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Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1900-08-08

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 08 août 1900

Description : 1900/08/08 (Numéro 6815).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k531110n

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 26/03/2008

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S ]: Une certaine confusion, :assuréinènt;passagèr,e, parait jobscùrcïrj jen ce. -momèiit, l'idée du '«. natiõ̃ nàlisme/».;Elle est.! bien' claire, cependant, cette f:idée7là;t}'une.;inàltérable 'clarté," et pas une idée .au mohiië :n'ést .aussi .claire I Mais politique; embrouillera toujours tputj: même ce qui ne semble, .'pas pouvoir s^mbrouillér.. V

Ce; qui' se passait il'y a .quatre ans, 'àrl'expio.-ision de l'affaire Dreyfus. -explosion aussi iin..prévue, "mais aussi préparée que l'explosion chinoise n'était que la réédition exacte, sauf 'l'.èiïusjon/dé^sangjde ce qair -s'était déjà passé vingt-six ans auparavant, à l'époque de ilà guerre et'dé rihyasipn allema,ndes: Lorsque géiïëral: ̃'•; ChAngarnier, irréconciliable adversaire de FeniT pifev.offrait ses ser-yiees à Napoléon III, et ..16rs-1 queNapoléoniniés acceptait, personne n'ima-' ̃ ;ginâit de nepas'troùver^làire.lldée à laquelle H?un etil'autre obêissaiërit. Lès pririceJ's d'Orléans,; quelques: semaines vplus tard; youlaiebt venir: cpmba'ttre -pour France', et,- encore, ^îdéëues "jirinces était de plus grande, clàrtéy, quoiqu'ils fussent lés; princes;d,'prléans et qu'on fût sb.ùs la répiibîique. ,Charettë-;e,t"ses, zpuàv«Sj au- même mp^nt,^se;baftaient sous le,drapeàu ti'icol6ré,et, Là'toujoigirsvl'idéè :dë.Charetté étàit"de;la simpliëîtéia.s^limpidéjvMe5;^?Mn^^âretîe et le

f~ràpea~ tx-iç~~ore pe'se fussNïit:uèr~é; ~~rsqqe=là,

̃̃V66Ù¥ent"t^oo^yis^"aàn3^ë;̃m0më̃'̃çamp;̃ Quelle' était donc, en agissant ainsi, et l'idée de Ghangarnier, et celléMlé: Napoléon III, et celle des princes; et celle de Gharette^ et même celle de Gambetta, lorsque Ganibetta félicitait Charette it C'était; de vàritl'assaut donné par l'ennemi à la France,; devant" nation menacée comme nation, d'abdiquer tout .sentiment, tout intérêt, toute opinion, "ftoute -conviction- politique,' et: .de nevplus-voip que la nation elle-même, de lié plus concevoir .• quel ce qui ̃ la cons titue fon- cièremeht,' antérieurement et supérieurement. C'était, en -propres .termes,' Vidée, nationaliste, QueV'faisaient' tous ces .Français, en faisant.ee qu'ilsfàisaient ?Ils faisaient du nationalisme L Lés -nationalistes, maintenant.– et tous les nationalistes -^admettent-ils' qu'une véritable. attaque & la France même, à la tiation même, se poursuit méthodiquement chez nous depuis: quatre ans, dans la destruction voulue et méthodique de l'Armée ? Je ne pense pas qu'un seul songé à le nier. Il y a trente ans, c'était l'attaque àla frontière, «au territoire. Aujourd.'hui, c'est ..l'attaque; à laràce.àii patrimoine moral và-l 'âme. Sommes-nous: bien tous toujours d'accord làdessùs? ;Oùi?.i..Je: ne m'expliquerais pas, dès 16rsj,:que Tidee nationaliste, cessât un seul instant; d'être on ne peut plus claire, aussi- claire que dans le cas du général Ghangarnier; de NaÊpîéon ITT, des princes, de Gharetteî et de Gam-

ëttà; "̃̃'̃̃• ̃ ''̃ > '̃•' ̃ ̃

4 '̃̃̃'̃ ̃̃•̃•;̃- ̃•*̃ ̃ Ôu:bien le nationalisme est cela, ou il n'est; rien. Ou bien il est le sacrifice systématique -dès politiques et des ̃ phîlosophies personnelles à la

patrie, ou n'est qu'un mot vidé de sens. bien

`~P,, tqu, motvlQ,e de sens. on

'il impose absolument, par principe, et également ` .àxhâ'cun'ï l'oubli de la république ou de là motnarchie, au nom.de \&, nécessité nationale! ou il n'est quHinè comédie. Cette idée-là, qui est tout le nationalisme, Déroulède l'exprimait èxcelJeinïnent, a l'ancienne Ligue 4es Patriotes «Réipublicain, 'Royaliste, Bonapartiste, disait-il, ne sont chez nous que des prénoms, Français est le nom'de famille. » Le lemps aime à reprocher au nationalisme .son a manque de programme poli- tique » Or, le propre du nationalisme étant précisément de s'abstenir de programmes politiques, de les éliminer, du programme national, pour ne plus voir que celui-là tout, seul, c'est-à-dire la k conservation française » toute simple, la « conservation, française » toute nue, avec tout ce 'qu'elle pourra ensuite nécessiter, le reproche du Temps n'est-il "pas plaisant, quoique du Temps ? On a défini. le" nationalisme un « état :d'esprit », et si ce n'est pas là, d'une façon positive, une"bonne définition, c'est au moinsHe canevas d'une .bonne définition. Un état d'esprit, parfaitement I ..Mais un état: d'esprit rigoureusement arrêté et d'après lequel on accepte tout ce qui doit rentrer .dans l'essentielle tradition nationale, comme on ..rejette tout ce qui ne doit pas y rentrer. C'est, en quelque sorte, un terrain, un sol, un climat politique et social, et ce n'est, en effet, que cela.; Mais encore. cela est-il, important,: et la terre l'on naît, oùFon. meurt, où l'on plante, l'on "Jbâtit, l'on sème,où l'ônTécôlte, ,ètl'on ne doit planter, bâtir et semer que selon la terre,: èûçore -cette; terre-là est-elle, évidemment,; ce qu^on doit avant tout sauvegarder et considérer! Un beau parc issu d'un Jmmus est certainement plus beau. que l'humus même, mais n!exîsterait pas sans ï'/iunius,. et n'existe que selon î'hu- 1 musi ̃ •̃'̃̃ "v ̃ ':̃" ̃ ̃;̃̃̃> .̃̃̃iÀfv\- ̃ ̃ ̃;T\ 1- ,.Etant donné que le nationalisme est ainsi le réteur à tout ce qui est: d'histoire,, nature et d'espritfrançàis, peut-on, avec logique, exclure de l'alliance nationaliste l'une des trois opinions politiques", royaliste, bonapartiste, "républicaine, ̃qui divisent encore le pays? L'une d'elles est-ellë indigne,: inapte-, historiquîément et tradition- nellement? ̃ 'l />.

La question, je l'avoue, me p'aralt étrange, tant elle est. simple et lucide, comme tout l'est, dans le nationalisme. Là; république représente chez jQouSjàrcette lieure, une habitude contemporaine, et çojnptè, coïnme services historiques," la libération de notre territoire opérée deux fois;: par ;sesTiçtoirës n y.a.cëntans, par" son gouvernement économique: il:y en -"à .Vingt-cinq. Elle.se rattache ,:dpnc'ii:la''France par ces trois points. L'empire .tienttout entier dans le nom de^Napoléon, etper- sonne, j'imagiriei^ie conçoit, aujourd'hui, ce nom épique,- ceprodigieux exaltant militaire, supprîjmês:ide rhistoifeânatio'nale"Reste la Royauté, et ce serait tien .vrâi.tnént 'ici une; stupéfaction, et la ;Çlùs forte de: toutésV si, quelqu'un; par hasard, au

~ôm meme: dti n~tiônâfisme, âùtrêmëüt`.: dit

)nôm i;inêmë^(iuJ.nationalisme, àùtremën'trditdii 4e -la tradition nationale. Quoi? Ce qui est cette -tradition même, pu presque toute, cette tradition! -Ii'optique électorale n'est pas tout^ et la vérité, le. -ï>pn sens, dans une manifestation bon sens et de vérité, yalènt, aussi qu'on lès considère, v L'une des raisons d'éti'ë'dù nationalisme, et la plus solide, c'est qu'il est -une méthode: de récdnL/cîliation dapsun pays où le moment est venu de se dire «îîà'Téepnciliation ou la mort » Les ïaîspns rapprochement 'où: l'interprétatiph peut entrer sont nécessairement illusoires;, toute ,pôrte^uyerte rintërprétatibn l'étant .aussi à division, et le salut 'public lui-même ii'est pas ̃̃̃ tpùjours un bon terrain d'entente, parce que chacun entend le; salut publj.c a sa façon. Mais il n'en -est plus demême desraispns de faits, uniquement tirées de la constatation d'évidences maté'ïielles. Vous pouvez être* partisan du drapeau -noir, mais: non soutenir, nsêm&'en étant son partisan, que le 4ràpeàù noir, spûs^un régime quelconque, s'est vraiment trouvé le idrapeàu delà France/nî contester que le; drapeauïblanc l'a été; ̃̃ etqùe drapeau tricolore -l'est devenu^ .Nous pouvons toujours ainsi nous diviser sur TappréY, ..i«iatioh:de certains grandsfaits- réclatants, mais jionsur leur niatérialité,;et: c'est cette "matéria- -ïitiévla ^àtérialiis-pême :do'ùze'; cents ans :dè ` ifié ^frànçaisë, q^ïi^twè et supporte le pacteiia- i Jipnaliste;:Ayezny,où5;;dana lé^ivrë dé::ïa>vie;.nà4 ^ipiaïe trad|ti<m^He, de'ia \yie:, hàtionàie. -iinfëï: ;#ri!îîQ pfiapitre^une^age, qui yous,y donnent' ^i^tVWÏ&^tïI&Mife partipolilipe, f

pendant un jour ou un siècle, il y a cent ans ou

mille ans, a-t elle été la vie mêmejde la Franco-' ^Vous-étes du-pacte,! Gomment donc, dans" qes ^t»ndiho'ns,4a monarchie ne Bèraît-elk> pas dû' pacte ? Gomment la .république pourrait-elle, par quelque point, rentrer dans Immatérialité fran- i çaise, si Jat monarchie n'y rentrait pas"? Com- < /nenj, en excluant la ro yauté et les royalistes, ou l'empire et Jes impérialistes, d une alliance dont on est par droit historique, lès républicains ne verraient-ils pas quils s^en excluraient eux-mêmes.:?. Gomment ne se 'rendraient-ils pas même .compte: et cela- sans reproche, par simple le

constatation scientifique qu'ils- ne sont pas,!

dans'l'alli vq. e sont .pas,

Adaris l'alliance, l'allié dont le droit historique est le plus fortement établi ?. ̃̃̃̃-̃̃̃̃ *V V^ ̃ Mais ne faudra-t-il pas toujours, tôt ou tard, ̃ rompre le.pactè?- ̃ 1 Etpourquoi?.Où serait le mal si, à la longue,; à force de .nous entendre sur 'un point unique et". 1 d'«trë-obliges,par les. événements, m&méé, tïôu's ̃ entendrelongtenips sur, ceVi point ûnique.lnbiis:- finissions, dans nos épreuves, par prendre l'hâ-bitude de l'union'? -J'entends, d/ici .-M, Charles Maurras, qui publie en ce moment une kès belle enquête sur la monarchie, nous dire qu'il est ) pressé, que la France est perdue si tout ne-seï; terminé. pas prômptemënt, que les- catastrophesi arrivent, qu 'ibëst. temps faire césserlà leçon. v Laissez donc la ..leçon -continuer. Elië, n'est--='pas" vfiniè; elle commence. La Providence nous la i donne claire,-et la" France, si elle "doit vivre, ne mourra pas d'une leçon ̃

Maunioo Talineyr

"T" '• ̃ ̃*»" .̃••. V.V

Se qui ^é^iiàs^i = LA POLITIQUE "i

aa~ions-NOUs

Quelques-uns de nos confrères voudraient que Ton procédât au désarmement des citoyens non militaires, en d'autres termes, que l'on appliquât dans toute sa rigueur la loi qui nous défend de porter dans nos poches dès revolvers et des;cou- teaux-pbignards.. J'espère bien que leur yoix ne sera pas écoutée Paris est à .certaines heures une succursale de- la forêt' de Bondy, et, puisque nous sommes contraints d'y. vivre, il parait équitable que l'on ne nous prive pas. des moyens ;dê défendre notre_bourso et même notre existence contre ceux qui pourraient convoiter l'une et, par voie de conséquence, supprimer l'autre.

Le docteur Boisseau du Rocher nous a fait connaître que police n'avait pas le loisir' de veiller sur les Parisiens.. II lui faut protéger l'on sait comment les hôtes distingués qui honorent l'Exposition de leur présence,, recruter la claque officielle, sur- veiller les nationalistes, ou les passer à tabac quand la fortùhe'leiir en offre l'occasion. Les malheureux agents de cette administration tutélaire sont littéralement sur les dents, et s'il, leur fallait par surcroît faire la' chasse -aux cambrioleurs, aux' détrousseurs -qui opèrent dans la .'ruè;_a,ux assassins qui préfèrent travail- 1er àxlomicilèT ils ne pourraient suffire à ce supplément de besogne.

.• Comme l'a fort sagement dit le secrétaire M. -Han>ard; ;a;ilfa.ut.,q.ufe les Parisieûs se défendent eux-mêmes». Eh; noua ne demandons pas mieux, et c^est pourquoi je. souhaite que Ton nous autorise ànous .armer jusqu'aux dentS'Si telle est notre.fantaisie. D'autant mieux, que la loi, si l'on s'avisait de l'appliquer, paralyserait les honnêtes gens et serait aisément tournée par les autres. Qn cache facilement un revolver sous un bourgeron, et jamais un-agent de police soucieux de son avenir, ne.se permettra de fouiller un homme revêtu de la blouse de prolétaire! •• Avec les bourgeois il serait plus à l'aise.- D'où je. conclus que les habitants de Paris qui tiennent à leur bourse et à leur peau feront sagement de glisser dans leur poche une bonne arme défensive.

II ne leur faut plus, en effet, compter sur la police qui est tout entière à l'Exposition. Si d'aventure on leur dresse procès-verbal, ils en seront quittes pour 25 fr. d'amende, et -cela vaut mieux à tout prendre que de laisser son porte-monnaie, sa montre et son paletot entre des mains anarchistes, et peut-être aussi de recevoir une balle dans le ventre. L. Desmouijns. ÉCHOS POLITIQtrES

Les lecteurs du Gaulois ont vu, hier, dans la liste des décorations ministère de la justice, l'élévation au grade de commandeur de la Légion d'honneur de deux magistrats fort réputés delà cour de Paris,, MM. Foïichon et Lefëbvre de Viefville.••̃ M.Foriçhonaeù une carrière exceptionnellement rapide.: il était procureur- général à un âge d'autres sont encore juges suppléants, conseiller à la cour cassation ayant à peine franchi la quarantaineTet, enfin, lorsque M. Périvier prit sa retraite, il fut nommé au poste si envié de premier président de la cour d'appel de Paris. M. Lefëbvre de Viefville est- le. type, du magistrat de carrière dont la vie s'est uniquement consacrée au culte du droit. Président de chambre à la cour d'appel de Paris; M. Lefëbvre de Viefville ne s'arrêtera ^>as là, il sera le successeur désigné de M. Forichon à la première; présidence, lorsque M. Forichon sera nommé .premier président de cour de cassation.- .•. ̃ Ne quittons pas le Palais saas dire avec quelle sympathie' y sera accueillie la nomination ;au grade de chevalier de la Légion- d'honneur, de M?"Devin> le très aimable bâtonnier 'de'. l'ordre des avocats. ̃ VA. •̃̃-̃̃Par contre, il nous\fàut relever les termes au moins;singuliers dans lesquels .est conçu le décret qui décore.M. Dupuis,liùissier à Paris, Nous -n'ayons aucun préjugé contre les huissiers1, et M. Dupuis est incontestablement un fort galant homme. Qu?on l'ait fait chevalier de la: ^Légiond'honneur, nous n'yfyoyons aucun inconvénient. 'Mais pourquoi diable .l'avoir décoré comme; huissier «.près la Haute Cour »? C'est excessif,. V ËÇ^ P~RIS

-,Un nouveau mouvement diplomatique, qui re-

cévrâ en septembre la côns'eé âtion`~é 1 Ô~i i`

̃ çeyra en septembre la consécration de l'Officiel;

est en préparation, au ministère" des -affaires étrangères.

Nous croyons pouvoir, annoncer ce propos; que M. Philippe Grozierj le chef actuel du protocole; est d'ores.et déjà désigné pour l'ambassade ;de Bérae pu la légation de; Bruxelles. ̃ Son successeur au quai d'Orsay serait non pas M. Mollard, mais M. Arago, gendre de M. Dupuis, ministre de l'agriculture, et par.même^ très = appuyé en haut lieu pour remplacer M. Çfoziéf ̃ Un sénateur ae nos amis nous Communique l'extrait suivant, d'une lettre qu'il vient derecer voir regrette général BorghisrDesbord.es ̃'}.

̃ ̃ ̃ -̃.•̃̃r'- .'̃̃̃̃̃- Hanoï, le 27~juin 1900.-

̃̃̃̃̃ Moïisiëurlë sçiraiéur,: /.V' .'<̃. ̃

̃>;i-\niBembie-bien'\au^n8'ùi.sont,trjopilo;jn poar être'' ;dLstrg,its par les: détaïls'tpie vous avez pbùr:objeetif essentiel de déconsidérer le gouv&raéineiit sans nom. que" vous êtes. î ̃ ̃ V ̃ v" ^JSou(8;Eiv6ns;:agi/en Ghineî^iefacoii^ïibyÈibie: i ;-iIuë3 événements de viennent- graves et'là. France se ] :dpute.it-eTlç.< qjie,; peut-être -avant.- longtemps,: .il' lui- ̃

faudra icr~cnq~a~. mïlte ldontane's ï: :.1

-jS.i-Ja^gTièMè ^^derÇhijie 'dpit '^ffitognceivinifeMiate- j;;l

îaêjntj "îioM^'amour de: Djeu'^u/oï-lsissé I^bli-Î i'

cation nefabte des petits paquets que chacun .£011%

damne et que tous .emploient. ` )'

x, .ii~ i~ ''is.s:7r

Ht)uïemenV3e tambour sur toutes les placés'

publiques àè France. Puis lecture -de ced « « Le gouvernement delà république" française i recevra a. Pans tous les maires des communes de France "La réception aura lieu le 23 septembre ». Roulement deJ tambour.. Ah 1 on va en voir des chapeaux et des redingotes i rigolo » t Nouvelles salles .au; Louvre. ;N Dè^s hier matin, à première, heure, l]équipe des ouvriers spéciaux on pourrait 'presque dire des ouvriers, d'art.-rr prganiiéè ;-par M. Redon, architecte^ .du palais du L'ouvre; et qùiïne chôme pas un jour deiîanaée,"a attaqué .les travaux- d'âménagemenVdupavilion de^Marsan. "On sait, en effet, que radmmistràtion; des bèaùx-àrts a "décidé d'installerle musée partĩ̃ culier des Arts décoratifs." ? .'Les'sâlles que l'on prépare actuellement seront _pccupéës par une admïrable.:collection;dè baii du mo^en-àgé et" de la Renaissance^ offerte par. un. généreux donateur) '̃' -t.' 5 Cette première partie', du musée sera rapi<le'̃̃, ment mise en état 'et pourra :être inauguçée

dans les premiers jours l'année prochaine.

I (

}, L'éminènt sculpteur vM. René de Sairit-Marxeaux vient de rejoindre sa famille, dans sa ravissante ef champêtre propriété de Guy-Saint"Fiacre, après avoir terminé -jusqu'à' la signa- ture le .beau monument destiné au tombeau du président FelixvFaureï Maintenant, si voulez savbir-çe que c'est que

ce;Çuy-Saiht-Fiàcre à plttorQsque, appellation,

y, P, ~N .PP.

.j. apprenez que .c'est .une. toute petite commune r normande^ituée à quelques kilomètres d& Gout-t nay enBray, c'est-à-dire à ^une «portée d'automobile » de Forgës-les-Eaux, la ville d'eau idéale si à lamode cette année.

BILLET DU SOIR

L'usage introduit ou du moins développé dans notre corps d'officiers d'utiliser le temps de ,1a paix à faire des conférences sur les choses de là.. guerre a beaucoup de bon. J'ai sous les yeUx une ces conférences qui est l'œuvre d'un ancien sergent-major au Tonkiri.pendanitle siège de Tuyen-Qùan. L'auteur, devenu officier, a.fait part à ses camarades du fruit de son expérience. Il pourra profiter à ceux de ces derniers ""qui partent en ce moment pour l'expédition de Chine. .L'ancien Tonkinois juge le Chinois comme un adversaire nullement négligeable. D'abord, le Céleste se défend très bien" derrière ses fortifications, lesquelles sont très ingénieuses. Il se sert à merveille des. enceintes de bambous, des murs de pagode, de la simple terre. Heureuseinent, son tir, soit d'artillerie soit de fantassin, est. encore celui d'un novice. De plus, il redouté le combat à à l'arme blanche et il n'est pas discipliné. Enfin, dès qu'il se croif' menacé dans sa ligne de retraite, il perd volontiers la tète.

L'offjcier français en Chine devra tenir compte de ces indications. Une autre observation qui, quoique moins importante, ne doit pas cependant être perdue de vue au cours des instructions à donner au soldat, c'est que les soldats chinois impressionnent l'ennemi de toutes les façons. Par l'oreille, avec leurs gongs, leurs tamstams assourdissants; par la vue, avec leurs appareils, dragons et autres.

Enfiiv et ceci ne doit pas être oublié davantage, nos soldats ont 'intérêt à défendre leur vie jusqu'au, dernier souffle,:car les. Chinois tranchent.régulièrement la tête de leurs prisoriniers/généralemeht après leur avoir fait subirles supplices que l'on sait. Si par hasard- ils en gardentj_ç:>st pour- faire d^eux des; otages, et l'exerriplé. des ministres a Pékin en cë.moment'iiit assez que; celte situation .est presque aussi affreuse que la mort "pour qui Ta subit. En somme et tout en tenant 'compte que depuis Tuÿéü-Qûânr('~884=i'885),'la Ghinôvs est devenu encore plus à craindre, la conférence que je cite laisse, platôt une place notable à l'optimisme dans les prévisions sur la campagne qui s'ouvre.

Goliath est mort. ̃ Vous allez me dire qu'il y a longtemps et que vous le savez. C'est que ça n'est probablement t pas du même que nous parlons..

Le vôtre, c'est le Goliath biblique dont le petit David eut raison avec un coup de fronde le mien, c'estlè pauvre lion de Roubaix, qui ût si triste figure en présence du taureau qu'on lui opposa. Bidel avait recueilli le triste animal blessé pour le soigner malheureusement, les coups de corne reçus étaient trop graves, Goliath n'a pu s'en remettre.

Goliath est donc mort, mais cette nouvelle, si elle y parvient, ne fera pas sensation au .désert, car Goliath n'a pas su porter haut et ferme la bannière des fauves

Les membres de la Société des artistes français s'étant réunis lundi, nous sommes allé, hier, demander à M. Vigneron ce. qui s'était passé pendant cette séance

-Rien de bien intéressant pour les lecteurs du Gaulois, nous répondit l'aimable secrétaire de la S. A. F., nous n'avons examiné que la situation financière de là Société.

Mais, depuis la> fermeture du. Salon et du concours hippique, la place de Breteuil n'a pas changé de physionomie, les constructions pro vitsoires que vous y avez fait élever sont restées intactes, cet emplacement que vous vouliez souslouér vous, serait-il resté? Ce serait là une perte sensible pour la société.

Non, nous avons loué terrain et matériel à des associés dont I!un nous a donné une garantie jusqu'à concurrence de 100,000 francs ils vont,; je crois, y organiser, ces jpura-ci, des fantasias, ̃'̃ des carrousels, etc. ;~dans tous les cas nous som- mes persuadés que nous rentrerons dans la somme intégrale que nous avons verser à Ville de Paris. ̃

Et le Salon de l'an prochain ?" ̃ II se tiendra, vous le savez^ dans le Grand .Palais. Le ministre des beaux-arts est^tuelle-: ment enpossession dès propositions qùe^de -con- ] cert avec la Société nationale, nous avons faites. Nous demandons, pour notre Salon annuel, l'em-i placement occupé présentement par la décennale, avec entrée sur l'avenue Nicolas II, et la So-rciété nationale' demande celui qù'oGcupë la cen-tennale, avec entrée sur l'avenue d'Antin. Lès! deux Salons auraient" lieu à la même époque.' Alors la fusion. v- Iln'enestpàs question le moins du monde.j, ̃̃Tel 'est donc l'état du .monde où l'on peint ce^ 8 àoûtde l'an de grâce 1900. ̃'̃ ̃ 1 Le tombeau" français des rois -d'Italie. 3 Le roi Humhert va. être inhumé à. Rojnej au? Panthéon, auprès de son père, le roi Victor-,

Emmanuel, '̃̃ :s

Mais- ce sont làles deux seuls princes de la*

maison dé,Sàvoie dont.la dépouille m se

maispn^de Savoie dont. la dépouille mortelle se

trduverà;ensevelie en terre romaine. En effet, et. c'est une situation vraiment" trèé curieuse, la'nécropole de la jnaispn.de Savoielest eh terre française, au monastère de Haute-Gombe;

̃prèsdeGhambéry. ,;̃ ̃̃̃ r

G'èstlà une conséquence .de la cession de la Savoie.à la France, après la guerre .victorieuse de 1859 un protocole ajouté au traité de.: V-illafraiica: n'a point demandé réxterritprialisatibri de* ce SaintrDenis de: la famille royale de Savoie, ̃ et asimplement prévu qu'il resterait un religieux asile de mort. ̃' > ̃L'abbàyè de Haute-Cômbe, devenue immeuble français, garda les tombeaux dès princes enterrés depuis sa fondation, au treizième siècle. 1: Ces -illustrés défunts reposent sous :yingt-huit mausolées de pierre vblanche,, qui fprinent :une sorte dechronologië funèbre "des "membres de- la mài?pn de Savoie. ̃̃•̃ '̃̃̃ ̃' '̃'[̃̃̃ "̃̃̃̃ Jamais autant de mQndene s'est vu aux fêtes sportive^ d'Aix-lestBains.jDiiûànclie" dernier, pour la 'grande journée du CoupbyrW hippique, lès "tribunes et la'pe)pusé ^étaient bondées, et le ^pi Georges de Grèce assistait •̃& cette superbe `

̃réùnipiiv: -JA^ Vr^i^v-^v^ô. ̃<>

^^e^F» f ^ilM^s tlpurg^an: ie^tival Kies,-

| tnieux composés attirait tout l'éjément élégant et

1 mond.am de.la coqaetlè station.

Foule d'une suprême e élégance^ chaque soir,

auxFolïes-Bergèie, dont' le spectacle est -fout'

simplement extraordinaire. Les vingt numéros qui le composent sont d'une dheisité rare Citons ( entre autres Baggessen, le casseur d'assiettes hilarant les sisters Hengler, danseuses et chan- teuses américaines d'un charme pénétrant, et les Lornson, cinq mignonnes chanteuses anglaises, dont Greùze eût voulu enrichir son œuvre géniale.- M. Marchand n'avait jamais, jusqu'ici,: -élabore un programme d'une aussi absolue per-

fection. ̃̃̃•̃-̃= ̃̃•

-.̃̃ ̃ .A travers les livres

.^Annonçons mise .en vente d'unëf nouvelle édition de SaTis Dogme, le -roman H. Sienkiewiez, l'auteur du curieux livre à succès Quo

̃Vadis) ̃̃ ̃:̃̃̃.̃̃̃.̃: ̃ ̃̃̃̃ ̃-̃̃̃

IMOUVEtLESi À LA MAIN

On parle, -au 'cerclé, d'un Vieux beau qui,! après avoir brillé au-delà des limites- raisonna-! bies, grâce à son art de réparer les outrages- du temps, semble maintenant tout à fàîtiàu bout de son rouleau. '.•̃̃ ̃"̃ :̃̃ II est fini, il.s'éteint tout doucement. Dites qu'il s'est teint toute-sà vie 1

Les enfants terribles.J^ > >- :;?,Bob, au dessert, s'adresse à un familier de la maison, notable commerçant.

–Dis àom, papa racontait rautr^e jour, que ta maison tombait en déconfiture quand tu revien- dras, tu- n'oublieras pas de m'en apporter un:

pot! :r ~• ̃•̃ ̃;̃̃:̃_ :•> ;•̃̃'

Au)t GhampsTEly sées lecarlin d?û'ne femme fait' des agaceries à un vieux -monsieur qui évite avec > soin de répondre à ses avances.

La dame, un peu froissée

̃̃ Vous n'aimez:pas les chiens, monsieur? PardoUj nîadame, j'aime beaucoup leg chiens.mais j'ai horreur des puces t ̃ Un Domino

<& ̃ ,;̃̃ ̃:

I~A. :M:<DI~T

DE

WILEELMUEBKÉCBT; La démocratie. socialiste, allemande vient de perdre un. homnie qu'elle ne remplacera pas.: C'est à Liehkhécht, beaucoup plus qu'à Bebel, àSinger.et à d'autres partisans de l'évolution sociale par la. lutte des classes, que le parti socialiste allemand, si fortement uni. en face, des. classes .conservatrices et du parti militariste prussien, doit d'avoir en ces dernières années fait les progrès redoutables qui ne cessent d'inspirer à l'Emperëundes, paroles et au. gouvernement ailejmand des actes destinés à en enrayer les effets dissolvants sur la masse" ouvrière.'

Liebknecht est mort hier à Ghalottenburg, à

auiArtiiic-4uu.i,uiz.u.iius..

Le leader -de, la ce Sociai-Démocratie » au Reiçhstag, où, depuis une douzaine d'années, il reprèse'ntait'.uiieJJes.circojiscriptions les plus populeuses de Berlin, s'était. littéralement surmené j;es temps derniers. Député,, directeur du Vor̃ti)œrts,.lG fameux organe socialiste, Liebknecht isans trêve, ni repos, menait unru.de combat, par la parole et par la plume, contre, tout ce,qui, pouvait entraver la marche ascendante du socia-

lisme. "̃'

II y a quelques semaines encore, le vieillard prenait laparole au Reiçhstag pour fulminer, clans une de ces philippiques dont^il. avait le se;cret, contre l'adoption de la lesc. Heintze. Raconter la vie du célèbre tribun alle{mand, ce serait rappeler l'histoire du socialisme en Allemagne dans ces cinquante dernières an-

nées.̃

Ge n'est pas là, pour aujourd'hui, notre rôle. Liebknecht a, pris une part si importante et si décisive dans les événements qui se sont succédé ;en Allemagne pendant un demi-siècle, que sa ^physionomie s'est imposée à l'attentiou française ^depuis bien longtemps. Son attitude indépendante, presque sympathique, vis-à-vis de la France après nos désastres de l'annéo_ terrible, sa lutte héroïque contre Bismarck, qui ne connut pas, pendant sa carrière, d'adversaire -plus redoutable, lui ont valu opinions socialistes à. part bien des sympathies dans notre pays.

Liebknecht, n'a jamais transigé, lui, avec ses principes. De même qu'il était d'avis que la « social-démocratie » devait s'abstenir de toute compromission même dans un but électoral qui pouvait la servir avec les partis « bourgeois », de même il s'est-élevé, fidèle à lui-même, fidèle à son passé, fidèle à ce qu'il considérait comme la traditiondu parti socialiste, contre l'immixtion de la presse allemande dans l'affaire Dreyfus. J'ai eu l'occasion, au mois de décembre de l'année dernière, de causer longuement avec le chef du socialisme allemand des événements qui passionnèrent si vivement l'opinion française, et trop vivement, surtout, l'opinion allemande. Liebknecht ne se gêna pas pour les apprécier avec la franchise qu'il eut de tout temps, en toutes circonstances. -̃̃̃. ̃ Je le vois encore devant moi, avec sa belle barbe blanche, dans son logis propret et presque bourgeois de la rue à laquelle les gens de Gharlottehburg ont eu l'àttentipn de donner le nom deKant, le philosophe, marchant nerveusement d'une^ pièce à l'autre, s'arrêtant.parmomentpour prendre son repas un peu de jambon et deux-œufs et lançant ,ses malédictions contre l'Affaire qui avait divisé, le parti socialiste en France. ̃ ̃ -'̃.>

̃̃'̃ Gn "ne pouvait pas le soupçonner d'une tendresse exagérée pour notre état-major. Et cependant Liebknecht en prenait la défense. Il me déclarait n'avoir jamais cpu à l'innocence de D're'y-. fus et basait sa conviction sur des arguments et des faits?-que le Gaulois s'est empressé de reproduire à l'époque. ̃•̃

Mais je crois qu'il m'est maintenant permis de reproduire son opinion celle-çi.restant d'actualité- flagrante-– -sur l'entrée de M. Millerand; dans le eabinétAValdeck-Rousseaû. C'est une des choses, me disait Liebknecht, que je comprends le moins. J'ai le sentiment bien net que l'acceptation par Millerànd d'entrer dans un cabinet bourgeois est la faute la plus

impardonnable qu'un socialiste ait.pu cqm-

oîettre, ̃ vPuis, passant à la démonstration, le yieux dé-

mocrate ajouta ̃•'̃"̃'̃ ̃ ̃ '̃̃•br. ̃

-Un socialiste qui entre dans un gouverne-

naéht "bourgeois passe à l'ennemi ou se livre

g passe à- e rvre

à la puissance de l'ennemi: Millerànd a. beau se considérer comme socialiste, il ne l'est plus, car il ne.cpmprend plusL l'essence même du _so.cia-

lisme'qui est, qui restera lalutte des classes jus^

qu'au triomphe final. des V JUS~1- ::» Remarquez mon raisonnement le parti socialiste a-t-il gagné par l'entrée de" Millerànd dans le ministère? Non,: au contraire L'affaire

Dl~éj<fus, devant.l'attltudé de`,cértàins.sflcjaiïstüs;

r Dreyfus, devant l'attitude de*:cèrtàins.spcialistevs,

1 a détaché de notre parti un grand nombre d'adeptes; ̃ '̃•̃ "̃̃-̃ Si Millerànd, en fourrant son programme danà sa poché, a -voulu prouver qu'un socialiste peut devenir ̃ un aussi bpn ou aussi mauvais ministre .;qu'un autre dans .un: cabinet bour-.ÇeoiSjjé' hé.- ypis, pas "en.qùoileparti:socialis.té était intéressé à cette expérience."»"

-Liebkîiep.ht>x 4pnt ropiniôn fêtait redoutable}

ptrap les i ̃soçiali§.tè9:frà.nçaisj àifini dans cêsVder-1

niers, temps .par 'Consentir, à fajre sàpaix'ayec ]

nos leaders d^l^xtrê^e^gauc^ièV' ^w A i

̃ Jfme^ouYieûSd'Iui^ttre de Meules Guesde^ I

pleine de fiel et de méchante humeur contre-aes s

càmaiades on socialisme qui s'étaient raogés

sous le sceptie de IL Jean Jaurès-

Liebknechtme montra cettelettiedeM. Guesde, écrite au moment du congrès socialiste de Paris. Voyez-vous,' me disait le vieux socialiste allemand, Guesde et Lafargue, voilà de vrais socialistes ils ne mentent pas à leuis principes, et se conforment aux besoins du parti Eux,pn ne les reniera pas.

L'attentat contre le roi d'Italie surprit et indigna Liebknecht. Le Vorwœrls ne cacha pas sa réprobation contre l'acte de Bresci.

Liebknecht avait eu l'occasion _de me donner lui-même so'n^.ppréciatipn sur les anarchistes et les régicides en, particulier..

A propos de Caserio,. l'assassin du président Garnotjlè leader socialiste Liebknecht me confia cette pensée

Les anarchistes sont' des réactionnaires ils favorisent, par les attentats, la plupart du temps irréfléchis; des actes de tyrannie et détachent la massedes idées sociales-démocratiques. Ils vont à rencontre de leurs intentions. Lés socialistes ne peuvent marcher d'accord avec eux. Quant à moi, je blâme-énergiquement les actes qui n'aboutissent qu'à rendre les victimes sympathiques quand- elles ne lé=sont pas et à leu,r faire un piédestal de gloire.

< Marcel Hutin

̃ +*

Cir

B/éc-Nûtes Parisien

̃- LE CHAH PHOTOGRAPHE

MozafFer-ed-Dine .aime à oublier de temps en temps les charges du pouvoir pour se liyrer;tout entier à:: dès

distraciipjvs/piigiiflès. î. 2: -Vv

-lie plaisir favôri-de'MozafFer-ed-Dine est en ce moment la photographie. Tout ce qui touche à cet' art l'intéresse et le charme, et il ne serait pas surprenant que l'on vît un jour s'élever, sur une place de Téhéran, la statue en pied de Daguerre. Ce goût du souverain persan s'est manifesté visiblement durant son récent séjour à Gontrexéville.

Le matin même de son arrivée, Mozaffer-ed-Dine était appuyé au balcon de sa chambre à coucher, regardant; en souriant, nos belles montagnes vosgiennes qui devaient lui rappeler en miniature r– l'Himalaya dont, suivant l'expression du poète persan, le faîte touche au ciel, quand il vit apparaître quelques-uns de nos confrères portant en bandoulière un appareil photographique, arme dont ne se dessaisit jamais un reporter, digne de ce nom. ̃̃ Avant que nos confrères eussent eu le temps de préparer leur appareil pour saisir les traitsde notre auguste visiteur, celui-ci donnait l'ordre à son photographe de lancer sur eux son « instantané », ce qui fut fait aussitôt à la grande joie de Mozaffer-ed-Dine et à la surprise de nos confrères.

L'indulgence du Chah pour les photographes amateurs ou professionnels a été poussée à Contrexéville jusqu'à l'abnégation.

.Chaque fois qu'au cours de ses nombreuses promenades pédestres, il apercevait un appareil braqué sur lui, le souverain s'arrêtait, faisait placer -à ses côtés les hauts dignitaires qui l'accompagnaient et formait bien- tôt un groupe qu'il livrait à l'indiscret. Mais' sa bienveillance tournait à l'hilarité quand il voyait des enfants, munis de leur kodak, s'installer familièrement devant lui pour lui prendre un instantané. Une caresse et une pièce d'or récompensaient toujours ces petits photographes de demain. A propos de ces pièces que le Chah a distribuées à profusion, il faut queiès esprits malins se rétractent, qui ont prétendu quelecuivre leplus puraprésidéâ leur frappe. Ces pièces, à l'effigie du souverain persan, sont d'un or exempt de tout alliage. ̃

̃•̃̃ ;'̃ ̃•* v >

Parmi les. photographes amateurs qui ont le plus poursuivi le Chah à Contrexévillesans que le souverain s'en trouvât importuné, on remarquaitune fillcttede six ans, aux longs cheveux ondulés, mignonne à souhait, qui suivait littéralement le Chah, ne pouvant pas, à cause de ses petites jambes et quelque désir qu'elle en eut, parvenir à/rattraper lé souverain dont les grands pas la laissaient tou jour en arrière.

Le Chah s'aperçut sans doutede ce manège, car il fit tout à coup volte-face, livrant ainsi à la petite photographe son visage souriant que l'enfant joyeuse saisit avec une extrême rapidité. Puis elle prit la fuite, laissant ainsi son << modèle » surpris de ce départ précipité. Trois jours plus tard l'enfant entrait dans les appartements du souverain.auquel elle apportait, attachée à un ruban de satin vert, une épreuve de la photographie qu'elle avait prise.

Le Chah l'embrassa et lui emplit les deux mains de pièces d'or. Si le goût du souverain pour la photographie n'a pas diminué depuis son installation à Paris, l'invasion des photographes a augmenté dans d'immenses proportions, invasion, nous devons le dire, qui s'est beaucoup atténuée depuis l'attentat auquel le Chah a heureusement échappé.

Les allées du parc de l'hôtel des souverains ne ressemblent plus comme auparavant à une sorte de camp retranché, dont les fusils étaient remplacés par des trépieds et les gamelles par des kodaks de toutes tailles; où des plaques, encore immaculées, gisaient sur les pelouses, comme des sabres encore vierges du sang de l'ennemi; où les récipients de collodion attendaient le moment du travail, comme des cartouchières, l'heure du combat. Mais ces mesures qu'explique la plus élémentaire prudence et qui ont été prises, pour ainsi dire, àl'insu du souverain, n'ont jamais empêché le Chah de commander à nos photographes les plus cotés des vues cinématographiques qu'il se propose de rapporter dans ses Etats, pour retrouver là-bas les scènes principales de son séjour parmi nous. Pendant un instant très court l'automobilisme a failli, dans l'esprit du souverain, nuire sensiblement à la photographie.

Pendantquelques jours, en effet, des- inventeurs de nouveaux moteurs automobiles sont venus au" palais des souverains faire admirer au- monarque les perfections de leur système. Mais le Chah s'est bientôt lassé de ces visites. Il les a toutes supprimées, non sans avoir'au préalable fait photographier chacune des voitures qu'on lui présentait.

Le souverain asiatique, nous l'avons dit, a attaché à sa personne un photographe. C'est un général de son armée, un haut dignitaire.qui remplit ces fonctions à la plus grande satisfaction de son maître.

Cette véritable passion pour la photographie indique chez Mozaffer-ed-Dine nous disait hier un person- 1 nage qui connaît beaucoup le souverain persan 1 en dehors de la distraction qu'elle procure au Chah, un besoin de s'instruire sur toutes choses. La mémoire de l'homme est fugace.

Aussi Mozaffer-ed-Dine a voulu que rien de ce qu'il a vu de son voyage en Fiance ne pût échapper à son ` souvenir. Et il a demandé à 4a photographie de le reproduire d'une façon exacte et visible.

Tout-Paris

̃ ̃*̃- ̃

LA

QUESTION E.'

ÇOSÏFOT, AIGU

'J'ai démontré dans tin précédent article qu'entre .M, Paul Doumer, gouverneur général de l'indp-Chine,etle cabinet de «défense républicaine»,^ la guerre était déclarée que la correspondance adressée par ce haut-fonctionnaire à ses minis- très avait un- caractère de violence, une allure impérative et hautaine dont, seule, la lecture de ces documents pouvait donner une idée.

Depuis, 'le conflit s'est encore aggravé et les choses ont pris une tournure qui ne dépare pas

tl'éàt d'anarchie officielle, se trouvent à l'heure

z e o se trouvent a l'heure

présente la" République et son personnel. D'une part, le gouvernement fait aunoncer que M. Doùnier ne doit pas prendre de congé et qu'il ne rentrera que lorsqu'on, lui aura trouvé un remplaçant. Lés feuilles officieuses donnent même le nom de, certaines personnalités aptes à recueillir la succession de "M.- Doumer.

D'autre* part, M.. Paul. Doumer répond qu'il entend prendre un congé en novembre, venir à Paris-se. concerter avec ses amis et voir ses fils, djpnt trois sont à Làka.hal et Paîné Saiht-Cyr î-ii ajoute Vquè c'ésl bien inutilement qu'on lui ciierche;un-sùccesseur; car' il "est: bien, décidé à' J ne pas '.quitter' -l'ipdp-Chïùç avan.f."que 'la; gare: ̃ d'Hanoï soit-puverte au public ét'qùe ie'premier train du'-grand chemin; -de ^fer: :.eti construction7- passe surie.jjqnt-Paûl-DôUmer.r-qiii ^e trouve ait' centré {d'HanpK tàêMe, ^ës^à-dire avant -trois i

àds s: ~r~.

[: WrP^ul'^oùmejpi^tic^uïpon^titu^ en qoel^j

que sortçuine garantie, effective vî$#*is des spiis» cripteurs ae:i;ên^pj:fln^o^hiiibis^^euxJCént' xmquà^téMyjyyôâM^fj^c^-è^^ •̃; emprunt n'aura pas reçu sdii .affectation totale doit rester à ;son poste, et qu'il y restera. En vain le niihistèr*: cherchant à prendre le gouver* neur général par la' lassitude, ne lui sert-il les annuités 'de l'emprunt indo-chinois que pour ainsi dire sou par soù, retardant ainsi l'exécution, des grands travaux décidés par les Chambres en. vain,une mission,formée malgré les objurgations de M. Paul Doumer, a-t-elle conduit à Paris les fils du roi Norodom, notre ennemi mortel, l'ami ef l'allié des Anglais le gouverneur ne se dé« couragera pas..

-•

Il a écrit tout dernièrement encore à M. Delcassé, en termes extrêmement virulents, sa façon de penser et son inébranlable décision de mener .jusqu'au bout la lourde tâche pour laquelle il aété désigné, non-seulement par les pouvoirs publics, mais encore. par un imposant concours de souscripteurs il ne se laissera donc ni révoquer ni rappeler, et il en a averti qui "de droit. Enfin. M. Paul Doumer déclare à qui veut l'entendre qu'en s'exportant à l'étranger il a modifié ses vues et ses inclinations sur bien des points en parfaite concordance de sympathies avec -notre corps d'officiers, entretenant les relations les plus «hv dialês avec le clergé indo-chinois, notamment avec Tévêque de Saigon, le curé de Hanoï, qui est un ancien lieutenant nie vaisseau, et les Pères Jésuites -dont il admire les généreux efforts^ on reconnaîtrait difficilement eh lui l'ancien député de l'Aisne etl'Yonne, leïrànc-maçon. militàhi, qui, jadis, lahçait*du. haut de la tribune des apostrophes radicaloTSo"cialis.tes. i r Très autoritaire, ayant un but déterminé et le poursuivant avec une ténacité singulière, M. Doumer se dresse en face du personnel actuel comme un concurrent redoutable et c'est là sans doute qu'il faut chercher la cause Véritable du conflit inouï qui 'existe entre un fonctionnaire dictant des ordres à son gouvernement et un gouvernement qui encaisse sans broncher les lettres et les dépêches comminatoires de son subordonné.. ̃

Quant à nous qui sommes absolument désintéressés en la question, nous nous bornons à rele^ ver cette situation étrange comme un signe des temps et, le cas échéant, à marquer soigneuse-* inent les coups.

Claude Baron

~vw LES I 'I

ATAirayilEiB'

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(Par dépêche de noire envoyé spécial)

La neige à Sainte-fVïarie-FV3ajeure Prière pour la Reine. La peine de mort et i'ergastole.

Rome, 7 aoîit.

Il a neigé ce matin à Rome. Il suffira très certainement' aux lecteurs du Gaulois de jeter les -yeux sur la date inscrite en tête de cette dépêche pour saisir la signification d'une phrase au' premier abord peut-être un peu déconcertante; car nul d'entre eux n'iguoro par quelle cérémonie d'une si. poétique, mise en scène l'Eglise «élèbré le 5 août l'anniversaire de ^fondation delà .basilique de Sainte-Marie-Majeure.

Le Père Jésuite qui a bien voulu servir de guide à mon ignorance m'expliquait en effets ce matin, qu'en l'an 352, la Vierge apparut au Pape Libérius Ier et lui ordonna d'élever une église au lieu même où il trouverait, bien qu'on fût au 7 août, de la neige, fraîchement tombée. C'est en exécution de cet ordre que fut construite l'admirable œuvre d'art qui porte le nora Sainte-Marie-Majeure, et c'est en souvenir de! cette légende que tous les ans à la date du 7 août, du haut de la coupole d'une dès chapelles de la basilique, la chapelle Borghèse, pendant la messa célébrée en grande pompe par un cardinal, aujourd'hui le cardinal VannutelJi, une neige, dont les flocons sont faits de pétales de fleurs, s'abat sur les fidèles.

De toutes les cérémonies religieuses nulle n'est plus charmante, et c'est un spectacle d'une grâca extrême que celui de cette foule priant à l'éclatant soleil dos vitraux sous cette neige de fleura tombant du ciel. On sait combien- la ferveur italienne se traduit facilement en supplications familières il semble que ce peuple qu'aucuno pompe religieuse n'étonne plusse soit.en échange des magnificences dont il entoure le culte, ro-* connu le droit, dans la touchante naïveté de sa foij de donner à ses prières le caractère d'une exigence. Ge matin, le même nom était sur toutes les lèvres et c'est le murmure d'instants en instants grossi des regrets exaltés qui, couvrant lea chants de la liturgie romaine, réclamait de la « Vierge des neiges » consolation et assistanco pour la reine Marguerite.

Le deuil est d'ailleurs aussi strict qu'au premier jour, la plus .grande partie des magasins sont fermés, toute vie commerciale est suspendue et il en sera ainsi jusqu'à jeudi, si bien que l'étranger, le Français pour dire le mot, plus respectueux des nécessités pratiques de l'existence, ne peut s'empêcher d'admirer de quels importants sacrifices matériels l'admirable artiste qu'est le Romain paie le droit d'être triste avec grandeur. Ces gens ont la dignité magnifique, et il est tel détail, d'importance d'ailleurs assez minime, qui vous dépeindra mieux quo tout autre la solennité de ses" regrets. Je vous ai déjà raconté la manifestation du Capitole, où pendant des heures entières toute une foule défila sans pousser un -cri ni proférer uns parole, si ce n'est 'pour acclamer pendant quelques minutes le discours du syndic, le prince Colonna, mais" voici mieux encore toùa les soirs, entre huit et dix heures, le peuple envahit le Corso, et la foule, à cet endroit, est si nombreuse, que c'est à grand'peine que l'on peut s'y frayer un chetnin. On attend en silence la dernière édition des journaux du soir, celle qui va apporter le récit de la journée de Monza." Voici" les camelots. On les entoure,- mais sans hâte ni précipitation; ni cri, et chacun, tendant sonsou, attend son tour. On achète ici les journaux'dir rythme dont chez nous oii se rend à l'offrande.

̃

•̃

Si l'on s!oecupe beaucoup des détails- des funérailles qui seront, assure;t-on, aussi solennelles que possible, les différents" commentaires du crime sont aussi l'objet de toutes les conversations. On est ici foncièrement persuadé de l'existence-d'un complot anarchiste tousles journaux sont unanimes à le proclamer et la première -conséquence d'une telle conviction a été de déterrai- ser plusieurs hommes politiques à. commencer une vigoureuse campagne pour le rétàblissempnt dé la peine de mort. Un des plus illustres erimi- nalistes italiens, le sénateur Pessina, écrit aujourd'hui à La peine de mort est abolie en Italie et voici que notre pays a la triste réputation d'être la patrie des brigands et des -assassine politiques. Depuis Orsini jusqu'à P.àssanantc, Angiolillo, Caserio, Luccheni, Acciarito, Bresci, il semble que nous ayons fait de nos assassins un. article d'exportation. Il est temps, de répondre aux as- sas3Îû3 de Garnofc, de Canovas, d'Elisabeth d'Autriche et du roi Humbert. »

Je vous signale cette opinion qui semble d'autant phis intéressante que la notoriété de celui qui a pris le parti 'de la professer ouvertement enrégard-~de3. soi-disant théories humanitaire» qui ont pris naissance dan&- çs pays, semble de* voir lui .'rallier ̃ ̃ un ."grand nombre d'adhéreuta. Bresci, ̃vpus:iesave^;déjâ| sera jugé patjacoue d'as'sisés^àe^Iiian-qurlè cond^maera^irès certain nemen.tM'eÊgastole, peine -^prévue' 'par." l'articiô HVidu/Çodé itàliënvunè-Deme d'une' extrême sé« TérpjSWle-moded'acoûBiiiiisseiaeAtfleiâqiieîiê


? icvous doiyieiai tousjtes détails lorsoue j'aurai -obtenu ljpg£orisat|j>n<d£ visUçr^çme fea niaisojas

elle" «e fiubit. >. Maistere

s G. de Maiziera

Flertrs et télégrammes continuent a affluer au

«hâtpau rojaï.

Hiei\ un wagon entier de couronnes est arrivé

à Monza. On no sait plus les mettie l'appar- tement moi tuaii e eri est encombre1 Des parfums pénétrants se dégagent de ces monceaux de fleurs, j' et incommodent foitement les pei sonnes qui veil-ent le corps^du^PiSIl afallu ouvrir -Joules les ;v:fenêtres;:sous; peine- d'asphyxie. La reine Mar-. v. gueriife ̃«.d'ailleurs jardLonnéjde ne ..plus Jaisseç :'̃ .pénétrer 'déVîijeùrs, dans lyappârtëmént 'royal. Une .ïseùle couronne à- été' vlals0éJ;dâfië.lai'fcïianibi:& ? .• .-mortuaire. C'est une couronne de lauriers entou- ». \i T^e ^dër trois rubans noirs sur. lesquels on lit lés 'jïioms de,: ^âi^c-ritei -Yiçtôr et Hélène. ̃ ̃ ̃ Roupl%prêmièrë, f ois aujourd'hui le personnel ̃ djfchâteau a.étê .autorisé à; visiter; la chapelle ar- :r V:'dente.: Ceplèirt ^^pèlerin^ge-s'esticcoicipli au mi--| I lieuses larmes,. Chacun* Js'est ,agenpuillé.;îdeyîini-1 i:r,vie.O)Brcueil-rbyaijiqu'i est Iàuj6.urs;ényeloppé dans; îles plis du drap'eiau riiationàl. M:- > .̃̃ --i Lareine ^Marguerite a;-fail' dire ..plus-ide. cent ̃-• mpsses;àu château depuis, la mort de.sonépoux. ̃̃ §u.r son ordre, unjaetit cojïret,a été fabriqué pour i ^recevoir?: le tricot ,de soie .raies bleues .et-- blanches,; que le Roi portait au- moment il fut assassiné., ̃ ̃ :?, ̃l. Ce vêtement a été troué en trois: endroits par les balles du régicide. Dne' large tache desangs;y ""̃'̃-̃ voit à la hauteur du cœur. La reine "Marguerite snterid conserver comme une relique ce.coffret qui lui rappellera éternellement l'horrible forfait du misérable; Bresei. ̃. ̃- ̃ Le prince. Victor Napoléon :est au château royal depuis trois jours. Au moment de^son arri-" ,yée;le roi Victor-Emmanuel III l'attendait sur le ̃ perron. Tous deux seront embrassés, très émus/ ,Léprinceapris son tour de garde auprès du catàfalquel Il était en habit noir avec le collier de l'Ànnonciade et le grand, cordon des Saints Maù- ̃;̃ yrice et Lazare.. V .La', dépouille -du Roi quittera Monza demain •̃̃' mercredi à quatre heures. Le cercueil -royal sera; ̃enveloppé dans un drapeau de la marine royale, probablement celui du cuirassé Rotna.

,:̃̃'̃; -^A: ̃;̃ -̃̃̃ ̃.̃.•̃̃^A^ ̃- '̃̃ .-̃

> J'ai pu connaître les. dispositions qui viennent ̃ d'être arrêiéésù propos des, funérailles. char 1 Jarièbre sera le même qui. servit aux funérailles ;de:. Charles-Félix, ;Gharrèï- Albert et du toi Yictor-Emmànûel II: II sera traîné par huit ehè- •vaux richement caparaçonnés et tenus en main par dés laquais. r ''̃:̃' .Le cortège sera composé" d'un escadron ïde cã ̃Valérie, d?une batterie d'artillerie,, d'une compa'g"ni&'dù .génie, d'un bataillon de bersagliers, d'un détachement de marine, d'un bataillon alpin, ;̃; d'une compagnie de carabiniers, de plusieurs bà:? laillôns d'infanterie avec musique et de détachements d'écoles militaires et navales. Tous les corps constitués en grande tenue et lès missions étrangères prendront" place dans le cor tègeV Les princes de la Maison de Savoie seront suirvis immédiatement du; général Ayogadro di Quintoi à cheval, et porteur de l'épée du roiHumbert, qu'il tiendra en travers "de la selle. Le char fûhèbrelsera entouré de cuirassiers à pied et .des officiers de la maison militàîrë; Roi défunt. Lescordonis dûvchar funèbre seront tenus par le président.du conseilliez président du Sénat, le président; de 4a'Ghamhre J. et deux chevaliers de l'Annoùôiade. derrière: le char, marchera le général di San Marzano -portant sur un coussin de velours rouge la couronne des rois lombards. Puis viendrontle chapitre et la fabrique "de la cathédrale de Monza, le clergé de la pa^̃roisse dûQuirinali les aides de camp du défunti le cheval favori de Humbert, les ^délégations des municipes. On calcule que le défilé durera quatre heures. Le parcours sera le suivant: Place des CihqGents, place;Terminij rue Nationale, placé c!e Ne-; nise,. cour s Humbert Ier, placedu Peuple, rue Ripéttajrue délia; Scrofa, place Saint-Louis-desï?rançais, rue Grescenzi et Panthéon. Le cortège sëra.ferme par un escadronde cavalerie. >Au moinent"ôù la dépouille du Roi pénétrera dans le Panthéon, tous les drapeaux -des régiments s'inclineront. = '-̃ ̃Le, Vatican. sîest montré extrêmement conciliant peur tout ce xjui concerne' les cérémonies rèri." ligieusès.. ̃̃.̃•̃̃ ;J

̃" C'est un point qu'il importe de faire ressortir. Monza, 7 août, il li. soir. LerRoi.et la Reine sont partis pour Rome ce soir," à huit heures quarante:cihq. <

Une foule.immense a fait au départ des souvejfains une démonstration pleine d enthousiasme, ne cessant.de les acclamer jusqu!à leur départ. Ijës papiers du roi lîumfocrt .Toute ^.correspondance particulière du roi Humbert a.été apportée à Monza, comme je vous l'ai écrit, par le comte Bràmbilla. ̃' Dans le coffre-fort duroi Humbert au Quirinal, le comte Brambïila, a trouvé beaucoup de papiers intéressants, notamment des notes sur les pro;̃- priétés particulières et les biens du Roi défunt. Le comte Bràmbilla- a retrouvé le fameux « journal » du Roi, sur lequel sont consignés lés ̃ événements les plus importants de son règne. Ce journal est écrit de la.main même deHumbert Ier. Les notes sont brèves, lès événements racontés en style télégraphique. Le Roi, en effet, lisait beaucoup, mais il écrivait peu. De testament, on n'en a trouvé 'nulle trace. On sait' seulement que Hùmbert Ifec a exprimé, plusieurs fois le" désir ..de rie pas être, embaumé. Le défunt avait une L sorte de répulsion pour l'embaumement. Et quand le roi Victor-Emmanuel III fut questionné sur ce point, ilrépùndït; .'̃ Je m'y oppose, parce que volonté, de mon père doit être respectée.

II est vrai que, .l'eût-on voulu, cette opération n'aurait pu'être faite par suite cela a été dit V^dé la négligence, des médecins,

--̃ ̃'•]> siivîq.

«e*

:'̃'̃ LssGantsetïes Ombrelles de la'GrandeMaisoa: de Blanc, 6, boulevard des Capucines.

r -& ̃ ̃

̃V,. LE MOYEN-DE. SE RAFRAICHIR L'abus des boissons glacées est dangereux et très débilitant.,Les médecins recommandent les ablutions, d'eau fraîche additionnée d'eau de toilette Lubin, v -^» •.

1.

GAULOIS-GUIDE

» "aujourd'hui ;mehghedi Marchés auxFleurs. Marché de la: Cité, les Ternes, (rue des Acacias),, ayenue de, Wagram, rue dej Batignolles (terre-plem de la mairie). î)e 2 h. à 5 h. Musée VaJenun-Hauy, avenue de Breteuil, 3i. Objets fabriques par les aveugles. (Une = fois par semaine.) ` pe h. à 4. h. Musée Gallieraj io, rue Pie/re-Charron. De 10 h. matin â 11 h. soir. Visite dans les galerisj '? du musée Grévih. De 10 h. à 4 h. Visite au Trésor de Notre-Dame -et i la Sainte-Chapelle (cour du Palais de Justice). De 11 h à 4 h. Visite au Jardin des Plantes. Visitera le jardin botanique; 20 la Vallée suisse j le labyrinthe ,• 40 la ménagerie, caaowiQUB ds i/él^ganos

Ajoures et tressés comme une corbeille, on fait de gros rouleaux en cheveux, qui permettent d'alléger la coiffure, ce qui est un réel soulagement à l'époque,où nous sommes. `

1 Ces rouleaux peuvent remplacer les épais « pompadours » crêpes qui servent a soutenir les cheveux tout autdurdela tête.- On aura soin de bien: assortir la nuance et de crêper légèrement les mixhes qui les re- couvriront, afin de donner plus de moelleux a la coif-

fure. Ce sera un réel allégement. C. 'L

PLAGES ET VILLES D'EAUX

TrouvtWe-Deauville. La saison, qui s'annonce

fort brillante, n'estmalheureusementpasJavoriséepar le

lemps. Il pleut presque continuellement, aussi se réfu-

gie-t-on au Casjno, qui devient le çentrç de la vie élé-

Les représentations îyrî<jues du soîr présentent un

£ranâ 'attralf-et sont suivies par un public nombreux.

y-\A"vant->liier soir/fi^uï/îa eu une" interprétation par-

yfaile.Imë1$i.mdî){''Da.nnaud, engagée ^pour qu^<lues

'«p/ésentatipns sèulernent, sj recueilli de jjDm"bi-eux

s «ppiaJjdjsseme'çtSïdans.Je rôle ^le Marguerite, MM. A.

^.eLjnss,,Desmet| Cadto, Cartjmgeïl,. ainsi guç^ttneT'

gante. p ̃>̃

Armchng Moreau et Isaje, ont obtenu leur part de-

succès, ^^«î?

Aprcs-demain vendredi, latournée deSata^èejnhardt

viendra jouef l'Aiglon Le lôle du duc de "Refchstadt

sera tenu par Mlle J. Grumbach, celui de Metternich par M Philippe Gamiejyet c*jHi-4e FJarrrbcsu ffai M.

JeanDaragon. S. -1* ·

Spectacles annoncésjsendantla^nde semaines `'

Demain jeudi, Mireille ^dîmanche 1^ août, Hornéo etJur

lietie, mardi 14 aoul, les Petites Mibhtis jeudi "JG aoilt, Riaoletto -dimanche 19 août 27wu; "mardi 21 août, Miss

Helyett, jeudi 23 août, Manon,- -t* S

x

A l'Eden Casino, dont i'aâminïstration -çst parfaite,

on peut applaudir chaque' soir une excellente troupe,

parmi laquelle nous ^iteroris Matzui, le jongleur ja- ponais les frères Hauser, acrobates de force Alexan- 1 dre, le.siffleur ynitateur d'oîseaùx. les bicjclistes^fags "et Mary; etc. 'A' '"̃.̃ '̃' ̃ '̃' '̃̃̃.̃ Deâuville est de nouveau dolé d'un casino leiioiirveau directeur n'a rien flégligé-poui'r.donner aux repré- sentations un grand attrait., ̃ ? ^¥5ïêsH3pâfiiés:iÔrdin àîfèSL'dë1.: ^pblo:" ôri f -comitiëhcê Je icr août sur la. jolie pelouse de Deâuville. Voici le prõ̃ gramme desmatches >

Demain .jeudi, prix dVpuyértur^, Kandicapî'^après-aemain;;

vendredi/' prix vd'Oàvertûré, -handicèp "fiçaî (après;lesçoiirscs); samedi 11, .GountyiGiJipr'âiraàliclie 12, Gènnly-Giip (final). après Ies-ç6.urses;iun.di 13, paxjie ordinaire; -mardi.1 14, jJrix iaternational; inerçr^di, 15; p^iBe ordinaire. (après "Je? c'onrSesj; jeudi 16, prix;intériiationaî jûnal)- .(après les \côûraes)lyendredi 17j 'partie pWinâîre; samedi Î8,"liandicap: ̃ do Dcàayille:(après -les.:coursês)'dim!'ncb,e -.19, ^handiiap de Deauvillé-^fiûal) (apçèsjes courses); lundi 20, 'courses de; pbiïeys:gymkliapa' mardi '12,; j)nx Giiillaumo.-le-Gongue- -ranf-laprès les-courses); mèrcr3di; 23, prir Guîllaûrae-lèConquérant {final} après Jo stùeple-chase; jeudi 23, prix de Gonsqlationj .vondredi 24, .prix de Consolation (final). N La So.ciété du Polo cle Deaùvillevest -ainsi dbmposée président, M. ̃ Rîdgvvay membres du comité,: M. Bisçhofïshéîm, Jieutêriant-colonel D'. Dawsoii, M..Fau-; i quet-Lemaître, comte de Ganay, baron-Lèjeune, baron; E, de Rothschild, marquis de VHlaviéja ̃̃• secrétaire M. O. Lamirault.. ̃ ̃̃< ̃ Commeies années précédentes, les régates ïnternationajes de Troùville-D'eauville auront .lieu .pendant. la; semaine, des courses, et, sauf le mercredi ;5 et le sa-, "medi 18 août, les régates alterneront avec les courses de chevaux. ̃[-̃̃̃'̃̃ Un certain nombre de yachts anglais se sont déjà fait .inscrire. ̃ ̃ La Société offrira cette année des prix beaucoup plus considérables que. les années précédentes La première journée, samedi 11 août, s'ouvrira- par une .course réservée aux yachts de la série (de 10 à 20 ton.ncaûx) pour la coupe Gastellane, Cette, .coupe est offerte jpar le comte Gastéllane et dévient là propriéti au yachtman qui la gasno.ponda.nt trois années consécutives.

Elle- a été -gagnée,- en 1893, par Esterel, au barbnE.de Rothsehild, et en 1899i par haurea, iM, K^-Hore. Parmi les yachts qui vonC cette année, sa disputer cette -epupe,' figaront le^ vainqueurs précités Esterai et Laurea, ainsi; que Quand-Même, au';ducf;Decàzos. ̃̃ Là' se'coridë course portée au' programme est la coupe Laurea, offerte par M. E. TJorë, pour yachts de 5 à 10 ton- neaux, et qui comprend, également trois'prix en espèces. Les yaclit_s 3 a 5 tonneaux courront la coupe Aline, "offerte par le comte de-Chabannes-la-Palico,' et les yachts de 2.à.3 tonneaux la coupe Jacques Lefebvro et le prix des Commissaires. Enfin, le prix <TAgnenean sera couru par les yachts de 0;à 2 tonneaux.. En rendant compte du résultat, nous donnerons au; fureta, mesure le .programme de chaque journée de courses.̃̃

Le comité des régates a pour président honoraire, le comte de Chabannes-La-Palice pour président, le -baron Edouard de Rothschild pour vice-présidents, MM. Caumont, E. Coûtant, Durand^Couyère, Alfred Duvat, Le Caron, Salvago pour secrétaire et trésorier, M. Schlatter;, comme membres, MM. Bapaume, Barbey, Billard, Afbert Binon, G. Boin, Charles Croix, duc Decazes, Le Hoc, Jules Ladiette, Schatz. Le comité d'honneur, présidé par le vice-amiral -Dieulouard, 3. pour membres: le comte Boni de Castellàne, MM. Bert, préfet du Calvados; Paul Decau- ̃̃ ville et Duchesnë-Fournet, sénateurs Grangier de La Marinière, sous-préfet de Poht-1'Evêque; comte Florian de Kergorlay; de Larminat, Pailain, gouverneur de la Banque de France Tillaye et Turgis, sénateurs; de Witt, député: du CaJvados.

De Spa. –r Le grand concours hippique international s'est ouyert dimanche..La première réunion a "̃été des plus brillantes et des plus animées, malgré le mauvais temps qui n'a cessé de régner durant tout l'après-midi. Le programme comprenait des sauts d'obstacles, un concours de chevaux d'attelage .pour voitures à un cheval; enfin, un concours de chevaux de promenade. Parmi-les vainqueurs de la journée, citons Lieutenant' Cdmyn, MM. R. Peltzer, baron de Menjen de Hornj P. Laoibert, comte Costa de Beauregard, lieutenant au 5«.-dragons; baron Peera; lieutenant van Langendônck, etc., ete. L'assistance'était aussinombreuse que sélect. Reconnu au hasard :•

Chevalier Paul de Sauvage, M. Paul Lambert, baron de Villénàfgne', M. C. Van Langendônck, les membres du comité d'organisation; colonel Czigler, Comte Cornet, comte et comtesse de GrombruRghe, comte du Ghastel de La HõwaTderie, baron di Lo Monaco, marquise de La Gulais, M. Delcour-Hauzenr, M. E. Delcommune, baron dolMarniol, princo Soltykoir, comte et comtesse de Ghalot, baron. Geffinet, secrétaire des commandements de Sa Majesté la Reine; princesse Galitzine, prince Lubomirski, M. et" Mme de Limelette, coinlo et comtesse de Nieulandt, M. Nagehnaekers, baronne de Pfuël, princesse Scherbatoff, comte ,et comtesse Van der Burck, baron von Blcichrœder, etc.

Le soir, brillante illumination au parc.de Sept-Heures, et excellent concert par Mlle de Jong, une. jeune virtuose du yiolon très applaudie, et l'excellent baryton, Jean Noté, plus en voix que jamais malgré la fatigue d'un aussi long voyage que celui de Paris à Spa, et pour qui le public n'avait pas assez de bravos et de rappels pour lui témoigner son. enthousiasme aussi ..sincère que spontané. M. Le Maire de Warzée, directeur des fêtes, a eu l'heureuse idée d'engager de nouveau le grand artiste pour un autre concert qui aura. lieu le j5 de ce mois et où nous aurons la rare bonne fortune d'entendre dans une même soirée M. Noté, M. Affre et Mme Litvinne.

PETIT CARNET

La comtesse de Siffrédy a mis au monde une fille qui a été baptisée dimanche au château d'Arc, le parrain était le comte de Soigne, la marraine la comtesse de Siffrédy, douairière. ̃ ̃̃

Viennent d'arriver à Paris et sont descendus â l'hôtel Ritz

Capitaine et baronne Maceulocli, SI. Carter, M. J.-B. Breeso, M. Frank Brown, miss May Brown, M. J. Szczeniowski, M. A. Wood, M. J.-B. Hughes, M. J. Plate, colonel XDchÛtrie, etc., etc.

MARIAGBS

Hief a été célébré, en l'église de la Madeleine, mariage': de M.. André Malhian avec Mlle Jeanne Drouardv V' Le Pape avait envoyé sa bénédiction^ aux. jeunes époux. .v WÉOBOLOGIE

Nous apprenons la mort î De M; François Lecomtei ancien député déjà Mayenne, officier de la Légion d'honneur, décédé hier; à Âutéuil do M. JFélix Godiilot, décodé dans sa .quatre-vingtième année, à Neuilly. Ses obsèques auront lieu jeudi, à, dix lieures, à l'église Saint-Pierre de Neuilly et l'inhumation au cimetière da Père-Ladhaiss. .v Raoul Chéroh

̃ –&~

TRÈS RECOMMANDÉE

La Villa des Familles, 35, rue du Havre, à Etretat (Seinç-Inférieure). Chambres et pension depuis 6 francs, par jour. Cuisine bourgeoise de. premier ordre; Villégiature, de campagne et. de bains de mer.

fiiMSiiîïli

futH les: MUuld~

̃̃ ̃ -*ïvir ̃̃• Nous avons annoncé que, la Société française de secours aux. blessés mili'tàifesj'!p'ré'sidë'e:p àr.lè géûéràlVdiic^d'^uerste'd.t,' grand! chancelier- de -la Légion d'honneur, envoie en Chiné ;1deux .hôpir taux complets pourSOO malades, qui doivent être embarqués à MarseiUe,'le- août, sur le Nolre- X>ame-AuïSqlut,TiQiis&$&v:M&t pour le. trans- port des troupes, mais destiné à être transformé eh vaisseau-amb1ilan.ee' au cornpje de JaiSociëté,; Néiis pouvoni aujourd'hui donner dès renseignements précis sur' Ia~ composition de ces deus;* Eôpitaùi..en'jei:spniïçl'.èten-ateriel. Le personnel est ainsi «ompose; H. de Valence," délégué j M. vicomte. deVNantois, son seçrér taire^ Ces deux messieurs; ont bien voulu se dévouer pour aepompagner les deux hôpitaux et prendre part à toute la campagne.– Peux aujnômërs-, Mgr, Eerrand. et l'abbé Yves ̃ Hamon trois médecins 'die marine, MM. ^^Laffontj médecin principal, Labadeng, médecin de lre classe, !;J-ia-: `. fau^riej i^édepiô dè.iGÎasse, que le ministre 'dé la., marine à _misy à; :la disposition, de 4a^ Société et qui lui; prêter.pnt le concours; <fte v leur expérience quatre jnédecins civils MM. les doGtems Louis Debiand, 5err, Le Roy des Barres, Assicot, choisis parmi ceux qui ont ré- f

pondu avecjempressemejit a l'appel de la Société

et dont la science professionnelle est à. la hauteur i

du dévouement; deux pharmaciens des1 hôpi-

iaux, deux infirmiers civils choisis par les méSe- cinsj dix infirmiers, fournis par le ministère*^

la marine, et cinq Scieurs de «hanté, auxquelles a

viendront se ] oindre' -quinze. autres">S€eiirs1 ta-

chées des hôpitaux dse Shanghai. x v.

? Le matérlel^comprènd: ^fi^caîsses et paniers;

pesant ènsemble^sSOO kilos Au .matériel Tégle- F

^entair^ jçmt éjté_ goûtés Q ç^isses^àe médusa-\ ,t

ments et sérums, des lainages en grande quan- tité, 100 caisses 3||£ lait stérilisé, nombre de caisses de consgr^^Qde légumes,^e fruits, de vin de Champagne et^éiis les vivres nécessaires pour

assurer rahmen1$âon de 509-personnes, pendant

totôs mois ont été acquis àMirseille.

1 Chacun des doux_,liôpitaûx. auia1 donc son psr-

fionnél et-son matériel comglçjt, tant comme dé; légué <ïe la Société, médecju?, aùmôjiiers infir-

miers ^tSœui s, jjue comme matériel, et ainsi

l'un deoes hôpitaux pourra demeurer à bord du vaisseau-ambulance, et l'autre être débarqué et

suivreîes opérations du corps d'armée-

La Société, quia pris ses dispositions d'accord avec Tes ministères do la guerre et de la marine, remercie, les généreux souscripteurs qui. l'ont aif dee à" accpimplir ce ^premier- effort y elle compte sur leur concours pour continueftïa* tâche, pàtriôr- tique qu'elle ëntreprend,rensemble;.dés mesures: qu'elle prévoit', telle' que îa créatibïi-d?un; sanàtô-. rium et des nouveaux envoiâ qu'elle prépare; ipouyant occasionner' une dépense qui- serait- -pas inférieur^ à un million., ;•< Nous'publierons démain, la place nous man-J quant aujourd'hui, les seizième et dix-septièuiê 'listés'; de souscriptions, '̃'̃• ̃'̃'̃̃̃"̃

r;c'?'V:V ̃̃ v- '̃̃ ̃'̃ :I«.iî.

f. '•• ̃ -^s»- | i :' LE ^jy[^£Ë|fe'^PMGEà^T/vV! Nous pensons être agréables à nos lecteurs en leur signalant une innovation dès plus intéres-i-santés en matière d&ssurances sur la vie. ;I1 s'agit d'une assurance mixte produisantun revenu annuel garanti de .trois pour cent sur la totalité des primes" versées, lesquelles pr.im.es .ne sont pas plus élevées que cellesdes autres Com-i pagnieéqui ne garantissent pas d'intérêts. C'est, à la Compagnie Impériale, Royale, Privi-;.légiée,« Assuraheesgenerales.de Trieste », fondée en 1§31.5 établie en Françe.depuis 3.854, que revient l'honneur de cette combinaison, qui constitue un» excellent placement en même temps qu'un acte! i de prévoyance envers la famille. Ajoutons que; les conditions de ces contrats sont les plus, libé-i raies qui existent. ̃<• Eour -recevoir gratuitement tous renseigne-; ments, écrire K la direction pour la France j 41, avenue de l'Opéra, Pari3.

le ̃ i

,CH, A"H"OE,P,ERSE

̃V" lJL"JP-A..lRX,is' ̃̃̃̃- Ces malheureux Malgaches I Trois fois déjà on leur avait annoncé. la visité du Chah. Trois fois, ils s'étaient mis sous les armes, avaient' époùs- seté les caféiers, les cacaotiers, réveillé les caï- mans, secoué les crocodiles, dégourdi les pin- gquins, forcé à sortir de leur abri toutes les bêtes frileuses condamnées à geler dans un courant d'air perpétuel.et trois fois il avait fallu se résigner.» Allô I allô! » etle téléphone apportait la fatale -nouvelle « Le Chah ne viendra pas aujourd'hui». v -• ̃- Le Chah est venu hier. Tout arrive, comme disent les Orientaux, et le haut personnel de l'Exposition, ainsi que M.' Charles Rtmx commissaire général des;colbnies, n'ont pas regretter d'avoir attendu/ pour si bien réussir. Mozaffered-Dine a trouvé. dans cette visite' une'quàntité de choses intéressantes.. Tout d'abord, en entrant, le personnel, hommes, femmes, enfants qui habitent les huttes, les cases qui entourent le bâtiment. Est-il besoin de dire que la musique malgache, si pittorésquèment vêtue de blanc et coiffée de paille, afait entendre au Chah, dès son entrée, l'air national persan? Naturellement le Chah ne s'est pas arrêté. ̃ On passe, on regarde les caféiers, puis d'autres arbres plus ou moins- bizarres. Dé- temps en temps le Chah se penche' sur le petit cours ̃ d'eau et le déeor bizarre installé sous le panorama et sur l'ancien bassin du Trocadéro. On lui montre tous les animaux que le froid a fait se blottir dans les rochers en plâtre maquillé ou dans les abris en feuillages. Pendant ce temps nous arrrive aux oreilles un air national persan à peine perceptible, pincé e,t: sifflé avec justesse, mais avec naïveté. De légères variations s'y mêlent.' Le Chah s'arrête et se dirige vers les trois Mal^ gâches qui composent ce petit orchestre. Il y en a deux qui pincent, du « valhia » pendant que le troisième siffle avec une justesse et une virtuosité extraordinaires. Les « valhia », se sont des. morceaux de tronc de bambou incisés sur une certaine longueur chaque fibre incisée est sou- tenue par deux chevalets et constitue les cordes de ce singulier instrument. Fort justement attiré par cette musique bizarre, le Chah la fait cesser et fait demander aux trois musiciens de. jouer dés airs de leur pays. Aussitôt ceux-ci exécutent d'une irréprochable- façon des airs fort entraînants et fort curieux. Le Chah achète deux de ces bambous mais, malheureusement; il ne peut acheter le siffleur qui complète cet orchestre primitif.

̃• V *v ̃̃̃ ̃ On revient aux crocodiles vivants, aux caïmans et à tous les animaux des pays chauds, qui l'intéressent tout particulièrement. Puis, continuant le chemin circulaire, on passe devant le portrait de S. M. la reine Ranavalo et devant ses toilettes faites à Paris et surchargées de broderies d'or avec un mauvais goût qui ne laisse rien à désirer dans son genre. Le Chah, les regarde attentivement ainsi que dès bijoux extraordinaires qui paraissent l'amuser beaucoup. On monte au panorama on explique au Chah les différents dé- tails des opérations et de la reddition de Tananarive. On lui explique pourquoi les greniers à grains sont construits sur quatre bambous" fort élevés, garnis de rondelles destinées à préserver ces provisions de la voracité des rongeurs/ Le cortège redescend, traverse la passerelle sur laquelle une musique, toujours malgache,faitenteiîdre nouveau l'air national persan. On côtoie pour descendre une rampe mobile dont on explique le mécanisme au Chah, qui donne Pordre,,poiir en voir l'effet, à S M. Mohandez-et-Momolekde monter sur ce planîriçliné mouvant. Celuirci saute sur l'appareil, se. laissé entraîner et redescend en sens inverse du mouvement avec la légèreté' d'un véritable gymnaste. On se met en .route pour le pavillon de PAsie russe et tout d'àbord on fait voir au Chah, en tout petit comité,, un petit théâtre situé à l'entresol un. entresol fort exigu dans, lequel se déroule nne toile représentant le parcours du chemin de fer transsibérien. En redescendant, le. Chah traversé la cour intérieure, où une musique fusse joue toujours le même air l'hymne national persan, et l'on pénètre dans les salles, tout d'abord le trésor de l'émir de Bouliarra. attire Les regards du Chah par sa richesse étoffes tissées, brodées, armes précieuses, harnachements magnifiques, etc. etc. on traverse la salle des- fourrures, sans pour ainsi dire s'y arrêter, et l'on entre dans la sectiondes bijoux, des pierres de l'Oural. Là, Mozaffer-ed-Dinë s'arrête' devant ces vitrines, se fait. mp4trer.différentes pierres et finit par acheter une topàze_ énorme et'un coffret en malachite. Sorti de ce'pavill'onlsous le théâtre, et le restaurant chinois, le Ghah s'arrête dans un, magasin chinpis. Mais les gardieiîs sont si lents1 à: ouvrir lés vitrines que le Chah impatienté^ s'en va au Trànsyjaal, ou l'on fait fonctionner devant lui les mà.chines'destinées au lavement de l'or.' II. est onze heures, et Mdzaffer-ed-Dine (désire rentrer^ ̃• '̃̃̃ On sqrt et l'on passe; devant l'Algérie, dont le personnel et le comité d'organisation, sont là pour; attendre,,le Chah; Mais celui-ci ne veut rien savo|r et remonte dans les voitures qui; doivent le ramener au palais, des /.souverains, '̃̃

X-a/îious apprenons que le cycliste ^illérmé, inspecteur de police celui ;qui a roulé par "terre.ayec l'assassin^ le jpiir de l'attentatj et qui l'a' arrêté a reçu'èxcepùtoneiiement la croix dè^éijLe.yaliêr'dé-Vpràre.-âu^L'iptt et dii Soleil de Perse, plus ttne Vprim'e de :;200' fr. .ion côté, un autre' inspecteur: cycliste, Roy, a -reçu une; médaille d'or et une prime de 100 fr. Ces deux distinctions leur ont ete solennellement remises parS,E le général Nazare Agha,ministredePeise

à Paris. '>

A quatre heures, le Chah s'est rendu avec son cortège habituel à l'nôfel des Monnaies, quai Conti Sur tout le parcours, avenue du Bois, avenue des Champs Elysées, sur les quais^ le long de l'Orangerie, le pont de Solfenno, le quai d'Or- say, le quai Malaquais etle quai Conti3>de nom-

braus^ acclamations ont salué le .passagar&u

souverain.

A l'hôtel des Monnïtîes le Ghatuîsi îeçupar M.

ÇaiUauxj^mîojstre dçs finance3> ^ortas( Je grand

L^wfTHffT»"r?if iffffiTîrTI m T -il^FrtiMWBTfrngWijlTLÎfW'i il JiifTTTWifTiTrTiMrflTTfCTflnBTîiBî\»wl

cordon du Liojn et du Soleil, et M. Arnauné, direc- teur de la Sfpfl§i^'TÎÉ©Dmpagné de tout son personne. Ici,£ift^^«toiitaine du ministre des finances, les^Bûjfisigneà^S plus sévôres sont accumulées pouXdnous emaBïher de pa^vci. A chaque-

instant on "établit desDaïT.q£fa .~f'

*Nçus enti e~v oyonî3 ïa ciil<« de l'or, le pesage des pièces, le laminage des bandes dejjnétal précieux, l,a cordonneuse, machine qui frappe les coidons des pièces, les machines qui fiappentïes pièces, et nous ai rivons enfin dans les salles oij sont les leviers de frappe, manies individuellement chacun par un ouvrier. C'est la que doit être fiappee, en ^présence du Chah, la médaille d'01 qui lui est otfei te par le gouvernement irânçâig.'lci, bien entendu, sur l'ordre exprès du ministre, pn^ous empêche de dépasser la barrière. C'éstfîÇdmiràble P Demandez 'la1 défense de la Monnaiepax M^Ca^illauxl; '.̃ ̃ Révenônâjà^â-médàiHe^offèrte àù Oiàti.. Cette'' médaille a.été frappée par Lambain, le plus ahcien, ouvrier frappeur. de. T-atelier- des médailles, '^Uîa trente-quatre afis, de services/ puisqu'il est èçti'éen 1866 à l'hôtel quai .Gonti'. Sur Ia'fâcë,- onpeut voir le profil de Nassèr-ed-pine -sur le ̃ revers, se prouve une inscription en' 'caractères .persans dont ypicilà traduction:" «L'illustre et; grarid' Mozkffér-ed-Pin« j chef de la .tf ihù .dés; KadjarSj.a visité Monnaie Ie7.aoûtl900. a.CieJite médaille de 37 a 38 'millimétrés-' de diamètre 'a; Faspectd'une pièce (je ïÔO^francs. Lés coins^qui ont, servià la frapper seront remis 3. M. Loùbet, qui en a fait la_ commande.

On monte dans la grande salle du. musée des Monnaies, située àu-dessus-de la porte d'entrée,: et.l'on'offré au' Chah un exemplaire de la méfaille frappée le 15 juillet 1873, lors de la vipte du .chah Nassèr-ed-Dine, à son premier- voyage en France. Du musée on passe dans une autre salle, dont' l'accès nous est encore interdit, et oii,'par ait-il, .untlurich était servi Je frémis en ,pensant que: nous aurions pu y boire un verre d'orangeade 1 Le Chah en sort presque aussitôt pour reinj)nter, en voiture, après avoir pris congé du minis- tre des finances, du directeur des Monnaies et ^dès hauts fonctionnaires de la maison; En rentrant au palais des souverains, le Chah .a été, comme àl'àller, salué par dès vivats et'des acclamations bruyamment sympathiques. Dans la soirée, le Chah est allé. auNôuveauCirque, il s'est fort diverti. Nous reviendrons demain sur ..cette .représentationi ̃ G-. Pelca

̃ y- V." .• -r-

̃ .'LES '̃' 'i o 0 9 1' p y: e e o. [ Xes: contradictions n'ont jamais été plus nom-; hrçus'es ni plus flagrantes; Chaque nouvelle est tour â'tbûr'dêmehtié"et confirmée, jusqu'au point de rendre la confusion telle que l'on se demande si ce conflit chinois n'est pas une sorte de conte' fantastique qui tient de la légende orientale et de l'épopée antique et qui nous est servi sous la forme d'un feuilleton quotidien dont on ne prévoit jamais le dénouement.

D'après une dépêche publiée par le War Office et signée «.Ca.ries », les alliés s'étaient mis en route pour Pékin. On annonce même des engagements assez sérieux :̃• Les troupes alliées, au nombre de 16,000, ont attagué les Chinois à Peï-Tsang, aujourd'hui au pointdu jour, et les ont obligéa/à abandonner leurs retranchements.̃ ̃- Une violente bataille se poursuit.

'̃̃ Tien-Tsin, 29 juillet, via Che-Eou, 4 août.

Aujourd'hui, les Russes ont pris contact avec des détachements ^chinois entre Hsi-Kow et Peï-Tsang. Au cours d'une fusillade intermittente qui en est résultée, les Russes ont eu quatre hommes blessés. Les canons russes ont bombardé la position ennemie l'on croit qu'est postée l'açtillerie chinoise, sans provoquer aucune réponse. Un dëtacliement d'un millier de Japonais s'est ̃porté ce matin vers Hsi-Kow. eton croit savoir qu'une reconnaissance en force 6era effectuée demain par une colonne mixte de Japonais et de Russes dans la direction de Peï-Tsang, qu'on croit être occupée^en force par l'ennemi. ̃ ̃ ̃ ̃ ̃ Mais voici que le général Chaffée, commandant les troupes américaines, télégraphie de Tien-Tsin-à Washington, le 3 août lia ète décidé aujourd'hui dans uùe conférence de livrer bataille dimanche. Les Chinois sont retranchés à l'est et à l'ouest à travers Peï-Tsang. Le reste des Chinois sont protégés par des terrains inondés et sont virtuellement inattaquables.

Les Anglais, les Américains et les Japonais, au nombre de 10,000 environ, doivent attaquer les Chinois sur la droite à l'ouest de la rivière et de flanc. Les Russes et les -Français, au nombre de 4,000 environ, doivent attaquer du côté opposé* entre la rivière et le. chemin de fer. La position chinoise est apparemment forte. Une armée chinoise de 30,000 hommes, dit-on, est postée entre Peï-Tsang- et Yang-Tsun au point où la route traverse le Peï-Ho. Yang-Tsun est l'objectif des alliés..

Les Américains ont 2,000 hommes et une batterie d'artillerie. Ils ont laissé le 6e régiment de cavalerie à Tien-Tsin peur garder la ville et attendent des remontes. II est certain.que les commandants des troupes internationales ne veulent agir qu'à coup sûr. Les escarmouches d'avant-garde que les Russes et lès Japonais ont eues avec les Ghinois ont démontré que les forces internationales n'étaient pas encore assez importantes pour; être assurées de parvenir à Pékin sans encombre et de bousculer tous-les adversaires qui se" trouveraient sur leur route or, c'est là le résultat qu'il est indispensable d'obtenir le moindre échec des alliés, fût-il seulement apparent- et sans, aucune importance réelle, aurait en Chine un énorme retentissement et pourrait être le- signal de massacres encore plus terribles que ceux dont nous avons déjà eu l'écho.

'• ̃ Je ne serais pas d'ailleurs surpris, malgré les affirmations contraires qui nous viennent de Chine, que les alliés aient, renoncé à marcher, pour l'instant, sur' Pékin. Leurs effectifs ̃ sont trop faibles pour commencer une campagne aussi 'scabreuse avec de sérieuses chances de succès et plutôt que de courir au-dëvant d'une défaite, ne vaut-il^pàs cent fois mieux attendre desrenforts en protégeant la basé de ravitaillement contre une nouvelle atta.que qui paraît assez vraisemblable ? Oui, mais il y a les ministres étrangers dont la situation à Pékin est particulièrẽiment critique.̃

Reste à savoir s'il est prudent de s'approcher 'dès murs de Pékin avec des- forces insuffisantes ? `? ''̃̃ D'ailleurs, la situation à Pékin est l'objet, de nouvelj^s informations contradictoires. M. Delcàssé donnait lecture, hier, au conseil des ministres, d'un télégramme daté du 5 août .et par lequel notre consul général à Shanghaï fait savoir qu'il vient d'être informé officielle/ment Dar-Cheng d'un décret impérial du 2 août, disant que les ministres étrangers seront, dès qu'ils le voudront, conduitssous escorte àTienTsin, et que, dès maintenant, ils peuvent correspondre en clair avec leurs gouvernements. .D'autre part,Li-Hung-Ghang;a déclaré officiellement aux consuls que les ministres étrangers ont 'quitté Pékin dans l'après-midide vendredi, vse.-rendant à Tien-Tsin.' Les consuls" n'ajoutent ;;j)as foi à cette déclaration. Or, maintenant, on apprend de bonne source que les réactionnaires extrêmes, dirigés s par Kang-Y .efr Li-PingTKeng, s'opposent l'exécu-l ;:tion du dernier décret impérial en faveur des mi-.nistr.ès? et remarquez que jusqu'à présent aucune dépêche n'est parvenue de Pékin. Le géné;ral Tung-Tou-Siang -aurait reçu l'ordre de Li-Ping-Kéng s'emparer des ministres. D'après une troisième version, le commandant du croiseur Elba a eu communication d'une note reçue par le gouverneur du Chantoung et- datée de Pékin, 80 juillet. La noté dit qu'à cette date, ̃les ministres et les autres étrangers allaient bien. On leur avait donné des provisions et Ton conférait au' sujet desmesures à prendre pour protéger r les ministres étrangers dans leur voyage vers Tien-Tsin,;ils .établiraient provisoirement leur résidence; -Mais coinbien important ce message adressé au colonel Meade, commandant le détachement d'iafanterif de marine des Etats Unis, et apporté par un counier indigène 1

Ce message dit

Becouis immédiatement, si toulefoïs nous devons en ieGe\oir Nous sommes assièges a ]a légation, anglaise II n'y a pins de gouvernement a Pékin, a part celui des chefs militaires -qui ont résolu l'extermina-

tion des étrangers. '.?.

II est signé ^Conger », quji est le nogfdu mî-

nistie des Etats-Unis a Pékin.

Enfin, M. Brodrïok a annoncé hier qu'il n'avait t

> pas confirmation de la déclaration de Li.-Hung- 1 Change gisant ^ue^les étrangers sont Daj'tis le

2 août de Pékin et qu'on les escorte àlïïèn^Tsiiii. Un député de|$iïpp| étant donnée ̃iàVdëclà! tion de Li-Hung-^hlangbque lès'1 ministres étrsini geis de Pékin ser^ieùt probablement sacrifiés au" '«as les alliés àe^porteraient sur cette: ville, on- 'se proposait d'infbrméi Li-Hung-Chàng, qu'on.le ïfèidrait personnellementr-responsable denîéur sêcuutô, M BrodVïcK *répond, que. l'Angleterre^a informe le gouvernement. chino"is. qu'il serait tenu personnellemietft îesponsable si lès mem- bres des lëgations-oir d'aufaxs Européens étaient

•maltraités.'

Lie gouvernement anglais ne croit pas4Q'eû faisant de plus aniples communications de -ce genre, on atteigne un 1 ésultat utile.

Les affirmations de Li-Hung-Chang5conceiîiant les ministres, sont d'autant plus. [suspectés que. nous savons que le fameux mandarin a perdu: tout crédit et t:out^;prestige.,aiip.rès., dù,gpuyerne.mtent -^dè ,rPékin> C'est un "simple. «ondàihïié à mort.. ̃ On le. dit telle ment, ému qu'il a, denjandé l'au-- tbrisatibn de prendre sa' retraité! Il .publie, le ';m.alheùr,ëux, que son sort est déj^i "règle': II est I destiné avec quelques-uns lie ,ses eoliègues à] avoir la tête tranché.e ou vpetit-être à'coup.er èni deux, ,çe r qui ;'bonst}tue le comble de la .disgrâce*/ en Chine; ̃ IV '"̃< .̃•' ̃̃;̃ ̃ Xes peitfoï«ts français InslruçUons au corps lexpédiiionri.aire. Le mi"nistrede marine a donné lés instructions siifyantBs: -relatives la tenue de. campagne dès officiers dir ̃ corps expéditionnaire de Chine I. Lesdfflcicrs devront se munir d'une tenue coîqniale comportant, pour les officiers de l'armée -de. terre,' la tenue prescrite pour l'expédition de Madagascar, (insérée au Journal officiel du 18 janvier Ï8Q3), et pour les troupes de la marine la tenue coloniale réglementaire. ̃ ` IL Ils devront être pourvus, en outre, do la tenue de campagne (France) telle qu'elle est indiquée par la circulaire ministérielle (guerre) du 17 février" 1895, avec cette particularité qu'en raison -des froids rigoureux du nord de la Gaine, il y alieu de se munir d'effets de laine et de vêtements particulièrement chauds. Les officiers devront se munir d'une tenue coloniale couleur kalu; ̃ III. Ils n'emporteront pasîa grande tenue. IV. Les offleiers de l'etart-màj or du corps expéditionnaire emporteront le brassard tricolore sans les aiguillettes. '̃̃'̃•̃' y; ̃ ̃̃ V. Tous les officiers 'devront être munis d'un filtre de poene.. » •̃ ̃ ̃ ̃̃ VI. Il est rappelé que les officiers régulièrtment montés doivent emporter leur harnachement; Le dépari des troupes. Hier'sont arrivés à Mar- seillCj par divers trains, lès détachements de troupes provenant des 2^ 32«, 71o, 63«3 6Qe, l#,137e3 58e de lipné et 29e Bataillon de chasseurs, qui ont été versés au 4e bataillon du ^lé.. Quelques:uns de ces; détachements ont ete logés dans les écoles communa- les, en attendant leur départ pôùfla Chine.' Hier est jparti d'Alger, le premier contingent de. iroupes à destination de Chine. Ce .'contingent cpm- prenii quatre-vingts sal'dats des" sections de commis d'administration et d'infirmiers. Le général Baillaud: ?--̃ Le général ©ailloud, commandant la 2e brigade corps expéditionnaire de Chine, est arrivé hier à Tunis, venant d'Algérie. Aujourd'hui, il passe l'inspection du. bataillon du zouaves destine au régiment.de marche de zouaves. Cet après-midi, il s'embarque pour Marseille. »ERi¥iiBRB meurs: Bruxelles, 7 août.

Le ministre des affaires étrangères a reçu un. télé- gramme Pékin, expédié le 2 août, signé Joostens, ministre de Belgique, ainsi conçu

« Du 4 au 16 juin, nous ayons' défendu, avec huit marins autrichiens, notre légation, sans pouvoir la sauver. Les légations d'Autriche, de Hollande et d'Italie sont également 'brûlées la légation de France est en ruines. Tous les étrangers se sojnt réunis à la légation d'Angleterre, où ils sont assiégés par les troupes chinoises. Depuis le 20 juin jusqu'à aujourd'hui, il y a eu 58 morts "et 70. blessés, marins et volontaires. ̃' _Z- »Lcs attaques ont cessé depnis'Ie 17 juillet. Les vi-, vres sont presque épuisés. Nous espérons être délivrés la semaine prochaine.

» Tous les Belges résidant ou réfugiés à Pékin vont ̃ bien.. ̃ = ̃ »La conduite du secrétaire, M., de M.ergelynck,.etdo M. de Miilotte a été au-dessus de tout éloge. Nous vous prions de renseigner xnos familles.» A ̃ ̃, Rsnô d|Aral

CULTURE; PHOSPHATÉE CHEZ L'HOMME Le sela perdu de son ancienne réputation. Dans la Science française, M. F. Geay déclare qu'il est resté plusieurs mois" complètement privé de. sel et ne s'en porta pas plus mal. Mais le terrain perdu par le sel a été gagné par les phosphates. On reconnaît que ceux-ci forment l'élément principal du système nerveux et des os on les retrouve en quantités notables dans lé sang et dans nos liquides intérieurs. Les phosphates semblent jouer dans l'économie humaine le rôle tenu pai1 les engrais phosphatés dans la culture du sol. On sait que ceux-ci ont transformé l'agriculture grâce à l'emploi des engrais phosphatés, des sols pauvres deviennent fertiles, des terres fécondes donnent sans fatigue de beaux et savoureux pro-

duits. ̃ ̃

Sur le corps animal, l'effet est le même. Si la quantité des phosphates absorbés est insuffisante, l'enfant est rachitique, il ne grandit ni physiquement ni intellectuellement; l'adulte reste pâle, anémié, névrosé, sujet à la fatiguej à l'insomnie, au manque d'énergie et d'initiative, il travaille peu et mal. ̃ ̃• Les résultats fâcheux de l'insuffisance des phosrphates^ dans l'organisme humâia sont plus évidents encore en-étév parce que l'élimination des phosphates est plus considérable comme conséquence, la nervosité, l'épuisement musculaire, les déchéances de la volonté, les souffrances de la neurasthénie deviennent insupportables.' H. est donc indispensable, en été, d'adjoindre à son régime un supplément de phosphates. Miais sous quelle forme ? Bien des préparations de phosphates traversent l'organisme, sana y. déposer et y fixer la matière phosphatée précieuse 'dans ce cas, elles sont inutiles* et. inertes, lljfaut savoir choisir, pour ne pas..faire de dépense inutile. A notre avis, et à l?avis de presque tous les.méde- cins, la meilleure préparation phosphatée c'est le Vin pésiles. Le phosphate s'y trouve/ à l'état de glycérophosphate, c'est-à-dire sous la forme orga-, nique qu'on rencontre dans le système nerveux les -transformations intimes sont ainsi simplifiées. De plus, le phosphate est présenté. à l'état de solubilité; or, les produits solubles sont toujours facilement absorbés. Enfin, le Vin Désilés, étant un stimulant, un tonique, un réparateur, favorise par ces qualités mêmes l'assimilation des phosphates-; il. donne à tout l'organisme une sorte d'appétence pour les phosphates, appétence sans laquelle, quelque bonne que soit la.préparation phosphatée, l'absorption ne se fait pas. Le Vin.Désiles force l'économie à absorber, à garder le phosphate qu'on lui présente, voilà pourquoi il est considéré comme l'aliment phosphaté par excellencei Etendu" d'eau de Saint-Galmier, «n été, il constitue la boisson la plus saine, la plus agréable et la plus rafraîchissante..

Dr Hadet

A VMzUrïenî i A.WSt,BT.ERRIS '̃̃

La peste à Londres. On signale ^plusieurs cas- de peste pai-mi. les- équipage» des navires venant d'Orient et mouillés aux docks de Greenwich sur la Tamise. D'après le- Globe deux, matelots seraient morts victimes de l'épidémie; à l'hôpital Dentpp. Les autorités prennent des mesurés; sanitaires très rigoureuses pour que le terrible mal ne se répande pas dans la population.. ̃- ̃ 'TWaQïIlfe' ̃̃.̃ r: Notre correspondant particulier de. Genève nous télégraphie que Damet Mahmoud .pacha qui a épousé une sœur d a Sultan et ;?es deux fils,les princes Sebahéddine et Loûtfoullah,, quittent là Suisse et se rendent en Egypte pour y poursuivre plus énergiqueinent que jamais leur œuvre de reformes pour leur patrie. -̃̃. ̃̃̃ On sait que, parvenus à. grand'peine à fuir la Turquie, ce qui ne "s'était, jamais vu depuis le quatorrziême siècle, poin deb princes impériaux, les princes ont été, depuis sept mois,l'objet de nombreuse" sollicitations tant à Paris qu'à: Londres et à Genêvej̃ do la part des envoyés du Sultan'.

A toutes les propositions d'avantages personnels, les princes ont invanablem°nt répondu Ce sont des 1 e formes que nous demandons pour tous les sujets ottomans de quelque race et de quelque religion qu'ils soient, noue ne voulons Tien pour nous. :L' Reformes purement humanitaires et équitables, les

plus elemenianes, -la seourtfe de la \ie eUe ia li-

berté* v II y a peu de tempe, la SulUuie, sœur d'AMul HamidJI«t femme de Mahmoud pacha, a oie enle- ^ee lor» d'une jr^nie^ç i la ioiùX de Abjyn Dagh,

T.' "h', ":<- .<».<

^Wï%0®£. ^siefc|!t;dOTioi8 ^tempsjlle est ïnterriéiî

^^di^^âque ^ïè<àme^e .^pbé-de^ik-liuitinb'is)' 3u_pf îiiçe, tPHtioullàh." J. > ̃ ̃ ̃ ':• ̃'•̃̃- :̃'̃ ̃ ( Lèsfuites seraient d'ailleurs plus nomureuség encore si. la. pholicçn;&mpêchaît^:autant: qu'elle le peut,: cesfjexoaès qùiîdénotoÊS iiûé situation vraiment intõ;léxabla«nTurquiev \\at.• :ï'a: i- Récepttment.ençorej.lB Sultan faisait mander l'un 4es iplus im.portan.ts;personnages de;-lîempire, le conseïller 'd'Etat ïsma.ïl Kémalbcv, et le nommait gou-i 1. verneur ,d:e Tripoli:.d'Afrique, "prétextant de préteri- dues convoitises françaises dont il deyait se débarrasser;, disait-il; îiyecun goûverneùiv èriergique, qu'il devait ensuite' nommer grand vkir: après quelques ^mpis. IsmaÈ KémaLbey, redoutant unpiege, se rcn-. 'dit à bord du s.tàtipiinaire', anglais et partit pour Athènes, d'pùiï^int 4" Lucërne.-iausanne. et Paris, •peu- disposé ̃ à fié mettre sous là^eoùpëv- paternelle » du Sultan. -• '̃̃ "f *̃g.'i ̃̃̃̃̃̃̃'̃ S.iftxtformê

;'LA -GUERRE ~UD -~RKAmE

s Les dépêches annéncentlareprise de l'o|fensivè des Boërs sur plusieurs.: ̃ppijnts ^utpur,dé;Erétària, il semble .mêm"e'; que çertaiàs ^détachements anglais se trouvent, dans, une situation critique. Lord Robeftstélégraphié dp Pretoria,. 6 août ;Hàrrismith_«st--rin.ciûo,àt'Maç^ï)otiald le 4 août, et, le jour suivanïjun escadroh. de. -lanciers venant dePce'sters, et'uh 'de hussards, yen'ant de Ladysmith, y sont arrivés. Les communications par: chemin de fer entre Harrjsmith et, le, Natal. sont rétablies. La voie, ferréo avait été peu endommagée. Pliasieurs bùrghers. ce sont rendus, etle pays dans le. voisinage d'Hurrismith semble calmé. ̃" -'̃•̃' ̃'̃ ̃ Kitchener, qui se trouve 'maintenant au sud' du Vaal, a été rejoint hier par un fort' dèfendoement de cavalerie, irrégulière.

La garnison d'Élands-Riyer, qui gardé les communications entre Zeerust et Rustenburg, a^ été attaquée dans la matinée du 4. ̃

Cari-ington, qui se dirigeait sur Elands-River.avec un fort détachement de îyeomanry et de coureurs des bois et une batterie de 15, en fut informé aussitôt. Jan Hamilton, qui: est arrivé hier à Rustenburg, annonce avoir entendu une violente canonnade dans la direction d'Elands-River. Aujourd'hui, canonnade serait plus. éloignée, ce qui semblerait indiquer que la garnison d'Elàndjs-Riyer a été secourue et st dirige vers Zeerust.: Zeerust, 4 août.

.t Le. général Carrington est arrivé avant-hier et ètf reparti aujourd'hui., La ville et les environs sont remplis d'espions. ̃ Kropnstadt, sans datë, via Capetown; -••̃ '7 août.

Les Boërs ont de nouveau tenté de faire sauter la voie ferrée, à deuxinilies au nord de Krooiistàdt, 'a« moyen de la dynamite mais ils n'ont pas réussi. Le service des trains est suspendu. Lord Kitchener a pris la dkection personnelle -dès opérations sur le Vaal contre De Wèt, qui -se. trouya-" "rait avec M. Steijn àSchowans-Drift. Capetovrn, 7 août». Un violent combat a commencé 'dimanche sur. la rivière Elands et s'est poursuivi le G. Aucun détail "n'a été reçu ici, mais on croit, que Rustenburg a été secouru.

Lia capituiatÈoïi de Prïiislo^v

M. Maximoff, dont nous avons signalé le retour du Transvaal, a«eu une conversation avec un représentant de la ïïovoié Wremya, conversa» tion qui a roulé sur la capitulation de Prinslow et sur la.résistance future des Boëra Je connais très bien Prinslpw et la situation dans la république sùd^africaine, déclare M. Maximoff. Prinslow, depuis sa pitoyable'retràite Colesberg, avait perdu la confiance du gouvernement, et il était même question de le déférer à un tribunal Su chef de trahison. Depuis le. mois de mars, il était rentré dans sa ferme à une cinquantaine de kilomètres environ au sud.de Brandfort. Que Prinslow ait de nouveau été chargé d'un commandement chez les Boè'rs, Voilà qui paraît impossible.. A mon avis, il n'y a là qu'une manœuvre anglaise. On sait epië, dans le dish-ict de Ladybrand, les Ka'bi- ̃tants.ont toujours passé pour anglophiles, tt je croîs que les Anglais, ces grands jongleurs devant l'Eter,nel, se sont arrangés avec Prinslow pour qu'il se prête à 'un simulacre' de capitulation destiné à faire une grosse impression sur les véritables combattants boërs; ̃̃̃̃̃ ̃

II est certain que la, manière devoir de .M. Maximoff cadre fort bien avec les nouvelles que nous. ont transmises les Anglais^ sur-la capitulation en question. ̃ Dèsormeaua > Henry Desprmeaux

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LES GRÈVES

AU HAVRE ̃̃̃!

La Compagnie Transatlantique et les Compagnies niaritiBies. &. la JSoai-sé da travail. Le Havre, 7 .ao&t;

Les grévistes en sont pour leurs frais, du moins en ce qui les concerne le transatlantique Bretagne est parti pour New-York, ce matin à six heures. Les chauffeurs grévistes ont été remplacés par des chauffeurs pris à bord des navires de guerre Fleurus QÏCassini, qui étaient venus au Havre pour les régates. Un certain nombre de matelots ont également embarqué sur la Bretagne. ̃ La sortie du transatlantique s'est effectuée sans accident; les grévistes massés sur les quais et à l'avant-port ont poussé des cris hostiles, mais la troupe était là, en forces, et ils n'ont pu se livrer à aucune violence.

D'autre part, à la suite d'une entrevue que/M." Eugène Pereire, président de J Compagnie transatlantique, a' eue avec le président du conseil, ministre de l'intérieur, toutes les dispositions nécessaires vont être prisés en vue du départ, samedi prochain, de la Lorraine. La Bretagne devait partir samedi; ce retard cause un préjudice des- plus graves, non seulement à la Compagnie, maisà tous ses employés, Elle a été obligée, notamment de rembourser Le passage des voyageurs qui ont voulu partir par les lignes allemandes ou anglaises de Cherbourg et de Southampton.. Quant aux passagers qui ont attendu le. départ de la Bretagne, la. Compagnie leur a remboursé leurs frais de séjour au Havre. La grève a'eu pour premier .résultat de .faire bénéficier les lignes concurrentes allemandes ejt anglaises du préjudice causé à la ligne française. Quel beau suepès pour le travail national I La grève continue. Hier, les grévistes se sont rendus en masse aux" abords de l'arsenal la marine, dont, ils surveillent toutes les issues afin d'empêcher les embarquements. Et ce n'est pas, seulement à la Compagnie transatlantique) qu'ils en veulent, mais à toutes les Compagnies de navigation aujourd'hui, ces messieurs exigent que les concessions qui pourraient leur être faites par la; Compagnie transatlantique soient faites égàlejhent par toutes 1 lés autres Çomp.ar gnies du Havre. L ;) II est Un. point intéré.ssant à noter depuis hier'i ^ous. lés matelots et' chauffeurs en grève soiit dér ïilarés déserteurs.; L.êgalement, énvertu'des règlements maritimes, lis devraient être, mis en état d'arrestation, mais pn n'y songe guère les. autorités locales sont impuissantes; et lorsque- dee instructions sont demandées en haut lieu, on ne ̃reçoit que cette simple réponse ?t Débrouillez:ybua 1 »; ̃ ['

En attendant, c'est la ruine pour beaucoup ait HavreiOù.les grévistes, absolument maîtres de' la rue^ (Continuent leurs promenades accompa^ gnées de violences. .̃:̃̃̃ Cependant,. des mesurés un peu plus sérieuses que ces jours derniers ont été. prises, aux aÉords des portes de Compagnie transatlantique, delà Compagnie: qui fait le. service des côtes de Nor; manâie et de quelques autres Compagnies 1: une) partie du 119? d'infanterie, garde. les approchés des docks et empêche rigpureusemènt les grévistes d'approcher des bâtiments. Lo Havre^ 7 août, soir. Les grévistes se sont réunis à la Boarse du travail, reunion sans résultat. Cependant, il est juste de dire que la journée s'est passée d'une façon relativement calme. ? Ce soir, on apprend que diverses compagnies ont offert aux chauffeuis et soutiers une aug- mentation de dix fiancs par mois. En attendant que cette proposition sort accentue ou rejetçe par les grévistes, le service des .bateaux des côtes Normandie a décidé de suspefidre complètement

son service.

D'autre gart, plusieurs, tiavirfes sonUctueli|<


^ën^t]tt&de*ÉfroM#^

fatite do roino~gu~erû~ ~.f Z, a:

'(J~"iram~ é,gial`~ am~tiédé Fo>~dtri~îé~acliè

̃;̃ Tt^t^îib^tiMd^^i^af ilt^: |t: cheval ;] plimiéuré^tf ^deïa^émëofôu^rÊÇO^arffi^ie; à ?

rchèval ig^^Jéffient'^i:i^ës,{ %J^ ;:̃̃? vN;; l

II «stiforteméîitî.gtjeslioli >4'uné. grè^deadéri ^àrdeurëqui -SOT^wH^pV-â^PQ. au >ÈIaYre. ;i àëbardeurs içlyent se réunir.-àemaia-à Bourse? ̃; du travail. ;V: H ̃ L ^̃̃̃•y>~<: '<:̃̃ ̃̃'•̃"̃. ̃̃̃^̃̃ a ̃ v Ai^roposide Ja Bourse ^av^il, tous les gens ;-sensé3s ftu-iHàvrç,-dem3idà(é"ntsa'ferinçtâré.i1Gîsst-, ceUeTcrrpie loutes/yes .grèS'és', si pfëjùdiciaHes 'iîia.^spérifé'^à^^âp-iïayriiè^onit.. ë_tj6 .décidées 'si â)ngè&^DàiÀ}f;q^^ë'^ân^^pi^é saveur, ¡ 4e p,mncïpai^n?|ig^tejîr^es grèvel; ii/est autre i'qué./ ;le délègtféàè; -ville,- ^'as§^éût. 'subventionné] i par éllë.a3â:BoWs^du;iûia^ii;J«xitojen ^Mark,< 'gui, .encQr^rarant-iiçr^^dingeaît les Jîaqdes :de ;gréyi^tes'Jau;tour;dës .ipôstëS; d'emhàrquemeni, de V'Gb^^ag'nj'é'^rfliisàBatitiquei'-y- f ..• JJne- aute -reia^r^uei; -dopt ^'importance n'é.;̃ çhapperà ^personne. C'es tau; moment où.les ira-•Vaux>-entrepPÂSiâ.grands- -frais>ont permettre- en- ̃ ..fin au^port.^dutHayrp .-£dé lutt'er,:4ariûis à peu pms{é^aléSi ayec^ès;aùtfes port?(:;c'6nparrénts,'de^ ̃> ̃•̃̃:̃ ^'étranger'; :;qu^4'^entafflue^6^" créer sub- f Mentionner Ses ̃̃ g^syesi''JBÛçgèn^vjénu d'une s'oûrce i

.̃̃ .tnjs1;'é#su^ dexrntir

̃î ̃ '̃-< .< "v". Jje, Havre, jrirauit 30.:

La: journée avait été calme jusqu'à onze heures <l.u soif. Ace moment, un chauffeur qui se trou- -vâit dans un-café a brisé. une; vdtrê; Le prbpriè-ï •taire du café alla chercher la police. pour l'arrêter 11 fùt;cpnduit au poste delà rué JF^idhërbe..Une ̃ fois erifenhé'dans le^yiolon, îl>e_ Mît. à çriër: « ;A; ̃l'assassin i ».Deux butrois grévistes: se.pprtèrentj ̃̃_•̃ -aussitôt sur le poste '-et, à.coups.de: pierres et de: ̃bâto.nsj'iis.flémblirent les /.vitres -et "un volet du posté,' pour -tenter de délivrer.leur- camarade. ̃ Le çommissajr.ei de:.poliçe;ien permanence à' l'Hô tel.dé Villes -prévenu .par- téléphone, fit .de-mander la gendarmerie àla-caserne Eblé.VVingt gandarme's amvèrent et déblayèrent la place. Le: V chauffeur qui avait brisé la, vitre fut conduit en-. :tre'dëux haies d'àgëntâ de police et de gendarmes 4'laÈGfaïson d'arrêt. En cours -de Toutè,'quelqués 'bagarrés sb produisirent.' Le3, grévistes Jetèrent des pierres sur: les gendarmes et sur les agents. ̃'̃'Une •arrestatib'n.VÇit.ôpérée.. V '•'̃̃'•' ̃̃ A minuit /un .quart, Jtoiit". était rentré dans

.'̃ l'ordre.; '̃<̃

̃ '̃'̃• V,: Ù. ̃̃̃' :;̃ '̃{>̃>̃. i ̃ ̃̃ -.B,

U LES-MINES

ï: ̃:̃- ̃'̃ ^'î'Sçèn«siV pilicïises ̃̃; i

̃̃- ̃ ̃̃̃ Mtintteaù-iësMincs; 7 août;, j

V ;ibes scènes de^auyagén&4npuïe -^se'©4ûites;à;j'op<^i9ià;des;grjeVesi.f. "̃̃̃' '.̃̃. Non seulement Javiocal ;où:. se. ;réunissent les nori-grévistès' a' été attaqué et en. partie sac- ;çagé,; majs nçimbre d'ouvriers qui /refusaient de '•' ̃̃' se joindre Aux'.gréyistes:ont,. été assommés. On tompte parmi eux une qutrrantaine de blessés, Sont frdis ou quatrè'ën dangermorL ;Unescen_ë^odieuse- s'est déroulée; à la sortie: d'une. réuuiori <ies grévistes. -Uniyalet de cham- bre, nommé Edouard, a été entraîné dans une' ̃ rue déserte et brutalisé; d'-unë'- façon abâolumént .^auyage^ ̃ Le malheureux,1 ayant pii'se. dégager, voulut se réfugier.dans une maison voisine en franchissant /une grille de çlSture. ipOuïchassé^t^ffqlé^il prit ."mal son élan et reéta accroché aux pointe? de fer ,de la grille,: que .ses agresseurs .lui-firentientrer dans le corps ;en le: frappant à coups de poing.' Arraché: âyec peine .-à: la .brutalité, des émeutiér^ Edouard fut 'trouvé dansVua tel état que le ̃ préfet réqiiit'aussitôt une/ voiture pour le transpovteitàirhôpitah' 'i' .:̃̃ lie véhicule fut' arrêté: en ^routo' par quelques membres du syndicat et il fallut l'intervention "énergique du préfet, qui traita :ile: « misérables sauvages. Vlès;. 'Assaillants. ̃ De nombreuses arrestations d'anarchistes ont .'été;1 Opérées, notamiaient, celle du jeune Brout.jchpux, terrassier, .déjà ân'êté'pour un discours violent prononcé ,aux obsèqiies'; d'aine, victimedes troubles çLe:.Ghaloh:sur-Saône, -remis én: liberté, et -qui se fit remarquer par' ses violences au cours .des incidents, de. ces derniers iours.

.-• ̃ ̃ .,y--v^ :•̃̃ ̃• ̃ v; £j* /U^A;/ PiïbJcïïS. ̃ Xes cochers de fiacre

̃̃.̃; Hier matin; 250 cocîiers environ, appartenant; aux divers dépôts de la. Compagnie générale, ont repris leur travail. :Une ôentaine d'autres grévistes- apparte- ̃ napt aux:petites/€ompagniés;on-t suivile mouvement gui, malheuïeusenient, ne s'est pas accentuè:dàns la -jouinée» ̃ L.es.àbord8 de^ .différents dépôts sont toujours sur- veiÉlés paï; des age'ns et des gardes 'républicains. Par surcroit de/précaution et par ordre du" préfet de po- lice, des. agents enbourgeois ont circulé toute la ma? îiaéè en-voiture dans les. (juàrtlers ou sont situés les dépôts. Quelques-uns suivaient les voitures, prêts à intervenir au moindre incident, et rien n'était plus drôle que de-yoirûler survies /boulevards une voiture' d'une des maisons mises l'index et, derrière, dans une autre.voitufè, trois hommes enargés de veiller sur le sort de la première. Cette iiesure a -été vivement, critiquée par les gréVi'stes^.gm yoienÇdans ces précautions pour assurer la liberté dii travail une véritable provocation de la ,parË de/. ^administration.

.r:v, ̃̃ ï Au siège de la Compagnie, ̃ M^ Bixio, président du conseil d'administration, a reçu hier, une délégation des .cochers faisant partie, de Ja Société de secours?-mutuels subventionnée par. la Compagnie. Ces eo-i 2bers qui déplorent la grève 'essayent de servir de médiateurs. M. Bixio leur a démontré combien le système de; la fixation d'ane moyenne nniform'e pour. quirize-joùrs bu un mois serait néfaste à leurs intérêts comme a ceux de la Gompàgnie.

,11 a cité l'exemple des cochers de l'Urbaine, qui, •Suivant contrat, ont payer Mer »là 'moyenne de .18 francs/ alors que; par' suite dp mauvais temps cette journée ne yalait.pas.plus de i6 à Î7 francs. Puis il a tenté de simpliflôr la situation "en proposant; là- reprise dii travail à i6 fr: S0 pour aujourd'hui, tout en se réservant le droit d'augmenter de baisser les prixles jours suivants, .i ̃̃•̃̃ « Je veux leur a-t-U dit, pouvoir augmenter ;ou di- -mînuer la moyenne suivant évaluation du. travail,- eV ̃}çs conditions ijiri peuvent déterminer- cette évalua^ lioù échappent à votre volonté comme a 'mienne; c Elles dépendent, de la temperâture et de l'affiuencë J, des^ étrangers à Paris ». L*a proposition de M. Bixîo^ loin de concilier les cs- `~ ^prits, parait, 'au contraire/ les avoir affermis dans l'intention de contiimer là; grève. L

Xorsque, en effet, les délègues de la caisse de; sẽcours se' présentèrent à /Bourse du: travail pour faire part aux;cocbers delà proposition du directeur de la Compagnie générale] ce fut un cri unanime de protestation. Lès grévistes rejetèrent là] proposition de M. Bixip, déclarant que c'était le retour a l'ancien système puis, après avoir blâmé les délégués' de la laisse de secours d'être entrés en' rapport aVec les

'î-iUÏLLÏTflîf* DU « iifttois ̃•Dn'.8iDOTiaOO:

̃ ̃' V ̃ ̃.̃̃ ;̃̃̃̃' ~Wr,.

-̃̃̃'̃'̃ '?: &f: ̃̃

SIGNES ATANr-C0TJIŒUÊ6t ̃

'̃̃ •̃'̃̃ ̃̃ (Suite) ̃̃̃̃̃'̃; .'̃̃•-•.̃-i--

Cloué au sol par l'horreur et l'épouvante, RoSert regardarsîéloigner lés deux femmes. Depuis ̃ longtemps, elles, avaient disparu qu'il était encore àla même place, se demandant ce quïfallait faire devant l'imminence de la catastrophe qui^ Urenàçait la maison.. ̃ Tant qu 'il était resté le maître de .déchaîner ̃"̃-̃ cett« catastrophe ou: de la conjurer, il; avait reculé; devant l'éclat, -iion-pour Wandà, qu'en 'toute autre circonstance il n^eutças ménagée,, mais pour son père dont il redoutait de détruire île repos domestique. Maintenant, cet éclat rie dépendait plus de lui. Une circonstance ignorée de

Wanda lettre qu'à cette heure il se reprb-

•chait d'avoir écrite à Borosline rendaits hélas la catastrophe inévitable. Cette lettre était restée sans réponse. Mais il île lui était que trop aisé de s'expliquer pourquoi.

Quand elle était aruvée â Bi utiles, Borosline

avait sans doute déjà quitté celte ville pour aller

s'occuper de la délivrance de Stoikof.- Cette ten-1

lativç audacieuse ayant réussi, les deux^ amïs

Sevaient certaijaemeht.rCTenir eu Belgique a'ils.

ï'y étaient déjï menus.

e^î^epi^âuçtion^ troduçùos ^ntprdjte»,

· ;qp 1

drnit.ltspp'artenàii.: au ~Omite cle le~reve~ s~Qàt;

/dMdÇ^âèîiejremontfliï sur jewS8ÏègèTfq^pres^'q1ie.i 'lft;'sblStibn'"B^van{e'/uuralt'"ét8 iiçceptée;r parlfes.ïià-i ̃irons,: jaoyenaejfi fr. 50. jusgu'4uyi5:aQtitJïT.â'i*averi

nir, deâ déléguésdejs-^ochera^fixëront^ r f'd-aoc&rd ràvèb:

"JeB^atrôjlSj .îa^^ôyéixnè. de. 4à:auln;zainV;,suiyaiite^*ti cela déquin2aine èii quinzaine., V. "rt^- £ l ̃ -Devant l'éçhëc-de sa^proposîtipnrjpioujtànt- fort^aè-i cep table, M.ïïBixio àif a#&îflGbefTd^ïs Stous les dépôts un avis aax; cbchérsdpnt vpiftitla'rco.nçiusiaa^'î ̃. t"1- ] ̃ Npiisivolis 'viéçlajçottsîlionc âe laf;fas6n Ma-plûs énergique;- qn'ayânt fait par aiyaiiée. tout çê.sgue ̃ nous pànvions pour les; eo.clieÏB, noîia ié, iBodifleronsJri^i au contrat. qui; existe

v;e_iitrëâous, -̃' ̃ Jï} }.] iov J

"J^ous ajouterons, pour ceux d'^nttSif^oicis' qui" dôplorent amèrement cette grive inutile' et' i-.uiaéusq potir teus, 4– et i

̃plus i;Sé« trois quarts sontvdani ce'casi que te- Bôuverné-

meriiest absolument dçcidëïà 'protéger la ^^libefts:;da travail j :etque;-par suite, ils-?peiivent -sanB crainte. ^remonter sur; leur: Biègè..̃̃i' 'V' 1/ -•̃,̃/̃̃ .̃̃̃ '̃.•̃̃ ̃ Si, coutrairctaént à flbtre -attente, les "cochers" àevenaientr; pas en nbmb'resuffisanV reprendre leur 'yoiture, ld conlitè: > de direction est décidé à considérer tons les cochers actuels; ̃ de Compagnie- comme démissionnaires *.fîTa -enyojev :lês j buUeUns de spriie "à' la préfecture police." "{ Ja. cautionnement: sera immédiatement; rembourse tout cocher ayant régulièrement rèndo les^vètemcnta.iiùilui-onf

.̃eté'wnfiéàl.̃ ̃> ;̃?: K" ••'̃"̃ ̃ ̃/̃.̃v"y'-

.̃• ̃; /̃̃ f' ̃•̃̃̃'&•̃ 'u^\uC<>

j >_I7à délégation jnpmmÇé v^aùs; Vis êance d'ayant-

:biier soir, s'^fit.-réndue.bier/matinj a dix-ijeur^set/dê- mie, place Beau vau,chêz,-lé presid.entvdu-consêil. ̃ Lés .ministres! èt^ntvâ-xetté'K^revà'i£rrp.union'c[u] conseil ï'Ely-séè, .c'esè M. Pemagnyv qiii, aux ïi'en"êt i place de M. Waldeck-Roussëàu -/empêché, a icçu lai délégation. -̃̃.̃ /:V. ̃̃̃•̃̃̃.̃̃ J: Les délégués ont.jD.rqtësté contre/unie note émanant/ delà Préfecture de police aux agents qui. entra^ve-j raient la liberté de, la grève ;v ils-; çÀï., demandé que,1 cette disposition soit rapportééj Xàisant:ressoi;tir que, j f soùs.aueun' des ministères f antérieurs, semblable po-: sure n'avait été prise.. '> Or, n est btin lo faire/ ressortir ici, la note en "qucs.tiop promettait, une' allocation de 10 fr.: aux; agents cliaque fois qu'ils çnipêchm'aient de pprier] atteinte à la liberté, dit travail, mais il ne leur était pas promis prime pouf les engager à porter at-^ teinte à la liberté de la grève.. ̃: M. Damagny a promis aux délégués de transmettre à. M. Wâldect-Rousseàù, dès qu'il rentrerait, les do- léances.des grévistes et de téléphoner la réponse- du; -président du conseil ans membres du syndicat, à la -Bourse du travail. ̃• •: A la réunion tenue, hier soir, àla Bourse dii tra- vail, la salle était comble, plus de trois mille -grévistes; y assistaient^- •• .̃̃ M. CalmelSi secrétaire -général du 'syndicat, faitconnaître à.l'aud i.toira la réponse de M. Pemaguy. Cdmme.il fallait/s'y.^ attendre, le .ministre dément ̃que la préfecture de police ait offert nne prime de dix francs à.tout agent qui porterait atteinte a la liberté! de la grèyeV ̃ .:̃ ..r ̃ Cette communication est accueillie par un tumulte épouvantable. =̃- ̃̃•̃•̃̃̃̃ ° Mnalement Jla, çontinuatian delavgrèyea été yotée par acclamations, .̃̃. ̃̃'̃ /̃̃. ;• •̃̃̃ -•. ;.̃̃<'̃̃.̃̃ Auguste ^rand:, ̃ -A. MARSEfltLE ï ̃ Grevé des ï.mtepnes ̃ idjes. /hôpitaux Une grève des internes et dos. externes des. hôpitaux a éclaté à la suite d'un conflit avec l'administrateur des hospices. La commission administrà.tiverefuse d'accepter -les conditions des grévistes dont l'une est .révocation du-docteur Isoard. Le service a été assuré par.d«s médecins de la ville! pt par le chef et le. persônnelm.édical de la Compagnie "transatlantique.. Aujourd'hui, la commission das "hospices doit se réunir, à. nouveau et si d!ici là les internes et les ex- ternes njont pas mis fin/ à '̃̃̃la. grève, la commissioa prendra toutes lès mesures nécessaires et avisera. ̃ ̃»" L. r Par ces chaleurs,, ne. portez que le- chapeau Léon -̃̃ :̃̃ ̃ ̃̃ .̃̃-s^T ̃ -̃;•

L il tlGllldl ulmll u lu uiidli

L 'instruction judiciaire

M. de Vallès a iaterrogé hier,, dans l'aprèsr .midi, Saison et Valette.

Valette était assiste de M0 Le Dup, désigné par le bâtonnier pour le défendre. */̃̃ Les charges qui pèsent contre ^Valette rendent assez douteuse" sa comparution devant la. cour d'assises. ̃'̃̃"̃̃̃'̃̃ ̃̃; n est inexact que M." de/.Valles ail l'intention desoumettre Saison à un exarnen médical. Saison a -été cliauffé à blanc, par la phraséologie, anarchiste, mais on ne' petit pas le considérer comme ne jouissant pas de la plénitude de ses facultés mentales. Soif père et' sa mère ont eu cependant des troubles cérébraux et Saison a eu un ôïiclé atteint la manie de la persécution. AxrestatioBLS probables t

Le bruit courait hier que trois mandats d'amener avaient été donnés hier au= service de Sûreté. Ces mandats concernaient, deux anarchiste s français et un anarchiste étranger, mais à minuit on déclarait àla Préfecture ne rien savoir à cet égard. ̃-̃" '̃̃' Les coupures 5e journaux trouvées dans la chambre de Saison et se' rapportant à l'incendie d'Aubervilliers sembleraient, prouver que. Saison n'est pas étranger à cet attentat. On est ..certain que Saison est venu à plusieurs reprises à Aùbervilliers pendant la périodeil. habitait à l'hôtel de Lorraine.. ̃

A Saiut-Ouen,- plusieurs perquisitions ont été faites hier. On y a acquis la certitude que Bresci et Quintavalle y ont séjdurné,- il y a quelques mois, ainsi que plusieurs autres Italiens. La police s'est Aussi occupée Mer de rechercher un collaborateur « littéraire » de Valette, un nommé -Bastanet-Granlet, auteur /de plusieurs brochures libertaires. J' v.

Lion Brésil

̃ ̃̃ = '?:jr. ̃ •̃

9

ÈXPÔéïTÏON-GÙÏDEî

(Anjourdrlmi, ouvertare au/ publia à 8 h. du matin.Fermatnrd des gûioliats alOli.duspir.Prix. d'eatiéeda 8 h:à 10 h. du matin 2 tiokats; de 10 h. dumatinà 6 h. du soir 1 ticket da:6 h. du soir à la fermeture, 2 tickotsi)^

^NOMBRE/ PÈS ENTRÉES T)U ..lÙNDI; 6 AOUT

tli5o jourùëe)

Entréesaves:2;ti<i]£èt3/S.e8h. àlOh: dd m. 7.774 Entréesaveo i.t, de 10 h. du m. à 6 h. du s. 155,610 De:6 h. du soir à la fermeture, 10 heures, 2 tickets; i'̃ 7.. 402' Entrées avec cartes» .«.»- 45.063 Entrées.avec jetons de service. v.i.« [9.717 Délégations entrées gratuites.i.»^ "408 -̃. Total.r.V.:«.7.i"J ̃̃; 235,974 Dans ce total,' l'atinexe da Vincennes figura pour 6.925 entrées avec tickets,; 866" avec cartes et 3Ô1 avec jetons de'servicé.

̃ Alors, ;ils auraient connaissance de la lettré de Robert et convaincus que* par son entremise, ils pourraient être mis sur les traces de Wanda, ils entreraient en communication avec lui.

Peut-être, même viendraient-ils à Blois pour obtenir, de Robert déa renseignements verbaux. .Si'ces prévisions se réalisaient, comment cacher à Stqïkôf; la présence de Wànçlà^et sLcélui-ci, retrouvant sa 'femme convaincue; de ïrahis.on et mariée à un âutre^àu, mépris de ses^sermenta, assouviss'ait sur elï.e/sa.:çolëïç, les coups de cette colère n'atteindraient-iï's pas légalement M. deLorrisT "• La probabilité- de ces péripéties redoutables ne créait-elle pas à.- Ro"bert; de nouveaux devbirs ? 'i Il ne les entrevoyait que vaguement encore. Mais, peu à peu, la réflexion les précisa et le coiiduisit à cette conclusion qu'il devait intervenir pour protéger la vie de son- père et qu'ille pouvait qu'en exigeant de .^ànda qu'elle quittât Blois sur-le-champ,; afin'^Uë. Stoikof,' s'il' y venait, ne pût l'y découvrir^ ̃ ;> II n'entendait pas, la séparer j'âmais 4e. M. de Lorris, qu'une telle séparation .eût désespéré,ni la proscrire éternellement. Plus tard, -elle pourrait rentrer au loyer conjugal quand on connaîtrait les intentions de Stoîkof et quand oiî l'aurait déKpisté.MaiSj jusque-là, il. fallait- qu'elle disparût; avec v^Mierska,; qu'elle, allât s'ensevelir dans quelque retraite, ou, si. elle ne le: pbùvâit faire sans «veiller les soupçons de M. de Lorris, qu'elle l'entraînât 'dans quelque voyage au-delà des mers, voyage qui devrait durer aussi longtemps que Stoikof n'aurait pas Tenoncé à retrouver sa femme. Assurément, l'exécution d'un tel projet présen-

tait à immense^ difficultés^ Mille' causes,, contri-

buaient àyJiaire eûtiave:laïésis£ance<ïeWanda,

le refu$ qu'elle ne manquerait pas d'opposer à toute splution tendant a ia siparêr de son se- cond maii, l'impossibilité elle5era1t.de lui expliquer pourquoi elle voulait quitter Bloia ou

,â~·a5 $ç'

~w:~ ` ;a-~ `

/II y a-biend^rtstàtt^^èy^xçtfs)^ fln~i'a

:que l'embarras;du^ «hoi^K, 'msiis -niousfâevpns'-réeén-

naître; que le restanràpt ïlôîibîpri ^lestf'jplacé: deDûis

longtemps auprJsmi^TahgVàitrtaût^ar'la^rèputeliQnj

de cerioin fameux guo/^àr-v.6^tfM6ëjçviëe";c|e'v.ji)reB]â4r.; ordre; On mâage la bôuillâliîaîsscl uo .peu- partqttt'ài

Paris;- mais tous ceux qui: vonVaut- Invalides visiter

le Mas provençal et dîner" /chez -Houblon *'àccofdent| adiré que séulem&iit se/'sert-le -vrïii" rinlmitible<

plat;marseillais. -̃=- "̃<̃ .î*

̃̃.•̃̃. ̃ -'Au. papillon '^SLjè'J^Loiaêkèày .:̃ /|

Lescohgrès scieiitilîqnes.de- toutes /sortes 'SOût?

en pldne activité j aussi les savants^ .•dontlè^a-i lais est sur>là rive droite; font-ils des excursions j sur la rive gauchii où. le pavillori: de Monaco, no-i tamment, les attire* par l'intérêt^out' spécial quel Jéup fournit latrès-riehe/colléction de S. ÀVS;le|

prince Albert,, dont Je dirèctéui^Bic}iard, collabo-;

ratedr du prince, leur fait las honneurs aveG/zèlè?

et autorité. 'v ̃̃i.4

;lie théâtre, des Vo'yagôSrAïiiEiies. V^\ .Eh fixant-à sp-centimes^sëuleme^t le prix.d'en-

trée des'enfaûts'pendant lësvacâncèsj le théàttjéi

des- Voyages- Animés, '/au ïrocadéro, près ctu; pont d'-Iéna,- attire -toutes;4eâ familles à -son jp'lil l- spectacle," .qù,: tout en écoutant /la r^yissante' mu-i sique l^àncis^Thoméi' d^ lëux sites du pays de FranceV '• Les r.eprcsent-ations.ont': lieu toutes les demi- jheures, l'après-midi et le sohv ;̃̃. Chemins -do fer del'Oaiest

Le nombre des voyageurs qui ont utilisé la li-l gne: Saint-Lazare-Ghamp de Mars-Invalides, pour se rendre à l'Exposition-^pendant la journée; de dimanche dernier, a été de 125,731,- en aug-"-mentation de 53,592 -sur le dimanche pr'écê-r dent.̃̃, i

P. R.

.-• -v -P-R-

Trocadéro Pavillon de l'Asie russe. Re's- "tàurant Russe. –Bëstaiïrant 'Chinois. Pano-: raina.. -Transsibérieh Moscou" à Pékin. -<^ ̃

'NOS INFORMATIONS!

-i,\ .gpEMPÉiaATîjaB

Vent assez fort sur nos côtes. Pluies dans l'ouest' èfr) le centre du continerif..

En France, on a xecuéilli 19 mm. d'eau à Cher-!

bourg, 12 à Rochefort, 9 à Biarritz.

^Averses probables dans lb Nord et l'Ouest avec tem-' pêratùrë "voisine de la normale.. A Paris, le thermomètre marquait hier 23% Faits du jpap >!•̃ ̃" _'̃ -l.tt;Nous étions encore au-dessous de la vérité, i l'autre jour, lorsque nous signalions la façondont? .lâpolice, .est faite. à Versailles- .Plusieurs de nos: Jecteurs nous envoient, à ce sujet, les renseigne.mënts les plus édifiants. « « Jadis, nous écrit un. correspondant, la vilie était sûre et les habitants protégés mais aujour-- d'hùi, après lés folles' dépenses de /ces dernières -années, on fait des économies sur tout, notam-i ment sur la police le nombre des agents "a Ver-i .sailles est à peine celui d'un .tout petit chef-lieu'; de canton. Aussi, la ville est littéralement livrée aux malandrins dès que vient le soir,Que fait. la municipalité ? Jusqu'ici, rien » «, :7^– M.Paùl deGassagnac,' notreéminent confrè- ;ïè de^ VÀutûrité, est-le .président d'honneur désigné pour le banquet impérialiste organisé le 15 "août prochain, a la salle Vântier, avenue de" `

Gliçlry,

La présidence effective /.est réservée à M. Sas-- sère,ancien auditeur au conseil d'Etat de l'Empire, assisté de M. de Fontre.al et du'commandant Mourgetj officier de la Légion d'honneur. M.Klébef de Margeric, qui est chargé de l'organisation du banquet, est le même" qui fut can-; didat aux; élections municipales dernières et ob- tint dans le quartier bu il se présenta un nombre de voix considérable.

Nouvelles itiilï tairas `

Mutations. Xe colonel Bbnamy, du 80» de ligne, permute avec le colonel Vpyê, du 155°.i #i Le lientonant-colonel Meunier, du i§9« de ligne, passe du 53* (maintenu stagiaire au 24e d'artiJlerie).

̃ Le HeulenantTColonel Mondain, du 1" d'artillerie, passe à -l'état-major -du. commandant supérieur, de' la défense de

Paris.. ̃̃-

Le lieutanant-colonel 'Potolin/ du 38e de ligne, passe.au

Z~ΰ.

Lo lieutenant-colonel ÏSaudot, de rartilleriej est nommé à l'état-major. du 14* corps.̃ ̃'

Le. chef de bataillon Holender, du 64* de ligne, passe chef d'état-major do la 20* division d'infaniterio. = Un, service funèbre. Un service funèbre sera célébré aujourd'hui, à Marseille, en l'honneur d'un glorieux enfant de la ville, le commandant Lamy, tué à l'ennemi, au Sou-, dan. Toutes les notabilités militaires et maritimes- de la ̃ville assisteront à cette cérémonie.'

Nouvelles" "naVales

L'éscadre~de la bféditérr·anéé. L'éscadro de la Méditerranèo a quitté Royan hier mîtin.

Commandements* lies capitaines de frégato Lemoine, Bobillard et Duval sont le premier, maintenu, sous-directeur dès défenses sous-marines à Rochefort le deuxième, ̃nommé second du Magenta, a Toulon, et lè troisième, aidemajor à Brest. ̃ ̃̃̃̃̃ ̃ Légion d'honneur. –'M. Pavillier, ingénieur en chef, est nommé of£icier.7Sont nommés: chevaliers MM. Honorât, chef-adjoint dn cabinet du ministre^ Juttot, chef du Bccrétpriat particulier; Bourgeois, maître de conférohees à l'Ecole normale supérieure ;Tiauriçe, ingénieur en chef dẽ21. classe des constructions navales.

fttonvelles eoloaîales

Au Sénégal. En raison de répidémie de fièvre jaune qui sévit au Sénégal dans les conditions désastreuses quo nous.avons facontées,le ministre des colonies a donné l'ordre do rapatrier las troupes. Conformément à l'avis du conseil supérieur de santé, la relève qui devait partir pour 1& Soudan a été retardée, à raison du danger d'une escale â Dakar ou â Saint-Louis. est

M: Ghaudié, gouverneur général, est rappelé pour cause de santé, et provisoirement Templacè par.M. Ballay. Faits divers

DOUBLE SUICIDE

Deux îemmesj lamèfe'ct la fille, Mme" veuve Bisscl et Mlle Jeanne Bissêl, âgée de dix-sept ans, se eont. asphyxiées hier, dans le petit logement qu'elles occupaient 35, rue de Surène. En arrivant à son bureau, M^ Belouino,N commissaire de police, trouvait une lettre des deux désespérées, lui annonçant leur funeste résolution.. Le magistrat courut à l'adresse indiquée et ût ouvrir la porte du"petit logement par un serrurier.

Les.deux femmes étaient étendues sur 'leur lit, dans pièce :du. fond. Près du lit, un réchaud de charbon de bois achevait de se consumer.

Mme Bissel et sa fille respiraient encore; On les transporta à l'hôpital Beauj on, où on espère les sauver.. ̃ ̃ Mme veuve Bissel gagnait Jrès bien sa vie. Sa fille Jeanne était ouvrière chez lune grande couturière du faubourg Saint-Honoré. Ce n'est donc pas pour échapper à la misère qu'elles ont voulu mourir. Mme ̃ Bissel a une autre fille âgée de vingt-trois ans qui s'était mariée récemment contre le gré de sa inère. C'est là 'qu'il faut chercher l'origine de l'acte de désespoir de la pauvre femme. Quant à sa fille Jeanne, elle i'avait pas voulu lui survivre.

̃ si elle se décidait-à faire avec lui quelque lointain voyage, quel soudain caprice la poussait à cette e étrange décision. Eh face"de3 devoirs dont le programme s'était clairement dessiné à ses yeux, '-Ebbert. voyait ces obstacles se; dresser ,'Tïiais sans ébranler ses dessems. Il' avait beau.tourner et retourner la situation, l'examiner sous toutes ses -façes^ il; ëni revenait. toujours à la même conclusion." Il faut que Wanda parte, se disaiHl, il le faut/ Lui demander de" partir, le lui conseiller, l'y contraindre au besoin ne ̃ constituera pas un acte d'hostilité, mais un acte de protection, de ;p'rudeiicedà£;s son intérêt comme dans ;celui tle, mon père." Lorsqu'il abandonna la salle verte, Robert n'avait pas trouvé- mieux. Décidé à exécuter sur ̃ l'heure lés résolutions qu'il venait de prendre, il. se demandait comment il aborderait avec Wanda. le sujet dont il voulait-rentretenîr.̃ II avait contractéThabitude d'aller tous .lesiûà- tins chez son père et chez ̃̃sâ'.grand'mère les embrasser et s'informer do leur santé.. Quelquefois, iïies voyait isolément, d'autrefois ensênibie.Oûe, chacun' d'eux fût seul ou qu'au; contraire- ils. tas?sent réunis, citait l'occasion des échàqges de réflexions ou de confidences:. sur les faits grands et petits de leur vie quotidienne..

La veillëj alors qu'il ne prévoyait pas le subit, retour dellierska, il s'était promis de commen.cer? ce jour-là, à les préparer à la nouvelle de son mariage. Mais, maintenant, ce n'était plus son avis; il croyait plus sage d'ajouiner encore sa communication. Trop-ile graves préoccupations le hantaient, et le bonheur de son père était trop directement menacé" pour qu'il se pi-éoccupât des .mesures njue semblait lui commander la défense,

^du-sien. J ̃•

II ne j>arïa donc pas à ses parents de ce qui le concernait. Après avoir eu le som de ne pas leur

laisser voir le ti-ouhje^reux auquel boïj cœur et

~tat~r~~ .~4ul~t~~ `,: a

T Un autre, double ;suiçidjB:-<a:ïa Jie;u,;hieri44%e« t

;tïit{5r9Îid^Pf|éitré,:lJff jsune tkpipaïgo;dé dix-neiafans,i 1

nommé Albejst I^go^et iwejeupséjfilleduinemft.àge,} j. Jjuli.ette Dulaolieti-i-qui habitajeat: «nséirùblç depiiisi

[ quelq.ite temps: uw-maosardë r^TtjiBJiièHie ^tag'se'

> sont jetés parla fenêtredeJeurj.ipgonient.et.sTOt ve-

nus ;s'abàttre,dan6 la^çur; '̃̃;l ̃<̃̃ "̃- >'̃' <A- ïi". ̃

̃: 'ttë jeune ;ljo'îTime est ,mort çur. le coup.. JLa< jeùnev

fille qui respirait^ëncorc a été .transporté^ à l'Hôpital! SaihtJL6uiSj mais cile-a expire dans- la1 soirée,. .'̃̃ ̃̃̃̃: Son ami, ayant quelle ;jne s^ jette, par la fenûtre,; l'avait frappée^de plusieurs coups couteau; V ̃ ̃

•̃?̃̃̃ LE^GRqjEipE.iAJiUE p?.lI4LTB, :•̃,

M. Josse, juge d'instruction, vient de terminer .son' .enquête sur le crime de la rue de Malte, et toute la. bande de Cyrano est yenvoyée en cour d'ass.ises.û Antony Aubin: défendra le fameux: « Cyrano » .XE DRAME DE -L'iMPÀSSÉ. S^VARD

;-Eç jeune Arthur Bouteilïerj tombé impasse Sayaril/ à'Charohne, du deuxième'êtage.'avêc sa sœufMàrie; :et un dg, ses frères, est mort hier à l'hôpital' .Tenon.

ft'èt'at nde la-petite Marie restestàtionnaire.1 ̃ ̃

̃}?:< ̃̃.̃v- 'K .̃̃̃̃ ̃̃

r–r** •' ••̃̃'̃ '̃̃

ËSUf Iy DE DES TRlfittlAM^

,,#,

LES SUITES D'UN ACCIDENT D'AUTOMOBILE On n'a pas oublié que, sur là. plainte de; M.: Berthelot, fils de l'ancien ministre, qui. prétendait, avoir été renversé, sur la route de Versailles," par "un automobile .conduit par M: Victor Tho-; mas,.lieutenant dé cavalerie et lisau-lils de M.; Edmond Blanc, une instruction fut ouverte par; le parquet de Seinc-et-Ois.e. Après 'une enquête, qui a duré trois longs'm'ois, celle-ci vient d'abou-' tir au renvoi devant la police correctionnelle de- celui qui aurait été l'auteur de l'accident/sous; l'inculpation de blessures par imprudence et de violences et voies de.fait. M. Victor Thomas s'est> 'donc expliqué devant le tribunal de Versailles' qui, après plaidoirie de son avocat, <Me Max La-; caze, l'av acquitté-, lés juges ayant estimé que la plainte,n'«tait pas suffisamment établie. Conséquence M. Berthelot, qui "s'était porté'' ` partie" civile. au procèspar l'organe de.Mv Des- hayes èt qui, à ce titre, réclamait 2,000 francs de dommages-intérêts, a été condamné à tous les dé-:pens du proeès» .'•'̃ i .̃̃̃ ̃ g., m.-

̃̃ ?– ̃–

 NOCÉOPLiERS;

A C, I~RS

pendant les. vacances

Bien des lamilles -nous demandent de leur indiquer j un établissement d'éducation leurs enfants pour- /raient trouver, pendant les vacances Viles cours spé-

ciaux pour compléter leurs études.,

̃ Nous rôpQndbns a Ieùrdésu'.£n.ïeur.-reç6mmandant. l'Institution Zélargà. fondée en i8il, rue Gay-Lùs-: sac,. 20, et impasse Royer-Çollard, O;et i'2,\à l'entrée: du Luxemboui-g, dans ce quartier magnifique/l'un des plus aérés et des plus -salubres de Paris. ̃ Tous les ans, au mois d'août, cette institution 6vganise des cours spéciaux pour les candidats au bac-j calauréat qui désirent se présenter à la session d'octobre-novembre! .'̃̃'̃,̃ Ces cours- rendent de véritables services aux jeunes; gens qui ont échoué aux examens" ou qui se trouvent' à la limite d'âge, soit pour leur admission aux gran- des écoles, du gouvernement, soit .pour leurs inscrip- tions de droit, de médecine, de pharmaciej etc.. Il nous paraît- inutile de faire ici l'éloge de l'Insti- tution Lelarge:' Qu'il nous suffise de dire que, depuis sa fondation, elle n!a.eessé de se maintenir au prer mier rang de nos établissements d'instruction secon-

,daire.

C'es.t à la large' organisation de ses cours, àla bonne direction de son enseignement, à une discipline ferme et sagement comprise que l'Institution Lelargè doit les nombreux sucées qu'elle remporte chaque année et qui justifient amplement sa renommée.. Chaque division ne comprend qu'un nombre limité ̃ d'élèves et est confiée à des professeurs spéciaux, tous < agrégés' pu licenciés de l'Université.

Nous devons ajouter, et ce point a bien ,son impor- tance pour les parents, que,, dans cet établissement, il est de tradition de: faire .marcher de pair l'éduca- tion et l'instruction et de conserver aux. jeunes gens cet; esprit de famille qui, de nos jours, tend' trop'à" disparaître.

I ^• ̃'•'|T '̃"̃• ••'••̃' :y 1

LEGION 'l)'HONNEUR1

r dV~~

l' ̃̃̃̃ -t ̃' ..̃ ̃

Mînistèï'ede la justice.

Sont nommés dans Tordre de la Légioh d'honneur ï Officiers

M. Mayniel, consoiîier d'Etat.

M. Lpubers, 00^301110^ cour do cassation.

M. Bérchon, premier président de la cour d'appel de Rouen.

.Chevaliers ̃

M. Lataste, chef-adjoint du bureau des procès-Verbaux de la ChambTO. des députés. ̃̃ ̃̃ M. Pournier, substitut du procureur général près la cour de Paris, et près la Hàute-Gour de justice.

M. Trézéguet, conseiller à la cour d'appel tJe Pau. M. Party, président du tribunal de 1" instance de I Dijon.

M. Sabùs, président du tribunal de première instance de Valenciennçs.. ̃ ̃

M. Delalé, juge d'instruction au tribunal de première iris- tance de Lille. P ç M; Buttuer, juge au tribunal de commerce de la Seine. M. Ghabanel, président du tribunal de commerce do Ta- 1 rascon.

M. Lhobet, président du tribunal de commerce d'Oràn.' M. Devin, bâtonnier de l'Ordre des avocats à la cour T d'appel de Paris. f M. Gosset, président de la Compagnie des avocats près le conseil d'ELat et la cour de cassation. M. Roy do Glotte, avocat à la cour d'appel de Bordeaux, ancien bâtonnier. ̃̃̃̃̃̃ M. Dupuis, iiuissier-audioncier de la cour d'assises de la £ Seine et de la Haute Cour do justice. j y. Çouillaut, chef-adjoint du cabinet;dn garde des. sceaux, 1 ministre de lajustice. é RÎLiïiisière de rintérictir c M. le docteur Lannelongue, professeur à la faculté de médecine de Paris, est promu au gradede conimanS^fir la t t Légion d'h.onneur. 'C,' t

̃ Mîiiîstèi?c dea coloaïes ̃"

Sont nommés* ̃̃. •«

Commandeurs >: '•

M. Glianbié, inspecteur général des coloniejS, gouverneur ̃ 1 général de^l'Afrique occidentale française. r Officiers- '̃'̃' r ̃ MM..GuiUard, inspecteur de 1™ classe 'des colonies; Sé- c rez, médecin en chef de,]" classe dos colonies ;• Çafagc,. mé- decin principal des colonies. s Ducps (G. A. E. E. A.), résident, supérieur au Cambodge. A Simon, directeur de la banque d'Indo-Chine.. Gentil, administrateur colonial de 1" classe, commissaire ,2 du gouvernement dans le Chari.- r

̃ ̃ Chevaliers 1 j MM, Gouzien, médecin principal des colonies. il Cassagnon, médecin princi|*L des colonies. s Mélin, médecin principal des colonies. -p Pairault, 'pharmacien principal des colonies,

Martin, commissaire-adjoint des colonies.

Baron, sous-commissaire, des colonies. ̃ f Bourrât, capitaine d'artillerie de la marine H. G. détaché V au ministère des colonies.; ̃̃ Bioch, inspecteur des finances, directeur de la compta- bilité au ministère des colonies. c You, chef de bureau au ministère des colonies, chef ad- i joint du cabinet du ministre. 1

son esprit étaient livrés, il ne. songea 'plu s qu'à se ménager." Un" entretien avec Wanda.. ̃

Etant entré dans la bibliothèque,, il l'y trouva. Elle était seule, assise et pensive', devant une feuille, blanche, avec, une plume immobile au; bout de ses doigts. Elles'était miselâ pour ecrire.' :Plus fortes que sa volonté, ses préoccupations .^paralysaient .son esprit et sa main. V Devant Mi.erska3 elle avait! fait montré. effron^ tément de son habituelle audace. Mais, une fois vseule,- toute cette audace s'était évanouie. -Elle `~i pliait'sôua le fardeau des terribles nouvelles rap--

portéëspar la nourrice.

.Quelle qu'eût été la rapislité avec laquelle, à l'entrée, de Robert, elle s'était "contrainte à paraître en possession de son calme, il eût le temps s d'entrevoir l'intérieur .de cette âme déconcertée et défaillante. Il put croire quïl en aurait promptemeflt raison" En le voyant, Wanda s'était levée comme .pour lui céder" la place. '[' '̃̃̃̃-̃ Restez, madame, !dit-il. J'ai avoua parler. Plus impérative qu:il n'eût;: fallu, W phrase

choqua Wandài Elle se redressait agressive^

Me parler de quoi? demanda-t-elle. Vous allez le savoir/ Et: pénétrant sans plus- de ménagements au cœur même du sujet, ilin..terrogea': •" '̃.̃̃ ;.Avez-vous enfin reçu cette preuve la •mort de Stoîkof, que; :vous m'aviez ânnonçéeet promise? n. et La question à laquelle elle était si peu prépa- a- rée stupéfia Wanda. Elle fut une minute à -cher-

cher sa iéponse.Enfin,se ressaisissant, eHe la for-

mula:

̃ Vous avais je dit que je dusse la iccovoîr do

sitôt9 Qu'est-ce qun peut vous /au o supposer

qu'elïe^m'est anivee?

Je croyais que vous-aviez chargé MieisLa de vous Ja rapporter,

Vous avez mal ci u.Mieïska n'est pas à la

hauteur d'une mission de ce genre. C'est a l'am-

a: .1 a

bassade russe que je me suis adiessée pour

< $ 4

:~Ducbçpe,, oùeF de~préaü aa ;minïsk,ro dég ~olo~és.

"I^maire/'{^ûvérnc'dr'.<fè'iro^

Merlin, s^.crciaire fiéngral vàe^première claése des colonies:

;la Marttnio;uc.i I-j^ :>

Cahuzac; conseiller à1 cour d'appel 3e Tanan'arî '{Ma-l J

dagasçar).! “̃“ ,•

Danrand-Forgnes', aTÔcat gênerai près la cour d'appel de-;

l'Indo-Cbiné^ .̃̃̃̃'̃̃ ̃̃̃:̃•̃/ ̃̃̃-̃̃ ̃ :SP«5vot; ingénieur, chef- de service des trava'ux du Ton- ̃

̃En. ̃̃̃̃ ̃ ̃̃ ̃̃•̃ ̃:

Ricci,.prpyiseur da lycée de Sàînt-Piérre. (Martinique);. -IlEnlgler, géomètre en chef, 'chef du service topogrâphique: de la Nouvelle-Calédonie.. ̃ Lombard; président delà chambre mixte d'agriculture et-

rde.commcrce\de l'Annaiiiii r ?-

Souhaité, explorateur (Madagascar). ̃ Le Cçsne, adtainistrateur.'délégué 4e la Compagnie âe; l'Afrique occidentale française. Loiseau, ingénieur, administrateur-directeur .de la So- .ciétc i de constructiqn.de Leyallois-Perret. ̃ Ldrtat-Jacob' ancien avoué prés le tribunal de première- instancs de la Seine, membre du comité consultatif du cbn-'

tenticux des colonies.

v

m

̃j?':H' ̃•̃' ̃ ̃• -Nécrologie .̃̃ -̃̃;̃̃! ."̃̃ ">

ji'CHAtJMONT^ 'Oh'ûnnonce 'là mort de'-M.. Gabriel-' '̃Mpugeoi, ̃' arifcien notaire,'? :juge de; pais a Nemlly-' ;TiEvêaue,' père du;.sous-seerètaire d'Etat 'd«s postes ;et:

̃̃d.es;.jBlégraplieSk,' ̃'̃,̃̃̃ v -•̃ v..j-:

':̃̃̃ Paul Bartal

̃ 7–r-! r<&> r-r-^r

ABONN EMËNtS DE SAISON

Le Gaulois^ qui désire toujours être agréable à ses lecteurs oa déplacement d'été, accepte des abonnements de saison partant de n'importe quelle date et. finissant au gré de l'abonné. Le prix de ces abonnements se calcule à raison de 15 centimes par jour pour les départements et .de 20 centimes pour l'étranger. Toute demande d'abonnement de saison doit être accompagnée du montant da l'abonnement -en un mandat postal.

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1

Cunnier n

..c.

Aujourd'hui, à la Comédie-Française, à. 1 h. 1/2, matinée en l'honneur du Congrès des associations de presse, Polyeuéte. et le Médecimmalgré lui. Le' public sera adriïis à" prendre des plçrces^âu bureau poùx-.cette Toprés'entation.

Ce soir

Au théâtre- des .Folies-Dramatiqu'es; première. représentation (à ce théâtre) des Petites Michu, opéraiomiquë en trois actes, -de MM. A. Vanlo.o et G. Duval musique de' M. André Messager.

En voici la distribution

Gaston RigaUd MM. Jean Périèr Aristide Maurice Lamy Bagnolet ̃̃ Brimais Général abs Ifa Coquet c. M.AIichu ̃'̃•-̃. Ambreville Marie Blanche Mmes Mariette Sully BlanchesMario- .• .• •̃•̃̃ Mâry'Lobey ̃ Mme Michu ̃̃ Jane É vans -"̃» Mlle Herpin AJbina Dâlly On commencera à 8 h. 1/3.. Ati ~Bé~ire f:lnnv..nr~mid.rr rnnrbennfofin,i .r~

_1. y.

théâtre) de la Plantation Thomassin, vaudeville en

trois-actes, 'de M. Maurice Ordonneau; 1-

En voici la distribution i "1

En:voici la distribution: 'i~g" 11 .i -1 1-

n~t,;W ~ïnr ;4._M_:

~L' mm. munac,

Johnson Luréau Van'Ostondo Gaillard Tricàrt Prévost Léopold Arnould Bois-Ragon La Renaudia M" Buffalo Gravier fils Beaufini Rcnoz

-Domingo. · -?.: S.terny Mme Beaumastin ;ïlme3 A. ÏJuiiicï •'̃ Léona L. Cardin J Lucilê Divpnne

On commencera à 8 h. 1/2 par Eccpress-Union. A l'Opéra, le Chah de Perse assistera, ce soir à la représentation du Fazist de Charles Gounod. Demain jeudi, par suite d'indisposition de Mlle >O Lerou. changement de spectacle à la Comédie-Française.

On remplacera Œdipe-Roi par Polyeuclè et le Malade imaginaire.

Les Variétés vont faire leur réouverture, mardi prochain, avec la Belle Hélène, de Meilhac et HaIévy, musique de Jacques Offenbacli.

Le grand opéra-bouffe, dont la brillante reconstitution a obtenu cet hiver un succès de plus de cent vingt représentations consécutives avec le maximum, sera repris avec toute l'interprétation du premier jour.

C'est Mme Simon-Girard qui chantera Hélène ce sont MM. Baron, Brasseur et Guy qui joueront Calchas, Ménélas et Agamemnon.

Le ballet saul a été entièrement renouvelé; les costumes sont tous remis à neuf, les décors sont repassés'sous la brosse- des maîtres artistes Amable et Lemeunier, enfin, le bureau de Ipcation.est ouvert à partir d'aujourd'hui mercredi.

M. Georges Leygues, ministre de l'instruction publique et tics beaux-arts, vient de déléguer .officiellement pour les fêtes artistiques tvt littéraires qui auront lieu à Orange et Vaucluse, les 11 et 12 août prochains M. Albert Tournier, bibliothécaire du ministère de l'instruction publique, inenibre de la. commission des représentations dramatiques au .tlïéâtre Antique..

Après les représentations de la tragédie d'Euripide, Àlcesle, et de l'opéra de Gluck, Iphigénie en Tauride, au théâtre romain, le monument de Laure de Noves, dont l'auteur est Mme Clovis Hugues, sera inauguré auprès de la fontaine de Vaucluse, en, présence des membres dii congrès international de la .1 presse. ̃̃ ̃ Hier, la cour d'appel a rendu son arrêt dans l'affaire en nullité du testament d'Ad. D'Ennery, l'au- teur dramatique bien connu.; ̃̃ L'arrêt confirme le jugement de première instance; é'est-à-dire que le testament est reconnu bon et vala- ̃ ble, les héritiers légitimes sont déboutés, et" c'est Mme Leroux, fille naturelle d'Ad. D'Ennery, qui hé-

obtenir l'acte de décès. Elle ne me l'a pas encore envoyé,- Dès qu'il me; sera pai'venu, il vous sera communiqué. -t- Mierska n'a donc rien appris touchant les circonstances de la mort de ce malheureux ? Je ne, l'avais pas chargée d'aller; aux xensei- .gnements..

/–Alors, reprit Robert, et à défaut dés nou.velles. qu'elle aurait, pu vous rapporter^ je vais vous en donner, moi.. ̃ Des nouvelles de Stoîkof ?

Oui, madame, et de toutes, fraîches. Votre premier mari n'est pas mort; il- est vivant et il est en liberté. -'̃ .• '• Comment l'âvez-vous appris? s'écria Wanda tout à fois irritée et^terrifiée.

-r- Comme vous l'avez appris; vous-même, car vous êtes tout aussi instruite que moi de .iset.-é.vé̃ nément, ce qui n'empêche que vous êtes en train^. ̃ Mierska et vous, d'expédier à Varsovie ùn& somme d'argent enretour.de laquelle -on doit yôùs envoyer un acte dé" décès. N'expédiez pas cet argent, madame. Ce serait une dépense inutile puisque1 je suis'av'ërti qu'une telle pièce; consU- tuerait. un faux. .'̃'• Wanda défaillait sous ce langage qui lui montrait toute son infami exercée a jour. Mais elle n'était pas de ces .créatures sans fermeté qu'on 'dèniohte aisément.' ? ̃ r- ̃̃ Cette coquine de Mierska m'a donc tiahie, dit-elle, a moins que.

Elje s ariêla comme aveuglée par un flotde lu-

mièfe et reprit, menaçante

Vous étiez ce matin dans la salle verte l

Alors, c'est la guerre, vous l'avez voulue. Ne

vous en prenez qu'à \ous i

Non, madame, ce^st pas la guerre. Maïs il m'importait de vous convaincie que la vtnté m'est connue comme me sont -connus les men-

songes à laide desquels vous vouliez m'empê- à

cher sde la découvrit Maintenant que yous êtes

Jvrite^xàirinedçgàtdréianirar^eHe^ctoi^se'sliiéns^oi)»

.leserTCjde^iycrsle^simpor'taîit^ ̃• ̃̃hv-.vt >-̃̃;

Mme Leroux devient donc ainsi "seule propriètaira du répertoire 'dramatique de^son père qui comprend un_ effectif d'environ -trois cents .pièces, drames, comédiesj vaudeviUejSj XJpèrasTcpîniquos, voire: opéras. On nous écrit de Milan ̃ L"e.Teatro Lirico. fera sa réouverture le '25 pctpbra prochain avec André Chépiei', M. gtiofdano^ André Chénier sera remplacé sur l'affiche par la nouvel opéra de M: Leojicavailô,-2a«ii';rd0nt lèsprincipaux rôles seront tenus par Mme Storçhio et MM.: Garbin et Sammarco. ̃ LJorchestrc sera dirige par M: Toscanifli.

De Berlin ,'• ,̃'

L'Mver dernier la censure berlinoise a, interdit la représeh talion, dans le texte original, de la Puissance r des Ténèbres de .Tolstoï, oeuvre qui a été représentée en.France, en Autriche et même en. Russie. Le directeur du DcutscHés Volkslbêator la' premièfe devait avoir lieu, M. Brahms, pria Tolstoï do trouver dos variantes aux passages incriminés., par ^a présidence de. la police « d'immoraux et de dangerciis:

•pour l'ordre publie»; v:; '̃;̃

Tolstôr remania son oeuvre qui,dans sa forme nouTellë, fut fesoumise au visa de la- censure. GelieTei, ne trouvant probalilement pas Témondage suffisant. Aaent d'interdire à nouveau la pièce. Mais il paraît;, que. cette fois les. choses /n'en resteront pas là. M.. Brahms, secondé par le ;syridic4u Deutschës,Theater, M. Paul Jonàà, avoué, a l'intention d'intenter un procès à la censui;e auprès du tribunal d'administration

.supérieure,- >

Le plus curieux dans l'affairé est que la Puissance des Ténèbres a été représentée au Lobe-Theater de Breslau en 1890 sans que personne ait songé à protester « au nom de la morale et de l'ordre public ». On nous télégraphie de Boulogne-sur-Mer

Les maris de Léonliné, la spirituelle «omédie de M. Alfred Capus, très bien interprétée par MM. Gé- mier, Mondos, Burguet et Roycrj Mmcs Lély Marsans, Miller et G allais, de la "tournée Baret, ont ob. tenu un très grand succès.

De Koyan

Pour la première soirée de gala offerte à l'escadre, le Casino municipal a donné un magnifique bal prî>̃cédèdeJa Teprésentation de Une fête au --Village, charmant ballet de M. A Lairry, nos vaillants mârins ont pu apprécier la baautc et le talent de Mmes Heva Sarcy, Massoni, de Saiht-CvgQO, que secondait à merveille l'excellent corps de ballet du Casino nxùnicipal. A Foncillon la troupe de M. Depày triomphait dans Mlle de La Scigliëre.

Evian-les-Bains ̃ J

Très belle chambrée, le 2 -août.: pour applaudir .l'hi- larante' pièce du PalaisTlloyal, Coralie et Cie, donnée par la tournée F. Achard. Succès sur toute la ligne. On nous annonce pour le 7 août Francine, dè°M. Janvier, parla tournée Fauconnier. Francine' sera .précédée d'un vaudeville en un^âcte de M.- Pàulet Sut le trottoir roulant V Exposition. < II y a encore do la .gaieté aûr la planche.

SPECTACLES .DiVER3

Au Nouveau-Cirque, aujourd'hui, matinée à deu» heures et demie avec la Chasse au sanglier, grande pantomime équestre et nautique, et les Frediani, jeux Acariens à clicval.. Les étudiants norvégiens assisteront; -ce soir, à la représentation.' ̃

II -ne se, passe pas de semaine sans que l'Hippo- drome n'ajoute une attraction nouvelle à son spectacle déjà fort intéressant. Après les débuts sensationnels des Lécusson, après les coursés" de steeple, après lamontée du ballet sûivrimmense ascenseur au troisième Bcte" de Vércingdlovkc, cette pantomime de toutes les splendeurs,' on. annonce pour demain soir jeudi deux courses d'un nouveau genre on niatchcra un coureur à pied contre un cheval monté, puis un cheval en liberté contre un cheval monte. Cette attraction obtiendra sans nul -doute le même succès qu'en Amérique, où elle fait fureur.

Paçmi les nouveaux numéros qui "composent le ^spectacle du Casino de Paris, il faut citer tout particulièrement le jongleur Vandy dont l'agilité n'a point d'égale; le travail remarquable des Rigoletto, et enfin les danses acrobatiques du quartette Charmion. Lès quatre jeunes filles se livrent à- des danses àla fois comiques et gracieuses en y ajoutant le charme et l'attrait d'être jolies. Il semble qu'il n'y ait pas pour elles de difficultés et cependant leurs exercices sortent tout à fait du banal.

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VI. ""•°™lia£%£ËS$ïi».'

COURSES A GAEN ̃ I

jour. Mercredi 8 août

Nos pronostics

Prix du Calvados. E. Lomonnier.

Prix de Vonoix. Stoppo la Mèche.

Prix des Ponts.' r- E. A. Lehaudy.

Prix Normand. E. Lallouet.

Prix des Platanes. Divettei

Pris da Grand-Cours. Kmprcss Agnès,

i COURSES A CAEN

Mardi' 7 août

(Résultats par dppôches) ̃̃

Prix Ergoline Thêbaïdc, 1; Tommder, 2; Tonja, 3.

Prix Satellite

Divetle, 1; Ténébreuse, 2; Sans-Gêne, 3..

Prix Sébastoppl: ̃̃

Sensiliye, 1; Sarcelle, 2; Pole Jean, 3; Sapristi, 4; So- li taire, 5.

COURSES d'OSTENDB

(Résultats)

Le Grand Critérium International d'Ostende, remis samedi à cause de la tempête,- a été couru aujourd'hui. Le Roi y assistait. Remarqué,Ie comte de LurSaluces.

Le cheval belge Cyrano, à M: de Ribeàu court, monté parle jockey Millner, est arrivé premier, =tu milieu d'ovations Croix du Sud, au baron de Sckickier, monté par Dodd, était seeond; Bifur-

prévenue çt jie fouyez consetyer J'esBou &mo

tromper plus longtemps, vous serez mieux disposée, je dois le croire, à écouter les avis, j'allais dire les ordres, que je suis tenu de vous donner pour assurer non seulement votre sécurité, mais aus^i celle de mon père. -=̃

Je no comprends pas, répartit dédaigneusement Wârida.

Cestcependantbiensimple.il ne faut pas, que Stoîkof puisse se douter jamais que vous êtes la femme de M.,de Lorris ni qu'il vous trouve ici, car il vous tuerait tous les deux. C'est la ferme volonté je suis de' sauver, mon père qui me dicte.ces avis que vous vous, hâtez' trop de ^dédaigner, car si vous consentez à les suivre vou3 vous sauverez du même coup.

Pour que Stoïkof me trouvât ici, il faudrait .qu'il y vînt.

J'ai de bonnes raisons de penser qu'il y ̃ -viendra, affirma Robert. Ne m'en demandez pas plus long je n'en dirai -pas davantage. Mais, crovezfmoi un grand danger vous menace et, malheureusement, menace aussi mon père; pour vous et pour lui ne le traitez paspài1 le mépris, ce danger, et n'y restez pas exposée. o m.epris, --Voyons donc ce que vous me conseillez, dit; Wanda qui s'efforçait de cacher sousi ses airs de raillerie l'inquiétude que lui suggéraient les paroles de Robert. Avec un grand calme, Robert exposa tout la plan qu'il avait imagine. 11 fallait que Wanda trouvdtpretexte à partir, acquitter cette maison elle ne serait pas en sûreté, tant qu'on pour- rait craindre l'ai rivée de Stoikof. Pai tirait-ejl? seule 9 Valait-il mieux que son maii l'accompa- gnât? C'était â elle de décider. Quant à la dur-ée ,'r de son absence, elle serait -subordonnée aux ao tes de Stoikof, a la durée du danger qui tn résul- terait. Ce qu il fallait éviter à tout prix, c'est que v: ^s'il arnyait à Blois & l'improviste, il y trouvât ja

Wanda. ,i, > j

(A suivre.) ïïsçms,ï V$y$B&

s..


«ation, à M, Guyot, troisième. Le favori Mirande,1

h M, Ephrussi, monté par Loates, était qua-

DÉTAILS, r

Grand Critérium international

Cyrano, T. Croix du Sud, 2 Ç Bifurcation, S.

Prix desMarfçuerîtes

Toison d'Or, 1 Tostand, 2; Ténébreuse» 8. Prix Stuart

Senlis, 1, Sarah, 2; Sfax, 3.

Samt-Lcger du Demi Sang ` Terminus, 1, Travailleur» 2, Treitour, 3.

Prix Saint-Hubert

Mahoma, 1, Qiues, 2, Mai,3. <

NOUVELLES SPORTIVES

La vente du vendredi 10 aojtt, au Tattersall de Deauville, mx ouvrira la série des eneheres pour les yearlings en 1900, comprend des produits de Clairon, do Border Mms trel, de Clamart, de Thé Condpr, de Beaujolais, de Lagranee, de Rancs, de Era Didvol,o, de Ijoutch, de Chesterfield, ̃ne Le Capricprne et de Sorrento, qui ont tous fourni de nombreux vainqueurs ces dernières années. Le lot du haras do Lormoy sera visible à partir du ÎS août, au Tattersall ainsi que les 60 autres yearlings de la mémo vacation, presque ,tous frères ou sœurs de grands

gagnants. ~`ônrtangy c

"^Fontangy

COURSES A VICHY

jour. Mardt'7 août

(De noire correspondant particulier)

Décidément, ce meeting sportif, qui promettait

beaucoup, tient encore plus qu'orî n'était en droit

J^de, l'attendre, pes reunions se succèdent sans que l'intérêt. faiblisse,- un seul instant. Tout a été

jregiô, préparé", prdônriancé avec la science la plus

;3àccônipiie/ '̃̃. /'̃> ̃̃ J ̃ plus- 'Hier, l'assemblée était un peu moins nombreuse au pesage que dimanche dernier, jour- du grand prix, ce qui se" r comprend aisément. Mais, rosi la foule était "moins dense, l'assistance n'en était, que plus élégante et plus ch'oisie. Les tribunés offraient uric6iip'<i'çeil.splendide., grâce' aux /mqndamës-en, exquises toilettes claires, qui les garnissaient.: je né, citerai pas de noms pour cette foia, car; je serais i obligé de me livrera de3.répé:titions,îa plupart des-personTtes qui se trouvaient «ur l'hippodrome ayant déjà assisté à la réunion

dë-l'àyânt-veillé..

V Le sport a'été parfait.

;Bref, excellente journée, qui fait honneur au •marquis'ye Barbentane et à.ses dévoués collabo-; 'irateurs, .MIL le :prinçe d^Arenbergï le comte de ̃ Tracy ëtlëdûc de Brissac;

/{" (Résultats) ̃ -'̃̃

;Prk;d4la.'Sou'r^îïôpi^)pi,0M<fràheSi 800 mètres) Fadettc (Çàrigdnj, .1 Fraisier (Emcry), 2; Pantin (La-

̃ tnartine),'3. ̃̃̃̃̃

>:Non=plapés. Arme," Elphinë,;jHébé, Kamakônra.vBois de

.Çhéne,"VaiMOrinVLa''I3jise.' '•

̃ -.Gagné .d'ùnéiêtc^lotfgisième^.deuxllongueurfl..

"Pài-i mutuel l"38lfr: et. 11 îi., place'; 2«, 7 fr. 50;:

^.3v2Gfr;. ̃- ̃̃-̃̃ ̃ -> f

Prix de. l'a Compagnie Fermière (handicap 4,000 francs, ̃ ;-t;803':mètrës) ̃̃

La Lande (Bridgeland), 1; Ecureuil -(C. Sloan), 2; Idée Fixe <A.,Carter); 3.' '̃'̃̃:̃ ̃ ̃ ̃'•- .̃•̃ .'Npn places: Field Day; Triton, Matoi3, Postillon, Rosé Thé, Bradamante, Conquérante.

Gagné d'une longueur, létroisiém-î à une dèmi-encolure. Parimutuel: 1", 24fr.:ct8frt50placé; 2«, 15 fr. 3-, 7 fr. .̃̃ Prix 'de', la Société "d'Encouragement (10,000 francs, 3,000

mètres) ̃'̃:̃'̃ ̃̃-̃

""E" :Y' "'l" "l" "O~" -'p' "l'" 'l' "0' 'E: L', a- 'Rr' g' E" "TA"I'R' E. EXTRACTIONSde DENTS et-RACINES INCURABLES pg 1~ par le s, '0' 'M' N O't Attestations. I~STITÜT T' DENTAIRE

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I BOURSE DU MARDI 7 AOUT 19OO

̃ ̃ 'j « :dêsignàti6n w. Aujonp pg dèsiqhation Anjonr- à || désignation ffi Anjonr- g| désignation Âtyonr d.gi débigratton \Aaim

'̃̃'̃ ,:©'| DES' YALEURS- aw û'hui g* DES YAIiEDÇS ,m" d'htti £ fe| DES YALEDRS mer d'hni «S g DES -YALEURS mer i'iaâ fe;| DES VALEURS ff | d'hui }&}y.l:tpp.fà^^ si Sociétés de Crédit d'hm Chemins de Fer ,d'hm Valeurs Industrielles Valeurs Industrielles :-L,S ^ÎJ ^rJ^?'}èHne 100 22 100 20 11458 banqde-db ïiumœ :cp* 8994 S990 v Ikorb nu jJzspJlGKS 188 187 V caualdb pakaka.> 10'25 10 25 t5 » et* GÊvÊnAut dés eaux 8 0/0 441 50 4^50 >̃̃ -̃' «> -i H h/a .«KtStissàbli! cvt S9 10 99 35 –'̃• ̃ terme 3990 V portoqais 69.. 68 X part db fokoatboh. 25- > •– 50/0 519 50 519 50 ̃̃ V T 010 iêrme 99 99 25 16 27 »"alqèbie. 980 ̃ ,990- >< basàqobsb 230.. S77.. 50 étabussioceots cusBKiÉa. 880.. 8S0 20 » établsskmjiots duval. 506 510 "̃̃-̃̃̃̃̃fqmï 1/3 0/0 cvt 101 iyî 10185. SO » ktebkatiok, de "PAïufl 440 435 .̃̃- | X CkStj- 2^5 •• ••• •• 2*' » ima-uiis' 6 0/0 4/0" '.4fô- ..̃̃ 'ù-1-1 '̃•? S '.V' terme 10175 101 S5 20 12 50 oitomÂse.«e-rn-te 5ffi; -535' 24V DKCADviLtE. 83- -80.. 22 50] grands mooijns db corbeil. 495.. 493.. 50 'f-.(-*f- •̃̃̃' ̃̃̃ 50 » WRis-PAva-BAS. 1055 1050 OBLIGATIONS FRANÇAISES 10 » coup àoh. franc, des métaux. 473 .473 20 » gaz m? eaux 48750 48750 v-' o tin Tmirm' TfWfi torme 80. 7;;) 80.. :r- '̃̃- ̃ terme 1050 1050 T -71 '»̃•̃– etoôRAiE de3;eadx.. 1950 f000 20 » gaz pooiti.AFHA.NCBETi/ÉTn. 494.. 490. -'̃'̃ Va fa ^^n^s'ï/'i'o/Ô"'hpt 465 .465.. 27 50 paribienct. 510.. 510.. J? » boxe .j.. goilma. 431 -480 G<j B parïsiekxe du oaz. 1099 U00 15 » gaz centrai. 5 0/0. 506 50 50 507. î^l S™3 » 478£O 4 nLU«ç:DEL'iïR.DuStm 8150- SI., lo -). ^asti^ektâto 3 0/0. 4^6-. 42o 50 49 50 acuoa jouissance 780 775 24 » kirs mh-itaibes 607 .V "V. V in » '7Bua îlefTo'O ̃̃̃" 541-53475 <n ̃- terme SI 81.. g » tcox^g^ 30/0. 423 H23 50 15 6BN. tkawutiaktiqub 315 .815.. 17 50 uessagebies marotimes 485 '50 -483 50-vK °ï ta-^B9 S0)r" 4Î6.4U.. 15 » jm-oTHÉCDÉmANOE. 550 550 » est 52^54-56 50/0 (remb.a 6*) fe6.. 660 30 » havraisk 640 C30 13 » monago (ObUgi 300fr.4 0/0). 800 .V. -SOp'^ -•- ia»S 1871 3 0/0' 400 25 402 10 fl. -r des, pays- autrichiens 443.. 445 15 1? » –3 0/0 446 449 50 .r'.2 50 B ̃ chibgeom RflnSis. M30. U80 20 .̃̃ » ounibds 4 0/0. 501 75 ifi01«'£ .». ̃'̃•̃̃̃̃̃ -î^- 1875 40/0 "̃̃̃ 543.. 544.. 17 » katio^e do Mexique 722.. 725. lo » 3 0/0 nouveUes toi ̃ 453.. n0- -moheb- .• 2360.. 20 » soaÊrÊAUDoisifi. dbi.'a«jou. 457 K?'

.1. "YPOT"C., Di~ '550,550Zb=T52-'Pb-5650Y remb.à650) 656 660 ~ù- 30b, HAVRÀISIC .640 630 12 »~mo~-iàco (Obli)~g~.3~W?.~ll,4.0/0!)- SOO

daD""» 1876^4 O/o" 544 543 35 » BPÉ«Ai.n des val, dto. 63.. 64.. 13 59 –^1/^0/0. 404.. 4Ua.. 35 ;WTmll.DKBwi.GÔNs-iJTS .560 555 15. 25 tabacs poutogais. 779 .700 ̃ -4n »ja -•– 1892 21/2'Ù/Ô"" 848 347. 26 25 coicpAaKiBALoÉRrcNKÉ. 750. to » est AMtoiEf 8 O/O.> iSi.^iSO.. eucrtîrie et raffc^rie say, 1195 U95 80 t voitures db^.pasis 3 1/2 0/0. 411. ilO ̃̃'•"•̃̃-a boB '• Quarts 94 94' comptoir KAT.D'EEGoiiPTE.cpJ 593 594.. b »)nDi 3 0/0. 444 44«> 50 sous-comptoir DEa^EOTaEPR. 8^8.. 220' ̃ DEL',UIJOU. 467, ̃ 10 s 3894-1898'2 l/à'Ô/6 347 348 40 » bu terme 592 592 J? » 3 0/0 nouvelles 448.. 447 13 50 eaux pour ii'étranger 405.. 400.. VfllpiTPQ &VI RartHllft >' -^0^- 1898 2 0/0 400 403 créait lyokhais .cpt 1072 1065 ̃ 1? » Koed 30/0. .460 460 50 25 eaux èr éclairage (lyonnv)..532 50 n. V 416UFS -©a ̃ J5anqU9 -ri l'a Quarts 10225 104: 33 50 terme 1068 1C61- » ̃30/0;nouvéUes.v 457.. 4o9 50 m thetmalss de vichy; 2000- 2000 -nm '̃̃'̃0'»e --̃ 18S9,2V0/0 375.. 382.. 12 50 «.gériek 980. 50 :2 1/2^0/O.tremb. a 500) 413 414 35 mES.LILLE- 505 ,500 0 » Brésil .5 0/0.73 2o 73 40 '̃̃̃̃ 12»^ ,QTuirts" ̃'̃̃̃•̃ 97 96,. 37 50 ewustkibl.bt comm. 604 604 J| » okleaks 3 0/0. 445 444 50 70 FORCKSMOTMCESRHÔNESoc.ly, 450 455. ^X chemins ottomans 110 7o 111 >2 » ville de maAse^le 1877' 395 '394 25 -S:* K>kçier D'ÀumkkE 1200 1200 '&-»̃ 3 0/0 aouvollea. 448 447 50 25 » forges aciékiessordetl'kst' 1550 25 » minas geraes 5 0/0 SSO.. 334..

1..0t97 96 37 50 V'DUSTRiim m ~couu. 604 i. 415.. 14450 R'abNESOC.1v.- D x c~s OTT01!NS. 11070 l~l_~

1. 12.»VIL.LE DE XÀREZILLIC- 1877. 395 391i 25~5:i> 1'.okcrÏR eiid=iciri.. 1200, 1200~ ~~16". 3 0/0 nDuveUéEi. 448 ..447 50 25»l'ORGI~à~,LCDkRIE~OR'I)ÉTL'Màf ,'L55O,25 b MMAS GERAUS 5 OJO SGO 364-

̃̃y :̃̃: t-i ViœéxsTo/0- ?̃' 116 ..7 17 50 ïoncikr ésyptien. 502 50 500 i? 50 2 1/2 0/0 (remb. a 500) 40d 404 75 go 0A2 zokdxavx: 140» 1375 oavrrou btosb 4 0/0 ̃ 488.. 4?7-

̃ ̃̃ I » BEÉORDBAPI3Ï/2O/Ô 507 10'» '̃̃̃̃̃ .31/20/0 480 480 » oubst 3^0/0.. 444, ,.446;. s aCiion Jouissance 900 2o »!sao pàulo (Oblig.ch.fer50/0) 363 363..

̃ .'̃' 20 'r" -̃"̃̃ 18814 0/0 512 12 50 i»obiksoh BANEœa. terme 89 '93 » -•• 30/0 nouveUes 449 4i9 33 50 français et Stras oek 560.. 570. ffl.iALPKES 58o.. -"̃Î7sS ^xille i8£X) 30/0 135 50 15 » «xJIâTÉ^KHÉRAi1E. -609V..609. }? 50 21/30/0 403: -403 cnKTRa. 1340 1350 lleh.lTnARSis 1 237 ,.] 226 50 [ :̃̃ ̃>̃̃̃ -V- a--» ̃'̃– BEtïos 1880:80/0. 99.. 99' X foncière lyonnaise.. 347 v. 346 1? ïoubst algérien 3 0/0. '437 ̃ 43850. 23 général de-paris. 430 “̃>. 226 50 > ̃̃•̃ ̃•̃ '.̃̃̃ /•.«.. 6 i, mMEUBLESTDBTRAKCE 57 -59 jo » g wphiné 3 o/o. 442 50 ,50 r>EMiRsEiLLB,v 1Ï70 Valeurs Sud-Afnoames < ̃,̃“ :v ̃'̃̃-̃ .̃̃̃ 7 » -OWrae400Xr.Mérêt:€îr. 134.-124.. 1? ̃> gr^sio^ akcibnke 3 0/0. >44o 444: ¡ 7 50 ̃ Dis mabeid i 143 141 50 °WU' ° WU** *V<a FOndS Etrangers 0W.-ae'475fr.-lntérèti-7fr, 151 loi.. l? »gi r-; -nouvelle SO/O. |ol 44875 =&? 50 et eaux. 540.. “̃̃ i J. ^"fUgOIO g. ,t /CREDn.F0HCffiBacUoilS;(.J)t G55 eep ;1? » oenevs ^l. a.) ^^1855,3 0/0, 442 .443.50.. société PARisiEKKEiLECTRiQ. 259.. 250,. Ç) P) PAEIS v. '̃̃ '275 ASGLAIS 2 3/4 0/0.Cp 991 •̃̃'̃" ̃ ̃. ̃ –lehne 655 £? > 2 ^pO/O. 440 50 441. KERSTEPABRIEKBM-blÇTILLBRY "15 50 16.. X X BUFPELSDOORS ESTATB. 22 §1 '̃; .̃:̃:•̃ ~4:j actrichiens.4 0/0 or:<40 114» 9T;75 97 25 .̃: V h bons 100 ta. a lots 1837.' V-43 ''i; 43 13 «kmt. 5«/0 framt a625)..654 y gram)-hôtel (çx-lih.). 650 X. X. chautered 8150 ^SS "̃̃>̃ ̃ .-̃'• .'6. » .oelig, bouAN;A.oTRiCH.Ï -315 V,. 317 =.O-H > 1888. 43 J? » ̃ 3 0/0 18oe-18w, 4o2 449 mokaco (œrcle des jîttanq.) 3210 3220- ..• J2o 6^25 consolid. goldfœlds. 19o 50 192.. S- » iRGENTDi^0/i»188G.» '454 V. :455 13 » g ̃ butie. cowt. 2600/0 1879. 452-50 ?453, g » g park a lyos 30/01855^. 449 -451 20 j. grands Moui.ms.TiEÏcoRBEiL. 300 50 » X de beers ..̃ /09 ,08,. '̃: .V> 50 belce 2 1/2 0/0.^ :> » 100 50 15 »g -30/01880. 490 489 |? 5 TO^7^?0/P^ -44' ̃• 16 n société GÉKÉaAXBDELirrBEiB 170. X X ourban jiopdkp. debp. 10a. '4 «Brésil 4 0/01889, 100 1.» .65' 90 J«, 70 13^»p5 ̃ ̃ 80/01891-. 382 50 -38450, B ^O P-M.Sl/SO/OCremb^SOO) .401 ;402 50 50 "t lits jelitaikes. v. ̃ 1840 1840 _X eastrakdproprietary 194 50 190 50 '̃:̃' -5 .>, *ùi.QAaiE{Pruîe,de)56/0189S» 387 SS9 ̃̃ 16 •» -St)/(> 1892. 438 m. bkaud-oemtral 3 0/0 18». 543 442.. oq » LAT]Rnni(coMPA<j:FR£KçiisK).^90 75 37 W tehkeira. 557:. B56 ̃ cosob's(Boiî8i-ipTsL'» 99 75 59 50 13 -̃» H; ̃ _l S.C0'i)/O1893:. sS5ï50 ̃ 3? ̃̃̃? «od»e u. pbincb. ̃ 426 -42» 35 t MÉDrrÊRHAMKsï>»RaES'EraH.r 810 810 18 « 10. celdenhuis deep. -364 2b3

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s^ -4». .dette unifiée. 101 50 10450 15 « &0/0 1835. '44750 4:49 ̃ ..̃> -• ̃̃• 40» V (500fr. uayée! 1129 ̃ 1134 S°0 2 50 klelvfontkw kew. 67.. •66;

i> ̃̃- ̃̃> •;vSl>0' dette wivjlbgebe^» 100 50 -Î0Q 50 3»u 5«w 1835. 97\ \96 25; .15 AKDAtona 8 0/0 1" série/. i.; .299.: 300 50 X nickel. .v. V, .510 -510 259 2 a0 iaucabter: -71 2o 70

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:• -10 i ;Tobmo..cuba18S8.» ^334 334 ̃ ."•'̃̃- '̃̃̃̃̃ j, ̃ .'•' 15»; -r ̃ ̃ 2- -hypothèque. 293 50 294. 17 50 MEssAGimnàî ^awtiiibs.; 545 530 uossamédes ,83,75 -.23 75-

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m ..#5o ,£S^2:;5 .-«: S- ̃̃ Chemins de :^er; v m ïïSSSSffi^E: :S ï &-̃̃ ^e^ f x ÏSm^^™ 10IS50 «g»;

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4: tTÀUEX&O/O. 933.0 9330 ACTIONS FRANÇAISES 2360BÉNStLi.EKs41/3P/01887. 367:. 361;. 1250sELsaEMMBs;!n~.sBE'~RtD' 880~ 875 ,MBECCA. 250

.< 9325 9185 ACTION~ rRANçAbË~ 2360 41~0/01895.351 .35l.. 18 ,.T~~OK~Soc~téG6a.des) 296; 395 ;:M .10:. MBMOxcb~ 237.. 337..

J5 » TicTOR-EiiMANUEt 1863 3^0.. S20 30 tcoKHA GUixiri 725.. 728.. 15 » cordouis-skville 311.. 337.. 10 52 prcteups 662" 654" 1 ». -62 bheba 28.

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1/2 4 1/2 0/0 18881839 176 50 177.. 25 » économiques du nord 420.. 420. 15 LOMBARDs30/0(suD-AUT.)anc. 3cS4 50 337.. -25 » voitures de paris. 351, 340 tbanswaal land 82 81 aO

1/2 40/0 1890 14'.5O 35 50 est cpt 1093 1080 « » -nouveau 339.. 541.. X oural-voloa (Société' m'ëtall.) 155 145 » }0 theasury gold mines. 132..

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i 0/0 hongrois 4 0/0 or (40fl.).» 98 25 97 75 S0 » est Algérie* 70J 15 » 30/03* hyp. 338 50 337.. 471/2 bio tinto -terme 1449 1442 87.W 18 .75. wemmbh 314.312;.

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des abonnés du «; Gaulois »,

Mmes de Bastoulh, au -château de Secdurieùx. Emmanuel Bocher, au château Gourtanyaux. Ernest Cartier, à Bellaigues..

Chalret duRieu, à.Uriage.

Comtesse Chateaubriand; au château de Combourg.

Baronne de Croze, à Masspugy..

Dauchez, à Anguetot.

E. Denecheau, à Cauterets. Baronne Georges Détours, aux Augers.

A. Dhuyelle, à Pralognan. ̃

Veuve Ë. Doyen, au Mont-Dore.

Eustache de Escaudon, à Baden-Baden.

Fabry de Lamarche, à Bagnôres-de-Bigorre.: Veuve Féline, au château^ de l'Hermitage. Veuve Foye, au château de Cheptainyille.. -"• G.^François, à Nyon.

Vicomtesse de Froissard-Broissia, à,Gérardmer. De Geffrier, à Lyon.

Guignard, à Dinard.

Comtesse de Kergariou, au château des^ Rosaires. Ch. Laedcrich, à Royat.

Comtesse de Laincel, à Thoune.

Lambert-Ghàmpy, au château du. Guèrinet. Edme Làugaudin, à Celles-sur-Belle.

Baronne de Layre, au château de. Beaumont-les-Au-

••̃ ̃̃̃tels-. ̃̃ ̃: ̃ ..̃̃

̃ Gaston de Lostanville, à Evreux. Comtesse Ghislaine de Louvencourt, à la "Bourboule.. Duchesse de Luynes, née La JRpchèfouçaùld, & Glibn. Vicomtesse Martin du Nord, au château de Bréaù.. Meunier du Houssoy, à Plombières.

Marquise de' MontKolon, douairière, a Ve3ly.. Comtesse d'Ollone, à Luxeuil.

Comtesse de Palys, à Dinard.

Camille Pernet, au château de Ghenevelle. Veuve Perrot, à la Racherie..̃̃̃

Piat, à Caboùrg.- ̃-

Marquise de-Pins, à Royàt. ̃̃̃̃ Baronne de Plancy, au château de Plancy. Baronne Poniatowska-Charnef, à Gheel.

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COMPAGNIE ÇÎTERNA.TIOKA.LE DES VTAGONS-LÏTa Trains delux« po.urles courses de Deauville et Bernay.

Le vendredi 10 août, en vue du début du meeting de Deauville, un train de luxe (wagons-restaurants et salons) -quittera la gare Saint-Lazare à 9 h. 25 du matin; arrivée à Trouvilleji lih. 15, après avoir déjeuné en cours de route.'

Départ du même train, samedi 11, pour meiier MM. les sportsmen de Trouville aux courses de Bernay, à midi déjeuner en route, arrivée à Bernay 1 h 07; retour à 5 h. 45 après-midi, pour assister, -dimanche 13, à la deuxième journée de courses à Deauville, et retour à Paris, ce même dimanche 12, à 5 h.

Heuben-Gubbay, a Carlsbad. 'C", ,1 Comtesse de LaRoche-Aymond, an château de Sablé, Comtesse de Samt-Germam, a Lourdes- i Y Henry Schwaitz-Ghambaud, a Champel. Vicqjjtesso de SéïULe, "a Saint-Martin- Vésubie. y

Edgar de Smçay, à la Bourboule.

A. de Sjiry d'Aspremont, à l'Onterackert. Comtesse de Toulouse-Lautrec, au château de Saint- Sauvour. Duchesse de Valence, à Interlaken Veuve Vergé, au château -de Cieuzeau. De La Verteville, au château de Razay.. Comtesse Vigler, au Rigi-Kaltbad. Mlles Dumoulin de Paillait, au château deKertho- mas .`

De La Grimaudiere, à Rennes. `

Taravant a Hohcuschwangau. MMrE Albcrt-Roulhac, à Limoges Joseph Amie, au château d'Esclapoa. Comte d'Anthouard/ à Vraincourt.

Comte Jacques d'Aramond, à Gkon. Ardenne, au château de Vertbois. Georges Asscher, a Houlgate. Docteur Ausset, au château de Saint-Quîntïn. Ii Au* ray, a Etrctat -?.<. Bartholoni, au cbàteau de Boudrée. Bazin, a la Ribochere Comte de Bellefouds, a Saint-Honoré-les-Bains, Maurice Belzac, -a Baint-Valery-en-Gdux.

De Bire. a Interlaken =.

André Blam, a Luxeuil. Léonce Boiteau, a Pontaillac-Royan. Borél; à Saintr)Germain-en-Laye. J -A. Bourdanat, a AiK-lcs-Baina. Bremard, aOuchy Docteur Briquet, a Camierg. A. Buisson, à Bordeaux. Marquis de Gépoyj au château:=deLomb"rëùiI.- Vicomte JdêrGharaneey, au château de Nauvay. Chariot, au château- dèBorest., ̃ 5- Chenu, à^Bourges. ̃ ,.̃.̃̃ ̃; Comte Roger Chenu-Laffitte, Plombières. Y.-J.de,La Gruz, au château de 'Lauréntié. Armand Dénis, à PréfaîUès. E;:Drelon,à Plombières; Raymond Escande, à Berlân..

Espinasse, à Saint-Ouen-1' Aumône.. P.L d'Estreux de Beaugrenier, au château de Lillevert, Abel Etave, à Mers. G. de Faramond de Lafajole, à Saint-Pair.. Georges Fromage, à Baden-Baden.. JBaToadù Gabé, à Paris. ̃̃̃̃]' Gasne^ à*BlêïiïUT. Comte Louis de Gontaut-BirôU; à: DeauYille. Honoré Granoux, à Thorrenc. ̃ ̃' j Grellét, au château de l'Epine. 4

Raoul Gripon, au château de Limour3..

Vicomte A. de Grivel, à Vichy..

Guiaïd. à Saint-Privat-d'Allier.

Georges Hersent à Saint-Pétersbourg.

Humann, â Vi'ttel. 'i Docteur Marc Jousset, à Vittel.

Comte Frédéric de Joyiert, à:Meaux.. Jullien, à Saint-Pierre,' i Â. Lachnittj au château des Sables. v~ "'̃ Comte Lantelme -de Monteynard, à'yillerville.. La Rochefoucauld, duc d'Estissac, à Saiat-Vrain. 'Leblanc-Barbediehne, à ïrôuyille. ̃̃• Vicomte Le Franc de Pompignan, au château de Hordosse..

Legrain; à Saint-Lunaire.

Paul Lejeune, à Lion-sur-Mer.

Lepennetier, à Pellouailles.

De Lespinette, à Nantes.

Lucas, à Pau.

Roger Luzarche d'Azay, à Deauville.

Massing, àLucerne,

De La Massue de Saint-Piat, à Belle-Eglis8.1 v

«»̃ ̃

50 (arrivée à la gare Saint-Lazare à 10 h. du soir). ̃

D'autres départs train de luxe, avec mêmes horaires, sont également organisés aux autres journées de courses à^Deanville, le 15; le 19 le 21 et le 23 août, ainsi que pour les courses à Dieppe.

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Tous nos abonnés de trois mois, six mois et d'pn an auront, droit annuelle- ment à deux; superbes photograp1iiés,è_n deux poses différentes, ne la'photograp.hie Paul Boyer, 85, boulevard des Capucines. Il suffira de réclamer à* nos guichets une carte qui servira de bon de pose valable pendant un an.

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Félix Tézenas, au Leobard. Albert Thiebhn, a Cauteiets.. J'hienot, a Anger8. Baron de Vaulgrenant, au château d'Aubîgûy. De Verchèrè, à Pornic.

G; de. Yerneix, ^au. Blanc;

Emmanuel de Vial, àu-.châteàu de Burk. De Vjef ville, au ch4tëau de Groussày.

Ch. Vilar, aux<Pinphinats.

Comte de Ville de Ferneies, à Bndes les-Bains.. Vicomte Gh. de Villoùtreys, au château de SaintHénis..

Aubry-Vitet, au Pied-du-Terne;

Docteur Jules Voisin, à Torcy. H. Wild, à Nesle3-la-Vallée..

Wright, à Deauville.

M. Edouard Détaille.

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OPÉRA, 8 h. »/». Faust.

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Vendredi 10 Le Cid. v COMÉDIE-FRANÇAISE (Salle de l'Odéon), 8 h. 1/2. Le Rez-de-chaussôe. Le Monde l'on s'ennuie. Jeudi 9 Ruy Blas. Vendredi 10 L'Aventurière. Le Député de ̃Bombignac.. :'̃̃̃̃.̃

Samedi 11 L'Ami des Femmes.

OPÉRA-COMIQUE, 8, h: »/». Louise. Jeudi 9 Carmen, ̃ ••• Vendredi 9 Manon.

Samedi 11 Louise..•̃>̃.

GYMNASE.-8 h; 1/2. Le ;Çhemineau. VAUDEVILIiE, 8-fa. 1/8. Madame Sahs-Gêné. NOUVEAUTÉS (Télëph. 102.51), 8 h.' 1/2. La Dame- de .chez Maxim. ̃ ̃ THÉÂTRE SARAH-BERNHARDT, 8 h. »/», L'Aiglon. PORTE-SAINT-MARTIN. 8 h.1/4. Cyrano de Bergerac. THEATRE DE LA RENAISSANCE 8 h. 1/4. Un Mariage au violon. Mias Helyett.

CArÏE, 8 h. 1/2. Rip.

PALAIS- ROYAL. 9 h: »/». Le Dindon. ·

CHATELBT, 8 h. »/>• –La Poudre de Perlinpinpin.

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I LA BOURSE

fi -y Paris, le 7 açût 193D. E Comme il est facile de le deviner, la Bourse ILprésente actuellement un aspect plutôt morne. A l'iûtèrieur, les:-groupes sont sinon délaissés, du moins très clairsemés. Le marché du RioI Tinto; seul, est l'objet de quelques affaires. A l'extérieur, le volume des transactions est E peut-être plus important, grâce. à l'excellente tendance qui règne sur lés .valeurs minières. I La séance d'hier a été assez ferme, bien que quelques ventes aient été encore exercées. La situation a cependant bien changé, il est visible que nos. marchés sont travaillés par des gens très expérimentés qui soutiennent la tendance en attendant mieux. La rentrée des rvacances donnera probablement 'le ^signal d'une vive campagne d'affaires. De l'avis général," les minés :â'or offrent une grande pers-

.peGtive-d^ijî^LvIt.éï

I- liés ioufse.sïjétràngères offrant à peu près le .mènic'spectacîë. Le .calme est lanote prédomiJ.^naate,. partout.

91 Le groupe de nos rontes^Ti'a été l'objet que [d* -r-ar-ôs transactions, .îb 30/0 est reste à j 100 20 après avoir débuté à 100 15 le 3 1/2 a fait 101 7S et 10 L 85.

I Xi'Extérieure s'est échangée entre 71 80 et 71 85, l'Italien entre 91 85. et 91 95 on clôture S à 91 85. Les fonds Turcs ont été peu/ animés.. ̃ Les Sociétés de crédit n'ont varié que ^de j fractions ihsignifiantesf

j Les Chemins français sont restés aux. environs de leurs prix précédents.

] Parmi les Chemins étrangers, nous retrouvons le Nord- de l'Espagne à 186 contre 180 au début, les Andalous à 275. contre 265. »; Parmi les valeurs industrielles, le Rid-Tinto; est resté à 1,442 après avoir ouvert à 1,437 et', fait. 1,445 et 1,436 comme cours extrêmes. Suez n'a enregistré qu'un premier cbtir3 c'est celui 3/4-72.' Marelle en banque

Après un' début faible, les valeurs minières se sont un peu relevées, mais finalement elles restent non loin de leurs prix- du début. Londres voyant nos'excëllëntes'dispositions .en a profité polir s'alléger un peu. Npus constatons, du reste, que c'est avec la meilleure gràce que-leurs offres ont été absoïbéès ici. La Rand Minés qui a ouvert, à 1,020 reste à 1,032, la Goldfïelds a passé de 192 àl9350 et reste 192, l'Èast Rand a fait .190 50, 192 et

19050. '•̃̃̃

Au comptant, la Huelva s'inscrit à 19.

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