrant très amateurs. Trouver une connture nouvelle e.ttpMe~parfatte est u& point d'honneur pour tme maitress~de maison. Tou~ce.que l'on possède de

lolies.jpqreeTa~nes .ou de. bibelots Q'argënt tst mis à. con-

Mbuttonpourles con~enil, sans~ucun'souci~ d style au de ta'~mëtne.€ Y ;LES'COURS' L'Infante Euîalie est amYee a Pans, Mer soir, & meuf-Mures dix-neuf par !e Sud-Express, venant de jMadrid~Plusieursmenibresdel&coIoni& espagnole et des notabilités françaises l'attendaient à la gare du quai d'Orsay. A son départ de Madrid, nnfante Eulaliea ëté~aluée par les ministres et les autorités. –Le Prince-et !a Princesse Albert de Belgique, ve- nant de Paris~ont rentrés hier ~ou'a.BruxeUes. '~AI~I~ Hier,dîner intime~hez~t. Henri Ribot. Dans la tpu'ée,mes.'Hatt,Q, et NimidoH, de l'Opéra, ont chanté 1 &vee'un goët-e'x~ms.divë~nidrceâux de'sbhrépërt~ i Puis,. M}lè.?RenËe~ich.ard,_ la -grande artiste, après avoir encliantéTassistanMdansunau'du PropA~e, âpre- Knt~lunede~es~plustnHantes 4tevesj Mlle deBuck, tdmifable icontratto, une 'Étoile de demain. '–Les lundis de Mme Georges de Cassagaac continuent ~jobtcnif te même succës. g. t Hier pafticutiérement, très briHanteréunioa au cours aejMueUe/les.ceuvresTde-M.~îaston Paulin ont~tC in- t terprétëës remarqu.ablement par Mmes Charavet.Lo- t ve,nbach,ReHejt!er,Va)dys,Connbb!y,<SaIdini, M.BÊratet~ maîtresse ~e}a maison dont la belie vo!x et le ~tyïeo~t-charm~l~uditoire. L'auteur aetél'bbjetd'une

Chateureuseb~iion. °

Aupiano,M.Hbnoft.

.DANS LES CE~ t ScruHn de ballottage,' hier,' au cercle de ia rue Royate.t' i Ô~t~té~us~~hre de membres permanents ~t&M de Leëtrà~pr~sentè par !e comte P. de Potn-ta- ~);etM,J~tassHenneMy,ioon)te*Roj)ettdeVUla!ieat6- B't~mo~tt'pr&settM?a.rleTnaj'qniqdeMassa.et ta.ducdo B. iesac; H. Decorit. Saint-Clan-; Uontei(ànt au 6* rémmenf < ae dragons, .pfêsenti} {)& le ma.tqaia de Tanlay et M. Ro- i bert Fotrn!ar-Saj!ovozë~M.. FMqnet-Lemaltre. présentA t~rJeidMde Bdssae et le. eomte Paul de fonrtaléa le Mmte de He!-her6te&, attacM mUitaire d'ÀnMche-Hongrie, présente p&fIeMthte~FhUîppe'd'AIsac~ et te MmteO.Czer*iK-ChajlesCorrajgibnid'OreUi, conseiller de taléga.' qs~ <it ~aot, pt&s~Rt~~af~'e~aëral de W&ra :et le mar- <

jjj~e.d~'ànla.y,

,S.tA:titr.e~tempQ:ratr~

<hMQeorge9:Tn)tttMtzM,~r6sente parie iprimM Tron-

bBijckpj' ~t le jMF~'UB de~&Ma eomte~ax Hâdig, eeeM-

!t~rB~3p;l'ambn6s~ëâ'Àntflûtt9-<mgfie, posante 'parlé

~~te~Atea<lë,6<mtt9 0. ~rimt~ -t

~~cÏ~A~

S~f

.PETTr'CARIŒT-?~

~LaSoe~tê de rËtnerdonn~auma ta ~# Taf~

;tërsaH, nie Beaujon, le lundi j 8 mars, a-une~ nëure e dénué de t'aprês-midi, M présentation annuefitide chë

vauxdese!te.

~'M.6~~

En ta chàpeUe de la~ïR~ciatu~ ~ler, cé!é.

bré, au milieu d~une sympatti.tqH~~tSsistancc,~ mariage de Mlle Magdeteihe ~e~B~àvee M~. Ptpspet Maury.La' charmante/t$aftée~ qui :portait~uaé,' Mrt beHetoiiettede satin blf~c~'a:êté c~9.uifeâJ.*&M<!t pat son frère. '?~' -s~ -Aigr Lorehzetti, nohce~'apMtoltque:, ,a prCnoBCe. une

fort touchante anocution~nsmis 'atHL-~eunes

époux la bénédiction que lë~Pape~ avait da~g'nê~lear envoyer.

Après" !a cérémonie, lunch très étégant chez Mme :Ferrandj mère de !a mariée.-dans ses -salons de !a place d'Ieha, décores d'une, façon ravissante de neurs et de plantes vertes. –Htera été cétébré, à l'égtise Saint-Philippe du ~ou)e, au.milieu.d'une assistance-dés plus. nombreuses, !e manàge- de' M. 'Femand ~oÛer, 'cfs <te M. Eugène Kpt)er, agent de change honoraîre, et de Mmè~Eug&àe '~olMr,avecMnë~ermaiae~RieM~~I~d&M~~ Rtchtancien-conseEvatcurdes Mux.ct~oféts.-et'deMme Atber~Rieh~ ~es~m~sdu'marié étalent~ MM~ pdmond: Mouittefarinë, avoué de instance, 'et ~ohn kindberg, agent de change; ce~ux de !a mariée MM. Georges Béjot, agent; de change honoraire, et Albert Ma)Ie, ancien ofËcie.rd'arttUerie. La bénédiction nuptiate a été donnée par l'abbé de Gibergues. NTÉCEOLOGIE

–Une dépêche de Gènes nous apprend. la monde Mme Corbin, décédée dans cette vitale o mars, des suites d'une pheumonte. Mme Corbin voyageait en !ta)ie avec ses petits-éhfaats le marquis et )a marquise deÇhe~oataines..

Deso.a manage .avec M. Corb!n,conseH!er d'Etat, mort it y a quelques années, Mme. Corbin laisse deux ËUes, ta baronn<: de Meyroanet etla comtesse Ametot. Le corps sera ramené .au château de Mortéfoutathe, dans l'Oise, où auront lieu te? obsèques.

–Les obsèques du général de division Renautt-Morlière, du cadre de réserve, décède comme nous t'avons dit, te 6 mars. dernier, a:Hyères,.des,.sui,tes.d'une angine de poitrine, ~auront lieu .en: t'égUse Sain.t-phitippe du Route, demain mercredi mars, à midi. –Oa annonce ta mort de l'honorable Denzit Vesey Fox-Strangurays~ décédé à Paris dans sa vingt-troisième année. Fils de M. Fôx-Strangurays, comte d'Itchester, et de lacomtesse, née C'awsont, it était le neveu du cotonel Douglas Dawson, attaché militaire de l'ambassade britannique à. Paris. Le cercueil sera directement transpbrté eh Angleterre. D.imanche~ dermer est -décédé~ au~château de; Lavagnac,(Hérautt), te. comte Emmanuet de Quinsojias. ït.avàtt épousé MUë de,Boquestànt~ nMë 'du marquis de ;:BpquëstaQt. Son 61s ainêestentr&âIàGrande-Cnartrëuse.Ses autres enfants soàt: le comte Humbert de Quinsonas, qui avait épousé Mtîed&Mackau-; le vi~comte'Adetpltede~uni&onas.~àcômtësse'.fean~de-Puy. ségur et la com tesse de BufSères.

Les ob.sêques auront lieu }eudt à: Crémieu (Isère). L Raont Ch6roN

rtyp~~p pAnïBWf~An!?

M6i'!ii.t'! iAni~MHiMiu!t

Destentendaqu'onne peut,plus interp&tler. C'est tout juste: si le gouvernement après trois oji quatre, semaines daigné accepter des questions fort intéressantes le. plus souvent, dont les auteurs disent des choses fort. curieuses etrevèlenmesd&ssous pluB ou moins connus. Mais il n'y a pas de sanction. Quant aux mEejrpellations,àla s.uite. on comprend ce que parler veut dire. Et c'est'ainsi qu'hier une demande d'interpellation de M. Binderareçu l'accueil accoutume. Elle vient <( à la suite a avec. le numéro. 64 ou 65. Calculez. A la reprise de la discussion.dela loi des associations, M. l'abbé Gayraud. a terminé le discours commencé jeudi, et M. Pell~tan lui a répondu. M. Pelletau, vous ne vous aviseriez pas de lui dire le contraire, est un libéra!. Parfaitement, mais il a trouvé tout seul qu'il n'est pas question de liberté~ mais d'exécution du Concordat. Si les congrégations existent, le Concordat est supprimé. Au reste, M. Pelletanest très franc tout de même,. La lutt.e n'est pas centre deux pblitiquea'B, mais:<( entredeux: convictions Cela vaut mieux. Mais quel étrange état d'âme tout de même quecoIlBde.ces hommes qui ne comprennent ~asquejâ liberté est une, qu'elle doit exister dajis le droit commun et qu'il y a des lois pour réprimer les délits do toute sorte qu'elle abriterait ou conseillerait 1

"A''

Au début de la séance, M. Georges Berry poaait une question au sajetda la révocation de M. Faillot, maire <iu quatriemBarrondissement, dont on sait depuis longtemps les détaHs. H n'y a pas de révocation sana cause, constate l'oràteurt et iL est nécessaire que le gouvernement viahne rendre témoigaaga à l'hounête homme qu'il a révoqué. Ce n'est pas après quatorze aQiéea -de. magistrature municipale ou la croix a été donnée: par le ministère Fioquet qu'on procède ainsi. M. Waldeck-Rousseaus'exécutedebonnegrâce. La révocation est du& à~ies motifs purement politiques. Les maires de Paris sont dea fonctionnaires du gouvernement, lequel a toute barre Bur eux.

Mais alors, observe M. Berry, il faudra changer lés maires à chaque ministère.

M. Waldeek-Hausseau, sur une allusion de M. Millevoye à sa présence au Petit Palais, répond qu'il constatera parfaite correction de la nouvelle administration mtinicipale. C'est du. marivaa<~§s.

Entre temps, le. jeune antimilitariste Breton a encaissé cette riposte de M. B~rry

–Je ne suis pas un sectaire à votre image; je représenté Paris, etr'rien de ce qui touche Paris ne'm'est étranger. A

M. Maurice Binder .dépose une interpellation sur la révocation de M. Meyer, l'homme aux cornets acoustiques et aux microphones de la préfecture de Ijyon et ses rapports avec. M. de Laneaaan. Il demande la discussion, pour vendredi. Il importe de savoir, dit-il, pourquoi et par qui M. Meyer êtaitprotëgé. Mais le gouvernement est moins pressé que M. Binder. Il fait un signe et, à mains levées, on renvoie à la suite.

M, l'abbé Gayraud monte à la tribune, n apporte et lit des démentis a la série d'accusations de M. Zévaës. <rSon Eminence MgrVannutelli.& dit-U.

–Pourquoi Eminence? fait une voix aigret cellëde M. Dejeante. naturellement. M. Dejeante est de la force de ce neveu d~vêque qui voulait à toutes forces enterrer son oncle civilement, M. Zévaès, constate l'abbé Gayraud, a attaqué c en hloc religieuses et religieux il a outragé les Frères à qui M. Goblet donnait des subventions avec des éloges à leur patriotisme, à qui M. Félix Faure et aujourd'hui M. Constans rendent témoignage. Lés défaillances particulières dont on parle ne prouvent nen contre l'ensembIe~.N'y en a-i,-l! pas chez les.laîquéseten tire-t-on anargu-; ment coutre.Ie corps enseignant ? Ainsi dëtoutëa. ces imputations deiM.JZévaea., i

Le gouvernejment impënàHalIëma.Bd a o~ert anx

Drapp;ëtes de restauret ienrs'baLtimenta de Palestine:

et de faîreJLe nécessaire sU'on voulait remplacer les

~rancais~ par ~es AUemands. Le Père Trappiste repondu cotnme un: ancien soldat del87Q:«~La rràppë de Palestine restera pauvre, maia restera.. FraBçiuse Le but gênerai ~escongrëgatioBs est la pratique le l'EvangUe, le perfectionnement morale ëUes don- lent l'exemple d~ine vie .basée sur. la fraternité humaine..

L'orateur revient sur les œuvres d'assistance ïes congrégations et le nombre des infortunes ju'eUes soulagent et qu'il faudra remplacer. QueÛ'es senties oeuvres d'assistance des congréga.ions ? Plus de'38,000 hommes et 133,000 femmes sont :)ar profession des~Ëiëûfaitstirs de l'humanité voues mx plus peniblea /'besognes gratuitement ou ~a des jrix infimes, n y a 83,000 enfants, 17,000 vieillards et niirmes, 7,000 aliénés ou ~ncuraMes élevés'ou soi!nés par les congrégations; 107,000 assistés en~tout. D'âpres une autre statistique ce nombre s'élèverait nême à plus de 300,000.

Oti peut évaluer environ a 8,5001e nombre des jretres missionnaires sans compter les Trappistes. L0.500 religieux apportent leur concours aux travaux intrepris par les missions. Avec les Frères indigènes, m peut se rendre compte da labeur important qui se 'ait ainsi dans te monde entier.

Les congrégations comptent 4,758 écoles, 178,000 ileves. 103 hôpitaux ou dispensaires.

Voilà cequeronvadétruire.

Lessocialistes~iaent souvent bien des chosea pl'il.faudrait dire en.latin. Mais M. Renou ne le sait pas peu~être.H"déciare qu'il n'admet pas les :ongrégàt!6n$ ~pàrce ~qùo il' c'y a jpas -de sbciëtë ops~ible < si les sexes me aon~ pas mêles B. :Que coulez-vous répondre à cela ?~ M. I~abbë ~ayrau<ï termtBe~n rappelant qae

ï'avoBu'~t~leia .<~a ~nenacës~Qr, penda~ ~gne l'Europe se préo~p~t~ grosses questiona, noM

t perdpnsBotreteiatpa à de mesquines questiOBS et

des persécution <rdieus6s.

~oict PeU~tajt à tribune. crini&fe'

<)~gite~ CM dira ioat ce <~u'oTi voudra, on ne

jteHts'iiiïïagtnér.mai'us hon;BM tel qae lai puisse.: ~ir uia~coàcëpSMï aussi ~Ïrbite du droit à la ï~rtéO~taus.l~.Penetan~ tqn~ de gb~ p~ds disante plat. ï~cong~gatiom~ ce doivent être ia~sesscsa.îe régime du droit commua. Et~ea fant parti~~i~Ii~, et <~ qQ~tion~est plusse savoir si un èitôyén trançaj?' a le 'droit de se faire religieux ou si plusieurs ont le droit de s'associa dan~lin but religieux." Noa$ sommes en'presence de l'Eglise catholique, qui veu~red~Yenir u~ grand, cQt'p~ ofâciel. Nousne sommes plus en présence d'une question de liberté, mais d'une question d'exécution de con-

~rat~

Telle est la thèse j'aurai résume le discc~~ quand j'aurai (Ut que ~'est~un pamphlet, un i~rt~ cledu~o~ca~

Le;Gon<orda~ n~~pas parle, des congrégaiions, ~UesL uû; doiyontpaa exister; :Pelletaa est pîem dei.solHcitudé pour te Concordat quand il ëa tire ïaa cbac]Lusion& que~ voilà. Grâce à ce pacte, nou& ~ontroins te spectacle « de la révolution et de la, conb'e-réYolutioa installées dans une même organisation s&eiale. La vrai, c'est que « le Concordat a été déc~u'é.par l'Eglise D.

Les c<mgrégàtton3;na sont pas nécessaires à l'Elise, dit M~ PoUëfan, meilleur juge que le Pap~t U" La queatipa est pl.m baate. M. da Mun a. indique lui-même la lutte.qu&M. ~iviani. avait si nettement dé&nie la lo.t.tc.t non entre deux politiques, mais entre deux canvictîons la. lutte entre les deux principes qui ~s divisent le monde: la raison humaine et la foi, la lutte enire; la Rêvolation et la contre-revoiation. Voilà le coaSit qui plane au-dessus de tout ce débat t

E<. Farticîe se poursuit les congrégations sont tunînstrmnent do domination B. Demandez à Pàscàt.qtt'exbume M. PeIIetan,tout comme il dêcouTrîraitîa Méditerranée.

Cûnclùsion H ~aut ititerdire la liberté d'enseigner dans les séminaires et empêcher la mainmise sur l'armée. Oui, M. Pelletan lui-même use de ces arguments. Chemin faisant, il parle des ~Jésuites, du Përe Du Lac, du général de BoisdeËFe.deM. Ctemeinceau.~eM.R&inach, un reportage archnisé,?cas dis-je~

G*estsuroett&'c&nfépence M. PeIIetana parlé de tout, sauf du seul principe de la liberté en'jëu,;quëïa séance a ~te levée.

On contmtiera aujourd'hui. < A propos, nous on sommes au cent cinquième.,

amendement. ~<

` l.uci6n Burlet.' f é,t4

't,

L~ABtt-Botbo~ est le~rcràë~ soùverdm contre l'envahissanient des poiàts non~ qui couvrent les peaux grasses 5003 Faëttou de la chateur et de ta traagpiration. Les traces, disparaissent completomeïitavecl'applicatiGn d& ce produH. qui ~e trouve à la Parfumerlo Ëxotiqu.e.~Otmfîdu Qu~ti-e-Soptembro. Baptêmes. Gouache, 18, boulevard des Italiens. Gant Perrin, 45, avenue de l'Opéra.

Le vendredi, gants hors série.

L £'S VE ,S

MAMSEXBjLE

Za j~reM $rcK~'a~e des~o?'<s

L'incident capitaj' de la dernière jour;iee/celui qui Ya desciller Mën des yeux et probablenieni faire reprendre le travail dès aujourd'hui à tous les, ouvriera français, à quelquecorporation qu'ils appartiennent, c'est la nouvelle donnée Dai' un de nos confrères du soir dans une dépêche qu'il a reçue de MarseiDe et que nous nous empj'assona de reproduire textuellement.

c Ma.EseiUe, 11 mars.

D Le parquet,aurait acquis la certitude que les meneurs de ra grevé reçoivent des subventions desyhdiGata'ètraBgMS.. B Le procureur général aurait informe le garde des sceaux. Une enquête, est ouverte sur ce point. Il est bon de rappeler d'autre part, que vendredi dernier~ lors delà discussion do l'interpellation sur lés grèves. MM. Waldec):-Rousseau et Milleraad sont venus aBirmer à la tribune 3e la Chambre des députes que l'agitationonvriére qui paralyse et ruine actueîlemen.tI&comnMFce marseillais n'avait aucun caractère politique, qu'elle était simplement le fait d'un désaccord aa.rven~ entre patrons et employés, et qua cea ~erniepe, pour donner âne preuve de leur attachament à la. ville qui les nourrit, pouj' prouver au public qu'ils n'étaient eti révolte que pour une question de principe at non d'intérêt, venaient de refuser quelqaea jouFS avant un envoi de 35,00~ francs fait par les « Trades-Unions D anglais.

a Eh bien 1 qne reste-t-il de toutes cesbelles paroles, aujourd'hui PRient ou plutôt que si les ouvriers ont vraiment pousse le desintéressement jusqu'à refuser les. secours de leurs camarades étrangers, les beaux c phraseurs, les monteurs et meneurs de grèves, oenx qui vont partout semantladiscordeentro ouvriers et patrons,; ruinant celui-ci et jetant belui-là sur le pavé il meurt de misère et de faim tous ces gens sans a vea.eescronteura et fbmpntateur~ d'émeutes n'ont pas r les mêmes scrupules que les malheurenx qu'ils empèchent de travailler, et acceptent trè~ bien en payement de leur criminelle besogne d'être rémunérés par les pays étrangers.

BLes ouvriers des quais comprendront-ils le rôle do dnpo que ces gens-là leur font jouer et retoumerontils à leurs travaux?

n En tout cas, il est certain que dés aujourd'hui pas unbuvrierfrànçais ne doit chômer; tous doivent reprendre le chemin du quai .et quila soient persuadés que, par ta suite, s'ils ont des revendi&ations& à exposer, les patrons seront toujoursprêts a les entendraet à y.faire droitai eIlesBont justes, j)

Quelques inoïdenta se sont produits dans la matinée. 150 grévistes~ postés devant les docks pour surveiller l'entrée des travailleura et empêcher l'enlèvement des marchandises, ont été disperses par la gendarmerie et lapplice, qui.ontdu~ opérer, jqaelqnea arrestations, non maintenues d'ailleurs. Les mêmes faits se sont reproduits plusieurs fois sur les quais, mais, gr&ce àTinterventibn de la troupe, aucune fixe n'a eu lieu. Dans l'après-midi, trois mille ouvriers, qui venaient de manifester encore une fois leut désir de continuer la gréve.dans une réunion ala Bourse dutravail, se sont formés en cortège et, drapeau italien en tête, ] ont parcouru les principales rues de la ville arrivés devant l'Hôtel de Ville, ils ont acclamé leur camarade le maire internationaliste Flaissières qui les a haran- < gués du ha~t du balcon. Puis toujours criant et chantant l'~e~M~tOMa~e, les amis du maire ont conti- ] nué leur manifestation à travers la ville sous l'œil bienveillant des agents de poli ce, À la 8s section des docks, le capitaine du vapeur grec Bp<aMMOs a embauche, dans la .matinée, une vingtaine d'ouvriers napolitains pour débarquer sa cargaison de maïs. Naturellement, comme ce sont des 1 ouvriers italiens, les grévistes les ont laisses travail- ] 1er, et ni les gardiens de la paix m les gendarmes t n'onte~àintervemr. Mais, par contre, les ouvriers qui travaillaient* à bord du vapeur les A~pM ont été renvoyés, a deux C heures, par le contremaître, qui, devant la menace de ( quelques grévistes, n'a pas voulu prendre la respon- 1 aàbihté de garder Béa hommes. ~Unap~al~esdavriers français indépendants aëté v placaTdedahsI'aprcs-midid'hiërsùr'Ies mura de la r ,vU~. :t .Au nom des latërets.~u, port de Marseille, qui .doi-, Tent~p~ssen ayant les;intérêts personnels, et en pré- i. senëe-dë'Tengàgemeht pns parj les patrons d'appli- e quërla~i'i9tirlamain-d'CBQvrë étrangère et d'étudier t leurs revendications, ils invitent leurs camarades & se trouver cematinsur les chantiers pour reprendre le travail. MM. Beasond, président du syndicat de la manutention; Adolphe Bstier et Savon, entrepreneurs, ont ea, dans rapres-midi, nno longue conférence avec le préfet, M. Grimanelli. g

Malgré l'insistance de ce'demier, qui demandait a"; ces messieurs~de consentir à une simple conversation~ avec les ouvriers sur la convention du mois d'août' t dernier et aur son interprétation, les délégués ont persisté dans leur refus. Ils ont déclaré qu'ils ce pou- ) valent pas admettre l'intervention préfectorale, pas plus qu'ils ne pouvaient consentir à accorder la conversation demandée, quelle qu'en soit la. base. D –Nous n'admettons même pas téprmcipe d'un c intermédiaire quelconque, ont~ls ajouté. Noua no v voulons avoir .aucun rapport avec les délégués de la Ti grève. Nous npns adresserons directement à .la-m&sse B de nos ouvriers pour lesquels nous sommea animéa o dea meilleures intentions. b A la suite démette entretien, le préfet a informé le p

maire du refus catégorique des éntrepreiiëur~ '1

Dans la soirée, le syndicat des entrepreneurs s'est n réuni et a adppté un ordre du jour qui a été aussitôt d communiqaéala presse, r~ Après avoir déclare qu'ils étaient tous solidaires ti dans la détermination pnse de ne rien vouloir traiter ti aveolesgréyistes.ilsterminentaiusi! ` c< e Au surplus il ne dépend pas de nous.dB détruire & des engagementa auxquels les plus hautes sanctiona 1< ont ete.donpéM, que le commerce a accoptéoa~t sax- -t

~uel~ îes représentants îes plua autorises de' l'arme-

ment et l'industrie marseillais viennent de decla- n Ji Mt eu~-mëmea ad'U eat imtossiHe'd'~ ~er ~ucun q

;h~ngemenf~B~t<~tsëe]f. aux~scarceB mëmea ~< Ta

:prospériëdëittea~t~

Les e~ts.d~B'~a~~ëvHBnr la-villè se font sentir de tonte~ptrta. ~M~$ouSre du même mal .~ae Maraeilla~~que St~~ou se font les importa -~onsf~de matttrë~prem~esi et les exportation~~ ;pi'odtnts manufacturés ~a.rM.yon. SHa grève c~ttt~ ~nn~itfaut~attendre à?:v~ se fermer encbr~YiM~

~grtmd nombre d'usines Lyon. Même aituati(~

~eims~ à Retaïaa et autr~grsnds centres industn~e~j

na~ gran~ aoBt6re det~w~ons de marchandisa&~

~dë~uia~on'~MarBeille~Tat'arrêtés en gare d'Avi~gnQB. ann d'évité? rencombr&ment des docks mara~t. lais.: .DomMns es teratinan~.c.a détail piquant snria;~ =~on dont le bureau de~esfaisance de Marseille op&re ses distributions:

Dans mie communication faite a 1~ presse, cette administràtion, composée probaHem<mt des créatures, du maire, après avoir dit que les distributions commeacejcat~partir d& tel j~m~ fait smvte cet ave~U~ ..sèment par cette phrase:

a Sont seules convoquées pour prendre part à cette

~DTemier~~ repartitton~. les .corp.orations:. suivantes~

.aya~t 'pour' tttre'Syttdicat miefM~Mma~ ~o~vriera nï~ns.cim.ehteurs~ gâcheurs, taSieurs ~e-pnerrM~ tendres, manŒtuvrës~ senenrs ettcrr&ssteïs~ matons Umou~inants, anvriera iMalangeta. -Le~étrangQrsd~boTd.n'est~e~p~ta~BoasiparFMasië-~ raa3.~uant~u&autre~~xFrancàis~qa.'iï&&ë:dabrQ.uiIlent; et'ila. meurent de.fa{ni~tàntpts::pour.ien3-f ~` ` Vivent Fégalité'et la frato~ï-tcrmessieurs/IëT socialistes.) I~MttM'e~e.Mt'e.– ~Alfred Fraîssinet~a.~ nom du Syndicat da la marine marchande et au nomades armateurs marsëïQais, a fait dans ta soîrêeL ta comm.untcatîonsuMa&teàM.SrimaneHi:

« Nous demeurons resolas à naas ça tanu: au.x ajrrangements d'août et de septejmbM ??0. CMM~ à,l& soite de la. dernMre gr&v&du p&rt d~ MarseiHe~ pardevant le président de la chandua. de. commerça et le mairsdG Marseille~ a les appliquer en ce. qui nous concerne loyalement et complètement, à a.oeueSHr dans nos chantMrs tous le? ouvriera qui 'vandirottt travaîMer, nous engag,e&nt & n& pEemoneer auc<m renvoi pour fatts d& grèv&. n

Un grand nombre d'usines n'ont pas rouvert leurs portes, hier matm. Vingt-six. fahflcant& da savons emt suspendu tout travail, les autres maTcnant, a.vec~ un personnet excessivement réduit..

AUCONGOURSAGRICOLE Le présidenf: de répuMiq&e a Tî~tê hter ma~tin, dix heures, le Concoars ag~'te<9. H est arrivé au Grand Palais accompagna de M. Combari&a, da général Dn-bois et d'un of&sier de ss maison'niiHtaire. v MM. Jea.Q Dupuy, aiîntstre de fagrictrîtur& ? Meline, Gomoi, Viger, âneroQS B~înistrës de l'agriculture, 1~ préfet d& ppHc& et te? organfsate.nrs du~bQCours ~ont reça le presideidi de la république a.nRe~iI<dBt.&ra.n(ïJ?ala.is. La visite a MCtfmencé-par tâ'seotTon. dM ànimaùx.gras, M. EmileLoubet a visité- toutes les sections et. a félicite nombred'expoaants. Ne pouvant les rMmmer tous, nous citerons particulièrement

M. Alphonse Cotas, ponrsa. magni&o'ue bande de boeufs de race nîvernaisa qHi iui ont valu an prix d'hoone&r. Un autre prix d'honneur' a été, en outre, accordé à M. Colas pour son adnnrabl& nivernais blanc, âne superbe bête. Le bœufmatg&che a obtenu un énorme succès de curiosité. Avec ses cornes immenses et sa bosse énorme, cet animal, importé en France voici dix-huit mois, est un curieux spécimen de race bovine qui fait honneuràM.BoQrjadHat,, son propriétaire.

Dans lès races françaises de moutons, le prix d'honneur a été attribué à M. Hermand (Paul~de Loge (Aisne), pour un magniSque moutoa de la race charmoise.

Pour la race porcine, c'est M. Victor Rouland, à Evrou (Eure), qui a obtenu te: prix d'honneur, avec un superbe craonnais.

Les plus beaux spécimens de race bovine, prix d'honneur et grands prix, ont immédiatement trouvé acquéreurs.

La maison Noë! Peter's, rexceUent restaurant du passage des Princes, va o8friE- l'un décès beaux spécimens de notre élevage à sa riche clientèle, lequel, dûment accommode selon tous les principes de l'art culinaire 1& plus délicat, sera assurément fort apprécié par'tous les Bns gourmets, hôtes assidus xte la maisoji Noël Peter's.

Le populaire Bouillon. DuvaJ a voulu aassiqua sa nombreuse clientèteL'dégustât plusieurs spécimens de nos belles races bovines et ovines, qui leur seront servis sous forme de Ëlets, de contre-Slets et de rumstea.cks sa.voMreux et de côtelettes.

C'est aussi la Samaritaine quia achet& run de ces beaux produits, pour le régal etiaplus grande joie des nombreux employés de ses grands ma,gasins.

A

Les quatre bœufs de racenivernaise.deM.Coîas, que nous avons cités plus haut, et qui ont obtenu le prix d'honneur~ ont été achetés par la boucherie Lafontalne (ancienne maison Morin)~ 104, rue Saint-Lazare. Cette boucherie fournit nombre de grands restauranta de PariSt et, très bien achalandée, est réputée pour n& vendre que des viandes de choix. w La visite présidentielle a continué par la section des fruits et des primeurs et celle des produits agricoles et horticoles.

Le dessus du panier de cette production générale a été acheté par la maison. Dupont, Barbier successeur, rue Gomboust. C'est donc làq~& les personnes qui désireraient goûter les plus jolis spécimens de raisin noir et blanc provenantdu Syndicat des viticulteurs deThomery, ainsi que les blaek-aticante et les colmans qui font la gloire des serres de Roubaix; devront's'adresser.

Ajoutons que la maisonL Dupent s'est également rendue acquéreur du jnagmnque chasselas de Fontainebleau, de M. Henri Michin/deThomery, qui a fait l'admiration de tous les visiteurs. Elle a, de plus, acheté les produits delà maison Benoit-Guimbaud, c'est-à-dire les superbes poires et popimes devant lesquelles tout le monde tombait en extase. D'ailleurs, cela n'est pas fait pour surprendre tous les gourmets ue connaissënt-iïa paa~ do longue date !a maison Dupont, dont la. réputation est universellement connue ? R Enorme succès pour les deux grands salons garnis avec un goût exquis par la~maison Vilmo['in-Andrieux. Hyàvait foule pour admirer ses Bxpositio~ns agricoles et horticoles, qui lui ont ?aîu deux prix d'honneur et quatre médailles l'or. Comme toujours, !~s éxpositions~ilinorin sont merveilleuses et les visiteurs, charmés, sont partagés entre deux admirations celle de ïa. beauté les produits exposés et celle du ,gpût si sûr qut t présidé à leur présentation.

La maison Vilmorin-ADdriéux continue de jiompher. Elle qui a obtenu six grands prix à ~'Exposition de 1900 a pensé que,, ainsi que noblesse, réputation oblige.

Le président,de la république et Mme Loubet )nt oifert un déjeuner en l'honneur des lauréats ;u Concours agricole, MM. Colas, Rouland, ~assé.Rouvier, de Vilmorin, Sellieux et~rê;ermaiu, qui ont obtenu des prix d'honneur. Le ministre d.& l'agriculture, MM. Mélioe, Gonot, Viger MM. Brehertit, président, de la sëci6n de viticulture; Vassiliëre, directeur de 'agriculture, Trouard-molIé.Tnspecteurdel'agri- iulture; commissaire-géaéràl du Concours~ assisaient.à.ce.déjeuner. a sis- EnuleBorthet

ttRAYERS~LA PRESSE i Les victimes de Dreyfus

~Sous ce titre, M. Ernest. Judet apprécie, dans ïe ~~JOMrM~decem.atin, la lettre adressée~ t&tre collaborateur M. Gaston Pollonnais par Lie gênerai de GaUiu'et:

L& pétittondu capitaino Fritsch, écrit M.Jadet~ lis en~traii d'emptoi~pour a avoir dénonce les mahinations destinées à couvrir l'aS'aire Dreyfus~, ient d'être appuyée en termes éclatants par le miistre même qui I~a frappé, par le général de Gallinet. [ déclare d'abord que le capitaine Fritsch est K un f6cier d'une valeur et d'une honorabilité indiscutaI&s "j H ajoute qu'il <t sonbaite vivement la nn d*ùne unition inûigée pour faute contre la discipline D. ` Le général André, dont les rancunes et la partialité e reculent devant aucuua équivoque, torture le texte e l'amnistie pour en refuser le benênce à un des raBs hommes qui la méritent il perd toujours volonters les occasiona d'Être généreux etr spirituel. La letre du projet gouvernemental est-elle respectée ~ar ette bizarra et haineuse interprétation~ par cette proédurp juridique! En tout cas, reapritj tel que~e Par- ornent l'a dénni, tel que le public l'a compns~ est oer- l Mnement.violé. Le gé.a~ral' Gallin'et, s'expliquant, devant lea `

lembres du oonseil d'enquête, a également reconnu

uelaDeine dontsouffre encore le eoBunaBda.nt'Gui-

A. &.

Tmetn'étaît~aB~aattS~ P.

tpreasè, M. Camille KMat~était consulta est ëét~

t~reesé; M. ~r con8ulté~ il éstl5e1".f

tatn qùlî donnerajtTe :i~%tBte avis. Entsch et C!utgne~:c~~deux victimes de Dreyfus, ~)~8 parler des àutr~st~nombreuses que le général AS~é poursuit de s<ta ijECtplacabIe sévérité, seraientîîqi~a la loi? L'exceptKm inventée contre eux aeolsr n~jtHMe pas en faveur de la loyauté de nospolitiCttHUt.etdel'apparen~~mpartiaUté qui dicta le~vqte;

~l~mnistie. Ya-t-iJtdonc des favoris et dea exclus? '1

-I~e~f~vori~a'~Q. on6 BMUchépour le traître, des excbt&~tls o~.dè~nd~t& France contre la trahison? t~ quesH~L est poae.e. Elle ne peut être résolue que d~~To sem ta plus targe, celui de la clémence, 0'e~t4-~irèactueSe!men.t de iSt. justice stricte. Quan~ 1~ gonvernemen~.MF ~'avis-de M. Trarieux et sans s'occuper du conseil de Perdre, rend d'ofSce sa croix à Zola, il doit restituer leur 'commandement-aux Ïton~: Français qui ont d& se souvenir de la patrie avant de songer au respect de nos ministres;

ChtDemajjJy

Voiture légère Gladiator; Pré-St-Gervais' (Seine). BEC A;t~ER K[anc~~i mimîtaNe par sa. qmaRtè et sa durées Jt T~ 77

~L JE ~~&(/JL -t (/

AU TRANS~AAL

Si B&tha. négocie. De Wet~ loin de se sonmeitre~.eantmue sa~elle résistance avecplus d'bpi" siâ&'etë et d'entrain que jamais.

npar~a.votr passé complètement. au nord de rOrange~. tt a réussi à atteindre un point à l'ouest de-EroQQSta.d~ avec l'Intention de û'anchir le che- min de; fer aJIant à t'est de t'Etat d'Orange. Le y~Kes fait, à ce propos, la réSexion sui- vante Tant que.Dà~Wet a ,jouB-le,rôIe d'envahisscu:, il a, été contraint de maintenir une ceEtain&coh.ésion entre. les.tKLQpe~ quise trouvaient, sous son commaude.meiit~ mais maintenant qu'il est de retour dans son propre'pays, H est presque impossible d'opérer contre lui Des qu'il est serre d'un peu près, toutes se? forces s'émiettent pour se. rassembler do nouveau une semaine plus tard et pour s'émietter ensuite è ne.uvesm. Jusqu'au motsent où, ils ojtt ote rejoints par Fronei~aB et depuis; qu'il? àvàieat eie serres de preai par~ colonel Béthun&aur laLJtvière, Riet, Do; W&t et. Steijn avaieut à peine trente h&mmes avec ~enx. Aussi avaha-Boas raison de~ dire qu& tan! que ds pareils tK)aime& resteront d6b&at~ tes Anglais ne poarMnt jamais se déclarer maîtres du Trana-

vaat.

Le sud-~eat de FEtàt d'Orange e~t tcajours ooeapé pa~ ptnaMUfs détachements boërs, parce qa~tes garaisoLUS anglai~es~ ont ~été _reËrees dep'uis-~uelque temps des vniea,'teires que Dewetsdorp, W~epen~r, SmithSeId et RouxviUe. II y a eaeore quelques cojnmaados dans 1& colonie-dû Cap. Oji mande de. Grossfontein que Kruitzmger est parti aveoson commando pour le &ard-est de la colonie après a~voir enlevé pour 30,000 francs de vivres et de vêtements dans les. magasina de Beenhagte. La ;col<mne anglaise de Deliale&'est dirigée, la :10.mar9t, sur Commodagga, station du chemin de fer dont.unebraacbe; abau.tit à Port-Alfred €t rautre sn Port-Elisabeth.. Ella est~ Sanquée de deux autres colonnes. Deux détachements hoëra sont de ce, coté, c'est-à-dire dana l'extrême s.udda Cap. L On dit qu'un commando, fort de 400 hommes, soua tes;; ordres du commandamtErasmus, campe e dans. 1~ voisinage de Kimberley~ ',i.

E~ CHSME

Le T?'me5 annonce que~-suivant des nouvelles de source digue de foi, la Russie aurait signifie à; [a Chine que si cetle-ci ne signait pas la convention de Mandchourieàune date.rapprochée qu'elle désigne, cette convention serait retirée, et des conditions plus dures lui aéraient: substituées. Li-Hung-tihang se déclare impuissant a résis- ter. H a tait appel à rinterventionderAngleterre, de l'Allemagne, des Etats-Unis et du Japon.

On éprouve de grandes inquiétudes à cause de l'extrême tension qu'on croit exister maintenant dans les rapports de Li-HuDg-Chang avec les vi- ce-rois du" Yang-Tse.

Avant-hier, en présence de détachements appaFte.nantà quatre nationalités et de représen tautsdeIa~pQpuJationciviIe.aeulieu la translation des restes des soldats tués pendant le siège des jardins de !a légation britannique au cimetiereeuropéen.

La ~rémome, malgré ~simplicité, a été des plus impressionnantes et les honneurs funèbres ont été rendus par toutes les troupes présentes. Rêne d'Aral

LA StTMItON EH SICILE

__PaIierme, 11 mars.

Les jpuxatHHL vous auront appris reN'ervescenGO qui règne en SicHe depuis quelque, temps, mais pourtant on no. se doute pas sur iecontinen.t de.la gravité do la situation, qui prend une tournure des plus menaçantes. La cause en est la misère d'abord une misère anreuse qui réduit la population à la fanuhe et qui Fincit& aux pires excès.

L'autre jour, il semblait que nous fussions à la veiue de nouvelles vêpres siciliennes. Le soulèvement s'est propage dans les villes et dans les campagnes, et des bandes d'individus~ les yeux hagards~ parcourent les rue~ et les r&ates, demandant du paiQ~ conspuant les autorités, voire même la faimlle royale et acclamant la république! 1

L'état de siège a été proclamé partout; une division navale a été envoyée à deux reprises diSérentes pour reprimer les" désordres; dès-troupes Bout venues dn nord de. l'Italie a6a de remplacer les garnisons qui pactisaient avec la,populatio:n, mais.ces dia'ére~tesmesucea.de répression ne produisent qu'un; effet momentané. Les autorités ont .perdu la tête. A força de fMi'e dos arrestations, les prisons regorgent de prévenus et l'on en est réduit à enfermer les prisonniers dans les casernes. Pendant ce temps, les malheureux aframés ne vivent que des secours que leur distnjbuentles évoques. Bref, oh dit ici couramment. que si un homme énerg!que et décidé se présentait et.~renait la directi'on. du 'spulevsmentj il aérait immédiatement le maître de Sicile. H RUSSIE ET LA QUESTiOM {MCÉDONtEMME Les journaux turcs publient une communication ofncieuse qui a produit une grande .impression dans les cercles diplomatiques de Constantinople, et qui a. causé surtout une vive émotion à Soûa.

~D'après cette' communication, le comte Lamsdorf, ministre des affaires étrangères ~îe Russie, a eu sur les anaires macédoniennes une longue entrevue avec Husui pacha, ambassadeur de Turquie a Samt-Pé- tersbourg. Le ministre russe a assuré le diplomate turc que le représentant de la Russie à SoBa a a plusieura reprises et très catégoriquement fait com- prendre au gouvernement bulgare que la Russie no tolérerait en aucune f~çon que les comités macëdo- niens continuent à fonctionner, attendu que leur oxiateace troublera la paix dans lés Balkans; v que le gouvernement bulgare doit, prendre immë- diatement les mesures nécessaires pour mettre un terme dennitif aux agissements de ces comités; que les intentions pacifiques du tsar Nicolas H sont connues de tout le monde et que ce souverain désire entretenir les meilleurs rapports avec la Turquie et travailler de concert avec le Sultan pour le maintien de la paix en Orient que la paix est conforme aussi aux intérêts de la Bulgarie .et que les comités maeé- doniens rendent ùn'três mauvais service a leur Ttropre pays en travaillant secrètement pour fomenter des troubles dans une province de l'empire ottoman. Huani pacha s'est empressé de transmettre à Gons- tantinople cea parblea; encourageantes du comte de' Lamsdorf, qui ont causé la plus grande satisfaction au gouvernement du Sultan.. i AMJESM.G~E ` .LaBantade&uiUanmQ.–Laguérison de rEmMreu]' se poursuit rapidement, -îl a pu descendre, hier, dana aon cabinet de travail; mais il est tenUj'' pendaut quoique temps encore., à grands ménage- 1 menta. ESPACME ]

La situation.– Une émeute a éclaté, avant-hier, 4 àManleu.prësdeBarceIonne. Les troupes ont pu la réprimer après de violentes bagarres.

Le conseil des ministres qui se tiendra demain, < examinera la question delà dissolution des Cham- 1 brea. < L'Informé ]

m? /~?~ c JM~dt MMtt. S<HM<jM<M?tHH~te~ E I~A TEMPÊRATtJ~E

~Pa~pee~e~e~M~co~'Mpo~aM~~p~cMM.c) Càlaîs. Thermomètre -r' 4?. Yent N. modéré. Tempa gris couvert, giboulées probables. Mer hoo- t teuae' J:; il I<a Havre. Thermomètre -t- 6". Vent N.-O. t Mer agitée. Temps très couvert, forte lH'cme M' r targe. .a

~Lyo~ ~Therm~&ëtM <i- 6*. temps froid, pM<~ cuneîge. ?- Marseille. –Thermomètre: +13'.VentN.-0~ tforte brise. Mer agîMë. Ciel couvert matin pur en* suites Tompératur& fraîoho et variable.. Monta-Oarlo. –.Theralomètra: huit aenrea d~ matin + ~3«. MLdi~ l~ Temps magninque.

Toars.–Thermomètre ~go. Temps brumeux froid, quelques Qocons do ceiga.

A

Dépression importsnte sur le Nord. Pluies sur I( Uttoralda la. Méditepraaée. Neiges dans l'est et 1< centre de 1& France~

A Paris, la tempérahireTnoyenne était hier de 5 de' grés. Averses de-pluie et neige.

F&itadmjoM

L'Institut des jeunes aveugles d'Angers, qua' dirige avec un zèle et un dêvonejneB~ saaa ÏMtE" nés Mlle Mulot, est en pleine prospérité. Aces enfants~la plupart peu fortunés, MU& ~Mu~idaB9e,ayëcËaë'exc~teh~édt~tQ~ tes moyens de pouvoir supparter moins pêaiblemejtt la lutte .pour la. vie. Quelques-uns ap~renujpnt des métiers, divers le phis grand homb!'& s'adonne à la. musique lea. aveugles, on le sait, ayant le sens: music&l'tr~ développé.

Déjà 'NI!e Mulot- & fait entendresesjeuBe~. aveugles-musiciens dans plusieurs. église? da~ Bretagne ~t aussi & Angers.

Paris- entendra prochainement les élevés da MII& Mulot. Us chanteront l~marsprochâin n!~ salut, 35, rujs de .S6vres et donneront l~lejaâeEï&ia 18, à la salle de Géographie, un concert au bénéuce de i'Œuvre des campagnes, placée, s<ma 1& patronage "de Mmes Urbain de Maille, et Marthe deViIIeneuve.

Aujourd'hui mardi/13 mars~ à deux. Reores et demie, 184, boulevard Saiat-~érmain', M. Robert de La Sizeranne fera âne c&nSFeaca sur ce sujet « Gomment faut-il fuser une œuvro d'ari?~

l~ KomveUes Feligïemsea

–LeR.P.Coube, S. J.. donnera. demain mercredi, à ùnif heures et demie du: soir, à Saint-Honore d'Eyiau (chapelle Notre-Dame de la Uite paroissiale, 63, avenue MalakoH), sa troistemo confMence do carême stir <tNoa devoirs~ pour les hommes et les jeunes gens. H traitora des « DeYOu-sdesnehos~.

Un Rrand pelermage d'hoaMur à NotM-Dame Lourdes aura Uendti 33 au 37 avril.

Départ de Pajis !o 38. u. 7 heures 5& du soir .retsat à ParisdansIa.joumeeduS?~

.Les polenns qui. pMudFo&t ça train a.uront& ICur të6e!e R- P. Cooha. Prudos pla<MS on l", Mt û' en 3, ? tr.< ~aUerotMtour,.

.D y aura d'autres trams moins rapHcs ou le prix dej~ places sera moînsetiiTu.

Pour tous renseignements, s'~dreEser a.n cbmito, 4, rna de GommaiUe, t&us les jottrs, de deux âL cinq hetires, MMLjE

le dimanche.

SfotHreIÏMt miUt&iFe~

~e Mnxce <!e t~Mo'aM. Au cours-d'une MnnMn. ~nî viËntd.'a.Toirlieuà GastelsarEazin.M. Erantz.amcMn ministre do la. guerre et prosident de la. commission de: l'atmee, a prouoncé un important discoura. suc LoiSL « oNjga.~ tions qu'impose à la France sa situation en Europe et dana lemondeD. n.

<[La Franco, aditM.Erantz, n'est plus Molée~ellc a'appmepur une aUiauce dont, il nnpo.rtB de le dëdaref, s~ puîssance mifitaire est toute la raison d'ctre donc, UL est de toute nécessite de fertiSer sans cessé cette puissance. D Au sujet du service Se deux ans, M. Kranh a- ajoute c Cette réduction, toile qu'elle.est [or~nujëe dans cci~iaa programmes, mo semble incompatible avec co qu'exigent, & l'aeare actuelle, notre sécurité et notre dignité' nationales'. Avec les précautions qu'à eu soin d'indiquer dans'son pMjetM. RoUand.sonsI~rosefva des mesamsprepaMton'es qu'ont réclamées tonsles.ministreade la guofre,.y compria M. le général André, le service de deux ans ne sotai~ poutetre~pas tr6s inferionrao. service de trois ans, têt qii'!t;est pratique. Mais, si; l'on prétend substituer bjtisquement, sans aucune garantie, ce système à la loi miMaire actuelle, c'est, je ne crains pas de le dire très haut, la destruction da l'armée et Ea transformation tatalo en une sorte da. milice ou de garde nationale, z

Selon M. Xrantz.il faut tout d'abord préparer et MgM:séries cadres et un solide noyau de soldats rengages. Q'es( de cette façon, en obtenant le nombre voulu de rengages. qu'on arrivera avant longtemps & la réduction du service un an.

MMia<!0)M~fMs!'c<a<-))M~'or ~tëfa!Los generatUE do division Altmayer et Miehal, nouvellement promus, sont maintenus dans leurs commandements actuels, le premier à la, téta de la 33* division d'infanterie, le secand'à litote dt la. 14' division, i Belfo~t.

Le général de brigade Geay da Montenon, nouvellement promu, est maintenu à. la. tetede la 3'brigadcde hossatd~, à Verdun.

Les généraul de brigade nouvellement promus, dïHit les noms suivent, soht n~uimes

M. Qrbion, comma.udant de l'artillerie de la place'et daft forts Lyon; M. Larrivet, commandant djes troupes nG~ embrigadées de la division do Constantine et Ta! aubdtvi!8iondeBatna;M.Pcnaud,ala 83'brigade d~nfantorie, a Narbonne M. Heimburgor, A la 37' bri~age, à Bocr~;i Jif. Rollet, à la 6' brigade, a Beauvaia Rf. Picarde à la 67° tj'i? gadë. a'TouIouse St. Lebrun, adjoint au cottmiand~nt saporieur de la défense de Lyon r M. Leiong,. adjoint &n: g&U!vemeur do Verdun; M. Soyer, adjoint au gonvemeuB de Tout.

La général do brigade'Martin Gallevier da' Mierry~ conrmandant la 2' brigade d'infanterie de Tunisie, passe tcla 45*brigade.,àAn{;ou)ême.

J.~tojt (f~M~ttSMr. Les commandants Resfeltar, da 91° d'intanterie~ VaIIet du 10' hussards, et LMmenij. Su '4* chasseurs d'Afrique,-qui prejment leur retraite, soBtnMn* mes ofËciers do fa Légion d'honneur.

FîMÉa divors

LA. <f BELLE BOUDINÉE N ET SON AMI

nn drame sanglant s'est derouLa, hier) chez ummar-. chand de vins de la rue Croix-Nivert, dans le qtlinzièma arrondissement.

Un nomme Eugène Reicarpe, &g& de: vingt-neut ans, journalier, dejetinait dans la 8aUe du ~ebit en compagnie d'une femme, Mano Thomas,, dite I!st n Belle Boudinée~ :'Lgëe de vingt-six ana, avec qui. il entretenait-des relations depuis trois mois'. q Soudain, une discussion éclata, an cours de laqueUe Eugène Reioarpe reprocha à. Maris Thomas: da ne plus venir régulièrement à ses: rendez-vous. A un moment donné, exaspérée du tour que prenait la. discussion, la <t Belle Boudinée M ae ]jeva et M djtrigea vers la porte.

Si tu sors. lui cria Reicarpe, ~e te tuât'

EtcpmmoManeThonraa Tamassait son rêticnl~qù'eÏlo avait''ta.i~&tomt)er'à teTrë, Eu~ëne-Heîoarp~ &'elança et lui plongea son couteau, dah~ lai potttHië;' La blessée a été transportée & l'hôpital N'eeker.S'Mf état est désespéré. Quant au meurtrier,, U a.' 6ta arrêté..

L&.MI-CARÈMŒ!

Le comita chargé par les étudiants d'organiser. 1& cavalcade annuelle de la Mi-Carême a arrêté deËhiû<- vemgnt spn~ programme. L'itinéraire que suivra ta cavalcade e&tle suivant rues ûay-Luasac, 'Ctaude-Bernard, Monge, bsulevarda Saint-Germain et SMnt'&ticheJL

Le cortèga fera une pointe stir l'Hôtel d~Ville, où il s'a-rr&tera un Instant.

On partira du Panthéon a neuf heures précises. Le cortège réunira Irois cents jeunes gens. Les ca~aliera seront fournis par rEcole d'AIfort.

Les chars seront éclairés a l'êJectricite. Comme nous l'avons dit, ils comprendront sept groupes, dent nous avons donné la liste il y a quelques jouM. Le cortège sera fermé par des musiciens a oheval.Quant au cortège organisa par les marchés, il partira des Champs-Elysées à une hem-e, suivra tes' grands boulevards, arrivera à l'Hôtel de Villa par ~s rues Saint-Antoine et de Rivoli. La dislocation ee fera à cinq heures place Saint-Michel. w Les personnes qui possèdent des objets précieux, tels que bronzes d'art, tapisseries, meubles {mefeas, porcelaines de Saxe et'de Sèvres, même dea~ ob[ët~ à partir d.u do'izième siècle, trouveront à~ les eéder M: comptant et an-dessus de leur valeur en s'adressait a MM. Séligman, 33, place Vendôme, qui se deras-

gerpnts'ilya.lieu.

g.eront s'il y alleu.

LE DRAME DE FONTENAY-AUS-ROSES.

Nous avons raconté la disparition de -M. Bréttllon parti de Fontonay-aux-Roses en emmenant sBsdeBX 61s, alors ~u'tl venait de blesser .grièvement ~sa = femme. La traco de M. Bretillon, qui est atteint de~roubl~s térÉbraux~ avait età perdue. Maia .on a retcauvé .nier sa trace à Mantes ou il a laisse ses d6ux ûls en p&n- 3ioh. Les deux enfants, Paul et Robert, sont réstea a Itair [nère.M. BrétiUon a réuasi a gagnern~pagne. guant a Mme Brétillon, eUe se rendra à Alger de!( ju'elleponrrafairele voyage. Les personnes qui vont à la Comédie-Française pour roir la pièce en vogue savent trouver au célèbre restaurant du Bœuf-à-la-Mode, rue de Valois, les traditions do haute cuisine quiont~consacré~a. solide reptation de cette vieille maison, située à deux pas de :ethéatre. AOQrDENT,MORTE'L

Un ouvrier charpentier, M. L. âgé de trante-huit ma, demeurant, 9, rue de la Smalah, .qui travaillait, tier, a la démolition du pavillon de l'Allemagne, rua iea Nations, a été blessé à la tête par la chute d'una jiéoede fer, du poids de 15 lalogrammes, tombée l'une hauteur de 18 mètres.

Le blessé est mort au poste médical des Invalides )ùilavaitété transporté. ,)

Le Fimdo iatifjonea est hygiénique et salutaire psnf

apean:~uicQnserveIajeunèsse,Iafraicheur,labeanté.

tfr.85ftanco,2'3,b.des Capucines, etda&s bonnesmaia.

LEDBAMEDCCOU.âQEDB.~S.MCE

L'état de Mlle Ze!énine est toujours le même. L~

aiblesse est très grande, et la Jeune femtpé peut en-

iore souS'rir iongtemps, comme elle pëat s'éteindra

rès doucement Bans crias e.t sans symptôme précur-'

teur.du dénouement fatal.

Son frère a ~assé bier une heura auprès d*ella'/

nais i! n'a pu qup s'entretenir.fort.péu avec'eItB. Un'; `;

.ommeU invincible, le'sqmm~ûcQmateui.pajfeà~ v


.Bit~]~~ e~ l'ôft t~d~ i'

a~Y~s~

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~t~ËtN~ s:f'àu .lë; 16~~ ~~gt S's <fmt â~GG~ËHÏ de l't na~i't-à~Mit&j~st'~UL~tîa-J~iBÏM: ~(~P~C~ lf Bf~aii~âisMï. ~ii~tii&~ Diù~

&n- 6$B'< musM&[

~ËO'eBE~S~E teroa~ te~d~rel~Ï~ pTe&i~a~d~en. C(~f c~jepy~da ~oSc6tN~mu~c~ q~s& tîéBd&Et M~

R~Ni~BoB-~lM~~et~Xo~t~ïQ~ÏE~

faatëa~t~

~-â dit et; respê~enee' à defSëntr~ q)i'un

.eon~i~ssurancë'sWIa~vië'estfres'~s~~ brevet de lengévite. En a~êepr~R~ uëe' psHce d'assurance, il est deaëto~aes&n'~erno~ c~~anc~ ou 1?ÔR tiendrai a déeéd~pretdat~ ï'ément, mats ân~i a: celai l'on vtvrait'âget L'~&M~~Me<? ~ï'e FépëSd pa'EMtemeBt à ëëtte dûubIe-préoccupatMi~.ENe~de'dëdeS.le'capi'M :-t~r'e\e~SiS~gi~ë~tv~8ë'&uXM~MM~~ de~i~ies. Ëa cas d~ vie, :!9 même capitsl est, à t'é~éaQcé~xéë~touB&~par:t'&ssttFàÏ~i~me&ie ~t pëlît~i servir ë&Hf&.dûtëï's6!S6Tlfânts,~ottâ tt.ugûMB~erl'aigâûcede~viëiHesse'. `

I~e~ra~ss~a~sM~J'af u~,&a~een.l~,Mptu~a.n<;MBBëde~ dosiptLgaies ïpâa~ai~es ~fbM~ <?. g~aB-fie y~miMiôTië), e~vbi<! ~~tM~i~e~ les T~SGes et tsfttfà de Be& opëra~MMs & toatë pëpëeïm~ (~~ ea fMt làr demaade' sô~f M stëg~ de la SûCîctê, à ~afis, 87, rueRic&etieu,soi<r aL Ftinde aesrep~ésûùtajits dâBgIe~dépâT'teïae~s.

t P~ PRFMt~RF~

LE o rRHw! t E n E

CëSoS)IÉ-s'R&t!<~EË. FreaiTerë'repfesëntiîtion (a. ce thê&tfë) ds ~d~-te'7 dtàme ;ea <ahq- SLctes (tmit taBÏeaSx)d'eM.Hetorie~S&r~ti, .Âpres un stage d&trenfe-deu&x ans, a~ boalë~ ;T<a'd, ? dï~e. de M~ Vie~bn~Sâ~da~~ la;~ëin~e~FraBçais€. H s~eacadr~Fa &u gramd repertôifë, crû; sa ptâe~ egt/ ma~ue~ p<K:r- y ï'e-' ppésenter un geDreuBipertsst d~nt le Cûaiparti~ m~ntestvide~otfspëuprës~luidùdram~ i'ti=. maBtique w à spectacle ?'. J'ajouts'cette 'dër'Btëre quâ~?6atida c<nnme nue indications so~conl~s~ Më'cn~<~e. Je tiens, .e~e~t,qae_c*est~~l là:üri: ge&MparHculiër qtiicômp&Fte là-'division par tableaux~.qQ'àgréaienïenf le Ïaie et les cûBcL-, biaaisûns de tïtis& en seëQ& qui n& font qu'a)0tifer à l'mtéTet. piifan-esque du spectacle. Je D'y-voi~ aucun inconyétrient pour ma.paitr, MeQaucontraire.Leth~âtreviv&Qtsurtc ut dévariété et d'opposition il me parait logique, à coté de la pièce suBpledarépeftoire classique, de réjouir les.yeax.dù pub}M de spectacles plus rfçbes, plus campliqués, chacun ~yaBt aiusi le loi' sir de choisir suivaat. soc goût e~ d'a!iër, a sa votoDté, celui-ci l'etttrat~ie.- L'essBittiël est que laGpmédien'accroeheelisoQ muséequedestoi-'les de valeur, et fc~e înérite vraimsht les hsBaeûFsd&IaeitMaise~ Ce dTâme, qtri est « décape et crêpée ?, se récïamë de l'écû le ro~astique:~ tien aie ? panache )), la prestance' et lea aMures grandiloquentes. II'est vh'i!, généreux, bieu&isanf~ de haute envolpë, intéressant Sans ses déductions ingénieu-. Be&, ou la atroQvàiUe.B se re'ncontre & chaque pas, et si ce n'est pas un chef-d'œuvre dans la pûrëacceptiondumot~ c'est dn moins, en son genre~nne des œuvrer les meilleures qui se soient produites au < boulevard Bdans la secoademoitié dn dix-neTJ~ieme siècte,Ceci dit, avec !es réserves que comporte la forme-–l~ecriture, si vons préférez la formule modern-styl– qui n'est que sufSsante, parfois même emphatique, et la faiblesse du postulat qui; &'appuie sur an caractère de-femme, plus ûdieux que nature, ~qu'on ne Bsarait-àoeepter sans eSort d'imagination, en reportant à de& Mines dë~raeeqTjinocsétonhent,. parc~qtis n<)ns~ Be les .eompt~nons plus, en notre teiaps de Câpituïa.tici'E itanaîe et de fosion aniverselle. CdnstafôTis~ d'ailleurs, qoele succës~e fcjMe gai .fat grand aa boulevard, n'a pas ét~moindre à la CeBïeaië-î'~aBcaise~ malgré des inégalités dans rensemble de .l'ititërpf&tàtion~ et quelqoea dê~failîances de mise en scène, dont nous parlerons tout & l'heure. Le drame a pin, surtout, pour la grandeur du souffle patriotique qni t'anime, ptfurïa~'nercsité de ses théories~ et t'en a saisi, ao passage, des alhfsi&ns auxquelles rantear ne songeait assurément pas il y a trente ans, mais ([ue l'actualité a rendues jribraotes. t~' <3ànsfaire,icï,une analyse détailléed'un drame q«e tous noua ConnaissoBSplu&ou-Bioins.iI n'est peut-êtrepas inutile d'en rappeler les grandes. lignes.caril y a environ quàtorzeansqn'itn'aété représenté sur-nne seëne û'ancaisë~ J'excepte' bien ëntendn l'Opéra, puisque deux. montures turent tirées du même sac~Ia pièce s'étant transformée, à l'qccasiont en librètto, et sous cette-forme, îLyant perdu, chemin faisant, son intérêt, dramatique.–Done~ c'est â.Bmxei!es,,que"sëpasse ;Tactib!idu<irametdanaIa6~eGoùde,tMitiédït sefxieme ,&iëcle:vers lSg3 –Fendant~l'occ ~d'es-flandres par l'armée espagnole, et. sous le pï'oc&nsulat ,du sombre duc. d'ÀIbe, gouvetnant ponrsqnpatroli'sinistrePhiUpp.eU. L.e premier acte, ;quieStt d'exposition,~ est un des~ plus beaux, des plus curieux et des plus mouvementés qn~I y ait au théâtre, le « conseil des troubles D, qui fut aurnommé le ?W6MMa~ {~MM~ y siège àlahalledesBoncbers, ~en.~a personne- des trois bandits, Noircarmes, del ïUo, et yargas, les bourreaux à toct Jaîpe du~ duc d'Albe, qui expédient, au ~pied levé~ les malheureux Flamands accusés de crimea imaginaires, les envoyant au gibet~ ao b&cher, ou à la fusillade, au milieu des hurlements des soldats ivres. Parmi les prisonniers soumis au. jugement sommaire de cette cour martiale sans pitié, deux se détachent en relief sur le fond sombre l'un, c'est le. marquis de La Tr4moîlle, le gentilhomme français, aimable, spirituel, impertinent, un peu bravache même, le rayon de lumière dans' la nuit~ le sourire dans les douleurs du drame., Celui-là~ on le relâche au plus vite; il représente une rançon de cent, mille écus, fort appréciable quand on a des mercenaires à payer. L'autre,. c'est le comte de Hysoor; un noble Flamand, accusé devoir quittela viBe pour aller conspirer avec Goillaume de Nassau:, prince d'Orange. Pourceini-la~ la corde est tendue, le gibet est prêt; d'ailleurs, iMaigne se. défendre à peine. Mais voici que le hasard intervient pour lui et, lësauvedncoIHer de chanvre.

Uncertàin~apitsine-RiBCon, qui~stsongarmsaire, et lo~e chez ici, déclare que le comte n'a pas quitte BruxeUes, comme on Fen accuse, et la preuve e~estq~e-:M-mêmë~: rentrant au~Iogis, un peu ivre, entune altercation'nocturne, dans~'es-~ calier aveccomte, qui sortait de la chambre de tà~comtesse, a telles enseighes que' celui-ci "s'est Nëssé &~a main en ïe désarmant et en lui arrà-. chant son ëpêë < Ave.z-.youaTeconnn le Gcmtte demande ùn'des jugea. –«Sans doute, lui seul 0 pouvait, à cette hem'ë~.sortir de la chambre de Ïa comtesse B réplique Rincon.. I~n~ument est Bans réplique.. Voilà dan'cHysoor relâché.. 11 fe~B.ercieie;ca.pitaine,sonhôte,du généreux mëneqnge, grâce auquel illuiàsaLUve Iavie:(tPointt --mt;l'autre;yous sa~ que rien. n est plus réel et que je n'ai point mentLtB Le coup de théâtreestsnperbe~ imprévu, saisissant; il est te point de départ de toute l'action dr~àtique. VoicidoncRysooreB possession d'un; secret terrible r sa femme est adultère,, il y a un homme quf à souillé son foyer, et ce Tniserable, il ne le Mhnaltra;pas,~arce que la c&mtesse gardera son Becret. La- jepmtess~, la- Jbelîe Dolores, jl'y met~' d'ailleurs~ pas tant de ~çon~ elle. n'ayoue. pas le compJice.il-est vrai, mais avoue cyniquement l'infamie. EHe déclare à RysooiCqu'elle le hait, et le motif de cette haine c~est qu'elle.est Espagnôle et lui Flamand! Haine de race alors? bien violente, et peu motivée c'est la,, nous l'avons ~it.Ië e ver B de la pomme– cette haine est [fautant moins logique~ que l'amant est lui aus~i an Flamand, Eactoo, Van de~Noùt, un ami du comte, presque son 61s' adôptif et, comme Ini, aspirant po,u~l&I~eFt&des Flandre Dolôres, qui a juré 1~ perte de son maF!~ le dé- nonce au;ducd~beepmmé~é~ dea chefa,

du:cpmB!jQt:dmË~ei~ ce~t~tut7t triême, >

~e~deY'ant.se~

~M~~p~é!Pë@~~S~~ `

j~t~mé~i~~d~m~ë h~a~ tît

S<<î& ~.d.~Ï~luï-I~~

est'ansst am d~; ch~ .c~ptrà'tiSs':

e~t'Ïg!Mr~.ee'q~ p~M pa

i; faK~smguH.e)! ~J~~ eïl~ ~eS~c&~L të~~

t.dF~Mra~eu~:m~i~opt~dr~ Mt'su' perE~sâi~s~te. le du~qBi-M B~d~b~~Bëa~'fIa f~ a~ pe~4:âénëBreëf'tcM~es -eûB~i~s~~f~s~ p~s, pau~s~ stff~de~ digBFët&E, l~fa~"eNfêrai~"a'ù p~~ !n'Ma!B~. aa~sn~ taMi~ qtt'tl se' préparera ~~SëB' Fî~~ufrëct~ avalai mem~ quelle a~-

c~e'

Ï~cbnjui~ s~e-s&~r'êaais à d~ -vt!~

q:ai<ï<~ê~ ?? .q~arHe~ géB~'sH,. aïa&r avanj

d~Ëg~sF ? csm'S~~ Rysodr s~dem~n~'atùn

r chef~t~~né que~ ~n~urai~pasp~ d~énergi~ d'âMEeur, d~ vouloir, it ~oTijUEe- ËaTl'ocr &e ~Begdl'e'~t~éntëBt~ son epée. ~A~ï'mi&iRen~ ott.Earloo étend 1~ mam, p<MH"Ia

~SM~f~-blessM~tou~ ~aâc~ -e~ ~sa-Q~Hï~

:-enc6rëy'~ en b~la~ la~âKm~devj~en~ paèt J~ eëBt&: .UTM': .Fev~atîoS suante' et ~rn~ c"~ ~EMî'M.qui ~st- ~aa~n~ die: ? comtesse, e'~ '.ce'ïà~aa'~sdt' de h!.mi!ëre~ti' n~ .peù~ d&utec t :;K~~s'6~teg~.p~a'~

epia~êf tBQp~ec 1s mM't, d~ sa; sta:in~Mai& ee'-

!'M~cl Mî~l~c, tl B~~ ? d~ra~ s~ëf~éptm a~5 dëfë!îs<6&~ laL patrie. Ea! n'a; e&eB~t€E SM~c~s~ Ï~vëSf,-6~ fef~CftMUX eB;.C6ï'ë'ïÏ y trouve' victoire et la- Ubér~ioa: de SoBpâys'.

Ma~s rhotët de~ ~in~ e~t' (~n~ Ïe dn& d~AH:)'& y ;pM)è~'ëa.'<!ec'se~{M'agûs, et foas lesc&eïësoat M~s prIsGimie~ Or,, t&iïtès ïnëstïi'ës, OTtt .~e t prises ponr a~rep dans un pie~ ? priQ.e& i d~Ora~ge et-san\aj'aîé&. T'Gui.dep6Bd d~aû: sigaa:! qoe~âcit do~iisec I~saxîMtH-Josas~ 8'N sonne fe < ea~~n de ~te; te'prince peR~tFer~.dahsI&vni~ sera fâi~ pTisotËBLi~r~ s'il sonitë le glas, il scre-

ttfëra. an CMUMdFe et P~mée derévatte sern!

sau-~és. G~and& est l'ac~iéte des F~aNnas,. dont la j~ie éëMs qcfatcd JOBafa s~onne l€ glas 6inebre,. =cjtii' est pa~rM-mêBfe signât de'in~rt, ca.r un sûHât ~pagsot abat d'uB Ctinp de moasqaet t'oËsKurh'êrGS~ïaartyr~ui vie&t de saiMeraHist 'ses&eres(î'àTHles,atipf&desa.vie.

Ce ei~ctieBM taMeM, tepoint culminait de la pîëcé, t'episod~ ds. somî~r, ënfEe autres!, bîeiiqû'T:l soït un peu de a:mo!'ale e~âëtifTH'. est pat&étique et touchant -–je' crains mente que î.'êTSotion n'ait aîorg atteint s'on.maxJEmum, et H es~ certain que. te dranle seterfntE6, <ï<~ë~H~tea-, trois dernieES .taj)îeai:m.n~ont ~pjaiS L'intensité de ceux qui précèdent. Hy s oor .qtït, avant" le suppEce suprême~~Tâëtrà soumis aux tortufes de la c question ?“ se îra-ppe; d'aa: ptdgoaFji que lui fait,passer secr&L temen~ïe marquis de La- TrênioSie, mais aTan~ d&mQui'm il con&~& Eaploo 1~ sdm de vengër-sa r aïort en frappant de .c& même poignard eeM qUt lesatraui~ Les. eoTïd~mnés marchent donc au suppïiee, ;pFécBdespSLr~dac d'Albëqui conduit lefmïëbreco~~e,. et passe, sans s'en douter devant Ta inaison ou oTi recum'Hi le ëdEps de sa. nlle adorée, la dou~eRafàena, qui Vient de mourir de saisi~s.&mcnt. –CetteSgureëpisodique~que nûas ne disons qu~ndiquer ici, estundes grands char-' mes de la pièce et l'un de ses eRets les. plus toachants.. C&pendani, Earloone tarde.pas à décoaTrif qu& le traître qui les a, trahis n'est autre que Dolorgs, et ators, se faisant justice, il lapoi~gaarde~ après quoi ilmonte au bûcher oùlivâ joindce ses compagnons d'armes, au; moment oa le feu s'aHume pouT Blourir avec eux t

Comme on le. peut voir par cette analyse, le drame est Tialent,Ltounu, mouvementé; il n'a pas tropvieiUi dans son allufe à,Ia Shakespeare~ s'il n'est-pa~ comme j-e le disais, un chef-d'œuvre au sens absolu, il est le chef-d'œuvre dans un genre ou nous avons si peu d'oeuvres solides et duraMes, car k! répertoire français compte bien peu de ff drames M de belle tenue, alors qu'il foisonne, au contraire, de mélodrames et de drames defàcCuEeque le temps emporte comme feuiUss mortes.

En dehors de la qualité d'impression quepouvait dpnnëyla-remise & fa scène de Pa~!e/ dans son ambiance nouvelle c'est-à-dire passant d'un ~thea.trede boulevard à ce théâtre-musées qu~est la. s Comédie B, ee~. qui était ~ntérBssaQt, c'était de;"vpË' ce~ que sepait la nouvelle interpretatMOL Or, ceHe~ct, bonne~dàns son ensemble, asauré~ment~ ainsi que le plus souvenE àJa Comédie, .n'a pas eu reclkt qu'on aurait pn espérer. Disons même que, d~une'maniere générale~ le drame a. été joué tentement et avec une sort~ d& modermsm.& doublé de. solennité qui lui fait perdreid~. sa couleur et d& son pittoresque. On dirait que la troupe~ trop habituée au répertoire d'actualité, est. dépaysée danaone piëee de style, c'est pour elle eomm& une exc&ptton, elle ne se retrouve pas, est on terfaia sur lequel elle s'avance d'un pas mal assuré.

MouBet-SuHy, qui a eu.comme ioujours~de beaux m&ments et de belles inspirations dans la personnage de Ryso~ n'a pas trouvé là un de ises meilleurs ~es. La ngure~ en eNët, est calme, sereine~ renêchie, résignée~ héroïque~ alors que le~comêdien est un violent ot un paasi&nné~ on dirait Hernani à qui on aurait distribué Ruy-Gomez.jun ténor chantant us baryton. Albert Lambert à-du charme dans Earloo Van d.eFNoot, c'est l'am&m'eux idéal, alors que,. comme chef de partisans, il manque un peu de carrure et d'autorité. Je ne voudrais faire aucune f cpmparaisan désobligeante, surtout vis-à-vis d'un artiste de ï'éeHeyale~r;qui,de jour en jourtaccuse des progres~ppFéciablës, mais il m'a "pa~Tt qu'il n'avait qu~un des-côt.és~du-persoBnage~ alors que ses prédécesseurs Francis- Berton e~ .~Marais avaient Tendu tes~euxjEstce~, celte de Famantet celle du patriote, ça "qui est, d'ailleurs, surtout question d'aptitude _physique et de moyens d'exécution.

Enrevanche~PaulMpunetest'undnçd'A.tbe: irréprochable, un,itPorbusBdeseendu. d& aoa cadre. Bien campée bien~<:ostmné, sinisfre, s&m- bre, fanatique, c~eat bien ainsi qu'on sa représente le Duc-Bourreau, comme on l'appelait dans les' Flandres. Férauây est simple, touchante d'héroïsme naïf dans le rôle légendaire du sonneur Jonas. J'aime moins Le Bàrgy dans La .TrêmoïUetOÙil me donne une impression de modernisme le rôle est sceptique~t le comédien n'a pas l'air d'y croire. Tous'Tes petits rôles, et ils sont légion, sont tenus à merveille; à citée, à côté de Laugier.LeitneretHameI.le trio des juges du tribunal dui sang, Raveiqui donne bonne aHure tBartiateau capitaine Rincbn, ngore d'honnête homme et da brave soldai en ce milieu de bandits mercenai.Bea.; Dolorès est un personnage dur, ingrat, souvent imprécis, Mlle Brandes s'y démène deson mîeox~ sans s'y rétrouver; elle a été drama-tiquë dans la scène terrible ayee le duc d'Albe, et aussi sincère que possible dans un personnage qui souvent l'est bien peu~maisinégals elmanquant de puissance. ,Qui donc, d'ailleurs, dans la troupe de la..Comédie, auratt pu jouer.cerQl& repute redoutable MileLecûsfs~esf charmante jusqu'au s&arire, touchante jusqTt'au~ lanmes .dans io séduisant petit rôle de dona/RaJaeIe, !a.ntle du dac~d'Albet 'ou sa voix. claire vous prend au cœur~ etMIIe Dalvair aL~~eaucoup ~d'e~et danà, ceim de. 'Sa~aï~ Mathisa~Ia ~mme 4u peupie~du premier acte. Je voudrais trouver la.rmïsë en scène admirable, pour n'être pas acc)is6;dë parti pris, ma consciences'yrefuse. Est-ce la faute du cadre? Jë.n& saurais dire, mais les décors m'ont paru de plantation banale,"poar !& plupart~ sans profondeur et médiacrement; peints;, il ;en est un, entre autres, pire encore, parcp qu'il est inutile~ c'est celui de > la. porté de Louvain, &vec son eSet de ~ga. Celui-là.a .l'aspect d'une boîte earréet sans~MCident~etje ne vois pas ~u peuvent se cacher 1~ conjurés. Si les patroi~iîles qui passent ne les aperçoivent pss~c'est qu'elles sont recrutées exclusivement chez les Quinze-Vingts, d'autant mieux que le décor s'éclaire d'un ciel bleu ~ur.quoiseà faire envie à la Côte d'azur. Et je me souvenais, maJgré moi, du décor à ciel sombre et tourmentée au se devinait la. lun& depriëfeles nuages, peint, jadis, pour ce tableau, par ce grand peintre qui s'appelait R.ùbé.

Par exemple, il y à' un compliment a faire àla~ C&médie: on a trou vêle moyen d'abréger le temps' des entr'açtes; ceux-ci sont rapides, la pièce se joue presque sans interruption, et l'intérêt y gagne singulièrement.. C'est un-grand progrès, il con vient de le signaler. c

Quant aux masses de uguration trop discrètes dans leurquantité, elles sont mornes, et ne a~agitànt guère. Les Espagnols sent calmes c&mm& des Flamanda. on dirait qu'ils en~ ont pris le: Segme~Qu. sont.les~Meihingen"?; o.ù sont-iis.~ n ya,~rne;1d~mcment&d'immobilite;.quir~~ pteMeat le musée. Grévin, ou la prêbccapàtMn~dè~ -rinstàntané. Puis, t&us ces braY~s gens ne sont

&Sœoë~

K~~ ~<et~;GM~.B~ trEM

~p< a~~`ai:~n~ ~c~~xn~6.esqi~i

.~e~ ~es~rq~c~itd~

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[ ~:er~&ut~jf~tNb~~ des~eïtoa.~ de~Mfii sième~g~lernes~do~tmé ~BtUMpëŒ~t l~mot

E: <~ ia~ sïtustnHi: f. <( &L <E6,. du tan~ Eo~

psisa~ l'hOtNm~ pëi~l~isto~e,

d~~EÎëme'sTSe~.jiattn~s d~ l~vi&) ~ëst

r ~u'edes~déguises~f~

s Soirée I~~SteSE~ L' ~TmE7 Pns'esTs~u'ventdelHande-p'ottrquoL M~ Sacdou- fës"~ semblait faa-t' à- BMMparte'et eh! a troc~ *!a:~ réponse;~

.dans s~Yic&iTesau~théâ~e..Cët& r~on~, en'u~ttô'u'~

?'n~UMP~M&-SëMptt]~

,-iFe~a~C't~~ J~~at~ hieï,<îe:fàe;onfB'MCtïs'

ble~da~.le~~udissës~.Théâtrë-F&ncaiS,. ~&avërs:

!es: a~u~s~es d~t~!ea:Utde fH6~è!'dcyK[e,/a!ërs,

<' ,~atq~~a\i~5:,d~ ~d~: fie Y~

f q.u.'ua.p~EG.&éj~ssant.a~i~i~ de'F~af~

tam:pe~l*ajEres.tado~des, c<mpités j~a&ahds~ ta~ttt

~quelle'aaHimey.m'e'ssëigSëttfs~ et quel en'trarn,- quelle LsST€.tade;cou.pd''(Bitet- qaeUe. tac~qae''t Eh~ vërité.je vous le dis,. C'est lai~i: dirigeait; tauf, rêgfas~ou~dbEtnai~ le mot d'ordre, ç~fmait les impatiences, ranimait les eoUMge& et met.tait le. ieu aux poudres. .Cb'ùtt Silence t~ Cac&ez-yoas,) Très bien:. Alte~ maintenant-JiApprê'tez-vous à charger J Coup de ctàr~fo~TËtIe.mbotfrt;Roû)ez~!e tambourt; Mais roulez :d~ncf C'est ça. !;Fett,t

Le ctaqae de racad~micien S'en a!!ait de travers avec des niiRes~ de peTit. chapeau et' te pardessus d'hiTer poiassi€Mt)X,c<ïuveftdep!~Faset d*éctaB5/avait des reËets de~d]tîg{H.<rgtis'c. B.a'vo~à bien, ta Tessembtance~ .iayoiHubiemL~ QtMadt M baisser du tideau, le due d'Atbe, veux dtK Paut. Mounet,, retitfa dans tes coulisses, t'àuteur s'av~n~a vers tai pour le ~iciter': · –Maisc'ës~âmoiàvûusJëtiiciter.Ët PaulMounet, c'est voa'e manŒuyr& habile qui a pris Jes conjures. Et U ajouta,, riant:

Kfoi~~vous.avou& que j'nêsitars encoie. Rysoor est apfês~ tout mon-frère

t Par Je sang~ et par te taJeat, fit Sardou, car il vient ~d~etre trè& beau dans lascëhe~ du pardon! O&est-H, qQ'QCtIe'tùi.dise?

Mats Ktounet~Sulîy se dérobait aux avalions. J

Pajcontte, voiet Mi)& Brandes déjà prête pourte Stxiênre taNea~eléga'sfe e[ 6ne dans sa'robe à rama-, ges eaipFUjatëe, diratt-on~ à une étoSe temps. On ~l'entoure et~m; lui fait fête. EUe remercie'par son sourire~ eat M.CIm-etie.et M.Sardou lui défendeatde partèr. –AhE&itM.CIaretie~QnpeufiafeHciter'etgraadement, càrc'est~ta.vaiUaMB même I-Pensez donc qu~'eJfe a. été malade, très malade,, et que c~est par un adfnirabfe' eËPort de volonté qu'eHeëst'tà.t'uttant. ~EtYamqu:aQl',fa~t'M.Ludo~ic~ La sc~Qc.a~té envahie par des artistes, des eërivatàs:, '~des'h~hmespoMquts, te tout-Paris des coulisses aux ~'grafid~s'pKm.ie'res, Et tes conTeEsations vont leur train,atenes er vivesr, tes propos se croisent dans. ie va-et-; vient des comédiens en costumes et des machinistes. ~ptantaM&grand'peineies décors.

Quelte joie pouTl'Œird'un peintre que ce campement, au~ premier acte, dans te marché de t& VieilteBoucherie t.

–Avez-vous vu silhouette bien Samande de Féraudy dans; le câte du. sonneur f'

–J'aime moins. le eiairon Coitadiila. n titube trop, a .mon gré.

Vous etes~ bon, vous S'i[ est. ivre ) 1~

Par exemptOt au deuxième acte, t'entrée de Brandés sous la mante d& soie noire est une trouvaille. –C'est senora, en eR'et, très senora, jet c'est charmant-

Sardou a voir ça en Espagne.

11 n'y est jamais' aité~

Mais si f

Mais non ) f Atbert Lambert fait un K.adoo saperbe~ ~a~yom A comme an dit là-bas.

Le rappelez-vous dans Saint-Mégrin

–-Toujours le < beau j'une hommes, avecl'expérienee en plus. Il sera très bien au dernier acte, vous verrez.

–Brandcs sera aussi très bien.

Brandé? est sur te point de mettre dans le~ mHte Dame) c'est uncoupdécisif pour elle. On dit que c'est Sardou qui t'a choisie. Par exemple, elle teur a fait une peur itvec sa grippe)'

–ir n'aurait pius manqué que ça)

Aprè& l'incendie et tes trente-six Têtards de t'maugur.ationi 1 –EnnUt voici, la. Comédie redevenue ene-mêmé. –Avec un beau-drame de ptus au répertoire. Quel .dommage qu'om ait;entevéTa-scéne de ia patrouH)ej6n- fouie dans la neigea Les tréteaux de Mohéte- ne se prêtent pas, paraîtil, à ce? pratiques. Mars nou~n'av&ns pas momsTU le tableau de ta neige~ qui est d'un effet saisissant. Le peintre X.reveBn d'Amérique,, fait:

Moi, ee qu~ m'a te plus impressionné, c'est le cabinet du ducd'Atbe. Quel lever de rideau sur cet in- térieur rouge sombre,, comme tachÉ de sang t C'est sinistre et magniSque.

Et cette mise en scène t Le due d'AJbe songeant au coin du feu, pendant que ses acolytes~ rédigent des rapports de bourreaux.

Ce Faut Momiel~ un Velasquez t

–Et son frère, un Fran~ Hatst

Ni Velasquez, ni Hais, ~ar~ou p<t!f.

Et la petite Leconte 1

–Un charme, comme toujours.

Le tact, la voix juste et le bien dire. Avec ça, on va au bout dn monde.

–Etdu'succést

Mai~voiciM. Le Bargy qui. passe dans son costume blanc et or, spirituel, pimpatit et grand seigneur. Les La TrémoMe étaient don& marquis en ce temps-là. F Le SI? atn&d'un dac est marquis, mon cher. Et îe La TrémoïUe de Pafrt'e est. Ëts de son. père. Mais le décor va être prêt. P~· Messieurs, on commence t

Brouhaha, brante-bas~ brmts de voix qui s'éloignent. L~ scène se vide. Et je vais- assister à l'acte dans ta .saite.. Uoe vraie salle de premiàre. Tou& les habitué& de la ~JSomédie-Frànçaise au grand complet. Dans ta loge pré.sidentiette. M., Loubet.. Dans une baignoire, Mme et. MfIë.Ssrdou.. L'aets le sixisme tableau– se déroute faroncBe, poignante pousse au, paroxysme parle serment: que. Karfod, Hbre, fait à Rysoor de tuer l'être infâme qui tes a trahis. La toile tombe. On croit à Hn eatr'acte. Pas du tout. Les trois, coups retentissent. Le drame se pour- suivra, ininterrompu jusqu'au dénouement. Maintenant c'est la place oa vont; passer~tes condamnés en marche. poujr te supplice. Et le cortège arrive et denté, grave, lent, terrible. On ne pense même pas à applaudir l'ordonnance magnifique du spectable pris par cette scène muette, si étroitement liée avec la pièce qu'elle en parait te développement pictural, logique et nécessaire. Le drame court a son dénouement. La toi)e ne tombe que pour~e relever sur l'intérieur de Rysoor où va se jouer la scène Snaie, la. scène émouvante entre Dolorès et Kartoo. Elle jaillit, éclate, se poursuit, délirante, éperdue, étreiot les spectateurs et les jette dans une angoisse qui ne prend nn qo'à tachute du rideau, au mot suprême de Kartoo

–Bourreau, tu n'as pas ton compte, p)ace à ton bûcher,, place pour moH

H ne l'aura. pa& de si tôt, sa place 1 fait mon voisin, un pseudo-sceptique qui tient à me fournir mon mot de la. nn~

Et gracieux-et bête

–Les places de faveur, sont suspendues avec une pièce comme ceUe-Iâ.~

Ange Caldamar

R,€3S.IPLlS~~L.T.PIVER,Pa~. P SMtri p n~! o~ n o pto p ta c lE:

uB[tfii)!M

.~G&MU:

A°l'Am)n'u;â'8h:-i iemière représentation '(11::

A'l*Amttîgu,à8K.i/2,'première représentation~

ce théâtre) d&r J! BMM: <h*pAe~Mtes, drame en cmq acios et hoit titbIeaux~d'A.D'EnneryetM. Cormon, avec la dfstriïm.tton suivante:

Pierre ~tM. Henri KraMa'

Ix~heT~ierdeYaRdrey Latoche PiMir~ Modot

LecpmtedaLudérëa ~.R~Mt

Jacques IjassaJIe

L~dOEtem' Liezer t .Marquis de Presles Gsrvaja LaBeTt Ch. Hemery Martin R. Lagramge Marajst YaUot

Un servent Picard

Prëmie~hom)~& -.P&nlGaadol

Deajuëaténoinme Fa.vey'

UnTaIet Grange;

D<MàHly t. BsLCfptë.

D'Eatnes 'Dessoude!x.

Ijt FtoehMd MmLe~HoBQrHi&

Henrtett& ~.Pa<ite.Màrsa

Ita.MBtfesse de LnuèKt. Doriis Mim¡a

RoniM GeorgetteLayer Marianme~ Bajchier Sœur<&Bevieve Reine Roy FIorett~ CecHeBa.rré J)i!ie Madel. trra.ndjetn. Majc&&~dedoplaiatr9 .'M. Scott Marchande de poissons VaUot –Au Gymnase, & 9 lienrea très: précises, t~petition générale de: ~ësAt~MK~ ~e &M! comédie en troia

.actes de M. Romain Cqolus.

-A rOpsEa-Goattque, ~ji~Qùrd'hui à. une heure, ;ma.-

tinee'es,tra<)j'dinaire;au bene&ce da~Mme fanny'Ge-.

''nat~ 'i'

;Au 'prograBiBM

i" F&~eH et J3a~<teM~e< opera-conlique en nn acte, t

B': ~~i~ e~' ds e~ttiYëE-varârs

p tMi~pt~a~~z~Je~~e par ?? Eyreams,- MM

~e~&oa~B'eHi'omm' c~p.,<iu~t' "par M: Gus

2~'D6.u&i~mc acte?de'QMM~ coniuit par M. Gus

tâve'CcaTpea.tiNF,- ornante pgt~ ??'?' G~rdën,. Dn-u mon' d'&Craponïi~ CheVaRer, Delo~-n~ Argana~ Vaittan~T~ic~el~p'ctï-ët, Ga.teia.-MN. LMnBeyfe, Ca~

Boane, .Def~ôy~.Yï&aiJj~ RatMier~ Viaanenc, H'uBBt-

'dea)ï,:Dé~a.uM ;? ~a (?: }}t~ jouée par Mme Bartët et M'. ~B&p!~aêtDe~3~.

4<' La Variation; de ~o7t~M~'t et 1~ ~K~o~e~ danséM pae ËJïes Hirschjetlx&rt.

5a ~orù' M<lfî~; jtIusÍq\l~ dé' )! Gastci1ï

? Le. ~om?K~ë..musique de M. Gaston

~LeHtaire.~condai~parl~aùteur. ~'PrëB~Tëfe-reppéëe~taiioB, des Dam.s&s ~OKMM~t~.Q'~e~ ds;M. WiMam~MaH~}~ Mes:'Louise et BI~che: Naate, accompa~iées psr l'auteur. ~Lcs-)~ ~'o~tg~7~ iaterpràtés par Xf. Co~elm~Gade~de~~la.G&nMd'te-Francaise BIanf che et Louise. Miantej.dSa l'Opéra; Mlles GuiraudoN, <îe;Crâppnnc, M.Jeah Péricr~ de l'Opéra-ComiqUC; Mm~Anaa, Ju'iic~imon-S&a.r~ LavaIEëre, MM". i <~s VairMfos~ N~ VâathKF et MI~ ~E~~eB.~ouv~au~s'.m~Q~

'P.

.A la CaTaBdië-Fl'aatsisë~il est probable qu'on -va

mettre; lace&~amment en.répétitMins pour fornî~

:'SP.eBtaGle,.deuT~piecosén'd<eux ac~ea, ea prose, l'use

f~niplitè;par~M.. lrnul Hé~vieù l'$nti 'ptose,. rune

f~~Ke, par'M. Paul Hervieu, l'autre ~es D~M*

fa~~s, par M. Gnstavë~Guiches.

L'Ôpëra-Comique reprenidra, aptëa-d~atain, ienidi~ en m~nî~e.Ies A~OM'eM.p <Z& Ca;</Mt*t7M, un ~efît s acte ttre~d'unaBouveÙc il'Ërckma.nn-Ghatrfan, par Jules Barbier, et mis en nHMique par M. Henrr Marectia. Cet acte précédera an programme la joyeuse .Ba~oc/te, de MXf. AH)ërt Carre et André Messa~R En voici la distribution nouvelle, HemdckWalter tIM. Gazenenv~ Rebatock j'acqnin

Catherine Eeemig MmeDeCr~pem~e Salonte Che~diM Les AtMOM~~M~; ~ëC~e~~e furent donnés~ pour I& première fois, le 8 mai 1~76, à l'ancienne salie Fâirart, que M. Emile PeErin dirigeait alors interimairoment, au lieu et place de M. CamiUe Du Locle. Le rôle de Catherine fut crée par MlIe~Chapuy, qui venait de créer la Bau~& d~PAt~ntOMet Bs~c~ < après la Micaëla de CafMM~ et devait quelques semaines après quitter le the&tre pour ae marier. L~ personnage d'Heinrick fut crée par te~ ténor Nicot~ uëcedè il y a quelques années, et lea deux autres rôles par M\ Thierry et Mme Decroix. La centième tepresentation des ~AMOM~'eu.~ <~e Ca~tKe, qui compteront bientôt vingt-cinq années d~existence.fut donnée à l'0péra-<!bmique/ alors au Théâtre SarahBernhardt de la place du ChStelet, dans le courant de l'année 1890. Bs aurout réintégré après-demain le domicile de leur création.

Sur la prière d~un grand nombre de personnes qui n'avaient pu trouver place aux deux précédentes séances de .Po~e e~ ??n~~Me, l'Odèon redonnera, ce délicat «cuiq heures B samedi prochain.

M.. Thbbia: dirigera de nouveau'sonhrillant.petit orchc'Rtre.

M. Noblet, ne faisant pas partie dn apectaele actuel uës Variétés et ne devant pas jouer dans la VetKe, la nouvenepièce de M. Capus en cours do répétitions, a. résilie à l'amiable l'engagement qui le liait à ce théâtre.

Ajoutons quil est entendu entre M. Rernand Samuel et M.Noblet que cet excellent artiste créera l'hiver prochain sur la scène des Variétés le principal rôle d'mre pièce nouvelle de M. Alexandre Bisson. .Po~'e~'eatHn~e, la comédie de MM. Xanrof et Michel Carré, dont le succès a été constate parla critique~ continue, à l'Athénée, sa bhUante et fructueuse cai'ri.ère, et sera donnée jeudi en matinée a l'occasion de la mi-carême.

Au.Chaielet, ce soir, centiè.me représentation du .Pe~ C/Mpe~o~ t'ouïe.

Les thé&tres populaires ont vécu.

L'Opéra-Populaire et la Comédie-Populaire ont fermé leurs portes Mer soir.

Dimanche prochain, au théâtre du Chatelet, M. Colonne donnera une audition supplémentaire (quatrième et dernière) du ~ZM~< de Schumann. De Monte-Carlo

Le théâtre de Monte-Carlo donnera~ les jeudi 14, samedi 16, mardi 19 et jeudi 81 mars, quatre représentations de la Dam~sMoM <Z6 .P*<MM<, d'Hector Berlioz, adaptée à la scène par M. Raoul Gunsbourg, avec.la .distribution suivante MarguBrite~Mme.Rose Caron; ~aust~ M.~Alvarez; Mêphistophélès,. M. Renaud; Brander, M. BIancard; premier buveur, M.Hitt.omans'; deuxième buveur, M. Baudhuin; troisième. *buMur/;M. Queyia; premier'sylphe, Mlle Durville; 'deuxième .sylphe, MUeLeroy; une voix. Mile Ellen; un ange,' ;MUe Nady. Ballot aénen par M. Heidenteich, décors nouveaux de M. Kranich, chef d'orchestre M. LéonJehin.

La Sdciéts musicale de Tournai a donné dimanche son grand concert annuel, consacré à des œuvres de Massenet~ ,La2'e?t'ejproMtMe, qui ouvrait le concert, a été chaleureusement accueillie. Au programme nguraient également l'ouverture et deux fragments du .Bot de ~Ao~e.

A son entrée a la HaIle-aux-Draps, ou sa donnait le coucert, M~. Massenet a été salué par nne fanfare de l'orchestre~

De Pau:

La reprise do 'S'a'pAo avec Mlle Demours et M. Leprestre a obtenu au palais d'Hiver un immense succès. Vendredi a eu.lieu le concert classique consacré aux œuvresThéodore Duboia. Le maître éminenta.remplaeé M. Brunel au* pupitre pour l'exécution de l'air d'Aben-Hamet, chaoté par Max Bouvet, et pour deux pièces « en forme canonique. Samedi ZoAtKc avec Mme Mérey.

La Belgique et la vIJUe d'Anvers ont fait hier & Péter Benoît, le grand musicien flamand, des funérailles quasi royales. Toute la population de la métropole et tout !e mondé artistique a*y trouvait. Au Conservatoire Samand, était déposé le corps, sept discours ont été prononcés. D'autres discours ont été prononcés au cimetière. La levée du .corps afeu lieu a' onze heures. Toutes les société anversoises de quelque importance ont pris part, avec leurs bannières, au cortège funèbre. Le conseil municipal de Harlebeke~ le vulage natal de Benoît assistait en corps aux obsèques. g tal 'A l'église 100 musiciens ont exécuté l'un des chants Titurgiquos du maître.

Au 'Cimetière, les assistants déniant devant la tombe n'ont pas jeté sur cercueil la tràditionnella pelletée de terre, mais bien des petits bouquets d'immortelles distribués par le syndicat d'<s fleuristes ahversois, qui avait décidé do rendre cet hommage à la mémoire du compositeur national. DoM<mich:

M. Siegfried Wagner, fatigué des nombreux ajournements que l'intendance des théâtres de la Cour a fait subir a son nouvel opéra, .Ber~ 'mM/<ïM~, vient de partir pour Bayreuth.

M. Siegfried? Wagner, maigre le traita qui la lie vis-à-vîs de l'intendance du Hoftheater, fera représenter Bë~o~ WïM/sM~ à Leipzig.

La première aura liau le 20 mars.

On annonce de Vienne que le célèbre chef d'orchestre Edouard Strauss~ blessé au bras droit dans l'accident du chemin de fer do Pittsburg (Pennsylvanie)~ été obUgé de renoncer a l'art musical, en conséquence de cet accident. D s également démissionné d& sa charge de directeur de l'orchestre de la Cour, qu'il occupait depuis trente ans.

SPECTACLES DIVERS v

Lemoindre des numéros qui constituent le programme actuel des .Folies-Bergère est une attraction de premier ordre. A côté de ~VajM~t, cet incomparable ballet, voici 'Emile .Gautier et son terrible travail equestr~sur une tab~e aér;enn~ voici GMIett et ses chiens artistes, les Papillons électriques, Lyg~e dans sesjeproductions vivantes ,des oeuvres d'A. Mucha~. eties~gymnastés I)elmdre et Lee,et les acrobates arabes Ibrahim, et l'athlète herculien Mirano, et les Guitanos,, et .les cvues inédites de l'Américan Biograph qm,.font''du.:spectac!o dos FoUes-Bergèro le divertissement le plus merveilleux.. À la;Bo~inière~ aujourd'hui, à trois hautes, causerie dé~. L.-Ch. Battaille, sur les yieiliM chansons vendéennes, chantées par MUe Alice Bonheur et M~ L.-Ch. Battaille.

A~quatre heures et demie, le professeur Balsamo avec le concours de Mme de Maguelonre. Voici le programme du- troisième bal masque de c rOpéra, qui aura heu après-demain ,jeudi/ mi-careme :~)%vërhire des portes à minmi à une heure, mascarade carnavalesque des pierrots, pierrettes, arlequins, eolomhînes.L etc., jMéeédês de la fanfare des gendarmes de Périinpinpia a une. heure et demie, dans la grande saUë.pEemière audition de la .MsT'e~o~eMca~c, de Louis Gànne, pour orchestre et fanfare (150 exécutants) sous la direction de MM. Louis Ganne et Artus, à trois heures, grauSe faran-

dole.

-Une nouvelle scène vient d'être ajoutée à revue de l'Eldorado A~M CM !a /<M'Mte? Elle~st pleine d~actualitê, car c'est un scandale dans la salle à propos de la reine des reines et ce scandale est si bien amené, courant les galeries supérieures jusqu'aux fauteuils, que le public x'y~laisse~ prendre -et qu'il a fallu hief t'intërvpnûon~raelle :de~réels agents-pour\

calmer un réel tumulte.c'est ùn'~bon quart d'heure

Bipasser. Lès frères Isola ont engage à TÔlym~ia un; numéro v

it<îCPfHMM'ij~'[t[m. en France, Iea,« SËeaÏŒr.nttï~~

za~aâ~e~ a~Be~ca.m~snt. !? e~etttiEcei~ m~tretBesx

t t~.fa&t~~aàtiiaK âaaa- Km~es Bs-vi~t ou S~d~ -psrss~. ~ÉttT. ~OMTRtE~

NHnaBdh~~ernMr, BaUsjd'AnËn~ matiaêe~conMtt. <n ;pront<îë:IftEctradJ~.la.pMBa!'éFanco- des~j~unes. BIÏea de~ Sàin&Oaai~ orgamisee par Mlles GaigBiere.. ïndepend~Htniettrde:M.MoQhet-S'u~~qmaTa3tbMaL~oa~ ptMersdh Mnc<M~ on' a c6ef6aMasMMB't apMaudî MB~s- Ma~eMnoGoda:r~:Ja'Iis.MaiIet,GaigniëM, MM.. Gaatan- FaaÎTZ, 'HenryT(ossi,et<i.

–Ondëa~endedBjcmne~èt jji~M f~nmet a, ta Scatit po~ petits foies .et.ehoristes. S'adresser à M. Saittt-Lot, :t6gi~a<B''génMa],dedenxaqnab'&h&t0'es-.

.G't~md'snccè3,.hKr~p<Ma'TMleEsth6r)''ee,aLla)SeBietg des enfante d'Apolton. La leun~ et raviasa&te, violoBistè a L tess eoas te~eaafme; de son talent. le pubS~ d'artistes- et de ~cbnNaiss&ursc~ilniafa~ume.voritaNeoYa~on, –Au Collège d'esthétique moderBe,, 1?, rae deLa.Bocheîoucautdt on~anNomeB pomie mMdi.l2mafs,,huit asuras et dénué,! une conférence snf la. Ylea~entariêr~ et Mnttmea.tale de Paul Verlaine T. dams laquelle. M. Albest Flëury.t~Mer~ les vagabondages Mroïqaet' et fomaaes;.qaes;dti'jg~an<î'pbetemaudit.

'La~deMiérej matinée Berny'. can&acreeaaï oeuvres de~

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Les courses! commenceront à deux heures. NOTES

Oa peut voir daas lu prix. da Ponthieu Petit onAdheaame.

L'écurie de M. LiélOtart est fortement représantëe dajis le prix dé la: Somme; s<Mi plus sérieux: adTeraaira sera Mont Saint-J'ean. B DaQS:lé prix de la~Canche, noua désign&n& Billet Doux et Rêve.

Artesia a la meiHeurë chamice dans le pFïx du Boulonnais; après eIîe,HymQis.

Le préféré de M. Liënart est encore ~en bonne position dansfie prix de la Picardie.

Dans lé prix daPas-de~Galais, nous voyou?, en l'abs&nce d'Artesia~ Mauricette et Robespierre. N~p~mM~M: `

PrixduPonthiea.–Pe<t<.

Prix de la Somme.–P~/c/Zt°M<:f<.

PrixdeI~.Cànche. Ftt~DoMa*.

Prix du Boaloanais. AftMMt.

Prix do la Picardie. ~'o/~)'c Z~Mt*f<

.Prix du Pas-de-Calais. AfaMrtceMe.

COURSES A SAÏNT-OUEN

ZM~t ~.t ~af~ ~SOjf

(Résultats)

La pitiie et la neige fondue n'ont pas fait trêve pendant toute la réunion, tes pistes étaient devenues excessivement lourdes à la un de la journée.

Dans le prix de FOrne, le vieux Lbéris est venu battre le favori Blue Bag sur le poteau. Spécial était tombé à la rivière et Escargot s'était dérobé des le départ..

Suivant nos prévisions, RamuntcaolII, qui avait une excellente course à son actif à Enghien, à mené de bout en bout dans le prix de la Manche. Blue Devil s'était.attaché à lui pendant le premier tour, mais il reprenait l'avance en face les tribunes et n'était plus rejoint. Bienvenu H a fait des débuts trëa honorable?. Lamentia~ q<ii n'avait pas répara, en puLlic après plusieurs brillantssuccès, a fait le jeu dans le prix du: Pays de Caux mais, au château, le cheval de M. Liênart rétrogradait comme un àni- mal à court de condition l~dëtte, qui était ea quene, traversait tout le peloton et gagnait nette- ment sur Chouan.

Réflexible n'avait pas grand~chose a battre dans le prix de Barneur, elle l'a fait très facilement du ) reste. Ettsapia,n'a pas beaucoup pronté cet hiver, et lorsque Mécréant se sera. un peu assagi, pou-rra réussir dans cette nouvelle carrière. L'arrivée du prixVaucouIeurs a. ét&biendispu- tée. Le Titien et Monjaret ont uni presque ensemble, IbraJiim était tombé à la rivière, et < Couesdon ne paraît pas s'entendre avec Mànn& ] aussi bien qu'avec Reeves.. Pic n'a battu Magali que d'une tête dans le han- dicap, cette dernière a été un peu gênée pour j faire son enbrt Ruai. n>STStrs DËTAILS

Prixdal'Orno (BtecpIe-chMe, à Tendre– 3,003 francs, 3,600 mètres)

Lhéns. à M Goût, 8/1 (Nix). 1, Blae Bag, 9/4 (CoHier), 2, Frëgate. 14/1 (CampbeII), 3. < < t Non pl&eëe Gitane, Hector, Marilka, Cinname, Nie- mon H; Escargot, dérobé; Spécial, tombé. Gagne d'une longuetu- et demie, 1& troisième à dix longmenra.

Fari mntael l", 67 fr. 60 et 32 fr. 50 placé; Z', 18 fr.; s O't24fr.6p.

Pht de la Manche (eourae de haies –3~000 îrancs, 3,800. mètres~: Ramtmtchoin.aM. DaBgtes/5/3 (T.Brown), JnHetta, 7/4 (Boon), 3; Ivresse; 3/1 {A.. JohnEonJ, &. Non placés Bienvenu. H, Gabr~eUe (tombée}, Revelvne. Veater Bine Devil. c Gagn6 de quatre tonguanra ts troMiéme & cinq lomgneara.

Pari mutnel l". 84 fr. 50 et 12 fr. 60 place Z', 13 tr.M 3', la ff. 50. Prix da. Paya do Cam (steeple'chase 4,000 francs,3,40t)metres):

Fadette. a-~camtode La. BontetiAre, 4/1 (A. Manns), 1 Chonan, 4/1 <BMhford). i; Normania, 10/1 (.Wright), 2. Non places Niger UI, Lamentm, JEarapaite.

Gagne de trois quarts de longueur le troisième à trois K longnears. g h

Pari mntael l", 61 fr. et 30 tr. plaoë~ S*, 30 fr. 5C. Prtt de BarBenr (courEes de haies 4,000 francs, 3.100tnètres): RéQexible, 4/a (A. Flint), à M. Dodge, 1 Mécréant, 10/1 (Bashf')rd),3~Ensapit3/l(EUissont,3.; S: Non ptace Kalmta. L Gagne de'dix longaeura le troisième & trois longMnr?. ) Parimatael:l".22fr.etl4fr.60piacë;a',27fr. Prix de Vaucouteurs (steeple-chase handicap –10,000 francs et 1,000 francs il'eieTeuj, 4.000 mètres): p tsLe Titien, 7/1. an comte E. do Gtormont-Tonnerre (Brooks), Monjaret, 3/1 (Wright), 3 .Alligator, 12/1 L (A.Ftint),3.

Non places: CoMEdon, Inrahim, tombe SonYenir Impérial. Jupiter. Gagne- d nnë encolore le troisième à trois longueurs. P Pari mutnel l". 83 fr. et 30 fr. placé 2', 30 fr. 50. Prix de l'Eure (course do haies, handicap 4,000 francs. 3,~00mëtres): G Fie, à M. Desbons, 5/3 (Collier), 1, Magali. 6/1 (Johnson), S Gaufridi. 7/1, (F; Morris~. 3.

Non places Médée (tombée), Jturval, Scotch Hawk, Fe- -? nouil, ChiSonnette.

Gagné d'une tête le troisième & six longueurs. Pari mutuel l", 29 fr, et 13 fr. placé; 3'. M fr.; 3', G

21 fr. 50.

NOUVELLES SPORTrVBS f;A partir de M jour, le droit de prisée dans les rentes amxeneMresdoIaSoeietéd'Encoùragementseifade 6JO/0 p pour les~prapriétaires Tachetant leurs cheTaux et<k 8 fr. BOt pour ie& autres acheteurs.

Floridor a été acheté par M. Dousdebas à M. Dervillë. M Les demièKa naissancea an haras de Mon~eroalt ont été Rhodope, nn poutainpar Wiseman Thé Warran. une poutichepar~ilcock Rainbow, une poniiche par EntërpriM Galler~ une pouliche par Saint-Serf.

Les doux journées de Murses a Cannes ont en un imjnjense succès qui fait bien présager pour l'avenu' de ce nouTei'hippodrome. Parmi les derméras HiscHptions-_àla.venteda samedi 23 mars au TattersaII (porte MaiHot), signalons: Yarsoviana (par Saraband et une *&lle de SpringEetd), Protéc; Royal Crav&te.Moissac, Fresnil, Sander, Mélomane (par Ragent), Anreol.Etemej/Isbah, Magali, et un certain nombre de hacks.

Fontangy

ï'om'KCM tM~ta;!OKa~ ~e Na~a ~c Jfo?t<e-Csy~c Ainsi qua nous ravona pracêdemment aRnoneé. le tournoi de M~ s'est ouvert dormis quelques joura.

''Voici les Tésultats dala première épreuve; 1 Vainqueurs

MM.

Adier contre Tchigorine.

MarcocontroScHeeMer.

Mieses contre vonScheve.

Wina wer contre Yanowski.

WaisscontreAlapin.

.Henig;coNtre Blaekburae.

LentzoonireMason.

MashaU<hntreCrnusb.erg.

~s~

MBZtBtM~ « BMtMtaOt t) M!~ VMt!mDiTtU.MFMtM6t<t. SNVOt.t~tMtoec'ÈoM~N~tt.LoiMe~ .j

TIR ~ŒJPEGa~]~,X<M.TR~~

~T'cinqtu'tnr8 ont pria partie prix daGap-Sam~

première et detm~M~plaMBr cattaffeea MAra-MNL ~Mtonjet Eer, 5~ ~~{eoi~~ë~e~ ~<S.M~6/7j "j,

-Ajïh'e<n&)tlea gaS&ë6s pM MM,Ho.hcaTge,raalÏi:m)tc[~'

'.AM~emBrake.H.BM~r~P&uIDemonts.WàtE~n. Metotiedi 13 mars~ ptis dM ~se~ piaa~i:â~.

ESefMMë

La mtti.hé~ dar. tg~enfdis&tMio eut pi~t de rttmLoh'&t~ Feï&mM de fraHc~ Mur !:M~Mse~d);6ipe'da.)< CMne, m&tmësotg~mit&} par le JtMu'n&~tS~c}- ~)~' fttiM. s&na le patMmage de la:soctët)S J~a: Sa~ë, eotnî~B:.

cei'& ~ajbuid'titu â~hcùrea. a& Nou/vëMi Cu'cnn:.

~Ler-cb&v~iMPitnd~s'yK&ecB~~&fc~e<C!M~ ttK)n'6e!geDesmedt.. 1=6 ïi'y aama d'antres'assàuts de cËouc, an Bettret~ l'ét~ et an'sabre, thème a&E&tn'e achevât. En mtEfq~ do ~rd6 ropnMit~mt doit Se fa~' Mtt!)~

dMpj!ndaBt<6tME6aHC&.

L'aesânt deM<~ Mer sou', an NonT~an-ThéâtM, a.aMeMt) nainf succès.

neiaitjpreaidê par te coiKta de ~'AngIe-Reanman~tu'

MSts _Mtro., Don Ca!loS..PÉnegra):, ancren.. p~si:deM.. d!

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PROGRAMME DES SPECTACLES. DU MARDI 13 MA.BS t9M

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Mercredi 13 Astarto.

Jeudi 14 Bal mtaqtn;.

Vendredi 15: r Lohengrin.

Samed! 16 Aida. .(

COMËDIE-FRANÇAJSE, 8 h. B/B. Patrie t'

Jeudi 14. samedi 16 Patrie ) I Mcrcradi 1& FKmciUon.

Vendredi 15: Le Gendre de M. Poirier.

OPËRA-CO~UQUE, 8 h. 1/S. Orphea. Mercredi 13. samedi 16 Mu-cUle. Jeudi 14 Mignon.

Vendredi 15 Lu FiUe de Tabariit.

ODËON. 8 h. 1/4, GtiAfeau lustoriquë. GYMNASJ< e h. ~/r Potache. 4 VAUDEVILLE, 8 h. 3/4. La Robe Rouge. NOUVEAUTES (Tcléph. 103.51}, 8 h. 1/2. Ce ther Docteur. Le Coup da Fauet.

VARIËTËS. 8 h. S/4. Vive l'armée r Le PMmiM Mari de Fr~nee.

PORTE-SAINT-MARTÎ!!f. Rellcbl~ CHATJELET, 8&. 1/3. 1~ fetît Chaperatt Ihmge.~ PALABS-BOYAL, 9 h. */B. M'Amour.. &THËNEE, 8 h. 1/2. Et aprÈs ? Pour ëtra iumee. J THEATRE DE LA RENAISSA.KGE, 8 N. t/4. Le Coup de soleiL La Liseron.

GAITË. 8 t. 1/2. La Mascotfe. BO UFFES-PARISIENS, Sil. 1/3.– Les Tra.yam d'aeMt~ THRATRE-ANTOINE. 8 h. 1/4. Ija CliNtt. BMMact. Les Remplaçantes.

AMBIGU-COMIQUE. S h. 1/3. –'LesDeM OrpMhte~ CLUNY, 8 h. 1/ CtmbrMeiMSt La. R)QNtUi! P<m~ Biquet

TEËATRE DËJAZEI, 8 h. 1/8. Le HomM~. La plus heureux des trois.

SPECTACLES DIVERS

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.<:I1 ëst~nterdit de jouer dans jes-lliMix publics :6u ouverts ~up~b~c et d'y pari~Làl'occM~ dés`j jeux qui s'y font, lorsque l'enjeu ou le: pari' est apparent~ôu notoiremejit connu et que son importance décëlë la poursuite d'un but de lucre plutôt que. de délassement. n

Ainsi doue la police aura le droit de s'immiscer dans la vie privée des citoyens, de juger si le

jëa entre amis a pour but le lucre bu la délasse-

ment ? Et comment fera-t-elle, je-vous prie ? Elle devra,donç,connaltre la fortune de chacun, car un millionnaire pourra plus iacilement risquer millefrancs~uecertàins bourgeois cent sous! 1 Oh a voulu empêcher l'exploitation du jeu, ee qui est raisonnable;yoil& qu'on va jusqu'à indiquer &uxgens quelle doit être leur conduite vis-à-via les uns des autres ta L'excès en tout est un défaut)) n'est pas qu'un couplet d'opérette.

I~lutteàu sujet de laloi sur le~sjeu~ es: trks vive à cause des intérêts qu'elle attaque. Le Sénat avait admis les cercles d'Ostende et de Spa;la. Chambre, plus rigoriste, a décrété leur fermeture at avec elle frappe d'un coup terrible, sinonmbrtëT, cesdëux stàtionabalneàirës et mondai-

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']âux;peres,.cpjdscnts. t. /~J/

i' ,pn parle :'bien 'd'indemniser ~p.a et ~O~tende, j

majs c'~st ,là <hose impossible, il faudràit~trop d'argent,~beaucoup trop. Une commiss mine le' préjudice causé a. Spa, Ostende, Na- 1 mur etDinant, qui he sont pas à négliger non plus. Dirait-on pas qu'on force les visiteura de notre bellèplageôstendaiseàrisquer leur argent sur le tapis vert ~Réglementez, messieurs les hono- r rables, réglementez, mais ne donnez pas à nos stations estivales la tristesse des tombeaux~ne les privez pas dévêtes et de luxe. Attendons la decision du Sénat. J

Quelques mots de la commission militaire qui jusqu'à présent n'a vraiment pas donné ne briliahts résultats.'Voici ce qu'élira trouvé: w < La neutralité de la Belgique, dans l'intérêt du pays "comme dàha l'esprit'des -traites, doit être armée. Son système militaire doit être essentiellement defenaif. La Belgique la règle dans aa pleine indépendance.

Ml a fallu pas mal de séances pour arriver & cela. A part la commission tout le monde avait ~te d'accord là-dessus < Aussi M. Woeste et ses amis ont-ils d'une.part présenté un projet directement aux sections et donné leur démission de membres de la commission, ce qui est regrettable. La ~question militaire est certes.la plus dangereuse tqùi soit pour le gouvernement. M.. de Smot de Naeyer a une partie fort dure à jouerBdntre ses amis et contre certains de ses adver'Bairèshabituels. Hestde taiMéà lutter.-

LaBelgique est la terre promise des entrepri-

ses coloniales,; les, suece~~ g t

courage, et grâce à l'initiative intelligente du roi Leopold, d'heureux débuts ont été faits en Chine &u point de vue industriel et commercial. Notre petit pays ne peut envoyer outa'e mer ni sôldatSt jii navires de guerre; il a donc eu recours à d'autres moyens il a cbargé~les ingénieurs, des nnahciers, des' industriels, des commerçants .et. des missionnaires de faire des conquêtes pacifiques. Lés ingénieurs ont construit des chemins de fer; les nnanciers les y ont aidés, comme ils ont fourni aux industriels le moyen de s'outiller; les commerçants ont établi des comptoirs, et les missionnaires font de la propagande morale et religieuse. Ainsi, la mère-patrie se crée de nonveaux débouchés pour les hommes et les énergies, cote moral; pour les marchandises et les produits du sol, côté matériel.

Aujourd'hui il est question d'une nouvelle entreprise au Brésil –entre l'Equateur et le douzième parallèle au sud du Para, sur les tords de l'Araguay. Un pays absolument vierge, forêts immenses peuplées d'Indiens terresd'une fécondité extraordinaire qui ne demandent qu'à produire. Un neuve superbe quia jusqu'à quinze kilomètres de largeur; profond ;dans sa partie,

~inférieure et,naYdgable:dans;sa partie supérieure;.

les deux sont séparées par une région de catarac~

teB.

.~Le~Brésil est pret~à céder Japropri~ -de 'mule 'kilomètres (~rres'Bde terrain (trois~f~ ~émië la ~uperncie~de "Belgique) aux; concës'ionnaires~qm entreprendront deicbns~ ligne de chemin de fer le long du neuve dans la région des cataractes et-à établir une service de

jdàvigation'sur l'Arâguay..

Un groupe de gens d'araires étudie sérieusement,ce projet, qui est àccuëilliavec beaucoup 'faveur. Il n'est pas inutile d'esquisser ainsi à grands traits la manière de procéder des paya àqui 'manque la puissance militaire, c'est-à-dire qui ne peuvent acquérir des colonies par la force des Mmës. C'est d'un puissant enseignement pour les

autres.

H me revient une anecdotesur~a reineyictorià qui, quoique contée un peu tardivement, trou'vera encore sa place dana les jnLotes'intimes. Du ~iv~ntdu Pnnçe consort, laRéineut avec lui unL ~vbyàgeehBélgiqùe et séjoTn'naau ~château de Lacken. Elle manifesta sa prédilection pour un certain gâteau aéc que son* oncle Leopold I" se faisait servir à déjeuner.

FEUILLETON M < ~AULOIS~ DU 12 MARS 19Q1

):M~M~ pourtant ton émotion tout à l'he~ :t'a ion trahie. Tu l'aimes encore. plus que je ne le -pensais.

~~Soahàiteriez-YOuadoncquejenet'aime plus?

'~pondit Jeanne avec un peu d'impàtience. Je n'en devrais pas moina vivre prës de lui ,'voua s.emble-t-il qu'alors j'en serais plua heureuse ? Comment, ~p~qui~êtes ai Lonne~eedez-vou~~ à unressentintent qui ne .frappe pas que mon mari,

~qui sejetourne contrëmoi?

~T~~ sévère parce~que tu ne~peux me c~ ~rendre~ dit~fme Duval. Je ne désire pas que tu cesses d'annërton mari: ûe qui doit arriver arrive son henre.J'àurats voulu seulement con-

naître la tournure que prëndra'tà vie avant d'a-~

cheyer 1~ mienne~Mais;cë!a est trop lëin, je ne

-ië:verrài~pàa;

'Elle se leva et toutes: deux marchèrent en si~ence. La n~arràinë rentra chez elle, Jeanne erra jdans le jardin. Plus que jamais, elle ae trouvait sou- `. cieuse, car eU~B n'obtenait paa l'explication 'souha.itéë:et~cës .propos obscurs, ces .demi-mota, echappànt'à la ~màrrài&ë, ajoutaient à ses <:uri<t~St~s-unë pointe d'angoisse. Ao détour 'd'une alJLéë, elle rencontra eùiliaume qui icueillait doB

.~ëuFs~outdBn~~r~ie~a~ne~ l~àex~~nï:

~~e~ui~n~sm~~nne~esoluiioh~ndah~ ~~ï~,

~u~iW~~r~ës~et~e~a~l~a,m~~

~~t~~aa'm~el~~l~'a~~r~~n~ieu~

~Mnesfique~~â~Mt~atSp~~ d~a'

''s~M~ ;a.

'K~A~~bn~tôur'~n~ Îfi xéme yctèria;

~r&QYà%ar~~Ëi~cë~m~

.1Y'r_ fV:;qWeW~ ~f;\i~itJI';

-~t~~l~~d~ e `~'part~r âe éé'ôùr,'

:l'~YO~en,

~~Id~~rc~~ë~ôpoldllcontmu~~ à farré,e~

Ipé~r~QtetA~iMM~~antotà.Osborne~ tantot v à Balmoral le ~rneux' gâteau, dont~

~riva <n Ahgle~wel~ lé~ ènden~an·âe la mo.ït ùé.:

l'impératrice dëaÏnd~s.?'

Parlant; du~roÏ~ e taéne a sïdriàlër

~y.·-`w'1.b,

l'heureuse idée qu~a~u~c~ëo~ vo~àgeur, `

~snjet;dëdadé~atij)B~~o~~ L'Albërtt~

~aetr~joi~é~~ne~~

yprésen#ant leH plus ~e~ua sztés ~du pays Ils J

~présentaht;;les; plusAbe~x~

'~ennent~~d~ntmandéaX~~ pâyaag~~te,Gil;:

~oul~ils-sèr~t~mijoursl~ `.

-h~eabëaut9a~eiIà:pâtH~~ alo~c~ que le na~rre v

~aar&ë~ota~s~a~J;

~a.Rèihë~& l'h~itùde ~d'mv~ter souvent

M~~r~~a~la~~eiejb~ la

~h.éjd~ojas~t~.i~ oll

~lie~t~ a~u i

~së saison.'Grand est le'charm'ede' ° 'intimes~toûtës simples en ~eur' cordialité ~L~

Reme est ;obUgee,. dëpuia~sa~grayp ;malad~

.Jpr~ndreNejrès~randa~nagëmënts~ sa sânté

~~le~roïo~e~ent~ëranlêe~~ ,} ~ence$eutay&irs'de~graves~ ~doute.~eMla&nQu~ois proc~aic~~laReinete-.i ~arnera~ânasa joUe'~Ml&~e~p~

''favorite. 'V-

~?~

Le prince et la princesse Albert de Belgique nous reviennent de ~a tôte d'azur, après une longue absence. C'est dans le courant du prin- temps que les jeunes mariés entreprendront les- visites aux grandes villes de province, retardées àcaùsederinclémencedelasaison. "Bruges la Belle oSrira à la princease Elisabeth un cadeau absolument merveilleux. H s'agit ` d'une garniture de robe en dentelles, un vrai chefd'œuvre. C'est un réseau de tulle au point d'Alencon sème de fleurs, s'enlaçant pour former un superbe bouquet. En bordure viennent les armes des proyinces~belges. n y a aussiuh~ventail aux armes du royaume et un mouchoir assorti Cette création, sans doute unique en son genre, a coûté cinq.moia de travail a trente des meilleures ouvrières de Bruges, qui ont réalisé la une toiletta vraiment royale.

~j"

Les gr&vea récentea en rappellent une de couleur bruxelloise qui .no manque pas de savëur~D y ~afquëlquo ~quarante ans, les denrées ;alimënta.ires aetaient ~br~e prix,!le.pain avait. `:

augmênté~d.ans~idës'proportiona j~ntàstiques-~n

.M-plaignitl'i~'m~s~a~ne~na'~às C~e fùt

~ue~r~quo~~aba~~Es.~

~a:biërëdeBrnxeUe)9, ~eAyar~q~~ tion se.tâcha.Le yerre, qui coûtait douze centi- mes (six cents), fut vendu quatorze centimes le demi-litre. Le peuple, irrité, descendit dans la rue; il aHà manifester à la Grand'Place t L'émeute grondait menaçante; il fallut emp]oyer l'armée pour rétablir le calme mais ce ne fat pas tout. Il y eut des meetings 'dans lesquels on vota là grève des buveurs, et on eut recours à un expédient pour ramener les cabaretiers & la raison..

On se rendit chez les principaux d'entre eux par bandes de trente personnes, et chacun commanda un verre de < faro s aussitôt les consommations servies, oa mit les douze centimes traditionnels sur la table. Le débitant protesta, récla-' niant le .supplément les grévistes le refusèrent en faisant du tapageiet s'en allèrent ailleurs recommencer le même manège.

Comme il y avait plus de clients que de cabaretiers/ces derniera perdirent bientôt patience et < mirent les pouces e; le verre de <t faro ? revint à douze centimes, seulement, quelque temps après, les marchands de bière, gens-influents; obtinrent l'abolition du poinçonnage des verres à bière. La grève des buveurs n'avait, comme la plupart des grèves, servi & rien, car les verres devinrent à dater de ce moment de plus en plus petttst.

Vendredi est mort à Anvers le chef de l'Ecole demusique flamande. Péter Benoît il était en 1834. Il laisse une œuvre considérable de naute yaleùr artistique et ~'une-~originalite bien

..spéciale.. ,>

On~e rappellera sans doute ;encore le succès que son .L~Cî/er obtint aux concerts du Troçadero il y a quelque dix-sept ans. Les musiciens connaissent et,estimënt.ses drames lyriques,– les fragments de CTtar~e Cor<fa: ont souvent été applaudis –'mais c'est surtout ses oratorios s ~et ses cantatea qui nrent la réputation du maître anversois. )

La mort de Péter Benoît laisse vacante ladirection du Gonservatoiro de musique d'Anvers on parle dèa à. présent pour ce poste de M.Jan Blockx. L'auteur délicat d'E~~en~~e~e~ et de .PWttceMe d'M&er~e y a tous les titres et doit avoir tous les sunrages.

&

La Monnaie a, dans la Z,OM~e de Charpentier, un Succès qui, toute proportion gardée, égale celui que l'oeuvre eut à l'Opéra-Comique. La salle est presque aussi comble après toute une série de représentations qu'au premier soir. L'interprétation est vraiment excellente Mlle Friche s y est 'véritablement révélée, charmant et surprenant tout le monde M. Seguin est parfait dans le rôle du père, et M. Dalmorès mérite aussi d'être féli-'cité. Les directeurs~de la Monnaie et du Parc ont eu

i'fdit fi "'I se sont en-

une idee~vraiment fort heureuse; ils se sont en-

tendus pour organiser sur notre scène lyrique! ..deux t;représëntations de r~~etMM de Btzet. L'oeuvre sera interprétée par la troupe du' Parc,' avéc~ë concoura de l'prchëstre~dep chœurs et des

~alletsdeIaMonnaie..

On va reprendre Trfs~~y~eMM, puis ~a ~a~~e MM. Eùn~erath~t Guidé ont reçu un ballet en deux actes, de M. Lucien Solvay et Gilsoh.Ennn, amnois de mai, nous aurons deux représentations extraordinaires de Tr:s~M en allemand avec des interprètes de tout premier ordre MM. VànDyket VanRooy; Mmes LitvinneetBrémà; l'orchestre sera dirigé par M. Félix Mottl.

A;

-La JKoBe roM~e, de Brieux, a été le plus grand succes'de la.saison au Parc, tant au point de vue artistique qu'à celui du rendement matériel. L'~MMjMe, de M~- G. Van Zype, a soulevé des polémiques dans le monde arf.iste et est incontesJ tablement une œuvre de penseur et de psychologue.. La troupe dé l'QEuvre est venue représenter ~M-~MMS <~M/'d?*cM TtWMaMte. de Bjœnstjerne Bjœmson, qui a excité un vif iutérêt.A cea pièces graves va succéder la jBoMr~e ou ~a i?:e, de M.

–Ecoute, dit-elle vivement; des choses qui se passent ici, tu'sais plus long que; tu ne m'en as appris le jour 2e mon arrivée. Marraine des- cendait de voiture, nous avons été interrompus. Demain matin, pendant qu'elle entendra la mesae, viens i~ie~tr6uverdans;machambrë. –J'ai bien vu quevous essayiez de la faire parler tout à l'heure. 'Vous la connaissez pourtant, bn;ne,la confesse pas. Le.lehdëmain, il-frappait à !a porte de la chambre. Jeanne'se jeta au-devant de lui et, d'abord, l'accabla de toutes les questions,qu'elle avait préparées. Aussitôt, elle reconnut qu'elle ne prenait ;paa le bon.chemin cem~était pas ainsi qu'elle arriveràitauxdêeouvertes. Le vieil homme ae se laissait pas prendre d'assaut. S se défendait de rien savoir, il avàit-rémarque, ~il avait cyu voir, il pensait. Jeanne lui mit la main'a l'épaule,' les yeux plantés sur sesyeux fuyants: Alors, dis tes pensées. Eh bien,'la première lui était venue le jour M. ~ensac~së presantait à la villa pour y faire sa demande. Il arrivait mal. Au même -instant, la petite Baptistineexpirait dans le pavillon. C'est vra.i,murmura Jeanne, je me souviens. Cen'eutpàsétéIapeinedeviYretrenteànsaupreg de Madame, si Guillaume ne savait pas qu'elle ;avait la croyance italienne & C'est un visiteur portant le mauvais: destiB; celui jqui entre en Tnemel-emps que la mort dans la maison. r` –H apportait, en effet, le mauvais destin ~)0ur *marraine,ditla~jeune femme, très pâle, puisqu'il allait me prendre à aa tendresse et la condamner; à cet isolement qui lui &Lit tant' de mal. maia ~llëp.ouvait refuser, le c6ngédier;r- .>'

Elle le pouvait, répondit Guillaume, maja ~s~n~quÈ cpla~rvît detiën.Si ëûe~M crô ~it;t ~~â~rë~'ê~Tii~ ;-car 3àt ~c~a~

~enM~'aQp~avant41~KB~~menx~

~~ên;~àrt~ien~uëcélùi~â~~ù~ ~Ë~

'A~ed'<?ap~;pour-làquelle.

~ête~Bgàgé~p&cialeme~~

?e.S~r:omëttFeâê~tM

ëahtejcon~rëncë"s~~tor:Nu~~9

lan~ doSnéë,~ au'F'~rc~ la. derjiîe~matinS'e~i~ teràire.~Etude très complëtë et su~lëjonia.QtisB~~ c: ~t'aùr~nT~~mati~ue'~u.~

Ije:Mc,)ter~ s~ rep oae~u! Be.a lau~aFs; il ~pass~

~pou~ quelques semaines :àugen~~g~~ ~~ey~st~oùsJes'soirs'~

;Ijea'GaIerië3\ .'ont Jrepria~a~e~Vit/OM.~B~

qu'on a revue aYec plaisir. L'her~nojest~~aygra.~

MeuseMUe-o/qui chanter to~

agréablement,; M. Minard~st nn~lestm-Fipri~

';dor\Tort\àmusant,M']~~

';YHj[e'aid~t':aù~~ës~

Vaùdêyille~ &Jï<:t!tM CtM~

~our~sapiQa grande gloire, et l'Alh~ Spiohgê.daQS les délices du T!M<~ ~M .3ifO!MCë'~qui~ "faire, ? Charles WoMF'

Y ~>oii' i

1

:c;¡; "1~

Croquis bien pârisieiMedié à Grafty, pour 'aës~ amusantesinéptieë sportives delà ï~ê~ar~ïc~e: c Un petit <;ôupe gracile, assis, selon modela plus rafânée-de l'heure, sur des souplettes en col de cygne, était si bien attelé qué~Médissy s'arrêta pour l'admirer. Deux chevauxtarbesj d'une blancheur immaculée, s~àccoûplaient- à la nèche ila étaient de taille très moyenne et plutôt découplés pour la selle que pour le harnais, mais savamment dresséa à ce dernier usage. la nervosité du grasset, la nnesse des,paturons, la dépression légère du garrot. Bridés très mince, ils secouaient leurs gourmettes d'argent et leurs martingales émaillées de Meu turquoise. pour plus d'élégance, ils étaient, dénués d'œillères. le valet de pied en livrée une poitrinait.))–Ex~àit de ~a ~Mt~p-~co~~Me, par H. Kistemaeckers, un Belge, m'assure-t-on. C'est égal, il aime

arire.

&

Relativement & ma dernière causerie, un abonné du ~OM~OtS m'adresse les questions suivantes:

Quand la ferrure & glace, dite d'attente, com-

portant tes ~êtampures pour crampons Ëletés;~ est pre~que~seë,'comment peùt~on,~n~

àdapterdesdits~ crampons? 9 .j" '>

~~sure~repondrai-jejin'est.pag ;égalé sur tout l~pDurtpui~duier~Ellé~estbienJ plus igr~nde eh

~n~ê~~e~squë~où'joars~l~~sse~B~f~

talonspour pouvoir y. visser ja.cn~ev~llé~ tendant, l)ien entendu, ~qu'on ait éu.Ie temps~de renouveler la ferrure qui tire à sa nn. Jamais, personnellement, ni dans mon escadron, je n'ai éprouvé la moindre difficulté de ce côte-là.

Deuxième question Ces crampons sont-ils bons sur le pavé de bois et l'asphalte? Je peux répondre oui par expérience personnelle. Lorsqu'en 1883 j'étais ~n garnison & Paris, et que je faisais, à cheval, le service de place, je trouvais le clou Delperrier insufnsant. Plus tard, en 1898, le crampon vissé procurait une stabilité absolue à mes chevaux, soit de selle, soit de harnais, et cela sur n'importe quel sol. Ces crampons rendent inutiles l'emploi des caoutchoucs, qui ne peuvent venir à l'appui. Mais, je le répète encore, ces sortes de crampons, naturellement élevés, doivent être enlevés à l'écurie, pour rendre au cheval seia aplombs normaux.

J'eusse répondu avec plaisir directement & < l'abonné )) du (?oMMs, s'il avait bien voulu signer sa lettre. H m'eût évité de revenir sur une question qui n'est plus très de saison. Jepronte de l'occasion, pour assurer que je serai toujours très heureux de correspondre avec mes lecteurs, s'ils veulent me faire l'honneur de me demander des explications. x~*

<

Personne n'ignore que notre mariné marchande cesserait d'exister le jour oùl'Etat cesserait de son côté de la subventionner au moyen de primes qui s'élèvent,.si je ne me trompe, quatorze millions par an. Mais il est une autre industrie qui–si j'ose m'exprimer ainsi –n'en mènerait pas large; le jour où IM Subventions qui ralimentent.sëraient supprimées.

Je veux parler de l'industrie chevaline de selle et de trait léger. Car le gros trait fait parfaitement ses aSairea tout seul et il les fait bien. D'aucuns prétendent qu'il les ferait encore mieux le jour où les haras cesseraient absolument de s'en occuper mais cette question n'est pas de ma faible compétence.

Actuellement, il est distribué par d'importantes sociétés et par l'Etat qui, en comparaison, donne fort peu, plus de 16 millions en prix divers ou primes.

Le 'fonctionnement des courses est trop connu pour que j'y insiste; sommairement, je rappellerai que l'Etat dontM 50,000 francs pour les épreuves d'arabes et d'anglo-arabes. Le JockeyClub encourage généreusement la production pur sang. La Société des Steeple-Chasea s'occupe des courses d'obstacle et distribue 1,500,000 franca aux courses militaires. La Société d'encouragement pour le cheval de demi-sang réserve ses faveurs au demi-sang trotteur normand et ses dérivés, lesquels touchent doux millions d'encouragements par an; le demi-sang galopeur se contente d'environ S~,QOO francs de subvention. D'autres sociétés, moinsimpprtantes, distribuent la manne en province; la Sportive, la Société do Sport~celles 'dé Colombes, de ~aint~Germain et

de!Compiëg!ie,et<

Les eneourageinents pécuniaires passent encpre pac. le canal des pr~mes'd'étalons. approuvés, dés,pYimes nationales aux poulinières, des primes de conservation pour les poulinières suitées et poulichea, des primes de dressage, des primes & l'élevëur, des primes de majoration aux meilleurs.chevaux d'armes prime qui ,a'ajoute au prix d'achat de la Remonte et en6n de toutes sortes de prix distribués par divorsea sociétés j plua ou moins riches, plus ou moina~bien inspirées. Malgré cette multitude d'encouragements, il est rare que le producteur, que~ le naisseur soit directement récompensé de tout le mal qu'il s'est donné, même s'il a réussi son élevage. H s'est lancé dans une entreprise riche en aléas et assez pauvre en bénéncea. Ce sont les intermédiaires successifs qui ont empoché la, plus notable partie de la manne ,des encouragements. Si cette affirmation est souvent vraie lorsqu'on considère le naisseur de_ pur sang, et celui du trotteur normand, elle l'est presque toujours s'il s'agit du naisseur de cheval de remontes,~ du

il ne l'a pas trouvée mieux disposée à la bien-1 `', veillance. Dame) écoutez donc t ce n'est pas étonnant. Jugez vous-même. ––Mais ce mativaia destin, jeté Fai dit, c'est la solitude, ce n~estpaa-Ia. C'est la ûa prochaine. Celaestdit e Celui qui: vient en même 'temps qu'une mort est le messa-' ger d'une autre. H en sera cause ou l'auteur. B 'Vieil homme, tu es.foa, s'écria-t-slle. fOK! l laisse-moi.

"va'

Dans la maispn. de; la rue Le Felëtier pieu- vaient les cartes sympathiques et cëpéhdant;Sé- J .verin.Grensàc était' battu. Si le candidat l'eût emporte, quel déluge t. Les visitëura ~ussi~ae présentaient en grand nombre. Le domestique, iormé par ~in maître qui savait être divers, les éconduisaitavec des formules dIS'éréntes, stuyant leurs mines. Aux jaquettes cossues, aux élégants <t complets B d'été une réponse courte et correcte: «Monsieur regrettera, il ne'reçoitpas.~ 'Aux endimanchés, redingotes vagues. et chapeaux mous, pins obséquieux, il disait <c Le citoyen est exténué~ de fatigue, il repose, Yenillez -i'excuser~ Maître _Gensac, dans la belle salle à manger jadisria Vàlena avait traité des artistes'glorieux .et des ~princes, déjeunait en « monsieur D .non en citoyen devant les fenêtres ouvertes, des stores arrêtaient les rayons~ du soleil: de juin, mais point les efâuves poudreux qui montaient du boulevard. Par cette Ghàleur cuisante, Jeanne

;étai~eH~deshSLbillé_dëlmou5SBlin~ la~s~alt.

~ymr.rc~~re~éï~es~

~air&~deur,s.~rag.S~

i;Ue~e~&ng~it'~

:~àgè~'àv~t'~ù la li~në~Bi~e~fë~ ~nu~uag$-con 4~

~~SM:S~n".ï~t~~HreUe~ t;andi~;

~a.l .de; càvaTerie~- du cheval auquel devraient

.àll~B lâ;pl)is grande partie des; encouragements,

;alle~r la~,p'Lus .grande part e des: enco rage~, t

~p.iNgqu~l's'agitdè~l'ëlevéuf démocratique et du ~c~Al~dit troup.ier, le seul-'vraiment-que i'E~t ~t encourir, d'abord parce que o~st celui ~Ll~~esqin,'et ensuite celui dont personne ?~n~G<cupe, celui qui, en somme, même en main'Bt toutes chosëa égales, est payé le moins

c ~f.

~l'~n~Fra.nce~dn; encourage toujours le succès. ~~n~'etonnànt, par conséquent, à ce que laRë-

~~te';et. surtout de la qualité .des chevaux .qui 'T~ent'dans. leurs pays d'origine et qui consti~t~t–- il faut en être persuadé une ressource ~li~ifSsante~ absolument .insurSsànte, en cas de ~'m~ilisation;'Oh tourne, donc dans un cercle vi- ~ci~H~ cet'-êl~vagè réussit peu.Lparce~qu'il n'est. !fencouragé il:n'estpas encourage, parce qu'il

r~ssy pëù 1 1:

R~a.nson l'a écrit pour faire un 'bon cheval il ~tBis~hosës Je~onr~ avoine, papa et ma-.

~ma~apa, Fëst~Sire~les ~aISns-~o'ntTëTïcore-oe

qu'il.yade moins mauvais, bien qu'à part certains trotteurs, las demi-sang normands carros~iërs:sbient, comme leur nom l'indique au reste,

~lut~t?des:-]gëHiteujEsSde*ehë?aux~e liatmais~que,

~ë~beyaux~e:sëSe~:iis~ô~ iq'im-

'Mais,maman?~oila~~mam~~stje plussou-

Tent, biBn ;in€dipM~~Et;pouï-bi-? C'est ~assez~

simple à Bxpliqùër~['oùs les paysans présentent v leurs-proauits~àl&'remonte dës~troisans.etde- mi poulams~et pouliches. La Remonte acheté les bons, quel que'soit le sexe. Les marchands, après elle, procèdent de même, 11 ne reste au paysan que les mauvais chevaux e{. les mauvaises pouliches qui, telles quelles, feroj~ des mères. On peut donc dire qu'en général, les poulinières sont la plus mauvaise part de notre population chevaline. Le paysan aime mieux avoir, de suite, de l'argent, ,que de garder une bonne pouliche, laquelle peut-être plus tard lui donnera de bons produits. plus, il a tendance à conserver les vieilles juments qui poulinent et travaillent en même temps. Le système des primes de conservation établies pour:engagor les naisseurs à garder ~plua longtemps les pouliches susceptibles de bien produire, mai réglemente, n'a pas donne les résultats sur-lesquels on avait compté un peu

légèrement.

/Lës primes do concours de poulinières làrjgement dotées, ne fonctionnent pas, elles non plus, d'une façon assez rationnelle. M: de La FargueTaùzia,-anci~n~ inspecteur général dès haras, -demande una modification dans leur réglementa-

tion' '7

0~ y~a~m9t~es juments'~

~ila~â~at<~jRc~~s~um~

*S~uit ans,-rieh de plus rationnel que le système actuel 'c'est le classement, avec primes, des jumenta qui ~~MeM/ susceptibles de devenir plus tard d'utiles poulinières c'est la prime de prévision basée uniquement sur roppa~otce de la mère et du produit, et ce mode d'encouragement est nécessaire, il est même indispensable pour soutenir l'élevage au début.

B Mais à partir de neuf ans aucune jument ne devrait, être admise à ce concours, attendu qu'il devient absolument illogique de juger une jument sur sa forme extérieure et l'aspect du produit qu'elle allaite, dès l'instant où ses produits antérieurs ont déjà été à même de démontrer par leurs qualités, s'ils en ont, la valeur réelle de leur mère comme poulinière. La prime de ~r~t)t~!OH, qui a suivi la jument de quatre à huit ans, doit, lorsque cette jument a atteint neuf ans, faire place à la prime de T~MMa~, qui est la seule indiscutablement méritée. -D

Voilà qui est bien raisonné. L'approbation de cette façon de juger doit inévitablement conduire à généralisation de la prime aux mères des produits non seulement gagnant en courses, mais encore aux mères des produits se signalant aux concours de selle et d'attelage, des produits achetés comme reproducteurs par l'Etat ou autorisés par lui, mais~ surtout aux mères des produits achetés comme chevaux de tête par les remontes ou signalés par elles comme remplissant des conditions d'allures et de conformation hors de l'or-

dinaire.

-L'intermédiaire, éleveur, marchand, courtier, etc. est à l'auùt dans les campagnes du poulain susceptible de devenir un cheval de tête. Il le paye comptant, au paysan qui souvent n'en connaît .pas l'excellence, et c'est lui, ~intermédiaire, qui bénéûcie presque toujours du prix plus élevé ouert par les remontes pour lé cheval de tête. C'est là une injustice qui apparaîtra sûrement aux moins initiés aux opérations de l'élevage du cheval d'armes. Le jour où on aura spéciné qu'une prime proportionnelle au montant du prix d'achat reviendra de droit au. hàisseur, cette injustice disparaîtra.

L'influence de la prime aux mères peut être très grande. Exemple dans le Midi, l'établissement de la prime aux mères des gagnants en courses a suffi pour décider beaucoup de petits éleveurs de la plaine de Tarbes à faire naître du pur-sang anglais au lieu de demi-sang angloarabes susceptibles d'ëtre achetés par des remontes. Inutile de dire que les paysans font là une mauvaise spéculation. Pour beaucoup de raisons, l'élevage du cheval de courses ne peut être un élevage démocratique. La prime aux mères des chevaux d'armes de tête remettra le petit éleveur dans'ie vrai chemin pour son plus grand bien et celui de la cavalerie.

Spectator dans la .Pe~e Gironde, où il traite de main de maître la même question, fait remarquer que cette mesure aura, en outre, l'avantage suivant C'est qù'elle-forcerà l'éleveur à remettre ,aux mains des ~commandants de dépôts lescertiucats de. naissance des schevaux vendus. Geux-ci 1 s'ont, général.emént; tr~rregulièl'ement réunis, et fontl'objetd'unvaste et scandaleux commerce. Déplus, grâce à leur indëleremisp~ux remontes, qui en contrôleront l'exactitude, on saura exactement d'où proviennent les .chevaux achetés par les diSerents dépôts. Le pays nàisseur n'est pas toujours pays éleveur,et les dépots achètent souvent dés chevaux qui ne sont pas nés dans la circonscription où ils' opèrent. Le colonel Leddet, du dépôt de Tarbes, a publié un tableau intéressant que cite Spectator, et qui permet de rendre à César ce qui est à César. Ainsi, par exemple, le dépôt d'Agen a acheté six eentsoixahte-treize chevaux dont quatre cent spixante-dix-huit viennent de la région pyrénéenne, laquelle n'est pas dans sa circonscription, etc.

Mais la leçon la plus instructive, et celle sur laquelle il m'est agréable d'insister, car elle prouve aux aveugles l'aptitude du demi-sang anglo-arabe à tous services d'armes, est donnée parla statistiqueportantsurSaint-Jean-d'Angéty. Chargé de remonter spécialement la cavalerie de

que ses yeux restaient immobiles. Elle se contraignait.de toute sa force, pour tenir ferme soua l'assaut qu'elle subissait depuis le commencement du repas, car Séverin, pour la dixiëmefois, lui exposait le récit de sa défait.e, sana d'ailleurs

~perdre.une~ouchée. ?

Rien de si simple, jien de si honteux, c'était à désespérer de ce pays de routine et de veulerie -Sévërin Gensac, le bon~ le .vrai, le seul candidat républicain, avait deux concurrents ils prétendaient, les meiïtëùrs.être aussi bons républicains -que lui, même meilleurs. Qu'en pouvait juger par leurs programmes Que voulaient-ils, cea bons apôtres banques de la séquelle noire des curés? Une république bonasse et douceâtre qui ferait place: aux droits de tout le monde. Pour

avoir des droits, iLfaut les avoir gagnes & la ba-

~taillé~ il n'~ en a quë~.potii~ lès. répu)ilicaiüs

taille, il n'y en a que pour les républicains

éprouves. Cependant, cette ânerie prenait dana ~'arrondissement et se faisait même écouter avec faveur. Les deux compères alors de s'eutendre, voyant venir à. eux le troupeau bêlani: Accord parfait deux beaux parleurs, partout Ie..mêmë discours ~Français, faites un effort pour arracher notre France à une faction qui la conduit aux abîmes t N'êtes-vous point las du despotisme qui vous fait ployer l'échiné et de l'anarchie qui menace votre sac?)) En&n ils avaient crd bien tenir la bête, et voilà que l'un des deux sa désistait en faveur de l'autre. On disait, qu'ils. avaient tiré au sort mandat joué à la courte paille Et celui qui ~gardait ~position, de célébrer le patriotisme de l'imbécile qui cédait. Parbleu ) Is patriotisme, la liberté de conscience, la sécurité des biens, l'amour da l'armée, on les avait entendus sonner toutes ces guitares. Et Sévënn ~ensac de "mordfe la poussière au, son/de.

,cettë.musique;ep .~Ila~'ayaient, _Ie champion

~~leur~~ë~Uq~yer~ àé~

~'aTr~ndï~emMt~âéshc~ûrè~' Da~Fâya~

~aau~~ :y 7

ressayait dë'ïUM~bnt <e~a stir l~ ton .léger,

~m~i~nt~aM~e~ajisienne

réserve et de ligne, <lit Spec~tor,' ce dépôt place j à deux pas du haras do S&intes, prédominent

les:dèmi-sang trbttcKrs et anglo-normande, pa- .1

raît être force par cet état de chose* de n'acheter qùB'ttes dérivés d'anglo-normanda. Or, vaici; comment se répartissent les pères dea poulains achetés par les remontes de Saint-Jean. Le demi- sang normand & fourni 386 chevaux de groupe sur 463.77 autres sont aussi néa eo Saintonge, mais 56 sont issus de pùr-sàng anglais. Si d'étalons de pur-sang arabes. Quant aux 99 troupiers complémentaires, ce sont des demi-sang angloarabes tous nés dans les Pyrénées .et importés en Charentes au sevrage.Etona afnrméàla Chambre que les Charentes n'avaient que faire de nos produits anglo-arabes, ajouta Spectator! 1. Cet état de choses perpètre une injustice Le Midi ne fait que des chevaux de légère qui sont payés moins chers en moyenne que les chevaux de cuirassiers et de dragons. H a vendu à ces élëvèurs cbarentais des poulains au prix des poulains de légère, Ceux-ci, en les vendant a, la reTmohfe comme~chëv~x jd&;llgne~ôuJésBrvo,,ont bénéEcié de" la relevé 'des" tarifs. D~ou onpeut. .conclure, ëh général et devant ce cas particulier, que le jour seront établies.des primer aux mères des ch~yàux-d'armes~de~

ti~~ër~ârëé.'ce~Uï est tien.. Màis~ceqtii est

jniëùx, le .petit ele~eur ~ura,intéret~ garder de,

bonnes poulinièrea~ a les-~ouE~

'ment, à les ménager, puisqu'il'aa~~ par le.s~pri=, mes~touchées~ue sa'jument~ 'de .boas p'ro- 'duits =et que ses sàcrincea seront recompensés, autrement que par de trop rares et vagues compliments,

Ce sera là une mesure vraiment dém~ratique, où tout le monde trouvera son compte, l'Etat et le producteur. jGelà sufnt-il, dans notre < doux pays ?, pour qu'elle soit enfin adoptée? ComBungos

00

LA. `.

Même ae Mea~he

M .'M

Le ministre de l'instruction publique vient de prendre un arrêté sur la <c simplincation de l'orthographe » qui annule l'arrêté du 31 juillet 1900, ,auquel l'Académie française avait fait un accueil plus que réservé.

Voici la liste complète des réformes:

J~ SUBSTANTIF ?.. ~ut'te~:pM.!jtnyu~'er.–D&n3totites les construc-

tions oule.'sens~çrm~ de cpmp~ndrë~

complément aus~i. bien au singulier qu'au pluriel, on

tolérera. l'emplôt?de'l'u~ûu dp l'autre inombre:Ex; :.des

d,ë ~sët~ë'ou de~t'oseïHes de~ pf~~<_ e~ 6ott-

KC< ça?'~ OU en &Q?tMe~ COtt~t t~ OKf <?~ ~CMf cyMtpesMou~e~Mc/MtpesMa?.

SUBSTANTIFS DES DEUX GENRES

Y. At~e. L'usage actuel donne à ce substantif le genre masculin, sauf dans le cas où il désigne des enseignes. Ex. les aigles roMt~'ft3~.

2. AMOM~, o~Me. L'usage actuel donne a ces deux mots le genre masculin au singulier. Au pluriel, on tolérera, indifféremment le genre masculin ou le genre féminin. Ex. <e< grandes or</Ke~; MM des p~M! 6ca:M~ or~Me~; <ïe /b~eaaMOMM, ~M atMOMra <a~t/

De<tce et de~tce~ sont, en réalité, deux mots différents. Le premier est d'un usage rare et un peu recherché. Il est inutile de s'en occuper dansl'enseignement élémentaire et dans lea exercices. 0

AMt~MK~j e?t/aM<. Ces deux mots étant des deux genrea, il est inutile de s'en occuper particulièrement. Il en est de même de tous les substantifs qui sont indifféremment des deux genres.

F. GeMs, or~e. On tolérera, dans toutes les constructions, l'accord de l'adjectif au féminin avec le motpe~M. Ex.: tMs~'Mt~ ou iM~ut/M par t'ea;p~rience, les M6t!J'M gens <OK< soupçonneux OU ~OMppoMKeM~e~.

On tolérera l'emploi du mot o~e au féminin sans exception orge carf~e, orge MtOKd~e, orge pe~~e. C. N~t/MtMe. II n'y a pas de raison suffisante pour donner à ce mot deux sens différents suivant qu'il est employé au masculin ou au féminin. On tolérera les deux genres aussi bien pour les chants nationaux que pour les chants religieux. Ex.: MM 6e~ hymne ouMMe&eHe/n/~Me.. 7.P<zg'MM.–On tolérera l'emploi de ce mot au féminin aussi bien pour désigner une date que la fêta religieuse. Ex.: d P~MM pf'oc/~n ou a .Pa~MMpfo-

C~MMKe..

PLURIEL DES SUBSTANTIFS

.PhtrMï dM noms propfeN. La plus grande obscurité régnant dans les règles et les exceptions enseignées dans lea grammaires, on tolérera dans tous lea cas que les noms propres, précédés de l'article pluriel, prennent la marque du pluriel ~M C<M'Ne?He~ comme les Gracg'MM des Vtr~M (exemplaires) comme dM Vt~t~M (éditions).

Il en sera de même pour les noms propres de personnes désignant les œuvres de ces personnes. Ex.: des .MetMO~M~.

.P~urte~ des noms etttpfMKt~t A d'~M/rM !aM~Me~. –Lorsque ces mots sont tout & fait entrés dans la langue française, on tolérera que le pluriel soit formé suivant la règle général. Ex de~ ea~at~ comme dM <M/!ct<

J~OMS COMPOSÉ

Noms com-pos~. Les mêmes noms composés se rencontrent aujourd'hui tantôt avec le trait d'union, tantôt sans trait d'union. Il est inutile de fatiguer les enfants à apprendre des contradictions que rien ne justifie. L'absence de trait d'union dans l'expression pomme de terre n'empêche pas cette expression de former un véritable mot composé aussi bien que c~e/d!'a?MMre par exemple. Ces mots pourront toujours s'écrire sans trait d'union.

ARTICLE

Af<M;e û!e~s~< les MOMM pfopres d~pet'MKMM. L'usage existe d'employer l'article devant certains noms de famille italiens te TiM~e, ~e Corre~e. et quelquefois à tort devant des prénoms (7e~ Dstt<e, (7~ G'Mtd[6.Onne-<;omstera paa comme une faute l'i-

-gnorance'decet usage.

n règne~aussi une graude incertitude dans la manière d'écrire l'article qui fait partie.de eertains~ioma propres français: ta-Fo~~Mte, Za~aye~e onZa~ ~ayeMe. Il convient d'indiquer, dans lea textes dictés, si, dana les noms propres qui contiennent un article, l'article doit être séparé du nom.

AWtc!e~Mpp?'t.Mte.– Lorsque deux adjectifs unis par e< se rapportent au même substantif de manière a désigner en réalité deux choses diSérentca, on tolérera la suppression de l'article devant le second adjectif. Ex.: .L'/M~,OM'e ancienne e< MMd!e)'Me, comme ~7tMtoi)'e aMCMMTts et ModerMe.

A)'~c~ejMf(H~ On tolérera dM, de i'a, des au lieu de de partitif devant un substantif précédé d'un adjectif. Ex.: de ou dM 6oMpaMt, de 6oMMe MSTtde ou de 6o~M! ~;SMde, de ou des bons /?'Mt~. Ar~c~e de~<t?t< p!!< Moin~ e<c. La règle ;qui veut qu'on emploie ~e p!u~, -? Moi~, !e mieux .comme un neutre invariable devant un adjectif indiquant le dégrève plus élevé delà qualité possédée par le substantif qualifié sans comparaison avec d'autres objets est très subtile et de peu d'utilité. Il est superflu de s'en occuper dans l'enseignement élémentaire et dans les exercices. On tolérera ~p~tM,p~M~, ~p~ moins, les KtMM.c, etc., dans les-cons-'

mais les gros mots lui échappaient, la phraséo- 1 logie redondante et cynique de la coterie jusqu'alors triomphante se retrouvait au coin do sa lèvre convulsée; les beaux yeux brûlants du candidat évincé jetaient de méchantes Bammea.

'Jeanne :l'obsërvait.

II ne se doutait guère qu'ayant manqué le pavois par la défection hardredes « fanatiques et des ~sauvages s,, il se trouvait en ce moment sur la sellette,devantun juge, grâce aux propos .am- bigus d'un vieux domestique. Il n'y a point de petit ouvrier des causes. Je vous le demande, Jeanne mignonne, a'é-~ cria-t-il, la prenant à partie, qu'est-ce que la république ouverte? ,0

–Vos concurrents ont dit que ce serait la meilleure, répondit Jeanne froidement. Ils ont -eu tort; Les bonnes araires doivent être celles qui sont menées par un petit nombre d'intéressés.Ily a de plus grosses parts de proût. En envoyant ie trait, elle s'était levée. Séverin I Gensac demeura interloqué, un bon moment sa physionomie exprima un mélange comique de surprise et de colère. Il frappa un grand coup sur la table et l'on entendit la danse des assiettes: en même temps, il recouvrait l'usage de La pa-

',iolë.

–Ou doncàvez-vous appris a. voQS moquer de moi?.

Mais la porte sereiermalt derrière la jeune

femme <[ui se dérobait un peu soucieuse, cr&ignant pour un premier coup d'avoir frappé trop

iort.'

Il erra autour de la table. Le ~omestiqu.e se présentant pour la desservir, brutaJemcnt'.il~QijenJoignH de retourner à l'oface et, parce qu'il ne sortait pas assez vite, l'invectiva. L'homme s'en

allât ~couant les épaules, grommelant, lamelle

~~s.o~t~~gaUt~1~ `

;j~o:~oe;ion:s~gayà.e m~tM~

-pro~enâdB ~rieùae~Ëvincë~

~~yé~~nê~hez~ni~'é~ ~rop ~~oat a ',clo~pr.

~H~sejeta~erà~ila.san~~m oë~çe,·,

;~aï~.ae.u~&~m~c~

fruetions telles que CM a a~a~ ~1 ~f6riM ? ~'Mt;

ou~p!u~e~p(H~'dht<em~<e.

ANEOTBf'"

Accord, de ~'od/ee<t/ Dana ht locution M /MtH /br<de, on tolérera l'accord de l'adjectif. Ex. /<ïtre /<M'<, /br~, /br~, /br~ de Ad;ec<t/'eo~M<rMt<aMc ptMJteuM ~M!'t~nM~ Loraqu'un adjectif qualiScatif autt pInsieuraBntMtantifBde genresdifferenta, on tolérera toujoura.qat l'adjectif soit construit au masculin pluriel, ~uel que soit le genre du substantif le plus voisin. Ex. appa~ettteK~ e< c~at~rM MMUo!

J~M, deMt, /ëM On tolérera l'accord de ces adjectifa avec le* substantif qu'ils précèdent. Ex. )tM oa KUïjpMd~, MMe de~tt ou dcNtM' ~eMre (aana trait d'u- nion entre les mots),/eM ou/ëMe!<t~tMC.

Ad;ec<t/% compM<&. On tolérera, la, réunion de~ deux mots constitutifs en un seul mot qui formera son féminin et son pluriel d'après la règle générale. Ex. ~ouueaMKe', KOM~eoMMee, MQM~eaMKe~'Mdu- `

rea~M~e~; coMr~ee<«,,coMr~e'<Me, coMt'~ë~Me~ `

Maia les adjecttfs composés qui désignent dèa nuances étant deyenus, par suite d'une,ellipse, de véritâ< blea substantifs invariables, on les traitera comme. .desmots invariables. Ex. des ~&eA{'<eM~tf,per< `,

'-d'e~, etc~më~ëM~on'dit-a~ anarroa:

far<tC!pes FSMM ~a~ueM~nenineff

2~- -PD Cet 1a c~j6int ..x.

participes 'ap~t.'0'M~e, <t~eM~M, ''Ct-t~c!t<~ c~û~f, :e~c.ep~ON7~MprM,.y/~?Mpr~< pose; ~u;;places .,avanne substanti~auquel ~oïn' e: joints,' restent- invariables. ~a?cep~ est meme?déj~ classe pârmHesprépoaitions. pn toléfera l'accord fa-

~cultatif pour eëspàrËcipes.~ans' exiger l'applicatipm

de règles duTèrentes suivant que ces mots sont placée au' commencement jpu dans; le.porpa de la.proposition, suivant que le substantif est ou n'est pas déterminé. Ex. ctj'o~ ou etjo~M~M Ze~ptëcM deMMMdee~ (sans trait d'union entre ci et le participe);–je MtM eM~ote Ctj'otM< ou ctjbtK~c copte de~ ~ptëce. On tolérera la mémé liberté pour l'adjectif/aKC. Ex. e~uoyer /MC de port ou /roKc7te de por< M?M ~~e.

At~o/f ~'a!f. On permettra d'écrire indi~éremment eHe a !'a~ doMa? ou <~OMce, ~ptft~Me! ou sptfttuelle. On n'exigera pas la connaissance d'une différence de sens subtile suivant l'accord de l'adjectif avec le mot <:tr ou avec le mot désignant la personne dont on indique l'air.

A<ec<t/~MMtm~MM". Vingt, ceM~.Laprononciation justifie dans certains cas la règle actuelle qui donne un pluriel a ces deux mots quand ils sont multipliés par un autre nombre. On tolérera le pluriel de ctM~ et de ceK< même lorsque eea mots sont suivit d'un autre adjectif numéral. Ex, Q'u<~fe t~K~toa ~Matre MM~t dix ~o~KMtes Q'Ma<t'e ceM< du ~M<t<re ceM~ <~M<e TtOMtme~.

Le trait d'union ne sera pas exigé entre le mot dé* signant les unités et le mot désignant les dizaines. Ex.M?sept,

'Dans la désignation du millésime, on tolérera ~tHe au lieu de ~Mt~Jcommefdans l'ëxpressiôn'd'un jmmbre. Ex. :aKMH~Mt< MK< ?u~re~tM~dMe-ou .yaMj~tHe'AuitceK~gtM~'eMM~~

ADJECTIFS DjËMONSTRÀTIFJS, INDÉFINIS ET'PRONOMS

Ce.– .On;4olérera-la reunion, des particules et~et jht

~vëcJë~pron<un;qui~es ..pMcéde.~ans B.xigM'~qu!6n

distingue ~M'e~< cect/Q'tt'e~t cejs, ~M'Mt.ee c.t.~M'MJt ce 7a. –On tolérera la suppression du trait d'union dansées constructions. f i AfsMe. –Apres un substantif on un pronom aa pluriel, on.tolérera l'accord de M~eMe au pluriel et on n'exigera pas de trait d'union entre MMMe et le pronom. Ex. MOM< MK~Mte. !e~ <HeMa; tMeme~. ToM<. Devant un nom de ville en tolérera l'accord du mot <OM< avec le nom propre sans cherchet a établir une dUTérence un peu subtile entre des constructions comme <OM<e .RoMte et <OM< -Hot~e. On ne comptera'pas de faute non pins à ceux qui écriront indifféremment, en faisant parler une femme, je suM tout <i MMS ou je <MM toute a vous. Lorsque ~OM< est employé avec le sens indéfini de cAao'Me, on tolérera indifféremment la constructio!! au singulier ou au pluriel du mot <OM< et du substantif qu'il accompagne. Ex. dM MUM'cAaM~MM do <OM<ë sof<e ou de <OM<e~ <or~ so~Me est de <OM<~<OM~<eMjMe< de <OM<f7oM~ pou/s.

Aucun. Avec une négation, on tolérera l'emploi de ce mot aussi bien au pluriel qu'au singulier. Ex. jtte faire aMCMM pfc~et ou aucM~M projet.

Chacun. Lorsque ce pronom est construit après le verbe et se rapporte à un mot pluriel sujet ou complément, on tolérera indifféremment, après c~tcu~ te possessif MM, M(, .semoule possessif JeMf, ïëMM, Ex. t!< ~OM< ~or<M c/MCMM de son cd<e ou de ~eMf c~ ~eMM~fe de~ Kfre~ c~NCMK d ~a p<o<;e o~ a!eufpi!ace. VBRBB

Vef6M coMpos~. On tolérera la suppression d< l'apostrophe et du trait d'union dans lès verbes composés. Ex.: eM<fOMw*tf,eM<)'ect'OMef.

rra~ d'MMton. On tolérera l'absence de trait d'union entre le verbe et le pronom sujet placé aprèa le verbe. Ex. e~< <J ? E

Dt~re~ce du sujet apparent et dM ~t~e< f~e~. –< Ex. M MM~dte sont de~ uapeMM. H n'y a pas lieu d'enseigner de règles pour des constructions semblables dont l'emploi ne peut être étudié utilement que dans la lecture et l'explication des'textes. C'est une question de style et non do grammaire, qui ne saurait figurer ni dans les exercices ëlémentairea ni dans les examens.

Accord dM fe)'6e pfecede de p!u<teM)' tMjetx non MMM par ~a co~'OKc~MM et. Si les sujets ne sont pas résumés par un mot indéfini tel que <OMt, ftëM, cAacMM, on tolérera toujours la construction du verbe au pluriel. Ex. Sa bonté, M doMceMr te /bM< adHt~

fer.

Accord dMfer&e précède' de p~M~teuM st~e<t au ~tK~M~ter MMM par ni, comm,eainsi que et aM<ret !oCMttOM~ e~Mma!e)t<e~. On tolérera toujoursie verbt au pluriel. Ex. M{ doMceMf Mt ta force M'~ peMveH<rM~ ou M'y peM< r<'eK ~MK~coMMM ~a /br<M~e deMtaMdeKt a être m~Ks~eet ou demande <t être Mte~a~ee-; ~e peMerat at~ec gMe~Mët o/~Cterj M7t< ~or<M ou est ~ot'~t dM caMtp chat at~Mt que ~e tigre M~ de~ car?nuoret ou e~< MM car~tt'

vore..

Accord dM verbe quand le ~M/e< e~< MM~ îKO< co~ec<t/ Toutes les fois que le collectif est accompagna d'un complément au pluriel, on tolérera l'accord da verbe avec le complément. Ex. UMjjeM de co~~MMMMce.yM/yMou~M/~jeK<.

Accord dM ~<'6e <~<sKd le sujet caf plus d'un. L'usage actuel étant de construire le verbe au aingu~ Jiëravecle sujet p~ d'MK, on tolérera la construo.tion-du verbe au singulier jnême lorsque p~tM d'un est suivi d'un complément au pluriel. Ex. p~MS d'Mtt de CM AomMe~ ~M< e<ateM< <!p~?tdt'e. Accord dM~er&epre'cede. de uu de.ceux (unoda 8e celles) qui. '–Dans quels cas le verbe de_la proposition relative doit-il être construit au pluriel, et~ dans quels, cas au singulier ? C'est _une.délicatesse de langage qu'on ressayera, pas d'introduire dans les exercices élémentaires ni dans les examens.

C'e~<, ce MM<. Comme il règne une grande diversité d'usage relativement & l'emploi de c'est et de ce MK<, et que les meilleurs auteurs ont employé c'ef pourannoncor un substantif au pluriel ou un pronom de Ja troisième personne au pluriel, on tolérera dans tous les cas l'emploi de c'e~t au lieu de ce~oM<. Ex. c'e~ ou ce sont des tKo?t<o~Ket e< de< prect' ptee<.

CoMcordaKce pM corrMpo?tdance des <e?Mpt. On tolérera le présent du subjonctif au lieu de l'imparfait dans les proppsitiqna subordonnées dépendant da propositions dont leverbe est au conditionnel présent. Ex. il /audrat< ~u'tt vteMMe ou gu't! ptM<. PARTICIPE

.Par~tCtpe prMett< et adj'ecM/'weroa!. n convient de s'en tenir à la régie générale d'après laquelle on distingue le participe de l'adjectif en ce que le premier indique l'action et le second l'état. H snfnt que les élèves et les candidats fassent preuve de-bon sena dans les cas douteux. On devra éviter avec soin le?

;la chambre de sa femme sa rage amassée trouvait une issue, la porte vola, Séverin Gensac n'était pas beau quand il s'abandonnait à sa nature, la bouche écornante, les yeux hors des orbites, hurlant et brandissant deux poihga termes. Jeanne essuya d'abord impassible, une première bordée de propos frénétiques. Il ne s'étonnait pas de la voir dressée contre lui, la fortune le traitait si mal. C'est la lâcheté ordinaire des femmes elles n'aiment qoa le succès. Celui qui. rentre vaincu dans là maison n'est que trop sûr d'y trouver le reproche et l'in" jure elles n'ont pas besoin d'être encouragées & la trahison, leur mauvais cœur les y conduit de lui-même Il .y en a pourtant, qui reçoivent des leçons, et celles-là deviennent les pirea.~ On savait par qui Jeanne Duval avait été armée contre son mari on la connaissait, la vieille fée de la-bas; habile à souffler la haine. JEUe avait dit :<t Il est à terre, c'est le moment, écrasonsle. f Elle avait dû l'appeler par ses prières, ce beau moment, la vieille fauvette des deux mondes. Jamais elle n'avait chanté avec plus d'art, ai cassée que fût à présent sa fameuse voix d'or -si près de sa nn, elle trouvait s&n dernier plaisir à causer le mal mais il y avait quelque part la justice immanente qui la guettait. On la verrait pourtant, cette &n ai désirable.

Jeanne poussa un cri, battit l'air de ses bras et a'anâissa.Le Sot de paroles empoisonnées s'en arrêta tout court sur la bouche de Séverin Gensac. Elle était tombée surletapia au pied du lit et ce tapis était une magninque peau d'ours noir. Elle gisait la, toute blanche, dans-son déshabille de mousseline et dans la pâleur-de son visage. Qu'allait-il faire ? Appeler la femme de chambrot Ce aérait mettre cette.nlle dans Ia..conndencé deB

débatat~ .comm~ si ~e jtpQs~ea pom~a du logts, on

~àT~~as~n~ndQ.rcg~e~a~e~

~?~ 3 ~l~f


']~p~

~er~n~on;e~aS)~t~)' j

.ParMctp~piM~; ~jnen à changera rpgle~

~'àprèa ~aqTiëHe le parËt~e~sse construit comm<e j

~~B~c~~a!&<~er~~Ba6 '~a~aa~<Ët ~oas-

ii~~SB~aât~nt~~c~~a~ ~trani9iË{ doit ~cëoïaet~eë&iB ~Q~. ~Ex.T.E~ < j~'t~ ~~M~ s–. te~ë~~O~~Mt- j

-~<Tti~S~S!t~Tllt~V~I'a~3MBB S~~ a

-~<as6&ct6~îeipe~a~~a~iB~ a'~m~ëëai~

iB~B:pa~~pe~]~eM&u'paM~ <a't~r~ °~ .1

"reste ~variable, qùë&tHBiAàë~it'e~~éS&ai-

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Les TnalQ~s~ëha~s~tic 'soTit~s~es 3ëNiMrS/ t'ëlérms ~ùTaH~at~ea, 'Ma TevMBB~nt -chaque ~Tin~e, sLv~c'unc~teusc~coBËaTice, ceriàms que iB satu'tpBut~ir~ aû~Mt~û M ~y~ge.; .gu'un~ouT 'Ou.i~autrË~tu'~coTanmhc~M&re.Së.cblra ~a..ajestî~éjeaaia.u~ise~t obtien~~a ~a jsoJtiHon ~)U peut' e!~<l~i«~es't~er~eJa~.

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'~yez,~ar:BSO!'npie, =ce-qui 'sciasse à îa Soci6l!ê ~sÂëri~lteurs'de.~Fraiicé. Avec quelle belle tënacit~ guc~e :hstitB -coT~epHoii~e~sonT~ queHe.&U'obueic en l~av~mr~He poursuit depuis 1 tpenle-.deux&Dssaa œtivFedë~cDïiserv<ition na:tib- caïe f ~uteBJes~otiCBs M~ohtéa,~ou'tes le~com- :p&tenMs.ausi.es~e~u~jB~}its ~y jFenContMn~t. ~nnes~y~ornepoin~à~sëou~r, Miyfa:it 'une j ~eso~gnë ~l'&tiqu~. ~LM mesures'utiles gué, ~enj ânamteacî~N)TiBt.aTices,cHe'a 'obtenues des pou- T~irS publics, sont.'Tàjpcurl'atteE'ter~ j Get'teannëe~'sa. session 'B~eëtouvertc:~aiis'3e8 conditions toutes ;spËcia9Les. Au'.Biujnent ~aplementjnet~a~jBrntBre~iaiaà~ne~oi ~dîaeuitée, ;s~l<Bn jEut~ ;et ido-n~ le vote peut seatrahier-~es

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~ë~9~~iaàë~s,~<?~à~'éa~~ "~a~N~aa~ri~HË~H~t~ace~BQ~ ~n~~d~~ ~ana~a~aI~A~a~~ â~a~, ~ë~us~e~ iMsa et.~e'est;<d~l8 ~u~m s~ut !d~pë~~JEë~t ~~iat~aë~otH'~lus~ue~masBaua~. Se~ÈMiquas ~~g&é~dinige les~éba.t~s ~a~~e~tbnt~ ~ct:'e~)iis ~a'omconBaât. ~an~Ës~u~ ~uve~upe a-iproduit une~àndë '~mpres~o.B.sident ,a~~elê~ioùt~&r3. ja~la.Ge.~coTisidêra~le 4enue ~ar4es<o&uvM3 d~n~'êt~gCiGQ~B:<dana ~la grande mamtesta~bn de d~a~mee âeraiere, -Lies .quaMtes &e ~lot~Tace~s~r ~&nt a~6ntB~es"<âe ~a jnaniere ~a plaa ."BBista.nte, anaa3,H ajsu~ a gib~ adcEuration~adû~'janIchïries iNmtes de nt~re ipays et alsM ~Blle a~a pN <ae dëïendre~unecërtMne inquiétudes Ap)'esav~r-a'agpeIë-Ie~Yodi~èux ~ûi't tanj.é ~a.r<des~a~~5 ~oisms,, le ~ticces~ulïs ûBt~ob~e~u, l~orMeur s'~st, ~attaché re~ercher-~eB .cattSes ide icette jprospÉrîté .ye3oN;tai~Ï6, ~et .il,,a ~uy~ ~ie~àttoQt-c.)He'He ss Tnajn~estait;<:aM& meil~BQres JMMiMoiis anatén'ëtles jse jol~aa~nt 'de snemem~s eomËti'ons -morales.; à la ~~ëi'LorHe lailûstN~le <et commei'~a'Ie ~co'r-pë~on~ai-ent ~QB ~mssaRce~oTNique ~p.odntëstee, ;la..pal:x. Bomale jBiMus:~s3ttree, J.a ~a.imBe~!ussc~emë!A_Boasti~~e, ~cli~ân~M3u~I~?lus ~nHè '~t ~)la.s~ àan~'i~iD~~moms_Tourd~~Bs~b~~ ~e~OBJ!~eS~MBS~r~c'ocupÈs~ ~eEaNes~téMt~e pa~, âe :~es(~ ~M'' ilativ~ ~rïvée,-ga& assurer Ï:ha:eQn âa -~iÏ)M exercic.ede'aes aroîts~~ue 3e &eîen9j*.e Tes'bases SesseE~eHesde Ta ~sociS.ê contre les entpeprisea do l'esprit de secte et d~ùtopYe B.

Ea:;prj~e!icede tels .enseigaerneatg, M. le mar~iis de 'Vcgue.a. ~ait appel aa patri&tismeTie ious. s fn(~srchpM,aons a-m Sit CQ terminant, ~u ëBt Tinteret du pays, ~enaiôus inspirant de ~a ~oble devise du pdete~einin.eat qui vient de TnMrir: ~eeR'&&

-Ge~er langage -a été 'chaudement app~a~~d' Je n'ai pas à faire ici un compte rendu de la session. Ge soin inçocdbe à d'autres. Mais j'ai ~eB'u~~aaiuer~u passage les bornâmes de <bmr ~Qi~e~èBt~itha~Bl.~si fehnie le ~s~eau ~~à déTenëe âgrieblë.

~B~ême~mpsque~ssemtaêe 'deiaSocietê, Se 'iieB!ient-&a!is i~oteHiaspitaliBr idëia rue ~S'Aëtenes iesa~unions aQB.ùellesdesa.ssDçiatiûas qui émanent d~eUe l'Union <ceTïtpal~~des syndi-~ cats, le Syndicat 'central 'des agri.oulteuï's de France, rameaux de l'arbre vigoureux qui a dans notre terre de France de ~i profondes racines. Mêléde~i~s'-au&~râvaux'du-St/~M! 'ge "ne :CMi3 .~aa ~evolf.'&ppréci.pn.ci ~s&'n rôle. M. ~.auHnë'GoQte,son ~rés ~SisjHngu&SBcre'taiEe ~éne~~ 3'ad'aiHëtusdënm.en'un.rapport lumineux ~bsT.anti~.j~ourd'Jluique.I~as~eoçiatKonaa; attein't ~a~aut degré-dje-prosp.énÉ~ eHe s'attadteà elargir.~ea.se.r.YjGes'etàiaiderdès œuvres d'utilité agcicDÏe. M. JBaul Le -Conte a expose en termes excellents les eSorts faits dana cet 'or3i<e d'idées.'Les.applaudissements de Fassistance.lui ont prouve que les anembres -du ~adicat ceniral ;appréciënt les serv.ioes gué celui-ci ieur rend chaque jour.

Apres ~uae coucte et nae aHocuMon de M. de ;haroa de Lad&ucette, remplaçant rcmïnent président de rassociatioTi, M. Welche, empêche à la dernière heure, M.Deb6rain,jnembre nnsÏitùt, conseil tecimiqûe du Syndicat'centml, a prj.s.la.paT~e~ta vivement intéresse raudUoiTe -entracanne _~rograaiîae des~expenenGes scientifiques 'auxquelles ~.es membres du Syndicat jpren~foïlt -part ceit~ ~.nnëe ~ous -Ea "haute direction. ~e~a!s3B!ad'a~tMslei50m .de~liM i'exceUente impression produite ipar cette séance'pleine d'enseignements.

La.mem'e'rësenœ~neBï'estpas impoaêe & rëjgard de l~nion -centrale. J'en suis .charme. Cette institution <est de celles sur lesquelles -on ne ËaUfait~Mp appeler Inattention. Véritable .pépinière de-syndicats~ l'Union .'Ïburait depuia près de~inzeans à notre rS&l national tme~rame ~û~presgne partout, a ~germë au-delà ~de tout OBpoir.-Sone'uortestt.onsidërable.

Onnôsait.pas~assezies services qne Tendent les petits grouper do~t~Ile a Ïavorisé 'là foïTnation. Il&uHes-avoir:Tus ~œuv~'e ~pur -cpmjpréndt'e'ce<pi'on:peiit .attendre ~de leur -esprit ~iQiSati~eet!de~eur<entrain,daMs l'acti'on. Rs sont, dana.i'en'ectifde nos forces agricoles, quelque chosëtbmnie' la ~Gompagnio chargée de défendre junej)ositlon..S'ils doivent être-encadrés ~ar les autres ~'actions du T!egtment,-së tenir en contact avec i~ëtat-major -qui dirige â~nsemble ~les Mouvements, il 'n''est pas moins vi'ai que, dàn'sla.gpaBde lutte ~quë nous soutenons/le syndicat local constitue l&'venitablcumtode'comtat. Le premier des présidents de l'Union, M. Le 'TrësordeLa Rocguë, l~avait depuis.longtemps -coTnpris. Avec un zèle infati~uable, il s'était attaché j)our voir'chaque j'égion d'une Iforte organisation syndicale. La ~-moct de ~ee chef Tegretté C''aj'ien~eme?e<lesa cohésion à,ia troupe qu'il menadt avec .une si ~prudente ~tactique. ~Sentant aa nn prochaine, il avait désigné parmi ses lieutenants celui qui lui semblait le'plus apte à maintenir la discipline et à susciter le ~dévouement. J"ai~io:!mnë~N.Delalande.

.Sous~'habile dipection -de eoh nouveau-président, l'Uaion'cëntraie j&nnne chaque jour'sa vitali~~ienfaisan'te.Lejappoi't présenté a l'assemMée générale <ne laisse~ucun douter cet égara. Â.vec beaucoup Tde~sagacitê~en3ionnne habitue

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~~cS!-Mr lë~i~à~a~ ~e~ta îà~ts

~&v<)i~i~3~ M: ~ÏàlàMè &

~M~-e~hë~!}~~ -~Kt~es '6~ -dëiërmÎBe

~~Q'pe&~a~Sc~

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~n .Mid~dua~is~a~ ~a .o~r~m~e tétait '3HÏSMJ~

~eït.à. ~jeu;au.seBëtneat.~ si~ida.prDfessïBn-

nënë, et voiciqu.'au bout'd'un siècle de tatpna~jm~t~~t~'eSor-~p~ sC&Bsta~~u~n ~alt~sse j'o~ 4)n~a~yiBe-deTevonir iaJa '~jMne ~adition

m~~îta~e~tide deaiaanler<de n&HTjsauâ l'associa-

~.M~ 3ibrp ï'a'gcan~tiisseUient la ~rospër'tte. Ë~Bst~de ~<B jp<ë?eH ~~sir.~su ~e~~di~i~gN- -i-

tcaje.

j~r~ <otH!t i~t!tg-aJnstpi3.~u'6,J~or~@uï' ~oR~dereàe (~Mmin '~arco~Ni z jj ~.est consn~Eamais ïe -~ut Q~est ~as .'enc&M .aHemt. Â;;ms-

J9n3per a~s~onditions du QEavai~ ~jel~ecuojuier

1'outiHage, ~immu~er les prix de pe~ehï.~ <c'cst

~tïelgusc&oss, ~'est-jnême beaucoup. Mais ~ne

jEacbe~'or~dre jp~'s -eïey~ i-aco mte -cnc~ ~.ux syn-

dicats, -et'c'est ,pBur ~&CGBapi!r!u~e,FeBi~b~'e <eu'vi~e âea~pBnstU.uSOQjs&ciaïe que~e .pMBident~e ~Bion' ~alt <~pe'Itau coneouBS ae~s.~es Jiom~.d~o.ur~,p]~GeHehce ~e ~~r~~

~3ie~3à~b~l~ê~Bd, ~us~~etit~m~

-que. T'armHes~pBrs6haàn~3,"da mc&.9e~gN6pl~~

M. D~IaIande~s~6ttieÏl8meht,!ine ~e celles ~doM ~teQ~Ie~sp~r~~ûëa,~pas.-decu.

j~aimem~Qi-&&3'ëŒHa~a<iotês~ ïes poTtes du ~Eoncoin'sagNjMie Tienae~it'peiaedeB'ôu~rir~ :Pf.m6a -du toit iloapilaUer cous .ïe<p~ i~a a.'vaiBmi~sbUaide.deÔescendM'Ghague~Ms ~'Hs ~'eïiâi.e&tla.a~a, ies superbea ~limattx, gloire

nos €taëîes, 'oat'BSâQ trouvé aine litière ~a]i T~-

~QBBT~eBr~ëBiba~poi&t. ~.e ~raaid -Balais a '.re!Caei9ii4et!r~de~)pesse~: ies H~scuiësde~r~ssey -em~iaieëB'ta~jaur~~mi ~s Hercules de aBarbre ~<de i}MBze. ¡' ~e '~ïaj'tierai 'd~eax .<à 'quiazame. Mais, ~eias-< i6ups~entt<6c6tes~<Q~nïia.adês 'de iat~ieys~ët .~de

iX)Bes,aoNierMit'dejââ~étai~<6nos.boacberles.

~efncoïapteTenduiBe.ra'use ~Taiso~. funèbre.

'C3i. Bnïlàua .âe taTijaraiiêM

CÂMET DE M Cmm

Ose vente de charité &a'pr<dlt Ses ~anvrea églises deia~a~FoieetTdu Bern'auraliea le 13maMai'ho-iel <ie ,tà Société ~hp]'Rculture de .France~~rue de Grenellej 84. T~pus la recommandons chaudement la charité de mes .lecteurs~ ~ooiëtë ~pTir~~àssistaDce. pa~emieMe aux .anfa&ts .emp~oyés~iaBB~'înÔù.s~tie~les~ÏumBs'et'aesaéurs, me'ae'La'noT~~Q.–Fondée en 1~3. –Reconnue établissement d.*utilite'puëlique<h~893. Des meïabres'd'o la corporation-des plumes et ûeurs qui,!S)U'â'i!iitia-tive'd&i~n'd*eux, ~1. eharlas Petit, M3'4HÈE~Bt cette soieiëte~VtHen~ :pour .but-d'assurer à leur double industrie le 'recEatement .d'ouvi'iera hojiDetesetJiabilea, de surv~ill~ de moraliser Jeajeunea apprentis des deux sexes, en leur faisant donner ~instruction clêmentaire et l'anseignementprofessioBhel de coBapKt~r~nna -l'action ~e ~ur~famille ~sana prétendra èe'6Ub&titQer'&-elle), eh développant ~leurs aptitudes et 'efn recompensanHeQrs eS&rt~. ~our~atleindra .Ba~ut, da ~ociéié Bommenca ~ar jmetttB<en apprentissage .les -enfants ~uilui~taMnt adï~sses, avec~des -coTitfata ~redigéa~cua ses~auspices, et en plaçant chacun-d'~ux~ous la sur voiilance attentive d'un de ses délégués. <PuÏE.vcuIant stimuler Iaur~ele;par des récompenses mëritëeB, elle Organisa des concours annuels de fabrication, de monture,trempage ~tde'tcinture, ~concours~au~uëls, depuis ~8~sont'admises les apprentues ~lumasaieres~et dieuristea 'étrangères A la'SoBieie.~t-que suit tHie ~distribution-soleanBUe de prix ~M'is. de'conduite, .pri:s..de travail ~t prix de pMgfès, consistant.enûivKts .de-caisse d'épargne ~d'une valeur tie ~0 à 300 Irancs), en Tivrea, mëdaiS.es, etc. <3uelgues années plus tard, elle ~onda des cours gratuits'd'instruction pl'imaire/d'MBtoirB naturellejde dessin, et mit à la disposition de ses pupilles'une Lil)Iit)tbeaTiëcompos6e~vec~oiB.

~EIle compléta'enËn~Bon œuvre -ça "i8SS, :par ''cme tréa'tifh fûrt heureuse .et justement apprecioo. Tin certain nombre do ses jeunea apprenties que I.eurs.patMtisne~pouv;ai.entmloge!~ ni nourrir- et -dont,, la iainUle -habitait ~a~anlieue, échappaient é.-son aoUon tûté]aire.Ï'our<remeâier ce dangereux jncohyenicnt, clîe~onda dej)ëtits internats lui.permcttant d'assurer, Sous -une 'survëÛlaneë' materneTle ~t moyennaTit rettibution'parfielle con~enuoaveGle patroTi, 'le iogement eHa nourriture a des groupes <de-cinq jeunes ûlles.; 0n médecin, 'an oculiste, <un dentiste et ~m pharmacien furent attaches, des l'origine,'à l'~euyr.e nouvelle, et, deux ans plus tard, ~un vestiaire ;y fut adjoint, pour venir, en-aide aux apprentios les plus necessiteusea. Quatre de ces grdupoa da îamille furent 'successivement établis, et'les heureux eu'cts de t:ette création engagèrent plusieurs autres ~SocieteB~Timiter. A'n -premier concours ~de fabrication, ouvert en 'i868,le]iombredës conoutrents n'etaUque de-34, 'celui des lauréats de i4,<t la ~omme dis~'ibuêe ~ntre eux, de350 franca. En~93-1893,~n comptait 164 ooncurrents la ~ommo distrihuec .{en livrets de Caisse d'épargne seulement) s'élevait a 5,545 'francs. En ~93-1894, eTIe montait a 5,600.(~livrets) ;-en 189i1895, a '5,~8'l5 (i95 livrets)~ en t895~898'cnnn a 6,485 francs.

Pe'nStmt te dernier exercice ïa Soëieta'a placé-50 onïants, ot-le nombre de-ses patronnées ~veo<'contrat en .cours ~ete'de l'S6. Sea a-ecettes 'se 'sont elevees-a 37,7Q5'franca.; jses -dëpens&s à ~T.OSa francs. i~epuis'sa fondation jusqu'au 1~' janvier ~S93, ~Ile

:patronne/,l,ënîâ~s..JEHeiëui' 'distique-M Ï!'yrets86.768.'tranca. B~aia~nteies concours ~e, fabrication .~ontdevë'.jms ~iNre3'~l88S), jMcs~mWe'apprënH~ ~tranmers à .~a~o~te~ s S6S~d!oneauï'a]g€mBm~'a<B~4!§ait<B~~o~te'. rie et orfèvrerie, rue deYa JussienB~îS~recB~lemment ruedes Francs-Bourgeoia.'SS). –~Foadce en "1'8'75. ~A pour -'bat d'expi'tër Tsmutsïi.oh ealre'Ies bu'vri~rs, ouvriei-es/pprëntis~gt employes'&ëta bijbu'të'rie, ~àjoaai6Hë~ÛePorrëvrerie,~)ar~'adisti~bû''tibn~eipBix'etaeTéeomp~nse~d'en'cëafag~r'ptU- ides ~TMUjCOtM'à ~63 ~caviaux'se ~ttaieh'a.tA :<es ~industries .~e.icbnconNi-<au déyeloppBBient.'dë~~oo~eTd~desBm~ ~in~outerio?

J'&ar~attemdFe'ceJjnt~ Sociéë ,d~ensouj'~gem6Bt :'charjge chàgme-annëe les Gbam~j-ës symdiëales de la bijouterie etTOrpTiëlina:t d~a'bijouterie de aistnbuer ~~n soti nom, aux apprentis ies ptas méritattts< ua ~er~ihKi&ëibm-de rëcQmpe~ses~om~cmq-graïi~~ri&d.o ~88 francs landes par M. SfoTne'!it-?N~ujaco,~)a.M. ~rtJLat~EeTïHM<d,yaTSÏ. ~otn&~ï'on) ~aa- M. Em~ iSitgo~ei/par ~le-mëme. Eti 1898, outre ces cinq grands prix, la Société'e!a & fait<ii&trib:ier~in<de 300 francs et 18 variant de 10 à .50fran.cs. Ses recettes-pën3an.n'axBrCMeT~E8~~é~ontSIë- ~es à 4,4.8i~MnicsT; ~MtdëpBases .a S!,&79.~pahca.. j ~n~pitat,~<ji n~taSt~ati~~ût'~G~ ~e~35 :&&ncs., ~[ttejtgna'it a la ~n~c cet~e.xëi'&ice~O&~M "ftahcs~t'pTo;duisait'un revenu de~SSOJï~ancs. i 1<h~&ë!de iah§Oat~rië,~oaUieN~3iOElog<Ba'So. ar~v-~s'ieot industries'q'ni~ a'a.tta~entj Nie Tean-IjantieT, ~5. <Fondé en '1SS9. '–A ~)our ~ut <ï~adopter.d<s 'or~Mlios .dont Ras ~)Bres 'ap~pajtetia.ient .a j:es diverses industries, de ~eu~)rocuTer~.iBs't~uoïion., des secouK maténf;lsBl. l'apprcnïiss~ge, SMt en ~eë laissant chez leurs proches 'paJBnts ~t 'futeurs, Boit en'les TnBttaTtt'en pension, 'a'vec âne 'subvention., en ~ës'famant-visiter-et patroTiner ~pêtâalement par'sn <[e'Be&<telegu6s.

<t*~t:

~Euvre pluianthrepiquie lia ia yrapagation 'N& Tappren~ssà~e~ot'Stiplaceïn~nt ~as ~pr~ntiBM30utierSj~oaiMiers,~r!&es -et tSiesSmâusO~es ~uS -s'y Eata.a.Niant,-rue'chapon, d4. –oniéeBaiS89 par;la.-chamhi'e syndicale jiesdjabricants ë~jt)uHeM. A~onr'~utdo~acerjcIjaz'despatMns -dea ~appten- ~is ~ijautiers,JoaiUMM, orfèvres, ~etc., -de ~es surveiller après leur placement ét~ dans Ta'limite ses ressources le lui permettent, .do récompenser les plusméritants.

L'Œuvre a déjà organisé deux concours ~professionnels, ~estinee À stimuler ses patronnes.

Société ~ia~p&tronage atle ~Mf~m ~&es <ïëtenoes, Mbërëes et ~.bamdomneas. Asiie ~G <Sh&tenny,fue d'Antony, .4.3 (depuis 1.838 .prece~emmeat, a'UË de Vaugirard,71). 'Fondée-en 1837, sur ~'instigation de Mme-Fryj bien connue, pourra ipR~'t-gti'e~le a.priEe a.Iajeîormo, 'Ses prisona ~&.BgîeterrÈ~t"~3''Ma.Bde, '~r~tmB'de~aTBattIne~gnjjCBerchait, 'aepma &u'en ~838<llo'-a:vaît'vi~itéTeTeîuga'ae~iMrêes& 'Tann~'a 'i~Maûire'cn~fahceuaesemNà~lêinsliMttion~'av.ec 1e'coacbuT'sdëâa~nar~}uisë d~'ijaMa-û~e et~e Mïne Le ChevalHer.an~pcctii~e gencrale. aea pason~ -Reconnue ~établ. d'util. paHl. en ilëy~.A~Tni~siréepar .j -un oomite~e femmesei~in comH;e consultatif ~hommes, avec l'assistance des Sœurs de 'Marie-Joseph ~du. Dorât), qui dirigent l'asile. 'Cette Société ~'occupait spécialement, au début, Ses jeunes &lles'dclepues<n -vertu -de T&rt.@6du <~oâc pénal.'Elle s'eSor~itde~esiamëner~utien, les ~assistait matériellement'et moralement âpres ileur.libération ~neTeoueiUait.dansson asile'ceiles quiaMe- tt;aient d'y jpasser ~e temps de jour détention.. J5n 188~, elle .a .commence a rectieillir -également des JUies orphelines ou .abandonnées qui,-Eana ~voir etedéte- ] nues, se trouvent en danger moral. Elle les report entre six et quatorze ans, moyennant une'pension de .) '80'à35 francs par mois et :?) Gravies d'entreR. EHe les garde jusqu'à "vingt 'ettunms '(engagement a prendre), jles placera leur ~sortte~n'leur donnant Tin'trous-seauei~n .petit recule forme de la part ~plileur est attribuée sur le produit de leur.travail, continuelles patronner, et ies.héberge en cas-de chômage ou de maladie. E~o~es .place, même celles qui sortent dés dix-huit ans, mais sans Jeur donner de trousseau., et Sie DO les recueille plus dans Ja maison.

Jusqu'en 18S7, Basile de Gh&teaay réunissait ces deux sortes do pupilles. Depuis <!ette époque, i'admiBistratibn nelui''adressant~plas de jeunea détenues, telies de Ja aeconde Tiategorie .l'occupant -seules.

**3

A

Sociôtë de prptoctio.n des;"engragës yplentaires élevés sous ïa tùtella a&tninîstra.tive, rua de Nilan~ 1'1&M.–Fondée en 1878'(rtioSëguier, ?), par M. Foumier, ancien président'du obttëëil des inspecteura généraux des-prisons,'et SI. Félix 'V~i~in, ~noien préTct de poUee, conseiller & ~a tour de -cassation. Reconnue-étatil. d'util; tputiL'fend.881.

-S6j)roposantde ~régénérer :pa.r la jâisoipline.militaire de jeunes adultes dévoyës jnais.Non pervertis, -cotte Société ~'occupait seulement &u.début 1'' Des n jeunes ,gens élevés dans les ïnaisons d'Èdu- ta~idn correctionnelle, publiques ou ~privées, qui, ayant atteint l'âge de dix-huit ajis.~se seraient montrés dignes d'aide et de protection par leur bonne conduitëB.et qu'ella-poussait à -contratiter, ;EOU6 son patronage, umengagement dans l'armée. go Des « jeunes gens qui, frappés d'une condamnation'et.appelés au aer.vioe militaire, par/la loi de recrutement, auraient donne des 'gages certains de leur retour à.des SËntimonts honnêtes)). JEn ,l8S9, ado.ptant le nom qu'elle porte aujourd'hui, elle Tesolut d'élargir sa mission et d'étendre sa tutelle sur les eMants'assistés ou'môralement~bahdcnnéB. ~Pour atteindi'e~son but, la' Société envoM, chaque semaine, un de ses membres B~cnit'elenir, à'ia PetiteRoquette,-avec les jeunes ga~s.-majeurs de. 'dix-huit ans, qui sont aptes a t'engager~ eUo ~e met en relation avec'les directeurs dos colonies Ûe jeunes détenus.~esdireoteursd'agences de r&ssistanoe publique a TParis, les inspecteurs du service des enfants 9B&is- tes en~provinceeUes icoidnels deatégimenta~u ~ôYit IncorporéEsespatrolméa:

~ë&Mi~ .som~~e pcaista~ite, 4ait ~n 'ëntt~BaEHt ~ec ~en~ coiamie <ayec ~m'a ~efs, ,~6 '<MrMspmaance"s~dùe~<oM<eB~eB ~Msant ~isl~r~pâ.rSë3~~o~ne,&'âe~b~têes qui tëpresenl.eB't 'i6n~'rov~cë. ~uB~ëtr'r'~Mo~~ en ~bnne icon'~iûto'-o~ ~-aL~a&cëta~l~ ~a% ~tê~BaEpënSë "ëa ~~ty%t~Bm%&%B~bi~'~ë&ï'x'~las~iera&~ts.

'â:ëxp~s~&tiëet'vicem!iHa;H;r jma!g)ré le conseil qu'elle leur en domM.-its ~te ooBsentëntpKa .âTsejeB,gagCE,.elle lesai~o~i~verua emploi, a la 'ë&nâHibn qu'ils .présentent un <:ertiSca.t de Tjonne ~oa~utt~.

Ï~ -So~te/~t!pu!s~sa~oBas%ib'ii, '& 'vu'~an~.aBUmeat ~l~ver~ 'ëMie&'ë~e ~'iressot~~s ~t -~M~- ~e ~ep!'c!a~t~s&M'eBÏaîSia.Hte.'aB'ii~ Bn~~9,~Soo~te:a~H ~~eme i8~yr6ta<d~n~ur; <ai ??, ~3..ea~SO, eQ ~9~, 45Kn ~893, ~~i~~enâsaâ,

AùTG'-jaMei. ~7, ~a Société ~GGi~osee..de?SO jnembres) eo-mpiait 2,S7.8~tr-Nn~eë~ 9'bS~ ,tiet8 ën~T&S ~.e jaNnës 'aëteati6/a89 aUn~ùts %{)ïi~sni~s, et ie~este~mpOÈe '&en$MAa assistes -6a miaT<iSemëst Tabanâtm'Bès..

plT]~a.~ ~vaMnt-~it -âifHas's' eoTi~atcon'~o, ~v9S~ 'a.Mn6'at ~liae jjsnmB 'conduite:: .o une 'c&a'duitB~assa.Me.ou. ma~~ae~ JM;4 .eta~Bjd jengagés-; .<367~a.~cpt <.LQ.~a3e. 3E~; ~cei e~a.T~~B~H~e~. ,~S&cio~ p~~ô'n'seg&e~~eùta~ mBoËnce *&ë.~sa ~uteS~'s~ëMi~A'a~aee:'eh~B~ë. 'ÏSO~ pFopb~'ohao~BS~n.~B5~g~a'3a ~êt~Ï~ ~Mr~~j- <e~.m~n~t~n 3:S93~' 15~ ~89& & 46, .4S93&4S4~ ~'àm~d'ë~<mt~~BB~dcs ;geaneB,~enB :Tq~%Uje aYait sauvés par son patronage se maTtifpsta~t~ar'm~ autre signe le nombre des livrets de la Cadssed'épargne dont ils lui eonnaient'ic dépôt n'était en 1887 que ~~82.

E'ïnontaM %B ~89Î, <â. ~3 :{rcpre6on1~t ~,S~ ~r.~

~n 1693, ~89 4~7~ ~)

<n~93..&9!9 f 'ÛS~339~~ M 1894, à. 859 <( ?,~i30~)~ en.'i895,&951 'j( aa~SOa~J ~jes~aervi~sTremIns ~hr ~So<nêM =S&-pï'otection de'M'Ra?tt -âe plus ~n ~os ~mamï~stes, ~'adamustcatical, ~Bn'a<;i}Up demies Be fâ&païteïneatSj~G.ooTps~adi-ci~iMs.-ont vou~u s~assoeicr & !&pn. aoTtv.ce maralisaitnce.

T3.coBseits.~&nêBau~S63 ~mBicipaJitss ~tAiB~tfi~una'ox -subvem.iôrm'aiB~~en ~896.

T'!n loutre~ ~ës jures d.a tours n'assi~s toTit -sonvent entre efix, &~onâï~entio'n,ûeaco~eotea .gui, 'en i89~ neptadmsateni~s.mo'ms~e 3,8SO&.

~ar~t?teh!~nM)urage!nëBas~a Sb~iétée'estime~Mi<gêe, moa seuïemBnt -ËB~aniia'uer acti~ea~Bt son ceuyre, mais delà doveloppër.~cans -cesser BileisembiB bien résolue à ne rien négliger pour y parvenir. Paul (f'Auroy

.=–

,fiOIES' .1I~:t;r'A1ft£S

Y~~ëjRBMSë~<B4*A~S~s~m BhMpa ~Bans~B~ ~es .dorjuërB3~ëa,Bcës de fe~cien, atï ~aat,4~dBe<du~o!icappB}ait9apremiêM'd€lËbëra.tK)H~ur~€rojet de i)H reïaË.Ï à ~outma.ge~ûa 'ports ei~ux bases d~pÉr~ioBS -de la Botte. L'at~getice~claree, ladi~cassipn générale's'ouvrit ~urrms~Ssance -de Jiosidêfetisescôtieres. G~est de~Bntsgéiiëj'a!e. H est mêm~à Gonstater que Bous ~BBonguns petit-à ~)etît<x~nesu~'ea dëfensivas c[u'OQ avait amorcéea au moment de Fashoda.

Appliguce a~ Httor<)JaIg€M4unisien,cettt8 constatation .met en rémmiscence l'émotion gui régna dana cot~ 'dauMs ~colonie~, ~n <!et automne de 1898, aËûi's :c[ue Ma~ ae remplissaitde 'vaisseaux et dc.regicienb3,.<i;queiea<Glaireufa anglais, ecoisaRt en ~e de nos cotes, -sem~iaient 'avoir pour mission de-choisir Tin point de débaTquement.

Sur ces côtes, ÏB ïnatériéi <était absent. De ià, laper.plesitedu.conimanûement)YegMld'aU!eura manquadt~unite.

-Ua débaTqtKme~t js~ël'epaii-il sur le ïroni Dord?'0u~biens'6~ectuerait-il,da!is le -golfe de ~abès, ~ournuat~aiQSi les troupes groupées .a Ja 'hâte-dans raagle noïd~du ba~bion ie ~lûs expose, .cetui du ~cap BM~? J])e Jà, ~es .aUées et venues des garnisons~es déplacements A la recherche du meilieur lieu géométrique de la résistance. Ce désarroi et ce x pris au dépourvu D étaient cependant excusables en cette alerte.

~La dé~ens~ :dë l'Mgêrie'et ~dë -?&. T'unisie ~'aVait été ïn'traitée'ni prévue. Dansées -annBeB prëcéaëntes,intêgrit-e~e-CGs colonies, si t'approchées dë~a mêttpapoie, Tie-donH~it~ucuti sou&i. Ge sentiment de, sécurité était naturel et; ne m&nqunit 'pa-s'ae logiqtm ritaliû étMt ~quilibréo du côté ten-e, et'quant à l'Angl€t<nTe, "il ne paraissait pas -sûpposaMe -qu~Ue ~û't jeter -en Algérie les-350,088 hommes qu'elle a.débafquésau Ti-àns'vaaL

'Bien plue, ïiosilhiBions pouvaient 4tre entpetenues 'par ce souvenir que les troupes'd'AJgêrie avaient pu être utilisées en France durant'Ia guerre-de~70-71'et-que, BiàcettcoGGasioa nous avio'ns'eu A'AornifieruTie insurrection des indigo nes,-aous n'ûTione ~u~à tedouteraucuQ~ébartpMment-d~es orangers.

H fallut d~c, â-vona-neus dit, l'à-coup de Fasbpdapour nous ouvrir lesyeux.H importerait dorénavant de les tenir toujours ouverts. La diversion du Transvaal ne ser~ pas éternelle, et, d~Meara biesdes~ymptômes, daM 1~. politique turopëenne, noas conseillent d'être Tir6pai<és & tout é~noïnent dans ~a"M'ëdit:Taneë.

Que~convient-Nde: taiï'e dnnsj.&~ii'cûTiataQce? Gan'I~stipas assez de.~sB-di.Mque~ouspQS-

~A BOURSH ~aK3,~ell~afsl931.

."Toifteë le& !nbû\'ënesJiÏb :ce .inatinSe~aien't

ÏM~o&'u.garer ano'~onhf séance on B~ëte ~ësap'p6ttM%, on~a '~é'~HtitottnaUsead'e.~oh qu'on ait ~orteinënt'.ré&Ctionné,'mais !pom'Tin. 4utid~ios~ranEactions~ht~ê T~es et &iMoi- ~,tës,)cba~ge!hecLls.:Bùr ;lëa 'eotirs entête à ~eù,pteS jiuls..

Le 3'0/OJinit comme.samedi i0â3~ eUe 3~à ~S2, Argentin ÉS96S7~60, Brêsù en pert~ -de .~5 centimes '& 68 10, TExteneûrë 'est ~ble &Ïtmen~95-80,'Portugais ~54.5. y ~MTS turques mieux, '?~9 95, '€?? 65, D '50. 'Ee 'Rio-fihto ~aisao ~e -t3 fr. ~5S2, Saez 3,690, Rafûnerie Say 1,185, 1~ Thornson a-e- pule de la à 1,155, TractioB 113, Parisienne électjique 306, Métropolitain 485.

Le ~Crédit jyDnaais <6t 1,07?. M. 'Germain, "Comme ~n ,gfand nombre~de personnes, à ~té atteHit~e iagtippe, ~tipp& bénigne, 41=esl: Mai,~sgn'jl a ro$U l'aatoNsa.tion d'&Uër~ ;OnljtLeter~Mn jrétaNisScment ~lans le :Midï. [jaunisse peu iaiportants de -l'Rctibn <du ûrc- itt~onnais & .'montfe ~e :Ia Sottrëe était trë6ten8eigQoe~ùr9'etSL't-de -satité ûu prësittent de ~cette ;soci6tÈ. Les actionnaires ~u 'Qt'etiit lyonnais Sontconvoqaës'en a&sefnMoe <oi'dinai!-e, .pourJeSSTmaTa, àj~yjon.

Le Crédit .foncier s'est avance de 663 À 66~. On vn-que M. Marqu&s 'di Braga~ ~te 'rem'- i ~)laf!ëau.j)oste'de~ons-gouvei'neur du Crédit. ,tcticiëi-parM.deTr~gomain, dirËeteur da~ ° ~n'oUYem&nt général aes Tonds. -On me ~ouYait ~faire un ïnciMetir choix.

Eaïiqueinie!~atioT]ale374, A'friqued4i6ud 8&~

Aucua.chan~emeM~ur le& chcalina !esptt< ~fa~'c7t3. Bt!M~'?M Les Tîntes ponr~compî~ anglais ont ~nCta'e y` ~epe~r'tiëtfë~ladë~ an~gre<des Nobats lo~a'UKfiaassz~mpofîaBts.a-BeBoera.perd 3 fr. ~'y~ ~ja~~eMs .S 3! S03~a'Rand m~s ~3 fr. à. ~65.R<Mnsbi~.30 'a ~3 aQ. ~rtch -460~ Huelva-17a0 St ~G'a5. ~a %anue au -ma:T&he -des ntaleurs :6û.est~Mceittes~ I~ohares <& ~te ide 'SONy~au 'sâHs- e étante, ~t la ~au~eg-~om-s 3h{issBQt<6B 'aincnorfitisB.~nG&ld .Caast. Ajnalgama~d, notamment, cloiûM .en ~t~ussa 93 ii~~t. .&/4;V~é§a.Uie!galement~oe!ierchëÈ& 5 Iiv. st. ] 7/6,tMmtre~~y.~t.i' L'AbbbjatLSLkobtXst~aem&ndeë à 'l'Jiy'. <î.' 15/16.; ~nii'ConsdIidated <3~iv. 'st.. 9/HS, en.. ..av~nce~ ~anti~&rpora~bn 1 .11~. tst. Ë5~.ëëldSoast&gencym~v.~t. A.'eLËXÎ'ËN'Tf.

'<:HëM!J!.DB~E&~p~OR& -L&~ônlp~si~~Ti.ëh~smlûe~r du~foraj ) ~i'o.eeas~~s ~tes -de .PAquea, ~ieîrt de~M~~e~ies !d<$pôSitiBM!S<aH'~tes' A. SoNs j-ceer~ .de ~'observation ~M- ~p~9s coupons adejetû~s 'bUlaië~'a~- lM'~t Mtom'"3~~1yiatieîs do]H ~es 'Miatta.as ~oT~in&ëraesaû Tan-lf BpBplal~V.TH'i~ sjES'~Q.agSËg, ~~tTcs ~ar~F au ~sa'mcai ,;naTs â991 in~us ~stont valaMes ~usqu~&'u~

~tn~i~nclustM~eR~.

Obsër~'atiëd. ~eg ~Ëtlets.- ceTisocv~

~n~dnf~~ë~ê~~ëïmi!

~~ï~~ct~3pr9g~j~men~Btl&

~~15jp~

lJës`t~e~rna~iésûe', s~~#stl~~r~ ` y

~m;~mg~iH~g~Sï;Ë

°tps.a~x ,,gaj:ës -deu~~tirs tm .~nonis 'afânt'

;<:eMi-~e aep.~

:9is~&BN jâaM ~& ~~aitBTM~ée CM ~gn~e t~trat~ ~~e~a~<~r6~ë~em!er.6.ia~aiaahaB~BëHt ~ëtToMoa, ia~orse~t ~i~ërt~ ~qae ~H<. disposition peut..empêcher~a jonction de deux escadres ennemies, soit de la Hotte.italienne et "dB~a~G~aB~Bus~~oït ~aea~ux escadres &&< ~lais~ ae ~[aHè CBN€ ~G!b~-a!ia~ ~ue 'cettë~gnsO~-asi~ caope toutes ~jfantes al< lant ~ë~eata àTort-~Sàm~ qu~nÛaj.~ous .nos ira' yau& doivent ttiMtsister à assurer solidité da cette ~igne,~oBt<lëpend!'â ~e sort des AostUttea âana~ë bassin âe iaJMeâiterranee.-

ôans.ycdntMdir~duiau~laoua sdH per< Ihus dépenser ~ueee~ystëBlejl'est ~pM~ auaeBaa-'~gardexMiapl~e pouf -notre'ËmpiM~u~iapdda ~A~SUe.

J, ~ue!~ o~ Bh ~eUa situati~~e~eiuî-ca ? E!!a Bst&la Ms ~êrleBïMe.~ët ~uaisicnne, car Jea ~eu.Xtpàys~o'îveMt~tfûj-êums,<en e~rit~ ~uand ~Qexamhieceprol~èmBTmHta~r.e..

Cet.t;e situation ~st d'aboj'd repFêse&t~e -~ë~ra.h~quëmejit~aT une-cote, jonque, j5a.aa ~octs.a'Eilitant ;peu, .est ~r&i, nn dëbaKpHem~Rt., ~mîda <~Dsee~toQt'du~o~& .des ..p&ssi'b~tës. ~~s~r~ ~ëetipNs~~ï~s ~OGM~eËS, :jnai's .suMsa.Bttss~aT %ire ~r~eca &TagrossioQ;fl''UD:ë ici-ce~ ~a~e! "Bïi~tH.iaïaaa.'R't'~nsta~.a.e~Bbàr~jûr. 3P6UJ Nia

'déîiafi- ~n lPüi~sïé ~iflDt3D~~l s.~n~e.

;a~argiL:emen~ .ea Tunisie,, ;'1.8Q.OSû 3~î~is. -en .se*

ta~nt jes protecteurs, au pro~d.û~u~il~ua:~? ~leSfa.dT.cr.san'ûs,

iIjiËS~cîiëimcs ~e ~ër.paraM.ëles à ~a &Mc <eon~is< ~entiâans -un .Teseau ~sams itomogêaël~ ë~os6 'vers A~ger,

TL.'armêca'occt!paS6Ji?~e~ques-Q,S&C 'hommes, dHncHes à j~ter-à ~.poUcauR gauche, ~aree ~ua -les ~i&mepts de TQûbiEsaëoB <t dB ~oTmuandement ~e ~oH~ pas Të~Bis, et -que ~~aii~euM <~ss .ToT-ces ~peuvent <LT«ir à <con~sh' ~s .in~genea.

'Poserces qu~stMH's~sl; ï-êsa~dM le ~roMë.me. 3~'une mam~'e ~enera~e~ H Ta'ut ~ttribu<a' â~une $a~oa ~enna~e'nt~ a -cëHc .'gf~h~e ca~otiM ~ëa moyens tBatëiniels'qTH~uip~rmettp&m sau~eai'ria~tt~cas~cmpl.nre ÙBs ~mntunieaHcTisa.'vecl.aTB&tTapO~QrrMgëTic~ët'eMOTepiua la Tunisie ~STït~oYB ëe pGss~d'ST ies établisse' ~nents 'm~itaires et Mdushi~s'in~Mssa~ycs a l~n~ëtMB d'uBC~a'mêB, étant Aannée~'ausmëntation 'a'eÏE'ectifâ. pr~von' Vors d~upe 'mo'bHisatian, ëtant ~OQiië'ehicopc ïe'pa.rti'qu'on p~ut ttMr~eiceï'taiM ~KmBnisat-abespBTn'rëaforcer~ ~e cas écheaul.~ 'tes Qu'opes rëgdtieres., satis -coHJpter rarniement dësco~oTlis qui peuveiit être groupes po~r la~lë* 'ïën~iTé. Si l'o)i TûTilait entrer t[ahs leâ~tai! des mesures &;prendr.e'Ïës.~piQ~ ~hditpiees, on diTi~QKfit ceUesm~'deux pat'ts~ ~a~part ïnaTitime, la~art'conti.nenMe. .Du~ôté-de la~mer, il faut ûniïier ~à'dépense. 'S ~nt'cr.êer THië eiyisicn ~MalB TdBl~&IgénG-'f unifie. On,yTtiTi~e~ DiMS 11 faut eT'i'oùt).'ëuae;pr~ &ciure'm'antnne& Bi~rte, dont îa division'naT~le aine dejï'a'n~ora'i~ev~nt.

ïl~aût'un'port de j~Bn'e~Mërs-e~S.cLir, gui BsHeseu1 'mouillage possible pour ime .escadre ~m toute ~a cote si étendue de l~gerie, .at c'est JaseuIe~positiohmUitail'e.~er-s-JBl-~ëblï'sai'vemc ïe~assm occidental delà ÏSéditorEanëe, ji a una impoitance 6ga!e àBize!'te,-qùi~m'vcilIeIel)as~ siti oriental. A."part ces deux centM!S,'Ics -côîea l'Algérie et de la Tunisie n'ont'd'autre recoupa que les 'torpilleurs pour tenir roQnemi eares' pect.

H faut donG~es torptUeurs et tnemë des 'soas~ marins, & Alger, Bougie, Sane et' T~his. H y~ ~ieu'aussi'de-sHr'VjeiHer le golfe daB'Syftes~d'utiï'ser ~s Hes Ëerkcnnab,de ne~a'3 neëHget Bjerbali, 'annjju'tm toup '.de main ne ïa.sse ;paa de .cette pëtîtelfe enfacede Gàbës ~et-de 'Bon-6h'ar& ce qu'est Jersey ça face'de la'cote normande. 'En&n,uncâ.ële'doit:assurcràÏaTois ~s com-' mumca'tions~entre ~.ous 3es~slhts'dë latute, .puis en~re Tanger, Albol'a.n -et ~Espa.gnë d'une ~part, et les ca'bles du ~Le~vaut d'autre ~art.

'Sur terre, il importe d~nm~r le réseau ~rrêj 'dispersé entre'âinêren'tes~CbmpagnieS; de construire -le chemin de fer d'Acre viUe Ëeni-Man'sour, pour'Éviter la c8të -exposée d~AIger'; de créer dss a~pr'ovisiotmetn&tïts 'de 'matériei, et de procÉder Surtout rfttablissemeBt de ~J sieurs poudreries, conjoin-tetnent avec 'ùne'fabnquc da projectiles.. Le plan de mobilisation du personnel -doit ëtra t&llenient conçu ~u~il përmaHede jëtëriestroupea sufusantes l'endroit du.débarquement bypol,hêtique.Il faut &n outre penser a la mobilisation des indigènes et réorganiser, <!n ce qui ~es~oncern'e, les ;pTans des généraux Cbanzy cl .Saussier. Ëuûn, il y a a se ,préoocuperd'un réduit for.tinë., jouant lo rôle de 'Cn'ta~lans .la luTte.de Jugurtha., au <ias ~n perdrait, 'la cote ot oùilfaudi'aH.pou~yoir.durer. Constantiïie, .d'ailleurs, .paraît tout tndiqùée pour <:e.i'51e.

Si l'on acquérait ces 'résultats, ~intégrité'de notre empire uord-afritain se trouverait garantie.

Ainsi on aurait assuTë~autoncDl'ie de ~a Ëerbër'ie, ceci portant au double la force française sur la Méditerranée.

Notre grande colonie ~ër& forte ëi elle esl, une. Une sur teîTe, :avec Is chef-à Alger pour TAlgcria 6t la Tumste 'une sur tner, av~e le chef à 'Bizerta pourTunisie ~tl'ATgërië. V~n~t

B.Les "billets coIlMtiTs de fa.fnlUe~tout .Ie8.vM&Tit:cs~T&r:î~po6ttd )&. -no -M~) ~Ksenthnt des Tëau~tions quiHze A~tmra~te-ciaq pour cent sur ''les prix- de deu~ .,M]_lBts;BiEi.plcs serent ~ùletnMUms eh ~Hs< ~ritrutioh-à .ëe't.'të occasimï.iCt'aUM&l-uûe Aul'ëa' ûevaiitlité ~ttt .6'ieiecdfa jus~jiu y~ndre~ a.9'<a:vriiaâhs~Tnâ'Ha6e. G.Tjes MHets ~hebdomadaires .de baina' ~ë.mer,{taMÏ:spëGM~. V. ao.6, ~ha~itteH~. prësoMaQtdcs'radaci.ions.d~ 30 A :pOHTcant, auront la mQtno'dMrëe ~e ~'a~dite -qaa ïes'i.tiltels dMiefet rëittur individus pl-é~us a.U A ti-8~ëue, c'pst-H-dirû ~uë 'les coupons Se.Tet~m'des'blUët.s~a 6ëtte -ca.l.&gorle, délivres ~p~âa~'t la..période au BMti&ai :38 ~m~~dneMrëÛi'1'7 ~vril ~sro~t ~altMet j'usqu'au 18 ~vnl inclusivement.

CHEMINS DE FER D!! PA:RI9 A LYO~t ET A iNL MËBITEK~&~E

t'0!/a'~ps/c~'c<t7an's$ s~)!tr~ .yM?e~ Il~st-dêMvjRê pen~a~t ~toute ~'atmëe, à d~ ~ar6 ae î'-âius-L~o~~ aTMi ~So dahsâës~irincip~ëë ,g&res Ëitutas t.tlj'IëslURBï'aireSj'dea IMllsis ~B voy~es ~H-cuiftifÈS à a~mSt'aii'ë? 'iixes, ~xtt'-Èmefnent ~M-ics~erm<Mit -âo ~isl.ter, <e!i ~< ou en B< 'cloëëe, & d~â pNs H'~s Te- .duits, !es contrées -l6& pI.u'~MMr~~in~s .de. la France, ainsi que 1'A'sayia, ]a Tuntsie~ .l'ItalK, l'Espagne l'A~tt-iche "t'la Ëavi~. A\'ls inipoMant. LfB rengtfi.gncm ents les 'plus Ottmpiete ~ur 'oya~s icirau~Mirë~ et û'ëxCurs'ibti~prix, conditions, d~rtës :êt itinéraires), ait~i~ue'Sut ~ës ~iUets simples et d'alter et Tetour, cartes (l'~bGhnMie<tt, r61&tions internationales, horaires, etc.) sont renfermes dans Ic.Li'vi'Bt-Guido/of'~sl ëdj~é pat ~Tîitpn~aië~Tj.-M. tt Sais 'eh v~S ~u- ~ri&~B~8%eB~m'e6d~ns l<~5~,ga!'eâ, '~Mrea~ -:do.o~c't ~ass ;Ieg l)ibUo~i~ a~ë .~arcS ,~e3~.compagoiB'; te Iivreï:<g~. ~ëlemaht ~&' voyé contre 0 ~r. Sa, ada'essës en timbrespost< au Serviee'central Se l'Exploitation P.~At.~itMioité~ -bonlë~Hï'd <DldEr&t,_à à ~ariB. :tiSEM~ ~E 'fËH T~SMÈ~

'~xcua5!on& ~n"Tô'uMne, .aax ~l~eau~d~ ~ras~aë~à~.o'i~s.ët~uX~Ati6im;'alnéaH'ëa <8ë~a4~gne=dcSai)M-N~xair~Tgu'Btoi~ -ët~ '6T]ér&ha6.. Icf iti.h~rair.e.: i't ~â8Se~S'fràQB&t6ë~ ` ;ëS~nGs.j6u~e ~3'jo'ut'B. ~Ssj Or?e!ët6, Ëlms, j~ajbolsë, S'ûurs, ~GhNïDh~ëattX .~ur.&s.utB.ijOciMs Bt~ettrùf '& 'iTc~ts; Ls&' '~ëals, Êtnj~uf, Angers, ~fautes, ~aiat-K&* ~saire; -ttejGt'Msic. 'ËNêra&Se ~t j'ëtourà ~ttSt ~ta-Ëlois j6u ~ehd&jma, <iu par A'!ïgë)'ë, ,MH ~Chartres, ~tfs.at~t sur ~e reseau -âB i'~aBst. Se jtittëïaire;: dre e!asse,ô& li'ncS;S<~asse, 4'i?TanGs. ~r0 âë j6ûra. î'aMs~ ~rî~ïtSt .Bloi6,AmT)ôisCj Tours. Chenonceaûx. ~t fie~to.ar~~ours. i.~iesiËt ~our.â.S'oufS/~&tt-. .gaais'ëî t~ouir ~ans, -TM B~ois ~u ~tAd~me,

<!eÈ3H~ei<! sd~~61i~j-&s"iou'le l'a~sëe A fa~

~aa, & 'la.~aM-d''ÔJ~ë~-hs ~t[uaï 'd'A~stër! :a) au~ buM~ti&~suBCm'Ea.IëS de:9à 'iSoja~atguie -'jHt ~o.ùtesMeÈ~fM~6la~6DsM~spâù ~a'& ~ûa.Ds~pourVd'~uëÏa ;B<ïïiàndé ~n ~oit ifatM

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