Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 4 sur 4

Nombre de pages: 4

Notice complète:

Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1856-02-22

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 22 février 1856

Description : 1856/02/22.

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k477231f

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 10/11/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 68%.


Vendredi 29 iévrier paraîtra le* dernier chapitre <~ MAKIAGE EN PROVINCE, et mar~i mar<! te premier chapitre d~ LA F~MME DE I-ETTRES par ~C€E~E.S<JE. ~ari~ vendredi soir 3!Êfëvfier.

f BULLETIN DU JOUR.

On lit ce matin, en tète du ~OHt~Mf, cette déclaration catégorique.:

()LeCo~<i«to~Mt<< s'est trompé en attribuant a, .uueerreu~rinsortion dans le j~.t~urd'un articte duLjonrDallfSifc~.

.0 Nous profitons de cette circonstance pour rappeler que le tMottt~Mr est le seul journal du gouvernement; s't) s'y glissait, une erreur, ii ne laisserait pas a d'autres le soin do la rectiner. s

Par utMsit)gu<iëra coïacidence, nousretron- Tons aujourd hm l'hypothèse inadoligsibie d'um) t;rr~ur du journal ofËci~l dans plusieurs journaux érangf'rs,' et notannuect dnns une correspondaRce dont nous avons pins d'une fois eu l'occa siende signaler'les prétenttonspfujnstiG~es à des infonnations ofucieUës. LcsassertiuBstraachantas de cptte corri-'spondance tomb~ot devant la Dote du ~otn(eMr, comme la rectiScation du Conï~~<tonMe<, ft, puisque l'arttcie du S:ec~ "subsiste avec toute l'importance que luia doiihee .la r<~produc<ion du ~ont~Mr, nous croyuns utile d'en préciser eocore une fois les conetusioas. Cet article dejnaadait en substaoce l* Le depiacement des chastiers de Nicolsïeff etdesesarseBaux;

2°Laft'r!~et.ureduBt!g;

5''Qu'aucune tot'U&caUoB'menaçante pour le commeree européen ne pût exit'tcr sur les i~es

tl'A)nnd;

4°Qfj&l'AsMRe fût point oubtiée dans lesgaraattes qui devront être exigées deiaRusste. Mais il dema:.dHit surtout le p~ietn et entier déTeloppementde.foutt's les coudidou!: impliquées, d'après le ~tM~. dais le cinquième puint. < C'e~t là, dit-ait-il,quesf)at les dttncuttés éyentueUes, ceilt-s qut se rapporteat aMJ? Maft/'Ha~M/aM~; !ëpafattans,are~M!b6re€Mt'cpeeH. Làestce'qu'il 'fautctjnsidcrer.' ° L'OHVt~rture du CoBgrcsreste fixéeau 2S févriec. tlae dépêche de Londres, en date d'aujeurd'hui, cous apprend qu'une 'escadre d'avaut -garde parc pouc Ja Bfdttque. EUc attendra à K'el les événemensdu Congrès, ~prete areprendre immedia~menf teblocus, si tes circenstances rexigent. ` Une autr~ dépêché' de Londres annonce que reth~ruOt atigia~ de cinq [mUions sterling a été concédé à la inaison Rothschild au iaux do 90. Le .~orHtny J~o~< pablie uae Bouvelle attaque -contre la Prusse:

oLaPrusseBepeut pas espérer deLContmuer la

cottduitë'[i~8iïMMi<~e<}T:'elie a; te&aè entre la Russie

Ëes puissances occidentales.. la- Rùssie

BEiLe'doitèt,r<:t'orcéeQ06edéclarernetiement;eUè âoi.t être amienee a prendre des mesures plus décisives et moma Sujettes a induiro en erreur que les parûtes, 'de douceur et Jes actes peu hono.'abied qui ontsig'na~ lésa neutra.tité.' Si la. paix résulte dëa conférences, on aura. ennn'Ia. satisfaction De yoir que la situa* tioti de 'ia Prusse Eerd complètement et impartiatemfnt apprécife'par le reste de t'Eurbpe. H n'est -pas .u~e puigsaaee de Paris a Nappes ëf de Na-.pies à la N~r-wége qui n'ait vu queUe a été la couduite_de ce cubinet; poKoone n'hésitera a reconnaître qu'ails~bien~légitiœoment gagné la po~sitionqu'eUe occupe; il n'est, é~al&tnent personne qui ne puisse s'empêcher de voir le-ridicute de su position pénible entre les amis et les ennemis qu'elle s'est également abstenue de soutenir pu' de désat youer il n'est pardonne qui refuse, aux puissances -occidentatesKur droit de considérer désormais, ia bonna foi de la.Pr~se a'7ec un peu plus de réserve, ou al'tsmptreur du Nord les motifs qu'H peut avoir dene pasconipterbeaucoup sut l'amitié de laPrusse.B ÔnécritdeBerliaàta G'axehedeC~o~He: a Outre la note du 3 février, il a été envoyé depuis

~ËUn~ËTON DE;mESS~

DC VEKPJtEO! SOIR 23 FÉYMER 183~

f.

HN M~~?~~P PN DS~~îNfE'

UH iNAmÂtrij .M FKuïMLb.

_CHAPITREXV.. r tJn voiein.. Le leBdeniaii!, le so~eU, le beau et.chauda.Iei! de ju!B,6Dtrait&p!eiBsrayQQS dana la chambre' eRese torsqù'elle Be révei!la. Les oiseaux chantaient t gorge déployée dans lej)etit boia l'odeur de la. cMmatitë jet au jasmin d'Espagne embaumait rair: c'était urne ~de ces matinées tout est harmonie et parfuma. Ea jeune femme ne donna aucune atten–tion, a cette fête de la nature si mà~ninquement ordonBé~ par l.e soleil. Elle se leva Ma hâta, pas-sa un peignoir rel&va ses bea~x cheYeux sans mêma se regarder dana une glace, .et sortit de sa chambre teute préoccupée de ce qu'elle allait dire a son tcari. Elle s'était résolue a ess&yer d'abord de le détourner parla douceur de son projet de voyage, et ei .ce mbyen ne réussissait paa, à l'aceoiapagner, T quoique la'pérspective de se trouver seule avec lui! au milieu d'usé g-rande vilie,el'e ne coDnaisst't La .reproduction et la traduction sont~nterdites~ Voir la PrMM des 5, 6, '7, .8, Ig, 13,14,1S, 18. SO et. 21.. fevjier.

eaus~a~ac:c. ~'z .u. ·~ ~m~er.m. E:

vcrs.le JO. une notb~co~~niAM~comta de Utttzfeifi, à Paris, et probabtpm~S~sMfM.Bernstorn', à Londres, dans laqueUeie cabinet prussien motive son attitude, dans la question de la paix, vis a vis des puissaucesoecidentales.~Le point de vue .ou opiacé le cabinet de Berlin ept le même qua.coiui qui se trouve indiqué dans les dépêches que ta Prusse a idresseea & la cour d& V~enne.,Pe~ct~moi~ner desou assentiment aux conditions'îe.pacihcation dès-puissances occidentales, le cabinet prussien rappelé l'appui qu']I lour a.pr~'éH.St-Pétersbaurg. Aussi est-il prêta signer ~es prehminairea s'il y est invité. Mais en exigeant de lui qu'il donne son assentiment sous une forme outiga~oire, il ne peut se rendre compte de la raison de cet engagement formel, et il se demande si l'Autriche s'etaft engagée de la même .manière et pour quel motit. B

Nous avons mentionné hier certaines déclaratiMss faites par M. deManteutfelauseindela copjBats-sion du budget. Notre correspondaRce de BeriiK aous apporte aujourd'hui des détails plus comptets sur ces déclarations. M. de Manteuffeia dit quplerétabUssement de !a.paix sur la basa des préjtimiBaires actuels était pessibie, mais itaajouté qu'eu coasidération du deraier discours de h couruime d'Angteierre et des préparatitsdeguer-

r~; ~ui se puursuivàiènt dP divers côté's"il.'paeâissait

n; qui se puursuivaieatd~ divers côtes~i) paraissait

Béccssaitede ne pas perdre de vue lapossibititc de la c~utiHuatioa de la guerre sur la Battique, et, par coa~équent, d'upératiOHS mititaireh suriafroutière immédiate delà Prusse, etque~ par suite, it fatfait con-seutementmaiBtHQir d'une ntamèrecomplète le pied de guerre (&rte<j~et~cAa!/(), mais encore hddocner.ie cas échéant, une pius grande extension. La eoinnission a adhéré à ces exphcatiuns et a proposé à l'unanimité de mettre'~ la disposition du gouvernement, pour les dépenses mi~airei;, tes ia mHliuB8 qui FestfBt sm' ~mpeNBt coatractéiiyadeuxans.

La session des Chambres du Wurtemberg a été ouverte je 20 février.

Les journaux a'glais publient les taNeaux du com nerce ft de la nuvigaUon pour 1855. L"s exportations se sont tifvées à 95,669.580 livres steritng, coutre98,955,781 eul8S5, e~97,i84,726 eai85~. La iégereditiétfnce auprejudicedei855 proyieut d'un changement dans le jour de la ciô=' ture des comptes, changement "qui a diminué les recettes dé ctnq jours de revenu.

-t A.NÉFFTZEB.

L'ageace Lejolivet nous transmet les dépêcher

suivaHtes:

c Londres,Yendredi32fevrier.

B Une escadre d'avant-gardé part pour la Baltique, les -Betts étant ou.verta et débarrassés des glaces. Cette escadre attendra a Kiel tes ordres de btoeus, dont t'ea~oi d6pandra de la tournure que prendront les .conférences de Paris. B a Copenhague, mercredi 20 février au soir.

N Demam doit avoir jieu la clôture de la session de la Dtèteg'ëhéraie du royaume.

B Le roi a accepté_les démissions données par lea miDistresde~duchês.~

1/ageBce HavasBous transmet les dépêches suivantes: suivant~s Londres, vendredi S3 février..

B maison de Rothschild vient de conclure le nou.vel emprunt de 5 millions de livres sterling', avec le gouvernement,' au coura de 90. B'Lesconso]idégontouverta913/8.B n ":HBerIin,aafëvner. B Le JoxrMa! ~e'~a ~S!'tK<°, de Saint-Pétersbourg-, contient un rapport spécMsur ladisparitioa, inex*.pliquée jusqu'ici, des forces russeB a l'embouchure de .l'Anapor. Les vaisseaux Eotit sTationnÉs dans'ce._B.<jUve. Le niat6riel est an fort Nicolas.

e L'envoyé miHtaire Munster ne, retourne pas a: Sàint-Pétersb8urg'B

LES RÉSERVES DU CIKQUIËME POINT.

n.

En. recherchant quelles soBt les propositïoBs particulières que les puisenBcessigaataires du protocoiti du 1' fé~Tier s'étaieBt réservé ie droit de

pMsoBne, ~'épouvantai un peu. Cependant, la voix intime lui criant C'est ton devoir elle était décidée al'écouter. Elle alla frappera la parte de Georges. PorseaBe ne répandit.. –Hdort,sedit,-elle. Elle toucha )a clé pour entrer; mais, la penséa d~se trouver en face decejeone homme, tandis qu'il .était couché, elle s'arrêta.

E~eat un pas dans le corridor pour s'en retourner. Après tout, c'est [non mari, pensa-t-elle, et maman m'a dit que rien n'est inconvenant avec lui. EUe revint sur ses pas, tourna ta ct6 et entra. La chambre était vide.

Ce que Rosé Tenait d3 faire lui avait beaucoup coûté, aussi en ne voyant personne, son premier mou'ament fut-il une espèce de soulagement joyeux. Son ~cond mouvement fut de la'surprise.

–Oaest-il?sedemanda-t-elle.

La vieux Simon entrait en ce moment dans.la mai' soi], apportant les légumes de Ya journée le brait de ses .~uliers ferrés sur'ies daliea de !a terrasse parvint M.u.x oreilles de la jeune femme.

Simon, ou est M. de ~é~etic? dit-eUe par la fe-

utre. :).

Sim&a la salua sans répondre; il n'avaM pas compris l'interrogatMn.. –Simon, cria-t-elle da toute la force de san impatience, je yous demande e~ @st M. de yédelle? y Simon entendit.

'-Ah! monsieur le ba~on? ditril..

–OaL' Mais monsieur est parti ce matin & cinq heures par la premièra voiture. J'ai pan'té sa valise jusque la grande route où il a attendu le passage de Casimir. Monsieur m'a dit sue madame savait bien qu'il par.tait./ Sans doute, sans~loLito, reprit Ro~e, inquiète, et ~nécontente. de cette nouvelle; maisj'igaorais~qu'il dût partir si matin.. Ella remonta chaz elle et s'assit, la t&M dans ses, mains, ne sachant a quoi se résoudre. Avertir la famille de .édel]8, c'était s'exposer a être prise en antipathie par Georges et compromettre l'avenirde Eon iailijence sur lui le laissef seul a Marseille pouvait et''t' trè? dangeraux a.Ue.r )e rejoindre sembiait le Ntt.-iiittttr p<n'tt preafire; O~i, tMais eouUR~ le retrouvsr~ & qui s'adresser? Pourrait-ello, si jeune, St inexpérimentée, se diriger dans cette grande viÏle? 'Toutes les fttces deÏasituationaepréBentèrent.toii]'

~'M:K;MM.K~K'B~M~

produire dans un intérêt ëMFOpéen; auxtermes de la cinquième des proppsiiio~B autrichiennes, nous avons sigtiHié une première cjasse de questioas mtprnaUnna)ps dont~a so'utton B'a pas. encore reçu la sanction d'un traité général le_ règlement du droit des neutres et ~elui du caractère et des privitéges des cons~deax watièresï'.&ntrent, comm<~ nous l'avons monUr~daas les conséquences directes et nécessaires dee propositions prmcipates qui vont êtrel'objet des délibérations du Congres de Paris. Nous allons signaler maintenant une seconde classe de questions de droit des gens également résolues ou bien près de l'être par toutes les puissances dans leurs traités spéciaux, de principes généralement admis aujourd'hui ea Europe~ quoiqu'its n'aient, pas plus. que les premiers, recula sanction commune d'un congres, questions et principes qui ne tiennent pas, il est vrai, directement a guerre actuelle et à ta sisuation qu'eiiea produite, mais qui se rattachent à tous tes intérêts de la paix qui va se conclure, et dont la reconnaissance unanime et t'introduction so!enneMe. dans le code du droit des gens moderne de l'Europe ,sërait un immense progrès pour ia civilisation. Ici escore, il ne s'agit ni de remanier la carte de l'Europe, ni de résoudre toutes les difiicultés révotutionnaires ou dip'omatiques soulevées danssoasein, mais de reconna~re et~le consacrer, comme on le Gt à Vienne en 1815, à propos de t'aboliUon de la traite, de la liberté de la navigation intérieure et du rang des agens diplomatiques, quetques grands principes de droit public et df morale interaatioBaIe presque universeHem'-nt admis par les pubiieistes et par les hommes d'État. 1

Nous signalerons parttcalieremeBt trois grands principes attjourQ~tm~presqt~.SfttaBituemeBt recas~ en Europe, et qui'n'attendent plus qbe la sanction d'un traité Commun entre les grandes puissances 1" L'aboiiLioadu droit autrefois attribué aux Etats de s'approprier ~es biens des étrangers décédés, avec ou sans testament, surleur territoire, et même, dans certains cas, les biens des étrangers vivans. C'est ce qu'on appelait le droit d'aubaine, reste le plus choquant de la barbarie primitive, négation brntate du principe même de la propriété, qui ne peut être fondée sur le droit naturel sans rester supérieure aux délimitations 'matérielles~ des Etats, et qu'un souverain ne pouvait déBierchex lui aux éirangerssans ruiner dans son essence même le droit de ses propres sujets 2° la reconnaissance du droit de propriété pour l~s œuvres l'art ,ôu de l'èsprtt qui moura.t Baguère encore aux .frontières des Etats et qui a reçu dana ces derniers temps, par la gtorieuse initiative de la France, la consécration d'un grand nombre de traités spéciaux entre les diverses puissances .européeanes enfin, ia cession d'une sorte d'acMoB internationale sur les territoires réciproques des diverses puissances pour la recherche et l'arrestation des <'rtiniBeIs coupables d'attentats centré les propriétés ou contre les personnes. En un mot, La droit .d'aubaine, la propriéta iittéraire.-l'extfadi'ieB, tfHes soat les trois matières d'intérêt europeea sur lesquelles il esta désirer que le Congrès de Paris promulgue des réglemens européens conformes aux .principes presque universellement admis, comme on va le voir, dans les traités spéciaux entre les puissances qui vont signer le nouveau traité de paix ou adhérer à ses dispositions. Le droit d'aubaine es~ sorti de l'invasion des barbares et de c(;s doctrines ant'ques qui plaçaient les'natioas en état de~gucrre permanent, tes unes contre les autres, et en vertu desque'lës tont étr~Rger était un ennemi à qui il n'était dû ai pitié ni justice (1). L'ancienne monarchie française avait beaucoup adouci ce droit dans ia pratique, mais leprincipe en avait été maintenu dans les lois comTie dans les usages de toutes les monarchies eurepé';nnes. La révolution française eut la gloire de l'abotir au nom des droits sacrés et inatiécables de l'humanité. La France libre ouvrit ainsi son sein a tous les peuples de la terre (décret du 6 août '(l)~pr«~MfO!S,liY.SO,cha.p.l3.

a tour l'esprit de Rosp, et sonindécislon fut longue. Ennu, elle s'arrêra a l'idée d'aller rejoindre son mari aMarseille. –J'irai, se dit-elle, et, s! ~e ne parviens pas à le retrouver~ alors seulement j'avertirai ma famille et la sienne.

Elle sonna Thérézon.

Une robe, dit-elle résolument puis va faire préparer deux mulets, qui nous conduiront jusqu'à Casais.

La vieille cambisteouvrit'des yeux ëlfsr~s. r A Cassis madame va à Cassis ?

A Cassis d'abord, .pour y. prendre une voiture p&ur Marseille; je vais-a Marseille. Tu vas te préparer,

je~emmèae..

Sans prévenir M~Le~eaile? –J'écrirai à ma raère; toi, me dis.pas un mot df c@ départ; je vais retrouver mon mari. Son mari, murmura Thsrézon, en voila un joli mari! –Tu dis? demanda Rosé..

Rien. madame, rien. Madame va retfouver son mari. Et Thérézan proBonçace met avec u&a-ma~BiÂqueexpressiaR de dédain qui échappa co~apl&temeat&.la~jeuRe.femme. 1 Ecoute doBC dit Rosé tati~à coup n'eDieadstupas? –On dirait le pas .d'un cheval, madame. Le pas d'un eheval. mené vivement retentissait en e~et sur les caillomx de la route. Peu après, une s-B vigoureuse a~tta la cloche <ia la:.grille d'entrée., Le cœur de Rosé battit spas une émotion presque joyeuga.. –Yeilh Georges!, dit-elle; il.reyient, Dieu soit

l6û%

Elle descendit Tescelier en courant, se prectpita dans le jardin et se trouva, en face d'Artémon Richer. Elle poussa un&exclamation'de surprise et ~'arrêta nt esseutnée sans tr~ver un mot à dire. v Artémon préparait sa paraa& d'introduction l'étonnement de Rosé lui donRa le te~ps de la.trouver et de contempler la. jaune femme.sous un aspect tout nouveau pour lui. Il m'avait jamais vu Rosé a La Ciatat que corsée, pi&cée.coi~e tirée a; quatre éping'les, comme ON dit, tenus de rigueur ..des ntles marier, et ello lui appar&Msalt towt'~ coup bi~ndi~rsnte par~e. de tout cet' attrait .q&a le nps-! 'ge aj pute .a la beauté dans su neur. EJe portait encore le peig-noir doat.elle s'était Y&-

1790), et bientôt èUe admit, les étrangers h recueil-Jlr, en France, même les biens de leurs parens français (ici duSavnl 1791). Et!e supprima/en un mot, quant au droit de jouir et de disposer de)a propriété sur In terre de France, toute différence eatre le Français et l'étranger (Constitution d~j79i, tit. VI; Constitution d~u 5 fructidor aa 111, art. 555). C'ëti)it offrir à l'Europe un grand exemple mais l'Europe ne voulut ni l'imiter ni le comprendre; eUe maintint son droit d'aubaine et de conSscation international. Aussi les législateurs dn Code civil modifièrent-ils les principes de nos premières assemblées. L'abolition du droit d'aubaine fut maintenue par les articles 726 ét 912, mais seulement a la condition de réciprocité, et pour les étrangers dont la législation particulière en affranchirait les Français; mais la France en revint bientôt à sa générosité première, et la loi du 14 juillet 1819, en abrogeant les articles 726 et 9t2 du Code civil, accerda de nouveau et déllaitivementen France aux étrangers [e droit de succéder, de disposer et de recevoir de la mêmemamère que les Français. Cette fois, du moins, l'exemple a été suivi par la plupart des puissances dans leurs rapports avec ta France. Déjà l'article 28 du traité de Paris du 50 mail814 avait consacré l'abolition du droit d'aubaine dans les pays qui l'avaient stipulée réciproquement avec la France. Un < grand nombrede traités conclus successivement entre eUes et toutes les puissances de l'Europe, même avec l'Angleterre, qui s'obstine àmaintenir.à certains égards, cereste de barbarie dans sa législationintérieure, un plus grand nombre de traités enèore coaciuspar les diverses puissances entre elles, ont .étendu c~tte aboiition jusqu'au moment actuel. La liste de tous ces,traités serait longue, et Mas 8<Mnmes fossés de renvoyer ceux deiMs lecteurs qui voudraient les connaître, aux recueils généraux. Us portenttous, d'ailleurs, les mêmes conditions de réciprocité. Et on peut dire qu'ils constituent, en faveur de l'abolition du droit~d'aubaine et de détraction (2), un principe de droit commun généralement admis, et qui n'attend plus encore une fois que la consécration suprême .que nousdemandons pour lui au congres de Paris. Il en est de même du principe qui consacre le droit de propriété pour les œuvres de l'esprit ou les objets d'art au pront des. auteurs ou des artistes qui les ont créés. Certes, de toutes les propriétés, la plus sacrée et ia plus inviolable, en même temps que la plus tardivement reconnue, estceMe des oeuvres de ti littérature et des arts. C'est la propriété dont le principe repose le plus profondément sur la nature même des choses, puisqu'elle est la création même de l'artiste ou de l'écrivain qui l'a produite. L'homme acquiert les autres propriétés il les rec~t des mains des hommes on de la nature. Celte-ei sort de son propre génie, et c'est lui qui l'enfante. S'il est uae observation étonnante a faire dans l'histoire des'progrès du droit et de l'humanité, c'est que le droit de la propriété littéraire ait été si longtemps méconnu, et qu'il soit encore quelquefois contesté H cette heure brillante de da bivilisation. Il cesse de l'être, entin, et cette tois,eacore, sur l'initiative de la France. La France ne l'a pas seulement reconnu et sanctionné par ses loi~; elle l'a étendu au <!eià de ses frontières par les traités, autant qu'il était en elle. Quinze traités conclus, dans ces dernières années, entre elle et tous les Etats quil'entourent, assurent a ses écrivains et à ses artistes le maintien de leurs droits propriété "sur les œuvres sorties de leur esprit ou de leurs ma~ns, et les garantissent de ce vol internatianat, de ces contrefaçons sans pudeur dont quelques pays limitrophes avaient fondé la scandaleuse industrie (5). Les puissances étrangères (2) Le droit de dëtraction, qui n'est, qu'un droit d'aubaine limite, celui que lés ~ouvernemens s'attribuent'de prélever sur les biens exportes par'des étrangers hors de leur territoire, une certaine .part en sus .des droits prélevés dans la mêipe circonstance sur les bieas de leurs sujets est compris généralement dans.l'abolition du droit d'aubaine. En France, et vis à -vis d'elle, dans tous les pays qui ont avec elle des traités de réciprocité,11 n'y a -pas de distinction entre ces deux droits.'

(3) La France a conclu, en effet, depuis 1850, un grand

tue le matin poar aller parler & ueorges S6S beaux cheveux Monds, néglig-emment reIeYÔs, .retombaient en boucles libres et abondantes autour de son visage; elle avait les bra~ nus, le cou découvert, et une rongeur produite par l'embarras de sa rensontre avec ce visiteur inattendu, rendait à ses joues leur éclat accoutumé. Artémon la trouva plus ravissante que jamais, et. son regard exprima sa pansée si vivement, que Mme de Védelle recula de deux paa après s'ê~ra avancée vers lui.

Vous excuserez, n'est-ce pas, Baadame, cette visite un peu mat~ialo, dit Artémon c'est la visite d'un voisin.

–Un voisin, vraiment, monsieur? balbutia Rosé. Un nouveau voisin, madame, je suis venu chasser dans le canton, et j'habite momentaRéœent la maison du garde de mon père, a une petite demilieue d'ici..

Quoi! cette maison si délabrés qui est au bas de la colline? –Précisément.

Mais vous devez y être fort muM monsieur Artémen.

J'y resterai paurtant le plus longtemps possible. Je ne voua connaissais pas un si grand amour pour la chasse.. –Ni moi non plus, madame; il faut croire que cette paasion-Ià m'a. po~ss* depuis votre départ do .La Ciotàt. Artémoa crut avon' dit quelque cha.se ds très ~a,, et se mit à sourire d'un au' d'inislljgeuce.. Rosé eoaaprit l'intention du jeune ho.hrhe et ss seRtitmal-a l'aise. –M. deVédoUe aime aussi'beaucoup la chaise, dit-elle, pour changer le tour de la conversation. Bah A propos M. de Yédelle, 6t Arté~on avec une légèreté un peu dâdaig'aeuiie, 'il c'mvientque j'aille le saluer, je peaae.C'est impossible en ce mom~, .nYo~siuur, il'e~t absent.,

Le visage d'ArtéaM~resplendit.

Absent,.dit-il,' ponr.lan~te~p;

La.-pru'de.B.ce'soufS.a. a Rosé UB. ~CDSpBg'e.

Il sst da.'R8'le voiainag'e, répondit-elle, et:va rt'n;- `~

trer, j'espère, assez à teatps pour V()U9 rec~ciu'. Dennez-moi'danc un peu .des nouvelles cteTOti'ef&tmUe, 'm9ngieur Artémon. Votre sœur. E'tphi'asie est sortie

ont imité leur exemple par des conveattou. s~aees entredies et à cette heure/la propriété litt~we est admise et respectée en Europe; m~s et~ae l'est qu'ea v<~tu de traités spéciaux, et.elle a..e!.a eacora la consécration solennelle que peut; smH lui donner un traité géaéraj.. C'est au Congres de Paris qu'il appartient de lui donser cette sanction,): et. certes, aucune proposition d'iatérêt ~rcp~!ï ne peut lui être faite qui mérite mieux d être m- traduite dans le droit des gens. univ~eL L'extradition des criminels coupable d~tte~ats contre les propriétés ou coatre les përson~sa est également devenue à cette heure un principal fie droit commun entre les nation civilisées. Autre-. fois, les coupables trouvaient à l'étranger un asile-~ inviolable; le respect exagéré de la juridic~qaet des souverainetés territoriales garantissait l'iavio-* labilité du criminel même souillé des atteintes les~ plus odieuses aux lois divines et humaines-. La~ France a poursuivi, depuis ~ingt ans, avec vigueuf l'abolition de ce scandale, contraire a la morale publique des nations non moins qu'à leurs intérêts réciproques. Un grand nombre de traites oarete conclus par eUe à cet égard avec toutes les puissances qui Fenviroanent (4).. Dans ces traites, les conditions et les for-naUtès de l'extradition sont rigoureusement stipulées, les crimes et dehts pour lesquels elle est autorisée sont déliais et spéciRes avec un soin extrême. EUe est établie non-seuiemeat pour ces délits successifs et continus qui se perpètrent sur plusieurs territoires, mais pour tous les grands crimes et .délits Communs, pour les crimes capitaux contre les pecsC'nnes, pour les attentats contre les propriétés. Les crnseg et délits politiques sont seuls exceptés dsns ia = disposition 'des traités, la France ayant mis ~n honnear à maintemr cette règle. (Circulaire du g.~d~des-sceaux du S avril 1841). Tous ce& traités présentent de grandes variations dans la déSnitioB et le nombre des crimes pour lesquels ils autorisent l'extradition et dans la procédure à siu~vre pour l'obtenir; mais il y a, dans leurs disp~si-~ tions, un certain nombre de règles générales, de principes communs quiseraient, danseettematière si importante peur tous les Etats, d'exceltentes bases pour un règlement européjen. Ce serait 1~ encore un des actss qui honoreraient le plus l'œuvre du Congrès de Paris, qui laisseraient une tracs plus profonde dans l'histoire diplomatique des Etats modernes, et des principes plus Micontestables dans le code moderne du droit des gens. W L'adoption etia promulgation par te Congrès de Paris de ces trois grands principes universei!ment reconnus aujourd'bu~daus les traités entre les nations, et même daas quelques unes de leurs législations intérifHres, garantiraient à l'avea'p.pac dessus les frontières des Etats, l'inviolabilité de la nombre de traités trésTemarquablea'ponr assurer le respect de lu propriété intellectuelle. Voici la note par er<He dedated'ecestra.ités~:A-?ec la Sardaigne, SnOT.embra 1850 avec le Portugal, 12 avril ~851, avec le Hanovre; 20 octobre 1~1 avec l'Angleterre. 3 novembre 1851. avec m Hesse, 18 sept. 1852 avec la Belgique, 83 Mût 18o2 et 20 avril 1853 avec Reuss, le 34 fév.; ayeo Nassau, le 8 mars; aveela. He~ae-Eleoiorale, le 3 maL; avec Saxe-Wejmar, le n mai ave~ Oldenbourg, le 1~ .juillet avec l'Eapagne le 15 novembre; avec les deux Scliwartzbourg.ls 16 décembre 1853; avec Waldeek, le 4 février, et avec Bade le 3 avril 18c4. Une circulaire du directeur gênera de la police de l'Empire, en 18S3,cbntient des enseigne– mens spéciaux sur l'interprétation et ~'exécution de la. plunarf de ces traites. Un mémoire remarquable avait .été présenté au Congrès de Vienne, en 1315. par les députes des libraires d'AUemagnepour-domandera.uCODgres da comprendre,'dans ses résolutions et.dans.Iesdisp.osi-' tiens do son traité, l'abolition de la contrefaçon'et lare~ connaissance delà propriété littéraire..La question n'était pas résolue 'alors cemmc. aujourd'hui par les traités, et le Congres manqua 'de voïont~ou°'de. temps..CVoy. es Mémoire dans.les recueils de pièces.de SehoeH.Co~-fS de FtenTte, t. l,pp. S58a3~.). J: (4) Nous ne citerons que les' principaux de ces traites; trop nombreux pour'l'espace qui nous est réserve. Ils sont des 18, juin 1828 avec la Suisse 28 novembre 1834 avec la Belgique; 28 mai 1838 avec la Sardaigne; 13 février 1843 et 23 juin 1854 avec l'Angleterre; 2'? juin 184~ avec Bade 11 et 26 septembre avec la Toscane et le Luxembourg 1 novembre 1844 avec les Pays-Bas 21 juin et 20 août 1845 avec la Prusse .ï3 mai 1816 et 20 juin 1854 avec la Bavière, 28 août ~50 avec l'Espagne 13 juin 1854 avec le Portugal, et vingt autres qui renferment à pea. près les mêmes! dispositions que lès précèdent.

~du Gouyeat,m'ai~aK;j'~r~ËTau.d plaisir revoir.' Artémon aeeopta le terrain où il "était cehdùit; it répondit ~n donnant à. Rase d'amples renseignëmeng~ non seulament sur sa seeur et sur sa famille, mais. .encore s~r toute la. société de la. Ciotat, où. l'on dëplarait beaueoup, a son dire, le départ de Rosé. Il fallait d'abord rassurer M~3 4e Tedelle, visiblement intimi- dée par sa*visite.H y réussit. Peu à peu, et' teut e~ faisant parler les autres, il sut mêler & ses récits des. allusions a la situation du jeûna m&Ba~o, et osa, grâce' a cet artince, faire e&tendre à Rosé beaucoup de cho-j ses sur son mari..Illuiafarma,qa'eireëtaitdeveBugt Fobjet de l'intérêt de la ville entière. Plus tendre que vaniteuse, Rose nasa sentit pas blessée .de l'expression de cette sympathie basée 8~ son malheur. Son cœar, resserré par la solitude et la contrainte, se dilata & la pensée d'être plainte e<( comprise. Elle regarda Artimon sous. un-Bouvëa~ jour; il lui fit l'ënet d'un ami; c'était déjaaumoiB~ un conndent: elle le laissa parler. Tout'en continuant, Artémon plaçait dans sear discours les lou'ang'es les plus enthousiastes al'adfes-' se de M"" de VédeUe, et ce verbiage, que Rose eue écoute un mois plus tôt avec froideur et dédain, !H'rî-t vait l'impressionuer favorablement. Getta a.doiii'a-< tion si vivement, sentie la réconciliait avec elle-m'.ê-~ me; la chaleur d'ArtéiAn la ven gisait de la froideur deGaorges. Cea pensées, dont le jeune homme'B9' peuvait pénétrer le mystère~ donnèrent a rattrhMa~ 'de Raee une cempMaance dent il s'emprassa d'abu&'er~ II se mit a peindre !sea regrets, son chagrin, et latssaf même percer quelque chose de. son espair; ses intsn<' fions, cla.ires pour tout _autre,,reatai8nt fucomprise?' pour l'innocente Rosé. Elle s'étanna do trouver Bi af-t fecteax un homme qu'elie suppesait plein de dépit, e~ eût la naïveté da lui savoir gré de ses sentiaMBa'i:; Cette eonteBança bienveillante ne pouvait mamquat! d'eB~ardir le don Juan de La Ciotat son éloque~ca~ s'accrut quand il entrevit la. possibilité d'un aucGe~ peut-ôtreprech&m..

La sympathie mutuelle, va.. bien vite entre u!< homme .de trente'anafert habile et une jeane' ûlle.de seize ans complètement ignorante, surtout quand, fa~orisso par 'f'a.tmo~phere enivrante d'ut~ be'm jour da printe:ap?, eUe peut se développer, dan') de long'uas heures ae.seliiude,. Rosa se sentait en-~ y~hie par une éiaotion iucaaaue. Teut en causant/ Artémou prit sa m&iH par un geste doux et fraternel


propriété privée, et surtout de la plus sainte (tes h ptopriétés, parce qu'elle e~t à la~ois la mieux d fondée s~r la taison et la plus civilisatrice, de la T propriété des œuvres de l'esprit. Etiea assure- { raient en même temps, indépendamment de la limite des juridictions territoriales.-la poursuite et ia punition des coupables violateurs des règles saJutaires que toute société reconnaît et sanctionne. Mais, ~Q dehors de ces questtMssur lesquelles tout le monde est à peu près d'accord en Europe, n'y a-t-il donc plus de questions sociales ou administratives, de principes communs d'intérêt moral o~m.~térieL sur lesquels il serait bon <me l'Europe, réanie en Congrès pour rétablir la paix si\profondément troublée, pût s'entendre ?

Saas doute, il en reste un grand nombre et des plus

essentiels; mais le moment est-il venu d&les lui soumettre? Les barrières qui séparaient Naguère 'encore tant d'Etats que les progrès matériels de la civilisation rapprochent de plus en plus soct-eUes assez abaissées ? les vieux préjugés et les antipathie~dés races et des gouvernemens sont-ils assez détruits, pour que les puissances sachent aujourd'hui tout ce qu'elles gagneraient ettout ce que gagneraient leurs peuples avec elles, à voir~enSn résolues en commun, et par des concessions réciprogues.plus apparentes que réeltes, tant de questions communes dont la plupart ont été déjà résolues d'une manière incomplète par les traités spéciaux? Combien de traités les puissances de l'Europe-et la France n'ont-elles pas conclus, d'où l~n pourrait taire sortir un système postal ou télégraphique Uniforme pour la transmission des correspondaBces publiques ou privées (S)? N'y a-t-il point, dans les quelques centaiaes de traités de commerce qui ont été signés depuis un siècle, certains principes supérieurs réglant des intérêts com~muns.qui pourraient devenir !a base d'un traité général de navigation et de Commerce entre les puissances de l'Europe ? Les peuples ne verJ'ent-ils jamais à quel point leurs intérêts sont solidaires et ce qu'ils gagneraient à établir entre eux l'uniformité de règles communes pour les poids ..et mesures, par exemple, pour les monnaies, .pour les passeports~ pour Certains tarifs? Nous Bousbpmons~ indiquer ces questions. Elles seront probablement ici même l'objet d'études plus développées, mais qui n'obtiendront, pour le moment, d'autre résultat effectif que de devancer et de préparer les progrès a venir (6).

A plus lorte raisen nous garderons-nous bien c de recommander au congrès qui se réunit en ce < .moment à Parts des questions d'un autre 'ordre, .<ï!l serait ~pendant dans ses attributions de ~~udre, jnais qui. appelleraieat certainement c .PaBaihèmé porté contre les rêveurs sur celui E ~e .ses membres qui oserait les lui soumettre.. J ,C!e~erait songer a l'avenir. Restons dans le pré- ;sent. La paix qui va se-faire sera féconde et, il iaut l'espérer, durable. La question d'Orient ne .pèsera plus sur l'imagination de l'Europe. L'Orient ~a se regénérer. L'alliance désintéressée qui s'est .formée peur 1%; guerre se perpétuera dans la ] !P?~~ pap elle la civilisation prendra, dans le Ntonde entier, des développemens inattendus. Saas ~eut~, toutes les quest~pns intérieures et extérieu- -? soulevées aujourd'hui en Europe ae seront ;j)as résolues par ceta seul que la paix sera si- ;gBée entre les grandes puissances. H restera des -,dif6cuités secondaires à aplanir, des intérêts à satisfaire, des passions à calmer; .mais'le plus fort sera fait, pour le moment, par l'acte 6nal du .Congrès de Paris, et par seseonséquences inévitables. S'il reste aux amis delà paix uBvœaalbr~iner, c'est que les souverains qu'il représente complètent son œuvre en rappelant les proscrits, ,<en proclamant une amnistie générale en Europe. S'il est an moyen de rendre la paix sure et dura(5) Voyez notamment les traités entre la France et l'Aatriche, du 16 a.Yril 1831 et 3 novembre 1843;entre la France et la. Prusse, des 11 août 1847 et 19 à~ril'1853 entre la. France et la Belgique, des 6 septembre 1830, 24 mai et n septembre 1841, 3 novembre ~84~, 37 avhl 1849 et 25 septembre 1854 entre la Fiance et la Sardaigne. des §7 ~août et 21 juiliet.lSM, et § novembre 18M et ce~x con- = dus par la France, le 35 Novembre 1849, avec la. Suisse le 15 mars 1851, avec la Toscane-, la !< novembre 1851, avee les Pays-Bas; le 1" a.Yril et le'23 décembre 1853, avec les Deux-Siciles et les Etats-Roma.ins. (6) Croit-on cependant qu'une déclaration ainsi conçue et iasërêe dans les~dispositions du traité dënnitif de paix qui va. être conclu serait sans efncacité: II sera établi, au siège du gouvernement de chacu? ne des puissances contractantes ou accédantes a.u pree sent traité de paix, des~commissions d'Etat chargées M de préparer par les études et les enquêtes nécessaires t) 1" l'établissement, en Europe, de l'uniformité des poids, B monnaies et mesures, conformément au système dëcix mal Se un système postal et télégraphique commun M pour la transmission des correspondances publiques et privées 3" l'ideRtité dss livrets et des passeports:'4a s les principes généraux des traités de commerce, des tarifs et des systèmes douaniers sntre'ies puissances. a

~U~nelaretirapas.Ba quoi Rose se fût-elfe mé6êo? !l'JS~eraBee du danger la lai faisait braver. Artémoa, )etMme et éMeui d'un résultat si. prompt, arrivait & ~ei état les hecamea comme lui ne coBBaia"een~plus~uë la vêlante de leur passion du moment. L'occasion lui' parut merveilleuse, on n'en pouvait rêver une plus 'belle il était là, seul avec -uae ~émme ardemment désirée, dans ce petit salon frais et'clos, assis sur un de ces larges divans~que les habitudes iprëveaçales ont empruntés aux usages deTOrient; il 'ta voyait devant lui, muette et oppressée, ne lui répon(~aBtphtc et se débattant sous cette ivresse nouvelle ,~oat elle ae pe avait comprendre la cause. Quand on :eB est Ia~ le silence sert mieux'que les paroles Artimon le savait, il ee tut; seulement il resta a regarder ~Rase avec des yeux ardens, et voyait ses jouea s'em-. '«spourprerge~s ce regard qu'elle sentait, 'quoiqu'eUe. ~eùt les paupières baissée~ 'n y eut un long silence pendant lequel on eût entead~ battre .ces deux cœurs si di~éremment émus. t Que vous ête~ belle ainsi dit ennn Attemon .d'aaeveix presque tremblante.

Rosé ne répondit pas et &t un mouvement peur se lever. Alors 11 enlaça sa taille d'un de ses bras robustes, et la rapprocha de lui d'une façon brusque et rp&ssioQnée. Rosé crut qu'elle allait s'évanouir; elle ouvrit la bouche pour appeler, sa voix mourut dans ~M. son étouffa et inintelligible, etArtémon.ressepf&nt eon étreinte, la rapprocha encore de lai. A ce moment, des pas retantirent dans le vestibule, M. Richer ef&eura de ses lèvres le cou charmant qui N'était baissé sur sa poitrine, rsposa Boxe sar le dij~aB et prit devaat elle uneteRuo respectueuse. Quand le boaton de la parte tourna, Artémon le victorieux eut un Hg'arfriasan tin songeant au visage pâle de G~eorgea de VMelle. Le jour allait unir le mari de Rase rentrait sacs doute pour dîner.

M. Richer reprit tout son sasg-freid en apercevant la corRatte blanche de Thérézon jamais le visaga de la vieille cam~riNte ne lui avait fait un pareil plaisir. J'arrive des CapuotM, niadame, dit celle-ci en entrant sans façon madame votre t~ate- fait la lessiïe demain; alla'visadra ces jours-cl vons voir eHë m'a chargée. Tleas, moBSiecr' Artémba, vous veilh encore là? &t-allQ en s'interrompant d'un air 3e bonne humeur; monsieur dîne dcac ici? f

_-<-Non, non, dit Rosé vivement.

Impassible, murmura Artémon.

La refu? l'arrt.BgMUt. il ~itMt éviter Ct~org~).

Ne, c'est de l'ëtablu' pour toute l'Europe au de- e dans comme au dehors, c'est d'enchaîner, par la c reconnaissance ou par l'optaion~ ies partis qui pourraient être tentés de .la troubler. J.-B. LABICHE.

AFFAÏRES MTALÏE. `

[Cerrespondanee particulière de la .Presse.) « Turin, 19 février.

B Permettez-moi âajrous transmettre quelques renseignemens positifs sur l'amnistie que le gouvernement autrichien vient d'aecordër, et d'y ajouter quelques considérations pour en juger la portée. B Le texte de cet acte d~ l'empereur François Jo~ seph B'~st pas encore connu mais une communication ofnciellea.6t6fa.ite au cabinet de Turin par M. le marquis Cantons, chargé d'an'a.ires de la cour de Sardaig~Be a Vienne, et une autre a peu près identique par M. le duc de Grammbnt.

Le marquis Cantone a donc fait.cannaitre à son gouvernement l'entretien qu'il a eu avec le comte! BuoI, d'après lequel il paraît certain que le gouvernement autrichien se montre disposé a accorder dans certains cas, et sous certaines conditions, une amnistie plus ou moins complétera ceux qui se sont com. promis dans la révolution, de l'annëg 1848, dans les provinces italiennes.

DM. de BuoI avait assuré que l'Autriche avait l'intention de permettre de rentrer en Lombardie a tout individu qui lui aurait demandé dtrfc~meK~ cette grâce, sans distinction entre sujets autrichiens ou étrangers, et qui aurait justifié des motifs qui l'ont obligé à émigBer.

D j&uH se reserve le aroM d examiner ces motus et le faire des exceptions. e Ceux qui raBtreront seront j'émis en possession de fortune frappée de séquestre pendant les trois derûtiëres années;, on régularisera la position de ceux ~ine voudront pas rentrer, se réservant, dans ce Bas, le droit de leur imposer la vente de leurs biens ennn, pour ceux qui ne justifieront pas des motifs de leur absence, l'Autriche se croit en droit de les considérer comme morts civilement, et d'appeler a la succession les héritiers indiqués par les lois existantes. o Cette mesure ne sera pas communiquée au gouvernement sarde, mais uniquement aux légations autrichiennes auprès des puissances étrangères. o Il semble .en résulter que l'Autriche S'obstine a ne pas reconnaître la qualité de sujets sarâes acquise aux sujets lombards qui se sont. fait naturaliser, puisqu'elle veut les obliger a se passer de leur gouvernement et s'adresser directement à elle, comme s'ils étaient encore sujets autrichiens. Il fau~ dit le comte Baol, que tout émigré /M~ auprès du mare-; chai Radetsky des raisons de son absence,, et nous verrons si l'on peut admettre ces raisons. B Dans quel'but le cabinet de. Vienne prétend-il a cette justification? La raison de l'absence ne dépendelle pas~du décret d'emt~a<!OM M~a~ que l'Autriche elle-même a accordé a ceux qui l'ont demandée, et même à ceux qui ne l'ont pas demandée? Autant vaudrait demander qu& les émigrés justifiassent des motifs de la. séquestration. B

a Gênes, 18 février.

s M. Charles Lafdtt~ est venu signer a. Tarin une convention qui va être soumise dans quelques jours a l'approbation des Chambres, et opérera, la jonction ai désirée de Gênes avec Paris.

e La concession du chemin de fer Victor-Emmanuel prend une extension nouvelle. D'Aix-Ies-Bains il sera dirigé sur Culoz,et de cette manière cette voie ferrée aboutira, du côté du nord, a la navigation à vapeur du Rhône. Du côté du midi.eHe sera poussée de Saint-Jean-de-Maurienne à Modane. Restera le mont Cenis a.u mUieu; mais on en facilitera le trajet par des rails, en attendant qu'on trouve le moyen de le percer d'un tunnel, éventualité possible, suivant les contractans,. puisqu'ils, ontstipulé dés ~rrangemens pour le cas .où ce percement serait effectué. Le tronçon de Suze à Tarin, c'est à dire du pied méridional du Cenis a la capitale, entre dans les attributions de la Société Victor-Emmanuel~ moyennant des arrangeniens.

« Une~utre jonction qui sera probablement le résultat de la paix, est celle de Turin:-avec Milan. Le trajet de Novara à Milan n'est pas long;~ les antipathies pelitiques avaient été le seul et véritable obstacle à le combler.OnsoBg'e~ profiter de la paix pour unir le réseau piémontais avec celui de~a Lombardo-'

Vénétie.

e Enfin, vers l'Italie centrale, Eotre système de voies ferrées va faire un pas immense par J'établissement du. chemin sa.rdo-pa.rmésan le conseil divisionnaire de Gênes a pris 1,M9 actions.)) n Pour extrait: p. viNÇARD.

Fatts divers.

La première séance du Congrès reste nxée au lundi 25 de ce mois,-à l'hôtel du'ministère des an'airea étraBgères. M. le comte ~Valew&ki réunira ensuite dans un grand dîner les plénipotentiaires, les ministres, les présidons du Sénat et du Corps lég-islatif, et les gra.Bds-ofQeiërs de la couronne. Lesoir, il y aura nncoacertprié. Le comte Orlon~ est arrivé hier soir, a dix heures trois quarts~ala garedu chonundeferduNord.ji

–Je vais même prendre'ccng6 de vcrns, madame, ajauta-t-il.

––Yeus ferez bien devons dépêcher ~ors, monsieur Art~man, reprit Thérézon ea montrant le nid, car voila la-bas une lourde auée qui va nous donner une averse au caucher du soleil.

Je vois on're mes hommages, madame, dit le jeune homme à Rose en z'apprech&nt d'elte puis il ajouta & voix basse en la regardant de façon singulière:–A demain.

Rosé n'eut que la forée de le saluer de la tête. II sertit d'un pas triomphant et aautar sur le dos de son cheval avec tant d'aisance et de hardiesse, que ThérézoB, restée près de la fenêtre, ae put s'em. pêcher de dire a Un beau grand garçoB,.tout de

m~met.B

Rose songeait, la têtd appuyée sur un eouasia.; elle ae voyait plus clair en~elle-même.

CHAPITRE XVI.

!nqcîétmde«.

Rose resta jusqu'à. la nuit enaevelie daas des peB. sées tumultueuses. Quand Thérézon apporta les lu'mières,, en la pressant de venir dîner, elle alla machinalement se mettre à table, et dîna sans savoir ce qu'elle mangeait. Sa vie intérieure l'abserbait. –Madame n'a pas l'air conteH~B, dit Thérêzon; est-ce-que c'est l'absenee de monsieur qui la tourmente*! Rosetressaillit..

Oui, oui, dit-elle, en eS~et, cette absence m'iBquiëte.% Pauvre SeMge8~ pensa-t-elle, comme je l'ai .oublié! et elle éprouva pour la première fois c6 inalaise de la conscience qui s'appeUe le remords, Madame va-t-elle toujeure MarMille retrouver monsieur? demanda Thérézon. Sans doute, sans douta. Nous partirons demain de bonne heure. Au fait, pourquoi les mulets ne sen~ ils pas venus nous prendre aujourd'hui? j: –Dame il y avait foire & Céraste, madame, et Dominique n'aurait eu garde d'y manquer maia si madame veut, il aéra h aesordreB demain.; C'est même parée que j'ai va que noua ne pourrieM pM partir aujourd'hui qwe j'ai deMôan C9up dep~d jusqu'aux

CapMjLns, ~96 MM~M~te~tr~ig~ t~ht

est accompagné de deux aides de camp et d'a~ se- crétaire.

Le comte OrloB' a été reçu au débarcadère par le baron da Seebach, ministre de Saxe, et par les attachas a la légation russe actuellement à Paris. M. de Brunuow, qui assistait au concert des Tuileries, n'avait pu se rendre au devant de son collègue. On lit dans le ~oM:~Mr

<( Aujourd'hui, à deux heures, l'empereur a passé, sur l'avenue de–NeuiHy,la revue de plusieurs corps de la garde impériale la division du génie, les 1" et 3~ rëgimens de grenadiers, le Se régiment de voltigeurs, le régiment d'artillerie à pied, le régiment d'artillerie à che val et l'escadron du train étaient ranges en bataille à droite et à gauche de l'avenue.

Avant.le défilé, dés of&ciers et des soldats, couverts pour la plupart de glorieuses blessures, ont reçu, des mains mêmes de l'empereur, la croix ou la médaille militaire, récompense des services rendus en Crimée. Le ministre de la guerre et le maréchal Magnan accompagnaient Sa, Majesté, a

On lit dans la 6'e <~ Bf<~rM

« Plusieurs journaux de Madrid ont dit ce qui suit 1 Une feuille de Paris annonce que S. M. la reine Isa& belle II a élevé le gênerai Bosquet à~la dignité de )) grand d'Espagne. Rien n'ayant été dit à Madrid sur b cette faveur, qui, d'un autre Côte, serait hors de pro') portion avec celle accordée au maréchal Pëlissier, il ') faut en inférer que la nouvelle du journal de Paris n'a a pas le moindre fondement, o c Ce que contient l'article ci-dessus est' entièrement dénué de fondement:.)) n

-La frégate a vapeur le CArM<op~e Co!om6 est partie de Toulon pour \Kamiesch le 21 février, avec un chargement de matériel.–La. corvette mixte la jS/cAe a mouillé & Brest le 21 février, venant de Cherbourg.

La c&m~ilssion intërnatioBale pour le percement de l'isthme de Suez, composée de MM. Paleoeapa, Conrad, Negrelli, M'Cléan, Rende!, Rénand, Lentze et Lieuaon, se réunira, dans un mois a Londres, pour discuter et arrêter ûé&nitivem.ent le programme des travaux h exécuter. Les personnes qui auraient des projeta a soumettre, des propositions à~ présenter, peuvent les adresser a M. Barthélémy Saint Pilaire, membre de l'Institut, secrétaire général de la compagnie universelle du canal maritime de Suez, rue Richepans&,9,aParis.

–Des travaux vont être exécutés a l'hospice des Incurables [nommes],.sous la direction deM.Labrousse, architecte. L'adjudication a eu lieu le 13 iévrifr. Le devis était de 408,158'fr. ~8 c. M. Hardon, entre-! preneur de travaux publiera été déclaré adjudicataire avec un rabais de HOS. j -La préfecture de la Seine vient de publier de nouveau l'art. 5 du décret/lu 26 janvier 1853, relatif à la mise en bon état dé propreté des façades des maisons. Cet article est ainsi coBçu:

a Les faea.des des maisoRS seront constamment tenues en bon état de propreté elles seront grattées, repeintes ou badigeonnées au moins une fois tous les dix ans, sur l'injonction qui en sera faite au propriétaire par l'autorité

municipale. u L

)) Les conirevenans seront passisies a. une amende qui ne pourra,excéder 100 fr. B J Un arrêté publié à la suite de l'article ci-dessus porte que cette~disposition sera, eh 1856, appliquée & toutes les maisons des voies publiques comprises dans le 1" arrondissement, et dont le nettoiement n'a pas été compris par Iss arrêtés des 3 mai et 3T novembre .1854. Cette disposition est également applicable aux maisons du côté droit de la rue de Clichy, bien qu'elles dépendent du 2e arrondissement. Elles devront être mises ~n bon état de propreté avant le 1er sep- tembre 1856.

–Le journal la po' de'Lille, qui, ainsi que nous l'avons annoncé, avait cessé de puraltra, vient de reprendre la cours de sa publication..

L'année qui vient de nnir a vu marcher rapidement les travaux d'embellissement du bois de Boulogne. Cette période de temps a été utilisée à terminer les lacs, a couvrir le bois d'un réseau fTallées sinueuses et de ruisseaux,a macadamiser leschausséesprincipales, à créer les cascades,, notamment celle si pittoresque de la Mare aux Biches, pinsi que les chalets, les grottes, les débarcadères des Iles et de la rivière. Da vastes surfaces ont été engazônnées et plantées, et l'on a ouvert les belles percées de la butte Morte. mart sur Saint-Cloud, Meudon et Auteuil. Aujourd'hui, il ne~reste plus dans le b.ois que.deux allées rectilignes celle de la Reine-Marguerite, de NeuiHy a la porte de Boulogne, et l'avenue de LbBgchamps. Mais la ne s'est point arrêtée la transformation de la promenade poudreuse d'autrefois, qui s'est successivement accrue de 200 hectares de terrain acquis par [a Tille de Paris, et comprenant la plaine do Longchamps, les sports de Longchamps, et l'ancien p.~rc de Madrid-Maurepas. Les nouvelles limites du bois sont maintenant à l'est, les fortineations a l'ouest, la rive droite de la Seine, depuis le village de Boulogne jusqu'à Neuilly; enan,.au. nord et au sud, deux castes boulevards, défendus par un saut de loup, et qui s'étendent, sur une longueur de plus de 8 kilomètres, des fortineations a la Seine. Ces deux bquievards seront bordés d'une grille élégante, d'un modèle uniforme, au,dela de laquelle ne tardera pas

? une fameuse lessive, on aurait dit celle d'un hôpital. Fig'urez-vous,_mâdame) qu'elle s'est mise à couler le liage de tous ses yqisijas' pauvres, parce que. –Chère tante! elle est si bonRel interrompit Ross distraitement. Tu dis qu'on aura les m~ets demain ? R C'est bien. Eveille-moi dès qu'ils seront arrivés. Mais, madame, permettez, a quoi bonnes mulets demain, n'avons-Mus pas la voiture de Casimir? jelle passe au bas de la. colline à cinq heures.

Nen, je préfère ne pas me rencontrer avec des personnes de La Cietat; nous irons par la- irontagua jusqu'à Cassis, et la je louerai une voiture chez l'aubergiste pour aller a Marseille. A demain, Zon, lè?etoi de bonne heure.

h Madame ne veut pas q~e je monte avec elle ? i Non, non, c'est inutile. Tu veis bien, j'ai encore monpeigneirduma.tia~ Au fait, M. Artémon est resté si long'temps! madame n'a pas eu le temps de s'habiller. La remarque de Thérézon embarrassa-Rosa comme un reproche. Elle se hâta de sortir. Qaamd ella fat 1t seule, elle se trouva, dans une grande lassitude de corps et d'esprit; la peasée d'Artimon l'obsédait; Eile voulut ea vain trouver le sommei). ~Les~ meindres .iacideas de cette journée, toutes les paroles d'Artémcn revenaient sans cesse a sa mémoire avec la lucidité que la nèvre doane aux idées 6xes. Au bout de quelques heures, ce qu'elle éprouvait l'enrayait plus que ce qui s'était passé. C'est inconcevable, se répMait-ëHe avec stupeur, uB homme dent le'earactère,resprity les manières mêmes m'ont déplu d~teat~temps, l'aimerais-je? Qu'est ce treuble extraordinaire dont j'ai été saisie ea sa présence, sinon de l'amour?

Dieu mon Dieu s'écria-t-ello dans un moment de désespoir, veus m'~eeablez N'était-ee pas assez d'avoir un mari qui ne pourra jamais m'inspirer de l'amour, faut-il encore que j'en éprouve pour un autre homme.' Son cœur ss gon&a à se bfiser. Ella pleura le reste de la nuit.

'Peu a peu teat s'apaisa en elle. Ce paroxysme ne peuvait durer. Rose était une de ces âmes pures et e<mBtantes dans le bien, qui, assaillies par un orage inattendu, peuvent dévier de leur route, mais la retrouvent tien vite quand la tourmente eat pMZéet Cea consciences-là sont comme Iw ciel !a séreaiM eat~ar ~ttti B~H'eI, aue~soat ~MSiden~ ,>

saM doute s'élever tout un monde de villas et de < a gracieux cottages. d La plaine de Longchamps, achetée en 1854, estcom- L prise entre Baulogne et le pont deSuresnes.Onya. q exécute des travaux cousidér&bles pour la réuntr au 1 bo!s et y créer un vaste hippodrome répondant a 1 toutes les exigences poar les courses du gouverne- t ment et celles de la Société d'encouragement. La plaine était coupée par un bras de la Seine inutile a j la navigation; un mur do clôture et un mamelon < élevé, au sommet duquel se trouvait l'ancien eimet.iô- < re de Boulogne, la'séparaient du bois. Le mur a disparu le mamelon a fourni 420,000 mstres cubes de déblais qui ont été employés a niveler la ptaino et a combler le bras du neuve. Toutafois,. afin d'économiser les remblais, on a conservé certaines parties de ce vasta fossé, qui forment aujourd'hui trois pièces d'eau réunies par un petit ruisseau. Ce ruisseau aboutit 'a la porte de Longchamps, après avoir serpenté dans la plaine, où U baigne le pied d'un ancien moulin a vent, qui sera converti en ruine pittoresque.

Lo nouvel hippodrome contient deux pistes de 30 mètres de largeur l'une, tracée dans la plaine, a 2,000 mètres de longueur; l'autre, qui se développe en partie sur le plateau en pente douce reliant la plaine au bois, est de 4,COO mètres. De vastes et élégantes-tribunes, adossées a la Seine et faisant face au bois, seront construites cette année; elles pourront recevoir 5,000 spectateurs. Douze kilomètres de routes de 20 mètres de largeur. ont été disposés autour des pistes et sur les rives de la Seine. La route qui longe le neuve doit être prolongée cette année par un boulevard en dehors du bois jusqu'au pont de Saint-Cloud. Béja toute la piaine est nivelée en ensemencée;.biéntôt ~lle offrira l'aspect d'une verdoyante pelouse. On y plante maintenant 200,000 pieds d'arbres et d'arbustes qui formeront des massifs isolés, de manière à ménager des perpectivessurleMont-Valérien.Saint-Cioud, Meudon, le ïiaduc du chemin de fer de Versailles, le pont de Suresnce,NeuiUy et le clocher de ~Boulogne.

A l'ancienne porte do Longchamp, on commence a établir une cascade qui n'aura pas moins de 14 mètrea de hauteM sur 60 de largeur. Il entrera dans sa construction 2,000 mètres cubes de blocs de grès de 2 a 6 mètres chacun, pris dans les carrières de Fontainebleau. Cette cascade sera alimentée par le trop plein des lacs et les ruisseaux da. bois. Eiie fournira l'eau nécessaire au ruisseau et aux trois pièces d'eau de la plaine de Lo'ngç)iamp, et débitera, par heure, 2,000 ,mè<rescubesde liquide. Quant a la plaine située entre le pont de Suresnes et Neuilly, elle ne sera attaquée qu'en 1856. On doit établir, dans cette nouvelle partie du bois, ;un chaïap j d'entraînement, complément indispensable de l'hip-~ jpodrome..

L avenue de l'Impératrice participe largement au mouvement d'activité extraordinaire imprimé aux travaux du bois de Boulogne. On n'a pas oublié que cette avenue, de 1,300 mètres de longueur sur 100 de largeur, est formée d'une chaussée centrale de 16 mètres pour les voitures ;de'deux contre-allées de 12 mètres chacune l'une pour les piétons, l'autre pour' les cavaliers de deux zones de 2T mètres chacune destinées a être converties en pelouses plantées; et enfin de deux rues latérales de 8 mètres pour le service des propriétés riveraines. Ces propriétés seront closes, sur toute l'étendue de l'avenue, d'une grille très riche d'un modèle uniforme. Elles ne pourront être élevées à une distance moindre de 10 mètres de la grille de clôture, et des parterres devront être établis dans l'intervalle.

8,000 arbrea~ et arbustes se plantent, a l'heure qu'il est, sur les pelouses de l'avenue, lia sont groupéâ en massifs, et représentent une' collection des espèces les plus rares employées dans lea parcs et les jardins. On a eu recours, pour se les procurer, aux' principales pépinières des environs do Paris, des rives de la Loire, du midi de la France, de l'Algérie et de la Belgique..

.Tous les travaux que nous venons d'indiqufr sont connés, depuis les derniers mois de 1854, aux soins des agen&du service spécial des promenades et plantations de Paris, placés aoas la direction de M. Alphànd, ingénieur dea ponts-et-ehaussées, chef de ce service, assisté d'architectes et d'ingénieurs~ en sousordre. M- Barillet-Deschampa, jardinier en chef du bais, est chargé de tout ce qui a rapport au jardina.ge, semis, plantations, etc. «.

Avec ses allées sinueuses, ses cascades, ses grottes, son lac, sa rivière, ses chalets, ses frais ombrages, ses délicieux points de vue, son immense arène da Longchamp a laquelle les rians coteaux de la Seine servent d'horizon, le bo:s de Boulogne, relié à la plus belle entrée de la capitale par l'avenue de l'Impératrice, sera quelque chose de merveilleux, de féerique, un parc sans rival en Europe, et qui complète notre Paris transformé et rajeuni.

–La Caze«e~M Tft'MKatM'anBonee que l'autopsie du .cadavre de M~ d&Caumont-Lâforce a eu lieu hier matin. Cette opération, faite par M. le docteur Tardieu, paraît avoir eu pour résultat de constater que la mort de Mme de Caumont-Laforce aurait ét~ déterminée par la strangulation. Le Drott dénué aus~i les détails suivans

& n'était que depuis~ quinze jours au service do la. comtesse; il arrivait du Wurtemberg, et l'on ne connaît pas ses antécédens. On sait seulement que: c'est un ancien palefrenier. Cherchant ee placer, il

Quand elle se leva de grand matin, le calme était rentré daas ses Tésolutioas sition dan! san eceur. Le voyagea Marseille lui paraissait e&cere piMBécessaire que la veille :~il ne s'agissait plus seulement d~ soustraire Georges à teut danger, mais de se sauver elle-même. Les grelots des muleta qui la veaaieBtchtrcher lui parurent les voix argentiBes~d'esprits sympathiques et pretecteurs qui l'appelaient hors d~ cette maisen, où elle avaitdéja tant souSert. Elte descen-dit'd'un pas rapide et eut a p~ine, en traversant le salant un léger étourdissemeat, écho des et&otiona de laveil!e..

Les muleta couverts de belles h&aaseabaritMes~ ceurennés de houppes de laine rouge, attendaient devaat la terrasse, tardés par leur c6uduetenr Deminiqae, espèce de grand diable tanné, brani, roussi au soleil comme un gitano de Decamps, etbsau cepen-~dant, beau de vigueur et A'expressiOB.

Rosé le ceRnaissait depuis on enfance et le trarttdt avec une banté familière. Sa mine ds bandit ne l'affrayait pas elle la voyait depuis si laagtemps qu'elle ne l'avait jamais regardée.

Vite, Dominique, ~t-elle en l'abordant, il .faut q~e je sois a Marseille avant le.diner.

–Veas serez à Cassis dans trois heures, jma.daQ'.c, c'est tout coque je puis vous promettre. -Tu vas donc B8~s conduire h pied, toi! 1 –Ne vous inquiétez pas, madame, mes jambes valent ceilos de mes bêtes, peut-être mémo vaIeRt-eUea mieux. –C'est bien. Alors, aide-moi. · Dominique enleva la jeune femme comme il eût fait" d'un enfant, et la plaça sur un des mulets en pre- nant grand soin qu'elle s'y accommodât.le mieux possible. Un peintre eût trouvé leplus piquant eB*et dans le rapprachetaeht de cette t~te d'homme aux lignes anguleuses, aux tons chauds et dorés, avec ce visage de femme, si Rn de traits, si délicat de céleris qu'il n'aurait pu être ~ien renda quepar lepastat.Ce fut un de ces contrastes comme la nature ea offre sans cest-e, et qui trouvent si rarement Tin gr&nd artiste pour les admirer etles exprimer. Il n'y avait là personne pour admirer groupe, le .soleil seul le caressa d'un rayon: ebtique qui l'embellit encore. Si l'on eût fait ce charmant tableau, rien n'y eu!: manqué, pas'même les accessoires pittorfsquM m représentes par tM mulets, ni le repouseoir recherché daa maltrea habilM. Sur le second plan, on eût placé Iwyiea: SiNMW! traMfor~.eB ~ËPy~r~Th~~n et

av.ait exprimé son désira quelqneamarctiandsTïeYimrdu quartier des Champs-Elysées., Chez lesquels il allait boire. L'un d'eux ayant entendu vaguem< nt dire qu'on avait besoin d'un palefrenier a l'hôtel CaumontLaforce, y enveya B. qui se présenta a la comtesse,par laquelle il fut agréé sans qu'elle prit aucune information.

B. ne couchait pas a l'hôtel. Il était payé a la journée et à la demi-journée. Selon ses allégations, il devait lui être donné 3 fr. par jour de travail. Il était chargé de soigner les chevaux et de les promener dans le jardin, grand tout au plus comme la moitié delà placé Dauphine. Lorsqu'il ne pouvait venir, c'ë-' tait la comtesse elle-même qui s'occupait des che" vanx et qui leur donnait l'avoine. -Ces animaux n'è*. talent pas sortis de l'hôtel depuis six mois.

Dans la maison et au dehors, tout otfre l'image de l'incurie et du désordre. Du vivant de la comtesse, on ne pouvait se procurer le moindre objet de première nécessité. Le 'jardin est complètement en friche les ronces et les herbes parasites l'ont .envahi. Les mura se lézardent, des bancs do pierre brisés couvrent le chemin de leurs débris,, ennh .on dirmt que cette propriété est abandonnée depuis plus d'un quart

de siècle.

La maison d'habitation se compose d'un rez-dechaussée sur caves et d'un étage assez élevé. Elle est précédée.du jardin dont nous Tenons de parler, et de ce jardin on gagne la porte extérieure par une sorte d'avenue longue au plus d'une vingtaine de pas, da' chaque côté de laquelle sont des constructions basses, a droite les écuries et, un bûcher pour placer du boia et du charbon à gauche les remises et une loge de concierge depuis longtemps inoccupée. C'est dans cet étroit espace, a deux ou trois pas seulement de la voie publique, que la comtesse a été assassinée. Les cris qu'elle a pu proférer ont été côurerts par le bruit des yoitures. Le petit domestique qui s'est penché sous la porie-cochere, et qui, persuadé que l'on maltraitait quelqu'un, a averti un sergent deviUe, est un négrillon au service d'un riche Américain habitant les'Champs-E'ysées. S L'hôtel de Caumont-Laforce a été déjà le théâtre de plusieurs événemens dont la justice a eu a s'occuper. On se rappelle qu'il y a quelque temps un vol audacieux y fat commis par des individus qui enlevèrent en plein jour tou~ le mobilier, dont ils étaient, disaient-ils, chargés d'opérer le déménagement, et que ces individua furent arrêtés aux' Etats-Unis,ils s'étaient réfugiés.,

––M. E.Dncpetiaux, inspecteur général despri– àons et des établissemens de bienfaisance 'de la Belgique, a été élu, samedi dernier, M'unanimité, membre correspondant de l'Académie des scieBcea mtorales et politiques de Fr&nce.

Le JoMrKai' de K~KHM du 30 février annonce qua la salle de spectacle de cette ville vient d'être'réduite ` en cendres par un violent incendie. La véiUe, on donnait une représentation des Ftht~M ~MDMMe, pièce qui se termine par une apothéose, et les Sammesde Bengale auraient occasionné un commencement'd'incendie, qui probablement aura été mal éteint et ceuvé toutelantut. A six heures du matin, les nammes ont fait irruption, et une demi heure après, la toiture, brûlée, s'écroulait. Les autorités de la ville et toute la population ont fait preuve de dévouement. A dix heures et demie, on croyait tout terminé, mais le yoMfKo~ <<<- ReKKMdit qu'à midi le feu recommençait, et qu'on organisait de nouvelles chaînes. Les causes de cet incendie sont encore inconnues, mais l'on parle d'aeeidens dont plusieurs personnes auraient été victimes~ –On écrit de Pont-a-Marcq, près L'Ile, a l'JEeAo dM y<~ du 19 courant, qu'une bande de fraudeurs a été surprise, le 16 janvier, non loin de Templeuve, par la douane ambulante de Pont-a-Marcq, au moment oit elle tentait d'introduire en France une assez _forte 'quantité de tabacs étrangers.. Les ~ouze a quinze hommes qui ]a composaient sont tous originaiMS de Fiines ils ont .donné tête baisse dans une embuse&de'placée de la veille. Plusieurs d'entre eux ont été arrêtés, et l'on évalue à douze charges de 80 kilogrammes la marchamdise cohûsquée. Les prisonniers et leurs ballots arrivaient le 18 en voiture au bureau des douanes sous boDM escorte..

On écfit de Berlin, le 18 février <(De Nouvelles arrestations viennent d'être opereeg pour l'aifaire des lettres soustraites au général de Gerlaeh et au conseiller de cabinet Niebuhr. OR est parvenu a saisir les fils de cette machination, qui va devenir l'objet de poursuites judiciaires, a La réforme de notre monnaie de billon ee poursuit toujours avec la même persévérance. Jeudi dernier, a l'hôtel des Monnaies, et en présence du directeur des Domaines, on vendait encere 60,00<) kileg-. de soua difformes. C'était, pour la Monnaie de.Pans seulement, la quatorzième vente- de ce genre, et comme plusieurs de ces. ventée oat été de 80 a 90,000 kilog., il s'ensuit qu'à Paria il s'en est déj~ vendu 1 million de kitog. environ, poids que tous Les autres hôtels de Monnaies ensemble, Lyen, Bordeaux, Strasbourg, .Lille, etc., ont à peine dépassé,

On sait que la refonte commença d'abord par les sous blancs, soua dits en métal de cloche. ?n peu plus tard~ les aousroagea vinrent s'y mêler aujourd'hui ila dominent dans les ventes, et dans celle .d< jeudi ils en formaient environ les deux tiers. Lei~

s'enbrçaBt de la, hisser sur sa bête leur g'reupe eû~ faitressortirl'antre. 11, A peine assurée-zur sa aelit, Rosé donna résolue ment de la houasine a mulet, qui remporta a tra~ vers l'avenue ea seeeuantjoyeuseme'st ses grappes dt grelots. ThérézoB, enrayée de cette, allure allegro, J suivait comme elle pouvait, mon aaas invoquer tO haute voix 6oKMe Mère et les saints du paradi~ anH qu'ils eussent a veilla sur ses es, fort en périt a son idée. La petite earavane altait quitter le cita" min de Belbeusquet pour prendre à travers les sea~ ti8rsdeIamontag'Be,quanduBeBaaBiëre de paysa~ arrêta tout a coup le mulet de Rosé.

–Madame de Védelle, je erois? dit-il.

–Oai; que me voulez-vous?

Je suis le facteur rural, madame; je vais à Belbousquet, maia puisque ]e vous rencontre, je vais vous remettre.

Tous avez una lettre pour moi ? 't

–La voie', madame; c'est de Marseille, quatre sous. Rose prit d'une mam tremblante la lettre que lui présentait le paysan. Elle courut à la signature. Etio fat sur le peint de jeter an cri de surprise en lisant lenomdeCéxairedeCroixfonds.

–Qu'est-ce que cela signiËe ? murmura-t-elle. Voici ce que M. Cé~aire de Croix.fonds écrivait M~RosedeVMelle' < Madame, Ja me suis-chargé de vous rassurer sur le compta de monsieur votre mari, dent l'absence va se prolong @t un peu plus que vous ne le supposiez. M. de Védelle a été assez aimable pour désirer m'accompagner dans l'excursion que je vais entreprendre dans les mqn'< tagnes du Dauphiné. Nous nous gommes Mncontrésa l'hôtel, et neus consoliderons, en faisant ce voyage comme deux compagnons, les bonnes relations que nous avons déjà. éb&uctiéea, comme voisins, & la Pi-

Rede.'

Le mouvement et la distraction &'un voyage se*~ ront. je n'en doute pas, du meilleur eBet sur la santa de M. de Tédelle, ua peu ébranlée, m'a-t-il dit; j'cb-< tieBdrai donc sans peine, en .veus le ramenant, moa pardon pour l'avair gardé quelques j<MB doLphts lo~ doveus. Veuillez agréer, madame, etc. B

Le premier mot ~e Ro:e; ap?p~ tY~'f p'ijt ?)?<? N!%C$~.MttalettN.~t:


v&teur intrinsèque, comme métal acheté au poids, diffère d'une manière assez notable, ou du moins nos fondeurs prisent ceux-ci beaucoup plus que les blancs.

Le prix des sous vendus jusqu'à ce jour a peu varié, suivanf à. peu près celui du cours Uu cuivre. Il y a ~dix-huit mois, dans les premières ventes, les soas 'blancs ne. se vendaient que 1 fr. 80 c. à 1 fr. 99 c. le kilog.. Mais depuis, lorsque, l'industrie sut tout le 'Eartf qu'on pouvait en tirer, ce prix a monté graduellement, et se maintient entre 2 fr. 15 et 2 fr. 20 ''centimes. Les sous rouges, au contraire, sous de 'Louis XV, de Louis XVI, de la République ou detoute autre efngie, se vendent de 2 fr. 92 2 ff. 96 c. le kilogramme.

J Considérés sous le double rapport du poids et de leur valeur nominale, ces deux sortes de sous~diffètent encore d'une manière assez notable. Ainsi, 4 fr. SO & 25 c. en sous bla-ncs pèseront un kil., et il en faudra 4 fr. 60 a 4 fr. 80 ( deux petits' sous pesant plus qu'un déèime dans les rouges, tandis que cetta diNé~rence n'existe pas pour les blancs ) de rouges pour le même poids.

En prenant pour base moyenne les prix de la vente d'hier, laquelle a produit FYO.OOO fr., et eh évaluant a 2 millions de ki'og. les sous retirés delacirculaiien pour toute la France, puis revendus au commerce comme'cuivre, avec eu sans alliage, enfin en admettant que ce retrait se soit fait par moitié sur l'une et l'autre sorte, ou trouvera que ces 2 mUlions de kilag-. 'VNidus ont.produit au domaine 5,110,000 fr., lesquels, dans la circulatien, représentaient une valeur nominale de 8.930,600 francs environ. Or, comme onévalué~ 20 nultionsla. valeur denotre monnaie de billon, il s'ensuivrait que l'opération' du retrait et de la refo&te aurait a'peine atteint la moitié de son cours. II se forme une compagnie de paquebots à vapeur pour établie un service de steamers entre la -France et Chiernesey.. Le joTirnal !a SuMM rapporte qu'un condamné a trouvé le moyen de s'esquiver-de la maison de force, ces jours dermers, à l'aide dueianteau et du chapeau que le pastear avait déposés dans le corridor. Ce dé'gui~mentluia même valu l'honneur d'être reconYdnit poliment à. la porte de la prison.

YtLLE DE PARIS.

EatpfMK(de60 mt~tOM.

Les porteurs d'obligations sont prévenus que, pour 'éviter les retards qu'entraînerait l'inscription sur place des numéros des coupons d'intérêts, des bordereaux en blanc sont, dès a présent, délivrés chez le conciei~e do la porte des bureaux a.l'Hôtel-de-Ville. SO~tÉTÈ ACTMCBIE'iNE I. R. P. DES CBEMINS DE FER DEL'ÈTAT. Le conseil d'administration de !a Société autrichienne a l'honneur de rappeler & MM. les porteurs 'd'obligations que le 4*~et dernier versement deTofr. 'par obligation doit être effectué du <au 10 mars prochain, daBS'Ics bureaux de la Société générale de ~Crédit mobilier, 15, place Vendôme, tous les jours non fériés, de dix heures du matin & trois heures de l'a-

prè~-midi.

Pour les obligations sur lesquelles ce 4e versement sera fait du 1er au 10 mars, il sera.tenu compte du 'coupon de *7.50 échéant le 1er mars prochain, ce qui 'réduira a'67.59 lasommp a payer par obligation. .'Eilcas de non-paiement dans le délai nxé ci-dessus, il sera. perçu, au pro&t de la Société Autrichien–ae, des i&térêts de retard calculés sur le pieâ de 5 0/C l'an sur l'tH~ro!t(e da versement, ~h d&ter du ler

mars.

–SERVtCES MARTÏMES DES MESSAGEMESIMPÉMALES. PAQUEMTS POSTE FRAKÇUS. TraK~or~ JM Coya~Mr~ e<~M MarcAaHdtses.–Départs

tTAME –D~tM'~atfMmatKe le lun~i. 11 h. du matin,, pour Gênes, Livourne, Civita.-Vecchia, Naples, Messine et Malte ;~e jeudi, 10 h. du soir, pour CivitaJVecchia. et Naples (trav'èrsée en 48 h.).

GRÈCE.TC&QUtE et la MEn tronrE.–DeM~ par ~emat~e l&lùndi,3 h. du'soir, pour Messine, le Pirée, Constantineple et Kamieseb; le jeudi, 10 h..du mat,, pour Malte, Syra, Smyrne, Constuntinople, Varna et Kamiesch. EGYPTE.–CA~Me ~eMa; i!eNM!'MM le jeudi (à dater du 8 nov.), h. du matin, pour Malte et Alexandrie. 'SYME. –~allipoli, Dardanelles, Métèlin, Smyrne, 'Rhodes, Mersina, Alaxandrette, Lattaquié, Tripoli, Beyrouth, Jaff~C~Me <<eMa; seNxn'te~.Ie jeudi [e0!'e de .SnM/Mte oM Mt'e ~<ea'a~~te), a dater du 8 nov. AL~ÉEtE.S~if pour ALGER, les 5, 10, 15, 29, 25 et 30, n midi ;–pour Ot'AN, lea 3,13 et 23, à midi;–pour siÔRA. BONE et Tu~s. las 8, 18 et 28, à midi. MM. les voytt~eurs trouveront un 2n<<:ca<eKr~<af/M & PABts, rue N. D.-des-Victojres, ?8 à MARSEi~LB, .place Royale, n" 1; a MON, place des Terreaux. –L'MPEMALE, rue de Provence, 58. a Paris, constitue des rentesyiagères a tout âge. A 60 ans, ~o~r 100 fr., elfe donne une rente de 9.fr.98c.; a65~M,de 12 fr. 02 c.; à 70 ans, de 14 fr. 59 c. a T5 ans, de n f. 13 e., a 80 ans, de 19 f. 69 c. < La. souscription aux actions de la Compagnie générale des Compteurs à Gaz, avec ,ie manomôtro régulateur Dumen, breveté en 1854 et 1866 (s. g. d. g.], sera irrévocablement close le 25 de ce mois pour Fa.M,etle5mar8pourIesdéparteinens.

En présence du chiffre ceBeidérable des souscriptiens, la répaTtition aara lieu immédiatement après tt auprerata..

f- T& QaeN~ierIeîoh !~oït~l pM ~a< aoM MM ai-

~moMt

Puis elle lut et relut eacore cette singulière mia<iwe, et,~amant~leBcieu<oment la bride de ea mentore, elle reprit le chemiB de Belbens~aet. Ce que myamt, Thérézon dit

–N'alloM-nous plus à Marseille, madame –Non, cela est devenu inutile.

–A. catse de cette lettre? 9Ho est demonsieHr,

peut-être.

–NM. Oui. reprit Bose troublée; eUeeat de M.deVédelle.

Convenir qua la lettre n'était pas do Geerge! lui Mmblait un aveu humiliant.

EUe ût très triatemant la roate en revenant à Belboosqnet ,el!e se sentait Ma fois mécontente et deeouragee.–Allons, tent se ligue contre moi, pensaitelle, tout, jusqu'aux eapriees de ce malheureux enfant. Il est bizarre dans ses moindres aetions. Le 'voila parti maintenant avec ce M. de Cromfonds, qu'il connaît h peine, sans me~ prévenir même par un met~ lisait éerire pourtant. Quel procédé Et ce M. do Croixfonda est aussi bien original, pouf avoir ehoisi un pareil compagnon de voyage Celuilà est bien élevé, du moins; il se croit obligé de me faira une phrase poHe sur M. de Védelle. Enfin, Georges est en sûreté près de lui: c'est le principal. Oai, mais moi ?. Et en se pesant cette question elle retomba dans toutes les anxiétés de la nuit précédente. Cet incident la rejetait dans l'imprévu, ou plutôt dans le danger trop prévu d'(me seconde entre paa jBivecM.ÀrtémonR'.cher. En rentrant à Belbpusquet, Rosé ~e laissa tember sur une chaise, daM la salle à manger, sous l*iBiluence des pr&ooaupations qui la dominaient ses regards, qwi erraient au hasard autour d'elle, vinrent a tem.bar sur cette gibecière pleine, rapportée l'avant-veille pH Georges.

Elle eut la curiosité d'examiner ce gibier dont son mari lui avait nié l'existence; elle souleva la gibecière, et, la trouvant assealourde, elle s'attendit a deux ou trois lapins. Elle aperçut deux gros volumes. –Tiens!, des livres! dit-elle, il lit dohc tout en chassant! c'est étonnant. -Et que peut-il ~r~ lai, Seorges' Roîe regarda le dos-dés volâmes. Sar l'an elle lut ~enom.

Horace.

.Nor l'autre, celoi-ci:

t

t'

:Les actions sont de 100 ff., dont 50 ff. en soascri. vaut, au siège de la Compagnie, rue du FaubourgMontmartre, n, ou en envoyant un mandat a tue sur Paris a l'ordre des gérans. Les usines sont rue "de Charonne,99etl.oT.

De~ succursales vont être établies a Lyon, à Marseille, à Bruxelles, à Londres, h Vienne (Autriche) et & Berlin.

Une très jolie celloction de curiosités japonaises, meubies, bronzes, monumens et objets d'usage, formée par les soins de M. BELPBAT, ancien fermier général au Japon, doit être vendue a l'MM d'Osmo~, rue Basse dû-Rempart, no 8, les 25 et 26 février 1856. Nous engageons nos.lecteurs a visiter l'exposition de cette riche coltectiçn les/samedi 23 et dimanche 34

février. ~iïH;

rour tous les fai.t?<iiveK non signes

Le sëcr~tau~-d~Ja.. rédaction, P. YIN~ABB.

Actes dn goNvenaememt.

~TÉRtECR.Par décrets rendus sur la proposition du ministre dé l'intérieur, ont été nommés Membre du conseil de préfecture des Bouches-duRhÔne, M. Faton de Favemay, attaché au ministère de l'intérieur, en ret~acement de M. Ctair, démissiohnairs. Membre du conseil de préfecture du BasRhin, M. de Muiienheim conseiller de préfecture de la Vendée, en remplacement de M.~Tézenas, appelé a la sous-préfecture de Moutbrison.–Membre du conseil (~o préfecture du Gard. M. Bauchetet .colonel du génie ea'retraite, en remplacoment~de M.Teetelebeau, appelé a la sous-préfecture de Prades. Membre du conseil de préfecture de la Meurthe, M. Costé, avocat, juge suppléant au tribunal civil de Nancy, en remplacement de M. Ménager, appelé aux mêmes fonctions dans le Doubs.–Membre du conseil de préfecture de l'Ardëche, M. Leféburo, .attaché au ministère de l'intérieur, en remplacement da 'M. de Messey.–Membre du consëU do préfecture de'la Drôme, M. Liégeard, avocat a la cour de Dijon, en remplacement de M..Clément, démissionnaire. –Membre du consei) de préfecture de. Lot-et-Garonne, M. d'Audonnet, chef de division a la préfecture do l'Ariége, onremplanementdeM. Liron d'AiroiÏcs, démissionnaire.–Membre du conseil de préfecture de iaVen-. dée, M. Cauchy, attaché au ministère de l'intérieur. –Membre du cônseilde préfecture de la Vendée, M. Dupray-la-Mahério, attaché au cabiaet du préfet do la Manche, en remplacement de 'M. Gorsse. y Par arrêté du '8 février courant, M. le ministre de l'intérieur a approuvé les statuts de la Société de secours mutuels établie a Parissous la dénomination de Soc«<e <~ SatKt-Ft'aK~oM-~aeMr <<e'~a paroKM

SatK~-RocA.

Le .Mo?tt<<'Mf publie la nomination depinsleais présideaa de sociétés de secours mutuels.

AMmentat!em paMtqne.

Halle aux farines de Paris; 21 février 1856 Cours moyen du jour. 58 30 -la veille, 58 60 le cours moyen a baissé de 30 c. Prix du pain d'après la mercuriale

1~ qualité, 51 c. le kilog.; 2e qualité, 44 c. le kilog. Prix du pain d'après la taxe: 1~ qualité, 50 c.lekitog.; 2e;,qualité, 42c. le kliog. –On)itdansIe~j!foK!~Mr~<'<'A~'CMMMre: <[ FAttïNES. JeM<!< La majoritë des boulangers contint~e de s'abstenir, et les ventes de la meunerie se sont .bornées aujourd'hui a quelques, besoins partiels d'une urgeneë immédiate.

aLes.iarinesde toute provenance sont, par suite de cette nouvelle coBnrmation de'la mévente, plus mollement tenues. Celles de Lorraine, particulièrement, auraient vendeurs à 80 50 le sac celles de Bourgogne, de 90 à 90 50.

? Lés donnes marque~de l'Ëur.e et-Loir, de 91 à. 92 et 93ff.iesaedel59kil.

B LesTarines des quatre marques sont beaucoup plus lourdes qu'hier, B il a été fait quelques liquidations forcées en courant du mois à 94 fr., et des mêmes qualités dans les mêmes conditions, mais à livrer en mars, à 95 fr. a Ces affaires exceptionnelles ne font.pas cours; Béanmoins, 1<8 prix sont moins bten tenus qiïTuer et les a-~ chats sont faciles a 95 fr. pour le courant du mois. Blly y a mollesse également sur les livraisons a longue échéance, et les 4 mois de -mars sont faciles & faire a &6f. e. Mars seul est demandé à 85 fr.

B On a traite en disponible environ 50 sacs en farines d'un degr~ supérieur a celle des 4 marques à 91 fr. le sac, conditions dé place.

t Les ventes ofacieHes par facteurs s'élèvent s 3,164 quintaux 38 kilog'.

ConKtdesttMBtipMea.

AUDIENCE DES CRIEES M!8ES PMX

Du 21 jéurfer 1&56. d~adjn·

~21~~1856. pr~

tfATBN! BT S)TCATtON BES HmECBLM. Saison rue Traversière-St-Antome,

64et'68.OM 63,180

Nygt&MpwMtq~.

Ônlitda.QSleifoM~Mt':

a Des publications récentes ayant para de nature & alarmer les populations qui font le plus particulièrement usage de la saumure, soit pour leur'proprealimentatien,

PIJ"

Virgiîe. Deux nema & peine e~nus de Rese.

Etio ouvrit les livres. Hs'étatent en latin. Elle put 6'eh rendre compte en saKissaat ç!t etdans une page certains mots q~'eitt feneentrait habituellement dans son livre d'heures. –Bon des livres latins, dit-tlleen riant, jesuisbien Mtte de eappeser que eeer~ea: ait pn les lire; il aura pria cea ~ros volumes pour faire contrepelda à quelque pié~e; il a ehoiai ce~x-la parce qu'ils so&t lourde. Pauvre'Georges, il n'a sûrement pas regardé en quel. le laague ils sont écrits. Sans dente ces livres sont destinés & M. de Védelle~ mon beau-père, dont l'envei est joint au nôtre.

Rosé en était là de aes renexiona quand ThMzon vint d'un atr ofaciolitu demander la permission d'aller a la ville peMrft/aM'M~ ` La vieille caméristo toBait a son projet d'instruire M'°e Lescalle de rétrange façon dont en vivait a Belbousquet. o 'ow –Tu veux aller Ma ville? lui répondit Roae. Eh bien, nous irons ensemble, je vais aller embrasser ma mère, puis je resterai quelques jours chez ma tante, en attendant le retour de monsieur.

Comme cela, madame ira aux Capuciaa au lieu d'aller~MarseiUe,? 2

–rrécisément; tu comprends, je m'ennuierais ici tou~eseule.. Avec ça que monsieur tient beaucoup compagnie à madame, ât Zon entreses dents. A propos de monsieur, reprit-elle, le vieu~ Simon demandait ce qu'il faut faire de cette caisse de livres arrivée de Paris. Tout le vestibule en est encombré, parce que monsieur a eu l'idée de tous les mettre sens dessusdessous pour y prendredeux volumes.. Ces paroles de Thérézon ramenèrent Rosé & son exploration de la gibecière et aux velumes écrits en latin. Elle alla vivementleschercher, et, les montrant alàbonnefemme:

Ces livres dont tu parles, sont-ce ceux-ci? '1 ? Tout justement, madame, deux gros, reliés en peaurouge,c'estbiença.

Mais s'il les a choKis, pensa Rase, il les voulait donc lira! C'estetrànge.

Monsieur a dit, continua TMréaKin, qu'il Be fallaitpaadébaUerlerestedelacaisse..

~–Pourquoi eela~

Dame, je ne.sajspaa, iLM_deane Basj!OQvent ses

~aM,jB.aBBi<ur.'

7r

soit pour la nourriture et là médication de certains animaux domestiques, l'administration a cru de son devoir de s'assurer jusqu'à quel point-cette susbstancepeut produire des effets nuisibles. Cette question, portée à l'examen du comiteconsultatif d'hygiène publique, vient d'être l'objet d'un rapport de M. le docteur Tardieu, au nom d'une commission dont il était membre, avec M. le docteur.Rayer et M. Bussy, directeur de l'ecole.spëeialo de pharmacie de Paris. a.

Le texte de ce rapport fait ressortir les dangers de l'abas de La saumure a_ l'égard de quelques animaux, en meme~ temps que l'innocuité de cette substance lorsqu'elle est employée avec certaines précautions comme coniiment ou assaisonnement dans l'alimentation de l'homme..

CenfsetTr!bnnaax.

MM. Goudonnèche gérant du journal l'~reKtr, Munzel imprimeur, -et Signouret, rédacteur, étaient prévenus d'excitation a la haine et au mépris des citoyens les uns contre les autres les deux premiers, en outre, de publication d'un journal traitant des matières d'économie sociale, sans autorisation préalable et sans dépôt de cautionnement.

Le tribunal, 6e chambre, présidé par M. Dubarle, sur les conclusions conformes de M. l'avocat impérial Marie, a rendu son jugement en ces termes e En ce qui touche le délit d'excitation à la haine et au mépris des citoyens les uns contre les autres; B Attendu que si, dans le numéro du journal l'AceKtf. du 9 décembre 1855, il a été publié'uu article intitulé les ~or~et ~Pr~rM, dans lequel il est parlé jles droits exigés par le~clergé a l'occasion des sépultures, cet article, dont la forme -irrévérencieuse doit être blâmée, paraît cependant n'être que; la traduction,d'un article publié par un journal .étamger, et ne s'appliquer qu'a des fatts remontant a une époque depuis longtemps passée, et &. un clergé autre que le clergé français B Que, dans ces circonstance, il n'est pas suffisamment établi que Goudounëche et Munzel cemme auteurs-et Signourot-comme complice, se soient rendus coupablea du délit qui leur est imputé, les renvoie des 8ns de la plainte: s Mais, attendu que la décret organique sur la presse, en date du TT février 1852, .impose a tout journal ou écrit périodique traitant de matières politiques bu d'éconemie sociale, la double obligation d'obtenir l'autorisation préalable du gouvernement et déverser au Trésor un cautionnement en numéraire B Attendu que Goudounèehe, en publiant le journal l'AMKtf, n'a accompli ni l'une ni l'autre des obligations ci-dessus prescrites;

B Que cependant, dans plusieurs des numérps dûdit journal, il a traité des matièrea d'économie sociale, notamment:

B Dans le numéro du 2 décembre et dans l'article intitulé Mat et /<tt< CAï'M(M?t«!Me, article dans lequel on examine le christianisme au point de vue de la constitution de l'Eglise, on parle de sou avenir, des destinées qui l'attendent dans son alliance avec la démocratie, et on reproche au clergé son zèle im~pM contre les applications sociales du chrHtismisme t Dans le numéro du 9 décembre, article intitalé DMCN<AoMeMm0 re'~ et <!M Caf~KeMmet~a~, dans lequel il est question, moins du dogmaque de.a la B transformation a faire subir a l'humanité, qu'il ne a faut pas laisser perpétueIl~ment-enFant, comme le B veulent &t le pratiquent toutes les.religions; B.et dans lequel on' trouve cette phrase e On ne~peut serB vir d.eux maîtres, le temps presse, ledénomnentap? proche; entre l'autorité et la liberté, entre le cathoB licisme et làrévolution, il fa.ut_choiair; a N Dans le même numéro, et dans l'article intitulé ScMKee et le PeMp!e, dans lequel pu examine l'innuence de.l'éducatipnsurla morale, on stigmatise la conduite de certaines classes d'individus en~ possession da la richesse, et on signale la philosophie comme pouvant seule élever et éclairer les âmes, les doter de force, de Serté, d'énergie, de liberté et da bonheur;

< Dans le numéro du 16 décembre, dans l'article intituté Appe! aM.r eM:aM, et dans lequel on envisaga l'état actuel de la société, le besoin qu'elle a de tranformatien et les moyens h .employer pour .arriver à ee résultat;

e Attendu que ces divers articles traitent évidemment des questions et des points d'économie sociale dant il était interdit à Groudounèche de s'occuper dans 'le journal l'AfeK!r. alors qu'il n'avait obtenu ni autorisation préalable d.u gouvernement, ni versé de cautionnement; a Attendu que ce fait constitue la contravention prévue et punie par les articles 1 et 5 du décret du 17 février 1852

D Attendu que Munzel, en ijiprimàht les numéros incriminés du journal l'AceM!)', s'est rendu coupable des contraventions reprochées.a Goudounëche qu'il doit en supporter la responsabilité, et que la loi ne distingue pas entre le publicateur du journal et l'imprimeur

B Faisant a Gôudounèche at a Munzel applicatien des dispositions des articles 1, 3 et 5 du décret pré-

cité.;

D Les condamne, savoir

eGoudouneche, a six mois d'emprisonnement et 400 fr. d'amende pour chacun des numéros condamnée >~ B Munzel à un mois d'emprisonnement et 106 fr.

–Je vais examiner un peu tout cela; viens, nous allona toujours ranger se~qui est défait daaa La bibliothèque, et, quant agreste, je verrai. ,H-

Rosé se mit a l'eMvreBur~-champ elle nt monter la caisse che~Georges, qui habitait a Belbousquet l'ancienne chambre de M. Lescalle, et cemmeoGa a placer les volumes sur lew tablettes. BUo faisait cela machinalement, l'esprit préoccupé de ces diables de. livras latins fourres dans la gibecière de Georges. Les avait-Ha lus ? pouvait-on supposer que Seerges eût le latin, ets'il le savait? 2 Alors tout s'obscurcissait encore peur la pauvre Rose~ entièrement déreutée par cet~iacident. Tout en se livrant a ce travail d'arrancemeBt, cojnme elle n'y apportait qa'un soin asBezntédiocre, il lui arriva de laisser échapper une pile de volâmes, qui tombèrent éparà sur le parquet un d'eux s'ouvrit en tombant. Rosé le ramassâtet, en le prenant, yjetalesyeax.. Cette fois, ce n'était pas du latin. Elle lut la page, puis elle la tourna, puis elles'assit sur un coin de la caisse, lisant toujours, absorbée, fascinée, pour. ainsi i dire, par ce livre. De temps en temps sa poitrine se gopnait'BOM une inexprimable émotion son regard parfois &e voilait de larmes;, mais elle lisait_ toujours. ~EtIecaatmuaainsijusqTl'alannduchapitre. Oh !.que cela est beau, dit-aile. Qui donc écrit ~decettemanière-la? y

Elle regarda au dos du livre et vit ces deux noms :JoM~M-I.<!tK<!WtMe.

La pauvre enfant, dans son ignorance, ne comprit pas d'abord, ai Jeeelyn avait écrit Lamartine ou si Lamartine était l'auteur de JoceÏyn. Elle apprit seulement, en cherchant à la première page, que ce. chefd'œuvre était signé A. de Lamartine.

Elle rpprit le livre avec un impatient désir d'en' continuera lecture; mais elle s'arrêta soudain en entendant la voix' sonore d'Artémon Rieher retentir Bous le vestibule. Son cœur battit vivement, et~ùne seule pensée domina son émotion Je ne deis pas, je ne veux pas recevoir M. Richer. Ah M livre, pensa~t-e}lo en rejetant le volume loin d'elle, e'est lui.qui. m'a fait -oublier l'heure sans lui je serais chez ma

tante_depuislongteBtps~

Inatinetivement elle alla poMMr le verrou de la chambre et s'apprêtait a sonner Thérêzon et a faire dire qu'eue était EbuSr&nte, quand une autre voix bien cannue vint la rassarer et l'engager à descendre.

> t-.TiN~! .dis~Ut ~jd?~Le~~

d'amende pour chacun des numéros condamnés B Ordonne que le jaurnal l'A~Htr cessera de paraître.B » Des afftches récemment apposées sur les mura de Paris, ont appris au public qua Isa représentations ds la troupe tragique italienne commenceraient le 5 mars prochain, et que M'a" Ristori, Bdèle à ses promesses, allait reparaître sur la scène où elle à triomphé.tant de fois l'année dernière.

Les etBployés'de la troupe de Sa Majesté sarde occupaient depuis.une semaine environ le bureau qui leur était affecté, lorsqu'un beau jour ils trouvèrent la porte fermée et cadenassée. M. Catz~do, qui a le privilège du théâtre, nt abattre une cloison qui donne sur la place Ventadour, et les Italiens entrèrent chez eux par la brèche, comme autrefois les vainqueurs dès-jeux olympiques.

Qui donc avait eu la hardiesse de laisser Melpomèno se morfondre dans la rue et soufaer dans ses doigts, sous un ciel'brumeux? C'était !e propriétaire de la salle qu' donnait a' M. Calzado le droit de souE-Iocation, et faisait défense a la compagnie italienne d'annoncer lès représentations qu'elle se proposait de donner.

La compagnie avait traité avec M. Calzado seul pour deux saisons: c'était à lui qu'oUe devait s'en prendre. M. BaHanti,-administra.teur, l'a assigné, au nom de Mme Ristori, maintenant a 'Vienne, devant la Irs chambre du tribunal civil de la Ssine, présidée par M. Pasquier.

Sur la ptaidoirie de Me Faluteûf, le tribunal a condamné M. Ca.lzn.do à mettre la compagnie en possession du local qùilui est nécessaire, et a faire cesser tout trouble, sous peine de 500 fr. da dommages-intérêts par jour de retard, pendant un mois, après quoi il sera fait droit.

.1- L'undesgëraBS.H.BMn;.

Dans nos revues des arts et de l'industrie, Bon* avons eu plus d'une fois l'occasion de signaler à nos lecteurs les nouveaux dentiers de M. D'ARBOvu.LE, véritable innovation réformant complètement tous les systèmes connus. Mais ce qui surtout recommande au public cet habile artiste, c'est, la persévérance qu'il a mise a trouver une préparation qui annulât l'action destructive de la salive et des sucs gastriques sur les dents naturelles ou artiacielles. Aussi l'ANTi-GÈHNiTE est. il le seul dentifrice qui ait été jugé digne d'être admis à l'Exposition, universelle.

PAS PLUS CHER QU'AVAIT L'AUGMENTATION. ~MmeK~oM A~tëKt'~Me. D. Fèvro et Ce, rue Saint-Honoré,398 [408 moins 2). ViNS DE BoRBEAnx expédiés et garantia, par le gérant de CA<MMM-Z.a/~e. Vieux bordeaux, rouge ou blanc, 1 fr. 25 c. [on reprend le verre pour 25 c.); vieux Saint-Julien, 8 fr.;

CM~aM-La~t', 3 fr,, 4 fr,, 5 fr., 8 fr. et 12'fr.

ViNS DE CBA!!pAGKE de M. Joseph Perrier &!s Aï, 3 fr.; Sillery, 4 fr.; Bouzy, 5 fr. a

DE tA BETTERAVE.

On Tient de convertir la betterave en un nouveau produit alimentaire. L'industrie qui marche toujours, l'ayant transformée en, encre, ~n alcool, est parvenue à en faire une substance imitant parfaitement le café, a laquelle on à donné le nom de B~raee <or~e<. Mélangé par moitié avec le café des îtës, ce produit lui donne un goût plus agréable, le rend moina échauB'aht et diminue de moitié l'emploi du suere. On 7<! <roMee aM ~6'pd!< eeM<ra<. &OM~card Sa:n<-DeKM, 26, c~M !M FrtKMpaM~ epMMf~ de ParM et de la pro!)!Hce. –L'huile de foie de morue naturelle, Exp. 1849 et 1855,sevendpl. del'Hôtel-de-ViUe.r.RivoU, a ~'O~t'et-.

Théâtres. Spectacles du samedi soir 33 février. OPÉRA.–

FRANÇAIS. –Le JM<Mtt<ht'8pe (MmePlessy),–Ia Ca~eMre

<mpr<t'Me.

OPERA-COMIQUE. Première repres. de Jtfanot! Z<sca«< (débuts de Mme Marie CabBl). `

ïTAHEKs. L'Jtt~d~o dt f<r<Kje (Maiio, Graziani Angelini.MmePenco).

ODEO!<(. La 7!efaKC/te de JEatt~MK (Tisserant, Barré, Mlle Berengére).

'ntEATME L~atQCE. Fa:<to/ (Hennaim-I.eoD), le ~ou~Mftr<e (Mlle Bourgeois).

VAUDEVILLE. Le Nctt de t<e <( !< J!a( dM eAamps, JMme /-oM!oce(Mme Doche),–Jes Anpo.~Mes.. VARï~TES. ~me .Ro~er BoM<emps (Mlle Serivaneck),–les C~<;eM;r de ma FeMme (Numa), jMme B<)M< (Mlle Thëric), ./<MM< c&ex tes NaMoa~es ~Lassagne,

GYMNASE. -Le Camp SM BoMrseofsM (GeoCroy), Je dttte chM ma mère (Lafontaine, Dupuis, Mlle Laurentine), J.Mcte (Lesueur, Dupuis, Armand. Mlle Làurentme), le~Ma!det<tpeMt"(Lesueur,Fe'rvilIe).

pALAtS-ROYAL. –Af. de ~(t<K<-CadcMss (Ravel), –la Teccade, ~K pe~tOM.

PORTE-SAiKT-MARTM. –BettweMM<o Ce!MM( (MeliBgue.Luguet, Mmes Marie Laurent/Lucie Mabire).

6AtTB. Le jMedec<n des .Et)/«HS (Laferriere, Bignon, P. Mënier, Mme Cortes). AMBtGtj. L'E~a~ dtt 6fo<tdJMoKde (CastellaBo, Orner, '(MlleLagier).

CtRQUE mpAMAL. La ~:t!e Ma?'?o< (Clarence, Lacressonniêre, Brésil, Taillade, Mmes Lacressonniére, Person).

~OUFFES pARistE~s. –Ba<ac!aK, –lefos<cn, Fc~aMt dePoK<o~e,–lesDetM!~MMa!et.

CMQTJË KAFOLÉOK, Tous les soirs. R~ercicea ëquestres, Scènes comiques,-etc.–Les Bêtes féroces. RQBERT BKHJDtK, boulevard des Italiens S. Prestidigitation, Magie. Tons les soirs, a huit heures.

FORTE-SAïNT-MART~. Demain samedi, .B.'HMM<to CetHMt, par Mélingue. Synonyme de salle comble.

alear Artémon, vous voilà. ici, comment vous va? Lemariage desa &Ue acçempll seleasesdéaire, M. Lesealle souhaitait yivemantvoir cesser sa brouille avee les Richer, dont la cliantèle était fort avantageuse. Il neaut a quoi attribuer cette rencontr~d'Ar-' témen ehexsa nlle mata, en homme habile, il en pronta sur-le-champ pour renouer ses relations eh bons termes. –Eh bien! continuait-Il avec bonhomie, je suis charm~de yeas revoir, et surtout ici, cela me prouve que noua serons: toujours bons amis. Seulement, je suis'd~eledev~Mvoirsi mal reçu, on vous laisse seul dans le vestibule où est donc moa grendre! MtdencRose? Mo voila, mon père, dit Rosé ea apparaissant en haut de l'escalier, je viots d'être prévenue de votre ~arrivée.; ?~. Dépêche-toi, ma nlle, dépêche-toi est-ce ainsi que tu es maîtresse de maison, tu laisses tes hôtes se morfondre & attendre. Alloua, tu ne sais pas encore bien ton métier, cela viendra. Eh t mignonne, Rt-il, eh.l'embraasant sur les deux joues, comment te trou-ves-tu du mariage? Ta as l'air de "bien aller, an peu pâle pourtant, n'est-ce pas, monsieur Richér ? y –Jen'aijamala vumàdame plus bellequ'a présent, répondit le jeune homme.

Rosé était au supplice. Heureusement pour elle, M. Lescalle appartenait a cette espèce de gens ~ui s'écoutent avec une extrême complaisance, étonblient de remarquer siieh leur répend il arrondissaittoujouM ses périodes sans se préoccuper de l'inattention eu même desintorruptiona de ses auditeurs. Il put donc développer longuement avec Artémon les observations ~ue sa profende sagacité lui avait fournies sur les "innombrables effets produits sur les jeunes nlles par le mariage; il raconta noB~bre d'anecdotes, nt quantité d'allusioM qui eussent augmenté l'embarras de Rose si elle les. eût cemprises, <t déploya um grand luxe d'amabilité Dour rompre tout à fait la glace avec Àrtémon. Il rencontra un terrain parfaitement préparé, de sorte que la plas.cdmplëte cordialité régna bientôt -entre les deux hommes. De très grandes analogies existaient du reste dans leur nature, ils devaient s'entendre, 'ils appartenaient h la même race médiocre, vaniteuse et sensuelle. M. Lesçalle était un vieil Artémon, le Ris Richér était un jeune. Lesçalle, ce que run était, l'autre le deviendrait. Les bourgeois de M genre sont

cojamëJes.eh~tt jtMM, ils,oat.uns~rt(~M yivtpi.

SAttË. C'est ce soir, ou demain au plus tard, que le ~tMeciM des jPM/atts fera ses adieux dennitffs a sa. nombreuse clientèle. Paulin Mënier.se chargera de maintenir la. vogue du théàtre de la Saïte, en donnant une reprise du C~ter de ~oK. ce qui permett'-a d achever les études d'C~Mr< M, pour les représentations simultanées de Frederick Lemaître, de Laterriere et de Mme .~aptalArnault.

BOUFFES pAMSiENS.-Ce soirjendredLrepnse dea DeM jLt)ft<o~ si impatiemment attendue. Cette boucotinerie musicale, dont l'immense succès n'a pas été épuisepar plus de 150 représentations, sera jouée par-les deux excellens comiques. Pradeau et Berthelier. Pn ~KttcM eM coc", F~aKt de f'oH<f)fM et JModtf!, complétèrent la Epsetacle attrayant de cette soirée.

FaUUtes. Paris, 21 février 1856.

La société Failldt et C", négoeianx, rue d~Fa.ubourar. Samt-Martin, n2. J. c., M. CaYare, s. p., M. Leinm.cois.ruedeGrammont, 16. ,t. M ° Larue, restaurateur, aMontronge, rue de. la Galte, iS. –J.- c-, M. Carcena.c s. p., M. Lacoste, rue Ch~ajia.is.S. Sfatna et Fafimes.– Paris, 20 février 18M.

(En quint, met. de 100 Ml.) Arrivages. 2.531 q.41k. Ventes. 8,240 23 Restant. 33,404 &8 CottM mo!/e~.

Dujonr. 68fr.60c. De Ïa quinzaine. "B M

Taxe du patn, le kil.. 50c.1

J'aze ott p(t«t, le ku.. 50 c.

-3" qualité 42 ~K«s <Md<sp<m<6!e.

Grni&U.. te M NOM

l'marq.aSO (.3 59 25 63 4&

2" 433T'0~670.&860

~ge 1587U 4958.541~

3e \t58704358 S415

))MXB <K.Bt XBM Cuisson, ea ')9 BB Bn BB Mt

Rel<iv6.3t66BB')B M M

~M<e<<tHofer.

Alivr. 1306 7a&T30 .60:50 Cuisson Me M" BBM BOt*. Revente 80 83 8S 95 "e Ba.

MsMhamdtses.-Paris, SOfévr~ 185~

mjnjE. Colza disppnible, en tenues, 123 M & Boa M~ id tous fG.ts, 121 Mào'exo. ESpài-r-3/6 disponible, 162 M&MB M; courant da mois, ''a. BetteraYe 1" qualité, caD &MB. courant

s~oK. DispomMe,.belle quai., 93 & "B Murant

dumois 82'& sucRE~'SïOtique, bonne quatriomer ')'B te t M' M indigène. id.,Bt))e!BtBM. Bestianx.–MarcM de Pofssy du 26 février 16S9.

-1 Amenés. Vendus.. l~e zme.

B< 'SS"r ~"i « s i ~i s

Vaches:: 197 I97 1 10 1 14 1 nn 1`OH n 94_ 0 pu

~s' s s~u~ g;s~: Mo~toBS.M,39S 10, 1 60 1 6i 1 50 1 69 1 30; 1 45

BeaseignemeMBtHea;

AGENCE–BREVETS D'INVEKTÏ<M:,

ArmèhEMd je, ingénieur conseil; 6 Ft/(ht-C<ttM~ Au 15 avril prochain, 23, boulevard de Strasbourg. ANEtJBLEMEMS

Kt~s< SUC~ Cesse, Racanit et C<, Fj)f-S<KtO<t!e, 18i

BA~BAStSTES

C!tMbomn!e~ t-t<e St-Monon', 34' (M. H. Exp. un. 1855.) WictdMMN et Haft.Mëd. Exp. ISSë), <<e taBanq~ 1~. \BRONZES. ChNFpentter, 8, t'!<e CAar!o<. Bronzes'd'art, lustres, etc.! CACHEMMESDEMMBE.

Cerf et N!clttt, 14, 6o)t!e!)at'd Montmartre.

cAOMcnotJc.

Bc«!er ~et Ce, yoMes-~on<m(t)'<re,4.(M.l~c!.Exp.un_18o5) Vêt. imperméables, Coussins et Colliers a an-, Ceir~ures 'de natation. Bretelles, Art. p' voyages,la Chasse, etc. CHÂLES FRAatÇAtS. A !aV!gegne,ChoUetattKS,4,rMe~Jt'MMS-~on(Mtef(r~ CHEMtSES. 'L Sëpot, KO, r. de la Paix. Ga:Ets et Cravates. `

eiMCMATS.

CompasNte Colon!~e, 1 et 2, pt<tM des ~<c<o<)-M.. Be~ncS, rw .St-BoHOM, 385. (8 Mëd. 1" cl. Exp. un. l~o.) "COLS-CRAVAT.ES.

Ma!son dn PMntx .–Vendus avec sa niarque dans le~ premières maisons à Pans, en province et àl'etraBÊer. C" DE DESSMCATtOM ET DE COMPRESSM9! BES SUBSTANCES ÀMMENTAtRES.

ChoUet et C*Entrepôt gën~ des usines, rw< Bi'cAer, 4<~ CO~FECTÎOKSPOtJRBANES

Aax Sa!ons St-Geftnai'n, 46, r. dM~ac. Lingerie, Trouss. CO~FtSEURS.'

Aaeter ett.edoM. tom6ar~,46, FidéleBërger. Baptames.

MoBAch.M-d.n, boni. Italiens. Baptêmes. Med.del~cI.lSoS DAMASSÉS'F!L.' DRpof delà fabrique J. Casse. 18, rMe rtcj'eMttt. i.inge.jie table damasse et ouvre. Choix pour trousseaux. MKTEMJES. -€empas"!e tyenmatsc, 31, boulevard des-CapucmM. Dentelles, soieries, confections, hautes nouveautés. BEML.

Aa SaMier, 2, &OM!. ~oM<mar<re, f< l,ra'~ott<~ar<M,Ch~ tes.soterie, cachemire pur,lainages, tissus nouv..modes, liDgerie et confect.,cause de lavoguede cette spécialité. r. NEtJBLESE~tACUE

Maison Osmont, 30, boni. des Italiens. Exposition publique a la fabrique, Impasse Saint'&ëbastien, 8 et l(h' KOtJVEAfTES..

A. ta VMte'de Parts. fMe ~MoH!)!tar<rc, 170, le magasin (iw Hautes nouveautés !e plus vaste de l'Europe.

Au pauvre Jacques, boulevard du Temple, 53. Au PetH-Saint-Thomaa, rMes dM Bac, 35 et (/M<MfS«e, SSi. HAUTES NOtJVEAtJTËS.

A ta FHemae, 84, f. <tt< Bac etF~f S<-H<Mtore, 20. Rubans, etc. ORFÈVRE.

Bnponehet rMe WeMM-Satttt-~tt~M~KH. 47. Orfèvrerie, -bijouterie, joaillerie. (MëdaiUes d'or 1844-49.) y ORFÉVBE~E PLACEE ET ARCEMTÉE C. Bataine.et Ots,31,p!. de tftBoMfM, fab* ~f(<H TeMpie, 97~ PARFUMERtE

Be!)tbt!êM-T~eent,ruec[HBac,S5.

timertatm, Pata;, 15.– A Londres, S3, Old-Bond-street. RESTANtAKS..

ChampeaBX) pt. d< ta BoMfM, 13. Salons, ~af<!<K, cabinets A SOiEHtES.

DeUsïe,13,Cr<tmmo!t<,etl8,C/M<seMt,fourniss~brev.deLL.' MM. l'Impératrice et la Reine d'Angleterre.– Hautes nouveautés, châles, de l'Inde, dentelles et confection. TOïïjES.

J. CMse, 18, n<e V«Xe!ttte. Dépôt de sa fabriqua de LiU~ ûrand choix de Damasses pour table.

S'adresser, pour les insertions, place de la Bourse 1&

té qui cache leur nuDité, une certaine vigueur* da passions qui masque leur sécheresse; et puis jeunesse jette sa grâce sur toutes leurs' vulgarités e<! les dissimule. Vieux, ils ne scat plus que gras, M~' tes, égo'ï&tee, d'humeur grognon, àvecïde~ rares éelairs de jovialité libertine.. Rosé ne les jugeait pas ainsi, son père était le seu~ hemme qu'elle, eût entendu causer, 'elle ignorait si l'on causait autrement. Q~ant a Artémpn, il;Iuiayait paru'éloqueBt la veille, trop éloquent m6nie, et en ce moaaeat la comparauon avec M. Lescallo~ne pouvait qae lui être favorable. Tout en prenant peu de part la conversation, la jeune femme retomba un pea sous aea in&ueaces de la veille la présence d'Artemen avait donc bien positivement un charme pour ella, mais lequel ? c'est ce qu'elle se demandait avec

frayeur.

Après une longue visite, le notaire sbag'ea & se r~ tirer, et son départ entraîna tout naturellement celui! d'Artimon. Le jeane Lovelace, quoique satisfait ~e( s'être~remis en bons termes avec le père .de Rosé, regrettait pourtant vivement la perte d'heares aù:~ précieuses favorisées encore par l'abseneede Georges; il espéra pourtant faire naître une occasion pour le lendemain, et hasarda quelques mots dans ce sens. Rosé le comprit et dit h son père en le quittant –Demain, j'irai passer la journée a. Ciotat/ mon père, et je vous demanderai à dîner.. –Viendraa-ta avec ton mari? demanda M. Les-'

caliez

–H prononçait le nom de Georges pour la première fois; il l'avait fait par calcul, voulant bien faira comprendre à Rosé qu'il la regardait i comme seule véritable maîtresse chez elle. On fait bien épouser a sa nlle une manière d'idiot, si cela .lui assure de la fortune, mais on n'exige pas qu'elle, ait pour lui les égards dus à nnvraimari. Telte était la.merale de M.

Lescalle. ''?';

RoserépaBditaf&rmativementaIademande.desoN père. Pour rien au monde elle n'eût voulu avouer de' vant~Artémon qu'elle se trouvait seule ~Balboas~aet. –'EncoreunejourBeed~përC~e, 'pensa Art6mj0it avochum&ur. C'est égal, elle a'p9ur.â9 m~, o'est&ar

sigM.{

.OB~M.

i .:· ·

Mme LEOMR'D'AUNST.

~ff&i!t~PMC&&tMNea~.)


Mh'~<M!<ts«:

iM~~ï ~{~'frjontM~, me des CouronjMfa!J<~ nés,S-~ a vendre sur uns cne'Hera,

des notâmes de Paris, 2a mars

,1l~~ A ~aidi. des notaires d' e Pari! 1e 25 ID1:IrS

¡rS5~. à di.

~eHu net: 1330 fr.ii.-e à pr~x: 2i),C.OO f)-.

~atIr.aM<'M\ssïo~, not&li'e, boul.des l'aliens.9.

';Mi fe~~ MCU!PAG?(H & Champro?&v (S. et

`j~t~fl~ Ol,xven~'tr~,{mâmesnrùnnecùle et

'Nt~SO~ 0 ), & vunuro (même 6H!-une seule-

emherei.en la chambre de.~ uotiurescfo Pims, le N mars !8o6. Jardin n.D~ais et hnute lut~ie. contenance 2 heet. 11 a. Mi's.o a prix 30,~00 fr. bM. à~ M~6:'F,not.,fa.ub. Poissonnière.:?. a ~§~T ~BMM PAH~S .Attjidication en-1'~ ch~aibre des RotMres de f!<r'leI<aYrUm6, d'une grande et beUe f&ison avec vxste terrain, s. P.-ri' rue du Bac, M. Mise a prix 4a0,000 fr. D'une m:tison, me-~e r~ ?. ?,ns3 a prix 10) 000 fr.

S'adresser a. M< RAGui~f,36, eh~ussee-d'Antm a

iTA~M?4?~V ~l~f~S DU'FMENTES

'ML~A~A.MtiM~O ÉCOLES. ;\ente. d'une jolie collection de Tableaux an.Ctens des di~ërentes.ecoies, camposant le cabiïiet de M. le docteur Cr. rue Drouot, salle no -3. le lundi 25 février 185C a une heuro.–Expo~ SttiondtmMcheS-l.

M":CMAR:.t;:s rit.ET,commissaire-nnseur &

rarts. rue de Choiseu!. 11, successeur de M-' Bonïietpns de LaviaUB. assisté de M. Febvre, expert rue de Choiseui, 13, chez lesquels se d~tribue !eeataJog'ue~

vente dune voiture.fiiRtastique (Piatt /i9Mrcdu PtnatS dcCrts<a<f:e T-oti~rM. Optiques et vues "S9s). Boulevartdes Capucines, 39, à Paris, ~eS6 février 1856,~9 9 h. du matin.: Pour les renseignemens et conditio~'s'aoresser à M<'oucnocQ, rue Grange-Batelière, 13, et pour voir lesobjets.aucoac.erge de la maison. Les adjudications seront faites par Me DurBOURG, commissairs-priseur. MTE ~o. PMM VEAM routes mëg-tes pour havre-sacs, aux enchères pubuques, a.. la Halle aux Cuirs de Paris, rue MauconseU, no 34, le samedi 1" mars, a une .heure précise, par le ministère de M- Foucher courtier de marchandises prés la Bourse de Pans; Ces peaux, d'une couleur parlaite, de jtremier choix et sans aucun avarie, seront visibles, .trois jours avant la vente, à la Halle

auxCuirs.

~i.

A~i~ aax Aetionna!fes.

MàMMËRE INDUS~LLE 'r~DUMÀl~E. natsaa sf)CM!B p.-E. GUtucus et c<

~ADMMSTRATtON CË~TR.H.E A JPar! ~tM

R;'t'o~. ns..

Ija Société formée sous ce titre a pour objet f exploitation, pendant 20 années, de 1" 16 Carrières de marbres, d'un cube immense, situées sur do belles routes, ouvertes au niveau du sol et en pleine exploitation. EUes fournissent S8 nuances bleues, rosés, sérancoUhs~ Sainte-Anne, 'Bréche-Porter, Sainte-CatDerine, etc.. qui ont obtenu à FExposition universelle de 1$55 une mention honorable.

2e Une ~c'et-K /n/dt-(tu<'9Me. mue par un cours d'eau de la force de 30 chevaux, située au Mans, prés !a. gare du chemin de fer. 11

3" Un brevetpour ta. fabrication des marbres artistiques et hydrofuges.

4" Des fours a chaux, brevetés (s. g. d.g.).au 'tcoyen desquels s'opère la cuissoo des débris de marbres, avec une économie de 40 0 0 sur le

'Combustible.

5o Une fonderie de fer en pleine activité. Un terrain à.-terre rëfraetaire de qualité légale à eeUe de Bourgogne et de Langeais plusieurs autres-brevets importans et de grande valeur, etc.'

Le.c.4ptTA.t, socYA.L est de 4500,000 francs, divisa en 45,000 ac<)0tts de 100 fr. aM ror!et<r. 3&,800 actions (soit 3,000,000 fr.) ont été sous-

/PAR.

B F se i ~B~T~-M ~f~

_&.Ë..K.~ &Si~.B ~~M%3~

tJm~ttcatt~~Ms~c~-e~e!~ xMMM MM?'ea~ BStise~et'tttpOt'teë~

,DE$ ~E'~ NSI~ DU MON-'DE

Maladies'. dc&. V~ies Mphiairés~' ',< ~d~<es~s!'H~'m:$M<s~)'a~<ïc/ie~;

.cd)(iQn:iYot.de~@~p3gcs,e~ ~~6~I~t~S'1~O~I~; i 'Paf te doe<etsp.902iA~ ~rq/eM~)'~)" <~e pa~Ao/oyie Mto-~t'/a~, 33, rMC Jaco&. y ;~B?a!<nt_6e8 eoa6tt4~eeMseg.r~<È~éeiss!smtëM<8. p~h~ffe ~-essae.

€!f~vet!e. P~efa'c.- -S<~mté. 'EM~paaesgRMee. @K~9~!SHte. B*e~es.

MRtf~eïiea (~ea fesmMes. 'E?):'tmeBMeM<a. Beysième..Pa'éaeF%'a<Bfa. eic. j `

< 'Pr!5ff; par )a peste, ct'iY 50 sM)s'<)'ub)eenYetopp&). Fn!'M, ('.)~?.f.in'cnr, ~jazAN, 33,r. Jacob'; j j,

clin s 'Par la 2r,, riie P. ~ÓIÍs'doitLIt,'eÚ'¡'eropre1. Paris, che?, de ll;iris, 'es dip. et d el I;ét«,.n,;

chczMASSMX, iibr., 2fi, rnef'a !)'.c!nne ComC~it;, et h's princip. )ih. de Paris, des dcp. et de i'etran~

~No~A. I~.s'MA~.tBEs pcm~nt. ?c 'B-tMtTr~K!'x-N~M]M, et fnir~rppnrpr ifs rpmf'dpscht'x.t.Etjn mAmsAc~jB" f

'r~t'e/c'o~'t:<.T'ri;)S' ~iî: 2 ~fifre~, rAtt c~ttt't;6n'o~Axcr:.(~7t<)

r. ·tp.· a

F~BM :§' EFFETS PUBDCS ~Prem.Ptts P)us''Bem. u'))ci!!t<:hh!rc~ Ccrn'. Prëc.' g S )ii))F!!a<:n!WMF< ~M. Prëc~d.~ clôture g '5 ctt'hemimsde~cr. co'~s-J)am. bas.MMM.: Cours.. z 'CiïERSt~ ~n~.c~ure ')!1/30/0.tept. 96.. tl/SO/Ofrancaisanoen. 9250 Pondoétransei-s 6650 .50- J.2~septembre.)anc. ?.. M/Ofranc.J.mars-scpt. 86. Be~p<50,'OiS5;].noY. .'j tôt n-c- t~- C~MM.HypOtMcMEe. 5:i50_ -41~0;O..J.ndT. 97.)7.7.7.7. .D)folerEmpruntt855.fcpt. Bëchet. ~0. -3ti/0:'J..àoat.76</t 1114 J. ~septembre.Onc. Lecuycr.HCC. -2.2.()/0. 53. 57 50.<. 5<!

M 15 .t5~o.a&Empruntl885 fcct 97.. 8anf(uede0armstadt.7m.. 7<& ~p~.Difr.30/0,J.ja~ 3~

97,15 15 Dito. 2~-Eruprunt iffl. ~c p t: 97 'Janclue de Darmstadt;: t'10°, "¡7l'(t" ES, PU" 'lié ,D, iif, 3,O/O".J.,jan gi 1/4

] 9?c.f.nf~mh!-<. Quatre-Canatix. 1110.. UtO. Passivenouvele. 71/4

.septembre.)anc. .i.joui~nce. t00- –3f)/0.j!ihv!er. 42-1/2. 1;9

';0/0.fcpt ~J5 73 .t 7270 73 bourgogne. 950 -~etMmtër.J.ianvier 38;l/t~8:1/4 .7.

73 ? .M J.23d6cet&bro.).Cnc 73ï5 73 <0 73 1.; 3S Jou'ssHnce. ':M ~et. coupures. J.JanY :!8.t/; 38 3/.4 .i/2

~o ~r. n~' 'ehen'!n<«!cfer iVfR~.Rcc.RothsCh.J.jaE U2 M 1H 50 727~ .Dyoj~EmpruntM55.fcpt. 727B nue~~hSuisise suisse aomQ~.Emp.J.dëc. 57. _J.dëcembre.Jane. ~s, Mo:n.Emp.M!.t.J.ma).5t5

.73;50 Dt~EmpruntlS55.t.cpt.: '7S~ 7350 73.{9 7350 GraMTombe.i: 790:~ ~?°~S 89

73 S5 J.adece&bre.1aL. c. 73 75 74 ,73.7. H, ~e. ~e: ~1~ -~5. B~ 1 çDt r- 6<0. Cr~it7-oncMr.J: janvier. )cpt. 6M.. ChAtUton. 5S: -M~i:j;août~96j

1550 5 C 'd' "15"0 1'"6~' Phenrx,lmsse, l,ôts ù'\ùlriche' 110 j.

~< ~.o SS~

-Y. -.WO f. LibéËés. 1 au 1562 50 15'TO 155~a 50 le p,~r8er!l.o~e ~MO~ûlre). 625 Nouvel ~~mpi-unt 5 n 0. 67- 1,~2 ¡,

50 '{~ S~ .h~

J. luill. ,s,!t~t:¡\Nllc9" 6~ "Hl2-Of(J,fu~s()"J.janvlûr .j, 87,. ,f,

j~TO.O~MM. (ent.78.. !-eMé. 75. ;<HtB:M:tMM!« "1. 1~6750 J.octob.-590f.-Libëfës.tau29~3<i5..1270..126250tM7~ .'NtMea.. OM..fen<'Lëres<K)~)f~6;< 930.. 938.

980 'QM o~ ~\noM- Z!ftC.'V.Ionmg:10'd'act. 375.. 375. td. coup.OOf~O/C 8759-95. 350

985" 5" S~ -~ptbarg.Aet,.df375f; 140., 130 .M .M., ;A..MOf30~ 92.;0

985" 5" Jlanvier,-t~JW 82, ~TJ ~O 985, :Si e~ de 375F., 140 130 ."Id Jd. I.&Jf3O1l~ ~O

'< ~.l''nT)er,tOOf.–L)b.u29 98250.990.. 980. 990.. ~gi~s;e.t. 210.~ M H 500i40/0.5. '97~50 2 M c~e fBM.-Ast.ons anc.fept. t ?750 970 9Sr 50:970. CM~-Mpuza~ 34. ld. M./5!i0f3f/c. 490.. S ~Lib~.Ja~ 970 970,. ~50 50 P70 Z.S ~5

'8:Ja'; "C Charbàn%Uges. e.Jjari 10W 1055

830.; .C~e!'E~Act.noùv.(cpt.. 'r 830.. Belges.405. M–1855 S39:. 3i.'0.

8Je.~ 250 J.nov.–&?'3i5payes)aug9 830.. 83~60 50 82750 83.! 50 eM'zOtte. 7!f0. –"Seine. J.janVior.10!0.. ~7 50 5 ~&~r-U~ ~r; ~0 nste'?. ~O.

l~57 'J t. -Libérés. ~;u.29 lijio 1265 75 1>*5~bo Liste ci i~. 5 0;0. J. nov

i-a'au 5. J.]anY.-5jjt.-ub~fÉ&kua9l~<2b5.375t~ 275.. 259. 25. Or)6ans40/O.J.janvier.tOCO.

~X350 a50 ~9ta~~<t;ra~e..tcpt.. tMO.. t405 t4CO ttfta.. NonHu'oiT. 2CO –~ouy.J..jMvier. 975

1405.. -5 5.. ioctob.-S~f.pay: a5st~ me~iSo ItM H~ M~b~r¡y. 36/Ota5t.'J.jany.er.. ~375 ?'0., ,135

< Cohi]ai.t. 545.. J 3 O/OtSaS.J. janvier. 2!)875 3M. 1~5

~m -<M:< cpt.. '755.. ;T(!5.. 755' 765.. FitatuiedeJaBreste.. 105.. tOS-75 375 75 Rouen. J. janvier. 835. 7MM) io. J.jaiiv,–508:Liber.. ).au29 755~ 770.. 795.. 707 5H Hôte)!tivoU.J:j3nviRr. H750 50 t)750~ Kouv.J. janvier. 930. 8?0" o<Mit ,At-; a-n ~c- i!i- Ga~Ccmp.pM-isieMe. ?0.. 8.a.50, '250 BaYre59/0'J.SGpt, ,935. ~b~500~L~~ tau ~5. ~.75 ~&riL- -< ~5~ -500

au J_" J~ "J' J L¡ts miliroiresJ, ,Ilvril. 1(9)0 :5w 5m

570. 5.jr(!MnM. tf-nt 570 WO ';M.' M~ DucksNapoiëoa. 18{5R <8:!75..75 .-3(!;OJ.jauv 295.237.0 250 570. 5.. 'J.JMv.-5UOf.-aM'f;p: ~i.) 5!0: .MO~'S:: 565- »' Të)ë~aphieë)ec.tr.ique. --0. ~J JM~~ S90.3e0.< ,y y- CompiMn)cma.r!t!me. 63a' 635- t'ansa.Lyet~.).ct.lo.M). .erMtMe~.R.G.J.février.rcpt. P.i~&~et'icdustne, 7756 7S75-125 )d.30,'0. 3t)0.. 300. M9M t <'M~rM.f~; i:~ Com~.desEauY.~Janv.. 235.aM.5. PariKaStr~bourg-J.'dec. <8S75 75 490.i-95 6t3M ~f ~?~ '~S~' CMSseemdHSCh.Heter. 4HO. -.Nouées. 488.75 t!)0.125 °'' .y~iaua9 ~0 .M7:.5C .640. -6t7:50 CMsse~eeBtr!))ede['indus[ '120 MO Strasbourg:! Bdie.J.jaitv .t75-

75750 250 jE</o'aCet:eM–Jianvier(rnt. r 7~ Caoutchouctiurci. !?).OuëEt'J.~anyier. 920.

75875 875 ~SOpayes' {~~ Ccm.pagniedesOmnibus.: 9.35.. KH. ,30,'d.J..anYier,292.5f)~SO.

758 ~7~ f.259 payes, )au au -)0 760 750 -güie(Ics Omiiibus.. 935 93.1 3 0,1 j292.50 50

"M--i.' .0. ~denavieal~nBazin.7~).. Grahd-Centra).J.janv)er. M:!50'2SO.. -950 M5.. 750 .S<R{:m')e'-<<tCreno&!e.)cpt. 5735') C~ën.fieevoitu.resdepi. it75.1)750 .nottY.eUos.J.janv. 285. 985. ~0. ].janY[er.–58af.-300p.)au29 57350 57250 570" 570 C*<iesCtippeMfraT)cai'< ~97SO Rh8ne.30/0.).jnn'ner. 28750 Mn c~ ~n-~ 495 .5m Comp.frMica-anMrieiiiHe. 570 575 5 50/0.;J.jEn~er -tS5.

900.6M<MM~ctceBMfe)~ cpt.. M5.. 500.. <.95.. SSO' Messa.HR)-iesih!p6riajtes.=!S!0. LyonàGencve.-J.jaa-295 ?0.: 5.

30e. J.octob.-jOOf.-SoOf.p.~ms 500.: .enir~ricàin. 9)0 ~ei)e-NantagnM.J.jan-v. M250 -?- 5:MtMq~e/t<eM.fcpt..89~~ t9T60 8M -?5 Societeatmpspitënque. Ma. ,.i. Ch.autrichiens30/OJ.jan Nias 39125 ?5 8 75 J. janv.-560f7-N5pay. ) au a9 tf97 ? M 890 898 75;

Wo~Mco/t<t~!a~fM.tcpt

J.250t.pay6s.i,au~j:: P~ES.j. REPORTS. 7M. 5..tsT-MM.jept.. 740.. 7.!0.'T:a.. 735' ~b/OOn~uran).))! '.HWa '7;!5f) (Jta/r 7{20,a"7! .M/9{ir,prMi:à

.Sce<K~), "i.:1nprad)!un.)'.j!73.T5;; ~) ~-).(.?775N. 77, ~<)';h'prn<'h.75.i .8t'!

suaf-bnur~fit M 'M)i5'tMO;. a «)).').u*' 2i ''?1. -t.au &).

5..S~c<0'o.~Mei'.)rpt.. &t!250-5<5- 575- ~5 i.v(n.dt M)' au!5 'à. a~'Z!' <S'9..n~7;). 'y(!n.a'j'Ki'n

''°' j.l~'t.pRycs.aua9 5t'5f.. 5s5' X75'' '~5.' O'r]6::ns.f!<0 au15 'a. <iu20 .a. ~!C'dit.e!'nu:M'2'') .) '1

r.n<'M~?~(;t, Sra!d-Ccnt!T.titJC au~5 <7SOft MO.. aMS!' 21) 6{750â C.fie,S.u]S8

'°Mr6aeM&t<MM.j~anY.jcp[. ~oc.auttictiiennc.(!tt0 10 aut5 15 HM..à 9;}5.. au20 900..H f~ '.tu.. Ouest.nu 29

uS&e..Jar¡v, '1 cpt. ~3I)CÉiiiier i..dt-10 10 au 15 1. à 1135.. au-29 l~5IP5 ..à6W 15 à

crUcs patIpSprOj.'v'R'o <!(': ''Mr~Mf.'ut.fne~.

fondBt'if, sciera, et br<Y!) &it rcpreSt-a'atiaM

d'Ieurn/)FOt<~sc!'af.~etd'!HS(:'i'ij)tious.-

S 500 actions (Soit f50,000-fr.) ont ère souscri-

tes ~ardb'ei's po~r laconsti-t.ution do la, So-

Ciftë;leSt!rfemff~sf<tt<('t/r<

REStE'ST A ÉMETTRE: 1§,SCO actions (tO'.t I,3.'i0,0'0fr&ncs'

Aiembr' du Censé;! de <t,')'t'sft:'a!!Mct f~datsurs &.yHnt fait les i'poort.sdcs CMT'st'M, usincact braver:

MU.iem'c~Esc.t.nti prës'!dei!t:

If marquis c. ns NiC~ïj~t. 'vice-prenJMr .Clément GrR).MD.propri(it!HrHsu~an-; KL<viEn, ingeuicur e!i ctmf des tftintfi.: le chevalier ux scancK, meuLbrc de l'Institut;

OZOunEVKRmH;

RLOLEAU, associe de ]a Maison Portet- LaYJ8'eri6et.C'nuMitB9, t:n,MO.jf'Et',dcputë.

Oa eouscr!t et u]i Yf.se le roontant des tiens, a Paris, rnednFnubon''g Pois.f)mjit:ri' dans Jes burenux de M'<. cu\n.KS r<on'. et banquiers de la xociëtë, et au. Maus, cb.M KM, roR'rET-L.~vjGE<'tEetc~,bH!it'.uiera.

On reçoit MMsi les souscriptions et l'oa délivre des prospectus'au siège de l'administration, a Paris, rue ~e Rivoli, n6.

B~!7?!'S~7?*~T~~t7 6'?' ~!?ffM~AS

MuMoiiMâ~ Er oi'LM'u~Ma

(SOCIETE NOUVELLE D')

Raed'Ha.utevi[le,58.

L'Assemblée g'ënëra'edes actionnaires, Sxëe aulundi25fëYi'ier, est ajournée iri'ëvocaMemeht au lundi dix mars prochain, à une heure de relevée, saile Lomardelay, ru.?. Richelieu, 100.

?'&tt9t~JfE' COMPAGNtED'jECLAmAGE

L'LIIIHI~f~Litil~7e ETDECI~UFF1GEAUG Ze

ij~tjMAL~'UB~') ETDECH\t!FF~GS AU GAZ.

.Un appel de cinq /'r<!itcs par action, donnant droit à une action de c~:9M(M!<e /'rattcs entièrement libérée, a été voté par l'assemblée R'ënërale extraordinaire du '24 janvier 18a6. payable a la caisse de MM. Ed. Aimé et Ce, banquiers

de la Société, rùe ile Grammont, na 21:

delaSociete,ruedeGrammont,noa'

Le délai pour ce versemfnt ayant été Sxe au 1~ février courant M. l'<td?M!'tt'~ra[<nt'ëraw a rhohneur de rappeler à MM. les actionnaires que, faute de satisfaire Immédiatement ~a cet appel, il sera fait application de l'article.30 d~ Statuts.- Achuta et Ventes d tmmteabtes do gré & gr6. ? Hnc'~BYn'!? ~s' deux Maisons,* siA eij~BJ'mJ ses à Paris, rue de Douai, 34, et 36, .place VmtimiIIe. quartier de la Chaussëed'Antin.–S'adresser au concierge, et, pour traiter, a M. Cordier, cue.des Vieux~Augustins, 59. et àM''BEB!ERE, notaire, r. Grenior-St-Lazare, 5.

à ~rE'~JttT)'~ l'amiable, une jolie Maison

il'VENDREde à campagne, avec jardin, sise

A WUmBJ'UBt de campagne, avec jardin, sise

aPassy, rue dé Longchamps, 81. S'adresser, pour la visiter, sur les lieux; et pour traiter, à Bt. coRDiER, r. des Vieux-Augustine, 59, à Paris. t)t7 ? ? 17 OCCASION. A vendre divers lots de MijBjMj terrain pour bâtir, avec vue admirable, Suresnes et Saint-CIoud; de 3 fr à 10 -fr. le mét.,etms.isonde campât moderne à St-Cloud. 50,008 met. de terrain à bas prix; pour usine, & Asniéres. S'ad. r. du Calvaire, 33. a St-Cloud. )'

t M!~ « ~1!? Charmante propriété à ven-

-Cjl3gP~%CiNE dre à l'aniiable, en totalité

~AMfi'Hîl~itt dre a l'amiable, en totalité

où en partie, a 40 minutes de Paris, ligne de l'Est, belle habitation, vaste jardin, petit parc. rivière, sortie sur une foret, ea'viron 3 hectares. 30 ares Prix, 3§,HOO fr. Autre jolie maison et jardin, mê!ne endroit, 15,000 fr.

S'adresser aa. concierge, 18, rue de Cliohy. ` MEHOTmM-ASMERES. TERKAJ'fs a 3 fr. lé mètre. S'adr. à M. Petit, fg St-Honorë, 115, avant midi. M. Hainque. avocat, 48, ra.e d'Angoulëme-St-Honore, de 8 a 11 h. a

M & T6~I CA'))pAG'<E à vendre, & Fromen-

IM.AB.S~i:~ teau, commune de Juvisy, prés la station du chemin de for d'Orléans.

Beau jardin et~uemagninque.

S'adresser, sur les lieux, a M. Delorme. *A M~ LoRtN, notaire a S~vigny-sur-Orge. Et à M~ Mo~OT~-EMY, notaire a. Paris, rue Thevenot,14.

)~'RMEtEPHJSMMMr '-Qfl A)T ÉTÉ PUBUÈ

JUSQU'A CE JOUR,

SEAU VOLUME de o50 pages.

RÉDtGE

.surdes

BCE'JMENS aUTHEKT!QUE$, '~<yM'OMK<OMMeAM

e'MCM?t~<t!)'C,

tMoMiier.dt-M aul5 à. im29 15i'5..aMOO.. Nobi)ier.au2815.t

MAPM~t~ A TIM'~Î~ ~e''

SJS~~<i~tM~i''ii. B.Ju.~xfMË.i'. oua.

ëchati'g'er, tiouvant Convenir à une usine de h:tunorie, H:c~s.sei'io, 'tRinturcrie ou btanchic.serie, situéesut' l~riYiëM de~B:evre, commune de f)<ntiliy, sous Bicërre. S'u.dt'esser à M. Fumet, huissier, place de 1~ Bourse, 8, a P~l'is. ~e ï~?t~' M,ë)f~~J.6~reonà â i.~Mo J~ijSS mA!3Ui~ touer, itvecM dsNEuU!y,2,portoMaiUo! 0

B!M!9,:rapMe et PnbHcattema d!?<:?aea. JO~MÂÎj DES MÎNE'S, OfC'SHe~ec!a!

DE L'MDESTRŒ MtNtËRE E t METALt.URSfQUN e?tFfa)t<'c''(d;t'e<raHj7er.

Le Jettes! dej ~U'nM (3'' année), paraît, tous

'tes jeudis, sur beau papier, avec seize pages d'impression, format in-quarto.

Abonnement: Parts, SU fi' département, 23 fr.: ëtrang'er, 28 f; en Europe hors d'Europe, 33 fr. On s'abonne pour 6 mois. Bureaux Paris, r. doIaCha.ussêe-d'Antin.Sl.B j ~MRMmiE CUMNMM.' ?~me Croissant, éditeur, rue des Moulins, M8. près la rue Thérèse, a .Paris. –On y délivre les prospectus de la coLLECTt<)r< De CARÊME, se com posant de l'ART NE LA.Ct;tSt~E; les trois premiers vol., par Car.ême, 26 fr. SO; les 2 derniers vol., .t. IV et V, par PJumerev. chez de cuisine de la 'dernière ambassade de Russie a Paris, avec un travail récent sur l'entremets chaud sucre, sépare, 1.8 fr.; totaldn prix: 44fr. 50. Tous les volumes peuvent être achetés séparément. Le MUfnEn'HOTEt., par Carême, avec tableaux imprimes et nombre de grandes planches, nouv. edit, 16 fr. le Ct~tKiEM r~!ustE-<. par Carême', 1 fort vol. in-8° avecbeauconp de p~anches, nouv. ëdit. fr.; –le p.tTt's<EK

novAL, .de CarerM~vgc beaucoup de planches.

nouv. édit., 2 vo!in~S°' 16 fr. le pATtss)Ett ptTTORESQUE, par Carême, 1 vol. g'ra.d in-SP rempli de planches, nouv. ëdit., 10. fr. 50 le CONSERVATEUR, OUUVRE nE TOUS LÈS MtiNAGES, par Appert, 1 fort vol. in-8", avecnombred'auR' :mentatio.ns, de p)anch6s, nouv. ëdit., 10,fr. 6<); –paojETS n'AtCMtTtCTUM. de Carême, in-M. (il n'en reste plus 'que quelqufs exemplaires) –TRArrË nES CHAMPMKONS, t fort vol. in-Sosur beau pupier, nouv. ëdit.; le MEMtER uÉjEur<ER, brochure In 80, par Brillat-Savarin,J. Roques, marquis de Cussy. etc., 2 fr.les CLÀss'Qu~s DE t.A TABLE. 2 vol. in-8" illust.. reUës, 5~ ëdit. de M. Fayot (de 1848), 10 fr. 50 c. (il n'en reste plus qu'un petit nombre d'exemplaires relies). LacutSME ORDINAIRE, par Beauvilliers et Garême, 2 vol. m remplis de planches pour la démonstration, 4e édit. Prix 1@ fr. 50 c. L'achat de 8 volumes de la collection de Carême donne droit à une prime gr&tuiTe se composant ou de l'HY~IÈNE DE LA DtSESTMN, 3~ ëdit., 2 vol. in-8~, ou des ct.ASS)QUES DE LA TABLE, edit. de 1843. Rue des Moulins, n<'8,:a Paris. Cesa!om<t do Fends.– Av!s <t ecs.

t ff?M?~ Pensionnat et externat dejeaA.SjRMimnesgens.en province, 10 pensionnaires,'15 externes benénces nets, 2.000 fr.; prix, 4.500 fr.2° Maisons d'éducation des deux sexes, à Paris, de 1 .()(? a 100,000 fr. M. Boutillier Bemontiéres, rue RicheHeu, 15.

t jf1[?!r~B7D Débit de liqueurs recettes 8~ ~!fjL?E'H a SOir. Bënënoes moitié. Prix, 5 &i0 fr. Hôtels meubtes. cafés, cabinets littéraires, débits de tabletterie, institutions, charge' etc. `

M. Bciutilier-Demontières, rue Richelieu, 15.

t fH t TT' et VEMTE D'ACTtOKS Dt;S MtNES ET

A~HA. i FONDERIES de SANFANDER.. S'ad. à M. BER.'fÀtt.D, 186, rue de RiToU. AViS AtJX'PROPMËTÂMES de eampag;ne. On demande une petite Dropriétë à 40 minures de Paris, sur une station, avec jardin <ie &-) ares, du prix de 10 a, 12,090 ff.' Ecrire franco a M. de M. R. G.

'est adonné A TOUTE P E MOM M E ? FmEBtBRA lin BiMetde~érieaeS frMc~~ 1~ i i MMPOSË~ES~MSEMSBELA °

La. KEVAt.ESO~RËftJHA.'tHT guérit

'~â' COMBT!PâT!0~ L~ P~ les hcmo!'rhoïdes,.utautà)MO ~!g:t';sttûu, ttCi'tUM-, douleurs d'cstoinaë, g.ond<;men~, dta.rr~HU.&pnsme~, crampes, p~pHatio'ns.'migr~ne, les affections nërveuse'i et biheusM.tes marx de Hœu.r;!es Tûmi! emcns. dyspepsie, a.sthmM, loux, 'Congestions et beaucoup 'a.utres nuta.difS. C'est un eoH!e5ti"lad\:Hesa.veuragt'ëaMe que Mut ma.)a.da préférera a.uxn~'dica.mens. Lesbol~ enferManc, a.uxM'mfsdel'A.'n'g'Ie'erre. a~eols mode d'emp'.oi.seïe~ent à 2 fr.la ° bo~e!j'.uuede~i-ltvren.ng'tise(~a'an)csbrub.'

Dépôt gen~r~), rue H~uteviUe, 3S'Dppo!s à Pans: cH~Tt~o" S3 et 28,pMsage Vivienne.–j.-r. noHG. 2, rue Ca.stigl:one.– s~voYE. 4, boulevard Poi.sonnierH.–ACc~ut.T, 14. rue'de h) P;).ix. FH~M~ctE, C6, rue Richelieu.L':M-<E!. nmë.' 2*5. rue Sa.iDt-DRDis.– FAVROr, 9~, rue Richeheu .f-B.c.t.!UE,33,'rnea8;B{)!idY.–r.4.t;h i!13, rue des Pn!nt'sP6!s. Jtn'usR, ).,p!ane.de!a. Croix Ro'ug'e.– B.-CKt,HEM,p~ce YeBC&mfetru.c-SHint-Houorc, 350. Ac.ma'tB, 2. rue des M~tYrs.–T!tt')U, S9, rue du Faubour~-St-'JarUu. ~toussu. 4 ), rue LnfNi.t.e, pIm~taacieH du [ui]Hf=tè'o de-. Sh&nces. L. GOt*AS, Gra.nde-Rue. & ija.tig'ùoUM. E. Buisson, 2, rue Lêvisse, et rue deaPoissocniers, 33. à.Montmartre.–JULES c.~Roz, 44, rue de Pans, ÈBeMevUle. AD.t!RUCQ,3-i,ruedeFtandre,à]&ViUet.te. L!tME.t.UL'r, 2i)6,rue Samt-Miirt.ia. D<!)MMtdantietttesI.p~autresviUes~Franee. Nt. ii~x~ë '.OM fërjtBemeu.t les pei'j)pjn<3 a<~adiïes à ea.faire ~ess&i eUes a'ont rLeD à redouter.

~tUn* Tins & la bou-

ft tj'it~Ï~m'f.teilte, n'ayant qHeëSOtfr. de

]overetr6:iu~u]tS.OOOfr.'l':i!!a.ir<'3parmo'!S

Prix !6,00i'f. MM WulfetC'MojHmM-tre,)Gl.

~!im'M~,fe7~ t~~S!E)'~SJ~

~h~M.~iia ET M~HM~SUISSE.

{il~j~l~ljj~ ET SSE..

D. ux ne~ocja.ns suisses, etabiis dunsune localité du canton Schv.'yz, au pied du Mntjt-Ri.~ht, cote sud. se eharg'eniiest pour une bonne in'.i!sou, et contre une commission modérée. de i':ichatde fromages et beurres de Suisss., S'adresser nu bureau centfiti de pubheite et c!e corr sponftnnce pour l'Allemagne, 5, cite Bergère,

n,a.P:u'is..

~~j désire trouver un associe avec apport de S~n 100,000 francs pour établir une maison de sa'ntë ayant toutes les chances certaines de réussite'. Les avantages seront bea.ux.–S'adresser à MM. Wotf~t C", rue Moutm.irtre, ICI. j~ désire un intëresse avee 25,030 fr. 'pour -ti donner de l'extension a. un ct&bhssement industriel tjn ph~iae activité, donnant dfja 12,000 fr. de bsnetices nets pur an. Beaux avantages et bonnes g-aranties. M. Lemaire, Faubourg Montmartre, 10. P(m CMJSE M MÂMDi~, on v ut c~d'erun bt'au et oon Fonds de Gom'nei\'e e de Bonteiiles, Bouchons. Cires, Verrerie et Faïence. An'aires 60,000 fr.Bënsaces, frais payés, G à 1 000 fr. Prix 12,000 fr. M. Lemaire, faubourg Montmartre, 10.

R'BJ~fT~ 6~M ? 'Ti'T~T NeufviUe,

i~ Il 9t~911t~~1 vDeueDewtix.

MSi~ i N Smi L i Ai veuve DHaMX.

Les héritiers de M" v Desaix, née de Neufvilte. sont priés de s'adresser a M.s bESCHAR~ES, note a.Cha.rleyilie, pour a.a'aire qui les intéresse.

9~7~ )CM 17!~î 5 B ~T~! cBEDiT

i~MtVvv ~M. lilit a MHa.Fo.GtEn nE FR~CE. Tirage d'i 23 mars. NUMEROS de lixieme d'obligation gagnans au tirage à UN franc. S'adresser au directeur .du Coifrt'fcr '.<e M BOM~e, 8~, rue Grange-Batelière. « tndM8tr!es.– ComBuefce.– tnveatiôt's.

f~I7 !7~ T'C FonTs contre le vol et le feu, rue

COFFRE4S«, Saint-Honoré, 2W. PAUI~L,àN. »

tjvi'l'it.~S'' Saint-Honorë, 3GG. rAUfiLAK, ')

~s8EMCE TUf~?'' & de Lescure, r. de la Harpe, Cdecafe Nm&!Lf4 89.-Exposit.de 1855.-Cette essence procure à la minute un délicieux ea.ft' au lait ou à l'eau. Le Sacon de 15 tasses, 1 fr. 50 c. 'Dépôt chez Voisin, .pass. des Panoramas, S3. « L~ BO~GtE'DE L'Em~EJ est la seule bougie en Fra.nce qui ait obtenu la médaille d'honneur à l'Exposition universeUe de Paris.– Dépôts ehez les principaux épiciers de Paris, des dëpartemens, et 15, rue Vivienne. B

? IrTTe s C~'R S~M~STCO S Mastiques

Jui.iO~ i'ijUMO~tiKi.Bmo fabj-ique de Charles Léonard, r. Harlay, au Marais, 11. 'NETTOYAGE BES TAC~iS Sur la soie, le velouEs, la laine, sur toutes les eton'es et sur les gants de peau. par la

t)f!7fM'~inMt!' f~t t tC'lfr.25]enacon, rue

r~lg,.l~g ~lfr.251e flacôn, i:uè

Sl~i~ii'~ULLAa Dauphine, 8. Paris.

~datffe (i t'.Ea'pos:Hott M~peMet;e. <( n~HTri) <a ?~e de la Société photographiHFK.i i.a.nLi i 8 que, 18, r. de la PépinièreCes Portraits pRints à l'huile, sans aucune altération de la Photographie, ont la douceur du Pastel, la finesse de la Miniature et la vigueurdel'Huile.

Portraits stërëoseopiques peints a~ l'huiJe. a g~OTÂSSES.o~ECMË~au Pcrcoioi~ttr de !oSt«Mtt. surle boulp.vard (entrée de la r. Richelieu).–Cafë pur, chaud, frais fait,'?5e. le litre.–Déjeuners ài'anglaise, à. 50 c. t~ocatittns.

'.<

a ?~?'!t7~ tB~T97t o~ Appartemens

ALO~IER; »OT~L dont Appprtemens

A L~~IuM.t N~ i ~L dontunpour âmbàs

sa.deurou autre not.abilitë.r.de l'Université,43.B

S~ j~af. Bearse âè Paris ctBB!!etiÈ6BaBc!erdBY€!id~ S~fe~rier i~S. a

2 ~~Mr~Les démentis ëchangêa~ntre le Cott~«tt!<<wti~et l8-<M<ayaient:jetê un,peu:d'tndëc!s:ona le Sourse. Les aS'~ires ont CM. plus calmes .que ces jour.icraiers.'Ii fe prësëntaitquelqqes bS'rëssurI& rcnte.j. ~nais le cours de ~3 est pour le moment le point' d'arrêt .16 la~bftisse. -Les demandes reparaissent de .tous côtés, ~ès que l'on arrive M~ 10. Majs.lecoHipta.nt était'faible, et l'on.de''uandait à. fairereporter sur le 3.0./0. a 80.et & pour :ah mars. La rente 3 0/0 ne faisait, au début, que lo'a a

1330.

.Oaafaim 18etl'on~a;.rêp!'is..a~3 2S..La rente tl'a~ëprouve par conséquent que .ISc.'de .~ariatiqn. depuis le :debutdu. parquer. L'essor des. cours est.entraYe par .les, .positions des primes qui ont ët~ négociées pour la nn du [noig. 'r.~ -Les Coasolidës;an~lais sont Tenus une 'première foi& 'n'eo 1/8 de baisse à 9.1 1/81/4. La seconde cote arrivait avec une nouvelle baisse d~ 1/8 a Ri 91 t/8. Une dépêche phvëe annonçait que 'le nouT.el"emprunt de 5 millions ster)ih~avaitéta~a<(jug'ê.àu~cour8dé90.- -H n'y avait qu'une seule J soumission, les capitalistes, anglais s'étant tous groupes.autour de &iM. de Roths,chUd iréres. IIest probable que cet emprunt sera nëgo~eie eps.jonrs.ci avec 8 et 3 0/0 de prime,ce qui déterminera delà liausse sur les Consolides.-

ILëSTaleurs diverses sont. calmes." On recherchait le .Comptoir national d'escompte à 6SO, par suite dt: la prochaine émission de Nouvelles~ actions au prix'de 05':). 'Le ebtataissaire -de la Bou.rseapris aujom'd'nui'ûhe ntesure.d~prés laquelle il est défendu de .former aucun igroupe'pour.n6gocitr.d''SA'a!éurs industrielles dans .'e carre se .t.enncnt orfîinairement les banquiers. Le Cr<*dit.mob)lier était calme, muis a un cours un peu piusTcrmequ'hiër. Il ëtait~enu de 15n5 al560. Les rëalisaticna Oht continué sur- 1RS actions des chemins de fct autrichiens, ce: qui les' a fait.i-en'ograder à ~U:.mais.lesoa'res4tatent: rctir<~e8n cec~urs.et l'on ~6 .~tiltuait les achats a pume pour'le 15 du mois prochain. i ~Le Klarohé dea~chemiBe de .fer était fsiole.Toutes les lignes ss n '~osiaient avec un peu de -baisse sur les cours d'hier. On a fait encore, des achats considérables au début sur les actions do .Lyon. qui'avaient repris à; 1M5. On parlait toujours d'une emissionds nouvelIfs'MUpns~maislaf.rtbIes.a des autres.'valeurs a arrête la tendance de cette iigm', qui a rétrogradé à 1255. Les tiotipas.du Nord. étaient catmes'. de 980 a :,83 50. L'Est Meiëh 6t-:ittrës Mble s. 8'?~ uO,~etrEst nouveau

a S M.

!j !.f- Oran.C<'Jtt!'a! se *& !< 'f'iu: a f'S3, 0)'; d~t.~ '!p

'i.ouy~t '}'tn- ':<(i':i~ti~<.c .'cu'jf.çait.. n .tb, cm~çi: d!.

cbeM'nf!e!'ercjSttr:<K'o-i:-e'"

L'Ouest a, Béchi de 8"?() a 885 le-Bexiers 'êts.it~hcore ic-'j

nu a. 5CO. 1

t t~î~tt t~Ca'? plâCe'delaËour*

AM~ESU~S~9A~se. IS, avec un bail de 5 ars, boutique avant 10 mètres df façade et use sortie sur ht r~'e Frydeau. 13 Nouvellement MStaurce ftp:u'f:uteii)ent agencée pour bureaux et c-tisse, sous-so) pouvant encore servir de burf'KUX ou Q(* tnsgasins avec beau calorifère chauff'Hnt tontes les pièces. S'adresser -a MM. N. Esttbul et Bis, ptacc de la. Bourse, i2. a TJMIE' !a fabrique de papier continu M~Mt de ~'il.artuengo. dans la province de Tt.rnei (Aragon). Cet établissement posféde do.uze cylindres. dont huit sont nms par des roues hydrauliques et quatre par-turbine. Les machia~s ont cté construites par M. Cha.pelle, de P~ris. Il posi-ëde ui~e laveuse mue .par une roue liy'irauliqus, une chaudière a. vapeur, un atelier d.f) satina~e et de giaça~e, un atelier deblanchisserie à ):t vapeur, ainsi que des aioliera de menuiserie, serrurerie et corroyerie. Ce~ établissement est't) es b!en situe, eiftoure de fotëts et de tnines de charbon, ut place sous U)t climat tëmpërë, il a constamment de l'eau, qui est presque toujours ctaire. Les alimens du pays sont sains et a, bonmarcitë,Ifs einiîonsde chnnvre etde lin ne manquent pas Cette fabrique occupe. des ouvriers inteUigens dans la partie et _dout le salaire n'est pus très élevé. S'adresser, ponr toutes les conditions, a Madrid à M. Manuel Ledesma. plaza. del Progreso. n°JL8. °

fM ~MS~ T'T%Ï tS.SN'MKWT ~o'

uHMa~iAMLtMMi&~i ou a

vendre compose de deux bâtimens d'ha.bita.tion, grande cour entourée d'écuries et remises, rue deDunkerque~S.al'aris. Pt~~tres eB change.

~liE Tï~' t4 ~MD7Mïf7~C Mjt StT'HC

t< iF.AnMa~~a MAHii'Mi'.o t.T.BARBEYETC'At'An!S.

Depuis le l~r février 1856', la Compag-nie'dessert Jes deux lignes dR r'atpara'so et /.)ma, au moyen de (t'mfe po<ifMe6o~i;-c~'pp<;rs neufs ne 700 tonneaux. qu.i panent rëg:uliereme))t du Havre <o:M !M ~t?i~< j'~t~ pour l'un et l'autre points, aux épeques ol-dessous

VALPARA1SO

Cn7!<i'm6o (clipper), 10 mars Hxp.

Catiao- (clipper) SO mars Sxe.

Départs ~Micatts

SOa.vnI, 10 mai, SOmaî.

20jmn, .10 juillet, 30juUlet. LIMA

.Pa<M<ft (clipper). S5 février fixe.

So!<)'a&~<t (clipper), 20 mars nxe.

Départs SM'oaM:

10 avril, .30 avril, PO mai..

10 juin, 30 juin, 20juj)jet.

Les cbargemens sont irrévocablement clos trois jours avant le départ.

-~foms d'es trente clippers c/e<es <!ttd!< <!rc!'ce ` <~M mers (tu Stid

Le Cfv'M, L'AIpta, L'Arëquipt. I..e B"~ota, Le J~va, Le Goleonde, Le Madras, L'Akiab, Le Santiago, Le Padang-, 1/Arioa, Le Coquimbo, Le Copiapo, Le Pisco, Le Sama~ang, Le Chmcha, L'Istapa, Le Guatemala, Le Panama, Le Quito, Le SourabHya. Le Batavia, Le Guzco, Là Chuqu~aea, LeCaIdera, Le Gange, .LePondichery,. Le Sumatra, Le CaUao, Le Costa-Rica. Tous ces navires ~ont neufs, d'une très grande inarche et possèdent de vastes et bettes installations pour les passagers de 1~ et de 2'"e classes. S'adresser, pour fret et passagers: Au Havre, a, MM. Th.' Barbey et C~

A Paris, .au. siège de la Comp", r. Drouot, SO, ALÎWRPC~ r.unMAmi.M. Premier navire en partance, départ posait dans le courant de février, ~Le navire neuf espagnol

.âN~Ma, capitaine ~r~taca,

du port de 489 tonneaux, en ce moment dans 1{

Au moment le percement 'de l'isthme de S.<ez et. lit guerre en faveur de la Turquie ramenënt-l'uttentiou vers l'Orient, le volume inédit du R. P. Laorty-H~d~i, intitule: !'F?e)/p<e. aura. un grand RURC~s; qm d"pnsse!'a. peut-être celui de {<t~S~!e, du i'nëmH :iu).eur, parvenu &sa40~ëdition.–QaMtd OH songe ~ne ce bel ouvrage est donne ~ra<!Spar lit ~otert'e~e 6ttK/'a!'s(t?)<;e dMT'as&of'tf'-Cen( pour un billet de 5 francs, pot<t'at)< t~~K'r 9H,<0 yrane~,il est impossiMe'de douter deTempressemeiit public.

Pour recevoir les 6 numëros delà. fo<<;)'~ <<t< t'OM ~'ar~ttt, plus r~p<e en prims envoyer autant de fois 5'fr., à M. Bolla-Las~!Ie, agent gcnëral rie ta 'f)-«; <!tf T'aMTi'ar~nt, boulevard. Mouttnurtre, ë2. qu'o'.f .)R!-ire de billets. –A.dr<:s/er 1 fr. 50 c. en sus po'u' l'uffranchissement'du volume.

<p~.a~ ~4FA~T?~~7y~& ~t'jE.rt!otf«<)*<M<tff<'M<'<i'ef~e <?<-<. g

~!r~c;tfMftf<cr«p~r~MprM:~Me!fc!ro-eAtmt~t<c<, PAVtLLOM DE HA~OVKE S~, 6oMfefaf<<?c*~fG«e<M, ~j!,

m s ".D m"T s

ETt:XBOSM!OKfPS~B':ABrBrtTBDEt.AyABat%U)6,

1 C H- C-n R-l BT. OF L ews~a L~ "mr~ ~0'-m a

't' -1--e £ 1 CI

.& Y .v_.

Cégte dea Ammonces des s~aMds JearManx, miaee de ta B~MMe, N0.

Docii- <<M ~o~pMHTa. dans le couraSt da Tc~ri~' ponrtaditedt.atination. S'ad)'e.~er,pourfretetpassape: ~y.!M!-M.')t.a~T.AtcM~;

/.<M')~)0!, a ~W.et.'Jff/M' e.~ OoeastaNs Scnbtea. Chev&mt et Votâtes, ( j< VENDRE, 66, faubourg' Poissonnière. Berline A dd ~p::stf, pettt Coupe etCheva! 'bai. Tfa!t<!s <le !S<!(tcctae, RemëacB, Ce<)M<;<iqaes/ ~9'7Tr~WT?~i~C (rrfUtc cM d'urine ocea." n~ 1~ B~ sionnëes par les rëtrëcissemenstlel'urèthre. Traitement curatifet prë-sprv~tif de ces ati'f.etioB~, constate paf ~0 uns fis pn'tiquect de succès. p:).r le Dr Dubodchet,.10" edit..5 p.t Cf)-de 1 a 4 heures.lG.rueTaitbont. a rt a Nm a~Bt ~r 11 de Bu~eaud, rue da, !mitiHE ~M~WAL Chercëe-Midi,, 5. Is !:tcon,5 fr~ a\'ec mstr., guérit rtmma.tismeK. pa.ratv.sie, goutté, impuissance.-foul~re.–Dépota ~von.JFayard; Nantes,Duche.sne,).Meu.H! Ttnnnin~ bordeaux, Moure,pharmaeieM- IMS~tTS D~~i~E~' ~p~roMi,'c.< par r~cO[Mm<e <t?)pef<o!e de mettec~e, Pourlaguërisbndes M.~AniES co~fi'AGtHUSES,. nAftTftEs. sctiOFums. 24 mille francs de rëcom-~ pense ont ë)ë votes à l'auteur.–A Paris, rmt Saint-Honorë, 374, au !< –Consuit. gratuites, trait. p!n'corr.(a.a'.)–Dëp6tda.nsles pha.rmacies.< ft~'7~?S~~J t'KfttiH~fi' des Paies Couleurs, }< Hij~M~i~ suppressions.-maux d'et-tomacj pHi'tes, faiblusses; par le Chocolat ferrug-ineuxSo~met. seul approuve et rëcompp.nsë a l'Exposi' honuniveMelte. 1/~ MI.ofr.Boîtede bonbons, Sf f Pha.!m..Co!mc<, r. N~-St-Merry, ië.Paris.(Ëxport.

f'tH'§S~s paies couleurs, perL'es,

~t~~?~11 des pales couleurs:' pertes;

U sJi'<mSvi~ suppressions, an'aiblissemen?,

par les ptH)LE9 ME r:toTËt;<Ë FEtunw, de LEpRAT, pharm., rue Montholon,18, à Paris. PO~MAMS VÂMS~ ~.r~~ ehuLe des cheveux, r. Sc-Antoine, SX', à-Paris. 0 ~~tI~a'6~K'S a.!gusouinvëtëres.gu.6- s:

i~JUJiMA & sô~RO !is par un topique.br. s.

g. d. g., après exneriences dans les hop. de Paria avec gd succès, et rapp. de l'acad. de mcd. a M.. "leministre. R. St-Ma.rhn, ~10. de 3 a.5 h. (Â.Sr.)' S!ROP iNcisiF DEHARAMB~J~~ Soixante annëes de succesprouvent qu'il estle meilleur remède pour guérir les rhumes, toux, catarrhes, coqueluches et toutes les mal. de poitrine, r.St-MH.rtin, 32],, et danslesprinc. villes~a

~r~TT)) a s~'tf<in~eB1f!fI7VTr's<Ht9)'

VJiLLA !) ~(j()!.)~Mm~~ .t ~CM~ .<~KC e.e'ert6'f'd!'H, HUE CUATEASBRtANB' 18,C~Mps-t~sees,.P<!r's. Cette vil! a, fondée en 1843, par M" Renard, lauréat de la Facuitede Mëdocine d& Paris, e]eve de MM. Paul Dubois. Lisfrano, etc., sous le patronage de célèbres médecins accoucheurs de Ja capitale. On se chaj~e spëc. du placement dë~ enfans. Reco.t lesdamesd:instôu[gslespositiuas de fortune', domestiques anglais et atlem. Con- suit.-1. les; ours dela4h.,etde~ à. 9 h. du soir. MAtsoK DE s~iSTÉ poutt DAMES, rue Balzac, 'n<'8. Directrice. ~Renard.

B~~J'TC t f. perfectionnées, sacs crochets

~PE1~ Q;S t9 c~ nupivots: Deuts infiltéc:~biea,

MË.~ &.0 A m pivots. Dents inattéra.ble?.

gHi'antieslO :~ns.o'otHG~v,iT!odecin dent.,pas. Vero-bodat, 33 (ci-dev. place du' Palais-Royal.} a

'T'tfnti'S t1V)~!Ni~S'

1 A'UM! notJSSEUn. MmBM~tIviSAGE.

Le niT'AtTnr)!EHQCE .(6'' année), enlève, ott lesait,eapeude)ou)-s, les taches de rousse~, ain~i oue cefles provenant de grossesse. Etenan de 2/3'a 3/4 d'eau, il donne et conserve au visage iepius'bRi incarnat, puriae l'epidermedesda.rTres, rougeurs. et'[!orescenees,rtigositës,d6trui<! Je"-ermedesephélidos, dissipe les r~lesprëmat. F)acoa:5f.MaisonYtE~boul.St-Donis,2ë(AS.)<

pm FRAM~

ivuM de S~: a&mi9MM

-A~~MME;'

BB B~. S5'&5 @@ E? @N'B~ SS'.

ET LA CHANCE OEPQUVOtH

.UIG NEl\J9!O~O..FR.

Le chemin de fer sarde a Bechi à 58C,. mais il y avait beaucoup de demandes~, ce cours. 3 /t<Mres. Les aSaires ont j'épris de l'activité. a.Ia Nn du. parquet. L~ spéculation,, voyant, que. les cours oaraieiit miH grande rësistance a ia baisse, a. recommence ses achats.. L'' rente ëtait~demaBdëe ala. cI&tu.re,'de"!3So à f!3 40. Les cbemins de fer autrichiens oRt remonte a 900. Les actions de Lyon gtaient.demandées, a 1~S2 50. Le Midi & repris à'no le V-fcfor-Emmanuel'arBlHontë deola a SS5. CAaK~eN.–Londres, 25 35 "/<. & vue, 34 00 a/o à 90 jour! ;Fr&nc&H't~212 & tue, Kl'01/2 &.tM iour' AS!St';rd&!r 8131/2 .& s-ue, Sll 1/2 a M jours; Anvers, m. B/H_~vue, Mo a 90j.BerliB, M* N/H a 90 j.; Hambourg, 1881/2 àvue. ië6 l/4a 80 ].Nap!es, 4'72â vue, 467 l/2à90 jours, vier~t., <!39& S8~ P';terabourg', BMB/B&j.; MM'rid. 5S7\1~ &ya.3,S281/aà8C~n?)e.. 'AM._t~HJYB.AY. BejBBSES ËTRANeËnES.

M 'm'

Dernier; Prudente ë s

cours, ciûtuje s S

ça

t.Wt!,2tMY.3b/8at.. 7350 H. m

–Soc~t.eauh'ictuao.ne. 9f)76û- ?1.85 ,~G 6 M".

-~on. )iBo ~i3.50 t760'

MtHss)u.E,20Mv.-30/()a~ '73.-M! 7~.20 s~

–Soc~teaut.nchienne. 8JO 't'5 '1,5,"

–Lycnaterme. -t255 1255

!soRMAux,2i)te'3&/8ate M 60~ 73~90' 'sf)

--?" MM.. MM..

Lyc)yl 2~ 3 ~J'O à te 73 60 73 90 ,,30:

-LYOn. 12.5c~1 :12~5' ¡.5,

.Mtd.atermq. 75873' 76:iML.j:7!0 –SM.jteautnch.atMme. 9M..j 805, ~.L5~.

î,~x~ar 41 fé:Csn~alidéa~911(d 3'8 i90 9,d T/B 1 Q J

t.oNBBM.Sl M-ComMiid~Sl 1/t 3/8 30 S/.t 7/8 '1;~

StO/Oe~gtMt!- '03/4 '33t

SO/OUi~rë. ~5S '3378. /"i~ C~m.f~ef/'rancaM.Nord! 883 i &? )'5

-Est.97: R6) ..JM~)"

nour;i 8d0 '1 8f0 110 .L.

–.nouv.' 8M.. 8i0..4

OrM~tts.27a.. t250.95 in5

~v. ? 4.

h!obaler autiichi~n ~~pn Iî&1 i~oi Î;5

.-Mobmerautr~ctxen B!)7 .7 y'

–ChetUiMM~trichieus. S7. 'aMi3'a"

Oha~ë sur t'M-is: '.m;3/4' l;3. r't' T

fittr.I.endrN'19..M )<!M' i: Ai

MM.)s,:OMv .H/?.i ~t,3 n23~ !<)'

MAXc'OM,ËCfey.5t'/6.! 795~ 0 7~ 'f")'c'

¡¡1I.A:<iC!ORT,O .I Difr: 7i t B 7i 1 ~8 I" p 1 F

"46/6.' 7tfa 7: ta <)'

BRt.H:BS.2tfëv.tt,'S' ~78 ~?'"<

't-iYM3.°)tt- fl,r -4'S' 9. M:ij i

t~K. .i. '~5 .6 H. Ë

K~i).)'.). ~ja :b '.g a

~Ji4:l. 4vt5~! i IJi~ [ r i'.[!, L ::5 r~ 3 (J ~.G~ û.. 3i d ry lii

.!t!irHre. X!SO.SJ70;~ so; a

.i b .1 ;I~y a ~l 9f1 ¡" 23 r0' "~0 'y.

4

r~s.-ImpFiBMrle SERMBRE et C-, r. McEtmarire, iB~