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Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1938-03-17
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 164718
Description : 17 mars 1938
Description : 1938/03/17 (Numéro 76).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG69
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Description : Collection numérique : France-Brésil
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k409796t
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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LIT A LIE avant et après
Lorsque le prince
de Bulow, qui fut ) /jR. le dernier ambas̃r â > sadeur d'Allemagne en Italie avant la guerre, quitta Rome, il dit « Même si nous perdons la partie, nous l'aurons encore gagnée parce' que nous annexerons l'Autriche. »
M. Mussolini a jugé bon d'expliquer à son peuple comment et pourquoi la prophétie s'était réalisée. Selon lui, l'Anschluss était inévitable, et les Italiens n'ont pas lieu de S'en émouvoir. Ce n'est pas le langage qu'il tenait lorsqu'il écrivait, le 26 juin 1934, à Mme Dollfuss « L'indépendance de l'Autriche, pour laquelle votre mari est tombé, est un principe qui a été défendu par l'Italie et le seraencore plus énergiquement dans l'avenir. » Et à cette époque la presse italienne développait unanimement le même thème. On lisait dans le Popolo d'Italia « L'indépendance de l'Autriche est une des conditions de la paix. L'Allemagne n'a aucun droit sur l'Autriche qui est un Etat libre et le restera. » Et dans la Gazetta del Popoloi « Nous avertissons une fois pour toutes que nous ne reconnaîtrons jamais aucun fait accompli et que nous sommes décidés à défendre, au besoin par les armes, l'indispensable indépendance de l'Autriche, » On remplirait des colonnes avec de pareilles citations.
Certes, les Italiens n'ont rien à craindre pour demain. Mais la politique d'une grande nation rie se fait-elle qu'en yue du lendemain ?, A la' longue, de quel poids pèsera cet énorme Reich sur Trieste Le fascisme a oublié les leçons de la Révolutiori française et de rEnipjre, Tous les régimes qui débordent là tradition èiomliïettént les mêmes er» reurs Et Cavour doit rugir aujourd'hui dans sa tombe comme jadis fulminait Talleyrand.
Où le Duce a raison, c'est' quand il souligne la précarité de la situation autrichienne depuis la guerre. Seul, l'accord des puissances occidentales pouvait empêcher le désastre qui s'est accompli. Cet accord a été rompu par l'affaire d'Ethiopie, malheur de l'Europe 0 cruelle ironie Par la grâce du droit, poussé jusqu'à l'absurde, l'indépendance des Autrichiens a été sacrifiée à celle des Ethiopiens.
Pourtant, M. Mussolini n a pas le droit de dire que la France tenta à cette époque l' « étranglement » du peuple italien. Il sait que c'est le contraire qui est vrai. « Je vous demande de vous opposer aux sanction militaires, à la fermeture du Canal, à la sanction du pétrole, nous disait-il alors, et je ne l'oublierai jamais. » A ce moment, les acclamations de la foule mon-, taient vers le palais Farnèse. Nous ne disons pas cela pour excuser les sottises qui furent commises plus tard et que nous avons toujours signalées ici. Nous le disons parce que c'est juste et que ce qui a empoisonné le ciel franco-italien, c'est que, de part et d'autre, l'en s'est trop souvent ingénié à être injuste.
Nous ne demandons certes pas à l'Italie de modifier sa politique de l' « axe. ». Mais à côté d'elle, il y a place pour un ,« nettoyage » des relations franco-italiennes. En fait d'erreurs, .les deux pays peuvent se donner la main. Ne .se la donneront-ils pas pour faire enfin des choses raisonnables ?.
Wladimir d'Opmesson.
EN PAGE 5
CHRONIQUE MUSICALE Les Théâtres lyriques de province
Journal d'un musicien Par REYNALDO HAHN
MllIlMIltllttlIlliMUHIIIIIllIlHtlIlllllllllMIIIIIIIIIllllHIlIll
NOUVEAUX INCIDENTS
AEUPi
Bruxelles, 16 mars. De nouveaux incidents se sont produits à Eupen.
Des groupes de jeunes gens atteignant au total 200 manifestants ont parcouru les rues aux cris de « Heil
Hiiler ».
APRES LE COUP DE FORCE HITLERIEN
ROME ET BERLIN
peuvent marcher ensemble pour donner à notre continent un nouvel équilibre déclare M Mussolini à la Chambre Italienne M. Mussolini a dit :} • i Une rapide vision rétrospective de ces vingt années nous montre de façon claire et absolue que ce qui est arrivé devait fatalement arriver et que le fleuve, en dépit des digues de papier des traités, devait déborder. Les traités de paix de Versailles et de Saint-Germain, qui entendirent imposer à l'Autriche de rester indépendante, c'était une chose absurde. Au cours de ma rencontre avec M. Schuschnigg en avril 1937, j'ai fait clairement comprendre au chancelier que l'indépendance de l'Autriche est une question qui regarde en premier lieu les Autrichiens, et que 'l'axe Rome-Berlin est le fondement de la politique étrangère
italienne.
italienne. événement est ..̃̃ il -̃ ..̃̃,•.>̃. se produise avec vous que malgré vous, ou, pis encore, contre vous.. s '.] '̃]' ̃̃̃̃̃ "y:" Pour nous, fascistes, les frontières, toutes les frontières sont sacrées, on ne les discute pas, on les défend. Les deux nations, unies comme elles le sont par une conception analogue de la politique et de la vie, peuvent marcher ensemble pour donner à notre continent agité un nouvel équilibre permettant finalement la collaboration pacifique et féconde de tous les peuples. 192 5 193 S `.
M. Mussolini, le 20 mai 1925, a prononcé au Sériât italien un discours dont nous extrayons les passages suivants II ne suffit pas, messieurs, de garantir les frontières du Rhin: il faut garantir aussi celle du Brenner.'
Je crois que le Sénat italien sera d'accord avec moi et me soutiendra dans mon point de vue, à savoir que l'Italie ne saurait jamais tolérer cette violation patente des traités qui consisterait dans l'annexion de l'Autriche à l'Allemagne.
Cette annexion, à mon avis, anéantirait les effets de la victoire italienne. Elle augmenterait la puissance démographique et territoriale de l' Allemagne et elle créerait cette situation paradoxale que la seule nation qui étendrait ses territoires, qui accroîtrait sa population et oui
LES JOURS SE SUIVENT
1
SOUS UN SOLEIL DE PRINTEMPS
Lés correspondants qui se trouvent à Vienne signalent qu'il y fait beau temps et que l'air g est printànier. Qu'est-ce que cette allégresse et cette espérance de la nature peuvent inspirer à ceux des Autrichiens qui n'ont pas désiré, ce qui advient à leur pays ? Car il en est, en dépit des cris de triomphe et des communiqués, pour qui cette conquête pacifique doit demeurer insupportable. Ce sont des jeunes gens qui réclamaient le plus fort l'assimilation de leur Autriche à l'Allemagne lorsque les années auront passé, je ne suis pas sûr qu'ils n'évoqueront pas ces journées comme un moment inexpiable. Il fait beau; l'Autriche est rentrée dans le sein germanique mais il n'y eut jamais tant de désespérés. En une journée, la même scène s'est renouvelée trop de f ois oit des hommes et des femmes ont préféré la mort à cette gloiie, si parente d'une servitude. J'ai consacré naguère un de ces billets à quelques souvenirs de Napoléon, dont j'exaltais la mémoire. Cela m'a valu une lettre d'uti lecteur qui me reprochait de diviniser la force et qui comparaît les conquêtes de Bonaparte à celle que le chancelier d'Allemagne accomplit aujourd'hui. Il n'est aucun point de comparaison. Napoléon a su soulever, au nom de la liberté, l'enthousiasme de certains des pays qu'il avait conquis. Les historiens et les faits son d'accord sur ce point et il n'est que de lire le dernier récit paru sur ce grand homme à savoir le livre lyrique de M. Saint-Georges de Bouhélier pour saisir la différence entre l'Epopée et ce que nous vivons à présent. Beethouen, Gœthe, Henri Heine, pour ne citer que les Allemands, ont reconnu et salué la grandeur de Napoléon Bonaparte. Il a rudement secoué l'Europe mais comme l'a écrit superbement Musset, il n'y eut jamais de soleils si purs que pendant ce temps.̃ ̃
Peu de sang a coulé en Autriche mais te soleil de ce printemps est-il très pur ? Si j'étais un de ces hommes du destin, qui venu de la foule remuent les foules, font et défont des empires, je penserai souvent à ma légende. Car c'est pour cela qu'ils vivent finalement. Eh bien, je n'aimerais pas ce mince cortège d'ombres, ce muet défilé de suicidés auT jour du dernier jugement.
Guermantes.
Les persécutions commencent en Autriche Pour les éviter, certains, tel l'ancien vice-chancelier Fey, préfèrent se donner la mort Les arrestations se multiplient parmi les financiers les industriels et les artistes
Le major et Mme Fèy.
SUICIDES
L'ancien vice-chancelier Fey- s'est donné la mort avec sa femme et sa fille.
L'industriel Reitlinger demande à sa fille de le tuer, ce, qu'elle fait avant de se suicider elle-même. ̃
Le professeur Bayer se suicide avec sa fille.
Le docteur Kuhnwàld se donne la mort. •
ARRESTATIONS On .apprend de Vienne les arrestations suivantes
La princesse FANN Y STARHEMBERG; mère de l'ex-vice-chancelier d'Autriche;
Trois savants universellement connus
Le professeur SIGMUND FREUD, créateur de la psychanalyse Le professeur LOEWI, prix Nobel; Le professeur NEUMANN, lé célèbre chirurgien, qui refusa, l'an dernier, d'opérer Hitler quand celui-ci souffrait de la gorge; Le banquier baron LOUIS DE ROTHSCHILD qui reçut à plusieurs reprises le duc de Windsor dans sa propriété;
M. REITHNER, ancien gouverneur de la Haute-Autriche; -r
M. WEISER, ancien chef de la police d'Etat;
M. FERTNER, ancien ministre de l'instruction publique;
M.. DANEBERG, ancien député socialiste;
Le financier SIGISMOND BOSEL; L'archevêque PAWLIKOWSKÏ L'ancien gouverneur STEPAN Le comte FERRARI;
Les quatre frères SCHIFFMANN, propriétaires de la grande maison de nouveautés de Vienne; > • L'ancien éditeur du.* TELEGRAF »;
LA GUERRE G V!IE ET SfS CONSEQUENCES
t. ~-1
L'armée
du général Manda poursuit son avance 7.000 kilomètres carrés ont été conquis
en huit jours @
En haut la frpntière franco-espagnole. Au-dessous,: le trait noir indique la position actuelle des troupes' nationalistes sur le front d'Aragon. ̃ LE CALME REGNE à la frontière f rançàlsc '•" Mëi tystéftïgtis àê Catalogne a^êçîarent que la libération des anarchistes rend la situation a Barcelone très inquiétante "r '̃
(De notre envoyé spécial.) Perpignan, 16 mors. Il y a toujours des Pyrénées. La fièvre dans laquelle vit depuis quelques
Sur le Brenner, à la nouvelle frontière germano-italienne, les douaniers allemands fraternisent avec leurs collègues italiens.
A~UiJ~ J J R~
~.n'~ pà~ ~mte~ c~~ ses &r 7e~ rdo~ v ts
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a déclaré aux Communes M. Nevîne ChambeHa!n
jours la Catalogne espagnole ne s'est nullement étendue, pour l'instant, à la Catalogne française;La population de notre département frontière envisage 'la con- joncture extérieure sans renon- cer à son optimisme naturel. A Perpignan, sur la. -place Arago, familière aux discoureurs, on rectifiait ce matin. les exagérations publiées à Paris avec cette ironie froide qu'affectent les méridionaux quand ils se mettent à prêcher le calme aux gen; du Nord
De l'effervescence? Où donc en discernëz-vous les signes ? Des mouvements de troupes ? Nous nous en serions, tout de même aperçus.
Effectivement, les. forces militaires n'ont été augmentées sur aucun point stratégique de la région terrestre. ̃• Les seules mesures qui aient été prises intéressent la petite base de Port-Vehdres. Quatre navires de guerre, dont La Süippe et La Poursuivante vont, sous le commandement du, capitaine de corvette Coyola, assurer une mission de surveillance. D'autre part, soixante gardes mobiles .ont renforcé le poste du « Fer- Cheval », une section de télégraphistes tle la marine a été installée au fort de Béar, .et les batteries de D. C. A.,de la Mauresque ont été dotées d'un groupe de gros projecteurs.'
Simples mesures de • prudence, nous explique^ t^on,- pour le cas où les réfugiés espagnols afflueraient à bord des navires français qu'il faudrait protéger contre toute attaque. Prévoit-ûn des arrivées massives de fugitifs? (Suite page 3, col.- 1 et 2)
ji ̃' Londres,: lfr mars. Aucune1 lumière' n'est sortie des' débats qui ont eu lieu aujourd'hui 'aux- Communes et à la Chambre des Lords, sur lasituationintërnatioriale. L'impression donii'nante qùe\ l'on retire au contraire de ces débats et, plus éneiore, des discussions fort animées entendues dans lès couloirs, :est celle d'une grande confusion dans les esprits.
Des divergences. profondes de vues sont exprimées sous le manteau par Jes membres de la majorité sûr l'attitude qu'ils sou- haiteraient voir le gouvernement prendre en face des deux, majeures questions de l'heure Tchécoslovaquie et Espagne. On déclare que ces diversités de vues au sein du parti conservateur refléteraient une diversité analogue quséin hiême dit cabinet qui a tenu mie importante réunion cematm. • t- ̃;̃̃ Le problème °
tchécoslovaque n'est pas le plus urgent
Que lord Halifax, à la'.Gh'ainbre Haute, soit, demuré très vague dans ses déclarations au sujet de la Tchécoslovaquie, cela n'a surpris personne. On 'ne .s'attend pas en effet, ainsi que nous le disions! hier, à ce que le gouvernement britannique soit en mesure de définir sa position avant de soumettre le problème à une élude technique qui pourra demander encore plusieurs jours, ̃ i .̃̃ (Suite paye 3; col: 4; e,t 5)
Le Cabinet de Varsovie
délibère.
r
,;m «ojet de l'incidentpoiono-Uthuanien
Varsovie, 16;mars. Une réunion s'est tenue cet- après-midi, au château: présidentiel, groupant M.. Ignace Mosciçki, président de la République, le maréchal Smigly-llydz, généralissime de l'armée polonaise, le général' Skladkowski, président
La frontière polono-lithuàriienne. du Çonse,il, M. Kwiatkowsky, viceprésident du Conseil, et M. Beck, ministre des affaires étrangères, rentre d'Italie.
Bien qu'aucun communiqué n'ait encore, été publié à l'issue de cette réunion qui 'a duré environ une heure et demie, on déclare dans les milieux bien informés que le ministre des affaires étrangères a fait un rapport sur son voyage à Rome, sur la situation générale en Europe et que les hommes d'Etat polonais ont discuté les répercussions de l'incident de frontière polono-lithuanien du 11 mars.
On croit savoir qu'aucune note ni aucun ultimatum n'a été adressé à la Lithuanie, et on s'étonne, dans certains milieux de Varsovie, de la tournure^ que prennent les bruits répandus à l'étranger sur les, relations polano-lithuanionnes.
Dans sa déclaration le Gouvernement lancera aujourd'hui un appel à la concorde Aucune allusion ne sera faite aux projets financiers LES INTERPELLATIONS SERONT RENVOYEES Le texte d'un manifeste voté par le parti radical donne à penser qu'une nouvelle formation ministérielle pourrait suivre "̃' de peu la réunion des deux Assemblées Ce fut hier la journée de la préparation de là déclarations minis» térielle. Le matin, M. Blum s'enferma chez lui pour en rédiger le texte. L'après-midi, les ministres et sous-secrétaires d'Etat se réunirent en conseil de cabinet à l'Hôtel Matignon pour discuter et mettre au point tes termes de ce document. ̃̃• Innovation, cette déclaration sera brève et d'une présentation toute particulière. Généralement, les ministères, lors de leur première prise de contact avec le Parlement, définissent leur programme et annoncent leurs projets. Cette fois, il n'en sera pas ainsi.
Dans son exorde, M. Blum évoquera les difficultés qui l'empêchèrent de constituer un cabinet d'union nationale et, dans sa péroraison, le président du Conseil lancera un pathétique appel à la concorde entre les Français.
En revanche, aucune allusion, dit-on, ne sera faite sur les vues financières du nouveau ministère.
Contrairement à ce qu'on pensait et à moins d'incidents toujours possibles, il ne parait pas que la séance de cet après-midi à la Chambre soit d'un très grand intérêt « spectaculaire ». En effet, pour éviter, dans les circonstances actuelles, une discussion passionnée, peu propice à la réalisation d'une union indispensable des partis, le gouvernement demandera le renvoi de toutes les interpellations et comme il faut néanmoins un vote, la question de confiance sera posée sur la fixation de la date de la discussion des interpellations sur la politique étrangère, interpellations qui auront la priorité sur celles relatives aux problèmes financiers. Mais, profitant sans doute du « climat », M. Blum réclamera l'urgence pour le vote des 3.200 millions de francs de crédits militaires supplémentaires demandés par le précédent cabinet Chautemps et se répàrtissant comme suit 1.800 millions pour l'air, 800 millions pour la marine et 600 millions pour la guerre.
Le vote de ces crédits sanctionnera mieux qu'un ordre du jour banal cette séance où 1a Chambre n'aura qu'une préoccupation la situation extérieure. .̃̃ i Edouard de Vorney.
CHRONIQUE •.̃̃•̃̃̃̃<̃ ¡ LE THEATRE MAGNIFIQUE .̃ ,̃ ;t.t • ̃ pgr j AMES DE coquet
w 'ENQUÊTE uenée par le Figaro auprès des gens de
L'ENQUÊTE menée par le Figaro auprès des gens île
j théâtre nous a montré qu'auteurs et directeurs ;I, appartenaient non à des classes ennemies mais, ce qui est pire, à des univers "différents, comme le sourd et l'aveugle. Les uns ne voient pas et ne peuvent pas ;se faire entendre. Les autres voient qu'on ne leur dit rien. Jamais la collaboration du génie dramatique et de la bonne administration théâtrale n'aurait pu produire une situation aussi pathétique que celle-ci. Ce qu'on appelle la « crise du théâtre », c'est une tragédie idéale. Et gratuite.
« Il n'y a pas d'auteurs dramatiques » disent les directeurs. De leur point de vue, ils ont raison. Car si tous les écrivains de théâtre, ou assimilés, transgressant les lois sociales, se mettaient à travailler quinze heures par jour, ils ne suffiraient pas encore à alimenter, ne disons pas en chefs-d'œuvre, mais en ouvrages pour la scène, le contingent actuel des théâtres de Paris. C'est que les auteurs disponibles se recensent comme on recenserait la population d'une ville en ne comptant que les habitants qui sont dans la, rue. Il n'y a d'auteur dramatique que celui qu'on a déjà vu sur une affiche. Celui qui. reste chez lui ne compte pas.
Il y a sans doute à Orléans un autre Corneille, aussi mal ressemelé que le premier, qui se désespère d'être ignoré il y a probablement à Carcassonne un Beaumarchais in- connu dont les manuscrits feraient la fortune d'un théâtre. Qu'ils ne se désespèrent point, la postérité saura reconnaître leur talent. Mais leur chance d'être joué demain, d'intéresser à leur réussite les directeurs de théâtre est à peu près du même ordre que celle qu'on a, avec un billet de loterie, d'intéresser le hasard à son avenir.
Lorsque le jeune M. Jean de Rotrou vint de Dreux à Paris pour présenter aux comédiens de l'Hôtel de Bourgogne le manuscrit de l'Hypocondriaque ou le mort: ùmou- reux, qui n'était pourtant pas destiné à traverser les âges, la pièce fut reçue d'enthousiasme et jouée huit jours plus tard. Y a-t-il aujourd'hui un auteur débutant qui accepterait que sa première pièce fût montée en huit jours ? Certainement pas. La mise au point d'un spectacle moderne est une entreprise qui se rapproche plus du lancement d'un transatlantique (on dit que nous en verrons deux dans la prochaine comédie de M. Marcel Achard à l'Athénée) que d'une première de Rotrou. L'auteur qui ne se fierait qu'à son talent et à celui de ses interprètes irait à une catastrophe. C'est que le théâtre est devenu un art magnifique. Au fur et à mesure que'son public s'étendait, et avec lui ses ressources, il s'est mit à patronner tous les métiers d'art, les décorateurs, les couturiers, les ébénistes et les antiquaires. Il est un mécène fastueux qui fait naître les modes et qui lès propage. Et à chaque réplique qu'il écrit, l'auteur, qui ne pense innocemment qu'à; son héroïne et à son dénouement, engage d'un trait de plume des intérêts fabuleux, ceux des commanditaires du théâtre et ceux du commerce ^parisien, au lieu que M. de Rotrou ne pesait que sur le succès de Belleron et de Gros-Guillaume.,
Le directeur qui monte une oeuvre nouvelle est en proie aux mêmes alarmes que M. Ford à la veille de mettre une nouvelle voiture sur le marché. Comment lui demander ` de s'en remettre au premier inconnu qui lui apporte un manuscrit, c'est-à-dire le schéma sur lequel va s'exercer sa prochaine campagne de théâtre? Il aime mieux s'en remettre à celui qui a déjà fait la prospérité d'autres mai.sons, et c'est bien naturel.
Les auteurs ne trouvent plus à se faire jouer parce que leur génie, pour se produire, suppose qu'on y investit des capitaux. Molière a vécu d'une poignée de spectateurs, mais ses confrères de ce temps-ci doivent en mobiliser des milliers dès leur début sous peine de faire faillite. (Suite page 3, colonne 1 et 2)
I– -FIGARO.
LES ÉCHOS
f appartement des souverains 1 anglais à Paris.
Comme on le sait déjà, c'est le toinistère des affaires étrangères qui accueillera en juin, sous ses lambris, les souverains anglais. Cette résidence a été préférée a toutes celles qui s'offraient, tel iquc le musée Rodiu ou le irrinis'tere de la justice. Cependant, les iappartemenls du Quai d'Orsay, sils sont dignes de leurs illustres hôtes, ont un « confort uiojderne » qui date de 1900. Ou travailla actuellement, jour et nuit,.à les rendre plus confortables. Un crédit exceptionnel de huit millions a été ouvert à cette intention, et le roi d'Angleterre aura la plus belle sa1le de bains de Paris.
JUa fin du major Fey.
L'ex-vice chancelier Fey a jpréféré mourir plutôt que de yoir son pays sous le joug alleniand. Lors du criminel attentat dé juillet 1934, c'est lui qui avait subi le premier assaut des Dazis. Il se trouvait à la Bail ̃Platz quand les conjurés firent irruption dans son bureau et le réduisirent a l'impuissance. Quelques instants plus tard, Dollfuss était assassiné dans un 'cabinet voisin. Et le major Fey, ;ipour éviter des troubles plus graves, dut négocier la libération ianmédiale des meurtriers. Ces instants cornéliens, au cours ,desquels il lui avait fallu sacrifier le souvenir de l'amitié à In ( raison «l'fitat» étaient' .toujours -présents à sa mémoire. 'L'œuvre de Dollfuss étant anéantie, le piajor Fey préféra ne pas lui survivre.
Anniversaires autrichiens. Sanç les événements dont elle fcst aujourd'hui le théâtre, Vienne aurait célébré, cette année, son septième centenaire de ville impériale. C'est en effet l'emjpereur Frédéric II qui lui avait jcônféré ce titre en 1238.
Autre anniversaire, c'est en 1738 qu'avait été signé, à Vienne, le traité de paix mettant fin 4- la guerre de 1 Election de Pologne. qui donnait la Lorraine à Ja France et la plaçait sous la tutelle de Stanislas Lcczinski. Mais Vienne a rompu avec ses Souvenirs.
Pour avoir de jolies dents. On sait que les hygiénistes américains trouvent chaque jour jau -moins une nouvelle méthode pour se bien porter ou pour améliorer son esthétique. Et cela
i
LA JOURNÉE La Flamme du Souvenir
A 18 h. 30. à l'Arc de Triomphe M» et 251» R.I.. 102» R.I., 211" H.I.T. Conférences
il heures, it l'Institut Catlioli)çue, 28, rue d'Assaï L'enseignement de l'histoire' et de la géogniBWc », par l'ubuù Jeuiijcan.
16 heures, au, boulevard de la fTour-Maubourir « L-o culte (Je la Sainte Vierge dans la littérature illilojptenne par Mgr urclxmt.
16 h. 45, a, rue MlcllOlet « La • £ôte syrienne et les Francs, après les Croisades ». par M. J. Sauvaget. Réunion»
14 )i. 30. i, rue de Montevideo: î^isito du « Génie l'ran^als » a l'AmeIMcan Braille Press.
21 heures. 57. rue de ISiinylono Séance du Comité national ne l'orgauigatlou française.
Expositions
76, rue du Faubourg- saini-uouo-; té Salon des femmes artistes moder-
nes.
A Cuantilly: Musée. Conde ODe H3 à 17 heures).
103, boulevard Haussmann: Exposition Gulgou.
21, rue du Faubourg-- Montmartre « Exposition de « la Renaissance ». Au Pavillon des Salons (esplanade des Invalidés^ Exposition des indépendants.
Au Musée du Louvre: La peinture anglaise (dix-huitième dtx-neũvieme siècles). (Exposition ouverte lÉgalemcut de 21 a 23 heures).
22, rue des Capucines OEuvres 4Je Toulouse-Lautrec.
Au Musée des Arts décoratifs. R07, ruo de Illvoll Caricatures et Bumirs anglaises.
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fait une mode de plus qui a cours pendant six mois. La dernière en date est de faire prendre des bains de soleil à ses dents, ce qui, parait-il, les fortifie et donne en même temps une physionomie souriante. Voici d'ailleurs les six préceptes publiés par. les chirurgiens-denlistes américains
Prendre un quart de lait cha-
que jour.
Boire des jus de fruits.
Donner à ses dents des bains vie soleil ou des bains d'huile de foie de poisson.
Se garder d'une consommation excessive de sucre.
Se brosser les dents trois fois par jour.
Consulter son dentiste au moins une fois tous les six mois. Le Masque de Fer.
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Ambassades. 17 li. ROccption de M. Cuntllo ((Vl)ussade d'Argentine). 17 h. Réception de Mme Garcia Caldcron (Légation du Pérou).
Réceptions. 1 7 11. Mlle Hélène vaenreaco.
17 li. Comtesse de Prez.
Bienfaisance. '22 II. Soirée de l'Union des femmes' avocates à la Cour de Paris pour ses œuvres (attractions et bal) (Cercle Interallié).
Deuils: 10 li. 4 5 Obsèques de Mme Alexandre Chanteloup (Suint-rerdlnatid des Ternes).
Il 1 li. Obsèques de M. Armand Kaudin (Saint-Pierre de CUalllot). uummnnnnnnmmmuruainrarannumnnnnmnn COURS
Un service de quarantaine pour le repos de l'âme du Prince Nicolas de Grèce sera célébré le samedi 19 mars, à midi et quart, en l'église russe, 32, rue Boileau. AMBASSADES
S. Exe. l'ambassadeur de Fiance à Bruxelles et Mme Paul Bargeton ont offert, le 10 mars, un dîner auquel étaient conviés: Le ministre des an'aires étrangères et Mme Spaak, S. Exe, t'ambassadeur du Brésil et Mme Perelra e Sêuza, le ministre de l'agriculture et Mme Hubert Pierlot, le grand maréchal de la Cour et la comtesse Louis Cornet dp WaysRuart, le secrétaire général du ministère des affaires étrangères et Mme van Langenhove, S. Exc. le comte délia Faille do Leverghem, ambassadeur de Belgique, et la comtesse délia Faille de Leverghcui, grande maitresse de la Maison du S. M. la Reine Elisabeth; S. Exe. le ministre de Suède et Mme de Dardel, S. Kxc. le ministre d'Argentine et Mine QiiiiiUuiu, le chef de cabinet du premier ministre «1 Mme Louis Camu, baron et baronne Carton de Wiart, M. Le (ihait, chet de cabinet du ministre des affaires étrangères baron et baronne, rie Ti*aux de Wnrdin, le conseiller de l'ambassade des EtatsL;uis et Mme Pinkney Tuck, M. Aveling, conseiller de t'ambassade de Grande-Bretagne; M. Gazel, comtesse d'Aurelle de Paladines, MM. de La Sablièrfi et Dutilleul-Francœur. Le 12 mars, à l'occasion du passage à Bruxelles de M. RolandMarcel, haut-commissaire au tourism, et de Mme Roland-Marcel, l'ambassadeur de France et Mme Bargeton donnaient un déjeuner et y avaient invité:
Le ministre des transports et Mme Marck, le sénateur et Mme William van Hemoortçl, M. Henri Hollin, sénateur; M. Flagcy, bourgmestre d'Ixelles: le recteur de l'Université de Bruxelles et Mme Dustin, li: recteur de l'Université de Strasbourg et Mme Dresch, le chargé d'affaires de Grèce et Mme Sonliianos, M. Edouard Huysmans, M. et Mro6 de Meuse, M. et Mirie Sasserath, M. et Mme Bouchet, Mme Jacques Berthoud, M. Maria, M. Gérard Nagelmackers. M. Dutilleul-Fraucœur. On annonce de Londres que S. M. le'Roi George VI a approuvé la nomination de M. Ronald Campbell, conseiller d'ambassade, au poste de ministre plénipotentiaire à l'ambassade britannique à Paris, en remplacement de M. Hugh Lloyd Thomas, qui fit récemment, on s'en souvient, une chute mortelle au cours d'une épreuve hippique préparatoire au Grand National. M. Campbell a déjà été à l'ambassade de Paris en qualité de second et premier secrétaire, de 1920 à 1923. H fut ensuite, à Washington, en qualité de conseiller d'ambassade de 1927 à 1931. De là, il fut nommé au Caire, où il resta de 1931 à 1934, *t, depuis cette
LE CARNET-DU « FIGARO » =^~
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LE CHEVALIER DE TOURVILLE •
Les ailes de la gloire et l'ange de la mort ° (SUITE)
E jeune Tourville, avec une sagesse fort louable étant donné son âge, s'était gardé de se vanter à quiconque de son rôle dans cette affaire. Son capitaine lui était reconnaissant de sa discrétion, mais ne le lui prouvait guère. Il lui parlait le moins possible et avec une froideur marquée que les camarades de Tourville, les autres volontaires, avaient vite remarquée et qu'ils mettaient sur le compte du dédain.
Persuadés que le capitaine méprisait ce futur marin à tête de fille qui ne savait ni boire, ni faire le diable à quatre, les volontaires, et même l'équipage,. étaient prêts à surenchérir et à faire de Tourville, leur bouffon. Ils avaient compté sans leur hôte.
Lorsque le chevalier eut entendu fuser les rires à quelques « Chérubin » tombant d'une hune ou sortant d'une ècoutjlle, il fut le premier à se joindre aux rieurs, mais quelques heures plus tard, tandis que lea volontaires pour se distraire avaient mis bas la tunique et ferraillaient sur le pont, il défia comme
par plaisanterie tous ses camarades l'un après l'autre, et une demi-heure après chacun fut convaincu qu une affaire avec Chérubin pouvait très mal finir. Cette fille, déguisée en marin, ne respectait pas plus sa peau que celle des autres.
L'équipage avait fort goûté la leçon donnée à ces freluquets qui, à l'exception de Tourville, étaient plus remuants qu'utiles et pensaient plus à s'amuser qu'à s'instruire. Les matelots furent délinitivement conquis lorsque le chevalier ayant parié qu'il arriverait plus vite que n'importe lequel d'entre eux à la pomme du mât, gagna son pari et donna un écu pour boire au perdant. °
Lorsqu'on débarqua à la Valette, le port de l'Ordre de
Malte, la réputation de Tourville était faite, et si sou extraordinaire beauté suscita la même curiosité que partout ailleurs, elle ne provoqua aucun sourire.
Ayant été avec ses camarades présenté au Grand Maître, Gessant de Clermont, Tourville se préoccupa de lui faire sa cour, craignant toujours que, poussé par son ressentiment, Monsieur d'Hocquincourt n'embarquât sans lui, ce qui le contraindrait à solliciter un emploi dans l'Ordre.
Il descendit à l' « Auberge de France », comme le voulait sa naissance normande. L'Ordre de Malte était divisé en huit langues Allemagne, Angleterre, Italie, Aragon, Castille, France, Provence et Auvergne. Chacune de ces langues avait à sa tête un ^rand dignitaire de l'Ordre, s'administrait elle-même et possédait son « auberge », mi-caserne, mi-hostellerie, qui accueillait les chevaliers à demeure ou de passage.
Lorsque le chevalier eut fait maintes fois le tour de la Valette, le port et capitale de l'ile, et assuré les corvées qui lui incombaient à l'auberge de sa langue, l'ennui lui vint de la mer, de la frégate et d'un nouvel appareillage. Heureusement, Monsieur d'Hocquincourt, distrait de son malheur par l'accueil de ses anciens amis, n'avait pas perdu de temps. Tout d'abord, il compléta son état-major avec quelques chevaliers trop heureux de courir la mer avec un bateau neuf et sous un chef renommé. Ensuite, il eut le bonheur de rencontrer sur le port un capitaine corsaire, célèbre dans toutes les mers du, Levant, le sieur Cruvillier, qui, avec une frégate de vingt-quatre canons. lui. offrit d'être -son. matelot. f -• j'»- '̃•̃* 4.; 'k ..] ̃ in-. Cruvilliel- était le type parfait du corsaire* qui ne se bat pas comme la plupart des chevaliers pour se faire un nom,
date, il avait été affecté à l'administration centrale.
DANS LE MONDE
M. et Mme Jean Charpentier, devant s'absenter de Paris, regrettent de ne pouvoir accepter aucune invitation actuellement avant leur départ, ils ont fait plusieurs dons au musée du Louvre et au musée de Compiègne. M. Jean Charpentier, diplômé de l'Ecole des sciences politiques et de la Faculté de droit, auteur d'une thèse sur la GrandeBretagne, effectue un déplacement d'études, devant se rendre en mission à l'étranger, et prépare un ouvrage sur !e droit international aérien.
La générale Sherrill, veuve de l'ancien ambassadeur des EtatsUnis en Turquie, est rentrée à Paris, dans son hôtel do la rue de Courcelles.
BIENFAISANCE
̃ Aujourd'hui jeudi 17 mars, à quinze heures trente, matinée artistique organisée par le comité de la Bouée, sous la présidence de M. Georges Lecomte, de l'Académie française, en l'hôtel de la duchesse de Broglie, 27, rue de Chateaubriand.
Rappelons que le bal du Conservatoire aura lieu le 19 mars, à vingt-deux heures, dans les salons du Cercle militaire. II est donné par l'Association des anciens élèves du Conservatoire national de musique et de déclamation de Paris, au profit de ses caisses de secours et de retraites, sous le patronage de M. Albert Lebrun et sous la présidence du ministre de l'éducation nationale. Le lundi 28 mars, à vingt et une heures, salle d'Iéna (10, avenue d'Iéna), aura lieu une soirée chinoise organisée par Mme Koo, femme de S. Exc. l'ambassadeur de Chine, au profit de la Croix-Rouge chinoise, avec un grand film chinois et un grand film américain inédit. Chaque programme numéroté donnera droit à un numéro de tombola qui sera tirée à la fin de la soirée et qui comprendra de très beaux lots.
Les places sont numérotées prière de les retenir le plus tôt possible. Prix des billets (buffet compris) 75, 100 et 200 francs. On trouve des billets à l'ambassade de Chine, 11, avenue George-V (tél. Elysées 59-03); chez Mme Bates Batcheller, 12, rue du Mont-Valérien, à Saint-Cloud (tél. Val-d'Or 04,-27) chez Mme Perreux, 216, rue ds Rivoli (tél. Opéra 30-98); chez Mme C.-T. Loo, 36, rue de Washington (tél. Elysées 41-39); et, le 28 mars à partir de dix-neuf heures, à la salle d'Iéna.
Le gala « Pour les petites filles qui n'ont plus de maman » a connu, à l'Interallié, un succès et un éclat éblouissants. On se pressait dans les salons du cercle pour applaudir une pléiade d'artistes renommés. M. André de Fouquières, toujours prêt à se dévouer pour la charité, très en verve, obtint de gros prix de beaux livres avec autographes d'auteurs renommés. Après le spectacle, le bal fut extrêmement
brillas*.
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Ce gala est désormais une des soirées les plus élégantes et les ptus réussies de la saison parisienne. Reconnu
S. A. S. le prince François de Croy, comtesse de Sainl-I'riest, M. et Mme Yves I'Iorennc, princesse Kr. de Croy, duchesse et Mlle de Lu llocliefoiicuuld, inurt|uise et Mlle de Mun, niiirqul.se du Ltiurt, comte et comtesse B. d'Arumon, marquis, niurquisc et Mlle de l'ontoil'iinU'iiriT, comte et comtesse l'r. de Chovlgno. comte, comtesse et Mlle de Vii'J-Castel, marquis et marquise dfi Viriru, Mme Hodocanachi, Mme Paul Claudel, comtesse et Mlle de GtioIVra, btironne de t.assus, Mme M. de Yturlje, comte et comtesse de Boury, M. et Mme de Saint-Senoeli, Mme. tic \m HuycJoussclln, M. et Mme René de Mleullc, comtesse Il. de Dumpierre, comtesse 0. et Mlles de Jumilhac, comtesse et Mlle de Tristan, marquis et marquise d'Alljuféni, comte et comtesse P. de Clievigné, comte et comtesse H. de Mlrumon iritz-.Tames, vicomte et vicomtesse de Trucliis de Vareiine, vicomte et vicomtesse de Civille, vicomte et vicomtesse de Saint-Priest, comte et comtesse P. de Montrichard, Mme Maurice Gnllo, Mme et Mlle P. Panhnrd, Mme et Mlle Singer, baron et Mlle Haingucrlot, comte de Rougcmont, comte de Snyve, Mlles de MailliS, d'Imécoiirt, de Dampierre, de Gontnut-Blron, de Naditillac, de La Grange, de Ladoucctte, d'Aubigny, de Caraman, de Lauris, de Fi'ligondc, Wutcl-Dehajnln, de German Ribon, Goitln, I'ould, etc.
L'élégance et la charité firent un pacte heureux, lundi soir, f n incitant les femmes à se parer en vue d'un dîner de gala donné au profit dz la belle œuvre de la Résidence sociale dans le plus coquet, le plus rose et le plus fleuri des cabarets parisiens.
Tout ce que Paris compte de jeune. d'élégant et de gaiement généreux se donna rendez-vous sous les rideaux roses et les guirlandes de ce cabaret rouvrant ses portes après un sommeil hivernal. Les robes nouvelles fraîchement écloses des dernières collections y parurent dans un galop d'essai qui fut également celui du succès.
L'ambiance était parfaite et strictement parisienne. Reconnu Comtesse Gabriel de La Rochefoucauld, M. et Mme René Murgot-Noblemaire. Mme Thézenaz, comtesse Gaston de La Rochefoucauld, Mme DavidWeill, comtesse de Contades, comtesse A. de Castéja, marquise de Pontchara, Mme R. Patcnôtrc, comtesse Cornet, et Mme G. Rageot, Mrs Mofltat, Mme E. Michel, comtesse H. de Gaigncron, Mme A. Patino, Mme Schiaparelli, Mme Lopez, Mme Martin, Mrs Lee, Mlle Bowman, comte de Champeaux, M. Marcel Chnmpin, M. P.-A. Boyer, marquis de Calavici, M. Zigomalas, etc. CERCLES
Le Comité France-Amérique vient de donner en l'honneur de l'amiral Lacaze, et pour fêter son élection à l'Académie française, un déjeuner qui a été présidé par le général Weygand, de l'Académie française, et Mme Weygand. NAISSANCES
Mme Emmanuel Monnier, femme du directeur de la revue Esprit, vient de donner naissance à une fille Françoise.
Le baron Jean du Boisberranger, vice-consul de France, et la baronne Jean du Boisberranger sont heureux de faire part de la naissance de leur fille Anne-Marie, le 4 mars, à Bogota.
La comtesse François de Bertoult a heureusement mis au monde une fille; Chantai. Paris, 10 mars.
recueillir de la gloire ou se pousser dans l'Ordre. Jamais il n'eût fui devant un vaisseau turc, fût-il deux fois plus fort que lui, mais à choisir entre un vaisseau armé en guerre et un bateau de commerce, il eût attaqué le second et les beaux ducats que représentaient la cargaison et la vente comme esclaves de l'équipage prisonnier.
Quoi qu'il en fûtj Monsieur d'Hocquincourt ne pouvait espérer compagnon de plus de courage et de plus d'expérience aussi leur accord fut-il bientôt établi selon les usages en cours chez les corsaires les frais, les dangers et les profits partagés par moitié, à bon compagnon bon lot, le vivant Héritant du mort.
La petite escadre n'eut pas longtemps à attendre l'ennemi. Ouvillier, qui avait des amis dans tous les ports, fut bientôt informé que deux vaisseaux de Tripoli faisaient de grands ravages dans les îles grecques. Les deux capitaines décidèrent de leur donner chasse et la joie d'embarquer pour se battre fut grande chez les volontaires. Tout un cortège ramena à bord Monsieur le chevalier de Tourville qui avait trop bien fêté le départ à grands coups de vin de Samos et ne parlait que d'en découdre avec le sultan d'Alger en personne,
Les deux frégates firent voile sur l'ile de Zante, près de la côte de Morée, où les pirates avaient été signalés, mais déjà ceux-ci ont fui avec leur butin vers le Sud. D'après les habitants,
sèrent porter, chacun choisit son adversaire et l'action s'engagea aussitôt.
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Le Turc qui chargeait la Sainte-Croix ayant tiré sa bordée de trop loin, d'Hocquincourt réplique par une décharge à portée de pistolet, dont pas un boulet n'est perdu. Puis il vire de bord pour lâcher son autre bordée et, au passage, balaye le pont d'une décharge à mitraille de deux gros canons de fonte verte, enlevés à un Turc, qu'il avait achetes à Malte pour les placer sur son château d'arrière.
Rapidement, l'Algérien se rend compte qu'il a perdu l'avantage du feu et que l'artillerie du Chrétien est mieux servie que la sienne. Il se prépare aussitôt à l'abordage, argument décisif des vaisseaux turcs. Destinés à razzier les côtes, à mettre à sac les villages et les petits ports, ces pirates ont des équipages beaucoup plus nombreux que ne le comporte leur tonnage, et leurs hommes manient mieux le sabre courbe que le canon. D'Hocquincourt voyant l'ennemi mettre le cap sur lui appelle aux postes d'abordage. Le premier qui répond est le jeune Tourville dant le poste est ;V la « belle », la partie du pont dépourvue de bastingages, afin de permettre d'y loger des pierriers et de sauter plus facilement sur l'ennemi. Excipant de son titre de chevalier de minorité, il a obtenu le commandement des volontaires et des matelots de l'équipe d'abordage.
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̃(A. SUIVRE) .'̃ (Copyright by Pierre Belperron.)
M. Charles du Rivau et madame, née M.-A. de Junet d'Aiglepierre, sont heureux de faire part de la'naissance de leur fille AnneMarie. Briaucourt, 21 février. M. et Mme Jean Huet-Desurmont sont heureux de faire part de la naissance de leur fille Martine. Le 12 mars, Ferme du Molinel, Marcq-en-BarœuI (Nord):
On annonce la naissance De Monique de Magneval.
FIANÇAILLES :'•
–t On annonce' les, fiançailles de Mlle Ann-France Bird, fille de M. et Mme William Bird, avec M. Thomas W. Wilson.
MARIAGES
Nous apprenons le prochain mariage, à Alger, de Mlle Geneviève Motet, fille du contre-amiral et de Mme Marc Motet, avec M. Jacques Verdavainne, lieutenant de vaisseau, fils de M. Paul Verdavainne, ingénieur civil des mines, et de madame, née Montagut, décédée.
DEUILS
Un service pour le repos de l'âme du lieutenant-colonel comte Jacques de France de Tersant, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, a été célébré hier en l'église Saint-Pierre du .Gros-Caillou.
L'absoute a été donnée par. le curé de la paroisse.
Le deuil était conduit par le comte de Virel, capitaine de cavalerie. beaurfils du défunt: M, de Alontardy et M. Jean Riant, ses gendres; le comte Guy de France de Tersant, MM. Robert et Olivier de France de Tersant, ses neveux; M. André de France de Tersant et M. Louis Goury du Roslan, ses oncles M. René de France de Tersant, le baron Goury du Roslan et M. G. Ubaid-Bocquet, ses cousins germains
Du côté des dames, par la comtesse Jacques de France de Tersant, sa veuve; la comtesse de France de Tersant, sa mère; la comtesse de Virel, Mme de Montardy et Mme Jean Riant, ses belles-filles la comtesse Pierre de France de Tersant, sa belle-sœur; Mlle de France de Tersant, sa nièce; Mme Louis Goury du Roslan, la vicomtesse de La Gaye et Mme Péruy, ses tantes. Parmi la nombreuse assistance Le commandant Simon, représentant le général Gamelin; le générai Colson, chef de l'état-major de l'armée; les généraux Dentz, Albnayer, do Lunnurien. Limassct, Langlois, Besson, Perrot, Dosse, Jouarre, Cartier, Griveaud,
llrécard, Détroyat; le colonet Stehlé,
le commandant de La Brunétière, ainsi qu'une quantité de personnalités militaires et de la société parisienne. Les obsèques et l'inhumation, dans le caveau de famille, ont eu lieu à Breuil-Chaussée (DeuxSèvres).
Nous apprenons la mort de M. André Allard de Villermont, survenue à Deauville le 8 mars 1938. Il était le fils de Paul Allard, l'historien bien connu des premiers temps du christianisme, et le gendre de M. Samuel Frère, ancien doyen de l'Académie des Sciences, Belles-Lettes et Arts de Rouen,
'1- _L
l'un était un bateau de quarante-deux canons battant pavillon d'amiral et sa conserve, une frégate de trente-quatre canons. Bien que l'artillerie des Barbaresques fût supérieure à celle des bateaux de la Religion, pendant cinq jours, d'Hocquincourt et Cruvillier appuyèrent la chasse, fouillant sans succès les moindres baies, lorsque, un matin, deux vaisseaux furent signalés, sortant du golf de Coron. Ce n'étaient pas les TripoJitains que cherchaient les Maltais, mais deux Algériens. En tout cas, dés Turcs et des pirates, tous deux solidement armés et décidés au combat. La bannière rouge à croix blanche monta aux mâts des deux frégates de Malte, où sonna le branle-bas.
Les quatre bateaux lais-
t~`:
Nous apprenons la mort de Mme.Ludovic de Sinçay, née Denormandie, pieusement dëcédée 46, avenue d'Iéna. Ses obsèques seront célébrées samedi 19 mars, à onze heures, en l'église Saint-Pierre de Chaillot où l'on se réunira. L'inhu. mation aura lieu au cimetière du Père-Lachaise.
De la part de M, et Mme François de Sinçay, du marquis et de la marquise de Miràmon et du comte et de la comtesse Victor de Durât. Le présent avis tient lieu d'invita.tion. NI fleurs ni couronnes. On nous prie d'annoncer la mort de M. Maurice Raphaël, banquier, chevalier de la Légion d'hon. neur, croix de guerre, médaille d'or des vétérans des armées de terre et de mer, décédé en son domicile, 11, rue Bénouville, à Paris. Les obsèques auront lieu au cimetière de Passy demain vendredi 18 mars, à dix heures quarante-cinq, dans la plus stricte intimité.
De la part de Mme Maurice Raphaël, sa veuve, et de M. Louis de Koenigswarter, son petit-fils. Ni fleurs ni couronnes.
On annonce la mort de Mme Maurice Templier, pieusement dé. cédée à Saint-Germain.en-Laye. Le service religieux a été célébré dans la plus stricte intimité le mercredi 16 mars 1938, à onze heures, en l'église Sairit-Roch de Paris. Nous apprenons la mort de la comtesse Jeanne du Ligondès, survenue au château de Conives (Indre) le 14 mars, à l'âge de quatrevingt-six ans.
Une cérémonie religieuse aura lieu en l'église de Thenay demain vendredi 18 mars, à dix heures. Un service sera célébré à la cha. pelle du cimetière Montparnasse le samedi 19 mars, à neuf heures quarante-cinq. Inhumation dans le ca.veau de famille.
On annonce la mort de la ba.ronne Marcelle de Graffenried, décédée à l'âge de quarante-huit ans, munie des sacrements de l'Eglise. De la part de sa fHIe, Mme Lionel Bedin, et de son gendre, le lieutenant de vaisseau L. Bedin, attaché naval adjoint à l'ambassade de France à Londres.
M. Max Lacroix,. actuellement à Londres; M. et Mrs G.-C. Forty, de Birmingham, ont la grande douleur de faire part de la mort de Mme Mary. Lacroix, survenue à Paris. L'inhumation a eu lieu au cimetière de Passy après un service religieux célébré dans l'intimité. On nous prie d'annoncer la mort de Mme René Robin, survenue le 9 mars 1938, à La Trémouille (Vienne). Elle était la mère et belle-mère de M. René Robin, gou.verneur général honoraire des colonies, et Mme René Robin de Mme Félix Lamy, née Robin, et M. Félix Lamy, conseiller d'Etat. Dimanche 20 mars aura lieu, à la chapelle espagnole de la rue de la Pompe, à midi, une messe de bout de l'an pour le repos de l'âme de Carlos Alcala Galiano y Barrios, vicomte del Ponton, petit-fils de la marquise de VistabeJla-
.âOUMITES-– 1
LA STAR CLAUDETTE COLBERT.
est arrivée hier à Paris en compagnie de son mari, le docteur L. Pressman. Elle compte séjourner quelques semaines en 1 France avant de retourner à Hollywood. 1
I <et <€~ ~A~M~ ww u
LA SAISON
DES BLOUSES
Ce sei'a, celle année, une saison de liixe. La blouse simple, trop facile à copier sans doute, est reniée par .les hauts spécialistes. Il ne $'agit naturellement que des blouses de fantaisie ou de lingerie, car le chemisier garde toujours ses
On nous prie d'annoncer la mort de M. Bernard Chassaing de Borredon, secrétaire général de la Société Générale de Crédit Industriel et Commercial, survenue le 10 mars.
La cérémonie religieuse a eu lieu dans l'intimité.
De la part des familles Chas.saing de Borredon. Daguenet, Lau. riot Prevost, Mitault.
Mme Jean Ritcher, M. et Mme Marcel Ritcher ont la douleur d'annoncer la mort de M. Jean Ritcher, 3, square Lamartine.
Les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte intimité.
Mme Auguste Fauchille et sa famille remercient des nombreuses marques de sympathie reçues à l'occasion de la mort de M. Auguste Fauchille, avocat au barreau de Lille, ancien bâtonnier.
Mme de Laide!, née de Tressemanes-Brunet-Simiane, s'est éteinte pieusement à Aix, à l'âge de quatrevingt-sept ans.
On annonce la mort du docteur René de Langenhagen, ancien interne, lauréat des hôpitaux de Pa. ris, chevalier, dé la Légion d'honneur.,
:On annonce la mort
1)1? Mme Cluirlos Kondoz de Mme WiH'hter. à Paris; de Mnu* llernurd Waldmann, 'née Ksthcr Ilorovltz, à Paris dc M. Gi'orgcs-.fucol) Léon, à Nice de M. Bunjumin Goldstadt. à
Paris. ̃
Valfleury.
PETIT CARNET
Communion,
A partir d'aujourd'hui, pendant une dizaine de jours (samedi excepté), de charmantes fillettes présenteront chaque après-midi, à 4 heures, au Salon de Thé de La Grande Maison de Blanc, Place de l'Opéra, la ravissante collection de Robes de Communion créée par cette Maison qui, vraiment, s'impose.
Actuellement, Costumes et Manteaux pour garçons et fillettes au tarif spécial d'avant-saison.
Sochaux n'a qu'une parole. Les techniciens de Peugeot ont apporté tout leur amour-propre de spécialistes à la préparation de la 202. Elle est leur chef-d'œuvre et, parmi les nombreux modèles qu'ils ont déjà conçus, elle est leur enfant; préférée parce qu'elle a été établie en collaboration avec le public.
Celui.ci, consulté par le moyen d'un referendum, a demandé une 4 places. 4 portes, consommant moins de 8 litres aux 100 km., chargée. à 4 personnes et à 65 de moyenne. La 202 est strictement conforme à ces données.
Sochaux n'a qu'une parole. La 202 sera la nouvelle voiture de tous les Français.
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droits à une simplicité (Vailtettrs plus apparente que réelle.
La blouse de linon de fil serait un peu négligée, cette année, en faveur de la blouse de mousseline de soie ou d'organza. Celle-ci a d'ailleurs volé à celle-là son style. Plis multiples, broderies légères, toutes les ressources de la première sont exploitées par la seconde sur laquelle même elle renchérit. Les plis s'étagent en dégrndés, se croisent en quadrillés, gonflent un jabot; simulent un empiècement, des volants tuyautés? se pressent comme une écume, et les coloris nouveaux bleu lavande, rose buvard, vert cru, apportent à tout ce travail un relief heureux. G. C. {Voir la suite de nos croquis dans les « pages féminines », pages 6 et 7.)
DU JAUNE POUSSIN AU ROUGE « COLERE » C'est une collection de très grande classe que nous propos encore Aluggy RoufT cette saison. Deux thèmes sont en présence pour le soir la silhouette droite, moulant le corps, la silhouette romantique a jupe large.
La première comprend un peu de drapes qui, enserrant les bauches, s'enroulent, se nouent, se prolongent par des pans. a Cabale t et « Choc » sont dignes de la statuaire antique par leur ligne pure et leur grâce ailcc. La question do la taille est adroitement tournée par ces drapés. Elle reste ù sa place, tout en donnant l'Impression qu'elle l'a: quittée. [̃̃ La charmante époque du Seco«d Empire est évoquée par quelques robes romantiques, tels, que ces capitonnages, transplantés avec bonheur de la décoration dans la couture.
Et combien Maggy Houff-a raison de nous reposer du noir, en ceinturant le jaune poussin de daita pourpre, en brodant des pavots éclatants sur du blanc mat, en mariant le rosé et le bleu, en arbo» rant son nouveau rouge « Colère ».Elle affirme ainsi la sûreté d'un goût qui ne craint pas cette difficulté la couleur. A. C.
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A LA CHAMBRE ITALIENNE M. Mussolini explique pourquoi l'Italie n'est pas intervenue en Autriche
Rome, 16 mars. Comme toutes 'les fois qu'un grand discours ra;diodiffusé du Duce est prononcé, une. foule immense s'était assemblée cet après-midi dans les rues et les places de Rome, où de puissauts haut-parleurs ont été instalîles.
Les députés ainsi que les ministres ont accueilli M. Mussolini par des ovations frénétiques.. La conclusion de son discours a été l'oc;casion d'une nouvelle manifestation des députés fascistes qui entonnèrent les hymnes de la révolution.
̃ Voici, les passabes essentiels du discours du Duce
Le problème autrichien ;j Camarades 1 Ces derniers jjjours, un grand événement s'est ^déroulé, qui a modifié la carte de ^'Europe. L'Autriche, comme Etat, ia cessé d'exister et est devenue une partie de l'Allemagne. Le plébiscite du 10 avril consacrera le fait accompli.
» Ce furent les traités de paix: t celui de Versailles d'avord, et ce\lifi de Saint-Germain ensuite qui imposèrent • c'est le mot â l'Autriclve de rester indépendante. » M, Mussolini dit que cette imposition apparut absurde et précaire. Il rappelle que l'Autriche aurait pu obtenir son indépendance avec le consentement de la Société des sJSations.
Ayant évoqué les secours que l'Italie assura à l'Autriche sur le 'terrain financier, le Duce souligne ̃que le chancelier Dollfuss avait défini l'Autriche «un Etat chré:tien indépendant, mais allemand », Î >uis M. Mussolini s'étend sur les luttes entre le gouvernement et les nazis et il en arrive au putsch de 'Juillet 1934
J'ordonnai que les quatre di.visions du Haut-Àdige atteignissent ̃Je Brenner. Ce fut un acte d'élé.mentaire précaution en vue d'événements sanglants et soudains, dont il n'était pas possible de mesurer la portée. Aucun Autrichien
UNE ALLOCUTION
DEM.OSUSKY
«,
Im ministre de Tchécoslovaquie ,,à Paris, M. Stephcn Osusky, a été, çhicr, l'hôte d'honneur du déjeuner ^hebdomadaire de l'Association de -la presse anglo-américaine. Répondant aux questions posées, .ie ministre de Tchécoslovaquie a ^notamment déclaré
'ù. Nous gardons notre foi dans avenir et dans toutes les nations démocratiques, parce que nous croyons en la dignité humaine. ^Nous croyons que l'Europe va enfin collaborer pour son propre salut. A une question concernant la résistance que la Tchécoslovaquie scr^miit prête à opposer à une agression, le ministre a répliqué Si la France et l'Angleterre ,sont prêtes à sauver la paix et la civilisation en Europe, nous pouvons et nous voulons seconder leur action mais mon pays ne peut y suffire à lui seul. Nous ne sommes ,pas assez présomptueux pour le croire.
'SUITES DE LA PREMIERE PAGE |LE THEATRE MAGNIFIQUE
i' Imaginez que le livre, au lieu d'évoluer vers la simplicité et le bon marché, se soit lancé comme le théâtre dans 'i la voie du luxe et de la splendeur. Au lieu des modestes ji bouquins que nous offrent les éditeurs, nous aurions des livres magnifiques. Mais les nouveautés seraient aussi rares qu'au théâtre parce qu'il faudrait que sur chacune d'elles i! l'éditeur risque la fortune de sa maison. Et l'on ne voit guère comment l'auteur d'un ouvrage sur l'orientation ;} des temples aztèques trouverait à se faire imprimer si fi cette entreprise nécessitait qu'il ait, à priori, trente mille iï lecteurs.
̃j Le théâtre, par sa magnificence, a gâté le public, c'està-dire qu'il a corrompu son goût. Le spectateur ne dẽj mande plus à la scène de lui faire vivre un instant tous ;j les personnages qu'il aurait pu être et qu'il n'a pas été, ij de lui montrer, répartie entre quelques bénéficiaires seule.H ment et sur quelyues heures, cette somme de passions que le destin disperse entre tous les humains et qu'ils égrènent ;] tout au long de leur existence il lui demande de lui 1 apporter des images de la vie facile, d'être une exposition permanente des industries de luxe, de lui présenter les j nouvelles modes de coiffure et les derniers modèles de i bars d'appartement. Il faut un singulier génie aux auteurs j pour pouvoir satisfaire toutes ces ambitions et avoir aussi ;• du talent. Et la crise du théâtre tient à ce qu'ils croient qu'on commence encore par le talent.
.) James de Coquet.
A .LA FRONTIERE FRANCO ESPAGNOLE
Sans doute si la déroute gouvernementale s'accentue; le ] mouvement d'émigration prendra i une certaine ampleur. Pour l'insi tant, on n'observe aucune panique. Les déserteurs, certes, se {font plus nombreux. Un groupe de' quatre-vingts s'est présenté îbier dans une village de la Cerîdagne française, provoquant une [certaine émotion, car les indigè'• nés n'avaient encore jamais vu surgir de la montagne une aussi jfort contingent. Mais les civils ne franchissent pas la frontière ,< sur un rythme anormal. Nous f avons appris que tout à l'heure l une dizaine de personnalités barcelonaises passeraient en gare de | Perpignan. Si vous désirez rej cueillir leurs impressions. Un tableau de Barcelone
À- l'arrivée du rapide de PortJBou, les voyageurs espagnols sont [toujours très entourés. Car, si les Français de la frontière sont cal:mes, ils ne sont pas indifférents i aux événements qui se déroulent | de l'autre côté des Pyrénées. ̃ Alors, demande-t-on aux inouxeaux venus. Que se passet-il là-bas ?
Les nouvelles du front ne sont pas bonnes. Pourtant, la situation n'est pas aussi désespérée qu'on le pense chez vous. Les troupes gouvernementales sont
ne nous demanda de le faire aucun Autrichien ne nous a jamais remerciés de l'avoir fuit.
L'axe Rome-Berlin
Après les .protocoles de Rome de 1934 et de 1936, la situation a évolué. On en arrive à la création de l'axe Rome-Berlin et à la résurrection de la puissance militaire dit Reich.
C'est le moment ou l'Italie conseille à l'Autriche de se rapprocher de l'Allemagne, car un Etat qui se probante allemand ne peut pas exister en fonction antigermanique. C'était une absurdité historique, politique et morale. » Lors de la rencontre de Venise d'avril 1937, je fis entendre au chancelier que l'indépendance de l'Autriche était une question qui concernait en premier lieu les Autrichiens. et que l'axe Rome-Berlin était ]e fondement de la politique étrangère italienne.
» La rencontre du 12 février entre les deux chanceliers représente l'extrême tentative et une solution de compromis qui aurait peut-être retardé, mais non pas évité la solution finale.
Le plébiscite
» Soudain, après les discours de M. Hitler du.20 février et du chancelier Schusnigg du 24, surgit l'idée d'un plébiscite. A 12 heures, le 7 mars, un fiduciaire de M. Schuschuigfi me demande ma pensée sur le plébiscite et sur ses modalités. C'était la première fois depuis des mois qu'on me consultait.
» Je réponds de la façon la plus formelle qu'il s'agissait d'une erreur « Cet engin, dis-je, vous éclatera entre les mains. » Les rapports
italo-allemands
Dans quelques années, par le seul fait du mouvement naturel des
SUR LE FRONT D'ARAGON
UN ENOSME BUTIN TOMBE entre les mains des nationalistes
Saragosse, 16 mars. Les communications reprennent avec Alcaniz les brigades du génie travaillent à réparer les lignes télégraphiques et les réseaux routiers endommagés par les bombardements.
L'armée du général Aranda a poursuivi sou avance vers le sud, oii, en effectuant le nettoyage de la troisième poche d'Aragon, elle a occupé Torraza, Corona et Los Olmos.
Par le nord, l'aile gauche de l'armée a occupé la bifurcation de la route de Tarragone. Des engins motorisés ont franchi la frontière provinciale de Tarragone, dans la région de Gandesa.
encore en état de ralentir, au moins, l'avance de leurs adversaires.
Mais, à Barcelone même ? Est-il vrai que des troubles graves soient à craindre ?
La rue n'est évidemment pas calme. Cela tient à plusieurs causes l'inquiétude provoquée par les difficultés certaines du ravitaillement, la fièvre obsidionale, et surtout l'agitation des milieux syndicalistes, qui exercent une pression de plus en plus violente pour participer au pouvoir. De nombreux gardes d'assaut ayant été envoyés en renforts d'urgence sur le front, la police de l'arrière est redevenue incertaine. Les portes de quelques prisons ont été rouvertes, sous la menace, par les amis d'anarchistes emprisonnés l'an dernier à l'instigation des communistes. On peut craindre de voir réapparaître brusquement ces « incontrolados (éléments incontrôlées), qui avaient fait régner la terreur au début de la guerre civile. Mais pour l'instant, je vous assure, le gouvernement est maitre de la situation. Les anarchistes les plus turbulents semblent tout de même comprendre qu'ils ne pourraient mieux assurer le triomphe définitif du général Franco qu'en renouvelant les tragiques excès par lesquels, en 1936, ils déclenchèrent la guerre civile.
populations, alors que nous serons 50 millions, les Allemands seront 80 millions, mais non pas sur une mais sur dix frontières, parmi lesquelles la frontière italienne, la frontière de deux peuples amis une frontière intangible.
Le Führer, sur cela, a toujours été catégorique, méme avant d'arriver au pouvoir et lorsque cette attitude lui valait des accusations absurdes de la part de ses adversaires, Pour nous, fascistes, les frontières, toutes les frontières sont sacrées on ne les discute pas. on les défend.
Lorsque le drame autrichien arriva, ces jours derniers, au cinquième acte, les adversaires mondiaux du fascisme observèrent si la bonne occasion n'était pas enfin venue de faire dresser l'un contre l'autre les deux régimes autoritaires et de briser leur solidarité ù travers un choc qui aurait été, entre autres nous le disons aux pacifistes d'au edlù de la frontière le prélude d'une nouvelle guerre mondiale.
Ce calcul des démocraties, des Lages, de la IIIe Internationale, est erronée el leur espoir simplement puéril ~et même offensant, parce qu'il aurait jeté une ombre sur notre caractère et sur notre intelligence politique.
» L'heure était venue de ce que l'on pouvait considérer comme « l'épreuve de l'axe »̃
» Maintenant, les Germains savent que l'axe n'est pas une considération diplomatique efficiente seulement pour les occasions normales, mais qu'il, s'est montré solide surtout en cette heure exceptionnelle dans l'histoire du monde germanique et de l'Europe. » Les deux nations, dont la formation ̃ unintaire a été parallèle dans le temps et les modalités, unies comme elles le sont par une conception analogue de la politique et de la vie, peuvent marcher ensemble pour donner à notre continent tourmente un nouvel équilibre qui permette enfin la pacifique et féconde collaboration de tous les peuples, »
Il y a -aujourd'hui une semaine qu'a été déclenchée l'offensive des armées nationalistes sur le front d'Aragon, entre Saragosse et ïeruel. Elle a abouti à des résultats dont l'ampleur dépasse toutes les prévisions 7.000 kilomètres carrés de terrain conquis, cinq villes tombées Belchite, Hijar, Montalban,, Alcaniz ̃ et.Çaspe, 6.000 prisonniers identifiés sans s compter «ceux qui se cachent ou se terrent dans des territoires encerclés ou débordés et qui sor.t cueillis chaque jour par centaines, 4 divisions adverses décimées ou dispersées, plus de 100 pièces d'artillerie et.500 mitrailleuses, une quantité énorme de vivres, de munitions passée aux mains de l'assaillant, 27 avions abattus, tel est le bilan à l'heure actuelle.
Salamanque et Berlin démentent la présence de gros effectifs allemands dans les rangs nationalistes Londres, 16 mars. L'ambassade d'Allemagne à Londres publie cet après-midi un communiqué officiel démentant catégoriquement les informations parues dans certains journaux londoniens, selon lesquelles pas moins de 30.000 soldats allemands, encadrés de nombreux officiers et de techniciens, auraient quitté l'Allemagne lundi dernier à destination de l'Espagne nationaliste.
Le communiqué affirme que ces informations sont basées sur une pure invention et sont fausses dans tous leurs détails.
Saint-Sébastien, 16 mars. Les autorités nationalistes protestent contre les informations d'après lesquelles les troupes du général Franco seraient composées d'éléments étrangers.
Une note officielle du quartier général signale que l'infanterie qui avance vers la région catalane est composée de Marocains et d'Espagnols et que les vplontaires n'entrent dans ces formations que dans une proportion de dix pour cent. Cette note souligne que pas un seul combattant allemand n'a débarqué depuis un an, mais elle ajoute que des techniciens ont apporté une aide précieuse à l'Espa- gne nationaliste.
M. Stoyadinovitch
expose le point de vue de la Yougoslavie
Belgrade, 16 mars. Le président du conseil, M. Stoyadinovitch, a, cet après-midi au Sénat, déclaré que lors de ses entretiens de Berlin avec les dirigeants du Reich, il avait été informé que le développement des relations entre l'Allemagne et l'Autriche dépendrait uniquement de l'application de l'accord de juillet 1936 de la part de l'Autriche. M. Stoyadinovitch dit, en outre, que, après l'Anschluss, l'Allemagne avait de nouveau, confirmé le principe de l'inviolabilité des frontières yougoslaves.
Les meilleures garantiees pour le bien des minorités yougoslaves en Carinthie sont, a dit le président du Conseil, l'amitié germano-yougoslave.
M. Stoyadinovitch termina en disant que l'Allemagne avait déjà donné des déclarations suffisantes concernant l'inviolabilité des frontières tchécoslovaques.
Le cas échéant, assura-t-il, la Yougoslavie tiendra tous les engagements qu'elle a pris, en reation, avec le pacte de la Petite-Entente.
.01
AU QUAI D'ORSAY M. Paul-Boncour, ministre des affaires étrangères, a reçu hier matin M. Souritz, ambassadeur de l'U. R. S. S. à Paris, et M. de Azcarate, ambassadeur d'Espagne à Londres.
A PROPOS DE UANSCHLUSS °~
M. Spaak fait appel à l'union
de tous les Belges Bruxelles, 16 mars. Voici la conclusion du discours de M. Spaak, spécialement consacrée à l'Anschluss «Partisan résolu de l'indépendance des peuples et de leur liberté de disposer d'eux-mêmes, je ne veux pas prenre position sur le fond du problème dont trop d'éléments m'échappent. » Je crois depuis longtemps que l'Anschluss est dans la logique des choses et, s'il s'était accompli normalement, je ne m'en serais pas étonné. Mais, partisan résolu d'une politique de compréhension et de conciliation, je ne puis cacher l'émoi qu'inspire au gouvernement et j'en suis convaincu à une grande partie du pays la méthode qui a été employée. » L'atmosphère déjà si lourde a été une nouvelle fois profondément troublée. Je le déplore et je fais appel au sang-froid et au patriotisme de tous pour ne pas aggraver encore la situation. » D'ailleurs, permettez-moi d evous le dire, la leçon que nous avons à tirer du problème autrichien, ce n'est pas une leçon de politique extérieure c'est avant tout une leçon de politique intérieure, Malheur aux petits pays divisés et désunis 1 » La leçon de l'Autriche, la seule leçon dont nous puissions profiter, c'est un appel à l'union. Je vous demande d entendre mon appel fait d'angoisse et d'espérance. Devant la crise économique oui revient, devant les passions partisanes qui renaissent, devant les nuages qui s'amoncellent sur le monde, messieurs, rslons unis. »
Rome commence à s'inquiéter des réactions françaises
L'opinion italienne suit avec un vif intérêt les réactions de la France devant l'avancé foudroyante des armées de Franco. Dans tous les journaux les correspondances de Paris relatent longuement la réunion du comité suprême de la défense nationale et les perspectives envisagées soit pour le renforcement des précautions à la frontière des Pyrénées, soit même pour une assistance effective aux gouvernementaux espagnols.
Le sentiment qui domine devant ces projets est celui de l'inquiétude. L'officieuse Tribnna pose la question dtt savoir ce que veut exactement la France. Elle se demande si Paris ne se prépare pas à déclarer la guerre à l'Espagne nationaliste et du même coup à attaquer l'axe Home-Berlin. La Slampa, elle, s'alarme d'une possibilité d'intervention directe en Tchécoslovaquie et elle dénonce l'éventualité d'une alliance militaire franco-soviétique. Que veut la France ? A travers tous ces commentaires plus ou moins malveillants perce une sorte d'étonnement de voir un gouvernement français se préparer a une attitude de résistance et à une initiative d'énergie, si mal inspirée qu'elle puisse être. Le Corriere della Serra ne peut pas s'empêcher dans cet ordre d'idées de noter avec surprise que le premier acte du nouveau cabinet dans le domaine extérieur « sera peut-être un geste de fermeté ». En d'autres
Pas d'intervention anglaise en Espagne
(SUITE DE LA PREMIERE PAGE)
De plus, l'opinion était fré- quemment exprimée aujour- j i d'hui que le problème tchéco- j J slovaque n'est pas le plus « ur- j 1 gent et qu'il convient de voir i si, par une politique de conces- i sions aux Sudètes, le gouverne- J ment tchèque ne pourrait pas i arriver à désarmer le Reich. Une telle idée trouve naturellement t des défenseurs parmi les avo- ] cats habituels de l'isolationnis- 1 me, mais elle plait également aux r indécis. ( Par contre, nul ne pourrait < nier ce soir que le problhne es- i pagnol ne soit arrivé à une phase r où, si des décisions doivent être < prises, il soit urgent de les prendre. Or M. Chamberlain, répon- ( dant à des interventions de M. t Attlee, a déclaré ce soir qu'au- } cune décision nouvelle ne lui pa- ( raissait devoir être prise et que j i le gouvernement britannique ( continuerait de s'en tenir à la politique de non-intervention, même si cette politique le pre- mier ministre l'a admis n'a ( pas été suivie par d'autres puis- ] sances, j « Nous n'avons pas l'intention, 1 a-t-il affirmé de nous brûler les doigts en Espagne comme le font peut-être d'autres nations. Nous continuerons dans l'avenir la po- litique suivie jusqu'ici en con- tact étroit avec le gouvernement (
L'assassin de M. Dollfuss sera réhabilité
Vienne, 16 mars. Le procès de Planetta, condamné à mort et exécuté pour assassinat du chancelier Dollfuss, sera solennellement rouvert et Planetta réhabilité.
La formule du plébiscite autrichien
Berlin, 16 mars. La formule imprimée sur le bulletin de vote du plébiscite qui aura lieu le dimanche 10 avril en Autriche sera ainsi conçue « Te déclares-tu pour notre Führer Adolf Hitler et par là pour le rattachement effectué le 13 mars de l'Autriche au Reich ?»
♦
L'application
du pacte d'assistance tchéco-soviétique
Moscou, 16 mars. On ne dément pas ici qu'au cours d'une réception offerte hier dans une ambassade étrangère, une personnalité autorisée soviétique ait dit à titre personnel à un journaliste étranger que l'U.R.S.S. viendrait au secours de la Tchécoslovaquie au cas où celle-ci serait attaquée par l'Allemagne, pourvu que la France se porte d'abord au secours de la Tchécoslovaquie.
On sait, en effet, que l'application du pacte d'assistance soviéto-tehécoslovaque est subordonné à l'apjplication préalable du pacte d'as1 sfstance franco-tchécoslovaque.
s
termes, Rome réalise pleinement la gravité de l'heure et les conséquences que pourront avoir pour la paix européenne les décisions de la France. A cet égard et malgré l'opposition des points de vue, le dynamisme fasciste ne manque pas de-se rendre à la réalités Sans doute fa<ii-H voir dans cette impression générale à Rome l'explication du ton modéré qu'a revêtu le discours de M. Mussolini à la Chambre.
Toute l'Italie s'attendait à entendre le Duce exalter les avantages qui doivent résulter pour son pays de sa fidélité héroïque à l'axe Rome-Berlin. On escomptait en somme un chant de triomphe pour les succès nationalistes espagnols. L'hypothèse était d'autant plus vraisemblable que toute la presse fasciste attribue le mérite de la victoire d'Aragon à l'aviation italienne et aux unités de chemises noires commandées par le général Bergonzoli.
La réserve manifestée par M. Mussolini révèle d'une manière caractéristique la volonté de ne pas heurter de front les puissances occidentales. Elle correspond d'ailleurs au démenti formel donné cet après-midi par le gouvernement du Reich en ce qui concerne l'envoi de matériel et de spécialistes allemands en Espagne nationaliste. A Rome, on ne doute point que cette attitude des dictatures favorisera la poursuite et la conclusion rapides des négociations anglo-italiennes.
Madeleine-R. Anglès.
1
français. Je suis convaincu, comme je l'ai été jusqu'alors,, que nous servirons le mieux les intérêts britanniques, la paix et la cause de la liberté en restant en dehors de l'Espagne et en continuant notre politique de nonintervention. »
La thèse de M. Chamberlain sur la question espagnole continue, semble-t-il, d'être que le général Franco même victorieux grâce à des auxiliaires étrangers, aurait une politique purement espagnole et que son ingratitude vis-à-vis de l'Italie pourrait étonner le monde entier, mais non le gouvernement britannique. Il convient de noter que le discours de M. Chamberlain a été accueilli par des applaudissements fort maigres sur les bancs de la majorité. De là à dire, comme certains le font, qu'il faudra que le cabinet se préoccupe davantage de donner satisfaction aux jeunes conservateurs, s'il ne veut pas que ceux-ci s'écartent de lui, et n'attirent vers eux les libéraux et les travaillistes nationaux, il y a un pas qui semble loin d'être franchi s'il doit l'être. Mais on peut par contre supputer que le premier ministre cherchera de lui-même à rassu- rer les membres de sa majorité qui désire voir la Grande-Bretagne opter publiquement pour une politique de fermeté en Europe centrale et ailleurs.
Le service militaire
obligatoire
ne sera jamais décrété en temps de paix
Londres, 16 mars. Le Premier ministre a affirmé aujourd'hui devant la Chambre des Communes que le « service militaire obligatoire ne serait jamais décrété en temps de paix par le gouvernement actuel ».
Cette déclaration a été provoquée par le député conservateur, major Magnamara, qui proposait une consultation de tous les partis, en vue de l'adoption d'un système d'entraînement national imilitaire, qui ne serait pas la conscription mais se rapprocherait par exemple du système de défense suisse.
« Je pense que vous désirez une forme d'entraînement national qui ne serait pas la conscription, mais je pense que votre proposition ne pourrait être mise à exécution qu'au moyen de nfçsures ayant un caractère obligatoire. »
La question coloniale ne peut être discutée avec l'Allemagne
Londres, 16 mars. M. Chamberlain, répondant à M. Arthur Henderson, député travailliste, a été amené aujourd'hui à déclarer devant la Chambre des Communes qu'il était « évident que, dans les circonstances présentes, aucune discussion ne pouvait être engagée avec l'Allemagne relativement à la question coloniale ».
LE RETOUR DU FUHRER
BERLIN A REÇU LE CHANCELIER HITLER EN TRIOMPHATEUR (De notre correspondant particulier, par téléphone)
Berlin, 16 mars. Dans la liste déjà longue des journées triomphales d'Hitler, celle d'aujourd'hui marquera une date c'est celle où pareil aux généraux, aux empereurs romains, il rentre dans sa capitale er. triomphateur, apportant à son peuple une grande victoire, le don d'une vaste province de six millions d'hommes. Et quelle victoire 1 remportée en trois jours, sans verser une goutte de sang. L'histoire n'en enregistre pas beaucoup de pareilles. Comme d'habitude, il y a une mise en scène admirablement réglée drapeaux partout et surtout sur le trajet de Tcmpelhof à la chancellerie. Foule venue en partie spontanément mais en partie aussi commandée, car fabriques et magasins étaient fermés et leur personnel avait reçu l'ordre de « marschieren » comme on dit ici. Les écolcs avaient congé dans tout le Reiçb et M. Gœbbels avait lancé une de ses proclamations fulgurantes invitant toute la population de Berlin â saluer, à acclamer le créacur du Grand Rcich allemand.
LE GENERAL VON BOCK.
qui vient d'être désigné par le chancelier Hitler pour commander en chef les armées de l'ancien Etat autrichien.
La flotte de surveillance va redoubler d'activité en Méditerranée
R. M.
Les événements qui vieniient de modifier si brusquement la situation des deux partis opposés en Espagne a naturellement retenu d'une manière toute particulière l'attention du comité permanent de la défense nationale dans sa réunion d'avant-hier. Et c'est à la marine que, non moins évidemment, il appartient de prendre les premières mesures nécessitées par ces événements.
Il faut s'attendre, en effet, à une activité sensiblement accrue des forces navales, tant nationalistes que gouvernementales, ainsi que cela s'est produit lors de l'avance des troupes du général Franco dans les Asturies.
Depuis plus de six mois, le viceamiral Esteva dirige ce service pour la France, en liaison avec les amiraux anglais et italien chargés des autres zones. Le nombre des bâtiments dont il dispose à cet effet a un peu varié suivant les circonstances, mais il est en général de vingt, souvent de vingt-quatre torpilleurs, contre-torpilleurs et avisos, auxquels s'ajoutent plusieurs grands hydravions de reconnaissance très utiles pour patrouiller rapidement dans une région étendue.
La plupart de ces h/ltiments sont empruntés à l'escadre de la Méditerranée, pour qui c'est une lourde charge. L'escadre de l'Atlantique en supportait une semblable avant la prise de Santander et de Bilbao elle en est dispensée maintenant, mais il n'est que juste qu'elle prenne une part de ce service, plus fatigant qu'on ne le croit généra- lement pour le personnel et pour L'antisémitisme
en Autriche
Vienne, 16 mars. La Kaertnerstrasse, quartier commerçant de Vienne, et l'une des artères les plus fréquentées de la capitale de 1 Autriche, a été aujourd'hui le théâtre d'une agitation antisémite rappelant les scènes de violence du Kurfurstendainm à Berlin en 1935: des patrouilles de très jeunes gens en civil, portant des brassards à croix gammée, molestant les commerçants israélites et parcourant la rue en criant « Mor.t aux juifs ». D'autres badigeonnent les vitrines à l'aide de peinture brune et inscrivent en grosses lettres le mot « Juden ».
Une foule nombreuse, dont la densité croit d'heure en heure, contemple ce spectacle avec apathie. La police reste passive.
Suicides
Vienne, 16 mars. Le journal national-socialiste Telegraf annonce que l'industriel Reitlinger s'est suicidé avec sa fille dans sa propriété de Jenbach, dans la vallée de l'Inn. M. Reitlinger fut de longues années président de l'Union des industriels du Tyrol. Il avait déclaré hier qu'il savait qu'il allait êter arrêté. Lorsqu'il vit une automobile s'arrêter devant sa porte, il pria sa fille de le tuer d'un coup de revolver, ce qu'elle fit avant de se suicider elle-même. Tous deux mou- rurent à l'hôpital où ils furent transportés d'urgence.
Le même journal annonce que le professeur à l'Université d'Innsbruck, M. Bayer, âgé de 69 ans, s'est également suividé avec sa fille. Après avoir absorbé une forte dose de morphine et d'alcaloïde, ils se sont suicidés au gaz d'éclairage. Le docteur Kuhnwald, le fameux économiste, qui, quoique iy-aélite, fut le conseiller financier de tous les chanceliers d'Autriche depuis Mgr Seipel jusqu'à Schuschnigg, s'est également suicidé.
Son arrivée au champ d'aviatiou est annoncée pour 17 heures. Et, dès la matinée, le long de la grande avenue qui mène au centre de la ville, de la place qui la termine, puis de la WHhehnstrasse, la.foule st- presse sur dix, sur vingt rangs, agitant de petits drapeaux, acclamant les détachements avec les musiques militaires qui passent. Les cloches sonnent. Le Fûhrer arrive sur le terrain d'atterrissage. Six compagnies de l'armée, de la marine et de la flotte aérienne présentent les armes. Tous les chefs militaires sont là. Hitler descend d'abord, salué par Gcering qui prononce une allocution. Au nom de l'armée et du peuple allemand il remercie Je chef qui a ramené sa patrie autrichienne dans la grande patrie allemande et remet entre ses mains les pleins pouvoirs que le Fiihrcr lui avait confies pendant son absence.
M. Gœbbels salue le Führer M. Gœbbels parle â son tour un peu plus longtemps et sur un ton un peu plus saccadé. La foule pousse des hurrahs, entonne l'hymne national et chante le Iiorst Wessel. C'est alors que commence la marche triomphale. Un long cortège suit la voiture du Fiihrer qui a à son côté le feld-maréchal Gœring. La quatrième contient un poste de radio avec un speaker qui racontera au peuple allemand toutes les péripéties de cette marche. On passe devant les bâtisses du nouveau terrain d'aviation dont les charpentes sont tendues d'énormes drapeaux. Ensuite se dressent plus de deux cents mâts avec des oriflammes non moins gigantesques, tandis que les clôtures sont cachées par des guirlandes de feuillages et des plantes vertes.
Comme par hasard, la voie du triomphe s appelle « Belle Alliance Strasse », et l'on sait que « Belle Alliance » est donnée en Allemagne à la bataille de Waterloo. Un symbole ? Elle est légèrement en pente. La voiture du Führer la descend lentement. Sur tout son passage ce n'est qu'une immense clameur de Heil Hitler sans fin, de bras tendus vers lui. Debout, il salue cette foule. L'cntbousiasme devient frénésie lorsqu'il arrive à la Wilhe'm Platz.
le matériel. Aussi avait-il été décidé dès le mois dernier qu'elle enverrait sa 8* division de contre-torpilleurs (Indomptable, Triomphant, Malin) et ses 2e et 4« divisions de torpilleurs (Fougueux, Frondeur, Orage, Ouragan, Bourrasque) relever dans les patrouilles de la Méditerranée un nombre égal de bâtiments de l'escadre du Midi, afin que ceux-ci puissent prendre un repos bien gagné et procéder à des exercices militaires qu'une navigation intensive ne leur permet pas d'exécuter avec la régularité désirable.
A. Thomazi.
O
Dans le monde israélite Hier, a été installé solennellement à la synagogue portugaise de la rue Bufrault le rabbin Paul Bauer, fils de l'ancien directeur de l'école rabbinique de France. Cette installation a eu lieu en même temps que la célébration du premier soir de la fête de Pourim, qui commémore l'intercession d'Esther auprès d'Assuérus.
LA Cie COLONIALE (Thés, chocolats, Rhum) dont les produits se trouvent dans toutes les bonnes Maisons d'alimentation, maintient sa formule restée invariable depuis 1848 « La meilleure qualité, les meilleurs prix ».
UNE VOITURE DE QUALITE==jj
se trouve par les Petites Annonces 1 1
du « FIGARO », rubrique spéciale des 1 1
P VOITURES SELECTIONNEES
Les fidèles
C'est là que se tiennent les fidèles des fidèles, ceux qui attendent depuis dix heures du matin serrés comme sardines en boite, car la place n'est pis très grande, pendant ce long stationnement. On emporte toujours plusieurs centaines d'évanouis. Ces fidèles forment un chœur magnifique, mais il sont exigeante. ils crient, trépignent, chantent, interpellent « Nous voulons notre Führer, »
Le Fiïhrer au balcon Hitler parait sur le balcon une fois, deux fois, cinq fois. A la dernière, il est obligé de prononcer quelques paroles. C'est seulement après plus d'une heure de ce spectacle entrecoupé que la foule commence à se retirer, épuisée,1 mais non pas rassasiée, semble-t-il, de la vue de son idole.
S'il y eut jamais un accueil, une religion d'Hitler, ce culte touche maintenant au fanatisme. Pourvu que ces fervents ne brûlent pas demain d'un dangereux appétit de saorifices, nous voulons dire dangereux pour les autres.
Bernard Millot.
M. HITLER CONFERE AVEC LES GENERAUX Berlin, 16 mars. 18 heures. la foule continue à réclamer devant la chancellerie du Reich l'apparition du Fiihrer, qui est venu déjà saluer à plusieurs reprises.
Ce dernier, dit-on, serait en train de conférer avec les ministres et les généraux, qui l'ont accueilli à son arrivre et qui ne sont pas encore sortis de la chancellerie.
LE REICHSTAG convoqué le 18 mars Berlin, 16 mars. Le Reichstag se réunira vendredi prochain à 20 heures
M. Hitler fera des déclarations ait sujet de l'Autriche.
BH AUJOURD'HUI DANS candidI J'AI VU MOURIR 1 1
L'AUTRICHE I
par m^mmÊ^mmmm H
notre Envoyé spécial ^M
Didier Poulain ̃
J'AI VU NAITRE il
UN CABINET BLUM |
̃• ̃
Alain Laubreaux ̃
et H
Henry Bordeaux ̃
Marcel Aymé ̃
Stefan Zweig ,1
l v etc. etc. I w M lïTi 1.25 M
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Des délégations ouvrières demandent au président du Conseil qu'on assiste i'Espagne républicaine
M. André Février, sous-secrétaire â la présidence du Conseil, a reçu, hier après-midi, de nombreuses délégations ouvrières de la région parisienne, venues lui remettre les textes de résolutions en faveur d'une assistance immédiate à l'Espagne républicaine. De son côté, M. d'Acosta, chef de cabinet de M. André Février, a reçu des délégations des Usines Citroën, Renault, Panhard, Harlcv, des Galeries Lafayettes et de l'industrie du Bâtiment, venues pour le même objet.
LE CABINET BLUM se présente aujourd'hui devant les Chambres
A la veille de la séance de présentation, les couloirs de la Chambre ont été fort calmes, en dépit de certains efforts tentés pour y jeter le pessimisme et l'alarme à l'occasion des événements d'Espagne. Comme la veille, l'agitation produite par les faux bruits est tombée aux premières vérifications. Les représentants des groupes de la minorité, réunis à l'extérieur du Palais-Bourbon, ont procèdé à un échange der vues. Aucun communiqué n'a été publié.
Les groupes modérés paraissent •'être confirmés dans leur attitude d'opposition au nouveau gouvernement, mais des doutes se sont exprimés sur sa viabilité dès que fut connu le texte de l'ordre du jour adopté par le comité exécutif radical et que nous publions par ailleurs.
La même impression s'est répan-
Le 1parti radical-socialiste déclare que "devant le péril extérieur, l'union des français
s'irn ose"
-.1 s'impose"
Le bureau du comité exécutif du parti radical-socialiste, réuni hier soir, sous la présidence de M. Ripault, remplaçant M. Daladier, retenu au Conseil de cabinet, a adopté à l'unanimité l'appel suivant Le parti radical et radical-socialiste, au cours de la dernière crise, a mis toutes ses forces au service de l'union. Il a accepté, devant l'urgence, de prendre sa part de respon.eabilité dans le gouvernement. Il t'est engagé à poursuivre tous ses efforts en vue du rassemblement de toutes -les forces vives de la nation dans l'intérêt supérieur du pays. Le devoir du parti radical et radicalaocialiste est maintenant clairement tracé.
Devant le danger extérieur, il affirme que pour le redressement total du pays l'union des Français t'impose, afin d'assurer dans le sang-froid nécessaire la défense de
UNE LETTRE DU COMITE DE SALUT ECONOMIQUE M. P. Nicolle, au nom du « Comité de Salut économique », a adressé une lettre â M. Vincent-Auriol, chargé de la coordination des services à la présidence du Conseil. Il demande au ministre si le gouvernement renie la doctrine de la lutte des classes.
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Un appel de l'Union fédéraie des combattants et des victimes de la guerre
L'Union fédérale des combattants et des victimes de la guerre vient d'adresser au Parlement un appel lui demandant de prendre ses responsabilités et « eu conséquence de refuser toutes mesures trompeuses de facilité».
LE «FIGARO» ECONOMIQUE ET FINANCIER
LA DERNIERE PHASE En cinq ans, les embarras français ont changé deux fois de caractère. Maintenant, c'est la dernière phase.
Vers l'année 1933, les problèmes posés étaient purement techniques. C'eût été un jeu de les résoudre. Les conditions politiques du succès ont fait défaut. Avec le temps, le mal a gagné en profondeur et en surface. La banqueroute monétaire en est résultée En même temps, la crise est devenue sociale, c'està-dire générale elle a touché les institutions fondamentales du pays. La révolution a été évitée de justesse ou, plus exactement, limitée. Et parce que tant d'occasions ont été manquées, tant de fautes commises, il s'agit à présent de défendre l'existence même de la patrie.
Par leur origine, tous ces événements sont économiques, financiers et monétaires. A l'instant que le drame approche de son dénouement, ces caractéristiques s'affaiblissent. Sur les cadrans des baromètres boursiers, les aiguilles ne s'affolent pas. Elles restent en attente. Bien qu'il soit le plus exposé, le marché français n'est pas celui de la moindre résistance.
On n'ignore pas que sa tenue est assurée, dans une certaine mesure, par ses défaillances antérieures. Mais cette raison ne l'empêcherait nullement de baisser davantage. Et ce qui compte surtout, c'est son calme. Est-il fait de lassitude ? On est fondé à croire qu'il exprime plutôt une espérance.
Puisqu'on en est arrivé, en somme, au dernier acte, les chances de redressement quoi qu'elles soient encore invisibles sont certaines. Autrement, il faudrait croire à la décomposition totale du système français. Et ce serait, à la fois, odieux et absurde.
F.-F. Legueu.
LES CHANGES
Reprise du franc
Sur la perspective de la constitution prochaine d'un gouvernement d'union nationale, le franc remonte sur le marché des changes. Au comptant, la livre revient en séance officielle à 162,75 contre 165 et le dollar à 32,77 contre 32,90. Dans la soirée, la livre valait 160.
A terme, sur la livre, à trois mois, 4,25, inchangé à un mois, 1,75 contre 1,25.
A Londres, raffermissement de la livre par rapport au dollar à 4,98 1/4 contre 4,ï)7 5/
due dans les couloirs de la Chambre, où certains considéraient l'appel à l'union lancé par le parti radical comme une invitation au gouvernement qui se présente aujourd'hui à céder la place dans un très bref délai à une formation plus large.
LES ORATEURS INSCRITS DANS LE DEBAT
Voici la liste des interpellateurs sur « la politique générale et la composition du gouvernement » MM. Fernand Laurent, Thellier, Badie, Colomb, Montigny, Rous, Vallat et Clermont-Tonnerre. Sont inscrits comme orateurs dans le débat qui suivra MM. Cousin, Reille-Soult, Baréty, Wallach, Creyssel, Temple et Tixier-Vignancour.
la paix et de la démocratie, la dignité et la sécurité de la France. Il se déclare prêt à consacrer à cette tâche toutes les forces dont il dispose au Parlement et dans le pays.
A une heure grave de la vie de la nation, il adresse au patriotisme de ses élus, de ses militants et de tous les Français un ardent appel à travailler de toute leur volonté et de tout leur cœur pour la défense et le salut de la République et de la patrie.
On soulignait dans ce petit manifeste radical l'absence de toute allusion au cabinet Blum. On se demandait si ceux qui l'ont voté ne songeaient pas à une formation ministérielle toute proche et dont la constitution pourrait même suivre de peu les séances des deux Assemblées. C'était le thème des commentaires de la soirée.
UNE DELIBERATION
DE LA CHAMBRE
DE COMMERCE DE PARIS Réunie hier après-midi en assemblée générale plénière, sous la présidence de M. Louis Ferasson, la Chambre de commerce de Paris a pris une délibération dans laquelle, après avoir constaté la situation critique de notre économie nationale, « elle adjure solennellement le gouvernement de prendre immédiatement toutes mesures tendant
à rétablir la situation matérielle de la nation et à accroître le volume de la production pour assurer au pays, même au prix de l'aménagement de certaines lois sociales, une armature économique inattaquable
a restaurer au sein de l'Etat comme au sein de chaque entreprise la notion d'autorité, source de toute activité féconde et seule capable de ramener dans tous les esprits le calme et la confiance
MARCHÉS TISiBS I^OtJR^DSu.
sur les craintes concernant la situation diplomatique internationale.– Hausse des prix de gros français. Baisse de la production, d'énergie électrique américaine. ® Séance encore très mauvaise en © Les minea d'or, elles-mêmes, | to.nt.anx approches de la clôture, particulier sur les internationales. subissent la contagion et abandon. Cette lourdeur s'explique par le trouLes rentes et les valeurs françaises nent des fractions assez impor- ble de la situation internationale et sont relativement résistantes. tantes. par la considération des sacrifices ® Les craintes d'ordre interna- © Voici les résulats, parvenus financiers que cet état de choses ristional sont naturellement la cause du 1" au 15 murs 1938, des opé- Ve d!entraîner .pour la Crande-Brede cette dépression générale des rations des caisses d'épargne or- t»8ne. Les fondt britanniques, les marchés les suites de l'affaire dinaires avec la Caisse des Dépôts ind. strielles et les mines d'or ont autrichienne, la menace allemande et Conei:qnations souffert particulièrement. Les transcontre la Tchécoslovaquie, les vi- n. », oq «mcoe no «tlatatiqueis, d'abord résistantes, fi-
sées italiennes en Méditerranée, la ^Ktn^ï' lAU'im  BtBSent par «ecBlr comme le reste.
sées italiennes en Méditerrané~, la Retraits de fonds.. .7, nlssentpar flechlr ,comine reste.
déroute gouvernementale en Espa- Retraits de fonds.. 90.269.707 83 MètU EXcfcange alourdi. gne, et l'incident polono-lithua- © U a été vendu sur le marché wen, c'est plus qu'il n'en faut pour Ex?î???}S de p$" «loon 2(5 'JL^'J^ bàrres d'Une valeur de émouvoir les marchés financiers. dépots Fr. 3;534.920 26 594.006 livres sterling environ, au Si l'on joint à cela que la France Excédents de dépôts du l»r jan- pr.ix.de 139. sh. 9 p. 1/2 par once. n'a pas, pour l'instant, le gouver- Mer au 15 mars 1938 343 -'mil- © New-York a baissé, assez fortenement adéquat à la situation, on lions 166.842 fr. 75. 1 -r.t, hier, principalement sembleaura un tableau à peu près^com- Capitaux employés en achats de t-(I sur des ventes de Londres. En plet des événements. rentes effectués en bourse da,l«' au effet, lés plus bas cours ont été co© Finalement, les rentes perdent 15 mars 1938 pour le compte des tés au moment de là clôture du mar.des fractions relativement impor- déposants des caisses d'épargne or- ché 4e Londres. Les pertes sont de tantes pour certaines d'entre elles, dinaires 491.129 fr. 28. l'-oidre de 4 à 5 points en moyenne. les séries à garantie de change no- ® On enregistre une nouvelle Seuls, les chemins dé fer ont marqué tamment, qui cèdent 1,60 pour le hausse de l'indice des prix de gros des. records de baisse. Lès indus4 1925 et 1,30 pour le 4 1/2 1937. français, gui passe ,a 614 contre Wel'es restent au-dessus de leurs © Les valeurs françaises perdent 611 la semaine précédente. L'indi- W™.1."»*. antérieurs. L activité des des fractions de l'ordre de 2 à 3 ce des produits nationaux s'établît transaction»,» été plus grande que © Aux internationales, le groupe à 653 contre 652 l'indice des pro- e' égyptien est particulièrement af- duits importés passe à 543 contre ,® La production américaine d'éfecté Le Suez, par exemple perd 536. Denrées alimentaires '619 nergie électrique, s'est élevée la une fraction supérieur à 1.000 fr. contre 617. Matières industrielles semaine derniére. à 2.014.729.000 Aux eurs de matières premières, 609 contre 606. kwts, soit 9 de- moins que l'anRoyal Dutch cède 275 francs. I © Londres est très mauvais sur- née dernière.
PARIS 1
Principales fluctuations Baisse --1
4 0/0 1918 63 0 75 4 0/0 1925 106 15 1 60 4 1/2 1932 A 68 65 0 80 4 1/2 1937 108 05 1 30 Emprunt Young 306 42 Egypte Unifiée 3276 –411 Banque de France 5580 -135 Banque de Paris 932 58 Foncier Egyptien.. 4675 –110 Suez 21550 -1175 Pechiney. 1887 45 Nestlé 9000 -330 Central Mining 3655 –165 Rio 2425 -150 Royal Dutch. «010 -275 Sheli 685 27 Crown Mines 2505 78 WestSprings 391 22 Rand Mines 1318 –72 De Beers ord. 1210 -184
Principales transactions En francs de rente
3% 203.256 4* 1932 A 1.092.537 4% 17 106.448 4 i 1932 B 847.331 4% 18 425.254 4J% 1937. 775.332 5% 20 100.125 Oh. 3* 1936A 2.790.300 4% 25 202.052 | O. 4%1936 B 2.754.000
1 En titres
Banque de F 83 St-Oobain.. î>ia B. de Paris 2.762 Air Liquide. 2.648 Union Paris. 859 Quilmès 105 :r. Lyonnais 325 ->ist. Indoch. 536 Suez capital. 454 Indo Hévéas 1.331 fr. Shanghaï 200 Say 1.108 Distr. Elect. 896 »rres Roug. 2.369 Forges N.-E. 1.144 \rg. 4 1/2 < 1.667 Tréf ilerles.. 652 Can. Pacific. 4.657 Lens 1.524 Wagons-Lits 4.S55 Nickel 2.153 Centr.Mining 762 Penarroya 4.109 (îeduld 2.952 C. Fse Pétr. 240 Rio 2.982 -Tgine 1.243 Royal Dutch 2.447 Kali S.-Thér. 1.223 Amst. Rubh. 239 Kuhlmann.. 1.503 Zr. Nat. 1919 1.900 Pechiney 1.272 Cr. Nat. 1920 2.091 Bh. Poulenc. 1.341 Or. Nat. 1923 1.784
A la commission sénatoriale des affaires étrangères
La situation extérieure Importante intervention, de M. Pierre Laval
La commission, des affaires étrangères a tenu hier, sous lax-présidence de M. lienry Bérenger, une importante séance consacrée à l'examen de la situation extérieure. A l'issue de cette réunion, le communiqué suivant a été: publié;: La commission des affaires étrangères, réunie sous la présidence de M.. Henrg Bérenger, a procédé à l'examen de la situation extérieure en Europe centrale, dans la lifédîlerranée, en Espagne- et en Afrique du Nord.
Après l'exposé du président, la commission a ouvert un débat des plus émouvants au sujet de la position de la France et de son action diplomatique.
Successivement MM. Albert Pègronnet, Pierre'Laval, Desjardins, Alexandre Millerand, René Renoult, François Labrousse, René Besnard, Henry-Haye, Pichery, Armbruster, Marcel Plaisant, Gasnier-Duparc, Alexandre Bachelet, Aimé Berthod, Lucien Hubert et Lisbonne ont exposé leurs points de vue auec beaucoup de précision et une grande force. '̃̃;̃̃
Ajoutons à cette note que M. Pierre Lavai a fait- une longue intervention pour justifier lit- politique qu'il pratiqua au Quai d'Orsay en 1935, politique- qui devait aboutir aux accords de Stresa et au maintien de l'entente eritre les grandes puissances occidentales France-Angleterre-Italie, ce qui -eût empêché la réalisation de l'Anschiuss.
Reprenant l'affirmation apportée par M. Fabry à la réunion des groupes de la minorité qui se tint à la Chambre pendant la crise ministérielle, l'ancien président dn conseil a montré qu'une agression de l'Allemagne se serait heurtée à un front continental, de la mer du Nord à la mer Noire.
La commission des affaires étrangères se montra, d'ailleurs, hostile a toute politique qui tendrait jd s'écarter du principe 'de la nonintervention.
P. C.
Le conflit de la chaussure de Limoges
affecte 4.000 ouvriers Cinq ordonnances d'évacuation d'usines occupées n'ont paa été exécutées. (De notre correspondant) Limoges, 16 mars. Depuis le début du mois, tes ouvriers des manufactures de chaussures de Limoges sont en grève. Trente-rdeùx usines ont été occupées par des piquets réduits de grévistes, ce qui fait que l'occupation, bien qu'effective, est surtout symbolique. A maintes reprises, des tentatives ont été faites par les pouvoirs publics pour aboutir à un accord, mais l'Association amicale dès fabricants s'est refusée à toute discussion, tant que: les 'usines seraient occupées.
Entre temps, cinq.industriels ont fait rendre par le tribunal des référés des ordonnances d'évacuation de leurs établissements.' Mais ces sentences n'ont pas encore été exécutées..
Les patrons ont établi un état comparatif des salaires, d'où il résulterait que les salaires payés à Limoges dans l'industrie de la chaussure seraient sensiblement supérieurs à ceux payés dans les autres centres. Les syndicats ouvriers prétendent, au contraire, qu'il n'en est rien.
Les choses en sont là. Le-conflit se déroule dans le calme.
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Les militants syndicalistes veulent faire un effort pour le réarmement mais dans le cadre des quarante heures La /nouvelle selon laquelle des heures supplémentaires allaient être demandées aux ouvriers travàillant pour la Défense nationale a ému fortement de' nombreux mii,itaxits de syndicats.
Hier, une délégation d'ouvriers des usines Renault est venue poser la question 'à M. Léon Jouhaux. Visiblement irrité, le secrétaire génera) de la C. G. T., répondit évasivement et assura la délégation que toutes les réserves, exprimées par les ouvriers avaient été faites en-haut lieu.
Les ouvriers, veulent bien faire: la preuve de leur bonne volonté, mais pas sans contre-partie. Telle est, à peu près, l'opinion des syndicalistes de la Fédération des métaux et des syndicats intéressés' la Défense nationale. Des heures supplémentaires ? 2 m'a»t-on déclaré, • mais il n'en est pas question I.
Le communiqué de la. présidence du Conseil affirme que 1 effort exceptionnel envisagé « sera réalisé dans le cadre de la législation sociale actuelle et des conventions collectives en étroite relation avec une organisation rationnelle de l'industrie, l'utilisation totale de l'outillage et l'embauchage de la main-d'œuvre nécessaire. » Que signifie ce texte ? Les militants des syndicats n'y voient pas une dérogation possible aux quarante heures.
H faudra doubler les équipes, disent-ils, et faire travailler davantage les machines l
Les conventions collectives sont en cours de, discussion. « Donnant donnant, diront encore les délégués ouvriers aux patrons et aux pouvoirs publics, nous accompliront, dans certains cas, l'effort nécessaire, mais il- faut nous accorder, en retour, certains avantages dans le ̃ cadre des conventions collectives. » {Convention unique pour les ouvriers, lès employés et les techniciens^ extension au plan national dé, certaines clauses « garanties touchant l'embauchage et le licenciement.)
Ainsi, l'accord est loin d'être réalisé. Cependant, la situation extérieure pèse d'un grand poids sur tes délibérations des syndicats. M.-P. Hamelet.
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HOTEL DROUOT. Salle n' 1. Exposition publique. Collection Edouard Pape. Rares porcelaines et faïences anciennes. Me Etienne A der M. J. de Beaumont. VENTE
HOTEL DROUOT. Salle n" 6. Vente. Tableaux modernes. Sculptures. Estampes modernes composant la collection de M. E. £, et,appartenant à M. R. Me Etienne Ader MM. Schœller, AIlard et Cailac.
CONFLITS SOCIAUX Les dockers charbonniers de Lorient ayant refusé de faire des heures taires, les armateurs avaient décide de doubler les équipes pendant les 40 heures légales de travail tes dockers ont refusé d'accepter cette décision et depuis hier matin font Brève. Les tueurs et ouvriers des abattoirs de Roubaix ont, hier matin, cessé le travail Ils réclament l'application d'une sentence surarbitrale du tribunal civil de Douai, qui prévolt un relèvement de leurs salaires de 21 0/0.
DANS LA MARINE Mutations
Capitaines de frégate. Salatin, commandant du 2« dépôt Bougeard, commandant en second du 2" dépôt Montreiay, commandement de 1 escadre volante de l'escadre de la Méditerranée Amaurlch, commandement de l'escadre volante de l'escadre de l'Atlantique.
Capitaine de corvette. Leteux, sous-directeur du port de Brest. Lieutenant de vaisseau. Lainé, section des hydravions de croisière prototypes.
Enseignes de vaisseau de première classe de réserve. Le Polttevin, distrait de la liste d'embarquement pour trois mois Gaubert, croiseur Jean-deVienne à Toulon Montillier, sous-marin Le Tonnant, à Toulon.
Officiers des équipages de la flotte. Esnault, front de mer de Bône Lecoquen, défense littorale de Cherbourg Le Cavorzln, commandement du remorqueur Mammouth, à Cherbourg Balanant, Armorique, à Brest Kerloch, S. M. B. C. de Brest Normand, commandement du remorqueur du champ de lancement du Fret à Brest Rault, défense littorale de Brest Guivarch, commandement du remorqueur Hippopotame à, Brest Charreteur, direectlon du port de Brest Plumency, commandement du remorqueur Goliath à Toulon Gaudin, commandement du remorqueur Laborieux à Toulon Girct, D. P. de Toulon Danic, commandement du remorqueur du champ de lancement des Salins d'Hyères Ringeard, marine à Saigon.
Mouvements de bâtiments Le croiseur Printauguet est arrivé à Chusan.
Le torpilleur La Palme, venant de Toulon, est arrive à Barcelone.
BOURSE DU DU 16 1 MARS -19 3 8
VALEURS IpSgJggsM VALEURS I ^d. I gSS VALEURS 1P£°U ?,'£ VALEURS 1^.1^11 VALEURS U'&J g-
précéd. COUrt préced. cours preced. cours preced. co un précéd. cours
TERME ^^i^Mdi;^6fî§::6^ S^ÎKIÇ* Sff IÎSKSs?tod5r: S8:: gg- -mamhé
3 Jb a 10 «4 25 Porlugueies Tabacos 595 590 Con. 1880 3 634 649 Indochin.Eleçfr.lcap.) 375 366.. EN BANQUE
»J 63 40 63 20 Suer, et Raf. d'Egypte 830 810 Fonc. 1883 3 207 206 Marocaine Di.tribit 392 385 BM «»*««*«
̃*$}££ «3 75 o3 1885260»» 247.. 246.. Nantaised' Eclairage 341 340 5 I", l,?Sio,^nortl*'ab- 89 70 & 4S u Com. 1891 3 ?“ 236.. 235.. Ouest Parisien 552 5S0.. TERME
4% 1925 (échange) 107 75 106 15 2 IS92260»0 287.. 282 Pyrénée. Enora. Elec. 950.. 929..
l^932* »« «« COMPTANT £|ɰam!i992oO'l 243" 240 R°dio-Fr0'1"" <"> «*" *• • «J •• 470
4 (i VI932B. 70 15 68 6S fown<; n-FTiT ̃" Fonc. 1903 3 255!! 256 I! Secteur Rive Gauche 133.. 132.. Ban? Not." d'Égypt*' 6050 5960
|Ob.Trésor4HJ, 933; 754 747 FONDS D ETAT o Com |90o3% 24B 50 247 Sud-Electrique 260 Brakpan 448 .430 Ob.Tré«or4!i 1934 690 684.. « Fonc. 1909 3 131 131 (nom.) 199 Bruav 150 1421! Ob.Tr.4'iX32out.n.j 768 758.. 3 AmottisSable. 71 10 70 30 £ 'Com. 1912 3 130.. 1 29 50 Sud-tumiere prior. 86.. 85.. Cambodge 545.. 531 Ob.Tréior3S «,,1936 13160 131 10 3 H %> AmoihMoble. 95 | H Fonc. 1913 3 !4 267.. 260.. louis.964 971 Canadien Eagle 81 50 75 25 Ob.Trésor 4 «t 1936.. 99 90 100 10 4 V, 1932 A 69 40 68 65 § 1913 4», 457.. 456 50 Téléphones. 197 Caoutc. (Financ.) ord 269 7:256 7. B. 69 95 69 30" Emp. 1926 7 521 522.. Versail.Tram.etDIstr. 366 Caoutchouc act. V 902 848..
BonsTr.l0an«4Si<V,33 917.. 918.. 4 1937 omortiss. 108 90 108 05; Com. 1927 7 465.. 460.. Dollfui-Mieg 4730 ..4710.. D*° BonsTr.5ansJ?JI933 996.. 993.. 5 Com. 1930 4 599.. 594.. Charterod 233 219 50 B.Tr.5-J0-ISan«S?o34 984 50 985 I Ob.Çh.f.Etat 4 •“ 12-14 309 306 Com. 1931 4 592 592.. Industr. Textiles (Gle) 900.. 890.. City Deep. 225 50 200 B.Tr.3-6-IOans4H?û34 942 948 ..| 5»,, 1919 318 315 g Com. 31-32 4' 616 615 Industrie Textile. 333 328 Columbia 78 50 72 !I Caisse auton. 4 (; 709 679 P.T.T.5?»l928r.à 500 454 454 Emp. 1932 4'»» 595 598 Perenchies 302 290 CrowMine» 2583 TT 2505 Banaue de France. 56J0 5580 4y,»6l929r.à4O0 348.. 352.. Emp. 1933 5 «» 650.. 645.. Cent. d'Eclair.(lebon) 1621 ..1620.. Dogsafontein 305 290 5 1934-1935.. 752.. 749.. Emp. 1934 5 812.. 818.. Continentale du Goi 825 825.. De Beers ordinaire. 1394 1210 Bandue de l'Algérie. 4410 4350 Bons 100 fr. 1887 78 50 78 50 Eclair. Chauf. et F. M. 587.. S80 préférence. 1857 1750 Banq. Paris Pays-Bas 980 932 C Nat.Cr. Agr. 5 «0 33 900 900 Bons 100 fr. 1888 71 70 25 Franç.d'Eciair.p.Goi 501 511 Durban Deep. 415 402 -Transatlantique 547.. 539.. 7Vi«»or2l(K»dollars) 3330 3255 Gai de Paris. 182.. 182.. Eastern. 160 M.. de l'Union Paris. 379.. 355.. 7?0 or24|IOOdollars) 3640 3àB0 Alsace-lor. 5 1921 523.. 520.. "«orn ou.. CompagnieAlgérien. 865 860 Afr. Occ. Franç.3 335 335 3% 1921 199 201 Acétyl.etElectro-Mét. 382 375 EastGeduld 1677 1615 Comptoir d'Escompte 708.. 709.. Indochine 3 •“ 19». 227 225.. 5 1933 630.. 629 ..I Aciérie» de longwy.. 265 270 East Rand 460.! 425'^ 3 '4 1913 248.. 242.. Est 6 381 382.. deMicheville 575.. 560.. Equateur 175 159"
Créd. Com. de France 458.. 445.. 4"; 332 332 At.etChqnt.delaloire 320.. 320 Franco Wyoming. 286.. 281 Fonc. de France 2130 2090 Madagascar 1903-05. 316.. 318.. 2!,îi 306.. 300.. -Const.Norddela Fr. 252 General Mining. 746.. 678.. Lyonnais 1360 1330 Maroc 4 »“ 1914 299 299 5 1933 624 622 Chant, de St-Nazaire 620 620 Goldfields 569 513 Société Générale. 674 673 5!'» 1918 320 322 ..1 Etat 5 1933 629 631 Châtillon-Commentry 1357 1335 Gula Kalumpong. 199 182 Rente foncière 340.. 338.. Tunis 3 S 1892 245.. 241 Lyon 3 k 1855 288.. 288 Fives-lille 401 422.. Hotchkiss. 728.. 707..
S"M ««5.. *̃«<> Crédit No, 5, ,9,9 46, 459.. 6 £. 367.. 367.. Huanchaca 58 75 56 25
Sbez 22725.. 11550.. Crédit Nat 5 i 161 d59 6' )92) 296.. 292.. For.Ae.Huta.Bankov. )25.. ))8.. ""°'°" 58 75 M~
Suez (part de fond.). 19100.. 18600.. | C.Na1.Ob.500f.5"20 451 450.. 5 1933 635.. 623.. Marin.etHoméc. 320.. 306.. Hydro-Cère 46.. 43 25 Suez (civile) (cinq.).. 6390 6130 Bons 6 »“ 1922. 502 503 Midi 6 346.. 345 Jeumont 330.. 325.. Johannesburg. 47?!! 425 Est 586.. 576.. Bonsô°,,ianv.23i 470 469.. 5 X 329.. 325 Médiler. IFor. Chan.) /80 740 Lanalaagte. 127 120 Lyon. 810.. 795.. Bons6«s iuin23 482. 475.. 4% 304.. 297.. F.BelgeMat.Ch.deFer 1359 1315 Undon Tin ord. 27.. 24.! Midi 586.. 575.. Obl.6îil924. 485.. 486.. 5 1933 630.. 626.. Denaln-Anzin 1140 ..1130.. MamReef..T. 561 547 1 Nord 758.. 732.. Nord6 série F 405.. 405.. Mat.deCh.FerlCieFr.) 475.. 470.. Malacca ord. 172 A 156" Dép.de l'Aisne 7% 26 476.. 447 501 5 série E 385.. 385.. Métaux (CieFronç.).. 1900 1900 Mexicon EagleOilor. 6950 6525 Orléans 744 744 7 27 535 525 4 serre D. 365 367 Michelin iDortl 1050 ION Santo-Fé(Cfr.C.f.)Pr. 450.. 446.. 6^28 827.. 825.. 2 î, série C.. 331 325.. Senelle-Maubeuge.. 510.. 490.. Minière des Gds tacs 610 6 0 MétropolitaindeParis 835.. 839.. deloMarneôi.fi 433.. 427.. 5% 1933 629.. 622.. Béthune(Ciede)nouv. 442.. 440.. Parisienne Industrie. 299.. 290.. deMeurt-et.M.6% 420.. 411 Orléans6J, 364.. 364.. Charbon, du Tonkin. 1900 1886 Moteurs Gnome. 623.. 610.. Tram, de Shanghaï 645.. 645.. deMeuse6'23 428 50 425.. 4 ••, 320.. 320.. Commen.- Fourchant. 518.. 520.. Mozambique. 35 75 34" Eau&Ectairagedyon) 1132 1091 duNord6î0 1921 427.. 425.. 5^1933. 626.. 631 DombrowolHouiUp. 425.. 401 Naroguta Tin 100 .T 94 50 6kl923 410.. 405.. Ouest2Hîi 296 Montrambert la Bera. 498.. 482.. Nationale Viscose. 384!! 376
Dist. Parisien. d'Elec. 560 538.. 7 S 1927 <64.. 465.. Aniche (Minesd1). 730.. 736.. Podang 614 590 ElectricitédeParis. 554 540.. Pas-de-C7f0l926 479.. 470.. Anzin. 325 320.. Kraoï 1041 945 I Electricité de la Seine 1 282 282.. 7{il927 461 464.. BANQUES -̃̃ PhosDhot Constantin 265 250 1 Electr.etGardu Nord 278.. 269.. 5%I929 816.. 811 Blanzy 515.. 517.. Phosphates TunisUw 125 50 122 50 Electr.(CieGénér.d')ilO94 1042 Somme6!4 Î4I923 436 433 Bonq. Afrique Occld. 750.. 765 Cormaux Ï90 493 Pointe IVitre"?.. 403 382.. Energie lit. Méditer.' 465 461 de l'Indochine. 2740 ..2605 Dourges 560 55U VilledeReims6%l927 825 818 de la Guadel.. 2310 ..2410 Maries 365 360 Randfontein. 352 316 Energ. Elec. Nord-Fr. 253.. 254.. Egl. dévasl. 6 1928 407.. 408.. de la Guyane 1980 1980 Bor ord 2450 ..2300.. Rond Mine. 1390 13 8 NorJ-lumière 675.. 665.. 5 S 1928 846.. 839.. deMadagascar 390.. 375.. Ostricourt 770.. 769.. RÏan Antelopé! 142 137 Télégraphia sans Fil. 427.. 415.. Ind. Suer. Fr. 6 1927 408.. 415.. de la Mortiniq. 2570 .I Alg-Tunis. (Omnium) 1510 1430 Shell Transport. 712 685!! Thomson-Houston 113 102 de la Réunion. 2740 ..2745 Sonnai Mines 222 204. Union d'Electricité. 355.. 343.. Industr. Alsac. 1921. 407 50 408.. Eur.ClPaysJor 310 Guergour act 1080 1090 Sub Niael 1618 1579
For.etAcié.duN.etE. 619.. 598.. Algérie 3 X 1902. 327.. 327.. priv 296 MolJel.Had.cIdéi.i.) 4260 4360 Tongonyika 60 75 57 50
Fa"eIACle.duN.etE, 619.. Indochine 109-1905 205.. 205.. lnd.de l'Afr. N. 255.. 255 ..Française desPétroles 8150 81 Thoriis. 277 269..
Schneider(Creusot).. 950 930 Tunis 3 19J2-I907 227 225 Franco-Japon.. 86 86 Hydro-Carb. St-Denis 415 435 Townshyps (SouthAf.) 73 67 75
Tréf.etlam. du Havre 765.. 737.. Tunisie 4 iy3l. 575.. 561 Nat.p.leCetl'I. 563.. 561 Lille-Bon. Colomb (i.) 390.. 390.. "«" o0"1-' '•> ™ Courrières 207 203 des Pays du N. 195 Pechelbronn 342 332 Transwaal land 238 50 229 50 Lens 252.. 250.. Allem.24,DaweslOOL. 6040 6100 Dynamite ISociétéC.) 740.. 760.. Tubize l" m 105 50 VicoignesetNoeux.. 398 393 Angleterre 2 S4 12200.. 11770.. I Crédit Algérien 1470 1470 Union Corporation 1320 1225 Boléo 118 115 Ar8entin5% 19^ 3200 Créd. Industr. et Com. 278 277 Glaces du N. de la Fr. 2775 ..2716 Mini*. Ht KSJngSpV ^3695 3615 5 1909.. 3235 Cred. Fon.Als.-Junis. 403 402 Kali Sainte-Thérèse.. 1075 1055 Vieille Montagne. 2095 ..2020 Nickel 895 870.. Crédit Foncier Colon. 193.. |9I Le Ripolin, jouis 2200..2195.. Vins et Spiritueux 248 232 Penorroya. 292.. 291 Belg.3% 1895-05, l-s. 9275 92 50 Créd. F.lndochinelp.) 900.. 871 St-Gobain, Chauny.. 1885 1865 West Rond .7. 270 248 50 FrançaisedesPétroles 734.. 713.. 5% 1934 760.. 760.. Créd. F. Madagascar 86 SalinsduMidi 701 705.. West Sprinas 413 391 Electro-Chimie Ugine 1258 1253 Brésil l909(Pernomb.) 690 Sté Fr. Bonq. Dépôts. 594 597 Port du Rosario 4965 ..5080 *=' Kuhlmann 589 565 Reports Dépôts 520 520 Auxiliaire Navigal.. 1385 1385
Mat.Color:St.Denis. 985.. 975 Cn!)i6K. 23) 23) TouogeetRemorquo. Ii9.. )25 COMPTANT
Mot. Color. St-Denis. 985 975 Chine Chili* 4V, 1908. 2840 231 2840 231 Soc.GleAlsac.de Ban. 407.. 407.. Touoge et Remorqua. 119 125 COMPTANT u Phosphates de Gafsa 742 720 Congoobl.4 1901. 494 499 Société Marseillaise. 520 519 Transports en Cômm. 540 540 Roubaisienne d'Ed 1170 1170 Pr.Chim.d'AlaisFrogJlMO 1887 Egypte privilégiée. 301 1 ..3105 Sous-Corn. Entrepren. 280 265 Bénédictin 6790 ..6847 Bardin.Renaud Coût 1503 502 Rhône-Poulenc 11028 1010 ° Union des Mines 135.. !35 Damoy (Julien) 470.. 495.. Moteurs Salmson (c ) 33 32 Saint.Gobain 1886 -.1857.. Haïti 5 1910 518.. 513.. Foncière Lyonnaise 720.. 704.. Distillerie Cusenier.. 2100 2075 Forges de la Provid 1 1800 11800 ChorgeursRéunis. 447.. 430.. Maroc5%l9IO 390.. 395.. Immobil.Morseillaise 1995 2068 Dlstil. de l'Indochine 310.. 300.. CzelodzT. 715 690 AirLiquide 1108 ..1082.. Pologne 7 1927. 2525 2465 Entrepôt de Grenelle 430.. 445.. Steauo Romàna" 5050 45 Portugal 3 série 2540 2590 Gr.Moul.deCorb.ord. 153.. 150 K°n>ana ou ou « Brasserie Quilmès. 5245 ..5265 ACTIONS Nicolas 363 353 Diebel Dierissa con i&OB 2>K« Caoutch. Indochine.. 576.. 556.. Roumanie4% 22Bons 181.. 164.. INDUSTRIELLES Ouàsta et Mesloula 1395 1377 CitroënB. 412.. 405.. Unlfiée4% 203.. 190.. Olldo 2375 2335 TolS "de °lUMnac7>! 2640 2675 CitroënN 477.. 460.. 7 1929.. 895.. 865.. Buenos-Ayres (Ch.fer) 434.. 444.. part 6380 ..6110.. Hut7hihsonT:T.i' 1050 1015 Compteurs à Gai. 555.. 530.. 7 ÎÉ 1931 329.. 309.. Dakar à Saint-louis. 1 175 Potin (Félix) 44.. 45.. Fil'lchappelyon^ 825 705
Ford 59 50 58.. Chemin Est Algérien. 273.. 270 Saint.Raphaël 5095 5O» W«Vse f?ancais»! 520 502
FareL. 59 Santo-Fé5% 1910.. 1675 Indochine et funnan at 442 435 Sucreries Coloniales. 305 308 308 *"<:OM>rranca*> 3a> •• °«4 Peugeot 432.. 421 Serbe 5 1913 290.. 270.. Maroc 370.. 355 Suze(Distilleriedela) 4665 4668 Bras. Comète octane 1975 .1980 Raffln. et Sucrer. Say 550 505 Suisse 1903 3980 ..3960 Chemin Ouest Alger. 377 375 Ciments Français. 1180 1140 U AionSucr de I Vkisnê 338 338 Terresrouges (415.. 400.. Rosar. à Puerto-Belgr. 105.. 112.. Ciments de l'Indoch. 316.. 315 Monmo 1220 1^5 Union Européenne.. 500.. 470. «,, PolietetChousson(p.) 3400 3350 Bastos (Tabacs) 695.. 700.. Est3 9» 307.. 309.. I Tumsiensfchem.def.) 408 395 BrosinllaletJ Ouoont 300 «M Lyon 3% Fusion nouv. 284.. 288.. ITrom. Indochine cap. 544.. 541 Bon Marché 130.. 129.. Por!cTEd (Off enstadt) 136"! 136" OBLIGATIONS Mag.Génér. de Paris t520 Chapal frères 380.. 370.. ca.iunensiaarj 100.. IJO Midi3#. 282.. 283.. Eaux(Comp.Gén.des) 1000 1030 Coty (Société Anon.]. 171.. 170 = == Nord .3% ancienne. 338.. 339.. 18713% 369.. 367 Eaux d'Evfan 341 341 Galeries lafayetfe. 26., 26.. CHANGES Orléans3J6 318.. 322.. 18754% 435.. 431 ..1 Vittel 376.. 368.. (part) 18400.. 18000.. fc n M W tfti Ouest39o'nouveau.. 309.. 308.. 18764 ',{ 435.. 437 ..j Vichy (Etab. Thermal) 1567 1550 Nouvelles Galeries.. 267.. 272.i-,c AII.5M?ô30PI.Young 350.. 300.. 1892 2 U 200.. 197.. Algérienne Eclairage 166.. 165.. Printempsord 80. PARIS
Belge£xlr.5!,°0l934 2260 2205 11894-1896 2! 195.. 195.. Bitteroise Force et Lu. 218.. 218 50 Agence Havoi.. 405.. 410.. Londres 165. 162 75.
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II paraît que. c Bérénice et le préfet » à Nice
Bérénice et le préfet, la nouvelle pièce de M. Luchaire que Gaby Morlay jouera au thédtre de la ̃ Madeleine, sera d'abord créée à Vice, au Palais de la Méditerranée. 'Cette création aura lieu sans toute à la fin de ce mois. Concours de slogans
On sait que le thédtre Mogador avait ouvert un concours de slogans oour son spectacle actuel Féerie ilanche. Les réponses sont arrivées >ar milliers. Le jury se réunira mjourd'hui pour désigner les gainants de ce concours,
LES 3 COUPS CE SOIR
Au Rideau de Paris (Théâtre Isola), à 21 heures, répétition générale 1e Captain Smith, comédie en trois ictts, de M. Jean Blanchon,
+ Au Tremplin (Théâtre du Journal), d 20 h. 45, répétition générale de illusions, un acte de M. César Iglesias Paz, traduction de M. le docteur A. Vrquia, et de Vivre 1. (Les droits de 1.1 Santé), pièce en trois actes des mémes auteurs.
̃+ Au Gymnase, à 21 heures, pretnière représentation de Cavalier seul. comédie en trois actes et cinq tableaux, de MM. Jean Nohain et Maurice Diamant-Berger.
Les portes du théâtre seront fermées dès le lever du rideau.
SOIREES. Ce soir
jeudi 17, vendredi
18, samedi 19, di-
manche 20, lundi 21,
mardi 22: Un Cha-
peau de paille d'Ita-
lie; Deux proverbes
de Carmontelle.
Mercredi 23 Asmodée.
MATINEES. AuJ. Jeudi 17: Les Fausses Confidences, La Comtesse d'Escarbagnas samedi 19 Xe matinée poétique Les Ecrivains étranger» de langue française di- I manche 20 Asmodée.-
JiiJffffff»*>ff**
*O* rd~"
AU GYMNASE. M. Henry Bernsteln fait représenter ce soir (première de eala) CAVALIER SEUL, comédie en 3 actes et 6 tableaux de MM. J. Nohain et M. Diamant-Berger, avec Mmes Arletty, Blanche Montel, Madeleine Suffel, MM. Paul Bernard, Jean Wall, Carette, etc.
Décors de Paul Colin.
Toilettes de Schiaparelli.
CHATELET. Aujourd'hui 14 h. Il matinée à prix réduits. LE CHANT DU TZIGANE avec André Baugé et Fanlca Luca (3 fr. 50 à 22 fr.) Matinées à prix réduits lundis et tandis.
-ïHEAïKES.v-v-
| LES OATM» -RETESlffiS ?
*̃ V Vendredi 18
ALCAZAR. En soirée première représentation de la nouvelle revue.
Samedi 18
NOUVEAUTES. En matinée répétition générale de Le Bols de Boulogne.
CAfUOtNES En soirée: répétition générale de Les Deux Madame Caroil.
OPERA. En soirée reprise de Bamson et Dali la. Jeudi 24
ATHENEE. En soirée répétition générale de Le Corsaire. OPERA-COMIQUE. En soirée reprise de L'Education manquée et de Le Médecin malgré lui.
THEATRE CHARLE8-DE-ROCHEFORT. En matinée Trentième gala de la Pièce en un acte
OET APRES-MIDI
COMEDIE-FRANÇAISE (Ricil. 22-70), à « h. 30 Les fausses Confidences (MM. Lafon, Pierre Dux, Escande, Debucourt; Mmes Madeleine Renaud, Catherine Fonteney. La comtesse d'Escarbagnas (MM, Jean weber, André Bacqué, Martlnelli, Le Marchand, Bonifas; Mmes Andrée de Cbauveron, Denlse Glalr, Mpny Dalmès, Renée Faure).
ODEON (Dant. 58-13), à 14 b. 30 Chatterton (MM. Lucien Pascal, André Wasley, Jacques Eyser, Raymond-Girard, Harry-James; Mmes Madeleine Sllvaln, Françoise Adam). La Gageure imprévue (MM. Marcel Bourdel, Claii'val, Bryonne, Baconnet; Mmes Eva Reynal, Lily Mouuet, Romant).
ANTOINE, & 15 heures Cendrillon.
PETIT MONDE (Salle d'Iéna), à 14 h. 30 Le Petit Poucet. ODEON POPULAIRE (Salle Pleyel), à 14 h. BrIUnnicus, Le Médecin malgr6 lui.
Même spectacle qu'en soirée
Ambassadeurs, 15 h.; Ohatelet, 14 H. 30;. Gai té, U b. 30 Palais-Royal, 15 h.
OPERA (Opéra 59-59), à 21 h. RéoiUI Heifetz. Demain: La Damnation de Faust; Le Cantique des Cantiques. .COMEDIE-FRANÇAISE (Rica 22-70), à 21 h. Deux Proverbes de Carmontelle Le Seigneur auteur (MOI. Chambreull, Dérivai. Le Oott, Bontfus); Le Veuf (MM. Jean MartinelJI, Debucourt, Bertheau). Un Chapeau de paille d'Italie (MM. André Brunot, Pierre Bertin, André Bacqué, Gliambreull, Martinelll. Debucourt. Le Marchand Mines Béatrice Bretty, Irène Brillant, Delamare, Casadesus).
FEU11LET0N DP 17 MARS 1938
CHRONIQUE MUSICALE
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«Don Juan »
Journal d'un musicien M. André Boll n'est pas seulement un décorateur de très grand talent. Il est aussi critique musical et, dans La Page musicale, il publie des chroniques aussi savoureuses que péremptoires. A propos de la reprise de Don Juan à l'Opéra, il écrit « Certains ont trouvé bon de discuter les mouvements adoptés par Fritz Zweig, qui dirige l'orchestre. » Je suis de ceux-là et je prends la part qui me revient dans cette phrase « certains ont trouvé bon. » M. André Boll ajoute « Je n'ai, pour ma part, été choqué à aucun moment. » Voilà qui fait certainement grand plaisir à M. Zweig, dont la direction, écrit M. Boll, « s'avère alerte, précise et soignée ». J'ai rendu hommage au talent de M. Zweig, et si j'ai « trouvé bon » de discuter (mais avec politesse) certains de ses mouvements, c'est que j'en ai le droit, ayant depuis de très longues années fréquenté, étudié, chéri Mozart, que je l'ai servi de mon mieux avec une ferveur et une ardeur que des
RIDEAU DE PARIS 1 ] S'INSTALLE
AU THEATRE ISOLA
A partir de ce soir, et pour en tout cas un mois, le Rideau de 1 Paris s'installe au Théâtre Isola i (ex-Potinière) rue Louis-le-Grand, C'est un petit fait qui a son im- 1 portance. Le Rideau de Paris est un de nos théâtres irréguliers qui nous a toujours paru être un de ceux qui méritait le plus de deve- 1 nir théâtre régulier.
De plus la pièce que présente ce soir le Rideau de Paris Le Captain Smith, de Jean Blanchon, est une de ces pièces qu'on regrettait ne pas voir jouée.
Nous verrons donc ce soir un théâtre de jeunes amateurs présenter une pièce d'un jeune auteur. PALAIS-ROYAL. Aujourd'hui jeu- di, matinée à 15 hellres de BIZONSLES-DAMES.
PETIT MONDE. Salle d'Iéna. 10, av. · d'Iéna. Aujourd'hui à 14 h. 30 Le Petit Poucet.
Le Bois de Boulogne
j M. Benoit-Léon DEUTSCH présentera samedi prochain, en grande première, au Théâtre des Nouveautés LE BOIS DE BOULOGNE fantaisie musicale et historique du célèbre revuiate RIP.
La réalisation dépassera en importance tout ce qui a été fait de.puis bien longtemps sur les boulevards, 23 décors. 180 costumes, 27 artistes en tête desquels Jeanne AUBERT et PAULEY. Robert BURNIER, Christian* DOR. GEORGE. René NOVAN, Gay RIVIERRE et DUVALEIX.
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Ely. 38-00. 22 h. à l'aube. l,r. Balzac
Fernand Daily «XJ JE^Saola^Sj^TOSSS^Jî^SSSÊÏM
F. 8801a. 8. WEBER. M. Georges
Lundi 20
Samtdl 26
CE 8OIR
OPERA-COMIQUE (Rlcb. 72-00), S 20 h. 15 Manon (Mmes Vina-Bovy, Chèllet, Gaudel, Mattlo; MM. Arnoult, Bouvier, Cabanel, Hérenti Ravoux). Orchestre M. Eugène Bigot. Demain Mireille.
ODEON (Dant. 58-13), à 20 h. 45 La Troisième Chambre (M. André Brulé, Mme Germaine Laugler; MM. Georges Cusln, Amlot, Harry-James; Mmes Suzanne Courtal, Rouet, Marinier, Jeanne Relnhart). Demain La Troisième Chambre.
ARTS (Wag. 86-03), à 90 b. 45 Sixième étage (Mmes Andrée Sêrvllaiifres, Laure Diana, Cialre Gérard, Claude Anny; MM. Henri Guisol, Maurice Dorléac, Arthur Devère, André Moreau).
ATHENEE, relâche pour les dernières répétitions de Le Cortaire, de M. Marcel Achard.
GYMNASE (Pro. 16-15), à 21 h. 15 Cavalier seul, de MM. J. Nohain et Dlamant-Berer. (Mlle Arletty, MM. Paul Bernard, Jean Wull, Carette et Mme Blanche Montel). iUat. dimanche et Jeudi, à 14 h. 45.
MADELEINE (An). 07-09), à 21 h. 15 Le Comédien, de M. Sacha Guitry. (MM Sacha Guitry, Fauchois, R. Seller, Drain Mlles Jacqueline Delubac, Jeanne Boitel, Gael, PauUne Carton).
MICHEL (AnJ 35-02), à 21 h. 15 L'Enfant de Mary (MM. André Luguet. Mlle Meg Lemonnler MM. Jean Ttssier, Palenc et Mlle Elisabeth Nlzan).
MICHODIERE (Rlcb. 95-23), à 20 h. 50: Le Valet mettre (MM. Victor Boucher, Tiamel, Gallet, Jean Dax, H. Bonvalet, L Tune, L Slgnoret Mmes Marguerite Deval, Dentée Grey, S. Henry).
MONTPARNASSE (Gaston Baty). (Dant. 89-90), à 21 heures Madame Capet (Mme Marguerite Jamols MM. Georges Vttray, Lucien Nat, Henri Beaulleu, Rolla Norman Mites Suzanne Dernars, Jeanne Pérez, Yonnie Dubois). AMBASSADEURS (AnJ 97-60), 21 b. 15: Pacifique (Al. COCéa). ANTOINE, 21 b. Mon oœur hésite.
ATELIER, 21 h. Plutus.
BOUF.-PARISIENS, 20 h 45 Les Petites Cardinal. CAPUCINES, relâche
CHARLES-DE-ROCHEFORT, 21 h. Frénésie.
CHATELET, 20 h 30 Le Chant du Tzigane.
DAUNOU (7, rue Daunou), 21 b. La Chaleur du Sein. DEJAZET 20 h 4 5 Jules, couche-toi 1
DEUX-MASQUES, 31 h, L'Emprise. ·
EMPIRE, 21 1) Edition spéciale.
ETOILE, 21 11 Le Monde à l'envers.
GAITE-LYRIQUE, 20 b. 40 Les Jolies Viennoises. GR.-GUIGNOL. 21 h. La Tour d'Amour, Fauteuil Véritas. HUMOUR, 21 h. Ruy Blas 38.
gens pour le moins aussi compétents que M. Boll ont bien voulu reconnaître, et que j'ai, notamment, acquis sur Don Juan des connaissances qui me permettent, par exemple, de dire à M. André Boll que s'il a raison d'écrire « Don Juan est un opéra-comique, presque un opéra bouffe ». ce qu'on savait déjà, il a tort d'ajouter « qui a été créé salle Fàvàrt, sous la direction de Carvalho ». D'abord, je pense que M. Boll appelle créer ce qu il convient d'appeler reprendre. Car Don Juan, créé à Prague en 1787, fut joué pour la première fois en France en 1811, au Théâtre Italien, sous la direction de Spontini, puis repris à l'Opéra sous celle du docteur Véron, en 1834, puis encore repris, en 1866, sous la direction Perrin. Puis, en 1887, à l'Opéra actuel, eurent lieu les représentations dites du « Centenaire » (avec Lasalle et les frères Reszké). En 1896, l'Opéra reprit Don Juan en octobre, et Carvalho, un mois plus tard, le reprit encore (mais ne le créa point) à l'Opéra-Comique de la place du Châtelet, et non « à la salle Favart », où il ne reparut qu'en 1904, bien après la mort de Carvalho, sous la direction Albert Carré, puis en avril 1912, où il en fut donné une série de représentations montées et conduites par mou etc., etc. Je m'excuse d'avoir été si long, mais on donne souvent dans cette erreur quand on parle de ce qu'on sait.
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Ce soir, disposant d'un peu de loisir, puisque c'est Raoul Labis qui dirige Mireille à l'Opéra royal, je sors pour me promener un peu, mais un froid pénétrant qui gèle les os m'oblige à me réfugier dans un café chantant. C'est un local assez grand, fort mal éclairé et paré d'une décoration hideuse fes-
'entrée de Louise Carletti à Médrano
Louise Carletti, la Jeune et jolie star de cinéma, véritable révélation du film de Jacques Feyier sur le cirque Les gens du voyage, fera demain soir sa ren:rée au Cirque Medrano. En reprenant pour une quinzaine, entre Jeux films, son « numéro » familial, Louise Carletti témoigne du profond amour du métier qui anime « ceux du voyage » et marque sa reconnaissance à Medrano qui, l'été dernier, en la patronnant auprès du célèbre metteur en scène, fut à l'origine d'une carrière cinématographique qui s'annonce merveilleuse.
Au nouveau programme de Medrano figureront également la fan.ille équestre Eugène Keroly, les cyclistes Rodella Ruis et Artix, les Mangini, Wicky, etc., et naturellement les inégalables clowns de Medrano.
CONFERENCES UNE CONFERENCE
SUR LA JEUNESSE
M. Firmin Roz donnait hier à l'Université des Annales une remarquable conférence sur cette jeunesse qu'il connaît si bien, puisqu'il est un des grands maîtres de la Cité Universitalre. L'élite de la jeunesse, dit l'émi nent conférencier, eat rassemblée dam cette maison internationale où sont re. présentés tous les pays, chacun poeaé.dant son pavillon. Ce que viennent chercher ces jeunes étudiante des ci m. parties du monde, c'est la culture française, qui, depuis Montaigne, n'a cessé de rayonner sur le monde. Jeunesse précocement mfirie par les événements, qui, à l'heure actuelle, bouleversent chaque patrie mais le succès de ce Foyer international est Justement qu'il reste le symbole du génie français et l'union de ces jeunes étudiants se fàlt à son flambeau, et pour un avenir meilleur. Ce fut le sens de cette haute leçon très applaudie que « Conferencla » publiera.
CONFERENCIA, Salle Gavean, 45 rue La Boétie
Aujourd'hui h. 4S et 5 h. Gala Joyeux eonf. RIVOLLET, avec le célèbre FERNANDEL dans ses dernières créations, et Le Jazz Quintette du HotClub avec Django-Rheinhardt et Sté.phane Grappelly.
Demain vendredi th. Poètes d'Aujourd'hui. Les derniers Rêveurs, par M. GERARD BAUER.
Audition de poèmes par Mme Renée DEVILLERS.
Abonnements et location 2 rue de Penthièvre. Anjou 18.36 CONFERENCIA publie toutes les conférences.
I
Le jeudi 31 mars, à 17 heures CHINE-JAPON par MM. Abel Bonnard et André Bellessort, de l'Académio française. Rapprochement intellectuel
28 bis, rue Saint-Dominique. Lftc ouv. de 14 h. 80 à 17 h. 30
Ir l, "s. ,ft.O,~RA.D. M ~A. ,L~!& U '@-'
Demain Deux proverbes de Carmontelle; Le Chapeau de paille d'Italie.
LE Caire, février.
MUSIQUE ♦ Le 587° concert de la Société Nationale de Musique aura lieu le samedi 19 courant à la salle de l'Ecole Normale de Musique. Au programme des premières auditions de G.Maugué, Béclard d'Haxxourt, Vv. Drappier, Fittelberg, J. Langlais, J. Barraud et la Sonate pour violoncelle et piano de Vincent d'Indy.
♦ Le contralto Isalle Durtain donnera un concert avec le pianiste Heinz Jolles, le mardi 22 courant, en soirée, à la Salle Chopln.
+> L'Orchestre de la Société .Philharmonique de Paris donnera, â la Salle Pleyel, le Te Deum de. Haendel, le 24 de ce mois. La partie de bassesolo sera chantée par M. Froumenty. A l'orgue M. Duruflé.
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MANUELA DEL RIO.
qui donnera demain vendredi, à 21 heures, Salle Pleyel, un uniI que gala de danse espagnole,; ̃ avec le concours de J. Roca et J. Alfonso.
i WWWWWWWWWWWWWW4 CONCERTS COLONNE Théâtre du Chatelet
Samedi 19 mars, à 17 heures, av. MM. JOUATTE, J. BECKMANS. L. ARNOULT. Sinfoniale, 1" aud., Piriou Le Tombeau d'Areentina Pte Suite Basque, lro aud, Bonnal Hymne Funèbre, 1" aud., R. Guillon Retour du Printemps, M. Desrez Pamir, 2e aud., Delvincourt Symphonie n° 2, aud., M. F. Gaillard Le Cloître, M. M. Levy Trifaldin, 2« aud., Y. Desportes.
Dimanche 20, à 17 heures 15. FEST. BEETHOVEN avec Mme MALNORY-MARSEILLAC, Mlle G. CERNAY MM. CATHELAT, CAMBON. MARCEL DARRIEUX, Chor. AMICITIA Messe i en ré Neuvième Symphonie. 250 exec. Dir. M. PAUL PARAY ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE PARIS Salle Pleyel, Dimanche 20, 17 h. 16. LA DANSE ET L'ESPAGNE
MANUEL INFANTE I TERESINA
MATHURINS-PITOEFF, Si h.: La Sauvage.
NOUVEAUTES, relâche.
ŒUVRE, 20 h. 45 Les Indifférents.
PALAIS-ROYAL, 21 h.: BIzons-les-Dames (C. Delyne). PIGALLE, 22 b. 15 Virage dangereux.
RENAISSANCE, 21 h. V'Ià l'Travall 1 ̃
RIDEAU DE PARIS, à 21 h. Captain Smith.
SAINT-GEORGES, 20 b. 55 Barbara.
THEATRE DE PARIS, a 21 h. Marol.
VARIETES, 20 h. 45 La Revue de Dorin et Saint-Granier. VIEUX-COLOMBIER, 21 h. L'Air du temps.
MUSIC-HALLS CIRQUES
CHANSONNIERS
Même spectacle qu'en soirée
A. B. C., 15 h.; Casino de Paris, 15 h.; Médrano, 14 h. 45 Mogador, 14 h. 45. CE SOIR
FOLIES-BERGERE (Prov. 98-49), 20 li. 45 Folie en Fleurs revue à grand spectacle, en 2 actes et 50 tableaux, de M. Maurice Hermite, production Paul Derval. (Rlta Georg:et Damla).
A. B. C., 21 heures La Revue de la Joie (Noel-Noël). ALCAZAR, relâche.
CASINO DE PARIS, 21 b. Féerie de Paris (Mistlnguett). COUCOU, 21b.: Les Coucoulards sont là
DEUX-ANES, 21 h. R. Dorin. Revue de R. Lefèvre et P. Dac. DIX-HEURES, 22 h.: Martini (en exclus.), P. Colline, J. Rieux. LUNE-ROUSSE, 21 h. Y a des fleurs.
MEDRANO, 21 h. Klng Tuffy et nouveau spectacle. MOGADOR 20 b. 45 Féerie blanche.
NOCTAIYIBULES-37, 21 11. Drôle de r'vue.
PERCHOIR, 21 11. Excusez-nous.
CABARETS DANCINGS BAGATELLE (Tri 79-33) Fora Harrison et Ramon Cortes. CABARET DE MONSEIGNEUR Dancing, Soupers, Attractions. CHEZ RAY VENTURA Haphaël Medina, les 3 Bonos. CHEZ SARTORI (Au Patio cjji. Florian, 74, Cbjunps-Elysées) au thé Fred Addison, Dîners et soupers dansants. CHEZ SUZY SOLIDOR (12, r Ste-Anne), 23 h.: Suzy Solldor. COUPOLE (l)d Montparnasse). Matinée et soirée: Dancing. LES CLAUDINES Moune et Gino. Attractions.
LIDO: Thés. dancing, soupers, attractions.
MONTE-CRISTO, 8, r. Fromentin (Tri 42-31) Cabaret-danc. POULAILLER, 22 h.: Sketch Grisons-nous grlsettes, et Maxa. RODOLPHE (13, rue d'Artois), Brancuto, Mlssla, Meurlsse.
tons en drap rouge bordés de jaune, garnissant des murs olivâtres, tout cela confus, formé de superpositions disparates et inexplicables. Un orchestre ou, me semble-t-il, voisinent des Grecs et des Egyptiens et composé de violons, de violoncelles, d'une clarinette, d'un piano et d'instruments de batterie, joue une musique bruyante et des plus diatoniques, dont le caractère arabe est fortement teinté d'occidentalisme. A l'unisson continu, où se joignent les clarinettes et les cordes, se mêlent, de-ci de-là, un accord ou une simple basse de piano qui, de temps en temps, déterminent une harmonie. La percussion est surtout représentée par des trémolos stridents de cymbales exécutés avec une rapidité prodigieuse au moyen de baguettes de tambour et qui, après un crescendo fulgurant, s'écrasent dans un fortissimo sec et terrible.
Au fond de la salle, quelques loges de rez-de-chaussée au milieu, des tables où l'on « consomme » du café, de la bière, du whisky et soda (ce qu'on peut absorber de whisky en Egypte est inimaginable !). et, dans un renfoncement, un bar drapé d'étoffes incolores et douteuses. Sur la scène, un décor recouvert d'un papier de tenture orange sur lequel je crois distinguer un motif représentant de petits réverbères allumes à moins que ce ne soient de petits orangers, avec leurs fruits.
Au moment où nous entrons, deux Dolly Sisters du cru, mais vêtues, à l'européenne, de robes de ville marron et identiques, chantent en même temps la même chanson en faisant les mêmes gestes musique à couplets et à refrain, qui n'a d'oriental que sa rigoureuse monophonie.
Après ces deux fausses jumelles, nous voyons apparaître un jeune hom-
Pour aider ks jeunes artistes
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Un comité vient de se former, « L'Initiative musicale », en vue de grouper et d'aider des artistes français jeunes et de réel talent et de les faire connaître du public. Ce comité, composé de la baronne de Langlade, de Mmes J. Kulp, Albert-Guillaume et Magda Le Goff; a l'intention d'organiser cinq concerts qui seront .consacrés aux œuvres inédites de jeunes compositeurs interprétées par des chanteurs jusqu'ici inconnus. L'Initiative musicale leur servira, en quelque sorte, d'impresario bénévole. Le premier concert aura lieu demain vendredi, chez Mme Kulp.
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L'IMPOSSIBLE M. BEBE Le premier film comique de Katharine Hepburn Pour la première fois dans L'IMPOSSIBLE M. BEBE, qui sera projeté demain aux Miracles-Lord Byron, Katharine Hepburn tient un râle franchement comique. Il faut dire qu'elle a enfin trouvé le râle de ses rêves une Jeune fille moderne, vive, capricieuse, et, surtout, gale.
Elle n'est du reste pas la seule dans ce film, à s'amuser et à nous amuser. Cary Grant, devenu grande vedette depuis CETTE SACREE VERITE, l'ineffable chien Asta, et un bébé léopard du nom de Nissa se partageront avec elle les éclats de rire du public.
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CET APRES-MIDI
CE SOIR
me en veston et coiffé d'un tarbousch c'est le « chanteur à voix ». Celui-là fait entendre un vrai chant de sa race, une de ces mélopées plaintives et ornées, qui se chantent avec des alternances de statisme vocal et de brusques gutturalités qu'on dirait provoquées par une obstruction soudaine, avec de souples vocalises dans le médium, puis, dans un registre plus aigu, des simulacres d'efforts aboutissant à une courte arabesque brusquée. Chant bizarre, que j'ai si souvent, si longtemps écouté, si curieusement observé soit à Brousse, près de la Mosquée Verte, où un vieillard vêtu de rose chantait, au milieu des colombes, d'une voix encore charmante, soit à Tunis, en entendant un des meilleurs chanteurs du Bey, soit sous les palmiers de Biskra ou dans des bouis-bouis de Constantine, comme aussi au Caire, il y a quelques années, alors qu'un congrès de musique orientale réunissait les meilleurs virtuoses de l'Islam, et à Fez, où l'aimable et savant M. Vicaire, dont les tendres soins veillent sur les trésors du Musée arabe, avait bien voulu assembler tout exprès pour moi d'habiles musiciens qui, sous son patronage, se consacrent à ressusciter la vieille musique andalouse. Chant compliqué, mystérieux, plein de particularités étranges et secrètes, dont la sempiternelle uniformité me rebute et me lasse, mais dont la difficile technique offre. un intérêt constant et ne tarderait pas, j'en suis sûr, à me passionner si je commettais l'imprudence de mettre le nez dans ses problèmes. Après le chanteur, ce fut le tour d'un couple de danseurs qui n'avait rien d'égyptien ni de musulman et semblait venir tout droit de l'Europe centrale, puis d'une danseuse plus européenne encore, qui, armée d'un grand éventail en plumes vertes, se livra éperdument
SUR LA COTE D'AZUR Jacques Séverac vient de termtner à Saint-Tropez les prises de vues de « Firmin le Muet de SaintPataclet ».
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Lucien Guldlce achevé actuellement son deuxième scénario Intitulé « Quand la terre se vend », et qui sera tourné sur la côte des Maures. Quand ce film sera réalisé, 11 a l'intention d'adapter son roman «>Xes deux morts de Saint-Tropez », qui sera entièrement tourné sur les lieux mêmes où se déroule l'action. Car Lucien Guldlce est originaire de Saint-Tropez et 11 aime à situer ses personnages dana un pays et une ambiance qui lui sont également chers.
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4 ème SEMAINE TRIOMPHALE RAMUNTCHO
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1-
BROADWAY «-^ÊKS?1- Trois gangsters au village et
Charivaris
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Broadway Melody 38
et
Douille 25/35
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Le Tigre du Bengale
CINE OPERA
Rue sans issue
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GAlTE ROCHECHOUART On demande une Etoile et
Forces des Ténèbres
CAITE CLICHY
Romance burlesque
et
Le voilier maudit
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1 .1 ET LE GRAND ORCHESTRE dir. r. blareau
SHEHERAZADE Yolanda, Mlrova, Orchestre Cossta. SKATING DE PARIS Matinée et soirée.
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VACHE DANS LA CAVE (1, rue Balzac). F. Dally. CIMiiMAS
Films parlant français.
AUBERT ♦ 12 h., 0 h. 15 L'Affaire Lafargc. CAMEO 15 h., 17 b., 21 h.: Le Tigre du Bengale. CESAR 4 14 il à 1 h. 30 du m. Le Tigre du Bengale. CINE L'AUTO ♦ 10 b. à 24 b. 30 Désir.
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GAUMONT :♦ 15 h. à 1 h du matin Quadrille. IMPERIAL ♦ de 10 1 h. du m. Orage.
LUTETIA ♦ 14-19 h. S., 20 b. 30: Mollenard. MADELEINE ♦ 12 h. à 1 b. du ni. Naples au baiser de feu. MAILLOT-P. ♦ 14-24 h.: Yoshiwara. Si tu reviens. MARIGNAN ♦ 14 11. à 1 h. du m.: Les Gens du voyage. MARIGNY 14 h. a 10 n. S., 21 h. Chéri Bibi. MARIVAUX ♦ de 10 b. à 2 h. du m. Hercule. KiAX-LINDER ♦ de 12 à 2 2 b. du m. Prison sans barreaux. MOZART ♦ 14 b., 20 h. 45 Mollenard.
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BIARRITZ ♦ M h. à 24 b. 40 La Joyeuse Suicidée. BONAPARTE: 15 h. S., 21 h.: Broadway Mel., Douille 26/36. BROADWAY 15-19 b. S., 21 h. Charivaris, 3 Gangs au vill. CHAMPS-ELYS. + 14 30-0 h. 30 La Vie, l'Art et l'Amour. CINE-OPERA ♦ 15 à 19 h. S., 21 h.: Rue sans iS3ue. COURCELLES 14 h. 30, 17 h. S., 21 h. La Grande Ville. ELYSEES-CINEMA ♦ t à 24 i h, 3 Jeunes filles à la page. ERMITAGE i h. 30 à 1 h. du mat. Folle Confession. GA1TE-CLICHY ♦ 14-24 h.: Voilier maudit, Rom. burlesque. GAITE-ROCH. ♦ 1 h. 30 à 20 h. S., 21 h. à 3 h. du mat.: On demande une Etoile, Force des Ténèbres.
à des torsions et ondulations aussi félines que conventionnelles, au son d'une valse probablement viennoise, mais jouée à l'unisson et ponctuée de coups de cymbales. Et, enfin, on joua une opérette en un acte, égyptienne celle-là. Car il y a en Egypte actuellement une tendance très marquée vers l'opérette, mais on veut y créer un art autochtone de l'opérette. L'éminent doyen de l'Université du Caire m'a beaucoup parlé de cela, il y a quelques jours, et des conseils qu'il donnait aux jeunes musiciens « Familiarisez-vous, leur dit-il, avec les procédés de la musique occidentale, qui conviennent seuls aux sujets modernes que vous voulez traiter, et adaptez-les à vos inspirations natives, etc. »
Dans l'opérette de ce soir, on sent un désir évident de s'écarter des formules orientales on ne les retrouve ni dans les contours mélodiques de ce qui se chante, ni dans le rythme des accompagnements. Mais l'auteur de cette musique ne connaît rien, évidemment, de ce qui constitue notre art musical. De temps en temps, comme je l'ai déjà remarqué, une basse vient situer l'harmonie, parfois même quelques notes forment un accord, mais je me demande, si ce n'est pas le pianiste, vraisemblablement grec, qui prend sur lui ces heureuses libertés. Le livret est on ne peut plus simple une jeune fille de famille bourgeoise est appelée à choisir un mari ses amies, vêtues, comme elle, à l'européenne et au nombre de huit, sont rangées quatre par quatre sur des chaises de chaque côté de la scène dans le fond se tiennent trois domestiques. Un à un, paraissent les prétendants. Entrées burlesques. Chacun décline en chantant ses qualités, ses mérites et déclare son amour. Mais la jeune fille
PETITES NOUVELLES ^•L'artiste allemand Karl Ludwig Diebl vient d'être engagé par le producteur de Alerte en Méditerranée, pour tourner le rôle d'un officier de marine allemand, aux côtés de Pierre Fresnay qui incarnera un lieutenant de vaisseau français. Enfin une grande vedette anglaise a été sollicitée pour interpréter un rôle d'officier anglais. Paul Cambo, le créateur d'Oreste à la scène et de Ramuntcho à l'écran, vient d'avoir la douleur de perdre son père.
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HELDER ♦ du 12 Il, ù 2 h. du m. M. Dodd part p' Hollyv*, MARBEUF + 14 30-19. S., 21 h. S. Lang s'év., Night CI. sa. MIR.-LORO-BYRON + 14 h. à 1 11. du m. C. sacrée vérité. OLYMPIA ♦ 10 h. à 1 Il. 45 du m. Hurricane. PAGODE ♦ 14 30 à, 10 80, S., 2} Hv 6 heursa-à terr». PARIS ♦ 14 h. 30 à 1 h. du m. Marie Walewska. SAINT-DIDIER: f 14 à Si h.: Laurel-Hardy au Farworat. SCALA ♦ tx' h.-2 h. m. Voilier maudit, Voix qui accusa STUDIO-28 15 Il., 17 Il., 21 h. Trompette-Blues. Film parlant allemand.
ST.-ETOILE « 14 30-21 n. On a arrêté Sherlock rlohnft* Film parlant russe.
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PARIS-SOIR (Ch.-Elysées) ♦ 10 h.-i h. du m.: Fossette Le signe ♦ signifie permanent.
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` '~II
«RASPOUTINE»
DEVIENT
« LA TRAGEDIE IMPERIALE s? Afin d'éviter toute confusion avec les films que la vie de Raspoutine a déjà inspirés, M. Max Glass, pro- ducteur, a décidé d'intituler celui que Marcel L'Herbier vient de réai User La Tragédie Impériale. Ce titre est d'ailleurs justifié, l'œuvre de Marcel L'Herbier ne se bornant pas au récit de la vie du moine scélérat, puisqu'elle retrace en outre les grandes dates et les épisodes marquants du règne du dernier des Romanoff.
Le prochain Jacques. Feyder, Le metteur en scène de Les gens du voyage vient de terminer, en collaboration avec Charles Spaak, un scénario original intitulé Aux enfants de la marine et qu'il réalisera prochainement en France. La vedette féminine de ce fllm sera Françoise Rosay.
mm^ cotes
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"[)E. C R'ÂN il
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+̃ A l'Ermitage, 10 heures, pré*
tentation corporatiue de Les Gangster* de l'Expo (Francia-Belgia).
♦ Au Madeleine, à 10 heures, pré* sentation corporative de Voleurs d<| Femmes, d'Abel Gance.
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e Au Club Cinégraphiguc 32 (salld F.I.F.), à 21 heures, projection de J'ao cuse, film d'Abel Gancc.
♦ L'avion de Minuit, que Dimitrl Kirsanoff va réaliser d'après le roman de Roger Labrlc, aura pour interprètes Jules Berry, André Luguet, Co» lette Darfeuil, Abel .Tacquin, Le Vigan. Yvonne Rozille et Ginette d'Yd. peee*ee- *-«
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Les Gens du Voyage IMPERIAL
ORAGE
NORMANDIE
RAMUNTCHO
les repousse les uns après les autres et aussitôt les trois domestiques les empoignent et les emportent, tandis qu'ils se débattent en gigotant. Cela se reproduit quatre fois, la jeune fille toujours debout au milieu du salon. Le texte (entièrement chanté)] doit être fort comique, car les spectateurs s'esclaffent. Enfin, paraît un cinquième prétendant c'est le chanteur à voix de tout à l'heure il débite un air amoureux, et la jeune fille, charmée, l'accepte après avoir, à son tour, Ion» guement, très longuement chanté. Les amies se lèvent, les soupirants éçon« duits rentrent, tout le monde chante un chœur d'allégresse, et voilà. La jeune fiHe, qu'on me dit être l'épouse du di« recteur et dont le talent semble fort apprécié, est certainement la femme la plus grosse que j'aie jamais vue. Jeune et d'une figure agréable, elle atteint au summum de l'obésité. L'Alboni, à ses côtés, eût fait l'effet d'une sylphide. Ellô chante sans gestes, d'une voix timbrée et avec de légers trémoussements.. Comme ce spectacle, cette musique et peut-être aussi les whiskys dont nous les avions arrosés nous avaient un peu creusé l'estomac, nous avons fini la soi*rée dans un restaurant italien. Là, il y avait trois musiciens, italiens aussi, deux violonistes et un guitariste qui, avec ces fausses basses dont les musiciens italiens ambulants possèdent seuls le secret, jouaient ce que tous les musiciens italiens jouent depuis quarante ans et joueront jusqu'à la fin dtt monde dans tous les restaurants italiens Santa Lucia et O Sole mio* C'était atroce. A côté de cela, ce qu'on entend dans les plus mauvais cafés* chantants arabes, c'est vraiment la mu* sique du Paradis Reynatdo Hatin*
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Conseils aux sportives Sachez préparer vos muscles "̃•••: et réparer vos- forces ^4
SI l'exercice est une chose nécessaire, les sports, violents ou non, qui en sont les formes les plus actives, sont dans certains cas, en même temps qu'un grand plaisir, un réel bienfait pour l'organisme. Conditions pour faire du sport avec profit.
Il faut y entraîner le corps progressivement et préparer les muscles, avec méthode, à l'effort que nécessite une action continue, parfois violente. Le massage sportif.
Le taassage sportif est l'élément idéal pour réaliser la préparation aux sports, de plus, il a le grand avantage de permettre l'obtention d'effets très différents suivant la technique employée. Il peut stimuler les muscles, les décongestionner ou les défatiguer, et enfin il peut agir comme un calmant.
Pour les débutants.
Chez les êtres qui n'ont jamais fait d'exercices physiques, les tissus adipeux augmentent de volume, les tissus fibreux se développent au détriment des fibres musculaires, le muscle s'en trouve gêné et a tendance, suivant le cas, à dégénérer, plus ou moins Là, le massage stimulant interviendra, il sera pratiqué, les mains enduites d'huile d'amandes douces, il comprendra un effleurage, d'abord doux, puis, ensuite, un pétrissage à pleines,mains (modelage), en vue d'activer la circulation du sang et de la lymphe et de mobiliser les adhérences membraneuses ou fibreuses résultant de l'inaction prolongée du muscle.
Pour ceux ou celles qui s'entraînent et en ressentent des courbatures.
Il sera pratiqué le massage décongestionnant et défatiguant, effleurages légers, pendant un temps assez prolongé, ensuite effleurage bien plus profond, mais toujours en souplesse et non en force, il se terminera à nouveau par un effleurage léger, il sera fait avec de la poudre de talc ou de l'embrocation. Pour les champions.
Les muscles des champions ou championnes sont rapides et' souples dans leurs réflexes, ils ne sont pas gênés par les tissus adipeux, alors réduits au minimum, par cela même ils fournissent,
Un rouge gras, en crème très fluide, base d'oxycéritol. Ce rouge existe en deux tons pour blonde et pour brune. Il s'étend très bien, ne sèche jamais et convient, parfaitement aux épidémies délicats, notamment aux peaux sèches. Ce rouge,. bien que très gras, n'ouvre pas les pores de la peau.
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sous l'effet de l'émulation, un1 travail' parfois considérable allègrement supporté par les muscles, mais, le système nerveux, lui, s'en trouve souvent tellement surmené qu'il en résulte pour le champion un état d'extrême excitation, qu'il est nécessaire de calmer, sinon une dépression nerveuse peut succéder à cette excitation et entraîner une dépression musculaire. La femme et l'homme surentraînés trouveront dans le massage et l'hydrothérapie des calmants de choix. Ce massage consistera en un effleurage très léger, fait au talc, sans que la main exerce aucune pression en profondeur, et la séance se terminera par une friction au gant de crin, imbibé d'eau de Cologne.
Les rayons infra-rouges appli- ` qués aux sportifs.
Les rayons infra-rouges, en applications deux ou trois jours avant une épreuve sportive, augmentent d'une façon extraordinaire la résistance et l'endurance du sujet qui s'y soumet. Fait après une rude épreuve sportive, ces rayons supprimeront la dépression nerveuse et la fatigue qui y sont parfois inhérentes. Enfin les rayons infra-rouges donnent des résultats merveilleux, appliqués aux accidents sportifs, entorse, traumatisme. ils les guérissent souvent en un laps d'heures extrêmement brèves. Bien entendu, ce traitement étant loin d'être empirique demande à être préconisé en connaissance de cause et par un médecin.. ̃ ̃' Lorsque les tendons sont irrités. Le massage rendra lui aussi de grands services en cas d'accidents sportifs et en particulier s'il y a irritation d'un tendon, à la suite d'un travail intense, et, chaque fois qu'un muscle atrophié ou passagèrement lésé aura besoin de retrouver vitalité et élasticité.' '̃̃ Pour rester toujours dans une « forme parfaite ».
Les sports seront d'autant plus bienfaisants pour l'organisme, qu'ils seront étayés par un massage technique et intelligent, contribuant à garder les muscles dans une forme parfaite, réduisant la fatigue et la dépression nerveuse à son minimum, et, restituant à l'individu un équilibre physique et nerveux de plus en plus stable.
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constituant un traitement complet de la peau la, première est une crème de nettoyage qui nettoie la peau bien mieux que le savon, la seconde est un aliment régénérateur des tissus fortifiant et nourrissant les coucnes souscutanées, elle peut être employée en application ou en màssctge léger cette crème est si fluide que les doigts la manipulent sans tirailler la peau; enfin, la troisième est une crème de beauté parfaite comme base de maquillage et pour tenir la poudre elle existe en plusteurs teintes.
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SOUS LE SIGNE DU TAILLEUR 1
Le taijlèur est Io -vêtement de prédilection des femmes modernes minces et sportives. Aussi Fi'eddy, couturier jeune et sportif, a-t-il choisi de présenter des .modèles répondant à ce style tailleurs, manteaux, jupes-culottes et même, pour le sport, pantalons, etc.
La gamme est coniplète, depuis le costume classique en tissu mas-. culin jusqu'à celui du matin, plus clair et plus sport ». Avec ou sans revers, les vestes sont toujours sobres, les jupes étroites et courtes, avec quelques plis pour la marche, et les jupes-culottes, habilement masquées par des panneaux ou des plis.
Le bleu domine, un bleu pastellisé, marié doucement avec des carreaux,, avec des rayures multicolores de tons vifs. Toutes les combinaisons de couleurs son variées l'infini. La belle coupe sobre reprenant ses droits fait que chaque costume reste dans sa par- faite et fraîche élégance, absolument .classique.
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:.♦.̃ .v; ̃
La perfection de coupe réputée- de Jérôme trouve l'occasion de s'exercer, cette saison, dans un grand nombre de tailleurs à la fois classiques et très jeunes d'allure. Ear un jeu presque invisible de pinces; et de coutures, elle assure à toutes ses jaquettes un dessin élégant et svelte, la ligne de la taille restant souple et point trop ajustée. Les combinaisons d'unis et de rayures, ou dé pied de poule de petit ou grand modèle sont utilisées de plusieurs façons, toujours heureusement. Le boléro très court voisine avec des jaquettes longues. Jérôme a aussi prévu pour Paris de confortables et élégantes redingotes noires ou bleu marine, si pratiques à porter lorsque l'on
Du côté des renards « En avril, ne te découvre pas d'an fil », dit le proverbe.
Désespoir instantanément apaisé, en entrant aux Fourrures Jlaurioe. Nous voila au royaume des renards argentés.
Maurice les accommode en capes, en boléros, en mantelets, tous d'une somptuosité rare, d'une coupe souple et nouvelle, comme ce « Volute » boléro dans lequel les renards semblent se courber comme des plumes.
De petites vestes, si pratiques pour le soir, avec leurs manches travaillées en biais, des manteaux longs, appuyés à la taille où viennent mourir les têtes dans un. cf-. fct très amincissant, sont autant de réussites.
Les vestes d'agneau gris sont incrustées de. daim bleu, celles d'agneau noir* s'accompagnent dans le même esprit de cuir verni.
Une invention, un travail dignes des métiers anciens ressortent de cette riche collection. Le s»estc ne serait pas si joli, qui em"nitoufle ou découvre les épaules, si pour le provoquer Mauriue
abandonne la fourrure, et des ensembles, robe et manteau, éclairés de blanc par des détails de broderies ou un gilet indépendant en piqué de soie. -•̃•̃. Pour les 'croisières, les vacances,
le principe du deux-pièces de jersey, qui peut être porté sous un grand manteau de lainage, trouve de nombreuses applications légers et frais, ces ensembles se glisseront facilement sous ces grands manteaux de tweed ou de poil de chameau, d'une coupe très droite, dont la carrure est accusée par des effets de plis cousus et le côté pra- tique par de multiples poches à rabat. JEROME
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̃ ̃ ♦ • ";>̃
Etre chic, .pour une femme, con- .siste à porter la robe qu'il faut • à chaque heure- -et à chaque circonstance.
C'est ce que Mme Jibé a si bien
compris. Son choix, si jeune et si net, de petites robes de lainage s'est augmenté, ce printemps, de tailleurs; ̃ conçus dans le: même esprit clas- sique. Mme Jibé les agrémente souvent de détails qui, n'enlevant rien à leur sobriété, les rend plus féminins, plus personnels. .L Les mélanges de tissus, les carreaux, les unis sont employés pour les tailleurs sport. Le noir, parfois garni de singe, fait des costumes .plus habillés. Pour l'heure du thé, j'ai vu des redingotes en gros cloqué de soie de tons, clairs, à porter sur de charmantes robes de crêpe uni ou imprime.
Du pur classique à la fantaisie,
Mme Jibé a animé sa collection de l'esprit le plus alerte et le plus parisien.
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n'avait allié le soin de l'artiste à la splendeur de la matière.
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Elégance et déshabillés Quelle marraine-fée a comblé
Suzanne Joly? Nous entrons, chez elle, dans un royaume de transparences.
Est-ce le miracle de ces man-
teaux mousseline de soie blanche posée sur une chemise de satin bleu ?
Ou, inversement, du manteau
de bure de soie blanche, à ceinture multicolore posé en contraste sur une ample robe de mousseline froncée.
Suzanne Jolv crée elle-même `
ses tissus, cherchant avec nu soin jaloux la perfection de la matière et celle du ton..
Enfin, on ne finirait pas de parler des broderies, de leur- dessin, de leurs coloris; de leur réalisa- r tion, et encore, on pense aux fées, Suzanne Joly, j'en suis sûre, est leur amie préférée. ,•
̃ SUZANNE .JOLY- ̃
372, rue Saint-Honoré
.ET TAILLEURS
I
JEUDI 17 MARS 1938
LA RAblO
Ou s'ennuie trop souvent sur les ondes d'Etat. Toutes les hypothèses se perdent, plus ou inoins vérifiées, ̃sans amélioration. Un exemple les émissions, de lundi soir, à la Tour 'Eiffel. Mélodies tristes, pièces pour piano sévères, transmission du Triton désespéré (avec des piz?icat.i de violoncelle gros comme si les cordes étaient des câbles), le Triton coupé par un entr'acte consacré à. Gambetta connu par ses lettres. C'est incroyable, mais vrai. Pour résumer, dans ces quatre heures mornes, on n'a pu retenir qu'un quart d'heure acceptable, Je récital de clavecin de Mme Coradine Mola. C'est un peu court. On en est réduit à bondir sur les postes privés pour avoir un peu d'air. P.-D. T. Jeudi 17 mars
ORCHESTRE
15 h. 15. NATIONAL ANGLAIS Orchestre municipal de Bournenjo.uth (Rachmanirioff; Mozart,' Ravel)." 1
16 h., BERLIN Symphonie en mi bé- mol CMozart).
18 h. 10, HAMBOURG Concert (de Falla, Grieg, Tchaikowsky, R. Korsakoff, Chabrier, Liszt, Joh. Strauss).
18 h. 40, NATIONAL ANGLAIS Concert H. Wood,' sous la direction de l'auteur. 19 h. 30, NORTII REGIONAL Concert sous la direction de M. Thomas Beecham (Brahms, Mozart, Delius).
20 h., HILVERSUM Orchestre du Concertgebouw sous la direction de M. Bruno \Valtcr (R. Strauss, Krenek. Brahms)-. 21 h. 30, LUXEMBOURG.: Festival Beethoven.
21- h. 35. PRAGUE": Compositions dr Krenek et de D. llfilhaud.
MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 14 h. 45, RADIO-PARIS Piano et mé- lodies.
16 h. 15, TOUR EIFFEL Mélodies (de Falla. Manuel," Pierné', Dclannoy). 16, h. 20, COLOGNE Musique contemporaine allemande.'
16 h. 30, TOUR EIFFEL Concert avec Mlle Radisse, violoncelliste, J. Doyen, pia-
niste.
17 h. 20,' KOENIGSBERG Récital,de piano (Mozart, Brahmfs
18 h. 30, PARIS P.T.T. Concert d'or-
cite.,
gU20 h., MUNICH Concert U- S. Bach, Mozart).
20 h., TOUR EIFFEL Piano et chant. 20 h. 15, RADIO-PARIS Mélodies. 20 h. 30, STUTTGART Fantaisie en ré mineur Sonate en si bémol majeur pour deux pianos (Mozart). 21 h. 20, POSTE PARISIEN Vedettes internationales Quatuor Lenner.
21 30, DEUTSCHLAND Petite sonate pour violoncelle et piano (Buson). MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 11 h. 45, PARIS P.T.T. Jo Bouilion e" son orchestre.
14 h. 30 Emission enhantinc.
20 h. 30, BORDEAUX-LAFAYETTE Musique variée.
20 h. j0, LILLE P. T. T. Soirée de gaité et fantaisie.
21 h., RADIO-CITE Les aventures du capitaine Benoit, adaptation radiophonique d'Yvan Noé.
21 h. 10, POSTE PARISIEN Edition Spéciale (Diamant-Berger).
OPERA
20 h., ROMK Carmen, opéra de Bizet. 20 h. 15, RADIO-PARIS Manon, de Massenet.
THEATRE
17 h., RADIO-PARIS Matinée classique La jeunesse de Henri V, comédie en trois actes' en prose d'A. Duval.
20 h. 30, MARSEILLE: Le Printemps des autres, pièce en trois actes de J.-J. Ber-
nard.
ECOUTEZ CE SOIR à 20 h., retransmis par Radio-Cité, du Cinéma Normandie La troisième soirée parisienne 1938 offerte par les Grands Magasins du LOUVRE, présentée, par Jean Grauicr. avec le Concours de la plus belle robe et la Parade des Chansons à succès. (2.000 fr. de Prix aux auditeurs 1) et en première partie Robert Burnier
AU TREMBLAY
Réouverture
C'est un lieu commun de dire que Fou a toujours du plaisir à se retrouver nu Tremblay, justement apprécié pour la beauté de ses fleurs et pour l'excellence de ses pistes. Nous avons ainsi goûté, hier, ce plaisir, en dépit d'un programme un peu maigre, mais qui est dans l'ordre des choses et auquel il faudra bien nous habituer Un second plaisir nous est venu de In victoire, dans l'épreuve la plus importante, des couleurs particulièrement sympathiques de M. Courtois, véritable sportsman, comme on en voudrait de nombreux. Son bon cheval Sirtam a, en effet, battu très nettement à la fin. dans le Prix du Bois U011dran, Lavardac, représentant de 'IVutrainemenl liariller, dont la forme acliu-llt: esl éblouissante. Et, tout en féiicilanl Sirtam. force nous est bien de reconnaitre que, dans la circonstance, la plus belle est celle de Ijivardac, qui rendait une année et deux kilos à son adversaire. M. Courtois lui-même sera de notre avis.
Par contré, la rentrée .Ican Prat a étii moins heureuse. Elle présentait le trio Ghysaline, Mistanflute et Bpenor, Aucun des trois n'a figure à l'arrivée. Ce n'f^st pas dans les habitudes de la maison. Tenons donc le trio pour mauvais. Trarieux.
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MOTS CROISES
Horizontalement, r– I. Souhaits de pédants. II. Fabuliste grec Parfum extrait d'une valérianacée. III. Pronom Rude IV. Manière d'exprimer. V. Famille royale d'Ecosse et d'Angleterre Fortement charpenté. VI. D'une locution italienne qui veut dire « sans exceptions» Première et dernière lettre du titre abrégé d'un ancien réseau Sur un cadran VII. Assentiment celtique; Initiales d'un dramaturge et poète français né à Xîmes (1872-1922) 'Ouït le serment d'un très habile archer. VIII. Deux lettres de « Quimpcrlé » Article arabe Se servira. IX. Indésirables pour les Boërs. X. Planche de soutien Epoque. XI. Feras un geste auguste; Sans nom, j^iais numérotée en Amérique.
Verticalement. 1. Gens. 2. Evénement qui peut se produire d'un moment à l'autre. 3. Note Souvent entendu au cours d'une partie de tennis Répété, c'est un instrument de musique chinoise. 4. Abréviation qui évite des répétitions Prénoms féminin. 5. Janus pouvait en être triplement jaloux Passa au tamis. 6. Se
Vendredi 18 r.iars
20. h.. 30, RADlO-l'ARlS Théâtre. J Résurrection, épisode dramatique ni cinq actes et un prologue, lire du roman de Toïstoï, par II. Bataille, mise <n ondes par A. Deljcrrière, avec Aimes Saler, Kerva,' Bàtea< Roudey, Fusier, Fontàu, Xocl, Cuisin, Morvalley, Brigua, Vibert, Wanda, Rouscy MM. Delierriir'e, Lacroix, Ilitronimus, Flavilres, Debray", Dumontier, Bonvillkrs, Camys, -Ferval, Courquin, l'itry, Franccy, Eniéric, loyscl,"Baryk. Desme.
2,0 il. 30, PARIS. V. T. T. Orchestre nationai sous la direction de M. Léo Borchard: Symphonie en ré majeur (.Mozart) Troisième symphonie (Roussel) Symphonie n" l {Brahms).. 20 li. 30, TOUR. EIFFEL Musique de chambre par V Association des anciens élève? du Conservatoire avec Mlle Gall, de l'Opéra Mlles Morand, Magtian MM. Bazelairc, Michelin et l'ensemble de violoncelles P. Baselairc Sonate pour dix-huit violoncelles (HendeURonchini) Iphigénie en Tauride (.Gluck) Conccrstuck pour violoncelle! (Schumann) La colombe La nymphe de la source (Busser) Jazz (Karjunsky) L* petit nègre (Debussy).
21 h., RADIO-CITE Vingtième anniversaire de la «tort de Debussy, présentation ff
M. Malherbe.
ORCHESTRE
13 h. 15, NATIONAL ANGLAIS Orcbestre philharmonique de Birmingham (Haèndcl, -Tchaikowsky)'.
14 h. LONDRES REGIONAL Concert d'orchqstre (Rameau, Mozart, Sindinx, kiisager). ̃ ̃
15 h. 45, LONDRES REGIONAL Orchestre B. B.C. (Mozart, Beethoven). '18 h. 40, MUNICH Concert de la philharmonique de Berlin Cinquième symphonie en si bémol majeur (Bruckner). 19 h., VARSOVIE Concert symphonique, sous la direction de M. Ansermet. 19 Il. 30, SUISSE ROMANDE Concert symphonique (Joh. Chr. Bach, Schubert, Beethoven).
20 h., PRAGUE Concert (Schubert Haydn, Dvorak)..
20 h., ROME Concert symphonique (We.ber, Brahms, Cilca, AHano, Bruckpcr). 20 h. 15, -STUTTGART Concerto pour violdn et orchestre (Schumann) Concerto pour piano et orchestre en la majeur (Liszt). 20 h. 30, STRASBOURG Concert Beethoven.
20 h. 45, WELSH Soirée Schubert. MUSIQUE,DE CHAMBRE ET SOLI 13 h. 30, RADIO-PARIS Mélodies par Mme Cimon, de l'Opéra.
16 h. 15, RADIO- PARIS Mélodies (Mozart, Pierné, Ravel).
17 h. RADIO-l'ARIS Quatuor Firmin Touche.
17 h. 10, HAMBOURG Sonate en te majeur pour violon et piano (Beethoven). 1S h. 30, PARIS P.T.T. Mélodies, 20 h. 15, RADIO-PARIS Mélodies (Monteverde, Ilaendel, Schubert, Chausson, Debussy).
21 h. 30, DEUTSCHLAND Sonatine est sol mineur (Schumann).
22 h. 15, LUXEMBOURG Musique de chambre Quintette en mi bémol (Mozart) Deux mouvements (Ibert) Sextuor (Moulaert).
MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 11 h. 45, PARIS. I'.T.T. :-Musique variée.
17 "h., PARIS P.T.T. Musique variée. 20 h.RADIO-CITE Gala des vedettes. 21 h. 30; TOUR EIFFEL Variétés. 21 h. 30, STRASBOURG Une larme du diable, de Th. Gautier. Jeu raidophonique, adaptation de Paul Castan.
opéra'
19. h., FRANCFORT Le Barbier de Séville, de Rossini.
THEATRE
15 h. 30, TOUR EIFFEL Théâtre X .33, pièce policière inédite en trois actes de G. Delamaré, présentée par Art et Liberté, misc en ondes par Mme Siou.
21 h.. POSTE PARISIEN Depuis le Théâtre de la Michixliefe Le valet maître, trois actes et sept tableaux ̃ dé P. Arniont «t
L. Marchand.' ̃̃̃'̃•' '̃̃̃
21 J].. RADIO 37 Depuis le Théâtre lie l'Etoiré :T.'e 'monde' a l'envers.1- • ̃
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trouve. 7. Qui affectent un rigorisJ me excessif du point de vue de la bienséance. 8. Etudier la structure des êtres grâce à la dissection. 9. Cachés Administrer. 10. Ustensiles' de jardinage très utiles pendant l'été. 11. Privé Article.
CITATION A L'ORDRE DE L'ARMEE DE L'AIR Le ministre de l'Air cite à l'Ordre de l'Armée de l'Air les cinq victimes de l'accident du 25 février le sous-lieutenant M.-A, Vieux'le sous-lieutenant J.-E. Bedat, l'adjudant L.-J. Perrin. le sergent-chef O.-R. Giclon, le sergent A'J.-A. Anery, ainsi que le sergent P.-P. Darrieu et le caporal A.-J. La. jet; qui trouvèrent la mort le 1" février.
Grâce aux nouveaux règlements la moyenne horaire, dès le premier jour est en nette augmentation
1La plus importante des améliorations sportives apportées aux vingt et unièmes Six Jours de Païis ̃avait été prévue par l'article II du Règlement «La bicyclette de type course, avec guidon de course et selle de course, est imposée à tfittte heure de ta course, et à l'exclusion de tout autre type de bicr~ctcite. »
L'usage du guidon bas et de la Selle étroite ou, plus encore, la peur du gendarme est-il respon-. sable de ce spectacle jusqu'ici inconnu au cours de la mutinée, tes coureurs ont couvert une heure la moyenne de 18 km. 750, pour totaliser, après 14 heures de course, le nombre respectable de 375 km. 5Q0- contre 288 km. 500, total enregistre en 1936, alors que l'épreuye pour la dernière fois avait été courue sans arrêt.
Quatre-vingt-sept kilomètres d'avance pour quatorze heures de coursc ne représentent que six lulomètres d'augmentation de moyenne horaire mais si les coureurs conservent leurs excellentes intentions jusqu'à la fin de la course, l'équipe gagnante aura couvert 4.242 km. 816, total impressionnant qui aura été dépassé à Paris par Gonllet-Fogler en 1913 (4.467 km. 580) et Hourlicr-Comés en 1914 (4v228 km. 50) et, naturellement, par leurs adversaires, dont les plus mal placés n'avaient été distances <}nc de deux kilomètres
Les coureurs ont apporté une telle ardeur à fignoler leur travail, qu'ils en ont éprouvé le besoin de faire de la « bagarre» devant les
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LES 2\a SIX JOURS CYCLISTES DE PARIS
banquettes, bien avant la série des sprints de 15 h, 30.
A ce jeu, Kaers, Billiet, Bautz, Wcngler, Wals et de Kuysscher furent les plus brillants.
Le Danois Stieler, seul en course après l'abandon de son coéquipier Christensen blessé an cours de la première nuit et transporte à l'hôpital avec %ne double fracture du poignet est, lui aussi, fort à l'aise, ainsi qu'il réussira à l'affirmer dans la première série des sprints de l'après-midi.
Retardés en raison d'une chasse, ces sprints furent successivement gagnés par Wals Billiet, Kaers, Stioler et Kaers, ce dernier affirmant une supériorité indiscutable chaque fois qu'il voulut s'en don-
ner la peine.
Après les sprints, trois équipes formaient le groupe de'tête: KaersBilliet, de Kuysseher-Pélissier et Ignat-Diot, qui, après 17 heures de course, avaient couvert 469 km. 050 et possédaient 136 km. 050 d'avance sur le kilométrage de 1936.
La deuxième série de sprints Les coureurs poursuivirent courageusement leur travail jusqu'à la deuxième série de sprints, c'està-dire jusqu'à 20 heures.
Diot, Girard et Boucheron furent les vainqueurs des trois premiers mais Kucrs et Billieet s'adjugèrent les deux derniers, avec leur facilité habituelle.
Sur le bord de la piste, appuyé an montant d'une, guitoune, Christenscu, un bras eu- écharpe, regar-
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dait tourner ses camarades la piste du Vélodrome d'Hiver n'est guère favorable au, Danois, qui, déjà dans une américaine avait fait connaissance avec les lattes du plancher et perdu une grande « plaque » de son épiderme.
Cinq équipes en tête après les sprints de 22 lu 30
Jusqu'à la troisième série de sprints, les chasses fanent- nombreuses, dans lesquelles Kaers, Billiet, de Kuysscher et IgnaJ. furent les plus brillants mais Van Kempen, l'ellevaars, Pipnenburg et Wals fournirent de gros efforts; et, après les sprints gagnés par de Kuysscher, Lesueur, Pellenaars, Boucheron et Kaers, cinq équipes étaient en tète: Kaers-Billiet, de Kuysscher-C. Pélissier, Van Kempen-Pcllcnaurs, IgnatDiot et Wals-Pipnenburg^
Après les sprints, l'intérêt de la soirée était assuré, durant quoique temps, par l'audition de chanteurs amateurs désireux d'éprouver « le crochet ».
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Monte-Carlo, 10 mars. (Correspondance particulière.) Prix Enrico VlKuno, deux distances, vingt-six tireurs 1. Mine L. Vacher (24 m.), M. Warren (28 m.), marquis del Sera Finschi (24 m.), Strassburger (28 m.) 7 sur 7 5. R. de Thézy, Goncette, Gemct (24 ni.), G. lialeli (28 ni.) G sur 7. Poules «années par M. Baslu, Itoux, Faustini, Nesa.
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LE TOURNOI DE TENNIS DU T. C. FRANCE
UN BEAU SUCCES DE H. PELLIZZA DEVANT BENI BERTHET
Le fait saillant de la journée d'hier, au tournoi du T.C. France, est la victoire de Hituri Pcllizza sur le joueur de première' série Béni Bcrthet, victoire acquise bvMIamment au troisième set, après une lutte acharnée dans les doux premiers. Plar ce succès, Henri Pollizza déjà vainqueur du Critérium peut fonnaixient espérer gagner sa place en premifcne série, à la promotion d'avril.
Outre Me fiait, il est plusieurs 'résultais à signaler. Dans le simple mussieurs, celui de Dubois qui mit en grande' diiiïoultc Van Suu et celui de Max Combemale qui se défendit re- marquablem eut devant Jacques Weiss. j Dans le sitmple dames, Mme Cahier qui, préc isons-le, fut une des finalistes du treurnoi de propagande du Fiaaro, l'an, dernier a fait une très belle partie contre Mlle Pannctier. Celle-ci d'atf>lteurs rendit un hommage j particulier A la valeur de sa rivale en réclamant pinsieurs fois contre des dé- cisions de l'arbitre, amenant même ce dernier, lassé, à quitter sa chaise. Simple messieurs. -r- Premier tour final M. Cnmjjemule b. Po'gnon, 6-2, ii-2 Van Saiii b. Dubois, 6-8, 6-U, 7-5; Goldschmidl ht Aldcbert, (i-2, ti-1. Deuxième ftour J. Weiss b. M. Combemale, 6*1, l-(i, 6-4 Jamaln 1). Van Sau, 6-1, H-0 H. Pcllizza b. ». lfcrtbet, 1-6, 7-i>, 6-0 Goldschmidt b. Lips, 4-6, 6-3, £-3.
Simple darne*. Premier tour Itnul Mlle Pannetiej- b. Mme Gallier. 7-5, 6-X Quarts dp finale Mme Lebailly h. Mme Lalïarqun, 6-0, 6-4 Mme Klei- nadel h. Mlle Lapldouze, 6-1, 8-0 Mlle Pànneticr b. Mme Laugaïuty, \v.-o. Double messieurs (tableaux de progression). Flijiale Knosche-Coiffier b Papillon-Dutiois, 6-1, 7-5.
Tableau final. Quarts de finale
̃ Gulcppe-Martin Legeay b. Legusse-
Slei-cks, 7-5, 6-U.
Doub.e mixto (tableaux de progression). Finale Mme Rochc-Favlère
!1). Mlle Duhayoïi-t-ips, 6-3, S-6 Mlle
iLapidouse-dc la Cnoueé b. Mme el M. 'Levasse, 6-4, 6-1.
Tableau final; Quarts de finale' Mme Hulff-Fére* b» Mlle C. BertraridHouinson, 6-1, S-6.
Les convocations
d'aujourd'hui
VI heures MlSe Bœufvé-J. Sunglier c. Mme Galticr-Du Laurent. é
12 h. 30' Mme Bower c. Mlle Pannetler
13 h. 45 Weiss e. Andrieux.
14 h. 45 Féret c H. Pellizza, Mlle Mcllcrio-Dessair <î. Mme Galtta-D, Laurent ou Mlle UaEMifvé-Sanglior. 16 h. Jamitin c. Roux.
16 h. 30 Mme Lebailly-Bolclll c.
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1!) h. Mlle Pannetier-Berthet c. Mlle Lapidouse-de la Crouée.
Q
Le C.I.O. maintient Tokio pour les Jeux de 1940 Le Comité international olympique qui tient actuellement, comme on le sait, une session générale au Caire, a décidé hier que les prochains Jeux olympiques auraient bien lieu à Tckio. La date a été retenue, du 21 septembre au 6 octobre 1940, à cause des conditions climatériques spéoiales du Japon.
Pour assurer cette décision, le C.I.O. a déclaré que le Japon, malgré les événements présents, restait en complet accord avec la Charte olymoique. .Et la requête du Dr Wang, délégué de la Chine à l'assemblée du Caire, tendant à la désignation d'une autre ville que Tokio, n'a pas été retenue. L'ACTIVITE SUR LES LINKS Au Golf de Fourqueux
Médaille dames. 1. Mme R. Lévy (26), 75 2. Mlle Lcsieur (24), 77 :t. Mme Domaine (11), 78 i. Mme liouillet (20). 83 5. Mme GobinDaude (28), 86.
Ont également pris part à l'épreuve Mme Pervana, Mme Piat, Mme Sabouraud, Mme H. Bidault, Mme Desombres.
Nouvelles de tous les sports BASKET BALL. Un tournoi international sera disputé, les 9 et 10 avril, au Sportpalast, a Berlin, auquel participera une équipe française.
FOOTBALL. Les membres du Comité directeur de l'Association Argentine ayant déoidé de voter pour l'opportunité de convoquer une assemblée générale, ce vote n'a pas obtenu le nombre de vo'X indispensable à la réalisa.tion de ce projet.
Il semble bien que l'Argentine ne participera pas à la Coupe du Monde. SKI. Sur la piste de Planicka, l'Autrichien Bradl a battu, officieusement, le record du monde de saut, franchissant 107 mètres.
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La tendance reste ferme sur le marché de la voiture d'occasion, tes prix se maintiennent, encore que les transactions se soient un tniititicl ralenties, conséquence inévitable de la saison. Mais que le soleil se maintienne et ce sera l'envolée habituelle.
Par suite de la hausse des prix de vente des voitures neuves, on a enregistré une augmentation des voitures d'occasion, ce qui était inévitable. 11
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RUGBY. Finale de la Coupe de l'O.S.U.
BOXJb
DOGNIAUX, TENTE SA CHANCE CONTRE FREDDIE MILLER
Ce soir à la salle Wagram
Lu présence de Freddie Miller a na-
turellement suscité la convoitise des meilleurs poids plume français c'est, évidemment, pour eux l'occasion d'affirmer leurs prétentions. Mais Freddie Miller ne peut demeurer longtemps chez nous il lui faut repartir la semaine prochaine pour les Etats-Unis où, le 29 avril, 11 s'attaquera Harry Arms- trong « soi-même ».
De tous les postulants français, il a fallu en désigner un seul c'est à Paul Dogniaux qu'on offre sa chance. Le choix est excellent Dogniaux est un espoir » véritable, dont la technique est excellente et qui, s'il ne se lance pas follement dans la bagarre, sait déployer lorsqu'il le faut une très grande activité.. C'est aussi an « co1 gueur », Il a, à son palmarès, nombre de belles victoires.
Nul doute que Dogniaux mette tout
sn doute pour faire, face de l'Amé-
en œuvre pour faire, en face de l'Amé-
1 ricain, un bon combat cependant, la partie semble si dure pour lui qu'on se ̃ demande s'il ne court cas à une sévère défaite.
Le second combat de la soirée qui pourrait fort bien être « tête d'affiche » opposera le poids coq français Beniard Leroux au scientifique Autrichien Ernst Weiss. Par ailleurs, Luis Fernandez rencoutreru Duvergne, Porte se heurtera à Combat et Douay combattra contre Tassurt.
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y Lille et l'ives rejoueront cet nuris-
'nildi au Parc de» Princes pour les
quarts de finale de la Coupe de France. Qui se qualifiera ? Lille a fait en championnat, dimanche dernier, une ttès grosse impression. Les Joueurs étrangers qui lurent a l'origine de son succès sur Kouen seront, il est vrai, absents. En revanche, Liiïo récupère tic militaires et cqcl compense cola. rives, de son côté, présente une équipe jeune, allante et décidée, qui possède plus fine celle de son adversaire un véritable esprit de Coupe. Celui-ci peut-il l'amoner à vaincre 'Le match s'annonce très ouvert. ToatefOls Lille qui est plus solide dans toutes ses lignes et plus robuste, devrait «voir lu dernier mot.
11*-
FRANCE-AUTRICHE
N'AURA PAS LIEU
La Fédération Française de Football Association a été avisée, hier, par le ministère des Affaires étrangères que dans les circonstances actuelles le match France-Autriche, qui avait été conclu en août 1937, n'était pas désirable.
La F. F. F. A. s'est empressée de déférer à cet avis et se préoccupe de trouver une équipe anglaise pour donner la réplique à l'équipe de France le jeudi 24 courant.
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