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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1934-09-14

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 14 septembre 1934

Description : 1934/09/14 (Numéro 257).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k297814t

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Le Nœud du Drame

Au cours de ses propos sur

la dévaluation, M. Paùl Rey-

^^ÉpË naud affirma plusieurs fois

« Il n'y a aucun rapport entre

les effets des dévaluations d'après-guerre dues à un excès d'inflation monétaire et ceux des dévaluations d'après-crise dues à un excès de baisse des prix. »

Nous avouons modestement ne pas comprendre. Toutes les dévaluations que l'on connaît, avant ou après la crise, ont eu la même cause l'incapacité d'une nation ou d'un Etat de faire face à ses engagements, soit intérieurs, soit extérieurs, autrement qu'en altérant la valeur réelle du signe monétaire sous lequel étaient libellées ses dettes. La -dévaluation "du franc en 1928 consacra l'incapacité de la France de supporter la charge de ses emprunts dé guerre et de ses emprunts de réparations, après que l'Allemagne eût fait défaut. La dévaluation de la livre en 1931 fut déterminée par le gel des crédits anglais à l'Allemagne qui mit la place de Londres dans l'impossibilité de répondre à ses,propres engagements vis-à-vis de l'extérieur. Tout le monde sait que l'Amérique a dévalué' 1e dollar pour échapper à la catastrophe dont la menaçait l'endettement inouï de son économie privée. •̃•

D'après-guerre ou d'après-crise, les dévaluations ont toutes le même caractère celui d'une faillite, déguisée, mais effective. A supposer qu'une dévaluation fût motivée, en apparence, par des raisons de concurrence économique, elle serait encore une faillite à l'égard de tous les créanciers, travailleurs ou prêteurs, qui concourent à la production, sans parler de l'ensemble des autres créanciers.

Quant aux effets des dévaluations d'après-guerre et des dévaluations d'aprèscrise, ils ont été exactement les mêmes, jusqu'à preuve du contraire, sauf que les dévaluations d'après-crise n'ont accru ni le volume ni l'intensité des échanges comme l'avaient fait les dévaluations d'aprèsguerre, parce que le régime des échanges et l'appel des besoins sont entièrement différents aujourd'hui de ce qu'ils étaient au lendemain de la guerre.

Cela dit et sortant des formules de fantaisie plus ou moins étincelàntes, nous devons, en France, aborder avec beaucoup plus de franchise et de clarté qu'on l'a fait jusqu'à présent, la vraie difficulté du problème de la déflation. Cette difficulté réside en la question suivante comment empêchera-t-on la déflation,' autrement dit la chute des prix, équivalant à une hausse réelle de la monnaie, de ruiner les débiteurs, d'amenuiser les recettes de l'Etat et, par l'incertitude économique ou la restriction d'achats que cause tout mouvement de baisse, de réduire l'activité générale ? C'est bien là le nœud du drame économique et des contradictions politiques où nous vivons. C'est l'antagonisme de deux nécessités, la nécessité de la déflation, d'une part, et la nécessité, d'autre part, de sauver le travail national des conséquences de la dépression des prix, qui explique l'extraordinaire incohérence dela gestion de l'Etat français depuis trois ans. C'est le même antagonisme qui conduirait peu à peu le cabinet Doumergue à une impasse si on laissait les choses aller comme elles vont aujourd'hui.

En vérité, cet antagonisme n'existerait pas sur le plan d'une conception d'ensemble, réalisée systématiquement et rigoureusement par un Etat qui,gouvernerait pour une idée de bien commun, et non pour des marchandages particuliers. Nous essaierons de le montrer.

LUCIEN ROMIER.

L'incident de Split mis au point par le maréchal Balbo

ROME, 13 septembre. -,Des informations de Belgrade parues à l'étranger en date du 10 septembre avaient parlé de manifestations aritiitaliennes à Split.

A'ce sujet, le maréchal Balbo a adressé au Popolo d'Italia une mise au point où il est cf.t notamment

« Les choses se sont passées ainsi après avoir visité la ville avec le consul général et le sénateur Tacconi, je suis allé avec eux au cabinet de lecture italien. De nombreux Italiens s'y trouvaient qui ont chanté Giovinezza. Personne n'a prononcé de discours et j'ai seulement lancé un « Alala » pouf le Duce, auquel tous les Italiens ont

» En sortant, naturellement par la grande porte et non par la porte latérale, j'ai entendu deux jeunes gens crier « Doli Ita.lia » ce qui veut dire « A bas l'Italie », tandis que des Italiens répondaient « Vive l'Italie » Voilà toutes les manifestations auxquelles j'ai assisté. Les autorités italiennes locales sont montées à bord du yacht dont j'étais l'hôte et où elles sont restées jusqu'à' minuit. Il n'y a eu aucun déjeuner de la colonie, ni suspendu, ni. au programme, parce que, voyageant en forme privée, je ne l'aurais pas accepté. LE MARECHAL PÉTAIN EST RENTRE A PARIS Le maréchal Pétain, ministre de la guerre, au retour des grandes manœuvres du Valhadon, et après avoir visité les cantonnements des troupes qui ont participé aux opérations et inspecté la région fortifiée de l'Est, est rentré hier matin à Paris, accompagné du général Laure et du capitaine Bonhomme, de son cabinet.

L'ALLEMAGNE escompte

la désunion

des Français

Comment on décrit à Berlin notre situation intérieure

Que nos meneurs de luttes partisanes pèsent leurs responsabililés. Duns la 'grave partie internationale qui se joue, en' ce moment, à Genève, et qui aura ses <f<Heloppéments, demain, sur tout l'échiquier de l'Europe, la France aura la force de sa politique intérieure.

La propagande allemande le sait. Elle escompte la désunion des Fiançais, ('est 1 ainsi qu'hier, la Bocrsen Zeitung de Berlin publiait, sous une manchette énorme, la liste démesurément grossie des troubles survenus en France du 5 janvier au 21 juin. « II sera difficile à M. Barthou, écrit ce journal, de fournir à ses amis une liste pareille au sujet de l'Allemagne et de la situation dans la Sarre. Cette liste montre à l'opinion internationale ce que valent les déclarations de M. Barthou à la lumière de la situation politique intérieure de la France. »

Avis aux Français Tout ce qui les divise sera exploité comme un symptôme de faiblesse de la France, au dedans et au dehors c

M. BARTHOU SE RENDRA A ROME lE 15 OCTOBRE PROCHAIN ROME, le 13 septembre. On annonce que la visite de M. Barthou, ministre français des affaires étrangères, a été définitivement fixée au 15 octobre prochain; LES FRUITS DE L'ENQUETE DU « FIGARO»

Les Directeurs de théâtre se soucient davantage

du bien-être des spectateurs « S. 0. S. le théâtre est perdu », crie Antoine. « Théâtre pas mort », répond Lazareff. L'un et l'autre, dans leurs articles, font incidemment allusion à la présentation des spectacles et au confort des salles. Or,,ceci nous intéresse tout particulièrement, puisque ce 'fut l'objet de l'enquête ouverte par le Figaro.

Nous tomberions peut-être dans le pêche d'orgueil en prétendant que no^re enquête; a été pour quelque'chose dans les décisions des directeurs de théâtre, mais il faut bien reconnaitre qu'ils font en ce moment un grand effort et justement dans le sens que nous demandions pour ajouter au bien-être des spectateurs.

A peu près tous les directeurs que tious; rencontrons nous accueillent par ces mots Vos lecteurs seront contents.

Les vieux théâtres auxquels,personne n'avait touché depuis des années sont la proie des nettoyeurs; des peintres et des maçons. Il en est peu qui échappent à un lessivage général et beaucoup sont bouleversés de fond en comble.

Louis Jouvet change les fauteuils du théâtre de l'Athénée, devenu une merveille dorée à la mode italienne, et les vieux fauteuils du Théâtre-Français n'ont plus que quelques mois à exister. René Rocher fait un théâtre neuf de la salle du Vieux-Colombier, et le cirque Medrano même installe des. fauteuils en caoutchouc. La question des ouvreuses n'a pu être résolue partout, leur suppression coûtant souvent trop cher; mais elles vont disparaître dans plussieurs établissements, en particulier à la Nouvelle-Comédie, au Vieux-Colombier, au théâtre des Ambassadeurs, et ce n'est qu'un commencement. Partout les entr'actes seront réduits au minimum, partout on s'efforce de monter des spectacles plus copieux, plus attractifs, plus pleins. Autant qu'il est possible, on s'occupe de l'aération et de la ventilation des salles. Mlle Marie Bell projette même de distribuer aux spectateurs des. fleurs et des cigarettes. Un directeur de théâtre peut très bien être comparé à un maître de maison qui reçoit des personnes amies il doit tout mettre en œuvre pour, leur rendre agréables les heures qu'ils passent chez lui. Beaucoup d'entre eux l'ont compris.

C'est là un élément qui comptera dans la bataille qui va s'engager, et nous remercions nos lecteurs d'avoir, par leurs réponses, contribué à faire triompher les justes revendications de ceux qui sont fidèlement attachés au Théâtre.

•̃̃̃̃[̃ ̃ à. w.

SCflRflMOUCtfE A DISPARU

Scaramouche a disparu. du dictionnaire de l'Académie. Hier, cette décision fut prise. Pauvre âme errante qui perd ainsi son état civil au répertoire officiel des Lettres f

Tibério Fiorelli, dit Scaramouche, venu à Paris, eut i'honne.ur de faire rire Louis XIV dès le berceau et de servir de modèle à Molière. Sou rôle tenait du Capitan,de l'Arlequin et du Pierrot. « L'homme à la guitare voulut un jour être poète. lui aussi; il se renseigna sur ies règles de la prosodie, et aligna quelques mauvais vers, entre deux pirouettes. On lui fit remarquer que les rimes en étaient piteuses. « -II faut, lui dit-on, pour que deux mots riment entre' eux, qu'ils aient au moins quatre lettres semblables dans la dernière syllabe, comme rien, vaurien, galérien, etc. ». Scaramouche n'oublia point cet enseignement, et ayant reçu un coup de batte dont il pensa mourir, l'acteur italien improvisa son épitaphe rimée

Ci gît Scaramouche^

Tué par ane bûche.

Scaramouche mourut à quatre-vingt-un ans. Il a survécu depuis. Il survivra à sa radiation des cadres car la fantaisie ne s'encadre pas.

LA TRÊVE NÉGES5AIRE au redressement national s'dffirmera-t-elle

les 7 et 14 octobre ? NOTRE ENQUÊTE AUPRÈS DES PARTIS SUR LES ÉLECTIONS CANTONALES

A la veille des élections cantonales qui a uronl lieu les 7 et 14 octobre prochain, nous ouvrons une enquête auprès des différents partis pour connaître leurs positions respectives. On lira plus loin le manifeste, que nous avions annoncé hier, lancé par le parti radical-socialiste. Nous donnerons ultérieurement à ce sujet un commentaire du secrétariat général du parti. Aujourd'hui, nous publions les déclarations qui nous ont été faites à l'Alliance Démocratique sur les conditions du scrutin. La position doctrinale et les traditions nationales du Figaro sont assez connues pour que nous puissions, en toute objectivité et dans le dessein de fournir au public une image exacte des formations en présence, publier des avis dont l'actualité _aççr.o.ît l'intérêt.

A l'Alliance démocratique En l'absence du président, qui est, on le sait, M. P.-E. Flandin, dont on attend le retour d'Amérique, M. Terrasse, secrétaire général de l'Alliance démocratique, a bien voulu répondre aux différentes questions que nous lui avons posées. Dans quelle mesure l'Alliance démocratique et Te parti radical collaboreraientils, à la suite des déclarations de M. Ed. Herriot? `t

l.'éditorial de notre organe hebdomadaire, daté du 5 septembre, répond amplement sur ce point J'ajoute que sans prononcer d'exclusive contre personne, l'Alliance démocratique tend une main loyale à tous les partis républicains résolument nationaux et anticollectivistes. L'Alliance démocratique s'est toujours prononcée pour la concentration, c'est-à-dire la collaboration; avec les radicaux nationaux et anticollectivistes.

Pensez-vous que le Front commun réunisse assez d'éléments radicaux pour jouer, sur le plan électoral, une action redoutable ?

Nous espérons que l'attitude des socialistes qui se sont mis à la remorque des communistes ouvrira les yeux aux radicaux demeurés fidèles à la patrie et aux principes libéraux,' sur les- dangers dti Front

commun.

L'élat d'esprit des cantons n'est-il point fait de mécontentement"? Vie chère,

UNE GRAVE AFFAIRE A GENEVE LA POLOGNE DÉNONCE LES TRAITES garantissant les droits des minorités L'admission des Soviets dans la Ligue paraît imminente (De notre envoyé Spécial^ par téléphone.)

Genève, 13 septembre. La réponse du gouvernement de Moscou aux suggestions qui lui avaient été faites a été favorable. Une partie de la délégation soviétique est arrivée aujourd'hui à Genève. M. Litvinof lui-même était attendu ce soir. On pouvait voir, devant la gare centrale, de nombreux policiers et des voitures de hautes personnalités connues. Mais le commissaire du peuple aux affaires étrangères avait dû descendre en** cours de route, car, après plus d'une heure d'attente, tout le monde se sépara. Peut-être s'en fut-on chercher M. Litvinof dans les environs. Que de précautions prises

Il se confirme que la réponse du gouvernement de Moscou aux télégrammes d'invitation des puissances sera considérée comme une demande d'admission. La commission politique de l'Assemblée délibérera vraisemblablement sur les titres de l'U. R. S. S. Ainsi la procédure sera plus normale. On croit savoir que les délégations opposées à l'entrée des Soviets, satisfaites de la concession qu'on leur fait, éviteront de soulever un débat étendu, tout en exprimant librement leurs opinions. L'U. R. S. S. en faisant son entrée dans la Ligue serait, par là même, considérée, comme souscrivant à toutes les obligations du Pacte. Mais cela ne veut pas dire qu'elle les respecterait.

Comment M. Beck

mit l'Assemblée en présence du fait accompli

L'admission des Soviets n'est pas encore tout à fait réglée qu'une autre grosse affaire a été soulevée par la délégation polonaise. M. Beck, ministre des affaires etrangères de Pologne, prenant la parole ce matin à l'Assemblée, déclara qu',« en attendant la mise en vigueur d'un système général et uniforme de protection des minorités », son gouvernement se voyait dans l'obligation « de se refuser, à partir de ce jour, à toute collaboration avec les organes internationaux en ce qui concerne le contrôle de l'application par la Pologne du système de protection des minorités ». On peut discuter pour savoir s'il s'agit d'une suspension ou d'une dénonciation unilatérale du traité conclu, le 28 juin 1919, entre la France, l'Angleterre. l'Italie, le Japon; les Etats-Unis et la Pologne et du traité relatif à la Haute-Silésie signé entre la Pologne et l'Allemagne le 15 mai 1922. Mais on devine l'émotion que l'attitude du gouvernement de Varsovie a provoquée dans les milieux de îa S. D. N.

La thèse de la Pologne n'est pas dépourvue d'une apparente logique. Pourquoi. dit-elle, quelques pays se sont-ils vu imposer, en 1919 et ultérieurement, l'obligation de respecter leurs minorités, tandis que d'autres n'y étaient point tenus ? A cela, on peut répondre qu'il s'agissait de pays nouveaux ou agrandis, dont on ne pouvait

scandales judiciaires, inquiétudes de tout ordre.

Le mécontentement est indéniable, en raison de l'inaction de la justice, de la crise agricole et de l'insuffisance d'énergie polir combattre la cherté de la vie. On attend une politique plus énergique et plus positive, tout en estimant que, dans les circonstances actuelles, le maintien de l'union autour du cabinet Doumergue, dont les intentions ne sont pas encore connues, est une nécessité.

» Nous serons, à l'Alliance démocratique, ajoute M. Terrasse, partisans d'une politique de déflation extrêmement nette, non seulement de la part de l'Etat, mais tendant à une baisse du prix de la vie par la réduction (le l'écart abusif qui existe entre les prix à la production et les prix à la consomnii Uon. Cet le politique est inséparable d'une politique de stabilité monétaire, qui maintiendra au franc sa valeur actuelle, et s'opposera à toute dévalua^tion.

» Mais relisez plutôt ces deux phrases du discours prononcé par M. P.-E. Flandin au déjeuner tle la Société France-Amérique à New-York

Nous nous accrocherons au franc, il faut le sauver, nous nous y accrocherons comnie nos soldats s'accrochèrent Ii Verdun, pour des raisons, non seulement techniques mais morales, sachant que les désordres économiques entu'.ndrent des désor, dres sociaux encore plus graves. Nous savons ce que la dévaluation a cuité aux classes moyennes et nous ne vouIons pas que ceux qui travaillent soient dépouillés au profit de combinaisons spéculaliues dans lesquelles nous ne trouvons aucun souci d'amélioration de la condition humaine.

» Voilà, conclut le secrétaire de l'Alliance démocratique, qui est, me semblet-il, nettement et magistralement exprimé Nous donnerons successivement l'opinion du parti Socialiste, de la Fédération républicaine, des Néo-socialistes et du parti Radical et Radical-socialiste. Gaëtan Sanvoisin.

LIRE EN4°P&GE;

Le manifeste du parti radicalsocialiste.

Connaître l'attitude. Il n'en reste pas moins qil'il fut injuste de lier ainsi la Pologne, tandis qu'on laissait entière liberté à l'AIlemagne, sauf en ce qui concerne la HauteSilésie.

La Pologne s'est toujours plainte du sort qui lui avait été fait. Tout récemment encore, elle avait manifesté son intention de demander la généralisation de la protection des minorités. Mais on ne s'attendait pas à ce qu'elle dénonçât pratiquement les traités qui la lient. Si elle a pu le faire, c'est qu'elle a conclu récemment, avec l'Allemagne, un pacte par lequel les deux pavs s'engagent à régler entre eux leurs différends. Elle vient également, semble-t-il, de s'entendre avec les Soviets au sujet du traitement des minorités. Ainsi a-t-elle cru pouvoir soustraire à l'examen du Conseil de la S. D. N. des problèmes dont celui-ci doit normalement être saisi. L'attitude de la Pologne

est très critiquée

Je le dis à regret, mais la Pologne gâte ainsi sa cause. Son attitude est très critiquée dans la plupart des délégations. Un pays ne peut ainsi se faire justice luimême et dénoncer unilatéralement des traités. L'affaire viendra devant l'assemblée et, peut-être, si la Pologne persiste dans son attitude, en appellera-t-on à la Cour permanente de justice internationale. Mais seules les puissances qui ont signé les traités de minorités seraient aptes à délier la Pologne de ses obligations. L'attitude de la France ne peut être douteuse. Nous ne pouvons accepter la généralisation du problème minoritaire. Nous ne pouvons consentir à ce que l'Allemagne vienne nous demander des comptes sur la façon dont nous traitons les Alsaciens ou les Lorrains. C'est sans doute ce que M. Barthou dira demain malin, après sir John Simon. Notre ministre des affaires étrangères et celui de la Grande-Bretagne n'ont pas cru pouvoir garder le silence après l'initiative polonaise.

Quant aux Etats de la Petite Entente qui sont également liés par des traités de minorités et défendent la thèse polonaise, ils sont' contraire à la façon dont le gouvernement de Varsovie vient d'agir. Les trois ministres des affaires étrangères de Roumanie, Yougoslavie et Tchécoslovaquie, MM. Titulesco, Jevtitch et Bénès. se sont occupés de cette affaire au cours d'une réunion qifils ont tenue cet après-midi. lisse sont également entretenus de l'indépendance de l'Autriche. Ils poursuivront leurs débats demain. De son côté le Conseil de l'entente balkanique siégera. Ces réunions sont extrêmement utiles. Elles permettent des échanges de vues fructueux entre Etats géographiquement solidairés. Les affaires ne manquent pas qui sont soumises en ce moment à leur examen, ̃•/̃•. James Donnadieu.

LES AFFREUSES circonstances

de la catastrophe du"Morro-Castle" Des actes de lâcheté

et d'inexplicable abecration New-York, 13 septembre. Le procureur fédéral a ordonné l'examen radiographique du corps du capitaine Willmot, commandant du Morro-Caslle, afin de déterminer si sa mort mystérieuse n'est pas due à un empoisonnement. Les médecins doutent que l'examen donne des résultats concluants car, à l'exception de quelques ossements, l'incendie a réduit le corps en cendres méconnaissables, mêlées aux cendres de la cabine.

Au cours de sa déposition, M. William Floyd Justin, le chef électricien, a déclaré que la discorde et le mécontentement régnaient parmi l'équipage, mal payé et recruté au hasard.

M. Alagna, l'assistant radiotélégraphiste arrêté mardi, reste détenu faute de pouvoir verser une caution qui a été portée de 1.000 à 3.000 dollars.

On sait que M. Rogers, chef télégraphiste, a révélé que le capitaine Willmot tenait Alagna pour' un esprit dangereux. Il semble cependant qu'il s'est conduit bravement au cours de la catastrophe, et qu'il a quitté le bord un des derniers.

Le capitaine d'un navire sauveteur a méconnu son devoir Les circonstances de l'épouvantable catastrophe du Morro-Caslle s'éclairent chaque jour et dévoilent de monstrueux détails.

Ce n'est plus maintenant certains membres de l'équipage qui sont accusés de lâcheté et de 'désertion voici que le capitaine d'un navire venu sur les lieux du si»iistre au signa) d'alarme, est à son tour, lui aussi, convaincu d'inhumanité par d'autres officiers. Ce capitaine, sous l'empire d'on ne sait quelle aberration, a pu voir des malheureuses passagères disparaître dans les flots sans donner immédiatement l'ordre de les secourir. '(VOIR LA SUITE EN TROISIÈME PAGE)

LES JOURS SE SUIVENT

"DONNEZ -NOUS AUJOURD'HUI.

Un médecin, le docteur Jean Séval, m'écrit dans les termes les plus pressants,' les plus aiinablés aussi', pour ine demander de nous associer il luï dans une campaqnc qu'il soutient contre le pain qu'on nous fait mander depuis la guerre. Il y a longtemps que je vois un peu partout des gens de goût, et l'Académie de médecine elle-même, condamner ces farines mélangées qui produisent un pain indigeste et terne. Or je vois aussi que' toutes ces protestations n'ont rien produit le pain est exactement le même aujourd'hui qu'hier, c'est-à-dire mauvais. Le docteur Séval écrit même qu'il nous empoisonne. Cela est le pire. Je n'ai pas l'espoir, après tant de protestations autorisées, que ces lignes puissent avoir plus d'effet que n'en a eu la voix de l'Académie. La France est le pays où il est le plus difficile de changer certaines habitudes, lesquelles ont f ini souvent par constituer des privilèges. Paris est la dernière ville d'Europe ou l'on mange un pain détestable. Partout ailleurs, même dans des pays pauvres en blé, on vous sert à table un pain blanc, léger, désirable. Pourquoi n'en est-il pas de même chez nous ? Il y a là un mystère que je ne suis pas assez savant pour éclaircir. Mais je ne conçois pas ce qu'y gagnent ceux qui l'entretiennent; car on ,mange d'aulant moins de pain qu'il est délestable ou nuisible. Souffrez-vous d'un coin de votre guenille, le docteur ajoute à son ordonnance. « Plus de pain » Parfois, vous n'avez pas attendu son conseil. Vous le grillez, votre pain, c'est-à-dire que vous en mangez moins; ou vous avez épuisé la variété des longuets, biscottes, zwiebacks, qui fleurissent en France depuis qu'on y pétrit des farines impures. C'est-à-dire que dès à présent beaucoup de gens se sont déshabitués, par hygiène, de manger- du pain. Il faudrait beaucoup les tenter pour leur en rendre le goût. Mais la matière aigre et lourde qu'on leur vend assidûment n'est pas de celle qui les fera changer de régime.

J'ajoute encore une fois que je sens profondément la vanité de. nui protestation et que je n'ai guère une âme de réformateur. Je vis par curiosité, ainsi ̃que' le bouffon romantique. Mais un peu par gourmandise aussi, et comme, tant de Français, j'aime le pain.

Gnermantes.

M. Flandin débarquera cette nuit au Havre

Le paquebot Ile-de-France a quitté NewYork le 8 septembre. Il arrivera au Havre au cours de la nuit prochaine.

Le paquebot de la Compagnie Générale Transatlantique ramène en France de nombreux passagers (te marque M. P.-E. Flandin, ministre des Travaux publics; M. Cbarléty, recteur de l'Université de Paris; M. Georges Contenot, président, du Conseil municipal de Paris; MM. Henry Bordeaux, de l'Académie française Francis de Croisset, le prince de Robech, le duc de Lévis-Mirepoix, le vicomte de Rohan, M. Gasnier du Parc, MM.' Georges Bonnefous, Pierre d'Andigné, Victor Bucaille, etc. qui, tous, firent partie de la délégation française au Canada.

LIRE EN 3' PAGE

LETTRE DE LONDRES

par HAROLD NICOLSON

CHRONIQUE

LA MAISON

DE TRIBSCHEN Par HENRY BIDOU

L'arrivée à Lucerne par le champ de courses est un des plus jolis paysages du monde. Des promenades ombreuses, le lac, des maisons fleuries accueillent le regard. Cependant, sur l'autre rive, on voit les eaux bordées d'une file de peupliers faciles à reconnaître, puis d'un bouquet d'arbres. On distingue dans la verdure un mur blanc. C'est la fameuse maison de Tribschen. que Wagner ha.bita six ans, de 1866 à 1872.

C'est un des lieux saints de la musique. Dès que Wagner l'eut quittée pour s'installer à Bayreuth, les pèlerins commencèrent à affluer, demandant aux nouveaux locataires à voir la chambre verte, où avaient été composés Les Maîtres Chanteurs. La servitude était pesante g d'autres fois la maison était inhabitée, et il fallait chercher les clefs en ville. Dans ces derniers temps, Tribschen est resté fermé trois ans. Enfin la ville de Lucerne l'a acheté et on y fondé un musée Wagner, inauguré l'aimée dernière. M. Guy de Pourtalès a prononcé à l'inauguration un joli discours.

Ainsi s'accroît la liste de ces maisons d'artistes, qu'on peut bien changer en musées, mais dont les murs sont encore des nids de rêves maison natale de Berlioz à la Côte-Saint-André, avec les manuscrits du Requiem et de La Damna. tion pension Périer à Aix-les-Bains, achetée par la ville et devenue un musée Lamartine, en souvenir du séjour du poète en 1816 maison natale du Titien, à Pieve-di-Cadore, devenue récemment un musée du peintre maison d'Erasme à Anderlecht et des dizaines d'autres, par le monde. Notre temps a le goût de ces sanctuaires dédiés à un seul génie. La ville de Vérone a acheté le palais Capu. let et l'a consacré à Shalcespeare. A Rome, la villa Sciarra, avec son parc où les paons font la roue sous les cèdres, est devenue en 1932 une maison Gœthe. Quand il vint se fixer à Tribschen, Wagner avait depuis longtemps des souvenirs à Luccrnc. C'est de l'hôtel du Cygne, le. 28, août 185Q, qu'il avait, la montre à la nutin, suivi en pensée la pre-

mière représentation de Lolwngrin or-

ganisée par Liszt à Weiiuar. C'est au Schwei/,er Hof, qu'il avait, neuf ans plus tard, le 28 mars 1859, mis le trait final au manuscrit, de lristan. On peut voir dans le nouveau musée, sous le numéro 171, l'original du contrat qu'il a signé é avec le propriétaire de Tribschen, le lieutenant-colonel Walter am Rhyn, pour Une location d'un an, au prix de trpis mille francs, ce qui était alors une somme assez considérable. C'est que Tribschen n'est nullement la maisonnette dont les musicographes wagnériehs ont coutume de nous parler. On y va de Lucerne en sortant de la ville derrière la gare on arrive en quelques minutes à une allée ou plutôt à un chemin .bordé d'arbres, et l'on se trouve devant une grande maison carrée, cossue et qui pourrait être la demeure d'un riche bourgeois. Un parc descend jusqu'au lac, qu'il borde sur un kilomètre de longueur. Quels sont; les plans d'aménagement ? On a le dessein de faire revivre le jardin musico-zoologiquc, créé par Wagner luimême, avec les puons Wolun et Fricka, les colombes du Graal, le cygne qui conduit Lohengriti, les rossignols, les pinsons et les merles qui interpellent. Sieg- fried. La reconstitution s'arrêtera là. Elle ne sera pas «•omplète, car le roi Louis II avait un jotir envoyé de ses écuries Grane lui-même, le cheval de Briinnhilde. Et avec Grane, il manquerait encore les béliers, les corbeaux, le crapaud de L'Or du Rliin et l'ours de Siegfried.

On devait penser aussi à reconstituer la maison telle qu'elle était il y a soixante-cinq ans. Elle est aujourd'hui défigurée. Après une première pièce, qui sertde bureau, on visite, à droite de l'entrée, un salon en longueur, où se trouve le fameux piano donné par Mme Erard en 1858, et qui a suivi le compositeur de Zurich à Venise, de Venise à Lucerne, puis à Paris, à Vienne, à Munich, à Tribschen et à Bayreuth. C'est un présent de Mme Siegfried Wagner. Sur ces touches sont nés, dans l'hésitation pathétique où les chefs-d'œuvre se forment, les accords des deux derniers actes de Tristan et toute la partition des Maîtres Chanteurs. On passe de là dans le grand salon qui fait la façade sur le jardin. Il est méconnaissable, mais nous en avons la description dans une lettre de Cosima au roi Louis II. Nous savons qu'on avait bouché les deux fenêtres du côté droit, aujourd'hui rouvertes. On avait obtenu ainsi une vaste surface, qu'on avait dé. corée de tableaux de Tannhaiiser et des Filles du Rhin, et des bustes du génie protecteur et du génie protégé, c'est-àdire du souverain et du musicien. En face, une cheminée qui existe encore, était surmontée du premier cadeau de Noël du roi, une pendule représentant les Maîtres Chanteurs. Tels étaient les côtés. Le panneau du fond, en pleine lumière, portait un autre cadeau du roi, le portrait de Wagner lui-même, avec le bric-à-brac des coupes d'honneur et des couronnes. Le piano était le long du quatrième côté, celui des fenêtres sur la façade. Au-des«


sus, les médaillons de Liszt et ne sou- rïpiis'"pas de'Biilow. Après le grand salon, on trouve en retour la galerie, où les Wagner se plaisaient, et qu'ils appelaient Stolzing, dit nom dq fief de Walter dans Les Maîtres Chanteurs enfin, une saille à. manger, où sont quelques pièces authentiques, une chaise en satin blanc et violet, dorée," somptueuse, affreuse et touchante –"là veste et le béret de Wagner. ̃

On pourrait évidemment reconstituer le détail de la maison, mais sans en tirer grande émotion. Les murailles ne sent déjà que trop chargées. Ce qui est poignant à Tribschen, c'est le souvenir. Et. ce souvenir ne renaît jamais mieux que de murs nus l'arrivée du musicien le lundi de Pâques 1866 l'arrivée de Cosima le 13 mai la naissance d'Eva et, le 6' juin 1869, celle de Siegfried le joui-Noë). 1870, qui était le trentc-troisièmei anniversaire de Cosima, .l'exécution "de' Siegfried-Idyll, dans le petit vestibule, au pied. de l'escalier brun.' Deux souvenirs résument le;charme. de ce lieu. C'est d'abord une lettré, écrite par Wagner à sa jeune femme, pu il décrit, un mardi matin, le, marché, les canots sur le lac et leur sillage d'argent. « Un tel matin, dit-il, n'est pas trop payé d'un pénible mois d'hiver. Et songeant à. ses, cinqùanté-q'iiatre ans, il ajoute' «Je comprends inairitenarit mon choix, et l'hiver au-devant duquel je vais. Comme j'aimerai ici l'hiver Les dernières "années d'une vie dure et douloureuse doivent y trouver leur but et leur couronne. Que personne ne nous trouble Que règne ici le saint repos » -̃•̃.̃» Le second souvenir qu'il est aisé de se figurer, est une scène racontée pBr Cosima, et qui a dû se renouveler bien soùJ vent. Elle promenait les enfants dans le, jardin des fenêtres du rez-de-chaussée descendaient des accords. C'était le Preislied qui s'ébauchait, le monologue de Sachs qui prenait forme, un monde de rêves, de pensées, de chants, dont les mille ébauches se mêlaient à l'air matinal. Après Les Maîtres, Siegfried fut achevé et Le Crépuscule esquissé. « J'ai ressenti, dit-elle, la naissance, de chaque mesure. »

Un jour arriva de Bâle un jeune professeur, Frédéric Nietzsche. On lui donna une chambre au second. « Ce que j'apprends. vois, écoute et comprends, écrivait-il, est indescriptible. » II en* fit La Naissance de la tragédie. Puis les voies se séparèrent. Nietzsche put se brouiller avec Wagner, mais non l'arracher de lui. Bien plus tard, après la mort du musicien, et lui-même sur le point de devenir fou, comme il passait à Lucerne, il se fit conduire à Tribschen désert, et s'assit côté du lac. Il semblait absorbé dans ses pensées. Sa sœur qui l'accompagnait s'approcha, et vit que son visage ruisselait de larmes.

Henry Bidou.

TEMPS PROBABLE Région parisienne. Beau temps peu nuaieux, mais JOTniçux; 'mâi&et. soir. Vent EstWî N.ord-Est faible, puis modéré, Température stït-

tionnairc. Maximum 27°.^ .Y.

En France. Moitié Nord Même temps que dans la région parisienne. Moitié Sud » Assez beau temps, nuageux avec belles éclaircies rares averses ou orages: Vent variable faible ou médéré. Température stationnaire en toutes régions.

Manche. Beau temps peu nuageux. Vent Est modéré.

Mer belle.

Roussillon, Côte d'Azur et Côte Basque. Beau temps, nuageux, sauf quelques orages épars. Vent du Secteur Est ou variable faible a modéré.

Mer belle- ou peu agitée. LA JOURNÉE

La Flamme du Souvenir

A 18 h. 30, à l'Arc de Triomphe U. N. C. section de Villers-Cbttcrêts. Amicale des A. C. et mobilisés de Méry-sur-Oise. Expositions

Au Grand Palais (coupole. d?Antin) Salon de là T. S. F.

Au. Musée céramique fie Sevrés La viej française racontée par la céramique ». (Clôture le 15 septembre.) U L*8 courses 1 A 14 heures Vincenhes. j

W_T t.

A NOS LECTEURS, i ET A NOS CORRESPONDANTS! Nous demandons à nos amis et à nos. correspondants de bien vouloir adresser toutes leurs lettres à M. le Directeur, du Figaro. ̃; "• JV<bM les en; remercions, car Ceci faciliterai notre travail- et- évitera- des erteurs.

FEUILLETON DU «FIGARO» DJCfc 1^?T^MB^E,I?34.; LE SPECTRE FOU

R 0;MA"~

CHAPITRE II

(Suite)

Ce château, Germaine cherche à l'apercevoir, devant elle. Mais Je terfa|;it t!i! Petit Pian .-s'ost, pas uni et dénudé .comme celui du 'Grand. Des ondulations- limitent in vue, en ava,nt>le sol dévient boise des-to'jjffes çle.'eJtenes,. des buis, de plus en plus sèrrési'À'c;gai\che, sur les flancs du Marges, la forêt caruinenee, avec de grands arbres, frênes 'ei chûnes, dont quelques fpidllrs déjà portent des tach-é£;jatittes, '.<}̃̃̃ :•:̃ ̃ Le soleil ;?av;dispafîr, "c'est le crépuscule. •;

Les mdùy.emenls' de." terrain s'accentuent/i'viriy" renctfiittre une grande vallée traft^vérsalèy. qui débouche en faille '.profonde,- dans les gorges; le chemin doit la longer, remontant àt gauctos,, pour. la franchir préside Itf .jmontagne;, ou, eUe est .ai oins profontié.-JBi.entôl, c'est- au coiitrpixe,uii éperon qui se détache du Marges, en falaise abrupte, et la route va redescendre vers ̃tbrrent,oÛ; la barre est plus basse.

r f'

,*0ii ne se ilirigf! y'ers e Koi;d^qiie

Ëës Cours Les Ambassades Le Monde La Ville

COURS

S. A. R. la Princesse Marina de Grèce, après avoir reçu, hier matin, journalistes, photographes et autres, s'est rendue chez sa modiste *et chez- sa couturière.. Après. le déjeuner, la fiancée du Prince George a dû aller se promener au Bois pour y être cinénfatogrèrphiée.'

Une nombreuse correspondance a occupé la fin de l'après-midi de la Princesse, qui s'est, terminée joyeusement par un coup de téléphone du Prince George de Balmoral Castle. Entre mille choses,' le Prince a dit à sa fiancée qu'il avait choisi pour elle un merveilleux saphir; sa pierre préférée.

La Princesse a dîné chez son amie, Mme Rajli, et a passé la soirée avec LL. AA. RR. le Prince et la Princesse Nicolas de Grèce. S: A. R. le Prince George d'Angleterre est,; arrivé hier à Balmoral Çàstle, auprès de LL. MM. le Roi et,la Reine d'Angleterre. Ayant terminé sa croisière à bord du Campana, S, A: R. le Comte de Paris, arrivé le ÏT septembre à Rome, chez sa sœur, S.A. R. la Princesse Christophore' de Grèce, a visité dans la matinée le Vi- Camp'Dux de l'Opéra Balilla.

M. Renaldo Ricci, sous-secrétaire d'Etat, lui en a fait lui-même les honneurs.

Le .Comte' de. Paris a visité le camp dans tous..ses détails et a félicité, en partant, M. Renàldo 'Ricci 'pour sa parfaite organisation. Le Prince lui a exprimé son admiration pour cette œuvre nationale dont les bienfaits s'étendent- à. toute la jeunesse italienne.

L'après-midi du même jour, le Comte de Paris a assisté dans la tribune diplomatique à la revue passée par le Duce 'des légions réunies au VI° Camp Dux.

S. A. R. le Pri'nce de Galles a manifesté son intention de prolonger son séjour sur la Côte d'Azur et de rester encore quelques jours à Cannes; après, le yacht Rosaura se dirigerait vers Monte-Carlo.

LL. AA. RR. le Prince et la Princesse de- Suède et la Princesse Ingrid ont quitté Stockholm pour effectuer un voyage en Orient. Le prince Bertil les rejoindra en Syrie. S. A. R. le Prince Cyrille de Bulgarie, en ce moment l'hôte de LL. MM. le Roi et la Reine de Yougoslavie en leur château de Bled,; a l'intention de faire prochainement une visite à Londres. -i Le Prince, frère unique du Roi Boris, et célibataire, est un excellent fusil. Plusieurs chasses sont organisées en son honneur.

•* ̃

DANS LES AMBASSADES Nous' sommes heureux d'apprendre que .notre éminent collaborateur M. Paul Morand, secrétaire d'ambassade de première classe hors cadre, est nommé conseiller d'ambassade et maintenu hors.cadre.

A l'occasion du Congrès international de philosophie qui vient de se tenir à Prague, S. Exe. le ministre de France a' donné un dîner suivi de réception, auquel étaient invités notamment le ministre de l'instruction publique et Mme Krcmar, le doyen de la Faculté des lettres de l'Université Charles IV et Mme Fischer, le professeur et Mme Kraus, M. et Mme Lalande, M: et -Mme Brunschvicg, M. et Mme Joseph Barthélemy, M Victor Basch, M. et Mme Parodi, M. et Mme Robin, Mme VokounDavid, MM. André Mazon, Davy, Chevalier; Skrach, Smefacek, Rougier, Fichelle, etc. S. Exc. le marquis d'Ormesson, ministre de France en Roumanie, est rentré hier à Bucarest, revenant de congé.

S. Exc. l'ambassadeur de France à Berne et la crmtesje Çla,u,zeJ..yiennent d/offrir ,plv- V. feWs'li&tffllrl'If Mîiuars ais^uels ont, assisté S. Exe. M.,de Stoutz, ministre plénipotentiairey>"WtëP;d<lï£ division des affaires étrangères à Berne; S. Exe. le ministre de Suisse à Paris et Mme Dunant, S. Exc. le ministre de Suisse à Vienne et Mme Jaeger, S. Exc. sir Howard William Kennard, ambassadeur d'Angleterre S. Exe. M. Mironesco, ancien président du conseil des ministres de Roumanie; le baron René de Dorlodot, sénateur de Belgique le colonel et la baronne de Pfyffer, la comtesse et Mlle de Diesbach, M. et Mme de Castella, M. R. de Castella, M. Stucki, chef de division au dépatrement politique fédéral; LL. EExe. M. Boeresco, ministre de Roumanie le baron Léon de Vaulx, le ministre d'Angleterre et lady Max Muller, le ministre de France à Bucarest et la marquise d'Ormesson, M. Crozier, ambassadeur de France; Mlle Crozier, S. Exc. M. de Noyélle, ministre, et Mme de Noyelle; le conseiller d'Etat, directeur des finances du canton de Fribourg, et Mme Chatton le directeur des archives de Berne et Mme Kern,'M. du Bois, chargé d'affaires de Belgique; Mrs Dodds et miss Bell, la baronne de Gheest, la baronne de Wikerslooth, Mme

Borges, le 'duo* ife"- Gï'.ànibnr,. comtÉsse'-ét' Mlle

d'é MràftéinjJMme?H.ïgnette, le comfe; de-Souza a;

Brâgâ, le' -colonel'. et 'Mme Mâthenet, M;, et ̃M-me^dt^cagnë, -'Mrs Ketphémyr M. Démètf©

Phèflfedè, MU^S; B'runnet, lieutenantrcolonel

âe,.Lq;VForest-Pivo'nne, .M. H'igriëtté,. M. de Vjàî,: pHeiîCàntet,' M.' Gilibert,' comte Ghislain

Q0tâA.ï, '̃̃ ̃ >i. ̃'̃̃;}'̃' ̃ ̃̃̃]

^?lT:i§:Èxc^Mx., Ëeg'ger-Moellwald, ministre1

d'Âlitfiçlie à-'Paris; revenant de so-n>cqng'é'ati-; nuel,-â^ repris 'là .-direction des services' de la

légation.1'- ""• •̃'̃ '• ̃̃' >•̃>

'JIf ~;ô"

DÀNiS- LEJAON0E

̃ ̃ I^é feàron-"de;Grandmaigonr sénateur de' Maine-et-Loire, avait, convié dans sqn; château féodal de. Montrèuil-Bellay les 'membres"; de'

̃ «̃̃««̃̃̃-f-7 1 77». ̃ ..v

lentéméitt,1 pâf 'de', multiples lacets de plus' eriiv plus courts^ îe plateau se ré'tréc|t. Il n'y.a^ plus mille, mètres entre la forêt, 'du Marges,' gauche, et, à; dj'oitt'^PAyr,: ou plutôt- les gorges qiii en séparent. •̃ Claudius -conduit- avec prudence, car ie:c|ieinin est étrçit, la place tout 1. juste' âe la-voittire- -i- et.v de chaque côté, menacent des -rochers, des arbres, parfois un précipice. Germaine, que la fatigue étourdit, se laisse dominer par ces visions chaotiques, 'subit passivement la succession des falaises et des vallons, n'entend même plus le grondement du torrent^ a droite, au fond* des gorges: Elle a' mis son manteau et le serre contre elle quand la route descend, dans >,les creux- ou il fait presque nuit.

EUe- s'e réveille brusquement derrièro un 'mamelon, elle a aperçu une toiture 'longue à quitlie pentes, cou- verte de vieilles tuiles brunes 'à1 chaque angle, une tour, à peine plus haute que le faîtage, et terminée par un toit conique. La voiture tourne deux fois et aboutit devant une terrasse immense tout au fond, s'élève le château, face au Sud ijnc

l'Académie des œnophiles et son président, le baron- Feuquier, à l'occasion de leur venue 'en Anjou, pour visiter les clos' et vignobles de la Loire.

-Assistaient à cette .réunion le -préfet de Maine-et-Loire, le'barnn Robert de Gràndrriaison, député de Saumur le bâtonnier Payen, M. Raoul Charbonnel, M. Jules Schaller, le marquis de. Saint-Pern, conseiller général; le comte de Crozé, président du syndicat vinicole M. de Luze, président du comité des vins du Saumurois M. Henry Coûtant et M. Curnonski.'

Le 'duc., et la duchesse de Gramont n'étaient pas Cannes la semaine dernière et sont actuellement au château de Vallière, dans l'Oise.

La.marquise de Bizien vient de donner, à Dinard, un thé des plus élégants. Parmi les Invités LL. AA. II. le GrandDuc et la Grande-Duchesse Cyrille de Russie, S. A. 1. la Princesse Burhaneddin, princesse Stirbey, Mme Laroche, marquise de Sigy, lieutenant-général sir George et lady Fowke, comte et comtesse de Cacqueray, générale Ville, comtesse de Chevriers, comtesse de Martimprey, baronne d'Astafort, vicomtesse d'Ibarrert d'Etchegoyen, M. et Mme Bazin de Jessey, M. et Mme Charrill de Ruillé, Mme Chaminade, M. et Mme de Ferron du Chesne, miss Dunfze, Mlle de. Bussy, MM. Holman-Black, Hardy-Thé, Gronkowski, etc,

NAISSANCES

r*- M. Pierre Girardin et madame, née Colette Chancel, sont heureux de faire part de la naisv sance de leur fils Olivier. Paris 28 août.

MARIAGES

.tt- Hier a été célébré, en l'église Saint-, Jacques, à Compiègne, en présence d'une brilr, lante et nombreuse assistance, le mariage de Mlle Jacqueline de Vienne avec le comte du Passage.

La bénédiction 'nuptiale a été donnée aux jeunes époux par Mgr de La Serre, proto'notaire apostolique, cousin du marié. =

Les témoins étaient, pour la mariée: le comte de Vienne, son oncle, remplaçant S. Exe. le comte Clauzel, ambassadeur de France, et le comte Gérard de Vienne, son frère pour le marié le vicomte Gaston du Passage et M. Pierre de La Serre, ses oncles.

La mariée portait une très jolie robe de tulle neige.

LA PRINCESSE MARINA SE PROMENE AU BOIS

(Profitant des quelques heures de liberté que lui laissent ses multiples occupations, la Princesse Marina s'en est allée hier nïàtin'îaire une longue promenade* au Bois. C'est près du Lac, qù,e notre instantané, la. fixe au 'moment 'ou; darts util geste charmant, .elle jette aux cygnes la gourmandise attendue; ̃

longue' in àsse unie de ^pierres', grises,

entre les tours. ,• < ]̃̃

:V '] ^CHAPITRÈ^II Sur le haut du perron, la porte fut ouverte, et deux personnes parurent. '• Leurs silhouettes étaient encore si petites, au haut des riiar,cbes, 'que Germaine prit conscLence de l'éloigriement du château, de la longueur de sa façade- elle ne. pas cru si grand, d'abord, s'îniiaginant qu'elle en était plus près,, à cause de l'immense terrasse nue qui n'offrait- aucun repère. ` Enfin, la voiture s'arrêta devant le perron de douze marches, et. Germa^ne leva la tête. Les deux, personnes descendaient à sa rencontre: M. d'Entrémont, sans doute, et une de ses filles.

Celle-ci, Germaine l'entrevit a peine, silhouette longue et mince qui venait un peu en arrière, effacée. Son regard s'était porté sur l'homme, le maître du châfeau, à qui l'on sentait familières et comme obéissantes les hautes marches de pierre. II descendait, rapide mais sans hâte, massif malgré sa maigreur, à cause des: épaules larges. Il. fallait quelques -secondes pour observer une chose singulière on ne voyait

̃pas ses jeux l'arcade bourcilière,

très proéminente, dessinait une ligne d'ombre qui, ainsi que dans certains masques primitifs, donnait l'illusion d'un regard. Tout le caractère du visage venait de ce front énorme, prolongé par un nez fort

-et-droit comme le casqiie; d'une ar-| mure •sarra.sihe, ils effaçaient les- autres .tçàît», et la"bat;biche grison.n,ante semblait postiche.

11 s'inclina assez bas devant la jeune fille, se -présentant

Comte d'Entremont.

j, Havait une vojx très grave, sonore et chaude. Germaine monta une marche pour lui tendre la riïaift, tandis 'qu'il se redressai^, et alors seulement ellé vit ses yeux. Elle resta saisie comme s'ils lui fussent apparus seuls 'dans une vision,, tant ils semblaient étrangers à l'homme. D'un bleu très clair, ils montraient une inquiétude, une angoisse pi-ul-ctrè, mais qui n'é- tait pas le reflet d'ùnt' réaction uio- jnentanéc on devinait que cette e. pression leur était habituelle, ne s'a- jpuisait jamais, -qu'il s'agissait d'une | particularité ph\siquc. Celait un violent démenti à tout le reste de, l'individu à la silhouette massive, au pas terme, au visage impassible; j les yeux d'un autre, placés flans ce corps, par quelque mystérieux sortilège. J

Germaine avait tendu la main, sans un mot. ̃ Je vous remercie d'être venue, reprit M. d'Ejilrcinonl.

Etait-ce sa façon habituelle de parler ? la gravité. du ton venait-elle seulement du registre très bas de la voix et de la lenteur de l'élocution ? 2 Germaine voulut le croire pour lutter contre une inquiétude qu'elle ju-

Le service d'honneur était assuré par Mlles Thérèse et, Claudine de La.^Serre, Thérèse du Passage, Marie-Antoinette Dervaux, Marguerite d'Orsetti et Christiane de Margerie, habillées de crêpe mat blanc avec grands bérets de- velours vieux rouge; à la main, des rosés du même ton.

Le cortège; à la sortie de l'église, était- ainsi composé ;-̃

Le comte du Passage et la comtesse du Passage, vicomte du Passage et comtesse Jacques, de Vienne, comte Jacques de Vienne et comtesse du Passage, comte Gérard de Vienne et vicomtesse Pierre de Lestrange? M. Pierre de La Serre et Mme René Miot, M. René Miot et comtesse de Borchgrave d'Altena, comte de Vienne et comtesse Clauzel. »

A l'issue de la cérémonie, un lunch a réuni chez la comtesse Jacques de Vienne les parents, et amis dès deux familles. ..̃

Parmi les invités et donateurs S. Exe. ,1e comte Clauzel, ambassadeur de Fra'nce, et la comtesse Clauzel marquis et marquise de L'Aigle, comtesse de Vienne, née' de Neckere;' comte et comtesse A. de Bertier de'Sauvigny, M. et Mme Fournier-Sarlovèze, comte et comtesse de Vienne, général et comtesse de Joybèrt, M. et'Mme R. de Fayd'Athies, baronne Merlin, baron et baronne de La Motte de Maissemy, Mme P. Dervaux, M. et Mme A. Desenfant, comte et comtesse de Borchgrave d'Altena, M. et Mme Dupleix, comte et comtesse de Bousies, baron et- baronne de L'Epine, baron Claude de Fresnoye, M. et Mme de La Charie, !M. Jean de La Serre, M. et Mme Rolin-Hymans, M. et Mme de Witasse-Thézy, comte et comtesse de Hauteclocque, comte et comtesse P. de Geoffre de Chabrignac,. comte et comtesse de Pelet, baron et baronne de Sainte-Marie, comte et comtesse J. Pillet-Will, comte et comtesse de Looz, général et Mme Détroyat, capitaine et Mme de' Prémare, M. et Mme Jean Stern, M. et Mme de Cahnecaude, M. et Mme de Witt-Crampton, baron et baronne du Passage, colonel Gillois, M. et Mme G. de Guillebon, comtesse de Bussy, comte et comtesse de Beauvoir, M. et Mme Jean Délcourt, comtesse de Saint-Sauveur, M. Louis Piérard, M. et Mme J. Fantauzzi, M. et Mme A. Fantauzzi, M. et' Mme G. Piérard, M. et Mme F. de Valroger, Mme Michel de Warenghien, comte et comtesse P. d'Alcantara 1 0 Marquise et marquise de Pissy, M. et Mme de Jenlis, comte et comtesse M. de Grammont, comte et comtesse de Rémond du Chelas, vicomte et vicomtesse de Reviers de Mauny, comte et comtesse de Louvencourt, comte'et comtesse P. de Meaux, M. et Mme P. Bignon, baron de Lastours, Mme Louis Nouguier, comte et comtesse P. de Segonzac, M. et Mme de La Motte Saint-Pierre, M. et Mme Dupas-

gea'it 'ridicule. Elle 'commença une

pliraxe'de' politesse.: ̃'

Mais c'est très, volontiers, Elle s'arrêta, sa Vô'i'x1 lui semblait t trop fluette; elle se sentait brusquement toute petite, dans le soir tombant, sur ces marches- démesurées, devant cettë?ïaçade immense, dans cet horizon, db forêts et de ravins, avec le silence lointain de la-niqntagne. _Elle. avait presque ;uri besoin de larmes, comme un enfant përjâu. Bonjour, mademoiselle. Elle' sursauta. Elle avait oublié la jeune fille grande et mince qui, venue plus lentement, lui tendait maintenant la main. Cette présence, féminine lui apportait soudain: une; immense/douceur elle n'était plus seule.

Germaine eut un geste d'élan versl'inconnue, avant même de l'avoir

rçgardé,e; CQÍ1ulle on jetté vers l'a-

regardée, connue on se jette vers l'a-

bri quand on peur.

Madomoiseîle. murmura-t-elle. Je m'appelle Marie-Thérèse. La voix était douce, sans timbre, .presque anonyme, celle, justement qu'il fallait .pour permettre à Germaine de se ressaisir, de' s'affermir en elle-même un instant de répit où elle reprenait pied contre le, poids des choses." Moi, Germaine" Entrez, Germaine.

Elle osa enfin regarder le château. Il était construit sur un bloc de -rocher, ce qui expliquait ̃ l'élévation anormale du perron. De chaque

Hamoir, Mlle de Chavagnac, Mlle de Bara'ndjaran-Albuquerque, baron ^t -baronne .Becquët de Mégille,, M. et Mme J. Le' Gentil, comte et comtesse de Beaugrenier, Mme de Berny, comte -et comtesse de B%rg de Breda, comte et comtesse de Bryas, comte et comtesse H. de Loisne, M. et Mme de Florival, vicomte et vicomtesse de Gourcuff, marquis et marquise de Bertoult, comte et comtesse de Rocquigny, M. et Mme R. de Fosseux, comte et comtesse d'Aimery, comte et comtesse du Plessis, marquis et marquise de Longvilliers, comte et comtesse de Rengervé, comtesse de Failly, baron' et baronne James-rJ. de Rothschild, M. et Mme d'Hautefeuille, générale de Serojix, comte et comtesse de Laur.ens de Saint-Martin, vicomte et vicomtesse de Rochecbouart, comte et comtesse dé Montlaur, vicomte et vicomtesse J. d'Anterroches, commandant et Mme de La Brosse, marquis et marquise de Partz, baron Mariani, M. et' Mme A; de Bayser, M. J. de Margerie, Mme A.' Singer, comte et comtesse de Branges de Bourcia, Mme d'Orval, M. et Mme G. Le Couteulx de-Caumont, M. et Mme du Bps, 'baronne Prisse, comte et. comtesse de Florian?Tréveneuc,; vicomte et vicomtesse de .Chézelles, Mme et' Mlle' de La Rocque, Mme A. de Vauge'as, comte et comtesse de Preux, comte et comtesse de Mony-Colche-n, baron et baronne Ph. Prisse, M. et Mme R. de Lëstapis, Mme d'Oosthove ;̃•̃̃

'Comte et comtesse de .Scnneville-Grave, baron de Graffenried de Villars, vicomte et vicomtesse de Bonnault d'Houët, capitaine de Lauzanne, colonel Suîterlin, Mme d'Hébrard de Saint-Sulpice, 'M. et Mme, de Roberval, vicomte'R. de 'Yinéneuve-Baçgemo-nt, comte et comtesse Stanislas d'Orsetti^ baron et baronne Le Febvre, M. et Mme G. de La Courtier comte et comtesse G.. Niel, baron et baronne de Belfort, baron et baronne R. de Soultrait, vicomte J. de France, M. et Mme Marcot, comte et comtesse Antortetti, 'comte 'et comtesse J. de Villèle, baronne d'Astafort,. vicomte de Bussy, M. et Mme Ch. Roth L;e- .Gentil,. M. -et Mme Ch. de Catheu, M. et Mme Mabille de Poncheville, M. et Mme de Fonlongue, comte Léopold d'Orsetti, M. et Mme Verrier, comte d'Al-! cantara de Querrieu, Mlle van. Merlen, comte, et comtesse de Kergorlay, M. et Mine Erhmann,: comte et comtesse de Boncourt, M. et Mme. Henri Portier, comte Guy de Ferrières-Sauve.bœuf, comte et comtesse E. de Pas, lieutenants G. de Mareuil et 0. de Carné-Marcein, comte et comtesse L. Thêllier de Poncheville, comte et comtesse de Pimodan, M. Blocaille, etc.'

DEUILS

Les obsèques de M. Jean Perinard. ancien député de Versailles, avocat au barreau de cette ville, ont été célébrées hier en présence d'une nombreuse assistance en l'église Saint-Elisabeth, à Versailles;

Les membres du barreau, ceux des tribunaux civils et de commerce, les membres des Chambres des avoués, des huissiers, et des notaires de Versailles et de l'arrondissement étaient présents. A la cérémonie on remar-:quàit en outre M. Henri-Haye, député de Versailles M. Beyloy, procureur général, etc. A 'l'issue de la cérémonie religieuse, un discours a été prononcé devant l'église par M' Lucien Manche, bâtonnier du barreau de Versailles. L'inhumation a eu lieu ensuite au cimetière Montmartre, à Paris.

On annonce la mort survenue' hier à Londres, à l'âge de soixante-cinq ans, de sir Ernest Wild, un des membres les plus distingués du barreau anglais et qui, depuis 1922, occupait les fonctions de magistrat an conseil judiciaire de'la ville de Londres.

Pendant plusieurs années, sir Ernest Wild représenta, comme député conservateur, la circonscrip^ifln de,S!£est,Hamj)à .& .Chambre des Communes. On. annonce la mort du lïeutënant-colonelBirice, officier de: la Légion d'honneur, décédé muni des Sacrements de l'Eglise, en son domicile, à Paimbœuf (Loire-Inférieure). Les obsèques, seront célébrées dans cette ville demain samedi 15 septembre, à quatorze heures.

Une messe de bout de l'an pour le repos de l'âme du comte Bertrand de Valon, sera célébrée le lundi 17 septembre, à dix heures, en l'église de Chaînant (Oise). Mme Léon Bernard, M, et Mme Lucien Vautier et leur fille, Mme Renée. Vauti«r-, Raoul-Duval et ses enfants, dans l'impossibilité de répondre aux témoignages de sympathie qu'ils ont reçus, à l'occasion du décès du professeur Léon Bernard, prient de trouver ici l'expression de leur reconnaissance émue. Intérim.

LA GRANDE SAISON D'ENGHIEN

Déjà l'approche' <le la rentrée se .fait' setttir;i peu à peu, Paris retrouve son activité érson élégance; la réouverture des courses de Long- j .champ -attire les habitués. Les autos sillon- tient les .routes,: là saison à Enghien bat serai plein.. ̃ ̃̃ Cette .sfàtion: remarquable- jour ses eai^x' est le ren'dez-ypus de.beaucoup.rd!artistes,-et- toutes les distractions y sont' réunies comme; à DeauyMle; avec. la différence 'que c'est à ifh> quart .d'hèure'de? Paris; Le triéâtre, les^ jeux; divers et- tout ce qu'on peiut- déèirer flôùr- se distraire, tout. en faisant ï une cur-e^ salutaire', autour des, salles «ide. -jeux,- l'on: rsgre.tte la roulette; Chacun tente sa chance.Aussi, les

côtév six hautes '• fenêtres 'étroites et extrêrhemérrt espacées on devinait qu'elles avaient' --él'é'. ouvertes! bien après rkçnèyément dès;, myrs, sur remplacement' des meurtrières celles du premier étage étaient semblables, cèMes du Second,' immédiatement sous la toiture, semblaient plusu.ramassécs. w Marie-Thérè.se,\ avait, passé son bras-sous celu±-;ïfl£; Germaine j elles montaient vers; la porte, dans un même ttàlanceiAént les -marches étant très hautes," leur asdension demandait un effort 'inaccoutumé, et Germaine était" heureuse do l'accomplir avec quelqu'un qui eh avait l'habitude elle rse sentait moins dépaysée, moins étrangère.

Elle leva la tête vw.s Marie-Thérèse et lui sourit, tandis qu'elles pénétraient dans un vestibule immense, les murs de pierre nue se rejoignaient on voûte. Mais dans le même instant, une' pensée la domina' était-ce la fiancée de Raoul? Alors elle la regarda mieux, à la clarté Au grand candélabre que venait d'allumer Clauditis. Marie-Thérèse ne ressemblait nullement son père, ou ne pouvait rien retrouver en elle de celle origine ni dans le corps, l'Iuivce.' un pou grêle ni auns le visage, mïnce et lo.ng, sans relief. ïJeul-ètrë7avee des traits plus accentués, aurait-elle été belle'; cette régularité l'aurait permis, qui pourtant ne dépassait pas la fadeur. Les veux :bl'ûn- clair n'avaient rien à révéler.

habitués se retrouvent avec joie dans cette atmosphère sympathique où les réunions sont très mondaines et de parfaite cordialité. Le bon ton, est la note .principale.

Les représentations" du théâtre du Casino sont très suivies et particulièrement celles de Mlle Raymonde Vécart.

Les dîners sur la terrasse du lac, qui est unique, sont très appréciés avec un orchestre remarquable.

E C H OS

La lignée.

Le jour anniversaire de la victoire de .la Marne, c'est-à-dire le 11 septembre, un décret nommait sous-lieutenant de cava.lerie, parmi trente-quatre autres, un élève ̃'officier.* qui avait satisfait aux examens de sortie de l'Ecole spéciale militaire » et qui devra « se présenter avant neuf heures, le 3 octobre 1934, au général com.mandant l'Ecole de Saumur ». Cet officier, qui recevait son premier galon en un anniversaire de'victoire, célébra en même temps, un glorieux souvenir de famille. C'est le .petit-fils du maréchal Foch.

Raffinement.

Dans ce restaurant élégant, deux char-* mantes femmes dînent ensemble. A la table la plus proche s'est placé le Célibataire qui guette les mélancoliques reflets des plaisirs d'autrui.

Il a vu sa voisine immédiate sortir de son sac et placer près d'elle une toute petite boite d'or qui a les dimensions d'un timbre-poste d'un modèle ordinaire. Le Célibataire est très intrigué. Que peut contenir cette boîte minuscule ? Est-ce un poudrier ? Si petit, cela n'est pas vraisem.blable.

C'est à la fin du repas, quand ces dames vérifient leur beauté, qu'il a l'explication du mystère.

Sa voisine ouvre la boîte, en sort les éléments d'un amour de petit rasoir de sûreté qu'elle monte avec soin et, devant la glace de son sac, elle rectifie d'un coup de te rasoir la mince ligne d'un de ses sourcils.

C'est la dernière nouveauté de Lon- dres, dit-elle à son amie. On me l'a rap* portée hier.

A, partir de lundi prochain 17 septembre, la Succursale de Luxe de la Samaritaine, boulevard des Capucines, vendra à des prix très modérés mille jolies nouveautés intéressant la toilette des fillettes et l'habillement des jeunes garçons ren- trant en classe.

Elle a établi, entre autres, des robes de fillettes à 125, francs et des vêtements de garçonnets à 165 francs dont la qualité sera très appréciée des mamans.

L'autographe.

Récemment, un journal anglais publiait les honoraires que touchait chaque écri- vain anglais, et annonçait qu'un seul mot de sir Rudyard Kipling valait six shillings. Quelques jours après cette révélation, le célèbre écrivain recevait d'un collectionneur d'autographes la lettre suivante « Envoyez-moi un seul mot ci-joint uiï mandat de six shillings. »

Le lendemain, le collectionneur recevait une feuille de papier au milieu de laquelle il pouvait lire ce simple mot, tapé à la*nXachrne « Thank i>

'"«'•̃̃ '•'••̃>̃.̃»̃̃̃ :̃:̃ i.; .M 3

L'arnour du terroir,

Un de nos amis longeait, l'autre soir, le cours du Quatre-Septembre, à la Seynesur-Mer. La fraîcheur de la nuit succédait à une lourde journée d'orage. De toutes les maisons s'échappaient les accents nasillards des haut-parleurs radiophoniques. Cependant, ô miracle, il n'y avait nulle cacophonie dans l'air. Tous les gensscs du pays avaient branché leurs postes sur une émission locale, au programme de laquelle se trouvait Fanny, de Marcel Pagnol, ininterprétée par Raimu.

Un oubli.

Un de nos plus-anciens abonnés aurait dû être invité à faire partie de la délégation française qui s'est rendue au Canada pour y commémorer Jacques Cartier. 11 s'appelle le comte de Maingard il est le chef de nom et d'armes de sa famille et a bien voulu nous communiquer quelques pages de son livre de famille établissant que son' ancêtre Jacques Maingard est allé au Canada avec la première expédition.- Il était le maître du galion l'Emerillon, Sept membres de la famille Maingard faisaient de même partie de l'état-major de Jacques Cartier qui était leur pareîit, car il avait épousé la sœur de Colette des Granges, fille de Jacques des Granges, connétable de Saint-Malo, laquelle se maria, en 1460, avec Alain Maingard. De sorte que Je grand «descouvreur de terres fut l'arrière-grand-oncle de notre correspondant.

Le Masque de Fer.

Non, il était impossible que Tur-« eau se fût intéressé à elle. La fiancée, c'était l'autre, qui ne s'était pas montrée encore, refusant d'accueillir l'étrangère, de qui sans doute elle désapprouvait la venue.

Comme votre sourire est joli. disait Marie-Thérèse. Mais si Telle* îuent lumineux, confiant.

Et après une hésitation t

Je crois que nous serons vite amies. N'est-ce pas ?

Il semblait à Germaine que c'était Marie-Thérèse, maintenant, qui prenait appui sur elle. Une sorte d'alliance se concluait, comme s'il avait existé un ennemi commun.

Elle allait répondre, quand, derrière elle, la voix grave de M. d'En- trémont se fit entendre les syllables, sous la voûte de pierre, se prolongeaient.

On va, mademoiselle, vous conduire à votre chambre.

Germaine le regarda. Le candélabre, posé sur une table, éclairait le visage par dessous le front saillant ne projetait plus son ombre sur- les yeux clairs, qui reflétaient directement la lumière et se détachaient seuls, brillants, entre les lignes sombres. Elle ne put supporter leur angoisse, détourna la tête.

Venez, dit Marie-Thérèse- en prenant le flambeau.

(.4 suivre.)

Noël Vindry.

(Co pyright by Librairie Gallimard ed. N. R. F. 1934.)


LETTRE 1

DE LONDRES L'article de sir Austen Chamberlain dans le Figaro. Français, Anglais et Allemands. La désapprobation de la politique des nazis par l'opinion britannique. Cette politique ne crée pas moins une effervescence chez les « fascistes » et les partis d'avant-garde.

Le récent article de sir Austen Chamberlain, paru dans'le Figaro, a attiré, ici, une attention considérable. Un excellent résumé des déclarations de sir Austen fut publié par le Times,, et l'article tout entier, a été l'objet de discussions dans les clubs de Londres. Fait assez curieux, l'intérêt s'est concentré, non pas tant sur les vues politiques contenues dans l'article que sur la tentative faite par l'auteur de comparer entre elles les psychologies française, allemande et britannique. Sir Austen soutient que l'Anglais moyen trouve qu'il est plus facile de nouer, ̃ <lès le premier abord, des relations personnelles avec un Allemand qu'avec un Français, et que ce n'est qu'après une longue fréquentation que les divergences profondes qui existent entre les tempéraments teutoniques et anglo-saxons deviennent apparentes.

Il y a deux raisons principales qui font .qu'un contact immédiat et superficiel peut être établi entre un Anglais et un Allemand plus facilement qu'entre un Anglais et un Français. En premier lieu, il y a la question de langue. Ni le Français, ni l'Anglais ne se donne comme linguiste, et même quand l'un et l'autre sont familiers avec une langue étrangère, ils hésitent, à moins d'y être obligés, à défigurer la beauté d'une langue qui n'est pas la leur. L'Allemand ne montre pas une pareille délicatesse. Quelque mauvais que soit son anglais, quelque parfait que soit l'allemand d un Anglais, le Teuton cherchera toujours à tenir la conversation dans la langue qui n'est pas la sienne. L'Anglais, qui est souvent incapable et toujours effrayé de parler une langue étrangère, est, ainsi, mis à son. aise.

En second lieu, il y a cette, question du « sens de l'humour ». Il est, je crois, très vrai que l'Anglais moyen et l'Allemand moyen sont amusés par les mêmes choses. Nous trouvons, lui et nous, la langue hollandaise extrêmement drôle et nous sommes, tous les deux divertis par Bateman ou par Wilhelm Busch. Pourtant, il n'est pas vrai que l'Anglais soit incapable d'apprécier l'esprit de France. Je suis allé, mercredi dernier, voir à l' « Academy Theatre », Raimu, dans Ces messieurs de la Santé. La salle était comble et il était évident que seule une faible partie du public était cosmopolite ou d'ordre intellectuel. Cependant, j'ai rarement vu un public anglais rire si franchement et j'ai rarement vu un public de cinéma témoigner de sa satisfaction par des applaudissements. Le simple fait que les films français sont en train de devenir de plus en plus populaires en Angleterre, prouve que nous ne sommes pas réfractaires aux subtilités de l'esprit français.

Il existe, et espère qu'il existera toujours, en Angleterre, une grande .sympathie pour le peuple allemand. Nous admirons l'esprit d'ordre des Allemands, leur endurance, leur industrie et leur goût pour la propreté. Nous sentons que le sort leur a imposé des malheurs qu'ils n'avaient pas mérités en tant qu'individus. Quand nous réfléchissons sur ce qu'un bourgeois allemand moyen de quarante ans a supporté depuis 1914, nous éprouvons de la pitié et du respect. Cependant, il ne m'a jamais été donné de constater une pareille unanimité, dans l'opinion, des adultes britanniques, comme celle qui appuie notre désapprobation du système actuel en vigueur dans le lieich. Ce n'est pas seulement parce que nous considérons le régime nazi comme provocateur et dangereux, ce n'est pas seulement parce que nous sommes attristés de voir un peuple qui a souffert d'une façon si terrible, exposé à de nouvelles souffrances inévitables, ce n'est pas seulement ;parc'e que nous nous indignons devant cet obstacle absurde dressé contre ce qui devrait devenir rapidement une renaissance économique c'est parce que des adultes de toutes les classes en Angleterre, hommes et femmes, regardent, avec crainte et chagrin, ce retour organisé à l'état barbare, ce sacrifice refléchi de tout ce que l'intelligence humaine a accompli depuis mille ans.

Mes amis allemands m'assurent (avec une satisfaction qu'ils sont incapables de dissimuler) que ce flot de désapprobation est dû seulement à la terreur éprouvée à la vue du géant captif rompant ses chaînes. L'angoisse a certainement été provoquée et aura ses inévitables conséquences politiques, et pas seulement à Paris et à Prague, à Rome, à Moscou et à Genève. Mais derrière cette angoisse se trouve un sentiment national défini, à savoir que l'idéologie nazie est « non civilisée ». Et ce sentiment est en train de produire une étrange réaction sur nos propres affaires nationales.

Demain, dimanche, sir Oswald Mosley, le « führer » des fascistes britanniques, organise une manifestation à Hyde Park. Les socialistes et les communistes d'avant-garde menacent d'organiser une contre-manifestation. Les pouvoirs publics sont inquiets et désolés. Nombre d'observateurs superficiels affirment que le fascisme est « antianglais » et que le mouvement n'obtiendra jamais une « prise sur le pays. Il est vrai que les événements en Allemagne et en Autriche ont uni l'opinion des adultes contre toutes les formes de l'organisation antidémocratique. Mais la jeunesse est jeune et sir Oswald Mosley est un homme d'une personnalité qui impose et de forte volonté. L'Angleterre est très troublée, en ces jours où nous sommes, par l'intempérance politique de ses plus jeunes enfants.

Harold Nicolson.

L'élection du lord-maire à Londres

Londres, 13 septembre. Londres élira, à la fin du mois, son lord-maire. C'est probablement sir Stcphen Killik qui sera appelé à occuper ce poste éinlnent.

VARSOVIE approuve k discours du Colonel Beck à Genève

Varsovie, 13 septembre. L'opinion polonaise a accueilli avec une grande satisfaction le discours de, M. Beck qui a déclaré, au nom. de son gouvernement, que la Pologne rejetait tes traites minoritaires.

On juge à Varsovie qu'il était inadmissible que la Pologne soit traitée comme un Etat de deuxième catégorie, ayant à subir un contrôle international et qu'elle soit en butte à des attaques provenant d'Etats qui n'avaient pas contracté d'engagements analogues. On rappelle que la minorité polonaise en Allemagne riîest protégée par aucun règlement international, tandis que certains Allemands de Pologne ont porté devant la Société dès nations des questions insignifiantes, donnant lieu à des cainpagnes démagogiques.

» La déclaration de M. Beck a pour but de prouver au monde que la Pologne a'est pas un Etat de deuxième catégo- rie. » .'• ̃

On note également que la déclaration de M. Beck ne concerne pas les accords bi-latéraux sur 1;* défense des minorités, tels que la convention polono-allemande de Haute-Silésie, conclue en 1922 à Genève.

Les minorités nationales représentent en Pologne 31 0/0 de la population les Ukrainiens et les Blahcs-Ruthènes, qui sont les plus nombreux représentants, 18 ,0/0du chiffre total de la population, les juifs 8 0/0, les Allemands 4 0/0, les autres, Lithuaniens, Lettons, Russes, etc., l;0/P.: ̃

La Pologne a-t-elïe refusé son adhésion

au Pacte, oriental ?

Dans la soirée d'hier, les milieux britanniques (le Genève démentaient que M. Joseph Beck, njinistre des affaires étrangères de Pologne, eût fait counaitre au gouvernement de Londres, par l'intermédiaire de l'ambassadeur de GrandeBretagne ia Genève, que la Pologne dit décidé de refuser son adhésion au Pacte oriental..

Mais une dépêche de Varsovie, d'allur» officieuse, parvenue dans lu nuit,, annonce que les milieux gouvernementaux polonais, tout, en déclarant ne pouvoir confirmer l'information du Daily Tel*, graph, s'abstiennent de la démentir. C'est ainsi, que l'agence « Pat » cite, dans une revue de presse anglaise, cette information, qui se trouvera ainsi dans les journaux polonais; d'aujourd'hui.

A Londres

l'attitude polonaise |.

est sévèrement jugée'

Londres, 13 septembre. La nouvelle reçue de Genève annonçant que le colonel Beck,, ministre des affaires étrangères de, Pologne, avait adressé une sorte d'ultimatum à la S.D.N. au sujet de la protection des minorités nationales a provoque une grande surprise dans l'entourage de White Hall, où les dénonciations' unilatérales d'accords internationaux ont toujours été reçues avec mécontentement.

Dans les, milieux, politiques anglais, on fait ressortir que l'indépendance de la Pologne fut subordonnée à la signature par elle du traité ,des minorités, et qu'en agissant comme elle le fait maintenant, elle enfreint l'article l'du co venant de la Société des Nations, par lequel tous les membres de la Ligue s'engagent- à respecter leurs obligations internationales.

Le gouvernement polonais invite

des journalistes allemands Berlin, 13 septembre. Le gouvernement ipolonais vient d'inviter l^s rédacteurs en chef de;dix grands journaux allemands à visiter la Pologne. Ces journalistes quitteront Berlin demain leur séjour en Pologne sera d'une dizaine de. jours.' Samedi prochain, dans la soirée, le comte Szembek, soussecrétaire d'Etat aux affaires étrangères, et qui fait l'intérim du ministère en remplacement de M. Beck, actuellement à Genève,, donnera. une1 réception en leur honneur..

CHATEAUX gT ©MÀTELÀIN ES D E FRANCE

Une des plus jolies résidences de France, celle du duc et de la duchesse de Maillé. teauneuf 1. L'eatrée principale du château; 2. Les tours sur le parc; SI La Nous publions ici une série d'instantanés pris au cours de notre visite à Chà- duchesse de. Maillé et sa fille Jeanne-Marie; 4. Une des ailes du château;! .• 5. Jeanne-Marie et Jacquelin de Maillé.

M. VON NEURATH définit

la politique extérieure du III Reich

Stuttgart, \3 septembre. M. von Neurath, ministre des affaires étrangères, a renouvelé devant l'assemblée générale annuelle de l'institut allemand pour l'étranger les assurances pacifiques de l'Allemagne, mais aussi son refus dé participer aux méthodes de pacification préconisées actuellement par certaines puissances étrangères. Pas de traités compliqués et scabreux

« Le peuple allemand, a-t-il dit, ne veut pas autre chose que vivre en paix avec les Etats étrangers et entretenir avec ces peuples des relations pacifiques et de bon voisinage. Toutefois, nous ne pouvons pas approuver les méthodes spéciales de garantir la paix recommandées et tentées par certains gouvernements. Précisément parce que nous voulons la paix, nous ne pouvons pas nous rallier à des systèmes de traités compliques et scabreux, s'inspirant de la politique de force et qui n'ont pour but que de préparer la guerre contre la guerre. A notre avis, ces systèmes ne peuvent pas contribuer à détendre la situation. Ce que nous désirons, c'est la sincère entente d'Etat à Etat, sans alliances ni groupes d'alliances. Nous voulons une discussion franche sur les intérêts opposés et un compromis entre eux sur la base de l'estime et de l'égalité de droits réciproques. », Pas de règlement pour la Sarre avant le plébiscite

Le ministre des affaires étrangères a également fait allusion à la question de la Sarre. Artificiellement créée par le traité de Versailles, dit-il, elle a, pendant quinze ans, séparé de nous un pays essentiellement allemand et pèse sur nos relations avec notre voisine de l'Ouest. Nous; attendons l'avenir avec calme car la décision dépend du peuple sarrois qui dira tout simplement, le 13 janvier 1935, qu'il est Allemand. Certes, des questions devront être réglées après la fin du régime actuel dans la Sarre. Mais ce sont des problèmes techniques qui n'ont rien à faire avec le problème politique et avec sa solution.

M.Hitler

rend sa visite de courtoisie au nonce apostolique

Berlin, 13 septembre. En réponse à la visite que lui a faite hier Je corps diplomatique accrédité à Berlin, le Fuhrer-chancelier s'est rendu à la fin de la matinée chez Mgr Orsenigo, nonce apostolique et doyen du corps diplomatique. M. Adolf Hitler était accompagné du Dr Mcissncr, secrétaire d'Ktat à la chancellerie présidentielle .et de son adjudant personnel, 'le .chef de groupe Brueckner.

M. Suvitch se rendra:t-il à Berlin après la session de la S. D. N. ? Behlin, 13 septembre! Suivant les bruits qui circulent dans les milieux diplomatiques allemands le sous-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères d'Italie, M. Suvitch, arriverait vers !a fin du mois à Berlin.̃.

II profiterait de cette occasion, dit^pu, pour s'entretenir avec le ministre des affaires étrangères du Reich de; différents sujets importants intéressant les deux ..pays.

Un arbitre suisse

donne raison à Y Allemagne dans un litige sarrois Berlin, 13 septemlwe. Une question litigieuse qui opposait le gouvcrnenn'nt allemand et la; commission, gouverjiementale, du territoire de la'Sârre a été' résolue par une décision arbitrale au profit de PAUemagne.

Il s'agissait de savoir si la commission' gpuvernemeritale du tefriluiré :1e la Sarre pourrait rétenir le capital et les intérêts d'un fonds .d'arriéré pour des pensions, établi' conformément à ini accord de 1925. L'arbitre, le juge fédéral docteur Fazy, a repoussé la thèse de la commission gouvernementale de la Sarre et a donné raison à l'Allemagne.

LE CHATEAU DE CHATEAUNEUF-SUR-CHER, AU DUC DE MAILLE'

A BUDAPEST on s'inquiète

du rapprochement franctHtafien J

L'Autriche suit avec satisfaction le développement favorable des relations franco-italiennes.

« On pense, écrit le correspondant du Times à Vienne,, que la Yougoslavie aura besoin d'assurances convain- j cantes avant de. se faire à l'idée d'un rapprochement italo-français. Cela dépendra, croit-on, en grande partie, du résultat de la visite* du roi Alexandre à Paris. » '̃'

Par contre, ]a Hongrie s'inquiète de l'amélioration des rapports entre. Paris et Rome et d'un certain refroidissement des relations entre Rome et Budapest.

Le comte Bcthlen, ancien président du Conseil 'de Hongrie, écrit dans le pesli .\aplo

« L'Italie va dans la direction du groupe puissant dont les chefs sont opposés aux vues de la Hongrie. Si les négociations Halo françaises devaient conduire à un accord, sur les questions danubiennes, sans modifier la, politique des minorités des anciens alliés, l'amitié italo-hongroise recevrait une grave blessure. »

Le comte tsetmen rappçne ensuite que les protocoles de Rome n'auraient pas pu être conclus sans la coopération hongroise et dit que l'intérêt général de l'Europe, une réconciliation entre l'Allemagne et l'Italie.

Le comte Bethlen, cependant, soulève la question de savoir s'il n'y avait pas lieu, pour la Hongrie, d'abandonner son orientation politique actuelle et de chercher un rapprochement avec la France.

En Allemagne, on a suivi avec le plus vif intérêt la polémique de presse qui s'est engagée à la suite de cet article, dans les journaux de Budapest, car on se rend compte qu'un changement d'orientation de la politique hongroise priverait la diplomatie allemande d'un atout sérieux:

Le Bœrsen Zeilung s'efforce de convaincre le gouvernement de Budapest de l'avantage que présenterait pour la Hongrie une collaboration avec l'Allemagne sur le plan de hi politique internationale.

Le Lokal Anzeiger, de son côté, prédit un rapprochement pulono-hongrois. « Du point de vue allemand, ajoutet-il, il convient de suivre de très près le voyage de M. Goembaes, en octobre prochain, à Varsovie, et où sera examinée la question des rapports futurs entre la Hongrie et la Pologne. ».

Les Dominions v

entendent collaborer

à la défense

de l'Empire britannique Wellington •• (Nouvelle-Zélande), 1,'i septembre. -r-.M.,Cobbé, ministre de là guerre, fait aujourd'hui l'exposé des plans du gouvernement pour la défense de la Nouvelle-Zélande. Il a fait part de la décision du cabinet "de 'renforcer l'armée aérienne et d'augmenter le budget de l'aviation civile. a-:t-ïl dé-

« Si la' Uniiule-Brctagne, a-t-il dé-

claré, dey.ait être entraînée dans un conflit,' il faut que la Nouvelle-Zélande et l'Australie puissent assurer leurs propres moyens de défense.^»,

Le Front unique

socialo-communiste

est réalisé en Espagne .` Madrid, 13 septembre. Le front commun ouvrier est ^irtuçllement créé. Le- comité central du parti communiste a décidé d'entrer dans l'alliance ouvrière. L'alliance comprenait déjà l'Union générale des travailleurs (socialiste), le parti socialiste ouvrier, le parti communiste de gauche, le bloc ou-^ vrief-paysan, la Fédération des tabacs; Seule reste officiellement en dehors la Confédération nationale du travail (anarcho-syndicaliste) et la Fédération' anarchiste -'ilicriqùe.

Les partis radical-démocrate et radical-socialiste ont fusionné. La nouvelle organisation s'appcllera « Union; républicaine ».

-v.t-

EGHEC

de I arbitrage dans le conflit du textile américain New- York, 13 septembre. 5.000 grévistes ont attaqué et pillé plusieurs magasins de la. ville de Woonsecket (RhodcIsland).' Devant l'attitude menaçante des émeutiers, la garde nationale a fait usage de ses armes. Un gréviste a été tué et cinq autres grièvement blessés, l'un d'eux a succombé à ses blessures.

M. Green, gouverneur de Rhode-Island, a immédiatement envoyé des renforts et a ordonné la mobilisation d'un millier d'anciens soldats, en annonçant que le président Roosevelt lui avait promis, par .téléphone, d'envoyer des troupes fédérales dans la zone des émeutes si; les forces locales ne réussissaient pas à rétablir l'ordre.

Le gouverneur a convoqué rassemblée législative de l'Etat en séance extraordinaire aujourd'hui à midi pour lui de,mander une augmentation de la police de l'Etat.

Le comité de médiation nommé par le président Roosevelt pour régler la grève des textiles a dicté un communiqué dans lequel il déclare qu'il lui était impossible d'arriver à un accord parmi les patrons sur une hase d'arbitrage. D'autre part, le président de la Fédération américaine du travail a exprimé l'opinion qu'il serait impossible de concilier le différend entre patrons et ouvriers et il a prédit que le comité de médiation abandonnerait ses efforts..

Le choléra

dans les ports de la Mer Noire RIGA, 13 septembre. Des mesures extraordinaires de précaution sont prises par les autorités des- ports d'Odessa, de Sébastopol et de lalta, pour empêcher la propagation de l'épidémie de choléra, qui a éclaté dans plusieurs villes des bords de la Mer Noire.

Les passager;- des paquebots sont soigneusement examinés avant lur débarquement.

Charles Levine, le héros

d'une traversée de l'Atlantique tente de se donner ia mort

Charles A. Levine, qui avait fait coinme passager de M. Chamberlain la seconde traversée de l'Atlantique en avion, en juillet 1927, a tenté de se donner la mort, aux Etats-Unis, chez un de ses amis, M. A..1. AValker. Dans une pièce dont toutes les issues étaient closes, il avait ouvert un robinet à gaz. Lorsqu'on lui porta secours, son état était très grave.

Charles Lcyinc, qui avait connu de nombreux procès en épilogue de sa vie romanesque, était à bout de ressources. Cîc'st la raison, sans doute, de son acte de désespoir. /'Y ¡'

Aussitôt après l'exploit qui le.fit connaître, il tenta sans succès plusieurs traversées de l'Atlantique d'est, en ouest. Puis vint son divorce que suivirent maintes mésaventures, et finalement la ruine. ̃

La liaison radioféléphonique avec les navires de pêche L'orient, 13 septembre. Des expériences de conversation radiotéléphoni- que ont eu lieu au t>ort de Loricnt entre le chalutier qui se trouvait à 55 milles stid-oiicst de' Groix, et Je pnstc terrestre <)e -L'orient, récemment installé. L'expérience a été très concluante et pèrmeUra aux petits navires qui ne peuvent, en raison des frais, avoir un opérateur de T. S. F., de se tenir en contact avec l'armement. NOUVELLES DE PARTOUT Venant de Hocca délie Caminate, en automoblie, il. Mussolini est arrivé :à Venise où il a été reçu par le comte Senni, chef du protocole au palais Chigi. ._̃

L'Association des. illatçurs du-Lancashire déclare ne pas être en mesure d'accepter les propositions allemandes en vue du remboursement des dettes dues par les importateurs allemands de coton anglais. '̃̃'

i; ASSASSINAT

du conseiller Prince M. François iPeissel.v député du Rhône, n'assistera pas à la prochaine séance de la commission Stavisky. Il tient la publication du rapport Guillaume pour un intolérable scandale.

Lyon, 13 septembre. M. Peissel, député du Rhône, membre de la commission Stavisky, vient d'adresser à M. Guernutune lettre par laquelle il l'informc qu'il n'assistera' cas à la prochaine séance de la commission qui doit ̃se tenir mardi prochain. II déclare que, fidèle au mandat de la commission, qui est de rechercher les responsabilités politiques et administra,livcs dans ^'affaire Stavisky, i 1 n'accepte aucune diversion et ajoute « L'affaire Prince en est une je ne m'y associerai pas je nie refuse à prendre la moindre responsabilité dans la publication d'un rapport appartenant à une instruction en. cours, et dont la publication partielle est un intolérable scandale, dont les auteurs devraient être recherchés -et pun^s.: »

LE MONUMENT

DE LA SURETE NATIONALE Dans l'allée qui mené de .la- place Heauvdu aux bâtiments dii ministère de l'Intérieur, on édifie; un monument commemoratif qui £orter:i les noms_ des commissaires et inspecteurs de la Sûreté tués pendant la guerre.1 Ce monument est l'oeuvre du sculpteur Charles Yrondy. Il représente une; femme casquée s'appuyarit' sur un glaive,: avec cette légende'1-: La force protège les lois. ». ̃̃ ̃'̃̃

Deux usines sont détruites par le feu à Fives-LiHe

Lille. 13 septembre. Up. '.Violent incendie a détruit la nuit dernière deux usines à Fivés-Lille, 'fabriquant l'une des billards russes, l'autre des pàtesialimcn-

itaires.

Les dcgfits dépasseraient; 800.000 fr., qui ne sont couverts qu'en partie par une assurance. ̃̃ .̃̃ ̃' C'est1 le deuxième sinistre important qui se déclure en huit jours 'dans ce faubourg populeux; de Lille. Trois importantes commémorations de de l'Ecole centrale des Arts et manufactures seront présidées par MM. Albert Lebrun et Gaston Doumergue

L'Ecole centrale des. arts etjn'anũfactur.es doit commémorer, les ;!25 et Î26 octobre 'prochain, le •,cjnq'(iantehaire du transfert de l'Hcplt rue Montgolfier, le ̃'cinquantième. anni- versaire de la mort de J.-B, Dumas, et le 25e anniversaire de ia traversée de la Manche1 par son ancien élève Louis Bléript.

Le Président' de la République doit présider là .'réunion solfiirielle du 25 octobre, et M. Dounu-rgue le déjeuner du 26. Il iy aura, de plus, bal et soirée à l'Ecole ce même- jour, ;ainsi que des cérémonies des: différents cultes. '•̃'̃̃.•'•

Le vampire de Semmermg a été pendu

Vienne, 13 septembre. ̃; Johann Flcischer, « le vampire de Sèmmer!ing », qui avait assassiné dans la forêt, las unes rpès lès. autres;1, trois personnes, dont deux femmes, a; été;:cbndàmné à la pendaison. ̃ Pendant l'audience, l'incùlpéa fait preuve d'un cynisme décoiuei'tant et n'a a omis aucun détail sur la façon; dont il a perpétré ses crimes.

Il a allégué; sans en apporter la preuve, avoir été poussé dans la, voie du crime par un national-socialiste du nom de Spitzer, qui lui aurait fourni des armes et qui, d'ailleurs, a été récemment arrêté par la police du Reich à Ducren, en Westphalie.

Le vampire a été exécuté;,

LES AFFREUSES circonstances

de la catastrophe du"Morro-Castler'

(Suite DE LA premièhe page)

La commission d'enquête administrative a entendu le capitaine, ,"homme Carey, commandant le Présidcnt-Cleveland, 'qui participa a.u sauvetage du paquebot en feu; celui-ci a prétendu qu'il avait mis ses canots à la mer, mais qu'ils n'avaient trouvé aucun naufragé.

Or, cette déclaration a été démentie par l'officier en second, M. James Henderson, et l'officier en troisième, Harold Pcterson, qui affirment que le capitaine a attendu plus de 45 minutes avant de mettre lès* canots à la

mer.

Ils ont ajouté qu'ils voyaient des passagers suspendus au Morro-Castle ou flottant sur la mer, alors qu'ils attendaient l'ordre de procéder au sauvetage. Les officiers ont déclaré qu'ils ne voulaient plus servir sous les ordres du capitaine Carey, parcce qu'ils ne pouvaient, plus le respecter.

Le chiffre exact des victimes est de 134

L'industriel William Hassler, âgé de 71 ans, un des naufragés du Morro-Castle, est mort d'une pneumonie à l'hôpital, ce qui porte le total des morts et manquants à 134.

MANASQUAN (New Jersey), 13 septembre. On a découvert sur la plage le cadavre de M. Charles Elias, passager du Morro-Castle, qui était porté manquant depuis l'incendie.

Un vapeur en détresse

au large de Panama

Los Angeles, 13 septembre. La station de T. S. F. de Point Puente a capté un appel de détresse lancé du vapeur Hawiian (4.868 tonnes), La position du ` Hawiian n'est pas donnée, mais on sait nue le vapeur quitta hier le canal' de Panama pour le Pacifique.

L'affaire de la substitution d'Hallencourt

Pontoisb,, 13 septembre. M. Lecharny, juge d'instruction, charge de l'affaire de la substitution du cheval Hallencourt, a interrogé les frères Franza Marius et Noël, tous deux employés aux abattoirs d'Antibes. D'après les déclarations des inculpés, le cheval Hallencourl n'a jamais quitté Antibes. Cet animal appartient aux frères Franza qui, par contre, ne revendiquent pas la propriété d'Ecureuil' V (le cheval qui a couru à Enghien sous le nom d'Hallencourt)

Mais ils se trouvent en contradiction k ce sujet avec Ramella, et d'autre part ils ont été vus à Antibes au retour d'Ecureuil V.

Samétii,,Villaplane et Debitondy seront entendus.

Les terrassiers parisiens ont fait grève 'hièr

Les terrassiers et paveurs de la région parisienne, appartenant aux syndicats confédéré et unitaire, ont fait hier une grève de 24 heures, comme nous l'avions annoncé, pour protester contre la non-réponse des Chambres syndicales patronales des entrepreneurs à une demande de convention faite en commun par les syndicats confédéré et unitaire.

Sur 80 chantiers occupant 8.400 ouvriers, on comptait environ la moitié de grévistes. Cette proportion n'était d'ailleurs pas uniforme. Tandis qu'à Asriières 97 0/0 des ouvriers avaient quitté les chantiers, à Courbevoie et à Levallois le travail continuait normalement.

Dans l'après-midi, une réunion fut tenue, vers 15 heures, à la Bourse du Travail. Lès dirigeants syndicalistes mirent au courant de leurs démarches les assistants, qui les approuvèrent et s'engagèrent à poursuivre leurs efforts jusqu'à ce qu'ils aient obtenu satisfaction.

Les postes d'écoute clandestins de la préfecture de l'Ariège Foix, 13 septembre. M. Paul Caujolle, conseiller général, a écrit à M. Dupuy, préfet de l'Ariège, pour l'aviser de son intention d'intervenir, à la prochaine session du Conseil général, au sujet de la découverte de deux postes d'écoute clandestins branchés sur le standard du préfet. Dans sa lettre, M. Caujolle met en cause la commission départementale qui. déclare-t-il, connaissait l'existence des postes en question.

NOUVELLES MILITAIRES Nominations dans la cavalerie Sont nommés dans l'arme de la cavalerie, au grade de sous-lieutenant, les élèves officiers dont les noms suivent, qui ont satisfait aux examens de sortie de l'Ecole spéciale militaire, savoir MM. Bricognc, Delattre, de Chastegnier, Azaïs, de Savignac. Millet, de Ronsëray, Duron, Pute-Cotte de Reneville, Bernard, Bejcourt-Foch, Noë, de Roquemaurel, Martin-Siegfried, du Hays, Le Masson, Lair, du Pouget de Nadaillac, du Bessey de Contenson, Le Boucher d'Hérouville, Bion, Janssen. Levesque, de Ganay, Vie, Genest, Crétin, de Thonel d'Orgeix, Taillefer de Laportalière, de Vienne, Oster, Fougère, Menière, Roquefeuil, Da.

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CITROEM TRAaiON AVANT VOIR EN DERNIÈRE PAGE


Courrier des Lettres Roman radiophonique ^Uètqués-tilis ttos Confrères avaient créé un prix destiné à.récbhipÉiisêi- lin rotildtt ràdiopht>hh/Ue

inep.it, Inttis dttcûti âattâtdttt lie ê'ètt

présenté, aucun manuscrit n'a été envoyé M Jttrj/; Nos' cUllffètéH s'en sont étonnés. Ce n'est, di$eiit'ils, qlte partie remise. Ihest fatal qu!uti jour l'autre la recherche d'uiiè "forme nouvelle de roinan, appliquée à la 1\ S. -F., teille quelqu'un.

Et moi je nie, demande pourquoi la

T. S. Fi engendrerait nècestaïrément

un nouveau genre de .romtttt, A-t^elle, engendré' une forme nouvelle de poésie, de théâtres de critique ? Nog poêles n'en iont pas encoret que /e «aç/ifij à rimer, ni nos ailleurs dramatique/; ù dialofjnér, ni nos cri'tiques ù critiquer sur un niode spê* cialement approprié an microphone* Rien ne ressemble plus à une coilféreiice ordinaire cju'une conférence radio phoniquei rien ne, resxëmble plus à ùli texte destiné à l' impression qu'un texte destiné à /'auditorium* el ta preuve, en est que beaucoup de textes radiophotiitpies Sont ensuite publiés eii brpvMte ou oit les lit avec plaisir.. L'erreur des fanatiques de la radiopMnie rappelle dette qu'ont râmmise certains prophèlbn de l'époque 1900. A les en les « voittltës sans cheVttlM » aliûiMl t'rêer dès mt#lif s toutes nouvelles, deS fdçoiii de &' habille f inédites, VotjtU ce qUl reste aujourd'huices tiinoiiations sensationnelles Les diUbiiwbi lié te H s'habilieht Mûvti'.iMnt comme les piétbns et lés voyttyeUfs du chemin de fer, descendent' daim le* mêmes hôtels, absorbent les mêmes itottPfUilrM et se plttltltlëlit ptt* reillement de lu crise. Ln seule différence qui sépare un automobiliste d'un piélon, c'est que l'automobiliste a une aoitfce dt soucis supplémentaires sa voiture, Pour le reste,, il. ressemble fort eartclenient à veux ,qui prennent le train btt le mèlru-. ,t ftoits n'en sùtntnéi plus ù être èpUtéS » par I'nillùmobtle, mais Mué ëil sbiniiUs eiicbre à l'être pdr la T. S. F. ffops attendons d'elle des transformations qu'il n'est pas dans sa nature de nous apporter,

Alissi bien, félicitons-nous que le roman radiophonique soit encore « naitre, car il ne pourrait être qu'une forme ubtéç/ée, simplifiée, du rohtahfeuiltëton, ou ne petit pat dite que datis l'intérêt de ta civilisation h beéoin s'en fasse sentir.

Attflré Bill}'.

L* fauteuil de Camille JulUati .Lé maréchal Fi'unchel d'iîsperey il n'est personne pour en doitter sera ë)u à ( l'unanimité' nu fauteuil jjj-dutsy,

"Mais V candidature de l'aricie'n chef

de l'année- d'Orient il une répercussion que ttréVaietit les, « initiés » UattS la

«attire a.eadéniiliue; (l'Aeddeniic fratlçaïse

a tc5, IJ,êiHlêlulltUe (1'AMdéllilè fi',¡itiçI11Sl1

a ses lois secrètes} elle aeerûit Consi-

dérablement Jes chances de AI. (ifior'/gés

Dullflftlel. Htl flttltedll de Cftiitille .Itillian

et rend probable à l'avis de certain» l'élection du père de Salavin.. Quel rapport "? Celui-ci l'Académie

française h élu en -mai le due dU Broylic;

elle Vil' élire le maréchal Prahchet d'iisperC.y. La' nature des chose* lui fera un devoir, après deu* élections i|ui ne sojit pas pi'oprement littéraires, de choi-

sit' !un éc'HvaSw^îiÉt-'tf ff^erti'îrtirWTliVeiv

ScHèhieîlt ré|»Ul.o".

:-̃ ;X'Dilfe ConiilU'iiU expliquent les sirate*

^t'êi'i'Ahtttit ùèctoufsàtloii, tfiiYA- tous

lès titres jioui* prendre place jictus lit 'Coupole, devra de plus un succès aisé au vainqueur d'Orient.

ACADEMIE FRANÇAISE La séance réunissait, hier, neuf membres de la compagnie. C'étaient Mgr Baudl'lllart, le duc de Lu Force, le maréchal Pétain et MM. Abel Heritlant, Hené Doumie, Paul Valcr}', André Chatlmeix, Maurice Pnléohiguc èt (icorges Obyàu, Ils ont activement travaillé au Dictionnaire. A l'article savoir, ils ont supprimé plusieurs expressions tombées en désuétude telles que savoir la carle, faire à savoir, savoir faisons, c'est un assavair. Pour la même raison, ils n'ont point conservé savouremeni. Scaramoitche a aussi disparu, mais on a gardé sçapin. Sçaiisioiij proposé par la commission, n'a pas cto accepté il n'en a pas été de même de saxophone, scalpe, scaphundrler (on avait •djéjn scaphandre)', scatotogiqUe, dont l'admission a été décidée, ainsi que celle de scarole..

-̃•̃̃̃• Ch, Dauzâts.

Ce que fut la croisière du Comte de Flarïs à bord du Campana

Ex.JUiK, le 10 septembre. r Le Campana fait «maintenant route vers Marseille. Le premier congrès touristique Saint-Louis s'achève, le comte de Paris a quitté, à Gênes, notre croisière, et aux heures d'enthousiasme succède, ce soir, sur le beau bateau, un silence chargé pour les uns de tristesse, pour les autres de méditations.

Pendant une semaine, en effet, quatre cents royalistes ont vécu aux côtés du prince Henri, auquel une loi du siècle dernier interdit, on le sait l'accès de la France pendant une semaine un navire battant pavillon tricolore et voguant sur les eaux italiennes a donné à l'arrièrepetit-fils d'Henri IV la douce illusion de la, patrie présente, incarnée dans cette croisière où des Français de tous âges, de tous rangs et de toutes conditions sociales se trouvaient réunis par un commun espoir.

Le moment est venu de dire ce que nous avons vu et entendu au cours de ce voyagent d'apporter à l'explication d'un temps qui nous a paru, ces jours derniers, si fertile en miracles, le témoignage impartial du chroniqueur.

Le miracle, disons-le tout de suite, c'est le rassemblement du peuple de France autour d'un jeune prince de vingt-six ans qui, durant sept jours, a fait à bord du Campana l'apprentissage de son métier de roi.

Des paysans, des cheminots. Nous disons bien le peuple de France, et c'est au pont des troisièmes, tout de suite, que nous l'irons constater, afin de bien marquer l'esprit qui a soufflé sur cette-croisière, dont nous allons entreprendre le récit.

A l'appel de l'Aclion française, d'humbleç Français, en effet, sont venus pour rencontrer le fils de leur roi. Des paysans, des cheminots, des employés, des fonctionnaires, des instituteurs publics ils sont quatre bord des artisans ont rejoint des médecins, des industriels, dés

pmrtt radical-socialiste publie Éûn manifesté en vue des élections cantonales

jî'àcc'ord avec le groupe parlementaire, le bUi'eriU du parti t'adical-soclâliste a arrêté les ternies d'un manifeste adressé au pays k l'otiCiisiôtt des prochaines élections cantonales. Voici les passages essentiels de ce docuilierlt <: Notre parti à toujours lutté pour te maintien et l'extension dés libertés locales l'expérience lui a donne rai-

son ellç autorise auioUrd'hui à deinan-

der i'exiensibn du rôle de ces administraiioiis élues, qui n'ont jamais fuilli à leur devoir et peuvent utilement soulager un Ëtat accablé do fonctions. Pàé de dictature

» Une idée, pour nous, çloltllrie toutes lès autres. Nous ùé ioulotis d'auculie dlctatufe quelle qu'ellt' soit, dictature d'un homme, dlulutut'e de gi-bUpcs, dictature dun •jjtt'rti. Notls peitsons que la République; àVce le i'eghlie de libre dlst'tlàsion qu'elle' a créé) ftuvre dt's voies assez larges àûxopiiiions pour nous irtvitèi' à proscrire des appels a \A vlblenfi* fftli, m6iiiè ript-ês des succès pilssagers, ont toujours ttjlit'iié et tourneront .toujours au profit de la réaction. L'école et la défense nationale » Nous continuons à défendre la laïcité, entendue comme respectueuse de la neutralité et de la mutuelle tolérances » L'école publique, selon nous. appartient à la nation, à lit nation seule et à toute la Hatiiaii Nous n'avons cessé, nous rte eessjCrons pas d'en réclamer 1^ prolongation etv de voir dans l'égalité des .jeunesses devant l'instruction primaire, secondaire ou supérieure un des plu s sûrs moyens de progrès pour une démocratie.

»,. Nos itiltialiVeSijdàns -cet ordre d'iidé&i, fie pOut-ridetil'ètïe niéCs qUe pilr la mauvaise foi.

» NOUS rest6hs attachés à la défense nationale dans un régime qui entend lie provoquer personne, mais veut garantir la Sécurité du pays.

» SoUs n'avons pas cessé de croire à la nécessité de l'équilibre budgétaire.

t m

La réforme de l'Etat

et les problèmes économiques « X'ëst-ce pas nous qui avons créé et coflsêîl économique, dont le rôle demeure trop effacé, mais qui doit, selon nous, jouer un rôle essentiel dans cette réforme de l'Etal, poUr laquelle notre c'OttCOul'S efit acquis, sons condition qu'elle rte lm'nnce pas les .principes libéraux de la République '?

» 3>iaus ne sommes point favorable» au nationalisme économique* nous souliailofts le rtRabJîsfieihent des grands courants internationaux, mais nous le

NOUVELLES DIVERSES

̃ Y- DEPARTEMENTS

L'étrange disptu-itiôh

d'un industriel breton

Qt'iMHËn, lî! septembre. M. Jean KerlioUl, 64 ails, «Jili exploitait à Len- iian Un atelier de fabriCBtion; de maohi- îifs et Ad hiuigRrh agricoles, a subitement disparu depuis le 28 août.

L'industriel, dont les affaires étaient assez satisfaisantes, employait une douzaine d'ouvriers.' •.•̃̃>.̃̃- '̃••̃ ̃•̃̃̃•I Jt, Jean Kerbotll, qui ne jouissnlt pas d'une excellente santé, avait inter- 'romprë récêm'hie15H\ïfl"'W!â1tt.'uîeîit' qu'il suivait. depuis quelque temps et cela avait provoqué chez lui un inquiétant cliangeirifent de caractère.

La. famille du disparu a entrepris. des recherches qui n'ont pas plus été couronnées de succès t|ue celles effectuées paroles agents de l'autorité.

Un château de la Vienne est cambriolé

̃ Poitiehs, 13 septembre. tin mulacîtux cambriolage a été commis la nuit dernière au château de Lamothe, comir.unc de Ligugé.^ appartenant M. JeanJacques Laveissière.. •̃'̃

Après avoir vainemeul. tenté de îatter la serrure de 'a porte de la cuisine, los-inalfsHcurs oni brisé le carreau d'un couloir donnant) accès au salon. Ils ont emporté des médaillons anciens,, unp dizaine de montres anciennes en or, des couverts en argent-et des bibelots de grande valeur. Les châtelains et leurs invités n'ont rien entendu. Le montant du vol atteint près de cinquante mille francs. '̃'̃

ingénieurs, des prêtres, des intellectuels. des étudiants. Les royalistes de tradition, représentés par de grands noms de France, voisinent avec les autres; ceux que leur raison a conduit à la même conclusion monarchique, et il n'est pas de barrière entre le pont des premières et celui des troisièmes.

Le peuple de France, avons-nous dit. Oui, si l'on veut bien reconnaître qu'en font partie ce cultivateur de l'Yonne dans son costume de treillis, cette postière de Paris, cet ouvrier de Saint-Etienne, ce bohème montmartrois aux longues mèches et qui n'avait jamais vu la mer, ce boutiquier venu' avec sa femme et ses trois « gosses », ces employés, ces petites gens. tous Français moyens' chers & M. Edouard Herriot comme ils le sont au prince 'Henri, un peu serrés, certes, dans leurs dortoirs, mais qui se répandent sur le Contpana empli soudain de joyeux murmures. En attendant les ovations frémissantes.

Et puis il y a, à bord, cette « jeunesse de diamant. » dont parlait récemment M. Abel Bonnard ligueurs, camelots, jeunes gens et jeunes filles dont les chants retentiront si souvent au cours de cette promenade sous le ciel de la Méditerranée.

Il y a enfin les chefs, et parmi eux M. Charles Maurras, qui fera seulement le voyage de Marseille à Gênes, mais dont la pensée, on le sent bien, animera jusqu'au bout ses fidèles. A ses côtés, voici MM. Maurice Pujo, le commandant Dro-.mard, président de la Fédération provençale Lucien Lacour, Georges Calzant, Georges Gaudy, aînés écoutés de cette jeunesse, tous anciens combattants de la guerre, mais pour qui la paix n'est point encore venue.

Un royaliste marseillais

Voici aussi un personnage qui jouera un grand rôle au cours de ce voyage, c'est Jules Servent, président des Camelots du roi de Marseille, venu de la Cannebière on dit même que politiquement il vient

voulons dans un régime d'accords qui assurd;à lu-Kranee le bénéfice d'tthe légi- time et nécessaire réciproeitéi

ri Nçus avons soutenu et 'soutiendrons tout programme de gftliids traVaUfc favorable à ltt réduction du el«5mage et & l'équipement de nos Communesi » Le manifeste rappelle eusUitc les efforts financiers des gouvernements radicaux, qui se sont efforcés « de sauvegarder, en définitives les intérêts privés aussi bien que t'euX de l'Ktat »i Toutefois, le parti radical ne Vent pas qu'on le représente comme fixé dans tilt dogme.

« Sans préjugé contre le travailleur étranger, nous réclamons une priorité pour le travailleur français, tjUl a le droit de vivre dans son pays nous demandons l'application stricte des lois qui règlent le travail et, On particuliers de loi ûe huit heures. L* Allemagne et l'OiR.S.S, « Nous eussions voulu, par la politique généreuse que nous avons pratiquée ou soutenue, rapprocher de nous le peuple allemand, nous «vous du moins travaillé a rétablir bonnes relations avec des adversaires d'hier comme les TUrcs et lés Bulgares;

t> Citoyensj quand on nous accusera de manquer d'audace, rappelé/; ait milieu .de quelles difficultés nous iiVolis, avant tous autres, et contre beaucoup, réalisé la politique hardie qui se traduit par reni.'C'. dàtis la Société des Nations de l'Union Soviétique, d'un pays de 1(S8 millions d'habitants, notre collaborateur désormais «ails l'œuvre générale de protection dé la paixi C'est un grand événement nous pensons avoir largement travaillé à le provoquer. l^our l'apprécier, que l'on se raypelle le temps l'on redoutait une Conjonction de l'Allemagne et de lit Russie.

Les scandale»

« S'il s'agit de faits soumis à la justice, nous entendrons voir punir tous les coupables quels qu'ils soient, mais atissi protéger tous les innocents contre le cynisme impuni de la diffamation.

» Parce qu'il a pris beaucoup de responsabilités, le parti radical et radical- socialiste a subi beaucoup de critiques. Il s'adresse avec eoiifiaiiet ft la raison et au bon sens du corps électoral. Il ne veut ni retour au passé, ni avcnturei Il a confiance dfe rester par ton nttaelicment au régime et au pays l'axe de la politique nationale et républicaine », Ont signé le manifeste

Le Président Edouard Mërriôt, les vice-présidents, les iaei'étalres, et le t-i-ê* sorier général.

Là mort

du conseiller municipal Clav.l Lyon, 13 septembre. On sait que lors de l'expérience tentée dans la maison de M. Honoré Clavcl, des experts avaient opéré un prélèvement d'air aux fins d'analyse. Les experts ont procédé à cette opération et ont trouvé d'importantes quantités d'oxyde de carbone, De leurs conclusions il résulte que l'asphyxie accidentelle du conseiller municipal., a .pu ûti*. causée, j:«vr ln.XuiU> 4ui s'est produite lors de la rupture do la canalisation longeant- l'iiabitatioit de

M. Clavel..

M. Laborie

proclame l'innocence de son fili Boudeaux, lli septembre. M. Laborie, père de Patfl Lallol'ie, accusé du meurtre de Dufrenne, vient de communiquer à lit presse Une protestation dans laquelle il proclame l'Innocence de son fils et déclnre pouvoir faire la preuve que celui-ci se trouvait A Libournc au moment du crime. Il adjure son fils de se constituer prisonnier, afin d'éviter de tomber sous les balles des policiers lancés à sa poursuite.

L'enquête sur l'assassinat de Marie Prunet

Marseille, 13 septembre, Le service de la Sûreté vient d'envover à Paris la photographie d'un coupfe, Joseph Obcrto et Denise Lambeaux, dite Pépé. Ce couple, qui doit se trouver actuellement dans la région parisienne, a été formellement reconnu comme ayant été aux côtés de Glovanovitch dans l'affaire de Sens.

de plus loin encore avec les meilleurs de ses amis. Rien du muscadin, je vous assure. Servent est un lion de courage, m'a-t-on dit, la bagarre avec les « gangsters » ne lui fait pas peur et quand les révolutionnaires voient poindre sa casquette au coin du vieux port, c'est la fuite. Ceci dit, il n'a pas son pareil pour conduire la farandole et battre le ban provençal, sa voix s'est éraillée à force de crier « Vive le Roi 1 et il connaît toutes les chansons royalistes. D'autres aussi, d'ailleurs. Tant pis pour les oreilles trop prudes.

» On ne fait pas de révolution avec des archevêques », disait Jules Lemaître. Tels sont les passagers du Campana, tels ils nous sont apparus, ce soir-là sous les étoiles.

La première nuit en mer

Cette première nuit en mer en a fait tout aussitôt des amis, et cependant que Charles Maurras, que l'on croyait depuis longtemps retiré dans sa cabine, s'est réfugie sur le pont supérieur et récite des vers latins, des groupes se forment de-ci, de-là. Dans un coin, accoudés au bastingage, deux hommes discutent dans la nuit. C'est un Marseillais qui cherche à convaincre un Lillois.

Je vous assure, cher monsieur, que sans rascasse vous ne pouvez obtenir une bonne bouillabaisse.

Des conspirateurs, ça ? Non, des Français d'une même famille qui se découvrent, s'entretiennent de leurs affaires et qui seront, pendant une semaine, les gens les plus heureux du monde.

Le Prince monte à bord

Gênes, midi.. Un chaud soleil baigne le port, ,et tandis que notre bateau s'y engagé avec mille précautions, des cris et des vivats montent du môle où sont rangés une centaine de camelots du roi venus de Nice par la route. Sur le pont du bateau, les nôtres font la hale, drapeaux et fanions déployés. A la coupée, se tiennent les chefs royalistes avec leurs amis. Le commandant du bord est là aussi avec ses officiers. Des carabiniers italiens sont postés à l'entrée de la passerelle. Un grand silence règne maintenant sur le bateau il ne sera rompu que par les accents de la marche des rois de l'Arlésienne. D'un bond, un jeune homme, en effet, a sauté à bord. Le comte de Paris est parmi nous. Merci, merci, diWl à. M. Charles Maurras.

Tous les yeux se tournent vers lui. Il est bien le prince que chacun rêvait élancé,

La Gèmsmssîôïi

des grands travaux s'e&t jréuiïie Mer

Elle a fixé te taux des emprunts qui permettront ses premières réalisations

La commission nationale des grands travaux contre le chômttjît; s'est réunie hier après-midi, sous la présidence de Mi Adrien iUarqiK't, ministre du travail M, Albert Sumtul, jiuui.slre de l'intérieur, assistait -h ia réuuioili

Elle a entendu Ja îHppor.t présenté nu nom de la sous-commission financière pilr M. ïaiilierj'j ritùuil la fixation du inux iniinédialement applicable aux demandes de prêts sur le fonds de Travail. Après un échangé, de vues, la commission a adopté à l'unanimité le taux du !),ilâ Elle it détermine ensuite les règles de fonctionnement du Fonds (le Travail dans ses rapports avec les collectivités elilprUhteuses, ht Cuisse lies) dépôts ft consignations et les départements^ ^Ministériels.

Mi Dautry a iJféseiitÊi ru iiont de la sous-coiiimissibn tcchniquei un rapport sur la repaftition ans crédita

La tohtmlssioii à adopté ce rapport à ruiiàitimltét-

Elle a examiné, enfin, des prôposi* tioiis diverses.

ministre du travail a soumis, en outre, à la commission iiit projet de brochure reproduisant l'ensemble des dispositions législatives et administratives relatives att Plan de grands trit- i'KUX. Cette broehtlro sera prochainement etlvoJriJe aUx parlementaires, aux prè- ftts, flUx Collectivités emprunteuses, àtis bj'ganisittltihs pntrohali's t'I ouvrières ci, d'une faeoil générale, a' tous cellx i|tli s'intéressent à cette réalisation.. Le taUx des pfeihlers eiiiprunts étant iiifliniénaiit délcl:miiié, le ministre du travail U'iinsihut immédiaieuiént «u dii'ecteUf .général dejln Caisse des dépôts el, follsiL'ilittloiis Ib's dcniahdes' de prêts OU 11 il déjà remues. Ainsi» certaines colIt'ctivltés ehiprUliteuscs disposeront à très bref délai des fonds nécessaires })bUr commencement des travaux,'

MOUVEMENf JUDÎCIÂIRE Sont Hommes

Vice-présidents de chambre a la Cour de Pal'is MM. Vergelot Aubry, TaHori, Btirjoti Villette,. conseillers "a ladite Cour.

Cbnseillel-s à lil Cour de Paris MM. Magtian, Bullfn, Leniaire, vice-présldents au tribunal de lit Seine; DUcoin, substitut général près la Cour de Paris; (lareau et Gloria, juges d'instruction au tribunal de lu Seine.

Vice-présidents au tribunal de la Seine MM* Jaboittet, Labouret et Mulherby, pi'ÊsiUélits de section audit tribunal Calon, président du tribunal d'Avesnes.

Présidents de section au tribunal de la Seihé JIM. Mittoli, François, DesticUcr, Caullet et lioussus, juges audit tribunal.

Juge au tribunal de la Seine M. lùtrby, secrétaire en chef dit Parquet général de la Cour de cassnlion.

Juges adjoints au tribunal de la Seine MM. RaVnaUd, juge il ClennontFeH'aiiÛ; Gollfé, ancien magistrat; Navarre, vice-président du tribunal de Clialon-sUr-Saône.

Président du tribunal d'Avesiles M. Jacob, président k Uar-le-Dnc.

Juge k Laon M. Guerre, avocat. Substitut à Cliâteauroux M. l\assat, substitut à Guérct.

^budget de 193S .Vt'ulint de Genève, M. Germain-Martin; ministre des finances, est arrive hier matin Paris. Le ministre des finances a définitivement arrêté l'exposé des motifs du projet de budget général de lÔîto. On déclarait dans l'entourage du ministre que l'équilibre exact du budget était réalisé au moyen do « procédés sincères et solides ».

M. Germain-Martin a également, reçu duns la matinée M. Tanne ry, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, et M. Milan, président du conseil d'administration de la Caisse d'amortissement. t.

Un gardien de la paix

renvrsé par une auto

A l'angle de la rue du Bac et du quai d'Orsay, hier à 12 heures 30, deux voiturcs se sont heurtées avec violence. L'une d'elles, projetée sur le trottoir, a renversé brutalentent un gardien de la paix, M. André Gendray, qui était de service a cet endroit. La victime a été transportée « l'hôpital de la Charité dans un état grave. On craint une fracture du crâne.

sportif, le regard baigne d'une iulinie douceur. A la vue des drapeaux une vive émotion se devine sur sem pâle visage d'adolescent; mais, d'un pas décide, la tête haute, il passe devant le front de cette petite troupe où bien des yeux brillent d'orgueil et de larmes.

Et alors va commencer sur ce bateau, qui est pour le jeune exilé un peu de la terre de France, un véritable conte de fée auquel il ne manquera ni le prince Cliarmant, ni le ciel d'Italie, ni les beaux palais, ni les chants d'allégresse. De Gênes à Naples, puis à Païenne, le comte de Paris participera à la vie de ta croisière qu'il animera de sn bonne grâce. Mais à cette « gentillesse » dont toute la personne du prince est' empreinte va. tout aussitôt, s'ajouter le prestige d'une autorité mûre et réfléchie, et tous les passagers des plus grands aux plus humbles en éprouveront, tour à'tour, la surprise. « Les premières sont en troisième » Qu'il s'entretienne avec ses partisans, ou avec nous les journalistes, ou avec les officiers du bord, ou avec les hommes de l'équipage, le prince se montrera informé de tout et de tous. Il n'ignore rien des graves problèmes de l'heure, répond aux questions, questionne à son tour. Enfermé seul, un soir, avec les mécaniciens et le personnel du Campana, il leur exposera la doctrine corporative et réfutera une à une les objections qui lui seront faites. Les plus méfiants parmi ces travailleurs seront gagnés par tant de sérieux et de maturité chez ce jeune homme qui leur parle un langage auquel ils ne sont point accoutumés.

Ex]>liquez-moi pourquoi vous êtes syndicaliste et je vous expliquerai, moi, pourquoi je suis monarchiste.

Et on s'écoute, on se comprend. Ces entretiens qui se répètent se traduisent le lendemain par une demande de photographie dédicacée et le comte PieVre de la Rocqu,e de Severac, qui accompagne le prince, connaît des assauts incessants. Le deuxième jour, le prince est allé déjeuner avec les camelois, ce qui fit dire au maître d'hôtel « Aujourd'hui, les premiers sont en troisième ». Au milieu de cette troupe ardente, Henri de France, en bras de chemise, a pu mesurer, ce matinlà, le dévouement de-ces hommes et de ces jeunes hommes qui ne s'embarrassent pas de préjugés et l'accueillirent non sans vacarme..

Quand |I leur eut parlé avec cette modération qui est l'indice même de sa volonté, un homme se leva. C'était un rude gars aux moustaches grises, aux larges mains de paysan. D'un accent bourguignon, qui

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L'AVENIR DE LA RELIGION Philosophes et penseurs libres y,

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LEON BRUNSCHVICG La carrière philosophique de M. Li'oll Brunschvicg est i-oir.sidér;ible. i)o grandes (ruvres la jiilunnelil les Etapes de la philosophie mathèiita*.ligne, l'Expérience humaine et là causalité physique, le Progrès de la conscience dans la philosophie occidentale. Une idée s'en dégage, finalement, qu'entre Je monde et nolis il n'y u pas de mesure communcv-'Lui et nous Homntes disproportionnés, hétérogènes. Nos sciences lie soiit que des recettes d'ordre pratique, dont If propres consiste duns leur rendement utilitaire croissant. De là, par contraste, l'importance du facteur moral, religieux, mysti^ que, subjectif, (si l'on peut encore hasarder ce tilot), ilitinie, dulis cette philosophie, dépose de toute attache traditionnelle et qui s'est déroulée, depuis quarante ans, Sous le don* ble. signe de Ptiscul et d-c SpinoKti, A railleur de bu Connaissance de nui (ijui débute par une analyse très nuancée de l'homo reliyiosus), j'ai

demandé ̃

• Vous apparaît-il que l'humanité s'aclœniiuë vers un type de société

sans relû/ion '?

11 u bien voulu me .répondre .ceci i L'intérêt dr. Celle question réside dans le recul d'horizon à quoi elle nous oblijfe. Je pense à celte lettre si curieuse saint Vincent de Paul é lumière les pays que l'Eglise croit perdus depuis un siècle la plupart t!t> l'iîinpiru, et. les -royaumes de'-iSuède, du baliemark, de Norvège, d'Ecosse, d'Angleterre, d'îrlahde, de Bohême, de Hongrie; de sorte qu'il reste l'Italie, la France, l'Espagne et la Pologne, dont la France, la Pologne sont beaucoup mêlées des hÉrésies des autres, pays.

Devant celle menace, qui l'amène ù

craindre un (uiéanlissement complet

de sa foi en Europe, saint Vincent de

La méthode de guérison du cancer pourrait être découverte

dans un délai de cinq ans

Ci.E\i:i.AM), 1H sej)lembre. Le Dr lillice Mac iJonald a annoncé au Contres annuel de la société américaine de thhuic t|UC le méciulisme dit développeliient du cHiicer serait découvert et que la méthode de guérisoti pourrait l'Olre dans un délai cinq ans.

Selon lui, les substances nommées engymes, produites par différents organes ou corps, notamment In phospliotusc sect'élée par le rein qui se portent sur les tissus cancéreux, seinblent être une réaction défensive de l'organisme contre le cancer el pourraient être activées par ̃UluacUkltlOM. de. certains stimulants, qu'on expérimentée sur des' rats et d'auircs auimtuix auxquels on avait inox'Ulè taïictr. ,'1 Le Dr Elîîce .Mac Donald a déclaré que les morts des suites de cancer, qui étaient de 73 pour 100.000 personnes en 1800, sont aujourd'hui de 124 et se sont décrues de quinze pour cent depuis trois ans) peut-être en raison des substances chimiques Utilisées pour la préparation des aliments de conserve.

Trais médecins européens reçoivent la Croix d'or du Congrès américain de physiothérapie

Pnn.ÂnEi,PHii:, l.'i septembre. Le Congrès américain .de la physiothérapie a décerné sa «Croix d'or », la plus haute distinction dont elle dispose, à trois savants européens le docteur Henri Bordier, professeur de médecine à l'Université de Lyon, le docteur Oscar Bernard, de Saint-Morltz (Suisse), et le docteur François Nagclsehmidt, de Londres.

patil déclare son tiffëtttbii êfan'ÛéVotivli poM.la propagande aux ptiljit tnfidèles.'Etle'sUcKès de ctlië PWfiaffande sêïttit te pfehiiér ti'ait à relever, quand oh envisage t* avenir religieux du monde\

Songeons, d^autre -phrt, à la fttçvn assez sUu/uHêre dont la Hestatiftliion s'est accompliedébut du1 dlx^nëuViéinK siècle. J'ai, êh ce qui meràonceriiç, trop fréquenté Pascal .poM prén'dï'e lou{ à fait mi scriHfrx Le- pénie du christianisme, écrit en état de péché mortel et de notre excellent anii (itorges (ivyati, d Ù son béait livré saï La Pel1s!\{) l'eliglcl1!1c de Joseph de Maistre, /'ai -appris que le futur auteur du Pupb n'hésituit pas i dans sa haitie à l'êffarà de Bonaparte-, « nullité toVLte*pttisMn<le », à traiter. Pie Mil de « polichinelle salis conséquences.

Alors ? Parmi les unies t/ufse rf«stnt crouantés, ù quel déchet sertt~l-oti conduit si on fait UiiefMntf ta considération de sincérité dans la pensée et surtout dtins la coti~H~e ? Y Les' réponses (les prédiealeurstblis les temps sont, sûr, ce point, imjiressioniianies et unanimes.

cependant, en tant 'gué témoin {sjfmpnthiqne et .dfàtnt$te~séé,tl «18 semble qu'à l'heure actuelle, l'a fol f/ayne en profondeur ce qu'elle peut 'paraître avoir pe'fdu cn.mrfnce. Ca-

tholiques et protestants se sont

éprouves cilx-mèilies, coiisolitlés par lctu- effort personnel dans.. leur.. cons-

c.ie'hé.ë;

D'antre part, il n'eut pas sûr dit tout qu'un mphdt qttf refuserait de se laisser diviser en lfytiscs particu-

lières, destinées ù une concurrence

sàiis fin, serait un « monde sans reltf/ion ». Le contraire des religions) ee pourrait être la religion ellVmëme, et j'avoitc nue, pour ltia part,

c'est ainsi que jUnterprMe t'oppvsl-

lion des deux Testaments, de rAli*cien et du NoilveaU, comme tiité invitation perpétuelle à pousser jusqu'au fond le sacrifice de lu lettre) dogmatique ou tiymbolique.i ttw proç/rès et tï fa pureté de l'esprit, qtti seul est vivifiant.

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Aujourd'hui, à 11 heures Courses à Vmccuncs. Gagnants du Figaro Prix de Pûteaii.i-. Jalons, Jueunda. Prix île Guiilyatnp. Joyeuse VII, Jeweli-y.

Prix de Bagneres. Isio, Indouvoura. Prf;r de la Gironde. Iéliu, Indore. Prix de Coulances, Le Jaguar, Jolï'ries. Pvi.r de Montêlimar. IMlos, (iramt Duc. l'rix de Vatogncs. Kn«, Hurdl Bouquet.

se voilait d'émotion, il jeta ces simples mots

..Monseigneur, monseigneur, je vou. drais mourir pour vous.

Cela aussi nous l'avons vu et entendu. Des œillets, des fleurs de lit Ainsi chaque jour, au retour des excur- sions au campo Santo, à Pompéi ou à Ra- ptillo, nous retrouvions le prince sur lei Campana. Tout le monde l'approcha, les « amitiés de Cphïpiègnc » garnirent d'œillets sa cabine, les Marseillais semèrent le couloir de fleurs de lis fraîchement cou- pées, les Montpelliérains firent déposer à sa table une caisse de leurs meilleurs raisins. Et au soir de ces journées si chargées d'entretiens et de conversations, guiement il ouvrait le bal ? Un soir que les nommes de l'équipage s'étaient approchés, le comte de Paris leur fit signe d'entrer dans la danse.

Et l'on vit cette nuit-là des jeunes filles de la meilleure aristocratie valser avec des matelots.

La résidence palermitaine

s'ouvre à tous les passagers,

Palehme, samedi.

Dans la résidence des d'Orléans qui évoque plus une vieille maison de famille qu'un palais, le comte de Paris a reçu au-

jourd'hui tous les passagers du Campana.

Les officiers du bord et les hommes se sont joints à nous

Le prince est là chez lui dans cette maison ou vécurent et moururent les siens et où le duc d'Orléans s'éteignit si tristement. Dans ces vastes salons où dorment sous les vitrines et dans leurs cadres tant de souvenirs, entouré des vieux serviteurs de sa famille, le jeune descendant des rois de France ne s'est pas départi de sa simplicité.

A travers les magnifiques jardins, il nous 1 a conduit vers le massif ou à l'ombre des ficus géants pousse allègrement un petit chêne qui fut planté le jour du mariage du prince, il y a trois ans dans ce même palais palermitain où pour les royalistes de France sont nés ce jour-là tant d'espoirs.

DIMANCHE, en mer.

Ce matin, après une première messe de communion, cest la grand'messe qui attire tout le monde dans le salon des premières, Le prince a pris place à gauche de l'autel derrière lequel sont tendus les drapeaux tricolores. Et là aussi, pour les croyants, des paroles de confiance sont prononcées. Puis le chant du Domine saloum fac reqem est entonné avec l'ardeur que je vosUS laisse à deviner. 'j

PROMOTIONS ET MiTliS dans le personne! diplcrriatinue

i\. Hfciitv (Chârles-Àrstm.ey, ministre. iplëtlipoUntiaire de première classe à Ottawa, est. nomiiié envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire de. la Rêpublifjue, a Copenhague. M. Ray ('Marcel) abrège de î'UUiverSite, délégué de la France aux commis-, sions étiropécnite et internutioîiale du Danube, est tiainmé mittistl-e plénipotentiaire de deuxième classe et envoyé éktt'aordiUitlrb de lil RéHUblitlue à Tirahai

M. Carra de Vatix Saiiit-Cyt», conseiller d'ambassade, est chui:gé du consulat général de Munich.

M. Brimère, ministre plénipotentiaire de deuxième Classé, 'chargé des l'uhctlolts de «nnseilltr d'aitibussUtlr! a l'ambhssade de bruxelles, est nommé envoyé- extraordinaire et ministre plénipotentiaire de la République a Ottawa. Mt d'AfUàuld de Vitrolles, ministre plénipotentiaire de deuxième classe à La Haye, est noml.né ministre plénipotentiaire de première classe.

M. Maugras (fiâslon), ministre plênipotehtiatre de deuxième classe à Tehdraii, est noiiimé en.Voyé extraordinaire et niinisti-e plétiipotentiâlfc de la Hé* ptlbiitjlie, A BUVlil|1c«t.

̃ M, 'Morand (l'aul), secrétliire d'ainbassltdc tlo premièi-c fiasse hors 'cadre, est nommé conseiller d'ambassade et maintenu JioVs .^adrfei

jl. Dollot, ministre, plénipotentiaire de deuxième classe, chargé du consulat général deMilmi, est noninlé envoyé t'xtt'aordinidrt1 et ministre plénipotcn». tiaird de là République, à Caboul. M. Pùr.tA, ministre plénipotentiaire dfc deuxième classé llot-s cadre, est. nommé ministre plénipotentiaire de première classe hors cadre, replacé dans le cadre des agents de son grade et envoyé' extraordinaire-' et ministre 'trfénjptjtirntialrelti 'Képublitiue, à Tcllénuï.

M. du Sàult, conseiller dVtnibassade, fest'im)miné délégué de lli France au* «SomiiHsBlbns européenne et internationale du Danube.

M. Marchai, cottsni suppléant, faisant fonctions de secrétaire d'ambassade de deuxième classe àlégation de Munich, est chargé des fonctions de son grade au consulat général de Muiych. "M. ChaÈsàtng de BoUrdi'illi', vice-iionsUl, secrétaire archiviste a la légation de Munich, est îiommé vice-connu! percepteur tttt- Inéme consulat général. M. Bàfrois, ministre plénipotentiaire de deuxième classe, chargé des fonctions de conseiller d'ambassade à l'ambassade de ;M«dridi est nommé envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire de la République à Caracas. Navires détruits par le feu A propos (le la Catastrophe survenue A bord du Monô-Castlti on cite les navires suivants qUi, entre autres, furent également détruits pur le feu En Î758> le Prtnre-deorge, eu route e pour OlbrallAf, catastrophe qui eo'ùla la Vie a près de 41)0 personnes; en 1800, lu Quetn'Chttrhttt, 700 moi'ts; en 1850, l'AUstifm ail iulilii'U de l'Alliiullt)«e» 471 Uiofts; en 1874, le (ïo«/)«fi'lV/ en route pour la Nouvelle-Zélande» 4 711 morts en 18!V0, le Shanyliaï, dans lu -Méditerranée, 300 morts; en l!)04, le Gt'iwratSïo'- t:»;ii, en face de Long-lshind, 1 .'200 morts; en 1908, le S<iïilit>ia, en Méclitevranée, I!a3 inin-ls: en l'Jlit, le Valtuf- lln. dans l'AlhintiqUc. lit» morts, et, eft 1023, lu Georget/t-PhUippav, 4!) itiorts.

UN CHARGEMENT D'OR Le Iransatlantique Itli-de-Frunce, attendu nU HaVre aujourd'hui, Venant de rNbWiYoi!k}'Kn#p<tttc.un chargement de .1:18 bart-es »l\>r-, •«̃présentant une -v*.Jpur :dc ,8,370.1)15 tWJars.

g BfcPTEMfinE

REVUE 1. DES

DEUX MONDES

Général DE BENEY Les fortifications du Nord-Est JEAN MORGAN

Madeleine

Gouverneur OLIVIER Circuit umi'Hctiiii

Atat' d'un tu Pari» 100 fr t D<ptrt" 101 h.

840 paqfet

Le Comte de Paris

lit sa déclaration

Gènks, mardi.

Le comte de Paris a pris son dernier .déjeuner bord dans la salle à manger des troisièmes. Mais le bel entrain des débuts est tombé. l.es camelots sont tristes» l'heure de. la- séparation approche. Du haut du pont des premières, dominant l'arrière du bnteau où lu foule s'est portée, le prince adressera duns un instant un ultime adieu. à ses partisans. Les drapeaux sont à nouveau sortis de leurs gaines, les vestons s'énuullent de légions d'honneurs, de niédailles militaires et de croix de guerre. On a dressé des tables pour le champagne. Les photographes s'affairent. Sur le môle, de nombreux Italiens sont venus saluer le neveu et le frère de leurs princesses Lo voici. Il s'accoude au bastingage, baisse la tête cependant qu'une clameur monte vers lui, formidable. Puis, dans un silence religieux, la voix de M. Maurice Pujo s'élève qui rappellera ir tous les grands principes sur lesquels reposent l'amour des princes et le salut de la patrie.

D'une voix bien timbrée, calme malgré l'émotion qui Pétreiiit, le comte' de Paris lit ensuite la déclaration que je vous ai télégraphiée hier.

La séparation à Gênes

7 heures. ̃ La huit est tombée sur le port de Gênes. Le Campana appareille. Le prince une dernière fois, est- passé devant nous, le cœur gros.

Il se tient maintenant sur le quai, accoudé à la balustrade, les yeux clos, la tète dans les mains. Le comte Pierre du La Rocque de Sèverac est a ses côtés. Pendant un quart d'heure, silencieux et méditatif, il demeure seul ainsi devant ce bateau qui retourne en France et d'où monte, sans cesse, le chant de La Royale. Et puis, lentement, le Campana •s'ébranle. Le prince s'est redressé, la main levée vers nous. Lu foule se rue à l'arrièrepont pour le voir encore à mesure que nous nous éloignons; les mouchoirs s'agitent, des camelots grimpés dans les cordages, sur les mâts, s'égosillent. On. ne distingue plus maintenant que la haute silhouette du pril1cequj se détache dans la nuit. Il restera là, immobile, jusqu'à la fin, jusqu'à ce que les derniers chants et les derniers cris se trouvent balayés dans un sanglot.

*̃'̃•

.̃*̃

II n'y eut pas de farandole, ce soir-là, sur le Campana.

Simon Arbellot.


frftt Pntei-m>H, la jeune le mille de.Chafleft' BoSér.

LE THEATRE ÉCHOS DU THÉÂTRE

DATES RETENUES

Ct Muii- vciitin>(ii 1 ̃ s*iiiteminc A. B. 0. réouverture.

Clrqut! Mcdrano RéoUVïrture. RithieiH 15 Sp»t<Miibrc-

Detit-Anes En selle jioilt lu rtOUti niunli ia acini'Miflie

Théâtre des Buiillc»-Parl«iens 1 Toi c'ièl inoi.

Vendredi SI .Sj'tltelHbi'é

Théâtre de la Michodiêre (réouverture) Lus temps difflcilët,

VentlrciH -2S st'vtfniUte 'l'Ileûtriî de l'Athaiièe AtllfJllitryùn 08.

Mme Ida tfubJnstciii doit aller doitnef /.« Peniphouc d'André Gide .et Igor Stfavinsky h Lundfes, au mois «le Itovembfe prochaiii, sotis la conduite de l'auteur.. ̃ ̃ ̃• ̃ Oi'fiitA, La représcfitatlOn de La ̃Valkfirie, qui coiislftik- le. spc'cHtfle de ce soir, sous dit'Ucîion de M. Ruhlmtuni, eommencera très «xuetemeut b 20 houi'ts.

bemain, pourda reprise attendue «les samedi» «lmmiqucs, h tarit' réduitj Samsan et Ualiluv et» reprise de Huile de hanses, de Chopin, avec Mlle Camille Bos ct Al. GouDé.

•V Précisons que, suivant Un u\agc constant à l'Opéra, les principaux rôles de Sigurd, en vue de la prochaine reprise, sent travaillés simultanément par plusieurs titulaires. C'est ainsi, par exemple, tjtic le l'ûlç de Sigurd e»t distribué ft MM. LuKïloiiî et Snint-drlcq, et eelui de Gunthcr a MM. Brownlec et Murtial SIliglH't1. '2 <!omédib-F»ancaisk. Aujourd'hui, en soirée, à 8 h. HO, ̃ L'AOenhirftre, avec MM. Albert Lambert fils, André Brnnot, Jean Weber, De Riaoull, Balpêtré (première fois), Mmcs Maeolle Gàbarrc, Gerniaine Houer Le Cirur a ses raison, <lc Robert de Klers et (î.-A. de Caillavc.t, avec MM-, Roger Montoau.v Jacques Gullhène, Mme Irène Brillant.

Opéba-Comiqçb. Dans Ftasqiiitn, qui sera donnée dimanche en. matinée, une innovation dés plus curieuses sera réalisée en scène la danse des girls, centralisée par M. Baldous, ne sera pas seulement exécutée ehorêgraphiquement par les danseuses du corps de. ballet' de l'Opéra-ComiqUe, mais elles, chanteront aussi les amusants couplets de Lehar eu éclatante voix de soprani.

Petites nouvelles théâtrales 4* Mme Marguerite Templcy est engagée au Théâtre de la Madeleine, pour jouer dans la pièce de M. Sacha Guitry. Le Nouveau Testament, dont la répétition générale reste fixée au l*r octobre. + Les succès littéraires de Philippe Hcriat ne lui ont pas fait abandonner son métier d'acteur. Il vient d'être engagé par M. Barnowsky, et nous le verrons sur in scène du Théâtre des Champs-Elysées, dan» Cortime' il vous plaira.

DEPLACEMENTS ET VILLÉGIATURES DES ABONNÉS DU FIGARO,

Mme Ferdinand CAPLAIN, à Blanchevienne, ` M. L. CARTERET, domaine de Clairefonudne. Mme la duchesse DE CASTRIES, au château de la Saulaie.

Mme CATTAND, à Thoiry.

M. et Mme J. CHARBONNEAUX. à Marseille. Mme Henri CHARPY, à Butarand

Mme la comtesse Albert DU CHASTEL, à Bruxelles.

Mme la marquise de CHAÏEAURENARD, au château de Bois-Bertrand.

Mme la comtesse Georges DE CHA VANNES, à Lourdes.

Mme Maurice CHEVASSU, à Doucier.

M. le comte Henri CHEVREAU D'ANTRAIGUES, à Ouchy-Lausanne..

Mme Maurice CHIRAY, à Biarritz.

Mme la comtesse DE COURV1L1.E, à Longue. Mme la vicomtesse DE CREMOUX, au château de Fremauret.

CROS, à Cliarelltoll.«

Mme Robert DECAUVILLE, au châtelu de Changy.

Mme Paul DUBOSCQ, à Biarritz.

Mme DUCOS DE SAINT-PASTOU, à Londres. Mme J. DUFOUR, au châtiait de Rlchetlti. Mme Adrien DUTEY-HARISPE, à Versailles. Mme Ludovic FAVIER, à .Montigny.

FESCHOTTES, à Versailles.

Mme DE, FONTAINES, à Ncug-sttr-Becuvron. M. IPaul FOURNIER. à Saint-Germain-en.Laye. Mme la princesse Alexandre GAGARINe; à Versailles. Mme E. GAILHAC, à Londres. ̃

Mme la baronne E. DE GALEMBËRt, au château de Lalongue.

M. H. GAUDON, à Varennes-s.-Techc.

Mme Fernand GIBËRT, au château de Crée}'. Mme la marquise GIUSTINIANI, à Roncegno. Mme DU GUET, à Aix-en-Provence.

Mme Jean GUILLEMIN, à Veyrier-du-Lac M. le lieutenant HEROUAR.T, 3 ÏIont-Dau-

phin.

M. Félix HOUSSIN, au .château de Soulalre. M. Pierre JOLY, à Eianville.

Mme Victor LAGARRIGUE, au château de Mus. ̃ ̃ ̃

Mme Mathieu LAGRESILLE, à Nancy. Me Paul LALANNE, à Aud.ignan.

M. le capitaine DE LA MAISONNEUVE, àu château de Bernières-sur-Meer.

Mme. la comtesse DE LA REGLE, à Adelboden. Mme DE LA RINIERE, au château des QuatreVents.

Mme la vicomtesse DE LARY DE LATOUR, à Toulouse. >.

Chocolat edt mmt

ChocolHt, le clown Chocolat» le fil*- dit

fameux |)nrtohttit-e dti VooVit est tttoft. Il donna lii'lllmnmetn 1« t'eplldiiè k Porto, sur la piste de Médl'HHô, 11 laissé sa famille ilutis le plus gl'Hhd dénue-

ment.

Les obsèques de Berthiet Les obsèques de Uertlilét' ô(U tu Hèu hier «nitlii! bh l'êglife Ndtte'UâlHie» dii-Ti4avnlli eu nrtisenee d'une usulstanee émue. M. vieior Fitttiet'ii a lu quélt|lles pages ptilgHnlltes, (JUfe M. McHl'y Bdl'I'IStein avait ëtîi'ltPH en homttiage au comé- dien qui joua souveiit ses œitvi'es.

Liï beau madâge

-f tic ihnHdgf df Mme Maf.V Màt;t|ufet

et de M. Vitflor ^l'niH'fil, tjue nous aVotis annonce liler, ntii'ii Hctt le 26 septem- bre, à 1« ilirtti'ie du V1IK

Les tèmoliis scrotit pour Mme Afuty. Morcjuct, M, Emile Fabi'e, administra'' teur de In Comédie-Française, et pour M. Victor France Edmond Laskinè. MUSÏC~S~MBA~ Me'di'ario; 21 heure*s, réouverture, première rcprésonUitiofl du premier spectacle accéléré p de la .saison. *î* Jt. Henri' Vaiiia, tlirfccteilr du Ca-' sino tle P al-is. n-tient In tlttte du sameili 22 septembre» pour, la première représentation de la grande revue Parade de

ï''fnM.e. ̃̃

+ Deiiiuin samedi 16 'Septembre. répétit:ioii générale (a bureaux oUterts). de e la nouvelle revue des Déux-Ancs. Aux.Folles-Hcrgcro, !tt rcttttco de ]«' célcbve Mistingiu'tt. a donnt; Uu rejain. Houviittu à la revue Folies en l'otie, Jf. Paul Dei'val a tous les loisirs pour monter sa nouvelle grande revue d*til-: vdiv jtjul comprendra,. nVdc Une interprétation hors pair, d'importantes scènes comiques, et de nombreux ctouVtte mise en sçènfr,: «don la tradition des Folits-

Bergérey' ̃

.4- MM- Uenlfi ;et I.efcbvre rclicimctit .date du samedi 22 septembre pour la réouverture <lu Concert Mayol, avec la revue à grand spectacle de MM. 'Vaitfcr et Buzelin. La répétition .générale: aura lieu le, mercredi 26, en matinée. 4- DoniHin samedi, a 15 heures,' au Théâtre des Marionnettes du' Luxembourg) Robert Desarthis présentera une nouvelle version de Robïnsqti Crusoê, roman d'aventures à grand spectacle, agrémenté de ballets.

4* M. Charles Fallot; chantera aux'K.0.0 tambules.

COURRIER MUSICAL *t« Les Concerts Colonne, qui apportent leur collaboration aux actuelles; représentations de Peer Gynt à la Porte* Saint-Martin; auront lieu, comme de coutume et depuis plus de soixante ans, au Châtelet; Ils reprendront les 13 et 14 octobre, sous la direction de M. Paul Paray, président-chef d'orchestre.

Mme la marquise LE GOUESLIER D'ARGENCE; à Chantilly.

Mgr LESENNE, à'Beauvais..

Mlle Y. LËVY-ENGELMANN. à Ondreville. Mme la comtesse DE LOMEDE, à Réveillon. 'M; le duc DE L'ORGE, à Lailly-ën-Val. Mme L. LOKlN, à Versailles.

M. Georges LUCIANI, à Moscou.

Sltne la vicomleiae DE MAILLE, "à Angers.Mine ̃• Gcrtrd MANTE, à Valmante.

M. Michel DE MARGERIE, à Vimoutiers. Mine la comtesse DE MASIN, à Mardllé-Robert. M. J. MATHEV, à La F<rté.

Mme la comtesse Guy DE MAZENOD, à Fontalnebleaîi.

Mme MIALARET, au château de Triouloù. Mme la' comtesse DE MJSSIESSY, à Châtûlonilir-Sei»e.' '̃̃ ̃

M. Camille .DE MONS DE 'CARENTILLY, à, Chartres.. '̃'̃̃̃

Mme B. MONTICELLI, à Roquevaire. M. Léon MOREAU. au Prieuré-Saint-Maur.. Mme Victor MUSNIER, à Villoiscau.

M, Louis DE MYTHON, à .Amiens, M. Valentin DES ORMEAUX, au château de la Riallais. M. ,Hl!BEkt DE PARSEVAL, à Senlls. M. 16 vicomte PERRET DU CRAY, au chfoau de Change. ̃

.M. François PLANTE, à Saint-Avid.

M.le, capitaine GUÏLHEM- DE POTHUAU, ̃»̃ à O'rajif ̃ Mme DE PREVAL, au château de La Chan-

deau.

M. PUGET. à Tours.

M. C. P.UP.1ER, à Lyon.

;;M, le.' baron R. DE RAVIGNAN, à Mcssery. ̃Mme .'1* baronne Albert DE RAVINEL, à La

Bau!e-âUr-M«r.

Mme la baronne André REILLE, à Mariency. Mme la comtesse P. DE REMOND BU CHELAS, *̃̃ Redqm ̃ .Mme Jules ROBERT, au château de Mont-

meilleur, .̃

Mme la comtesse L; DE ROUGE, au château de

Freines.

M. José VAN ROSENSTOCK, à EstorilJ M. le sous-lieutenant de réserve. SALLERJN,

i Larzac ̃ ̃

Mme SALLES-EIFFEL, à Sèvres.

M. Henry SIMOND. à Là Roche-Giftart.

Mme. F. DE'SlNCÂY. aq château d'Auson.

Mme Georges SKOUSES, à Padova.

Mme E. STANLEY HENDERSON, au château de L'eforest.. ̃̃

L e P !• o gram mm d'au [j o iÊjMi^JhjaJ

THEATRES

OPÉRA (Opêl'a 0743), h 8 heufes Vàlkyrle. COMlBDtiE^RANÇAISE (Itieh. 22-70), à 8 h. 30 L'AVIntd- rlé* Càlttédle éii qilalriî actes. eu vers, d'Ellille Auttfih (MM. Aibêfl-LHmbprt fils, André Brtmot, Jean Wêisef, Un «igduH, DnlDetré (pltlnlere fois); Mmes Marcelle Oabltttfi Glsflttalne RaUer).

Ll G«ue k 1M f»l»»H», coUit'dtt! l'ti UB atte, cii prosf, de ttôbèrt de PlM'* et O.-A. de GaMaVCt. |MM. Roger MoittêaUJt, JU!<!tues Oullhcnr, Mille Ii-MlC Mliàftt). onHfflifmiMjit

CMAÏfetftT (UUt. 02-87), a 8 h. 30 i ttosê de Mânee. onêrbttè X Hl'Ulitl S0ettacle do M. MuiiL'ïy-lioii, Ij'Htè W. Albert SVillsihete! Musique de M> Humbet'g. Màtlfiéé» i jeud! et uTiHKiluhe

ftVMNABK (Proveuue lfi-iô). a 0 li, 15 L'ÀM^Ut, dt! M. Mertfy Meinstt'iii. (Vk'tor Frttticeil, Hciifie Hevlllers, Oell'tiUl'l") Ai'Vfl, Uley l.i^PI'. rfCâtt Uavy, Ollbert Ull, Geoisés Kleol); Mutiiiêès jeudi et dlmalR'htK

MICHE! t. (AtlJOU îla-oa), h 9 H. Oht'PaifU.m'êHi, revue de ftlB (Mmes Mot'ênu, Betty Spull, P. CâHoni MM. Mauriectj UaBaibtilie, Jean .Wal).

fMKAÏp MoBAiJOft Cii'lth 48*9)i « h.;8»t Va»Mhw; dH GnivU.&UtiCi d'-EMelt GI1W6U. îpôWàl, Vlibert, De* btt, (ioavtc, Bèvet-t Mlles Hilènê ftcgelly, flôB» Gardas», flèveily, Motisttè Dinàj»),

PALAIS-ROYAL (RH'lielieû 84-ï»), â î) heures < Un trou d»n» itanti U «lut. de M. 'Yves Mîtitiide, (Ltluc l:Rb|tflc, HellH KBstehi, ti.uy lUpp, Alidi'é» clmiiipcatix, Uolly Fairlié, t;liar)è» heK>JUx, Jean Boiivilliei-ài Kruiiuolsu Brohali et Oimide MBrty). ïORTKiftAt^T-MAUTlN tN"«l Il7^:t), & S h. 20 f ter Gynt (Mme Siiznmie Després, MM. Roimiald Joubé, Mme NyotaInyoka). Orchestre des Concerts Colonne;

SATtAB-BERNHAtlDT (Awh. 00-70), à S h, 45 La Lctlrc pièce en trois actes et liluft tabltttuX de Ms W. -SmUefsrf Maugham: adaptation française de M. II.. de» Ca«)Ucc;ià,: av«c Mme Mftdelcittc Sofia, M. Lucien noïciibèrg; MM.: I'aul Lluis, P. de Guingamp et Kp)la-N6rmaU. ̃ .̃< DEJaJîËT, •» HéUics: Dût folia «n l'air.

.-GAITE-LYRIQUE La Veuve joyeuse GRAND-GUIGNOL, à 9 heures Le Système du tloctéùr Ô6u- dron et du professeur Plume. MARIGNY. à S h. 45 i L'Euùl» des CoUtribuâblés. ""NOUVEAUTES, à 8 h. 45 Les Soeurs Hortensias. ";̃̃;̃ :̃̃ y 'y: MUSIC-HALLS, CABARETS, CIRQUES FOF-ieS.BfiROERE, à $ II. 30! Folies «n FAlie, revu» en 30 tableaux de MM. Mdui'ics Horiuile et Jean Le Seyeux, sketehes et, chansons da M. Albert Willenuu, avec Mistiu- guett et Randal.

DEUX-ANES, à 9 heure» s Mtniona l'escroc, ravutj M lu ehahsO'Jiiicri.

THEATRE DE MX-HI5URES (Mavc. 07-«8), à 10 heuïes Martini (éil .exclusivité), et la Revue, avec Max Régnier. ALCAZAR DE PARIS, à 21 h. Rerut 1900, Viens Pnuvoulcl, r, ̃ Cleo de MlWode.

CASIKO DE PAIdS. à 9 h. Grande revue Vive Pari», D1X-FRANCB Trêve si tu veux. Les l'hansonniW's. MEDRANO. à 9 h. Revhero, A. Powell, altractious. Matĩnt jeudis, Samedis et dimaiwhes.

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8TUDI08' ̃̃̃̃ -;̃̃ STUDIO DE L'ETOILE Symphonie (nachtvée. 14 h. J0, 1B 11. 30, 21 h. 15..

Pour les abonnements, s'adresser 18, rue de Tocquevllle.

C'est par erreur, nous l'avons signalé, qu'il a été dit que la célèbre Association abandonnerait le Théâtre du Châtelet. Le long bail lies 'Concerts Colonne avec la Ville de Paris et leur parfaite entente avec M. Lchmann, directeur du Théâtre municipal du Chàtelet, ne sauraient donner la moindre créance à cette nouïeîle tendancieuse.

M. le vicomte Alain. DE TROGOFF, à Chiteaubrlatit.

M. Robert TROKCHIN, au château de Lavigny. M. André TARLIER, à Laghouat.

M. THOMASSÈT, au château de Boisrogheax. Mme A;' TINTANT, à Versailles.

M. R, VERSEIN, au Vésinet.

Mme la marquise JJE VËYNY D'ARBOUSE, à Pâtamé.

Aime, la comtesse Arnaud DE VOGUE, au Tremblay,. •'•̃

M. -le- baron Paul J. VORUZ DE VAUX, à Nantes, > M. Albert WEBÉR, à Evian-les-Bains.-

S., Bac. Mme la marquise DE MALASPINA, à Tortofyi.

M. A. ALBIER, à Bayonne.

Mme ALVERE DE GRIEGE, au domaine de

Goyetchea.

Mme ta comtesse Paul D'ARAMON, à Heridtye. Mme: AUBIN DE SAUJEAN, aux Sablesd"01ontie.

Mme.L. BARGUEY D'HILLIERS, 'au château de BrUsac

Mine BATBEDAT, à Nice.

M. le comte Antoine DE BEAUREGARD, au châteiii de Barbe.

M; Mttutice BIFFE, à Marty-lc-Koi.

M. Marcel BONNAIRE, à Saint-Mézard. Mme baronne DE BOUCHEPOly», au. château de Degrés.

Mme' la comtesse, DE BOIÎRBON-CHALUS, au château ,He Wsigneus.

Mme BOURCY, à Toulon.

Mme Georgés'DE BOUTIGXY,:au château' des

Mesclanges..

M. Joief BREITBACH, à Br»îfy.

Mme DE BREM, au château du Lan. Mme Jules BRIOT, à'Saint-Dié;

Mme DE BRÔUTËLLES. à Deauville.

Mme Bl'RIJIN D'ENTREMONT, à Saint-Ro-

noré-Ies-Ba(ns. ̃ ̃

M. le "comte CAHEN D'ANVERS, à La Baule. M. B. CAYRON, au domaine de Lsuzerenque. Mme Pierre CHANVIN, à Chablis.

Mme Alfred CHAUVAC, à Aix-les-Bains. Mme DE CLERCK, à. La Torchère-Saint-Just. M. le capitaine de .corvette DE ROBIEN. au château de MoRtmirail.

M. le comte R»oul COSTA DE BEAUREGARD,

nu'chàteau de Montangey.-

Mme la Comtes* L- DE COURSON, à Vichy.

M. Je vicomte Paul DE COURTIVRON, à ta Motte-Louin.;

Mme COURTOIS DE MALEVILLE, M châ.; teau de Lagalde.

PaUIéj et Mireille Serrer flnn« « l'Êt-oltt tic* Contribuable* ».

STUDIO MAU8SMAKN i Valse» impériale*. 14 h. SO, 2? h.,

lit U,

Bfutrtb UNiVÉftBKt- (31, avenue de l'Opéra) s Bnt-énu décrurent» (l1, O'Brieii), ungl., s.-t, frstls&is; Pefhl, 2 h, à È 11., s. 9 11. 13,

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MOMtMftWtBE > Offehft >:» aoULEV*ttb»

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ïottriuerttt. Mut; 3 h., sait- 1) h,

APOLLO VeHttancé d'nHHte, J'écoute, l'crin. de 14 heures à 2 h. du limtln.

CAMBO i B.vnittlWntc lh»cheY*e. (Vers, di-lc., solta-ttt. fr'ftiiç;). Pltsse ft 10 11. 10, h..lus 14 h. 26, 10 h. 32, 18 h. 40, H, 44, .ÏB h. 50.

ClKlE-OPERA (rtVi de l'OlnH-a) The bluck tat (d'après Edgar t'ue, ̃avec liuiis Knrloiï),' l'erm. de 2 h*> à 8 li.; soir., 0 h. tiDOUARD-Vit tpl. tti.-Vll) t Llttie Wornen. passe à U h, Uo, h. 5, 'Jl h. 4u.

POMfiS-DRAMATtQtJÈS t Pêttteuf d'Islande, l'errh. de midi A minuit.

OAÙMONf-PAL.ACfè (littirc Cllchy) Le Hë>oB de* datf»«i. OilOMôOT^TîMïKr~rLT"srttTTâfiï~'àbTMariPSfiir"de 10 heures il mlmlll.

IMPËIUAL 129, bil des italiens) t L'Or. Penu. de 14 h. à minuit..

-,1KA,DpEIfrTE-CINEMA (1 <̃ 1)d M mlçl t-iiie) Vît» VllU l'asSd 11 12 IV. 14 il- iio. 1H 1). 'lit, liV"h. iti, 21 li. il.*i, ai ht HôÏÏEÏÎi'.ttOUori trsîâïîHiiiTîrPci-îui ïleTOi. à minuit. MARIVAUX (10. l)d des Itnllelis) Ainok (soirée de gala, lnireotlx fermes).

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soir., 21 h. 16. 4 ,-J' Q 3 $ -j

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OM*mP8»gL V8EB» « ETOILE ̃«"»- »- "̃CMAMPS-Kr.YSEKS (118, Chumpt-KlysOeo) Jtuhes flllH «It uniforme. Pusse a 15 h., 17 L, 22 h.

CLUB DiARTOIS (49, rue d'Artois) Le SpMnt. Mat., 16 h. Soir., 21 h.

COL19KK (33, Champs-Elysées) Le Chaland nui pa»«e. l'ôsse a la h., 17 11. 10, 22 h..

ELYSEES-GAUMONT Les Amante fucttifs. Peïm. de 15 h. a l!l h. Soir., 21 h. 15.

ERMITAGE^ (V2, Champs-Elysées) t'Etole de U Sentit*. pusse à 15 .il. 43, 22 heures.

LORB-BYRON (122, Clitimps-Elj'sées) 1 L«» Amour» de Cellini. 'Pusse a 15 11. 10, 17 h. 20, 22 h. 30.

̃ MARIGNAN (27, Champs-Elysées) Ariette et ses papas. Passe a 14 h. 42, 10 h. 47, 18 h. 52, 20 h. 57, 22 h. 2. MARHEUF t Pirates de la mode (\V. Powell). Parait de 14 h. 4B T 11 Soir., Si 11. 15.

V1CÏ0R-HU60-PÀTHE La 5' Empreinte; 8mok>. 14 h. 45, 20 h. 4û.

WASHINGTON 1 W.r Cnrreapondent. Passe à 14 h. 30, 10 h. 30, lS li. 30, 20 h. 30, 22 h. 30.

Les salles, habituel inmtSnt citées, île figurant pas au pro- gramme, sont eu clôture annuelle.

•('̃ A nos Lecteurs

et â .nos Correspondants I

et à nos Correspondants

Nous demandons â nos amis et à nos correspondants de bien vouloir adresser' toutes leurs lettres et leurs envois à M. le Directeur du Figaro. Nous les en remercions, car ceci facilitera notre travail et évitera des erreurs.

Mnic la baronne A. DE DAMPIERRE, au château de Saint-Philip. i

M. DARCY, à Gouville.

M. DESTREM, à Ais-les-Balns.

Mlle Julienne DÏLLÛN, tux Trois-Epis. Mme DORLENCQtJRT, à Vichy.

Mine DUCELLIER, au Mans.

Mme F. D0MONT DE MONTROV, au château de Titloy.

Mme la comtesse Victor DE DURAT, au château d'Auxon.

M. le général DUSEIGNEUK, à Chantemerte. Mme DE FABRIJGITES, à Montpellier. Mme Joseph FAURE, à Asques.

Mme DES FORTS, à Clervaiu.

Mme le baron Guy DE FOUCAUCOCRT, au château de l'Albe.

Mme la comtesse DE GALARD, à Blivfes. Mme Edouard GAUTIER, à Néris-les-BaiOB. Mme Gaston' GOUIN, à Portbfino-Gare. Mme Pierre GROMARD, à Savignles.

M. le comte HALLEZ, à la Grand'Maison. Mme Louis DE LHARGUES, au château de SaintFulgent. M. le .capitaine HAYAUX DP TILLY, à Dijon. M. Emile ISNARD, à Marseille.

Mme la vlcomlesse A. DE JACQUELOT DU BOISROÛVRAY, à Benodct.

Mme la baronne K1RKPATRICK DE CLOSEBURN, an château de ri«le,

M. le comte KOSTIA DE I.OUVENCOURT; au Caire.

Mme la marquise DE LA BEGASSIERE, au château de Mômuy.

M. Jacques LACOUR-GAYET, « Forges-les- Bains,

M. le lieutenant' LANCRENON, â Juzennecourt. M. Marcel LANGLOIS, a BintriU.

M. DELAVALETTE, au château du Rouai. Mme André LEROLLE, à Marly-le-Roi. M. Bruno I.EYDET, au château de Montet. M. le comte DE LONGEVIALLE, à Bourg.Saint-Andéol. Mme la comtesse Ch. DU LUART, au château de La Bretesche. Mme Georges M'ALLET, à Strasbourg.

Mme Emile J.. DE MALLMANN, à'Poitiers. M. René MARCHAL, à Rome.; Mme la comtesse DE MAURES DE MALARTIC, au château d'Yville. ̃

M. Louis MICHEL, à Nice.

Mme DE MOLAING, au château de Condat. Mme la comtelsc DE MONTANGON, à Cabourg.

Mme la .comtesse Jean DE MONTI DE REZE, à Redon.

Film dynamique

Dans un cinéma de Mexico, où était donnée la première représentation de Vioa Villa, qui retrace les exploits sanglants du bandit héroïque, les spectateurs par mimétisme sans doute ont jeté deux bombes, qui ont blessé une femme et provoqué une panique indescriptible dans l'assistunce.

Mme Gaëtan DE NAVACELLE, à La Baule. M. le baron Alexandre DE NEUF VILLE, au château de Gerbevlller.

Mme la comtesse Albert de NIOAC, à Aix-lesBains.

Mme la comtesse DE NOVION, au château de Terlan.

Mme ORY-LAVOLLEE, aux Mesnuls.

M. Joseph DE PAVIN DE LAFARGE, à SaintGermain.en-Laye.

M. Philipi» PAYRASSE, à Aurillac.

M. PERRAT. à Lyon.

Mme PET1T-DELCHET, au château de Prestes. M. l'abbé PEYROUX, à Vatan.

M. et Mme Louis PIC-PARIS, à Bordeaux, M. Henri PICARD, à Orsay.

M. le baron DE P1ERREBOURG. à Vauxbfun. Mme Albert PIOT, à Pau.

M. POTTIKR DE CYl'REY, à La Baule. M. le commandant QUANTIN, à Meximleux. Mme Qt'ENU, au château de Bolssy-le-Sfc. M. Nicolas RAFFALOVICH, à Milan,

M. Charles RICHER-DELAVAU, au château de

Montvellle.

Mme !a vicomtesse Jean DE ROCHEBOUET, au château de Rouvoltz.

Mme Paul ROL'VIERE; à Bandol.

Mme la comtesse DE SALVERTE, au château de Lapeyroux.

AI. le comte Maxime DE SARS, au château d'Urcel.

Mme DE SAU VILLE DE LA PRESLE, i ta Queuc-les-Yvelines.

M. le vicomte DE SAINT-FELIX, à Nice. Mme Ernest SERVET. è Auxerre.

Mme la princesse SEVASTOS, au château de La Rouasclière.

Mme la baronne R. DE SOULTRAIT, à Cornpiègne.

M. Gaston SYMONET, au château de Prezeaux. M" THOREL. au château de Fiti-James. Mme de TOULMON, à Laval.

Mme la comtesse Maurice TREUILLE, au château de la Tour-d'Oyre.

Mme la vicomtesse G. DE TRUCHIS DE VA.RENNE,, à. Besançon.

Mme Hugues VALETTE, à Viallard.

Mme la comtesse DE VANDIERE DE VITRAC, au château de Montbrun.

M. le vicomte E. DE VILLIERS DE LA NOUE, à Grosbois.

M. VIVERON. au Hohwald.

Mme la comtesse Patrice DE WARREN, à Medjez-el-Bab.

Mme E. WEIL LEHMANN, à Strasbourg. M. Georges WINKLER, à Epinal.

Dnllltle DArrlell* dttji* Mi* cii'iir t'appelle ».

LE CINEMA

̃ ̃ i

D'UN STUDIO A L'AUTRE

© M. Juc<lUes FeS'der vient d'engager,

pour tourner dans La Pension Mtinoén, une

JftUtir actrice américaine, d'origine cubaine, MllB Cuvi-ca. .\lilérlcnlllc. d',O\'lI!, hie' cUhaine,

© ltette Lucijf réalisé actuéileitietit uti flhn stii; le football.

© MhUrlciî Sollln tourne Trois tiges de. ht vie d'Uni' Femme, «vèç Tuttiara Loundina. © Apres Lu L'ointe Oblt^ado, Mlltnrt tourttl'rh» sotts la direction d'André Hugon (înniixltv jiiîii* le ooiilpfr.

® il est question d'adapter à l'dcrân La. Maxcrtftv.

9 Lu Illm que Julien Duvlvier entreprend, Utitijoiha. sein doiiblë en neuf langues. ©' Sdus in direction de Ueza voit Bolvarv, Jeun Servais, JilniiiK Crispth, Marcel Vaili'c, Jinn Ftty, Catherine Foliteney, Lulli'iino Li-niiircliiind, ilartlel tiCCOlirtols, Mar- cel André, l'nul Asselîn, Marc Valbel, Erna Morelia et CUriatiiine d'Or ont tourne CUnpin.

© Mtcrcel Cohen va tourner Lis suites d'un premier lit, de Labiche, avec Jean Wéber, Jeuunc Fusler-Gir, Alice ïissot, Gùby Basset, Marthe Mussiue, Giltîûs et Hiioùl Marco.

© Charles Barrois tournera sous peu Oeil.ï de lu Citmarsue, une opérette.; d'Alibert.

@ J.-V. Coutlsson a tourné un documentaire intitulé Abbayes* © A iJiarrit*, Andrée Lorrain et Andrée Doria ont tourne L'Amorcç. ̃• tliL\

Mme Clotilde WITTGENSTEIN, à Avon-Fontainebleau.

Mme Sophie WYROUBOFF, à Bagneux. M. Gregorio DE YBAIRA, au château de Lortenîa..

Mme Adrien-Jean ZEBAUME, à La Bourboule. 13 septembre.

S. A. R. la Duchesse DE MONTPENSIER, à Vichy.

Mme Henry T. ALLEN, née du Souzy, au. château du Sûuzy.

Mme Jean ANGELO. aux Montils.

Mme la baronne Edouard DE BARANTE, au château de Virieu.

Mme la baronne DU BARET DE LIME, aux Barattes.

Mile Christiane DE BEAUREGARD,1 iu rnsmit de SrrmizcHçs,

Révérend l'ère BERXE, à La Louvcsc.

M. Edouard BERTIN, à Chinon.

M. Louis BERTRAND, à Antibes.

M. René BETHMONT, à Ruffec-lc-Château. Mme Bernard BLOCH-LEVALLOIS, à Vichy. M. Maurice BONVALLET, au château de -'a Bijolre.

Mme Edouard BOURDET, à Tamari--lcs-Bains. Mme Paul BRODARD, à Coulommiers.

M. Etlore BUGATTI, à Molsheim.

Miue Geerges CAI.N", au château de Mor.conîour. Mlle CASTELLAN. à Mariai.

Mme Pierre, DE CATHEU, à Vergnette; Mlle CAZE. D'ORTAIL, à Mons.

M. Jules CESBRON.LAVAU, au château de Lassay. ̃' M. Maurice CHATEXAY. à Dinard.

M. le. vicomte DE CHEMELLIER, au château de Minze.

M. le commandant et Mme Jean CINTRAT, au château de Serena.

M. le docteur C. COLAT, à Fail'oo.

Mme Pierre COLOMB, à Thiais, M. Edouard COZON, a Lyon. il. DES GRANGES, au château de Briace.

RENTREES A PARIS

S. A. R. l'infante DON CARLOS DE BOURBON, Mme ÀGHION, M. docteur D'ALLAlNES, M. A. ALLARD, Mme la duchessé T)'ARION, Mme DE AROCENA, Mme la comtesse D'AUDIFFRET-PASQUIER, M. Charles BASQUIN. Mme BEDHET, M. le baron DE BELLET. Mme Jules- BOLLACK, M. G. BOUIN, M; Maurice BRUGNON, M. J. DE COURMONT. Mme la baronne De DAMPIERRE, Mme DAVY, Mme BRU-

© Léon Mathot toltHie toujours Lt Ct>hi/e ûbiiyaito, avec Hilton, Edith Méra, Paulcltc Dubost, Aftulstapoce, Pierre Etchepare, Germaine Aussey, Robert Seller, Jèàtl Rousselicrc, Lucicrt Cullamatt, etc. © Toujours le « couple » Albert PréjeanDaniéli' Uaricux dans liedê que tbuHle René Gulssarl, avec ciaude Dauphin, LarttUêy et tlai-oh 111s.

CINEMAS PATME-NATAN

CHAMPS-BliYSÉïiS

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ABLETTE ET SES PAPAS

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LE StASdlflS QUI TOMBE

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NO-DUBRON, Mme J.-L. DUPLAN, Mme Pierre FAUQUET-LEMAITRE, Mme la comtesse Guy DE GABRIAC, Mme GALIPAUX, Mme de GOLDSCHMIDT, M. GOMEZ-QUINTERO, Mme GOUZIEN, Mme HOCHART, Mme Pierre JAY. Mme Christian R. KLUG, Mme LAMBERT.VORMUS, Mme E. LAMBIN, Mme la comtesse DE LASTEYRIE. Mlle LE NIG, M. et Mme René DE LEPINAY, SI. LION. Mme MAHLER, Mme la comtesse DE MONTLAUR née PEREIRA-l'INTO, Mme Max MOR1CAND, M. le vicomte Ch. DU PELOUX. Mme Placide PELTËREAU, Mme Pierre PICARD. Mile ROBE, M. le docteur Fr. SAINTGIRONS, M. Théodore SELTZER. Mme ia comtesse S. DE SOPRON DE MONTALE, Mme Armand C. STRAUSS, Mme Pierre THOMAZI, Mme la corhtwsc DE TURENNE, M. André VINEY, Mme :VAN DER VLIET.

S. Exe. M.. QU1NONKS LE LEON, Mme AJ.AV01NE, Mme Henri BAROCHE. M. BARRIS, M. BËNEDETTI, Mme Alfred BERTRAND, Mme DE BLEST-GANA.' Mlle Y. DES BUTTES, Sir Robert CAHILL, M. Pierre CHARLES-COMBKS Mme STERN-CHAUVET. Mme DAUPHIN, Mme DAVIN, Mme Raymond DEVILLERS, Mme Henri DORET. Mme Henri DOYE, Mme A. DUTREUX, M. J. ESTEBAN DE ANCHORENA. Mme Albert FLEURY, Mme Myrtil FRANCK, Mme .jIRÀUDET, M. Georges GOYAU, Mme Marcel HAENTJEXS, M. Charles HANNEZO, Mme E. HEINEMANN, M. Georges HENRY. Mme Berthe LAMARE. Mme DE LANGOURIAN, Mme J.-B. LARGKK, M. Jacques LEBEL, M. LECAPLAIX LE GOUPY, Mme Fernand LEGAY, Mme S. LEJEUNE, Mme Urbain LE VERRIER. M. LORTIC Mme la comtesse LOYRE D'ARBOUVILLK, Mire MALAQUIN, .Mme la baronne Robert DE MARCE Mme MASSING, M. Paul ÎIOUCHOT M. le baron DE PICHON DE LONGUEVILLE M. Il. POtRIH. Mme RIVET DE SABATIER, M. Paul SARCHI, M. et Mme DE TOURTIER DE FOLLEXAY, Mme WOÏMANT DE LEZAACH.

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ET DANS TOUTES LES GARES DE PARIS


II y a quarante ans avait lieu

la première course L'Automobile-Club de l'Ouest, avec le concours de nos confrères le Journal de Rouen, le Matin et le Petit Journal, organise, pour les 29 et 30 septembre, un rallye afin de commémorer le' qua- rantièmc anniversaire de la première course automobile qui eut lieu les 19, 20, 21 et 22 juillet 1894, sur le parcours Paris-Rouen.

Les vieux véhicules participeront à ce rallye, mais pour y prendre part les intéresses devront pouvoir présenter une automobile, un tricycle ou une motocyclette antérieurs au 1er janvier 1905. L'A. C. 0. fait appel aux possesseurs de ces véhicules pour qu'ils participent tous à cette fête commémora-

tive.

A ce propos, nous avons retrouvé, grâce à M. Panhard, dont les véhicules prirent part victorieusement d'ail- leurs à cette première course, avec Peugeot et De Dion, un règlement de l'épreuve dans lequel il était dit que « tous les genres' de propulseurs sont admis vapeur, électricité, gaz, pétrole, etc.. »

Puis encore

« Chaque voiture, montée par l'in- vepteur ou son représentant devra fournir polir l'épreuve éliminatoire un trajet de 50 kilomètres en quatre heu- rés, et ce pour bien indiquer qu'il ne s'agit pas ta d'expériences de grande vitesse l'allure de 12 km. 500 à l'heure étant suffisante pour la promenade, et les affaires. » ̃ L'épreuve réunit 102 engages. "Un succès formidable. Et l'on vit dans la liste des engagés ces choses charmantes

MM. E. Garnier et G. Delannoy, à Beauvois (Nord). Voiture à quatre places, mue par la combinaison d'un moteur animé et, d'un moteur mécani- que

M. A. Duchemin, 153, rue SaintMaur, à Paris. Voiture à quatre places. Moteur le poids des voyageurs. Plusieurs véhicules d'ailleurs étaient ainsi animés.

MM. les fils de Peugeot frères, à Valentigny (Doubs). Voiture à deux, places, moteur à gazoliae;

MM. de Dion, Bouton et Cie, 12, rue Ernest, à Putéaux (Seine). Break six places. Moteur la vapeur; MM. Panhard et Lcvassor, 19, avenue d'Ivry, à Paris. Voiture à pétrole (type courant) quatre places.

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M. Le Blant, à Paris. Voiture à vapeur huit et dix placés.

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M. Albert Loubicre, à La Fertéeous-Jouarre. Voiture six places. Moteur: système multiple de leviers (!) !) On pourrait multiplier ainsi les citations. Nous terminerons cependant sur celle-ci

« Bien entendu, ce ne sera pas une course folle (sic) de trente ou quarante machines à la fois roulant à toute vitesse (resic) sur quelque route nationale ce sera un concours par élimination, sur des itinéraires divers, soigneusement choisis, chaque voiture

ayant son jury spécial. »

Dans quinze jours, nous reverrons ces vieux véhicules s'élancer dans une course folle sur la route de Rouen, A côté U'eux figureront les engins modernes qui dépassent aisément le 100 à l'heure. On jugera mieux ainsi les progrès accomplis en 40 ans dans la construction comme dans les mœurs. André Reichel.

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du bidon de cinq litres Ainsi que nous l'avons annoncé,' le concours du Bidon de 5 litres aura lieu dimanche, sur le circuit dé La FertéBernard. dont la longueur est de 11 kilomètres 990. Cette épreuve, fort simple du reste, consiste à contrôler la distance parcourue par des véhicules de diverses puissances et de diverses charges utiles, avec le contenu d'un bidon de 5 litres de carburant ternaire composé de 70 0/0 d'essence de tourisme 15 0/0 d'alcool à 99" 5 G. L., et de 15 0/0 de benzol raffiné.

Cette année, le nombre des engagements s'est élevé à trente-deux. C'est le plus grand nombre qui ait jamais été enregistré.

Les opérations de vérification des véhicules et la remise du carburant, avant que les véhicules soient installés dans le parc fermé, auront lieu demain à partir de 8 heures du matin, place de la Cathédrale, à La Ferté-Bernard.

Deux concours hippiques viennent d'avoir lieu, l'un à. Biarritz, l'autre à La Baule. A gauche, le général Hujr, de la 36° Division de Rayonne, remet le premier prix du maréchal Foch au capitaine

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Le noir Obie Walker vainqueur de Schœnratl) par abandon

Par abandon au début de la 6^ reprtse, le noir américain Obie Walker a battu hier soir, au Palais des Sports, l'Allemand Schonrath. De ce succès, peul-ou conclure que ÛbiK Walker est le champion incontesté qu'on voudrait placer au tout premier plan ? Sans doute, le noir frappe très fort et se trouve de ce fait être redoutable. Mais il ignore tout de 1* boxe et les rares échanges qui. hier,! furent à l'aiantage de l'Allemand, ont montré que Walker ne savait pas toujours faire ce qu'il fallait face a un adversaire capable de l'inquiéter. Il taiidra donc attendre qirObie Walker ait ren- contrédes boxeurs de classe pour pou- voir le juger à sa juste valeur. TENNIS

Le tournoi de Menton

Menton, 13 septembre (de notre corres- pondant particulier). ̃ }*e grand tournoi international d'été do Mpriton Lawn-Tonnîs Club se poursuit avec un vif succès, met- tant une aimable animation dans la co- quette station. Cet après-midi se sont dis- putées les demi-finales du Championnat simple, qui qualifièrent Jean Lesueur, l'excellent champion français, et Vladimir LanV dau. le dangereux Davi^cupman monégas- que., Résultats

Simple. Oemi-fthales Landau bat d'Adhéniar, 6-1, 6-4 Lesueur b. Médecin, 6-0. 6-1. Simple dames. ̃ Demï-flnales Mrs Sat-'terthwalte b. Mme Mackaroff; 6-1, 6-1 Mlle Belliard b. Mrs PItmaiv 6-2, 6-1. Jean Rouillot. *̃•̃

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Celui-ci est. rappelons-le, long de 9.527 kilomètres. C'est une rude épreuve et l'important déchet survenu jusqu'ici montre bien les difficultés d'un parcours qui passe par les grandes villes d'Europe et l'Afrique du Nord.

pas à la course aérienne Londres-Melbourne. Son avion a été sérieusement endommagé à la suite d'un récent vol. Hier est passé à Marignane un avion anglais piloté par l'aviateur Johnson. Cet' appareil, spécialement aménagé pour le ravitaillement en plein vol, se rend à Malte où il attendra le passage de sir Alan Cobham, qui doit effectuer, le 21 de ce mois, le vol Londres-Australie sans escale.

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GOLF

UAGTIVITE

SUR LES LINKS Au Cercle Sportif d'Évian

Le Concours de golf, handicap par coups, pour le Prix du Cercle, fut gagné par Mme Guyon, avec 73 net. XI. Guyon, second', 78, et la baronne Etienne de Lassus troisième, 79.

Derniers membres inscrits au Cercle M. et Mme Henri Alibaux, M. Hamalgrand, M. Barone. consul d'Italie M. et Mme Sinigalia, M. et Mme Bouchayer, M. et Mme Gacl, Mrs Napier, M.'Mcna»che, Mlle Cnrli, docteur et Mrs Turtle, major et Mrs Hare, commander Hallowes, captain Broadridge, M. et Mme Garnier, baronne de Monilaville, M. et Mme Marcel Vilgrain. M. et Mme Lebert, M. et Mme Jean Millerand, M. Neveu. A l'Etranger r

A Brooklyn

De nouvelles surprises ont marqué la journée d'hier dans Je championnat amateur des Etats-Unis. Eagen.1' Dunlop, Sweetser et le jeune prodige de seize ans Bobby JitcobsOn. qui avait battu Goodman, ont été à leur tour éliminés. Swcelser fut battu par 3 et 2 par Harry Geven et Dunlap succomba par le même score devant Willie, une jeune dé dixhuit ans.

En Irlande

H. G. Bentley et H. Thomson se sont qualifiés pour disputer la finale du championnat amateur d'Irlande, à Portmarnock.

Auparavant, Bentley avait battu L. G. Crawle par 2 et 1 et W. B. Armstrong par 3 et 2.

Thomson a' éliminé W. Tulloch 2 up, puis L'Estrangç, 4 et 2.

.4« cas d'abonnement combiné an Figaro et au Figaro Illustré, prière de spécifier nettement si le changement doit être observé également pour l'envoi du Figaro Illustré, qui s'effectue au début de chaque mois-

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ESCRIME

Les champions

contre la touche unique

Il serait question de revenir dans les · tournois d'escrime à la formule d'élimination pour les épreuves à l'épée, par poule en une touche.

Un premier vote au Congrès de la F. I. E. a traduit cette tendance par une majorité de 17 voix contre 5. Ce vote a été surprenant, car nombreux sont les tireurs en France qui ont manifesté leur hostilité contre cette formulé dont on ne compte plus les inconvénients.

Et les protestations fusent de toutes parts. Géo Buchard, interrogé par notre confrère l' « Auto », s'est montré nettement opposé à cette formule. « L'épreuve en une touche c'est la mort de l'escrimc », a dit Géo Buchard. Puis il a précisé

« Je ne comprends pas l'épreuve en une touche, surtout avec l'appareil électrique. C'est, a mon sens, la « mort » de l'escrime, puisqu'il n'y aura plus besoin de connaître ]es finesses de ce sport ardu pour gagner. En effet, tous les tirailleurs de troisième ou quatrième plan auront les mêmes chances et plus que des tireurs de première force.

» Personnellement, et « a priori ». j'es-' time qu'au point de vue spectaculaire, rapidité, intérêt, combinaisons, chances et régularité, que les éliminatoires par matches. avec repêchage, sont encore bien supérieurs au système de la poule. » On ne peut tirer en une seule touche avec l'appareil électrique, dont je suis un chaud partisan (en plusieurs touches).

» La poule en une touche avec l'appareil électrique attirera peut-être de nouveaux tireurs de dernier plan. mais par contre, peu ou pas de tireurs vraiment dignes de ce qualificatif ne se risqueront, dans des compétitions aussi hasardeuses. »

Il ne faut pas cependant s'alarmer, la décision n'est pas définitive et vraisemblablement au début de l'an prochain. lorsqu'il faudra trancher la question, satisfaction sera donnée aux champions de l'escrime.

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y, REVANCHE DE IM Pendant des siècles encore, l'or restera et l'instrument le moins imparfait de mesure des valeurs, et le refuge sans pareil des capitaux en péril. Chaque semaine, depuis sept mois, de nouvelles entrées d'or sont publiées. Pour certains, ces progrès sont autant de signes d'une prochaine catastrophe. Ce sont les mêmes qui poussaient jadis les hauts, cris à chaque sortie de métal jaune. Puisqu'ils ont manifestement la tête à l'envers, il est inutile de prendre garde à leur dévaluation, mentale. Au vrai, la position technique du franc n'a jamais été en cause depuis 1928. Ce qui est intéressant, c'est de constater le rôle que l'or continue de jouer dans les règlements internationaux. En Grande-Bretagne, les réquisitoires contre le métal jaune ont été aussi véhéments qu'abondants. Cependant, la Banque d'Angleterre a effectivement renforcé son encaisse de quelque 70 millions de livres, en trois ans, et l'on sait que le compte d'égalisation convertit systématiquement en or les devises qui viennent en sa possession. Dans le cas; des États-Unis, les mêmes divergences s'observent entre des doctrines officielles dé répudiation et des pratiques discrètes de fidélité attentive. Aussi bien est-ce pratiquement par des achats et des ventes d'or que sont contrôlés et équilibrés les cours de. toutes les monnaies qui se vantent d'une prétendue liberté.

Cette revanche de l'or est la plus belle, car, sur le plan privé, le fabuleux métal n'a jamais subi d'éclipse. Toutes les mesures administratives ou légales de prohibition ou de réglementation qui ont été prises contre lui ont invariablement tourné à sa plus grande gloire, et celle-ci s'est exprimée par une thésaurisation gigàalèsqu'eV' > ̃̃" '̃'̃ '•-̃ •̃̃̃ '̃̃ styp ces observations on aurait toutefois tort de déduire que le seul placement admissible soit l'or luimême ou telle valeur d'or. En poussant à l'extrême un raisonnement juste, on arrive à l'absurde. On .notera d'abord que la thésaurisation n'est pas un placement, pour cette raison pertinente que le rendement est nul. C'est, si l'on veut, une prime exceptionnelle de sécurité; et un procédé désespéré de défense. Ce n'est, à aucun degré, une solution du problème de gestion des portefeuilles. Quant aux valeurs d'oi% elles offrent nécessairement des chances mouvantes de gains ou de pertes. Par ^conséquent, malgré l'éclatante rèyanche'de: l'or, la règle, continue de s'appliqùèrv, JquL survit, seule: à vingt: années de culbutes, telle que la sagesse populaire la résume admirablement en recommandant de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. ••

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&V£2&B %$ SS *ta«"^ ftg--Sg::28:: S'«a5.S::gS:: tSaS»iza"t& 5S r: S il 1

Oistr. Parisienne d ectrtclte 225C ·. 2235.. 5 'v. 1g28. !IlS ..916.. de 116uedeloupe, 223p .2215.. Charbonnagae du Tonki~ t4lU ·· 13~5.. Mozambique, R 2~,5 18..

Electricité de Paris S* MO. m^t. Sucrière Fr é i 927 »g 502.. *htag.. 1395 1400 S ^0 Suit" 318 315.. te^ 25 25 27

Electrlcl~ de la Seine. 397.. 3W! Industriell Alsaeiendh, 498.. 495.. S: Dombrowa (Houillère) parts:: 308.. 3\)5.. Pldlng. 321 319

Electricite eEGu du Nord.. 400.. 400.. Algérie 3% 1902 3.'13 355 de Il,lbitlnlque. ~230 2210" M, t b. 1 B dl l2tU 1210 Pernod. 13~4 t393

SBasllS: B3&f§ëBf ·· = IMii^i: EB^iÊli- sïpsifiî;

Energlell\toral Mèdlterran.. 795.. 798.. Tunis 3°! 1902-1901" '325.. Europe Cen.(Pay,s) or. 220.. An~in In8$ 615 6'4' · Ph?8llhltes, TunISien. 45 4b

Energie EJectr, Nord France.. S83.. 586.. Tunisid4iô 1931. 767 775 prlv. 81Inz" 5~ ·' ~4" POinte' ~Itre. ;l)7 213..

Nord-Lumière II4U 173u.. Aliemagne~~24(oâ~;s;iÓÔL 3000 3015.. Induit. del'Afr. Nord 295 l88.. 5F~~ ë Randfon~eln. 198.. 19550

mÊMîm Sp|»i|i^pl;;l:; &= 1=5= W^W M

Uniond'Elecfrlcite, 862 658, Argeniin 50/. ~8 ·'·· t5lS 1510 8anq.Nat.p. le Com, e~ l'ind. 506 506.. MlrIL" 41/i'" 41 1I000nd Antelape. 88 50 88 2S

For. S Aciéries du Nord et Est 300 ao& ftrgenlin | 1 807 j des Pays du Nord ̃. oSiirt •• 880- ?Î! il ïïiï.0.rt iS2 'S?"

Schnaider (CreusÓt) ·, 1590 1585 8elg¡;jue 6 1885-1iôÎi1" 57 SD 58.. Crédit Algérien. tlâ5 1732 · DaWeoart. Sprlng~ Mnea, · 578.. 581

:refll~rteS eHam. du Havre. 331.. :'330- Su7 507 ~1 Crddit Indust. et Commer~I~1 602.. 6(!5 kl 8ris-Tuniaie pnmium ··: Snb H~ 861.. B82

~f- 3035U 2l7 50 8rèsiI190!r(Pernambuco).. 40S.. 405 Cr6d!~ Fon..dAlgérl~.TunlSle 589 5jj(1.. B0r (Mlnes de) ord, · 55U 2440.. ~t. 49 25 S,z,5(,

Lens. 1 3035U 3tU · Chine 4 /e 190" 13S11 Crddit foncier ~910nlal. ·, gg I01 Buerpaur act, 2506 55U.. TAarda. g 228 5U x 225 50

~oignes.et,Nœux. >429 c. ,27,' Congo obi' 40"~ 190i" '-300.. 3113 CrédiUoao.tado-Chine(plrt). 296 280.. IhktHl.Hldld cap. (déJI ins.)2505 2500.. Tharall. 219!o 221

801~0~ 71 7! Egypte P~IVilègièe. 1452 ~ditFOftcier,lI1adllgQjar.. Frlaçlil8,des Pétrolel. U 645.. Townsh1a (South African). 63 50 63.i5

fc: | ̃ ̃»^1»:: «"^6fe.|: 'iiS sfa.»* S S «lî; IS::i85

:na, at Com. des Pétroles. 35 '<14;' Ï Maroc 5 ô 1°9ïô: 781 708 Soc. G" Alsacienne de Banque 831 t!32.. Dynamite (Soci6t6 CkA4ale 1530 I~ Union ~ora~lon. 543.. 545::

adbES;; 5H s-: E •^•iEfiiia^rr ff. aruns^'s-'S:: «««gfivg:: Phosphates de Gafsa 402.. 401 pjrïïoal 3"% i" série ^^1080 19S0 Sous Compt. des Entrepreneurs 545 5^0.. £ d,k b » m cap. 1SJ0 l|«

Produits chim, d'Alaisfroges 933 94~ Noumânie 4 "922 Bont:. 90 SU, ,911 Unions des Mln~ 172 172.. Glaces du Nord da la France 3490 3985 Vieille 1I10~t¡lgno. 6~ 840..

dhone.Poul.eao 1082.. 1085 Uaiti6. 5% 120.. 115.. Fonclere Lyonnalsa. 1225, 1225 Kali Sai-te-Térèse. 612.. 636.. Vins Sî~ a04 50 2U7

SSrfcs: :•: '12 z # l^& S 3S mmaklliéra 1I111111111.lle. Le Ripolin' |Mis 2200 219° ^Ifc: 15 jg !?

CAargaurs Râunis U1.. ~2U.. l.,a io 1931. 251 250 WQtSprlngs 182.. 182..

Air liquide 650.. 651.. SanU-Fé S 1310. 505.. 525. Saint-Gobain, Chauny 1110 1110 ======= Caoutchoucs de l'Indochine.. 323.. 325.. Serbe 5% 1913 175 168 ̃̃ Soie Artificielle (Givet) 1900 la20 Citroen B 190.. jqq Suisse 1903 2270 2£8U Soie art. d'Isieux 55j 565.. piibotjiit ilompteurs a Gaz '466 •̃ uso OBLIGATIONS Salins du Midi 560.. 565.. fcumrmiii Ford 52 50 525c ,18713% 389 50 388.< ,c EWt rfu Rm.»* 12850 12800 Bitteroise Force et Lumière. 300 291 Pathè-Cinéma (jouiss.) 33.. 33.. /u75 4% 482 485 ACTIONS INDUSTRIELLES ï!îiii,wK.ti.n "«""aisianne d'Eclairage. 1910 1925 Pathe-Cinéma (cap.) 50.. 51 S0 /1876 4% 485 480 Se It ReKaiê 112 iiz Bardin, Renard,. Couche 1205 1210

Peugeot 34*1 338 1892 2^ 282 262 ïîSs^ ÎTcH» «W 1 «86 F*?» de ta PwidM0 5175 ..5175..

ftattinenes et Sucrera» Say.. 1940 1945 1894-91. z %ï. ZU.. 273.. iransporaen wnmun ?=" d»^ Uzelidz 3S5 337.. Union Européenne 305.. 306 1898* 309.. 308 51, I ,-n Bénédictine 4585 4400 Steaua Romana 37 50 37 50 Est3% 35S 362,. 1899 2% Met 289.. 289 Suenoj-Ayres (chemins de fer) 315 320 Brasserie Quilmè*. 3210 3250 Djebel Ojerissa cap 792.. 800.. Lyon 3 Fusion nou* 326.. 328.. £ 1904 2 Met. 312.. 310 Dakar a Samt-Louie. :••••• Oamoy (Julien) 15B7 1610 Ouasta et Mesloula 345.. 335.. Ididi 3 333.. ai.. S |9io 2% Mit 284.. 284 Chemin Est-Algérien 40t.. 404.. Distillerie Cusenier 2130 2135 Talcs de Luzenac 1930 1945 Nord 3 ancienne 3XU $K 1310 3% 248.. 250 Indo-Chine et \annan 747.. 74' Distillerie de l'Indo-Chine. 455.. 455.. Hydro Carbures de St-Denis. 285.. 26S Orléans 3% -355 -3S6 st a 1912 3% V. 253 254 Maroc 645 .640 Entrepot de Grenelle 875 Hutchinson 14S0 14SO Ouest 3% nouveau 342.. 307.. "j Oblig. décen. 1924 6 511.. 510 Chemin Ouest-Algérien 45^ 445.. · Grands Moul. de Corbeil, nrd. 180 50 184.. Filature Schappe de Lyon cap 1430.. ftilemaaneS 30 Pt.Toung 319.. 324 13285%. '885.. 883 «osario a Puerto Belgrano 1 10 Il 1 Nic0|as 417.. 40! Viscose française 6125 6475 dusse ConsolioeVet2* séries £O js 50 » 19294' 869.. S65 Tunisiens (chemins de fer).445 ..I.43S «ossi-Bé 997.. 990.. BrasseriedelaCométeactanc. 2655 2665 Serbie 4% amortissame 1895 160 5U 159 1930 4%. '766.. 785.. Tram. et Eclaira, de Beyrouth .555 .550 (jlida 2810 2825 Union Sucrière de l'Aisne. 220.. 225.. Turc %1933 297.. 2K8 1930 4% Lots 805 805 Tram, de I Indo-Chine cap. Potin(Félix) 108.. llo Monaoo 1630 1630

Ban~etationa~titMexique 20t.. 202.. 1931 _4 ,Lots" 785.. 780 .)j)mMimE~tra~dtPant.2t7S 2200 .R7n 8astos (Tablcs). 629.. Ma..

8anqua Dttomana · 28! 285.. 4°/ forüticatlpns, 770.. 766 S"CMpSa?~~ 'S.Chi, ~'6?4?" 't' '9~ t89N)

Cr,d)tFo~erEsyj)t<t6.2~0..2t3. YiLPlrls19324 fa~âlols~ diB 766' Ewa EeaK d'Enan (Cpmp 6enérald das).. .281 1730 28) Cimenta de~ndc-ChM. H~O )4t.. Paris" d'Edition (off8lstadil 19' 189 50

Srsfc^ ̃&. "î*îra«IS ^8 Ta bi' kl » ^t « clïï^.1! 3|:° |

Canadlan PaclfIC. 20950 21~ 193:4~y'lots 954 9~. Vit.tel. 315.. Pollet' Chausson. 368.. 370..

«ajons-lits ord 77.. 77.Corn. 1873 Ï6u'% 512.. 517 ftchv (Etabl. thermal) 1725 1735 » ~vi lP trk

S1!?.1^ afﻫ:T: SS:: g§::ffi^«i.1K::V" ft«f«)" S::fflj: chahqes

Sed~ i06 1625 tom.XM9% 513 625 Eaux êle ct. ln do-Chioe. 1166.. 969," Bon Mal'Chè.. 58 `D eHANGES

Montecatini 20150 204.. Fonc. 1883 3 274 274 Air comprimé 3180 ..3190.. Ga|e"es Lafayette «•• ,Jfi,.a) «io-Tmto 1193 ». J2O5 1885 2*u% 321.. 320 Algérienne Eclairage 303.. 309.. (part). 2dOOO.. 26W0.. PAAIS Azote (Norvégienne) 394 50 395.. Corn. 1891 3 29-J 304 Edison 810.. 839.. J""J"ïf. £,» SDR PARIS Pétrofinà. 380.. 38I 1892 266% 34t> a 342 Electricité dt Marteilli. 684.. 690.. MW,™M«-'v .»«».. »» •̃ L»«(res 75 OS 74 98 75.. Bojal Dutch (dixièmes) 1552 1575 S Hk. 189S 280% 336 336 Electricité de Straihrarg 1878 1676 pi«« "Ottm zu» 21!5 ^ew-tork 1497 50 1497 75 1497 75 Portuguese de Tabacos 2JS 2?6 5L S Cbm. 1899 2 60% 322 50 328 Energie Electrique (S1') 751.. 752.. U Fioaro ttmnts 35625135625 356 2b Sucrer'-et Raffinerie d'Egypt,, 433 430.. Fonc. 1903 3% 352 50 352 Energie du Maroc 1560 1557 Çhaii '•••̃• wôi"?Si *adri!l 7ai a 207 e S Com. 19063%i. 3335U 333 50 Energie Rhin a.5.. 206 Librairie Hachette 1991 l»91 l30 w m ,0 m u = Fonc. 1909 3 174.. 174.. Sod-OueJt.. 1469 1475 Afrique Occinentale (C"). 1262 1260 Berne. 49487)i 495 COMPTANT- gCom18UâS 170 170 Est-Lumière 410.. 415.. Air Lipide (parte). 1865 1660 Ameterdam 1027 éô 1027 50 » Fonc. 1913 3V, %•••̃ 360 50 360 Forces Mot. Ajout. 1205 1205 Bergougnan 61/ b'7

FONDS D'ETATS S 1913 4 440.. 133.. (faut-Rhin 46S 470.. Cirages Français 440 435.. LONDRES

30/ 72 65 65 73 H t Emp. 1926 7 635.. 635 Forces Motrices du flbfoe. 1507 1505 Citroen (parts). 2150 2175 Paris. 75 03 75 03

3.rti~M.785! 55 78 8 W Com. 1821 7% 532.532 .F~d.Truy~544.. Coloniesl6dnérale des), l..o 15 5~8 5'0075

3' Amortissable: 72 651 73 *sn K Emp, 19304% ~67 ·, 775 Forces de af)MRe 1507 ~ut Contineni. Compteuro â 6u.l 21 50 21 75 c;)a. 7 7 Ta

tt»h?=! B690 “,» f3 ̃\£a^:u--53.ssl^s1a». «5£Sr.?S!ï!:|lw a«:ià°!••

4.°98" S060 80M Ctm.t9324~ 930.5~.Hy<mCteetfitM~«r9M..tt:2. 6<c~tr. 26= 265.. "MM! 3.t 29 50

4%1918, ,SOQO 3u 807 ~Com.19324~ 865 Q151.. Hydro,EI~ctriue~u~argne..IIS2. Maroc Auer. 2?~ 265.. uenos yras.

4~)925fchaMeMranti) tOOTS 1C070 i0 Emp. 19345~ BS8.000 .MarMa!MÛtstf~tM.H60.tM TabacauMaroc.0 .7_oU

4~%t93~ 8690 87 5 ~oMtMfr.1!!7. 70:0 7050 .(a.t.is.d'Ma.ra~ 399 ..38 CréditFonciar Francq:Clnad~ 1516 .:5U.. Paris,· 5;00

14 19aU 86 90 1)7 15 \Bons 100 Ir, 1i87 '!S!07SSt.!)t~t)')m<iM. 365..36) SoMewM.)20) .207.. t.Mdrts.i96S~

PARIS

Tendance générale assez ferme. Accentuation de la reprise des rentes. Raffermissement des banques. Emprunt Young un peu plus soutenu.Reprise du Rio et de la Royal Dutch. Irrégularité des mines d'or. Fermete de la De Beers.

Sans raison déterminante, et surtout parce qu'il, fallait bien qu'une baisse, à laquelle avait également mangue un motif précis, s'arrêtât un jour, le marché a été 'bien meilleur cette fois il a méme clé un peu plus actif.

Fonds d'Etat. Deux rentes ont un peu baissé le 5 0/0 1920 à 110 c. 110-30 et le 4 0/0 1925, de 100 75 à 100 70. Les 4 0/0 1917 et 1918 ont gagné 5. centimes les 4 1/2 0/0 un quart de point et le 3 0/0 45 centimes.

Emprunt Young un peu mieux tenu, lui aussi, à 324 c. 320. Par contre, recul du Russe Consolidé à 18 50 c. 19 50. A signaler, en Coulisse, la nouvelle et importante avance des fonds mexicains. Banques.' Quelques titres ont progressé d'une manière très sensible la Banque de France, à 10.625 c' 10.440 le Crédit Foncier, à 3.930 c. 3.890 la Banque de Paris à 1.303 c. 1.281. Tous les autres ont été bien tenus, sauf la Banque de l'Algérie qui est revenue, dç 8.640 à 8.560.

Transports et Electricite. Pas de vanations bien importantes sur le Suez. Tendance encore un peu irrégulière des chemins de fer et des valeurs d'électricité. Parmi ces dernières, la Lyonnaise, la C. P. D. E. et l'Union d'Electricité perdent un peu de terrain pendant que l'Electricité de la Seine, l'Energie du Littoral et l'Energie Electrique du Nord de la France en gagnent. Assez gros recul de Thomson-Hôuston'à 134 50 c. 143. -Métallurgie. Très peu de changements, aussi bien dans la métallurgie proprement dite que dans l'automobile du moins au Parquet, car il a fallu enregistrer,, en Coulisse, une baisse d'une vingtaine de francs sur Hotchkiss. Produits chimiques. Tendance plus ferme, notamment sur Saint-Gobain et Péchiney.

Mines. Variations sans grande importance, aussi bien sur les charbonnages que sur les mines de plomb iet de zinc. Le cuivre a été mieux traité Rio; 1.205 c. 1.192 Haut Katanga priv. l;560 c. 1.541 Haut Katanga cap., 1.545\c. 1.520 Haut Katanga div., 1.540 c. l52iO. Pétroles. Bonne- tenue de laTRoyal Dutch qui a gagne '17 francs à 1Ï57O ;< cet exemple n'a pas été suivi cependant par la Coulisse la "ShéllVet la Cànadian Eagle, se sont .maintenues au, cours de la veille, taiiàisie(ue:; la 'Mexjcan Eagle perdait un point ̃ ce dernier* mouvement s'explique par la nouvelle de la perte d'un procès. ̃• Sud-Africaines. Egalité, très sfenslblernen^. de valeurs en hausse et de- va-; leurs en baisse,' sur les mines d'or même' égalité;1 dans les mouvements qui ont étende trois francs au maximum. Légère accentuation* par; ailleurs, de la> reprise de la' De Beèrs.

Changes. Il y, a eu quelques mquvements sur 'Je change britannique en séance, officielle et l'on a eu l'impression

d'une lul^te, entre lej fonds d'égalisationj

et la spéculation à Jla' baisse. Tout cela s'est calmé en fin de journée. Livre 75 02 dollar 14 9775.

Situation

de la Banque de France La situation hebdomadaire au 7 septembre se compare comme suit à la précédente ri s

A l'actif :̃ Éncaisse-or, 82.098.927.896 (+ 62. 145.389) Argent, billon, 688 millions 316.483 (– 2.123.630) ;xComptes. courants postaux 614.172.5J5r (plus, 239.710.522) Disponibilités à vue à l'étranger, 10.277,647, (– 4.019.4.30), Avances sur lingots eï monnaies; d'or, 1 milliard 503.367:798 (– ô:170.O00) Effets de commerce escomptés, 3.454.991.817 (+ 176.655.921) –Effets négociables, 896.763.808 (– 9.832.860) Avances sur titres, 3.126.945.978 (- 13.419.686) Bons négociables de la Caisse Autonome, 5.898.203.712 ( 18.200.000) Divers, 2.369.772.439 (– 799.803.347). Au passif Billets en circulation, 81.016.752.560 (- 715.513.260) Compte courant du Trésor, 689.032.574 (moins 160.900.598) ;̃ Compte courant de la Caisse Autonome, 3.012.337.190 (moins 21.513.562) Comptes courants et de dépôtsde fonds, 17.087.032.620 ( + 427 millions 704.128) Dispositions et autres engagements à vue; 186.480.339 (moins 33.906.820) Divers, 1.505.783.730 (plus 134.072.990).

Engagements à vue, 101.991.635.285 (_. 504.1 30.1 11).

Couverture, 80,50 0/0 contre 80.04 0/0.

PRIMES, LES PLUS TRAITEES

Au Parquet

3,0/0 15 nov. d/1 73 95-74 10. 4 0/0 191715 oct". d/1 81 50.

4 0/0 1918 15 oct., d/1 82.

4 1/2 A 15. nov. d/1 88 40-88 50. 4 1/2 B f. oct. d/1 88 70-88 85. Bq. France 15 oct. d/200 10.760. Bq. Paris f. oct. d/20 1.365-1.370. Cr. Lyonnais f. oct. d/40 2.010. Suez cap. f. nov. d/250 19.675. Young f. sept. d/20-: 325-330.

Geduld f. nov. d/10r 737-740.

Rio 15 nov. d/20 1.288-1.300.

Royal D. 15 oct. d/20 1.600-1.605. En Coulisse

Brakpan f. oct. d/20 653.

Crown M. f. oct. d/40 988-990. East Rand f. oct. d/5 .212-213. Goffields f. déc. d/20 289-292. Mex. Eagle f. nov; d/5 30 25-30 75. Rand' M.: fi; oet. d/20 .,5*5-546. Ht Katanga pr. f. oct. d/100 :,1.600-1.610. COURS COMMERCIAUX Londres. Cuivre comptant, 27 6/3 terme, 27 11/3. Etain comptant, 229 17/6 terme, 227 5/. Plomb comptant, 10 3/9 terme, 10 8/9. Zinc comptant, 12 11/3 terme, 1-2 13/9. Argent: comptant, 21 11/16; termes 21 3/4. Or fin 140/5 1/2. Caoutchouc (fumé feuille) disponible, 7 7/16. septembre, 7 7/16, oetobre-décembre, 7 9/16 janvier-mars, 7 11/16 avril-juin, 7 7/8-; juilletseptembre, 8 1/32 (Para fine hard disponible, 5 1/4 octobre novembre,

:*̃< '̃̃ .• ̃ ̃'

Alexandrie. Coton Sakels novembre, 15 15 janvier, 15 10 mars, 16,24 mai, 15 53.

New-York. Cuivre septembre, 598 •; décembre, 612. Caoutchouc septembre," 1.532 décembre, 1567. Sucre septembre, 1Ç8 décembre, 192. Coton octobre, 1.285 décem-' bre, 1.297.'

Winnipe*. Blé octobre, 84 7/8 décembre, 84 7/8.

Chicago. .Blé, septembre, 105 3/4

dëcèiftbEe,. 106. y ̃̃̃̃̃

Le Havre. Coton octobre, 257 décembre, 256, Café septembre, 157 1/4 décembre, 158.

LONDRES

Séance extrémemeiii calme, mais seulement en ce qui concerne les fluctuations, car lcs transactions ont été assez actives il y a eu d'assez nombreux échanges avec Paris, A signaler une cerfaine tendance à la hausse des valeurs de soie artificielle, sur la nouvelle de l'agrandissement des usines Cauriauld's.

I Clôt. | Own. Il “̃ I Clôt. I Dern.

VALEURS 1 Clôt. 1 Dern'II. VALEURS 1 Clôt. 1 Dern.

YALEUBS |précél|J cOura [| VALEURS |prW[ çpur, Cons. 2 1/2 80 3/6 803/16 Crown Mines 1213/3 13/ 4 0/0 113 113. East Rand.. 54/ 54/ War Loan 10415/ 105 Geduld 9 3/8- 9 7/16 Franc. 3 0/0 24 1/8 24 1/4 Goldfields 74/4' 75' 41/2 28 7/8 29. i Rand Mines. 143/9 143/9. 41/2(1917) 37 27 1/8 Chartwed 20/6 20/Ô Arn. 40/0. 88/. 88 Rio Tinto 16 16 1/8 Brésil 1889. 20 20 1/2 Tharsis. 58/9 58/9 Chine «1/ï 102. 102. Tanganyika. 13/ 13/9./ Egypt. Unif. 108. 108. Anaconda 47/. 45.. touno 34 34 Royal Outch. 20 13/ 20.7/81 Italien3/12. 36 36 1/2 Shell 2 13/3 2'3/ti. Japon4%89 63 1/4 65 Mex. Eagle 7/6. 7(3, Portug.4%. 73 73 AngloPers.. 48/3.. 46/3 Russe 1906. 0 3/4 0 3/4 Giifa 23/1 23/t~ Y, Etpag. Extf. 74 1/2 74 1/2 Rubb. Trust. 34/3.. 34. Turc 71/2. 4. 3. Malacca 32/' 6 32/6\

Hydro Eleo. 413/ !6 5 1 16 Sennah 33/1 33/

Int. Holding. 1 7116 1 7/16 Courlaulds 46,6.. 46/10/ Imper. Toba. 1294% 12»4y, Brit. Celan. 10/6.. 11,1' r,

StedContn. 32 .1. 32 )/2 1, 36/4*~ 36/7~

Steel Comm. 32 32 1/2 Imp.Chemic. 36/4' 36/7 <4

De Beers. 3 11/1 3 11,1 Umlever. 24/9. 24-/9Jagersfont.. 0.7/8 0 7/8. Atchison 48 48.1/2 Brakpan. 171/3. 171/3. Canad.Pacif. 13 13 1/2 Centp.- Hffl- 21 3/4 27 1/4 Union Pacif. 94 1/2 95

NEW- YORK

Séance très inactive. Le marché est assez résistant au début, ntais faiblit en. cldture.

Céréales et matières premières soutenues.

| Clôt. I Dern. Il I Clôt. I Dern.

YALEUAS·I Cldt. 1 Dern. Il VAlEURS 1 Clôt. 1 Dern;

»AUURS-||1|,(cej.| tms\\ VALEURS jpricèj.| C[mr, UrReduct.. 99.. 100. Inter. Harï. 28 1/8 25 3/8 Mlied Chem. 126. 125!, '2 Inter. Nickel 24 3/4 24 3/4 taer. Can.. 961/4 98 3/4 Int. T. et Tel .8 7/8 8 7/8 718 kmer. Smel. 34 5/8 33 1/2 Kennecott.. 18 5/8 18 3/8 \m. T. et T. U3. 1103/8 McIntyr.M. 44 3/4 44 3/4 ta.TobK.B 75 3/8 75 ./̃ Blôntgomery. 23-7/8 23 7/8 knaconda H 1/4 l! Nation. Bise! 31 3/4 31 1/8 Uchnon. 48 5/8 48 Nat. DairyP.116 1/4 16 1/4 Canad. Pac. 13 1/2 13 1/2 Nat. Oistil.. 19 !9 1/4 Case. 40 39 1/2 New-York C. 20 7/8 20 3/8 Celan. Corp. 20 19 1/4 North Amer. 1 13 12 3/4 Bhes. a. Ohio 42 5/8 42 5/8 Pensylvania. 21 3/4 22 1/2 Colum. Carb. 64 63 1/2 Public Serv. 30 3/8 30 Com.Solven. 18 3/4 18 3)4 Radio 5 1/8 ,,5. Consalid. Gas 25 7/8 26 Reynolds 46 7/8 47, J. Coty 5 l;8 4 7/8 Sears Roeb. 36 1 /4 36 3^8 Chrysler 31 1/4 31, St.Oil of N J 42 3/4 42 1/2 Dupont. 86 .f. 86 1/8 South. Pacif. 17 ,1/2 J6 3/4; ElecB.a.S. 10 1,'8 9-3/4 U.S. Smelt. 1131/2 1131/2 Bener, Eleo. 18 18 ./« U.S. Steel. 32 1/2 31 1/2 Sener.Mot. 28 1/4 2S 1/4 Westingh. 31 1/2 30 3/4

BRUXELLES V

La reprise a continué au début \dç- fa séance, mais il y. a eu arrêt- ëti-suîtç.et même léger retour en arrière. Il ne s'agit, d'ailleurs que d'allégements ;̃> la tendance générale, est donc assez bonne. Au\ comptant, les valeurs d'électricité; ont, encore gagné un peu de.ferran.. '•

| Clôt. | Dern.. ||.nll'B_.BT| Clôt. I.Dern.

TERME, I friM\ tom, [ |C0 W PTfcWT|.prfettl. | CnMrs ̃

Tubize. 151 50 145. Banq-B.Ètp.- 455 450

Sidro (priv.). 350 347 50 Banq. Brux. 520 520 Sidro lord.]. 350 50 347-5Q Caisse R.D: 2060 :2060 Barcel.Trac. 282 50 281 25 Soc.'Gi Bel. 3375. 3375'" Brazil. Tract 212 50 223 7S Elèctrobel.. 2060 2080.' Heliopolis. 1215.. 1215. Electr. (cap) 1205. 1220' Nitr. Railw. 330 332.50 (ton) 3490' -3500 Banq. d. Par. i805.. 1825.. Sofina. 6600 6650 Elec. Seine. 575 00 572 50 Hydrofina 148 El. Gaz Nord 575 00 577 50 J. Cockerill. 422 50 430 Métropolit Ougrée-Mar. 615 ,615. H.-Kat.(pr. 2165 2185 TrustB.-F. 131 13250 cp Astur. Mines 100 101 (dvd Vieille-Mon. :155 1165 Concordia.. 56 ïO 57.. Maurage. 4010 '39C0 Petrolina 537 50 537 50 Nord Charl. 1025 1025

R A D I O

Vendredi 14 septembre

10 h. 10 Hudio-Farls Concert symplionique de Vlcliy. 10 hî-30 Pnrls-P.T.T.: Musique légère 12 h.: Radio-Paris': Musique de- danse. National anglais Orïue. 12'.>h,S P.oStc Parisien OEOvres dé Gounbd, schumucm, ̃ Dvorak, Liszt. 12 h. 16 Parls-P 'T. T. Musique légère. 13 h. 1B .National anglais Concert. 14, Parisïp.' T. T. DisqtltK de^sypiphontés1 gales. •– '15 h.' 30 Pavfs-P. T. -T.: Relais de Vichy t. Le Barbier de Séville, ouverture (Rosslnl); 2. Rapsodie bretonne (Farlgaul) :3,r,-Lâ. Vaniiina,' suite symphonlque (Pmil Bastide)-, 4. ;a) Aux étoiles (Henri Duparc) b) Habanera (Em. Chabrler) 5. La Muette de Portici, fantaisie (Àuberu 6. Les Keulllcs du matin, valse (J. Strauss). 16 h. Francfort OEuvres de Bcetnoven.' Kœnlg-sberg Concert symphonique. 16 h. 30: National antclals-: Concert de musique légère. 17 h.: LyonLa Doua Concert Le Clavecin bien temporé, premier cailler.- Prélude et fugue a) En ut dlèze majeur; b) En si bomol majeur ('J.S'. Bach); a) 'La Nymphe (Himsky-KOr's'aKDfrjîib) La Ifelne' de la mer (Borodlne) Sonale en ut dièze' mineur, dite « Clair de lune » (Beethoven) a) Trois1 préludes (Chloliiii) b) Valse en mi mineirr (Chopin); bj Valse en mi ,mineur (Chopin) Trois mélodies (G. Ddi-ct) a) Deuxième' ballade "('Liszt) b) Toccata (Debussy). P:irls-P. T. T. DU' Salon, de la T. S. F..Le rire, avec Dranem et Ouvrard. Milan Concert d'oreliestre. >– 17 heures 60 Vienne Violon et guitare. 18 h. 15 Varsovie: Mélodies de Schumunn. 18 h. 30 Strasbourg OEuvres de Beethoven, Mozarl, Gounod. 19 h. Kœnlgswust'jrhausen .-P.luno < Scriabtne Sgarnbattt, dranados,' Albènlz). Munich Danclnsr. Stuttgart-Muhlacker Musique d'instruments il vent. 19 h. 10 Vienne Chansons populaires de. HiiHte-Autrlche.20 h. Paris-P. T. T. Célèbres chœurs (Disques). National ans-lais: Concert Beethoven (Corlolan, ouverture; Ah! perfide! Concert pour piano n°: 4, en sol Symphonie- il» 2. en r6). 20 h. 10 Poste Parisien Concert (OEuvres de l^auré. Colerldgo, Taylor, Albenlz, Falla..Turlna, Granados, Lachaume). 20 h. 30:' ParisP, T. T. Le Brasseur de Preston, opéracomique en trois actes, de Brunswick, musique d'Adab Effl (Mlle Ben Sedira) Robbln (MM. Ma» Moutla); Bob (Guého).; Tobic (Rousseau) Jenklns (Zucca). Orchestre national «t chœurs sous la direction de M. Roger Desormièrei Strasbourg Relais de Vichy 1. Don Juan (Richard Straus's) 2. Escales (Jacques Ibert).; 3. Petrouehka, scènes burlesques (Strawlnsky) 4. Tannhauser, ouverture (Wagner). Tour Eiffel OEuvres de Beethoven et do. Schumarin. 20 h. 4B Radio-Paris: Théâtre-: Robert Macaire,. drame burlesque en -.quatre actes, précédé de L'Auberge des Adrets, prologue en deux parties, de MM. Benjamin Ahtler, -Salnt-Amand, Frédérick i'Lomatte '«tîVPJlulyante, remanié par MM. ptiiHppB'iGllleaef, William. Busnnch. ̃ I.Aubergq1-'desi!Aclrets, "prologue MM. Deflis' d'Inès, sdçléfàjr.e: la ̃Çoméd.io-Française

(Robert Macalrè) ;• Marcel" Le Marchand, de

la Comédfe-Traçça^se- (BertuandJ, Louis

Bourny (Germeùil); Charles Le Màrcnand, do l'Odôoti (Dum'ont) pMaljoufnirl (Roger, gendarme) Rivière-, .(Pierre) Chanot (Charles) ;"Mmes Marguerite' Glïioïa'* de 'l'Odéon (NanetteK' BosHs ̃(Clémentine), ,-r Robert Ma'culïe MM. Denis ;d.lnôs' ̃ (Rbbert Ma.calrc) ̃' Martel Le MW'chahd (Bertrand); Charles Le*. Marchand (le baron de,, \yorms-

̃pire^ Cp.ùISjsïouriiy (M. Maïfloire) :^lal4

journal (Rogèï, gendarme) "Verliade (CharU'SÎ; Riv.lèrO' ..(J'ierre) .Charlier .(fié.mi)

-RaudU9v(G&:gg) Chnii.o't (Pot-deJVlh>'r La-

dovçs';(;01gdnnet) MUHs (un ,b,rteadler de' '"gehdatméi'Ie) •wTOUle'CJacquot) Mmbs 'I>est-lts r(Eloa); ,Macg«uçj<tte Gtncva ..(jvage.tfe) Ma'rcelie'i. ̃Delville -(Mîtie Pot-dê-.Vfn) Ho-

sèl '('Clôtnèntme) fio'ntanes (MMT.Rémi).

Berlin Musique ;d'.opérettes. .Kœnigs-

Sw.usterhàuseh. .Symphonie en re^n\iljeur j (Haydn): ChtEur-: des Prêtres et ouvettute de la Flûte enchantée (Mozart) Co'ncejvto en ml b'Omol ,majjeuiv..4Moz.art). 'Mii^lch Rapsodié '̃(Brahms;) -"Grande Symphonie -en do. majeur* (Schubert). Rome Concert .'dîorgue.- 21 h; Langenbe!Fg Concert rBeethov'eih • 21 h.- 15: '-Bruxelles "françai's :.i Concert (OEuvréstde Lizst, Bocchẽ rini, Charp'êntlëiv.S.trauss,- Bend.er). vLpndres régional Concert.. varié. Moravs'ka: Quatuor en -sol mineur op. ~ï, ri° 3 (Haydn)' :Zi h. 30 Bruxelles .flamand Musique viennoise. Milan :.Cosl fan'tuttc,' opéra. en. dçu.S actfcs; de Mozart. Suisse italienne Mélodies anciennes (Pergolèse, Martini, Lulli, Haydn, HÎBndel) 21 heures 40 Moravs'ka Airs populaires des opéras de Wagner. 22 h. 25 Copenhague Musique de', ballet (Dellbesy Rossini, Tschaïkowski, Borodlne). 22 h. 50 Concert Rodrigue, ouverture (Hajndel)

:.MaMs~P~ (n~lpal.

,Mil\JJ!!êM'1&~<J.1Q,l!W¡~i.ml~t-1W~ti.~n~1"

Samedi 16 septembre

Tout arrive, Depuis Iroisittns, nous .ripétons' que le inicro n'est pas le théâtre et qu'une œuvre éerite pour le thédtre doit être adaptée à la radio. Au programme de Radio-Paris, la Princesse de Trcbizonde, d'Offenbacti, « partition et -texte arrangés par M. Guy de TCramond ». Mais pourquoi M. Guy de Téramond ? Concert d'orchestre intelligemment varié c'est-à-dire sans ennuis à Paris P.T.T. P.-D. T.

10 h. 15 Radio-Paris Relais de Vichy Musique légère. 10 M. SO'i Pnrls-ftT.T. Orchestre, 12 h. Radto-Parls Concert varié. Bruxelles français,: Musique lëfrère. National anglais Concert.12 h. 15 Paris-P. Tr T. Quintette. 13 h. 16 Poste Parisien Concert. 16 h.: Radio-Paris': Les Ondes enfantines. 15 h. 30: Strasbourg: Relais de Vichy Concert:. La Princesse Jaune, ouverture ( Saint- Saëns) S.Gltaneries, suite d'orchosr tre (G. Razigade); 3. Cigale, fragments du ballet (J. Massenet); 4. a) Aubade aux mariées, b), Aubade printanière (Paul Lacombe) 5. Les Maitreii chanteurs, fragmènts symphoniques (R. Wagner) 6. L'Or et l'Argent, valse (Fr. Lehar). 16 h.: Kœnigsberg Concert de musique légère. 16 h. 30 Lyon-I.a Doua Dancing. 16 h. 40: Londres régional Orgue. 17 h.: Strasbourg: Concert: OEuvres de Hameau. P. Bretagne. Bourgault-Ducoudray, Hussemnorel, A. Grossv r Bruxelles françals: Orchestre symphonlque., 17 h. 10 Rome OEuvres de Zlpoll, Paradisl, Borodine, Liadow. 18 h. 20 Berlin Violon (OEuvres de Nardini, Hubay, Veesey. Paganini). Stuttgvrt-6tuàlacker Dancing. 18 h. 25 Leipzig Opérettes. 18 h. 66 Koenigsborg Variations sur l'Héroïque, avec fugue en ml bémol, (Beethoven). 19 h.: National anglais: Musique légère. Vienne Manon, opéra de Massenet. 18 h. 10: Prague: Concert par le quatuor de cornemuses. 19 h. 30: Oslo Musique populaire norvégienne. Varsovie Compositions pour violon. 20 h. Paris1P. T. T. Disques Les Valses de nos grands-pères. Radio-Paris Opérette ta

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MJlhaud); Deux mélodies, chant: Mlle Ger-

maine Coppcrte;- Tableaux ,«e voyage (Vincent- d'Indy).- Orchestre /iiHtional- sous la diicet40Ti de M. Roger. Desprmièrc. StrasbouïS' Musique itfilltalre. Tour Eiffel 'La soirée radio- théâtrale Phllts, tragédle'cn cinq actes-, de. Paul Souchon Les Jeux' de t'amour et (lu bridge, de R. de Fiers et A.; de Cailluvet, avec Paul Castan, Jean d'Yd, Léon Segbnd, Gérard Fêrat, Liirsc'y, Berthe d'Yd et Simone Bonelli. Luxembourg,: Une -demi-heure d'humour, avec V. Hyspa et Goupil. 20 h. 45 Rome: Le Secret de Suzaune, comédie lyrique eflVun. acte, de Woir-Fei-rari; Les' Précieuses ridicules, un acte do Lattuada. 21 h Poste Parisien Dancing. 21 heures 16: Scottlsh régional Concert (OEuvrCs de MCtidelssohn, Haydn, Saint-Saëns Elgar, Colerlgo-Taylor). 21 h. 45 Mid- lond régional1: Concert de valses. 22 h, I angenberg 'Musique de danse ancienne National anglais Concert de musiqtif léîïÈrc 22 h. 15 Copenhague Concer' (OEuvres de Liszt, Dvorak, Gllnka).- 22 h. 30 i Londres régional Dancing. 23 h. Kœnigsberg: Dancing.

MOTS CROISÉS

Horizontalement. -=I. S'arrêtera momentanément d&ns un Hou. II, Fabricant de gâteaux. III. En matière: de; Coutume. IV. Qui a des' volontés subites et irréfléchies if dm.), V. Chiffre Abréviation religieuse ̃̃ prànd fleuve de l'Afrique orientale. VI.^Lèyre-lfaférieurc trop, grosse et trop avancée Non viciée.' VII. Initiale,' et finale du nom d'une grande ville des Pays-Bas Ile de verdure Deux lettres d'. «.Issigeac ,», VIII. Pronom Phonétiquement élevé.; Possessif Conjonction. IX. Vilje d'Espagne sur. la Bidassoa Espèce de jeu d'iiombïcs. X. Colonne brisée, r^ XI. DtSpoi^illëe Sol considéré au point de vue de sa nature.

Verticalement. 1. Théorie par opposition à pratique; 2. Possessif Donner la vie. 3. Abréviation musicale Abimé. 4, Ums, UMapKlUaire, 5, .^eWiett^.de.,

%«ôïo^«IS1TO!¥îiio*â8ënV' :W- '̃'̃ -Goiïjonoïtoni ̃̃̃

6. Charpente Foulé par de lents quadrupèdes. 7. Négation Appuyer, 8. A l'origine d'un glacier Roi do Juda de 944 à '904. 9. Fin de verbe lié Coup de baguette sur le tambour. 10. Qui exploite un grand établissement de fabrication. 11. Choix raisonné;'

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Faites comme lui. `

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Car la SUZE, apéritif à base de racines de gentiane, est l'amie de l'estomac. elle ouvre grand l'appétit mais ne fait aucun mal. Buvez-la par sagesse et par plaisir. g

DANS LES T. C. R. P.

A dater du lundi 17 septembre 1934, la tarification générale des T. C. R. P. sera appliquée à la ligne

« SS-2 ». Plessis-Robinson-Porte d'Orléans, qui circulera désormais sous l'indice « F P » et aura l'itinéraire suivant

Celui de la ligne « SS-2 » entre les Cités-Jardins du Plessis-Robinson et la rue des Pierrelais à Châtillon.

Celui de la ligne « FO » de ce point à l'avenue Verdier à Montrouge.

Celui de la ligne « AE » jusqu'à la Porte d'Orléans.

Sectionnement

Première section Cités-Jardins du Plessis-Robinson-Fontcriay-aux-Roses. ̃̃ Deuxième section Fontenay-aux-Ro- » ses-Gare de Montrouge-Châtillon.' Troisième section Gare de Montrouge-Châtillon-Porte d'Orléans.

Au terminus de la Porte d'Orléans, la priorité sera accordée, pour monter en voiture, aux voyageurs dépassant la gare de Montrouge-Châtillon.

P.-O.-MIDI

Relations rapides par voitures directes de Paris-Quai d'Orsay

à Lamalou-les-Bains

à partir du 16 juin 1934

Des relations rapides entre Paris-Quai d'Orsay et la station thermale de Lamaloules-Bains, via Montauban, sont établies par voitures directes de première et deuxième classes avec lits-toilette et compartimentscouchettes de première classe.

Aller (du 16 juin au 29 septembre inclus): départ de Paris-Quai d'Orsay à 19 h. 20 arrivée à Lamalou à 8 h. 2.

Retour (du 17 juin.au 30 septembre inclus) départ de Lamalou à 19 h. 7 arrivée il Paris-Quai. d'Orsay à 8 h. 50 (au lieu de 9 h. 15).

Wagon-restaurant de Paris à.Vicrzon et vice versa.

PROCHAINS DEPARTS

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