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Titre : La Croix

Auteur : Groupe Bayard. Auteur du texte

Éditeur : La Croix (Paris)

Date d'édition : 1929-09-28

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343631418

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343631418/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 28 septembre 1929

Description : 1929/09/28 (Numéro 14288).

Description : Collection numérique : BIPFPIG33

Description : Collection numérique : BIPFPIG87

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k412555r

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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ADVENIAT REGNUM TUUM

Samedi 28 septembre. Saint Wenwslas Dim. 29 sept. S. Michel, archange.

Paris, 27 septembre 1929.

La Journée Le Pape a reçu vendredi 1 500 Jocistes belges que lui présenta le cardinal Van Roey.

-e

Jeudi s'est tenue, à Rennes, l'assemblée générale des pères de familles nombreuses. On y a notamment flétri l'Ecole unique.

M. Schober, préfet de police de Vienne, a été investi officiellement de la charge de chancelier autrichien. L'opinion publique est satisfaite de ce choix, qui met à la tête de l'Etat un homme énergique, incarnant l'ordre et la légalité.

?

Avec l'autorisation du gouvernement britannique, .la Banque d'Angleterre a élevé le taux de son escompte de 5 1/2 à 6 1/2 Cette mesure, prise pour arrêter l'émigration de l'or et amener son retour en Angleterre, se justifie aux yeux des pouvoirs publics parce que la Banque a perdu depuis un an plus de 40 millions de livres (près de 45 milliards de francs) de métal jaune. Mais elle a produit une fâcheuse impression dans les milieux commerciaux et industriels, qui craignent qu'il ne s'ensuive une crise, d'où découlerait une accentuation du chômage. Le taux de la Banque de France est fixé à 3 1/2

Jeudi, deux tentatives françaises pour le record aérien de la distance en ligne droite ont échoué, mais, vendredi matin, Costes et Bellonte sont partis en direction de la Russie, à bord du « Pointd'Interrogation ».

Le 656 Pèlerinage National en Terre Sainte

Le directeur du 65' Pèlerinage National en Terre Sainte nous télégraphie de Constantinople, jeudi après-midi

Excellente traversée pour le retnur. Après la Syrie, nous visitâmes Antioche, Rhodes. Ephèse et Constnnlinopie. Nous partons pour L- P'nr. tintés toujours bonnes.

Olivier.

«M~-

Lire en deuxième page le compte rendu du Congrès missionnaire à Lisieux.

La santé de Mgr Leynaud. Mgr Leynaud, archevêque d'Alger, dont l'état de santé a donné, pendant plusieurs mois, de sérieuses inquiétudes à son entourage, vient de quitter la cli-'nique de l'avenue Pasteur, à Alger, pour aller achever sa convalescence et se reposer dans sa résidence, à Saint-Eugène. Nous nous associons à la joie du clergé, des catholiques algériens et des nombreux amis que le vénéré prélat compte tant en France que dans l'Afrique du Nord.

Le service télégraphique de la Cité Vattcane.

Le cardinal Gasparri, venant d'Ussita, où il avait pris quelques jours de vacances, est revenu jeudi à Rome. On croit qu'au début du mois d'octobre il étendra aux particuliers l'usaje du service tétégraphique de la Cité Vaticane. qui était réservé jusqu'ici aux télégrammes d'Etat. On attend d'un moment à l'autre la signature des conventions pour commencer le service.

La Cité chrétienne d'après les enseignements pontifîcaux par HENRI BRUN

n Sous ce titre. M. Henri Brun a groupé suivant w.t ordre logique les textes des Em-y' '̃̃̃> pontificales relatives à Tord: •̃hrêtieu. Il fin a fait un voliun facile consulter. Tous ceux iji. ;vssent aux questions sociales seront reconnaissants à l'auteur de leur donner cet excellent instrument de travail. 11 leur pet'mettra d'épargner beaucoup de temps et de se

:.s difficulté une idée écise et

diftlcultt' um' idée Saint-

ai' l'Pns<ia:r:r>iT)ent du Saint-

:Quf lire juillet -août \929.> «ON'NK PRF.SSE. ~h RIT J)A\ARn. PUO-VliV

(1" Un volume format 20 X 13,

63* pages. Prix broché, 9 francs franco, 10 fr. 25.

Conférence 1 et compromis Le gouvernement travailliste anglais, en préposant la réunion prochaine d'une « conférence concernant les armements navals (c'est volontairement que je ne dis pas le désarmement), a fait savoir que son accord avec les Etats-Unis ne saurait être applicable qu'autant qu'il aurait reçu l'approbation des trois autres puissances maritimes ayant participé à la conférence de Washington.

D'aucuns ont fait remarquer que cette manière de procéder permettrait de rejeter sur la France, l'Italie ou le Japon, l'échec de ce projet de réduction, annoncé à coups de trompe au début du ministère travailliste, et qui fut transformé, somme toute, en un projet de superarmement au moins en ce qui concerne les Etats-Unis.

Nous ne voulons pas croire à tant de machiavélisme, mais s'il n'y a dans les accords anglo-américains qu'un compromis sur la parité dans 1<: tonnage et l'armement des croiseurs, les Anglais ayant fixé euxmêmes la limite inférieure de leurs besoins, je ne vois pas pourquoi Français, Italiens et Japonais auraient à intervenir et à approuver 1rs chiffres reconnus indispensables pour chacun des deux « gros », les trois nations, « parentes pauvres », n'ayant ni le désir ni la possibilité d'atteindre ces chiffres.

En fait, et nos voisins ne l'ont pas caché, nous allons à un nouveau Washington sous les tutelles angloaméricaines. Ainsi le Japon, en faisant connaître d'ores et déjà qu'il estimait ne pouvoir descendre audessous du 70 pour 100 du tonnage américain, en ce qui concerne les croiseurs et qu'il refusait de s'associer à un projet de suppression des sous-marins tant que la marine américaine conserverait la supériorité des cuirassés, a agi très loyalement, mais aussi très prudemment. Certes, à la conférence proposée, il ne fera pas obstacle au compromis anglo-américain cependant, il réclamera, pour assurer sa sécurité, un certain tonnage de croiseurs, évidemment inférieur à celui des EtatsUnis, mais dépassant toutefois, en pourcentage, les trois cinquièmes acceptés par lui en 1922 pour les cuirassés.

Remarquons que c'est le chiffre américain qui est pris par les Japonais comme point de comparaison, at cela nous amène à dire qu'avant de réunir une conférence générale, il serait utile de tenter entre les gouvernements qui y sont conviés, ainsi que l'avait d'ailleurs conseillé M. Gibson à Genève, une série de compromis bilatéraux entre puissances dont les intérêts maritimes se trouvent, sinon en rivalité, du moins en présence les uns des autres par les contingences géographiques, économiques ou autres.

Le maintien de l'Entente Cordiale, au temps du Cabinet conservateur anglais, avait permis déjà un compromis franco-anglais, devant lequel les Américains ont bondi à cause de l'épineuse question des croiseurs. Celle-ci étant, assure-t-on. réglée entre Anglais et YauL."s, pourquoi ne pas reprendre d'une part des conversations directes entre Londres et Paris, pourquoi :;• pas essayer d'autre part de poser entre Français t't Italiens les bases d'un autre compromis loyal et dirigé vraiment vers une diminution des armements ? Si avec cela le Japon de son côté s'entendait directement avec, les EtatsUnis pour établir entre leurs exigences respectives un accord également, de bonne foi. alors les travaux de la future conférence de Londres s'en trouveraient grandement facilités, alors aussi pourraient. être évitées des surprises comme celles qui furent réservées on 1922 aux « parentes pauvres » venue? à Washington.

Vraisemblablement, la conférence n'aura pas seulement pour but de faire approuver le règlement angloaméricain de la question des croiseurs, on reparlera sans doute et du tonnage global des flottes et de l'use des navire et des dimensions brutes des cuirassés et des sous-marins de haute mer, etc. Quelle que soit en tous cas la bonne volonté des « cinq » pour réduire leurs flottes, ils ne pourront négliger le fait que nos voisins de l'Est, se constituent maintenant dans les limites du traité de Versailles, grâce à une technique supérieure et à force d'argent une Armada si robuste et si perfectionnée, malgré le petit tonnage des unités qui la composent. qu'il serait fou, pour nous comme pour les Italiens. de tenter, en cas de conflit, de lui vouloir opposer des cuirassés d'avant-guerre et moins encorp. si réussis et rapides que soient dans les deux pays les unités légères, les croiseurs de 10 000 tonnes les plus récents.

XXX.

Avant te finis de S. En. le cardinal Dubois i

.0 s. Dubois 1

Le défilé de la foule. La foule continue de défiler sans arrêt, même entre midi et 2 heures, devant le corps de S. Em. le cardinal Dubois, autour duquel prêtres et religieuses continuent de prier. Depuis ce matin, le visage du vénéré défunt a été recouvert d'un léger voile blanc.

Une lettre et une ordonnance de M* Crépin.

La Semaine Religieuse de Paris publie l'élection de Mgr Crépin comme vicaire capitulaire. M. le chancelier Wiesnegg a été nommé économe du diocèse.

Dans une lettre au clergé et aux fidèles du diocèse de Paris, Mgr Crépin rapporte avec émotion les deruiers jours du cardinal Dubois et en quelques traits esquisse l'image qui restera du vénéré archevêque de Paris.

Mgr Dubois avait si bien justifié la confiance que Léon XRH lui avait témoignée, en appelant le vicaire général dH Mans, qu'il était alors, à l'évêché de Verdun, que les trois suc- cesseurs de ce grand Pape lui ont donné, à leur tour, des marques écla- tantes de leur estime, et qu'ils lui ont confié les charges ou les missions les plus éclatantes et les plus délicates. Vous savez, N. T. C. F., que je n'ai pas à vous le rappeler vous en avez trop d'exemples, et des plus récents, pré- sents à la mémoire, combien votre archevêque était attaché au Saint-Siège et fllialement dévoué au Souverain iPontife. Appelé dans les conseils des Papes, qui l'honoraient de leur amitié autant que de leur confiance, Il eut seulement l'ambition d'être un fils soumis de l'Eglise, et rien ne lui tenait plus à cœur que de multiplier les témoignages de sa déférence envers Elle, qu'il s'agît d'observer religieusement les prescriptions de la liturgie, ou de défendre la doctrine, comme en témoignent les communiqués de son Conseil de Vigilance, ou de faire respecter les décisions disciplinaires du Souverain Pontife et des Congrégations romaines. En môme temps il vérifiait la promesse du Sauveur, qui a entendu lier le sur- croît des bénédictions temporelles à la recherche primordiale du royaume de Dieu, et il eut la consolation de rendre des services éminents à sa patrie, rien qu'en accomplissant fidèlement sa tâche d'évèquo.

Cette lettre est suivie d'une ordonnance dont nous détachons ceci Article premier. Dans toutes les églises Rt chapelle? du diocèse, à un jour i différent de celui 'des obsèques, il sera célébré une messe solennelle de Requiem pour le rrpos de l'âme de l'Eminentissime et Ht'Vérend'ssima Père en Dieu, !Mgr Louis-Ernest Dubois, archevêque de Paris, cardinal-prêtre de la Sainte-Eglise Romaine, du titre de Sainte-Marie in Aquiro.

Les ohsèques auront lieu le mardi 1" octobre, à 10 heures, en l'église métropolitaine. Le bourdon et les cloches des différentes paroisses annonceront la cérémonie la veille à 6 heures du soir et le jour à 8 heures dumatin

A dater de la réception de cette lettre, et jusqu'au dimanche 8 octobre inclusi- vement, les prêtres célébrant dans le dio- cèse réciteront à la messe les collecte, secrète Pt postcommnnion pour un cardinal-prêtre défunt revêtu de la dignité épiscopale. Ces oraisons sont imperées pro re gravi et devront être récitées même aux doubles de 1" classe. ART. 2. A un jour qui sera ultérieurement flxi5, aura lieu en l'église métropolitaine, un service solennel de quarantaine, au cours duquel sera pronoticée l'oraison funèbre de Son Eminence. L'article 3 prescrit que du 9 octobre, jusqu'au jour où sera notifiée la nomination du futur archevêque de Paris, tous les prêtres réciteront à la messe l'oraison Spiritu sancto. Des prières sont, en outre, demandées aux communautés religieuses et aux fidèles.

Les obsèques.

Les dernières dispositions en vue des obsèques seront arrêtées aujourd'hui. On prévoit que l'itinéraire que suivra le cortège sera le suivant Rue Barbet-de-Jouy, rue de Varenne, rue de Bellechasse, boulevard Saint-Germain, rue Saint-Jacques, Petit-Pont.. place du Parvis.

Le corps sera descendu dans le caveau du chœur mardi, à 18 heures, I en présence du vicaire capitulaire et! du Chapitre. Les condoléances. Il

Les télégrammes continuent d'affluer à l'archevêché. Notons ceux du cardinal IIIt Bourne, de Londres du cardinal Gamba, de Turin du cardinal Schuster, de Milan de Mer Phares, évéque du Caire, etc. Le métropolite Eulogios, archevêque des Eglises orthodoxes russes en Europe occidentale, a adressé .m Chapitre diocésain de Paris une lettre exprimant ses condoléances profondes à PEglise catholique romaine pour ta r crte cruelle éprouvée. De nombreuses personnalités ont inscrit leurs noms sur les registres M. Chéron. ministre Dr Louis Mourier: M. de Margerie. ambassadeur à Berlin général Debeney général Mariaux généra! de Bellaigue le chanoine Desgranges, et notons cette inscription touchante la maman de Charles Nungesser ». 1

MM. Pisani et Verdier protonotaires apostoliques Sur la demande du cardinal Dubois, le Saint-Père a daigné élever à la di- gnité de protonotaires apostoliques M. le chanoine Pisani» doyen du Chapitre métropolitain de Paris, et M. Verdier, Supérieur général de Saint-Sulpîee. Avant de partir pour la clinique, le oanlin.'l Dubois avait appris' par dôp^chi: et re- commanda nvoc insistance de publier ces deux nominations.

Nous oifrons nos félicitations aux deux nouveaux dignitaires.

LE NOUVEAU

ministère autrichien

M

La presse de Vienne l'accueille comme la garantie

d'un gouvernement fort

Le Conseil national autrichien a élu, par 84 voix des partis de la majorité contre les 69 voix socialistes, le nouveau gouvernement placé sous la présidence de M. Schober, piéfet de police de Vienne.

Les collaborateurs actuellement nommés de M. Schober sont Armée M. Vaugoin Justice Dr Slama Intérieur M. Schumy Agriculture et forêts: M. Foedermeyer, tous quatre déjà en fonction dans le précédent Cabinet Commerce et transports M. Michel Hainisch, ancien président de la République Questions sociales profes- seur Théodore Innitzer. V endredi, M. Schober a donné lec- j ture de la déclaration ministériel! j Parlant de la démission du Cabinet Streeruwitz, les journaux de Vienne s'accordent a reconnaître que ce mi- I

Le nouveau chef du gouvernement autrichien chancelier SCEOREB, qui a montré une grande énerrie comme préfet de police de Vienne.

nistère était trop faible pour soutenir devant le Parlement le programme envisagé en vue de la ré- forme de la Constitution.

Par contre. ils rendent hommage au nouveau chancelier Schober qu'ils considèrent comme le seul homme capable de rétablir la situation. L'impression générale sp résume en ces deux déclarations. La première de la S eue Freie Presse, disant que personne d'autre que M. Schober ne pourrait donner de garantie aussi sérieuse d'un gouvernement. fort. La seconde est. de la Reichspost, organe chrétien-social, écrivant, que le socialisme devra maintenant comp'or avec tes nouvelles forces qui ne '•e contenteront pas de compromis à bon marché et elle ajoute que rarement Ijl tant de voix se sont accordées pour désigner le nouveau chancelier ce fait signifie que la volonté populaire désire voir à la tête de l'Etat un homme énergique incarnant l'ordre et la légalité.

L'assemblée des pères de famille nombreuse De notre correspondant particulier Jeudi 26 septembre, a eu lieu à Rennes, sous la présidence de M. Isaac, président du Conseil supérieur de la nata-

M. ISAAC, président da Conseil supérieur de la natalité, ancien ministre, a présidé s Rennes, l'assemblée générale des pères de famille nombreuse. ilité. ancien ministre, l'assemblée générale des pères de familles nombreuses de la France entière.

Cette réunion, qui se tient la veille du IX* Congrès national de la natalité, avait réuni la majeure partie des présidents des associations de familles nombreuses. Nous reconnaissons au passage MM. Watine (Nord) Robley (Alpes et Cévennes) Olivier (Saint-Etienne) de Trémaudan et Oger (Rennes) ReIgnault (Mayennp) Charvet (Lyon) JGole (Clermont-Fcrrand) Prost (Ain) [Israël (Alpes-Maritimes); D' Gornaud (Drôme) Dieuveult et Rivière (Fini- sière) Vieulle <&>te) Albert Glorieux de la Ligue des fonctionnaires Lovelet ,'RoussilIon) Cherel (Bordeaux) Bayle (Reims) Goulhot (Bajrooletî Pancelot (Orléans) Mayaude (Creuse) Dr Moissnnnier (Trur-; R"^rd (Chàlons-sur-

Marne) L*-f nçon) Toure

¡!\farne); v+ ..nl;-OI1): Toure

(Fetne-Inférieiii (Sarllie) Ou-

duc. de l'Association dos pharmaciens Mascunabe (Ariège) Gr»ffler (Loiret). (Voir la svite en 2* page.j

La crise financière' anglaise

La Banque d'Angleterre élire le tam de son escompte de 5 1/2 0/0 à 6 1/2 0/0. Ainsi qu'on le faisait prévoir, le Conseil des directeurs de la Banque d'Angleterre a décidé de relever le taux d'escompte de cet Institut officiel dr 5 l/.S à 6 1/2 ri- C'est la taux !•> plus élevé qu'ait connu l'Angleterre depuis jirn 1921, IVscomvne fut ramenée de 6 1/2 à 6 r/c, après avoi" étc de 7 en 1920.

Le gouvernement britannique s'était précédemment déclaré hostile à cette mesure que la direction de la Banque envisageait pour arrêter les gros achats d'or par l'étranger qui se multiplient à ses guichets et auxquels, en raison de ses statuts, elle ne peut se refuser. Mais, finalement, à cause de la diminution considérable de la réserve nationale qui résulte de ces exportations de métal jaune, M. Snowden et la Trésorerie ont dû se ranger à l'avis de M. Montagu Norman, gouverneur de la Banque. C'est que, en effet, l'encaisse-or de la Banque, qui était de 173 millions de livres sterling il y a un an, est tombée à moins de 133 millions de livres, alors que la couverture normale doit être de 150 millions de livres.

L'impression, sur cette décision. est très partagée en Angleterre. Certains journaux l'accueillent avec calmp, et ie Times même, dans ses notes financières, prévoit que si le nouveau taux ne suffit pas à arrêter l'émigration de l'or et à amener un retour de l'or en Angleterre, un taux plus élevé devra être établi. Par contre, elle a jeté la panique dans les milieux industriels et commerciaux et, immédiatement, il y eut une baisse dans les \alours du gouvernement britannique. ainsi que dans toutes les actions des chemins de fer.

On craint, en effet, que le nouveau taux n'ait une grande répercussion sur lindustrie et le commerce en Angleterre qui subiront une perte annuelle de plusieurs millions, et l'on s'attend à une augmentation appréciable du nombre fies chômeurs dans tes principales industries, au cours des prochainrs semaines.

Certains journaux demandent qu'une enquête soit ouverte sur la tactique financière des gouverneurs de la Banque. Quatre autres Banques nationales étraagères élèvent également hur taux d'escompte.

Quatre autres banques nationales étrangères ont pris, également, la même décision que la Banque d'Angleterre, de relever leir taux d'escompte. Ce sont La Riksbank, de Stockholm, de 4 1/2 à 5 1/2 La Banque nationale de Danemark. de5à51/2%; enfin la Banque de Norvège, de 5 1/2 à 6 enflu, la Banque d'Irlande de 6 à 7

La Buque de France maintient à 3 1/2 son taux d'escompte. En ce qui concerne le taux de la Banque de France, il reste fixé à 3 1/2 ̃ Le bilan de notre Institut d'émission qui a été publié jeudi est encore meilleur que le précédent, car l'encaisse s'est accrue de près de 30 millions. Son encaisse dépasse 39 milliards de francs, alors que celle de la Banque d'Angleterre représente 16 milliards et demi de francs.

L'ftpiispe de l'expédition polaire da dlrigeable « italia >>.

Aucune trace n'a pu êlre trouvée

des mcBkrei naiifuuti de l'équipage. On maude d'O=lo que lo dernier chapitre de la tragique expédition polaire du dirigeable Italia. a trouve son épilogue jeudi, avec le retour, à Trornsoë du petit navire pêcheur de phoques frété par une mission italienne privée pour la recherche des naufragés. Cetle nri&sion n'a pas retrouvé ta moindre trace des membres manquants de rexpédition. en dépit des longue.. »t fatipanlts recherches dans la partie Nord-Est du Spitztoere et le long des côtes de la Nouvelle-Zemble.

La guerre civile hanistan

en Afghanistan

L'usurpateur Habiboullah aurait été assassiné.

Suivant une information non encore confirmée, reçue à Calcutta, Hnhiboullah Khan, l'ex-bandit et porteur d'eau Bâcha ?akao usurpateur du trône d'Afghanistan, aurait été assassiné à Cabou!. D'autres nouvelles apprennent que Nadir Khan, parent d'Amanoullah, et prétendant rincipal actuel au trône afghan, a eu le dessus ces derniers temps. sur les partisans d'Habiboullah, qui, du reste, de plus en plus, l'abandonnent.

LE TIMBRE POSTAL DE L'AVIATION

M. Germain Martin, sous-seeniiaire d'Etat aux P. T. T., va lancer. d'accord avec M. Laurent Eyn.ic, ministre de l'Air, un timbre postal de l'aviation, qui

est un \éritable hommaee à Martfillf. Il représente, en effet. Xntre-Dame de la Garde, le Vieux Port et les lignes principales des paysage marseillais. Ce premier timbre seri d'une valeur de i fr. 30.

SAINT WENGESLAS dief militaire et martyr lous avons admiré, hier, en saint Wenceslas, le chrétien. Disons en sa f'He un mot sur le chef militaire et sur le martyr.

Au jour de son avènement au trône, dans le discours qu'il pro- nonça et que nous avons déjà relaté, entre autres phrases applaudies, saint

LA STATUE DE SAINT YVENTESLAS dans 1» chapelle qui Ini est dédiée à la rathédrale Saint-Guy.

Wenbeslas avait eu celle-ci « Avec l'aide dp Dieu, je gouvernerai le pays et le défendrai autant qu'il me sera possible eontre ses puissants ennemis. » II fut. mis en é'tat de tenir, très vite, sa promesse. Car. à peine j proclamé roi, il fut nltaqué d'abord !par Ronnulphe, duc de Bavière, ensuite par le prince de Kourim, chef de la puissante tribu des Zlicàné.

Avec ses vaillants soldats auxquels

« il avait fourni non seulement les meilleure.* armes, mais aussi un uniforme convenable ». il écrasa le premier. La protection divine le fit triompher du second. Ecoutons un pieux contemporain. « Le prince du oh.iteau de Kourim était entouré de nombreux soldats. Il se donnait une grande importance et préparait l'insurrection contre le Saint. Beaucoup

LA PORTE DE LA CHAPELLE le Saint tomba sous les coups de ses meurtriers,

de sang coula des deux cotés. A la fin, on proposa que les deux chfis combattissent ensemble, le vainqueur devant être- reconnu comme m.iitre. Quand les prince; sortirent pour s'affronter, Dieu donna au duc de Kourim une vision céleste, la sainte croix brillant sur le front, de Wenceslas. Ge miracle le décida à jeter ses armes. Puis il s'agenouilla devant Wenee«las el proclama que personne ne pouvait vaincre celui que Dieu protégeait miraculeusement. Pendant qu'il parlait, le saint duc le releva, lui donna le baiser de paix M affirma pacifiquement son pouvoir *ur \v.i et ^on chAteau fort, en lui!

permettant d'v \ivre jusqu'à sa,

mort, n

*aint We.nce=la.~ fut provoque une

autre fois, mais un prince boan- coup plus fort que lui. Henri l", d\i l'Oiseleur, empereur d'Allemagne et, vainqueur, déjà, des Boarci, des L'i-Iteri, des Ratari et des St.odoranes. Sa perspicacité, en cette circonstance. ie sauva. Profitant de quelques ?ucr\s j partiels, comme il savait ne pouvoir; ni les continuer ni en profiter. A s'offrit à composer. Les conditions, d'aillfur*. furent douces un tribut annuel qui se monta à 500 pièces d'argent et. 120 bœufs

Cependant. Wenceslas avait un frère, Boleslas, prince au caractère rude et indomptable, animé de passions qu'il ne savait pas maîtriser, 't qui haïssait son aine pari't- que celui-ci s'efforçait de Ie ramener à de meilleurs sentiments. II groupa autour de lui les mécontents. en l'espèce les seigneurs restés idolâtres et les guerriers sauvages que la paix rendait oisifs. Puis, avec eux, il décida d'un banquet auquel serait in-i vité celui que tour appelaient, sans; qu'il pn sût rien, leur ennemi, et dans lequel on l'assassinerait.

On le tua, en effet. non toutefois! dans la salle du festin, mais à la porte d'une église où il alluil entrer pour prier. i

GAZETTES Le» palliums du cardinal Puboà»» Dans le cercueil du cardinal Dubois seront placés n quatre palliums ̃•», que l'archevêque avait reçus du Pape* Le premier sera placé sous la total du cardinal, le deuxième sous les pieds et les deux autres sous tos mains.

Dans l'antiquité grecque, le pal-< lium était un manteau réservé auc personnages d'élite. Dans rF.i>i latine, le pallium. réduction du n,cileau, est une bande de laine bhinchu | portant des croix de taffetas noir et, i *mbnlw !e manteau de saint Pierre, Ti.-s« avec la laine d'agneaux bé~* j nits suivant un rite spécial le jour» de la fête de sainte Agnès, le pallium rappelle le souvenir du pasteur portant la brebis perdue sur ses épaules* Le ordinal Dubois et le « mécano ». Il n'v a pas bien longtemps, le ear-< dinal Dubois était invité à bénir un avion qui allait pour la première fois prendre l'air au Bourse!.

Un vin d'honneur eut lieu. Les jeunes « mécanos •• regardaient avea curiosité le curé à chapeau rouge. (Le liiustic de la bande parie aver ses' camarades qu'il va aller au buffet pour vnir de près If' curé. Il lui par-.

!r-r;i.

C'te blague

Ma parole, c'est comme je tçj

le dis.

Le jeune ouvrier s'avance d'un pasi délibéré le cardinal l'a repéré d'uni ivup d'oeil

Mon ami, un verre de cham-< pagne ne vous fera pas de mal, voun lez-vous ?

Le mécano accepte avec plaisir efi retourne vers les camarades.

Eh bien I qu'est-ce qu'il t'a dit* le cardinal Dubois ? a

Rien, mais c'est un bon type,. Donner des armes pour noua battre. Les Domaines vont mettre en venUj des milliers d'armes et des muni-» tions de guerre, destinées à l'exportation.

Il en a dé été de même, notam-i ment lorsque I" fusil Lebei a rem-* pincé dans l'armée le fusil Gras. Pour quelques francs, on pouvait'

alors se procurer un fusil modèle 7 i,

1 alor, SI' Gras, et. des fUS. il m()di'.I'\ 'Ii,

dit fusil Gras, et des cartouche.

Le stock du fusil Gras s'éc-uultf facilement. Mais quand nos soldat* se trouvèrent au Maroc, en face dïn-« digènes qui les accueillaient. à coups de fusil, ceux-ci étaient. '.t fusils Gras qui avaient vendus par les Dotniuivs, puni i i,\i | portation.

Cette fois, il est, «pôcillé, il estt vrai, que pourront seuls soumission-* nef les citoyens français résidant oit France et les étrangers autorisés à y résider. On ajoute que les acquri-» leurs seront tenus d'exporter Ie4 armes en Belgique.

Belles garanties D'abord, il y si lies « citoyens » français conimun mstes qui n'ont, jamais hésité, h prendre parti pour le Marocain <ti-« ident ou le rebelle jaune contre nos soldats ensuite, le détour inipo-iî pnr la Belgique n'est qu'un pelib inconvénient pour ceux qui veulent; faire un mauvais usage d'armes dé-< niodées en Eun]«- et toujours danger reuses ailleurs.

Survivance de pharisaisme. ,'Il juriste juif de Denver (Colorado/ aurait propose récemment al quelques-uns de ses compatriotes do fonder une Société juive poun prendre l'initiative d'une révision du procès de Jésus.

Persuadé que l'opprobre donfi souffre Israël depuis dix-neuf cents ans résulte de la condamnation do Jésus, ce légiste voudrait qu'un grand Sanhédrin fût couvoo '̃' rusalem pour examiner Ir <\ !c procès intenté à Jésus ei «i<i<j.-i- si les ancêtres qui l'ont cond;u«i«! ont commis à son égard un déni de justice.

La question est plus haute,

Beaucoup de juifs mrtoul les juifs dits portugais revendiquent, un alibi pour leurs ancêtres qui avaient quitté la Judée avant l'apparition de Jésus-Christ, et les défendent, eu conséquence, d'avoir eu au. cune responsabilité dans «a mort. Les autres subissent l'opprobre résultant non exclusivement (le co que des juges ont condamna le: Chris!, mais de ce que les Juifs niih souhaité que son sang retombe ^w eux et leurs, enfants.

Jésus a demandé à son Père de leurf pardonner parce qu'ils ne savaient re qu'ils faisaient. C'est leur ineil-»

leure sauvegarde.

Cétiiit le 28 septembre 929, a4 ̃ matin.

Seulement son nom, au lieu à4 I tomber dr.ns l'oubli comme ses as 4 sftssins le voulaient, alla, tout d I suite, grandissant en éclat.

On l'appela « souverain dans soi» royaume », « prince renommé par sa puissance », conseiller rernpli d<j j sagesse, « annonçant la volonté divine

par ses prophétie? ».

Mille ans sont passés. On l'appelle encore ainsi.

Et la preuve en est dans les féleS splendides données maintenant en son honneur. La voix d'un peuple entier son peuple le chante e-.j son tombeau

L'ouverture des fêtes

Mgr Baudrillart, recteur de l'Insti* tut catholique de Paris, est arriva jeudi soir à Prague.

Les fêtes ont commencé le soif, i* 20 heures, par une audition de YOra* i torio de saint Wenceslas, du compo* jsifeur Forestier, laquelle ont asisisté M. Ma«aryek, président de l-i 'République M." Udrzal. président du Conseil, tout le corps diplomatique I et de nombreux hôtes étrangers, dont ils» délégation du Conseil tminieipa! da [Paris.


L'assemblée générale des pères de famille nombreuse

La séance du matin. j La séance du matin fut occupée entièlement par le rapport de M. Deicour sur l'activité de l'Association au cours de l'exercice 28-25> celui de NI. Watine, tiélégué du Nord. sur les habitations à bon marché et des familles nombreuses fct enfin celui du D' Montsaingeon. sur

J'écolf unique.

M. \V:iline fait l'exposé approfondi de loi Loucheur et étudie quelques moUificatinns a y apporter. 11 se plaen au point 'le vue des pères de famille et préconise la construction d'habitations îïwliviflueiles là ou 11 n'v a pas d'empê- .̃mciit» matériels. 11 cite un exemple ̃ villes Roubaix, Tourcoing liél) maisons ont et6 bâties par subventions. Plusieurs vepujt sont émis par W. Watine et adoptés par les congreseistes que les crédits par la loi Loutftieur soient versés et que le maximum *»it donné suivant besoins, que les <:hambres de commerce votent des créittitM nu subventions aux Sociétés et aux (particuliers. Ansi-itic iin rapporti

Nous entendons ensuite un rapport

remarquable de M. le Dr Montsaingeon fcnr l'école unique devant la famille. Après riiistoriqu* d'une question bien teonrmn de nos lecteurs, le rapporteur Bémontre le mécanisme de l'école unique 1 Quatre données essentielles condition- tient l'école unique la sélection, l'orien- tation. la gratuité, l'obligation, le tout £boutiS36n!, l;i nationalisation qui n'est j

nu'iinw forme Un monopole d'Etat.

Et M. Montsaingeon <ie conclure Dfl quelque Etat qu'il s'ugisse, la mainmise i.'st trop dangereuse qu'elle aboutisse taux Sovie'.s scolaires ou aux balillas, file ne peut être supportée en France Dont elle blés»*' "idéale indépendance, j Séance de l'après-midi.

Père de 9 enfants, M. Icole présente lur l'école unique une thèse dont l'idée générale est opposée à celle de M. Mtfntkalngeon.

Ces deux rapports font l'objet d'un échange de vues d'où se dégage la néceslilé (l'éviter à tout prix la main mise Bfi l'Etat, .sur l'enfant.

Le vote qui réunit l'unanimité sur l'adoption du rapport de M. le D' Montlaingeon montre simplement comment les pères de familles ont jugé l'école kinlque.

La séance continue par une discussion fcur la législation fiscale du point de vue tamllial.

Chacun des points étudiés est suivi lÛ'un vœu qui le résume. Voici queliques-uns des principaux vœux émis à te sujet

Personne à charge. Que pour tous tes impôts directs, les descendants ou infants revuelllU soient comptés îi tharae, s'ils sont dgés de moins de El ans ou infirmes, à la seule contlition d'être réellement reslés à la charge du c&ntribuuble.

Imp<H général sur le revenu. Que %'abntli:mi"nt à la base accordé pour le contribuable marié soit le double de l'abattement accordé pour le célibataire. Impôts sur les traitements et salaires. >– Que les abattements à ta base soient bans exception les mimes que pour Wimpôt général sur le revenu,

Impôts sur les bénéfices agricoles. Çur; le minimum Imposable (2 500 fr.) soit augmenté de 1 OÏK) francs pour la femme et de 1000 francs peur toute personne à charge, etc.

Avant de se séparer, le Congrès a fenvtsagé la possibilité de tenir la probhaine assemblée générale en Algérie.

L'EVACUATION DE LA RHENANIE

Indemnités accordées

aux militaire» de carrière. Les cadres de l'armée du Rhin déplacés à l'occasion de l'évacuation des ûeuxlème et troisième zones auront S îaire face à un surcroit de charges considérable du fait qu'ils doivent, eux et leur famille, quitter dans un très court délai le logement gratuit occupé en Hhénanie pour s'installer aillleurs dans «les conditions parfois très onéreuses. Il a paru équitable de leur accorder tane Indemnité exceptionnelle. Le prûeident de la République vient donc de signer un décret d'après lequel les ofilclers, sous-ofticiers servant au delà de la durée légale, et hommes de troupe de carrière chefs de famille appartenant aux unités dissoutes et aux unités organiques de l'armée du Rhin repliées »ur la métropole recevront, en plus de l'indemnité, normale de mutation majorée de 150 <?o par application du décret du 14 avril 1929. une indemnité forfaitaire fixée

A 2 500 francs, plus 350 francs par ienfant, pour les officiers chefs de famille

A 1200 francs, plus 250 francs par enfant, pour les sous-officiers servant BU delà de la durée légale chefs de famille

A 600 francs, plus 100 francs par enfant, -pour les hommes de troupe de carrière chefs de famille,

BOURSE DE PARIS. Cours du 27 septembre 1929.

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Congrès missiomair e de Lisienx

Da notre correspondant particulier Lisieux, le 27 septembre.

Le Congrès missionnaire de Lisieux continue avec succès ses importantes leçons et permet de constater les grands progrès accomplis depuis trente ans par nos missionnaires et le développement de l'esprit missionnaire dans notre pays. Le clergé indigène. r

Autour des vicaires apostoliques, de Mgr Boucher, Mgr Olichon, Mgr de Moucheron, Mgr Artaud, se groupent toujours nombreux les congressistes. Jeudi soir, s'est poursuivie l'enquête sur le cierge Indigène, M. Collard, Lazariste, après avoir rappelé l'ordination des premiers Jésuites et Lazaristes chinois et les efforts unanimes des missionnaires pour développer les Séminaires, expose les espérances que font naître les 13 vicariats ou préfectures indigènes créés depuis trois ans par le Saint-Siège. Le clergé chinois est instruit, pieux. L'esprit de Dieu peut faire de grandes choses dans un Oriental aussi bien que dans un Européen. Un ami des Annamites, M. Tadière, des Missions étrangères, raconte avec esprit et finesse les origines de la crise, d'ailleurs bénigne en Indo-Chine, qu'à traversée ces dernières années le clergé indigène, crise de croissance qui n'a jamais éié dangereuse et dont la solution ne fait pas difficulté, puisque tous Européens et indigènes catholiques stont également soumis et dévoués au Pape. Le P. Gatier, Missionnaire au Maduré, consacre son rapport aux essais sucessifs des Jésuites, dans le Sud des Indes. pour créer un clergé indigène. La fondation des diocèses indigènes de Tuticorin et de Mangalore sont une preuve de leur succès.

Cette journée appelait des conclusions elles ont été tirées par Mgr Olichon. L'œuvre de la Propagation de la Foi est écrasée par l'entr,etien des Missions et des missionnaires. Une nouvelle œuvre était nécessaire pour permettre l'éducation de vocations Indigènes et la multiplication des centres religieux et diocèses. En dix ans, l'Œuvre de SaintPierre-Apôtre a recueilli plus de 65 millions de francs sur lesquels la France a fourni 11 millions et demi. Les Grands Séminaires ont passé de 91 à 97 les Petits Séminaires de 90 à 182. Pourtant, un grand effort, reste à faire. D'Ici dix ans, il faudrait 200 nouveaux Petits Séminaires et 100 Grands Séminaires. Le soir, la salle Excalsior était comble pour assister au flim présenté par Mgr Olichon, une centaine de personnes, assez mécontentes, ne purent y pénétrer. Le film remarquable conduisait les spectateurs au centre de l'Afrique, montrant la transformation complète réalisée par le christianisme dans les Ames noires, même les plus barbare.

Religieux

et religieuses indigènes.

La journée de vendredi et consacrée à l'étude des religieux et religieuses indfgêens. La séance du matin, présidée par Mgr de Guébriant, le premier rapport fut donné par un Jésuite indien. de Trichinopoly, le P. de Sousa, sur l'esprit contemplatif dans l'Inde brahmique et musulmane. Les Hindous, que presque toujours on admire trop ou on dénigre trop, ne sont point touchés par la civilisation matérielle occidentale, mais par l'esprit de prière et le renoncement des missionainres.

Avec l'autorité de son expérience et de son titre de Supérieur général des Missions étrangères de Paris, Mgr de Guébriant ouvrit de magnifiques horizons aux congressistes, en leur montrant le rôle que les religieux sont appelés t\ réaliser dans les missions, non comme missionnaires, mais comme contemplatifs, comme moines. L'ExtrêmeOrient est couvert de monastères païens, dont quelques-uns semblent être d'anciens couvents franciscains. Son idéal est non dans le martyre, mais dans la vie de j.riere et de renoncement des ermites. Li- succès extraordinaire des Carmels et des Trappes en cet une preuve. Mslheureusem^t, trop peu de fondations monastiques ont été jusqu'ici réalisées, malgré les demandes des vicaires apostoliques et des appels de Benoit XV et Pie XI.

Très, applaudi, l'éminent prélat supplie les Congrégations religieuses de venir exercer chacune leur spécialité dans les pays de mssion, non pour supplanter les missionnaires, mais pour une œuvre nécessaire de stabilisation et le rayonnement du christianisme.

Les fêtes de dimanche et lundi s'annoncent splendides. La ville prépare procession et décorations. Mgr Suhard a nommé chanoine le très léié supérieur des chapelains, M. l'abbé Germain.

les 1500 Jocistes belses f à Rome

Une manifestation au monument de « Rerum novarum >.

De notre correspondant particulier Jeudi, 26 septembre, le magnifique pèlerinage des 1 500 Jocistes belges, Iyant fait la veille et le jour marne, la l'isite des grandes basiliques, s'est rassemblé le soir autour du monument :omtnémoratif de Rerum norarum au Latran. Ils firent une indescriptible ovation au cardinal Van Hoey, archevêque de Malines, quand celui-ci vint Drésidar leur manifestation. II écouta l'abord debout l'émouvant chant jooiste Nous rendrons chrétiens nos frères qui, de leurs 1 500 poitrines, monta frémissant, en français, puis en flamand. au pied du monument, dans 1 l'immédiat voisinage du Baptistère de Constantin.

Le cardinal s'étant assis, un des jeunes dirigeants monta à la tribune et. en flamand, afflrma la volonté de réaliser les grands desseins apostoliques qui ont inspiré au pape Léon XHI l'Encyclique Rerum novarum.

'm. l'abbé Cardijn lui succéda à la tribune, remplaçant le président des Jocistes, légèrement indisposé. L'ardent aumOnier général, partant en français. ) eut des accents vibrants pour exprimer la reconnaissance des Jocistes au primat de Belgique, venu tout exprès de Malines peur les présenter au Pape demain. I1 msrqua en traits vigoureux la sicr.iîlraliori de cette assemblée 1500 jeunes ouvriers venant ici commémorer, dans l'Encyclique Rerum novarum, le message de charité et de justice ou le pape Léon XIII a rappelé 1 l'éminente dignité du travail et des travailleurs. Ils voulaient y répondre en chrétiens, fiers de leur filiation divine et de leur fraternité avec le Christ Jésus, dont ils juraient d'être les collaborateurs et imitateurs, en se dévouant tout entiers au salut de leurs frères du travail. Ce monument leur rappelant ce qu'un grand Pape avait fait pour arracher la classe ouvrière au libéralisme qui l'avait si longtemps exploitée et pour la défendre contre l'oppression menaçante du socialisme.

Pour restaurer ta dignité du travail et la grandeur de la famille ouvrière, Léon XIM n'avait eu qu'à ouvrir l'Evangile et à exposer la doctrine tralition- nelle de l'Eglise. Il faut bien reconnaltre, constata l'orateur, qu'un grand nombre de nos frères ignorent encore la grande parolo de Léon XIII. Ils la leur apporteraient en rentrant do ce pèlerinage tout remplis de l'esprit des confesseurs et des martyrs. L'abbé Cardijn demanda au cardinal de confirmer ces résolutions de ses fils par une bénédiction qui préluderait à celle de leur bien-aimé pontife Pie XI.

Chaque fois que l'abbo Cardijn avait prononcé le nom du cardinal, des acclamations enthousiastes avaient dit à l'arohevêque de Malines la reconnaissance des Jocistes pour sa présence parmi eux. Le cardinal monta alors à la tribune, et en français, puis en flamand, Il leur parla, écouté avec une attention intense. Il dit la profonde émotion dont son cœur était rempli, la joie qu'il ressentait en se trouvant au Latran, entouré des délégués qui allaient, le lendemain, représenter les 50000 Jocistes belges aux pieds du Souverain Pontife. Il fit écho à leur pensée, en commentant le privi- lège que la Providence leur avait accordé. Le rêve qu'ils avaient vécu dans leur âme était aujourd'hui réalisé, et voici qu'ils se trouvaient au Lalran, dans la maison du Père commun des fidèles. La veille, le cardinal le savait, ils avaient, dans une manifestation grandiose au Colisée, évoqué le souvenir des martyrs dont le sang avait acheté le grand triomphe de l'Eglise. Ici, au Lîtran, c'est toute l'histoire de l'Eglise et du monde qu'ils voyaient passer. C'e3t d'ici qu'étaient partis les grands missionnaires' qui conquirent les nations au Christ. Vous êtes, leur dit-il, maintenant les missionnaires du Christ dans le monde du travail. » Le cardinal saluait d'avance leurs succès apostoliques. Remplis d'une ardeur nouvelle, après avoir reçu la bénédiction du Pape, ils iraient de concert aveo tous leurs frères jocistes travailler efficacement à faire une Belgique plus digne que jamais de ses grandes traditions catholiques.

Il est impossible de dire l'ovation que flrent au primat île •SftSgrque <ces 1500 jeunes- ouvriers, après avoir reçu, dans un.silence recueilli, sa bénédiction.

Le 38* Congrès français de chirurgie se tiendra à (Paris, à la Faculté de médecine, du 7 au 12 octobre, sous la présidence du professeur Tixier (de Lyon). Les questions suivantes ont été mises à l'ordre du jour traitement chirurgical de la tuberculose pulmonaire indications et résultats de l'ostéosynthese dans le traitement du mal de Pott. La séance inaugurale du Congrès aura lieu le 7 octobre, à 14 heures. Une exposition d'instruments et de matériel chirurgical est annexée au' Congrès.

assainissement progressif

de la monnaie

Le bilan de la Banque de France. Le bilan de la Banque de France pour la semaine du 13 au 20 septembre 19S9 fait ressortir une encaisse or de 39060 375 377 francs, en augmentation de 29 857 259 francs sur la semaine précédent*.

Les engagements à vue, sur lesquels les billets en circulation figurent pour C5 317 996 400 francs (en diminution de 151 563 000 francs sur la semaine précédente), représentent 84 457 769 157 fr. La proportion de l'encaisse-or aux engagements à vue est de 46,25 pour 100 contre 46,11 pour 100 la semaine précédente.

La proportion fixée par loi est 35 pour 100.

Les opérations de la Caisse d'amortissement La réserve actuelle de la Caisse d'amortissement est de 7 milliards. Seulement, les porteurs sont créanciers d'une somme de 900 millions représentant des bons échus non encore réclamés les achats de rentes qui ont doublé durant le deuxième trimestre 1929 absorberont des s%mrnes importantes pendant les derniers mois de l'année 3° et surtout les remboursements pré- vus jusqu'au 31 décembre prochain pour 1 diminuer la circulation des bons ne sont pas inférieurs à 3 milliards. Voii il résulte que la Caisse abordera 1930 avec une provision de l'ordre de 3 milliards 1 qui lui donnera une entière liberté de manœuvre.

En fait, grâce à ses abondantes ressources et à sa prévoyance, la Caisse autonome pourra persévérer dans une politique qui. en 1929, lui aura permis rie convertir ou rembourser 3 milliards de ses obligations propres, de réduira de 7 milliards la circulation des bons et d'amortir près de 5 milliards de rentes I françaises.

Dernières

Nouvelles

LA RÉFORME DU MARCHÉ FINANCIER DE PARIS

M. Qiéron, ministre des Finances a reçu vendredi matin, en l'absence du syndic. M. Hayaud du Tilly premier adjoint du syndic des agents de change, avec lequel il s'est entretenu du marché financier de Paris et des réformes que comportent son organisation et son fonctionnement.

-+-

LA BANQUE D'AUTRICHE RELEVERAIT AUSSI SON TAUX D'ESCOMPTE Vienne, 27 septembre. La Banque nationale d'Autriche procédera très probablement, dans la journée d'aujourd'hui, à un relèvement du taux d'es- compte qui sera porté de 7 1/2 à 8 1/2 --+--

L'ANCIEN CHEF FASCISTE ROSSI CONDAMNÉ A 30 ANS DE PRISON Le tribunal spécial de défense de l'Etat a condamné Cesare Rossi à trente ans de prison.

L'ancien chef fasciste avait été arrêta par la police Italienne à la frontière suisse.

M. FRANÇOIS PONCET

REÇU A L'ACADÉMIE DE MAÇON M. François-Poncet, sous secrétaire d'Etat aux beaux-arts, a prononcé, vendredi matin, devant 1 Académie de Mâcon, un discours de réception où il a parlé de l'église de Milly, des souvenirs qu'elle évoque, du grand nom de Lamartine qui l'illustre.

L'étranger a vol d'oisean A Stuttgart, au cours d'une assemblée publique contre le plan Young, organisée par les socialistes nationaux, do graves collisions se sont produites entre communistes et racistes. On signale de nombreux blessés.

A Audenarde a cté inaugure jeudi le pont d'Eyr.e, qui remplace l'ancien détruit pendant la guerre. Le nouveau pont, qui a 1C5 mètres de long, a été construit tous les auspices de l'Etat d'Ohio (Eltts-lînis). Un détachement de Vétérans américains assistait à cette cérémonie.

On annonce l'arrestation, à Berlin, des troi.- frères Sklarek, négociants et propriétaires d'écuries de courses très connues en Allemagne, à la suite de transitions louches se montant à plusieurs millions de marks, au détriment de la ville de Berlin.

L'Amérique et l'Aietralie ont échangé jeudi, pour la première fois, des conversations à l'aide: de fl's téléphoniques ordinaires reliés à des fiations de T. S. F., émettant des onUr-s courte?.

Des resolutions Intéressant le problème du désarmement naval r.ont 'nscrites à l'ordre du jour de la 29* conférence annuelle du Labour Party. qui commencera ses travaux lundi prochain.

Renseignements Commerciaux CHANGES A PARIS

SB»; j Bl» i tlli. gui; i HIER } AUi. Ludrw lt3,»s!.i83,S3J tllnda. luit,|lOB4,.

«M-Toit »,5tl..ï.v,i; alla 133,70 133,60

lllemfM. 6ÛS,ïi.fiOS,^j orwèf» .680^5

Mlltn. -35»7.- .355, -iUt ,e»4,

limaark. ^6S0,ï5j -iltM 49Î, | 41*,i5

EVH» 377,1* .oTI.tS! ienn* .360.

BOURSE DE COMMERCE

Paris, 26 septembre.

Blés. Ouverture: base de Itq. 143.90, courant 145,95 & 145,50. prochain US à 148,25, nov.-dée. 151,50 à 151.75. 4 de nov. 153,50, tous payés, tend. ferme. Clôture: disponible cote ornclcile 143,50 k 144.30, base de llq. 143,50. courant 145,50, 145.75, 146, prochain 143,30 à 148,75, nov.-déc. 151,75, 4 de nov. 1 53,80 à 153,75, tous payés, tend, soutenue.

Farines. Ouverture: base de llq. 195. courant 185 acfcet., prochain 196 achet., nov.dêr.. 1S9 nonilo., 4 de nov. iso.30 nomin., tend, sans an". Clôture base de liq. i«5, courant 165 achet.. prochain 1S6 payé, nov.déc. 130 nomin.^ 4 de nov. 190,50 nomtn., tend. calme.

Avoine». Ouverture: diverses: base de lïq. 98 courant 98,35, 98.50, 98,75, prochain •01,"5 à 101,50, nov.-déc. 105 à 101.75, de nov. 107,25 à 1S7.5O, tous payés, tend, soutenue. Clôture: base de llq. 98, courant 09,55. prochain if-3, nov.-déc. 105.50 à 105,75. 4 de nov. 107,75 à 108, tous payés, tend soutenue.

Seigles. Ouverture: base de llq. 1M, courant 98,75 vend., prochain 100 nomin.. nov.-déc. 103 nomln., 4 de nov. 105 achet, tend. ans aff. Clôture: base de l'.q. 101, cournat 68.73, prochain 100, nov.-déc. 103, i de nov. 105, tous nomin., tend. sans air. Orges. Ouverture: base de liq. ni, cou.rant 107 achet.. prochain 109,50 nomln., nov.dêc. 113 a Ili, 4 de nov. 115 i il«, tend. sans a(T. clôture: base de llq. ttt, courant 107 acbet., prochain 110 acaet., nov.-déc.

Us Congrès International

La conférence parlementaire internationale du commerce a tenu, jeudi, & midi, sa séance de clôture, et a désigné Madrid comme siège du prochain Congre* en 1930. Le soir, le gouvernement d'Empire a offert un banquet en l'honneur des délégués.

Sur une intervention du délégué polonais à propos du problème des minorités nationales résultant de l'émlgratlon, un texte a été adopté qui accorde aux émigrés pleine liberté de rester rattaeés à leur pays d'origine ou à leur culture nationale, mais tout en respectant entièrement la souveraineté du pays d'immigration.

A Berlin, jeudi matin, a été ouvert le 6* Congrès international de la propriété bâtie. Plus de cent délégués appartenant à vingt nations prenaient part aux délibérations. Fondée en 1923 à Paris, l'L'nion groupe actuellement 34 nations et plus do cinq millions da membres.

A Séville, l'infant don Carlos, représentant le roi, a présidé la séance d'ouverture du Congrès international d'agriculture tropicale et sud-tropicale et du café, en présence du cardinal Ilundain,

des gouverneurs c!i!s et mititairea. dea

des gouverneurs civils et militaires, des

membres des organismes officiels et des délégués étrangers. d ^ri~ltum

M. Leplace, directeur de l'agriculture

au ministère des Colonies. françaises et président de l'Association scientifique internationale de "agriculture des pays tropicaux, a remercié l'Espagne de l'ac- cueil fait aux congressistes.

Deux des plus grandes

banques allemandes fusionnant On mande de Berlin que deux det plus grands Instituts financiers allemands, la Deutsche Bank et la DiscontoGesellschafl ont décidé de fusionner. Les journaux font remarquer que l'ampleur de cette fusion ressort de ce simple fait que les bilans de ces deux entreprises atteignent un chiffre de plus de 5 milliards de marks annuellement. Mais elles licencient

r

une partie de leur personnel.

Les grandes banques berlinoises, ainsi I que les banques privées, ont décidé lo licenciement de 5 à 10 pour 100 de leur personnel.

Le 25' anniversaire de l'Entente Cordiale Une délégation de maires français à Hastlngs.

Les dix maires français qui visitent la ville de Hastings, en commémoration du 25» arniversalre de l'Entente Cordiale, ont été reçus jeudi à l'Hôtel de Ville par le maire, le conseiller Thorpe, qui leur a souhaité la bienvenue au nom de la municipalité.

La délégation française s'est ensuite rendue au monument commémoratif do la guerre à Alexandra Par où des couronnes ont été déposées. Puis elle est allée visiter le chftteau historique de Hastings, fcâtt par Guillaume le Conqut»rant.

Déplacements ministériels MM. Hennessy et Painlevé présideront le 4 octobre, à Versailles, un banquet offert à l'occasion de l'Exposition internationale de oulture mécanique de Bue.

M. Germain Martin étudie, vendredi. sur place, la création «.d'un vaste hôtel des Postes, à Vichy.

M. André François-Poncet est arrivé à MAcon où il préside des fêtes lïmartinlcnnes.

M. André Tardieu, actuellement en Suisse, se rendra dimanche à Délie, sa circonscription, pour prendre part aux élections municipales. Le ministre de l'Intérieur ira, le même jour, à Montfaucon (Meuse), pour présider l'inauguration d'un hôpital franco-américain.

Echos de partout Le roi d'Espagne a signé un décret attribuant la grand'eroix du Mérite militaire au général de brigade français Albert Noguès.

Ce Conseil national suisse a ratifié sans opposition la convention avec la France au sujet de la pêche dans le Doubs.

La mission aérienne française, ayant à la tête le général Barès, est arrivée à Prague, venant de Poznan.

On signale le passage à Fez, pour quelques jours, du comte de Paris, OIs du duc de Guise, accompagné du prince Murât et du comte de Baruthault. M. MacDcnald occupera la chambre d'Abraham Lincoln, lorsqu'il sera l'hôte du président Hoover à la Maison Blanche.

Les poisons de l'organisme s'éliminent par le rein. Purgez vos reins comme vous purgez vos intestins. Vittel Grande Source, à jeun et aux repas, est le purgatif des reins. Casino. Tous les sports.

113,50 nomln., 4 de dot. 116,50 vend,. tend. sans au*.

Mais. Ouverture: base de Itq. 1*8,50, courant 122,50 vend., prochain 121 payé, nov.déc. 121 achet., i de nov. 12S.50 nomtn.. 4 de Janv. 121 nomln., tend. calme. Clôture bas* de Jiq. 122,50, rourant 122,50 vend., prochain 120 achet., nov.-déc. 121,50 achet., 4 de nov. 122,50 nomin., 4 de janv. 124 nomln.. tend. sana air.

Sucres. Ouverture: courant Î44, 244,50, ;iô. prochain 233 à 233,50 3 d'octobre 23C à 233,50. 3 de nov. 233, 233,50, 234, tend. terme Clôture: courant 243 à 943.50, prochain, 3 d'oct. incotés, 3 de nov. 332,50 & Î33, tend. calme. cote officielle 245 à 247.

Alcools libres. Ouverture: toutes époques lncotees. Clôture: courant, oct. incotes. 3 d'oct. 845, nov.-déc. incoté, tend, calme.

Halles. Ouverture et clôture: de lin et de colza: toutes époques Incotées.

HALLES CENTRALES

Parts, 27 «epembre.

Criée de. viandes. Arrivages bœuf» 98 856 kg-, veaux 99 140 kg., moutons 38 608 kg., porcs 23 244 kg.

Bœufs. Le kilo: quart de derrière. 6,50 à 12,50, quart de devant 4 à7,70, aloyau p a I8,so, paleron 4,50 à 8.

Veaux. Le kilo première qualité 12 à 13,80, deuxième «.80 a 11,00, troisième 7 à 9,70, panscuiises 8 à 16.5".

Moutons. Le kilo: première qualité 14 à 16. deuxième 10.50 i 13,90, troisième 7,50 à 10,40, glgot 11 i 20.

Porcs. Le kilo première qualité 12 a 12.60. deuxième 8.50 a 11,90, nlet 10 a 17. poitrine 9 à 11,80.

Beurres. Arrivages: 34 601 kg. Le kilo: centrifugea Normandie 33.80 a 27.50, Bretagne J2 à 26, Charente et Poitou il à 28,50, touratne ît à 28. divers 19 a 25. marchands Normandie 17,50 a 24. Bretagne 17.50 à 23.Î0, Centre 17 k 21, divers 19 à 25. Œuf». Arrivages: 600 colis.

Le mille: :onnandie 710 à l 000, Breiagn» :sso à 80fi, Touraine 730 a 1 000, Bourbonnais et Nivernais 700 K 850, Poitou 640 a 1 000, Auvergne 740 à 800.

Fromages. Brte laitier, les dix, 80 à 240: le cent: camemberts Normandie t40 à 450, divers 70 k 270, Pont. l'Eveque 250 a

Après le Congrès maritime de BoJop

Une bénédiction du Pape. En réponse à l'adresse qui lui avait été envoyée par Mgr l'évêque d'Arras au nom du Congrès de la Fédération des ouvres catholiques pour marins, qui vient do se tenir à Boulogne-sur-Mer, S, S. Pie XI a daigné faire transmettre, dans la dépêche suivante. sa bénédiction et ses encouragements

Gitta del Vatloano,

*4 septembre, 15 h. 33.

Agréant hommages du deuxième Congrès d'apostolat maritime, le Saint-Père remercie et formant vœux que les buts de la Fédération en faveur des marins obtiennent pleins résultats, envoie aux congressistes comme gage des faveurs tfntne* la Bénédiction apostolique implorée. Card. Gaspariu.

Le IV Congrès de la Fédération internationale des Syndicats chrétiens d'employés

La Fédération internationale des Syndicats chrétiens d'employés vient de tenir à Munich son IV» Congrès auquel ont pris part huit organisations nationales sur douze qui la composent et 115 délégués.

Après le discours d'ouverture prononcé par M. Habermann (Hambourg), président, le rapport moral, présenta par M. le Dr Thiele (Strasbourg), secrétaire administratif, fait ressortir l'activité et les constants progrès de la Fédération qui compte actuellement plus de 600 000 adhérents.

Diverses résolutions ont été adoptées » la suite des communications faites par M. G. Tessier (Paris), secrétaire général, sur la durée du travail des employés par M. Kleinschmitt (Berlin), sur la politique syndicale en matière de salaires par M. Fuykschot (Amsterdam), sur les répercussions de l'emploi des machin*» de bureau par M. GericlUen (Francfort), sur la protection des inventeurs salariés.

Deux soirées avaient été organisées par les Syndicats allemands d'employés et par la municipalité de Munich.

Chronique parisienne Créera-t-on des trottoirs sous arcidis aux angles des russ de Paris? M. Luquet, conseiller municipal. vient de déposer un projet de délibération invitant la préfecture de la Seine et la préfecture de police à étudier, en vue de faciliter la circulation, le rescindement des trottoirs aux angles des voies il circulation intense, lesdlts trottoirs étant reportés sous encorbellement des immeubles en bordure.

Las marchanda du Carreau du Temple et le placement par priorité.

On Mit que les mutilés ont obtenu, voici un an et demi, leur placement par priorité sur le Carreau du Temple. Les anciens combattants, à leur tour, ont demandé à bénéficier de la mtoe faveur. et la préfecture de la Seine se propose de modifier en ce sens le mode actuel de placement.

Au cours d'une assemblée générale, les autres marchands du Carreau, se prétendant lésc? par la mesure envisagée, ont voté un ordre du Jour demandant le maintien du statu «7110. Les réparations de l'église

de Saint-Jacques da Haut-Pu.

Le conseiller municipal du quartier du Val-dc-Grace, M. Robert Bos, s'inquiétalt, le mois dernier, de voir depuis !e début de l'année le clocher de SaintJacques du Haut-Pas masqué par des échafaudages sur lesquels on ne voyait guère travailler d'ouvriers, et Il adressait h po sujet une question écrite au préfet de la Seine.

M. Renard vient de faire connaîtra sa réponse.

On devait. au début, remettre en état les abat-sons et refaire les tuyaux de descente du clocher. Mais, ces travaux terminés, on s'aperçut que la maçonnerie de la partie supérieure du clocher était en mauvais état. que les cadrans des quatre horloges menaçaient de se détacher. Ce sont ces réparations nouvelles qui ont fait maintenir les échafaudages dont la présence Inquiétait M. Robert Bos.

La fêta des vendanges à ârgenteill. La ville d'Argpnteuil (Selne-et-Oise) organise, du 28 septembre au 6 octobre, une fête des vendanges, qui sera marquée les trois premiers jours par un concours horticole et viticole.

ACADÉMIE FRANÇAISE

L'Académie française a renouvelé son bureau peur le dernier trimestre M. Louis Madelin succède, comme directeur, à M. Abel Hermant, et M. H.tDotaux, cemme chancelier, à M. Henri de Hégnier.

Les huit académiciens présents a 'a séance ont continue la revision du Dictionnaire. Ils ont supprima quelqniwunes des locutions composées iv'jj le mot | oiseau telles quo olseiu de leurre.

480; les 100 kg. comté et (Mverf 700 t 1 200, Port-Salut 600 k i 450.

Volatiles. La pièce: pigeons 3 à 11; le kilo: canards 16 a 18,50, lapins morts 11,25 a 15,25 poulets morts 14 k Si, vivants 12,50 » 14,50.

Légume». Les 100 bottes: navets 100 a 17V les 100 kg.: ail 350 à 450. carottes communes 50 Il PO, de conserve 750 à 1 000, éptnards 120 à 200, oljnona en grains 80 a 200, oseille mo à 200, pommes de terrt Hollande communes K k 100, jaunes communes 80 k 40, saucisse rouge 50 k 60. MARCHE AUX VEAUX

Paris, !7 septembre.

Veaux Invendus de la veille U9, amenés 89, invendus ce jour 40.

Le kilo (cours non officiel!). Premiére «juallt* 14.50, deuxième 1», troisième 9,20. Tendance calme.

Arrivages par départ emen ta Cantal 6, Indre-et-Loire 23.

MARCHE DU HAVRE

Le Havre, 27 septembre.

Coton». Ouverture: sept. Incoté, oct. 617, nov. 610, déc. 609, Janv. 610, fév. 612, mars 615, avril 613, mai 615, juin 611. juin. 613, aooi 612. Tend, facile. Ventes 600 balles.

Café*. Ouvertnre: sept. 422.75, cet. 426,25. nov. 423,85, déc 424,50, Janv. 421, fév 419.25, mars 419, avril 4I5.S0, mal 414. juin 410.25. juin. 409,50. août incolé. Tendance calme. Ventes nulles.

Poivre». Saigon: sept. 965, net. 970, nov 980 dér. 980. Jsnv. 980, fév. 980. mars 980. avril 980, mat SU, Juin 945, Julll. 945, août Incoté.

Llverpool. 27 septembre.

COtont. Cet. 9.84, Janv. 9,88. mars 9,»S, mai 10,02, julll. 10.01.

MARCHE AUX METAUX

Londres 26 septembre.

Antimoine qualité spéciale 52 a ss.lO; culvre comptant 73 16/10 1/t, trois mois 74 9/4 1/2. best selected 78,10 k 79,15. électrolyuc

NOS AMIS DEFUNTS

t Jésus, marie, joseph

llnd. 7 <M« <̃( 7 qua-r. chaque f«èl4

(hvd. 7/&ON et 7 quar. cAapw /nt~ j

M. l'abbé Cantrel. chanoine titulaire de Versailles, chancelier de l'év^ché, dé. cédé le 26 septembre. Mme Erntsi Dury, pieusement décédée à Paris. A Versailles, M. Germond, 23 ans, frèr» d'untj" ouvrière de la Bonne Presse. M. Charles Denis. 66 ans. à Suippei (Marne i. Mme de Maloré de SaintPaul, née Einille-.Marie-CaroUne Ernault de Moulins, décédée au Mans. NECROLOGIE

Les obsèques de M. le chanoine C«ntrel auront lieu lundi 30, à 10 heure»» k la cathédrale de Versailles.

Après le Concordat

entre le Mèseji Me L'enseignement religieux dans lea écoles italiennes. Le Conseil des ministres aurait approuvé deux décrets concernant l'enseignement religieux dans les écoles moyennes et les programmes de l'enseignement. Aux termes de ces mesures, qui s* rapportent A l'article M du Concordat entre l'Italie et le Saint-Siège, l'enseignement religieux serait introtuit dans toutes les écoles moyennes. Les professeurs seraient nommés chaque année par le chef des différents Instituts, après consultation da l'Ordinaire diocésain. Les élèves pourrsient être dispensés de fréquenter les cours religieux à la demande des parants.

EN L HONNEUR

de sainte Thérèse de l'Eafant-Jésus. A Saint-Jean-Baptiste de Greaelle, place Félix-Faure. Paris, XV*, les mardi 1", mercredi 2 et jeudi 3 octobre, aura lieu un triduum sofennel en l'honneur de sainte Thérèse de l'EnfantJésus.

A 17 heures, sermon par M. l'abbé Gulard, aumônier du cours Dupanloup, et Salut.

Jeudi 3, fête patronale des membres de la confrérie de perpétuelle reconnaissance à sainte Thérèse de l'Knfant-Jé»us et des Amis de sainte Thérèse. A 8 heures, messe de communion* à 17 heures, office solennel, sous la présidence de M. le chanoine Désormeaux; sermon par M. l'abbé Gulard et Salut solennel et bénédiction de yltraux dans la chapelle de la Reconnaissance à sainte Thérèse.

Nouvelles religieuses Le Pape a reçu jeudi Mgr Et. ihazeni, archevêque-maronite au Liban., M. l'abbé Uastier, en eongt; à Dijon, a été nommé professeur k l'Institution Notre-Dame de Sainte-Croix, k Ncuillysur-Seine.

Le cardinal Dubois, archevêque de Paris, après avoir pris l'avis des con.sulteurs, en vertu des canons 1395-t399, avait condamné et inscrit à l'Index des livres prohibes dans l'archidlocèsc l'ouvrage suivant René Kopp. Le Problème religieux, position et solutions. Paul Leymarie, éditeur. Paris. 1929.

Mgr Ginisty, évoque de Verdun, présidera. le 6 octobre, l'inauguration de l'orgue otrert par la famille royale do France à la chapelle de 1 Ossuair» de Douaumont.

Mgr Ginisty annonce dans une lettre circulaire la mort du cardinal Dubois qui fut de 1901 k i910 évéqui de Verdun.

AVIS DIVERS Cérémonie remise. En raison du deuil qui frappe le diocèse de Paris, la consécration du sanctuaire de SainteThérèse de l'Enfant-Jésus, d'Auteuil, qui devait avoir lieu te ( octobre, «ou» la présidence de S. Em. le cardinal Dubois, est remise à. une date ultérieure. Basilique de Nntre-Dame.-des-Victoires. Jeudi 3 octobre, fête do sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus. La relique de la Sainte, pèlerine de Notre-Dame-des-Victoires, sera exposée à 16 h. 30 après le Salut, et sera présentée, dès ce moment, k la vénération des fidèles. Retraite des conscrits et messe da dé'rinrt rue retraite pour les conscrits de la deuxième portion du contingent, classe 1929, sera prêohr-e les mercredi 9. jeudi 10 et vendredi 11 octobre, à vo h 1/2, dans la crypte, 76, rue des Saints-Pères, Paris (VIIv, par M. l'abbé irardfiUe. Ln messe de départ sera célébrée le 12 octobre, à 8 heures, à Notre Dame des Victoires. Tous les jeunes soldats sont invités k cette reImite et cette messe.

Ecole pratique de formation sociate. Ecole pratique de formation sociale de l'Union familiale, 185, rue de Cliaronne, Paris-XI', reprendra sus cours pour la formation de jardiniers d'enfants, la lundi 14 octobre. L'école a quelques chambres à la disposition des élèves de province. Ecrire à Mlle Perron, 185, rue de Charonoe.

CELUI QUI DONNE.

PRÊTE A DIEU

M, l'abbé Varolle, oure de St-Cyr-Larootta (Corrèzc), prévoit, pour de» travaux Indispensable* â une ch.ipello de palerlnag* dédiée à Ma-le, une dépense de 3 000 frano*. Tout. offrande la rendra reotnnaluant en même tempe qu'aile réjouira le Mur da la Trèa Sainte vierge.

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84,3 à 84,15. étaln comptant 303 6/3, troi» mois 207 8/9. plomb anrlals comptant 35. étranger comptant 2'1 13/0, étranger Uvralson eloisrnôe 23 11/3: zinc comptant 83 11 A. Hvralbun éloignée 23 18/9; argent comptant S3 0/16, deux mou 23 5/8; or M.li 1/2; mer- cure 26,10.

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La doctrine sociale catholique au Bureau international du travail

La conférence internationale du travail^ qui s'est tenue à Genève au mois de juin dernier, a élu à l'unanimité pour son président un prêtre catholique, le IY Brauns, qui fut pendant huit ans ministre du Reich allemand. Une autre ses- sion avait été présidée par i Mgr Ntolens, ministre d'Etat et dé- légué des Pays-Bas. C'est dire que < les catholiques tiennent une bonne place à la conférence, rôle bien justifié si l'on songe qu'ils ont été des précurseurs en matière de législation sociale. Le directeur du B. I. T. leur en a d'ailleurs rendu témoignage à plusieurs reprises.

L'année dernière, dans son rapport général, il s'était appliqué à suivre le développement de la doctrine sociale du catholicisme. Cette année, il 'a poussé l'analyse un jxiii plus loin. II note que les Encycliques pontificale?', ainsi que les mandements épiscopaux, no prétendent pas édifier un système j économique et social ils ont seu- lement pour objet de rappeler les principes séculaires de la justice et de la charité, et de donner aux hommes d'action une direction capable d'orienter leurs initiatives, aux prises avec les contingences mouvantes des réalités industrielles.

Ml Albert Thomas a tenté de préciser cette année les idées du groupement le plus influent et le plus constructif, celui des catholiques sociaux. Convaincus que la vie humaine est la richesse par excellence, ils font reposer leur doctrine sur l'éminente dignité de la personne humaine et la nécessité de la société pour son épanouissement intégral. Les maux dont souffre le monde industriel ont pour cause un régime anarchiste de liberté individualiste. Gérant du bien commun, l'Etat a une action positive à exercer dans la vie économique. Mais, sous peine de négliger ses fonctions essentielles de politique extérieure et intérieure, il ne doit pas être accablé par des tâches économiques et doit s'en décharger sur des collectivités intermédiaires toutes proches de la variété des besoins personnels et des nécessités industrielles.

C'est en ces termes excellents que M. Albert Thomas résume la doctrine des catholiques sociaux en ce qui concerne l'intervention de l'Etat dans la vie économique. 11 rappelle ensuite que-, dès 1807, l'Association catholique lançait la formule que l'unanimité des catholiques sociaux acceptent aujourd'hui « L'Association libre dans la profession organisée. » D'ailleurs, pour cette organisation, ils entendent bien ne pas imposer aux faits une conception abstraite, mais laissent à l'évolution économique et sociale la tâche d'entrainer et de modeler l'ordre nouveau. Ils n'hésitent pas à accueillir 1 la tendance, générale aujourd'hui chez les travailleurs, à réclamer une collaboration plus étroite entre les éléments de la production et une part plus grande dans la gestion des entreprises. Il est donc naturel que des liens de sympathie active se nouent entre le Bureau international du travail et les catholiques sociaux, mais il ne saurait être question d'établir entre le Bureau et l'Eglise des liens organiques.

On notera qu'à la douzième réunion de la conférence, les délégués ouvriers belges, dont deux étaient des syndiqués chrétiens, ont joué un rôle actif dans le débat sur le travail forcé aux colonies « Le principe de la protection nécessaire à accorder à la dignité humaine de tous les travailleurs, de toute race et de toute couleur,

FEUILLETON DU 28 SEPTEMBRE 1929 17 Le Rat

des champs

Non, nous ne partageons pas vos idées. Nous sommes nées à la campagne. nous l'aimons.

Et puis. il faut des rats des champs. Cette fois, René ne rit pas. C'est la silencieuse qui a dit cette phrase, un peu tr.'stement.

Pourquoi? demande-t-il sérieux. On dirait qu'elle regrette d'avoir parlé. Elle, rougit un peu. Bess relève lestement la balle.

Pour nous défendre, dit-elle très vite. Si cela continue, nous serons étouffés, enlisés, nous disparaîtrons, nous, les anciennes familles du pays.

Celles-là aussi des prêcheuses quel dommage 1 pense René qui dit tout haut Je respire, du moment qu'il ne s'agit que d'un tort moral je redoutais un vrai danger matériel.

Mais celui-là aussi existe dit simptement Odette.

Et cette fois, elle explique:

Nous sommes entourés d'hostilités pourries mais réelles. Les convoitises paysannes peuvent les entraîner très loin.

UQstions JCvConomiq ues et oociales

ont-ils dit, est essentiellement chrétien, et nous ne pouvons, du point de vue chrétien, que désirer sa réalisation la plus complète. » On sait, d'ailleurs, qu'un reli- gieux, le R. P. Arnon, dont tous ceux qui s'intéressent aux ques- tions économiques et sociales con- naissent les travaux, a été chargé ¡ d'assurer au jour le jour les relations nécessaires entre les milieux catholiques et le Bureau international du travail. Tous ceux qui ont eu le plaisir de l'entendre lors de la conférence qu'il a faite à Lyon, cet été, n'ont pas oublié ce qu'il a dit des services que pouvait rendre le B. I. T.

La douzième conférence avait à son ordre du jour la prévention des accidents du travail, question d'une importance capitale, si l'on songe qu'en France, en une seule année, 2082 ouvriers sont morts victimes de ces accidents. Et notre pays n'est pas celui où la proportion des accidents mortels est la plus forte. La conférence a adopté à ce sujet le texte d'une recommandation qui I sera adressée à tous les Etats. Nous aurons lieu d'y revenir.

La seconde question importante dont on s'est occupé à Genève est celle du travail forcé, c'est-à-dire du travail imposé à un individu sous la menace d'une peine prévue ou non par la loi. Il s'agit là des conditions de travail qui sont souvent faites aux indigènes des colonies. Comme la question venait pour la première fois devant la conférence, celle-ci s'est bornée à élaborer un questionnaire qui va être envoyé aux gouvernements et fera le point de départ d'une enquête. D'ailleurs, le débat a été mené avec calme.

Rappelons que, contrairement à ce qui se passe à la Société des Nations, où la délégation de chaque pays n'a qu'une voix à la conférence internationale du travail, chacun des délégués, gouvernemental, patronal ou ouvrier, vote individuellement en séance plénière. Le lien d'Etat ne joue donc pas comme à la Société des Nations. A chaque session, il se forme trois groupes délégués gouvernementaux, patronaux et ouvriers. En général, ce n'est pas entre Etats que les discussions s'établissent, mais entre groupes. Ces discussions sont normales, puisque les points de vue sont différents. Mais, peu à peu, l'accord s'établit, parce que, sous ses formes variées, le service social dans l'industrie repose sur un principe commun. M. Albert Thomas l'a proclamé à la conférence internationale du service social qui s'est tenue à Paris l'année dernière « Quelles que soient nos convictions respectives, nos activités politiques, il y a une pensée qui nous unit tous, celle qu'un grand orateur chrétien formulait ainsi le respect de l'éminente dignité de la personne

humaine. »

1 humaine. Antoine DE Tarlé.

La taxe du sucre Le Journal Officiel a publié rarrité suivant, pris par le ministre des Finances

Le cours moyen du sucre pour la campagne 1" septembre 1928-31 août 1929, tel qu'il ressort des cotes officielles publiés par les courtiers assermentés de la Bourse de Paris, ressortant à 241 fr. 27 les 100 kg., la valeur du sucre, droit de consommation compris, devant servir de base pour la période allant du 1" octobre 1929 au 30 septembre 1930, au calcul de la taxe unique de 6 prévue par l'article 29 de la loi du 27 décembre '927, s'établit à 341 fr. 27 par 100 kg. On sait que la taxe sur le chiffre d'affaires qui était de 2 et qui se payait plusieurs fois, a été remplacée par une taxe unique à la production, fixée à 6 7o.

Vous ne parlez pas sérieusement, proteste René, vous n'êtes entourées qu'j de gens paisibles.

La plupart, oui, mais si leur intérêt les pousse, ils peuvent devenir terribles. Vous voyez, triomphe Mabille, ma sœur vous te disait hier aussi.

René hoche la tète.

J'ai peine à vous croire, dit-il, voyez tout ce qui vous entoure, 1« calme, la paix, la douceur de vivre.

Oui, le décor, mais l'envers?

Il les regarde stupéfait.

Seriez-vous peureuses ? q

EUes protestent vivement toutes. D'ailleurs, conclut Odette, personnellement, nous n'avons rien à craindre tant que mon grand-père vivra. Un homme se fait, respecter, mais la vie d'une femme de notre rang est hérissée de difficultés ici. Hélas 1 soupire Mabille, jamais nous ne vendrons notre château. Ils sauront bien nous empêcher.

Pourquoi? demande encore René, qui sent le besoin de paraître intéressé à la question.

Parce qu'eux-mêmes, les gens d'ici, le convoitent à vit prix et feront tout pour éloigner les acquéreurs sérieux.

Le jeune homme reste sonçeur.

Vous me déroutez, finit-il par dire. Vous m'abîmez ma Gascogne qu». moi, je retrouvais intacte.

Parce que vous n'y avez plus d'intérêts, dit vivement Aiint.

La statistique de la production du blé!

–t~t~t.

Quelques observations

Le problème du ravitaillement en | blé de notre pays, où l'on est grand mangeur de pain, est l'un des plus importants et l'un de ceux qui méritent la plus exacte attention. La présente année nous offre très oppor- tunément le bienfait d'une récolte exceptionnellement abondante. Acceptons-en avec satisfaction le précieux avantage, mais ne nous aban- donnons pas à une trompeuse sécurité. Ce que nous ont valu des con- ditions atmosphériques propices peut ne pas se retrouver 1 an pro- chain, surtout si l'on ne persévère pas énergiquement dans les mé- jthodes de production intensive et si l'on n'adopte pas un système économique capable de garantir à l'agriculture la juste rénumération de ses efforts et de ses débours. La statistique provisoire de la ré- coite de blé en 1929 vient de paraitre. Ces chiffres officiels appel- lent quelques commentaires suscep- tibles d'éclairer les décisions à prendre.

La première indication qui frappe dans les colonnes de cette statistique, c'est la réduction fort sensible de la superficie consacrée à la culture du blé. Cette surface décroit sans cesse. De 6 328 564 hectares en 1913, elle est passée à 5 613 840 en 1925, à 5 249 3a0 en 1926, à 5 287 150 en 1927, à 5 243 330 en 1928 et à 5 159 520 cette année. Cette réduction des cultures en étendue a porté principalement, la chose est certaine, sur l'abandon pour la production du blé des terres médiocres ou mauvaises, desquelles on n'obtient que de faibles rendements. Elle a aussi atteint, dans une certaine proportion, les régions bonnes productrices où les cultivateurs, déçus dans le passé par le résultat obtenu de la culture du blé, ont, sinon abandonné, du moins restreint celle-ci.

La production totale classe l'année 1929 parmi les plus favorables. En 1925, on avait atteint un chiffre record avec 89 904 820 quintaux, soit exactement les besoins de l'alimentation nationale., Après, vient 1913 avec 86 919 050 quintaux, puis 1928, 76 554 020; 1927, 75150 440 et 1926, 63 077 400.

Le rendement à l'hectare dépasse, pour 1929, toutes les prévisions avec 16 quintaux 87. En 1925, on avait atteint 16 quintaux 03. Les autres années furent beaucoup plus faibles: 1913, 13,28; 1926, 12,01; 1927, 14,22; 1928, 14,60.

Cette année, le département du Nord tient la tête de la production nationale avec un rendement de 27 quintaux par hectare, pour une | production globale de 2 millions j I 816 000 quintaux. Seine-et-Oise suit f de près avec un rendement de 26 et un total de 1 924 000 quintaux. La Seine, ce qui peut étonner, reste un département producteur intensif de blé. Les terres v sont merveilleusement appropriées à cette production. Malheureusement, le lotissement, la bâtisse ont chassé la culture. Mais, dans les coins du sud du département où subsistent

A La Motte-Beuvron, en Sologne, 3'est tenue une Journée de la pomme de terre dans le but de présenter une série d'appareils, notamment, les planteuse-j, les -«radieuses, les trieuses, les pulvérisateurs. Voici une 'arracueuse en action elle permet d'arracher une étendue de deux hectares par jour et laisse moins de tubercules que dans l'arrachage fait à la main.

Sans quoi, vous ne railleriez pas les rats des champs, reproche Odette, un sourire mélancolique inattendu sur sa bouche malicieuse.

Sur le moment, René pense seulement qu'elle est plus jolie ainsi. Plus tard, il se souviendra, et dans quelle circonstance de cette expression étrange, à la fois vaillante et meurtrie.

Je demande à me disculper, dit-il. Si ma sœur et moi avons décoré de ce surnom notre cousin, c'est un peu sa faute. Au cours des partages de famille, il avait une façon de nous mépriser, nous les citadins, de nous prédire un avenir incertain, même misérable, tandis que lui vivrait grassement sur sa terre, que le mot vint tout naturellement à nos lèvres. Eh bien c'est un malentendu et voilà tout, dit très vite Odette, qui semblait sur cette question perdre son mutisme. Le rôle du rat des champs est aussi noble et beau que mal compris, autant par celui qui le détient que par ceux qui n'auraient pas dû le lui laisser. M. de Daransot arrivant à cet instant coupa court à la discussion, et René quitta Beaulieu. non sans promettre de revenir fréquemment.

C'est décidément la jour de> visites, pensa-t-il en franchissant le soir même la barrière des Dulac.

I* contraste l'amusa. Bien ne ressem-

des exploitations agricoles, les ré- sultats obtenus sont très brillants; pour une superficie de 1 880 hectares, la récolte atteint 45 120 quintaux, ce qui donne un rendement de 24.

Au point de vue du poids moyen j de l'hectolitre, le département de la Vienne l'emporte avec 60 kg., alors que la moyenne générale reste à 76,90.

La Corse, l'Ariège et la Meuse ont cette année le plus faible rende- j 1 ment, soit dans l'ordre 6, 9,36 et 9,75.

La région du Nord, réunissant 14 départements Nord, Pas-de-Calais, Somme, Aisne, Oise, Seine, Seine-et-Marne, Seine-et-Oise, Eure- et-Loir, Seine-Inférieure, Eure, Cal- vados, Manche et Orne, se place au premier rang de la production na- tionale avec 22 003 320 quintaux et un rendement de 20,99. Ensuite, vient l'Ouest (Sarthe. Mayenne, Maine-et-Loire, Ille-et-Vilaine, Côtesdu-Nord, Finistère, Morbihan, LoireInférieure, Vendée, Deux-Sèvres et Vienne) avec 19 651 490 quintaux et un rendement de 18,39.

Les superficies ensemencées ont été à peu près les mêmes dans ces deux régions 1 048 040 hectares pour le Nord et 1008 550 hectares pour l'Ouest. Compte tenu de la qualité générale moyenne des terres dans ces deux parties de la France, les spécialistes sont d'accord pour reconnaître que la supériorité de la production et du rendement dans la région Nord tient pour une bonne part à la mise en oeuvre de moyens intensifs de culture extrêmement développés.

Et cet exemple doit inciter, partout où c'est possible, à user des mêmes méthodes. Il y va de l'intérêt privé du producteur comme de l'intérêt public.

Jean OSCHE.

Les décisions

du Congrès du coton Le Congrès international du coton, tenu à Barcelone, a adopté les conclusions suivantes Demander au gouvernement des Indes que les balles de coton à exporter soient marquées suivant leurs caractéristiques

Stimuler la culture du coton dans les pays neufs

Demander l'appui des gouvernements notamment pour l'irrigation et les transports

Fonder en tous pays des Comités de propagande pour répandre l'usage des tissus de coton, en coordonnant les efforts dans une fédération internationale

Fixer à 9 l'humidité du coton égyptien

Défendre aux producteurs de mélanger le coton, ni dans l'engrenage, ni dans la presse, en autorisant seulement le mélange dans les filatures. Sur la proposition de M. Schlumberger, président de la délégation française, le Congrès a décidé de tenir sa prochaine réunion de 1931 en France.

VI

blait moins à Beaulieu et à ses habitants que la maison du « Campanè ». François l'attendait sur le seuil et le reçut très cordialement. Mais, le premier moment passé, ce ne fut plus que démonstrations vaniteuses, ridicules même. Les parents de François, paysans enrichis, secrètement flattés de cette visite, mettaient un orgueil déplacé à ne pas paraître éblouis. Avec ostentation, on reçut René dans une I pièce d'apparat, dont le luxe faux parais- sait aux propriétaires le comble du haut goût. Le père, lèvres minoes, front têtu sous le béret, parlait un français difficile, mais pompeux la mère, plus affinée, ne portait plus, bien entendu, la casaque et le foulard traditionnels auxquels son amie Frisette restait fidèle. Elle seinblait empesée dans une belle robe, revêtue pour la circonstance, et dans son fau- f- teuil de velours rouge prenait des poses étudiées (mais mal réussies).

Les nerfs de René commençaient à se crisper. Oh évidemment, Monsieur, vous qui êtes de Paris, vous devez trouver tout bien petit et bien laid, chez nous, I répétait-elle avec le désir évident d'entendre un démenti formel.

René, le malicieux, se hâta de lui tourner un compliment sur son beau salon, j Mais elle secoua la tête d'un air entendu. Non, non, je sais bien, tout cela c'est politesse. On est mal logé, on le sait

Un nouveau projet de loi sur les assurances sociales

III. Modifications au plan financier Pour donner au commerce et à l'industrie un délai d'adaptation, le gouvernement propose de réduire les cotisations à 6 en 1930 et. à 8 ri en 1931, mais, dit l'exposé des motifs, il ne peut être question de retarder l'octroi (?) aux salariés des pleins avantages de la loi.

Or, on prévoit que les salaires assurés atteindront 52 milliards par an, les agriculteurs non compris. La cotisation de 10 se montera donc à 5 200 millions (soit dit en passant la capitalisation pour les pensions de vieillesse retiendra un milliard 700 millions chaque année, deux mil- liards au moins avec le? agriculteurs et les assurés facultatifs on conçoit que notre socialisme d'Etat soit tentéV En 1930, il ne sera payé que 6 ec 3 120 millions en 193l" 8 4 160 millions. Le déficit pour deux années dépassera 3 milliards, plus les subventions aux assurés agriculteurs qu'on évalue modestement à 150 millions (1).

Notons encore qu'en régime normal. la Caisse général de garantie prélèvera, au titre de la réassurance. 350 millions environ par an sur les salariés de l'industrie et du commerce, et 30 millions au moins sur les agriculteurs. Semblable retenue ne semble pas être prévue sur les fonds réservés à l'assurance-vieillesse, que la Caisse générale de ga- rantie utilisera autrement. On conviendra que cette réassurance n'est] pas avantageuse si elle était confiée à une Compagnie privée, au bout de dix ans, celle-ci no saurait plus où placer ses capitaux.

Dans ces conditions, voyons quel système e?t prévu pour rétablir I l'équilibre.

La loi du 5 avril 1928 stipule que l'Etat laissera, inscrit à son budget pour la Caisse générale de garantie le crédit ouvert, au titre des retraites ouvrières, par la loi de finances de l'exercice 1926 (art. 69, 5. 2'), soit 240 millions. Depuis le 5 avril 1928. les majorations et bonifications accordées pir l'Etat aux retraites ouvrières sont passées du triple au qua- druple, on envisage de les multiplier' par cinq en 1930 et 1931. Et dit l'exposé des motifs, dont le rédacteur doit avoir l'habitude du jeu de Bourse « Nous proposons ferme ce quintuplement dès la mise en vigueur df la loi (5 février 19.30 <> Dans ces conditions, le service des retraites ouvrières n'absorbera plus 240 millions, mais 540 un demimilliard. Cette charge s'éteindra complètement en i960. C'est la raison qui fait proposer qu'on maintienne indéfiniment ce crédit de 540 millions qui laissera des disponibilités croissantes pour les assurances sociales.

En outre, au lieu de remettre à la Caisse généraln de, garantie, la moitié des économies réalisées sur les dépenses d'assistance, par suite du fonctionnement des assurances sociales. l'Etat donnera la totalité desdites économies. On trouve là encore 120 millions environ.

Bref. au total, les assurances sociales bouteront au Trésor public 750 à 800 millions au lieu de 350. Ceux qui ont encore le sens, le bon sens de la gestion des fonds publics, se frotteront les yeux. Car voici ce que dissimule le raisonnement ministériel

« I.a situation économique exige un allégement des cotisations pour I les assurances sociales. Il sera de 3 milliards en 1930 et 1931. Mais comme nous entendons maintenant toutes les dépenses d'assurances et comme il faut bien combler le déficit qui en résulte, nous inscrirons au budget 500 millions de plus, indéfiniment. Vous économiserez 3 milliards en deux ans, mais vous en payerez par ailleurs 5 en dix ans et 10 en vingt ans. »

C'est la princesse qui paye, dit le langage populaire. Il semble qu'au gouvernement même on ait le sentiment que cette princesse soit lointaine, et non toute proche du contribuable jusqu'à se confondre avec lui.

(1) Nous donnons un calcul simple et qui nous parait assez précis. Les jongleries arithmétiques, proposées par l'exposé du motif et son annexe, nous entratneraient trop loin, inutilement.

bien, mais quoi faire? la maison est pe- j 1 tite. Enfin, on verra plus tard. Les yeux du père luisent, méfiant?, à cette phrase. Oui, on verra, se hâte de dire François. Cela peut changer. Si on avait une bonne chance.

Il a un geste évasif. Ses parents le contemplent, avec orgueil. Ce fils unique est toute leur vie, on le lit dans chaque geste, chaque met Quand François ee mariera.- Pour les enfants de François. Pour quand nous aurons une belle-fille. Sous cet angle seulement, ils sont sympathiques à René, l'amour paternel les fait parattre moins ridicules ou haïssables. René sent, d'ailleurs, que le fils est le meilleur de tous, moins âpre, moins rusé, moins orgueilleux. Par moments, il retrouve le jeune paysan apeuré qui, là-bas, jadis, aux temps héroïques, s'était attaché à lui.

Nature facile, il subit l'influence, juge René sans se tromper d'ailleurs. Si je vivais ici, je le retournerais, ce garçon, tandis qu'entre ces vilaines pattes. Depuis un moment, il ne peut détacher ses yeux des grosses mains rudps, les mains étalées sur 'les beaux habits et qu'on n'a pu changer, elles Elles sont osseuses, rouges, les doigts en crochets. René les voit très bien se refermer sur une proie.

n se hâte d*s lm-T 'i aigre les protestations.

Mais, pour les assurances sociales, les 750 millions additionnés par M. Loucheur ne sont qu'un espoir lointain de recettes ils ne rentreront dans les coffres de la Caisse générale de garantie qu'au fur et à mesure que les dépenses d'assistance et de retraites ouvrières disparaîtront, c'est-à-dire progressivement jusqu'en 1960. Il était donc indispensable de trouver d'autres ressources. C'est ici que M. Loucheur a eu l'idée la plus inattendue il propose de l prendre sur les fonds des Caisses Is d'assuranee-vieille^e, c'est -à-dire sur les comptes des assun-.s jusqu'au moment où les versements nouveaux, demandés au Trésor public et enfin libérés, permettront Ir rétablissement cela mène à 1973. De là, un article du projet de loi, qui stipule Im Caisse générale de garantie pourra se procurer des avances aupres de ta Caisse nationale de retraites et des autres Caisses d'assurance chargées de la gestion du risque vieillesse, dans la limite des sommes annuellement nécessaires pour faire face à ses obligations. On ne dit pas si les Caisses d'assurance-vieillfsse seront obligées de consentir à ces avances nécessaires, ni, en ce cas, qui en fixera le montant, ni comment les Caisses libres feront face à leurs propres obligations lorsque leurs capitaux auront pris le chemin de la Caisse officielle, ni enfin par quelle voie on les dédommagera des placements excellents qu' elles auraient pu faire et n'auront pas fait, si on leur arrache une partie de leur actif. On ne dit pas surtout quels engagements on fera prendre au Parlement, afin qu'il ne bouleverse pas huit ou dix fois, avant 1073. un équilibre flnanoier aussi mal assuré.

Bref, il faut bien dire tout net. dans l'intérét des assurés, qu'on propose une aventure pour maintenir le payement immédiat de toutes les prestations, mais en compromettant la bonne gestion de leur assurancevieillesse. On hypothèque gravement l'avenir pour un avantage momentané.

Il appartient au gouvernement de juger si la situation économique exige un allégement, temporaire des charges d'assurances sociales. Si oui, il e?t absurde de rejeter sur l'avenir le poids de cet allégement, dans l'ignorance totale où nous sommes, et le gouvernement avec nous, de ce que sera notre prospérité économique en 1932 ou en rite économique en 1950 et en 1970 (2*. En matière d'assurances, on donne selon ce que l'on a. Puisque donc on retient une cotisation de 6 en 1930 et de 8 en 1931, le bon sens veut que les prestations soient réduites en conséquence et non pas qu'on dérègle le jeu d'une assurancevieillesse, que la loi du 5 avril 1928 organise déjà assez mal. nous montrerons comment. N'était-il pas tout simple, trop simple sans doute, de retarder l'application de l'assurance-invalidité au 5 février 1932 et le payement des prestations médicales et pharmaceutiques, même évaluées à forfait, jusqu'au 5 février 1931. Pendant un an, l'assurance-maladie eût été réduite au payement du demi-salaire, pendant deux ans l'étude de l'assuranceinvalidité aurait pu être poursuivie, du moins maintenait-on l'équilibre financier en assurant une saina gestion de l'assurance-vieillesse, que le nouveau projet compromet. Le Parlement laissera-t-il faire? FI faut regarder de son côté.

Viance.

(2) Sept milliards de déficit dans notre balance commerciale, en huit mois il y a bien là matière à réflexion et prudence. Les assurés eux-mêmes doivent comprendre que ce déstrçullibre les at- teint directement leur Intérêt n"est pas qu'on l'aggrave.

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ti~it smtnl zQ rc\«t ~S 1'" Un vœu de la Chambre de commerce de Lille La Chambre de commerce de Lille a adopté te voeu suivant qu'elle a converti en délibération

« En vertu d'un principe posé par la loi du 31 juillet 1917. établissant un impôt sur diverses catégories de revenus, les contribuables peuvent, en ce qui concerne l'impôt général sur le revenu, évaluer les revenus de leurs propriéU' bâties ou non bâties d'après les règles applicables pour l'assiette de l'impôt foncier (art. 79 des lois codifiées par le décret du 15 octobre 19261. Toutefois, lorsque les propriétés bâties ou non bâties du contribuable' sont louées ou affermées pour un pri*; supérieur, compte tenu des frais de' gestion, d'assurances, d'entretien et» d'amortissement du capital immobilier, au revenu net servant de base kt la contribution foncière, le contrôleur» peut, à charge par lui d'en apporter la justification, substituer le montant du revenu réel au revenu net imposable,' lart. 92 dudit décret). En conséquence, le propriétaire d'ini-j meubles jouit d'une option. Il peut porter, à son choix, dans sa déclaration, soit le revenu net réel de sa pro-' prk'té, soit le revenu matriciel, tel qu'il ci été évalué pour l'assiette de l'impôt cédulaire, c'est-à-dire de la contribution foncière. Sans doute le contrôleur, quand il s'agit de propriétéa louées ou affermées, peut substituer au revenu matriciel déclaré le revenu réel, a charge de justification mais en fait,, le contrôleur use peu de cette faculté parce qu'il n'est pas en état d'établir le montant des dépenses effectives des frais de gestion, d'assurances, d'entra»tien et d'amortissement qui sont 4 retrancher du revenu brut. ) Le gouvernement, sous prétexte de. simplification et d'inégalités dans f l'imposition, a inséré, dans le projet de budget général de l'exercice 1930, un article 7, ainsi rédigé < Les con. tribuables peuvent également évaluer les revenus de leurs propriétés bâties ou non bâties d'après les règles applicables pour l'assiette de l'impôt foncier, s'il s'agit de propriétés dont ils se réservent la jouissance ou qu'ils exploitent directement ou par mé-î tayers. En ce qui concerne les pro-' priétés louées ou affermées, ils doivent} indiquer le montant de leurs recettes brutes, celui des charges qui grèvent lesdites propriétés, et le chiffre de leur revenu net réel de l'année précé-* dente. » Dès lors, deux méthodes distinctes^ seraient suivies, relativement à la fixation de l'impôt général sur le revenu immobilier. Si le propriétaire habite se maison ou exploite son bien, il aura le droit d'être taxé d'après son revenu matriciel. Si, au cnntraire, i\t loue ou afferme son immeuble, il sera taxé d'après son revenu net, qu'il sert tenu d'établir dans sa déclaration en/ indiquant d'abord le revenu brut, en. énumérant les Impôts et frais à charge et en les soustrayant pour obtenir le revenu réel. «. Le contrôleur pourra évidemment lu^ demander tous éclaircissements sur ce calcul et de là une source de difficultés et de complications.

D'autre part, il n'est pas douteux: que ce système va aboutir à une majoration de l'impôt sur le revenu car dans la plupart des cas le revenu matriciel est inférieur au revenu net réel. Outre que cette augmentation est en complète contradiction avec la po-* litique de dégrèvement amorcée par la loi du 31 juillet 1929, il est vraiment/ inopportun d'accrottre les charges si lourdes qui pèsent actuellement sur les revenus fonciers et il y aurait lieu, au contraire, de les diminuer. Il serait plus équitable et plus simple d'asseoir l'impôt, pour tous les redevables, sur le revenu matriciel, qui, en fait, tient compte, par une appréciation forfaitaire, des charges qui grèvent la propriété et notamment des grosses réparations, lesquelles, parfois, absorbent les revenus de plusieurs années. Ce serait le moyen d'éviter les discussions entre le fisc et les assujettis.

C'est pourquoi nous prions la Chambre d'émettre le voeu

c Que l'article 7 du projet du budget général de 1930 ne soit pas adopte par le Parlement.

» Et qu'en ce qui concerne l'établissement de l'impôt général sur le revenu des immeubles, les contribuables conservent dans tous les cas le droit d'évaluer les revenus de leurs propriétés bâties ou non bâties, d'après les règles applicables pour l'assiette de l'impôt foncier. »

Je suis heureux de t'avoir revu, dit* il sincèrement à son camarade.

Et pour plaire aux parents, il ajoute Et de t'avoir revu dans de telle» conditions. Tu es bien portant, richp. On proteste à la façon paysanne. Oh riches, il ne faut pas dire. Enfin, pour de bonnes terres, on a de bonnes terres, et plus qu'on n'en peut travailler, mais pour la loge.

René sait maintenant que cela veut dire la maison, le logement, et non pas une évocation franc-<maçonnique.

Pour la logp, on eat à l'étroit, mis enfin, on verra.

(A suivre.)

André Bruyère.

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Vie de M. de Cisseg, promoteur de l'oeuvre dominicale en France. Mme L. Bastie». In-12, 318 page», illustrations et portrait», 1 fr. 50 port, 0 fr. 85.

Un chevalier apôtre, Godefrog Chicard, '• P. J.-E. Drochon, A. A. Un vol, in-12, 3 francs port, 0 fr. 45. Relie, 6 f r. 50 port, 0 fr. 65.

Le P. Vincent de Paul Baillg, fondateur da la c Crois et de la Bonne Prease, E. LA. | costk. 184 pages, 160 gravures, 5 francs t port, 0 fr. 65. Relié, 9 francs port, 1 fr. Oi. i aox*> riLBMa. 5, »u« bâtard, rijuj, tp*


Simplifications apportées aux tarifs de chemins de fer en France

Nous extrayons de la « Chronique des Transporfs z Ies rensei- gnements suivants qui ne manque- jront pas d'intéresser nos lecteurs Les tarifs de chemins de fer se 1 présentent sous une forme com- plexe, qui tient à la nature même des choses. La variété des marchandises transportées et aussi la diversité des conditions de transport, la nécessité de répondre aux multiples combinaisons de la vie commerciale, eu tenant compte des différences dans la position géogra- phique, économique et technique des industries, montrent les multiples problèmes que posent ces situations j si diverses et les solutions d'une*; infinie variété qu'elles réclament. Aussi est-on étonné que le Recueil Chaix des tarifs français ait pu grouper en un volume aussi res- treint, puisqu'il ne comporte que deux in-folios (l'un pour la G. V., l'autre pour la P. V.), chacun d'un nombre de pages relativement peu élevé, les prix de transport appli- cables à toutes les catégories de voyageurs et à toutes les espèces de marchandises, entre près de 15 000 gares françaises et de 4 000 gares étrangères. La composition méthodique de ce texte, et aussi et surtout lcs revisions partielles qui, à des intervalles trop rares d'ailleurs, ont permis de coordonner et de simplifier la tarification, au fur et à mesure qu'elle devenait trop touffue, expliquent ce résultat.

Avant d'aborder l'examen des nouvelles simplifications apportées dans la présentation des tarifs qui viennent d'être adoptées par le Conseil supérieur des chemins de fer sur les propositions des réseaux, il convient d'esquisser à grands traits ce qui a été fait dans le passé, et aussi d'exposer les raisons le la réforme actuelle.

i. La aimplification des tarifs avant la guerre.

Dans la période antérieure aux conventions de 1883, les tarifs de chaque Compagnie sur les lignes qui leur étaient concédées avaient été établis peu à peu, sans aucun souci d'uniformité. Une classification des marchandises et des conditions générales d'application des tarifs propres à chaque réseau, des tarifs communs peu nombreux, tels étaient les traits saillants de cette tarification. Comme, d'autre part, tout en prenant pour règle ordinaire du calcul des prix des barèmes en fonction des distances, on avait dû, pour établir une tarification rationnelle, tenir compte des éléments plus complexes que les circonstances obligent à prendre en considération dans bien des cas, des barèmes spéciaux nombreux et de multiples prix fermes, répondant à des besoins particuliers, à des circonstances spéciales, étaient venus peu à peu se greffer sur les tarifs généraux. Ces éléments nouveaux s'ajoutaient à la tarification sans qu'elle fût débarrassée des déchets qui t'encombraient.

Les tarifs étaient donc compliqués à l'excès. Aussi, au cours des négociations qui précédèrent le vote des conventions de 1883, les Compagnies s'engagèrent-elles à procéder à une refonte générale de la tarification.

Effectuée au cours des vingt années suivantes, cette réforme a porté d'abord sur les tarifs à l'intérieur de chaque réseau, et ensuite sur les tarifs communs à toutes les Compagnies.

On adopta un groupement des tarifs identiques pour tous les réseaux. On rendit commune la classification générale des marchandises et les conditions générales d'application des tarifs généraux et spéciaux.

Une simplification considérable « été ainsi réalisée à cette époque, tant au point de vue du fond que de la forme.

Mais au lendemain même de leur refonte, les tarifs se sont compliqués de nouveau des prix fermes, destinés à répondre à des nécessités particulières et à permettre aux Compagnies de faire des essais locaux qui, généralisés ultérieurement, ont conduit à un abaissement progressif des prix de transport, furent mis en vigueur.

Ainsi, pendant !es quinze années qui ont précédé la guerre, la tarincation s'est alourdie de complications nouvelles, les réseaux se heurtant à un formalisme administratif minutieux quand ils voulurent pur-

Hpe telle

Les finances de i'A. 0. F.

Un ancien ministre des Colonies, M. Lebrun, parlant de la situation financière de l'Afrique occidentale française, assure que notre grande colonie africaine est 'en étit de pourvoir aux charges de son prochain emprunt sans faire appel à ta garantie d" !a môlropole.

Dans le projet de toi présenté en mai dernier par !e gouvernement en vuo o d'autoriser diverses colonies à contrac- ter des emprunts formant un ensemble de 3 milliards de francs pour l'amé- lioration de le;ir oulillage économique, l'A. 0. F. figure pour un chiffre de 1 365 millions de francs.

L'ensemble des travaux portés à ?on programme de passe a'alileurs 2 milliards de francs, la Uifft-r.'nce. soit 70$ millions devant e.tre demamiëe des ressources antres <nif l'emprunt. Le projet de loi porte que les annuités ̃nécessaires pour assurer' le service des Intérêts et de l'amortissement seront inscrites obligatoirement aux budgets des colonies et que le payement en sera garanti par le gouvernement français. H n'est donc pas sans intérût de rechercher comment se présente le budget de la colonie; s'il a des disponibilités et lesquelles s'il lui faudra créer de nouvelles taxes pour pourvoir aux Charge? cjul vont lui incomber.

En résumé, d'après M. t.rbrun, compte non teau de la partie du programme de travaux à exécuter sur les fonds du budget général, l'annuité totale pour couvrir les engagements à longue échéance pris par la colonie serait d'en-

ger les tarifs de nouveaux déchets. En 1914, le besoin d'une simplifl- I cation était encore pressant, surtout pour rendre uniformes les ta- rifs communs à plusieurs réseaux et aussi pour supprimer ou abaisser les barrières factices existant aux frontières de ces réseaux. Il. La réforme des tarifs après la guerre.

A la fin des hostilités, devant l'urgente nécessité d'augmenter les recettes pour combler le déficit d'exploitation des chemins de fer, des reièvements des prix de trans- 1. port ont été adoptés et une réforme I d'ensemble des tarifs a été réalisée en vue de leur unification, par la suppression des prix exceptionnellement réduits appliqués sur certains parcours (prix fermes). Cette réforme radicale a eu le grand avantage de faire disparaître les anciens prix spéciaux devenus inutiles et qui encombraient les tarifs. Elle a fait ainsi tomber toutes les barrières qui séparent les réseaux, les barèmes nouveaux étant applicables indifféremment aux transports intérieurs des Compagnies et aux transports communs. Le Recueil Chaix P. V. est passé de 1 700 pages avant la guerre à 900 pages.

Mais la suppression totale de toutes les dispositions particulières qui, pendant des années, avaient servi les intérêts de l'agriculture, de l'industrie et du commerce francais et puissamment contribué à leur développement, ne devait pas tarder à appeler une réaction des faits économiques. L'unification avait été trop brutale et, comme en Angleterre d'ailleurs à la même époque, on a vite constaté que la suppression des prix fermes désorganisait de nombreuses industries. Aussi, lors du dernier relèvement des majorations générales de tarifs, en février 1928, il a paru indispensable, au moment où se dé- veloppent des moyens de trans- ports concurrents, d'assouplir la tarification et de lui rendre le caractère commercial qu'elle avait perdu dans une large mesure, en revenant, sous certaines conditions, à une politique de prix fermes.

Depuis cette époque, afin de ré- pondre à des besoins particuliers, plus de 200 propositions de tarifs exceptionnels ont été examinées par le Conseil supérieur des chemins de fer. Mais les propositions présentées par les réseaux avaient, au 1" juin 1929, atteint le chiffre eonsidérable de 764.

Ce sont autant de retouches dans ''arm.Vure trop rigide imposée à la tarification uniforme d'aprèsguerre. Mais il est apparu aussitôt que s'il était indispensable de modeler et d'adapter de nouveau les tarifs aux exigences de'la vie économique du pays, il convenait de coordonner, au cours de revisions méthodiques, les corrections et les additions rendues ainsi nécessaires et qui viennent alourdir et compliquer notre tarification.

C'est ainsi qu'a été posée la question des simplifications à apporter dans la présentation des tarifs. Et

ce sont les propositions présentées

h cet effet par les réseaux que le | Conseil supérieur des chemins de fer vient d'examiner.

III. La simplification des tarifa actuels.

L'ensemble des propositions des réseaux, a déclaré le rapporteur du Conseil supérieur des chemins de fer, « marque un effort très considérable » pour améliorer la tarification actuelle et est de nature à donner de grandes satisfactions au commerce, à l'industrie et au personnel dont la tâche sera très sensiblement facilitée.

¡. Sur quels "points principaux porte cet effort ?

La question de la numérotation des tarifs devait tout d'abord retenir l'attention des réseaux. Il est, en effet, inutile d'insister sur l'intérêt que présente la connaissance immédiate et facile du tarif applicable à une catégorie de transport déterminée par la seule lecture de son numéro.

Une première source de confusion résultait de la numérotation identique de certains tarifs voyageurs et de certains tarifs messageries (G. V.). L'adoption de l'indicatif (V) pour les voyageurs et de l'indicatif (G. V.) pour les marchandises en grande vitesse per-

viron 93 millions de francs les dépenses permanentes du budget général de l'A. 0. F. peuvent être arbitrées à liC millions de francs.

En les rapprochant des recettes normales évaluées à 217 millions, c'est une somme d'une centaine de millions qui pourrait être affectée aux charges de l'emprunt envisagé et des prestations allemandes (?) sans modification à l'asmiette et aux tarifs des impôts existants. Or, nous avons vu que ces charges étaient de 93 millions.

En conclusion. le budget actuel, tel qu'il a été ami-nage, est en état de pourvoir aux dépenses nouvelles à provenir de la mise en œuvre du programm" de grands travaux.

Pologae et celo~ia~. 1

La Pologne et colonies. députés

La. visite dune vingtaine de députés français en Pologne et celle du ministre du Commerce qui s'est rendu à l'Exposition coloniale de Poznan, a valu à la presse française (sans parler du très intéressant article que M. le chanoine Dc-sgntnges a envoyé à la Croix) des interviews, des études qui ont contribué à faire mieux connaître la Pologne k la France.

En restant ici sur le terrain colonial, nous tenons à signaler cette anticipation qui est de notre confrère L. Huet.

J'ai visité à Poznan, dit-il, le pavillon de la Ligue maritime et lluviale de Pologne qui fait une propagande mé- j thodique en faveur du développement du mouvement colonial parmi la jeu- nesse du pays. Les murs de son pavillon In sont recouverts de cartes géographiques immenses. Des flèches peintes en noir partent de Varsovie vers Togo, Cam&- j roun, l'Est-Africain. le Sud-Ouest-Afri- f cain. On voit, par une carte statistique la place importante que la Pologne,

Les ouvriers (train irons eu Franc 3 et rajalnt

On verra d'après la statistique ci-dessous que la France reçoit de plus en plus des ouvriers étrangers chez elle et que ceux-ci ont tendance à y rester.

NATIONALITÉS

Introduits Rapatriés ¡a1l'o4uita Rapatriés Be)~e9. 5639 ` 244 221 637 Espagnols 1064 1171 1160 1196 Portugais. 2286 55') 1227 625 Italiens 8109 1637 5157 3383 Tchéco-SIovaques. 2492 1273 1220 1361 Polonais 16420 3007 5981 2058 Divers. 7979 599 1251 706 TOTAUX: 43989 8486 16217 9966

1 En ce qui concerne les années 1928 et 1927, les chiffres sont les suivants

!<!AT<0!<AL!TÉS

Utrodnlb Rapatriés Introduits Rapatriés Belges" 33951 3363 32946 7434 Espa~nota. 43268 5404 8845 12481 Portugais. 773 2880 55 .3573 Italiens 18111 l6809 9906 32128 Tchéco-Slovaques 2548 6547 853 8859 Polonais. 24617 11872 9989 13509 Divers 4474 6985 1739 12998 TOTAUX 97742 -53759 64333 89 982

mettra désormais de marquer la différence existant entre ces deux sortes de trafics.

D'autre part, une présentation plus claire des tarifs d exportation et de transit a été admise.

L'établissement de tables de matières par tarifs, destinées à éviter les erreurs des usagers et des agents, a été décidé en s'inspirant du système des tableaux indicatifs qui figuraient en tête des tarifs d'avantguerre.

En vue d'aboutir à l'unification des conditions d'application des tarifs, il a paru opportun, au cours d'une dernière étape, de placer en facteur commun les conditions générales communes aux différents chapitres.

Des modifications ont été apportées, dans le but d'unifler les dispositions de certains tarifs particuliers, notamment les tarifs relatifs aux aéropaquets, pour lesquels les règles de conditionnement différaient selon les Compagnies de navigation aérienne intéressées et par suite selon les services participants. Des règles précises ont été adoptées pour le calcul des frais de gare et pour leur incorporation dans tous les prix fermes.

En ce qui concerne la durée d'application des tarifs, comment se posait la question ? Actuellement, la durée d'application des tarifs varie suivant qu'elle est liée à l'existence d'une majorat;on générale ou qu'elle est limitée à une date fixe. A l'avenir, dans le premier cas, la date d'expiration du tarif sera précisé à 1 avance s'il i s'agit de tarifs temporaires, et le tarif ne restera en vigueur qu'autant que la majoration générale ne sera pas inférieure à 370 Dans le deuxième, la date d'expiration sera reportée au 31 décembre postérieur à la date d'expiration actuelle du tarif.

Enfin, il a été décide qu'avant de présenter au Conseil supérieur des i chemins de fer des modifications de tarifs, tous les réseaux devront les examiner en commun, même celles qui n'intéressent qu'un seul réseau ce qui permettra de décider l'étendue possible de leur application.

Telles sont les principales simplifications de cette revision partielle. Il convient de souhaiter que soit suivie avec beaucoup d'attention l'évolution des tarifs, dans leur adaptation continue aux courants de trafic et aux nécessités des diverses branches de la production, en vue d'apporter à leur présentation la clarté indispensable à leur application.

Les accords de Latranj Rien de mieux pour s'éclairer la-dessus que de lire les déclarations authentiques faites par le Souverain Pontife lui-même à cinq reprises. Elles sont réunies dans une brochure qui vient de paraître. •> en

Paroles pontificales sur les accords de Latrtn. 72 pages in-12, prix, 2 francs j port, 0 fr. 25. Il n'e&t pas fait d'envoi contre remboursement.

BONNE PRESSE, 5, RUE BAYARD, PARIS, VHP

grâce à sa forte émigration, prend sur le continent européen et en Amérique. Et quand le Polonais consulte la carte coloniale, il constate un. zéro ou presque. Il y a en Allemagne 1 200 000 Polonais, en Ftanoe 600 000, aux Etats-Unis 4 millions, au Canada 150 000, au Brésil 250000, en Chine 30000, en Afrique, à peine 2 000.

Les aspirations de la Ligue se lisent entre les chiffres qui tapissent litté- jralement les murs. Ces chiffres doivent j forcément provoquer des comparaisons j et éveiller à coup sûr des appétits. Que voulez-vous ? La Pologne enregistre chaque année un excédent de naissances tel qu'elle bat l'Allemagne. Que, dans ce cas, on cherche des exutoires, c'est assez naturel.

Et puisque les propagandistes de la Ligue M. F. de Pologne travaillent l'opi- nion publique en tenant compte de ce qu'on procédera en 1931 à une revision des mandats sur les anciennes colonies du Reich, voyons ce qu'ils disent. Ils renseignent la Pologne, par l'image, le ûlm, les conférences, la presse, sur l'importance écoaomique que présentent les colonies pour les pays qui en détiennent. Matières prenrères, alimentation, débouché pour la métropole, émigration, exportation, importation, tout est traité sous forme d'enseignement intuitif. La Ligue M. F. de Pologne met le pays à l'école coloniale. Ils disent entre autres: L'expérience est là pour démontrer que la vie dans les colonies avec tous les dangers et tous ses nsques développe l'énergie et produit des caractères de fer. On apprend à compter sur ses propres forces. Par ailleurs, un grand nombre de personnalités de premier plan de l'Europe occidentale sont d'origine coloniale.

On se rend compte par ce simple détail de ce que le Polonais voit dans la possession de colonies. C'est une pro-

2'TMM.19~9 1a rntx. 1999

.l'iNŒ 1928 ANNÉE 1927

L'outillage mécanique et l'emploi de l'électricité dans les hojiiliares britanniques Le rapport annuel du secrétaire aux mines note que des progrès considérables continuent a être faits dans l'équipement mécanique des houillères britanniques. La quantité de houille abattue par les machines autres que les marteaux-piqueurs pneumatiques, c'est-à-dire par les grandes haveuses, est passée de 13 pour 100 de l'extraction totale, en 1920, à 23,3 pour 100 en 1927, et à 26 pour 100 en 1928. En Ecosse, cette proportion a atteint, en' 1928, 59 pour 100 et même. dans certains districts écossais (Fifeshire et Lanarkshire), 65 pour 100.

Ces haveuses, utilisées par 908 mines en 1928 contre 929 en 1927, se répartissent comme suit

bit» b MU

Nombre de

Haveuses k disque »63 793 Haveuses à barre 740 635 Haveuses à chatne 3209 3 391 Haveuses à percussion div. s 304 2 312 Totaux 7116 7131

Dont

Mues électriquement 3 478 3 588 Mues par l'air comprtmt. 3 638 3 545

La quantité de houille abattue par ces haveuses est passée de 58 471 999 tonnes longues en 1927, à 61 388 132 en 1928.

19 660 704 tonnes longues ont été abattues par ce moyen en Ecosse en 1928 (59 pour 100 de l'extraction), 6 599 814 tonnes dans le Northumberland (51 pour 100), 7 282 381 tonnes dans le Durham (21 pour 100), 3 318 122 tonnes dans le sud du pays Pays de Galles (8 pour 100 seulement de l'extraction), etc.

Quant au nombre de marteauxpiqueurs et petites foreuses mécaniques à l'air comprimé, il est passé de 5 679. en usage dans 557 mines, en 1927, à 7 756, dans 672 mines, en 1928.

Cet outillage s'est subdivisé comme suit en 1928

Marteaux-piqueurs utilisés i l'abaisse de la houille 034 Marteaux-piqueurs utilisés a d'autres usages 1 318

Foreuses pneumatiques pour la pré-

paratton du tir des explosifs. 8 504 Total 7756

Le secrétaire aux mines mentionne que les 934 marteaux-piqueurs utilisés à cet effet ont abattu, en 1928, plus d'un million de tonnes de houille.

Voici, d'aûtre part, quelques renseignements sur l'équipement électrique de l'industrie houillère britannique en 1927 et 1928

b 1K7 b ici

Nombre de mines en ex-

ploitation 2S6t 1 539 Nombre de mines équi-

pées électriquement.. 1528 1467 Nombre de moteurs élec-

triques en usasre 36 095 36 695 Puissance en CV de ces

moteurs électrigues

AU fond 878311 897660 Au jour. 805812 821672

pagande, dont aucun compartiment n'estl f négligé. Mais que veut exactement la Ligue? Elle raisonne comme suit: « Les Allemands occupaient des territoires coloniaux ou des protectorats 7,5 fois plus étendus que le territoire national polonais. La plupart des anciennes possessions allemandes se trouvent en Afrique. Etant donné que 9 pour 100 environ du territoire d'avant-guerre d'Allemagne lle a fait retour à la Pologne, il serait équitable que la Pologne reçût une part correspondante des anciennes co- lonies allemandes. La population polo- naise, qui a vécu plus d'un siècle sous i la domination allemande, a contribué au développement matériel des colonies (impots, armée, fonctionnaires, émigrants). La Pologne occidentale possédait des propriétés, des usines, etc., dans les colonies allemandes. Elle ne peut se résoudre à perdre ces éléments importants de son actif économique. j

Le riz é Indo-Chine.

I:n colonial averti appelle l'attention~

Un colonial averti appelle l'attention

des riziens indo-chinois sur la concur-j rence qui grandit chaque jour des riz américains.

Les Rtats-Unis sont parmi les plus grands producteurs de riz de l'univers. Dans cette branche comme dans toutes les autres, leur progression procède par! bonds gigantesques. Avant la guerre mondiale, le Texas et les Etats du sud j offraient d'immenses surfaces de ri- j zières mais la consommation se faisa:t en grande partie sur place. Il n'en va j plus de même aujourd'hui. Depuis quatre ans. l'exportation américaine se répand sur tous les marchés aujourd huit elle en encombre quelques-uns.

Dans l'espace de quatre ans, l'expor- tation a passé de 40 millions à 300 mil-j lions de livres. Si la progression continue, et elle ne 1

La production -française; du benzol

Voici, d'après P « Echo des Mines et de la métallurgie >, quelques renseignements relatifs à la production française da benzol Le développement constant de la fabrication française de benzols a amené les producteurs à former, il j y a deux ans, un groupement dit j Unibenzols >, pour étudier en commun toutes questions tech- jniques, législatives, sociales et économiques, se rapportant à ce produit. L'assemblée ordinaire a eu lieu le mois dernier et voici quelques renseignements intéressants four- nis au cours àfi cette réunion. La production française (Sarre non comprise) de benzols se répartit de la façon suivante pour les trois dernières années

!»!« 1M7 (»îl

Production (En tonnes.) Usines & rai 10 300 12 700 14 100 Fours i coke et dis-

tiller. de goudron. 43 000 48 500 » îoo 53 300 61 200 68 200

Répartition

Benzol 90 23 550 24 300 Î4 800 Benzol-moteur 13 ,'00 20 000 28 300 Toluol 1 20O 2 300 î 500 Solvent d 800 6 ODO 6700 Benzène, toluène xy.

lftnes î 450 3 000 4 150 Productions diverses. 8 800 3 60O î 750

La production sarroise s'est main- tenue sensiblement constante aux environs de 4 000 tonnes, pour les mines domaniales, et 30 000 pour les usines métallurgiques et distilleries de goudron. Sur ce tonnage, 1 400 tonnes ont été mises à la disposition des consommateurs français par les mines domaniales et près de 12 000 tonnes (40 pour 100 de la production) dont 7 000 en benzol 90, 30 000 en benzol-moteur, 1 000 en solvent-naphta par les autres producteurs sarrois.

Commerce extérieur.'

L'exportation des benzols hors du territoire national est prohibée en exécution du décret du 2 mars 1920. Sur avis conforme de l'Office national des produits chimiques et pharmaceutiques, des dérogations à cette prohibition de sortie peuvent toutefois être accordées dans des cas et pour des produits spéciaux. Pendant l'exercice, les exportations ont porté sur 260 tonnes environ des produits benzéniques et les importations sur environ S 000 tonnes, chiffre des douanes, dont 5 500 pour fabrications industrielles et 2 500 pour moteurs et usages de combustibles.

Les accidents du travail dans le Nord

Dans son rapport annuel sur le fonctionnement de ses services, M. Gervois, inspecteur divisionnaire du travail, signale que dans le Nord il a été enregistré, au cours de l'année 1928, 146 352 accidents ayant occasionné une incapacité de plus de quatre jours (contre 126 317 pour l'année 1927).

Comme les années précédentes, les industries des métaux arrivent en tète avec 36 566 accidents (30 941 en 1927) puis viennent successivement les industries textiles (27 662 accidents) les terrassements et constructions en pierre (15 286) la métallurgie (12 188) les industries chimiques (7 762) le travail des pierres et terres au feu (7 651) l'industrie de l'alimentation (6 567) les commerces divers (6 064), etc.

Parmi les mesures nouvelles envisagées pour prévenir les accidents, il convient de signaler les initiatives prises par des industriels du textile, des métaux, notamment, qui, en dehors des protections qu ils adaptent à leur outillage, recherchent par tous moyens ce qui peut inciter leurs ouvriers à se servir convenablement des dispositifs de sécurité mis à leur disposition. Des gravures, des notices bien choisies montrent le danger de tel ou tel outil, de tel ou tel travail ou attitude, et appellent l'attention sur les conséquences d'un accident (conséquences d'ordre matériel, i d'ordre moral ou d'ordre familial.). Ailleurs, au cours de réunions périodiques, les chefs de service recueillent les suggestions de leurs contremaitres et, en retour, après discussion, fournissent les conseils, les consignes, les ordres en vue de l'application de dispositifs de sécurité que justifient les circonstances.

paratt pas devoir s'arrêter, les marchés ihabituels de l'Indo-Chine vont être en- vahis.

Notre grand marché indo-chinois du riz est Hongkong, et, par Hongkong, les Antilles et surtout Cuba. Les Etats-Unis font, de ce côté, un grand effort. Le riz du Texas et du Mississipi, inconnu i Cuba en 1915, y figura, en 1928, pour 25 millions de livres. C'est encore peu, si on considère que le riz d'Extrême-Orient figure sur le marché antillais pour 460 millions de livres, dont la moitié [provient de Cochinchine.

Cette situation valait la peine d'être signalée.

L'état d'esprit des noirs

et des blancs.

Nous avons sondé l'état d'esprit des noirs, écrit un colonial averti qui revient de l'A. E. F. Il convient aussi d'aborder celui des Européens.

Si le climat de Mayumbé affecte le moral d'un indigène, il atteint également celui du blanc. La vie difficile, le suri ménage, la difficulté du ravitaillement et la eher-té des denrées, presque exclusivement des conserves, aigrissent les caractères.

Le soir, sur les miradors, les converisations haussent le ton, on discute, on critique toute mesure, tout ordre est 'ûprement commenté, des solutions sont proposées dont l'incohérence ne oède jqu'à la fantaisie. • Moi, j'aurai fait. » et comme chacun se révèle ingénieur s'il est comptable, mécanicien s'il est magasinier, docteur s'il est agent des postes, les jalousies s'exacerbent, on compare tes soldes, on discute, et ce sont souvent tous ces potins qui, colportés par d'invisibles agents transmetjteurs. sont parfois retenus par les séj rieux pontifes de la métropole. Tout est dénaturé comme au travers

b%fraodis9em€«t J

de la Banque de France Dans le vaste quadrilatère devenu libre par la disparition des

vieilles maisons de l'ancienne rue

Baillif, et que borde une nouvelle voie, la rue du Colonel-Driant, qui relie la rue Croix-des-PetitsChamps à la rue de Valois, à Paris, un immeuble s'édifie, à l'abri de j hautes palissades. C'est l'immeuble j qui doit prolonger l'hôtel de la Vrillière, d'une si helle ordonnririre l et de lignes si nobles, où est installée, depuis 1800, la Banque de France.

Les travaux de ce chantier de j 10 000 mètres sont provisoirement '̃ suspendus. Mais déjà le sous-sol est | créé. Or, ce sous-sol suffit à faire i apprécier l'aspect grandiose que présentera l'édifice quand il sera achevé.

Il s'étend sous toute la surface du chantier et il a une profondeur de 25 mètres. C'est dans ce. souterrain, qui ressemble à une forteresse formidable, mais revêtue du confort moderne, que l'on a établi les chambres fortes destinées à être louées à des notaires, agents de change, banquiers, qui ont besoin de coffres puissants et qui trouveront j là de véritables bureaux fort bien agencés, parfaitement éclairés et i aérés.

Il serait bien difficile, sinon impossible, d'y accéder frauduleusement. L'entrée de l'ascenseur est gardée par une porte de huit tonnes et, quand celle-ci est franchie, on se i trouve devant une nouvelle fermeture à tourelle que seul peut mouvoir un mécanisme électrique secret. Si l'on parvient quand même dans l'ascenseur, l'on trouve, en bas, des difficultés analogues à celles que l'on a rencontrées en haut.

Cette belle et sùre installation demeure encore isolée. Les travaux de j superstructure ne seront repris, en effet, que lorsque le plan définitif sera lui-même terminé et adopté.

La culture du coton en Algérie en 1928 En Algérie, les plantations de coton ont été en 1928 légèrement inférieures à celles de 1927. Mais la production a été très nettement supérieure.

En 1927, on avait récolté 2fi 844 quin- taux de coton brut sur 5 050 hectares. L'an dernier on a récolté 40 096 quintaux pour une superficie de 4 931 hectares. Le rendement à l'hectare est passé de 5 quintaux 31 à 9 quintaux 13. Dans les régions de Perregaux et de Saint-Denis -du Sig le rendement mover de coton brut a varié de 8 à 12 'quintaux à l'hectare.

n a été moins élevé dans la région d'Orléansville, où il n'a pas dépassé 5 quintaux. Dans la région de Bône, où on cnltive le cotonnier sans irrigation, comme à El-Aroueh, dans l'arrondissement de Philippeville, on a obtenu un rendement moyen de 5 à 6 quintaux.

L'expérimentation a été continuée, en matière de culture cotonnière, dans quelques stations expérimentales de la colonie.

A la station d'Orléansville, on a continué l'épuration du coton, appelé coton d'Orléansvilîe.

Par une sélection rigoureuse et un triage de graines à la main, on a obtenu un type préseutant plus d'homogénéité et donnant un meilleur rendement que la race locale. On a cultivé aussi deux autres variétés de cotonnier d'origine égyptienne, le P'ma 14^3 et le Maarad, qui paraissent appelés à un certain succès. En même temps, des essais de semis à plat par semoir américain ont été entrepris le procédé a dû être abandonné en raison de l'énorme consommation de graines et de l'irrégularité de la levée.

A la station de Ferme-Blanche, les expériences ont porté sur les engrais, la cnlture mécanique et les variétés nouvelles,

En ce qui concerne les fumures, les essais entrepris les années précédentes avaient montré le rôle joué par l'acide phosphorique et la potasse ceux de 1928 ont permis de déterminer l'influence de l'azote qui, employé prudemment, semble devoir exercer une influence favorable sur la végétation. La culture mécanique, effectuée en terrain argileux et comportant l'emploi de tracteurs et d'instruments spéciaux (pulvériseur, semoir, bineuse), a donné des résultats intéressants. La multiplication du cotonnier Pima 1317, qui a été effectuée sur 7 hectares, a montré l'incontestable supériorité de cette variété, appelée à prendre une grande extension.

A la station de Barrai, les cultures expérimentales entreprises depuis 1925 ont prouvé qu'on peut obtenir avec le cotonnier, même sans irrigation, des rendements suffisants dans les terres d'alluvions à sous-sol frais, à la condition d'effectuer des binages à peu près continus depuis le semis jusqu'en septembre. On a continué aussi à Barrai la sélection des meilleures variétés, en vue de déterminer celle qui i devront être multipliées pour le rendement satisfaisant en fibre de la meilleure qualité.

d'un prisme déformant, chaque facette reflète une image différente et inexacte, tout prend un aspect surnaturel et démesuré. Il était une maison, à .M'Bouiou, dont les occupants successifs étaient tombés malades une sorte de légende l'entourait. N'allait-on pas, tout comme le dernier des Bambara, jusqu'à parler de sorts ou de génies malfaisants ? On frissonnait, on touchait furtivement du bois,' et personne ne voulait y loger. Pour remonter ce courant, qui eut pu devenir dangereux, le directeur de la main-d'œuvre fit en sorte d'y coucher à chacun de ses passages. et maintenant la légende s'est dissipée, les esprits cil mes, la maison de nouveau habitée. sans ennui pour son locataire.

Les rapports entre Européens se tendaient également pour un rien, des disputes s'élevaient, et chacun choisissait son champion, des plaintes étaient portées, des demandes reconventionnelles introduites. et ces disputcB, ces discussions, avaient une répercussion fâcheuse dans l'esprit des noirs. Les éponges tunisiennes.

La pêche des éponges ast une des grandes richesses du Sud-Tunisien et la récolte, bon an, mal an, est de 150000 kilos, ce chiffre est souvent largement dépassé. Pratiauée par des Italiens et des Grecs, elle diffère en ses méthodes selon les régions et, cela va sans dire, se modiûe au gré des espèces et variétés qu'on y découvre. En effet, les indigènes pratiquent la « p«che dite noire parce que le pro duit est débarqué dans l'état où II est sorti de l'eau, vendu tout de suite à des maisons spécialisées qui en effectuent le lavage à l'eau 1e mer. Le. embarcations de ces pécheurs sont exiguës, elles ne tiennent le large que peu de temps et, la place à boid fai-

4'électritication rurale dans le Nord

On compte actuellement, dans le département du Nord, 586 communes électrifiées, sur un ensemble de 668 communes, soit 88 pour 100. Le nombre de communes où un réseau est en construction est de 17, soit 2 pour 100.

Il y a toutefois lien de noter que sur les 586 communes électrifiées, 200 environ ne le sont que partiel-* lement, le réseau existant ne s'étendant d'une façon générale qu'au centre de l'agglomération.

Des projets d'électrification des hameaux sont présentement à l'étude.

La situation par arrondissement. au point de vue de l'électrification, s'établira comme suit Pourcentage de communes électrifiées arrondissement de Dunkerque. 64 pour 100 avec 77 communes sur 120; arrondissement de Lille, 92 pour 100 avec 118 communes sur 128; arrondissement de Douai, 89 pour 100 avec 59 communes sur 66; arrondissement de Valenciennes, 99 pour 100 avec 81 communes sur 82; arrondissement de Cambrai, 95 pour 100 aveê 113 communes sur 119, et arrondissement d'Avesnes, 90 pour 100 avec 138 communes sur 1»3.

La T. S. F. à l'étranger Programmes da dim. 39 septembre. BEKI.IN (56 m. T, 883 m. t\ 418 m.), -i s h. 55, carillon.

9 heures, lêle mtiinale.

15 liourcs. concert valse (Strauss). Danse fiant, ne 8 (DTOr»k). Prelud* (Jarnefelt). Rote-Mousse (Bosc). toppiiia (Dcllbes). Menuet (Paderewskt ••Eugène Onegtn (TchsUcowskj1). Pii<jnn<m (Lettir).

H h. 30, disques.

18 h. 30, récitai de cello. 20 heures, musique légers de l'hiver. LANGES BERO tALXJEMAG.NE) (47Î m.). S heures, concert.

(i h. 30. concert spirituel.

la heures, lecture d'un romtn moderne, 13 heures, concert.

16 h. 30. concert.

20 heure», concert Mignon (Thomas). Carmen (Sar»stie). Der Suitsknacher (TchaïKowslcyl. Polonaise en mi majeur (Liszt). Le baron tisane (J. Slr»uM). Aida (Verdi). Galanteries iSupp~ Valse de ('empereur (J. Str»UMï.

STUTTGART ((ALLEMAGNE) (360 m.). Il h. 15, fête matinale.

14 heures, Kasperl tu Egypte, pièce en quatre actes, de Pocct.

16 heures et 17 h. 46, ooDcart et mualqua de danse.

»6 heures, audition théâtrale.

S0 h. 30, Le chalet, opéra-comique en un acte, d'Adam.

22 h. S0, concert d'orchestre Reloxtf dans la patrie (Mendelsson). Concerto, n" en ré majeur, op. 3 (Romberg-). Fantaisie en fa mineur (Sehubern. B¥qle, op. î« (Faure). ÂUegro appasstonato, op. 43 (Salnl-SaSn»). leut ri'rniants, suite (Bliet).

82 h. 30, musique de dan»e.

23 heures, concert récréatif.

VIENNE (AUTRICHE) (6J7 II:

10 h. 20, récital d'orgue.

11 heures, Léonnre <8eetbô»en}. Kin. dcrtotcn-Heder (Malùer). Symphonie, aa i (A. Bruckner).

« heures. concert de muglqiie ligêre. heures, musique "d« chamor?.

19 heures, Ileder.

S0 h. 10, Flotte Bursche, opérette en un acte de Suppe (fragments oVoperettes). BRUXELLES (BELGIQUE) (&09 mètre*). 1» heures, radlo-rtifTusion de la fête Uc Wallonie donnée à Bruxelles.

18 heures, séance enfantine.

18 h. 30, l'heuro Polydor.

20 h. 15, concert La perte du liri! (F. David). Fantalstn sur CavaUeria rusUcana (Mascairnt). Chant: Suite funambulesque (Bus.vr). Première partie o> la sonate L'aurore (Beethoven). Fantaisie sur Le comte de Luxembourg (Lehar). Chant • Petites musique* (Srhmitt). nevts d'amour (Liszt). Soleil à midi (J. langea). Soir d'amour, valse (Waldteufel). rantaisie hongroise (Doppler). Deuxième ballet égyptien (Lulrtnl).

DAVRNTRY (5 XX, f 553 mètre»). < 15 h. 30, roncert,

17 heures, récital de piano. ·

17 h. t5. cantates de Bach.

S0 h. 5 Vert toi. Seigneur, nous iieton* nos eceurk .Vunc dimUtts. Prières. Amour divin, surpassant tout autre amour. 6!~<r<- o toi, cette nxte, mon P<ft<. 21 h. 5, sélection d'oeuvres de Cboptn Cœritia (Vulllermoi). Vint filnnc (HuoV Trois dangpeq Aoagro6rar (Prahms). Andante, scherzo, tarentelle (WienKtwskO. Pleine lune (Woolmer). C,rny>z-vou* aux lie* (W. Ctmrla»). Sélection de Carmen (BUet).

22 h. 30, épilogue Le» pèlerins. DAVENTRY (5 gb, 47(1 mètres). I 15 h. 30, musique «te chambre.

17 heures. lecture rte poèmes.

21 heures, oratorio (de Birmingham) La lumière de la vie (Elg*r). Lauda Slon (Mendelssohn).

HUIZEN (HOLLANDE) (10» et t 071 m g h. 5, concert d'orgue.

0 h. 40, concert.

12 h. to et 14 h. 10. eoneert.

17 li. 40, concert d'orgue.

19 h. 50. Catherine, opérette eu un acii>, musique de Jacques Offenbaeh.

21 h 25. concert Orphée aux enfers, ouvertnre (Orrenbach). Fantaisie sur La fille du tambour major (Offenbac.h». Les contes d'Hoffmann, barrarolle (Offenbach), Snvaenir.r d'Hoffmann (ConradO. ROME (ITALIE) (441 m.). 10 heures, musique religieuse.

17 heures, concert.

ai hetiT-es, Werther, trofslbme et <ra**

iribtm acte (Mattenet). te Naxtarrefst

tT1èJ\1"\ acte (Mallftnet). L4 No.t1/J1'rt!f1l11

(Massenet).

sant défaut, la nécessité s'Impose de débarquements fréquente et rapides de livraisons. Quant à la « pèche 'fcîanche », à laquelle plus spécialement s'adonnent les Grec» et les Italiens, elle donne de» éponges choisies, laNées à bord et Bêchées sur les bateaux.

Les procédés en usage dont le tri i dent, qui détache le produit sans lu détériorer la gangave, engin à nu, sans oublier le karnaïl», particulièrement curieux. Un miroir placé à la base d'un tube en Wle élamée permet d'explorer les fonds et d'y découvrir les éponges.

Livrée» à l'Industrie, celles-ci sont tout d'abord débarrassées de la substance vivante mucilagineuge qui les entoure, des débris de toutes sortes qu'elles retiennent dans leiys cavités, puis taillées à l'aide de ciseaux. Elles sont alors triées, séchées, sélectionnées, puis expédiées, pressées dans des sacs, «oit qu'on leur ait laissé leur naturelle couleur brune soit qu'elles aient été préalablement blanchies selon des procédés chimiques différents.

Les éponges tunisiennes s'en «nt en France, en Italie, en Belgique, en Allemagne.

Les achats se font sur le marché de Sfax, de beaucoup le plus important, où opèrent les agents acheteurs de maisons françaises et étrangères. Les éponges brutes, dites djerbi, que pèchent les iw digènes, sont mises en vente pour la plus grande partie, Djerba et à Zarxis. Mais c'est à Sfax que, durant la der-« niére campagne, a été réunie la majeure partie des éponges pêchées par 200 bateaux, qui ont réalisé chacun ua produit moyen de 5 000 à 6 000 francs, le kilo ayant été payé de 80 à 90 franc* H. M..


Au parti des mufles 1

De « Figaro »

Les communistes qui siègent à l'Hôtel de Ville ont voulu appeler sur eux l'attention. Et s'étant bien concertes, Ils •nt produit ce qu'on va lire

<• Les membres de la fraction communiste à l'Hùtel de Ville de Paris cons dèrent comme un abus de confiance la phrase qui a été inscrite sur le registre mortuaire du cardinal Dubois au nom du Conseil municipal unanime ». Ils n'ont pas d' hommage respectueux » à déposer sur le cadavre de ce prélat.

» Ils n'oublient pas que M. Dubois fut un jusqu'au-boutiste intégral, renouvelant ainsi la phrase sauvage Tuezles tous, Dieu reconnaîtra les siens. » » 118 n'oublient pas que, de l'autre côté du Rhin, un autre prélat, de la même religion, Hartmann, qui sévissait a Cologne, tenait le même langage. « Ils n'oublient pas que M. Dubois. en mal dernier, au cours de la période électorale municipale, flt appel à la force publique bourgeoise pour détruire le communisme et châtier les communistes.

» Ils n'oublient pas que l'Eglise catholique tout entière est à la pointe du combat dans la croisade contre la Russie prolétarienne. >•

Il appartenait évidemment aux communistes de blesser une fois de plus le sentiment public. Le respeet des morts n'est pour eux qu'une invention bourgeoise. Et la goujaterie est la première règle de la politique selon Moscou. Alnutons que le syndic du Conseil munloipal a précisé que l'adresse inscrite sur les registres de l'archevêché portait » le bureau du Conseil », et non le Conseil municipal.

La paix monopolisés

Non contents des monopoles d'Etat, Zm cartehistes instituent à leur profit te monopole de la paix. Le « Temps » trouvc cette prétention bouffonne

« Pour quel Idéal dlt-fl. (M. Léon Arêhimbaud) pouvons-nous réunir tous les républicains de ce pays ? Mais, Messieurs, pour l'idéal de la pais, la paix européenne, la paix universelle, la paix totale, complète, définitive. » U n'est pas douteux que le désir d'instaurer une paix sérieuse et durable et la volonté de ne rien négliger pour] atteindre ce but font partie du programme non seulement de tous les républicains, mais encore de tous les Français. Y a-t-il vraiment dans notre pays des tigres altérés de sang, des manlaqfues ou des attardés qui méritent l'appeUntinn de bellicistes ? 1 Certains •< hommes de gauche » le croient, ou tout au moins affectent de le croire. M. Léon Archlmbaud n'est oertes pas de ceux-là, puisqu'il propose la paix comme Idéal à tous les républicains mais beaucoup d'ex-cartellistes prétendent réellement monopoliser l'idée de paix en présentant les non-cartellistes, ou tout au moins une bonne partie d'entre eux, comme des opposants à la paix ou, si l'on peut dire, des sympathisants de la guerre. La paix est, pour les partis dite « avancés », une manière de chasse gardée Ils exercent aux alentours une surveillance rigoureuse la paix, c'est leur chose la paix, c'est eux-n>êmes, et tout ce qui n'est pas eux-mêmes n'est que désir de la guerre, volonté de guerre la guerre est « de droite », la paix est « de gauche ».

II y a dans cet état d'esprit quelque chose de bouffon. Mais, mOme s'il est vrai que le ridicule tue en France, il n'est pas interdit de venir a la restousse du ridicule et de dire leur fait aux accapareurs du pacifisme. Leur prétention est absurde et dangereuse. Elle est slmirde parce que, chez nous, tout le monde veut la paix et personne ne veut la guerre. Elle est dangereuse parce que l'étranger, toujours empressé, comme on sait, à dénoncer l'impérialisme d'autrui, prend prétexte de certaines campagnes pour oonclure à une prétendue mentalité agressive de la France.

Au surplus, y aurait-il des réserve* à faire non point sur In sincérité du pacifisme dss socialistes et des valoisiens (nous nous garderons bien de les traiter à notre tour de bellicistes), mais sur certaines de leurs attitudes en ce qui concerne les questions internationales. Car, si luora discours *ont des hymnes à la paix, il arrive que leurs actes ̃oient directement contraires aux intérêts de cette paix tant prônée. L'exCartel, par exemple, fait grand bruit des résultats de l'accord réalisé à La Haye et, selon son habitude, tend à les accaparer. Il n'en est pas moins vrai nous ne nous lasserons pas de le répéter que l'ex-Cartel n'a pas ratifié les accords de Londres et de Washington, risquant ainsi de retarder indéfiniment la liquidation de la guerre et, par suite, d'ajournpr sine die l'avènement de la paix solide dont l'Europe et le monde ont besoin.

Illettrés

Le franc-maçon Albert Bayet a exposé gravement dans 1' « Ere Noutelle » que les illettrés sont l'apanage des pays catholiques. Tout simplement. De V « Echo de Paris » Si l'on en croit le savant organe de !'entente des gauches », le nombre des Illettrés serait de 80 pour 100 en Rspagne, pays catholique de 67 pour 100 au Portugal, pays catholique; de fi'ï pour 100 en Italie, pays catholique, et, au contraire, on ne compterait en

MUILLETON DU 28 SEPTEMBRE 1929 6

Campanule

La singulière physionomie de la servante et, reconnaissons-le, l'aspect appétissant du plateau empêchèrent Annette de remarquer ce prénom masculin, qui revenait pour la seconde fois dans la conversation. D'ailleurs, Juliane s'était levée pour servir sa nièce et disait précipitamment Mignonne, je vous présente ma vieille Aglaé c'est une relique de mon printemps: une esclave de mon père, là-bas, aux plantations. Il n'y a pas de dévouement, qui vaille le sien. Et maintenant, goûtez ce pâté 1. Ou bien préférez-vous du jambon?. Qu'est-ce que c'est que ça ?. fit-elle, méfiante, en flairant le contenu d'une assiette. Qu'est-ce que c'est que ça ?. Ah t du pain d'anchois des anchois de Col- lioure Je vous les recommande, ma belle. « Campanule », qu'une grande lassitude envahissait, grignota la tartine que lui tendait la main soignée de Juliane elle sentait sur elle le regard scrutateur de la mulâtresse, qui s'était accroupie près de la porte et ne la quittait pas des yeux. Sans qu il lui fût possible de définir pourquoi, ce regard la gènait. L'oncle Martial avait imploré la permission d'allumer sa pipe et tirait de longues bouffées qu'il lançait au plafond avec la maitrise que donne une longue habitude. Et Juliane parlait. ou plutôt gazouillait, s'interrompant parfois pour échanger avec Aglaé quelques phrase*

«a patote or4ol«~.

Suisse, pays protestant, qu'un illettré sur 100, et au Danemark, pays protestant, qu'un illettré sur 10000 habitants. I. Et pour la France, enfln, désolantu proportion aussi 15 illettrés sur 100 habitants.

Et l'Ere SouvelU de conclure le plus sérieusement du monde a Les pays catholiques se distinguent donc en Eu-l rope par une proportion formidable d'illettrés. Est-ce une simple coïnci- dence '? Peut-être. Peut-être «igsl l'Eglise ae tient-elle pas à voir l'instruction se répandre dans le peuple. ̃> Ainsi done, oubliant d'un seul coup que ce sont les moines qui, pendant des siècles, en France, ont, seuls, re- {jrésenté la classe lettrée oubliant que sont les hommes d'Eglise qui, pendant des générations et des générations, i ont seuls conserve et propagé le goût des lettres et des scisnees oubliant enfin qu'aujourd'hui encore nos missionnaires, en Afrique, rendent probsblement à la propagation de l'alphabet plus de services que tous les organes des gauches réunis, l'Ere Nouvelle sou- pire amèrement Pour combattre ce péril redoutable, on n'a retrouve jusqu'à présent qu'un seul remède qui est d'autoriser les Capucin* •

Au surplus, je serais rsses curieux fie connaître l'origine des chiffres de notre confrère. 80 pour 100 d'iiteHrés en Espagne, cela me parait beaucoup. Et ua Illettré sur 10 000 au nanenwk, cela me parait bien peu, car il faudrait supposer, alors, que tous les Mbés de 6 mois à 3 ans savent lire. Quant aux 15 pour 100 d'illettrés français. c'est donc pour ccia, aussi, que les organes de gau<;lie ont si peu de lecteurs.

Deux questions combien les francs-maçons entretiennent-ils d'écoles à leurs frais et qui a chassé de France des milliers de Frères instituteurs, les meilleurs des mattres, au témoignage de Ferdinand Buisson 7 Humeur

Noinbre d'Italiens et leurs journaux manifestent à époques fixes leur in.dignation contre la France. Le motif? Ils n'en savent rien, et le reporter M. Béraud (Petit Parisien) n a pu trouver que cette raison humeur et secrète jalousie

Quant à 1' « éloquence des faits », autrement dit les manifestations plus ou moins violentes et fréquentes de l'humeur italienne à notre égard, il n'est sur terre rien de plus contradictoire ni de plus désordonné.

C est une tempête où tourbillonnent à grand fracas les plaintes, les outrages, les vaines clameurs, les griefs légitimes, les incompréhensibles récriminations. On nous reproche sur le même ton et quel ton I notre empire colonial et nos chansonniers montmartrois nous nous entendons acouser de favortser sournoisement les menées antifascistes, de mésestimer ta valeur Italienne, de contester les victoires de notre alliée, d'oublier que l'Italie nous a sauvé l'existence en 1914, de mal choisir nos alliances, de persévérer dans une ignerance injurieuse et pleine de banalissimes préjugés sur notre sœur latine, de passer notre temps à contrarier ses plus légitimes aspirations. A en croire tes journaux, à entendre les conversations de chemin de fer ou de café, nous sommes tantôt de rusés compères en train d'encercler l'Italie, tantôt les plus lourdauds diplomates de l'univers. Nous n'avons plus d'enfants nous avons trop de soldats. Notre arméo est démoralisée, rongée par te bolchevisme nous sommes d'enragés militaristes tout hérissés de baionnettes et de canons. Nous renonçons à notre rflle dans le monde nous aspirons à l'hégémonie occidentale. Nous sommes des avares et ne pensons qu'à notre bas de laine nous sommes des bambocheurs et ne pensons qu'au plaisir. Nous'sommes trop riches. Nous sommes ruinés, eto., eto.

La matière abonde. On en pourrait couvrir des pages. Car tout s'en mêle chansons, affiches, graffiti, caricatures. Chacun s'agite, donne de la voix presse, cortèges, orateurs 1 Des tribuns en chemises noires, et non des moindres, vont aux baicona clamer d'incendiaires fervorini. La multitude qu'ils ameutent contre nous répond par des couplets vengeurs. Sur ce feu, des polémistes, dont c'est probablement la raison d'être, versent un pétrole copieux. Alors des rixes éclatent aux frontières. On conspue nos consuls a pleine gorgo, on maltraite nos drapeaux. Finalement, quand il semble que les choses vont se gâter, les carabiniers arrivent, et tout rentre dans l'ordre, jusqu'à la prochaine fois. Et cela dure depuis des années. Et les gens d'ici, à qui le vent du Sud apporte de loin en loin les échos de ce vacarme, se demandent avec perplexité ce que cela signifie et ce qu'on leur veut.

I l'École polytechnique

Sont nommés en surnombre élèves de l'Ecole polytechnique

Geai» Peyre, Sejaurnet, ton?, FonN», Brothés, Huré, Serra, Beauvallet. Lahore, Michel, Chevreau. Dusue Mac caxthy, Bou:1ner, Gombert. Fannean Ce La Morte, Mouisset, Ranial. Paul, El Ghozl, Cmirterutsse, Putilh, de Véslan, Andron Barthélémy Bertaut, Fêcnetir, Estor. Clappler, MeUIet, Florence, Chédin, Gerlotto. Enzen,' Grosjean Girard. Benoist, Hervé Lepers, Batteux, Henry, !»alon. Bétail, Laurent. Tardy, paimbœuf Moineau. Bouteron, Obier. Dussans, Bontfact. Gasquet, Delatonche, Rtbatto, Damaye, Hugonet.

Annette s'expliquait maintenant l'accent exotique de sa jeune tante, et ses rires qui ressemblaient à des roucoulements, et son air d'insouciance heureuse. Mme Leboso était née au pays des bengalis, et. pareille à ces pierreries ailées, elle ne vivait quo dans la joie et la lumière. Visiblement, son mari était le premier de ses serviteurs et se fût jeté au feu pour lui plaire. Y avait-il eu des épreuves dans l'existence de cette jolie femme-enfant gâtée ?. Campanule » se le demanda un instant, remarqua au co;n des paupières certain petit pli fatigué, hésita, et conclut par la négative. Le gracieux babil durait toujours, et le regard de la jeune fille, évoluant discrètement dans la pièce, finit par se fixer sur une grande photographie placée sur le piano. dans un cadre ovale. C'était l'image d'un homme n'ayant pas dépassé vingt-cinq ans, doué d'une remarquable beauté physique. mais d'une physionomie tellement froide que « Campanule » se sentit saisie d'une gène trange. Elle essava de détourner les yeux, mais involontairement ils revenaient toujours à ce portrait qui les attirait et leur inspirait du malaise. M. Lebosc finit par remarquer la distraction de sa nièce, suivit la direction de son regard et éclata d'un rire bonhomme

Tiens. Juliane, s'écria-t-il. vois donc Annette est en contemplation devant le portrait de Michel

Ce furent aussitôt des exclamations ravies, accompagnées des gloussements de plaisir de la vieille Aglaé, L'oncio Martial so leva, alla prendre la photo, et, du ton dont il eût présenté le jeune homme en chair et en os, dit cérémonieusement Mon beau-fils, Miche! d'Hérissart. Aglaé battit des mains, Juliane eut «a

Les œuvres françaises en péril

« II faut qu'on le sache! », déclare M. Ybarnégaray. M. Ybarnégary. député des BassesPyrénées. vient de faire à Bayonne une conférence sur son récent voyage en Argentine.

Après avoir parlé de ses compatriotes du paye basque français, qui ont fait souche dans l'Amérique du Sud sans jamais oublier la mère-patrie, le vaillant député parle, avec admiration. de sa visite aux maisons d'éducation reUgleuse de là-bas où se constate « l'effort prodigieux de ceux à qui nous devons le maintien du prestige français les religieux et les religieuses. Un exemple le collège San José de Buenos-Ayres, dirigé par les Pères de Bétharram, abrite 1200 élèves. Depuis près de quatre-vingts ans, des générations successives y ont été élevées. Mais le recrutement des professeurs est difficile on a faire appel à des Espagnols et à des Italiens l'heure est critique, il faut qu'on le sache en France • t

D'autre part, le doyen de la Faculté des lettres de Buenos-Ayres a déclaré en propres termes à M. Ybarnégaray En fait de livres français, nous ne recevons que des ordures. Vous avez pourtant des livres magnifiques et de très Intéressantes revues. »

Or, malgré cette profusion d'obcénités, le prestige moral de la France reste aussi fntègre que son prestige intellectuel c'est aux religieux de FTance qu'on le doit.

Sauvons le recrutement des Congrégations enseignantes I

ÇA ET LrA Mort de M. Houpcrt

doyen des journalistes lorrains. Jeudi soir, a 23 heures, est décédé à Metz M. Nicolas Houpert, doyen des journalistes de Metz. Il était né en 1859,

a. Insming 'Moselle/.

Le ohanoine Collin, alors directeur du Lorrain, te prit en 1889 comme rédacteur. Il a dono appartenu pendant quarante ans au journal dont Il était devenu le rédacteur en chef.

Pendant la guerre, Il avait été interné à la forteresse d'Ehrenbreitstetn, à cause de ses sentiments français. 1

He ùnm tes épiUs Par décision ministérielle du IS septemfira. les médailles d'honneur des épidémies ont été décernées aux personnes ci-après destinées (S» liste)

̃éiUUl» d'argent. Mme Olivier (MarleLoulse), en religion Sœur Clémentine. infirmière à l'hospice mixte de Montpellier. Mme Graptn (Marie- Jeanne), en religion Sœur Cécile, Infirmière a l'hospice, mixte de Chalons-sur-Marne.

MéâaiUa de bronze. Mme Lafaranne (Charlotte), en religion Sosur Sainte-Rose, infirmière a l'hospice mixte de Rouen, Mme Foulon (Jeanne), en religion Sceur Salnte-EllsaOeth, infirmière à l'hospice mixte de Rouen.

Mlle Bouquet (Mag-delelne), en religion Sœur Clémence, Infirmière de l'hospice mixte ûe Castelnwidary.

JUSTICE

L'AFFAIRE DU CERCLE DE BORDEAUX Les trois personnes inculpées dans l'affaire de détournements d'une somme de 9 millions au détriment des actionnaire* d'un cerole de Bordeaux dont ils étaient les administrateurs, et le gérant, ont éié mis jeudi en liberté provisoire sous caution.

Est-ce le commencement de la fin de ce procès politique ?

UN APPRENTI DE 1S ANS COrTIlAMNE A MORT

Le 8 juin dernier, Jean Fourrier, apprenti couvreur, à Boulogne, âgé de 16 ans, assassinait, avec une sauvagerie Inoroyable, sa patronne et bienfaitrice, Mme de Salnte-Maresvlile. 11 a comparu jeudi devant la Gour d'assises du Pas-de-Catais. Bien que son avocat ait plaidé l'Irresponsabilité, le jury a 1 prononcé consciencieusement la peine que mérite et justifie le crime. Fourrier est condamné à mort. UN FORAIN RECONNU INNOCENT ET ACQUITTE

Arrêté en gare d'Auray pour vol au préjudice de M. BeJlec, de PlthiviersJ d'un portefeuille contenant 21000 fr., un marin de l'Etat nommé Paul Bertrand, âgé de 21 ans, de LevalloSsPerret, avait accusé de complicité un marchand forain nommé Antoine Krembser, âgé de 41 ans, qui aurait reçu la moitié de la somme. Ce dernier fut écroué.

A l'audience, le matelot s'est troublé et a avoué qu'il était le seul coupable. Le tribunal a acquitté le forain. Bertrand sera jugé ultérieurement. L'ALGEHtETf ASSASSIN FINIRA SES JOURS AU.v. BAGNE

L'Algérien, ben Bousid Khated. ordonnance d'un officier du S* régiment de tirailleurs de Metz, qui étrangla et acheva à ooups d'épée Mme Vve Ruppert. chez qui logeait J officier, et lui vola près d'un millier de francs», a été condamné, jeudi, par la Cour d'assises de la MoseUe, aux travaux forcés à perpétuité. j.

sourire attendri, et « Campanule » finit j 1 par comprendre que l'oiseau des îles n'avait épousé l'oncle Martial qu'en secondes noces Michel, ce beau Michel, de mine si sombre et si fière, était le fils du premier mari.

CHAPTntE IV

liOm DE LA, SUR LES FLOTS.

Le cuirasse allait comme le vent dans les ténèbres. Depuis que l'on avait perdu de vue les côtes d'Egypte, de sombres nuages s'élevaient de la mer: s'épaississant avec rapidité, ils formaient autour du bateau une nuit précoce, oppressante. Tout à coup, la brise coupa horizontalement en deux cette masse de brumes. Le navire j s'élança plus vite, secouant derrière lui comme des lambeaux de voiles ces vapeurs flottantes à la surface des eaux, tandis que, la-haut, le dôme noir se resserrait. Les premières étoilas restaient invisibles. Cependant., les vagues étaient calmes les feux du bord allumèrent des reflets i dans les remous d'une houle indolente. A l'arrière, un choeur de voix mâles se gonfla soudain 'et fut comme un appel da vie dans la mélancolie de ce sombre décor. Deux officiers qui faisaient silencieusement les cent pas sur la passerelle s'arrêtèrent pour écouter, et l'un d'eux, le plus jeune, murmura, avec une nuance amèrq dans le ton j Comme ils sont heureux de revoir la I France

Son compagnon se tourna vers lui et répondit avec vivacité Mais dites donc, mon cher, c'est tout I naturel, je pense 1, 1

FAITS ÛIVER3 «sllctji U j'Oftitt uimu Béttareeiiq» Evolution probable du tempe en France Jusqu'au 28 septembre au soir, Le beau îcuijiâ persistera. aucune perturbation ne tournant encore nos régions.

En conséquence veut toutes réglons, faible de Sud.

Etat du ciel restons .Nord-Ouesi et Nord, très nuageux et brumeux autres régions, broulliard par plates le mailn. Beau temps clair ou peu nuageux, un peu brunfeux. Température en tomes réglons, en hausse.

Prévision -pour ta nuit du 27 ou 38 septembre. Râtrlon parisienne vent faible de Sud. ctel brumeux rtatr on peu nuageux. Brouillard le matin. Même temperature,

ProitabUtté pour le journée du 28 septembre. Rl-jrton parisienne vent Taible de Sud. Brouillard le main. Beau temps peu nuageux ci un peu brumeux. Temperature en hausse.

Samedi 28 septembre, S71» Jour de l'année. Durée du jour: 12 h. 58.

Soleil. Vtn.: 5 b. 44. Coach.: 17 h. 36. Lune, Lev.: Couch.: 16 h. 9. 26» jour de la lune.

A PAKB ET DANS LA BANUEUl

V«4é« pendant son •bsenc*. Des cambrioleurs ont dérobé à Mite Alexandrine Jacques, 80, rue de l'Arairal-Roussin, pendant son absence, une somme de 500 francs et des titres de rente évalués à 50000 francs. On arrêt», non sans peine, un pil.leur d'églises.

Prevenus que les troncs de l'église d'Osny, puis ceux de l'église de Bolssyl'Aillerie venaient d'être fracturés, lès gendartnes de Pontoise partirent en auto sur la piste du malfaiteur. dont ils avaient pu se procurer le signalement, et le rejoignireut dans un restaurant de Ohars. Celui-ci prit la fuite et ce ne fut qu'après une poursuite mouvementée dans les ruiis de Ohars que les gendarmes rarretèrpnt. C'est un déserteur du 92" régiment d'infanterie de Clermont-Ferrand, âge de 20 ans, nommé Androdias.

DANS LES DEPARTEMENTS

Un magasin de cuirs

détruit oat> te feu.

Tarn. lin incerwiie d'une jcrandf violence a détruit nn magasin de cuirs et do pesnx, à Farcir». Les dégâts s'élèvcct à 15OOO0© francs.

Cambriolage des bureaux

d'une m. ne.

Puy~dc-DCmr. Des malfaiteurs restés inconnus ont pénétré de nuit, par effration, dans les bureiux des mines de Boullo, à Saint-EVoi. Ils se sont emparés d'une somme de 130 00O francs, dans deux coffres-fortF qu'ils ont éventré*. Ils n'oni pas eu le temps de fracturer un troteiètrre ooftre-îort qui contenait une gfosse somme. le veilleur <1<\ nuit étant survenu. A noter que c'est le cinquième cambriolage à Saint-Eoi en l'espace de quelques mois.

Trol» terrassiers ensevelis. Marne. A Reims, nu groupe de terrassiers qui faisaient des fouilles dans tes caves, d'une maison de Ghampafnae, rue dfe Çsvove, n été surpris soudain par IVbctulement d'une masse de terre de 8 mètres cubes.

M. Victor Estier, ftgé de 31 ans, a été tué net, la poitrine écrasée ses deux eairofades, MM. André Seyer. 26 ans, et Henry Lis. 38 ans, ont i'é dégagés, grièvement blesses.

Le factsur s'appropriait

les lettres chargéas.

Haute-Garonne. A la suite de nombreuees llaintes. une survi'illance sévère à l'hôtel des Postes de Toulouse, a fait découvrir qu'un facteur, Saint-Antonin. rîécnehetatt les lettres chargées «t s'en appropriait le montant. Jeudi, il fut pris sur le fait. Il était en possession dr. dix 't lettres, dont deux étaient déjà ouverte. Tuée par un train.

Hérault. Au passage à niveau <1e Raoanier, h Montpellier, Mme Alexandrine Vaj-jse, âgée de C2 ans, atteinte de surdité complète, a été écrasée et tuée par nn train.

Un gendarma victime du devoir. Bouches-éu-Rhône. maréchal des logis Lucien Donadieu, chef de la brigade de gendarmerie de La Valentine, est mort jeudi matin, à l'hrtpital militaire, des deux deux coups de revolver qu'il avait reçus en arrêtant un cambrioIfiar de poulaillers. Il venait d'être décoré de la Légion d'honneur.

Une fillette

tuée par l'explosion d'une grensde. Weiise. En posant son sac de ferraille, qui contenait une grenade. l'Algérien SaW Mohamed, récupérateur pour une entreprise de Verdun, provoqua une explosion dont les éclats atteignirent la petite Paulette Charmasson, 8 ans, qui ce trouvait a proximité. La fillette est morte en arrivant k l'hôpital

On arrête a Lyon un représentant qui a d tourné plus d'un m Iliort La police lyonnaise vient d'arrêter le représentant a Lyon d'une Société anglaise Umberto Soldati, 51 ans, 6. rue Pizay. qui encaissait les factures au nom de sa maison et s'appropriait l'argent. On évalue à 1200 0U0 francs !es sommes qu'il a ainsi détournées. Sol- dati, d'après um télégramme trouvé sur lui, se disposait à quitter la France. A L'ÉTRANGER

Une série

de tremblements de terre. Iles Uawttà. Jeudi matin, s'est produit une série de violents tremblements de terre, dans la partie Ouest des lies

Celui qui avait parlé le premier ne répondit pas immédiatement. Lorsqu'il reprit la parole, sa voix lente sembla tralner des sous-entendus.

Oui, fît-il, évidemment, c'est naturel. Ces braves garçons vont retrouver, qui ses vieux parents, qui sa promise, sans préjudice des beuveries carabinées qu'ils vont pouvoir s'offrir en débarquant. Vous. mon cher Gravière, vous allez jouir de votre foyer, de vos bambins vous avez la chance de posséder un cercle familial qui accaparera toutes vos heures. Aucun indifférent ne viendra les troubler. 0 précieuse intimité Je vous l'envie, et les chansons de ces braves gars me peignent le cœur». Le lieutenant Gravière avait senti la violente amertume dissimulée sous ces phrases prononcées légèrement, et il jota un regard affectueux sur ce visage hautain et pâle.

Hérissart, murmura-t-il en posant amicalement sa main sur le bras de son camarade, Hérissart, venez passer que!que3 jours chez moi, sans façons. Nous allons nous installer à la campagne, dans l'EsWrel, parmi les pins et les oliviers. En disant « nous ». entends ma femme, tes gosses et moi. Vous ne serez pas de trop. Acceptez vous avez besoin de vous remettre d'aplomb, et votre peine n'est pas de celles que l'on traîne impunément parmi des indifférences. Ma femme et moi, nous rorrrprendrons si bien.

Merci, dit Mieh«4 d'Hérissart en secouant la tête. Je ne peux pas accepter, du moins touf. de suite. Ma mère m-appelle instamment près d'elle. et, cette fois, je ne dois décemment pas me dérober encore. Quant à ma peine

Une vibration de colère passa dans sa

Havvaî. Un certain nombre de bâtiments se sont effondres, ce qui a provoqué une panique de la population.

On craint que ce séisme, le plus Important qui ait fu fieu depuis de nomhreuses années, ne soit le prélude d'une éruption d'un ou des trois volcans de nie

Le Dr Jaggar, expert du gouvernement, prévoit même ta possibilité d'une éruption soudaine, simu'tanée, des trois volcans.

Violent ouragan en Floride.

Floride. Le vapeur britannique Domira, de 3 852 tonnes, portant équipage de 30 hommes, a été pris dans iune tornade près des Iles Lucayes (Bajhama) et a été jeté sur les récifs au inord de l'Ile d'Abaco. Le vapeur Pirebrand a été envoyé de Nassau pour tenter de sauver l'équipage par te moyen d'un va-et-vient.

De nombreuses familles ont quitté le littoral pour chercher refuge dans t'injtérieur. Les communications par T. S. F. entre Miami et les lies Lucayes sont interrompues.

On mande de La Havane à VAssoctated Press que l'ourasan qu'on redoutait s'est éloigné de la côte Est de la Floride. Partant de l'Ile Andreos, dans les Bahamas, !e vent paraissait tourner dans la direction de Cuba jeudi après-midi. Oi vole un pli

de 20 OCO livres égyst'innss. Egypte. Une enquête a été ouverte sur les circonstances dans lesquelles s'est effectuée la disparition de billets de banque d'une valeur de 20 000 livres égyptiennes qu'avait adressé sous pli recommandé une banque du Caire à Minich. Les cachets étaient intacts à l'arrivée du pli, mais les billets avaient disparu.

11 paru, Il nelce dans le Tyrol.

Tyrol. On signale de Bolzano que la neige est tombée en abondance jeudi sur les monts de la Pusteria. Dans le Haut-Adige, la température a sensiblement baissé.

DENTS ET DENTIERS Le Premier Dentaire de Paris (de formule américaine) 9, cité Milton, offre ses soins et ses appareils a des prix inconnus p»rv tout ailleurs. La première consuliatton étant fratuite, il y » iniéret pout tous de na rien faire avant de rendre visite a ut établissement unique.

AVIATION

Dt Itrniier et Favraui ont dû atterrir .vï §r s de Tunis.

Les aviateurs de Marmjfir et Favreau, qui avaient quitté Le Bourget jeudi maiin pour tenter de battre le record du monde da distance en ligne droite, ont échoué dans leur tentative. Trompés par l'obscurité, les aviateurs ont été! obligés d'atterrir à la fin de l'après-midi à Fochville, près de Tunis.

̃ait Costes et Be.lonte si sont invalés vendredi matin.

Vendredi matin, peu après le départ de Vancaudenberghp qui renouvelle sa tentative, Postes et Belîonte se sont envolés du Bourget pour battre, en direction de l'Est, le record du monde de la distance en ligne droite.

Le décollage des 6 tonnes que pèse le PoitU-d' Interrogation a dure 51 secondes. Coste.» et Bellonte, partis vendredi matin à 8 h. 20, vont essayer de rallier Irkoutsk. Puis en cas de réussite, ils s'envoleraient pour toucher Tokio en une seconde étape.

La tournée d'Inspectio»

de 1. Laurent Eymc.

Arrivé jeudi à Lyon, venant de Dijon. M. Laurent Eynao a inspecté le 35* régiment d'aviation, puis est reparti dans la soirée pour Saint-flaphaël.

Le sphérique tant pilote.

On est toujours sans nouvelles de I'aëronaiite Noguer, dont le ballon a été retrouvé près de Kamenice.

Des patrouilles de cavalerie sillonnent toute la région, mais les recherchfs na donnent aucun résultat.

Des p&ysens Slovènes assurent qu'ils aperçurent le ïphérique volant k faible altitude, et que le pilote faisait des signaux de détresçe.

D'autre part, tes officiers du centre aéronautique de Zagrebl'enveloppa a été transportée déclarent que le ballon trouvé pourrait être un ballon d'obsorvation, employé seulement pour ;xperienefs. Us estiment que le pilote ne se trouvait pas dans la nacelle. Ils exptiquent les tiaces de sang relevées pur les blessures que les paysans durant se faire en brisant les appareils de bvrd qu ils enlevèrent.

La reckerche de l'avion postal. Dans la nuit de jeudi i vendredi, le remorqueur Vanneau s'est de nouveau rendu au large de Merdja-Bou-Sellam pour continuer ses recherches de l'tvion postal Toulouse-Casablanca. On note la présence de nombreux requins dans ta zone inspectée.

Le krach Hatry à Londres

La première liquidation de quinzaine depuis le krach Hatry a nu lieu jeudi. sans que de nouvelles difficultés pour les actionnaires se soient présentées. Une demande de mise en liquidation d'une Compagnie a été faite jeudi. C'est de cette Compagnie que le groupe Hatry est inculpé d'avoir obtenu 209 141 livres sterling (25 933 400 francs environ) par des moyens frauduleux,

voix, n se tut, regarda d'un air de défi l'horizon sombre qui se fermait à l'arriére, puis reprit d'un ton étouffé

Quant à ma peine, je me suis juré de la porter légèrement. J'oublierai. Que disje ?.“ J'ai déjà oublié.

Gravière le regarda avec inquiétude, car ce timbre ironique avait vibré singulièrement.

Diable, mon vieux fit-il. Vous me paraissez mûr pour quelque sottise De l'aventure déplaisante qui vous est arrivés, n'allez pas conclure, je vous prie, que toutes les jeunes filles ressemblent à la nièce du sympathique administrateur de la C. H. V. S. Cela vous mènerait à des erreurs regrettables.

Michel d Hérissart l'écoutait, un sourire sceptique au coin des lèvres.

Derrière eux. les voix des marins remplissaient toujours l'ombre de leur monotone complainte. A l'horizon; une lueur rouge courut sur la mer c'était la lune qui se levait. Gravière, ayant un rapport à écrire, quitta son ami celui-ci alla s'accouder en face de l'étendue ténébreuse que trouait, là-bas, cette lumière sanglante. Douloureusement, il évoqua d'autres levers de lune, sur l'eau endormie des rizières. Michel d'Hérissart, on le sait, avait une beauté froide, sous laquelle un observateur attentif eût peut-être deviné un. 4mo de feu, déjà devastée par une orageuse existence.

Le jeune officier descendait d'une vieille faipille cévenole, jadis proleslunte, convertie au catholicisme vers le milieu du xvii* siècle. A cette même époque, la branche cadette émigra aux Antilles et

Un « Mignard » volé et vendu 40 francs! 1 C'est en cherchant le meurtrier d'un gendarme que la Sûreté1 marseillaise a découvert le voleur d'un tableau du peintre Mignard. A la vue des agents. Oorgfis Coudere, Î8 ans, prit le fuite. Ma1» il fut vite rejoint. Questionne sur le meurtre du gendarme, il nia absolument en ftre l'auteur. Mais, spontané- ment, il s'accusa d'avoir volé le Mignard • du musée Longchamp. Il déclara qu'il t'avait vendu, moyennant 40 francs, à un brocanteur du boulevard de la Madeleine. Le brocanteur, in- terrogé, expliqua qu'il l'avait lui-même revendu 200 francs à un antiquaire lyonnais.

Courière a écroué.

Le brocanteur a été déféré au Parquet pour n'avoir pas fait figurer sur ses comptes l'achat et la revente du ta- bleau.

les Accidents de la Circulation Somme. Sur la route de Plesselles, près d'Amiens, M. Albert DeneuvlUe. 28 ans, a été tué et carbonisé, en je tan1 contre un arbre sa camionnette qui a pris feu.

Charente. A Barbezleu, M. Auguste Lucas, 2S ans, est tombé sous Il un camion chargé de fûts, dont les roues lui ont passé sur le corps. Il est mort à l'hôpital.

Orne. A Saint-Germaln-de-Clafrefeuille, Mme Laffosse, âgée de 77 ans, a été renversée et tuée par une automobile.

Gard. Près de Rwnoulins, une automobile, occupée par M. et Mme Debru, de Montpellier, a capoté, tuant Mme Debru.

SUR MER

Li ptrtie Btrs't da l~T octobre

i Toi Ion.

C'est mardi que la première escadre change otilciellement de chef. Le vice.amiral Docteur est, en effet, remplacé, ainsi que nous l'avons dit, par le viceamiral Durand-Viel. Une parade navale aura lieu, le 1" octobre, à l'occasion de ce remplacement. aans ta rade de Touton. On sait que le commandement de la première escadre ou escadre de la Méditerranée est le plus important qui puisse échoir à un amiral français. Les DOUftîax »méB»gem:als du port de Tilbury.

j La nouvelle écluse flt les autres travaux, qui avaient été entrepris au coût de 2 500 000 livres, par les autorités du I port do Londres à Tilbury, ont été offl1 ciellement inauguré aujourd'hui en prdsence de M. Thomas, lord du sceau privé.

Tilbury se classe. maintenant au mémo niveau que Liverpool et Southarapton comme l'un des grands ports de 1 Angleterre.

V t Occtiic Mtt&his b*ttfi-l-L k t Brtmca t tlltmtad.

Il a été décidé de différer les travaux de l'Océanie, le nouveau paquebot de 60 COQ tonnes qui doit assurer le service entre Southampton. Cherbourg et NewYork. On orolt savoir que la Compagnie laquelle appartient le navire a décidé de faire la ooncurrenoe au Bremen qui, ̃on le sait, détient le record de vitesse | pour la traversée de l'Atlantique, et d'apporter, en conséquence, de nombreuses I modifications dans les plans de construction de VOcéanic. Le paquebot qui mejsurera 300 mètres de long, pourra transporter 5 000 passagers et S 000 hommes d'équipage.

Ua torpilleur éeboui.

En rade des Bormettes (Toulon), le torpilleur Boulonnais s'est échoué dans la nuit, au oours d'exercices. Le V<rpj»illeur, qui n'a subi aucune avarie, a été déséchoué très rapidement.

T. S. F.

Programmes du dim. 29 septembre. TOI* EIFFEL (1 iii m. 8). U bftures, relais de l'Ecole supérieure des P. T. T.

18 Il. 45. Journal parle.

30 h. ^0, soirée iheàtrala le thé»we tlj y a cent ans La demoiselle à marier, comédie- vaudeville a couplets, de Scribe. PARIS P. T. T. (4«7 m.). 12 heures, radio-concert.

15 heures, concert.

1» h. 30, Marche du 91* d'infanterie (Mommaln). Lakmé, fantaisie (Léo De- llbos.i. Atr de ballet de Rosamande (Schubett). Première symphonie en ut

majeur (Beethoven). Les aaUtmbenques

(Gannei. Driant (Mlllot).

20 h. 45, radio-concert.

Si b. 30, diffusion de concert.

RADIO-PARIS (1 725 m.). tt heures, causerie religieuse. Concert par le chœur mixte de Paris Choral (J.-S. Bach). 0 SalutJtris (P. de La Rue). Sanctus et Benedictus de la Messe du vieux rot saint LnvAs (Marc de Ranse). Laudate Dominum (H. Mulet).

t! h. 45, conrert symphonltrue.

16 h. 30, le flre o'cloclt Odéon.

18 h. ao, la demi-heure Pathé.

la h. 45, cirque radia-Paris.

20 h. 15, radlo-roncert.

îl h. 15, concert.

SI heures, Phryne (SalntSaéns-Turtn). Manfred «cbumann). Ballet du Ctd (Massenet- Mouton). Conte d'avril (Wldor- Mouton). La forêt enchantée (D'indy- Mouton).

HADIO-LILLE (265 m.). 10 heures, concert.

12 b. 30, radio-concert Le lion (H. Elllot- ?ml!b,i. Feuilles d'automne (A. scassola). Douces illusion* (Alez. de Taeyel. Chanson de mft (Albert Dupuls). Samson, j

menurt (liaem)«!-S*labert). l'écureuil iSmlih). ta fhanson du rouet (Dominique Bernardi. Ariette (Louis Grefli). ?o h. 30, diffusion do conr»rt Jfarrft* américaine (Souss*. Le ealife de B9ff4ad iBolelilleu». BoUrt teyipite* «LUlrtuO. La voir de* cloches ilMlglnli. Fautt au sabbat (Clro L'rblm:. Les enfants de France (Parés).

radio-Lyon fîsi m. jo). il heures el lî b. 30. concert.

90 h. 15, rone*n Les btruft fParlsot). Les conte» d'Hoffmann (Oirpnbacri). Chat eajotêur (Ellemberp). Louis* tCJiarpentîer). Laqerterran* fOiterrero». JV»tus ortmd'mere (Grossmuttel^hen*. Le pélican (A. de Wussen. PaiUtisse (Léonfnvallov Parade des petit* lutins (KUrtt. SI heures, musique de danse.

BE^N'ES (ÏT6 m. S). 1S h. SO et 20 h. 30, relais des» P. T. T. de Paris. RAD1O-TOULOCSE (ï»l m.K U h. 30. la demi-heure de la Radlo-Agrlcole française. is heurns. concert,

SO h. 3.1. orchestre.

21 heures, concert fraemen's d'opér»»("omlquM La aie de Bohême (Pucrlul). TlutU vM»ssenetV Mlgrnon iTtvoinask Cansonctta. clsr'netle (Pfcrn*). ta m«fidiante espagnole (Orthl. ntverie (Plcheran). Aprè$ un réea (F»ur*>. Mélodies,

Chronique SwRTivr

AUT0M0BILISMX

Les records à Montlhiry.

Au cours de tentative» qui ont lieu actuellement a rautoilrftmc de MwtlMry, 1*9 recorda du monde des 13 jours et U jours ont été établis par la voiture Hotoliki»?. pilotas par MM. de Coviu», D<>i|ruite. Tchernousicy nt V»ss«ile, qui a couvert en 13 jours, 33 356 km. H7, moyenne tM km. 010 en li Jours. 36 7(53 km. n\, moyenne to« tta. <sp. D'autre part, les records du monde des 8 et 9 Jour» ont été battus par la voiture Volsm. Pilotée par MM. Mdrch&nd Morel, Klritoff et Leroy de Présalé, qia a couvert en S jours, is 846 km. 427. moyenne 136 km. «l« en 8 jours. 28 TO« km. 0S8, moyenna 133 km. 305.

CYCLISME

Le prix Wolber.

Dimanche prorhatn ser» disputa le huttième pru Wolber.

Le départ sers donné a Paris et Jea tonreurs suivront l'Cin^ratr» suivant Provins. Montereau. Moret, Melun, Corbeii, Essonnes, Dourdan, Llmnurs.

L'arrivée se fera au Parc des Princes. Les meilleurs coureurs sont enrapés, parmi lesquels le vainqueur de l'au dernier, Venvapcke, Bonctucl, Benoit F»ur«, L» firoj-o, Wsuters, Ch. PéJlPslor, A. M*gmr, Moineau, Martin, Demuysère. DofSfhp, Hgrthclemy, etc.

FOOTBALL

Lees matohea de dimanohî.

Au stade de Colombes. le Rarlnr-CIu|j rencontrer» le J. K. de Siim-Ouen.

Au stade de Paris, te Hed Star Olympiqua rencontrera le C A. XII*.

A nuîTaio. le stade Francal» rencontrera le Club Francs:

A Saint-.Mandé, le l*. S. Suisse rencontrera le C. A. Paris,

RUOiBT

Le match RaeingJUann».

L'équipe da FUctnif lera opposée rtlmanche, à 15 heures, au stadn Jean-Boum. au N. A. C. de Hoanne. champion de France la saison passée de division d'nnnnnnr. Volrl la composition du quinze roannais Arrière, J, Dupuy trols-quarts, Sauteret, CCaputs, Besson, Griffon, M. Dupuls demis (0.) Etctteftoln (csp.i, <m.\ Blanchard, »v»nts. Yalller, Lacroix. Uarnlflr, Mauratille, Péobavimne. Costa, Larnyuian, Tomet, Merlin, Cadoret.

Seul Carucsco, Indisponible, manquer». Quant au naclnr, il »e présentera comme suit

Arrière, Pêllssler trois -quarts, Delory, Clément, Parade, Raynaud. Lacave demi» (m.) Maury, (o.) Lannes; avant», Pôrot (sap.i. Billon. Lîvoégrie, Cappellanl. Arnaud, Oltve, Médecin, Slbleude, Caillé.

TENNIS

La Coupe Marcel Porta.

Le simple messieurs de la Coupe Marcel porse commencera le samedi as septembre, k 1S heures, sur tes rouns rtu Raemg-CluD dê> France, au Bols de Bouioyne.

Le simple hommes a réuni 367 engagements, le simple de dames 127 Joueuse», dans le double hommes 200 joueurs sont inscrits, 128 joueurs et Joueuses dans 1« double mixte et 64 Joueuses dans le double dunes.

Les enra<rem«!its du handicap double mute automatique ne sont pas encore clos. voici les têtes de séries exemptes dea diverses épreuves

Simple. 1. J. Borotra 8. C. Boussus s. n. George i. P. Gentlcn B. P. Barrelet de Uleou 6. L. Torralva 7. Bonté 8. Classer 9. Martin-Logeay 10. Barrelet de nlcou; 11. Aslangrul 19. P. Hlrsch 13. Alsln Gerbault li. L. de Borman 15. Ewtmnk t 18. J. Borln.

Simple de dames. 1. Mme Mathteu t 2. Mme l'vledlebeun 3. Mme Lafatirle-Jund j 1 i. Mme Bordes 5. Mlle J. Osllay 6. Mil» S. Barbier 7. Mlle Neufeld g, Mme Dupont. DouMe messieurs. 1. Bousaus et de Buzelet 8. Borln et Gerbauit 3. Danet et Oentlen t. Torralva frères.

Double mtr.t?. 1. Mme Mathieu et Borln S. Mme Lafaurlc-Jund et Boiiagtu 3. Mlle 8. Barbier et Granrtg-uiilot 4. Mme Pesloffes et Gentlen.

NATATION

Un Autrichien tenta la traversée de la Manche à la nage,

Jeudi soir, à S h. 30, le champion autrichien Bernat s'est mis k l'eau h Shakespeare Beach, prt's de Douvres, pour tenter la tr»- versée de la Manche à la naire.

Impr. Ma non de 1* Bonne l'rexw <ti» An"). 5, me B'rard, Paris- L* gérant h. Vinc NT.

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s'y fixa, faisant, rapidement fortune et s'alliant aux colons espagnols de l'Ile. Cependant, des relations épistolaires continuaient à relier l'un à l'autre les deux rameaux du vieil arbre, et le nceud de l'origine commune n'était pas oublié. On se communiquait le» événements de tristesse ou de joie décès, mariages, baptèrn^. La Terreur vint terminer ces ochmiges amicaux et rompre l'union touchante de cette famille, comme elle avait rompu bien d'autres choses.

Ce fut sous la Restauration qu'un d'Héris8art, oftlcier des marines du roi, renoua. au cours d'une de ses croisières, le lien brisé. Ce fut d'ailleurs tout à fait par hasard, et grâce à l'homonymie, qu'il retrouva des descendants dès émigrés de !'an 1380. Etaient-ce des parents encore?. Le nom. toutefois, s'était conservé, mais de multiples alliances avaient renouvelé depuis longtemps le vieux sang cévenol. Les relations reprirent, plus suivies mfane que jadis, comme si cette longue ignorance où l'on était resté les uns des autres eût réveillé une affection ancienne qui n'avait fait que dormir, mais qu'un prinlcmp» nouveau ressuscitait.

(A suivre.)

Mme Barrère-Affre.

Letfrea de piété et de direction, 2 vol. Dom GnÉt De l'Eglise et de ta dtpttM cenafitation, 2 vol.

La sainte liturgie, t vol.

JOSEPH na MAMTM Les aoirln de Saint~ Pitcrabaurg, 2 vol.

Il n'est paa fait d'envoi eontre remtottrM- ment.

B<M)t)t fMNtt~ <L *un lk&vànj& »àmài6, /7(~


PETITES ANNONCES

La ligne est de 30 a H lettres, minimum I lignes.

Voir « TARIF «n t*tm dmm rabrlyamm. a n'«tt Kceçw ni ioitiale». ai po«t» raitanta. Un ne justifie pas les insertions parues en petites annonces. Le a- justificatif 0 fr. 26 par exemplaire.

Prière de Joindre à toute demande a m- uertion ton montant en mandat ou bon de porte rt d 'adresser la correspondance relative aux PETITES ANNONCES alrecte-

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