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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1936-10-08

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 08 octobre 1936

Description : 1936/10/08 (Numéro 282).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4092667

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CONSEQUENCES. REVENUS FIXES OU REVENUS

ENTRAVÉS

fctvfej™ I) nV a pas de revenu

fixe, en ce sens qu'aucun

f ^IR. revenu ne représente, tous les jours, le même

pouvoir d'achat. Le facteur du village croit avoir un revenu fixe mais comme Je prix des œufs à la ferme varie chaque semaine, le facteur voit aussi son revenu réel varier au moins quatre fois par mois.

JLa notion de revenu fixe est une de celles qui inspirent le plus de sottises dans l'économie publique et dans l'économie privée.

.Elle prête à quantité de confusions. Ainsi, on dit que le rentier a un revenu fixe et le propriétaire un revenu varaple. Or le rentier, s'il acheta ses rentes il y a quatre mois et les revend aujourd'hui, augmente singulièrement. son profit, tandis que le propriétaire, lié par des baux à long terme, ne peut adapter «on revenu à la dévaluation.

En fait les revenus se distinguent selon qu'ils suivent plus ou moins vite et avec plus ou moins de souplesse les mouvements des prix.

Dans la dévaluation, comme dans 1 tous les accidents, les moins agiles, les moins libres, les plus faibles, les plus distraits et les plus entravés risquent de souffrir le pius.

L'entrave qui gêne l'adaptation peut être de nature variée. Elle peut être un contrat, un statut, une impossibilité" ou une incapacité de marchan* derl Elle peut être un tarif, comme pour certaines professions libérales. Elle peut être l'inutilité marchande de la fonction, comme pour beaucoup d'intellectuels ou d'artistes. Elle peut être. même pour les professions actives, la peur du chômage si une entreprise est menacée de ruine complète par. l'adaptation immédiate des salaires, que fero.nt ses employés ?. L'histoire la moins écrite, mais la plus émouvante de l'après-guerre, est celle de la course des revenus entraves ou fragiles après la vie chère. Cette course, en partie vaine, est le secret du déclin des fonctions désintéressées dans notre société. Elle est aussi le secret de beaucoup de troubles dans la gêne matérielle, l'esprit finit par ne travailler que pour la révolte.

La cherté fait toujours des victimes avant toutes autres l'homme qui travaille sans intérêt direct, l'homme qui n'a. pas de moyen matériel d'imposer son travail et l'homme qui n'a pas ou n'a plus la force da travailler. L'abondance, laquelle résulte du prix accessible aux-moins favorisés et non de quantités restant inaccessibles, fait le bien-être d'une civilsation. Elle laisse aux arts désintéressés le loisir, qui leur est nécessaire, de ne pas travailler toujours pour l'intérêt.

Il n'y a jamais surproduction, tant que demeurent des besoins à satisfaire. Il peut y avoir seulement des produits trop chers pour qui en a besoin. La déviation du machinisme n'est pas venue de la machine. Elle est venue de ce que la machine, faite pour produire en grande abondance et à bas prix, a fini, sous les charges, par produire frop cher pour les pau-

yref., -̃̃'

De même l'inflation n'est pas meilleure que la déflation partielle. L'inflation fait monter les prix nominaux avant Ja masse des revenus renchérissement. La déflation partielle abaisse les revenus avant d'abaisser les prix renchérissement..

v Comment les revenus entravés peuvent-ils se défendre ?

Depuis quinze ans, ils ont couru après la cherté, la rejoignant tardivement et rarement, et, quand ils l'avaient rejointe, la voyant s'échapper d'une manière ou d'une autre. Peut-être, au lieu de courir après elle, vaudrait-il mieux l'arrêter à temps. La seule politique sociale d'efficacité large et profonde, est une politique de vie à bon marché. En avons-nous définitivement perdu le •ens et les moyens ? i'

LucIEN Romier.

« TEMPS PROBABLE Région parMi*nne. Temps froid. instable, nuageux avec belles éclalrcies; faible risque ûe giboulées locales. Vent nordest assez tnrt.

Température stationnaire. Maximum 9°. Visibilité assez bonne.

Manche. Temps instable. nuageux avec éclaircies: averses ou giboulées. Vent nordést fort.

Mer très airitêe.

Sud-Ouest. Amélioration. Ciel nuageux *ree belles «clalreies. Vent nord-est ass'ez fort; froiJ.

Mer agitée.

Sud-Est. Ciel peu nuageux, mai? vent nord h nord-est très violent. Température encore en baisse.

Mer très nouleusê.

Alpes. Temps médiocre sur le versant *st, s'améllôrant lentement, »g*ez beau dans l'ouest. Tone baissé de wropéf«v«. Pyrénées. Amélioration, ciel ûuaeeiu avee lui! as éclaircies; plus froid.

(Voir VévolutiQn générale et la carte an temp* à Ut paie des sparts.)

L'AFFAIRE FORMYSW

ww~w·r~.w,

LE RECENT iiEINT Jilfll affecte la composition do parpt de Boissons Une situation nouvelle est créée dans la douloureuse affaire Forraysin par le récent mouvement judiciaire qui vient de priver la cour d'Amiens de ses deux chefs, MM. Mazeaud, premier président, et Allard, procureur général, ayant été nommés à la Cour de cassation. L'un et l'autre ont été remplacés respectivement par MM. Leclercq et Chabrier. M. Chabrier, en sa qualité de procureur général, est le chef suprême d'un parquet' qui compte dans son ressort les juridictions du département de l'Aisne où a eu lieu l'attentat et dont M. Monnet, ministre de l'agriculture, est député député de Soissons, précisément.

L'affaire va-t-elle poursuivre normalement son cours ou s'orienter vers l'étouffement et l'impunité 1 Telle est la question.

Le souvenir de la brillante carrière et de la haute intégrité dont le nouveau procureur général de la cour d'Amiens arrive auréolé dans ses difficiles fonctions, le souvenir qu'il a laissé, particulièrement au parquet de la Seine, tant à la direction criminelle qu'à la section financière, auto- rise l'espoir que justice sera rendue, promptement et complètement ren.due.

Une personnalité compétente nous dit « Ce serait une illusion de croire que l'on reviendra sur les puissantes interventions, supposées, qui ont entouré les débuts de l'information et entraîné une initiative dont il est peu d'exemples dans les annales judiciaires, le parquet faisant plus volontiers appel d'une décision favorable que d'une décision contraire à l'inculpé. »

Nous ne voulons et ne pouvons, dans un domaine où la justice doit prononcer seule, que connaître un procureur général indépendant à Amiens, un juge d'instruction courageux à Soissons. Ce sont là les garants que réclament, avec l'opinion publique et la famille de l'infortuné M. Formysin, le sentiment même de l'équité qui doit l'emporter sur la passion politique et sur la haine. Signalons, pour être complets; qu'une nouvelle intervention parlementaire est prévue, celle de M. le sénateur Hachette, qui annonce son intention de ~posër* une question au garde des sceaux à la tribune du Luxembourg.

Gaëtan Sanvoisïn.

EN PAGE 3

LES « SIX JOURS» DE PARIS Après 24 heures de course

les Italiens étaient en tète

LA GUERRE CIVILE EN ESPAGNE LES NATIONAUX à 60 kilomètres

AU SUD D E MADRID Une nouvelle attaque des mineurs asturiens est repoussée à Oviedo (De notre envoyé spécial en Espagne)

7 octobre. Nouvelle avance des blancs vers Madrid. De Tolède, de Maqueda, les armées du général Va. rela se sont élancées vers le nord, dépassant Torrijos, enlevant tour à tour Portillo, Quismondo, Fuensaldana et enfin Santa Cruz de Re- tamar. Des troupes fraîches avaient été envoyées de Madrid vers le sud; fraîches, mais inexpérimentées et qui tombaiènt par grappes devant les fusils-mitrailleurs des blancs. Quelques heures plus tard, Burgos célébrait la prise de Santa-Cruz. La région de Tolède était largement dégagée, une position ^stratégique importante, à 60 kilomètres de Madrid et 13 kilomètres plus loin que Maqueda était prise, la route de Navalcarnero s'ouvrait aux colonnes blanches. Il est probable que Navalcar'nero, position importante située au sud-ouest de la capitale, constituera le prochain objectif important des blancs.

En prévision d'une attaque prochaine, l'exode des femmes et des enfants madrilènes s'est accéléré vers Valence et vers Barcelone. Des lingots d'or sont partis aussi un avion, chargé de caisses, a quitté Madrid pour Carthagène. Par mesure de précaution, les avions rouges de l'aérodrome de Getafe, qui est situé près de la route de Madrid à Tolède, iront probablement chercher des bases plus sûres. Les deux aérodromes de Madrid ont été bombardés à nouveau par les pilotes blancs. Quant à la capitale elle-même, qui avait reçu avant-hier une pluie de bombes d'avions, les blancs ne lui ont infligé hier qu'un bombardement de papier. iiiiiiiiiiiiiiiiiliititininiiiiititiiiiiittiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii EN 3' PAGE

L'ANGLETERRE

n'échr pperait pas

au danger de guerre

en s'isolant de l'Europe PaçAUQUB

LES COMMUNISTES ORÛilISENT pour samedi et dimanche prochains c©nt=vïngt=deux réunions en ALSACE et LORRAINE, Les trois préfets intéressés sont venus à Paris signaler au Gouvernement l'émotion que soulève ce défi à l'opinion

Appliquant méthodiquement son plan d'agitation, le parti communiste se propose d'organiser samedi et dimanche prochains, 122 réunions de propagande révolutionnaire dans nos trois départements recouvrés de la Moselle, du Haut-Rhin et du BasRhin. On juge de l'émotion soulevée en Alsace et Lorraine à l'annonce de ces meetings bolcheviques, tenus à la frontière D'énergiques protestations s'élevèrent, tant parmi les ruraux que parmi les milieux traditionalistes des grandes villes. Une délégation de parlementaires, conduite par le comte d'Andlau, sénateur du Bas-Rhin, alla trouver le ministre de l'intérieur pour l'informer que l'immense majorité de. la population d'Alsace et de Lorraine, calme et pacifique, était pourtant bien décidée à ne pas laisser troubler l'ordre dans son pays par quelques agitateurs recevant leurs instructions de l'étranger.

A la suite de cet avertissement solennel, M. Salengro eut des conversations avec deux dirigeants communistes, MM. Jacques Duclos et Marcel Gitton. Ces entretiens, tout LE GOUVERNEMENT

PREPARE-T-IL

une conversion des rentes? La forte poussée de hausse qui a suivi, en France, la dévaluation, et le fait que les rentes, d'assez loin encore, ont montré tendance à se rapprocher du pair ont ramené l'attention sur l'éventualité d'une conversion de la dette.

Des opérations de ce genre ont suivi la dévaluation, en Angleterre, aux Etats-Unis, en Belgique. Encore est-il important de ne pas oublier que, dans tous les cas, leur succès est résulté d'une restauration préalable du crédit public.

LE BAROMETRE BOURSIER

LONDRES ferme. BRUXELLES assez ferme. NEW-YORK irrégulier. Livre 104 70 contre 104 98.

Dollar 21 41 contre 21 39..

Lire en page 7 LE FIGARO

ECONOMIQUE ET FINANCIER »

Des tracts invitant la population à se rendre, et que les comités de Madrid ont interdit aux passants de ramasser, ont été jetés par milliers sur la ville.

Pendant ce temps, les colonels Asensio, del Gado, Tella et Yague, ce dernier rentré de convalescence, préparent, groupés autour du général Varela, une nouvelle avance. Quant au colonel Castejon, il a enlevé Escalona après une attaque fou.droyante. Le front est maintenant continu dans la 'région ouest et sud.ouest de Madrid. Cette activité mi.litaire des. blancs au sud de la capitale tend à confirmer que le G. Q. G. blanc envisage d'attaquer Ma.drid sans attendre la chute de Bilbao.

Georges Rotvand.

(Suite page 3, colonnes 1 et 2)

ON PENSE A CREER

56 LOTS DE CONSOLATION POUR CHAQUE TRANCHE DE LA LOTERIE NATIONALE

On parle beaucoup d'une réforme éventuelle dans le règlement de la Loterie nationale. Nous nous en sommes informés et l'on a bien voulu nous dire

Si cette réforme intervient, elle créera cinquante-six lots de consolation. Tout billet dont le numéro reproduit à un chiffre près quelle que soit sa place dans le nombre et pour ce chiffre, à une unité près, l'un des numéros des billets gagnant trois millions, un million ou cinq cent mille francs, toucbei» un lot de consolation.

» Mais ce n'est qu'un projet, sur lequel le ministre des finances donnera bientôt son avis. En admettant que le ministre le ratifie, le nouveau règlement ne pourrait être appliqué que pont le tirage de la onzième tranche.

de persuasion et de conciliation, n'eurent pas les résultats escomptés: le parti communiste ne décommandait toujours pas ses 122 réunions en Alsace et en Lorraine.

Pendant ce temps, l'émotion dans nos trois départements recouvrés, où l'on songe beaucoup à la guerre civile espagnole, devenait de plus en plus" vive, au point que les trois préfets devant la gravité de la situation, crurent devoir se rendre sans tarder à Paris pour en aviser leur ministre.

Il fallait agir le gouvernement se décida à négocier. C'est ainsi que M. Salengro, assisté de-M. François de Tessan, sous-secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil, chargé des affaires d'Alsace ci- i, Lorraine, eut, hier après-midi, une longue entrevue avec MM. Gaston Monmousseau et Ferdinand Bonte, députés de la Seine, délégués officiels du parti communiste.

Quel fut le « sens exact de la conversation, on l'ignore, mais on peut aisément le deviner. Le parti communiste a dû faire remarquer que, légalement, il n'avait pas à renoncer à tenir en Alsace ses 122 meetings politiques, anuoncés avec toute la publicité désirable, le récent ukase gouvernemental interdisant les manifestations publiques ne visant, comme par hasard, que celles qui ont lieu dans la région parisienne.

Le gouvernement va-t-il encore se trouver dans l'obligation de mobiliser 20.000 hommes pour permettre aux communistes de tenir leurs 122 réunions ? C'est la question qu'on se pose dans les milieux parlementai-

res.

Tout dépend de la décision que prendra le bureau politique du parti du marteau et de la faucille. Ce bu.reau se réunit- spécialement aujour. d'hui pour délibérer sur ce problème dont la solution pourra avoir des conséquences politiques considérables.

Dans le cas « ça ne s'arrangerait pas » à l'amiable, on envisage une sorte- d'arbitrage supérfcar de M. Léon Blum.

LES JOURS SE SUIVENT

QUAND ON VOUS

REFUSE LE CIEL.

L'aviation n'a pas encore épuisé toutes les circonstances du romanesque et nous avons connu hier un épisode jusqu'à présent inédit- de la vie à tire d'ailes, lorsqu'un homme et une femme la mènent ensemble. Au moment de s'envoler de NetvYork pour Stockholm, l'aviateur Kurt Bjoerkval a laissé sur le terrain la baronne Eva von Blixen-Finecke, dont nous savions tous qu'elle devait s'envoler avec lui. Cette dame en a éprouvé une vive et bruyante déception. On comprend ses sentiments. Car si, dans l'ordinaire de la vie, les abandons sont choses fréquentes, ils peuvent du moins demeurer secrets et une femme, sauf divorce éclatant, peut toujours jeter le voile sur la fin d'une. collaooration. Il y a encore quelque quinze ans, Constance dans les cieux (c'est un bien joli roman de M. de Bondy) pouvait être soudainement r£a4ue .la terre. sans que toute la terre le stif. Tandis que lorsqu'on doit faire carlingue à deux au-dessus de l'Atlantique et que le monsieur s'envole en vous laissant là, c'est un décollaoe si ron peut dire dont l'Amérique et l'Europe sont les témoins.

Notez que cette collaboration reposait sur une base plus commerciale que sentimentale. La baronne Eva von Blixen avait a^^orté à Kurt Bjoerkval des commanditaires qui se sont retirés au dernier moment de l'entre.prise. « Qu'à cela ne tienne, a déclaré l'aviateur suédois, j'en ferai seul les frais. Et, en faisant seul les frais, il est parti seul. Cette circonstance matérielle d'ailleurs n'a pas atténué les regrets de la baronne Eva von Blixen. Elle a dit de son compagnon «Ce qu'il a fait est humain. » En y ajoutant cette réflexion « Les hommes ressemblent à des chats », réflexion qui n'est pus d'une psychologie exceptionnelle, qui ne paraît pas avoir beaucoup de rapports avec l'événement. mais qu'il faut prendre comme la baronne Eva von Blixen l'a dite. Et, tout en assurant qu'elle entreprendrait seule le voyage qu'on venait de lui refuser à deux, elle à encore ajouté «Mon mari ne .pense qu'à chasser en Afrique. J'ai bien le droit de voler d'Amérique en Europe. »

«Mon mari ne pense qu'à chasser». Cette baronne Eva ressemble à la reine de Ruy Blas. Vous le voyez, les aventures demeurent toujours les mêmes dans leur essence. Le roi chasse et la reine s'ennuie. « Madame, il fait grand vent et j'ai tué. » Croyez-vous que cela suf fit à calmer l'impatience d'une femme? Encore moins aujourd'hui qu'hier. Alors, aujourd'hui comme hier, elle songe à s'envoler et ce n'est plus simplement une image.

D'ailleurs, il se trouve que le « Madame, il fait grand vent. » était en la circonstance un excellent météo et qu'en la laissant à terre Kurt Bjoerkval a peut-être usé envers cette jeune femme d'une généreuse galanterie, car le ciel de l'Atlantique n'est pas de tout repos, ces nuits-ci, fût-ce pour le cœur le mieux accroché* 1

Guermantes.

LE 18 OCTOBRE

A ORLÉANS

M. Léon Blum prononcera

un important discours

Le comité du parti radical-socialiste, après discussion, a maintenu au 22 octobre le congrès de Biarritz. Quatre jours auparavant, M. Léon Blum prononcera un important discours politique à Orléans. Il y présidera, entouré de plusieurs ministres, dans la circonscription de M. Jean Zay, ministre de l'éducation nationale, un banquet destiné à fêter les résultats des dernières élections.

La Fédération radicale-socialiste, qui a organisé ce banquet et invité les ministres, fait savoir qu'elle entend, par cette manifestation, « traduire l'esprit de collaboration affectueuse qui unit les partis républij cains au sein du gouvernement du Front populaire ».

On en avait donc douté ? 2

LA LOI MARTIALE "1 A SHANGHAI

Shanghaï, 7 octobre. La loi martiale a été déclarée dans la ville chinoise et dans un rayon de 30 milles de | Shanghaï en raison de l'accroissement de la tension sino-nippone.

L'évacuation du quartier chinois de Cbapei, qui est situé à proximité de la concession japonaise à Shanghaï, a été accélérée, le bruit ayant couru que la ligne de chemin de fer Shanghaï-Nankin avait sauté à la suite d'une explosion.

LE CONGRES TRAVAILLISTE EST ADJURE PAR DEUX DÉLÈGUES DE MADRID DE SE DÉCLARER POUR L'INTERVENTION L'alliance avec les communistes

est repoussée à une majorité considérable

(Lire en 3e page l'article de notre correspondant particulier.)

« POUR LA PLUS PETITE VILLE DE PROVINCE UN GYMNASE

ET 'UNE PISCINE. » Dans son prochain discours du trône le roi Edouard VIII annoncera la mise en œuvre de ce vaste équipement sportif

Londres, 7 octobre. Les Anglais passent pour être très sportifs et physiquement en forme. Mais ils ne le sont pas encore assez au gré du gouvernement britannique, qui, jetant les yeux au delà du Channel, songe à l'intérêt que présente, en temps de paix comme en temps de guerre, l'entraînement physique de la jeunesse.

Aussi, on assure de bonne source que le roi, dans le discours du Trône qu'il prononcera le 3 novembre, à l'ouverture du Parlement britannique, annoncera la mise en oeuvre d'un vaste plan national tendant à rendre chaque Anglais « health-conscious », c'est-à-dire soucieux de sa santé et de son équilibre physique.

En dehors de la propagande qui sera faite à l'occasion de cette campagne en faveur de l'éducation physique, des milliers de piscines seront construites chaque ville de province, quelle que soit son importance, sera dotée d'un _gyrcnase.; et (le nouveaux terrains de sports seront créés.

Dans l'organisation de cette éducation sportive, le gouvernement britannique s'inspirera de ce qui a été fait en Allemagne et en Italie.

Ainsi le mouvement d'opinion en faveur du sport, parti il y a plusieurs lustres d'Angleterre, y revient avec une intensité accrue.

LA DIPLOMATIE FRANÇAISE s'est trompée au sujet de l'U. R. S. S. Elle doit savoir redresser elle-même son erreur

Par WLADIiWIR D'ORMESSON

Quand on considère d'un peu haut l'équivoque qui vicie la politique franco-russe et que nous avons essayé d'analyser dans de précédents articles; quand on réfléchit sur la déviation qui a fait glisser cette politique du plan diplomatique extérieur sur le plan social intérieur, l'on en arrive à cette conclusion

L'Europe est traversée par des courants idéologiques et passionnels qui dépassent et de loin les spéculations techniques des chancelleries. Ce ne sont pas seulement deux plans différents que celui où l'on pense tactique diplomatique, « pactes », « procédure juridique », etc. (comme le plan de Genève) et celui où l'on agit directement sur la sensibilité des masses. Ce sont deux mondes, on pourrait dire deux âges Et c'est bien parce que la réalité européenne est devenue avant tout une réalité psychologique et presque pathologique que les hommes d'Etat, les diplomates se trompent quand ils sous-estiment

Rentré à Londres M. Eden va préparer la conférence à cinq Mais le Foreign Office attend toujours de connaître les points de vue

de Rome et de Berlin (De notre correspondant particulier, par téléphone.)

LONDRES, 7 octobre. M. Anthony Eden, qui vient de se reposer quelques jours dans le midi de la France, a regagné Londres.

Au cours des prochaines semaines, le secrétaire d'Etat au Foreign Office sera occupé à la préparation de la Conférence des Cinq, mais aucune réponse n'a encore été reçue de l'Allemagne et de l'Italie à la suggestion britannique et il est impossible de mettre quelque chose sur pied avant que Rome et Berlin aient manifesté leurs points de vue.

Les Italiens, bien qu'ils aient accepté en principe de se rendre à la conférence, demandent encore quelques « explications sur la politique anglaise en Méditerranée, mais le gouvernement britannique ne semble pas penser que de telles explications soient nécessaires en dehors de celles que donna sir Samuel Hoare dans son dernier discours.

En ce qui concerne l'attitude allemande, le chancelier Hitler semble vouloir attendre le développement de la* situation internationale. Dans ces circonstances, la possibilité d'une prochaine conférence n'est pas brillante et l'on a l'impression que le gouvernement britanni.que ne désire pas la précipiter non plus. Gérard Boutelleau.

L'AVIATEUR SUEDOIS KURT BJORKWALL a été recueilli au large des côtes d'Irlande

II est sain et sauf i

Alors qu'on s'attendait à le Voir atterrir à Saint-Jean de Terre-Neuve, Kurt Bjorkwall a poursuivi son vol vers l'Est, avec l'intention d'atteindre Stockholm, distant de 7.100 kilomètres. »

Les conditions atmosphériques, favorables au moment du départ, sont devenues mauvaises sur le parcours.

Si bien qu'hier, toute la journée, on attendit en vain des nouvelles du pilote. Aucun bateau, aucun poste cotier n'avait signalé son passage et l'on se montrait inquiet sur le sort de l'aviateur. Son avion, un monomoteur, d'une vitesse commerciale de 200 kilomètres-heure, emportait près de 3.500 litres d'essence, soit environ pour 36 heures de vol, de quoi couvrir largement la distance entre New-York et Stockholm, à la condition que tout aille bien. L'anxiété grandissait et déjà l'on s'attendait au pire lorsqu'un mes- sage émanant du poste de radio de Valentia (Irlande) annonça que Kurt Bjorkwall avait été recueilli sain et sauf par le chalutier français linbrim au large des côtes d'Irlande par 53 degrés 34' de latitude nord et 11 degrés 55 de longitude ouest. L'avion est remorqué jusqu'au port de l'île de Valentia (Irlande Occidentale), où l'aviateur n'arrivera que ce j' matin, le remorquage de l'avion ralentissant la marche du chalutier.

ou quand ils méconnaissent la toute-puissance des courants qu'elle agite.

Là aussi et là seulement réside l'erreur que la diplomatie française a commise dans l'affaire franco-russe. Elle a cru qu'elle pourrait limiter cette politique à une action purement diplomatique. Elle n'a pas vu, elle n'a pas mesuré ou pas admis les ferments révolutionnaires qu'elle portait en elle, et-,le débordement idéologique qu'elle risquait ainsi de déterminer. Cette erreur est d'ailleurs la rançon d'une vertu. Car la vertu de la diplomatie fran- çaise est d'être classique. Oui, quoi qu'on en dise, cette diplomatie est restée prodigieusement traditionnelle. Elle poursuit son che.min, dans la tour d'ivoire du Quai d'Orsay, selon les principes qu'elle a hérités, refaisant chaque jour, telle Pénélope, ce que chaque nuit a défait, sans presque se préoccuper des vents, qui la bousculent.

(Suite page 3, col. t et 2.)

CHRONIQUE

Retour

à ta baguette magique

Par RENE LARA

Avant-hier sur le coup de miA nuit, Emile et Vincent Isola sont redevenus les pres-

tidigitateurs dont s'émerveilla notre enfance. Soirée triomphale où se mêlait pour eux à la mélancolie des vieux souvenirs, l'émotion d'une jeunesse retrouvée.

C'est un cas sinon unique du moins très rare de revenir en arrière à une époque où l'on ne songe qu'à aller de l'avant. Il faut plus de courage encore que de philosophie pour s'y résigner. Peu de gens, en effet, dans la foule indifférente, sont susceptibles de comprendre ce qu'jra tel sacrifice.comporte d'espoirsNjléçus, de secrètes amertumes et de sentiments froissés.

Nous étions, dans la salle, quelques-uns on n'ose pas les compter qui évoquions les péripéties de l'étonnante carrière des « frères » Isola. Nous nous rappelions cette petite scène des Capucines où derrière une table recouverte d'un tapis de velours ils faisaient pleuvoir des pièces de cent sous dans un chapeau de soie et escamotaient des spectateurs qui s'étaient prêtés au rôle de comparses. Et quel public Des têtes bouclées, des mères ravies et des vieux messieurs au milieu desquels surgissait parfois la puissante carrure de Lucien Guitry; il accompagnait un petit garçon qu'il appelait Sacha.

Mais dans l'exercice de leur métier, ces distributeurs d'illusions avaient fini par concevoir des ambitions plus hautes. Ce n'était pas pourtant la grande aventure parisienne qui les attirait ce qui les tentait, c'était d'expérimenter au théâtre leurs facultés d'iliusioni^fme, de réaliser des mises en scènes somptueuses, de parer le manteau d'Arlequin de toutes les fantaisies de leur imagination.

Ils étaient hardis, ils avaient du goût ils allaient, pendant quarante années, diriger successivement plus de trente scènes et y dépenser sans compter leur énergie, leur ingéniosité et leur fortune. On le* aimait parce qu'ils étaient généreux, pitoyables et justes. Dans ce monde des théâtres où souvent l'âpreté des envieux ne pardonne pas au succès, ils avaient trouvé le moyen se souvenant peut-être qu'ils avaient été prestidigitateurs de se glisser à travers les mailles de la méfiance, de la jalousie et de la rancune. Tenir la rampe pendant plus d'un demi-siècle est un métier dur pour peu que les catastrophes économiques s'en mêlent. Aussi, un beau matin, Emile et Vincent se retrouvèrent-ils face à face comme jadis, sur un banc des Tuileries, en se demandant « Que faire ? » La crise du théâtre les avait ruinés.

Ils se souvinrent alors du petit garçon qui, autrefois, les applaudissait avec tant de ferveur au théâtre des Capucines.

Allons consulter Sacha, dirent-

ils.

Sacha n'hésita pas

Si mon père, qui vous appréciait, vivait encore, leur répondit-il, il vous dirait Revenez à votre premier métier, vous y trouverez encore des satisfactions et des succès; puis. vous aurez quarante ans de moine

Les Isola se récrièrent. Reprendre la fameuse baguette, les trucs démodés, créer l'illusion quand on n'en veut plus, retrouver la souplesse, la rapidité, le « bagout » indispensables. Impossible.

Réfléchissez, insista l'auteur. de Mozart, décidez-vous et repassez. Lorsque les Isola furent revenus de leur stupeur et de leur effroi, ils jugèrent sagement que le conseil de Guitry n'était pas, après tout, si fou qu'il leur avait semblé d'abord.

Ils retournèrent donc chez Sacha qui jouait à ce moment Mon père avait raison, au théâtre de la Madeleine.

Ils se présentèrent un peu émus, dans sa loge.

Sacha, votre père avait raison, leur annoncèrent-ils.

Bravo î Travaillez pendant quelques mois et laissez moi faire je serai votre parrain.

Les frères Isola se mirent à l'œuvre. Ils se passionnèrent pour leur métier retrouvé et réussirent à découvrir des numéros inédits. Désormais ils vont reprendre la vie errante des donneurs d'illusion*. Je ne connais pas d'histoire plot émouvante ni plus pathétique. René Lara.


jqes échos

petit déjeuner.

Samedi matin, jour de la grève de l'hôtellerie, une de nos abonnées entend son appareil téléphonique -–Veuillez m'excuser, chère amie, de vous déranger. Auriez-vous la bonté de me faire envoyer par votre femme de chambre du café, du beur-,m; du pain, beaucoup de lait ? On se refuse à me servir le petit déjeuner. Cette voix était celle du maharadjah de Kapurthala, qui téléphonait ainsi d'un grand hôtel de l'avenue

d'Iéna.

Il

En temps de grève.̃

..I^es mariniers grévistes n'ont jamais eu un si Ions». contact avec les gens de la berge. Des conversations s'engagent, des visites se font des uns aux, autres. Sur le pont de son pétrolier, un marinier est ainsi interpelle par un « terrien » Alors, viens-tu faire la partie ? --4- Oh non

Tu as le temps, reprend l'autre," viens donc

Alors le marinier, toujours aussi placide T ̃ ̃

-r- Oh non, répète4-il. Avec cette grève. J'en profite un peu pour travailler.

La revanche du drapeau.

Notre drapeau national a subi de rudes épreuves, mais pour le moment il tient une petite revanche. Il flotte au sommet du Grand Palais, dominant Paris, et là, il est tricolore même la nuit.

L'éclairage indirect dont se sert le Salon de l'Automobile éclaire, en effet, le drapeau et rend ses nuances visibles. Le rouge est parfaitement rutilant; le bleu.se détache du blanc, qui semble légèrement doré, et nos trois couleurs ilottent ainsi dans l'obscurité ambiante, agitées par le vent piquant qui vient de l'Est. Le Masque de Fer.

COURRIER DES LETTRES Un manuel

du vagabondage Mme Denise Van Moppè vient de traduire de l'anglais Avoine sauvage (Wlld Oats)., ces « souvenirs d'un vagabond » qui furent remarqués outreManche..

En mai 1926, Eric Muspratt quittait Londres avec trente shillings dans sa poche. Marcheur intrépide mais plus souvent passager clandestin de paquebot et voyageur en fraude des trains de marchandises, il a fait le circuit Paris, Limoges, Budapest et le retour vers Rotterdam, puis Londres. Trente shillings, même en 1926, cela ne faisait pas un capital de tourisme. Ils furent dépensés totalement peu après Paris. L'intérêt des souvenirs de M.,Muspratt est de montrer comment on peut voyager sans argent dans les temps modernes. ̃Pour le transport, le 'moyen le plus convaincant me- paraît, après lecture, celui-ci attendre un train de marchandises à l'entrée d'un tunnel qui suit un contour de la voie le train ralentit et alors on saute sur une marche de wagon.

Pour la nourriture et le logis, les moyens sont plus variés la mendicité, le vol, les secours des consulats britanniques (si l'on; est sujet de Sa Majesté), les femmes faciles et les hommes suspects, de temps à autre, les. stages en prison. ̃?. Assez, alléchant en. somme.. Cependant,: Avoine sauvage n'a pas beaucoup de chances d'entraîner son lecteur dans la tentation du vagabondage européen. Muspratt écrit dès l'abord qu'il s'est fait vagabond pour « avaler le plus possible de connaissances humaines et se les assimiler sous forme- de sagesse». Or, voici ce dont on est frappé jusqu'à l'affligement en le lisant le vagabondage est un métier terriblement absorbant avoir faim, chercher de l'argent et un toit occupe l'être tout entier. Toutes les capitales finissent par être semblables aux yeux du vagabond et le vagabond écrivain nous apprend bien mieux l'uniformité du besoin humain sous toutes les latitudes que la diversité d'âmes et de caractère des nations. ̃

Conclusion pour voyager avec profit, mieux vaut encore s'adresser à une agence de tourisme. -r- M. N. Avoine Sauvage. Souvenirs d'un vagabond,: par Eric Muspratt. Traduction de Denise Van Moppès, à la Librairie Grasset.

"L'astrologie est une « science » fasciste

Nouvelle classification des sciences que l'on n'enseigne pas encore dans les lycées.. L'Humanité, à la vigilance de qui rien n'échappe, vient d'imprimer que «l'ori assiste actuellement, avec l'assaut du fascisme, à une renaissance de l'astrologie appuyée par une offensive de presse».

Pourquoi l'astrologie est-elle fasciste? Leijournal communiste note une singulière conjonction digne d'être surveillée puis dissoute en même temps que les ligues entre l'astrologie et certains, élèves de l'Ecole Polytechnique 2° entre l'astrologie et Hitler. Après avoir rétabli les exécutions à îa hache; après avoir mis les juifs au ban de la société comme au temps des ghettos, Hitler, revient aussi au moyen âge en matière de séience.

liés prédictions d'Hanussen, le mage du nazisme, assassiné depuis, auraient, parait-il, puissamment servi la conquête du pouvoir par Hitler.

:q:a et JLA

̃̃ Le. prix du Récit historique, fondé par l'Intransigeant, sera décerné pour la troisième fois, au mois de novembre prochain. Les concurrents ne manquent pas et le jury où M". Léo Larguier, de l'Académie GoncoUrt, remplace Albert Thibaudêt, a commencé l'examen. Les Nouvelle- Littéraires annoncent, que M. Maurice Martin du Gard abandonne son poste de directeur afin de se consacrer entièrement à sa carrière d'écrivain.

M. André Gillon, qui était président du conseil d'administration des Nouvelles Littéraires, prend la direction effective du journaL

M. J.-H. Rosny ainé, président de l'Académie Goncourt, déclare qu'il a reçu et dénombré cette année 225 livres çjîïidijdats au Prix.

'C'est une baisse sur l'an dernier où, paraît-il, il y en eut 300 le chiffre de 1936 suffisant pourtant, à l'appétit de lecture du célèbre jury ainsi qu'à sa fonction, qui est d'offrir un -lauréat.

I^M. VIE IF É.&Njl 1 N-'l N ET MQJ^PilIME

AUJOURD'HUI

Deuils. 10 n. 30 Obsèques de Mme, Dellou (Saint-Martin des Coampï). ̃ 11 heures Obsèques du marquis de Sarros (Saint-Honoré d'Eylau).

11 heures Obsèques de Mme Marcel Lambret (Saint- François de Sales, rue Brémontier)

11/ h. 15 Obsèques de M. Vletor Tipliaine (Eg-lise de Saint-Ctoud).

La journée

du général Maritch ministre yougoslave

de la Guerre

Le général Maritch, ministre de la guerre yougoslave, et les officiers qui l'accompagnent dans, son voyage en France ont été reçus à déjeuner, hier, au Cercle Interallié, par M; Pierre Cot, ministre de l'air. '̃' Ce déjeuner avait, un caractère' très intime et peu de personnes y assistaient. On y remarquait cependant,' outre S. Exc. M. Pouritch, ministre de Yougoslavie en France, la présence du général •Gamelin, ainsi que de l'amiral DurandVièl. Les généraux Pujo et Colson, le général George, qui fut blessé à Marseille aux côtés du Roi Alexandre de Yougoslavie, étaient également présents. Un défilé aérien à Villacoublay Le ministre de là guerre et de la marine de Yougoslavie a été reçu, l'après-midi, au, centre d'essai aéronautique, à Villacoublay, par M. Pierre Cot. La troupe de l'aéronautique militaire de Viilacoublay a présenté les honneurs au représentant du gouvernement yougoslave. i

Un défilé de soixante-dix avions militaires, comprenant du matériel de chasse, de bombardement et de reconnaissance, a eu lieu. Ensuite, différents prototypes modernes ont été présentés au général, au sol et en vol. Les pilotes Michel Détroyat et Georges Detrê :ont effectué d'audacieuses et remarquables exhibi- tions sur matériel ultra-moderne.

L'inauguration du monument aux Roiç Pierre de Serbie et Alexandre de Yougoslavie Demain vendredi date anniversaire de la mort du Roi Alexandre à quinze heures, aura lieu, place de la Muette, en présence du président de- la République. l'inauguration du monument aux Rois Pierre de Serbie et Alexandre de Yougoslavie, monument offert à la Ville de Paris par le comité organisateur, à laquelle assistera le général Maritch. Les Poilus d'Orient et les associations qui ont contribué à la souscription nationale seront présents à la .cérémonie. Aujourd'hui arrive, par le Simplon Express, M. Ilitch, maire de Belgrade, avec une délégation du conseil municipal de cette ville pour assister à l'inauguration.

A 11 h. 45, le maire de Belgrade, accompagné de ses collègues du conseil municipal, déposera une couronne sur la tombe du Soldat inconnu, où il sera attendu par le président du conseil municipal et le bureau.

A 15 h. 30, le maire de Belgrade, avec la délégation du conseil municipal de Belgrade, se rendra à l'Hôtel de Ville, il. sera officiellement reçu.

COURS `

Une messe anniversaire .pour le repos de l'âme de la Princesse Sophie d'Orléans sera dite le samedi 10 octobre, à dix heures, en la chapelle de la Compassion, boulevard Pershing.

S- A. le mahacajah de Kapurthala a quitte le George-V hier, pour aller •passer une dizaine de jours à Londres. il. reviendra, ensuite à. Paris.

•̃•.• "̃̃̃̃̃ .'̃: ̃ ̃'̃

DANS LES AAABASSA'DËS- On annonce comme probable la nomination d'ambassadeur d'Italie à Londres de S. Exe. M. Guariglia, en remplacement de S. Exc. M. Dino Grandi, qui serait appelé aux fonctions de gouverneur de l'île de Rhodes.. S. Exe. M. Gaston Maugras, ministre de France à Budapest, a offert un déjeuner, à la légation de France, en l'honneur de M. François Latour, commissaire général adjoint de l'Exposition de 1937, et du comte J. de Castellàne, au cours de leur court passage.

Mme R. de Maares van Swinderen, femme de S. Exe. le ministre des PaysBas à Londres, est arrivée hier à Paris, au Meurice.

̃ J». ̃ ̃'• ̃

CERCLES

Favorisées par tempe splendide, les courses de Poitiers ont remporté, dimanche dernier, leur succès bien connu. Reconnu au pesage:

Comte Fruchard, colonel de Montjou, commissaire général Sciard, le,colonel comman- dant l'Ecole d'artillerie et Mme Bazangaux, marquis, marquise et Mlle de Mieulet de Ricaumont, baron Urbain et Mlle Fabvier, marquis et marquise de Rochequairie, baron et baronne de Souville, M. et Mme Edgard de Montjou, comte, comtesse et Mlle de Chaunac-Lanzac, comtesse de Tudert, colonel et comtesse de Laliglade, comtesse de Pcyronnet,' colonel Bizard, comte Jehan Aymer de La Chevalerie, Mme et Mlle Lapérelle, comte et comtesse £maury de La Moussaye, Mme E. Bizard, comte et comtesse Roger de Mascui-eau, vicomtesse de Dreu?y, comte et comtesse de La Salinière, M. et Mme Jacques Richard, comtesse Antoine Aymer de La Chevalerie, baronne et Mlle de Werbrouck, M., Mme et Mlle de Curzon, M. et Mme P. de Suyrot, comte et comtesse de Sartlges, M. et Mme R. Person de Champoly, vicomtesse Uecazes, M., Mme et Mlle de Laulanié de Sainte-Croix, M., Mme et Mlle Patricat, M. Cauribe, M. et Mlle d'Orfond, M. et Mme Chaze dé I^amotte, vicomte. de Hermadec, Mme et Mlle d'Orvau, capitaine et Mme de ÏM Ville-Montbazon, M. et Mme Gérard de Montjou, M. et Mme G. Person de Champoly, Mlles de Bony de Lavèrgne, Babinet, Adeline, vicomte de Boisséson, comte Pierre de Pimodan, comte Jacques de Mieulet.de Ricaumont, comte Joseph de Cordon, vicomte de Charnacé, M. Ph. de Volpeliéres, baron de SaintAndré, comte Jacques Lecointre, M. de La Faverie du Ché, capitaine du Jônchay, vicomte de Kei"mel, etc.

Les courses de Segré ont eu lieu sur le bel hippodrome du château de la Lorie avec leur succès habituel. Temps magnifique, sport très intéressant et terrain excellent. Reconnu

Marquis' de. Saint-Genys, comtesse de Blois, marquis et marquise de Contades, prince et princesse de Broglie, comtesse G. dfAndigné, Mlle d'Audifl'rd-Pasquier, comte et comtesse de La Hochebrochard, comte et comtesse de Coulanges, capitaine et Mme Finaz, comtesse de Jourdan-Savonnières, comte de Talhbuët, Mine de Mieulle, M., Mme et Mlju J. de Mieulle, comte et comtesse d'Anthenaisc, comtesse d'Esclaibes d'Hust, Mlles de Fontenay, comte. et comtesse de Danné, comtesse et Mlles d'OHone, comté de Saint-Genys, marquis d'Audiffret-Pasquier,. comte de Jumilhac, baron de Candé, baron et baronne de Cholet, M. et Mme Gavoty, comte de lierauiem, baron de Champrel, capitaine et Mme de.Sailly, comte et comtesse de Geloes, comte et comtesse de Carcaradec, comte de Charnacé, M. Jacques N'antet, comte et comtesse de Serrant, Mlle de Vienne, Mlle Burin des Roziers. comte H. de Pimodan;'vlcomte P. de La Grandière, Mlle de La Vàissière, colonel, Mme et Mlle de Waru, comte et comtesse F. de Jourdan, comte et comtesse de Chêrisey, M. Seguela, sous-préfet de Segrt;

NOTRE CONCOURS PHOTOGRAPHIQUE I93£

1. «'Pirogue: postale sur le Niger », envoi de la. comtesse de PonfiUy, Toulon (classe B)'. 2. «Excursion dans le Tyrol autrichien », instantané par M. V. Darblay, Paris (classe D). 3. «Au col de Bassanèse, Savoie », photographieadressée par M. R. Cochet, Paris (classe C)v

A gauche Jacqueline Bernheim dont le mariage avec le docteur Feldstein vient d'être célébré, A droite: Mlle Annie Massot dont le mariage avec M. Guy de Lamberterie vient d'être béni en la cathédrale de .̃• '-̃ Nancy. '••̃ ̃

(Studio Peeters

et Phot. Paris-France.)

iimiiiiiimiHiiiiiiimiiiiUiiiliiiintiniiiii iiuiiiiiiniu ̃• M. Milon, maire de Segré; -M. et Mme de Champvalin, comte de Langle, M. et Mme Bedel, vicomte de Rochebouët, comte de Saint-Rémy, comte d(i Pore, eqmte et comtesse de Vauxmoret, comte et comtesse de Sesmaisons, comte de Charnières, vicomte et vicomtesse de La Celle, Mlles de La Borde, M. et TWmè O'Madden, comte et comtesse de Fontanges, comte et Mlles de Villoutreys, comte et comtesse R. de Danne, comte et comtesse Le Gualés de Mézaubran, comman- dant de Royer. M. de Coux, M. et Mlles Després, M. Desnoës, Mme Burin des Roziers, comte Henri de Rohan; comte CK. de RohanChabot, comte Ch. de Nicolay, Mme Richou, M. de Valroger, M. et Mme Gasnier du Fresne, comte de ̃' Noblet,' M. Meslay, Mme- et Mlle Gallo, M. et Mnle Paris.

.) '̃̃'̃̃ s* ^v: ̃̃

FIANÇAILLES {

On annoncje:les fiançailles de Mlle Janine Richard, fille, de M. Charles Pichard'et de madame, née Gùstine, avec notre confrère M. Robert des Granges, secrétaire la rédaction du Jour, fils de M. Charles-Marc des Crangés et de madame, née Buchet de Neuilly, décédéë. On nous prie d'annoncer les fiançailles de 'Mlle Denyse Dervaux avec le comte Jean de La Bédoyère. On annonce les fiançailles de Mlle Yolande de la Verteville avec le lieutenant Jacques Fqrcade, du 4e hussards.

L'ODYSSÉE T)U G1RLVAI

L">L'"uy.£:;¡p.1-)'è.LJ" "1-

LE FAMEUX 8ATEAU" CORSAIRE •̃; racontée par son capitaine

LUI

Tu as raison, Jimmy, si ces types.sont assez malades pour entrer à l'hôpital, je crois que nous sommes assez malades, quant à nous, pour être tout de suite enterrés. )'111:

< "A

Au cours de plusieurs conversations, j'avais eu l'occasion d'apprendre que le gouverneur .de l'ile du Diable était un fervent philatéliste je dénichai dans une armoire du Girl Pat un certain nombre de vieilles enveloppes timbrées, susceptibles de l'intéresser: et je les lui apportai. Il parut ravi de-cette attention. Merci,' mon ami, merci bien. Me répéta-t^il- à plusieurs reprises en me serrant la main. Ce!fut;tout ce que je pus saisir de ses paroles, car il s'exprimait en français avec une grande rapidité etsa conversation me paraissait un déluge de syllabes incohérentes. Ce fut de nouveau la vieille négresse, femme d'un surveillant du pénitencier,, qui me servit d'interprète. 'Elle me dit que le cadeau que j'avais fait au, gouverneur était sans doute la chose au monde qui était le plus propre à lui faire plaisir. r– DitesJui bien, répondis-je, que je serais heureux si je pouvais lui donner plus que quelques vieux timbres en mauvais état pour le remercier des bontés .l qu'il a eues pour nous. dés bontés que tout le monde a éues pour. nous ici. ̃'̃ Recpnnaissauice T

:Ges timbres, ainsi qu'une vieille paire de gants.de boxe furent tous les cadeaux que je fis dans l'île du Diable. Je -n'avais rien à donner, hélas, et je a-egrette encore aujourd'hui bien sincèrement, car j'eusse été heureux de pouvoir rendre au centuple les bienfaits dont on nous combla.

C'est surtout la vieille négresse que -j'aurais voulu pouvoir témoigner ma reconnaissance. Je lui. expliquai longuement que mes compagnons et moi-même nous n'oublierions jamais.ce qu'elle avait fait pour nous et que nous regrettions tous bien vivement, de ne pouvoir lui donner un témoignage plus complet de. notre gratitude. 1.1

Mais non, mes enfants,, me; dit-elle. Je n'ai fait que ce que tout autre eût fait à ma place, vous ne me devez absolument rien. Puis elle nous dit que nous ferions bien d'appareiller cette nuit même ou- dans

̃ .'̃:̃̃ ̃ •• •̃ ;̃̃̃

MARIAGES }

Samedi dernier en l'église SaintWaast, à Béthune (Pas-de-Calais), a été béni le mariage de Mlle Thérèse Playoust, fille de M. Gustave Playoust, industriel, et de madame, née Hélin, avec Al. Michel Bqsvieux, fils de M. Henri Bqsvieux, avocat, et de madame, née Briandet-Houpin.

Les témoins étaient,. pour la mariée M. Emile Playoust, industriel, son oncle;

On a placé hier sur son socle le monument élevé à la' mémoire des Rois Pierre I" de Serbie et Alexandre I" de Yougoslavie qui sera inauguré demain place de la Porte^de-la-Muette par le président de la République.

les premières heures du jour, le lendemain. En effet, le gouverneur avait eu avec elle une longue conversation à notresujet.

Il ne veut pas vous renvoyer, nous expliquat-elle, mais si vous partiez avant demain matin, cela lui rendrait un très grand service, car c'est demain matin que doit arriver le navire français qui porte le courrier. Si, du bord, on apercevait votre bateau mouillé non loin du rivage, cela pourrait créer au gouverneur toutes sortes de difficultés.

•– Dites au gouverneur, lui répondis-je aussitôt, que je comprends parfaitement la situation et que demain matin, à quatre heures au plus tard nous aurons levé l'ancre. ̃

Ëilé hésita un instant, puis, me demanda

Mais. êtes-vous sûr que vous êtes assez forts ̃̃. maintenant pour partir ?

Certes, nous nous sentons encore bien faibles, niais, malgré tout, nous avions, depuis, notre arrivée, constaté une telle amélioration dans notre état qu'il nous "était possible désormais, de manœuvrer seuls le Girl Pat. ̃ '̃' «- Nous sommes prêts à faire le tour du monde. dis'rje'-en riant à la vieille négresse, afin de dissiper ses craintes. » '•̃.

"Je ne songeais pas à garder secret notre lieu de destihation. Je. dis à qui voulait l'entendre. que nous avions l'intention de nous rendre à George-Town, en Guyane anglaise, afin d'y passer quelques jours. Ce que nous ferions après cela, je n'en savais rien.J'avais vaguement l'intention, après m'être ravitaillé en vivres et en combustible à George-Town, de pousser vers les Antilles, de longer ensuite la côte américaine .jusqu'à Terre-Neuve et de mettre ensuite le cap sur le Groenland et l'Islande, d'où nous pourrions par la suite regagner l'Angleterre.

Cela nous permettrait d'éviter une trop longue traversée transatlantique et nous mettrait en mesure de garder à peu près constamment le. contact avec la cote. Certes, il pourrait être assez pénible de naviguer dans les mers froides du Nord, niais, quelque pénible que cela fût, ce ne serait rien comparé aux souffrances de la famine que nous avions, endurées dans les mes» tropicales.

'0-suiVre.) Capitaine Osbprne. t Copyright Opéra Muwdl.

A gauche Mlle Thérèse Playoust dont le mariage avec M. Michel Bosvieux vient d'être béni en l'église Saint- Wast, à Béthune. A droite: Mlle de Durat dont le mariage avec M. Urbain de Vassori vient d'être célébré en l'église de Meillers (Allier). (Studio Peeters

̃̃'̃̃ "'̃ et Phot. Paris-France.)

pour ie marié Mme Joseph Bosvieux, sa tante, et M. Robinet.

Le service: d'honneur était assuré,par Mlles Thérèse, Marguerite-Marie, Françoise, Bernadette et Christiane Bosvieux, jenny Dutilleul, Marcelle Guilbert, Madeleine Hélin, Janine Vivarès et MarieThérèse Baly.

La mariée portait une très belle robe de crêpe mat, Jong voile de tulle retenu par un diadème de boutons de fleurs d'oranger.

Dans .la plus stricte intimité, en l'église Saint-Sulpice, a été célébré hier le mariage de Mlle Ariette Mer, fille de Georges. Mer, docteur en droit, directeur de l'enregistrement de la Seine, officier de la Légion d^honneur, croix de guerre, et de madame, née Chalumeau, avec le docteur Laurent Aubert. Les témoins étaient, pour la mariée M. Pierre Dalbouze, président de la chambre de commerce de Paris et des chambres de commerce de France, conr seiller du comité permanent de la Banque de France, commandeur de la Légion d'honneur, et M. Charles Braibant, ancien élèveWe l'Ecole des chartes, directeur du service des archives de la marine, homme de lettres, chevalier de la

Projet de voyage `,

Légion d'honneur pour le marié M. Laurent Courchet, juge d'instruction à Marseille, et le docteur jamin, chirurgien des hôpitaux de Toulon. Le 3 octobre a été célébré en l'église de Genouilleux (Ain) le mariage de Mlle Jacqueline de Clercq, fille du comte Guillaume de Clercq et de la comtesse, née Desvernay, avec le baron Christian de Hennezel d'Ormois, fils du baron de Hennezel d'Ormois et de la baronne, née de Witte.

t. Monseigneur le Duc de Guise avait daigné se faire représenter par le comte de Souvigny.

La bénédiction nuptiale fut donnée par l'abbé de Jouffrey, oncle du marié. Les témoins étaient, pour la mariée le comte Louis de Clercq, son grandpère, et le comte Desvernay, son oncle pour le marié le baron Guy de Hennezel d'Ormois, son frère, et le baron de Witte, son oncle.

Le service d'honneur était assuré par Mlles Ghislaine et Chantai de Clercq, de Hennezel d'Ormois, Desvernay, de Noblet d'Anglure, du Rozet. `

Le marquis de Barbentane, Mlle de Barbentane, Mlle Christiane de Clercq, le comte Guy de Milly, accompagnés à l'orgue par M. Lenormand, avaient bien voulu .apporter à la cérémonie religieuse le concours de leur talent.

Après la cérémonie, un lunch assis réunit au château de Genouilleux les parents et amis ainsi que les habitants du village.

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DEUILS

Nous apprenons avec un profond regret la mort, survenue en Roumanie, après une courte maladie, du jeune fils unique de. S. Exc. M. de Cardenas, ancien ambassadeur d'Espagne à Paris, et de Mme de Cardenas.

Cette douloureuse nouvelle affecte les nombreux amis que M. et Mme de Cardenas s'étaient acquis dans-tous les milieux parisiens.

Nous les prions d'agréer, ici, nos plus profondes condoléances.

On nous prie d'annoncer la mort subite de Mme veuve E. Delion, en son domicile, à Paris, 32, rue de Lancry. Le service aura lieu aujourd'hui jeudi 8 octobre, à dix heures trente, en l'église Saint-Martin des Champs, 36, rue des Marais, sa paroisse.

Nous avons le regret d'apprendre la mort de Mme Marie Lemerre, pieusement décédée en son domicile de Neuilly. Les obsèques auront lieu demain vendredi 9 octobre, à midi, en l'église SaintPierre de Neuilly (90, avenue du Roule) où l'on se réunira. Mme Lemerre était la nièce d'Ernest Feydeau et la cousine germaine de Georges Feydeau.

On nous prie d'annoncer la mort de M. Gaston Heliot, conseiller du commerce extérieur, chevalier de la Légion d'honneur, 15, villa de la Réunion (16e). Les obsèques auront lieu demain vendredi, à treize heures quarante-cinq. Réunion au temple du Saint-Esprit, 5, rue Roquépine. De la part de Mme Gaston Heliot, des familles Paul-Boncour, Biette et Aboucaya.

Nous apprenons la mort de Mme Edouard Cauderay, née Bohren, décédée le 7 octobre 1936, à Montmorency (.Seine.et-OiseJ. Les obsèques auront lieu vendredi 9 courant, à.seize heures. Réunion au domicile, 23, rue de Paris, à Montmorency, à quinze heures et demie. Cet avis tient lieu d'invitation. Ni fleurs ni couronnes. De la part de M. Edouard Cauderay, son mari de M. et Mme Alfred Dumériy et leurs enfants, de M. et Mme Maurice Cauderay et leurs enfants, de M. et Mme Gérard Léo, de Mlle Jacqueline Dumény, ses enfants et petits-enfants; de M. et Mme Léon Bohren, de M. et Mme Henri Bohren, de M. et Mme Henri Cauderay, ses frères, beau-frère et belles-sœurs. On annonce la mort

De Mme Joseph de Morgues, née Letourneur, à" Saint-Béraln-sur-Dheune (Saône-etLoire) de M. Joseph Houx, à Versailles de M. Joseph du Brusle, à Douai de M. Victor ïiphaine, à Saint-Cloud. Valfleury.

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Expositions

Au Mtis'ée Gàlliêra" -L'invitation au voyage. (Clôture le 1 S octobre).

.–̃Au Muséa de .lfOran^erie Exposition Cézanne. (Clôture le- 11- octobre).

A la Bibliothèque Nationale Le Symbolisme. (Clôture le 15 octobre).

Au Parc des Expositions de la porte de Versailles Concours Lépine. (Clôture le 12 octobre).

Au Musée des Arts décoratifs, 107, rue de Rivoli La Vigne et le Vin dans l'Art. (Clôture. le 15 octobre).

51, rue de Clichy Salon international 1 d'art photographique.

Au Grand-Palats Salon de l'Automobile. La grande ner et les galeries du rez-dechaussée ouvertes de 9 heures à 23 heures. Le premier étage ferme ses portes à 18 Heures S0.

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Trois idées pour les cocktails L'heure redeuenue normale, qui nous vaut un rapide crépuscule, incite aux réceptions de fin de journée, qui groupent, au fur et à mesure des retours en la capitale, les amis dispersés par les vacances.

Cette mode de rester chez soi a partir de six heures et d'y offrir aux invités des breuvages brassés accompagnés de friandises plus amusantes. que nourrissantes crée entre lés femmes la plus charmante émulation. Chacune cherche à éclipser sa DOjsme par quelque trouvaille inédite soit dans la façon de combiner un breuvage, soit dans celle de dresser la lable ou de garnir un sandwich.

Dans ce domaine, j'ai un récemment trois nouveautés -qui, m'ont para dignes d'être signalées aux bonnes hôtesses soucieuses de leur renom de maîtresse' de

maison. La première consisté en l'utilisation, pour le buffet ou les petites tables, de plats et soucoupes de tailles diverses en bois d'olivier lisse et verni, d'un aspect charmant sur les nappes colorées. La seconde nous offre tout un choix de bouchons en porcelaine décorée d'un semis de fleurettes et portant, inscrit en teinte vive, le nom de la liqueur qu'ils enferment: porto, xérès, cinzano, etc.

La troisième, enfin, fort pratique ponr les papilles difficiles, se compose d'un minuscule écriteau monte sur un fin cure-dent, sur lequel est peint, avec humour, un jambon, une volaille; un gibier, un poisson, des tomates, des œufs, une salade, selon les sandwiches qu'ils sont destinés a surmonter. Cette innovation décore les plats et permet à chacun de se servir sans erreur, selon ses goûts.

Tl suffit parfois d'un peu d'ingéniosité, à a française, pour rendre encore plus aimables les modes venues de l'autre côté de la marc.

Comtesse de S.

Yp~YY~yMYYYPYIYIIdHIfMIYIIJHVNY

LES 2 PANTHERES

Hélène Devinoy présente demain vendredi ses créations de manteaux de fourrures chez Ixe, rue Royale. VOIR EN PAGE 9

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DE LA MODE

LES ACTIVITÉS FEMININES

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LA «SPECIALISTE» DU DESERT:

Marie-Edith de Bonneuil Rue du Bac, en ce vieil Hôtel des Princes de Valmy qui fut aussi le couvent des Visitandines, au fond de la grande cour silencieuse et toute imprégnée du passé, je trouve la seule femme qui, à bord d'un avion militaire, s'évada vers le désert de Lybie pour atterrir à Koufra.

Mme de Bonneuil a commencé sa carrière de :journaliste aventureuse en 1931. Entourée de souvenirs précieux, elle travaille à son livre sur l'expédition abyssine, ouvrage qui sera. bientôt terminé.

lime de Bonneuil m'offre gracieusement une cigarette

C'est une cigarette du- gnêbi impé-.

Smart.

Marie-Edith de Bonneuil

rial d'Addis-Abeba. Le Xégus, dans sa hâte, a laissé quelques boîtes. Je les conserve précieusement, ainsi que ce splendide sabre qui appartenait au ras Seyoum, cet encensoir de l'église de Amba-Aradam, cette Bible Gheez à la reliure précieuse et cette croix de fer laissée par le ras Moulougueta dans sa fuite. Admirez aussi cette robe de cour de la princesse Seyoum, toute brodée, qui ressemble singulièrement aux broderies paysannes roumaines. Est-ce un souvenir de Théodosiu, le Négus d'origine roumaine qui a régné en Abyssinie?

Après votre expédition en 1934 dans le terrible désert de la Dankalie le sombre pays de la mort où vous avez vécu pendant sept semaines, parcourant en tous sens le pays avec la première caravane italienne chargée de délimiter les confins, quelle a été votre activité Mais c'est la guerre d'Ethiopie, ou plutôt l'avant-guerre 1935. Je » partis pour OualrOoual, je m'embarquais à Naples sur le petit cargo rouleur qui descend jusqu'à Mogadixio, sur l'Océan Indien, comme courrier de la mère-patrie et remonte chargé de belles bananes des rives de Djouba, en Somalie italienne. L'orage grondé en Europe. L'Italie fasciste choisit son destin et la guerre d'Ethiopie commença. Nous tûmes deux femmes journalistes comme correspondantes de guerre Paule Herfort, au Sud, avec l'armée du maréchal Graziani, et moi au Nord, avec l'armé du chef suprême, le maréchal Badoglio.

Je sais, madame, que seule journaliste de France, vous avez accompagné, la colonne motorisée du maréchal et, à ses côtes, franchi le col de la Termahes à 3.400 mètres.

Cette jeune femme courageuse parle alors avec enthousiasme des quatre vols de guerre, dont un avec Vittorio Mussolini et un autre avec Bottai, le gouverneur de Rome, sur Addis-Abeba, non encore occupée. Au retour, l'avion portait sept éclats d'obus j Et maintenant l'heure est venue de rassembler ces souvenirs étonnants. Bientôt, paraîtra un livre sur l'expédition abyssine. Un chapitre immortalisera le fétiche de la voyageuse « ventre à terre » la petite tortue de MarieEditli de Bonneuil, qui voyage-avec elle depuis 5 ans..

La glorieuse conclusion de tout cela ne tarda pas à venir sous la forme d'un message de l'ambassade d'Italie. Le commandeur Landini demanda à Mme de Bonneuil de reprendre le lendemain l'avion Paris-Rome sur l'ordre du Duce et le surlendemain la voyageuse revenait avec la croix de guerre au titre militaire et une citation dont elle s'excuse de ne retenir qu'une phrase, la dernière

« Sa présence, son courage, sa bonne volojité ont toujours été an. précieux réconfort. » Quel joli programme pour nous- toutes., dons. )a vie

R.- Bernard.


SUITES DE LA PREMIERE PAGE- I<a diplomatie française s'est trompée au sujet de Ï'U.R.S.S.

n y une grande force, remarquez-le, dans cette ténacité car le « génie n'est qu'une longue patience ». Mais il y a aussi de grands dangers. Le principal, est de ne plus voir le monde tel qu'il est: ••̃̃̃̃

La diplomatie française a été supérieurement à son aise et elle a tenu dans le monde une place dont les Français seuls n'ont jamais reconnu l'émirience, lorsque l'Europe était encore soumise à l'idéologie juridique issue de la victoire et que Genève battait son plein. Mais depuis que cette construction nécessairement éphémère a été battue en brèche par la crise née de la liquidation de la guerre et que, dans le désarroi moral où cette crise a plongé les peuples, le continent est en proie à des messianismes déchaînés messianisme fasciste, messianisme hitlérien, messianisme soviétique la diplomatie française est désorientée. Elle ne sait plus distinguer entre ce qu'il y a d'impétueux, de fatal et, disons même d'humain, dans ces mouvements de fond qui se produisent et ce qu'il y a aussi en eux d'artificiel et de truqué. C'est ainsi qu'elle s'est longtemps trompée sur le fascisme et sur l'hitlérisme et qu'elle n'a jamais su traiter avec eux sur le mode où cela était sans doute possible. C'est ainsi qu'elle s'est également trompée sur les Soviets et que vis-à-vis d'eux non plus elle n'à pas su adopter l'attitude et le langage qu'il fallait. •Elle n'a vu que des hommes c'est-à-dire, somme toute, des pions sur l'échiquier la où il y avait aussi, là où il y avait.su/1tout, des avalanches et des. épidémies.

L'on dira et Dieu sait si l'on aura raison que la France doit précisément tout faire pour s'opposer* la violence de ces courants idéologiques et empêcher que les difficultés européennes ne dégénèrent en guerres de religions, Certes, oui Mais pour conserver tme telle attitude et lutter efficacement contre les excès environnants, il faut alors, il faut plus que jamais, oue la France garde sa tête froide et soit elle-même im-

La guerre civile en Espagne

Quant à la contre-offensive générale que les rouges avaient déclenchée, elle a été enrayée assez rapidement dans ta zone de Madrid. Elle a été. freinée également, d'après les dernières: nouvelles, sur le front d'Oviedo.

La lutte autour d'Oviedo

Oviedo aura été, dans la guerre civile espagnole, une sorte de se- cond Tolède. Au début de l-'insurrection', Madrid- .avait demandé au cetone^^andaj.jiçoài Wandant -.militaire de la place, el ""qui £talt précisément sur le point de se soulever, dé fui envoyer des colonnes de mineprs ̃asturienS pour défendre la capitale. Le colonel a envoyé des centaines de mineurs. La ville étant ainsi dégarnie de ses éléments les plus extrémistes, il a-fait occuper les points stratégiques par la troupe et la garde civile. Les blancs étaient maîtres d'Oviedo.

L'aventure, commencée en tragicomédie, devint rapidement dramatique. Les mineurs asturiens jurèrent de reprendre Oviedo, capitale des Astùrics rouges, berceau de la révolution d'octobre 1934. Depuis deux mois, ils ont harcelé la ville sans répit Parfois, le colonel Arandà a pu effectuer une sortie, dégager les abords de la cité. Une fois même il a pu opérer une jonction avec les blancs de Gijon. Mais Gijon a été repris par les rouges et Oviedo a été assiégé de nouveau. Ravitaillement difficile en vivres comme en munitions, faubourgs sourdement hostiles, bombardement incessant. C'est dans ces conditions qu'Oviedo résiste depuis- deux mois. ~f"

Un gouvernement

provisoire basque

Sur le front de Biscaye, l'activité a répris. Bilbao a été bombardé à nouveau, La pression des blancs s'est accentuée en direction de la 1 vîllëfef une fraction de la population a abandonné, pour Santander, la capitale -de la Biscaye. Pendant que le canon. tonnait au sud dé BU* baq, les Basques Biscaye ont élu à le président de leur premier gouvernement provisoire, en vertu de l'autonomie que Madrid a concédée à VEuzkadi..

Nous avions été en mesure d'indiouerr dès le début de l'insurrection,

PONR L'EXPOSITION 1937 lis Parisiens vont voir se transformer

I la place de FAlma Deux pylônes s'y dresseront plus élevés que l'Arc de Triomphe La place de l'Aima jouera un rôle important êH 1937 c'est là que se dressera la porte principale de l'Exposition. Entourant la statue de Mickiewicz, s'élèvera une plateforme de sept mètres de haut flanquée de deux pylones de cinquante hiètres plus élevés que l'Arc de Triomphe. Pour ce faire, les ouvriers fixeront dans du ciment 500 tonnes de fer, et recouvriront le tout de bois des coloWès. La direction des travaux a été confiée aux architectes Solatarev et

Bard..

Les piétons, sortant désormais du Métro à l'entrée de l'avenue du Présideiit-Wilson, prendront, sur le trottoir, à -l'intersection de ciHte avenue et de l'avenue George-V, un escalier qui les mènera à une passerelle enjambant la chaussée et les conduisant à la plateforme. Ou bien, ils prendront, à.l'mtersection des avenues Montaigne et George-V, un escalier cjui leur permettra de gagner: une: "passerelle analogue, et d'aboutir également à la plateforme. De là, par trais passerelles au choix, ils descendront dans l'enceinte de l'ExposîtloB; ëvë'iiûé'de Tokio et cours AI-

Mrt-I»* «̃̃ ̃•̃• --̃̃"̃ ̃

Pour passer sur In rive (fuuchc, "ils

emprunteront- t pont provisoire, paral-

lèle: au pont l'Aima, qui restera, lui, en' dehors de l'enceinte de l'Exposition.

perméable aux contagions étrangères.

Or depuis la poussée communiste du 3 mai et l'action que les meneurs inféodés à Moscou exercent sur notre politique, c'est un fait que notre pays a paru succomber lui-même à l'épidémie rouge. Un tel glissement ne constitue pas seulement un danger pour lui. C'est un désastre pour l'Europe, car l'une de ses plus soI îides colonnes a l'air de chanceler.

Récemment, dans un remarquable article de l'Europe Nouvelle, M. Dupront qui dirige l'un de nos plus brillants « Instituts français » à l'étranger, s'élevait contre l'idée que le rayonnement de la France pouvait s'accommo-

der d'une France qui ne serait

que raisonnable, prudente, sottement conservatrice, petite-bourI geoise et « pense-petit ». Dieu sait si nous sommes depuis longtemps de son avis Mais bien que M. Dupront n'aime pas le mot (et que nous reconnaissions les côtés négatifs de ce mot) il faut dire pourtant que là aussi, là toujours, c'est une question de mesure qui se pose. Certes, il serait insensé de vouloir que la France se comportât en champion eunuque d'un ordre rabougri et périmé.

Nous sommes tellement de cette opinion que de reproche que nous faisions à notre politique extérieure était précisément de n'avoir pas suffisamment ténu compte des réalités psychologiques qui emportaient les peuples, de n'avoir pas suffisamment jaugé leurs qualités ou leurs poisons. Mais parce que nous ne devons pas, dans ce monde brûlant, faire figure de « conservateurs d'hypothèques », nous ne devons pas j non plus nous comnorter en fourriers légers et dociles de la pire révolution. A aucun prix, il ne faut se laisser s'instituer la monstrueuse alternative Berlin ou Moscou » et permettre, par la sottise et la folie des uns et des autres, que notre destin ait l'air d'osciller entre ces deux pôles. Dieu merci, il y a encore un destin français

çais Wladimir d'Ormesson.

que c'est à la suite d'une promesse d'autonomie que les nationalistes basques avaient pactisé avec Madrid. Cette information est maintenant confirmée. Au cours de la cérémonie, M. Aguire, qui compte des sympa- thies personnelles dans le cabinet de Madrid, a été rapidement élu président du nouveau gouvernement provisoire. II a prononcé des paroles apaisantes et habiles. Mais pendant qu'il parlait^ les blancs, avançant vers Bilbao, grignotaient petit à petit l'Etat, nouveau-né, v :r.c:;

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APRES LA DEVALUATION DE LA LIRE

Que vont faire

le Vatican et la

République de Saint-Marin ? La dévaluation de la lire a jeté dans la perplexité les autorités monétaires du Vatican et de la République de Saint-Marin. Les monnaies de ces deux Etats sont en effet déjà dévaluées, comme la lire, d'environ 40 mais aucun d'eux n'a l'encaisse-or suffisante pour créer un fonds de stabilisation à l'instar du gouvernement italien.

D'autre part, s'ils stabilisent à un cours fixe, des difficultés incessantes surgiront du fait que, par suite de conventions monétaires avec l'Italie, la circulation de la lire est aurorisée dans ces Etats et que la valeur de la lire est susceptible de varier dans une limite de 10 9 ♦-

Dernière Heure sportive LES SIX JOURS CYCLISTES DE PARIS

Après 24 heures de course les Italiens étaient en tête La suppression des sprints qui, l'an dernier, étaient disputés à 15 heures, a quelque peu modifie l'intérêt de la jourliée qui maintenant commence peu avant les sprints de 16 h. 30.

Cette* première journée fut quelconque, les coureurs ne travaillant véritablement pas avant la série des sprints de 22 heures.

A 23 heures, la position des leaders, après les premières 24,heures, était la suivante

1. Olmo-di Paco, 62 points 2. AertsBuysse, 57 points 3. Archambaud-Laliébie, 41 "points 4. Schoen-Pellenaars, 33 points.

Les quatre équipes de tête conservaient leur avance et à la première heure de la deuxième journée, soit après 25 heures de course, elles avaient totalisé 605 kil. 500, Olmo-di Paco comptant 62 points, Aerts-Buysse 67, Archambaud-Lapébie 41 et Schoen-Pellenaers 33 points.

Venaient à un tour Depauw-Maes. 39 points, et Magne-Guimbretière, 19 points.

A deux tours Pijncnburg-Wals, 46 points.

A 3 tours Pecqueux-Tonnelicr, 70 points Ignat-Diot, 66 points LeducqDayen, 17 points.

Les autres équipes comptaient un retard beaucoup plus grand.

Le dilemme est embarassant. On suggère aux ministres des finances de ces deux Etats de consulter le Dr Schacht.

""♦ i.i

Qu'est deveau `

l'aviateur Wood ?

L'aviateur anglais Wood a quitté Melbourne mardi matin pour Londres, avec l'intention de battre le record actuel, 6 jours 6 heures 10 minutes. ,̃-•

Après avoir atterri à Pfrrt'Darwin, il est reparti à destination de Kceaanfî (ile de Timor), où son arrivée, n'a pas été signalée. On est inquiet sur son sort.

LE DÉBAT ÉCONOMIQUE A GENÈVE LE GOUVERNEMENT HELVÉTIQUE NE SE RÉJOUIT PAS DE LA DÉVALUATION C'est devant la désagrégation du bloc-or

qu'il a été obligé de suivre le mouvement

(De notre envoyé spécial,

par téléphone.) ''̃

Genève, 7 octobre, r– Les commissions se hâtent de préparer les projets de résolution qui seront soumis à 1 Assemblée. Celle-ci se.réunirà dès demain, et on pense qu'elle aura terminé ses travaux à la fin de la semaine. L'intérêt diminué. Chacun part. Le débat économique s'est poursuivi ce matin. Le représentant de la Tchécoslovaquie, tout en se félicitant de la tendance actuelle à créer, une situation plus normale dans le monde, a recommandé la prudence dans les initiatives qui pourront être prises. Fidèle au plan conçu par le premier ministre, M. Hodza, il a préconisé la création d'ententes économiques régionales, qui sauvegarderaient, bien entendu, l'indépendancp des Etats. Ce serait le salut pour l'Europe centrale. Mais pourra-t-on réaliser demain ce que l'on n'a pu faire depuis quinze ans

Le délégué de la Suisse, M. Stttcki, a prononcé un discours qui a eu un grand succès. M. Stuckl dit ce qu'il pense et il le dit crûment. Il a qualifié ses observations de « variations sur le thème t faire de la nécessité une vertu s. Il s'est étonné ironiquement que l'on se soit félicité de la dévaluation. La Suisse s'est longtemps refusée à prendre cette mesure, car elle voulait mériter la Confiance de l'étranger et maintenir sa balance commerciale. Elle avait adhéré au bloc.or. Mais ce bloc s'est désagrégé et elle a été obligée de suivre le mouvement. Elle luttera énergiquement contre l'augmentation des prix. Elle a déjà commencé d'abaisser ses barrières douanières. Elle adhère pleinement à la déclaration franco-anglo-américaine. Et M. Stuckl de terminer « Le franc est mort, vive le franc »

M. Politis a souligné l'intérêt qu'a la Grèce de voir s'abaisser les barriè. res qui s'opposent à son, commerce. Elle est également intéressée à ce que soit facilité l'accès aux matières premières et à ce que s'établissent. des débouchés pour sa population qui s'accroît de cent mille âmes par an. Le délégué hollandais a annoncé que son pays venait de procéder à la suppression de certains contingentements. 'M. Bastkl a déposé sur le bureau de la commission un projet de résolution ayant pour but d empêcher l'évasion des capitaux.

Désarmement et sécurité La commission du désarmement a terminé ses travaux. Elle a approuvé l'initiative prise par le gouvernement français en faveur de la convocation prochaine, « à la date la plus opportune » du bureau de -la conférence pour la réduction et la limitation des armements. Cette réunion ne pourra avoir lieu avant la conférence des ïocàrnlens, c'est-à-dire, au plus tôt, à la fin du mois de novembre. On a souligné dès maintenant l'importance de la publicité budgétaire, de la réglementation de la fabrication et du commerce des armes, de la limitation des forces aériennes. Toutes choses qui pourraient faire rapidement l'objet de conventions. Mais ce sera au bureau de la conférence et

Le Coïigr èr^ra^aîl^l est adjuré par deux délégués lie- Madrid de se déclarer pour l'interyention

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Londres, 7 octobre. Le problème de la neutralité en Espagne trouble les débats du congrès travailliste où, pourtant, lundi dernier, le comité exécutif avait adopté la motion de non-intervention, â l'exemple des Trade-Unions. Les harangues enflammées des deux envoyés du gouvernement de Madrid, M. de Asua et Mme Isabella de Palencia, ont bouleversé à ce point la paisible assemblée que bientôt, les poings tendus, elle conjurait ses chefs d'abandonner la politique de non-intervention. Le débat a été ajourné et ce soir M. Attlee, chef de l'opposition, et M. Arthur Greenwood sont partis pour Londres où ils. doivent prier M. Neville Chamberlain de demander au gouvernement de faire une enquête afin de vérifier les révélations apportées par les déléguéswspagnols.

M. de Asua et Mme Isabella de Palencia s'efforcent donc aujourd'hui, par l'intermédiaire des socialistes anglais, d'obtenir du gouvernement britannique la levée de la neutralité en Espagne. Mme de Palencia, notamment, a annoncé aux congressistes que pour le prix de leur appui et des envois d'armes, les Baléares seront données aux Italiens et les îles Canaries aux Allemands, et que sous la dictature du général Franco, Gibraltar ne pourra demeurer aux Anglais. Ces arguments ne sont pas nouveaux, mais faute de preuves il n est guère possible de leur attribuer une grande valeur. Ce qui est frappant, c'est l'extraordinaire animation du Congrès qui ne veut plus accepter aujourd'hui la motion de neutralité et qui, se dressant contre ses chefs, les oblige à se rendre auprès de M. Neville Chamberlain. Vendredi les trois comités de l'exécutif du Labour Party se réuniront. Après la rencontre du chef de l'opposition et du représentant du premier ministre, une nouvelle motion sera présentée au congrès. Mais même si celui-ci se décidait en faveur de l'intervention, cette motion ne saurait modifier l'attitude du gouvernement britannique. G. B.

L'ALLIANCE

1 AVEC LES COMMUNISTES EST REPOUSSEE

Edimbourg, 7 octobre. La conférence du parti travailliste a poursuivi ses travaux, ce matin. Elle a discuté de la demande faite par le parti communiste en vue de son affiliation au parti travailliste,, ainsi. que de la, résolution préconisant la formation d'un front uni i contre le fascisme.

C'est le délégué A. H. Paton, du Conseil travailliste d'Edimbourg, qui a amorcé le débat en déposant devant la conférence la résolution tendant il l'affiliation du parti communiste au parti travailliste.

M. Walker, au nom de l'exécutif, fit remarquer que la question de l'affiliation du parti communiste avait depuis de longues années fait l'objet de diseussions, tant d'un point de vue na- tional que local. 'f'

« L'exécutif, a-t-il dit, estime que les communistes ne peuvent accepter de baser l'existence du parti travailliste sur le principe démocratique qui est diamétralement opposé à la politique du parti qui aspire à une dictature proléta. rienne. »

C'est alors quià eu lieu le vote par mandats, la Conférence rejetant la ré-

à la conférence ellerajêrne si elle se réunit jamais de prendre des décisions sur te programme de ses travaux. Le bureau de l'Assemblée, qui a siégé ce soir, é décidé, k la demande del'Û. R. S. S., de créer une commission des Etats membres, qui s'occupera de la réforme du pacte. On peut s'étonner que cette commission ait été nommée si tard, car elle aura en tout deux jours pour délibérer, ses travaux devant être termines samedi.

:H;est vrai. que. sa fonction principale

sera de nommer un comité chargé d'étudier ultérieurement la question. Certains ont préconisé d'y inviter tous les Etats, ce qui serait sans doute le moyen le plus sur pour détruire le pacte. M. Pâu!-Boncour s'est opposé à cette tendance et a réclamé le renforcement du Covenant.

Un bilan assez maigre

En somme, le bilan de cette session sera assez maigre. En matière de sécurité, tout reste à faire, bien qu'on ait cru, il y a quelques mois, que le renfor- J cement du pacte serait la grande ques-

tion à l'ordre du Jour. Quant au geste

de la France de convoquer la confé- (1. ,J

de le France de convoquer la eonf.éi.

rence du désarmement, on ne sait pas,

LE C0M1E UANO VA SE RENDRE DANS QUELQUES JOURS A BERLIN Le ministre des affaires étrangères d'Italie s'entretiendra avec le chancelier Hitler des problèmes européens

Ro,rne, 7 octobre. Dans les milieux diplomatiques de Rome, on considère maintenant comme certain, pour la deuxième quinzaine d'octobre, le voyage du comte Ciano, A Berlin qu'on avait annoncé officieusement hier soir. Le gendre du Duce, en sa qualité de ministre des affaires étrangères, ira donc, dans une dizaine de jours, s'entretenir avec le Puhrér et avec les dirigeants du Reich au sujet des grands problèmes européens. Les échanges de vues rouleront notamment sur la participation des deux pays à la nouvelle conférence de Locarno, sur leur attitude à l'égard de la Ligue et de la réforme du pacte, sur la situation dans le bassin danubien et enfin sur la question économique et monétaire.

L'Italie jouera-t-elle

le rôle intermédiaire

entre l'Allemagne

et les Etats occidentaux ? Ainsi, l'Italie, après avoir esquisse, à l'occasion de la dévaluation, Un rapprochement avec le groupe France-Angleterre-Aînél'ique, manifeste mainte-

solution par 1.136.000 mandats de majorité.

Cette décision a été accueillie par de vifs applaudissements.

Sir John Simon

n'accorde aucune chance au fascisme ni au communisme britanniques

Londres, 7 'octobre. Sir John Simon, prenant la parole hier soir dans sa circonscription de Spen Valley (Yorkshire), a fait une discrète allusion à>la manifestation fasciste de dimanche à Londres « Ne nous laissons pas émouvoir exagérément par ces très absurdes personnes dont quelques-unes vont jusqu'à se vêtir d'uniformes. Je ne crois pas que les doctrines du fascisme et du communisme aient In moindre chance de se propager dans ce pays. L'une et l'autre ne tendent^ qu'à la destruction de "notre système démocratique. »

.w,^», »

Actualités Mematipafes BELGIQUE. Trois trimoteurs de transport belges, ayant à bord près de 3.500 kilos d'or, sont partis de l'aérodrome de Haren pour le Bourget. PALESTINE. Pour la quarante et unième fois depuis le début des troubles, le pipe-line qui conduit le pètrolv de Mossoul à Haïfa a été endommagé par des grévistes arabes, qui mirent le feu au combustible sur plusieurs centaines de mètres.

Le rebelle fugitif Saïd Bey El Aasi aurait été tué au coure d'un engagement qui B eu lieu entre les troupes britanniques et un groupe d erebelles, près de Bethléem.

ROUMANIE. Le roi Carnl a si- gué un décret prorogeant le Parlement jusqu'au 15 novembre, conformément aux dispositions constitutionnelles.

̃"̃"•"̃ .)̃ nm

AU QUAI D'ORSAY

M. Yvon Deîbos

reçoit M. William Bullitt M. Yvon Delbos, ministre des affaires étrangères, a reçu cet après-midi M. William Bulliti, qui lui fi présenté co- pie figurée des lettres l'accréditant comme ambassadeur des Etats-Unis à Paris.

.».

Miss Joan Batten

a effectué plus» du tiers de sa randonnée

Poursuivant son vol vers la Nouvelle-Zélande, in 's Joan Batten a at- teint Bassorah, sur le golfe Pefsiqne. Elle en est repartie à 4 h. 45 pour Karachi, où elle a atterri à 19 h. 10 (heure locale). Elle reprendra son vol ce matin pour Allahabad. Le record de miss Joan Batten d'Angleterre en Nouvelle-Zélande est de-44 jours et 33 heures. L'aviatrice a, depuis lundi, couvert plus du tiers de au randonnée. Il est vraisemblable qu'elle -battra Incrément son record.

encore la suite qu'il aura. Si l'Allemagne consent à se faire représenter et si l'on peut limiter les armements, ce sera une œuvré utile. Mais il faut s'entourer de très sérieuses garanties afin de ne pas être dupes.

On ne sait pas davantage à quoi aboutira la proposition franco-anglaise du désarmement économique. Une impression assez favorable se dégage des débats de ces jours-ci. On semble se rendre compte des erreurs commises depuis de longues années. Mais attendons les actes.

C'est en marge de l'Assemblée que les conversations les plus intéressantes ont eu lieu. On a l'espoir que la conférence des locarniens pourra bientôt siéger. Mais cela ne veut pas dire qu'on soit sûr d'aboutir. Des divergences de vues très sérieuses se sont manifestées. On a eu le tort d'admettre à cette session une délégation éthiopienne, ce qui a vivement irrité l'Italie. Le problème de la sécurité européenne reste entier, tandis que des tendances révisionnistes se dessirient à Genève. Le danger a reparu sur notre continent, sans que des basés sérieuses aient été établies. Telle est la situation peu encourageante dans la. quelle nous nous trouvons.

James Donnadieu.

nant qu'elle ne;tient pas à briser le contact avec Berlin. L'amitié italo-germanique reste, en effet, un point d'appui essentiel pour l'action extérieure du gouvernement italien. Mais, en même temps, fidèle à sa politique d'équilibre dont le. pacte à quatre a été l'expression, l'Italie démontre qu'elle peut être une intermédiaire précieuse entre les puissances occidentales et la nation allemande dans l'intérêt même de la collahoraiton internationale. C'est sous cet aspect qu'on tend à présenter à ,Rome la mission du comte Ciano comme une contribution éventuelle à la paix et à la coopération européenne.

Vers an front antisoviétique ? En ce qui concerne plus particulièrement l'élaboration du nouveau Locarno, on croit que l'Italie conseillera à l'Allemagne d'y participer, tout en se conformant elle-même au point de vue germanique sur la disjonction des, problèmes orientaux. Une sorte de front antisoviétique pourrait ainsi se constituer comme élément de liaison entre les deux dictatures et aussi comme pôle d'attrac- j tion pour un regroupement politique en Europe centrale et dans les Balkans. Sfc-R. Angles.

LE CHANCELIER HITLER

A ASSISTE A MUNICH

A LA LEVEE BU CORPS DU GENERAL GOEMBOES Berlin, 7 octobre. Le chancelier Adolf Hitler a assisté, aujourd'hui, à Munich, à la levée du corps de M. Goemboes.

Le cercueil recouvert d'un drapeau hongrois et veillé par six lieutenants d'infanterie de l'armée allemande, avait été dépose dans le grand hall du Kaiserhof, ancienne résidence des Wittelsbach.

Trois compagnies rendaient les honneurs. Après une courte cérémonie religieuse, la dépouille de M. Goemboes a été conduite à la gare de Munich, pour être dirigée sur Budapest.

On remarquait dans le cortège, aux côtés de. Mme Goemboes et de ses deux fils, le chancelier Adolf Hitler, le général Goering, le baron von Neurath, ministre des Affaires étrangères du Reich, et le docteur Frick, ministre de l'Intérieur.

L'ambassadeur d'Italie à Berlin représentait le gouvernement italien. Le comte Ciano assistera, à Budapest, aux funérailles du chef du gouvernement hongrois

Rome, 7 octobre. Le comte Ciano, ministre des Affaires étrangères, se rendra aux funérailles du général Goemboes, à Budapest.

Il sera accompagné du comte Cittadini, du service du protocole, et d'un autre fonctionnaire du palais Chigi. Eu outre, l'Italie sera représentée aux funérailles de l'homme d'Etat hongrois par une mission militaire.

Un télégramme de M. Mussolini Rome, 7 octobre. A l'occasion de la mort du général Goemboes, M. Mussolini a envoyé au régent Horthy un télégramme aux termes duquel le gouvernement et le peuple italiens « s'associent avec un vif et sincère chagrin au deuil de la nation amie », se rappelant « l'ardente collaboration » de l'homme d'Etat défunt « pour un développement des rapports italo-hongrois toujours plus grand ».

I

Les gagnants du gros lot ont partagé les trois millions j .non sans discussions

Hier matin, M. Cons, le cafetier qui vendit par dixièmes à sa clientèle le billet 1.010.807 gagnant les trois millions à la dernière tranche de la Loterie Nationale, partit pour le Pavillon de Flore. Il toucha la grosse somme et revint chez lui, 44, rue de Rivoli. S'installant dans sa chambre, il procéda à la répartition des fonds entre les heureux gagnants.

Tout s'était bien passé, loi\squ'une discussion s'engagea entre les époux Petitjean, débitants de tabac à Auvernaux, et M. Heiiê Laniour, un garçon coiffeur de leurs amis.

«l'ai gagné en participation, dit M. Lamour, nous avions partage avant de savoir le résultat de la loterie. Ce papier en est la preuve.

M. Lamour a porté plainte au commis- sariat du IVe arrondissement.

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L'Angleterre n'échapperait pas 1 an danger de guerre

en s isolant de l'Europe Fa,r -A-tT G- XT ~R

La Grande-Bretagne a besoin de l'Empire comme base de son bien-être. La force créa cet empire. Mais il est maintenu par les liens-d'un commun intérêt. La Grande-Bretagne est à" la lêlC de l'association impériale. Pour garder cette place, elle doit conserver toute sa puissance :elle doit rester le consommateur principal des produits de l'Empire, le producteur le plus important de marchandises pour l'Empire, le banquier impérial, une puissance Océanique et'le défenseur de l'intégrité de l'Empire. La Grande-Bretagne est ellemême le principal Dominion. Donc, ce pays doit garder sa position prédominante exprimée en termes de force, d'influence et de sagesse politiques. Mais faire cela ne lui sera plus possible s'il est expulsé de l'Europe. Joseph Chamberlain a dit que l'Empire peut être faible à la périphérie, mais doit rester puissant au centre. Alors, l'avenir est i assuré. La Grande-Bretagne peut supporter des défaites dans les pays éloignés aussi longtemps que reste intacte sa position de grande puissance européenne.

A cette vérité nous ne pouvons pas échapper par une évasion. Les partisans de l'isolement prêchent que la GrandeI Bretagne doit se dissocier de l'Europe. Admettant, même qu'une politique qui consiste à sacrifier des relations commerciales et financières soit sage, ce conseil ne peut être suivi qu'à la condi» tion que l'Europe, elle aussi, se dissocie de la Grandie-Bretagne. Mais d'un isole, ment pareil aucun signe n'existe encore. Dans le centre de la communauté européenne se t'ont un Etat extrêmement | fort, et pauvre, dévoué à une religion guerrière. 1,'A'lemagne aspire ù faire de l'Europe sa captive pour lui imposer un tribut. La Grande-Bretagne est le pays le plus riche de l'Europe. L'isolement n'augmentera en rien sa sécurité dans le cas d'une attaque.

Une fois maîtres de l'Europe, les Allemands suivront les Anglais au delà des mers pour leur enlever leurs avantages économiques. Car l'Europe ne vit pas dgns ses limites étroites. Un dominion de la race blanche se dessine de par le monde. Le public ne le sait pas encore. Les politiciens eux-mêmes l'ignorent. La Grande-Bretagne appartient à l'Europe, mais celle-ci fait partie d'une unité plus vaste. La théorie raciste de Hitler est sans fondement, mais il n'est pas difficile de prouver que les nations membres de la race blanche ont un sentiment de leur unité. L'Atlantique, situé entre les territoires habités ou dominés par les peuples blancs, est l'océan méditerranéen de la race. C'est cette idée qui met ensemble l'Empire britannique et les Etats-Unis, l'Europe et les deux Amériques. Il est vrai qu'elle n'empêche pas ces peuples de se battre entre eux, et même elle semble rendre leurs guerres plus terribles, comme on l'a vu en 1914-1918. L'attitude de l'Allemagne provoque l'indignation, justement parce qu'elle est une insulte à l'idée de l'unité de la race. La conquête de l'air a enfermé l'Europe dans un nœud. Pas une capitale entre Londres et Moscou qui ne puisj se pas être visitée dans une nuit. II est entendu que notre frontière défensive est sur le Rhin. Mais la surveillance doit s'étendre au continent tout entier. La paix peut ne pas être indivisible, et la guerre peut-être ne deviendra pas générale, mais la Grande-Bretagne, néanmoins, < est obligée de considerer l'Euro comme un bloc. Aucun pays ne doit échapper à notre vigilances Sous s la surface tourmentée des événements topiques importants aujourd'hui et oubliés demain se meuvent les courants irrésistibles, qui portent notre destinée. Il faut les connaître. Autre. ment la prévision des événements à venir est impossible.

D'un bout de l'Europe à l'autre, dans un va-et-vient perpétuel courent les vagues d'un soulevement social. Elles recèdent parfois, mais pour revenir aussitôt. Elles font invasion dans notre existence. Communisme et Fascisme, Nazisme et Front populaire sont les si- gnes extérieurs d'un grand soulèvement. La communauté britannique n'est pas indemne de leur influence. Pour cette raison, sinon pour aucune autre, la Grande-Bretagne, intégralement, fait partie de l'Europe.

La position de ce pays en Europe dépend de son prestige parmi les nations. Les événements de 1935 ont démontré que ce prestige ne peut exister par le souvenir d'un beau passé seulement. Il a besoin d'être étaye par une force vivante et réelle. Ceci explique le réarmeNOUVELLES DIVERSES Dans une collision d'autos, un voyageur est tué

et quatre autres grièvement blessés

Avenue d'Orléans, une collision s'est produite entre un taxi conduit par le chnuffeur Louis Barorieri, 87, rue Vercingétorix, et une auto conduite par son propriétaire, M. Charles Saccharin, 7, rue Soycr, à Neuilly-sur-Seine, dans laquelle se trouvaient son frère, Henri Saccharin, M" Hector Rivierez, 29 ans, avocat à la Cour, et Mme Violette Rivierez, 23 ans, institutrice. Tous ont été hospitalisés à Broussais. M. Charles Sac.,charin v est décédé. Son frère a le crâne fracture les trois autres blessés sont dans un état inquiétant.

Le feu détruit un étage de l'ancien évêché

de Saint-Jean-de-Maurienne Saiiil-Jean-de-Maurienne, 7 octobre. Un incendie a éclaté au troisième étage de l'ancien évêché, à Saint-Jeande-Maurienne, dans un appartement servant d'habitation à M. Louis Vallin, momentanément absent. Le feu, qui avait dit couver longtemps dans la cuisine, se propayea par le plancher jusqu'aux autres pièces situées au-edssus d'un local dormaient une vingtaine d'élèves de l'Ecole supérieure de garçons. Ceux-ci, incommodés par la chaleur suffocante qui se dégageait, réveillèrent leur surveillant, qui fit évacuer le dortoir et donna l'alarme.

A peine le dortoir était-il évacué que le plafond s'effondrait. Les pompiers purent circonscrire, puis maitriser les flammes qui menaçaient dé se propager a la toiture du vaste édifice. Les dégâts atteignent. 200.01)0 francs. EN QUELQUES LIGNES PYRENEES-OKIENTALES. A Saint.Tean-dé-Caselles, à Canillo en Andorre, on a constaté le vol d'un rétable du XU* siècle, présentant une grande valeur artistique. On soupçonne du vol un Norvégien. Siegfried Arnoldsen, qui est en fuite. Le voleur présumé est en compagnie de sa mère.

BASSES-PYRENEES. Le tribunal de Bayonne, ayant à juger Spllcrs, le bandit fantôme, sur sa dernière évasion, l'a condamné à deux ans de prison.

VOSGES. L'abbé Prêtre a été tué hier dans un accident d'automobile, près du Val d'AjoI.

BOUCHES-DU-KHONE. Prêt, de Marseille, un chasseur a trouvé dans un fourré les cadavres d'un homme et d'une femme, dont In tête était percée de balles de revolver.

ment fiévreux de la Grande-Bretagne à l'heure actuelle. Le devoir des hommes d'Etat est de s'arranger pour que cet effort ne soit pas vain. Une situation entièrement nouvelle s'est créée. Elle est caractérisée surtout par le rétrécissement des mers, qui entourent l'Europe. La Baltique se ferma aux opérations navales déjà en 1914 Pendant la guerre, la Méditerranée devint dangereuse. Après notre conflit avec l'Italie, cette mer est fermée aux opérations majeures des escadres. La mer du Nord suit maintenant le mouvement. La bataille de Jutland n'est plus à refaire. Dans le passé, la marine britannique pénétrait partout comme l'instrument d'une politique étrangère. Aujourd'hui ce n'est plus le cas. Si le prestige de la GrandeBretagne doit être conservé, c'est l'air qui doit fournir les moyens pour arriver à ce but. Ce problème des mers, qui deviennent étroites, doit être atta1 qué avec courage pour être résolu sans considération aucune pour la tradition ou pour les intérêts etablis. La coopération doit devenir intime entre les forces navales et celles de l'air. L'étude de la situation européenne s'impose pour que la question du réarmement britannique puisse être tranchée convenablement.

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du docteur Louis Taure

Le milieu médical est actuellement vivement intéressé par un remarquable appareil de prothèse auriculaire que vient de mettre au point le docteur Louis Faure.

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CONTRE,JiASlTàHûN REVOLUTIONNAIRE Les groupes de la minorité de la Chambre dénoncent la partialité du gouvernement

Les. délégués des groupes de. la minorité de: la Cliambrc, réunis sous la présidence de M. Beauiloivi, ont examiné hier les, différents aspects de l'actualité politique Ils ont public, à l'ivsue de leur délibération, un ordre du jour dans lequel « ils protestent contre la partialité, du gouvernement dans les interdictions de réunions qu'il porte, selon les groupements qui les organisent, et contre l'absence de sanctions envers les brutalités commises sur de: paisibles citovens ».

Les délégués, par ailleurs, « s élèvent contre la carence du gouvernement, qui persiste à refuser de mettre fin aux occupations, d'usines et de fermes, et constatent que le gouvernement s'est laissé dominer une fois de plus par les « meneurs des syndicats illégaux » lors de la grève des bôtcLs ». Les. délégués de la minorité « réclament que des mesures énergiques soient prises contre lés éxcitateurs étrangers qui, à la solde de leur gouvernement d'origine, s'appliquent à ruiner l'activité économique de la France.

» Ils signalent au gouvernement le concours apporté à l'action hitlérienne dans les départements recouvrés par la propagande massive que le parti communiste prétend mener les 10 et 11 octobre :•̃ » Ils signalent aussi l'inquiétude profonde soulevée dans tous les pays de l'Europe civilisée par" la complaisance que montre le gouvernement français à l'égard des menées révolutionnaires et sa partialité, inqualifiable- à rencontre des amis.de l'ordre et des groupements nationaux.» L'abaissement ées protections douanières et je? paysans

Au cours de même -réunion, les délégués des groupes « ont été unanimes à traduire la protestation générale contre la. malfaisance de l'Office du blé et le fait que xelùi-ci est vendu âùj ourd'&tti"-âurl prix inférieur â celui fixé pa'r" 'Comité national.

» Ils protestent également contre la seule mesure que le gouvernement mette en oeuvré pour pallier les effets de dévaluation du franc et qui consiste à de r^res exceptions près en des abaissements des protections douanières(droits de douanes, surtaxes dé changes, contingentehîeht), dont les paysans d'abord et l'universalité des producteurs subiront sans retard les effets désastreux. »̃ '̃̃

Le groupe de la Fédération républicaine adresse, dans son ordre du jour, de vïVes critiques au gouverhemehl De son côté le groupe de la .Fédération républicaine a consacré sa réunion hebdomadaire à un échange de vues sur

IMaRMMWNS rFOiniQUES

û Combien a" coûté

la mobilisation policière t de dimanche 2

lie" 'docteur ;€atrsînr dêpûfé"dé Pârh; dans une lettre au ministre de l'intérieur, demande quel est le chiffre exact des dépenses auxquelles" a donne lieu la mobilisation policière de dimanche dernier (heures supplémentaires payées à lW police parisienne, voyage, indemnités de déplacement de la garde mobile, emploi d'avions, etc..) effectuées pour protégerTutie réunion communiste; '•'̃ Aujourd'hui^ réunion

importante du Comité 4e surveillance des prix iei'tTpmité national de surveillance des prix se réunira aujourd'hui, a^ ministère .-de l'Economie, nationale. Jl prOr. cédera l'audition des représentants de la Confédération générale du patronat français, de la Confédération générale- des commerces et industries de 1 alimentation, et de la Fédération natio-, nale des importateurs de denrées, alir mëntaires. ̃ ̃••

llae importante rècrutescence du mouvement anarchiste en feance Les serwees -de police poti%«e~-«nt constaté ces. £ém.ps.:j:etnifirs._ Jinê.. <i.angefettsi recrudescence du mouvement anarchiste, mais aussi et surtout à Paris. Jadis, les meetings anarchistes ne réunissaient dans la capitale.qu'une ou deux centaines d'auditeurs. Maintenant, ces mêmes "réïïiiîons se"tiennè-nt devant plusieurs milliers de personnes.

Cela n'est "pas sans préoccuper, croyons-nous, le gouvernement qui commence à prêter une attention particulière à ce mouvement dont le développement coïncide avec la politique d'opportunisme suivie depuis quelque temps par le parti' communiste.

Les extrémistes, qui pensaient voir a\fec le succès des communistes, le triomphe en France la révolution, ,de e l'insurrection et de l'antimilitarisme, abandonnent déçus le parti de Moscou pour s'enrôler sous le drapeau noir, a tête de mort, des anarchistes.

MOTS C RO! SES

Horizontalement. Ville de_la l" orientale, port sur le Pregel. II, Fin de verbe DW verbe gai Article arabe. III. Cérémonie religieuse Fleuve dîAfrf-. que Bol d'Israël. IV. Temps écoule de- puis ia naissance Charpente Genre de oiammttêre ••umiriant.- Y. Action .oa; .art de lancer au moyen d'une arme Tribune des spectateurs-des courses; –VI. Affluent du Danube Première vue. VII. Sorte de flûte de Pan Philosophe, auteur dramatique et romancier allemand né et mort à Parchim. VIII. Terre entourée d'eau de tous côtés En matière de Exprimer au moyen de la parole. –.IX,. Situe Petit fleuve de France Orientaliste allemand né à Berlin et mort, à Francfort-sur-l'Oder. X Co»ijoii(irton-Vu«W amas d'eau salée Hn de participe,– ,XIvllitl>il.aHte£mie. colouie française de'-r'Àfnqiïe-' «Jéeidentaie.

Verticalement. 1. Qui sont devenues semblables à la' corne. 2. Caractère bi- zarre singulier. 3. Qui ont perdu leur brillant (fém.). 4. Qui n'est pas vêtu Préposition. ->– ». Mot servant à désigner une personne, un animal, une chose Pose. 6. Qui est d'une couleur formée d'une fusion de blanc et de noir Ensemença. 7. Argile rouge ou jaune Nom qu'on donné au plus ancien enfant de chœur de la cathédrale de Paris Pareil. S. Initiale d'un jurisconsulte français né à Aix (1725-17891 Donne plus de surface, plus de volume; II

mûrissait les moissons d'Egypte. 9. Met-

tre'hors de prison. 10. Publierais à nouveau. 11. Qui a l'aspect et la texture d'un organe dont la fonction est de .produire une

;sécTétion (/ëm.).

Solution du S»°- 1160

Le conflit

de la batellerie Ce matin «né réunion doit avoir lieu au irtihistère du travail1 Là- réunion dés: délégués -ouvriers et patronaux,: qui:. devait" avoir lieu- Ijier, après-midi, au ministère du travail, a été renvoyée à ce matin.

D'après les renseignements qu'il nous a" été possible de recueillir, les délègues des deux parties opposantes ne voientpas encore sur quelle base l'accord définitif pourra se faire. Les délégués ouvriers prétendent 'qu'il est très difficile de supprimer les tarifs préférentiels du rail et de relever d'une façon générale ces derniers, â-cause. des ententes internationales et des conséquences que ces mesures pourraient avoir sur l'expérience économique en cours. La situation dans le Nord Cambrai. 7 octobre., La situation reste stationnaire dans la batellerie- où la grève continue. Au «Bassin Rond », le barrage est actuellement constitué par 120 péniches.

Des délégations, représentant les affréteurs, lés entreprises de transports .par eau et le syndicat de la marine fluviale, se rendront demain à Paris.. Encore 33.009 grévistes en France

Oh compte encore en France 33.000 grévistes, dont 7.155 dans le départemènt de la-Seine. Ces derniers se répartissent de la façon suivante': 4.183 dans l'alimentation, pour 33 établissements; 316 dans la confection et l'habillement, pour 7 -établissements 2.005 dans, la métallurgie, pour 7 établisse^, ments; 645 divers, pour 6 établissements.

LE`TOUR DU MONDE EN 20: JOURS

de trois journalistes américains Calcutta, 7 octobre. Le journaliste américain Ekins qui, avec deux de ses compatriotes, fait le tour du monde en n'empruntant que des moyens ordinaires de locomotion, est reparti de Calcutta une demi^heure après son arrivée. Il se dirige maintenant vers Rangoon, il doit arriver' cet après-midi, c'està-dire moins de sept, jours après avoir quitté ÎSewrYprk. Les deux autres concurrents sont attendus cet après-midi à Bagdad*.

l'agitation ré\olutionnaire dans les syndicats.. Dans un ordre du jour publié k l'issue de cette réunion le groupe adresse de vives critiques,au, gouverne-

ment.

Il lui- reproche notamment de ne point défendre la .liberté indhiduclle ni la liberté du travail contre la tyrannie dés meneurs cégttistes.

La déplorable politique économique

.,Le groupe déplore qu'ait été entreprise sans avis préalable d'aucun organisme professionnel n! d'aucune commission parlementaire compétente, une politique économique basée sur des modifications de tarifs douaniers, et sur des suppressions de contingentements qui ne comportent pas de compensations effectives de la part des pays bénéficiant de mesures prises sous leur pression et à leur avantage exclusif. Le groupe constate en même temps avec regret la tendance qu'ont soulignée les déclarations du ministre du Commerce, à Genève, contraires aux affirmations apportées par certains membres* du gouvernement devant la commission des Finances et en séance à la Chambre. Il s'élève contre l'abandon de la protection du travail français, abandon dont les premières dispositions parues au Journal Officiel montrent le caractère désastreux pour l'agriculture et l'industrie.

L'emploi des crédits

de défense nationale

D'autre part le groupe signale à l'attention dti< pays l'accélération des ami°ments dui Reich et, notamment, l'aug* nientâtion, inattendue et contraire au pacte ariglo-allemand de sa flotte de guerre. Il regrette que le gouvernement n'ait pas jugé à propos d'informer le pays et qu'il n'ait pas soumis au Parlement, lors de sa dernière session, les mesurés envisagées par lui pour faire face aux nécessités nouvelles de la défense nationale. Le groupe redoute que l'annonce de 20 milliards de dépenses supplémentaires déclarées indispensables et urgentes par le gouvernement n'ait été encore suivie d'aucune réalisation.

Le groupe signale ausssi la gravité de l'agitation bolcheviste dans nos colonies et, particulièrement, en Afrique. du Nord. Après là précipitation des débats consacrés à la dévaluation du franc, poursuit l'ordre du jour, le groupe stigmatise une fois de plus l'attitude du gouvernement préparant sciemment la dévaluation tout en affirmant qu'il ne consentirait jamais à la faire, empruntant ou fixant le prix du Jblé pour l'année à la veille même du jour où il devait faire la dévaluation, niant avant et pendant la discussion toutes modifications 1 douanières. alors qu'il devait y recourir dès que la session a été close.

LEGMLNMS

a été reçu

en audience solennelle par le sultan du Maroc Le Souverain Va assuré de son cordial appui

Rabat, 7 octobre. Le général Noguès, nouveau résident général au Maroc, arrivé à Rabat à 9 h. 50, a été reçu par les autorités de la région civile et les notabilités indigènes, puis est monté en voiture pour se rendre à la place de France où eurent lieu les présentations d'usage. Les troupes formaient la_haie sur tout le parcours et la population a réservé au représentant de la France un chaleureux accueil.

Après les 'présentations, le cortège se forma pour se diriger au Palais du Sultan, où eut lieu l'audience solennelle, suivant le protocole officiel, La garde noire, rangée dans là grande cour, a rendu les honneurs tandis que les dignitaires du Palais étaient massés près de l'entrée principale.

Le résident, accompagné du délégué, M. Thierry, et du général Corap, furent reçu par le Sultan. En une allocution dé haute tenue, le général Noguès affirma son désir de travailler en plein accord avec les autorités et la population indigènes pour l'avenir, du Maroc. Le Sultan répondît qu'il appréciait vivement l'offre de collaboration du général Noguès, qui connaissait parfaitement les besoins et les aspirations du Maroc, et auquel il accorderait tout son appui.

A l'issue de- l'audience, le nouveau résident se rendit au mausolée du maréchal Lyautey, il déposa une palme.

T T~~ ~tmcr*c'

LES COURSES

'AU TREMBLAY

Aly Khan, Nexon, du Breil Noailles and C° 11

Le 'jeune prince Aly Khan est le plus gentil des associés. Il sait que, chaque année, le Prix Henri Grefiulhe, ex-Grand Prix des Gentlemen, lui appartient de droit divin, mais il entend ne pas abuser de cette prérogative; et, s'il veut que ce soit un cheval à lui <jui passe premier le poteau, il ne veut pas que ce cheval soit celui qu'il pilote Jui-Biême. L'an dernier, il avait confié le vainqueur à M. G. du Breil, Hier, il l'avait coudé au baron de Nexon, en selle sur Desperado. Nul doute qu'il ne réserve, la procha.ne fois, une revanche au marquis de Noailles, le troisième de ses associés, pour avoir eu le mérite de finir quatrième avec Louxor, alors que le prince Aly Khan en personne, malgré son-Port de Reine,, devait se contenter de la cinquième place. Ceci dit, applaudissons à un zèle si fervent et à une réussite incontestable. Mettre quatre chevaux dans Une course, ce n'est déjà pas mal. Finir premier, second, quatrième et cinquième, c'est encore mieux. Un seul point noir eu cette belle fête au cours des 3Î000 mètres de l'épreuve, ..on perdit M. Mathet et .son' Roi Mage. Prière a qui tes aura retrouvés après la course, de les rapporter chez "Délayer, à JMaisonsrLaïittte* J. Trarieax. ̃

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-GAZETTE DES TRIBUNAUX Le règlement ie comptes de la rue Saint-Georges Antognazza est condamné à huit ans de réclusion

Le Ô novembre 1935, vers 19 heures, des coups de feu furent échangés, rue Saint-Georges; entre Francesco Antognazza, dit Hubert, dit Camier, âgé de 37 ans, se disant voyageur de commerce, et Guiseppe Massia, sans profession bien définie, qui, atteint à l'abdomen, fut transporté à l'hôpital Lariboisière il expira dix-neuf jours après, sans avoir voulu donner aucune explication au sujet de l'agression dont il avait été victime. °

Antognazza; blessé lui-même par Massia, fut arrêté à l'hôpital Lariboisière, o,ù il avait eu l'audace de se présenter pour se faire panser.

Le ..meurtrier a comparu hier devant la cour d'assises présidée par le conseiller Dournes. Il était assisté de Mc JeanCharles Legranïi.

A. l'audience, il affirme, qu'il a fait feû en état de légitime défense. Or, les témoins ont vu l'accusé poursuivre Massia dans la rue Saint-Georges et tirer sur lui quatre coups de revolver. A-htognazza a été condamné à huit ans de réclusion et dix ans d'interdiction de séjour.

Les manifestants du Farc des Princes en correctionnelle Pour s'être accroché, en tombant au bras d'un soutien de l'ordre un jeune homme est condamne six jours de prison

La quatorzième chambre a poursuivi hier sa rigoureuse répression.

L'accuse Fernand Vateux, 33 ans, mécanicien, aurait frappé de deux coups de matraque un agent. Un seul témoin a vu le geste. Le fait est énergiquement nié. Trois mois de prison, cent francs d'amende.

Jacques Demesse,- 18 ans, employé. A été bousculé dans une charge et s'est « accroché au bras d'un agent; Six jours de prison. `

Samedi comparaît le dernier prévenu. La protestation

d'un conseiller municipal

M. Gilbert Gaillard, conseiller municipal, vient d'adresser au préfet de police une lettre ouverte où il lui signale les violences auxquelles se ljyrèrent certains de ses agents dans l'aprèsmidi de dimanche. Non seulement sur lui-même, mais sur de simples passants, parce que d'un café s'était élevé, au passage d'une femme blessée, le chant de la Marseillaise. Il fut dégagé par des consommateurs qui, voyant le mauvais parti qu'on allait-lui faire, prirent énergiquement sa défense. M. Gilbert Gaillard ajoute qu'il fut encore injurié et frappé au moment où il passait près d'un car d'agents. En terminant, il informe le. préfet de police qu'il lui posera une question à la tribune du Conseil municipal « sur la brutalité des agents envers les blessés, sur leur manque de discipline et sur le refus de son administration d'envoyer un médecin à un blessé attaqué sur la voie publique par ses subordonnés »..

t~-

La police arrête

des « carambouilleurs » qui avaient revendu

pour plus d'un 'million

de marchandises

De nombreuses plaintes avaient été déposées au Parquet par des commerçants et des industriels victimes d'une bande d'escrocs.

L'enquête révéla que ces malfaiteurs revendaient immédiatement les marchandises sans régler les fournisseurs; le montant des escroqueries dépassait un million de francs. °

-Le chef de cette bande était un rerpris de justice, Maurice Dubuisson, 43 ans, trente et une fois condamné pour abus de confiance; II avait installé des magasins et bureaux avenue des Champs-Elysées (Laboratoires Valmy). dirigés par un complice, Poisson Villarnoux, actuellement en prison pour une .e autre inculpation, et qui fut remplacé par Henri Pellin, 47 ans, originaife de Bordeaux, onze. fois condamné Dubùisson avait fondé, 50, rue de Paradis, les établissements Natura et les établissements de produits chimiques Chapelier, 30, rue de La Rochefoucauld, dirigés par un autre complice, Paul Chapelier, né en 1890 à Nancy, çQiïdftBaïié en 1925 a cinq a.ns,dj J>rjson PQÛr ^proguerie? jet àbusT^fiçCQPJ&nÇfii: Hier, des iuspecteurs de la police judiciaire ont arrêté Dubuissony sa compagne; Eugénie 4>uval, et Chapelier, qui ont été écroués après interrogatoire. Peîlïn, qui est ~ètf fuite, ésT recherche:

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Capitaine de vaisseau., Derrien, chef d'état-major du vice-amiral préfet maritime de la deuxième région- à Brest. ,¡,

Capitaines de i régate. De La ForestDivonne, chef d'état-major du contre-amiral commandant la marine à Lorient Schwerer, sous-chef d'état-major (défense) à l'état-major du vice-amiral préfet maritime de la deuxième région Holley-Williams, commandement centre des sous-marins à Cherbourg. Lieutenants de vaisseau Cousot, torpUrleur La Railleuse,; Morel, contre-torpilieui Albatros. Enseignes de vaisseau de première classe. Le Gendre, aésigné pour le croiseur Suffren, autorisé a permuter d'affectation avec l'enseigne de vaisseau Burin des Roziers, désigné pour le cuirassé Lorraine Lemasson, mission hydrographique de Tunisie à bord de l'Ypres Dutilh, transport pétrolier Var; Soclet, Vaziaga, deuxième flottille de torpilleurs.

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Une heure avec

tes mauvaises filles 99 POUR 100 SONT DES VICTIMES

De mauvaises filles ? Oui, sans doute, mais' 99 sont des victimes Cette phrase, combien de fois l'ai-je entendue dans les patronages, dans les œuvres, de protection, répétée comme un leitmotiv par les directrices, par les surveillantes celles-là même contre lesquelles les jeunes captives viennent de se révolter?

Combien de fois m'a-t-elle hantée, tandis que je regardais ces malheureuses en me demandant, avec ce petit serrement de cœur voisin du remords « Si j'avais été à leur place et dans les mêmes circonstances, qu'aurais-je fait, que serais-je devenue? ». 1

Car c'est là la question qu'il faut se poser avant toute chose. On cherche à juger et à atténuer les effets, mais ne vaudrait-il pas mieux supprimer les causes ? Les hommes n'ont pas le droit de condamner une faute dont ils sont en partie responsables.

Quatre-vingt-dix-neuf pour cent sont des victimes. Chiffre terriblement accusateur pour une société qui se dit civilisée 1 Victimes de leur milieu, d'hérédités malsaines, de lois mal.faites, des mauvais exemples ou de l'abandon des parents, victimes aussi d'un hasard terrible qui les a livrées sans défense aux mains de honteux exploiteurs qui, eux, ne sont jamais punis alors qu'elles sont envoyées en maison de correction jusqu'à vingt et un ans l

Elles sont là, devant moi, ces « filles perdues » rejetées en marge de la société, ces révoltées dont beaucoup sont encore des enfants. Ont-elles eu raison de se rebeller? Il serait bien difficile de le dire, mais il convient ici de re-,mettre les choses au point et de réagir contre quelques exagérations romantiques. Ces œuvres de protection du moins celles du premier stade n'ont rien des affreux bagnes d'enfants qu'on a tant critiqués. J'en ai visité plusieurs. Certains ressemblent à s'y méprendre à des pensionnats. de jeunes filles, avec leurs dortoirs peuplés de lits blancs, leurs salles de classe et leurs ateliers; leurs cours de récréations et leurs jardins apaisants. Sans doute, les fenêtres y sont-elles grillagées et les portes verrouillées. Et je sais bien qu'il y a les s cellules. Mais on ne les utilise plus guère, et n'est-il pas des cas où les sanc- tions sont nécessaires? H ne faudrait point tomber d'un excès dans l'autre. Or, l'on est enclin actuellement à supprimer les sanctions sans avoir au préalable fait les réformes indispensables du système de rééducation et le tri des bonnes et des mauvaises graines. Si bien que les plus perverties sont à peu près libres d'entraîner les meilleures cherchant à se relever. Il y a là un danger et une erreur graves qu'il faut rectifier.

Les punitions que nous appliquons quand elles refusent d'obéir ou "de travailler, disent les surveillantes, consistent maintenant à les priver de des-

L'ART ET LA CURIOSITE

:7~

A L'HOTEL DROUOT

La reprise s'effectue avec régularité. Nous avons assisté depuis le début de la semaine à quelques bonnes dispersions, en présence d'un public nombreux. Les catalogues d'un public nomséances plus intéressantes commencent à paraitre, déjà des objets: dignes de belles collectionsd'élégants intérieurs- sent annoncés. -.̃̃̃' ̃̃ ̃•- '• ̃ W René Boisgirârd et" M. CH. Bosse ont vendu ;dç charmants almanachs et des livres illustrés provenant de la collection de M; M. S. Les'Danses nationales de chaque pays (vers 1820), exemplaire renfermant les estampes coloriées et trois aquarelles originales de Chasselat, furent adjugées 1.690 francs La Galerie dramatique (1803-1843), exemplaire de l'éditeur Martinet, avec aquarelles originales de Carle et de Maleuvre, fut payée 3.000 francs; Notre-Dame- de Paris de Victor Hugo (1844), avec un dessin original de A. de LemUd, 1.120 francs, et une collection de dessins de Célestin Nànteuil ayant servi à différentes illustrations, 900 francs..

M" Roger Walther a adjugé 5.160 fr.: deux chambres à coucher Louis XVI, et 2.330 francs, un bureau Louis XVI anglais.

Maurice Monda.

Vente d'aujour^hui

HOTEL DROUOT. Salle N° 8. Vente. Succession de M. Lucien Gougg, ancien libraire. Livres sur l'hippologie et divers. Mos Hsnm. BAUDOIN et BOISGIRARD, commissairespriseurs M. Ch. Bosse, expert:

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Préface cTA^DRÊ M^^Q1^

sert, de danse, ou de cinéma. Certaines I font amende honorable et viennent nous promettre d'être plus disciplinées, mais, immédiatement, les autres sont jalouses et les détournent en quelques instants. Nous ne pourrons rien faire tant qu'existera cette promiscuité. Il est plus difficile de sauver les filles que les garçons

Cependant, ai-je demandé, parvenez-vous à en sauver,quelques-unes ? Quand nous pouvons les marier, leur trouver une affection, elles sont sauvées définitivement, m'a-t-on répondu. Autrement, elles retombent presque toutes. Il est plus facile de sauver les garçons. Eux, le plus souvent, nous sont envoyés parce que ce sont de mauvaises têtes, parfois ils n'ont commis que de petits larcins et dès qu'ils' prennent la résolution de suivre la bonne voie, ils persévèrent. Les filles, elles, ont presque toutes fait de la prostitution. Quand le pli est pris, il est bien difficile de les faire remettre au travail. Et c'est ici qu'est l'injustice et la grande lacune des lois!

Les vrais coupables, qu'il faut punir et empêcher de nuire, ce sont ceux qui ont entraîné et perverti ces enfants dès leur jeune âge. Demain, je vous conterai l'histoire de quelques-unes de ces victimes qui,, elles, pâtissent toute leur vie. Au nom 'de quelle morale ose-t-on les condamner si on n'arrête pas les premiers responsables de leur faute? Marie-Louise Lédé

(A suivre.)

-«-

Un événement pédagogique et mondain

La Centrale d'Art, 41, rue Saint-Georges, vient d'être inaugurée en présence du général Gouraud, et de M. de SoUza Dantas, ambassadeur du Brésil. Grâce à une méthode nouvelle, l'enseignement de la musique, danse chant; diction, dessin, y sera donné d'une façon attrayante et synthétique (contrôle des progrès par disque), sous l'égide des maîtres Ch.-M. Widor, A. Wolf, A. Borchard, Ricardo Vinès, Paul Lhérie, etc., et de Mmes Renesson, dir. I. I. M- et Germaine Lubin, de l'Opéra.

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Emile Isola

en 1900 w

par André Rouvcyre

PASSEZ MUSCADE! ou les Isola rentrent en scène `

'AUTRE -nuit, quand, tiers trois heures du matin, les Isolas, parurent,

t en habit, sur la scène de l'A. B. C., un grand mouvement traversa L la salle, de l'orchestre au balcon. Tout le monde, debout, acclamait ceux qui allaient, pour la première fois, recommencer en public le numéro qu'ils exécutaient ily a quarante ans.

M. Vincent Isola, de cette voix un peu métallique que nous avions entendue si souvent pendant les répétitions à Mogador, donner des indications de mise en scène, présentait le numéro, tandis que son frère, une lampe électrique à la main, montrait qu'aucun des appareils n'était truqué.

Ce ne sont p,as des exercices de jonglerie qu'exécutent, les Isola, ce sont des expériences beaucoup plus saisissantes auxquelles collaborent Mme Vincent Isola surgissant miraculeusement, radieusement jeune et blonde, en crevant les parois de papier d'un grand cube magique. On l'enferme dans un sac, le sac est mis dans une malle

cadenassée, sanglée, scellée; mais il suf fit de tirer les rideaux d'une sorte de grand baldaquin rouge pour que la prisonnière soit en liberté, et qu'à sa place dans le sac au fond de la malle, quand on a levé le couvercle, après avoir fait sauter sangles et cadenas, on trouve, les cheveux un peu ébouriffés, M. Emile Isola lui-même. D'autres expériences du même genre furent exécutées avec la même sûreté en présence de trois témoins pris dans la salle. En l'espèce, l'autre nuit, Pauley, Jean-Pierre Aumont et Claude Dauphin.

A la fin de leur numéro, les Isola, sous les applaudissements, eurent embrassés par M. Sacha Guitry, et M. Goldin les engagea à l'A. B. C. Mais cela nous le savions déjà. A chacun son tour

Le gala avait un caractère familial et bon enfant qui changeait heureusement de tant de qalas officiels. Le rideau se leva sur une belle assemblée de vedettes masquées qui, à l'appel de leurs noms, levaient leur masque. Chacune, le plus gentiment du monde, s'essaya à un tour de prestidigitation il n'était pas absolument nécessaire de le réussir, et le succès alla aussi bien à Jean Weberqui pré-

DATES RETENUES

Vendredi 9 octobre

Montparnasse (réouverture) Madame Bovary (répétition générale).

Lundi 12 octobre

Atelier Le Camelot (répétition générale).

Mardi 13 octobre

Odéon L'Acheteuse, de M. Stève Passeur (reprise).

Mercredi 14 octobre

Michodière Fric Frac, de M. Edouard Bourdet (répétition générale).

PROGRAMME DES THEATRES

EN MATINEE 1

COMEDIE FRANÇAISE (Richelieu 22-70), à 2 heures Les Femmes savantes (MM. André Brunot, Lafon; Pierre Bertin, Escande; Mmes Dussane, Madeleine Renaud, Béatrice Bretty, Catherine Fonteney, etc.) Les Fourberies de Scapin (MM. Croué, Denis d'Inès, Lafon; Mmes Béatrice Bretty, Mai>celle Gabarre, Lberbay, etc.) z

ODEON (Danton 58-13), à 2 b. 30 I/Avàro (MM. Darras, René Barré, Eaymond-Giràrd, Harry-Iames, Baconnet; Mmes Lily Mounet, Paulette Rouvier, Colette Adam, etc.) Un Caprice, d'Alfred de Musset. (MM. Roger Weber, Jean Barratier; Mmes Eva Reynal, Paulette Rouvier, etc.)

Même spectacle qu'en soirée

Châtelet, 2 h. 30; Deux-Masques, 3 heures; Palais-Royal, 3 heures; Porte-Saint-Martin, h. 20; Variétés, 2 h. 45.

EN SOIREE

OPERA (Théâtre Sarah-Bernhardt) (Opéra 15-59), relâche.

Demain « La Traviata », « Le Spectre de la Rose ».

COMEDIE FRANÇAISE (Richelieu 22-70), à 8h. 30 Horace (MM. Alexandre, Jean Hervé, Yonnel, Chambreuil Mmes Delvair, Vcra Koréne, Germaine Rouer, etc.) On commencera par Le, Pèlerin (M. André Bacqué. Mmes Marie Bell, Catherine Fonteney, Nizan).

Demain « Denise ».

OPERA-COMIQUE (Rich. 72-00), à 8 heures Werther (Mmes R. Gilly, J. Rolland; MM. Priant, Lanzone, Bouvier, Couret, etc.) Orchestre M. MaN d'OUoiw.

Le Sourd ou l'Auberge pleine (Mile Gauley, Ertaud, Bernadet; MM. Rousseau, Derroja, Bouvier). Orch. M. H. Jamiu. Demain relâche.

ODEON CDanton 58-13), à 9 h.: La Fleur d'oranger (Mît. André Wasley, Guy Parzy, Baconnet Mmes Paulette Marinier, Blanche Dars, Suzanne Courtal, Solange 1 ••• Varenne, etc.)

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Feuilleton do « Figaro du 8 Octobre 1936 ''̃̃̃ '̃̃ ̃ (36)

te châtiment d'Ivan Hurd

CHAPITRE XV

(Suite)

Denis exposa à Clifton la position formidable de Hurd ses forces étaient bien organisées, il disposait de fonds illimités et, par une habile campagne de subventions appuyée de calomnies, s'était acquis le concours du clergé et de la population catholique surtout féminine de la région. Antoinette s'était donné pour mission de combattre cette odieuse manœuvre, en se mêlant aux femmes et aux enfants, voire jusque dans les milieux interlopes des satellites de Hurd, pour s'y créer des àiiifs et des alliés.

Mlle Saint-Yves consent à vous

TH. PIGALLE. Continuation, à ce théâtre, du triomphal succès « Bichon », avec une excellente distribution. CHATELET. Aujourd'hui, à 14 h. 30. en matinée, l'opérette triomphale « MNA-RO- SA », avec André Bangé et Bach.

P0RTE-SA1NT-MARTIN. Aujourd'hui, à 2 h. 20, en matinée populaire à prix réduits « CYRANO DE BERGERAC », le chef-d'œuvre d'Edmond Rostand, avec CHARPIN. (4 à 19 fr.). Matinées à prix réduits jeudis et samedis.

Demain « Le Procès de Mary Dugan «̃ ATHENEE (Opéra 82-23), à 8 h. 45 La Scin- tillante, de M. Jules Romains. (Mlle J. Neels, M. Romain Bouquet, Alfred Adam, Robert Bogar, Maurice Castel, etc.). L'Ecole des Femmes {MM. Louis Jouvet, J. Bértheau, R, Bouquet, M. Castel; mes Made-

leine- Ozeray,. Ràymoné, été.) '-̃

GYMNASE (Provence 16*15),, à 9 heures Le Cœnr, de M. Henry Bernstein. (MM. Victor Francen, Claude Dauphin, JeanPierre Aumont; Mmes Hélène Perdrière, Lucy Léger et Suzet Maïs).

Matinées jeudis et dimanches.

MADELEINE (Anjou 07-09), à 9 heures Geneviève (MM. Sacha Guitry, G. Dubosc, Drain, Jevenet; Mlles Jacqueline Delubac, Edmée Favart, etc.) Le Mot' de Cambronne (M. 'Sacha Guitry; Mmes Marguerite Moreno, Jacqueline Delubac et Pauline Carton).

MICHEL (Anjou 35-02), à 9 heures Un Coup de rouge, revue en 20 tableaux; de MM. Dorin et Saint-Granier. (Marguerite Moreno, Pauley, Dorin, Davia, Edmond Roze,' Parisys et Saint-Granier).

MICHODIERE (Rich. 95-23), relâche pour répétitions de Fric-Frac, de M. Edouard Bourdet.

PALAIS-ROYAL (Rich. 84-29), a 9 heures Ta bouche, opérette de MM. Mirande, Willemetz. Maurice Yvain. (Denise Grey, Simone Lencret, Andrée Champeaux, Gustave Nelson, etc.)

ANTOINE, 9 fa. Mademoiselle ma mère. ARTS, 9 h. Les Innocentes.

BOUFFES-PARISIENS, 9 h. « Normandie ». CHATELET. 8 h. 30 Nina-Rosa.

CAPUCINES. 9 h. La Mystérieuse Lady. DEUX- MASQUES (Théâtre d'aventures), à 9 h. 15 Que personne ne sorte 1

ETOILE, à 9 h. Trois. six. neuf. HUMOUR. 9 h.: L'Heure H.

NOUVEAUTES, 8 h. 45 Tout va trop bîenl PIGALLE, 9 heures Bichon.

PORTE-SAINT-MARTIN. 8 h. 20 Cyrano df Bergerac.

senta un numéro de véritable professionnel, qu'à Victor Boucher qui expliqua le tour qu'il aurait: fait s'il n'avait pas égaré ses appareils ou à Dorville qui, après avoir cassé des œufs dans un chapeau emprunté à un spectateur, dut laisser en plan cette omelette improvisée. Sous prétexte de tours de pas$e-passe, que d'aimab les tours imaginèrent Michel Simon et Pauline Cardon, Saint-Granier et Moreno et Jacqueline Delubac, et Arletty en collégien d'Eton, et Parysis, Gaby Morlay, Max Dearly, Pauley.

Tour de chant

Quant à Mayol, il chanta Cousine, et Di Mazzei un air napolitain, et Jacqueline Francell du Claude Pingault. Maurice Chevalier commença bien par jongler, mais après un boniment d'un comique irrésistible, il finit aussi par chanter Prosper. et aussi Quand un vicomte, mats en ajoutant au couplet Quand un Isola, rencontre un Isola, et le refrain précisait que sur terre on ne se moquait pastoùjours de son voisin d'en dessous.

Damia, Fréhel et Missia,' en interprétant, en chanteurs de,cour Sois bonne, ô ma chère inconnue, firent

rr .R Q~F, ~pU~I'U~

̃– JG4, Avenue des Champs-Elysées sssss^

laisser pleine autorité sur les hommes, mais elle tient absolument à ce que vous n'en exerciez aucune sur elle, ajouta le colonel avec un rire qui secoua ses maigres épaules. A part cela, Clifton, vous avez carte blanche. Quant à moi, je suis à bout de force et vous laisse entièrement la responsabilité et la direction de cette affaire. Ce n'est pas seulement le sort de la société Laurentienne, mais celui d'Antoinette Saint-Yves et de son frère que je remets entre vos mains. La tâche est rude, mais il y a une héroïne en cette lutte Antoinette Avec elle, vous ne manquerez pas d'inspiration

Non certes appuya chaudement Clifton.

Jusqu'à midi et demi, ils se plongèrent dans les détails de l'entreprise puis ils déjeunèrent rapidement. A deux heures moins un quart, ils montèrent à bord de la chaloupe qui les emmenait à l'hydravion. Jeannot les y attendait. C'était un Canadien-Français à l'œil vif, un homme svelte, au sourire agréable sous une ombre de moustache il accueillit Clifton avec une cordialité

» ,̃̃:̃:

Vincent Isola

en 1900

par André Rouveyrc

Folies

BERGÈRE

JOSÉF»HI]VE

AKER

RENAISSANCE, 9 h. Quiî.

SAINT-GEORGES, 9 h. La Femme en ileur. THEATRE DE PARIS, 9 h. Le Chant des Tropiques.

VARIETES. 9 h.; Un de la Canebière (Alibert).

VIEUX-COLOMBIER, à 8 h. ;4ê Elisabeth, l la. fentme ^çans homme. *>. ?"v: MUSIC-HALLS

CHANSONNIERS

CIRQUES

Même spectacle qu'en soirée

A.B.C., 3 heures; Alcazar, 3 heures; Alhambra, 3 heures; Casino de Paris, 2 h. 45; Empire, 2 h. 30; Mogador. 3 heures; Trianon, 3 heures; Cirque d'Hiver, 2 h. 30. A. B. C., 3 h. et 9 h. Marguerite Deval. ALCAZAR, 3 h. et 9 h. Revue (Cécile Sorel).

ALHAMBRA, 3 h. et 9 h. Ray Ventura, Bordas.

CASINO DE PARIS, S h. 45 Tout Paris qui chante.

DEUX- ANES, à 9 h. Et ran. tan. plan. revue. Clara Tambour. Dorin, R. Souplex. G. Charley, J. Marsac, etc.

THEATRE DE DIX-HEURES, à 10 h. Martlni, Jean Rieux, Max Régnier. La revue. EMPIRE, à 9 h. Mayol, Samson Fainsilber, les Midnigbt Steppers.

FOLIES-BERGERE, 9 h. En Super-Folies, revue à grand spectacle en 50 tableaux de M. Maurice Hermite. (Joséphine Baker). LUNA-PARK Tous tes jours, matinée el soirée, attractions. dancing.

MOGADOR, 3 h. et 8 h. 30 Music-hall. Duvalès, Burdino, Luciie Page.

LE PERCHOIR, à 9 h. Bobardisons, revue. Les chansonniers.

TRIANON, 3 h. et 9 h. Music-hall. CIRQUE D'HIVER. S h. 30 Spectacle varié, CABARETS, DANCINGS TABARIN La Joie de vivre. Attractions AU FLORIAN (74, Champs-Elysées). (Ely sées 14-70). Dîners et soupers dansants.

pleuvoir sur la scène des pièces et des sous, que leur lançaient, des loges et des fauteuils, les spectateurs, parmi lesquels Huguette Duflos,

Mistinguett, Blanche Montel, Marie

Lecomte, Marie Bell, Diana, Regelly, Escande, Max Maurey, André Magre, Henri Varna, Jean Prouvost, Pierre Laffite, etc., etc.

Un triangle et un quatrain Sacha Guitry traça un triangle et raconta l'histoire de deux petits garçons de Blidah A, qui vinrent à Paris B, dirigèrent sept théàtres, laissèrent 36 millions à l'Assistance pu- blique et c'est pourquoi tous leurs j amis sont ce soir à l'A. B. C.

Il se trouva que les rimes lancées à Tristan Bernard, pour son quatrain improvisé, étaient celles de la Marseillaise. Son quatrain ne fut cependant ̃ que relativement guerrier, souvenir de son service militaire Dans ces temps où, dragon, je servais la [patrie,

Le funeste moment du réveil arrivé, Je savais me soumettre à cette tyrannie, Mais j'étais le dernier levé.

Résultats une recette dépassant cent mille francs et une fête essentiellement parisienne.

André Warnod.

qui fit aussitôt de lui un camarade. Au dernier moment, Clifton se ravisa

Y a-t-il un bureau télégraphique près d'ici ? demanda-t-il.

Oui, là-bas, dit Jeannot. ces deux bâtiments Je viens d'expédier des dépêches à Roberval. Prenez votre temps

Dix minutes plus tard, Clifton relisait le message qu'il adressait à Antoinette Saint-Yves à bord du train à destination de Metabetchewan et qui lui parviendrait vers trois heures et demie.

Aliéniste consulté me déclare mentalement sain, mais état nécessitant affection et tendres soins. Amitiés. Clifton.

Un peu plus tard, le colonel Denis, seul et debout sur la chaloupe, assistait au départ de l'hydravion qui s'éleva de l'eau comme un oiseau; puis, se redressant, fila horizontalement et disparut dans la direction des vastes solitudes du Nord. CHAPITRE XVI

Ce voyage sera une expérience;

La!MUveBerevue

des Fdies- Bergère Les grandes revues de music-halls restent les plus somptueux spectacles qui soient offerts actuellement. La nouvelle revue des Eolies-Bëvgère, En Super-Folies, ne transgresse pas cette loi et offre une débauche de plumes, de velours épais, de gazes légères, d'uniformes chamarrés, de pierreries, d'or, de femmes innombrables dont toutes sont belles, de girls trépidantes, de boys bien disciplinés, dans le fracas des jazz et des orchestres, dans les jeux multiples, éblouissants ou carressants de la lumière, dans reàu'vîva jaillissant en cascade.

Le spectateur aura l'illusion qu'en son honneur est donnée une fête où tout est répandu profusion, que pour son agrément des fortunes sont englouties. A' notre époque, c'est goûter aisément un plaisir rare.

Et dominant cette tornade de richesses, menant le jeu, anunant tout le spectacle, Joséphine Baker apparaît comme la reine accueillant chacun en souriant dans son palais merveilleux. Kst-ce une illusion? Il semble que sa couleur est d'un bronze plus clair qu'au temps où, ceinturée de bananes, elle apparut pour la première fois à Paris. Ses gestes aussi sont devenus moins brutaux. Joséphine Baker est une grande vedette parisienne. Noblesse oblige. Elle a une autorité charmante faite de gentillesse et de gaieté qui plait au public de chez nous.

Nous la verrons descendre d'un palanquin porté par un éléphant de jade vert aux prises avec des tigres d'or, elle approche, princesse des neiges, sur un traîneau tiré par des chiens blancs elle sera au Maroc la proie que, harmonieusement, dans une danse émouvante, se disputent trois spahis; elle fera mille gamineries en petite marchande de glaces elle jouera un rôle tragique en défendant .son enfant, elle dominera le grand final de la fin et recevra l'hommage des armées d'Afrique aux accents des tambours et des clairons.

Nous verrons Dandy dans des slsetches très drôles et très courts, Viviane Gosset, Orbal, Yvonne Bouvier, Paul Meeres un tableau, parmi des vingtaines d'autres, d'une somptuosité magnifique, La plus belle nuit d'amour de Don Juan; un autre, rayissant, en camaïeu rose, en marge fde Madame Bovary, qui aurait peut-être amusé Flaubert des acrobates comme Vitch et les Fous d'Hollywod, et tant d'autres choses encore, tant de défilés, de belles filles rousses et blondes, de ballets, de gags, d'attractions de toutes sortes que l'on garde avant tout le souvenir d'un ensemble merveilleux. A. W.

A l'Opéra.

Demain soir vendredi, MM. Noré, Endrèze, Narçon, Morot et Gilles, Mmes Hamy et Lalandc seront les principaux partenaires de Mme Solange Delmas dans La Travia(a. M. Serge Lifar et Mlle Camille Bos paraitront ensuite dans Le Spectre de la Rose. M. Busser dirigera tes deux parties de ce programme.

Le Barbier de Séoille est annoncé pour samedi soir. On y reverra avec intérêt Mme Yvonne Brothier en Rosine.

La générale de l'Œuvre est retardée.

La. répétition générale de Halte où allez- vous ? la nouvelle pièce de M. E. Gerber, qui doit avoir lieu ce soir au Théâtre de l'Œuvre; est renvoyée une date ultérieure. MUSIQUE Orchestre Symphonique de Paris Dimanche II octobre, Salle Pleyel, à 17 h. 15 PIERRE mONTÊUX

Symph. italienne (MÉNDELSSOHN) Suite hongroise (I^aud.) (HARSANYI); La Valse (RAVELÏ; Après-midi d'un Faune (DËBUSt SD', et le pôJme de MALLARME récité par ;> PIERRE .FRESNAY r

Mélodies de MOZART,

:par- SOLANGE DELMAS, de TOpér».

ARTHUR RUBINSTEIN

le célèbre pianiste, qui donnera son unique récital le mardi 13 octobre à la Salle Pleyel, avant son départ pour une tournée mondiale.

toute nouvelle pour moi, avait dit Clifton à Jeannot en ajustant son casque de cuir et les oreillettes de son tube d'audition avant que le Français eût mis son moteur en marche. J'ai fait de l'aviation en France, mais je n'ai jamais eu l'occasion de voir de là-haut mes forêts.

Quelques minutes après, Clifton, émerveillé, contemplait-la ville qui défilait sous ses pieds. Sa pensée vola comme un éclair vers le lent convoi qui emportait Antoinette à travers les forêts. Que n'eût-il donné pour partager avec elle le délicieux émoi provoqué par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux Jeannot lui parlait dans le tuyau acoustique, mais il n'y prêtait guère attention. Dans le ravissement qui s'emparait de ses sens, il oubliait même le rugissement du moteur. En d'autres circonstances, Clifton n'avait pas ménagé l'intérêt et la curiosité qu'il prenait aux oeuvres humaines, mais ici tous les efforts de l'homme étaient complètement dominés et écrasés par l'oeuvre colossale et triomphale de la nature. à

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DANS LES STUDIOS

« 3-6-9 », de Michel Duran, passe de la scène à l'écran Agnès est perfide et sans cœur, me confie René Lefèvre Que pensez-vous d'une femme qui dit à l'homme qui t'aime éperdument « Venez ce soir, je serai seule »? Vous arrivez le cœur débordant de joie et d'espoir et vous trouvez chez elle une foule bruyante d'amis qui ont organisé une « surprisejsarty ». Quoique bafoué et malheureux, René Lefèvre se consolera bien vite car cette déception amoureuse il l'éprouve, dans le film 3-6-9 ». Voici un grand privilège du cinéma sur notre vie quotidienne.

Nous sommes chez Agnès, dans un vaste hall d'architecture très moderne; un arbre bleu couvert de feuilles en argent déploie ses branches sur un divan de satin blanc Agnès a du goût c'est dans ce décor que Raymond Rouleau tourne aujourd'hui une scène de « 3-6-9 », d'après la pièce de Michel Duran qu'il a remaniée pour l'écran. Meg Lemonnier et Jean Wall ont repris les rôles qu'ils ont créés dans la pièce. Renée Saint-€yr, René Lefèvre et Mady Berry en sont les principaux interprètes. Ce film nous fera pénétrer dans le milieu de la couture il sera, paraît-il, d'une conception nouvelle. Emaillé de « gags s>, où l'esprit français sera à l'honneur, il mettra en valeur le goût du metteur en scène et l'art du décorateur.

A. d'H.

♦i

Le Jugement de la Vie

Aux studios de la Villette, Bernard Roland tourne actuellement quelques scènes dramatiques du film Le J 'gement de la Vie, dans un décor représentant la Cour d'assises de Cracovie. En tète de la distribution, signalons Jeanne Boit'el, Henri Rollan et Jadzia Andrewska. Adaptation et dialogues de Roger Ferdinand.

PROJECTIONS RECOMMANDÉES

Aujourd'hui

aux Ambassadeurs

Pourquoi le nouveau film de Fred Astaire et Ginger Rogers bat-il à New- York tous les records de recettes ?

Quel événement ce fut à Paris, quand on. présenta le premier film de Fred Astaire et Ginger Rogers, Gag Divorcée! Depuis, quatre autres films du même couple extraordinaire de danseurs sont sortis, qui connurent le même succès. Aujourd'hui, à New-York, Swing Time bat à nouveau tous les records de recettes. Pourquoi ? Parce que Fred Astaire et Ginger Rogers y ont complètement renouvelé leur formule Nou- I- veau scénario, Nouvelles danses, nouvelle musique, tout ceci est neuf, original, sensationnel, dans ce film où le roi de la danse et son étourdissante partenaire exécutent, à un rythme endiablé, les danses acrobatiques.

Ma femme américaine

Ce film, qui est une satire sur la société américaine, sera présenté aujourd'hui au Marbeuf.

Traité avec ce sens de l'humour qui est l'apanage des metteurs en scène américains, il s'apparente à l'admirarable Mr. Ruggles, dont on se rapelle encore le succès remporté la saison I dernière.

PROGRAMME DES CI N Ë M A S

MONTMARTRE OPERA BOULEVARDS AGRICULTEURS (S, vue d'Athènes) Les Grands (Gaby Morlay, Ch. Vanel). 3 h. et 9 h. Sam.. dim., fêtes 2 h. 30, 5 h., 9 h. CINEPHONE PETIT PARISIEN L'Ange des Ténèbres. Perm. de 10 h. à 1 h.

AUBERT. PALACE (34, bd des Italiens) Rigolboche.

CINE-OPERA (av. Opéra) L'Homme qui fait des miracles. Perm. de 14 h. à 20 h. Soir., 21 h.

COURCELLES Le Petit Lord Fauntleroy. CINE-VIVIENNE Les Révoltés du Bounty. EDOUARD-VII Marie Tndor (parlant anglais). 14 b.. 16 h. 30; soirée, 21 h. Samedis, dimanches, à 23 h. 45.

GAUMONT-PALACE (place Clichy) L'appel du Silence.

IMPERIAL Les Lonps entre eux. MADELEINE-CINEMA iboulev Madeleine): Jenny (Françoise Rosay).

MARIVAUX (16, bd des Italiens) Les Gais Lurons. Passe à 14 h. 50, 17 b., 19 h. 5. 21 h. 30.

MAX-LINDER Un de la Légion. Perm. de 14 h. à 23 h. 40.

OLYMPIA: Le Grand Ziegfeld. Perm. de 14 h. 15 à 20 h. 30; soirée, 21 h.

De l'Est à l'Ouest coulait le puissant Saint-Laurent, avec, plus loin, le Saint-Charles, qui, comme un bras protecteur, enlaçait Québec. Dans toutes les directions on apercevait les reflets bleus et argentés de l'eau. L'île d'Orléans ressortait dans son cadre d'un pourpre royal et derrière elle, au Nord, le cours splendide du Montmorency se perdait dans des forêts qui ressemblaient à d'immenses tapis d'un vert sombre. On embrassait d'un seul coup d'oeil vingt cours d'eau et vingt lacs entre eux passaient et disparaissaient, tels des êtres animés, d'anciennes villes et de vieux villages qui surgis du creux de vallées cachées ou de derrière de gigantesques écrans de feuillages. A mesure que Jeannot prenait de la hauteur le panorama s'élargissait! J sous eux jusqu'à ce que les premiers contreforts des monts Laurentiens et les forêts du Nord eussent noyé l'horizon dans une brume bleuâtre et imprécise.

Clifton demanda, en collant ses lèvres contre l'embouchure du tuyau acoustique

Verrons-nous le train ?

v Ann Sothern et Francis Lederer dans «My American Wife».

Ce film passe au Marbeuf. J,

Le concerta, la Cour

Tel est le titre d'un grand film que prépare la UFA, et qui aura pour Paris un attrait tout spécial puisque, avec Marthe Eggèrt, on y verra Germaine Laugier, dont le talent a été si chaleureusement apprécié.

42 t~ Rue

La Direction de cette nouvelle Salle a introduit, l'année dernière, en France, les deu; fameux films « TANZMUSIK » et « FESTIVAL DE SALZBOURG ).. L'OUVERTURE DU STUDIO ELITE aura lieu VENDREDI 9 OCTOBRE, à 14 h. 30, avec la célèbre VEDETTE VIENNOISE MARTHA EGGERTH dans

CHATEAU en FLANDRE

Ce soir. GALA à bureaux fermés

AUJOURD'HUI à 14 h. 30 Th. des AMBASSADEURS I, avenue Gabriel

LE NOUVEAU

FRED ASTAIRE GINGER ROGERS SWING TIME UNE FORMULE NOUVELLE

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DES AIRS ETOURDISSANTS Film R. K. Ô.

PARAMOUNT L'Amant de Mme Vidal. De 13 h. à V.) h.; soirée, 21 h.

REX (1, bd Poissonnière) Les Deux Gosses.

LE HELDER Mon ex-femme détective. STUDIOS

STUDIO UNIVERSEL (31, av. Opéra) Une Gueule en or.

STUDIO DE L'ETOILE (El. 06-47) Gosses de Vienne. (Vers. orig., sous-titres franç.). 14 h 30 à 19 h.; soirée 21 h.

STUDIO 28 (10, rue Tholozé) Folie donce. 15 h., 21 h.

RIVE GAUCHE

BONAPARTE (pl. St-Sulpîee) Les Grands (Gaby Morlay, Vauell. 3 h. et 9 h. Sam. dim., fêtes 2 h. 30. 5 h.. 9 h.

PAGODE Le Petit Lord Fauntleroy. LUTETIA Moutonnet et Sa première angoisse.

PANTHÉON Les Amies. Perm. de 14 h. à 20 h. 30; soirée, 21 h.

CHAMPS-ELYSEES • ETOILE

AMBASSADEURS Swing Time (Ginger Rogers, Fred Astaire).

L'AVENUE, 5, rue du Colisée Marie Stuart,] reine d'Ecosse.

Après le lac Baliscan, je suivrai, | la voie ferrée, riposta Jeannot. Nous i devons survoler vos amis vers quatre heures.

Clifton ne se sentait pas de joie. Si vous vous arrangez pour qu'ils nous voient, dit-il, je vous paie un chapeau neuf dès notre arrivée à Roberval.

Jeannot entrevit un instant le visage et les yeux de Clifton, et ne put s'empêcher de sourire. Denis lui en avait dit suffisamment pour éveiller sa curiosité sur son compagnon de route. Aussi ne manqua-t-il pas de mettre à profit les menus incidents de l'aventure.

Nous leur ferons mettre tous le nez à la portière, vous allez voir, lui promit-il:

Clifton consulta sa montre deux heures et demie. A trois heures, ils survolaient la splendide région fluviale qui commence à l'immense solitudé de Fief Hubert. En prenant le lac Croche comme point central, Clifton compta quarante lacs dans un rayon d'une cinquantaine de kilomètres avec le lac Baliscan s'étendant vers le Nord et l'Ouest, telle une

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MAR1GNAN

SACHA GUITRY

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LE ROMAN D'UN TRICHEUR MARIVAUX

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COLISEE (33, avenue des Champs-Elysées) Le Grand Refrain. Passe à 14 h. 20, 17 h., 22 h (Métro Marbeuf).

CINEMA DES CHAMPS-ELYSEES (118, avenue des Champs-Elysées). (Tél 61-70) Soirée, 21 h. 15. Sam. et dim, perm. de 14 h à 24 h.

CINE-PARIS-SOIR (Champs Elysées) La presse filmée. Silhouettes chantantes. ERMITAGE L'Empereur de Californie. Passe à 14 h. 25, 16 h. 25, 20 h. 40, 22 b. 50. LE PARIS La Belle Equipe. De 2 h. S0 à 1 heure du matin.

MIRACLES-LORD-BYRON My Man God- frey. Perm. de 2 h. 30 à 19 h. Soirée, 21 h. 15.

MARIGNY Dortoir de jeunes, filles. Passe à 14 h. 45, 16 h. 45. 18 h. 55. 21 h. 40, 23 h. 45.

MARBEUF Ma Femme américaine. Perm. de 14 h. 45 à 19 h.; soirée, 21 h.

MARIGNAN (27, Ch -Elysées» Sacha Guitry dans Le Roman d'un Tricheur. Passe à 14 h 31, 16 h. 42. 18 h. 50. 21 h., 23 h. 15. VICTOR-HUGO Sept hommes, une femme.

énorme émeraude sertie entre des rocs déchiquetés et des montagnes au vert éternel.

Une demi-heure encore et le Français planait au-dessus d'un long fil ténu qui se détachait sur cet océan de verdure. C'était la voie ferrée. Le pilote amena son appareil si bas qu'on en distinguait nettement les rails éblouissants au soleil.

Quelques instants plus tard, ils passèrent au-dessus d'un train de marchandises en marche qui, de cette hauteur, paraissait un minuscule jeu d'enfant au repos. Ensuite, Jeannot désigna les points intéressants et expliqua comment les vastes forêts de Québec vouées à une rapide destruction, étaient en train de disparaître, mais Clifton, tout en l'écoutant, ne quittait pas de l'œil la ligne du chemin de fer.

James Oliver Curwowfc:

(A suivre.)

Traduit de l'anglais

̃̃̃̃̃ -par LootsîPostbv

Copyright bg Louis Postif. 1936,


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FnCTDAHTE PUR L'IHABE

L'EVACUATION DE MADRID EST eOMMENGÉE Trente avions de l'armée du général Molla ayant de nouveau bombardé Madrid, le gouvernement a décidé d* faire évacuer la ville. Voici: 1. et 3. Deux instantanés de familles qu'tfant 'rs villages aujourd'hui menacés. 2. Le barrage d'une route aux abords de la capitale. ̃

LA LIBERATION DE L'EX-INTENDANT FROGE Avant de partir: pour la campagne, chez son frère, on 0 se reposera avant de commencer l'étude de kt- révision de son procès, l'ex-intendant Frogé, aujourd'hui libéré, passe quelques heures au milieu de sa famille.

LES EXPLORATEURS GESSAIN ET PEREZ A PARIS De retour du Groenland,- les explorateurs G essai et Perez^quc devait ramener en France le « Pourquoi-Pas ? » an docteur Gh«»«^«»»t arrivés- hier soir à Paris par gare Montparnasse.

LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

TENDANCE IRRÉGULIÈRE

Les prises de bénéfice sont aisément absorbées sur les rentes et valeurs françaises. Les pétroles, les caoutchoucs, les mines d'or et la Canadian Pacific poursuivent leur progression. La position de place. Réouverture des bourses italiennes.

© Séance de digestion. La spéculation a poursuivi ses prises de bénéfice, consécutives au formidable bond de la cote au lendemain de la dévaluation. La grande résistance des cours, l'avance de certains compartiments pétroles, caoutchoucs, mines d'or ou de certaines valeurs, montrent que la contrepartie a été empressée. L'arbitrage pour les valeurs internationales, des capitalistes ou des groupes étrangers pour les Rentes et les valeurs françaises, ont paru disposés à relayer dans les meilleures conditions la spéculation locale, en vue sans doute d'une accentuation du mouvement de hausse.

© Les Rentes ne cèdent que des fractions inférieures à un point, exception faite du 4 0/0 1925 qui revient à 90 50, en baisse de 1 fr. 40. La réaction de cette série est assez normale après le bond de seize points qu'elle effectua. Valeurs du Trésor résistantes. Au comptant, le marché des obligations se débloque progressivement.

© Les valeurs françaises reculent en dents de scie, et terminent au plus bas cours de la séance. Toutefois, les différences de cours par rapport à la veille sont inférieures à cinquante francs pour les grandes valeurs.

© On a favorablement commenté le fait qu'en dépit de la hausse des cours, la position acheteur au Parquet n'a progressé d'une liquidation à l'autre que d'environ 20 0/0. En effet, celle-ci, qui s'élevait au 15 septembre à 1.505 millions, passe à 1.802 millions, tandis que la position vendeur s'élève dans le même temps de 154 à 173 millions. Sans doute convient-il, pour apprécier

ces chiffres, de tenir compte du fait que de nombreuses levées de titres ont eu lieu, en vue d'échapper à l'imp6t de 50 0/0.

© Les transactions sont restées assez importantes, surtout sur les Rentes 877.500 francs de rente 3 0/0 et 6 millions 280.780 francs de rente 4 1/2 1932 ont été échangés.

Les Bourses italiennes, après la clôture provoquée par te réajustement de la lire à sa nouvelle parité, ont repris hier leurs opérations. La nouvelle rente 5 0/0 résultant de l'emprunt obligatoire pour les propriétaires fonciers a été cotée; elle s'est inscrite à 92,20. Voici quelques autres cours Bons du Trésor 1940, 101,25 contre 100,95 avant la dévaluation; Montecatini 179 contre 156; Fiat 448 contre 415,50; Snia Viscosa 418 contre 389. Au ma ché des changes, le franc a été coté 88,80 contre 85,80, la livre sterling 93,25 contre 64,38 et le dollar 19 contre 12,70.

© Dans « Paris-Soir », M. Winston Churchill dit sa confiance dans les vertus de l'entreprise individuelle et du capitalisme. « Le capitalisme, dans lequel la sanction la plus sévère est la faillite, atteint un niveau économique beaucoup plus élevé » que les pays de dictature où la sanction de l'échec économique est la mort. Aussi l'ancien chancelier de l'Echiquier voudrait-il que des pays comme l'Amérique évitassent de se lan- cer dans des aventures de facilités à la Townsend, au bout desquelles seraient la ruine et la perte de la liberté Je crois, pour ma part, avec confiance, au retour de la prospérité. Je crois que les

jours glorieux de ce système d'entreprise privée qui a tant fait au cours des siècles pour Je bien du monde ont leur place dans avenir et non dans le passé.

Mais les gains de demain ne pourront être acquis que par la pensée et le labeur. Les promesses spécieuses de ces prophètes qui croient à la possibilité d'une fortune « gratuite », acquise sans effort, constituent un dangereux mirage qui nous attire, par tromperie, non pas dans la cité idéale de l'âge d'or, mais dans le désert de la déception et de la ruine.

Et peut-être, chemin faisant, y perdronsnous aussi nos libertés.

Le gouvernement soviétique va p.océder à la liquidation des fermes d'Etut situées en Russie du Sud, au Caucase et en Sibérie. Les terres des sovkhoses vont être réparties entre les fermes collectives ou kovkhoses. Ces dernières sont gérées par les pal/sans. La raison de ce changement de politique, bien qu'on ne la donne pas, paraît être que les fermes socialistes sont mal gérées.

© Londres est stimulé par les déclarations optimistes de M. Neville Chamberlain. Les industrielles locales, les pétroles et certaines américaines comme Canadian Pacifie sont particulièrement favorisées. Aux cuprifères, Rio-Tinto est en réaction, tandis que Rhokana et Anaconda sont en hausse.

© New-York est très actif. Le volume est de 3.030.000. Le marché est ferme. Au début de la séance, par la suite il y a quelques prises de bénéfice. Les services publics sont en bonne avance et terminent en hausse. Clôture irrégurière. La livre baisse à 4,89 3/8 contre 4,90 1/2 hier et le dollar 4,67.

LE FLECHISSEMENT DU STERLING

La faiblesse du sterling cause à Paris quelque surprise. Certains y voient la preuve que « l'alignement » existe uniquement dans l'imagination du gouvernement français. Ce n'est pas exact. Ce qui. est ridicule, c'est de parler de paix monétaire. Mais il n'est pas douteux qu'un. armistice ait été conclu. Pour les Anglais et les Américains, la dévaluation du franc présentait de trop grands avantages pour ne pas justifier des restrictions provisoires dans la pleine liberté de leurs manœuvres de change.

Comment s'explique, alors, le glissement de la livre ?

Les autorités britanniques, trouvent dans la dévaluation française un motif ou un prétexte pour rapprocher la livre du niveau qu'à leur sens elle doit maintenir par rapport au dollar. Avec obstination, elles tendent vers ce but qui est défini approximativement par la parité ancienne de $ 4.86 pour une livre.

Les cours des changes montrent que la livre se rapproche chaque jour un peu de cette position. Doiton penser qu'elle s'en tiendra là, quand elle l'aura atteinte? C'est peu probable. Le change de 4.86 sur New-York paraissait à peine suffisant aux industriels anglais avant la baisse du franc. Les risques d'une concurrence nouvelle, pour faibles qu'ils soient, les amèneront, sans doute, à réclamer une marge nouvelle de dépréciation du sterling. On a donc quelques raisons de croire que la livre finira par se laisser glisser au-dessous de 4,86. Pour fixer les idées, on dira qu'elle cherchera vraisemblablement à s'équilibrer entre 4,86 et 4,70. Dans cette situation, son cours à Paris pour une dévaluation du franc de 30 p. 100 s'établirait entre 98 et 94 environ. Reste à savoir comment les EtatsUnis s'accommoderont d'une valeur du sterling qu'il ont toujours refusé d'admettre. C'est une tout autre histoire. Le fameux « alignement » consiste en ceci que jusqu'aux limites de variation indiquées plus haut le dollar ne bougera pas. Le tout est de bien s'entendre sur le sens des mots.

F.-F. Legueu.

LES CHANGES

La livre à 104,70

Tandis que le dollar reste à peu près fixe à 21,41 contre 21,39, le sterling s'inscrit à 104,70 contre 104,98. C'està-dire que le glissement du sterling par rapport au dollar s'accentue. C'est ce que confirment par ailleurs les parités de New-York, qu'on a vues ci-contre. Le franc suisse est un peu raffermi à 4,92 3/4 contre 4,91 5/8, ainsi que le franc belge à 3,60 1/4 contre 3,59 7/8. A terme, les reports fléchissent sur la livre à trois mois 0,25 contre 0,50 la veille.

INFORRIÀTIONS

Comptoir National d'Escompte de Paris

La situation mensuelle arrêtée le 31 août dernier se totalise, à l'actif comme au passif, à 7.515.539.818 fr. En voici, en francs, les différents chapitres i

Actif Encaisse et Banque de France, 819.818.035; Avoirs dans les banques, 247 millions 553.268; Portefeuille et bons de la Défense nationale, 3.892.753.858; Reports, 27.009.729; Correspondants, 716.377.560 compte* courants débiteurs, 1.096.308.419 Bentes, obligations et valeurs diverses, 1.447.340; Participations financières, 6 millions 200.000 Avances garanties, 313 millions 910.764; Comptes débiteurs par acceptations, 81.715.182; Agences hors d'Europe, 11.448.129; Comptes d'ordre et divers, 285 millions 997.535; Immeubles, 15 millions. Passif Comptes de chèques et comptes d'escompte, 3.434.522.434; Comptes courants créditeurs, 2.710.203.718; Bons à échéance fixe, 31.784.870; Acceptations, 81.768.784 ;l Comptes d'ordre et divers, 406.835.618 Compte des actionnaires, 6.515.371; Réserves, 443.909,023; Capital, 400 millions. L'ACCORD MONETAIRE

TRIPARTITE

« Nous reviendrons à l'étalon or, déclare M. Neville Chamberlain. mais le sterling reste libre »

M. Roosevelt se réserve le droit

M. Roosevelt se réserve le droit

de dévaluer le dollar

A Mansion House, au banquet offert par le lord-maire de Londres au chef de la Trésorerie, au gouverneur et aux administrateurs de la Banque d'Angleterre, et à la fine fleur de la Cité, M. Neville Chamberlain a fait des déclarations optimistes

Je ne vois pas de raison de modifier l'opinion, que j'ai déjà exprimée, que finalement nous reviendrons probablement à un étalon monétaire international, sur la seule base qui paraisse jouir de la confiance de tous (l'or). Sans doute, il faudra d'abord se prémunir contre les violentes fluctuations dans la valeur de l'or par rapport aux matières et produits, qui ont causé tant de trouble ces dernières années.

Mais si nous pouvons y arriver, et c'est une affaire de coopération internationale plus grande encore, alors je ne puis voir aucune difficulté insurmontable pour revenir finalement à un système monétaire, basé sur le libre échange de l'or.

Presque en même temps, le président Roosevelt dans une intention de laquelle les préoccupations électorales ne sont peut-être pas1 tout à fait absentes a demandé que les pouvoirs monétaires extraordinaires dont il dispose et qui expirent en janvier prochain, soient prolongés. Il s'agit, on le sait, du droit pour le président de dévaluer le dollar jusqu'à 50 de sa valeur ancienne (la dépréciation est actuellement de 40 %). Ceci, a dit le Président, « pour nous conformer fidèlement au but essentiel de la politique monétaire du gouvernement dont l'objet est le maintien des valeurs intérieures celui-ci doit être pourvu de pouvoirs spéciaux en vue d'empêcher la destruction de ces valeurs par nne action inattendue de la part d'autres nations ».

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Bons du Trésor · Cltro<,n. 364

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Baisse

5 0/0 1920 10625 0 50 4 0/0 1H25. so 50 140 4 1/21932 A i 86 50 065 OM.Tr.41/21933. 945 22 Banque de France. 8810 –315 Banque de Paris. 1120 –50 Suez 22625 -275 J.yon. 830 65 Distribution. 845 40 Tréfileries 774 41 Rhône-Poulenc. 1050 78 Rio. 1840 45 De Beers préf. 1850 23

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BOURSE DLJ 7 OCTOBRE 1936

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SonsTr.aïOan.1933 933 ~7.' del..arn08Ji9î;' 978" l7g.. Soe.Gl~AlsaeionnedeBanq. ·~5·· '7~ LthralrleHachoUo. 200~ 19.0..

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Nice; ;1-1. 'A.DE 1IlRDIONDE àNogent-s.- 1 M'~e' ;'M~ jarqut5 ~lONN¡';Rar-Dli1IAJNE, r

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à 9lûcr âl. `G· MOlSsENEf, 4 Samt.Germall\- 1 en-Laye Mme la mMqt.i~ DE .'MIRA11O:¡, ( née Ferdinande DE 'L'£85£1'5.: aU' château de 1 PAULHAC %Irne MILTIADE -11'f.%RANGA, il. t Marseille; Mme Phllippe DE MO~BRIND~ t ] ~e 11mc ~WSER, a Dijon; NI le docteur1 1 MENANTAUD, à Tulle M. Louis MOREL.. FATIO, à Vichy Mme la vicomtesse DE 310IL CHERON, au château de MMrMU~ j Mme la comtesse DE NEUILLY DE LA PAS. t TELLIERE, au château de la Bouderte :l-11Ir.

DE NETTANCotIRT, à Vautes.

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château àe Beaul11011t;

Mme H. PEDEBLDOU a Tournay ~iaitre PlERRAT. à :\Ionaco-Co!1damine. 11me Paul PRIOUX à Bourg-en-Bresse M. G~ TIER. à Pkrre-Levcc M. Raoul YIM04T, à 1

Rouch. v

:\1.. l'abbé J. RAIMOND. 4 S~t-Germain-en- Laye; M t'abM RABEAU, a ~y.te.-Mou ineaux.. Ji. Maurice DE RIbDÈR. à Chatou M. le baron J, V4:V kOSENS'FOK, Lisbonne. Mme James SCOTT, à Londres Mme la comtesse P. DE SE.GOKXAC. à Rome Mme la comtesse DE SAtXT-VtCTOR, ~Cy~ SENNI, à Rome M. Jean DE SAINT-HILAIRE. à Clerniont·Ferrand M. SOTLAS. a La ))raa- .~r,e;ne la comtesse DE SERI0.ItFE,.à Lan. debia M. Jo>eph SIRET, à Toulou.

M. TEMBOURÏ. a Londres M. Guy'.DE- TOURNADRE, a Ntme A DE THORE, ,'t Mantes-s.-Seine

LAT, à Besançon 3I Edmond TgRRIEN, à

New-York; 11. le cotnmanùant DE TAVER!\OST,

à Tebourba.

~~i. Maxime VELAY, à V'aud Mme la.comfësée DE VARA7,-SLDAIGL-, à Toulon Mlle Paule VOLLAND, à Lunéville Mme ~1icheIVERY, à tlmc Jacques DE

au chàteau du Parc S. Exc. le baron DE, N'i-

TROLLES. il La Ha)'e.

Mme L, Ctl. W.4'lEL, â Chatou WALD11ANN. à Troyes 3I, le comte 1'. WALSH i'

DE SERRANT. à Vanne3. l'

~I~~u~RRI~'R~ à Bonnat ~\1. Mme I Michel AUGUs-rE-DOR~œUIL, à Saint-Germainen-Laye Rév. A.-N. ARCIBAL. À Rome M. le docteur P.-A. BOSÇ, à Vetsnilles. ,MFT &

Mme la comtesse DE BOURBON-BLSSET, à Bali an court Mme DE BRION, à Saint-Laurentdu-Pape: Mme L. BLOT, à 6alnt·Cyt-s,.Lolre Mme Alexandre BILLOTTE, à La Rochelle Mme DE BASTIDE, à Nantca 31. le docteur BOUL-

2ANGFEII, à Nite Mme BËLLON a Lyon

M.'lienri BURRUS, à Boncourt Mme BERN. HEtM-STERX, à Boitsfort M. Frédéric 9LA\CHY à Bordeaux M. le baron F. DE BEAUCORè5,~ à Or1éans.; ~~l. le capitaine DE BOY$SO:'1, à Samnur M. Alfred n8nTER, it MonteCarfu M. Albert BOURCERET, a Metz Mme Jules li a Lyon Mme la comtcsse'nE BELMONT. a Macy 11111e George,; 1.. Mnt-Lour. M. Jacques BESSON, l'au 11. Gorges BI:LL01'; à Ruffec.le-Château Mme k BOULARD, à La ChapeiJe-d'Aunninvi1!e. 1

~[. Atex CaS~.IPOGI.OI, Nice ~Ime Ilierre

C-RRL7'r a Dompimrf! ~liiie Augu~tin l'ierre BERT. au château <ie Mont~y 'M. te cp.&ad DL COR DE DAMREMOXT, à Angers Mme la baronne DE CAIX. au château de Tremig6n Mme Georges CLOCHETTE. 11 Hoaiemt Mme la comtesae DU CASTMAS. à B)arr~_Mm. DE CANECAUDE, au Cbesna)' Mme C.N'rTAND, à Thoirv M. Pau) CHIARASINI, &a.)ary-s;-MML Mme êharle5 COTTIN, à Lyon M. Jean CHARLES-ROUX, à Xancy M. le IieutenantcDlonei~ CHAUMOXT-MORLtERE, r Sf.ax;.1. M. le hente-I ¡ nant Bernard CAZELLES, a L;-OR ;)1;' COS$E1' à Bordeaux. '1

M René I7EL05, à Genève.Mme JtcqM:tDU-

'MONT, d I)untez9ue :\1. M&MER,-4 BœMtcont ~rmc D'ARCES, à Saint-Etienne; Mme l

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iards M. .FONTENETTE Là. Niée M.. (G.

FOGT,. à Londres Mme FU.ODOR, U Bucarest Mme COLCOMBET FAURAX, i, Lausanne M.

FREBET à Atantes.

~lme dASSrl~'S D'4iENNEPY, A :Bordeaux w M. le colonel DE GALLE, à -Bordeaijx .M. lé colonel DE GALARD TERRAU^E, au Chesnay. i Mme Marcel GERMAIN, à Mpntllgnon M. le colonel GELBERT, à Compiègne Mi docteur H. GOUPIL, à Pêrrou Mme Maurice GAGNIERE,

à Nice,

J-IaUre A. HABER, à Corbeil M. Antoine. HERVE-GRUYER, à Chambilly M. HOMASbtL, à Saint-Biaise kme N. HOUEL, à Asoières.; M. HUGUENIN, à Cannes M. Henri HIï-, a

Rouen.

Mlle" JACQUIER, à Nice M. Henri JEANNIN- NALTET, à- Bourgneuf-Val-d'Or et Mme André JOIRE.' à Lille. (m Mme KOECHLIN SCHWARTZ, à Vannes Mlle Louise KLEPPER, à Bordeaux M, Herbert KERR, à Nantes Mme Louis KlfcNTZ, à Pantin. Mme la marquise DE A MOUSSAYE, au château de Tencin M. LEVAIN VILLE, à Senlis M. H DE LA BRUNIERE, à Cholet M. le baron Roger DE LANDEVOISIN, au château^ de Torbechet Mme la comtesse R-DE LA ROCHEBROCHARD, il Poitiers M. le marquis DE LANASCOL, au château de Langourla Mme la comtesse Guy DE LAPRADE, à Versailles Mme la marquise DE LA TOUR DU PIN, au chèteau de Connétable M. 0. LOMBARD-PLATET, â Lyon Mme LEBERT. à Altkirch. MWe DE LA VERTEVILLE, à Tours Mme DE LA 'SELLE, à Besançon Mme la comtesse Robert B£. LONGUE \U. à LiboUrne M. le docteur LE-PROUST, à Châténay-Malabry Mme Fernand LAMY, à Orléans M. le baron DE LA POMELIE. à Limoges Mme LE ROY, à Compiègne .Mme LAZARE-WEILLER, au château de Damplerre Mme LAGRAVIERE, à Laxou-Nancy M. DE LA COTARDIERE, 4 Rennes.

Mme la baronne DE MOXTAGXAC, a Fontainebleau Mme la marquise DE MIRAM0N, à Juigne-s.-Loire Mme Eugène MATH0X, à Roubaix ̃ M. J.-J. MORTIER, à Bordeaux Mme MORET DE ROCHEPRISÉ, à Ay-Champagûe Mme" la générale MAUCORPS, à Versailles 51. José P. MAJOREL, à Florence Mme J. MAYER SUY 4 Viroflay M. le colonel MlLtOT-, à Besancon Mme Paul MAGNAN, à Grenoble. Mlle Marie NIMSGERN, au Havre Mme DE NEUFPRE, au château de Nleppe.

M. R. OBÈRKAMPF DE DABRUN, à Versailles M. D'OCAGNE. à Alençon.

M. André PEPY, à Grenoble Mme PRIVAT t»E FRESSENEL, à Fontenay-aux-Roses S. Exc. M. Simon IPATINO. à Londres M. lé général S> Dt' PART, au château de Vauban Mme André PIGUET,, Beaune Mme Aibert PIGEORY, à Lourde» Mme M. PEPIN DE BONXERIVE, à Lyon M. le lieutenant de vaisseau PIERRET, à la plage d'Hyères M. le capitaine Jean-Philippe SAUNIER, à Cbàtillon-s.-Chalaronne Mme .Raymond PITHOIS, à Bezannes.

Mme Raymond QUENTIN, au Vcrt-Saint-Denls. Mme Maurice DE RIVALS MAZERBS, i Fiac. Mme Mercedes SERVAT. à Rome M. Paul SCHMIDT, à Mulhouse Mme la vicomtesse DE SALINS, a Reims Mme Georges SENEZ, à SatntGermaln-en-Laye. M. Jean SOURDOIS, à Montdc-Marsan Mme William SEYRIG, au domaine de Goyetchea M. Guy DE SAINT-REMY au château du Vivier Mme la comtesse Pierre DE SAINT-GERMAIN, à Dijon M. Gérard SACASE. à Perpignan' Mme SIMEONOGLOU, à Jtarseille M. Lucien SOLAL, à Montpellier Mme DE SAINT-LAUMER, à Barfouville M. le docteur SPEIDEL, à Berlin M. le capitaine A. SARRAZIN, à BUerte Mme la comtesse SZEMBEK, à Varsovie. à Saint-Leu-la-FWt;

Mme Gaston TRtCHARD, à Saint-Leu-la-Forct;

Mme la vicomtesse DE TRUCHIS D£ VARENNE, à Besançon Mlle Adrienné -TARTE, à Trieste. Mme VIALLE. à Stirit-Aubin M. Auguste VKRDET, à Avignon M. le lieutenant-colonel VlREY. à Autun Mme la comtesse DE VILLE.NEUVE ALLIX, au château de Trinay Mme la comtesse Jacques DE VILLENEUVE ALLIX. à Mulhouse Mlle A.-5I. VALETTE, à Salnt-Germain-en-Laye.

Mme W0LFR0M. à Aix-en-Provence Mme ta comtoise William DE WARREN, à Xancy Mme Raymond WÊM AERE, au château de Beaunay. M. Stephy ZARIFI, à Marseille.

Mlle D'ALEMAN.' à Bayàhne Mme Edouard ANTOINE, il Venrax-îes-Sablohs Mme D'ASS1ER* DE VA-LENCHES, au château de Feurs M.JEugètie ANDRE, à Nante&

M. le prince Edouard DE BROGLIE, à V*killcs Mme BOHIN, à Nancy Mme BREST, à Toulon Mme la baronne BÉCQUET DE MEGILLE, au château d'Eth M. E. BORGET, à Issôudùn": Mme la baronne DU BOURGET. à Lausanne M. G. BELGRAND, à Dijon M. le cotonel BOURGEOISE Dijon Mme BOUVIER CARRIËRE. à Grenoble, M. Marcel BLANcHET, à ̃Blosiévillé' f M. le fiarou G. DE BALORRE, à Swnwt Mlla. BONNET,. a Passe-Lourdin Mme BOSSUAT, à ̃ Dlnard- Mme la marquise DE BONXEVAL, à Senlis Mme la bjfonne DU I BOURGIE. à Lausanne Mme BECHET DE

BAI AX. à Sedan.

Mme CHARNKAU. à Tannay Mme CONsTVNS DE BOXXEVAL, à Chambéry Mme la ba-

HiP cAMrm IQ nu JEUDI 15 OCTOBRE. <

-ronne-DE CEVlNSi- à Lyon xMme la comttMe Elisabeth CAHEN D'ANVERS, à Rome Mme M. CHAVANNE'DE DALMASSY, «Nantes M. le docteur RAOUL COMTE, à Neva» ,Mme_la vicomtesse DE CUREL, à Dbuia» i Mme DE CISTERXES, à Clermoflt-Ferrand Mme lacom,tesse DES CORDES, à Salnt-Emillon, M. le docteur, CAYLA, à Caroassbnne. Maître Camille DEVEAU, à Mantes-sUr-Semt t Miss' C. DEMA1N-SAUNDERS, à Vevey M. M. DURAND-RUEL, à New-Yotk M, DESMAREST,

à 1-loicle"

'Mnîe*ENNE«0ND ©LLARD-GUERIN, à Lyon. Mme la baronne E. DE FOUGERES, au châ- teau de Fougères M., le comte H. DU FONTENIOUX, â A*ay-lc-Rideau Mme FAY, à Brest i Mme FOREST, à Cholet Mme Maxime tRETE, à Nancy M. Etienne FOUGERON, à Orléans. Mme Louis G0NNËT, à jLyon Mme la com- tesse Robert DE GERMINY, à Gouville Mme Ph. GUENEAU DE MUSSY, au Cheanay Mlle GERBER au Cap-Ferr»t. ̃

Mme Jean HUTINEL, â Gretz-Artaalnvilllejs

M. le chanoine Victor HARDY, à Trouville Mme la comtesse F. D'HUMIERES, au château d'Archer Mme la vicomtesse D'HUMIERES, au chiteau du Pprtioulain Mme Adrien D'HALLOY, à Yzeure.

Mme KRAG,; à Copenhague M. le comte KOSTH DE LOUVENCOURT, à Cannes M. le comte DE K.ERSAINT, â .Valescure-Saint-RaphaSl. M. G. LAGOMBE, à Bayonne Mme LEFEBVRE SABATIER, à Béziers M. André LE ROUX à Rueil-Malmalson M. Edouard LEGENNE, a La Bistade M. le capitaine DE LA BRUNIERE, à Saumur Mme la baronne DE LASSAT DE MEYNARD, à Lunéville Mme la vicomtesse DU LAZ, à Nantes M. Albert LORIN, k Reinw M. Louis LUCAS, à Ismailia M. le colonel' DE LABRETOIGNE DU MAZU, à Metz Mme M. LËINEKUGEL LE COQ, à La Fère {-'M. LECLERCQ, à Boulôgne-s.-Mer M. LEONCE, à Eupen Mme A. DE LA FAVERIE DUCHE, au château de Viltours M.Fé-' lfx LU GAGNE, au château de Treveday Mme LEMONNIER, à Orléans. M. le comte DE MALMUSSE, à Orléans; Mme M AURA TOLOSANA, à Saint-Sébastien- M. F. M0NT.\NDON, à Epinay-sur-Sdne M* Georges MALAVAL, à Pezenas.

Mme Léon NOËL, à Varsovie Mme la comtesse NODLER. au château de Bel-Accueil M. Marcel NICOLAS, à Troyes.

Mme Paul ODELIN, à Montrion Mme Robert O'NEILL, à Brest Mlle M. T. OSMONT D'AMILLY. à Auxewe.

M. SAVON PEIRRON. à Marseille Mme la duchesse DE PLAISANCE, à Beaupreau M. Bernard PATRIGOT, à Saint-Just-sur-Lolte Mme la comtesse DE PINS, à Versailles M. Georges DE PIMODAN, à La Chesnoye M. Paul PATAU, à Narbonne M. le lieutenant DE PRAINGY, à Limoges.

Mme la vicomtesse DE ROUAULT, â BiamU Mme Paul ROUVIERE, à Marseille Mme R. DE ROSEMONT, à Fontainebleau; M. le comte Louis DE ROHAN CHABOT, au château de Joïerând M. Henri REBOIS, à Nice M. le capitaine RIVET, à Bordeaux M. le comte DE ROCHEQU AIR1E, à Poitiers Mme la baronne André DE

RAVlG!41~à~ a Meudon.

M. lieutenant DE SAINT-GERMAIN, au château de Coublanc.

M. D. SZLADITS KAROLYS à Budapest Mme la baronne Hubert DE SANCY, au château de 1 Montjoux Mme F. DE SUYROT, à Poitiem.;l M. DE SECHELLES, à Saint-Quay-Portrieux M. le pasteur SAINT-ANDRE, à Tours Mme 1 Paul SARAZIN. à Cannes M. le capitaine SOURIAU. à Sâint-Lô.

Mme Paul THARREAU, à Nantes Mme la comtesse DE TOL'RVILLË DE BUZONNIERES. à Vichy Mme Henri DE TASSIGNY, à Lesigny Mme THIENOT, à Reims Mme TANQUEREL,

à Limoges,

4 MrS8"» Vicomtesse DE VENDEUVRE, à Alen- çon 51, le capitaine DE VALENCE DE MIXARDIERE, à Lyon- M. P. DE VEYRAC, à Vlerville 51. le comte DE VALICOURT, à Fontainebleau M. le commandant R. et vicomtesse DE VITROLLES. à Marrakech.

Mme WEYL 'à Bruxelles M. D'WELLES, A Fontenay-sous-Bois M. le lieutenant-colonel H. WALFARD, à Dijon.

M. BAILLON. ait Camp du Val-d'Ahon Mme Jean BAKOU, à Saint-Germain-en-Laye Mme DE BECQUINCOURT, à Amiens M. A. BOTREL, à Lamballe M. le commandant DES BROSSES, à Chalon-sur-Saône.

Mme CLAVEL, à Bordeaux Mme Mary COSTES, à Milan M le comte Hugues DE CORAL, à Lafitte-Vigordane M. CROMBEZ DE MONT-

MORT, à Tournai.

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Mme J. DE à Pau M. ie eoffltt

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BÛCXON-GtBÔÏ), Mme la vicomtesse BENOIT.

D'AZ\ :\Jm.: 1:, 1-t' vitaiiites~e vitamte~e Dg BE.U.¡

D'AZY. Mme la vicomtes? Jecin DE BEAU-

CHAMP, M. Emile BOURCIER, M. Edmond

BICART-SEE, M. et Mme E. BOQUIfcN, M. BOUNETOU, Mme Jean BAZIN, Mme R. DE BOBET Mlle Geneviève BLANC, Monseigneur A. BRESSOLLES, M. BUISSON, Mme Henry COLOMBEL, M.CHATAIGNIER, Mme la marquise F, DE CHERISEY, Mme B. CALENGE. II. le docteur CAYLA, Mme DE CHALONGE, M. téoa CARPENTIE'R, Mlle G. CAVALIERI, xMaitre Henri CAZ1ER, M Ffançoia ÇAIL, Mme André CARLHIAN, Mme LouiJ.J'Ii^ArZOTTE, Mme L. CHARTON, M. M. CÔlONNA DE (20VEIVUNA,- -mme.Ifint CAM#AïnA, "h le comte Ch. CHOPPY, Mme CHAISEMARTIN, MmeCHENEVIERE, Mme, CORTOT, Mme DE CLERCKi Maître P. CATAT^ Mme la comtesse Gilbert DE ÇHAVA&NAC, ;M. CHARPENTIER. Mme- CHARLETY, Mme CHASE-CASGRAIN, M. Pierre .DUPONT, Maître Marcel DUPONT, M. Alexandre DE. PREZ Mme Henri DAYDE, Mme la duchesse DE DURAS, M. le capitaine DESCOUR, M. Jean DANJOY, M. le docteur DARRE M. Char-i« Tricher delavau. m. DUNÔYER DE LALANDE M. jean-Gabnel DARAGNtb, M. DUFÙURMANTElLE, Mme Paul DUMAS, Mme Edgar DELAUNAY, M. George. DESCLERCS, M. DEFRESNE, Mme DEBRÎERES, Mme Emmanuel DERODE, M. et Mme Hubert DELESALLE, Mme EXPERT-BEZANÇON, M. Albert ËWALD, M. Henry FABRY Mme Louis FJJNCK BRENTANO, M. Robert DE FAY D'ATHIES, Mme Henriette M. DES FARGES, M. le commandant et Mme la vicomtesse FLEURIOT DE LANGLE, Mme FECHNER. M. René FABER, Mme la comtesse Pierre DE FRANCE DE TER.S^^t Mme Charles FOULD, Mme la générale GRUMBACH, M. le colonel GUILLAUME. Mme la baronne G. DE GEER, M. Jacques GALICHON Mlle GAIX-JUSSERAND, Mme la comtesse DE GOURNAY, M. Frédéric GIBERT, Maître GIARD, Mme j. HURTADO, Mme Eflgar HUMANN, M. Roger HARNOIS, Mme ta comtesse Joseph D'HEROUVILLE, M. René HAUSSMAXN, M. Félix HOUSSIN, M. HUBERSON, Mme A. IERZYKOWIEZ, Mme Etienne ISABELLE, M. Pierre JOLY, Mme la comtesse DE JOUSSELIN, Mme la comtesse Albert DE JONQUIERE Mme Jane-Aimée FAVRE, Mme Albert KAUFFMANN, Mme DE LA BROSSE, M. Roger LABAT, Mme DE LUZARCHE D'AZAY, Mme la comtesse P. DE LASTEYRIE DU SAILLANT M. H. LABBE DE LA MAUWNftERE, Mme LESAFFRE, M. LAMBERT, M Alfred LACROIX. Mme LlMAUX, M. Paul LAVAGNE D'ORTIGUE, M. Pierre LEPAULLE, Mme -René LAMBERT, Mme RODRIGUE DÉ tANEUVAIS, Mme Georges LE CERF Mme la comtesse DE LASTEYRIE, M. et Mme Jacques DE LOISY, M. LOUVET, Maltre LE BOUCQ, M. Roger LABROQUERËS, Mme Jean DE LAIRE, M? Maurice LOSSON, M. Jacques. MUNIE, M. A. MARSAULT, Mme MAGNES, Mme Françoise MAURY, M. Louis DE MONTETY, Mme Henri MARION, Mme MICHEL-MAYER, Mme Annette MARTIN. M. Camllle MAUCLAIR, Mme MELET-LANVIN, Mme André MEYER, Mme Henry F. MONTAGNIER, Mme A. DE MONTAGNAC, Mme Paul MAYER, Mme la comtesse DE MAUPAS, Mme Hubert MORAND, M. PAGES MARAVAL. Mme Edmond MOUSBIE, Mme Marcel MOUQUIN, M. le général NIESSEL, Mme la comtesse A. DE NION, Mme Etienne NENOUARD, Mme la baronne Jacques DE NERVO, Mme la comtesse Guillaume D'ORNANO Pierre PLAIGNAUD.Mme la comtesse DE POMPERY, Mme G. PELLET-BOREL, M, Paul DE CAYEUX DE SENARPOX, M, E,PETRÉLLI M. le comte Jean DE- PORET, M. l'amiral D. PAPALEXOPOULOS, Mme Henry DE POSSESSE, Mme A.-J. PAM, Mme la marquise DE PONTEVES, M. Jacques PERREAUSAUSSIXE, M. Henri PAGEZY, Mme Jean RIIEIMS, Mme Marc REYNIËRS, Mme i la.comtesse RETAILLÎAC, M. te .vlçpmte .DE JlateMES, Mme Victor REARD, M. Emile REIÇHENBACH, M. Maurice REMON, Mlle Vataitlne

RICHARD, Màitré; BES RIEUX, Mme SEN-

CERT, M. le-®*» REGARD, Mme SABAR-

DAN, M. le coS^piTDE SUZANNET, M. le professeur E. SERVENT, M. le professeur Etienne SORREL, Mme Fernand SAGLIO, Mine DE SABOULIN, Mme DE SAIXT-CHERON, M. le dot- teur Jean TISNE. Mm? James DE TRAZ, "M. Pierre TAITTINGER. M. Jules TEISSERENCr M. Georges UBALD-BOCQUET, Mme Alfred VIGNON, Mme Gabrielle VIONXOIS, Mme la comtesse R. DE V'OGUE, Mme Etienne VERNTER, Mme Daniel VIRAUT, M. DE VIEUXCHAMl'S, Mme Edouard WEYGAND.

M. BARADUC-MULLER.

Mlle Ida APFLER, M. Georges APPÎA, Mme Juliette ALLARD, M. José ARIES, Mme Paul ALrLARD, Mme Léon BARDET, Maître Louis BERTRAND. Mme la vicomtesse E. DE BRESSON, Mme BENTLEY MOTT, M. J. L. BORDELONGUE M. Jacques BAIGNIERES, M. !i« colonel, BIZA'rD. Mme COLOLIAN. Mme René DE CERJAT, Mme Jean CAMUS, Mme Valentin DE COURCEL, Mme 1a comtesse DU COR DE DAMREMOXT, Mlle M. C. DUBUIT, Mme DECORIO-5AINT-CLAIR, Mme DEVELLE, Mnw Jean DUBOIS, :Mme Robert ÇELAMAÇRE, 31. Tacques DOMAXGE, Mme Cb, DUPUCH TjE: FELETZ, Mme Roger -DOMAXGE. M. Clasite. F\RRERE. >T. docteur J. FAURE. M. Jetrt-rlouis FAPRK M. J. FERRARt DA GRAD0.

Mm. GRAXDCLEMEXT, M. GOUILLY-

FROSSARD, M. le docteur A. GUYONNEAU. Mme DE GUERRE, M. André GARROS, M. le lieutenant GELOT. Mme Robert GOUIN, Mme Etienne GAUTIER, Mme la comtesse Gabriel HERBIN, Mme C. HELLSTERN, M. Adrien HËBRARD, M. Albert HUGUET. Mme la baronne G D'HALLOY D'HOCQUINCOURT M. HUMBLOT, Mme A. M. IMBAK TEN BRUCK, M. Max JOBIT, M. Pierre JACHIET, M. VAN KEMPEN, Mme André LAZARD, M. Gaston LEBARQUE M. P. LISSAC, Mme G. LUCAS, Mme la comtesse Germaine DE LAMETH Mme DE LA COUR, M. Yves LEDOUX-LEBARD, Mlle Germaine DE L1GNAC, Mme A. LE BOURHIS, Mme la comtesse Roger DE MONTEBELLO, Mme MAUGER, M. Henri MATHIEU, Mme Victor MUSNIER, Maître MORRIS, M. le comte DE MAREUIL Mlle DE NORDLING, Mme DE NABIAS M. le capitaine D'ORIGNY, M. ORFILA, .PELLE, M. Albert PANNIER, Mme Robert PIGALLE, Mme la baronne DE PERRE.GAUX. Mme Marcel PILLON, M. le comte J. DE PRUNELE, Mlle DE PLOEUC, M. O. M. POL M. P. RENOUARD, M. Tony REYMONb. M. Jean RIVET DE SABATIER' M. N. RACZ, Mme ROGUES-BELLON, M. J. RATTIER. Maître RAVETON, Mme Gulllaume ROBLOT, Mme Ed. RUMEAU Mme DE RESTREFO-MfejIA, Mme Jean RAYNAL, M. W. ROSSEL DE KAVALINSKI, Mme A. DE SIQUEIRA FEISLY. Mme SCHREIBER CREM1EUX, M. Jean SUBERV1LLE, Maître André SALATS. Mile SIEFRIED, M. Jean SALVAIRE, M. Alfred STAGNI, Mme Louis STL1NER, Mme Albert SCHMITZ, Mme Volande J. STERN, Mme G TROTRY M. F. TREDICINI DE SAINTSEVERIN, Mme Louise THIEBL1N, Mlle VERTRAETE, M. et Mme VANNI MARCOUX M. le baron DE VASSART, M. R. DE VAUCORBBÏUM. le docteur PASTEUR VALLERY-RADOT, Mme WOIMANT DE LAZAACK, Mme

Laurent YEATMAN. Mme Alfred CORTOT.

Mme la baronne D'ANGE D'ASTR|Mt™ Jacques ARMAGNAC, Mme Henri D'AILLIERtS, M. Jacques AUMONIER, M. le docteur AMEÛILLË, Mme V. ALIBERT Mme APERT, Mme BERTIN. Mme André BICART-SEE, M. le docteur BRAULT, Mme BORE-VbRRIER, Mlle la baronne Paule DE BENOIST, M. Jean BRETON M" BOYER-CHAMMARD, Mme BERNARD, Mme Marcel BOUTET, M. le comte Max DE BEAUREGARD, Mme la générale 0. BURCKHARDT, Mme Jean BERGEREAU, Mme Georges BONNEFOY-SÎBOUR, Mme H. BOU. CHAYER, Mme Victor BAGUES, M, Georges BERR, Mme BRUZAUD-GRILLE, Mme S. Roger BARTHELEMY, M. L. BERNAÏEAU DE GIRODON, M. Henri BOQUIEN, M. Raoul BRUWNE, Mme Ch. BAVELIER, Mme BOUVRA1N, M. Albert BUISSON, M. le baron DE CREVO1SIER D'HURBACHE, M. Marcel CHAMPW, Mme Albert CALDAIROU, M Yves COMAR, M. P. CAUCURTE, M. le vicomte A. DE CUREL, M. Philibert DE CLËRMONT, Mme veuve Paul CAZENEUVE M. André CRKMERY.Mme la comtesse L. DE CLERCQ. Mme P. CHAMPIN, M. CARTERON. Mme H. DE CHAMISSO, Mme COVELLE. M. Edouard COOK, M. le baron COCHE, Mme Nicjlas CANAVA, Mme la mamuisê DÉ CREQUI MONTFORT, Mme Jean COEFFIN, M. te docteur Louis CAPETTE, Mme CHARTON, M. P. DE COURTOIS, M. Jean DON, Mme Georges DURAND, M* DENIZOT. DEMOUSSEAUX, Mlle Suzanne DEMARQUEZ, Mme DAYRAfe, Miie Heine DIDIER, M. DUNANT Mme DETTELBACH, Mme Robert DORMEUIL, Mll« DU DOGNON, M. DELMAS, M.R. DUMA. TRAS Mme P. EONY, Mme DUPONT, M. R. GISCARD D'ESTAING, Mme Jean EBRARD, Mme la comtesse Charles D'ERCiA ILLE. Mme la comtesse DE FOSSA, M. René FLAMAN. Mme Pierre FOUSSE. Mme MABEL DE FOREST, M. le comte et Mme la comtesse DE IRk-MINET, M. Louis FOUGERY, Mme DE FESQUET, M. Paul FICHET, Mme Jean FREYSSINGE, Mme L. FLEURET, Mlle FE1NE, Mme Charles FABRE, M. Albert FLAGEUL, M. POL GAILLARD. M. Armand GRITTON, Mme Maurice GANNE, M. Serge GORGEU. Mme Pierre GOLBIE, Mme J. GUINUT, Mme P. GfILLIET, M. Pierre GAMICHOX. Mme André (iOLDLT, Mme la générale GOSSART, M. E. GANDOIN, Mme la comtesse Hector DE GALARD BtARN, M le comte et Mme la comtesse J. Vh GO<5DAW'V GODLEVVSKI, M. Louis GRATIEN, Mme René GEORG1, Mme Paul GARNOX. M. Emile HÈNRIOT Mme René HACHETTE, Mme Louis •DE HARGUES. M. Philippe HAUSSOULIER,- M. Jacques HATT, M, Albert S. HfcNRAU3C, Mme Jean IMBERT, M. JOURDAIN, M. JOLY, Mme JAVAL, Mme François JAUGEAS, M. t. JANDEAU, M. le comte Gaston DE V\ GUIBOURGERE, M. le comte Bertrand DE LA BOUILLERIE, Mme LAMARCHE, M. Albert LEROY, M. le baron DE LA RUE, M. Paul LECARON, M. le médecin général LA HAUSSQIS. Mme la comtesse R. DU LAZ, Mme la baronne L.\Z/AR0NI, M. LENOBLE Mme LEGRAND, Mme la baronne LE LASSEUR, Mme Jacques LE BAS, M. LEM0INF-, Mme Guy DE LA TOUCHE, M. le professeur F. LE•GUEU. Mtn« marquise DE LA TOl'R DU

'PIN.- Mme la baronne Jean DE LËSTKANGt,

>1. Armaad 3tEGGLE Jean Pierte :!L4UCH.1GF~

M \rmand MEGGLE, Mme Pierre MAUCHAUF-

FÊÊ W le baron L. feE MAISTRE, Mme Chris- tian 'MARECHAL, Mme Félix MARCHAND,

'̃Urne- Joseph-Henry MARCHAND, Mmi> Daniel MARIN/Mme I. MARQUISAN DE BERCHOUX, Mme DE MONTFORT, M. le comta H. DE MONTLAUR, Mme Pierre MASSE, Mme Hubert MICHEL, M. Alexis MOLIXIE, Mme DE MIJOLLA, Mme la princesse Pierre MURAI, M. G. MARCILLE Mme Julien MAYER, Mme MICHAU, Mme H. B. DE MARSANGY, M. Maurice MIGAULT, Mme C. MAIRESSE Mme MOUGIN, M. le docteur MERVILLE, Mme Henri MAYER. M. le docteur J. NISSIM, M. D'OCAGNE, Mme la comtesse PASTRE, M. le comte F. DE PEYRONNET, M. Edouard POURTALE, Mme Jules FORGES, M. le colonel PICHAT, M. J. POTIER, Ch. Maurice PRUD'HOMME, Mme André PATRICOT, M. Georges PICHAT, Mme Charles POIRSON, M. Guy PAPONOT, Mme Albert PIGEORY, Mme REMONDON, Mo ROUGEOT. Mme Ernest DE ROYER, M. le baron P. DE ROUVILLE, Mme RAINDRE, M. Maurice R1BADEAU-DUMAS, M. Christian REXAUDIN, M. F. ROUJOU, Mme ROLLAND-D'ESTAPE, Mme SAVE, M. le comte DE SAYVE, Mme Léon SEGARD, M. le docteur et Mme Jean SCHNEIDER, Mme Georges SUGDURV, M. SAYET, Mme G. STIFTJiR, M. SAINT-GIRONS, M. THIELLAND. Mme Léon TEZENAS, Mme Emile TOURNADE, Mlle J. THIRY, Mme Marcel TAVERNIER, Mme Maurice VAGUER, Mlle Paule VOLLAND, Mme René VIELLARD, Mme la vicomtesse Louis DE VAUX, M. Louis VIDAL, M. Jos. VEJUX, Mme R. WAHL, Mme Pierre F. WEIL, Mme WIRIOT, Mme Henri WIENER, M. Pierre ZAMBAUX. M. Y. AZARIAN. M. le vicomte G. D'AVENEL, M Edouard ANTOINE, Mme Gabriel ALBISSON Mme D. AGACHE, Mme Louis BERNARD, M. Ch. DE BENGY PUYVALLEE, Mme Adrien ̃' BRUNEL, Mme la comtesse DE BARTILLAT, M. le baron Ch. BRO DE COMERES, Mlle BUFFET, M. BOTTIN DE LA BOULLAYE, M. René BRUN, M. le docteur Georges BAUDOUIN, Mme P.-A. BOYER, M. Pierre BELLANGER. M. BRUNEL, Mme Raymond BERR, M. BONARD, Mme la marquise DE CASTEJA, Mme la comtesse DE CHAMBRUN, Mme Veuve R. CADRO, Mme la comtesse Guy DE COSNAC M. le docteur Antonin CLERC. M. le commandant DE COURTOIS DE LÂNGLADE. Mme Paul CORBIN, Mme Jean A. CHARPENTIER, M. A. COMTE. Mme Napoléon DE CELIGNY, M. Maurice CHATENAY, Mme Pierre COLLET, M. Robert CHAIN, Mme Henri DE COURCEL, Mme Robert COUSIN, M. L. CARTERET. Mlle DE COURCY, M. le capitaine Henry DOAT, M. Marc DESACHE, Mme Guy DELAUNAY, Mme Paul DESCHANEL, Mme la comtesse DU-

R j~L ]D 1 0.

Jeudi 8 octobre

20 h., VARSOVIE Première audition du cycle «t Silhouetta dt compositeurs polonais » Alexan- dre Tannuan (.orchestre symphonique, direction du compatit tut et da M. Mteriejcuiskii. Œuvres pour piano exécutif) par le compositeur Deux Irasmettts symphoniques Paitorile. Scherto Cancertlna. Solo de piano.

20 h. 25, POSTE PARISIEN Théâtre « Une qucst.on se pose n, un acte radiophontqtu de A. Vcimtein, Rialls. Allihaut avec G. SiineUy et Renée Dandry.

22 h.. RADIO-PARIS Musique de chambre. OPERA

19 b. 55, TOUR EIFFEL L'Opéra-Comique « Werther, de MaWenet.

Vendredi 9 octobre

Bon sujet pour l'émission thçûtralc de l'ensemble des stations régionales. La radio est encore à l'âge des divertissements. Puisse-t-il durer longtemps encore Mais on souhaite que les divertissements de la Maison de Molière «c soient pas trop académiques. I* Ut par le microphone, l'académisme devient franchement grotesque. L'erreur bimensuelle, à Radio-Paris le meilleur concert de la semaine, sous la farine d'une confidence nocturne. P.-D. T. 20 h. 30, PARIS P. T. T. Emission fédérale Les diticrt;sscments de Molière Les Plaisirs de Vite enchantée, La princesse d'Eide, divertisse, ment en cinq actes avec Mmes Renaud, Duços, Delamam, Morian et Gabarre. MU. Berlin, Wcber, Dorival, Chainbre.uil, Valcourt. Le Gojj. Le,

Marchand. Marlintlli. L'Amour mçdtciii. avec Mmes

Ducoi, Dtlamare Mit. Croué, BruMt, Berlin,

Webcr Dorivo!, Le Go{j, Le Marchand, Dorival, LfktMmi, Bonifùs. Bchourin, La Pastorale comi- que, avec MM. Yalcourl et Lehmanu.

BERN, Mme A. DEÎ.ACROIX, M. Frank DEt- MAS, Mme Charles CLAUDE DUVAL, M. Georges D'ESPAGNAT, Mlle A. EURIEULT, M. Charles FLAMMARION, Mme Jacques FOUGEROLLES, M. FIRMINHAC, Mme L.-ft. FURST, Mme Marcel FRAENKEL, M. Paul FARGE, M. GOSSET, Mme Michel GERMAIN, Mlle Simone GUNDELACH, M. Léon GRENTE, M. L. DES GRAVIERS, M. Paul GENUYS, M. GR0SDEMOUGE, M. Maurice H. HAMËL, M. Albert IIUGUET, M. René-Paul HUET, Mme la colonelle HEPP, M. Raoul HACAULT, Mme Louis HERRNBERGER, M. LE GRIP, M. Jean LAINE, Mme Charles LE BORGNE, Mme Jac.ques LAURANS, M. G. LE ROY LADURIE, Mme Sam LEON, Mme Albert LEUBAjMme LANGLOIS. M. et Mme Robert DE LA MOTTLSAINT-PIERRE, M. A. DE LA BROSSE, M. Pierre LEBON, M. Raymond LEMA..JHAND, Mme Etienne LE BRET, Mme Camille LABBE, Mme la baronne F. DE LASSUS SAINT-GENIES, Mme Olivier DE LA GROUDIERE, M. Henri LONGUETEAU, Mme LEREDU. M. Eusèbe LEVASSEUR. Mme E. LAPEYRE, Mme la baronne J. DE MAISTRE, M. le colonel MICHAU, Mlle M. MARTIN, Mme MARCOTTE DE QUIVIERES, Mme Ernest MICHAUX, Mme MARSAUX, M. Eugène MOREL, M. Pierre C. MERIL>LON, Mme Jean MOUdLLEKARINE, M. PIERRI MAIGNIEN DE MERSUAY, XI. J. NANTAS, M. le marquis DE NATTES, Mme Louis NOUCUIER, Mlle DE NEUFLIZE, Mme Guy PLAUT, M. Gabriel PIERNE, M. le colonel PRACHE, Mme L. PORTEFIN, Mme Hubert PLUMET, Georges PANNIER, Mme PARDIAC, M. André ROBIN, M. Jacques ROUCHE, Mlle REMONO, M; H. RAMIN, Mme Pierre RAIN, Mme la baronne Georges ROULLEAUX DUGAGE, Mme la marquise DE ROCHECHOUART, M. André RADIUS, Mme la marquise DE ROQUEMAUREL, Mme RENAUDEAU D'ARC, M. Femand SAPIN, M. Maurice SEYDOUX. Mme Jacques SOYER, Mme Edmond TRUELLE. Mme TASTAV.1N, Mme Jacques UBALD-BOCQUET, M. René rVANIER, Mme Paul DE VIENNE, Mme -Maurice VIGNON, M. Pierre VERSILLE, M. Maurice DE WARU, M. Robert WADDINGTON,: Jf; Jacques WAtELIN, Mlle Léonie YAHNE. ̃ A LA RELIGIEUSE -DEUIL IMMEDIAT T t Bu«TroaeJ»et 32 Pl*o«dal»Maâ*l*iM PARIS

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22 h. 45, RADIO-PARIS Concert de riuti,-di- rection M. Rhenè-Baton, avec Mme Malnary-Mar- seiliac Toccata et Pastàral'e ̃(Patquiniï «• Syiù* phonic du Printemps en la majeur VSÏiiniti) C««- tate de la Béatitude (Bach) Concerto grosso n»i (Laiar) Scènes d! entants (Manpou) Sitite ijW- phonique Dunoggo >, La Métro, La MolVùée' rfftv Paris, Restaurant au Bois de Boidogiié. Lp fflqucf, bot Ile-de-France, Parade joraine (Jtertf.' OROMB8TRE

17 b., PARIS P. T< T. Orchestre de chambre de l'O. S. P., direction M. Cioez.

19 h. 10, LEIPZIG Grand'MeMe n°.:3 en fa mineur pour soli et chœurs et orchestre (Bruckner). 19 h. 30, LONDRES REGIONAL Concert. 2! h. 55, NATIONAL ANGLAIS MU6IQUE DE CHAMBM fT SOU

19 h. 40, BUDAPEST Musique de chambre. 20 h., BUDAPEST Musique ancienne eut des · instruments anciens. ̃ 21h., LONDRES REGIONAL Récital de ̃ musique de W. Byfd. 21 h. 20, COLOGNE Cycle de Lieder (Schu-

bert). ̃̃- ̃̃

21 h. 20. VIENNE Violoncelle et piano.

23 h., FRANCFORT Concert classique

20 h. 30, TOUR EIFFEL Musique de chambre. MUSIQUE LEGERE ET VARIETES

U h. RADIO-PARIS Musique symphçniquç. 14 h. TOUR EIFFEL (Poste colonial) Une Education manquée, opérette (Chabriw).'

19 b. 37, POSTE PARISIEN s .Reines anti-

ques.

20 h., RADIO-PARIS L'Elégie vénitienne, eau- série par M. Carol Bérard. avec. -Mlle Baudry airs d'opéras vénitiens.. ̃* 20 h. XO. BORDEAUX-LAFAY.ETT.Ea Concert: '20 h. 45, RADIO-PARIS Mme .FaVart, opéàty comique, sel. trois actes de. Duru. et .Chiyût. 'Muii-

que ti'Oifenbach.

̃ ttWMA ••

20 h. 25. NI CE-CORSE •- L'Opéra i::tà.Tr'j-'viata, df Verdi,: et Le- Spectre- tic la Rosé, baifct,

theatbè ̃̃-

20 h. 55. POSTE PARISIEN te Théâtre Anloi ne Mademoiselle ma mère, avec Gaby Morïay,



production de la Sté Industrielle de Mécanique et Carrosserie /kutomobi/e Nanterre

̃̃̃̃-•' --JJJJfl-IffJf<lf/fM»/fff*f^*f*f'

EN*MARGE DU 30e SALON DE L'AUTOMOBILE

î/ûn prochain devrait voir paraître beaucoup de petites voitures, pour la plus grande diffusion de l'automobile par MAURICE GOUDARD, président de la S.I.A.

II n a plusieurs années déjà, la Société des Ingénieurs de l'Automobile, sous l'impulsion de M. Maurice Goudard, son président, s'est préoccupée de la création d'une petite voiture économique qui a été baptisée « voiture « S, l. A. ». Cette petite voiture économique doit, dans l'esprit de ses parrains, fournir à l'industrie de l'automobile l'occasion de trouver de nouveaux débouchés et donner en même temps à la multitude le goût de la voiture, l'amenant ainsi à l'automobile qu'elle ignore encore.

Nous avons demandé à M. Maurice Goudard ce qu'il pensait de l'avenir de la petite voiture.

Nous donnons aujourd'hui sa façon de voir,

*♦ ̃'̃'

J'ai fait personnellement un très gros effort pour la voiture S. I. A. J'ai même fait à la presse, à un déjeuner chez Langer, des déclarations très développées auxquelles je n'ai rien à retrancher ni ajouter.

` Le seul fait nouveau qui se soit révélé depuis est la sortie de la petite < Simca-Cinfl qui. sans résoudre entièrement le problème -de la voiture S. I. A., constitue vers sa solution un pas extrêmement intéressant.

La Société des Ingénieurs le l'Automobile n'a, elle-même, jamais eu l'intention de construire ni d'usiner une voiture définitive.

Son but. qui était, du reste, très ambitieux, était d'attirer l'attention de tous les chefs d'industrie, capitalistes, ingénieurs et public sur l'intérêt primordial qu'il y avait à travailler en dehors des seu{iers battus de la technique àutomo-

BYEï

VvN ENER

bile et à se lancer résolument dans des voies nouvelles.

Il s'agissait, en même temps, d'élargir le marché automobile cet élargissement étant impossible du côté des voitures plus puissantes, il restait le champ très vaste de la voiture extrêmement économique, faisant, avant tout, le transport personnel, et sacrifiant à l'économie un certain 'nombre de performances d'où le programme de la voiture S. I. A. qui doit tendre à donner satisfaction à une multitude de demandes qui s'ignorent même jusqu'à présent, mais qui seront d'autant plus intenses qu'on les mettra en face de modèles bten étudiés et résolvant le problème économie.

Pour fouetter l'intérêt des ingénieurs, la S. I. A. a établi un concours qui a eu un très gros succès puisque plus de cent solutions ont été apportées au programme proposé.

Leur réalisation est évidemment une question de temps, surtout dans les circonstances actuelles, qui manquent un peu du calme nécessaire à la gestation des «entreprises • nouvelles. Mais, sitôt celui-ci revenu, je ne doute pas que les usines se mettront au travail avec enthousiasme et que, l'an prochain, le marché automobile verra surgir des modèles inspirés par la S. I. A. pour le plus grand bien de la diffusion de l'automobile.

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LES BANQUETS

DELAHAYE REUNIT

SES COLLABORATEURS ET SES AMIS

I! n'y a pas eu de banquet, cette année, chez Delahaye, mais un lunch qui, à la sortie du Salon, hier soir à 2a heures, a réuni chez Laurent, aux Champs-Elysées, dans une ambiance cordiale et sympathique, les amis et collaborateurs de la marque, toujours nombreux,

Cette réunion Intime était présidée par M. Morane, président du conseil d'administration. et M. François Desraarais, viceprésident du conseil d'administration, assistés de MM. Peigney, Charles Weiffenbach et Varlet. administrateurs. On notait la présence de MM. Deiage et Watney, de la Société des Automobiles Delage.

II n'y eut qu'une causerie faite par M. Morane, au nom de la Soc'été des Automobiles Delahàye. Après avoir remercie les amis et collaborateurs de la marque doyenne, il dit toute sa satisfaction de la collaboration de la Société des Automobiles Delage et félicita MM. Delage et Watney du bel effort qu'ils ont fourni cette année. Parlant du Salon, il constata l'orientation favorable, mais tint à souligner que la politique fiscale du Kouvernement porte un préjudice énorme à t'essor de l'automobile, instrument de travail, et plus partieulièrement à l'industrie française qui, du deuxième rang, par suite d'un excès de fiscalité, est descendue au quatrième rang, dans la production mondiale.

A la Fédération Nationale du Commerce du Pneumatique La Fédération nationale du commerce du pneumatique a tenu son congrès annuel qui a été clôturé par un banquet auquel *ssistaient 150 convives.

A la table d'honneur avaient pris place MM. Barday, président Augier et Dumotier, vice-présidents Vaysse, trésorier Chavant, secrétaire les fabricants de pneumatiques étaient représentés par MM. Chevrot (Dunlop), Martin (Goodnch-Colombes), Saint Julien (Bergougnan), Roger (Vigor), Avel (Englebert), Chastaing (Continental), Sainclair (Firestone).

Au dessert, des discours furent prononcés par MM. Barday, Dumotier et Chadant, qui traitèrent de la situation faite à l'industrie du commerce du pneumatique

9SSB HHR wKÊÊÊ

« LE BAPTEME »

DE LA SIMCA-CINQ AMAGIC-CITY

Le baptême de la Simca-Cinq a eu

lieu hier soir à Magic-City où, autour de MM. Fighiera et Pigozzi, respectivement président du conseil d'administration et administrateur délégué, avaient pris place les agents de la marque. A 1 issue du dîner, M. Fighiera, le premier, prit la parole et remercia, les agents de leur précieuse collaboration, II rappela la naissance et lé succès de la Simca-Cinq que des performances brillantes ont imposée ces derniers mois à l'attention du monde automobiliste et du public victoire au concours dn bidon de 5 litres, 105 kilomètres dans l'heure à Monthléry, 50.000 kilomètres dans Paris à 43 de moyenne pour une consommation de 4 litres 500. ` Après lui, M. Pigozzi, très applaudi, se leva et, s'adressant aux agents, les assura de l'entière collaboration de la marque dont la production est spérieu- re de 50 sur celle de Tan 'dernier. Parlant de la Simca-Cinq, il dit sa confiance dans le succès de cette petite voiture dont bientôt plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires sillonneront nos routes.

M. Philippe, le dernier, parla au nom de la presse technique. Un programme d'attractions comprenant le French Cancan, le trio vocal Jean, Jac et Jo, les danseuses Marta et Marya, Jean Tranchant dans ses œuvres et la grande fantaisiste Marguerite Gilbert termina joyeusement cette soirée.

LE TEMPS PROBABLE

Evolution générale. La perturbatton de Méditerranée occidentale s'éloigne vers l'est. Une amélioration du temps, qui a débuté Hier, se généralisera, dans tout le Midi aujourd'hui, Par ailleurs, une zone d'instabllité faible traversera le reste de la France du nord ou Sttd-

A-COTES DES 19e « SIX JOURS » DE PARIS "M EN MASSANT LES COUREURS %l DES "SIX JOURS" J

que j'ai vraiment appris mon métier" 'dit MARCEL THEMAR, qui depuis 1921 ^est le soigneur attitré des « Six Daymen »

Marcel Thémar. celui qui. officiellement, remet sur pied les éclopés des Six Jours, est trop connu des habitués du Vélodrome d'Hiver pour qu'il soit nécessaire de lui consacrer une trop longue présentation. ̃ Avant guerre. Thémar était déjà fort connu dans les milieux cyclistes, il possédait une solide réputation de bon masseur-

Après guerre, Thémar consacra la plus grande partie de son activité à la clientèle civile; mais, tous les ans, il revient ait Vélodrome d'Hiver, à l'êpoque des Six Jours.

Pourquoi je continue à travailler dans la course des Six Jours; alors que je soigne, régulièrement, une importante clientèle civile ? 1

» Avant tout, parce que j'ai appris mon métier en m'occupant des coureurs de Six Jours car c'est au cours de ces épreuves qu'il est possible de noter toutes les réactions, toutes les possibilités d'un coureur de grand fond.

Le qualités d'un coureur de grand fond sont-elles très différentes des qualités indispensables d'autres specialistes ?

̃ Un bon coureur de Six Jours n'est pas, obligatoirement, un excellent courebr de grand fond; et il existe une différence appréciable entre une course telle que le Bol d'Or qui est une épreuve de grand fond et une course de Six Jours.

» Un spécialiste de grand fond est, par-dessus tout, un homme qui doit. savoir pooïinr. Un spécialiste de Six Jours l' est un homme qui doit être résistant et rapide, un homme qui doit posséder des réflexes très développés.

» Ces trois qualités importantes ne sont pas-suffisantes un bon coureur de Six Jours doit avoir le sommeil fa' cile et l'estomac solide; il doit ne pas blesser de la selle et posséder un moral excellent.

» Durant une course de grand fond, un coureur peut s'en tenir aux prévi.sions d'un tableau de marche soigneusement établi; un spécialiste de Six Jours doit étre capable de faire face à toutes les situations imprévues de la course. A votre avis, quel fut le meilleur spécialiste de Six Jours ?

Sans aucune discussion possible, Charles Deruyter qui, en 1922, aurait po gagner les Six Jours de Paris avec Van Kempen, s'il n'avait pas abandonné après avoir pris un tour, qui lui fut refusé pour relais incorrect.

» th. Deruyter, qui était un terrible cabochard, réunissait les meilleures qualités d'un coureur de Six Jours il avait un estomac d'autruche, s'endormait dix minutes après s'être allongé sur sa couchette, et se trouvait en selle, prêt au

AVIATION En écoutant parler

Mrs Beryi Markham Une lettre de Joan Batten Béryl Markham est jeune, fine, longue, un pâle visage de Botticelli, des cheveux clairs et blonds, une timidité extrême peu de voix et, disons-le, au- cune vocation pour la carrière de conférencière 1

Réjouissons-nous que tant de force d'âme, de cran et de persévérance s'abritent -dans une frêle enveloppe sans s'exprimer, le miracle reste intact, et nous pouvpns à notre aise imaginer ce que furent ces vingt et une heures de lutte dans l'orage et la nuit, la solitude et la double menace du ciel et de l'océan déchaînés.

Mrs Markham n'a rien révélé, elle a parlé durant neuf minutes avec une pudeur extrême de ses sentiments et de ses souvenirs, en s'excusant beaucoup, et finalement elle e'est tue; puisjé lui dire sans la peiner qu'elle est devenue soudain très belle, grave, immobile, et qu'elle incarnait à ce moment le beau poème qu'elle n'a pas su exprimer. Cette minute fut de qualité précieuse, et j'espère qu'elle n'en voudra pas à ce Paris qu'elle aime de lui avoir offert cet instant d'émotion silencieuse plutôt que des bravos stériles. Au dernier rang de l'assistance une autre jeune femme blonde, fine aussi, mais d'aspect plus solide, avec beaucoup de décision dans le regard, écou-

Mrs Markham (à gauche) et

Miss Joan Batten (à droite).

tait avec attention, avec une compré!tension fraternelle, le récit de Mrs Markham, la glorieuse Amy Moilison. Pour elle, comme pour René Lefèvre qui se trouvait là également, les mots timides prenaient leur sens profond, les décollages à l'aube avec l'avion à pleine charge d'essence, les longues étapes, les dures fatigues, les atterrissages difficiles, les « ennuis de moteur, combien de souvenirs précis se levaient dans leur esprit. Nous ne le saurons pas, car eux non plus ne parlèrent pas. Ce fut la fête du silence 1

Mais, voici qu'une voix, celle d'une absente, nous apporte xxm charmant salut. Joan Batten nous écrit, elle vole seule en ce moment à bord de son Percival vers sa lointaine patrie de NouvelleZélande, comme elle le fit déjà en 193* en 14 Jours et 23 heures.

« Je vous écris pour vous dire au revoir au moment où je pars pour la Nouvelle-Zélande. J'aurais tant voulu revenir 4 Paris et vous revoir, mais mon aéroplane est prêt seulement maintenant.

Enfin, je garde l'espoir de revenir, probablement au début de l'année prochaine, et je ferai alors un long séjour à Paris.

,Rappelez-moi au souvenir de vos

combat, quelques secondes après avoir été réveillé.

» Une véritable pile électrique.

» Insensible au découragement, il était solide et ne blessait pas. Dommage qu'il ait eu cette sale tête de cabochard 1 –r- Les Six Jours d'après guerre étalent-ils plus réussis que ceux d'autre-'fois ?

Les Six Jours furent, pendant longtemps, fort intéressants à suivre, pour de multiples raisons que la situation actelle a quelque peu modifiées..

» La valeur d'ensemble des engagés était supérieure. Les coureurs étrangers étaient plus nombreux, et la lutte entre les Américains que les spectateurs considéraient comme les meilleurs spécialistes et les Européens assurait un gros intérêt à la course.

t> Les Six Jours furent, tout d'abord, une attraction sportive, suivie, à peu près uniquement, par des sportifs, » Puis la vogue sportive a/ç l'épreuve diminua quelque peu lorsque son succès spectaculaire augmenta. Les sportifs ne furent pas les seuls à fréquenter le vé- lodrome. La course de;"n< nne attraetion à la mode, à laquelle il était de bon ton d'assfster, en faisant remarquer sa pre-

sence.

» Cette nouvelle coutume est, depuis que/que temps, solidement établie. Comment expliquez-vous que de. nombreux coureurs, habitués des Six Jours d'autrefois, fréquentent, réguliérement. les épreuves actuelles ? Une course de Six Jours qu'elle sait disputée à Paris, à Bruxelles ou à Berlin présente une ambiance spéciale.

» Tous ceux qui ont subi cette ambiance indéfinissable ne l'oublient jamais.

s> Pour les spectateurs, la pelouse d'un vélodrome est un endroit où l'on est certain de retrouver des amis. » Pour ceux qui sont privilégiés, journaliste?, soigneurs, anciens coureurs, le bord de la piste, le quartier des coureurs, les cuisines, partout où l'on peut rencontrer un habitué des vélodrome* possèdent une attirance spéciale.

» De vieux souvenirs sont évoqués, de nombreuses histoires racontées et des projets ébauchés.

Accoudé à une balustrade, Georges \Sérès qui participa à de nombreux Six Jours suivait avec intérêt la promenade matinale de Lacqùehay, Ledttcq, Georges Wambst et de leurs camarades.

De tous ceux qui, après avoir quitté le métier, reviendront, au vélodrome, à la recherche de vieux souvenirs, de joies anciennes.

G. Delplanqué.

(Voir en pag, 9 les résultats)

A PROPOS DUNE ENQUETE

M. Léon Sée apporte des témoignages et des arguments précieux

pour la défense dn sport amateur

Il y a deux ans. déjà, avec son « Mystère Carnera », M. Léon Sée avait révélé les dessous troublants de certaines rencontres de boxe.

« II remet ça x, comme dit le Titi parisien aujourd'hui.

A l'occasion d'une enquête que mène notre confrère Roland Lennad, dans le Jour, M. Léon Sée qui fut le manager de Carnera fait de nouvelles révélations.

Nous répéterons ce que nous disions il y a deux ans à la publication du Mystère Carnera. M. Léon Sée se montre aujourd'hui tel que nous ne pouvions l'imaginer. II accuse et cherche à compromettre ceux qui se sont prêtés à ses combinaisons et tente de jeter le discrédit sur la boxe.

Par bonheur, ce sport reste, parmi les sports professionnels, l'un de ceux où le truquage reste le plus difficile et où les « rencontres au chiqué » sont les plus rares.

Mais nous voulons relever dans les déclarations de l'ex-manager de Carnera trois choses. Celle-ci d'abord Et savez'vous ce qui se serait passé si le match n'avait pas été truqué ? je vais vous le dire Carnera n'aurait pas existé un instant, car c'était un véritable novice à l'époque. Il aurait été mis knock-out au premier round et le public qui avait payé 100 francs la place aurait hurlé « Voleurs 1. Chiqué I. s> M. Léon Sée nous donne ici un argument précieux. « Carnera n'aurait pas existé », dit-il. Et c'est bien la vérité. On ne prend du jour au lendemain un homme même puissamment fort qu'on baptise champion à grand renfort de publicité. La boxe, comme tous les sports, demande un long apprentissage, un entraînement sévère, des débuts difficiles, pas toujours, hélas couronnés de succès.

En amenant Carnera sur le ring, on ne pensait pas au sport, mais au spectacle. Nous tombions dans la baraque de foire et nous abandonnions le ring de combat, voilà ce qu'il faut bien comprendre.

Puis cellé-ci encore

Tout ce qui peut contribuer à diminuer les dangers effroyables de la boxe de combat, à empêcher les adversaires de s'entretuer, de s'entr'abrutir devant un public avide d'émotions morbides et devant les membres d'une fédération complice on ignorante, est un devoir d'humanité. C'est un devoir à plus forte raison si, en agissant ainsi, on donne au public une satisfaction absolue, un maximum d'émotion.

'M. Léon Sée qui, pendant quarante ans, s'est occupé de boxe, parle en connaissance de cause. Il nous apporte ici un témoignage intéressant qui ne doit pas être perdu.

Les dangers ef froyables de la boxe de combat, dit-il, puis il parle de s'entretuer, de s'entr'abrutir devant un public avide d'émotions morbides.

infirmières pilotes et des cadets de l'air, et acceptez les affectueux souvenirs de votre

» Joan Batten, »

Cette charmante lettre, qui témoigne du souvenir que laisse notre Paris dans le cceur de ces errantes, comporte un post-scriptum qui nous a ravis « Ecrivez-moi poste restante à Sydney ou Auckland, ou bien «Joan Batten, » Nouvelle-Zélande », cela m'atteindrai» Et.nous pensions, en lisant ces lignes, qu'entre Auckland et Sydney n y a 2.500 kilomètres d'une mer «élêbre pour ses récif» «t sea requins.

L. de "Vendeuvre.

FOOTBALL

Le Racïng C.P. vainqi^iir de Chelsea à Londres v j Londres, 7 octobre (De notre corres-,pondant particulier). Le Racing Club de Paris a battu par 2 buts à 1. cet après- midi, à Stamford Bridge, l'équipe de Chelsea, l'une des meilleures formations britanniques de première division.

En première mi-temps, Mercier, par un « shoot de coin, donna l'avantage à l'équipe française, et lorsque te demi anglais Weaver eut égalisé, Vebap donna au Racing le point victorieux en seconde mi-temps.

Dix mille spectateurs acclamèrent nos joueurs dont certains leur sont familiers, tels que Hiden par exemple, qui joua un match mémorable sur ce même 'stade lorsqu'il représentait l'Autriche contre l'Angleterre, Kennedy de Manchester et f la haute silhouette de Diagne dont on n'a pas oublié les prouesse contre 1 Af-

senal.

Les avants de Chelsea prirent l'avantage et gagnèrent du terrain dès: le début, mais leurs attaques se brisèrent chaque fois contre les arrières Pupuis et Diagne.

La seule dangereuse tentative au cours de cette première mi-temps fut dirigée par l'inter-gâuche écossais Burgess, qui, de la ligne de penalty, expédia un shoot à toute volée qu'il dévia en plongeant. Sur une longue passe 4e Mathé, Kennedy eut l'occasion de marquer ce but très facile, puis Chelsea prit l'avantage sans succès, grâce à Hiden qui parait à chaque coup. Rapides et d'une énergie qui surprit et désorienta/ l'équipe anglaise, nos joueurs prirent nettement l'avantage en seconde mi-tempS-et remportèrent de jus. ` tesse une victoire qui met à l'honneur le football français en Angleterre, Gérard Boutelleafc

TENNIS

Une association Racing-Sporting Le comité du Raeing Gl»b de France vient de signer avec te comité du Sparting Club de Paris un accord qui intéresse particulièrement tes sociétaires de ces deux clubs qui

pratiquent le tennis..

Aux termes de cet accord, les -membres du R. Ç. F. et du S. C. P. auront le loisir, pour une somme 'annuelle de 1.100 franc», de jouer l'hiver sur les courts couverts du SporUng Club de Paris et l'été sur les courts de terre battue du Bv C. France, la Coiv-Càtelan.

Cet arrangement séduira, fort justement 4'allleurs, un grand nombre de joueurs et joueuses. Cependant, les slgnatnires '.de l'accord opt dû envisager de limiter le nombre des bénéficiaires. Les 200 premiers inscrits profiteront de l'excellente initiative pr;se par tes comités du R.. C. ̃ F. et ,4U S- '*• ?• ECHOS DES COURTS

.au Tournoi de Mérano, la finale du double mixte a été gagnée par Mlle JLdan*» son-J. Lesueur sur Mme Mathieu-MarUBrLj^ geay, par 6-4, 6-4.

En double messieurs, le victoire est revenue à Henkel-Métaxa devant Taroni-J. Lesueur, par 6-4, 6-4, 8-1.

Parfaitement d'accord.

Mais la boxe, en principe, ce n'est pal cela. Et c'est parce que les organisateurs et lès managers avides de gains énormes les premiers ont perdu la notion de la véritable box* que nous la considérons aujourd'hui;*ous cet angle.

La boxe est un «fibrt d'attaque, mais aussi dé défense. Il a la parade, l'esquive, que nos boxeurs d'aujourd'hui semblent ignorer. Et pourquoi ? Parce qu'on ne fait plus des boxeurs, mes de soit-disant champions qui ignorent tout de la boxe et « parent -les coups avec le bout de leur nez ». On assiste ainsi non pas à des combats, mais à de véritables « bagarres qui n'en rien de comparable avec la boxe véritable. 11 appartient en conséquence au pouvoir dirigeant de réglementer la boxe, de prendre en mains les intérêts des boxeurs, de ne les laisser pénétrer sur le ring public de combat que lorsqu'ils ont acquis une certaine .expérience et fd« réelles qualités. V

Il pourrait pour cela' créer plusieurs licences qui traitent de celle de novice à celle de champion.

Voici, enfin, la dernière citation | A la rigueur, on peut dire que le» boxeur$, amateur» (s'il en existe) font du sport. Mais 'un boxeur professionnel exerce un métier, exactement comme un acrobate de cirque ou un dompteur. Or. celui qui vit d'un métier ne pratique pas un sport, mais une profession. Voila mis à sa place véritable le sportif professionnel .1. ̃

De nos jours, le public ̃ ^t les dirigeants -aussi, hélas J -r- confondent sport et spectacle. Nous nous évertuons depuis des années ici à demander une nette séparation entre l'un jet l'autre. C'est aux pouvoirs publics .et aux fédérations qu'il appartient de régler cette question capitale. Aux premiers, en accordant au sport amateur, et à celui-la seulement, l'appui le plus large. de. l'Etat. Aux secondes, en créant la séparation indispensable entre le sport amateur et le sport professionnel. ̃

André Béîchel.'

̃̃ -GOi.F

L'activité sur les links Au Golf de Chantilly V

Voici l'ordre des départs du -Prix Cadmn qui aura lieu aujourd'hui jeuclf 8 octobre 12 h. 45 Mme î. Xegueu, ̃Mlle h. (jijggenbeini 12 h. 50 Mlle F. Toi Ion, Mme C. Aubitn 12 h. 55 Mme E. Helbronner, Mme A. Thibaud 13 heures Mlle Y. Kapferer, S. A. la princesse A; >fairat 13 h. S Mme Y. Le Quellec, Mme Lhomme s 13 h. 10 Mme J, A. Barton, Mise R, La. coste 13 h. 15 Mme C. Sebline, Mlle Fantauzzl 13 h. 20 Mlle L, Yagliano, Mme e G. Bechinanii 13 h. *5 Mme la baronne Prlsse, Mme A. M. Vagljano 13, h. 30 Mme R. Beehmann, Mme J. Flonand •, 13 h. 35 Mlle C. de Rothschild, Mlle E. Sargent 13 h. 40 Mme H. Van de Walle; Mme la baronne E. de Rothschild j 13 heures 45 Mlle M. l«vy Torva!, Mlle C. Georgeson.

13 h. 50 comtesse Lanskoy, Mlle R, Borel de Kinkelin 13 h. 55 Mlle- S. Vagliano, Mme M. Cahen 14 heures bille Pannier. Mme Tagnard 14 h. 6 Mlle G. Bechmann. Mme weinstein.

Au Golf de Saint-CIond

Tirage des éliminatoires de la Coupe <J'Autôtnne (dames) qui aura lieu aujourd'hui jeudi 8 octobre

ï h. 45 Mme H. Marquljan, Mme B.

1 b. 45. MiLe H. 'M.arqufA..IU. 14m. e, J\

Bagués 1 h. 56 Mm* H. L. Kingsland, Mlfe M. Ufsbvrê-VaeqnÉrlB 1 h. 55

mè. A. BoïnMr'!M-, éomtésaè de:ME>rlh0p.;

rm» A. Batnbèr-îfT, comtesse dt.MinllKm s

neota Mme R de Ricci, Mlle V. G*llày: j

b. 5 Mme A. Bruno, Mme P. Sattcne*

Abreu 2 h. 10 Mme P. DarrJgol.