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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-04-13

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 13 avril 1937

Description : 1937/04/13 (Numéro 103).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4094554

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Silence aux factieux Il communistes

L'Humanité d'hier célèbre la victoire de M. Van Zeeland avec des transports de joie.

A la lire, on'croirait que le scrutin du 11 avril constitue une victoire communiste. Il convient de relever vertement cette plaisanterie, car jamais falsification des faits n'a été plus éhontée.

Il n'y a pas de « Front populaire » en Belgique. Dans ce pays, comme partout où les socialistes ont gardé la tête sur leurs épaules, ils ont refusé de pactiser avec les communistes. A fortiori, parler de l'élection de Bruxelles comme si elle était due à lsf coopération des communistes avec les libéraux et les catholiques représente-t-il une ineptie scandaleuse. En outre, il suffit de rappeler l'attitude du ca- binet belge, et notamment de son ministre des affaires étrangères socialiste, M. Spaack, à l'égard de la politique soviétique pour mon-' trer ce que vaut ce jeu.

On voudrait bien savoir, d'ailleurs, ce que les communistes ont pensé, au lendemain des événements de juin et de la contagion qu'ils déterminèrent en Belgique, quand M. Van Zeeland a interdit les occupations d'usines et s'y est opposé par la force ? Le gouvernement Van Zeeland est fondé sur la liberté et l'exercice normal de la démocratie. C'est pourquoi il a défendu et défendra cette liberté et cet exercice contre tous les factieux, au premier rang desquels figurent surtout les communistes. Il y a plus.

Les communistes font profession de haïr le rexisme. Nous disons, nous, qu'ils sont ses meilleurs alliés, ses ràvitailleurs professionnels. S'il n'y avait. pas eu une poussée communiste en Belgique, il n'y aurait pas eu de « rexisme ». C'est contre le communisme que le parti de M. Degrelle a recruté la plupart de ses adhérents. C'est en raison de l'épidémie communiste venue de France que ce parti a pris des allures antifrançaises^ Qiron ne s'y trompe, pas d'ailleurs S'il a passé sur toute la Belgique un vent peu favorable à notre pays, nous le devons encore et toujours au communisme. Et il suffirait que l'Humanité prétendît annexer M. Van Zeeland pour que demain le rexisnie, 'malgré le coup qu'il a reçu, relevât la tête.

Le même phénomène s'est vérifié partout. Car partout où la liberté a été terrassée, le communisme est à l'origine. En Italie, où la dictature fasciste est née de l'anarchie larvée entretenue par les communistes. En Allemagne, où la dictature hitlérienne est née de la révolte des classes moyennes contre le marxisme. Et si l'Espagne, quoiqu'il arrive, a perdu pour longtemps sa liberté, elle le doit à la pression que les communistes exerçaient sur une faible démocratie de bavards. Le communisme engendre la dictature

comme la maladie veut le remède. C'est pour cela d'ailleurs que les pays restés sains vomissent le communisme. La Suisse, mère de la démocratie et de la liberté. L'Angleterre, où la grande voix de M. Baldwin, au soir de sa carrière, mettait en garde 'hier ses compatriotes.contre le « double danger du fascisme et du communisme ». Les Français se laissent si facilement égarer par les boniments démagogiques qu'ils en sont venus à tolérer l'insupportable mensonge auquel se livrent matin et soir les factieux communistes quand ils osent parler, sous le vocable du tsar Staline, de « liberté » et de « démocratie ». Il est grand temps de réagir. S'il reste dans ce pays des hommes qui ont encore le sens de la probité intellectuelle, qu'ils s'unissent pour crier « Silence » aux communistes

Wladimir d'Ormesson.

̃*̃

.̃̃.̃

p.S. Le scandale des drapeaux mutilés et- des oriflammes rouges à l'Exposition continue. Il se double d'un autre scandale. Sur la gare des Invalides, face au ministère des affaires étrangères, deux drapeaux ronges flottent depuis quatre jours. Combien de temps M. le président du Conseil et M. le ministre des affaires étrangères toléreront-ils que les ambassadeurs et les ministres accrédités à Paris puissent télégraphier à leur gouvernement, en sortant du Quai d'Orsay « Décidément, les éléments revolutionnaires l'emportent et le gouvernement se montre incapable de réagir » ?

W. 0. •.

tes aviateurs japonais

i bord du « Vent-de-Dieu >> seront mardi prochain à Paris Les aviateurs japonais Ihinouma et Tsukagoshi, qui ont réalisé le magnifique raid Tokio-Londres, quitteront vendredi, la capitale de l'Angleterre, à bord de leur avion « Vent de Dieu », pour se rendre à Bruxelles. Ils iront ensuite à Berlin, puis à Paris, où ils arriveront probn Moment mardi prochain 20 avril,

LA GUERRE CIVILE EN ESPAGNE M. EDEN AFFIRME sa confiance

dans la politique de non-intervention Il avertit que renvoi de nouveaux

contingents étrangers causerait la plus grande inquiétude à son gouvernement. (Lire page 3 la dépêche de n otre correspondant particulier)

A DUNKERQUE ~.1, -1"

LANCEMENT du plus grand pétrolier d'Europe

L' « Emile-Miguet » glissant sur sa cale (Lire-page 3 l'article de notre envoyé spécial A. THOMAZI)

̃ .m* .̃. -.̃̃

LES JOURS SE SUNENT

LA VRAIE PUISSANCE

Dans cet hôtel d'Europe centrale, j'ai'entendu ces jours-ci parler toutes les langues. Une « conférence^ » qui groupe, plusieurs Etats, des visites de ministres des affaires étrangères, de chef, de République cela remue du monde. On voit passer dans les couloirs les valets porteurs de jaquettes et d'habits auxquels on va rendre une jeunesse hâtive des chefs de cabinet prennent des airs mystérieux dés journalistes échangent des secrets qu'ils-- téléphonent ensuite à haute voix de leur chambre vers leurs capitales -respectives. Tout se situe à présent dans le même hôtel. Nous sommes loin des premières mobilisations de Genève, des quartiers généraux sur les deux rives, du Léman, des délégations auecleurs armées de secrétaires et de dactylographes; des~dîners acceptes et rendus, des « précieuses » liées à quelques grandes destinées. Plus de. « précieuses » pour ces réunions d'aujour-

d'hui, dans des capitales « moyennes ». Nulle intrigue mondaine. Les dépenses sont réduites au nécessaire et si l'Equilibre européen doit être rompu, cela se f era au prix le plus juste. Le 'caviar n'est pas cher au bord du Danube surtout lorsqu'un aimable 'président du Conseil en apporte une provision.

Dans cette représentation réduite à la troupe essentielle, un personnage joue son rôle de la façon la plus brillante': le concierge de l'hôtel. Il est le terrain neutre par excellence du moins on penche à le croire et il tient à en donner l'illusion. A vrai dire, il n'en est pas un qui n'ait sa position prise mais qui soupçonnerait sous l'uniforme de ces hommes habiles que leur finesse politique aille plus loin que celle'de Figaro ?. Cependant, ils répondent dans toutes les langues, ils connaissent tous les coups de téléphone ils assistent à tous les projets ils dispensent tous les rendez-vous. Ils ont l'air d'être plongés dans l'Indicateur à la recherche d'une correspondance difficile mais ils entendent tout, rien ne leur échappe. Et s'il en est un, parmi eux, entre Genève, Belgrade, Montreux ou Trianon, qui possède un peu le don d'écrire, quels mémoires nous pourrons avoir un jour sur les grandes vacations européennes Ces « cessions », ces conférences », si elles n'enrichissent pas les peuples, enrichissent; je le suppose, tes portiers de palaces; Ils sont dans une société qui perd de. plus en plus ses luxes, la dernière forme d'un grand emploi, d'une puissance réelle, et d'investitures profitables. Métier délicat, évidemment, et pour lequel il n'existe aucune école préparatoire. Le concours des « affaires étrangères » y suffirait à peine car il y faut, outre la diplomatie, un sens mesuré des hiérarchies qui n'est pas à la portée de tout le monde. C'en est un, en effet, que de saluer comme s'ils étaient vraiment puissants des ministres qui sont si peu de chose alors qu'on est soi-même le dernier des rois.

Guermantes.

̃̃mlimuiniiiiiHiiiiiiiiiiimiiiuiiiiiiiimmimiimiiiitiiiiiiiiiii DEMAIN

REINALDORAHN N

LES RADICAUX et le gouvernement Le Parti oppose un candidat à M. Jules Moch, à la prochaine élection de l'Hérault

On sait qu'une élection législative doit avoir lieu prochainement dans l'Hérault. C'est la troisième circonscription de Montpellier qui est en cause, par suite de la mort de M. Salette, député socialiste unifié. M. Jules Moch, secrétaire général de la présidence du Conseil, se présente avec l'étiquette S.F.I.O. Les radicaux viennent de décider de s'opposer au succès de M. Moch. Dans ce dessein, ils porteront leurs suffrages sur M. Escargue conseiller général de Sète, ancien maire de la ville, qui se présente comme républicain socialiste, et deviendra sans doute le candidat unique des anti-collectivistes. Il est superflu de souligner l'importance de l'opération, M. Moch étant le collaborateur direct de M. Blum, et les radicaux rompant ainsi, sur le plan électoral, le pacte du Front populaire, dans des conditions plus significatives encore que lors de l'élection de M. Lamoureux dans la circonscription de Lapalisse.

~«»

AU GRAND PALAIS

LE CONCOURS HIPPIQUE

pourra commencer samedi prochain Un grand effort

accompli pour hâter les travaux

Grâce à l'énergie du colonel Bernard, le distingué secrétaire général de la Société Hippique Française, qui a su faire hâter les travaux entrepris par les services de l'Exposition dans le Grand Palais; grâce au cri d'alarme poussé par le Figaro s'inquiétant de voir la lenteur avec laquelle le concours hippique se préparait, un effort considérable a été fait depuis quelques jours et le Concours pourra commencer le jour annoncé, c'està-dire samedi prochain.

Le vaste hall des Champs-Elysées est complètement transformé. Un vélum blanc et bleu donne un cachet tout spécial au Grand Palais. Les tribunes sont spacieuses et surtout très bien comprises dans les deux extrémités, la galerie supérieure sera ouverte au public et confortablement installée, la piste est en bon état et bien sablée. La rivière a été replacée au centre du terrain et une banquette irlandaise « sur roulettes » pourra être déplacée suivant les circonstances.

Bref, un tour de force a été accompli et le concours va commencer sous les plus heureux auspices.

LES RESULTATS DE NOTRE REFERENDUM Le Crochet Radiophonique des lecteurs du Figaro Les auditeurs de T.S.F. nous disent ce qu'ils souhaitent voir disparaître du programme des émissions françaises

Quelques jours après que les auditeurs de T. S. F., votant en masse pour les listes de Radio-Famille, eurent signifié leur volonté de voir la Radiophonie française changer de ton, le « Figaro ouvrit un référendum pour leur demander

CE QU'ILS NE VOULAIENT PLUS ENTENDRE ET CEUX QU'ILS NE VOULAIENT PLUS ENTENDRE. A la « grande muette », des auditeurs de T. S. F. qui n'ont pas la possibilité d'exprimer leur réprobation sur la teneur de certaines émissions ou sur le talent déficient de certains artistes, nous offrions ainsi la possibilité de « crocheter les responsables.

Clos il y a trois semaines, notre referendum a obtenu un succès considérable. Chaque courrier nous a apporté des centaines de réponses dont le dépouillement minutieux vient d'être terminé.

Des commentaires accompagnaient la plupart des lettres. Nous avons jugé que certains d'entre eux méritaient d'être reproduits car, avec bon sens, avec pittoresque ou avec humour, ils justifient les « coups de crochet». Nous avons pu, d'ailleurs, constater, avec quelle unanimité, des auditeurs habitant aux quatre coins de la France se rencontraient dans leurs jugements. Les vingt « coups de crochet » souhaités que nous publions aujourd'hui ne concernent que « ce que les auditeurs ne veulent plus entendre », toutes questions de personnes mises à part. Les « coups de crochet » sont classés par ordre décroissant les premiers d'entre

En page 4: Ce que les sans-filistes ne veulent plus entendre

eux ayant été réclamés avec la plus grande fréquence.

La politique non pas seulement la politique favorable au gouvernement mais toute la politique est haïssable

Les drapeaux séditieux

de la place de l'Alma

La C. G. T. ferait

aujourd'hui une démarche auprès des responsables pour que cesse le scandale Une discussion s'est engagée hier matin, au cours de la séance du comité national de la C.G.T., à propos des dra-peaux tricolores ornés des emblèmes du Front populaire qui ont été hissés aux mâts de la porte de bois de l'Exposition. Des protestations très vives se sont élevées parmi les délégués, dont plusieurs ont jugé cette manifestation particulièrement déplacée.

Polir donner une forme à cette protestation, il a été décidé qu'une délégation composée de MM. Arrachard, Semard et Guiraud se rendrait aujourd'hui auprès des « responsables » du bâtiment pour leur demander, au nom de la C.G.T.da s'abstenir à, l'avenir de semblables démonstrations.

Pour le respect

du drapeau national

Dans une lettre qu'il vient d'adresser au préfet de police, M. Noël Pinelli, conseiller du quatorzième arrondissement, élève une vive,protestation contre l'exhibition, qui continue sur les chantiers de l'Exposition, du drapeau national « timbré d'insignes factieux >.

Puis, ayant fait remarquer que de semblables emblèmes avaient été enlevés la veille, il était inadmissible que des ordres n'aient pas été. donnés par les autorités supérieures. M. Pinelli demande si des dispositions ont été prises pour empêcher dans l'avenir le renouvellement de ces incidents.

De son côté, M. de Fontenay, conseiller du seizième arrondissement, s'associe aux protestations de son collègue. Il nous a déclaré avoir demandé à la préfecture de police d'intervenir, mais qu'il lui avait été répondu que ce n'était pas possible, les faits se produisant en dehors de la voie publique. Le conseiller du quartier de Chaillot s'est alors adressé au commissariat général de l'Exposition.

Nous avons saisi notre contentieux, lui rétorqua-t-on le plus sérieusement du monde, et celui-ci a adressé une circulaire invitant les entrepreneurs à, prendre les mesures nécessaires.

M. de Fontenay ne nous a pas dissimulé la profonde stupéfaction dans laquelle l'a plongé cette réponse.

Ajoutons que les emblèmes séditieux, qui avaient flotté hier depuis le matin, furent retirés, le soir venu, par les ouvriers, comme la veille.

ttiiHiiliimitiMimiimiiiumiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiîtiimi

ACHETEURS

AU NUMÉRO,

ATTENTION

Vous pouvez gagner 46 frs en souscrivant avant le 30 avril un abonnement de 12 mois pour 100 francs

aux auditeurs de T. S. F. qui veulent se distraire avec la Radio et qui, comme l'a dit d'une façon imagée, l'un de nos correspondants, « veulent avant tout qu'on leur donne la paix à domicile ».

UNE ENQUÊTE SOCIALE DU FIGARO Ingénieurs et- agents de maîtrise sont las de la tyrannie des meneurs Ils s'organisent syndicalement pour assurer leur indépendance nécessaire

au développement de la production

[, Par JVlIOl-tBL.^P^HA.lVlELBT

Quarante mille ingénieurs salariés près d'un million d'agents de maîtrise et techniciens, tels sont les chiffres qui donnent une idée de l'importance des cadres techniques de la France. Les « cadres » ont été jusqu'ici en retard sur les ouvriers, quant à l'organisation syndicale. Les événements de juin 1936 auront eu cette conséquence heureuses, parmi tant d'autres qui le sont moins, de provoquer un courant d'organisation professionnelle des élites.

Ce courant manque encore de discipline et de sûreté de direction. Un premier essai de coordination vient d'être tenté avec la Fédération nationale des syndicats d'ingénieurs, qui groupe des organismes syndicaux comme le S.: P. 1. D. (Syndicat professionnel des ingénieurs diplômés); l'U. S. I. F. (Union syndicale des ingénieurs français) le S. I. S. (Syndicat des ingénieurs salariés). Vingt-deux mille ingénieurs sont organisés au sein de cette puissante fédération. Quant à la C. G. T., avec sa Fédération des techniciens qui comprend 80.000 membres, elle ne groupe qu'environ 2.000 ingénieurs. ̃ ̃ (Suite page 3, colonnes 1 et 2.)

Pour lutter contre

le Syndicalisme Américain HENRY FORD garantira à ses ouvriers un salaire minimum de 220 francs par jour La lutte est ouverte entre le magnat de l'automobile américain, le vieux pionnier Henry Ford, et le jeune chef syndicaliste John Lewis, dont l'étoile monte dans le ciel américain à une allure vertigineuse.

Après avoir successivement triomphé de la General Motors,' de la Chrysler et des grands trusts de la métallurgie, John Lewis s'est écrié « Et maintenant, vieil Henry, à nous deux »

Mais à peine l'Irlandais aux cheveux roux a-t-i'l lancé son cri de guerre que le vieil Henry prend l'offensive. Il annonce qu'il va révolutionner encore une fois l'industrie automobile en produisant aux plus bas prix tout en octroyant à ses ouvriers les plus hauts salaires. Au lieu de 6 dollars par jour, il garantira à ceux-ci un salaire minimum de 10 dollars, soit 223 fr. 80 au cours du change.

Et je vieil Henry pense que, dans ces conditions, ses ouvriers ne seront pas tentés d'adhérer aux syndicats « la chose la plus abominable du monde » qui ne sauraient leur faire obtenir que moins de la moitié de ce salaire. Ce faisant, Henry Ford reste dans la ligne qui a fait son succès et qui est celle suivant laquelle le capitalisme battra toujours les systèmes économiques concurrents.

Bas prix de vente, hauts salaires. Distribuer aux ouvriers le maximum de ce que vous pouvez leur donner, abaisser vos prix de revient pour trouver des clients. Si l'on avait toujours suivi ces axiomes du capitalisme dans tous les pays, les choses iraient probablement un peu mieux partout.

Evidemment, la contrepartie de ce système, c'est le rendement maximum de l'ouvrier et l'ingéniosité sans cesse en éveil du patron.

De l'ingéniosité, Ford n'en manque pas. Bravo, vieil Henry H.

Pierre Fresnay quitte l'Union des Artistes pour protester contre l'arbitraire de la C. G. T. L'autre nuit on tournait le Poisson Chinois, à la gare de Lyon, avec Pierre Fresnay, Michel Simon, d'autres vedettes et de nombreux 'figurants. Soudain surgirent des délégués de

M. Fierté Fresnay.

la C. G. T. qui tinrent à peu près ce langage

Parmi vos figurants il s'en trouve qui ne font pas partie de la C. G. T. Il faut les remplacer par d'autres qui seront de chez nous. Nous sommes d'accord avec les électriciens, si vous passez outre à notre demande, ils éteindront tout et on ne tournera pas. On discuta, on marchanda et en fin de compte les délégués ayant obtenu satisfaction donnèrent l'autorisation de continuer à tourner le film. Ce ne serait pas connaître Pierre Fresnay que concevoir que pendant tous ces agissements il n'ait pas protesté avec indignation.

Cette protestation n'est d'ailleurs pas restée platonique. Il a envoyé, hier, à l'Union des Artistes, une lettre par laquelle il donnait sa démission. On sait que l'Union est depuis quelques mois affiliée à la C. G. T. et il a paru impossible à Pierre Fresnay de continuer à faire partie d'un groupement dont la tyrannie s'exerce d'une façon aussi intolérable.

SECOND LUNDI .où la clientèle est priée de repasser Beaucoup de promeneurs, peu d'incidents

et un grand malaise

chez les commerçants

Le second lundi «férié » s'est déroulé dans une atmosphère d'inquiétude et d'incertitude pour beaucoup de commerçants parisiens. Nombreux, en effet, étaient ceux qui ne connaissaient pas avec précision les obligations que leur imposait la nouvelle réglementation. Si bien que les inspecteurs et inspectrices du travail eurent fort à faire. Toutefois, les contraventions ne furent pas nombreuses, la plus grande tolérance ayant été conseillée à ces fonctionnaires.

Les maisons à succursales multiples se trouvaient, pour leur part, devant un problème insoluble. Les commerçants ont, en effet, la latitude de travailler eux-mêmes sans le secours d'aucun personnel. Mais comment faire s'ils possèdent cinq, six ou dix succursales ? Comment travailler « en personne » dans chacune d'elles ? Après quelques échanges de vues, il vient d'être décidé que les gérants et leurs femmes seront tolérés dans de semblables conditions. (Suite page 3, colonne 1.)

ItltllIlIlllllItltlIllllllHllllItlIIllItllIIIIHIIIIIIItlItlIlllllIflItlIIIItt En page 4 M. Léon Jouhaux réclame an emprunt à souscriptions forcées. et « l'épuration administrative » »

CHRONIQUE

En observant

MOULAY HAFID

amateur de musique Par JEROME et JEAN THARAUD

IL y a quelques semaines, j'assistai, salle Pleyel, à un concert de musique russe en l'honneur, de Pouchkine. A quelques rangé « derrière moi se trouvait, dans une loge, un personnage coiffé d'un fez, boudiné dans une jaquette trop étroite pour sa corpulence, la face large et pleine, presque noire, la barbe coupée aux ciseaux, les yeux globuleux, un peu mornes, mais ou passait par instant un vif éclair une sorte de marchand de tapit oriental, que je reconnus tout de suite c'était Moulay Hafid, l'ancien sultan du Maroc, qui vient de mourir, l'autre jour, dans sa petite, villa d'Enghien.

Que faisait-il ici ? Qu'est-ce qui l'avait attiré à ce concert ? Comme il semblait dans cette salle étranger et perdu. Moins peut-être qu'on aurait pu le croire, car ce gros homme qui, pendant les cinq ou six années qu'il fut tout-puissant au Maroc, a donné tant de preuves de sa brutalité, avait des côtés raffinés et, par exemple, il adorait la musique. Quand il se souleva contre son frère Abd el Aziz, il y avait, dans Tétonnant cortège qu'il traînait à sa suite de Marrakech à Fez, toute une ribambelle de musiciens et de' chanteuses, que, dès le jour de son arrivée, il installa dans ce charmant palais du Batha, dont nous avons fait un musée et que connaissent bien tous les touristes qui sont passés là-bas. Puis, tout de suite, il fit venir au Batha les meilleurs joueura de violon et de rebec et les meilleurs chirats (1) de la ville pour initier les artistes barbares qu'il avait amenés du Sud, aux raffinements de la musique andalouse, que les -Maures, chassés d'J£spagn« ont importée naguère à Fez de Gre-

nade et de Cordoue.

De toutes les personnes de la ville je crois bien que c'était encore ces chirats et ces musiciens fassi pour lesquels Moulay Hafid avait le plus de considération. Ou plutôt il affectait d'en avoir pour agacer les gros bourgeois et les gens bien pensants. Ainsi, quand il les faisait chercher, il avait toujours soin de leur envoyer ses mules les plus luisantes et les plus rebondies, avec des selles et des harnachements aussi beaux que ceux qu'il envoyait aux plus grands personnages, quand il les invitait à monter au darmaghzen.

Songeait-il à ces temps lointains, au Batha, aux tambourins, aux violons, aux rebecs, à la musique andalouse, en écoutant les chanta de Borodine et de Moùssorgsky ?..« Moi, je songeais à ses lubies. Tantôt d'une humeur charmante, tantôt saisi d'hypocondrie, ou en proie à des colères furibondes. Tantôt il disparaissait pendant huit jours dans son harem, et personne, pas même ses vizirs, n'arrivaient à le voir. Tantôt il s'engouait, au contraire, de discussions théologiques, grammaticales ou autres, et ne quittait plus les oulémas, les poètes et les érudits, car il avait lui-même

un alent, très versé dans l'étude des traditions coraniques, le droit, l'A poésie, la grammaire, la rhétorî» que, et il prenait le plus malin plaisir à embarrasser les docteurs par sa subtilité d'esprit et sa connaissance des textes. Il savait même un peu! notre langue et, pendant son exil en Espagne, lorsque j'allai le voir dans sa chambre d'hôtel meublé de cinquième ordre, il s'occupait à mettre en vers arabes les rudiments de la grammaire française. Tantôt c'était le Batha qui avait toutes ses faveurs, et du matin au soir il écoutait les voix aiguës de ses chirats et le crin-crin des instruments. Il se plaisait aussi à des farces qui n'étaient pas toujours drôlea pour ceux qui avaient à les subir. Un jour, par exemple, il convoque toute la confrérie des Guennaoua* C'étaient, pour la plupart, des nè« gres de Guinée, généralement deé esclaves, qui se livrent, la nuit, à la lueur de l'acétylène à des invoca»tions bizarres et frénétiques, ryth« mées par les flûtes et les tambours. Tout joyeux, ils arrivent, au nom" bre d'un millier à peu près, espé»rant quelque aubaine. Moulay Ha* fid les reçoit bien, les écoute avec plaisir après quoi, sans demander leur avis (et encore moins sans de.mander l'avis de leur propriétaire), il leur fait donner à tous un beau vêtement rouge et les incorpore dans sa garde. Les plus âgés furent affectés aux écuries et aux cuisinefv (Suite page 3, colonnes 1 el 2.) -j (1) Chanteuses et danseuses.


'FiGâKO-ACTUâlIïtS

LA SEMAINE DE BONTE # LE MAHARAJAH D'ALWAR. A l'occasion de la Semaine de Bonté qui a commencé .après un séjour à Vichy, hier, nombreuses sont les offrandes qui parviennent vient d'arriver Paris. Il se aux infortunés. Les enfants n'ont pas été oubliés et les rendra à Londres pour les petits malades des hôpitaux parisiens ont reçu jouets fêtes du couronnement des et friandises qu'ils ont vivement appréciés. souverains britanniques.

m\ » •̃-̃ &>s. .l. ̃̃'̃-̃ ̃ ̃

1 LA IOURNIE

La flamme du Souvenir

A 18 h. 30, a l'Arc de Triomphe ·. Amicale des anciens des 57», 257e et 567» R. C. Ligue nationale des gazés, blessés du poumon et tuberculeux osseux. Ecole supérieure d'architecture (jeunes). Conférences

A 17 heures, 28, place Saint-Georges La Confédération française des Travailleurs chrétiens par M. J. Zirnheld. A 21 neures, 5, rue Las-Cases Mon récent voyage en Espagne nationale », par M. Gustave Gautherot.

*Sanquets

..Midi 30, 5, avenue de l'Opéra Déjeuner du Cercle Républicain, en l'honneur du Brésil;

Exposition!

76. Fauboure-Salnt-Honoré i Exposition du Groupe indépendant de la Nationale.

11, quai Malaquals Art italien des Utx -septième et aix-uuitième siècles. (Destins et estampes).

252, rue du Faubourjr-Salnt-Honoré Exposition Pouchkine.

Au Jeu de Paume des Tuileries Art tatalan du dixième au quinzième siècle. > l'Orangerie des Tuileries Exposilion Decas.

Au Musée des Arts décoratifs, 107, rue Me Rivoli Exposition Constantin Guys {Avant-dernier jour).

M* Courses ̃ *<v'A 14 heures f Enghien'.

tes étoiles de Lyautey.

C'est à ~Aïn-Sefra que le colonel Lyautey reçut ses étoiles. Nous avons »ous les yeux une lettre inédite, qu'il adressa, aussitôt après, à sa sœur f« Eh bien, voilà mes étoiles je ne m'attendais guère à ce que fût si vite, et actuellement j'en suis encore au regret de quitter mon dolman bleu et ai l'impression de vieillissement que me donne cette vénérable appellation il n'y a plus moyen de me prendre pour un jeune homme. » Ce texte est du 11 octobre 1903. Lyautey regrettait sa jeunesse Ce n'est que huit ans plus tard qu'il devint le proconsul du Maroc, jeune terre d'outre-France.

Toute femme élégante étant cliente i8es. Grands Magasins du Printemps, elle y demandera pour sa correspondance le bloc « Dimanche », avec ses enveloppes.

Ce bloc, de la marque réputée Vélin 782 'Mu-ller; est présenté sous une forme originale, .pratique, exclusive, qui séduira. Prix 22 francs. Les « Ganaches » déménagent. Le Grand Cercle se rapetisse. Il quitte .le vaste immeuble bâti il y a bien longtemps par le comte de Mercy-Argenteau, ambassadeur d'Autriche, où il eut l'honneur d'héberger son maître l'empereur Joseph II. Cet hôtel avait été édifié sur le boulevard qui s'appelait boulevard Richelieu et qui est devenu le boulevard Montmartre. Dans les locaux somptueux quoique un peu vétustés du Grand Cercle se donnèrent de très belles fêtes, ce qui n'empêcha pas les railïeurs de surnommer cette réunion d'hommes distingués, mais ayant pour la plupart atteint l'âge de la retraite, le Cercle des Ganaches; et ses membres acceptèrent spirituellement le sobriquet. Il est vrai que les

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D'UN LIVRE A L'AUTRE

Au rayon de l'Histoire

Le Lauzun dont le comte de Gontaut-Birone retrace la vie mouvementée «ous le titre Le Duc de Lauzun (17471793) avec cet addendum Un célèbre inconnu, n'est pas ̃ qu'on prenne garde aux dates le mari de la Grande Mademoiselle, le légendaire prisonnier de Pignerol. Il est mort, maréchal de Biron, sur l'échafaud, en 93, après avoir été député à la Constituante, général aux armées du Nord et de Vendée, franc-maçon.

Vie remarquable de soldat épicurien il est de l'expédition de Corse, de la guerre d'indépendance d'Amérique, compagnon de Rochambeau et enfin les malheurs, les désordres des guerres de la Révolution.

Ouvrage qui est une découverte on y trouve le meilleur panorama, fort instructif, de la fin de 1 ancien Régime, ainsi que de la tourmente révolutionnaire qui entraîna ce fleuron de la noblesse libérale dans les prisons de la Terreur près d'Aimée de Coigny, et le 31 décembre de l'an 1793 sur l'échafaud,

L'ouvrage du comte de Gontaut-Biron est préfacé par le général Weygand.

̃

On annonce de M. Henri Malo, Il eonservatenr du Musée de Chantilly, Le Grand Condé (Albin Michel). F. Arnt:tnd et Heiu- Mnulil:nic, 4tux écrivains communistes, publient

règlements en étaient un peu arriérés puisqu'il y fut longtemps défendu de fumer. Il v a une centaine d'années, le duc de Choiseul, qui était président, indiqua dans un discours fort applaudi qu'on allait aménager une petite pièce sur la cour pour les amateurs de « l'herbe à Nicot ». Les temps modernes sont venus. On a le droit de fumer la pipe en jouant au bridge. Mais le modernisme impose, par contre, des locaux plus exigus. Le Grand Cercle va émigrer rue Dumont-d'Urville, et faute de pouvoir loger dans le nouvel hôtel sa bibliothèque, il vend ses livres aux enchères.

La Succursale de Luxe de la Sa- maritaine, boulevard des Capucines, vendra à partir de jeudi prochain des robes d'après-midi à 500 francs; des tailleurs sur mesure à 550 et 825 francs; des robes de jersey, avec boléro, à 450 fr.; des tailleurs en tricot, à 400 fr.; des manteaux sport à 325 francs; des blouses lingerie à 80 fr.; des blouses Chine lavable, à 195 fr.; des robes de chambre en imprimé à 115 fr.; des gaines à 125 fi.; des bas de soie naturelle à 20 fr.; des gants mode à 45 fr.; des carrés satin, des- sins cachemire, à 95 fr.; des souliers trotteurs à 85 fr.; des sacs en box à 115 fr.; des gaines à 125 fr.; des bas ble » à 39 fr.; des crêpes imprimés tout soie, à 45 francs.

Elle vendra à 1.000 francs des renards argentés; à 1.600 fr. des pékans à 1.550 fr. des collets de renards argentés; à 950 fr. des vestes en cheval pommelé.

Elle vendra pour hommes des costumes « sport » 395 fr. et à 475 fr. des pardessus; des chemises popeline à 50 fr.; des cravates soie à 20 fr.; des souliers double semelle à 110 francs.

Elle vendra enfin, pour les premières communiantes, des robes petits plis main à 195 fr.; des parures trois pièces, bonnet, ceinture et aumônière à 185 fr.; et pour les premiers communiants à 450 fr., des costumes « Eton » et à 350 fr. des costumes marins faits sur mesure.

Le second iundi.

Faire le lundi était naguère le rêve des travailleurs. Mais, pour être agréables, il ne faut pas que les rêves deviennent des réalités et le lundi férié apporte plus de déceptions que de satisfactions.

Hier, comme il y a huit jours, les grands magasins sont restés fermés. Mais il y en a un qui, la semaine dernière, avait baissé avec ostenta-'tion ses fermetures et qui déjà las du chômage, les releva le second lundi.

Et ce magasin n'était autre que la librairie du parti communiste. Le Masque de Fer.

QUEL SOUCI

est épargné à une maîtresse de maison en confiant à l'hôtel de Crillon, dans un cadre unique, l'organisation de ses réceptions, thés, cocktails-parties, lunches, dîners du plus simple au plus somptueux.

un Fourier (E. S. I.) à l'occasion de son centenaire.

M. Jean Zay va assister aux fêtes de l'Université d'Athènes

Le ministre de l'Education nationale et des Tîeaux-Arts, quittera Paris demain pour se rendre en Grèce il prendra la tète dé la délégation française qui assistera aux fêtes du centenaire de l'Université d'Athènes. Il sera l'hôte du gouvernement hellénique.

Réunions et conférences Une intéressante série de causeries consacrées à l'Histoire de la IIIe République va être diffusée par le' Poste National Radio-Paris, qui les a demandées à des conférenciers réputés pour leurs travaux sur l'époque, tels que MM. Joseph Barthélémy et S. Charléty, membres de l'Institut Octave Aubry, Jean Cassou, Robert Dreyfus, Georsges Girard, Daniel .Halévy, etc. M. Robert Dreyfus parlera, jeudi pro- chain. 15 avril, à 19 h. 10, sur les débuts du régime, De la I(éuolutionï*clu 4 septembre 1870 à la journée' du 18 mars 1871.

Jeudi, également, de 17 à 20 heures, les amis de La Ruelle recevront Paul Morand et Marc Chadourne. Les AIffuazils.

LE COIN

DE

L'EXPOSITION

Les invitations

aux cités étrangères

Une délégation du Conseil municipal de la Ville de Paris, conduite par M. Georges Contenot, ancien président de l'assemblée, est arrivée à Varsovie afin d'inviter officiellement la Ville de Varsovie à l'Exposition de 1937.

La délégation a. invité auparavant la ville de Poznan.

«.

Les travailleurs intellectuels doivent avoir leur maison Des voix autorisées ont dit déjà la misères des intellectuels, celle des écrivains, en particulier, que menace la famine et dont M. Georges Duhamel a pris courageusement la défense en fondant l'Alliance du Livre. Un peu partout, des sympathies naissent, d.es initiatives sont prises pour empêcher les élites de disparaître. Pourquoi les travailleurs intellectuels n'auraient-ils pas leur maison, leur foyer où ils pourraient se réfugier quand ils ne gagnent pas assez pour vivre chéz'eux j? Pourquoi ne pourraîï-Wn '.pôlnt'îleûï' prôêurer des appartements à bon marché dans un immeuble qui leur serait réservé et où ils trouveraient, à la fois, le gite et le couvert selon la nouvelle formule des « Résidences » ? C'est ce que se propose de réaliser le groupement des Amis des Travailleurs Intellectuels qui fonde la Familiale dès arts, théâtres et intellectuels pour acquérir cette maison. Entendons-nous, il ne s'agit point d'un caravansérail ou d'un simple lieu de refuge offert comme une aumône, mais d'une sorte de maison de famille où chacun aurait son appartement privé pour un loyer modique, et où l'on pourrait même acheter cet appartement pour s'y réfugier quand on sera vieux. Le ministre de 1 éducation a pris le projet sous son patronage et accorde une subvention. Demain, le comité de l'Association donnera, à l'hôtel Grillon, un premier thé de gala, avec le gracieux concours de Mmes Berthe Bovy, secrétaire de la Comédie-Française Marguerite Deval, Suzy Solidor et Arletty; MM. Pierre' Dux, sociétaire de la ComédicFrançaise; Victor Boucher, Paul Colline et Jean Tranchant (speaker Jean Granier). Toutes les places sont retenues, mais les adhésions peuvent être envoyées au secrétaire général des A. T. I., 26. rue Eugène-FJachat.

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sa nouvelle Collection pour Enfants de Lovely, Tobralco et Coton fantaisie. Imprimés et Lainages Haute Couture pour robes et ensembles à 'des prix très étudiés. ̃•

id

Académie des Sciences Pour que les coques

de bateaux soient propres M. Ch. Gravier a présenté une note de M. Herpin sur les époques à laquelle certains organismes animaux se fixent aux coques de bateaux dont ils déterminent l'encrassement. Les observateurs ont immergé des dames qu'ils ont relevées régulièrement chaque semaine. Ils ont pu établir que les balanes « adhéraient du début d'avril au milieu de juin et que les serpuliens apparaissaient en juin seulement, jusquen octobre.

Ces constatations ont une grande importance pratique. Elles permettent de déterminer les meilleures époques pour le carénage des bateaux.

L'Académie a présentécomme candidats à la chaire de zoologie vacante au Muséum national d'histoire naturelle en première ligne M. Jacques Pellegrin en deuxième ligne, M. Paul Chabanaud.

̃̃-̃- •̃ ̃' ̃ h. C.

Nouvelles militaires

Etat-major général de l'armée Le général de division Musse], disponible, a été placé, sur sa demande, par anticipation dans la 2° section (réserve) du cadre de l'état-major général de

f'armêe.

|

Vers l'augmentation des tarifs des transports v

On donne comme probable une session spéciale du Conseil municipal qui s'ouvrirait le 26 avril prochain. L'objet de cette session serait l'examen de la question du relèvement des tarifs des transports en vue des nouvelles charges budgétaires et, en particulier, celle du réajustement des salaires du personnel de la préfecture de la Seine et des services annexes.

LE CARNET DU «FIGARO» >11

AUJOURD'HUI

Deuils. 10 11. 30 Jless'e anniversaire pour le comte Henri de Peyronuet (Saint-Pierre du Gros-Caillou). 11 Heures obsèques du colonel (le Tugny (Chapelle du cimetière Montparnasse).

1 1 heures Obsècnies de M. Paul Petit (Saint-Pierre de Challlot).

11 heures Obsèques du docteur Victor Dupont (Saint-Ferdinand des Ternes).

1 i heures Obsèques de Mme Paul Vaiiguois CVotre-Dame de Grâce de Passy)

̃̃̃uiiimtmitiiiiiimiiiiiHimmiiMiiimiMHiiuiimiiiiiii LA SEMAINE

Cas n* 57

POURSUIVI PAR LE MALHEUR Issu d'une famille fortunée, il n'a connu que des épreuves contre lesquelles il a lutté avec vaillance, et malgré de réelles qualités d'initiative, d'intelligence, de probité attestées par d'excellents certificats, il se trouve au seuil de la vieillesse dans la misère.

Ses seules ressources, pour lui, sa femme et sa frêle 'fillette mr dix ans se réduisent à l'allocation de chômage (217 francs par quinzaine). Comment avec cette somme minime payer le loyer, renouveler les vête. ments et surtout suralimenter la petite Jacqueline en pleine crois. sanee ?

Dans son désir de se tirer d'affaire, il cherche même une place de concierge -ou de gardien pour être défrayé de la charge d'un loyer. Cette situation et deux mille francs mettraient cette courageuse famille à même de se suffire.

Adresser les dons à l'Office central des œuvres, 175, boulevard Saint-Germain, Paris, qui accusera réception et fera parvenir directement aux destinataires.

Compte chèques postaux: 209-63. liiiilMiiiiimiiimiiiiiMmmmiMiifMtiiiiiiiiiiiiiiiuimii COURS |

La revue que S. M: le Roi Léopold III devait passer demain a été remise à une date ultérieure, le souverain étant atteint d'une contusion au genou qui l'empêche dé monter à cheval. Ce léger accident lui est arrivé en Suisse, au cours d'une excursion en ski. Ses médecins lui ont ordonné quatre' ou cinq jours de repos.

Le souverain n'a, toutefois, pas interrompu ses audiences. Il est venu, hier matin, de Laeken, où il séjourne actuellement, an palais de. Bruxelles, où il a reçu diverses personnalités, notamment M. van Zeeland.

De notre correspondant particulier à Rome, par téléphone S. A. R. la Princesse Mafalda de Hesse vient de mettre au monde, à Berlin, son troisième fils.

Seconde fille de S. M. le Roi d'Italie, mariée à S. A. R. le Prince Philippe de Hesse en 1925, la Princesse avait déjà deux garçons, âgés l'un de onze ans et l'autre de dix ans.

D'après des nouvelles officielles, l'état de santé de la mère et du nouveau-né est excellent.

Un autre heureux événement est attendu d'un jour à l'autre dans la famille de Savoie S. M. la Reine Jeanne de Bulgarie, troisième fille des souverains italiens, est sur le point d'avoir son. second enfant. S. M. la Reine Hélène est partie de Rome aussitôt après la remise de la Rose d'Or pour se rendre à Sofia afin d'assister sa fille.

S. A: R. la Princesse Olga, femme de S. A. R. le Prince régent Paul de Yougoslavie, est partie hier pour Paris.

"M. Matrrtèé- Quentin, conseil-1er municipal de Paris, qui a été reçu en audience par S. M. le Roi Carol, a quitté Bucarest hier.

AMBASSADES

A Berlin, S. Exe. M. André François-Poncet, ambassadeur de France,- a donné un dîner au corps diplomatique en l'honneur de S. Exc. sir Eric Phipps, ambassadeur de Grande-Bretagne à Berlin, qui doit quitter Berlin cette semairie pour rejoindre son nouveau poste de Paris.

Si Exe. le nouvel ambassadeur de France au Japon,; M. Arsène Henry, et Mmç Arsène Henry: ont été reçus hier matin en audience par S. M. l'Impératrice, qui a éga-' lement reçu S. Exc. M. Widar

UNE LEÇON DE SIMPLICITE

Ce ne sera sans doute pas lé moindre étonnement des visiteuses que l'Exposition attirera de tous les coins du monde, de constater que l'élégance française peut être tout bonnement, parfois, un miracle de simplicté. Si elles le rencontrent, elles pourront méditer sur le dessin parfait de ce tailleur de CREED qui va jusqu'à se passer de col et de revers.'

XjX. n Iode et Le4 /vwjckW d cuuuoiàaJ \ajjx

Ce jardin, niché à l'ombre d'une cathédrale, où se bénissent les unions les plus select; pourrait facilement tenir tout entier, arbres, pelouses, parterres et volière, dans une chambre de midinette, tant il est exigu. Ces proportions, cependant, sont excellentes, et l'agencement personnel qui l'a orné d'une cage formant fond de»décor et de deux plates-bandes fleuries en pendant, est digne de celui d'un parc de dimensions Louis quatorzième, tant il est vrai que chaque perspective est avant tout affaire de mesure.

Ce jardin, comme l'oiseau de Maeterlinck, est bleu avec ostentation bleus sont les murs, qui l'encadrent, bleu le gravier de ses petites allées, bleues encore les jacinthes hiératiques, qui se dressent de part et d'autre, et bleues aussi les potiches où poussent des iris encore incertains Lorsque par la fenêtre du gite charmant dont elle dépend, on considère cette nature vivante, animée par les sautillements des oiseaux en leur volière bleutée, il semble que la vie tout entière, mystérieuse et poétique, pays merveilleux des contes et des songes, tiennent enclos en ce jardiu de poupée d'où l'on peut sans sortir de chez soi, contempler l'univers sagesse éternelle que nous offre un coin de beauté aux mains d'un artiste. En dépit des réductions imposées par nos temps ennemis du faste et de la gran-

DE LA BONTE

Bagge, le nouvel ambassadeur de Suède à Tokio.

S. Exe. Fakhry pacha, ministre d'Egypte à Paris et à Berne, a offert, à Montreux, en l'honneur de la délégation française à la Conférence des Capitulations, un dîner auquel assistaient

Le sous-secrétaire d'Etat à la présidence du conseil et Mme de Tessan, M. Hymans, député; M. et Mme Jean Pozzi, M. Ernest Lugarde, M..Cburgcraud, M. Garreau, M. Robert du (iardier, M. Albert Chambon, M. Henri Br(idier, M, et Mme Jean Cabouat, MM. Aghion, Pharaony et Aram Stefan. A l'issue du dîner, Fakhry pacha a eu un long entretien avec MM. de Tessan et Hymans.

Mlle Colette Berger dont le mariage avec M. Max Périn vient d'être célébré en l'église SaintAugustin.

A l'occasion de l'inauguration de l'Exposition de peinture française à Luxembourg, ouverte par S. A. R. le Prince Félix de Bourbon-Luxembourg, et à laquelle le gouvernement français était représenté par Mme Brunschwicg, sous-secrétaire d'Etat à l'éducation nationale, S.Exc. le ministre de France, M. Henri Cambon, a donné un diner auquel assistaient

Mme Brunschwicg, le ministre d'Etat et Mme. Beeh, le ministre des travaux publics et Mme Schmit, le bourgmestre de Luxembourg et Mme Diderlch, le commissaire général du Luxembourg à PExposiiton de Paris et Mme LavalTudor, M. et Mme Alexandre, M. et Mme Wigreux, M. et Mme Stumper, M. et Mme Gilles, Mme Jean de Beaufort, M. et Mme Hansen, M. RogerMftçx, M. Georges-Etienne, M., Mme et Mlle Rivaud, etc.

MONDE OFFICIEL

M. Pierre Cot, ministre de l'air, a offert hier, au ministère de l'air, un déjeuner en l'honneur de M. Irimesco, ministre de la marine et de l'air de Roumanie, et de Mme Irimesco, ainsi que du général Glatz, sous-secrétaire d'Etat à la guerre de Roumanie.

Assistaient en outre à ce déjeuner

S. Exc. le ministre de Roumanie à Paris et Mme Cesiano, M. Dourma, secrétaire général du ministère des finances de Roumanie; le général Féquant, chef d'état-major général de l'armée de l'air, et Mme Féquant; divers officiers roumains présents à Paris et les hauts fonctionnaires du ministère de l'air. DANS LE MONDE

Le docteur et Mme Pierre Lyonnet ont offert un diner qui réu. nissait

M. et Mme Max Babon, M. et Mme Henry Leport, docteur et Mme Henry Chauchard, M. et Mme Jules Charpentier, baronne Cerise, vicomtesse de Sercey, Mme Villers, docteur et Mme Guérin, M. et Mme Audibert, M. et Mme Pierre Tarlot, M. et Mme René Richard, M. Frédéric Dupont, M. de Langavant, M. des Fontaines, comté de Segrais. BIENFAISANCE

Nous rappelons que les plus grands invalides de guerre viendront en aide aux œuvres de notre Légion étrangère en vendant, aujourd'hui 13 avril, la pochette porte-chance du "Légionnaire un dixième de la Loterie nationale, un billet de la Loterie de bienfaisance de la Lé.gion, à la salle des fêtes du Cercle national des armées' de terre, de mer et de l'air, 8, place SaintAugustin. Jusqu'à fin avril, la pochette sera vendue au Comptoir de la Légion, 18, boulevard Montmartre; au siège de la Fédération nationale des plus grands invalides, 18, rue Fabert, et dans les divers dépôts.

Sous le patronage de la duchesse de La Rochefoucauld, de la baronne de Cabrol, de la comtesse de Miramon Fitz-James, de Mme Gaëtan de Navacelle, de la comtesse J. de Reviers.de Mauny et de Mme

LE PLUS PETIT JARDIN DE PARIS

« Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre », a dit Musset, et spirituelle réplique d'aujourd'hui, où la dureté des temps amenuise, hélas les possibilités de chacun, un mien ami nous dit « Mon jardin n'est pas grand, mais il est à mon août. »

(Studio de France.)

P. Sabatier d'Espeyran, un récital .de piano sera donné le lundi 19 avril, à dix-sept heures, salle Debussy, 8, rue Daru, à Paris, par l'éminent pianiste Gonzalo Tintorer, au profit d'oeuvres de bienfaisance, avec le concours du jeune et remar. quable violoniste Xavier' de Marichalar.

Mlle PetrofT-Tchomaliofr. dame d'hon- neur de S. M. la Reine; M. Baiabanov, ministre plénipotentiaire, directeur de la presse au ministèi'e des affaires étrangères le chargé d'affaires de Francci Mi, Haplcn,. etc.. v i Le 'lendemain; le charge d'àffàireè K de France et Mme Baelen ont donné un thé fort élégant où l'on remar. quait les personnalités bulgares les plus en vue du monde du théâtre et des lettres ainsi que les membres de la colonie française.

NOTÉ SUR MON BLOC Semaine de l'Imprimé Renard argentés et bleus, chez Callot sœurs, > Les Fourrures Eosal vous les of- 37, avenue Montaigne.. frent depuis 850 francs, ainsi que de très jolis modèles de collets et qui présentera, du 14 au 24 avril, de capes pour après-midi et soir le matin, M heures; l'après-midi, depuis 1.200 francs. Manteaux 15 heures, une collection de noudemi-saison dans leurs salons, 71, veaux modèles spécialement étu- avenue Victor-Emmanuel-III (place diés.

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CERCLES

Notre excellent confrère M. Gérard Bauër a fait, le 2 avril, à l'Alliance française de Sofia, une conférence sur « Le théâtre français contemporain ».

Aux premiers rangs du nombreux public qui applaudit le conférencier, on remarquait

NAISSANCES

M. Lamort de Gail et madame, née le Pelley du Manoir, sont heu- reux d'annoncer la naissance de leur fils Patrick. 8 mars.

M. André Lefébure et madame, née Cramail, sont heureux de faire part de la naissance de leur, fils François. 2 avril 1937. I

Le comte Roger de Pelet et la comtesse, née Marie Louise Geertszema, font part de la naissance de leur fille Marie-Henriette. 7 avril.

On annonce la naissance

De Phillbcrt-Guilhem de Pothuau. MARIAGES

Près de Langoiran, dans la petite chapelle moyenâgeuse, du château Lagorce, a été béni le mariage de Mlle Juliette Conilk de Beyssac avec M. Odia Ernolaeff. Les témoins de la mariée étaient: le général de Lastours, son cousin, et M. Desfrarfçois ceux du marié le marquis de Rodziansko, son beaufrère, et le capitaine Laurence.

Mlle Edith de Bussac dont le ma- riage avec M. Jean Lapostolle vient d'être béni en l'église Saint-JeanBaptiste de Ncuilly.

(Phot. Dorys.)

DEUILS ̃ -“̃•. ̃•'̃ Les obsèques du général Desaleux, l'inventeur de la balle D qui fut en usage lors de la grande guerre, ont été célébrées samedi en l'église Saint-François-Xavier. La levée du corps a été faite par le chanoine Chevrot, curé de la paroisse l'absoute donnée par l'abbé d'Albinhac, curé de Saint. Antoine des Quinze-Vingts.

Le deuil était conduit par la générale Desaleux et les autres membres de la famille.

Dans l'assistance:

Le colonel Florentin, représentant lé ministre de la défense nationale; le colonel Vauthier, représentant M. le maréchal Pétain re'général Nollet, grand chancelier de la Légion d'honneur; le général Maurin, ancien ministre de la guerre; de nombreux officiers généraux et supérieurs, en particulier des officiers attachés à la direction-de-l'artillerie.

L'inhumation a eu lieu au cimetière d'Auteuil.

deur Le plus petit jardin de Paris est. Un anneau porte-iclés auquel tient de ceux où l'on revient toujours. à une laisse en cuir un chicn-inascotte.

Comtesse de S.™

VU ET RETENU

Quelques boutons.

♦ Bombés, tendus de peau blanche et piqués au centre de trois petites fleurs en verre de couleur.

Des porte-clés nouveaux.

Une toute petite montre entourée de deux cercles en argent, entre lesquels se rangent les anneaux de clés. c,

Le colonel d'artillerie André Guimard, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, vient de mourir à Neuvy-sur-Loire (Nièvre).

On annonce la mort de Mlle la baronne de Vivario de Ramezée, pieusement décédée au château de Ramezèe (Belgique), à l'âge de quatre-vingt-deux ans. Elle était la sœur de la baronne Henri de L'Epine, décédée, et avec «Ile s'éteint une très ancienne famille du pays de Liège.

L'abbé J.-J. Colson, retiré à Hardricourt (Seine-et-Oise), chanoine honoraire de Versailles, s'est éteint dans sa quatre-vingt.quatrième année.

Le général de cavalerie José Cavalcanti de Albuquerque y Padierna, qui fut chef de la maison militaire de S. M. le Roi Alphonse XIII, vient de mourir à SaintSébastien.

Le baron Jules Wlassics, ancien ministre de Hongrie, ancien président du tribunal administratif -et de 'lia 'Chambré- haute,, a succoir^-

•̃̃bé«à--l!agë dé* quatre-vingt-cinq. ans,

On annonce la mort, à l'âge de soixante-sept ans, de M. Emile Leroudier, adjoint au maire dé Lyon, président du Syndicat des dessinateurs en fabrique. .} Le vendredi 9 avril ont eu lieu, en l'église de Mont-Saint-Aignan (Seine-Inférieure), les obsèques de Mme Georges Soulier, née Yvette' Hue.

De la part de M. Georges Soulier,, son époux; lord Ashley, son gendre; M. Jean-Pierre Soulier son fils M. Jean Soulier, son beau-père lady Ashley, Mlle Marianne Soulier, ses filles Mme François Hue, sa mère, et les autres membres de la famille.

L'inhumation a eu lieu au cime. tière d'Auteuil.

Nous apprenons la mort du lieutenant-colonel Demorey, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre, décédé le Il 1 avril 1937 muni des sacrements de l'Eglise en son domicile, 18, rue Vaubàn, à Lyon. Les funérailles auront lieu demain mercredi 14 avril, à neuf heures, en l'église Saint-Pothin. On annonce la mort du comte. de Brigode de Kemlandt, maire de Folembray (Aisne), chevalier de la Légion d'honneur, croix de guer.re, pieusement décédé à Folembray. Les obsèques auront lieu jeudi 15 avril, à onze heures, en l'église paroissiale où l'on se réunira. Nous apprenons la mort de M. Joseph Dubois, ancien directeur au ministère. de la justice, officier de la Légion d'honneur, décédé le 10 avril, en son domicile, à Paris, 30, avenue Kléber. Les obsèques auront lieu demain mercredi 14 avril, à onze heures précises, en Téglise Saint-Honoré d'Eylau où l'on se réunira. Le présent avis tient lieu d'invitation.

La levée du corps du contre- leur général Prioux aura lieu de. main mercredi 14 avril, à dix heures, à la maison mortuaire, 69, ave. nue Henri-Martin. Cérémonie reli. gieuse et inhumation à Bernay dans la plus stricte intimité.

Nous apprenons la mort de M. Jacques Allibert, décédé dans sa quatre-vingt-troisième année, en son domicile à Paris. Selon la volonté du défunt, les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte intimité. Une messe pour le repos de l'âme de Mme Henry de Courcy, née d'Estrée, sera célébrée enl'église de la Madeleine le vendredi 1.6 avril, à dix heures. •' Nous apprenons la mort de Mme L. Biedermann, rond-point Bugeaud, à Paris. Ses obsèques -ont eu lieu dans la. plus stricte intimité.

On annonce la mort:

De Mme veuve Paul Vaugcojs, née GabneUe Dardouville, à Paris; de sir William Hadow de Mme Théodore Max, a Paris; de M. Pierre-Léon Lem0" i? ,Paris de J>- Raymond Moyse, à Paris de M. Jean Berlemont, à Bruxelles; de M. Henri Biuct, à Pro^ vins (Seine-et-Marne).

Valfleury.

PETIT CARNET

De Mine Chardonnet, à Paris: Quelle liqueur peut approcher Le goût parfait d«. la cerise,

En exhaler l'cdeur exquise,

Mieux que ne fait Cherry-Rocher ? Smart.

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APRÈS LA FIÈVRE ELECTORALE BRUXELLES A VECU HIER VNE JOURNÉE 1RES CALME Mu Van Zeeland a été reçu par le roi Léopold {De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Bruxelles, 12 avril. Ce lendemain D'élection a été pour BruxeHes un jour très calme, après une nuit qui n'avait été marquée que par de menus incidents dans les parages de l'immeuble j-existe de la rue des Chartreux. ° M. Van Zeeland a été reçu ce matin au Palais royal de Bruxelles par le Roi qui était rentré hier de Suisse. Les divers partis anti-rexistes s'attribuent chacun la plus large part à la victoire mais la préoccupation de regrouper les forces de droite, en n'en excluant personne, a déjà surgi et l'exaltation de certains milieux de gauche crée, chez les catholiques surtout, le souci d'éviter la formation d'un Front populaire.

La condamnation portée par l'archevêque de Malines inquiète de nombreux Résistes, surtout en province. Dans la province d'Anvers, notamment, le cartel avec les catholiques court grand risque de prendre fin. Certains députés, déclare-t-on, seraient disposés à faire acte de soumission. Seront-ils accueillis ensuite dans les rangs de la droite catholique ou quitteront-ils la scène politique ? Voilà une question à laquelle il ne sera pas répondu immédiatement. La physionomie de la Chambre sera, en tout cas, modifiée par l'adjonction de M. Van Zeeland au nombre des députés et par le départ de M. Bovesse, qui a remis aujourd'hui sa démission comme ministre de la justice et comme membre de la Chambre, M. Jules Mathieu est démissionnaire pour devenir gouverneur de la province de Liège. En-

SUITES DE LA PREMIERE PAGE' INGENIEURS ET AGENTS DE MAITRISE. Nos syndicats, m'a déclaré un dirigeant de la F. N. S. I., sont réservés aux ingénieurs et s'attachent plus particulièrement à l'étude des problèmes strictement professionnels. D'autres organismes, dans un effort parallèle au nôtre, essaient de grouper en même temps ingénieurs, techniciens.et agents de maîtrise. La difficulté est ici abordée de front, car les diverses catégories qui constituent les « cadres n'on pas toujours des intérêts communs.

La hiérarchie nécessaire

Tout le monde s'accorde pour reconnaître la nécessité d'une hiérarchie dans la détermination de ces catégories de techniciens, et la C. G. T. ellemême, qui renie le principe, accepte le fait dans l'élaboration des conventions collectives. Cette hiérarchie, la voici

L'ingénieur qui conçoit le chef de service qui coordonne l'agent de maîtrise qui commande le technicien, proprement dit qui développe les plans (le dessinateur, le chef d'équipe par exemple).

Les cadres de la production ainsi déterminés comprennent (hors les ingénieurs) environ un million de personnes La C. G. T. (ingénieurs compris) en compte 80.000 seulement On voit donc l'importance du problème. Cela explique u la naissance e d'une nouvelle organisation syndicale la Confédération générale des cadres économiques (C.G.C.E.).

Cette nouvelle confédération vient d'installer ses locaux au 94 de la rue de la Victoire. Une première caractéristique assez curieuse on ne peut rencontrer aucun dirigeant dans la journée, tous vaquent à leurs occutations. Le principe des permanents appointés, si cher à la C.G.T., est ici rejeté. C'est après leur travail respectif que les « responsables » viennent régler les affaires du syndicat.

« Autorité, responsabilité, initiative »

L'idée d'organiser les cadres de la production nous est venue du Syndicat des cadrés de l'industrie aéronautique, m'explique l'un d'eux, à l'heure les citoyens ordinaires regagnent leur foyer. Depuis juin 1936 nous avons travaillé à établir d'étroits contacts entre les différents groupes d'ingénieurs et dé techniciens, et surtout avec le S.I.A.M. (Syndicat d'ingénieurs et d'agents de maîtrise) qui a provoqué à Lille une grève des techniciens que vous connaissez.

–Et la C. G. T.?

Nous ne refusons aucun contact. Notre but est .de grouper les «cadres autour de ces trois principes autorité, responsabilité, initiative. Nous pourrions faire, qu'un reproche la.C. Gj T., qui est capital, celui faire de. la politique.

V Mais, continue mon interlocuteur, nous tenous aussi à affirmer notre indépendance à l'égard du patronat. Nous ne sommes contre personne, mais nous n'acceptons aucune mise en tutelle, nous rejetons tout parrainage, quel qu'il soit. »

Vos méthodes d'action ?

Grouper, organiser les cadres par branches professionnelles, mettre en présence et ordonner les intérêts interprofessionnels, dans la liberté la plus complète d'appréciation.

Ensuite, sur le plan politique et, si je puis dire, quotidien, travailler a organiser, la défense des cadres, lutter pour l'élaboration des contrats collectifs intéressant les techniciens, obtenir le respect de la liberté du travail et le respect de l'autorié. Pour cela, une seule méhode d'action qui tient dans un seul principe «L'union fait la force. » 900.000 techniciens et agents de maîtrise.

Plus de 900.000 techniciens et agents de maîtrise peuvent encore se grouper hors de la C. G. T. et refuser ainsi de se laisser prolétariser, comme la chose vient d'arriver à leurs collègues de l'UAion syndicale des technieiens de l'aéronautique. Ceux-ci, adhérents à la C. G. T., viennent, en effet, d'être intégrés dans la Fédération ouvrière des métaux (à inspiration communiste). Lés techniciens de la C. I. T. protestent contre cette ingérence des syndicats ouvriers dans leur vie professionnelle.. Un conflit est donc actuellement ouvert entre ouvriers et techniciens cégétistes.

C'est cette menace de « prolétarisaion » qui empêche les n cadres de s'agréger à la C. G. T., nous explique-t-on. Mais les techniciens se refusent également à un syndicalisme d'inspiration patronale.

Affirmant hautement son indépendance, résolument et strictement professionnelle, la Confédération générale des cadres, qui vient de naitre, réussira-t-elle à redonner à l'élite de la production l'autorité et la liberté indispensables à l'accomplissement de. sa tâche ? 2

EN OBSERVANT MOULAY HAFID.

Je songeais vaguement à tout cela, quand une note de flûte à l'orchestre lit soudain surgir à ma mémoire un autre souvenir sur ce redoutable plaisantin. Il venait de cap.turer un homme qui lui avait donné bien du fil à retordre, un de ces prétendants comme on en voit sans cesse au Maroc, le rogui Bou Amara, l'Homme à la chèvre. Il l'avait fait mener au dar maghzen et exposer aux regards de la foule dans une cage de fer, qu'on voit aujourd'hui encore tramer dans un coin du Méchouar. Or, ce Bou Amara aimait lui aussi la musique. TI avait près de lui un joueur de flûte qui le suivait partout et lui jouait ses airs favoris. Par dérision, Hafid voulut que le joueur de flûte continuât jusqu'au bout son office auprès de son maître. Et le joueur

SECOND LUNDI

OU LA CLIENTELE EST PRIEE DE REPASSER Quelques commerçants s'étaient crus autorises à employer quelques extras. On leur a intimé l'ordre de les congédier sur-le-champ. Qu'ils retournent au chômage

Partout on attend avec impatience les «ménagements indispensables.

Peu d'incidents hier; si ce n'est dans certains magasins, notamment dans une grande chemiserie, voisine du boulevard de Sébastopol, où les vendeurs furent pris à partie par les employés cégétistes, rassemblés sur la chaussée. On dut baisser en hâte les rideaux de fer et la police protégea la retraite des travailleurs.

Les Bouleverds et les Champs-Elysées ont connu une activité et une circulation para-dominicales. Tous les ouvriers et les employés qui n'avaient pas quitté Paris pour goûter aux joies de la pêche et de la promenade au grand air campagnard flânaient, endimanchés, le long des magasins aux portes souvent closes. Et le Bois vit les premiers déjeuners *v J'heri». ~> 1-

fin, un député communiste est mort dimanche.

Aucune décision n'a été prise pour remplacer le ministre de la Justice. L'intérim de son département sera assuré par M. Pierlot, ministre de l'Agriculture, pendant un temps qui pourrait être assez long.

M. Van Isaker, ministre des affaires économiques, abandonnera probablement son portefeuille pour la diplomatie et pourrait devenir ministre de Belgique à La Haye. Cette dèsignation est, en tout cas, considérée actuellement comme prématurée.

LE Dr SCHACHT ARRIVERA AUJOURD'HUI

A BRUXELLES

Bruxelles, 12 avril. Le Dr Schacht, venant de Cologne par avion spécial, est attendu demain à 9 heures à Bruxelles. Le ministre de l'Economie du Reich sera reçu à 11 heures par le roi. Il sera ensuite l'hôte à déjeuner de M. Franck, auquel, officiellement, il rend la visite que le gouverneur de la Banque Nationale de Belgique lui a faite il y a quelques mois.

Mercredi, V. Van Zeeland recevra à déjeuner le Dr Schacht, qui poursuivra ses entretiens dans l'après-midi. Le Dr Schacht quittera Bruxelles jeudi matin.

Michel-P. Hamelet.

POUR ACCELERER. LA REPRISE DES AFFAIRES. 0

ou la conséquence de la loi des quarante heures. Hier, à Paris, des milliers de magasins, petits et grands, avaient dû baisser leurs rideaux.

de flûte était là, accroupi devant la cage, et soufflant dans son'roseau. Seulement il n'en tirait aucun son, car Hafid avait pris soin de lui faire crever les deux joues. Cependant, sur la scène, les danses du Prince Igor se déroulaient joyeuses et colorées. Ses mains sombres toujours sur l'appui de la loge, ses lourdes paupières à demi rabattues sur ses yeux, Moulay Hafid écoutait la musique.

Jérôme et Jean Tharaud.

LA GUERRE CIVIL,E EN ESPAGNE

M. EDEN AFFIRME SA CONFIANCE dans la politique de non-intervention

Il avertit que l'envoi de nouveaux contingents étrangers causerait la plus grande inquiétude à son gouvernement De notre correspondant j>sirticixliesr, jg>sir. télépnone

Londres, 12 avril. M. Eden a prononcé, ce soir à Liverpool, un important discours consacré, à peu près exclusivement au problème de la guerre espagnole en présence duquel, depuis le début du conflit, le gouvernement de Sa Majesté, selon les propres paroles du secrétaire d'Etat, « a eu constamment en vue deux objectifs prèmièrement empêcher le conflit de s'étendre au delà de la frontière d'Espag.*e et deuxièmement préserver, quel que soit le résultat final du conflit, l'indépendance politique et l'intégrité territoriale de l'Espagne. »

» On peut dire, ajouta M. Eden, et dire avec vérité qu'il y a eu rupture, rupture flagrante de l'accord de nonintervention. En dépit de cet accord les deux parties se servent de matériel .venant de l'étranger et des sujets de nationalité étrangère combattent dans les deux armées. »

Pour M. Eden la politique de nonintervention a toutefois limité peu à peu le flot de l'intervention étrangère en 'armes et en hommes. Bien plus, la poursuite de cette politique a nettement réduit les risques d'une guerre générale. M. Eden a confiance dans le nouveau plan de contrôle parce qu' « une fois que cet accord sera en vigjueur la période si prolongée de rumeurs, d'attaques, de contre-accusations sera terminée et que nous serons en présence de faits et non d'accusations sans preuves ».

Le secrrtaire d'Etat n'a pas manqué d'avertir que cette fois l'envoi de nouveaux contingents causerait « la plus grande inquiétude au gouvernement de Sa Majesté et produirait de nouvelles et dangereuses situations que toutes les

LE « LION DE JUDA ».

HIER A MONTREUX

La conférence des capitulations a commence ses travaux

Nahas Pacha a été élu président

Montreux, 12 avril. La conférence pour l'abolition des capitulations en Egyple a été ouverte, cet après-midi, dans la salle des fêtes du MontreuxPalace.

M. Motta, président de la Confédération helvétique, a ouvert la conférence. Nahas Pacha, président de la délégation égyptienne, a ensuite pris la parole

Il a dit que, après le traité d'amitié et d'alliance que l'Egypte a conclu avec la Grande-Bretagne, son pays compte entrer bientôt à la S.D.N. pour assumer sa part de responsabilités internationales au service de la paix et de 'l'humanité en parfaite égalité avec les autres puissances.

« L'Egypte, a-t-il poursuivi, a le sens de ses vraies responsabilités, mais elle n'en serait pas digne si elle n'avait la préoccupation constante de travailler en accord avec tous pour assurer à tous la justice et la paix. Du reste, vos compatriotes qui habitent chez nous l'ont depuis longtemps compris, et c'est ainsi qu'ils ont pris une part effective aux réjouissances nationales qui ont accompagné la signature du traité angloégyptien.

puissances pacifiques du Royaume devraient être déterminées à écarter. Répondant d'autre part à une question, M. Eden a déclaré qu'il serait dangereux d'oser prédire « une victoire rapide de l'une ou de l'autre partie ». Pour lui, les gens qui croient que la victoire du gouvernement de Valence vouerait l'Espagne à la domination du communisme et celle de Franco à la domination du fascisme, font un mauvais calcul. Le peuple espagnol est trop fier de son indépendance pour l'aliéner en faveur d'une domination étrangère quel-' conque.

AUX COMMUNES,

M. BALDWIN PARLE

DU BLOCUS DE BILBAO La décision qu'a pris hier soir le gouvernement britannique au sujet du blocus de Bilbao a été communiquée cet après-midi aux Communes par M. Baldwin lui-même. Elle est exactement ce!le que nous avions annoncée dans uotre dépêche d'hier soir

« Le gouvernement de Sa Majesté ne peut reconnaître ou concéder le droit de belligérance et ne peut tolérer aucune intervention en pleine mer contre les bateaux anglais. »

II a par conséquent signifié aux navires marchands-jpriin raison de la situation qui règne dans le voisinage de Bilbao, ils, ne devaient pas, pour des

De sanglants combats continuent à se dérouler à l'ouest de Madrid

Rabat, 12 avril. Des informations de source nationaliste parviennent aui jourd'hui sur la bataille qui s'est déroulée hier à l'ouest de Madrid. Les forces rouges auraient subi un écher retentissant.

« Le Cerro del A guila et la Cuesta de las Perdices, dit le communiqué officiel de Salamanque, ont été attaquées par les brigades d'étrangers « Lister », « Taharo » et « Dimitroff » ainsi que par les 54e et 58° brigades de paysans. Les assaillants ont eu plus de 3.000 morts, sur les 16.000 qui se sont lancés à l'attaque. »

Les nouvelles de source gouvernementale reconnaissent que les positions nationalistes ont résisté, mais confirment que les miliciens ont encerclé les défenseurs de la Cité universitaire,

giclent bombardement

des environs de Bilbao Sur le front basque, l'offensive nationaliste parait marquer une pause, et déjà circulent des bruits de négociations, d'ailleurs démentis à Bilbao. Le général Mola, faisant suivre son ultimatum d'un commencement d'exécution, a envoyé sur les environs de

» Si, ayant vécu dans la pacifique vallée du Nil, ils ont vu, même aux heures les plus difficiles, leurs person- nes et leurs biens efficacement protégés, comment ne seraient-ils pas assures que cette protection sera encore plus efficace dans un régime normal et régulier. » En terminant, Nahas Pacha a dit que « la conférence doit aboutir; quelques grands que puissent être les intérêts en jeu, le succès de la conférence représentera un intérêt plus grand, car il sera interprété par l'Egypte comme la preuve concluante de l'amitié tradition- nelle qui lie les Egyptiens et les étran- gers ».

Sur la proposition de M. de Tessan, premier délégué de la France, Nahas Pacha a été élu président de la conférence, et M. Motta, président d'honneur. Après quelques mots de remerciement du président et du secrétaire général, la conférence a constitué deux commissions une commission générale chargée de la préparation du projet de la future convention et une commission technique chargée principalement du nouveau règlement de l'organisation judiciaire et de l'étude du régime provi- soire.

j

raisons pratiques et en vue des risques contre lesquels il est à présent impossible de les protéger, se rendre dans ces parages aussi longtemps que ces conditions prévaudront. Bilbao est à proximité de la zone de guerre et il y à de constants et sérieux risques pour les navires 'marchands d'être bombardés par l'aviation. En plus, des mines ont été semées par les deux parties aux alen-'tours du pbrt et pour n'importe quel bateau cherchant à entrer dans le port, il y aurait de graves risques à. moins qu'ils ne soient précédés d'un bateau dragueur de mines jusqu'à l'entrée des eaux territoriales.

Comme suite à la déclaration ,^du premier ministre, un avertissement a été adressé à tous les propriétaires de vaisseaux marchands d'éviter les parages de la côte de Bilbao. Ils ont été informés qu'aucune protection ne peut être donnée à leurs navires par la flotte dans cette région et qu'ils y entreraient à leurs propres risques.

Cet avertissement ne concerne pas seulement les eaux territorialcs, mai' une zone bien plus étendue.

Bien que les mUieux officiels prétendent que le gouvernemennt britannique n'a pas modifié sa politique, la décision qu'il vient de prendre au sujet de Bilbao est l'équivalent de la reconnaissance du blocus de la junta.

Gérard Boutelleau.

Bilbao et sur la région d'Eibar de nombreuses escadrilles qui ont soumis les fabriques d'armes et de munitions à un bombardement intense. Les nationalistes ont effectué également des raids sar les aérodromes gouvernementaux. Ils confirment la destruction de quarante avions ennemis. Bilbao et ses faubourgs ont été denouveau arrosés de tracts invitant les Basques à déposer les armes. Dans les autres secteurs, on signale seulement des actions de détail. L'armée catalane aurait pris l'offensive sur le front d'Aragon et occupé l'ermitage de S&nta-Quiteria, faisant 50 prisonniers. Les combats continuent.

Le blocus

de la Côte basque

Un avertissement

de l'Almirante Cervera

Bayonne, 12 avril. On annonce que le croiseur insurgé espagnol Almirante Cervera a transmis par T.S.F. un avis ainsi conçu

« Tout navire espagnol ou étranger entrant dans les eaux de Biscaye sera saisi ou coulé. »

Le « Hood » a jeté l'ancre au large

de Saint-Jean-de-Luz Bayonne, 12 avril. Le cuirassé Hood est arrivé ce soir à 18 h. 30 au large de Saint-.Tcan-de-Luz. Il s'est ancré à environ deux milles de la pointe de SainteBarbe. Plusieurs vedettes se sont rendues auprès du cuirassé.

Les évolutions du plus grand navire de guerre du monde ont été suivies par une foule considérable sur la jetée de Saint-Jean-de-Luz.

Cet après-midi, on a pu voir au large de la côte nord, deux contre-torpilleurs britanniques, et le cuirassé britannique Hood a été signalé ce soir au large de Bilbao.

^i

Aux Etats-Unis

la Cour suprême approuve la législation sociale

du président Roosevelt

Washington. 12 avril. La Cour suprême a déclaré constitutionnelle, par 5 voix contre 4, la loi-Wagner réglant les relations entre les patrons et les employés.

On sait que la loi Wagner garantit le contrat collectif et assure la protection des ouvriers non syndiqués. Elle empêche toute intervention des patrons dans les organisations ouvrières.

Le plus grand pétrolier d'Europe est lancé à Dnnkerqne

(De notre envoyé spécial)

Dunkerque, 12 avril. Aujourd'hui et Ernest Mercier, président de la Soa été lancé aux Chantiers de France, ciété Navale des Pétroles. à Dunkerque, un navire qui sera le plus Tout le monde s'est accordé à célêgrand pétrolier, non seulement de brer l'œuvre entreprise depuis quinze France, mais d'Europe. La Compagnie ans pour libérer le ravitaillement de la Navale des Pétroles, qui l'a fait cous- France en combustibles liquides et pour truire, le destine aux transports de pé- affirmer l'envie d'y persévérer. troles de.l'Irak. Elle lui a donné le nom A Tfcnma»î de son ancien directeur général, Emile A- xnomazi. Miguet, prématurément décédé en 1935. » "L'Emile-Miguet, long de 175 mètres,

aura près de 10 mètres de tirant d'eau JU I ANCFMFNT et pourra, en pleine charge, porter t/intl>«IWH 21.000 tonnes de pétrole. Il sera mû DU Tf)RP1I I FUR par deux moteurs totalisant une puis- uu lUnril.iit.Uft-, sance de 7.250 chevaux et muni des QQ ANI F RAK ̃» installations les plus perfectionnées. « Dn/ini>dmO/%0 »

̃ L'opération du lancement, que ren- Havre., 12 avril, -devant «ne

liaient difficiles les grandes dimensions s Le Havre, 12 auril. Devant une,

daient difficiles les grandes dimensions fi considérable, il a été procédé ce

du navire et l'exiguïté relative du bas- foule considérable, il du torpilleur

,sin, a parfaitement ¡;él1ssi. matin au lancement du tio-

^m^e^tf^ràine du pé- Branle-Bas, destiné à marine na trolier, a brisé sur la coque la tradi- nale. tionnelle bouteille de Champagne et le Les principales caractéristiques du bâtiment est descendu de sa cale à une nouveau bâtiment sont les suivantes. · vitesse impressionnante, aux applaudis- déplacement, 610 tonnes longueur, 80 sements d'une nombreuse assistance, mètres 70 largeur, 7 m. 20 tIrant Le banquet qui a suivi la cérémonie d'eau, 2 m. 85 puissance, 22.000 chea été présidé par M. Ramadier, sous- vaux vitesse, 34 nœuds o. secrétaire d'Etat aux travaux publics, Le Branle-Bas est armé de deux caqui a répondu aux discours de MM. Lau- nons de 100, deux mitrailleuses et deux rent, président des Chantiers de France, tubes lance-torpilles.

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LES GRANDES VENTES PROCHAINES `

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îlllllZlJi'-l.iiMi^Mî|-|||l.- Petite meuble en acajou cora-

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les côtés. Il repose sur six

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m i (D'après nne tradition fa-

1 fait partie de l'ameuble-

e nient de Marie-Antoinette,

Y: Succession de Mme 0.

` i~,7~ é Lire l'article à la rubrique

~y41 'z~sx~ « L'Art et la Curiosité»,

» 3 «.^ en 4 page.

LES CONFLITS OUVRIERS

La grève de la brasserie continue

La Confédération des commerces et industries de l'alimentation communique

La grève de la brasserie continue. Plusieurs usines de Paris demeurent occupées. En province, les brasseries de Bar-le-Duc le sont également. Les directions sont dans l'impossibilité de pénétrer dans leurs locaux.

D'importantes quantités de marchandises sont en voie de perdition, des ouvriers ayant décidé, en violation de la convention collective, de ne plus assurer la conservation des denrées en cours de fabrication. La même situation se présente dans, d'autres établissements d la région parisienne. Les usines ne peuvent plus assurer les livraisons, les grévistes empêchant la sortie des camions et s'opposant au travail des nongrévistes.

Paris commence à manquer de bière, les syndicats ouvriers s'opposant aux expéditions normales de province. La Confédération nationale renouvelle ses protestations contre la prolongation des occupations illégales et des entraves à la liberté du travail. Légère effervescence autour d'une chocolaterie, rue Violet A la chocolaterie des Gourmets, rue Violet, un piquet composé d'une cinquantaine de grévistes stationnant dans la rue, interdisait hier le passage aux aux ouvriers qui auraient voulu reprendre le travail. La police intervint et ne toléra que de petits groupues. Les pourparlers sont engagés pour que le travail reprenne dans cet établissement. Une grève particulièrement inopportune à Reims

La semaine dernière, à la suite d'un mécontentement causé par l'inobservation alléguée du principe de la semaine de 40 heures, le personnel ouvrier des maisons de Champagne de Reims manifesta quelque effervescence. Les employeurs durent prendre quelques sanctions et effectuèrent des licenciements à titre provisoire. Le vendredi, en représailles, le personnel ouvrier fit grève. Une occupation des caves fut commencée, ce qui ne s'était pas produit au mois de juin. Ces événements eurent un effet tout particulièrement fâcheux, car ils coïncidèrent avec la venue à Reims d'une importante caravane d'hôteliers américains.

Grève aux usines d'aviation Latécoère

Toulouse, 12 avril. A la suite du renvoi de trente ouvriers, le personnel

prenant cinq tiroirs dans la

moires à tiroir supérieur sur

pieds fuselés et est surmonté

d'un coffret contenant une

glace. Estampillé Dubois.

Epoque Louis XVI. Haut.,

1 m. 23; larg., 1 m. 14; prof.,

miliate, cette pièce aurait

au Temple.)

des usines d'aviation Latécoère, soit au total 800 personnes, s'est mis en grève et occupe les locaux sur lesquels un drapeau rouge a été hissé.

Deux poids et deux mesures Le Comité de Salut économique écrit au président du Conseil

Une sentence récemment rendue et qui devait mettre fin à un double couflit qui avait surgi dans les industries du vêtement, est inobservée par la C. G. T. avec désinvolture.

Il ne peut y avoir deux' poids et deux mesures. Or, non seulement, la loi prévoit que la sentence est sans appel, mais lorsque celle-ci est rendue par un surarbitre, désigné par vos soins, elle engage votre responsabilité.

M. Jérôme Carcopino est nommé directeur de l'Ecole française d'archéologie de Rome

Le Journal officiel publie ce matin Edmïalion nationale. Par décret en date du 8 avril 1937, rendu sur la proposition du ministre de l'éducation nationale, à dater du le' juillet 1937, M. Jérôme Carcopino, professeur titulaire de la Faculté des lettres de l'Université de Paris, est nommé directeur de l'Ecole française d'archéologie de Rome, en remplacement de M. Emile Maie, admis à faire valoir ses droits à une retraite.

Cette nomination a effet pour une durée de six ans.

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UN CAVALIER SE BLESSE grièvement au cours

d'un steeple-chase militaire Montluçon, 12 avril. Au cours d'une réunion hippique organisée hier à l'hippodrome de Saint-Jean, deux chevaux sont tombés au saut du mur durant le steeple-chase militaire.

L'un des cavaliers, le lieutcnant Barbier, 26 ans, appartenant au 75" R. A. de Fontainebleau, est dans un état très grave.

M. André de Fouquières a présidé hier, dans un grand restaurant de la rive gauche le premier déjeuner du Magasin Pittoresque rénové. On remarquait parmi les convives le gérféral Mariaux, M. Uupont-Ferrier, de l'Académie des inscriptions M. Camille Mauclair. Au dessert, une spirituelle allocution fut prononcée par M. de Fouquières, soulignant le mérite des efforts accomplis par le directeur du Magasin Pittoresque, M. Bouin, et par le marquis


LES RÉSULTATS DE NOTRE REFERENDUM

LE CROCHET

ra ophoni qu e

dès lecteurs du « Figaro »

1. m Ce que les auditeurs ne veulent plus entendre

1. Les émissions politiques

̃ .quels que soient les orateurs et leurs opinions.

2. Les discours ministériels

.ceux qui désirent connaître leur élõ quence n'ont qu'à se déranger pour les entendre.

3. Les informations tendancieuses .cf celles concernant les événements ̃ d'Espagne.

.nous voulons des informations qui ne soient pas commentées par des sec-

''̃̃̃ taites. ̃ ̃ '•̃

4. Les « mises en ondes »

.de pièces théâtrales sans valeur, danv gereuses pour la jeunesse, car elles

tournent en dérision la religion, F auto-

rité.

^d'opérettes tronquées.

5. Les programmes mal avertis,et de mauvaise qualité

..idouze fois Carmen, cet hiver.'

.ces concerts retransmis de province '̃̃̃ entre midi et 13 h. 30, médiocres à tous points de vue.

6. Les revues de presse

exclusivement consacrés aux journaux et aux autres qui encensent le gouver.

nement.

.qui ne sont pas des revues d'idées et qui mettent la vérité sous le boisseau.

/?• La publicité

.l'horrible publicité. mendicité. four.berie. perfide qui débute par un mor-

ceau de musique.

.ce genre de réclame me décide à ne point devenir client des maisons qui

me troublent le plaisir d'écouter la

radio.

8. Les -chansons grivoises et réalistes .supportables au music-hall grâce à la distraction visuelle, mais dont le côté

̃̃• vulgaire est découpé à la T. S. F.

.car de jeunes oreilles sont à l'écoute. 9. Les speakers sans culture

.qui font une salade des noms d'auteurs, de f abricants de pianos et d'exécutants.

.qui parlent « argot » et font des « cuirs ».

10. La musique de jazz.

.une cacophonie qui serait répudiée par les nègres les plus arriérés.

-un entassement de f ausses notes qui ne peuvent évoquer aucun sentiment.

NOUVELLES DIVERSES J™ DE L OPERA-COMIQUE

| L'état du bandit Theurier est stationnaire

Mme Barthout et M. Naudin vont un peu mieux

Gr'en, 10 avril. L'état de Mme Barthout, victime de Theurier, hospitalisée à Gien, n'a guère changé. Cependant, aujourd'hui elle a repris connaissance et a; eu la force de prononcer quelques paroles elle notamment demandée le nombre des victimes.

L'état de Theurier est toujours stationnaire. Celui du chauffeur Naudin semble s'améliorer.

L'interrogatoire de M. Naudin a repris «t se poursuivra demain.

Un alpiniste qui s'entraînait en forêt île Fontainebleau fait une chute mortelle Deux autres se blessent

Un groupe de campeurs effectuait l'ascension d'un rocher abrupt en forêt de Fontainebleau, lorsque le bloc de pierre auquel était fixée la corde vint à se détacher. L'un des sportifs, M. Jacques Daim, demeurant à Paris, 69, avenue Wagram, tomba à la renverse et se tua.

Un autre Parisien, M. Daniel Souveraïl, 42 ans, qui suivait son camarade, fat précipité dans le vide, mais se blessa peu grièvement.

Quelques heures plus tôt, au même endroit, un autre touriste, appartenant à un groupe différent, avait été luimême victime d'un accident sans gravité et conduit à l'hôpital de Fontainebleau.

Deux trafiquants de drogue sont arrêtés

Des inspecteurs de la brigade mondaine ont arrêté Alcide Pelletier, trente ans, originaire de Toulon, demeurant 52, rue Boursault, qui était au volant d'une puissante auto, dans laquelle on a découvert des bocaux pleins de drogue et des balances de précision. Pelletier, inculpé de trafic de stupéfiants, avait déjà été condamné trois fois pour le même motif.

Les mêmes policiers ont arrêté un autre trafiquant, Adrien-Emile Rivaux, 25 ans, qui revendait de l'héroïne à des intoxiqués.

Ces deux malfaiteurs ont été mis à la disposition de M. Thevenin, juge d'instruction.

Une folle vivait enfermée avec le cadavre de son mari Toulouse, 12 avril. Alertée par un visiteur qui, ayant frappé plusieurs Mil, n'avait pu obtenir réponse, la po-

qu

11. Les déclarations de champions. .cyclistes, pugilistiques et autres, débitant devant le micro des pauvretés

12. Le Radio Journal de France. .où des journalistes font passer dans leurs commentaires leur véhémente

.où les « Dernières Nouvelles » sont .'̃'̃̃' "̃̃ répétées n fois par jour.

13. Les conférences d'histoire politique .sur le mouvement ouvrier en 1848 ou sous le Second Empire, car elles n'in-

14. Certaines voix

.dont les inflexions à elles seules constituent l'imposture radiogénique à

15. Le groupement Art et Travail. .qui s'est donné pour mission de détruire une « pudeur désuète ».

.dont les pièces révolutionnaires sont une véritable excitation à la violence

16. Les Informations boursières .souvent inexactes.

< empreintes d'un ,optimisme de cornmande.

17. Les Romances sentimentales .bêtes à pleurer.

18. Les Emissions enfantines J .par trop enfantines et sans aucun intéx rêt même pour les enfants.

19. Les « Mes chers auditeurs » .Prenons exemple sur les postes anglais. .Je ne suis pas plus cher à ces messieurs, qu'ils ne me. sont, chers.

20. Les Dialogues en simili patois .caricatures de la mentalité paysanne.

lice enfonçait aujourd'hui la porte du 1 magasin de librairie et antiquités tenu lu 57, rue du Rempart-Saint-Etienne par M. Joseph Frances. 60 ans.

Derrière le magasin, les agents découvrirent, dans un réduit, le cadavre du commerçant, dont la face et le cuir chevelu avaient été dévorés par les chats. Affalée près du corps, se tenait, hagarde, la femme du bouquiniste connue comme folle dans tout le quartier. Le magasin contenait une grande quantité de livres; dont plusieurs exemplaires pour bibliophiles, de haute valeur, et aussi une très importante collection de photos d'ouvrages antiques. Se trouve-t-on en présence d'un crime crapuleux ou d'un crime de la démente, on bien d'un suicidé, ou plus simplement même, d'une mort naturelle ? C'est ce que l'enquête et l'autopsie permettront sans doute d'établir.

En attendant, Mme Frances, dans sa folie, persiste à dire qu'hier encore, elle a fait la toilette de son mari dont le décès remonte cependant à plusieurs jours. Elle a été mise en observation a l'hôpital La Grave.

Une explosion

dans une minoterie américaine tue trois ouvriers

et en blesse cinquante

New-York, 12 avril. On mande de Milwaukee (Wisconsin) qu'une formidable explosion s'est produite dans la principale minoterie de la ville: « Krause Milling Company ». Trois ouvriers ont été tués et une cinquantaine d'autres grièvement blessés. Les dégâts sont rovisoirement évalués à un million de

dollars.

Dans le quartier de la minoterie, tou- tes les vitres des immeubles ont été brisées par le déplacement d'air provoqué par la terrible déflagration.

Cette catastrophe a causé une véritable panique parmi la population. EN QUELQUES UGNES Des inspecteurs de la Police judiciaire ont arrêté quatre malfaiteurs qui dérobaient des appareils automatiques dans les débits de boissons, après avoir volé une auto pour porter ces appareils. Ce sont Marcel Albouy, Raoul Illy, cinq fois condamné, Pierre Leroux et Ray.mond Alleguède. Tous au Dépôt. LOIRET. Les travaux de repêchage ont permis de retirer de la Loire l'automobile de M. Endlitr, récemment tombée dans le fleuve. Le corps du chefadjoint du cabinet de M. Dezarnaulds ne s'y trouvait pu.

lamentables.

.qui feront mieux la fois prochaine.

passion de parti. ̃

téressent personne.

une « indigestion »•

l'état de pureté.

.voix à gifles.

et au meurtre.

.où la sensiblerie tente d'avoir sa place, mais d'où le sentiment, le vrai, est totalement exclu..

.la radio n'est pas f aite pour les enfants pas plus que les concours de chant

pour une f illette qui chante la Prière

de La Tosca. ̃̃

Une interpellation de M. Reibel M. Charles Reibel, sénateur de Seineet-Oise, vient de déposer entre les mains dup résident du Sénat une demande d'interpellation au président du Conseil.

Rappelant d'une part le gala populaire qui a eu lieu mercredi dernier au Théâtre national de l'Opéra-Comique, sous la présidence de M. Léon Blum, et à la fin duquel l'orchestre a joué !a Marseillaise, immédiatement suivie de l'Internationale, et invoquant d'autre part les divers drapeaux placés sur des constructions de l'Exposition,, M. Roibel compte demander au président du Conseil « quelles mesures il entend prendre pour assurer le respect des emblèmes que la France s'est donnés, et en particulier l'intégrité de l'hymne et du drapeau national. »

La dévaluation n'a pas réussi chez nous,

dit M. Mendès-Franca

Dans une allocution qu'il a prononcée devant le comité radical de Beuzeville (Eure), M. Mendès-Franca, président de la commission des douanes de la Chambre, a reconnu que la France n'avait pas obtenu de la dévaluation les avantages que d'autres pays en ont tiré. Pour remonter la pente, a-t-il ajouté, il faut obtenir de tous le calme, l'ordre et la discipline.

Une agression contre le docteur Gautier, candidat. du P. S. F. à l'élection de Mortain.

Un pavé lancé contre sa voiture blesse deux personnes

Cherbourg, 12 avril. Le docteur Gantier, candidat du P. S. F. à l'élection législative de Mortain, arrivé en tête au premier tour, comme nous l'avons annoncé, regagnait en automobile Saint-Hilaire. Il était accompagné de M. Reis, délégué de Paris à la propagande. A un mètre de la voiture, un individu lança un pavé dans la glace. M. Reis et le chauffeur ont été blessés par les éclats de verre.

Q A ET L A

Jt Des travaux étant actuellement en cours dans le bassin souterrain du quai de Tokio, la circulation est interdite sur ce quai pendant quelques jours, en direction de Passy. Seules, les voitures venant de Passy vers l'Alma pourront

l'emprunter.

AU COMITE NATIONAL DE LA C. G. T.

M. LEONJO~ réclame un, emprunt à souscriptions forcées.» et « l'épuration

'~trat~ve

Le Comité confédéral national de la C.G.T. s'est réuni hier à la Maison de la Mutualité, sous la présidence de M. Biot, assisté de M. Dolker et de Il. Barroumes.

La séance du matin a été consacrée à. diverses questions d'ordre intérieur. Celle de l'après-midi a débuté par l'examen du projet de constitution d'une caisse centrale de résistance chargée de venir en aide aux grévistes. A ce sujet, M. Léon Jouhaux, qui approuve cette caisse, précise « Cela implique une certaine règle, c'est que les grèves doivent être portées à la connaissance des fédérations et des unions départementales, et non pas déclenchées à tout propos et à tout moment, faute de quoi les grévistes n'auraient pas droit à la .1 solidarité confédérale.» n

Le principe du projet est adopté à l'unanimité. Le Comité confédéral s'est occupé ensuite des grands travaux. M. Arrachart, secrétaire de la fédération du bâtiment, signale la déception. ap- portée par le ralentissement du plan des grands travaux. Il ajoute que 35.000 ouvriers sont actuellement occupés sur les chantiers de l'Exposition, mais que 20.000 seulement seront employés pour l'aménagement de la région parisienne. Il poursuit «Nous avons proposé que le gouvernement lance un emprunt pour financer ces grands travaux, utiles à la collectivité. Ne pourrait-on obliger les possédants de fortunes au-dessus de 500.000 francs à souscrire à l'emprunt ? » n

Le Comité décide alors d'organiser une Journée nationale du Bâtiment pour le 23 avril, alin d'attirer l'attention de l'opinion publique. M. Léon Jouhaux prend ensuite la parole. Il s'associe pleinement aux décisions du Comité fédéral du Bâtiment

« Nous sommes allés de recul en recul sur ce terrain des grands travaux. L'opinion publique doit en être largement avertie. En 1936, 1 milliard 500 millions auraient pu être employés et ne l'ont pas été parce que les administrations n'étaient pas prêtes pour les employer. Là aussi se pose, la question d'une épuration administrative. Les directeurs des grands ministères ne sont pas pour faire obstacle au projet établi pour le bien du pays. La,reprise économique, avec les résistances qu'elle rencontre, ne se développera qu'autant que la confiance sera' ramenée dans le pays. Si des travaux sont entrepris, si le chômage se résorbe, la confiance renaîtra et les résistances elles-mêmes s'affaibliront. Plus que jamais cette partie du plan de la C.G.T. doit être appliqué. »

Le Comité poursuivra ses travaux ce matin.

L'application des quarante heures

Les ouvriers de la chaussure manifestent devant

les magasins ouverts

j, Dans. JîaRï&wmidi ^d/M* des ouv^ers

de la chaussure ont circulé. par petits groupes de vingt à trente përsorihes dans les principales artères de Paris avenue d'Orléans, rue de Rivoli, boulevard Sébastopol, boulevard de Cliohy. Ils protestaient contre les directeurs des maisons qui, sans autorisation, laissaient leurs magasins ouverts à la clientèle. Chaque fois, les gardiens de la paix, assistes de gardes républicains, interve- naient. La manifestation cessait alors pour recommencer un peu plus loin. Mais il n'y a pas eu d'incident important.

Incidents en province

Une manifestation des vendeuses contre les magasins ouverts s'est déroulée

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L'ART ET LA CURIOSITE La vente de la bibliothèque du « Grand Cercle »

Depuis juillet -1829,. le Grand Cercle s'appela successivement « Cercle littéraire », «Ancien cercle de la rue Gramont », Ancien Cercle », « Cercle des étrangers » et même «Cercle des Ganaches», surnom que, dans les pièces officielles, ce club eut la coquetterie. de conserver et que, dans son ouvrage sur les Cerclés de Paris, paru en 1864, Friarte. traduit par « Cercle de l'ancienne roche », le' Grand Cercle, donc, qui déménage et se modernise, vend son importante bibliothèque. Cette vente commençait hier, sous-le marteau de M" Edouard Giàrd, assisté de M. Georges Andrieux. Dans la salle manger, qui devient, quand cela est nécessaire, salle de théâtre, les volumes, alignés sur d'immenses tréteaux, furent

LES GRANDES VENTES PROCHAINES Objets d'art et d'ameublement

Par suite de cessation d'indivision, on va disperser en vente publique, les objets d'art provenant de la succession de Mme 0.

Quel attrayant ensemble Le xvih", en particulier, s'épanouit ici sous des aspects délicats et précieux devant lesquels on se complaira. Si l'art charmant et libre du règne de Louis XV rivalise de grâce avec les productions ravissantes de l'époque Louis XVI, un lien unit étroitement ces objets la qualité. Elle n'échappera ni aux collectionneurs spécialisés, ni aux gens de goût.

La voici, marquant lés tableaux compositions 'allégoriques de l'école de Clodiori; buste de femme de l'école de Largillière; 'suite de compositions en grisaille attribuée à P.-J. Sauvage deux pendants caractéristiques du talent de J.-J. Verdussen; Le jugement de Pàris, toile du délicieux Lagrenée le Jeune; un bucolique retour à la ferme, par Taunay; Chiens attaquant un héron, remarquable toile dont rattribution à Despotes, semble être une réserve faite dans le seul but de laisser aux amateurs la joie d'y reconnaître, affirmativement, l'incomparable manière de ce maître.

On retrouve la perfection, dans des porcelaines, dans ce groupe en biscuit de Sevrés, peint d'après Falconet et représentant Pygmalion et Galatée. Véri- table fil d'Ariane, on peut la, suivre parmi les bronzes, pendules, lustres et sièges au nombre de ces derniers, six fauteuils en bois sculpté à dossier arrondi sont des modèles d'une élégante richesse. Parmi les meubles, une pièce ajoute à cet attrait de la pureté artistique, l'émouvante auréole de l'Histoire c'est l'adorable petit meuble que nous reproduisons en troisième page.

Œuvre du fameux Dubois, ébéniste de la reine, ce merveilleux travail d'acajou aurait, d'après une tradition familiale, fait partie de l'ameublement de MarieAntoinette, an Temple. Voici d'autres chefs-d'œuvre d'ébénisterie petite commode fin Louis XV du maitre Ohneberg,' si habile parfaire ses créations en sa boutique de la rue Traversière; secré-

à Strasbourg. La police dut établir des barrages.

La loi- sur les quarante heures est entrée en application hier pour le commerce de détail, à Marseille, Mâcon, Autan,. C&âl0n-sur-Saône,le^ Creuset, Mont-

ceàu-lés-Mines.

Les vœux contre la semaine de cinq jours

La- Chanîbre- de commerce de Versailles a émis un vœu pour protester contre le décret assujetissant d'une façon brusque à la semaine de 40 heures les commerçants de détail et les obligeant à fermer leurs magasins deux jours entiers par semaine. Elle demande que l'application de ce décret soit suspendue jusqu'à la fermeture de l'Exposition.

La même protestation a été faite par l'Union des syndicats de commerçants détaillants de la région de Belfort.

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mis aux enchères en présence de nombreux membres de ce cénacle, ainsi que de bibliophiles et de libraires parisiens, Nous pûmes noter de bonnes adjudications en faveur d'ouvrages d'Anatole France, de Loti, de Frédéric Masson, de Maiipassant, etc. La vente demandera plusieurs séances.

A l'Hôtel Drouot, M* Roger Walther et M. Pierre Lamy commençaient la vente d'objets divers composant la collection de M. L.-G. B. M0 Etienne Ader et M. André Portier commençaient une dispersion d'objets d'art d'ExtrêmeOrient M* Baudoin, une vente d'intéressantes pièces, en compagnie de MM. G. Guillaume et B. Dillée M' René Boisgirard opérait à la salle 5. Maurice Monda.

taire en bois de placage marqueté de réserves à ustensiles et vases fleuris du grand spécialiste Boudin; meuble à hauteur d'appui de Maigret, prestigieux artisan de l'époque Louis XVI.

Et comme pour rappeler que ce siècle prétendu frivole a tout exprimé, voici une tapisserie d'Aubusson Le cheval fondu. Une autre, à très petits personnages, montrera l'aisance qu'apportaient les lissiers flamands du xvie siècle à reproduire, sur une même tenture, un épisode biblique et la curieuse animation d'une chasse aux animaux sauvages; Là encore, on remarquera l'excellence d'exécution, élément inestimable dont je me suis plu a signaler l'existence en décrivant quelques-uns de ces objets d'art. Paul Hermant. Après exposition publique le mardi 20, à la salle 6 de l'Hôtel Drouot, ces objets d'art seront vendus le 21 avril par M' Etienne Ader, assisté des experts Pape, Bourdariat et Max-Kann. Bibliothèque de Mme X. Cette intéressante bibliothèque, ainsi que de beaux illustrés modernes et des dessins de Naudin à divers amateurs, seront dispersés les lundi 19 et mardi 20 avril, à la, salle 9 par M" Roger Walther et M. G. Andrieux.

Exposition et ventes

d'aujourd'hui

EXPOSITION

HOTEL DROUOT. Salle n" 1. Exposition publique. Collection de M. le baron Leonino (2° vente). Tableaux anciens et modernes, aquarelles, dessins, gouaches, pastels, porcelaines anciennes, miniatures. Sièges et meubles, tapisseries des xvi° et xvne siècles étoffes. M"B Henri BAUDOIN et Etienne ADER. commissaires-priseurs; MîtI. Ferai, Catroux, F. Max-Kann, Mannheim, Damidot et Lacoste, experts. VENTES

HOTEL DROUOT. Salle n° 2. Vente. Collection d'un amateur. Objets de vitrine en argent. Miniatures. Argenterie. Porcelaines et faïences anciennes. Importante verrerie. Bronzes. Meubles et sièges. M* HENRI Baudoin, commissaire-priseur MM. Guillaume et Dillée, experts.

HOTEL DROUOT. Salle n" 10. Vente. Objets d'art et meubles d'Extrême-Orient. Céramique de la Chine. M" Etienne ADER; M. Portier. LE CHRIST DE LOUIS XIV EST EXPOSE Q

Chez Hopilliart et Leroux

Il faut aller voir ce Christ sculpté par Girardon pour Louis XIV. L'œuvre émouvante et d'une admirable facture est doublement historique, puisque d'après certains elle aurait reçu le dernier regard de Marie-Antoinette. MM. Hopilliart et Leroux se devaient de l'acquérir et de l'exposer 12, rue des Saints-Pères, là même où depuis tant d'années les amateurs savent pouvoir trouver à des conditions excellentes, une collection incomparable de Christs en ivoire.

Le Christ de Louis XIV sera exposé jusqu'à l'époque de la première communion..

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Faillite de Kreuger et Toll Selon une proposition des administrateurs de la faillite Kreuger et Toll, les créanciers non privilégiés recevront un premier dividende de 26 0/0.

Le 31 mars. l'actif de la faillite s'élevait à 76.860.000 couronnes.

Les porteurs d'obligations privilégiées recevront pour une valeur nominale de mille dollars, des sommes variant entre 920 et 932 couronnes.

Les administrateurs n'ont proposé aucune distribution pour les porteurs d'obligations ne donnant droit à un dividende qu'après le paiement intégral des créances.

PLUS DE BRUIT

QUE DE MAL

La Compagnie du Nord nous prie de rectifier l'information donnée par divers journaux suivant laquelle l'autorail Lille-Paris aurait été presque complètement détruit par un incendie, la 7 avril 1937, près d'Arras.

D'une part, il s'agit en effet de l'autorail Lille-Le Havre d'autre part, les dégâts sont si minimes que l'autorail, simplement vérifié, a été remis en service le lendemain, après une dépense de réparation insignifiante.

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L'OPERA VI REPRENDRE « Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg

Les. Mmtres chanteurs de. Nu- Teniberg que l'Opéra va reprendre mercredi, après une interruption de trois années, si l'on en excepte les deux représentations données en allemand l'an dernier, sont,, par l'action et par le- caractère même des personnages, l'unie des oeuvres les plus théâtrales de Richard Wagner, la plus accessible peut-être, avec Lohen<yrin/à la majorité des spectateurs. Créée au théâtre royal de Munich en..1868, cette véritable comédie musicale fut représentée pour la première fois à l'Opéra en 1897, sous la direction de Pedro Gaiihard,; et n'a cessé depuis lors de se maintnenir au répertoire. Georges Thill reparaîtra, demain soir, dans le rôle de Walter de Stolszing qu'il a déjà tenu il y a trois ans, et l'on reverra également Mme Marisa Ferrer dans celui d'Eva.

Deux nouveaux interprètes à signaler M. José Beckmans personnifiera Beckmesser et M. Froumenty, Hans Sachs. MM. Huberty (Pogner), Rambaud (David), Mme J. Montf ont (Madeleine), M. Claverie (Rothner) seront également de la distribution.

C'est M. Paui Paray qui; après notamment Taffanel, Messager,

Les fêtes pascales n'ont valu qu'un mince armistice aux combats de la musique de chambre. Au fond, c'est la Grande Saison de Paris qui commence, déversant le fleuve des vedettes cosmopolites et..fugitives qui viennent se partager la frénésie des publics initiés. Combien ou eût aimé trouver aux programmes de ces athlètes du; clavier ou de ces jongleurs de l'archet un renouvellement reposant de la pâture habituelle

M. Serge RachTOaniuoff, dont les Préludes furent le secret de sa célébrité universelle s'est vu acclamer comme pianiste de haute envergure. Il garde à Bach, Liszt, Chopin la forme architecturale des inspirations sans, pour cela, rien mesurer 'de sa sensibi-

ité. :̃• ..̃•

Un autre virtuose qui représente un esthétisme de perfection aux yeux de toute la jeunesse violonîstjque. M- Jascha Heifetz a donné le modèle le plus définitif'; du Concerto de Brahms. H rappelle de loin le style et la force de ces jeunes concurrents U. R. S. S. du

PROGRAMME DES THÉÂTRES

EN soirée

OPERA (Gpéxà 07-05),, relâche. Demain :c Les Maîtres Chanteurs .a.

COMEDIE-FRANÇAISE (Ricli. 22-70), 8 h. 45,: Le Légataire universel (MM. Ledoux, Weber, Dux, Le Marchand Mmes Brétty, Fontenay, Casadessus, etc.). A quoi rêvent les jeunes filles (MM. Denis d'Inès, Bertin, Manuel; Mmes Madeleine Renaud, Marie Bell, etc.). Demain « Un Caprice i, « L'Illusion ».

OPERA.COMIQUE (Rich. 72-00), 8 h. 30 Mireille (Mlles Lillie ̃ Grandval, Lecouvreur; MM. J. Gérard, J. Vieulle, Martinet, ` Bouvier). Orch. M. J. Cloéz. Demain, relâche. ODEON (Danton 58.13), 8 h. 40: Le Songe d'une Nuit d'Eté (M. Barencey; MM. Clairval, Parzy, Murzeau; Mmes Silvain, Marinier, Reinhart, Adam, etc.). Orch. M.; André Cadou). Demain « Le Songe d'une Nuit d'Eté ». ATHENEE (Opéra 82-23), à 9 h. L'Ecole dés Femmes (MM. Lonis Jouvet, Romain Bouquet, Maurice Castel, Jean Denyux, etc.; Mme Madeleine Ozeray). La Scintillante, GAITE-LYRIQUE (Arch. 29-30), 8 h. 45 Véronique (Mmes Duclos, Larthy, Delimoges; MM. Moryn, Carpentier, Allard). GYMNASE (Prov 16-15), à 9 b.: Le Voyage, de M. Henry Bernstein. (Valentine Tessier, Claude Dauphin, Jean Wall, Lucy Léser, Pally). Matinées jeudis, dimanches, à 3 h. MADELEINE (Anjou 07-09) à 9 h. Victoria Régina (MM. Dubosc, Erwin, L. Brûlé, Séveriu, Jean Coquelin; Mmes Gaby Morlay, Jeanne Lion, Henriette Moret, etc.). MICHEL (Anjou 35-02), à 9 h. Un'Coup de rouge (nouvelle version), de MM. Dorin et Saint-Granier. (Jlarg. Moreuo, Pauièy, Dôrin, Davla, Ed. Roze, Parisys et Saint-Granier). MICHODIBRE (Rich. 95-23), à 9 b. Prie-Frac, de M. Edouard Bourdet. ( Victor Boucher, Arletty, Michel Simon Andrée Guize, Georges Jamin, Suzanne Henry, H. Bonvalet, etc.). MONTPARNASSE, (Gaston Baty) (Danton 89-90), 9 h.: Les Ratés, de M. Lenormand. (MM. G. Vitray, Nat, R. Norman, Mart. Rebe; Mmes Jamois, Coutan-Lambert, Lourioty, etc.). PORTE-SAINT-MARTIN (Nord 37-53 8 8 h. 45 Un de la musique, opéra-bouffe. (Georges Milton, Florentie, André Noël, Bébar; Mme A. lissot, G. Charley, Sabine Andrée, etc.). ANTOINE, 8 h. 45 Romance.

ARTS. à 0 heures Eblouissement.

ATELIER, à 8 h. 45 Jules César.

BOUFFES-PARISIENS, relâche pour | fimwi lll Tnli Til CHATELET. à 8 h, 30 Yana.

COMEDIE CHAMPS-ELYSEES, 8 h. 45 Rêves sans provision.

bution réunissait Mlle Jeannette Laurët (Don Elvire), Michel Panaïeff (Don Juan), Yaswonèky (le Commandeur), Lebercher et, dans les divertissements, 'Tessobrassova et -Grandmouràchieff.

Les ballets dé' Monte-Carlo, qui

Mme, Marisa Ferrer que l'on voit cidessus avec le costume du « Chevalier à la Rose » chantera mercredi le rôle d'Eva dans « Les Maîtres Chanteurs de Nuremberg ».

Chevillard et Philippe Gaubert, dirigera musicalement cette fois Les Maîtres chanteurs, tandis que M. Philippe Gaubert ira conduire à Londres Ariane et Barbe-Bleue de Paul Dukas.

MUSIQUE

concours Ysayë dont il doit être une sorte de Divinité.

C'est sur un tout autre plan que se présente la séance de sonates de Mme Chaîl;ley-Richez et Georges Enesco. Programme de haute tenue musicale avec Mozart, Fauré, Franck autour duquel les mystères de beauté d'un art pur rejoignent les cimes où ne peuvent atteindre que des grands artistes tels que ceux-ci. Un autre ensemble également, violon et piano, Albert Leyècfué et Robert Soetens s'est spécialisé, comme on le sait, dans les régions de Bach. La sobriété de leur interprétation est faussée à un tel point de minutie, qu'il manque parfois de ce frisson sans provenance qu'anime l'infini. Le Concerto Brandebourgeois eh ré qui figurait au programme a permis au délicat artiste René Leroy d'apporter la magie de sa flûte à ses dignes partenaires.

Le répertoire romantique et sOUrtout le répertoire frôleur, gai, a trouvé en Yvonne Printemps, la muse vocale la plus légère, la muse la ..plus! imiui'inu-

DAUNOU (7, rue Daunou), 9 h. Dame Nature. DEUX-MASQUES, 9 h. 15 Le Club des Gangsters. ETOILE, O. Altitude 3.200.

GRAND-GUIGNOL, 9 h. Epouvante et rire.

HUMOUR, à 9 h. L'Heure BU

MARIGNY.a il. ToTaritch.

MATHURINS, S h. 45 Amal et 1» lettre da rot; Le Voyageur dans bagage (Matinée le dimanche, à 2 h. 45).

MOULIN DE PARIS, 9 h. Echalote.

NOUVEAUTES, à 8 h. 45 Tout va trop bient <

ŒUVRE, à 1 11. Un Homme comme les autres. · PALAIS-ROYAL, 9 h. Madame est avec moi.. SAINT-GEORGES, 8 h. 45 Trois et Une. ̃̃

THEATRE DE PARIS. à 9 h La Fessée.

VARIETES; à 9 h. Les Gangsters du Château dif (Alibcrt). VIEUX-COLOMBIER, 9 h. L'Ennemie.

Music-Halls Chansonniers Cirques EN soirée;

A.B.C.: M. et S.; Max Dearly, Ilug. Dnflos, Gilles et Julien, etc. ALCAZAR, 9 h. Ça, c'est Marseille!

ALHAMBRA, » h. Raffle. Matinées sant.dim., lundi. CASINO DE PARIS. 9 h. Paris en joie (Maurice Chevalier). DEUX-ANES, 9 h. L'Impromptu de Montmartre, revue de Rip. THEATRE t>É DIX-HEURES, à 10 h. Martini, Jean Rieus, Max Régnier, et la Revue.

EMPIRE (Et. 40-00), 9 h.: Henry Garât, Gfsovky, les frères Isola. 15 attract. (Matinées: lundi, jeudi, samedi, dim;). FOLIES-BERGÈRE, 9 h. En Super-Folles, revue à grand spectacJç, en 50 tableaux, de M. Maurice Hermite. (Joséphine Baker) Mat. samedis, dimanches.

LUNA-PARK Tous les jours, matinée et soirée attractions, dancing.

LUNE-ROUSSE; à 9 h. La revue, de Jean Marsac. ` LE PERCHOIR, à 9 b.: FUc-Flac, revue. Les chansonniers. TRIANON, 3 h. et 9 h. La Revue. de l'année (Gcorgius). CIRQUE D'HIVER, 8 h. 30 Le Courrier du Texas (opérette). Cabarets Dancings V MONTE-CRISTO, S, r. Fromentin (Tri 42-31) Càbaret-danc. TABARIN La Joie de vivre Attractions.

AU FLORIAN (74, Champs-Elysées). (Elysée* 14-79), Mini I · et soupers dansants.

CHEZ SUZY SOLIDOR, 12, rue Sainte-Anne Attractions.

viendront à PiOris, au. mois ] dei mai, pour l'Exposition, ( donneront aussi /'Epreuve d'Amour, de Mozart .(décors d'André Ddrmn;: chorégraphie de Fokinej, les ;SylphidesJ.ef lel Lac des; Cygnes.' ̃ i l- ̃'

DATES RETENUES/ Mercredi 14' avril'

Opéra Reprise des Maîtres Chanteurs.

Jeudi 15 avril

Opéra-Comique La Rôtisserie de la" Reine Pédauque (reprise). ̃ ̃ Lundi 19 avril '̃'

Bouffes-Parisiens Troit Valses, opérette (répétition générale).

•Mercredi 21: avril

Comédie-Française Les Corbeaux d'Henry Beeque (reprise). `

Jeudi 22 avril

Antoine Numance, de ̃:̃ Cervantes (première).

SOIREES. Ce- soir

mardi, Jeudi': Le Légataire universel,' A quoi rêvent les jeunes, -filles mercredi Hn"C»»iti.c«, L'Illusion vendredi Le

Peintre exigeant Chacun sa vérité; samedi, dimanche L'Ecole dès- Mari», Le Chandelier; lundi Bérénice, Le Jeu de t'Amoar et du Hasard.

MATINEES. Jeudi, dimanche:1 Le Légataire universel, .A* Quoi: xêVetit les jeunes filles? samïdi 12e matinée poéHque.. ̃̃̃ ̃; ̃

PALAIS-ROYAL. Pour passer trois heu. res agréablement, il faut aller voir « MADAME EST AVEC MOI! »

Aux DEUX- ANES. 176° de la spirituelle et triomphale revue de Rip, magistralement interprétée par Marguerite Dorai. Tramel, Henri Jullien et Monique Rolland. Hâtez- vous Dernières représentation!.

La première du groupe Amphion.

C'est vendredi 16 avril et non-, ̃ jeudi, comme il a été annoncé par erreur, que le groupe Amphion présentera A quoi rêvent les jeunes filles et Prolée, de Paul Claudel.

rante, caressante, que puisse aduler un public dé Paris des grands jours. Jean Doyen était au piano, Je merveilleux appui souliaitable à toute cantatrice-

̃̃ Stait Golestan.

EL18~ UMANN, la cétébie can.

ELISABETH SCHUMANN, la célèbre cmn-

tatrice. donnera son unique récital ce soir, SALLE GAVEAU.

Ce soir, à 9 h.. Salle de l'Ecole Normale de Musique: Chailley-Ric:hez, Georges Enesco. Ce soir, à 9 h., Salle Debussy (Kiesgen) Récital commenté s< LISZT par Mlle ALGER.

4-- -44 -0-.0

COMMEMORATION DE POUCHKINE Jeudi 15 avril, 21 heures, SALLE PLEYEL Œuvres de Glinka, Rimsky-Eorsakoff, Tchaïkowsky, Glazounow, Kovalov. Avec le concours de

l'Orchestru Symphoniqûe de Paris dirigé par MICHEL STEIMAN de Mm es KARNICKA, KRYJÀNOVSRA, M. KANCHINE

et SERGE LIFAR

L'Exposition et le Théâtre

̃ II n'y: aura pas de théâtre proprement dit à l'Exposition.. On', en a décidé ainsi, pour ne pas priver les théâtres réguliers existant à'Paris du public sur lequel ils sont en droit decomptçr. Mais de) grands galas seront donnés, le plus souvent par des troupes étrangères, au Théâtre des Champs-Elysées et au Grand Pafais. De plus, l'intérieur de l'Exposition, le Théâtre d'JÈssai présentera les jeunes compagnies théâtrales et, au Palais des Arts féminins, ..Paul .Colin organise les Ballets de Paris. L'Exposition,, cependant, lie s'est pas désintéressée des spectacles que ses visiteurs trouveront dans les théâtres parisiens. Dans: ce but, elle subventionne les théâtres du Cartel, à charge

LES SPECTACLES que les Jeunes Compagnies présenteront au Théâtre d'Essai

La scène, et- la salle du théâtre d'Essai

IHIHI e Théâtre d'Essai sera situé à 11 l'Exposition dans le Centre des llffllL Métiers, au pavillontde l'Union ̃mita corporative.

Pour bien indiquer qu'il s'agit d'un théâtre d'essai, d'un laboratoire, là scène occupera une place presque aussi grande que la salle puisque celle-ci ne comporte que 200 places, alors que la scène aura 10 mètres sur 7 mètres. De plus, un large passage sera ménagé dans la salle et de chaque côté une rampe permettra. d'atteindre les 'galeries de façon à ce que .le spectacle puisse être donné non seulement sur le plateau,, mais dans tout le théâtre, permettant ainsi les mises en scène les plus libres. Des panneaux coulissant permettront de faire paraître les acteurs en divers endroits. Un' emplacement pour l'orchestre est également prévu sur un côté.

Ce Théâtre :d'£ssai,sera..là partie vivante de ce pavillon dans lequel seront réunis des documents de théâtre concernant la mise en scène et décor du théâtre français et étranger. Une place inipor tante est donnée aux théâtres du Cartel. A l'entresol seront aménagés les loges 'd'artistes, un salon de thé et probablement un théâtre de marionnettes.

La partie, :supérieuré du bâtiment sera occupée par le Théâtre d'Espace de Mme Lara.

Les spectacléis

Cette scène sera confiée chaque semaine à une Compagnie pour qu'elle y présente ses meilleurs spectacles, et le fait que M. Raymond Cogniat est chargé du choix et de l'organisation de ces spectacles est un sûr garant que du bon travail sera fait en dehors de toute préoccupation qui n'aurait pas le service désintéressé, de l'art dramatique pour objet.

Nous avons demandé 'à M. Raymond Cogniat quelles seraient les compagnies qui donneraient des spectacles au Théâtre .d'Essai et quels seraient ces spectacles.

Il-m'est difficile de vous répondre avec précision, nous a-t-il répondu toutefois, je puis vous dire quels sont les programmes qui ont retenu particulièrement notre attention et qui ont le plus de chance d'être présentés.

Le groupe dirigé par Silvain Itkine, « Le Diable écarlate s>, présentera sans doute Vbu enchaîné, avec des décors de vMax Ernst, et L'Objet aimé, également d'Alfred Jarry, avec des décors de Jean Eifel. Le groupe « Masques », de Claude Dauphin, jouera Les Fourberies de Sçapin et Le Chapeau chinois, de Franc Nohaip. « Art et Action » donnera avec ses masques Gargantua, et le; « Théâtre dés Qûatre-Saisoris », de Barsac, Le Roi Cerf de Carlo Gôzzi « Les Compagnons. de Jeux », de Henri Brochet, Le Chevalier Misère, pièce japonaise du quatorzième siècle, et Suzanne et les Vieillards de Henri Gheon. Ces deux spectacles cqriiportenttrois'décors et dix-sept costumes de Pierre Deibos.

« Les Comédiens routiers », de Jean Chancerel, donneront La Coupe enchantée, de La Fontaine, et Tsin, Pac ou l'Ecole des maris, d'après un conte chinois, sans compter leur spectacle de variétés. « Le Rideau gris» de Marseille, que'dirige Louis Ducreux, présentera La 'Duchesse d'Almafi, une 'pièce élisabéthaiiie, é

Le palais des Arts féminine.

L'Inconnue d'Àrras, de Armand Salacrou.

»'Les Groupes universitaires de M. Georges Cohen présenteront Judas par le Groupe médiéval, La Colonie ou l'Ile sans femme, de Marivaux, par le Groupe Félix Jaiffe, et Amphitryon par le Groupe antique de la Sorbonne.,

» Nous aurons sans doute aussi un groupe de jeunes acteurs qui joueront VOrphée de Jean Cocteau et Macbeth. M. Jean Cocteau fera lui-même la mise eh scène et M. Paul Mathos de « La Maison du Théâtre » présentera un Don Quichotte adapté et mis en scène, par lui.

» D'autres spectacles ont encore été proposés, en particulier une Esther, par le groupe « Athéna », et une pièce d'un jeune auteur sur Wagner par le théâtre « Eclair » que dirigent Mme Régina Ganiier et M. RogerGaillard L'Amour médecin et Don Juan aux ̃ Enfers par le groupe ouvrier « Proscenium et un spectacle de' féerie par Touchagues.

» Le Théâtre Berisa, le Studio Corney, Le Rideau de Paris, Le Plateau de P.-A. Biret et même Les Compagnons du Plateau, Le Bélier, Le Discobole, d'autres encore ont proposé des spectacles intéressants.

LESBALLETS B>E PilMIB seront elles "Images lancées" nous dit M. PAUL COLIN

Iljllll 'étage supérieur du Palais des j Arts Féminins sera un joli petit IIIIIL théâtre de 500 places. C'est sur cette scène que seront donnés les Ballets de Paris, que prépare Paul Colin.

Tout semble indiquer que ces spectacles de danses auront un vif succès. Ils sont animés d'un esprit très actuel et répondent tout à fait, à notre sens, à ce qui doit être un spectacle donné à l'Exposition. On aimera la nouveauté de ces ballets très courts et se succédant sur le rythme accéléré.

A chaque séance d'une heure et demie passeront six ballets et il y aura trois séances par jour. Je vais essayer, nous a dit Paul Colin, de faire de ces ballets des « expressions rapides », des images synthétiques très ramassées, mais en même temps très soignées, très au au point. Ce ne seront pas des pochades. J'ai remarqué que beaucoup de ballets se traînent en longueur pour durer plus longtemps que le comporte le sujet. Je veux que mes « Ballets de Paris » soient des images lancées comme un claquement rapide. Le mouvement permet cette rapidité et cette intensité.

On peut.faire confiance à Paul Colin. Quand il a une idée, il sait la réaliser et, ce projet, il l'a depuis longtemps. Il nous en a souvent parle. Il a d'ailleurs fait ses preuves dans ce genre et nous avons gardé le souvenir de ballets qui firent sensation au music-hall, surprenant par la nouveauté et l'acuité de l'esprit qui les animaient. L'Homme et la Machine, Mouvement, Géométrie, Sculp-

par eux de monter plusieurs spectacles créations et reprises qui seront donnés par alternance.

Nous avons déjà donné la liste des pièces qu'on pourra voir pendant l'Exposition dans les théâtres du Cartel.

Les théâtres du Boulevard ne recevront aucune subvention, ni les music-halls, mais leur intérêt bien compris est de monter des spectacles susceptibles d'attirer un grand nombre de spectateurs, et ils n'y manqueront pas. v

On peut donc prévoir qu'au dehors de l'Exposition la saison, théâtrale sera, cet été, particulièrement brillante*

LES GALAS

du Théâtre des Champs-Elysées et du Grand Palais

|||||||Ves galas, des concerts, des II ̃ sPectacles de danse, des rely présentations de pièces seront donnés au théâtre des Champs-Elysées, au Grand Palais. On ne sait encore quand sera ouverte la grande salle du nouveau palais du Trocadéro. Il est donc prématuré de parler de ce qu'on y verra.

Les dates de ces galas ne sont pas encore toutes exactement fixées, ni leur programme, mais on en connait déjà les grandes ligues.

Au théâtre

des Champs-Elysées

Au théâtre des Champs-Elysées, pendant la seconde quinzaine de mai, les Ballets russes de MonteCarlo, dirigés par M. René Blum, créeront plusieurs œuvres nouvelles. Nous en parlons d'autre part. Ensuite, en juin, les Ballets de Philadelphie, avec Catherine Litlefield.

La Pologne organisera plusieurs spectacles, des ballets, des concerts, au cours desquels on entendra Mme Wanda Landowska, tandis que la Roumanie prépare un festival Enesco.

La Suède et la Norvège occuperont le théâtre pendant un certain temps et donneront divers spectacles, en particulier des spectacles de danse.

La Grande Bretagne organisera des concerts, des ballets et montera une pièce qui devait d'abord être une œuvre de Noël Coward, mais nous croyons savoir que ce projet est modifié.

Parmi les galas que donnera la Suisse, figure une représentation de Guillaume Tell. L'Autriche sera re- présentée par l'Orchestre Philhar- monique de Vienne, avec Bruno Walter, et peut-être par son Opéra. On conçoit t l'importance mondiale qu'auront ces concerts.

Au Gala Catalan, la danse sera naturellement à l'honneur on pourra y applaudir la Térésina. La Belgique, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie donneront des spectacles bien représentatifs de leur art national, et les Etats-Unis préparent pour le 4 juillet, l'Independence Day, un grand gala.

Quant à la France, ce sera sans doute le 9 juin que sera jouée la grande revue de Sacha Guitry, Rip et Willemetz, dont nous avons parlé, interprétée par les plus grandes ve-

Schéma de la scène circulaire des Ballets de Paris (Dessin de Paul Colin.)

tures nègres que nous avons vus aux Ballets suédois, au Palace, au Casino de Paris, à Tabarin. C'est une formule tres neuve. Les « Ballets de Paris continueront après l'Exposition.

Nous avons demandé encore à Paul Colin `

Pouvez-vous nous parler des ballets que vous préparez, des scénarios de ces « images lancées »? D'abord, ils seront tous modernes. Pas de reconstitution ou d'évocation. historique. Voici le scénario du ballet Normandie un groupe représente les artistes, groupe indiscipliné, fantaisiste; un autre groupe, au contraire, évoquera le travail ordonné des ingénieurs. Ces groupes luttent, se mêlent, s'harmonisent, et enfin surgit le grand paquebot, fruit de leurs travaux. Ce scénario est de Hurel. Simon Gantillon, sur le thème du Vent saisi par l'Homme fait naître des images saisissantes, et Robert Desnos pour le ballet Gags a accumulé les gags les plus fous, les plus cocasses qu'on peut concevoir. Il y aura aussi le Fonctionnaire humoristique et satirique.

A qui avez-vous demandé la musique de ces ballets?

Florent Schmidt a composé la musique du Fonctionnaire. Les au-

dettes, et dont la plupart des scènes feront allusion à certaines firmes commerciales et industrielles. L'activité reprendra dès le début de septembre, pour la saison d'automne. Des spectacles sensationnels seront alors montés. Il y aura une semaine allemande, avec le concours de l'Orchestre Philharmonique de Berlin et l'Opéra de Bayreuth, qui donnera La Walkyrie et Le Chevalier à la Rose.

Toscanini dirigera plusieurs concerts et une représentation de Pelléas et Mélisande.

Le chef-d'œuvre de Debussy sera mis en scène par lui. Ce sera un événement capital, en même temps que la réalisation d'un projet qu'a depuis longtemps le grand maestro. Il en avait parlé, il y a quatre ans, à MM. Astruc et Vuilîermoz, quand il vint diriger un concert au profit du monument Debussy. Il dit alors combien il aimerait monter, mettre en scène et diriger Pelléas et Mélisande à Paris. L'Exposition de 1937 va lui en fournir l'occasion.

Au Grand-Palais

On sait que le Grand Palais est transformé en partie en Palais de la Découverte et des Recherches scientifiques, mais une partie est laissée libre pour le Concours hippique et le Salon de l'Automobile.

Cette partie sera aménagée de façon à pouvoir y donner de grands spectacles. Apres les Floralies, qui, du 6 au 13 juin, offriront l'enchantement de jardins féeriques, sera donnée, le 2 juillet, une grande fête de la danse, organisée par MAI. Maurice Lhéman et Dandelot, réunissant des danseurs, des danseuses et des ballets de toutes nationalités. En juillet sera montée La Naissance de la Cité, de Jean-Richard Blooh et Jacques Chabannes. Le 18 juillet, une immense kermesse belge déroulera ses fastes joyeux et truculents aux accents de musiques militaires et civiles le 21 juillet aura lieu une grande fête coloniale, organisée par Paul Colin.

Et après des galas sportifs, lè Grand Palais accueillera un cirque géant, composé des meilleurs éléments des cirques Medrano, Houck et Rancy, avec parades et défilés monstres sur l'avenue des ChampsElysées, du 15 août ou 22 août. Après quoi le Grand Palais abritera le Salon de l'Automobile, en octobre.

Alinaviva.

tres ballets seront de Gabriel Piernéj Darius Milhaud, ThQmasi, Gonstantinof et, sans doute aussi, de Georges Auric, Landowski, Jaubert et d'autres encore.

Par qui seront dansés ces ballets ?

Cela me gêne un peu de vous répondre actuellement. Divers pourparlers sont engagés, les contrats ne sont pas encore signés. Mais je puis vous affirmer que la troupe sera composée d'artistes de qualité. » De même pour la chorégraphie, je ne puis vous dire encore les noms des maîtres de ballets qui m'ont promis leur concours, parce que certaines autorisations ne sont pas encore tout à fait obtenues; mais ce sont des collaborations dont je puis être fier.

» Je voudrais vous dire aussi que j'espère bien que ces « Ballets de Paris survivront à l'Exposition et que nous pourrons les continuer. Ceux qui vont être présentés sont conçus par moi quant aux costumes et aux décors; mais j'espère que nous pourrons constituer un groupe de peintres, de musiciens et de poètes qui donneront à ces « Ballets de Paris > toute l'importance qu'à mon sens ils peuvent prendre. lndré lYàrno~i,

\ndré Warnoé,


LE CI N E M A

DERRIERE L'ECRAN

LE PRINTEMPS

A HOLLYWOOD

Jeanne Harlùw, ayant terminé Libelled Lady, prend un repos bien mérité taux eaux thermales d Arrowhead. Robert Taglor pousse un soupir de soulagement lorsqu'il lui est enfin permis de taire couper ses cheveux longs. après la dernière prise de vues de La Dame aux Camélias. ilurna Lou a quitté sa retraite en montagne pour tourner avec Clark Gable dans Parnell. C'est leur premier! film ensemble depuis Les Hommes en blanc.

Robéit Montgomery est de retour à Hollywood, après un séjour de trois mois dans sa ferme, dans l'Etat de NewYork. Freddi Bertholomew, sur le « set » de Captains Courageous boit quotidiennement un litre de lait. Luise Rainer fréquente les magasins d'ameublement, à la recherche d'objets pour- son nouvel inférieur.

Nelson Eddl/ s'est remis au dessin, auquel il ne s'adonnait plus depuis des années. Les trois Marx Brothers déjeunent ensemble tous les jours, maintenant que A. Day at the Races est en production. Pour la première fois depuis des années, Garba a accepté de se rendre à une soirée, comme invitée de Virginia Faulkner, la scénariste. Enfin, Joan Crawford, qui oient de terminer Love on thé Run, a enfin quelques loisirs pour assister à un match de polo. Et Maureen OSullivan a lancé un « chapeau de tambour », copié sur les chapeaux que portaient les tambours de Formée au dix-septième siècle.

Prix Yves-Roland

pour l'affiche de cinéma Fondes par Marcel Roland en mémoire de son fils, dans le but d'améliorer la qualité de l'affiche actuelle de cinéma, ces deux prix annuels, de chacun 500 francs, ont été attribués pour la seconde fois le 7 avril, avec le concours et par les soins dè l'Association des directeurs de publicité de cinéma» 27 bis, avenue de Villiers, Paris. Un prix' a été attribué à l'affiche de M. Mariàni, éditée pour le film Maria de la nuit l'autre à un projet d'affiche de M. Guy Fourès, pour le film Les Temps Modernes.

Quand Maurice Chevalier préside le jury

d'un concours de claquettes

~·T~~

Ce fut, samedi eolr, chez Ray Ventura, une soirée vraiment délicieuse et dont beaucoup d'entre nous garderont le souvenir. Les finales du concours de claquettes Eleanor Powell avaient rassemblé, en effet, outre les concurrents, nombre de personnalités bien parisiennes appelées par la M. G. M. à faire partie du jury. Autour de Maurice Chevalier, son président, l'on reconnaissait Moma Goya, Panlette Dubost, Jean Wiener, Roger Régent, Ferdinand Pabre et Edouard Beaudu. C'est dire que les compétences ne manquaient pas poux juger du jeu de jambes des concurrents, tout joyeux les uns et les autres à l'iaée d'un engagement possible à l'A. B. C. et d'une carrière éclatante au rythme des claquettes î

La soirée fut plongée d'emblée dans l'ambiance la plus sympathique par les airs charmants de l'Amiral mène la danse, le nouveau film d'Eleanor Powell, la reine des claquettes, en l'honneur de laquelle était organisé le concours. S'affrontaient juniors et. seniors, solistes et ensembles. mais tous experts en claquettes, depuis ce délicieux couple de bambins qui avait biem six ans jusqu'aux « anciens » parmi lesquels on remarquait particulièrement un trio étonnant composé d'un garçon boucher, d'un télégraphiste et d'un garçon de café Soirée trépidante que réglait admirablement le fameux jazz de Willie Lewis, soirée amusante par la variété et l'originalité du spectacle, soirée bienfaisante aussi puisque son bénéfice était réservé au dispensaire MauriceChevalier. Bref, soirée, pour tout dire, digne à la fois du film qui l'a inspirée, L'Amiral mène la danse, et de la grande tradition de Paris, patrie de toutes les danses et de toutes les joies.

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AGRICULTEURS 15 h., 21 h. Police mondaine. .+ AUBERT 12 h., 0 h. 45 L'Homme à abattre. BONAPARTE 15 h., 21 b. Police mondaine.

CINE-OPERA P. 14 h. à 20 h. Soir., 21 h. Police mond. CESAR 14 h. 45-18 h. 45. Soir., 21 h. 15 Police mondaine. DEMOURS 14 h. 45, 20 h. 45 L'Ange du Foyer. ELYSEES-CINEMA Nitchevo.

GAUMONT P. 14 h.-2 h. Cargaison blanche. GR. CINE-AUBERT 14 h. 30, 20 h. 30 Nitehcvo. IMPERIAL P. 13 h. 30-1 11. L'Invincible Armada. LUX 14 h., 21 h. L'Aesant.

LUTETfÂ. P. 14 h.-19 h.. 20 h. 45 François I»'. 4 MADELEINE 12 h. à 1 h. 30 L'Amour veille. Â MARIGNAN 14 h., 1 h. Mademoiselle Docteur. « MARIVAUX 14 h. à 1 h. 30 Pépé le Moko. MOZART 14 h. 45, 20 h. 45 Faisons un rêve et Escadrille du diable.

MOULIN-ROUGE P. 14 h. 30-19 h.. 21 b. Les Dégourdis de la 11«.

NORMANDIE 14 Ji. 40, 22 11. 32 Le Mot de Cambronne. + OLYMPIA P. 13 h. à 1 h. Mademoiselle Docteur. PAKAMOUNT P. 13 h. à 1 h. Le Choc en retour PASSY 12 h. 45, 20 h. Le Coupable.

PEREIRE 15 h.. 21 h. La Maison d'en face.

RANELAGH 21 h.: Un Mauvais Garcen.

4 REX 12 h., 2 h. 30 César.

VICTOR-HUGO P. 14 h;-19 h. Soir, 20 h. 15 François Ie». Films pariants anglais. <

4 AIGLON 11 h., 24 11. 30 Mon ex-foinmc détective. AMBASSADEURS 14,30. 19 h. S.. 21 h.: Lloyds de Londres. 4 APOLLO 14 h., 2 h. La Vie secrète. En parade. AVENUE P. 14 h. 30 à M h. Soir, 21 h. 15 Loufoque et C.

.Les salles marquées du signe donni

L'HEURE DU GRAND FILM:

L'Amour veille 12 h. 29, 14 h. 43, 17 h., 19 h. 14, 21 h. 31, 23 h. 48. Madeleine. L'Amiral mène la danse 11 h. 56, 17 h. 8, 19 h. 20, 21 h. 35, 23 h. 35. Le Paris, L'Audacieuse 14 h. 10, 17 h. 13, 21 h. 5. Balzac. L'Appel de la Folie 15 h., 17 h.. 22 h. 15. Studio 28. Bulldog s'évade 16 h., 1S h., 22 h. 15. Marbeaf. Eléphant Boy 15 b., 17 II. 33. 22 h. 27. Colisée. Horizons perdus 14 h. 45, 17 h. 15, 21 h. 45. Champs-Elysées. Mademoiselle Docteur 13 h. 15, 17 h. 10, 19 h. 15, 21 h. 20, 38 h. 25. Olywpia. Mlle Docteur 11 25, 10 40, 18 35, 21 10, 23 25. Marienan. McaHre de John Carter 15 h., 16 15, 18 15, 21 h. Panthéon.

Green Pastures 14 h. 30, 17 h. 10, 22 h. Edouard-VII. Le Crime du D' Crespi 14 b. 45, 16 h. 40, 18 h. 35, 20 b. 80, 22 h. 25, 0 h 20. Helder. Le Mot de Cambronne 14,35, 1740, 19.45, 32,20. Normandie. L'Escadron blanc 15 b., 17 b., 22 h. Studio Etoile. Le Choc en retour 13 h., 14 h. 50, 16 h. 55, 19 h. 5, 21 h. 15, 23 h. 25 Parameunt Lloyds de Londres 15 h., 17 b., 22 h. 15. Ambassadeur». Police mondaine 15 b. 45, 21 b. 45. Agriculteora-Bon. Police mondaine t 14 40, 16 50, 18 40, 28 h. Ciné-Opéra, Police mondaine 15 h. 20, 17 h. 45, 38 h. 10. Le César. Three Smart Girls i 15 41, 17 34, 22 U. Miradee-Lord-Byron. Tourbillon blanc 15 h. 28, 18 h. 31, 22 h. 23, Balnc.

BALZAC 14 à 20 h.; soir. 21 h. Tourbillon blanc, L'Au- dacieuse.

4 CAMEO P. 14 h. à 0 h. 30 Théodora devient folle. COURCELLES P. 14 à 19 h. S., 21 h. Théodora devient folle.

CH.-ELYSEES P. 14 h. 30 à 19 h. 30. S., 21 h. 15 Les Horizons perdus.

COLISEE P. 14 à 19 h. S., 31 h. Eléphant Boy. EDOUARD-VII 14 b., 16 h. 30. 21 h. Green Pastures. 4 HELDER P. 14 à 1 h. 30 Le Crime du docteur Crespi. 4 MAX-LINDER P. 12 h. à 2 h. Le Jardin d'Allah. MARBEUF P. 14 h. 30 à 19 h. 30. S.. 21 h. 15 Bull Bob s'évade et Who!

NORMANDIE 15 h. 15, 17 h. 50, 20 h. S, 23 h. Méprise. NAPOLEON P. 14 à 19 h. S., 21 h. Sur le velours. MIE.-LORD-BYKON: 14,30-19 h. S., 21 h.: Three Smart Girls. 4 LE PARIS 14 h. à 1 h. 30 L'Amiral mène la danse. PANTHEON 14.15 à 20 b. S., 21,15 Le Meurtre de John Carter.

PAGODE 14 h., 21 h. Le Vandale.

4 SCALA P. 12 h à 1 h. Swing time.

STUDIO 28: 15 h., 21 h.: L'Appel de la folie (Collège Holiday).

STUDIO UNIVERSEL L'Extravatsnt M. Deed».

Film pariant allemand.

PARNASSE P. 14 h. 30-19 h. S.. 21 h. Boccacio. Film parlant italien.

ST. ETOILE 14,30, 16,45. 21 b.. 8,-t. f r. Escadron blanc.Salles d'actualité.

4 CINEPHONE 10 h. à 1 h. L'Introuvable.

4 CINEPH. P. P.: 10 a. à 1 h. Séquoia.

4 CINEPH. CH.-ELYSEES 10 b. à 24 b. Tribunal secret, 4 PARIS-SO1R 10 h..l h. Presse filmée. Bom. :nt un spectacle entièrement permanent.

René Ferté et les gardes du maharajah d'Udaipur quelques instants 1 avant de blesser grièvement l'un d'entre eux. )

RENE FERTE RETROUVE PARIS

après s'être perdu dans la jungle de Mysor

Le 'visage brûlé des rayons ardents du soleil hindou, les yeux bouffis de splendeur, l'allure plus sportive que jamais, tel nous réapparaît René Ferté, parti depuis cinq mois aux Indes tour- ner les extérieurs du Tombeau hindou. Son enthousiasme, débordant nous confirme la magnificence de ce voyage. Parti de Venise pour débarquer â Bombay, il s'enfonça dans la jungle d'Udaipur. 'Mais laissons-le parler: Avant tout, je tiens à vous situer mes compagnons de voyage.. Eichberg, le grand metteur en scène de; la Tobis, était accompagné de Mme von Harbau; L'ancienne; femme de Fritz Lang, qui collabora d'ailleurs à la version muette de ce film dont elle est l'auteur, cumule les fonctions de scénariste, dialoguiste. Tout le service technique est allemand et mes compatriotes étaient: Daniel Mendaille, Roger Duchêne, Max Michel. Pola Illery assurait la vedette féminine. Vous vous rappelez sans doute l'aventure de ce maharajah dont la femme qu'il adore se fait enlever par un blanc. Ce blanc. c'est moi.

Comment avez-vous vécu ? Sous la tente pendant six semai- nes. Nous dormions tous habillés. La nuit de la jungle est follement angoissante. Des cris, des hululements, un écho fantastique. Et les pas cadencés des factionnaires de garde nous protégeant contre les fauves. Dans les villes nous habitâmes dans de somptueux hô. tels.

Que pensez-vous du pays ?. Où avez-vous tourné ?

En dehors de la jungle, compliquée, terrifiante, nous avons tourné d'abord à Udaipur. Le maharajah nous a magnifiquement reçus dans son palais d'été, bâti au milieu d'un lac artificiel. Ce grand seigneur, paralysé, se fit porter au combat d'éléphants qu'ils orga-

Dans une des scènes du film « Le Coupable », on voit le jeune prodige André Dionnet, du Théâtre du Petit-Monde, interpréter le rôle de Jérome Forgeat avec une nette compréhension de l'art cinématographique. Son partenaire est Marcel André.

nisa en notre honneur. Fuis nous allâmes à Mysor.. L'enchantement continuait. Le nabab de ces-lieux fit construire Mysor sur le plan des ChampsElysées avec de larges avenues illuminées. Seulement quelques rares Hindous peu sociables, quelques femmes voilées s'y promènent. L'effet est saisissant. Ce qui n'empêche pas Mysor d'avoir son cinéma parlant anglais. Le palais du maharajah est somptueux. Petit détail: quarante-sept voitures dorment dans le garage, 'attendant vaine.ment leur jour de sortie.

Avez-vous eu des aventures ? Certes oui. Il ne pouvait en être autrement. Les tigres et autres panthères étaient devenus nos amis. Le crocodile, par contre, était voué à ma vindicte depuis l'incident que je vous conte pour les besoins de la cause, je devais me jeter dans un étang infesté de ces répugnants reptiles. Je n'eus que le temps de remonter avant d'être happé par leurs grandes mâchoires. Autre incident la figuration était composée d'indigènes assez bornés. Eichberg commit l'imprudence de me faire tourner un combat contre quatre d'entre eux avec de véritables sabres. Mais un de ces Hindous, assez maladroit, se fit couper la main par mon sabre. Enfin le choléra sévissait, il fallut nous faire des piqûres.

Quand tournez-vous les intérieurs? Nous partons demain pour Berlin terminer ce film qui, j'espère, ne serait-ce que pour récompenser nos efforts parfois surhumains, sera un des gros succès de Tannée.

L'âme remplie de paysages mystiques, le regard lointain, René Ferté nous quitta nous laissant sous la 'forte impression de ses souvenirs d'une Asie fantastique. A. d'H.

LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

LES CHANGES

La livre à 109,63

Les changes étrangers se sont un peu retendus par rapport à samedi. La livre qui se négociait en fin de semaine à 109,25 est remontée dans la matinée vers f 09,95 pour terminer au marché officiel à 109,65. Le dollar clôture à 22,38.

Les reports sont légèrement .détendus. On cote sur la livre à trois mois une prime de 1,10.

IW0R»MW)NS

Déclaration*

de M. Vincent-Auriol

Au cours d'une interview accordée au Financial News, M. Vincent-Auriol a insisté sur la nécessité qu'il y a, pour mettre un terme aux incertitudes d'ordre monétaire qui gênent la reprise économique mondiale, de stabiliser' simultanément toutes les grandes monnaies. Il a annoncé l'intention du gouvernement français de pousser la politique de coopération avec les pays étrangers pour la répression de la fraude fiscale et de conclure de nouveaux accords analogues à ceux qui sont intervenus avec la Suède, l'Italie et l'Allemagne.

A son avis, il y a tout lieu de croire que la grande majorité des souscriptions aux récents emprunts émanaient du public et non des banques. Il estime que la thésaurisation en France a diminué ces derniers mois. Elle demeure cependant considérable. Il y a lieu d'escompter toutefois que la stabilité des prix et le redressement économique contribueront à la réduire et que, par ailleurs, l'instabilité de la situation internationale stimulera le rapatriement des capitaux.

M. Auriol espère que le loyer de l'argent baissera dès que les prix se seront stabilisés, comme ce fut le cas aux Etats-Unis. Déjà, depuis deux mois, on commence à discerner en France des indices de stabilisation des prix.

M. Vincent-Auriol estime que le budget peut être équilibré si la reprise économique s'accentue. Les dépenses prévues sont actuellement de 48 milliards. Or, les recettes atteignirent 52 miliards en 1929 et 51 milliards en 1930, à un moment où l'activité économique du pays ne pouvait être considérée comme anormalement développée.

En ce qui concerne la réforme fiscale et le transfert des charges de l'imposition indirecte à l'imposition directe, le ministre a répondu que la possibilité d'accroître les impôts directs n'est pas illimitée. Il faut simplifier les impôts directs pour les rendre plus efficaces et réduire ainsi les impôts indirects. Ajoutons que le* ministre a fait allusion à une réforme de la Bourse dont « les règlements et la technique sont critiquables. Cette réforme est actuellement à l'étude ».

La situation

des caisses d'épargne ordinaire» Une situation provisoire des Caisses d'épargne ordinaires au 31 décembre 1936 est publiée au Journal officiel du 11 avril. Il existait à cette date, Algérie comprise; 560 Caisses d'épargne ordinaires. Il a été ouvert, l'an dernier, 450.374 livrets, au lieu de 486.412 en 1935 et le nombre des livrets existants est passé de 10.199.789 à 10.246.248, en augmentation de 46.459.

Les versements ont atteint 6.282.575.428 francs en 1936 contre 7.675.541.327 fr. en 1935 (- 1.392.965.899 fr., soit 18,14 0/0) et les remboursements en espèces 9 milliards 31.786.293 fr. contre 7.664.151.095 francs (+ 1.367.635.198 fr., soit 17,84 0/0), A ces remboursements s'ajoutent ceux effectués à la Caisse des retraites pour la vieillesse, par l'effet de la prescription, par achats de rentes au compte des déposants, achats qui ont" aBSOrfcé 13.008.001 francs en 1936 contre 15.390.111 francs en 1935.

Malgré la capitalisation des intérêts, le solde dû aux déposants a été ramené de 36.575.107.568 fr. fin 1935 à 34.922.644.087 francs fin 1935, en diminution de 1.652 millions 463.481 francs, soit 4,51 0/0. Les intérêts liquidés pour 1936, au profit des Caisses d'épargne ordinaires, par la Caisse des dépôts et consignations, au taux de 3,75 0/0, s'élèvent à 1.334.314.781 francs. Ceux que ces établissements ont alloués aux déposants à un taux variant entre 3,25 et 3 0/0 peuvent être évalués à 1.155 millions environ sur la différence, les Caisses d'épargne imputent leurs dépenses d'admi- nistration ainsi que les subventions qu'elles attribuent par application de la loi du 24 janvier 1933. Le reliquat est versé à leur fortune personnelle.

Le montant de cette fortune, au 31 décembre 1936, s'élevait à 1.178.358.509 francs.

COURS DE LA VILLETTE Gros bétail: 5.480 amenés et 1.225 aux réserves. (Au kilo de viande nette) Bœufs extra, 10 10; première qualité, 9 20; deuxième, 8; troisième, 7.

Veaux 1.859 amenés et 759 aux réserves renvoi 58. (Au kilo de viande nette) Extra, 13 60 première qualité, 12 50 ¡ deuxième, 11 50; troisième, 10 50.

Moutons 11.892 amenés et 2.535 aux réserves renvoi 200. (Au kilo de viande nette)

Extra, 16 60 première qualité, 15 30 deuxième, 11 80; troisième, 9 50.

Porcs 1.629 amenés, 1.474 aux réserves et 5.196 entrés directement. (Au kilo vif) Extra, 6 40; première qualité, 6 20; deuxième, 5 80; troisième, 4 50.

Me SUZANNE' BERTILLON CONDAMNEE

PAR LE TRIBUNAL DE NICE Nice, 12 avril. La 4° Chambre correctionnelle a prononcé, ce matin, son jugement contre M'- Suzanne Bertillon, poursuivie pour provocation au meurtre, à la suite d'une conférence donnée sous les auspices du Parti national populaire, au cours de laquelle elle tint des propos particulièrement violents contre MM. Edouard Herriot et PaulBoncour.

M8 Suzanne Bertillon a été condam- née à un mois de prison avec sursis, 100 francs d'amende et confusion avec une peine de quinze jours de prison qui lui avait été précédemment infligée.

L'affaire' du Salut national chinois

Une inculpation

M. Linais, juge d'instruction, a inculpé de meurtre et tentative de meurtre Tzen Ze Ong, blessé, en traitement à l'hôpital Laënnec, et a chargé le docteur Paul de procéder à l'autopsie du corps de Li Hteng Chang, tué, 44, rue de Rennes, au cours d'une réunion de l'Association chinoise pour le salut national.

LA VIE R&IGIEUSE L'assemblée générale

des Amis des Missions

L'assemblée générale des Amis des Missions aura lieu le samedi 17 avril, à 17 heures, au siège social de l'association, 5> rue Monsieur, sous la présidenoe de l'amiral Lacaze, de l'Académie française.

CONFERENCES Après une tournée de conférences dans toutes les grandes capitales d'Europe, le romancier de 1' « Bpitalaro.e » et des « Romanesques, M. Jacques Chardonne, parlera pour 1» première fol» à Paris, jeudi la avril, f 17 heures, salle Chapln-PJ«yel, sous les auspices de « Veux Croisés ». Le sujet de sa conférence sera « L'Amour c'est beaucoup plus que l'Amour ».

JY.1:ARC::a:É LOURD Lourdeur des métaux à Londres. Le prélèvement de 10 sur les coupons de rentes. 1-1 L'activité des aciéries américaines.

© Avant Bourse, la tendance du marché paraissait devoir être favorable. La hausse d'Amsterdam et de Johannesburg samedi, la meilleure tenue des métaux au marché officieux de Londres en fin de semaine, l'élection triomphale de M. Van Zeeland étaient les raisons de cet optimisme. L'ouverture et surtout la fin de la. séance ont complètement démenti ces pronostics.

© C'est que, d'une -part, à l'approche de la liquidation de quinzaine, la position de place, toujours très chargée a fait sentir son poids et que, d'autre part, il a semblé à divers indices que l'agitation sociale et politique grandissait dans le pays. Certains pensaient que la rentrée parlementaire pourrait être l'occasion d'une crise politique sérieuse. ® Le compartiment français a d'abord faibli, entrainant les autres. Les rentes sont naturellement assez touchées et perdent finalement de 7» centimes à 1 fr. 15. Aux Valeurs du Trésor cotées à terme, les obligations se conforment à la tendance des rentes, tandis qu'au contraire les Bons gagnent des fractions. © Toutes les valeurs françaises, et notamment les banques et les produits chimiques ont perdu un terrain appréciable.

© Les valeurs étrangères payent également leur tribut à cet accès de lourdeur. Toutefois, la plupart d'entre elles ne tombent pas au-dessous de leurs cours bas du mois de mars. Mines d'or résistantes. Forte baisse de la De Beers. © Commentant le retard apporté par le gouvernement français à appliquer

PARIS

PRINCIPALES TRANSACTIONS 1 En francs de rente s

3 0/0 272.330/5 0/0 20 201.620 4 0/-0 17. 119.110 4 0/0 25 81.670 4 0/0 18.j 371.330 I i 1/2 0/0 32 1.785.150 En titres t ·

Bons Trésor Air Liquide.. 2.849 4 1/2 0/0 13.724 Citroën act.B. 338 B. de France 204 H. 698 B. de Paris.. 4.121 Indo Hévéas.. 2.042 U. Parisienne 2.203 Peugeot 921 C. Lyonnais.. S28 Say 1.477 Suez cap. 156 Terres R 3.611 Distrib. Elect 1.309 Young 51% 30 3.463 Tréfilerles 773 Canadien Pac. 9.536 Courrières. 1.661 Wagons-Lits.. 7.943 Lens 2.655 Central Mining 588 Maries 3.760 Geduid t.A. 1.279 Nickel 751 Mo 3.047 Penarroya .• 5.394 Azote 646 Fse Pétroles. 971 Royal Dutch.. 2.26T» Kali Ste Thër. 2.118 Amterd. Rub. 246 Kuhlmann «- 2.785 Cr. Nat 1919 1.511 Pécnlney 1.414 Cr. Nat. 1920 2.006 R. Poulenc 1.447 Cr. Nat. 1923 1.492 Saint-Gobain.. 1.053

Bourse du soir

Métropolitain. 1.000.

Plan Young. 431, 434.

Foncier Egyptien. 3.925.

Canadian Pacifie. 317, 319, 315, 315, Philips. 3.110.

S. K. F. 1.780. Central Mining. 2.835, Ï.856.

Geduld. 1.026, 1.028.

Rio Tinto. 2.566, 2.580, 2.560, 2.580. Azote (Société Norvégienne). 1.212, 1.200.

Royal Dutch. 5.025, 5.025, 5.015, 5.017. Amsterdam Rubber. 3.830, 3.810. H. V. A. 30.950.

Liebig's 1.718.

Droits de souscription

30 avril. Union Phénix, Espagnol 47. 30 avril. Franco-Polonaise, act. 6. 30 avril. Viscose Française (Global 775 c. 31 408 c. 32 234 c. 33 335 s Global part 1.20p,- 1.195 *c.-27 456 c. 29, 445 c. 30, 175r~T V

le décret supprimant le prélèvement de 10 pour cent sur les coupons de rentes et les formalités exigées des bénéficiaires éventuels de cette mesure, le « Bulletin Financier Suisse» écrit très justement

On transforme donc un droit en une grâce qui ne sera accordée qu'à ceux qui indiquent au fisc la totalité des titres de rente qu'ils détiennent. Pour des Français, cela présente des inconvénients, mais le porteur suisse de rentes françaises n'a rien à craindre, puisqu'il n'a pas à rendre compte de sa fortune au fisc français. Peu lui importe que ce dernier sacbe ou non combien de rentes françaises il détient. Toutefois, il est très possible que les porteurs suisses aient un intérêt légitime à ce que leurs rentes françaises soient déposées dans une banque suisse et non dans une banque étrangère agréée par le fisc français. De nombreux porteurs suisses ont des engagements en banques ou sont cautions de tiers. Dans de tels cas, il est sousentendu que leur portefeuille tout entier repose dans les banques suisses, peu importe qu'il s'agisse d'un titre suisse ou d'un titre étranger. iss

11 est absolument inadmissible que les porteurs suisses de rentes françaises continuent à subir un prélèvement de dix pour cent sur leurs coupons et leur capital, parce qu'il ne leur convient pas de déposer leurs titres français dans une banque étrangère. En outre, ils ne peuvent pas déposer leurs rentes françaises dans des établissements financiers français par l'entremise de leurs banques suisses, parce que le prélèvement de dix pour cent n'est suprpime que pour les rentes qui, depuis six mois, sont déposées au nom d'une personne physique, à l'exclusion d'une société anonyme. © Londres était bien disposé au début, mais les ventes du continent et la lourdeur des métaux ont entraîné un

tassement sensible du marché. Toutefois, les fonds britanniques sont bien tenus,

© Au Métal exchange, le cuivre perd £ 2/11/10 1/2 à £ 63/12/6 l'étain cède £ 2 à £ 274/12/6 le plomb abandonne £ 1 à £ 26/10, et le zinc baisse de £ 1/11/3 à £ 26/15.

© Les stocks de caoutchouc, en fin de semaine, s'élevaient à Londres a 21.599 tonnes, en augmentation de 285 tonnes à Liverpool, à 29.203 tonnes, en diminution de 1.062 tonnes, ce qui fait ressortir une diminution de l'ensemble des stocks de 777 tonnes.

© New-York est ferme. A l'ouverture, le marché est lourd et pendant les deux premières heures la cote perd 1 à 2 points. Vers midi, le marché se raffermit et la clôture est ferme avec des gains de 1 à 3 dollars sur samedi. Céréales en réaction de 1 à 4 ppints. Le caoutchouc baisse de 110 points, le cuivre de 70 points. Coton à peine soutenu. Total des transactions, 1.130.000. © L'industrie sidérurgique américaine continue à produire à une cadence très élevée. Le taux de la production, pour la semaine qui s'ouvre, est évalué à 90 de la capacité et la clientèle continue à insister avec énergie pour obtenir que les livraisons soient activées. Selon t'American Iron and Steel Institute, l'industrie métallurgique emploie à l'heure actuelle un nombre d'ouvriers .qui dépasse tous les records. En fin février, le personnel de la métallurgie atteignait 556.000 ouvriers contre 458.000 en 1929.

LONDRES lourd.

VALEURS pr^.éd mn Il ppé^d coups

récéd wurs récêd. cours

COU. 2^ 76 3/4 76 S/S Crown-Bill 13 3/4 13 3/4 10S 5/8 103 5/J EuttUnd. 70/. loi WarLoan.. 103. 103. Geduid. 9 3/8 9 3/8 FTOf.3% 16. 18. Coldfields. 92.6 M/6 4 16 1/2 16 1/4 Raid Mites ISS/3 160/. 454(1511) ,sl/2 16 1/a ùbartered. 40). 39/3 Ar». 4% 33 3/4 Riolioto.. 24 1/2 23 1/2 Brésl(HS9) 2t. TtarBis 63/6 60/. CWne4«.. ,M 103 langaajlta l«/6 16/9 EETpt. oui! jnjia 103 1/2 ABacond».. 228/9 230/. ïoans ul< Ml/2 RoyalDutdi 46. 451/8 IttlieaSJà Tl 16. Sïell 5 9/16 5 29/32 Jap.4%(99) L, 69 3/4 Mox.Sagl.. Î2,6 22/9 P0rtuK.3% J0 3/4 Awlo-Ka» M»/» «8/9 RWM(19O6) °j: OS/* OBla. 87/6 58/9 ïspas. «t. ti ̃. Rïbb.Trust 43,6 42/6 I«rc7«.. "j 2 8/8 Malacca. S0/7« 4»'9 Hydro-EIec u io 1/8 Sennah. 68/9 58/9. Int.Holdi»5 ̃», Courtauld». 51/3 51/. inp-IWa». IsjMOii 15 1/3 Brist.Cela» 9/. *IU>% Steel oorp. j.'J iw 1/2 Imp.cmanio 37 »/« 3'»/? Deïeers. m s/i 20 Unilever 40 5/8 40 i/* Jasersfoit. 2 3/8 2 5/8 Atchison. •/̃ M'A Braipan. jj.j œii casad. Pac. 14 1/2 m 1/2 Ce»*-JM»lf je i/a 2t/. Unloifacl. 140.

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BRUXELLES irrégulier.

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1 NEW-YORK ferme.

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V~IEUAS 1 Clôt 1 Dern, Il VALEURS Clôt.. 1 Dern.

ÏAUUHS. précéd cours VALEUR!) p|,écéd cours Air Red. Il 72. 73 1/2 Hais Mail 127 133. AUiedCBem 240 240 Seimecott 57 58 Amer. Can. 104 1/2 105. fflratgome. 59 7/8 611/2 AmerSael. 90 1/2 911/2 ,4at.SairyP 23 3/4 24. Am. T. ctl. -.09 1/4 169 1/8 ïat. Distil. 32. 33 1/8 Am.TobacB. as 83. H.-t. Centr. 47 7/ S 48 5/8 Aiacoida.. 56 7/8 57 3/4 Sorth Amer 26 28 3/8 Atoiisea.. 79 3/4 82 1/2 PcnsyWaa 45 3/S 15 1;: Caïad. Pac, 14 3/8 14 3/8 Public Sert 43 3/4 43 3,3 Case 150. Radio 10 5/8 10 Y/S Cer.d.Pasco 74. 74 3/4 Reynolds.. 511/4 50 7/8 Ches.a.Chio 60 1/4 60. Sears Roei. 87 3/8 88. Com. Solven 16 7/8 16 7/8 Sïell 311/2 30 3/4 Consol.Edis 38 3/4 39 St Braads, 14 1/2 14 1/2 Cety 8 3/4 8 1,2 St.OiloiHJ 69 1/2 70 1 /S Cbrysler. 114 1/4 116 1/4 lexasCerp. 63 3,8 611/4 BuPoit. 155. 155. Texas Gulf. 40 1/8 40 3/4 Elec. B.a. s. 20 1/4 "Ji .1. unionPaci. 140 141 Ganer.Elec. 52 i/s 54 3/s unit. Air Gr 28 3/8 28 5/8 Goner. Mot. 58 3/4 59 1,8 U. s. Smelt. 91. 92 1/2 Goodyear.. 40 5/8 41 6/8 II. S. Steel. 112 1/4 112 1/2 InterHan 103 5/8 104 Wester.Un. 70 7/8 71. InterHlck «4 7/8 65 3/8 Westingi.. 132 131 In1. T,OI Tel 12 1/8 12. Woolworth. 52 3/4 52 3/4

MARCHES COMMERCIAUX

Cours I Dern.

précéd. I cours_

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Londres. Disponible .̃'̃ CAOUTCHOUC. New-ïort.. Mai 24 40 23 11

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BOURSE DU 12 AVRIL 1937

VALEURS Cl~h 081'11. VALEURS ,& VALEURS 'l'Clôt, 1 Dern, Il VALEURS 1 UIOl.! uern,

pr" -cours ,p,récéd. cours précéd. cours, A LE U ,préced, cours

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6850 6775 crédit national 5 5% 1919.. 480.. 491 Banque S.3 7". d.llndo-Chlne. 494 400..

4 1917. 6815 6740 Cr. Nat,obllg, 5OQ'5 1830. 478.. 478.. Nat. p, le com,et l'lnd, 541.. 545.. Polieit & chans5on(F~art). 603iJ.. 6000..

4 6750 8640 BonsS26,I922, 495.. 493, B ne des pays du Nord.. 255.. ~on~rc,ho, 205 207..

5 1920 amortissabl. ss 8415 Bo..6 /~Janv.1923, 492.. g= ~ËE' 1615.. 1630.. 5E'&s. 7:2 290

fi5o182Dimortiaseble, pSSO 8i7b gone6Ç~jninf828. ~8·. 488·.Creditlpdnst.etCOmmerc..a55·· 345··Galeriea1atayatte. 52·. -0..

4 1925 change). 93 15 92.. 3095 69. juin 1923. 498.. 498. -Creclit !t!ndost. et Commorc, 355.. M5 Gale"es Lafayette, 52 00..

"2 9315 92 ohH<[6<MM 497 495 CreditFon.d'Atgérie·Tnois. 495 495 (part).. 35900. 34700. ~~932~ 72l5 7! 70 Dépat'L de IAiapa 79é1926 494.: US. Cr !trQUcierCOl~i1ial. 194. NouveUesGalerfes. 315 376

Obli 195. H. 73 40 7265 7991837 5113.. 84t CradiflFon.lndA·Clina(pArt) 1850 1160. Printemps, ord 175.. isi

Oblig.duTrésor"% 1934.. 19050.787.. 6leu 674 865.. Cr JtFonclerMadag~s~ar 86 4. 610.. 615..

Oblis.daTrésor1,~1984.~ 787.. 712 lis de la marne 6 468~i7S. 9!.Fna.daBaaq.etDePate f4S.. 440.. DidotHottlv. IBaT,. 1590..

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BonsTr.à1Canslt~~Ó1933 900..909.. de Meuri..et;M. 6%. U9 445. 1!D P 490.. 0\90.. 1e28 l550

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BonsTr.àsans5.%1.93S.! 982 deMeuse6h%1923 4U t68. Soc.!ZI~AllactflnnedeBal1q. \S1.. 4'8.L1h:airleH~chette.11628.. ·· 2780.

BeaeTs.5.t0-tbana6p~1984 SSJ B56 i49.. i!e Sous ComP. Entrepreneurs. 3§5 959 Air Liquide (parts) 3550 3410:.

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de France 4 '734.. 721. '7 9.n '1~21.. 492. 488 50 Unio~: d' es Mines: 160 '160..11~~rbougJlan.1, 718 704..

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l'union Parisienne 675 ..1649.. Ville de l!°,ms 6 1921. 876.. ·· ~888 au.OnOS-AyreS(.eh.in,dolor 975.. 970 ,lll~1~. Générale d51 7650 763o

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Soeiélé Cénérale. 102 g93 Indo·CBInt 1899.1905. 2i8 257 ..Tunisiens (chemin de ter). 391 400 AIli 4T5 493

BenteFonciuD-97. 452.. TunisS%1902--1907.360.. 257.. TUDislen5~cheml~defer). 3~1.. 400.. Albi.475.. 493

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DEPLACEMENTS ET VILLEGIATURES DES ABONNES DU "FIGARO"

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Mme h comtesse H. DE MESXARD, à Saint3Uurent-du-Var M. Paul MENGET, ». Babceuf. Mme la comtesse OBERNPQRFF, » La Haye. M. M. DE PREVAL, â Nancy M. fe comte DE PERRIEN, au château de Laonouan M.' Gabriel PERSONNAZ, à Nice M. le lieutenant Paul PEKOT, à Blois.

Mme là baronne DE RANDAL, au château de Pinel M. Laurent RICHQN, à Reims Mme Pierre ROGUES. à 'Boulogne M. l'abbé J. RAJt MOND, à Saint-Germain-en-Laye.

Mme DE SEGU1N, à Eordeau* Mme la baronne G. SERE DE RIVIERES, 4 Rome. M. TERREL DES CHENES, à Amiens M. Pierre TROUVIN. à Vitry-sur-Seine,

Mme Etienne VERXE. à Saint-Etienne Mme Victor YBE,. Venise Mme VALENTIN, à Tlem-

oen.

M. le vicomte D'ABOVILLE, à Laval M. le Dr ARPAD PLESCH, à New-York-City M. le Dr ADAM, à Nancy.

M. Léon BINET, à Nantes Mme baronne Charles BASTARD, au château d'Hauteville M. le comte DE. BANJERES, à Toulouse Mme BE.VUJIEVIELLE, à Vtllefraacbe-sur-Mer.

Mme la princes» DE CQLLEREP0-MANSFELD, à Rueil-SMmiison M. Auguste CLAVIERES, à ïoulouw Mme René CHAUVET, à Bor-

deau*.

M. Pierre DRAPIER, à Maubeuge M. A. DUMONT, à Bsiulieu^ur-Mcr Maître DULAS, à 6aint-Sever-sur-l'Adour; M. Berna DEWAVRJN, i Wusquehal; M. DESMAREST, à Javgoay. M. André FERNBERG, à Menton Mme FOREST, à Cholet Mme la comtesse DE FORTON. à Cannes.

M. le comte Pierre GUILLAUME, à Connicy tt. André GIRAUDEAU, à Nice.

Mme HENTSCH, à Val«scui*&int-Raphaïl. M. et Mme Louis LE BOMIN. à Saint-Cloud Mme Henri LIEVIN, à Pomk M. P*ul 1<ESOURD, à Boulogne M. Charles LEBRUN, au Veurdre Mme la baronne LE FEBVRE, à Beaulieu-sur-Mer.

RaïN~REF.S -A PARIS

M. le baron Paul D'ALEXANDRY D'ORIENCIANI, Mme la baronne D'ALIGNY, née DE MRIEU, Mme la marquise D'ANDIGNE. Mme la marquise DE BLACAS, Mme René BERGE. Mme Thérèse BOLLACK, Mme la comtesse R. BALNY D'AVRICOURT, Mme la marquise DE BEI.LOY, Mme la comtesse R. DE BOURBOULON, Mme la comtesse L. DE BAGNEUX. Mme la comtesse DE CARNE, Mme H. DE CHAMISSO, Mme Maurice CHEVASSU, Mme la comtesse C. DE CABARRUS. M. le vicomte et Mme l'a vicomtesse Charles DE CUREL, Mme CRAMAJt. M. A. DARTIGUËNAVE, DENT2OT, M. Léon DUFLOCQ, Mme Pierre DUMAZSR, DETIS, Mme Pierre DELBET. Mme Alfred FOURCADE. Mme FLURY, M. l'abbé A. FONTAGNERES, M. FAUCHIERMAGNAN. Mme GAILLARD, Mme G. GASSON, M* GIRY. Mme Gaston GOUIN. Mme GAUCHER-PIOLA, Mme la vicomette DE KERSERS, M. le vicomte FLORIAN DE LORGERIL, M. Richard LEROUX. M. G. LECROART, M. A.-J. XJEMANT. Mme LANGLOIS, Mme Jacques LE BAS, Mme la baronne DE.LAURISTON, M. DE LA RECHEFOUCAULD, duc D'ESTISSAC. Mme André MAUROIS, Mme Daniel MARIN, M. Jacques MUNIE, M. B. NORTINES, Mme V. NICOLETIS, M. le baron DE PIERREBOURG, Mme POLAILLON, M. Stéphane PIOT, Mme la comtesse F. DU PATY DE CLAM, Mme la vicomtesse DE ROUGE. M. le général RIVAIN, M. le docteur Maurice SEGARD, Mme H. SOUHIES, M SEIGNOT, Mme la baronne DE SIBERT, S. Exc. Mme SCHULLER TOT PEURSEUM. M. Edouard SAUFFROY, M. Théodore SELTZER M. OI.IVIE-SCRIVE, M, Maurice TREMEAU, Mme la comtesse Maurice TREUILLE. M Jules TEISSEREKC. Mme Félix VERNES, Mme Ernest VILGRAIN, M. VAISSE, Mme Etienne VERNIER. Mme VAVASSEUR, Mme Marcelle VALLOIS. M. Maurice DE WARU, M. le comte DE WALDNEF, Mme WACHE. M Jean ADER, Mme la comtesse DE BELLAIGUE, Mme la générale BAQUET, Mme DE

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Mardi 13 avril

19 h. 25, POSTE PARISIEN Voulez-vous faire du théâtre ? gmission présentée par Claude Dau-

phio.

2Q h. 30, PARIS P. T. T. Concert sous la direction d'Albert Woll), Gianina et Çemardenc, ouv. (Cimarosa) Cassatioli (Mozart) Huit valses et un (<Uop (Schubert) Javotte (Saint-Seins); Mélodies Par Mme Martinelli Conte d'ovrit OVidor) Divertissement (Binct) L'almanech des P. T. T. (larmattjal). première audition. 20 h. 30. RENNES-BRETAGNE Sous la direction de Manuel Rosenihal Ça princesse joint, de Samt-Saëns Esthcr de Carpeutras, opçra-bovfle de Darius Milhaud, sur un livret dArmand Lunel, première audition.

20 h. 30, STRASBOURG L'Orchestre du Motartèum de Salzburg, sous la direction de Baumgartner Marche en ut (K 408) Symphonie- de tint (K 425) Concerto faut deux pianos (K 365); Eme ileit.endçhtmvsik Danses et menuets. ORCHESTRE

16 h., LONDRES REGIONAL Schubert, Cui, Mozart, Haydn, Grieg.

20 h. 10, BRESLAU Concerto grosso en sol mineur (H»endel) Symphonie en si majeur (Haydn) Symphonie n4 7 (Beethoven), 20 h. 30, MARSEILLE Concert sous la direction de Charles Pons, avec la Chorale Goudimel. Musique ancienne et Contemporaine.

2J h. 10, MIDLAND REGIONAL Concert Mcaart, avec commentaires. L'inftuence de Mannheim et (Je Paris. Les Petits Riens Allegro de la symphonie en la andantino du Concerto pour flûte et harpe allegro de U sonate en mi pour

violon La Finta Gurdinlera.

21 h. 25, MUNICH Ainsi parla Zarathoustra, de Richard Strauss, tous la direction de l'auteur. 21 b. «S, RADIO-PARIS Relais de Budapest- Concert de musique hongroise.

MUSIQUE et CHAMBRE ET SOU 16 b., PARIS P. T. T. Piano.

17 b. 30, RADIO-PARIS Piano et mélodies. 20 b, 50, NATIONAL ANGLAIS Etudes de Chopin.

22 h. 20, VIENNE Quatuors de Mozart. 22 h. 50. NATIONAL ANGLAIS Trios (Mowrt, Ravel).

MUSIQUE LEGERE ET VARIETES

20 h, PARIS P. T. T. Demi-heure surprise. 20 h. 30, RADIO-PARIS Hommage 4 P*«l Delmet.

20 h. 30, TOUR EIFFEL Variétés.

20 h. 45, RADIO-CITE Quart d'heure d'humour

21 h. 5, LUXEMBOURG des Variétés de Paris Les gangsters du château d'If.

BOISSE, M. Lucien BIOT, Mme Alfred BROCHET CLEMENT, Mlle P. BOBIN, Mme Camille BORIONNE, M. Pierre CHARTON, M. Paul CAUVIN, Mme André DAVID, Mlle Hélène DIDIER, M. Pierre DKQZ, Mme DAVRAINVILLE. Mme la baronne DESAZARS DE MONTGAILHARD. Mme Maurice FAVATIE.R. M. Pierre GREZEACD, M. le comte DE GUITÂUT. Mme V. GRIET, M. R. GASTONDREYFUS, M. R. GERMAN DE RI6ON, M. Pierre GIBERT, M. Louis GIGOT Mme Eugène HOUDART, Mme HENTSCH, née PENFENTENVO. M. le comte Octave DE KERGORLAY, Mme Victor LUC, Mme DE LA BI.LIAIS, M. Henry LARUE, M. Roger LABAT, Mme LAMBERT DAVID, Mme Pierre LEGRAIN. M. et Mme Maurice LASERRE, M. Marcel LOGEAIS, Mme Raymond MAZEL. Mme Max MORICAND, Mme la baronne MAROCHETTI, Mme la marquise J. DE MARCHENA, M. le marquis DE MONTFÈRRIER, Mme Georges MORACHE. Mme MOULIN PARFAITE, Mme DE PLEIGNES, M. Jean POINDRELLE, M. Maurice PAPILLON, Mme la baronne QUONIAN'DE SCHOMPRE, Mlle SAMPIERI, Mme SUMIEN, Mme A. DE SIQUEIRA FEISLY, Mme Henri TOUSSAINT, M. P. DE VEYRAC, Mme Emmanuel VERGI, Mme la comtesse G. DE VENDEGIES,

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16 h. 30, RADIO-PARIS Le Voyageur, un acte de Denys Amiel.

20 h. 30. LILLE Le Scandale, de Henri Bataille.

21 h. 10, POSTE PARISIEN La parade sentimentale du Fregoli sonore-; de Suzanne Malard Cent atmosphères, de Michel Dulud.

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S'il était intéressant de grouper les stations régionales, il apparaissait que le « Poste National devait rester en dehors de ces groupements pour garder un caractère exceptionnel. Il n'en fut rien c'est pourquoi, ce soir, RadioParis transmet, de Bordeaux, une repré. sentation ordinaire de Rigolettq, alors qu'un remarquable concert dirigé par M. Hhené-Baton, sur l'onde de Strasbourg, était beaucoup plus dîgoe d'un rayonnement national. P.-D. T.

20 h. 30, TOUR EIFFEL La Comédie-Française. CkceuK sa viriti, de Pirandello, version fronfafeo de Benjamin Crémieux, avee MM. Ledoux,, Lafon, Bertm, Le Marchand, le Cojj, Valcourt, Balpétré, Behourin, Debucçurt Mmes Berthe Bovy, de Chottveron, Ponteney, Barreau, Faber, Bril.lent, Clair.

20 h. 30, STRASBOURG Concert par l'Orchestre National et les chœurs Rautel,. sous la direction de Rhené-Baton. Cantate n" 12 pour le di- manche du Jubilé (Mme Lma Fait, MM. Cathelat, King) Psaume hongrois (Kodaly), pour ténor, chaurs et orchestre Evocations (Albert Roussel) Les Dieux dans l'ombre des cavernes La ville roi» Aux bords 4u fleuve sacré.

21 h., PARIS P. T. T. La chorale Av.icitia Chœurs <t cappella, de la Renaissance œuvres des 17° et !»• siècles.

21 h. 30, PARIS P. T. T. Musique de chambre Trio en mi bémol op. 3 (Beethoven) Mélodks de Brakmi, Rivier, Lesur Thème et varia.tiens (Faurê). ORCNEBTR~

ORCHESTRE

12 h., RADIO-PARIS Orchestre de chambre. 19 h., LONDRES REGIONAL Orchestre et chant.

19 h. 35, VIENNE Festival Brahms, sous la direction de Kabasta (Variations sur un thème de Haydn Concert pour violon, violoncelle et orchesi tre en la mineur Symphonie en mi mineur). 20 h. 20, PRAGUE Musique tchèque. 20 h. 4i, HAMBOURG Œuvres de Trenker, Tschaikowski, Franck. Gillmann.

20 b. 45, NATIONAL ANGLAIS Orchestre de la B. B. C., sous la direction d'A. Boult. Œuvres de Beethoven, Mozart, Sibélius, Wagner. 24 h., STUTTGART Concerto pour basson et orchestre (Moiart).

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 17 7 h. 30, RADIO-PARIS Pièces pour piano. 19 h., PARIS P. T. T. Harpe.

21 h. 45, VARSOVIE Quatuors (Mendelssohn, Haydn)

22 h., POSTE PARISIEN Quintette de Reynildo Hahn.

22 h. 5, KADIO-CITE Œuvres de Glinka. 22 h. 30, MUNICH Récital de violoncelle. MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 14 b. 30, PARIS P. T. T. La radio aux aveugles.

15 h., RADIO-PARIS Demi-heure de jeunes. 20 h., PARIS P. T. T. Demi-heure surprise. 21 h. 5, POSTE PARISIEN En correctionnelle, de Maurice DlamantBerger et Jean Nohain. 21 h. S, RADIO-CITE Concert.

20 h. S, RADIO-PARIS Du Grand Théâtre de Bordeaux. Rigoletto, de Verdi.

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A 40 heures de la fin

les "Jeux ne sont pas faits (ont va!

A moins de quarante heures de l'arrivée des Six Jours, bien malin serait celui qui pourrait trouver le grand favori de l'épreuve.

Après un effort plus ou moins difficile, si une équipe parvient à s'assurer un tour d'avance, ses adversaires comblent ce retard immédiatement. A de très nombreuses reprises, les spectateurs ont assisté à ce spectacle inattendu de huit équipes ayant totalisé le même nombre de tours et séparées, uniquement, par le nombre des points. La raison de cette situation anormale est la soudaineté des « chasses » successives, menées par les différentes équipes. Il est certain que la situation serait beaucoup plus claire si les « chasses ? » étalent d'une durée beaucoup plus prolongée. Un travail moins spectaculaire serait peut-être plus effectif, en ce sens qu'il ne permettrait pas à certains coureurs plus éprouvés de reconstituer leurs forces. Parmi les équipes donnant l'impression de pouvoir fournir un travail difficile et de longue durée, les associations Billiet-Vals, Schten-Pellenaars et Walthour-Crossiey ou Le Grevès-Speichcr réunissent le plus grand nombre de suffrages.

De l'avis des connaisseurs, la victoire ne devrait échapper à l'une de ces trois équipes, qui sont, très probablement, les meilleures.

Les habitués rappellent, du reste, une vieille histoire de pari tenu et gagné par Wals qui, à une période mouvementée de soirée, réussit à prendre deux tours en moins de dix minutes.

Wals, en revanche, est capable de faire aussi mal que le moins dangereux de ses adversaires. Tous les hommes en piste n'oht-ils pas couvert, hier, au cours des longues heures de la matinée, la distance de deux cent cinquante mètres en plus de deux minutes t

Malgré leur bicyclette de course, leur guidon de course, leur selle de course, leurs souliers de course.

Que sont devenues ies belles prbmesçès d'avant la course ? Malgré les règlements, les coureurs n'ont guère le souci du sport et c'est encore ici le spectacle qui l'einporte.

̃•̃̃•- r*v -v.

Billiet et Wals

perdent la première place et la regagnent

Dans la soirée, entre neuf et dix heures, une bataille très sérieuse fut engagée au cours de laquelle les équipes Lapébie-Ar-

̃'̃̃ \V. ̃̃̃ GOLF

Le programme des épreuves de la semaine

À Saint-Germain

Jeudi 15 avril. Deuxième tour de la Coupe Yvonne Cotnareanu. Fourqueux c. Saint-Cloud.

Samedi 17 avril. Coupe Montgomery (match Fourqueux c. Saint-Germain). Saint-Cloud

Jeudi 15 avril. Deuxième tour de la Coupe Yvonne Cotnareanu Saint-Germain C. La Boulié..

Coupe de Printemps, dames, éliminatoires, S ar coups,. 18 trous. Réservée aux joueuses dont le handicap n'est pas supérieur à 25. Vendredi 16 avril. Match de 1' « Association des Seniors Golfeurs de France » contre le « Senior Golfer's Society de Grande-Bretagne ». Parcours vert.

Samedi 17 avril. Prix Petin, foursome, messieurs, parcours jaune. Offert par M. H. Petin. Concours « par coups (medal playj, 1S trous.

Les concurrents seront désignés par le sort-et le tirage aura lieu immédiatement après la clôture des engagements, c'est-àdire le 14 avril, à 17 heures.

A Chantilly

Samedi 17 et dimanche 18 avril. Championnat de ChantIlly; messieurs. CoupeChallenge offerte par M. le baron Edouard de Rothschild. Réservé aux joueurs dont le handicap n'est pas supérieur à 14. Concours « par trous ». Match play, 18 trous. Clôture des engagements demain mercredi 14 avril midi. Premier tour samedi 17 avril deuxième et troisième tour dimanche 18 avril. Finale sur 36 trous (date à fixer).

Au Lys

Dimanche 18 avril. Coupe des Genêts. Double mixte, interclubs.

A Ormesson

DIMANCHE 18 AVRIL. COUPE DU FIGARO, ELIMINATOIRES, DAMES, PREMIERE ET BEUXIEMË SERIE. MEDAL PLAY, 18 TROUS.

A Fontainebleau

Dimanche 18 avril. Coupes FauchierDelavigne. Interclubs messieurs et dames. Simple, mixte, concours par coups (Medal play), handicap, 18 trous.

En cas de barrage, les joueurs seront départagés par les neuf derniers trous. Inscription joueurs membres de Fontainebleau 10 francs. Joueurs membres d'aûtres golfs 35 francs.

Inscriptions reçues jusqu'au 15 avril, à l 17 heures.

A Fourqueux

Dimanche 18 avril et jours suivants. ¡

feuilleton du Figaro du 13 Avril 1937 v (15)

-13

CIIAPITRE III

Enigmes v

r (Suite)

La conversation se poursuivit, animée. Tous trois arrivèrent à la conclusion que l'homme avait certainement écouté à la porte du salon il avait agi en conséquence avec une promptitude et un sang-froid qui trahissaient un plan mûrement étu-,dié.

Il fut convenu qu'Hélène ferait part à son père du vol de la Bible, mais sans mentionner la similitude des papiers, ni indiquer que le voleur n'était autre que « Jean s>

Lorsqu'elle fut repartie, les deux amis reprirent leur conversation et envisagèrent de concert les mesures

à prendre.,

Au l'ail, dit Jnssaume,-tu voulais1

chambaud. Ignat-Diot et Chocque-Duyen se dinstinguèrent plus particulièrement, passant mènie en tête. Ils furent rattrapés peu avant le premier sprint par trois équipes étrangères Wals-Billiet, Schoen-Pellenaers et Walthour-Crossley. La bataille avait été très dure et pendant cette heure les coureurs avaient totalisé 4"> kilomètres.

Le Belge Billiet se repose et se restaure entre deux r« chasses »

aux Six Jours.

Après les sprints, qui furent gagnés ^;r Di" Pàcco, Diot, Wals, Speichér, Di ;Pa'c.co, Boucheron, Di Pacco, Boucheron, Richard et Wambst, le classement était le suivant Billiet-Wals,. 629 Schoen-Pelienaers, 422 Guerra-Di Pacco, 384 Ignat-Diot, 209 Chdcquç-Dayen, 162 ArehanifiaudLajébie, 143 Pijnf;nburg-LetouMieur,,127 Walthour-Crossley, 106.

Al tour Richard-Peçqueux, 431 Sérès-Boùehard,, 322.. l  2 tours Boucheron- Wambst, 569. A 3 tours Speicher-Le Grevès,~12t. Après les sprints de 10 heures, une prime de 5.000 francs fut gagnée par Billiet. Il ,y y a bien longtemps que pareille aubaine était échue aux coureurs. ̃

Coupe de Fourqueux, Fédération Française de golf. Ouvert aux joueurs de nationalité française membres d'un, golf affilié à la F. F. G. dont le handicap officiel n'est pas inférieur à 10 et pas supérieur à 18. Eliminatoire, medal play, 18 trous.

Limite des engagements le 14 avril, à 17 heures.

A Marly Dimanche 18 avril. Prix du Printemps, offert par M. et 31me R. Conte, dames- et messieurs, par coup, handicap.

A La Boulie

Samedi 17 avril. Championnat de La Boulie, dames, concours par trous, scratch. Clôture des engagements jeudi 15 avril, à 17 heures.

LA FINALE DE L'ALLIANCE AURA HEU DEMAIN

A SAINT-CLOUD

La finale de l'Alliance amateurs et professionnels, qui réunira toutes les équipes qui se sont qualifiées au cours des précéentes épreuves, sera disputée demain mercredi 14T avril, sur le parcours de SaintCloud.

Matin, 18 trous, 4 balles, meilleure balle; après-midi, greensome. Heures de départs 9 h., 13 h. 30 Grumbach-J.-B. Loth, H. Grunwald-R. Philippon. 9 h. 5, 1:! h. 35 Mme Strauss-Mile Tollon ou M. Madaulc-A. Guenin. Mme Ducas-M. Philippon. 9 h 10, 13 h. 40 Mme W. RaffardJ. Orengo, Mlle Y. Kapferer-P. Fournier: M h. 15, 13 h. 15 P. Ader-A. Boomer, X.L. Lamourette. 9 h. 20, 13 h. 30 Mme Canivet-P. Luchard, Carlebach-P. Boomer. 9 h. 25, 13 h. 55 Mme Verdier-J.-B. Bombediac, Mme Tagnard-P. Hirigoyen. 9 h. 30, 14 h. Mme Laguerre-M. Caudron, Fauchier-Delavigne-M. Cavalo.

9 h. 35, 14 h. 5 Mme G. Bouchayer-A. Lotli, Y. Comar, F. Cavalo. 9 h. 40, 14 h. 10 J.-P. Alfassa-A. Berard, DelafonCaron. 9 h. 45; 11 h. 15 Michal-P. Bombediac, Deliany-P. Salles. 9 h. 50, 14 heures 20 Hellstern-A. Jathière, M-nie BarbierCross. 9 h. 55, 14 h. 25 Thierry MiegR. Golias, duc d'Elchingen-M. Botcazou. 10 h., 14 h. 30 Mme Languereau-D. Aitken, R. Lalou-C. Hirigoyen. 10 h. 5, 14 h. 35 princesse Murat-M. Dallemagne, HelbronnerC Magniez. 10 h. 10, 14 h. 40 LefebvreP. Hausseguy. G. Sciama-R. Cintrât. En casde défection d'un joueur ou d'une équipe, prière d'en aviser J.-B. Loth, secrétaire de l'Alliance, golf de Fourqueux (tél. 617), à Saint-Germain, avant demain mardi 13 avril, à 17 heures.

m'apprendre ce matin une chose que j!ignorais et dont tu as fait part à ta fiancée et à son père ? Âh oui, il s!'agit d'une. liste de chiffres que voici Gérar jd, l'énuméra et raconta a son vieux- camarade la conversation qu'il avait eue à ce sujet avec son père. « Feu-Follet ». resta pensif, rapprochant ce nouveau fait de ceux: qu'il connaissait, déjàj puis il répéta les chiffres sans la moindre hésitation, s'amûsant de la stupéfaction de Gé-

rard.

Tu m'avais toujours caché que tu es un véritable Inaudi J'en suis du reste bien content, car ainsi tu n'auras pas à les noter pour t'en souvenir, et je trouve que les documents ont une fâcheuse propension a disparaitre.

Tout à fait d'accord, répliqua Bertrand, mais j'y pense, as-tu parlé de la communication de la vieille Thierrette?

Non, mais quel rapport ? Peut-être aucun- Cependant, ton père devait avoir ses raisons. Rappelle-toi comme il avait insisté pour qu'elle n'oublie pas de te transmettre son dernier message « Si mon fils n'arrive pas à temps, .tu lui diras que j'ai prié saint Nieodème pour lui. Tu y penseras, n'est-ce pas,

LA VOILE

Le «B«na»

gagne à Cannes

le Prix du « Rgaro » Cannes, 12 avril (de notre correspondant particulier). La neuvième journée organisée par la Société des régates de Cannes fut courue par beau temps, mer légèrement houleuse, petite brise de vent d'Est tournant au Sud-Est. Résultats

Série des 8 mètres (Prix du Figaro). 1. Bona, à M. H. Rosacco 2. France, à M. F. Rey 3. Ea-ll, à M. E. Piquerez. Série des 6 mètres (Coupe Angela). 1. Silènc-lV, à MM. de Libran et Borel 2. Thelma, à M. E. Corte 3. Qu'Importe, à Mme ,Y. Cotnareanu 4. Eole-1, à M. H. Piquerez.

La course-croisière Cannes-Agay, organisée par Je Touring-Club de France, avec le concours de la Fédération des sociétés de yachting de la Côte d'Azur et de la Société des régates de Cannes a eu'Ileu dimanche 1. Bona, à M. H. Rosacco 2. Davil, à M. H. Piquerez 3. Ea-II, à M. E. Piquerez 4. Eolc-ll, à M. E. Piquerez Concha, à M. Gendron Danac, à M. F. Rouff. J. Eparoier.

LE CHAMONÎARD JAMES COUTTET

gagne le Grand Prix ¡. de Marseille

Cannes, 12 avril, r– (De notre corresponpartïcùtier.) A Allos a été disputé le Grand Prix de Marseille, descente et slalôm,, auquel: participèrent presque tous les meilleurs Chamoniards. La course, qui comportait mille mètres de dénivellation, était tracée sur les flancs de la montagne de l'Autapié." La neige de printemps était excellente.

Le jeune James Couttet, de Chamonix, qui gagna l'épreuve, a fait une course magnifique.

Chez les dames, Mlle Agnel domine largement les autres concurrentes, y compris Mlle Martineau.

Résultats

Descente. 1. James Couttet, 3 m. 18 secondes 1/5 2. Bérthet, 3m. 54 s. 1/5 3. Agnel, 4 m. 3 s. 4. Pelissier 5. Gattilel 6. Broccardi 7. Mermbud 8. Lieutaud 9. Charlet 10. Devouassoux. Dames. 1. Mlle Agnel (S. C. P.), 2 m. 39 s. 3/5 2. Mlle Desoches, 3 m.58 s. 3. Mlle Martineau 4. Mlle d'Albertas 5. Mme Eparvier.

Slalom. 1. Agnel, 81 s. 3/5 2. Berthet, 82 s. 3. Mermoud 1. Couttet 5. Pelissier 6. Charlet 7. Devouassoux 8. Broccardi.

Dames. 1. Mlle Agnel, 135 s. 2. Mme Desoches.

Hors concours Mlle Martineau, du S. C. de Paris, qui a fait le meilleur temps, ,en 124 s. 3/5. d. Eparvier.

Nouvelles de tous les sports LUTTE, Pour inaugurer leurs séancea de catch du mardi, les Organisations Redco présenteront, ce soir, à l'Elysée-Montmartre,

cinq combats internationaux.

Au programme Muller contre Van Copenolle, Cadine-Whlpper Bill Watson, Bob Qregory-Tony Màncelli, Cnarn-Marton et Michel Leone-Arthur Ghevart.

̃ TIR. Les. Championnats du monde de tir au fusil, tir au pistolet, tir sur cerf courant, tir aux pigeons d'argile, seront dis-

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COURRIERS A POSTER

AMERIQUE DU NORD

POUR NEW-YORK Ile-de-France (dép. du Havre le 14, arr. le 20) Queen-Mary (dép. de Cherbourg le 14, arr. le 19). DEPARTS DES TRAINS (Gare Saint-Lazare) Queen-Mary, le 14, à 14 h. 14. POUR LE CANADA Ausania (dép. du Havre le 15).

AMERIQUE DU SUD x

POUR RIO-DE-JANEIRQ ET BUENOSAIRES Asturias (dép.. de -Cherbourg le 16). POUR LES ANTILLES Colombie (dép. du Havre le 25 avril).

AFRIQUE-MADAGASCAR î

POUR COTE OCCIDENTALE D'AFRIQUE Braira (dép. de Bordeaux le .16 avril). POUR MADAGASCAR,: LA REUNION Chantilly (dép. de Marseille le 15)1 POUR ALEXANDRIE ET BEYROUTH Champolïion (dép. de Marseille le 20 avril). EXTREME-ORIENT:

POUR INDOCHINE, CHLNE ET JAPON Aramis (dép. de Marseille le 16 avril). POUR L'INDOCHINE D'Artagnan (dép. de Marseille le 21 avril).

Thierrette ? » Que cela se rapporte au reste ou non, n'en parle pas tu n'en as déjà que trop dit, j'en ai peur. Et ce faux valet de chambre m'inquiète.

~:Alors, toujours tes soupçons ? Des soupçons, non, c'est un bien gros mot; un conseil de. prudence simplement. Pour une fois, laisse ton vieux « Feu-Follet » te prêcher cette .vertu.

Amen conclut Gérard en riant. Maintenant que faire ?

Et sans transition, il s'exclama Dis donc, Jussaume, et Montagnon ?

Quoi, Montagnon ? ?'

Mais oui, tu sais, notre camarade de l'escadrille. Est-ce qu'il n'est pas quelque chose à la préfecture de police ? Si' tu es libre demain matin, viens me prendre et nous irons à son bureau lui raconter notre histoire de Bible et lui demander conseil. U pourra agir à titre officieux, ou tout au moins nous indiquer à qui nous pourrions nous adresser pour débrouiller cet écheveau. ̃' •••̃

Ce serait sans doute la meilleure solution. Malheureusement, je ne suis pas libre demain matin. Mais, au fait, tu n'as pas besoin de moi. Tu me tiendras au courant de votre

LE FIGARO

MARDI 13 AVRIL 1937

AUTOMOBILE

J.-P. Wimillê « tourne >

à MflBry

à 146 kms 654 de moyenne et obtient pour Bugatti les400.0004rancs du fonds de Course

Nous avons exposé précédemment que sur le fonds de course provenant de la participation du mlnfstére des travaux publics, l'A.C. de France avait affecté une somme de 400.000 francs pour le constructeur français qui réaliserait une performance imposée. Il s'agissait, en l'occurrence. avec une voiture de 3 lit. 300 de cylindrée, à coinpresseur, de couvrir 200 kilomètres du circuit routier de Montlhéry à une -vitesse moyenne horaire supérieure à 146 km. 508, réalisée par Chiron, en 1934, sur le même circuit, dans le Grand Prix de l'A.C.F. S'étant mis en piste hier matin, le champion'de Bugatti a pleinement réussi et obtint, pour je constructeur de Molsheim, la subvention de l'A. C. F. ̃ Sur les seize tours du circuit routier, 11 a roulé avec une régularité remarquable, couvrant les dix premiers tours a une moyenne variant entre 5 in. 5 s. 3/10 et 5 m. 2 s. 2/10 et'la distance totale en 1 h. 21 m. 49 s. 4/10, soit à la moyenne horaire de 146' km. 654. Le meilleur tour a été couvert en 5 m. 2 s. 2/10, soit à la moyenne horaire de 148 km. 760.

Si l'on tient compte que la moyenne de

SKI

J.-P. Wimille au cours de sa tentative hier à Montlhéry.

Chiron a été réalisée avec une voiture monoplace formule internationale de course, d'une cvlindrée beaucoup plus élevée, on conviendra-que c'est un'*bel exploit accompli et qu'il fait le plus grand honneur au conducteur, dont on n'a plus à vanter les mérites, et au constructeur dont nous connaissons, depuis longtemps, la réputation.

putés à Helsinsfors (lielsinki), Finlande, du 30 juillet au 9 août 1937.

.Organisées sous-le contrôle de la Fédération Internationale de,tir, cas épreuves refont l'objet de grandioses "manifestations et réuniront l'élite des tireurs de tous E^ys.. ̃•;̃̃̃̃̃ Pour tous' renseisrneinents et programme, s'adresser à l'Union Fédérale française, Cercle du Bois de Boulogne, Paris.

2. RàrlAvis 33 (J. Laumain) .P. 13 » S. Sahalot 56,V (C. Bouillon) P. 13 »

Non placés Gabalka 46, Furlico 53J, Rosier 51i, Son in Love 56J, Canaletto 54|, Val:de Seine 53, Philadelphé 53, L'Indigène 53, Tatiana 51i. -̃:̃'̃ (3 long., 1 long., long.) PRIX D'ANDRESY V

(A vendre. 8.000 fr., 2.000 m.) ,`.

1. Good 56A (P. di Cicco).G. 21' » M. Mon Vblterra)..P. 8 50 2.Pitciioun 58 (H. Cames) .P. 9 » 3. Charente 53 (P. Perli).P. 12 » Jumelé 1150 Non placés. Girardière 52J, Lettre de

1TALIAN LINES 1

·

PROCHAINS DEPARTS

POUR L'AWERIQUE DU. SUD « AUGUSTUS »

de Gènes et, Villef rsnçhe le 23 avril.

de Dakar, le 28 avril.

« OCÉANIA »

de Trieste. le 29 avril; de Naples. ̃• ̃ --levl" mai; d'Alger, le 2 mai; de Gibraltar, le 3 msi.

f-art* 49. Av. de l'Opéra.. Tel Opé. 0S-5S. A Nice s 10, Av. de la Victoire à Cannes Casino Municipal La Crolsette h Marseille 38. Rue de ta République.

conversation. En tout cas, ne lui en dis pas trop. 'Inutile qu'il nous colle un de ses: ange> gardiens à chapeau meion et à. souliers: ferrés qui nous assommerait.

.La porte d'entrée venait à peine de' se refermer sur Jussaume qu'un coup de sonnette retentit.

Qu'est-ce qui t'arrive ? dit de l'Argue en voyant réapparaître son ami. "•̃. '•̃ "̃̃ Mon vieux, je suis impardonnable Quel oubli idiot Je voulais,te dire qu'elle est charmante, charmante, et que tu as bien choisi, j'en suis sûr. Àllons,ne. fais. pas ces yeux ronds, c'est de ta fiancée que je parle.' L'avais-tu oubliée ?

La.porte;en se refermant 'étouffa le gloussement de Feu-Follet qui descendit l'escalier en sifflotant (très faux) une marche guerrière. .Quelques instants plus tard, comme il se mettait à table, Gérard reçut un pneumatique, enveloppe impersonnelle, suscription tapée à la machine. Il en retiré une feuille de ce ce papier gris qui commençait à lui devenir familier.

Encore, gromméla-t-il. Et il lut

« Trop parler nuit. Merci cependant des renseignements », et comme signature, le monogramme rituel.

TENNIS

Le tournoi d'ouverture du R.C. France

à la Croix Cateian C'est dans l'élégant cadre de la CroixCatelan que le R.C.F. organisera, pour la deuxième fois, son tournoi d'ouverture. Réserve aux. joueuses et joueurs de troisième série, ainsi qu'aux non classés, ce tournoi est d'ores et déjà assuré du plus franc succès puisqu'à quinze jours de la clôture des engagements, la liste des participants est déjà longue.

Ce tournoi d'ouverture comprendra les épreuves suivantes: simple messieurs, simple dames, double messieurs, double dames etdoublemixte.

Les engagements sont reçus au siège du Racing, 81, rue Ampère, et le montant des droits est ainsi fixé 20 fr. pour une épreuve 35 fr. pour deux épreuves 45 t'r. pour trois épreuves. Taxe fédérale de 15 0/0 en sus.

Juge-arbitre, M. Fëret, assisté de M. Jean

Foucault. ̃•̃

La clôture des engagements est flxée à jeudi 15 courant, mi 1.

FOOTBALL

La finale du Championnat de Paris

de l'Armée de l'Air La finale du Championnat de Paris de football de l'Armée de l'air aura lieu aujourd'hui, à 15 heures, au stade de l'Union Athlétique du 16", à la porte de SaintCloud. Les deux finalistes sont,la Base aérienne 117 (Paris) et la Base aérienne 104 (Dugny-Le Bourget) qui ont triomphé de tous leurs adversaires.

La compétition sera serrée. Les deux équipes ayant mobilisé leurs meilleurs joueurs. A la base 117, notamment, ceux qui ont t le plus contribué au classement actuel Beaudère, Lefebvre, Rost et André seront sur le terrain.

Voici la composition des équipes Base 117. Avants Rost, Chantome, Leroux, Provost, André demis Beaudère, Lefebvre, Tredy arrières Lanneaud, Than but Drallz.

Base 104. Avants Branca, Pennot, Levasseur, Maurice, Légaux demis Cartille, Lefebvre, Pehnicot arrières Kutz, Ctairambault but Freymouth. La musique de l'Air prêtera son concours à cette manifestation. >

N OUI/ ELLES il ÉRIENN E S

LE GALA

de l'aviation commerciale Le Gala de l'Aviation commerciale aura lieu vendredi 16 avril, à 21 heures, au Cinéma « Normandie », au profit des œuvres de l'aéronautique.

Cette manifestation de bienfaisance associera dans un hommage commun les aviations américaine et française et leur admirable personnel navigant.

Saint-Exupéru fera une courte allocution en leur nom à tous, et en particulier parlera de ses camarades des lignes aériennes françaises. Il évoquera, pour illustrer leur œuvre magnifique, quelques-uns de ses souvenirs.

Un grand film précédé d'un prologue ou seront rappelés les visages et les mérites des quarante pilotes millionnaires d'Air-France sera ensuite présenté.

fous ceux qui aiment l'aviation viendront voir et entendre cette belle leçon, et apporteront leur contribution charitable d l'œuvre de bienfaisance qui la dicte.

Cachet 52^, Maïz 50§; Foùgy 5S,Màgali Ô6J, Gcnua 56i. ~Z

(1/2 long., 2 long. 1/2, 1 long. 1/2.) PRIX SARDANAPALE

(20.000 fraucs, 2.100 mètres)

1. Arkina II 57 (G. Bridgland) G. 50 » M. G. Matossian) .P. 1B 50 2. Love Call 31,V.(F: Rdchetti).P. 37 50 3. Patachon 53 (F. Hervé) .P. 22 » Jumelé.' 54S 50

Non placés': Serdab 51A, Lorenzo de Medici 59, Monarkie 51J, Mâjestic 57, lrarfadette 53i, Artaxerxés 53.

(1/2 long., long., tête.) PRIX DU GAZON

(Hand. 15.000 francs, 1.600 m.)

1. ïonkellc 47 (A. Chéret) G. 104 50

Mme .T. C. Courillo) '.P. ̃̃23 » 2. Aluobrandini 55 (F. Hervé) P. là » 3. Marmone 51 (G. Destandau) P. 10 »

Non placés Ladogas 47, Sa Payse 47, Corinne 49, Mlle Deiri 48. Fath 47, April Shower 47, Général Urfé 45, Fief 45, Rostabat 44. “•

(1/2 longv, 2 long., tête.) >;

PRIX LA FARINA

(10.000 francs, 1.500 mètres)

1. Rumball 55 (F. Hervé) G. 70 50 Mme H. L'Huillier) .P. 12 50 2. Limac 62 (R. Brcthès) .P. 8 50 3. Sirtam 60 (P. Crawley).P. 10 50 Jumelé 140 »

Non placés Hué 481, Cour d'Honneur 52i, Zlngari à0, Roval Legend 58J, Scrâp 50?. (1 long. l/2,: tète; 4 long.)

AENGHIEN

Aujourd'hui, à. 14 heures.: Courses à Enghien. Gagnants du Figaro Prix de Honlesson. Zirconium, Royal Condé.

Prix d'Eaubonne. Dohalda, Northunibria.

Prix de Confions. Grand Seigneur, Disraeli..

Prix de la Croix de Berny. Skiff, Ano-

nyrrie.

.Prix de Porchefontalne. Son of Troy, Gandelain.

Prix d'Achéres. Maitlarid, Source d'Or II.

Prix de Neuilly-Leoallois. Kind M, Ksar II..

Au cours de ses années de front, le lieutenant de l'Argue avait eu l'occasion de collectionner un certain nombre de jurons variés. La bienséance nous oblige de taire ceux qu'il pécha ce sdir-là dans- son répertoire de guerre.

Après un diner expédié, une soirée, passée à fumer d'innombrables cigarettes en essayant, de fixer 'son attention sur un livre, Gérard se coucha d'assez mauvaise humeur. Avant, d'éteindre, il jeta machinalement un coup d'oeil à sa montrebracelet qu'il avait déposée sur la table, de chevet.

Zut s'écria-t-il, elle aussi Cela devient obsédant à la fin, cet oméga qui s'étale jusque sur le cadran de ma montre.

Puis il éclata de rire et s'endormit d'un, coup comme un enfant. CHAPITRE IV

Les perplexités de Gérard Jamais Gérard de l'Argue n'avait eu l'occasion de se rendre à la Préfecture de police. Cependant, les quelques contacts qu'il avait eus déjà avec l'Ad-mi-nis-tra-tion et. la lecture de Courteline, lui avaient appris qu'on ne doit pas pénétrer à la lé-

<fi^ fil <A« Sports

A quoi rêvent les jeunes filles. Le pugiliste irlandais Jack Doylc, notoire pour la façon désordonnée dont il se bat, va divorcer. Son épouse, une actrice de cinéma d: Hollywood, dont le premier mari fut le lutteur Gus Sonnenberg, a trouvé que la vie était encore plus impossible avec un boxeur qu'avec un «catcheur».

Malgré cela, Doyle ne semble pas

Jack Doyle, boxeur et acteur de cinéma, est aussi un adepte du ski. devoir rester longtemps dans la solitude de nombreuses admiratrices dont certaines fortunées ont écrit pour lui demander sa main.

Autrefois, c'était les ténors et tziganes qui bénéficiaient de l'admiration fervente des jeunes filles. Maintenant, ce sont les hommes forts. 'Faut-il y voir un signe des temps

Les clubs ignorent la politique des cotisations.

La vie des clubs a toujours été financièrement difficile. Cela vient de ce qu'ils n'ont toujours pas su fixer un taux de cotisation en rapport avec les avantages qu'ils offrent en général, ensuite de ce qu'ils n'ont pas su imposer à leurs membres une discipline assez. rigoureuse. On est en. général trop coulantet l'on tolère trop, dans les clubs, que dés membres intéressants, en très grand nombre, ne payent pas leurs cotisations. Nous n'en voulons pour preuve que cet extrait du compte rendu de 'assemblée générale du Racing Club de France au cours de laquelle un membre

Les places 20. et 25 francs pourront étre retenues au Cinéma « Normandie »=; au Comité des œuvres sociales du ministère de l'air à l'administration centrale d'AirFrance, 2, rne Marbeuf, et à ses agences à Paris 2, rne Scribe, et 116, place. Xafayette.

L'aviation sportive

Les nouvelles dispositions des règlements de la F. A. I. autorisent les records de cylindrée.

En conséquence, Roger Bellon a pris l'air hier, à Etampes; à bord de son CaudronRafale biplace, muni d'un moteur de 6 litres et demi de cylindrée, avec l'intention d'établir les records sur 100 et 1.000 kilomètres, sur le parcours de la Coupe Deutsch de la Meurthe. Parti à 10 heures 12 minutes 25 secondes 2/5, Bellon a atterri i 14 heures 3 minutes 8 secondes 2/6; ayant parcouru les 1.000 kilomètres à la moyenne de 260 kilomètres à l'heure et les 100 kilomètres à la moyenne de 263 km. 543. L'aviation privée

Centre-Ecole de tourisme aérien. Aérodrome d'Orly. Tél. 15. Compte rendu de la semaine

Ont volé en double commande sous le contrôle de Bernard Coyco, directeur, chef pilote Charron, Etling, Vincey, Métier, ̃ de

ère dans l'un des sanctuaires de l'Autorité multiforme qui étend sur tous les citoyens français sa protection tutélaire et le réseau de ses fonctiônnaires. Il s'assura d'abord que son anciencamarade Montagn'on se. trouvait bien ce matin-là à son bureau et s'efforça d'obtenir quelques précisions sur le moyen de parvenir jusqu'à lui. Ce ne fut pas tâche aisée. Enfin, à force de diplomatie, il put avoir la communication avec la Préfecture de police, savoir que M. Montagnoh (Eugène) était chef, du service du personnel, être enfin branché sur son poste et prendre rendez-vous pour 10 h. 30 avec l'intéressé. Celui-ci se déclara très heureux de le revoir,et lui conseilla d'arriver par l'entrée donnant sur le Marché aux Fleurs. Ainsi fit-il, mais, prévoyant,, il franchit le portail comme le quart après 10 heures sonnait. Sans transition, après l'harmonie de la calme petite place où s'alignent des plantes vertes, des fleurs de toutes nuances mêlant leurs parfums, offrant leurs pétales, il trouva la crasse administrative dans toute sa laideur; couloirs lépreux, escaliers aux marches incrustées de poussière que des net- toyages parcimonieux ont transformée en boue grise, paliers étoilés de

du club., Mme Husson, fît une interpellation en ces lerm-s ` «Il n'y a aucune raison pour eue je paye 200 francs de cotisation quand il y a des commissions qui ne pa/lent pas. La. moitié des joueurs de rugby ne payent pas les cotisations. On me répond alors qu'on ne peut faire payer la cotisation parce qu'en n'aurait plus de joueurs de rugby au R. C. F. Il y aurait intérêt ace que tout le monde page sa

cotisation. »

Le Comité du Racing, à. cette attaque, a donné des explications qui satisfont sans doute lés réclamants. Le fait reste patent tou tefois. Trop de clubs n'ont pas de politique des cotisations. Ils se plaignent après cela de ne pouvoir faire face, aux obligations qu'ils se sont créées. Mais qui la faute ?

Des élèves résignés.

Les sportifs, français sont décidément des élèves résines. si nous en croyons la presse entière. JVous nous empressons de dire d'ailleurs que nous n'y avons pas échappé, mais tous, les journaux d'hier notent que nos footballeurs ont reçu au Parc des Princes, une petite leçon des professeurs du Charbon A. C. Ils notent aussi qu'une autre lecon a été donnée à nos joueurs de. basket-bail par les Italiens. Il n'est partout question que de leçons. Comme en football nous en avons reçu quelquesunes, comme, cet été à Berlin, nous en avons pris quelques autres, comme il g a quelques années que les sportifs français en reçoivent dans tous les sports. C'est à désespérer de les voir en profiter. Ils sont condamnés rester éternellement des élèves I

II y a des leçons qui sont, donnée» par des maîtres véritables,- mais aujour-

d'hui les sportifs1 français reçoivent des

leçons de sportifs étrangers qui étaient hier leurs élèves. Athlète quand même.

Le plus célèbre «shoûteur » du hockey sur glace professionnel, au Canada est aussi le plus abimé' du point dm vue physique. Charlie Conacher, qui eji un colosse, est pourtant d'une exceptionnelle fragilité et, ayant souffert en 1930 d'uni empoisonnement du sang, il a subir l'ablation d'un rein. Depuis lors il joue. néanmoins, portant, pour protéger le rein valide qui lui reste,' un' solide corset d'aluminium.

Cette protection ne lui suffit pourtant

qu'à demi et il a résolu, étant donné les risques, immenses qu'impliquent lell grandes compétitions de hockey, de prendre ̃sa retraite, cette année. On le comprend, et ,est déjà bien beau •– et bien' imprudent –^d'avoir joué sept saisons durant dans de telles conditions 1

Schonen, Ribart, Jaussoin, Perrier. Vol seul Girardin.

Deuxièiue degré. -r A l'entraînement J.-L. Delaunay. Leylavergne, Naudin, Riottot, Cavalin, Lambert, Cuinier, Laugee, Margheritti, Lépicier, de Caffarelli.

Perfectionnement sut « Corsaire » oa « :Moth » de Clennont-Tonnerre, Cail. Wéil, de Rochetaillée, Mautin, Masson-Regnault, de Garate, Danloux, Longuet, Devaux. ̃̃̃̃* ̃'̃"̃̃̃ Entrainement. Vols seuls avec ou sans passagers Bac, Potel, Houdaille, Rophe, Dutheil. Brouant-Vàndelle, Panhard, Freiche, Ollier, Glass, Linais, Léon Gérald et Mme Delaunay..

Pilotage sans visibilité Dùtbeil, Léon G., Mautin.. .̃. ̃ ̃̃̃̃• L'aviation 'militaire"

La Société Gnome et Rhône vient dé faire homotoguer un nouveau moteur 14 n° 3, avec les caractéristiques suivantes puissance nominale 1060 CV à 1.250 mètres puissance au décollage 1100 CV g régime moteur 2.360 t. s réducteur 2/X Le moteur n° 3 présente sur le moteur K. 14. dont il est dérivé, de nombreux perfectionnements carburateur automatique, graissage automatique des culbuteurs, surface de refroidissement augmentée. Sa grande puissance au décollage et sa consommation réduite au. régime de croisière le rendent particulièrement intéressant pour les gros porteurs et les hydravions.

crachats projetés par les vagues hu-

manités qui s'y arrêtèrent pour y reprendre leur souffle. D'une fenêtre aux vitres embuées par le chiffon gras qu'une main fatiguée y promena sous couleur de lavage, il aperçut dans la cour les ignobles baraques Adrian qui en déparent les harmonieuses proportions. Et, flottant sur tout cela, l'odeur tenace d'encre séchéé, de papiers poussiéTeùx.-de chien mouillé, parfum délicat spécial aux antichambres et aux bureaux officiels.

Enfin, de l'Argue parvint â une porte vitrée portant les mots f àtidïqiues « Service du personnel ». L'ayant franchie, .ii trouva devant lui, dans la demivdbsçurité dù:couloir, l'i rj é.vitable garçon de bureau poursuivant, sans lever la tête, le double "travail auquel il se livrait lecture attentive du journal la. Veine et, simultanément, nettoyage minutieux de son canal auditif externe droit à l'aide .'du manche d'un porte- plume. ̃ '̃: ̃ '•: '̃̃̃̃̃̃̃

(A nûvr&). O

Guy Lornay..