isOJ^ÏSTÂïRE ~W *IGARp
PAGE 2. -Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville. Les Echos. Robert Dreyfus Madame Ludovic Halévy.
PAGE 3. L'outillage national un rapport de M. de Chappedelaine. La catastrophe de Montereau. La Saison. Georges Claretie Gazette des Tribunaux. M. Mourier reçoit son épée d'académicien. Infor'• mations politiques. Dernière Heure. PAGE 4. Raymond de Passillé La production du lin et la -défense nationale. G. de Guilhermy Clôture de la Semaine de propagande touristique. Paul Lesourd La Vie religieuse. Jules Laurent La Vie universitaire. Revue de la Presse. Ch. Dauzats Académie des sciences.
PAGE 5. Henri de Régnier, de l'Académie française La Vie littéraire. Arsène Alexandre La fête solennelle de Delacroix au Louvre. Stan Golestan A travers la musique. Les Alguazils Courrier des -Là-
,tres.\ '"• •j*'v-v^-=>! ;•-̃̃• ̃-•̃̃?•̃̃
PAGE 6. La Bourse La Côte des Valeurs. –Le Programme des spectacles. Courrier des Théâtres.
PAGE 7. La Vie sportive. Paule HenryBordeaux Antaram de Trébizonde.
LA POLITIQUE
Les affaires sérieuses
*(. r^ Il y avait du monde hier dans les cou-
^SjU loirs de la Chambre. Il y avait des ora-
teurs. Il y avait des stratèges. Il y avait
quelques survivants de l'espèce des
conspirateurs. Il y avait peut-être des hommes politiques. De quoi s'entretenaient ces représentants du peuple ? De l'attentat de Montereau ? Non point. Le grand sujet était de connaître comment les raâitsœî trouvaient-. le-<iisc©urs de^M«Andr| Xsfc dieu. -r"'r:i Nous pensons que, parmi quelques autres, l'une des préoccupations de nos dirigeants doit être d'approfondir cette triste affaire de Montereau et de méditer sur ce qu'elle nous révèle. Il est monstrueux que l'idée ait pu se former dans un cerveau humain de faire dérailler le train où pouvait se trouver le président du conseil et de vouer à la mort les voyageurs qui se trouvaient avec lui. L'attentat n'est pas l'oeuvre d'un fou il a été organisé et exécuté par un homme qui savait ce qu'il faisait et qui n'a pas eu horreur de lui-même.
De pareilles manœuvres, de pareils crimes sont un des traits de l'époque contemporaine. II y a toujours eu des déments, des détraqués, des anarchistes se livrant à leurs risques et périls à des entreprises individuelles. Il était réservé à notre temps d'assister à ce spectacle inhumain, qui est une offense à l'esprit l'organisation servant à la destruction, la technique mise au service de l'attentat, le manuel d'instruction répandu librement contre la société, contre l'Etat. Nous sommes à l'âge de la barbarie scientifique. r" "r"" '̃ "v- Que pense la Chambre ? Que pense-t-eJle du progrès des mœurs, de l'utilité de la répression, de la discipline morale enseignée aux citoyens ? Elle a pu souvent juger avec raison que la population française était de mœurs douces, qu'elle était humaine, que dans son immense majorité elle était arrivée à un degré de civilisation qui la rendait apte à se conduire et à se conserver elle-même. Mais la civilisation même est un mince vernis sur le fond permanent de la violence. Pour qu'elle tienne, il ne faut pas tenter l'animalité qui sommeille. Il ne faut pas laisser se développer les centres de propagande anarchiste et révolutionnaire. Il ne faut pas affaiblir la justice par les amnisties et la loi par la réclame démagogique.
On aimerait connaître l'opinion du Parlement. On aimerait connaître l'opinion des radicaux, qui ont l'ambition de constituer un grand parti et d'être associés au gouvernement. M. André Tardieu parlait à Dijon de la restauration de l'Etat. Le fondement de la cité, c'est la justice, qui dépérit quand faiblissent les mains qui la détiennent. Il a été naguère à la mode de prévoir la destruction des villes et le recommencement de l'histoire. A la fin de Ulle des Pingouins, Anatole France a écrit sur ce sujet des pages d'une délicate anarchie. P'une hauteur ombragée de vieux arbres, ses deux héros contemplent la ville qui saute. Ils évoquent les temps anciens où les hommes jouaient aux arts, aux vertus, à l'héroïsme, aux croyances, aux voluptés, et où ils avaient des illusions qui divertissaient. Le nihilisme est la doctrine suprême d'une société qui n'a même plus le sens de la conservation. Ce n'est pas le cas de la nôtre. Et puisque le Parlement reprend ses travaux, il fera bien de montrer au peuple qu'il s'occupe, non de le flatter, mais de veiller aux aff aires sérieuses. «- ANDRÉ CHAUME^
AU PARLEMENT
Là reprise des travaux
Finies les vacances, fini le tourisme parlemen- taire en Afrique du Nord. Députés et sénateurs rentrent cet après-midi. Dès hier, assez nombreux, au Palais-Bourbon, des radicaux sont venus revoir leurs chers couloirs et prendre le la de la mauvaise humeur du groupe.
Dès hier, le travail avait repris à la commission des finances, où l'on commençait l'examen du projet d'outillage national. Le rapport de M. de Chappedelaine a exposé les vastes controverses auxquelles vont donner lieu les contre-projets. (Nous publions plus loin les grandes lignes de son rapport.) Socialistes et radicaux n'ont. pas accepté simplement ces 5 milliards d'excédents budgétaires consacrés par le gouvernement, dès sa déclaration de novembre, pour l'exécution de grands travaux d'intérêt national. Cinq milliards ? Les auteurs des contre-projets regardent cette somme comme le héron de la fable les tanches et les goujons. « J'offre 35 x, dit le radical «50, dit le socialiste S. F. I. 0. 65, surenchérit Je -républicain -socialiste. Le «ou versement, entraîné, a modifié son projet initial et l'a porté à 3L7 -milliards. On fera face à la dépense grâce à la création d'une caisse d'avance aux communes et aux' éniprunts contractés par celles-ci. Cela, c'est le débat des semaines prochaines.
L'ordre du jour d'aujourd'hui est tout diplomatique ratification d'un nouveau protocole d'adhésion à la Cour, permanente de La Haye ratification de l'acte d'arbitrage du 26 septembre 1928. Mais auparavant et pour se mettre en train, la Chambre fixera les dates des interpellations déposées pendant ce mois de silence. Il y en a soixante et une. Pour en épuiser la liste d'ici le 14 juillet il faudrait des semaines à quatre vendredis. Aussi, sur chacune aujourd'hui, sur celles en particulier qui n'ont aucune chance de jamais venir, y aura-t-il cet après-midi de petites escarmouches. 11 y a si longtemps qu'on se tait. Sur quoi portent ces interpellations ? On connait les demandes formulées à. propos de la propagande en Indochine, à propos du discours de M. Challaye, sur la grève des postes. Il y en a un peu sur tout sur le vin, sur l'affaire Almazian, sur les incidents de la Guadeloupe, sur la radiodiffusion, sur la trêve douanière, sur les tarifs de chemin de fer. Il y en a une qui paraît l'écho de récents débats au conseil général de la Loire et dont le libellé dramatique vise à la fois le pillage de l'épargne et' lès sèjjrets de la défense nationale. Il y -en a une autre qui concerne la demijfïnale .âu^champiorinât de rugby a Bordeaux, attristée j>ar unjàccïdënt hîortel, L'in'terpellatèur sîenquiert «' des mesures que le gouvernement compte prendre pour éviter lé jetp.bt de procédés qui déshonorent le sport et le 'discréditent auprès de l'opinion publique. » On ne croit pas que cette dernière interpellation mette l'existence du gouvernement en péril.
Les autres non plus. Les quelques députés de la majorité qui sont passés hier à la Chambre se montraient fort tranquilles. Ils pronostiquaient une fin de session sans risque. Ni les. questions à traiter, ni la situation du gouvernement dans le pays, ni l'état des partis d'opposition ne peuvent, logiquement, laisser d'espoir aux remplaçants. Ceux-ci n'en feront que plus de bruit.
Henri Vonoven.
USAGE DE PARIS
Pourquoi votre fille est muette
Quelqu'un- m'a écrit.
D'abord en me louant des bonnes intentions qui étaient les miennes, l'autre jour, quand je me plaignais et du nouveau tarif des taxis et, surtout, de cet horaire nocturBe <pii <paf ait tout à fait absurde.
Par malheur, ajoute mon correspondant, les meilleures intentions du monde ne font pas qu'une idée fausse devienne vraie. La mienne était hasardée, chimérique, utopique. J'avais eu le tort de méconnaître la loi des lois de l'esprit scientifique, telle que la formulait déjà le poète, latin, et qui demande que l'on connaisse les choses par les causes. La cause réelle de cette augmentation des tarifs m'avait entièrement échappé. On en était surpris. L'on me croyait plus perspicace. « Souvenez-vous,' en effet (à présent, je cite), souvenez-vous, monsieur, que rien ne commandait, en apparence, le relèvement en question, ni le prix de l'essence, ni'celui du fer, ni celui du caoutchouc. Les chauffeurs en furent tellement saisis qu'ils résistèrent. Cette grève du public que vous avez décrite, insolite et perlée, a été précédée d'une véritable grève des chauffeurs, elle aussi d'une espèce nouvelle, les intéressés refusant bel et bien Timeo Danaos. le cadeau qu'on prétendait leur faire. Et qu'advint-il ? Il advint que le Conseil municipal augmenta les droits de stationnement; et l'augmentation des taxis en fut de la sorte, et pour ainsi dire, justifiée. Or, songez. Un procédé si hardi, que voulez-vous qu'il cache, sinon un haut dessein tutélaire ? -Par l'augmentation forcée des taxis, le Conseil ne s'est proposé rien de moins que de porter énergiquement remède aux embarras de Paris. Ces longues files de 'taxis vacants qde vous signalez, comment ne vous ont-elles pas instruit? Car vous n'en 'croyez pas les chuchotements de l'esprit du mal.. Vous ne pensez pas que le Conseil a pu avoir souci d'autres intérêts qu^ l'intérêt p.ub)ic. N;gn. La Circulation. Elle seule. Sa commodité. Son agrément. Mille voitures qui stationnent, qui sont rangées, qui ne bougent durant, deux heures, et voilà Paris soulagé. Ne m'objectez pas qu'une telle solution est celle de la paresse, que le problème doit en comporter d'autres, qu'il est stupide de diminuer. la circulation (au détriment de tout le monde), quand il devrait s'agir de l'activer. Ce serait d'une tête simpliste. Ce serait ignorer à quels petits' moyens sont quelquefois obligés d'avoir recours, pour une grande fin, les plus grands politiques. Aussi bien, voyez, qui proteste ? Personne. 0 sagesse exemplaire, merveilleuse docilité Nul n'est content, mais' personne ne pipe. Vous seul, monsieur,- voix trop innocente, perdue dans le désert. » > ̃ JSugène Marsan'.
Les aviateurs italiens
Maddalena et Cecconi ont battu le record de (jurée en avion-
Les aviateurs italiens Maddalena et Ceceoni, qui s'étaient envolés, dans le plus grand secret, vendredi matin à 5 h. 31, de l'aérodrome de Montecelio, pour tenter de battre le record de durée en avion, ont pleinement réussi dans leur tentative. Ils ont en effet atterri hier matin, à 0 h. 46, après avoir tenu l'air pendant 67 h. 15'. Le précédent record appartenait, depuis mai 1928, aux aviateurs Risticz et Zimmermann, avec 665 h. 25. On dit que Maddalena et Cecconi auraient battu également le record du monde de distance en circuit fermé qui est, avec '8.029 kilomètres 450, la propriété des aviateurs Codos et Costes. C'est, rappelons-le, les 15, 16 et 17 décembre dernier, à bord du Point-d'interrogation, que nos compatriotes établirent ce record qui pourrait fort bien ne pas être battu..Il faudra attendre le rapport des autorités aéronautiques officielles italiennes pour connaître le total des kilomètres couverts par les deux nouveaux recordmen.
Ceux-ci utilisèrent pour cette .tentative, la quatrième, puisque successivement ils échouèrent au cours dé trois autres essais effectués le 17 novembre,^ 12 décembre et le 26 décembre 1929, l'avion que pilotaient, il y a deux ans, leurs compatriotes Ferrarin et Del Prête lors de leur tentative contre le record du monde de distance en ligne droite, tentative qui fut couronnée de succès d'ailleurs, puisque les deux champions italiens battirent alors le record avec un parcours de 7.166 kilomètres, soit la distance de Rome à Natal (Amérique du Sud) avec traversée de l'Atlantique-Sud. A. R.
BILLET DE MINUIT
1 .1
Le rêve du cycliste
La cour d'appel de Poitiers vient de décider qu'une bicyclette est une voiture, et ce n'était point l'avis des juges de première instance. Vous plaîtil de rêver sur de pareilles aventures, où l'esprit se joue parmi les choses et les range en de -certaines catégories ? Je ne sais point, au demeurant, ce qu'était, «n l'espèce, la i&fëïrine du cycliste mais il me semble que notre homme eût pu dire Une voiture, selon l'étymologie, sert à transporter les personnes et les choses. Lés voitures de Bacchus, c'était ses tigres. Ovide le rapporte, et fort harmonieusement. Il n'est que de s'asseoir dans un taxi ou dans un landau, pour être en voiture, c'est-à-dire pour se trouver transporté. Les chevaux, qu'on les voie tout hennissants, ou qu'ils soient comme dit l'autre, vapeur, ont toute la peine et les vents s'ils soufflent heureusement font aussi d'un trois-mâts une belle voiture tandis qu'on ne sait plus, cycliste pédalant, si ma bicyclette me transporte ou si c'est moi qui la pousse. Ses roues ne sont que des prolongements de moi-même et que j'anime et si j'ajoutais des échasses à mes jambes, diriez-vous que je vais en voiture ?.
Laissons le cycliste poursuivre sa harangue imaginaire, et songeons que le Droit institue parfois une féerie, et d'autant plus singulière qu'elle satisfait la raison. Il nous enseigne qu'en de certains cas, il convient de ranger parmi les immeubles les pigeons roucoulants et les chastes abeilles et vous n'ignorez point que sur le propos de la contribution des chevaux, mules et mulets, le Conseil d'Etat a décidé que le bardot rentrait dans l'espèce mulet. Le bardot, vous le savez, est le produit du cheval et de l'ânesse, tandis qug le mulet nous vient de l'âne ëi de là jument > et je vois que vous jêvez aussitôt au jumart, animal fabuleux, et dont Paul Arène prétendait qu'il était le bizarre enfant de la jument et du taureau., Vous évoquez aussi le titire et le musmon P.-J, Toulet déjà leur a consacré un distique
Le bouc et la brebis enfantent le titire.
Mais le musmon, de chèvre et de bélier, se tire. C'est une fort belle ménagerie, et j'en étais venu dans ma jeunesse, à penser, au sujet du bardot, que le grave Conseil d'Etat, était pourvu d'une section zoologique pour se trouver en possession d'assigner si doctement aux animaux la place qui est vraiment la leur dans le domaine où se confondent la Nature et la Jurisprudence.
Au reste, notre cycliste avait tout simplement refusé de s'arrêter, malgré l'ordre et les sourcils froncés de la maréchaussée. Il alléguait que la loi qui règle la circulation des voitures,
Demeurait sans pouvoir sur cet humble appareil Qu'il mouvait d'un décuple orteil.
Quel songe étonnant, mais quel songe, s'il suffisait, pour se mettre au-dessus des lois, de monter à bicyclette '"̃
Tristan Derème.
M. von Bulow est nomné secrétaire d'Etat aux affaires étrangères du Reich
Berlin, 2 juin. Un communiqué officiel annonce que le président d'Empire a procédé aux nominations pour les postes d'ambassadeur à Londres et à Rome et de secrétaire d'Etat aux affaires étrangères.
M. Sthamer, ambassadeur Londres, prendra sa retraite le 1" octobre, et M. von Neurath, ambassadeur à Rome, est désigné pour le remplacer à Londres.
M. von Schubert, secrétaire d'Etat aux affaires étrangères, est nommé ambassadeur à Rome, et M. von Bulow est nommé secrétaire d'Etat aux affaires étrangères.
M. von Schubert remettra les affaires à son sucçësseuç dans la seconde moitié de juin.
le DÊirai^ir -titJ^TÉnniv
Tandis que l'armée du Rhin embarque peu à peu ses unités, ses chevaux et son matériel avec une discrétion qui ressemble fâcheusement à une fuite, les Allemands préparent leurs lampions. Il est évident que la population attend fiévreusement l'occasion de renouveler en juillet les frairies du Carnaval. N'y cherchons pas trop le délire patriotique, celui-ci est d'un autre ordre. • Donc, les fenêtres seront pavoisées. Il y aura des banquets et des discours incendiaires. On dansera la nuit et la valse à trois temps fera tourbillonner la Rhénanie entière, sans distinction d'âge, de sexe ou de corpulence. Les lampions éteints, la fête terminée, les Rhénans se retrouveront dans des villes vidées de leurs garnisons aux prises avec les mêmes difficultés économiques et les mêmes menaces sociales.
La presse allemande a fatigué le monde du récit des méfaits de l'occupation. Elle était une charge intolérable pour les régionsoccupées. On la rendait responsable non seulement de. la crise des, logements, mais de la tuberculose et des épidémies. Le passant qui se promène aujourd'hui dans les rues de Coblence -peut constater Aa. bonne, ïoi deces affirmations. Les maisons vides n'y trouvent ni locataires nI acheteurs. Je ne parle pas seulement des blocs construits pour nous, mais de ces villas de plai- sance situées dans des parcs ou le long du Rhin et que leurs propriétaires avaient été heureux de louer à des officiers ou à des membres de la haute commission interalliée. Eux-mêmes, trop pauvres pour en supporter la charge, cherchent vainement à en tirer quelque revenu. Des magasins ont dû liquider des vendeurs, certaines maisons sont en faillite.
Les Allemands achètent peu, ils donnent peu aussi, non seulement par méthode et parce que la charité est le fait des sociétés et des caisses de secours, mais aussi parce que leur gêne est réelle. Le gouvernement, lui, ne lésine jamais sur les sommes énormes qu'il engloutit dans les travaux publics, spécialement lorsque ceux-ci ont un but stratégique plus ou moins lointain, mais la classe bourgeoise est ruinée par l'inflation et la classe ouvrière ravagée par le chômage. La propagande communiste y trouve un terrain trop préparé. Que d'Allemands nous ont dit, l'un d'eux était un haut dignitaire ecclésiastique « Tant que vous êtes là nous sommes tranquilles, mais après le départ de vos troupes nous aurons des émeutes, et pourrons-nous maintenir, l'ordre ? »
.ttt.ur J.
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Un double intéretieur fait flonc ̃̃regretter notre départ. Il s'y ajoute: aussi une raison psychologique. On ne vit .pas douze ans en contact quotidien avec un peuple de culture demi-française et chez qui subsiste le souvenir d'un passé commun, sans que ses préventions tombent et que la comparaison s'établisse entre les maîtres d'aujourd'hui et ceux qui le redeviendront demain.
Il faut entendre à demi-mot. Il faut se pencher pour écouter la source souterraine mais, toute raison militaire mise à part, on comprend l'acharnement de Berlin à demander l'évacuation. Malgré une campagne déchaînée de calomnies et d'excitations, chaque année diminue ici son prestige.
De Worms à Trèves, de Coblence à Mayence, dans ces heureuses villes de la Hesse et de la Prusse rhénane, dans les campagnes sévères du Palatinat, j'ai recueilli bien des témoignages. J'ai pu constater chez bien des Rhénans l'indifférence absolue à l'occupation, chez d'autres la sympathie et, sauf dans les milieux d'enfants et de lycéens, très rarement la malveillance. Et il en est bien peu à l'heure actuelle qui croient encore à la fable de l'innocence allemande et d'une gierre de légitime défense.
Interrogeons ces témoins, écoutons leurs réponses. Et puisque la vérité sort de la bouche Ses enfants, nous commencerons par Trudel. Trudel a dix-sept ans. Elle habite la banlieue de Trèves. Ses parents, ses frères travaillent aux usines. Il y a peu d'argent dans la maison, beaucoup de jeunesse et des appétits rhénans qui trouvent bien court le dîner quotidien, composé de café au lait et de pommes de terre. Trudel travaille en journée, de-ci et de-là. C'est une grande fille solide, avec un air comique de fausse ingénue sur sa grosse figure fraîche. Ses cheveux sont courts, sa robe plus courte encore. Elle n'a pas beaucoup d'idées personnelles et reflète fidèlement celles de son entourage.
Il y aura de grandes fêtes pour votre départ, nous dit-elle naïvement. On dansera, je voudrais déjà y être.
On est donc si content de voir partir les Français ?
Oh non pas pour cela. Au contraire, ils nous faisaienf" travailler et ils payaient bien. Pourtant ici beaucoup sont furieux contre vous. Autrefois ils trouvaient toujours du travail en Alsace-Lorraine, et maintenant on les a chassés. (Trèves est infesté, en effet, d'Allemands expulsés de ces deux provinces.) La vie est bien plus dure qu'autrefois. ̃ Mais puisqu'elle était bonne autrefois, pourquoi avoir voulu la guerre ?
C'est vrai. Quand on veut trop en avoir on est toujours puni (Wenn man zu fiel haben will so ist man immer gestraft).
Trudel a' du bon sens, tout au moins on en a autour d'ells-.
Du même milieu d'autres sons de cloche s'élèvent.
J'attendais il y a quelque temps, dans un commissariat de police. Mon attention fut attirée par un grand garçon aux cheveux crépus et rouge. Sa longue figure rouge aussi et semée de taches de son, ses traits un peu grotesques lui donnaient vaguement l'air d'une carotte sculptée. La conversation s'engagea. C'est la troisième fois depuis six semaines que je viens ici, me dit-il. Je n'ai pas les trois marks nécessaires pour retirer mon passeport et on me le refuse.
Où allez-vous ?
A Luxembourg. J'ai enfin trouvé du travail. Voyez la lettre du patron qui m'embauche. r^i £ous n'en trouviez pas ici
Ici ? Ah"! rien à faire. La misère et la mw sère. Pauvre Allemagne
Mais elle sera bientôt libre l'Allemagne puis.que les Français s'en vont.
Et que voulez-vous que cela nous fasse. Qu'ils soient ici ou chez eux notre sort est le même. Quand ils ne seront plus là, les Allemands se cogneront encore davantage entre eux, ce sera tout le changement. Les choses ne peuvent plus durer ainsi. Cela, c'est la guerre.
Le peuple allemand n'a pas voulu la guerre4 interrompt-il.
Et le gouvernement ?
Ah c'est différent. Ce sont les capitalistes qui l'ont voulue, la guerre.
Pour la première fois je le vois s'animer et un éclair passe dans ses yeux.
Nous connaissons l'antienne. Je songe à part moi que si la' guerre eût tourné autrement le plus farouche prolétaire allemand se serait aisément découvert des "ntrailles de capitaliste.
Pauvre garçon malgré tout Ils sont des milliers ainsi, et chaque semaine nfrus les voyons, anxieux e£ mécontents, assiéger la caisse de chômage* ̃Le jour bii l'émeute grondera, malgré les forces de police suffisantes pour la réprimer, il est probable que Berlin jouera de cette menace communiste pour obtenir le rétablissement dans les filles du Rhin des garnisons interdites par le traité de, Versailles.
Georges Zell.
Gomment le cardinal liueon
rentra dans Reims
y
UNE LETTRE INÉDITE
Par PAUL LESOURD.
Au début 'de septembre 1914, quand pour la première fois la cathédrale de Reims fut bombardée, le cardinal Luçon quitta précipitamment Rome, où l'avait appelé le conclave d'où Benoît XV sortit pape.
M. Georges Goyau rappelait ici même ces faits, il y a quelque^ jours, et il ajoutait que, les lignes tte «aïernins de fer étant coupées, le cardinal ne pat Regagner m vîlîë: ârcnïëïnscopalë" que grâce à lu voiture d'ambulance d'un médecin qui de Paris te.conduisit à Reims.
Nous savions qu'un curé de Paris avait été activement mêlé à ce retour mémorable bien plus qu'il en avait été le principal artisan. Aussi sommesnous allés, hier, trouver. M. l'abbé Camille Racf, curé de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle, et lui avons nous demandé d'évoquer pour nous quelques-uns de ses souvenirs.
Avec beaucoup de bonne grâce, M. l'abbé Ract a bien voulu non seulement nous conter comment il avait ramené le cardinal Luçon dans Reims, mais nous confier une lettre inédite du vénéré prince de l'Eglise qui confirme son récit • « En ces mois d'août et septembre 1914, nous dit-il, les blessés débarquaient à Paris dans un état souvent lamentable, le mal ayant fait d'effrayants progrès durant les longues heures passées dans les trains d'évacuation. Le docteur Charles Bonnet, médecin en chef de l'hôpital auxiliaire n° 49, installé dans la clinique de la rue de la Chaise, eut l'idée d'aller chercher des blessés sur les champs de bataille et de les amener directement à Paris dans de puissantes autos. » Un appel fait dans la presse fut entendu. Trente autos s'alignèrent bientôt dans la cour d'honneur de l'hôpital. Un premier voyage donna d'excellents résultats.
» J'étais alors curé des Lilas. J'obtins du car,dinal Amette l'autorisation de me joindre, en qualité d'ambulancier,; ;aux,»jeonvois organisés par le (iocteuE Bonnet, Voilà comment j'arrivais le 17 septembre à Reims, après 'avoir traversé tant et tant de villages détruits et de champs ravagés, cotoyé tant et tant de cadavres qui sillonnaient la route. » Dans une école municipale transformée en ambulance, de nombreux blessés arrivaient à chaque instant à pleines charrettes. On opérait les cas urgents. On faisait des pansements rapides, ou on désignait du coin de l'œil les blessés qui semblaient frappés le plus grièvement, et à mon tour je m'allongeais près d'eux, dans le sang, et leur prodiguais les paroles du pardon et de la foi. Pendant ce temps, à quelques pas de nous, le feu dévorait la sous-préfecture et les bâtiments hospitaliers qui l'entouraient. Le canon faisait rage. « A cette ambulance je rencontrai un jeune vicaire, M. l'abbé Caillaux, aujourd'hui curé d'une paroisse de la banlieue de Reims, qui se dépensait tant et plus auprès des. blessés. Son étonnement fut grand d'apprendre qu'un prêtre de Paris avait pu percer les lignes alors que depuis le 4 septembre toutes communications étaient impossibles avec la capitale. Par lui ma présence fut aussitôt signalée à M. le chanoine Fournier qui réunit ce qui restait du chapitre. Quelques instants après on me chargeait d'un message oral pour le cardinal Luçon dont son clergé était sans nouvelles. » A sept heures du soir, nos malades étant installés, nous repartîmes pour Paris tous feux éteints. Ce retour à Paris à travers la nuit sombre et sous une pluie battante a laissé dans ma mémoire des souvenirs ineffaçables. Le voyage dura trente-six heures, pendant lesquelles je ne mangais qu'un peu de pain et de chocolat. J'arrivais à Paris brisé de fatigue.
» Sans prendre le temps de me reposer ni d'avaler quoi que ce fut, sans même essayer de nettoyer ma soutane toute couverte de. taches de sang et de boue, malgré ma saleté extrême, je me mis aussitôt à la recherche de l'archevêque de Reims. Je le découvris enfin rue d'Ulm, au couvent des sœurs de l'Adoration Réparatrice.
» Il était midi et demi environ. La religieuse à qui je demandai à voir le cardinal répondit qu'il était à table et qu'on ne pouvait le déranger. » Ma sœur, lui répondis-je, dites à Son Eminence que j'arrive de Reims.
» II n'en fallut pas davantage pour que le cardinal arrivât aussitôt. Je lui dis ce que j'avais vu dans Reims et les inquiétudes de son clergé à son égard et l'impatience qu'avaient ses prêtres de l'avoir au milieu d'eux.
» Des larmes pleins les yeux le bon cardinal Luçon me répondit Voilà dix jours que je cherche à rentrer au milieu de mon peuple la compagnie des chemins de fer de l'Est a mis gracieusement à ma disposition un train spécial qui est toujours sous pression1 mais an-moment du départ
un (à)is dû -gouverneur militaire -nie prévient' $é' il me sera impossible de passer.
» Qu'a cela ne tienne, Èminence, dis-je, au cardinal. Laissez-là ie train spécial, Permettez à M. té' vicaire général Compant de m'accompâgher chez le docteur Bonnet, et..comme .simple prêtre vous partirez avec noire prochain convoi. » Ainsi fut fait. Je rentrai chez moi à six heures du soir,- fourbu maisr heureux.
»;Deux jours plus tard le cardinal Luçon, v-ètu. .̃ cbnime1 un simple prêtre et ne portant aucun iinsigne cardinalice ou épiscopal, quittait avec moi Paris &l auto. »
Ce que ftit ce retour du caïuinal Luçcm dans sa ctièifé ville de Reims,lui-mêïiïe l'a rappelé dans -la" lettré inédite qui suit, adressée à M. l'abbé Ract, plusieurs années après. Le1 11 mars 1922, le cartii- nal écrivait .v».. Monsieur le curé, '̃"̃
V.ÔMS sQiivicnt-ii de -la visite que. VJius avez faite à X'arcjie.véyjic dé Reims, au coupent de l'Adora-. tipri Réparatrice, lé 19 septembre 1914 ? Vous, pé: niez^,Uiï. \ofjfi\ir, de, la part du docteur ̃ Bùniief,dq,ïe' faire condiiVr'e à Reims, dans une dès ̃ voitures' d'ambulance qui fous les jours allaient, de Parts à-ReùnsJ 'chercher' des ̃ grands blessés. ~ô f fre f tit acceptée -avec grand '^plaisir et êli'e se réalisa- le- lundi 21. 'Les voitures d'ambtilanée qui devaient rentrer n Paris te 20 au s.oir n'y rentrèrent pa,i. Elles avaient été bombardées, avenue de Laoïi.- Mais le docteur Bonnet ne s'en dédit pas pour cela.. Il me fit recotiduire à Reims en automobile privée. Nous partîmes de Paris le lundi 21, n 4 heu- res'rlii soir. A 8 heures, nous étions ri Dormam. Pendant cinq heures, de 8 heures ci 1 heure après minuit, nous croisâmes d'innombrables voilures, de. l'ar-mëe, .probablement du service de ravitaille-.ment, qui marchaient au pas, sans lumière. C'élait sinistre.
A-l h. 1/2, nous arrivions à Villedommange sans savoir où nous étions. Mais on ne voulut pas nous lai$$ep aUfir-plus loin. Force nous fut de passer le reste de la nuit dans ce village. Mais, le lendemain, 22. septembre, je rentrais enfin dans ma villelépiscopale.
Qiïe. de fois depuis, j'ai pensé ù vous, cher monsieur le curé car c'est vous qui êtes venu în'apporter la bonne nouvelle qu'enfin' j'nvais trouvé le moyen de regagner mon diocèse. Que vous étiez fatigué Vous n'aviez plus de blanc clans les yeux ilè étaient tout rouges. Vous me dites que vous aviez vu mes vicaires généraux, qu'ils n'uvaient point de mal que la cathédrale avait été touchée par les obus mais pas gravement. Hélas au moment même où vous me disiez cela, où vous me parliez de l'incendie de la sous-pTéfeclure que vous aviez contemplé du haut de Montçhenot, ci ce ih^mefiflàhvêm^} FdÇ'c^âfé- druVe etàti'tâ proie ite Vtn'è'enSle attumT-far V'e~tV> ne mi. Nous ne le savions pas. Je lie l'ai su -quel leilendeinain dimanche;. à b:hr, 1/2 du -sç.ip^ ,]/ fTxms ces souvenirs me sont tùtfenus bien des fois à"la mémoire, avec la vôtre. ̃ ̃ Wm >rfe sept ans se sont écoulés depuis lors. Si vous vouliez bien revenir voir Reinis, la ville, la cathédrale, avec quel plaisir je vous recevrais l Je puis facilement vous donner l'hospitalité, même pour la nuit. Vous reverriez en ruines cette pauvre ville dont vous aviez un commencer les premiers: désastres. Ce serait pour moi un si grand plaisù: de vous revoir, de vous redire ma reconnaissance, la fidélité de mon souvenir Vous trouveriez bien un jour ou deux de congé pour faire ce vo.yaqe. C'est pour vous en faire la proposition, cher monsieur le curé, que je vous écris ces lignes, en désirant vivement a "avoir la satisfaction de vous revoir. Je veux espérer que cette -espérance se réalisera.
Veuillez agréer, cher monsieur le curé, l'assu^ rance' de mon souvenir respectueux et reconnais-
sant. ̃̃
r.. ,-f-L. J., cardinal Luçox, ̃"̃•̃̃ Archevêque de Reims. M. l'abbé Kact alla à Reims, et y fut reçu d'une manière touchante par le cardinal Luçqji,,qui tou- jours garda une grande reconnaissance à celui qui lui avait permis de reprendre auprès de JsotreDame de Reims, dont le nom est à jamais lié au sien> le poste de vigie qu'il ne voulut plus quitter jet qui j-l fait entrer tout vivant dans l'Histoire. ,-AFânl'. Leaourd. 1
:ir~;I 'Tt~tt.&i~j.) 7
MADAME LUDOVIC HALEVY Hier, au cimetière Montmartre, où une avenue porte le nom de la famille Halévy, un petit groupe de parents et- d'amis de toujours a conduit à sa dernière demeure Mme Ludovic Halévy, née Louise Breguet, veuve de l'illustre auteur dramatique, mère de M. Elie Halévy, l'historien du peuple anglais, et de M. Daniel Haîévy, écrivain cher aux lettrés. En pleine vie, on serait tenté de dire en pleine jeunesse, tant cette souriante octogénaire conserva de bonté alerte et de curiosité, d'esprit jusqu'au dernier jour, Mme Ludovic Halévy fut enlevée jeudi' dernier, en quelques instants, et c'est une consolation -pour les siens que cette mort rapide et douce, juste récompense de sa vie simple et de sa grande âme. Plus tard, lorsqu'on retracera l'histoire intime du mouvement dramatique et littéraire vers la fin du siècle dernier et au commencement du nôtre, lorsqu'on évoquera la collaboration célèbre de Meilhac et Halévy, en leur associant les grands noms musicaux de Jacques Offenbach et de Georges Bizet, deux nobles femmes, unies entre 'elles par la plus fidèle et profonde amitié, mêleront à ce, tableau leurs gracieux visages "d'épouses et d'inspiratrices. Ces deux cousines, qui se comprirent et s'aimèrent-, si .parfaitement, comme si le contraste de leurs-natures, loin de les séparer, les avait aidées à se sentir plus proches, reposent; m£Jritên,ant-<.T<îariâ-.ia. même tombe. Mme Bizet, néêj Geriejiève" HaJévyy"'fiHer de l'auteur de La Jui ve, veuve âe FauPéin^de^CcrWê* et de' L'Arlésienne, devenue Mme Straus par son second mariage, y est entrée la première. Mme Ludovic Halévy vient de Ty rejoindre, dernière survivante, dernier reflet d'un monde cultivé. brillant et tranquille, auquel on ne voit 'guère d'analogue dans la trépidante société actuelle, et "'qu'il appartenait à M. Daniel Halévy de' peindre avec une rare justesse de vérité et d'émotion dans le beau volume de souvenirs où il a salué cette terre du vieux cimetière parisien qui recueille aujourd'hui les cendres, de son exquise et admirable mère.
Qu'il nous soit permis, à nous aussi qui la vénérions et la' chérissions depuis près d'un demi-siècle, de nous incliner tristement devant sa mémoire
̃•̃̃̃ Robert Dreyfus.
LUCIEN LELONG
16, avenue Matignon, soldera aujourd'hui et demain 4 juin, le matin seulement, robes et manteaux de sport; d'après-midi et du soir, ainsi que des fourrures. Vente exclusivement au comptant.
UOis^au-Tonnerre et Terpsichore On a sou\<ejit dit qu'à. Paris se rencontraient toutes les faces de la terre. II manquait à nos salons, pour que la réunion fût vraiment complète, un représentant de la race rouge. Pour le-grand public, les indiens narten-t toujours des. plumes et se conduisent en sauvages, Cette saison cependant vient ouvrir nos portes les plus fermées à l'un d'eux. C'est le jeune chef Os-KoMon (le Maïs vert), qui est à la fois un gentleman parfait et un artiste d'une sensibilité extraordinaire. Les quelques privilégiés qui ont entendu ses chants indiens, ceux qui ont pu voir ses danses, furent stupéfaits d'une telle révélation. A 1 occasion de la réception, au musée du Trocadéro, d'un mat 'totemique, Paris découvrit l'art peau-rouge. On a souvent parlé, depuis cet événement bien pansien, de ce jeune danseur aux cheveux longs et àJa peau cuivrée, mais on a pu moins souvent applaudir son talent.
Aussi son concours a-t-il été d'autant plus précieux pour le succès du bal que les «Enfants de' France » avaient organisé le 1" juin, au-proiit des Petits Allongés de Berck. •••̃>• '̃ "s- Ses chants et ses danses guerrières ont soulevé l'enthousiasme de l'assistance. 'Nombreux s~'Ilt, ceux qùi iront l'applaudir de nouveau le 11 juiQi salle Gaveau,
Les Coure, les Ambassades] Je, Monde et la Ville
1 ^ïï" •-̃ ̃h 7~ y- ̃• ̃<•>̃
1res Cours
̃ -V.S. M. le Roi Boris, LL.,AA. RR. le Prince Cyrille •et -la Princesse Eudoxie ont honoré de leur présence, un dîner offert à la légation de France de Sofia par S. Exe; le ministre et Mme Cambon..
-Dans la soirée, une réception suivit, au cours de laquelle les artistes du Théâtre national bulgare jouirent en français une comédie de Musset. Un ballet, des proJections lumineuses et u;n souper terminèrent cette jolie
fête. • r ̃;̃̃
S. A. I. le Prince Taicamatsu; "frère de l'Empereur du japon, et là' Princesse KiKuko, sa femme, sont arrivés hier à, Marseille, à bord du paquebot Kashima-MariL Ils^brtT^été reçus- par de' nombreuses personnalités. Le préfet, M. Delflni, les a salués au nom du gouvernement:. ̃ Le Prince, la -Princesse, set leur suite sont, partis: le soî-r'pour Paris: ̃'̃'̃ '̃ • '< ̃̃̃̃ "̃ Le' Prince se rendra ensuite à. Londres^ puis" il -visitera les, autres ».cap,itales,eurp.péenHes.S9n; séjour.i-en Eur.opç-.durera iine année, environ.. ̃̃ ̃- jQ^fls;-]lës À'itiifeà'^sàdé's. 'J; i-{-}\ ̃ 'S; Exci'le ministre de France à 'Prague et Mme- Charles-Roux ont donné, mercredi soir, 'un dîner dont les cGTÏ'vives étaient M. Wellner, directeur politique au ministère des affaires étrangères; le ministre de Hongrie et Mme de Masirevitch, M. de Belfort Rennes, ministre' du Brésil; le ministre de Pologne et Mme Grz- bowska, le ministre des Etats-Unis et Mme Ratsh-ssky, Va' baronne Kubinska, le professeur et Mme Kafka, le chargé d'affaires de Suisse et Mme Bruggmann, M, et Mrs-Koéling, M. et Mme Melichar, M. et Mme Whit-. mershy donna Gidia Gaietani, M. de Simone, M. El, Wahhaby.
En l'honneur de M. Louis Loucheur, de passage à Budapest, S. Exe. le ministre de France et Mme de Vienne viennent d'offrir un grand déjeuner auquel assistaient. le président du conseil et la comtesse Bethlen, le ministre des affaires étrangères et Mme Walko, le ministre des finances et Mme V/ekerlé, le comte Albert Âpponyï, M. Pallier, ministre de Tchécoslovaquie M. Loukovitch, ministre de Yougoslavie;, le ministre de Roumanie et Mme Grigorcea, le barôn et la baronne J Koranyi, M. Marcel Ray, M. Serrade, le baron et la baronne E. de Beauverger, le lieutenant-colonel et Mme Jouart, M. et Mme Brillat des Murger.
A rÉlysée "'̃ ••̃
Lé président de la République a reçu, hier, ÎA. Bottfti,jijnistr^ des corporations du joyaupe .d^talie,- êiufefJuij.iSbétft présenté par S. Exc. lé comte M^pfl.i-
i'rnbjisSadôar ï<a'Jfalie.; à=, -Paris. ]-̃,•̃̃ '.•̃
Une délégation de l'Association iiméricairjé « Woméns.. Oyejseas Service League », dont les rii'embrés_ font âcfùellernent iin voyage en Ffâricé,~a été également reçue .e par 'M. Gaston Doumergue. ̃.
Monde officiel
jM. André' Tardieu a reçu, .hier,. S. Exe. M. Walter Edge, ambassadeur des Etats-Unis, et M. Parker Gilbert, ancien agent général des paiements des réparations. Dans le Monde
La marquise de Saint-Genys et la duchesse d'Audiffret-Pasquier ont donné, samedi dernier, un bal plein d'entrain pour les amis de leur petite-fille et fille, Mlle d'Audiffret-Pasquier.
Reconnu LL. ,AA. les Princesses M. et E. de Grèce, baronne et Mlles de Gaiffier d'Hestroy, Mme et Mlle de Chiapowska, duchesse et Mlle de Marmier, princesse et Mlle d'Arenberg, princesse et Mlle de Croy, princesse 0. et princesse M. de Broglie, marquise et Mlle de Mun, comtesse et Mlle d'Harcourt, marquise et Mlle de Maillé, marquise et Mlle de Saint-Seine, marquise et Mlle de Venevellès, comtesse de Malterre et Mlles de Malterrc et de Rohan-Chabot, marquise et Mlle d'Armaillé, marquise et Mlle de Vesins, comtesse de Dampierre et Mlle de Briey, marquise et Mlle de Marescot, marquise et Mlle de Chambray, marquise et Mlle de Leusse, comtesse et Mlle de Moustier, comtesse et Mlle de Laistre, comtesse et Mlle d'Ursel, vicomtesse et Mlle d'Avenel, comtesse et Mlle'des Isftards, comtesse et Mlle de Courtivron, Mme et MliP'Milferand, comtesse et Mlfe de Pouyille-Maillefeu,èttirltyjii et Miles de Lqstotifs^'rnè-'T; et Mlfe ftb'docâ'i&cffi^Tftme et Mlle Hottini- i-, àifér1, riliSsiGfêweç, tomteSsâ '«t Mlle-de Séguier.'Mme P;ét Mlle de Fbûqùiè'rès, !e'omtessè'>te.net;Mfre de' Ga-hay,' comtesse de. Castries et Mtte-d$r!S3f>orta, comtesse et Mlle de Bourbon-Chalus, BarflnnS'.fR. -et Mlle de. Rothschild, comtesse A. et Mlle de Bonneval; comte et Mlle de Chevigné, marquis et Mlle Dadvisard, baronne et Mlle de Fontenay, comte et. Mlle, de Rougé, Mme et "Mllç Firino-Martell, comtesse et Mlles de Monti de Rezé et de Sinçay. comtesse de Berthould et Mlle de Goulaine, Mme et Mlie Leclerc, Mme et Mlle Balsan, comtesse et Mlle de Bernis, marquise et Mlle de Hillerin, -comtesse et Mlle de Viel-Castel, comtesse et Mlle de Chabrol, Mme et Mlle L. de Seynes, comtesse et Mlle de Castéja et Mlle Amor, comtesse et Mlle de Guitaut, marquis et Mlle de Baudry d'Asso-n, comte et Mlle de Vibraye, Mme et Mlle d'Aillières, comtesse et Mlle de Beauregard, comtesse et Mlle de Montalembert, comtesse et Mlle de Lassus;
Mme Paul et Mlle Dupuy, comtesse et Mlle d'Hespel, comtesse et Mlle de Saporta, baronne et Mlle de Cholet, marquise et. Mlle de Kernier. comte et Mlle. de LaurensCastelet, comte et Mlles d'Imécourt, comtesse et Mlle d'Ollone, Mme et Mlle van Heukelom, comtesse de Bernis et Mlle de Murard, Mme et Mlle Ubald Bocquet, comtesse et Mlle de Rodellec, comte et Mlle de Belleville, Mlles de Broglie, de Vogüé, de Vienne, de. Waru, de Nicolay, de Jumilhac, de Chaudenày, Morel, de Carné, de'Thoisy, de Beaugrenier, Forbes, Roy, de Beauregard, Mallet, du Cor de Damrémont, de Manneville, de Coulombiers, de Boishue, de Bartillat, Raoul Duval, de Nazèlles', Dauger, Vingfain, Sârnt-Périer, Vaugelas, Subervielle, Dutreil, duc de Luynes, duc 'de Castries, prince d'Arenberg, princes Guy, Henry et Louis de Poliinac, prince P. de Broglie, marquis de Bris^ac, marquis
de "Lei'is-îiïîfè'çtJix, comte de Pomereu, M. -Aïra/é '_cfë f1oJiiquiëres,C:oiîite. de Bourbon-Busset, marejuis «J-es'ÇSrsj11 comte M. de Grammont, comte G. de Rohan-Chabot, comte G. de Castries,' comte de Montault, comte de Miramon Fitz-James, comte de Saint-Genys, comte J. Reille, barons J. et R. de L'Epée, comte R. de Moustier, comte de Castéja, MM. B. et J. de Largentaye, comte G. de Miramon, comte G. d'Ursel, comte H. de Villoutreys, M. P. de Douville-Maillefeu, comte F. d'Ursel, baron de Bussière M. Vlasto, M. R. de Witt, M. Goury du Roslan, M. de Vaugelas, M. van den Broeck d'Obrénan, comte de Champeaux, M. A. de Dampierre, comte de Layre, comte de Lameth, comte Lepic, M. P. de La Tour du. Pin, M. Lèhideux, M. P. de La Grandière, comte de Venevelles, M. de Peyerimhof, M. T. Ferray, comte de Truchy, comte de Castellane, comte W. de Spoélberch, chevalier W.. Coppens, M. G. de Louvencourt, comte de Laurens-Castelet, comte de Chambray, comte P. de Chev:gné, vicomte de Bresson, comte de Pourtalès, vicomte de Sainte-Croix,'M. B. Verdé-Delisle, comte de La Làùrcricre, lieutenant de Kiss de Nemesker, comte de Rôchefort,. M'. Gautier, etc.
Mme O. de La Groudière a donné, vendredi, une brillante matinée à l'occasion du mariage de sa fille avec le comte René de Scitivaux de Greische. Les invités ont fort admiré la corbeille comportant de très beaux bijoux et les nombreux cadeaux offerts aux fiancés. Parmi tes donateurs de la famille M, et'Mme 0. de La Groudière, M. et Mme de Scitivaux, comte et comtesse de Bonvouloir, Mme de La Groudière douairière, M. et Mme Il de La Groudière, comte Lauis de Scitivaux, Mlles, de. La, Groudière, M, et Mme Izarn, Mme A. de MieûïléV vîcomtèssê-'dé Pèfitevflle, comtesse E. de Bonvouloir, M. et Mme R. de Mieulle, comte et comtesse de Sachs, marquis de Terrier-Santans, MM. A. et E. et Mme de Mieulle, comte et comtesse de Berenger, comte de'Crisenoy de Lyonne, M. et Mme de Lorigthuit, M. et
Mme j; dé -"MiëUllev- cdmtesse'dè Lagârde, 'marquise- de
MotftèsquiiOtï-'Fe'zensac, comte et comtesse de La Redorte, Mme de Bray,. Mme Double de Saint-Lambert, duc de, Fezensac, baron et baronne de Chabaud La Tour, comtesse de Bourmont, duchesse de .La Roche.foùcauld' douairière, comte et comtesse Jules de Bonvouloir, M. le maréchal et Mme la maréchale Lyautey, vicomte et vicomtesse de Berenger, comtesse Pozzo di Borgo, comte et comtesse G. de Moustier, M; et Mme F. de Wendel, baron et baronne de Cholet, M. et Mme Bernard Bruls, vicomte et vicomtesse de Poncins, marquise de Vaugiraud, comtesse de Cossé, prince et princesse d'Hénin, M. et' Mme de Vienne, baronne Charles Le Vavasseur, comte et comtesse G. de Germihy, duc et duchesse d'Harcourt, baron et baronne- X. Réillè, baron et barrin-ne Lejeune, comte et comtesse de Salverte, M. et Mme F. y.àn den Broeck d'Obrenan, comte et comtesse de Saint-Léon, comte et comtesse Guy.-de Dampierre, etc. Parmi les autres donateurs et invités duchesse de Rohan, duc et duchesse de La Rochefoucauld, du.c et duchesse de Noailles, duc et duchesse de Lévis-Mirepoix, duc et duchesse Pozzo di Borgo, duchesse de Plai-
sance, duchesse de Moiny, Ç|inçe-. et princegs© de Beauvau, prince Louis de' "BVoglfè", prînee' et 'princesse J. de Broglie, marquise de Beaumont, marquise de LurSaluces, marquis et marquise de Balleroy, comte et comtesse P. d'Oilliamsoniivic^ntesiçvîi.e Vatrlbgé, M. et Mme de Bray, comte et comtesse de Fels, vicomte et vicomtesse 0. de Rougé, Mme de Lioncourt, comte et comtesse:"Dulong de RôsnaJv comte et -comtesse Guy de Gontaut, M. et Mme Viellard, marquis et marquise de Grouchy, comte et comtesse ;'Ch; de Saint-Léon, comtesse Ch. de Vogiié, baronne de: La Viliéon, baron et baro-nne de Ravignan, comtesse de Bonvouloir, baronne Gérard, baron et baronn^.Nivière, Mme Firino,, comtesse 'de Ludre, l\i et Mme "de Mpriicault, comte et comtesse 'de .Vauguion,' comte et comtesse A. de Vogiié, barejn et ̃baronne'. Ch. dé Lauriston, vicomte et vicomtesse de iChèmellier,. comtesse de Beatichamp;' comte et comtesse 'du "Laz, 'marquis et! maro,uise de Frotté, comte et COifitesse P. Se Leusse, coirit'e. et comtesse dé Vibraye, comte et comtesse R- 'i^e' La Roche-Aymon, baronne Gochin, cbrnte et comtesse ~H!de Montlaur, baron et ibarpnnç de Ca-ndé, comte et comtesse de Lévis^Mirépoix, comte et' comtesse de Malterrê, Mme Jacques CochinV cpmte et comtesse G.. de Chavagnac, marquise de SaiîitChamans, Al. et Mme R. Meunier du Houssoy» comte et comtesse de Warren, baron et baronne G. Le Couteulx, Al. et Mme de Robërvâl, comte et comtesse F. de Montebello, A4. et Mme H. de L!â Moissonnière, vicomte et vicomtesse R.; de Vaulogé, marquis et marquise.-de Sommyèv.re, M. et Mme Jean d'jAillières, vicomte, eh .vicomtesse de L-aboulaye, comtesse Daru, comtesse E. de Castéja, comtesse de Boishu-p, marquis et marquise de Portes, comte et comtesse de Kergorlay, marquis et marquise de Fraguier, comte et comtesse de Sainte-Suzanne, général et Miji«.Boiguesy comte et comtesse de Rodellec, M de Vatimesnil, colonel de Mafigny, M. et MmeFlûryKérard,. comtesse, de Guiçhen,, comtesse H. de Choiseul, marquis et marquise de Chaponay, marouis et marquise de Montcalm, Mme H. Le.JViarob, b'aron G. de Grandmaison, M. et Mme Ph. dé Monbnson, M. et Mme Anisson du Perron, Mme Driant, général' et baronne de L'Espêe, marquis' et marquise d:s Châteaubrun, comte et comtesse-de Saporta, comtesse, de .Chaumontel^comtesse Begouën^ général ..et comtesse ..âéÇoridrecourt, M., et Mme Keller, comte et comtesse G., d'Andîgné, baronne R. de Boulémoht, baronne_Àndrë Reille, comtesse Pastré, baron et b'âr'ônne Jean". Seillières', comte ''et comtesse F. de Hauteclo'cqu.e, comte $ï comtesse de Kougé, comte et comtesse E. du Luart, comtesse de Sachs, M. et Mme Rostand," comte"" et comtesse A. de Pitray, comte et comtesse Gaston Niel, »M.-Louyoti com|esse S. de Castéja, baronne de SëïJay,. jwmte- et comfesis de;' Montholon, comte E. de Casteliane, cpmte et comtesse d'Astorg, iUiarquise de Mohtaigù", baron' ët' baronne' d'Arquinvilîtefs, rharCjûië etJmar'qUîse';d'Hûiidetot, miss Denon:,x*.omte
L^-eoTfiteâgeîfPde Murt,coHaÈ et comtesse- de. --FoUèvilléj
comte et 'cottifesse d'YanviH^, comte et comtesse de Bryâ, comte et:Cotntesse.R. d'Oiiltàmson, comte et comtesse de Blagny, baron et baronne Ch..d'HUart,. Mlles de RohanChabot, de Warren, de Vallombrosa, Revenaz, de Douville-Maillefeu. Lé Roy. de Seynes, de Laurens-Castëlët, de Frédy,: de ..G-hambray, ,dè Belisville, ds Saint-Périer, de Vibraye, de'Beàuregard; Dutreil,' Armand Dslisle, de Séguier, etc.
Un bal sera donné ce soir par la comtesse de La Barre :de Nahteuil Le Flô et la vicomtesse' 0. de Reviers ëé Mauny pour les amies de leurs filles. Goûter, après-demain jeudi, de quatre heures et demie â huit heures, chez M. Mariïïs Hubert-Robert. L'audition des oeuvres de M. Robert de Fay, qui a eu lieu mercredi dernier au théâtre Edouard-VII, s'est déroulée devant une salle absolument comble avec le plus grand succès pour l'auteur et ses remarquables interprètes.
La marquise de Barbentàne, dans plusieurs mélodies, a tenu l'auditoire sous le charme- de. son beau talent et de sa voix exquise. Al André Baugé obtint son triomphe habituel et dut bisser une berceuse écrite sur des vers de Jean Richepin, qu'il interpréta admirablement, ainsi qu'un duo tiré d'un opéra-comique inédit dans lequel Mme Antoinette Reville, de l'Opéra-Comique, fit applaudir son soprano délicieusement timbré. M. Rambaud, de d'Opéra, détailla en perfection avec un style et une intelligence remarquables. Le. Pèlerinage de Hevkar, et M. de Saint-Cricq,: des Concerts Colonne, se montra -un artiste de premier ordre e,a .'différentes œuvres redeman-
diéesipanJa. public, v. ;i! ^ju,
1 La diction parfaite et; jfgrt,consamtaé.:dè! Attie:;S:v ll^v-oyod j. rgmissente. sociétaire de, la GoiRédi s- Franchi se, connurent leur succès .habituel en divers poèmes; -et Mme Louis Roy.er^.dont1 le< talent exquis est. si apprécié, recueillit d'enthousiastes 'aisplaudissements. La partie chorégraphique était confiés à Mlle' Marie Lascar et à M. Ponti, de l'Opéra, qui, dans une pavane, une masurka et une val$e, firent preuve d'une grâce, d'une légèreté et d'un' brio .fort acclamés et fort, appréciés.
Dans l'assistance LL. ÂA. II. et RR. le Prince et la Princesse Pierre d'OHéaris-Bragance, la Princesse Isabelle d'Oriéans-Bragance, S. Exe. M. -de Souza Dantas, ministre dp Brésil,; S.-Exç. le ministre de Nor•vège et la baronrre'Me Weéfèl Jàrlsberg, S. Exe. M. Diamandy, ministre de Roumanie, ainsi que de très nombreuses personnalités de la Jiaute société parisienne. Naissances >
M.. Repé Beaurepaire, et madame, née M.-J. Navarre,, .sont heureux d'annoncer la.naissancs.de leur fi!le Monique.– Neuilly-siir-Seine, le 31.. mai.; Françoise, Ghislaine, Berthe, Edmond Lamy sont heureux de faire part de la naissance de leur petite sœur Aleth.
Le vicomte Jacques Paultre de Lamotte et la vicomtesse; Inée Fleurieu, sont: heureux faire part de la naissance de leur fille Françoise.
Bienfaîsance "i
Rappelons que la vente de charité organisée en faveur de l'Office central des œuvres de bienfaisance doit avoir lieu aujourd'hui dans, l'hôtel des Arts et Métie*sr6 éi s s avenue d'Iénagn/ .•̃ ? C'est ce soir qu'aura'lféu, au Rii^ lê"è'r'àirtd';âînér' suîvi d'uffè'tïes* telle soiréS'de gala ofganîsée au profîT' du Phare de France par Mrs Berry Wall, qui^en est 1^
dévouée 'vicé-présilentë '"̃ & animatrice.* -s ̃')'̃•.
On trouvera au Ritz. des-billets à iOO. francs pour le diner et à 50 francs pour la soirée.
Rappelons, que demain, mercredi 4 j^in aura lieu, de :dix heures à dix-huit ,heures trente, la grande vents organisée ,sa«x Magasins .du Gagne-Petit .(avenue de l'Opéra), pour l'édification de l'Ecole de puériculture. On trouvera aux comptoirs tenus par les. d^mes vendeuses des occasions sensationnelles vendues. sans aucune majoration de prix, ainsi qu'un comptoir de livres comprenant des éditions rares, un nombre considérable d'œuvres. dédicacées par leurs auteurs et un rayon où seront vendus, les derniers'disques édités.
Demain mercredi et après-demain jeudi aura lieu, de quatorze à dix-huit heures, 55, rue de Babylone, une vente organisée par l'association « Les Amis des étudiants français ». ,̃̃
^Demain 4 et après-demain 5 juin aura lieu, dans les jardins du séminaire, 26; rue de'Babylone, la vente.kermesse organisée au profit des Missions étrangères; Cette fête revêtira cette année un caractère particulièrement attrayant. Les boutiques seront de jolies pagodes offrant aux acheteurs de ravissants objets du Japon, de la Chine et, -.des Indes, vendus par des jeunes filles en costumes authentiques; chinois, japonais et annamites. Mariages ,H. -l'
[^- A l'occasion du mariâîpi 8u; comte Michel de Beaumont, adjoint à l'inspection-' générale des finances, avec Mlle Eliane de La Moussaye;eil convient de préciser que le service d'honneur était- assuré par Mlles Lafont, de Bouille, de Moriteynard, de Nicolay, de Soubeyran,'ac-. compagnées par MM. Guy de Beaumont,' de Bafanter Labrusse, de Maitignac et de Méré.
Parmi les personnes qui 'assistaient à la, cérémonie religieuse et -les donateurs: Mme Marchesné, l'ingénieur du génie maritime et Mme .Louis Lafont, Mme Joseph Talensier,, M. et Mme Laurent Labrusse,. comte Max de Beaumont, lieutenant-colonel vicomte de Vaux, vicomte et vicomtesse Louis de Vaux, baron et baronne de Brimont.VjM. Félix Talensier, Mlles Louise et Jeanne de Beaumont, Mlle de Courtilloles, vicomte et vicomtesse de Courtivron, vice-amiral et baronne Didelot, marquis et marquise de Fayet, M. et .Mme Xavier Flury, M, et Mme François Marchesné, MM. Henri et Charles Marchesné, commandant et Mme, de Lannurie.n, baronne. Pinoteau, baron et baronne Robert pinoreaii, comtesse Lecointre, M. et Mme de GonnevïHe, comte et comtesse de Lavaux, baronne Taylor, générale Lafont, vicomtesse de Malartic, vicomte et vicomtesse de La Loge d'Ausson, comte et comtesse de Béaulaineourt, Mme de Martignac, M. ëf-Mme Michel de -Larminat, M. Eugène de Sèze, baron Le Vert, M. Rivain, M. GonoHf*^e5'Gar»y, M. Meaudre, etc.
Rappelons qu'aujourd'hui, mardi, à midi, sera béni, en l'église Saint-Pierre du' ;Gros-Cailloù,. le mariage de, la princesse Yolande de Polignac avec le vicomte des Roys. Un grand nombre -ièx |air.etP»rt .s'etant égares, le présent avis tient lieu d'Invitation.
Le mariage de Mlle Basia Sien.kiewicz. avec M. Robert Laffon sera célébré après-demain jeudi- 5 Juin, à midi précis, en l'église Saint-François de Sales (rue Ampère). Les personnes n'ayant pas- reçu -de faire-part sont priées de considérer le présent avis comme tenant lieu d'invitation.
peuils.^ ̃•' ;̃ ̃̃̃• -̃ • _̃
̃: On annonce de Sydney la mort, à l'âge:. de ,ciivQua-hte-sept ans, de M,. Georges-Washington. Lambert, ancien élève de l'Ecole des beaux-arts de Paris, cpnsidere comme le meilleur portraitiste australien, Il accompagna les forces australiennes pendant-la guerre en. qualité ..df, peintre officiel. • Le professeur' Pierre Duval, MAI Charles-Claude et Paul-Marie Duyal font part de la mort de Mme Pierre. Duval, née Carmen Laffitte, leur épouse et mère, pieusement décédée à Paris. Ses obsèques auront lieu demain mercredi 4 juin; à dix heures trois quarts, en la basilique Sainte-Clotilde, où l'on se réunira. L'inhumation aura lieu à= Lion-sur-Mer (Calvados), le jeudi 5 courant, à quatorze heures. Il ne sera pas envoyé de lettres. Le présent avis tiendra lieu d'invitation et de faire-part. On nous annonce la mort de M. Antoni-n Auvisy, ancien sous-préfet, engagé volontaire pour la campagne de 1870 au 1" voltigeurs de la garde impériale, médaillé militaire, décédé à la Flèche le 1" juin, muni des sacrements de l'Eglise. L'inhumation aura lieu à la Flèche, demain mercredi 4 juin. Cet avis tient lieu d'invitation. Nous apprenons la mort de Mme veuve C. Trabucco de La Torretta, pieusement décédée le 1" juin 1930, en \son domicile, 54, rue Pergolèse.
On annonce la mort de Mme Isidore Hal.fon, née Rosy Stiebel, décédée en Suisse, après une courte maladie. Ses obsèques ont eu lieu à Paris, en famille, le 1e' juin.
Les familles Fournier, Sainte-Beuve et Tilorier prient de trouver ici l'expression de leurs bien sincères remerciements à toutes les personnes qui leur ont témoigné de la sympathie dans la perte douloureuse qu'elles viennent de faire en la personne de Mme Lucien F,ourtiier.
Une messe anniversaire sera célébrée le samedi 7, ]ufri;a*dïx heures'î'en l'église- Saint- fhqmà'f -d'Atfuin' (chape]le,Sainj-Louis)., pour MlleGabrielle de Fonténa\ ^(.U-n service .à la mémoire de ,Mme. iGastpn ,dey GUrtiult; d,c Langalerie. sera célébré le lb j'uiri^. à .dix, heures, en l'église Notre-Dame des Champs.. M. -Antonio Hernandez est décédé à Paris le 2e! mai 1930. Demain mercredi 4 juin, à dix heures, aura lieu une messe de Requiem en l'église espagnole, 55, rue de la Pompe.
Un service anniversaire pour le repos de l'âme de M. Henri Nardeau, industriel à Paris, sera célébré le vendredi 6 Juin,' à dix heures, en l'église Saint-François de Sales (rue Brémontier), et le lundi 16 juin, en l'église Saint-Pierre, à Monts (Indre-et-Loire). .̃; Valfleury*
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Région parisienne. Temps doux, très nuageux avec éclaircies; quelques averses ou orages. Vent du secteur Nord-Est modéré. Température stfUçwtun'r?, V;
Maximum 20". •••̃'̃.̃ •̃:
France. 'Mn toutes régions, ciel très nuageux àvèà;[ quelques éclaircies pluies orageuses et orages. ,< Vent modéré du secteur Nord-Est dam la moitié Nordr, dit secteur Ouest dans la moitié Sud. '̃'̃̃' :i--i Température restant partout stationnaire. ;c Aviation. a) RÉGION parisienne Ciel très nuageux par nuages moyens doublés de nuages bas ou ̃ assez bas.; averses et ûraies^Jcnt Nord-Est 30^ jo.ki- lomètres-à à1 jjhétbrë. Î~ ~scba4rlé ,asses bouùe t~ .ti`.i
fj')"VE»ls-Lôî»Dii5s;|BRuxiew,ES,- Cologne ?,a Ififi^»*!
France, comme dans' Iç^'rê'gion parisienne '2^<Ajt''ddè^ ù
ciel couvert par. Munie très basse le vwtin, 'puis;trèr:'i nuageux par nuages bas; averses et orages.' Vent \Nor{f- Est 30 à 45 kilomètres -à l'heure. Visibilité, mauvaise., puis moyenne. "s c)Vers Strasbourg: Comme dans la région parisienne. Les murmurés ?:̃
Un philosophe grec hélas dont je ne sais pas le nom, dirait Villon assurait que les astres, en se déplaçant, devaient répandre dansées espaces infinis une mélodie merveilleuse. Peut-être. Le certain est que nous ne l'entendons pas. Cet or- chestre céleste, dont les instruments sont des cons- tellations, est vraiment trop grand pour nous et puis rien ne prouve que la moindre fausse note n'y dé- chaîne pas un vacarme comparable à celui qui se peut entendre vers six heures, au carrefour de Châ- r teaudun et multiplié bien entendu par un nombre"; si long qu'il ne tiendrait pas dans ce journal. Un peu effarés par cette musique immense, nous avons préféré, mortels chétifs, pousser nos récrier^ ches dans le sens contraire, c'est-à-dire vers les infini-1 • ment petits. Et je vous assuré que quand s'en mêlé la science; ce n'est pas..en^ quatre que \t% çhe^. veux sont coupés, mais en rnillioniëmeside'viniMi%3 mètre et même davantage. JI?
Des sans-filistes autrichiens, avec des instruments d'une précision extraordinaire,' sont parvenus à mesurer, dans leur infime déplacement, les éléments d'une fleur « poussant » et, ce qui mieux est, ils oril entendu cette fleur pousser, grandir. Cette nouvelle est-elle bien exacte ? Peu importe, n'est-ce pas,, v: car si les sans-filistes se sont trompés hier, il y a;' ̃ gros à parier pour qu'ils réussissent dans dix ans à' `
mener leurs expériences à bonne fin. Et en attendant, rêvons à la manière du philo- sophe grec. Peut-être qu'en s'ouvrant à la lumière,, les fleurs font un brin de musique, peut-être que cette musique s'accorde avec leur parfum. > Artigny.
Après le procès.
Le jugement qui va obliger la Banque de France à supprimer sur les billets de cinquante,' francs le nom de Luc 0. Merson nous a appris s, que l'artiste avait touché pour son dessin, avant guerre, la jolie somme de 30.000 francs, qui en représente aujourd'hui 150.000.
A ce propos, un lecteur nous écrit que^ce prix fut excessif c'est une question qui ne nous regarde pas. Mais il nous fait observer que la sùp^ressfrjh dti^rfoin de l'auteur présente des inconvénients' ptiisq'iié, dans quelques nioiSj. nous aurons en circulation à la fois des billets, de 50 francs portant ou ne portant pas lé nom de Luc 0. Merson, et cette dissemblance est susceptible de provoquer des doutes sur 1*^4^ thenlicitc. du billet surtout à l'étranger. V -l Nous ne croyons guère à ce danger toutefois, il est certain que la similitude absolue, jusqu'aux moindres détails, entre tous les bilr lets d'une même émission est une règle quia, toujours été sévèrement observée. ̃̃•••.̃ Les puits de Paris. "•̃̃'
Les démolitions auxquelles on procède rue de Nevers, si elles font disparaître d'anciennes demeures, permettent d'en découvrir de presque ignorées. Dans la cour de l'une d'elles, élevée sur l'emplacement où fut l'hôtel de Nesles, ortV peut voir un des plus vieux puits de Paris, La margelle en est curieuse et l'usure des -̃ pierres par les chaînes et les cordes témoigne' de sa vétusté. Peut-être des scènes historiques ont-elles eu pour théâtre les quelques mètrescarrés qui l'entourent. II existe quelques autres puits du même genre dans la capitale. Signalons-en un second, dans la courd'un immeuble de la rue de la Huchette il se caractérisé par des fers forgés assez rê: masquables et fort bien conservés. x.
• '̃; ̃̃̃ H ̃̃?' •̃̃• :?•
La ^saison des- ortolans..7 :'>ij *i!-r'»iS-> Le ministère de l'agriculture veut bien, i^ous faire savoir que le transport et la vente à Paçis. de l'ortolan gras, expédié des départements du Sud-Est, ''éprit autorisés 'jusqu'au 30 -de ce mois. Voilà une nouvelle qui ne s'adresse éyideii^j ment qu'à un public restreint, car FôrtoTâi^ dé}; meure un gibier peu commun. On le trouve éfl certains magasins spéciaux, mais à quel: prix! Pourtant il est abondant, en cette saison, dajis la Gironde, le Gers, les Landes c'est l'engrais* sement auquel il est soumis, avant d'être livré au commerce, qui en décuple la valeur. La réputation gastronomique de l'ortolan est V.- fort ancienne puisque le poète latin Varroîi "'( vantait déjà sa succulence, et que,' selon La Fontaine, « le rat de ville invita le rat des champs, d'une façon fort civile, à des reliefs d'ortolans ».ti:-K< Le Masque de Fer.
DERNIERE HEURE
EN GRANDE-BRETAGNE
Un important débat
à la Chambre des Communes sur le traité naval
Londres, 2 juin. La Chambre des communes a engagé cet après-midi un important débat sur une motion conservatrice présentée par M. Stanley Baldwin, chef' de l'opposition parlementaire, demandant qu'un comité spécial soit chargé d'examiner et d'établir un rapport sur les propositions contenues dans le récent traité naval.
La motion conservatrice demandait en outre que ce comité spécial soit nanti de pleins pouvoirs, recueille les dépositions des personnes ayant pris part aux délibérations et consulte même les documents et les archives s'y rapportant.
M. Baldwin a expliqué que sa motion avait pour but unique d'apaiser l'inquiétude qui pourrait se manifester dans l'opinion publique britannique au sujet des réductions navales consenties par la Grande-Bretagne, aux termes du traité. Il a demandé plus particulièrement si la marine britannique serait toujours en état d'assurer la protection des côtes de la Grande-Bretagne et de remplir ses obligations « sacrées » envers les diverses parties de l'Empire. Quelle serait la proposition de la marine britannique en face des programmes de constructions navales qui pourraient être votés par les grandes puissances navales européennes ? « Si lés Etats-Unis étaient membres de la S. D. N., a dit notamment l'ancien premier ministre, le problème naval aurait été différent, car, à eux seuls, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis seraient en mesure de rendre toute guerre impossible. Etant donné que l'Amérique est résolue à maintenir une attitude de neutralité à l'égard des problèmes européens, il se peut que de graves difficultés surgissent dans l'avenir, concernant le blocus en temps de guerre, »
M. Ramsay Macdonald
défend les accords de Londres
Répondant à M. Baldwin, M. Ramsay Macdonald a déclaré que la nomination d'un comité spécial chargé d'examiner les propositions contenues dans le traité naval de Londres créerait un précédent assez fâcheux dans les relations existant actuellement entre l'exécutif et la Chambre des communes. li a affirmé que tous ceux qui ont assisté aux délibérations de la conférence navale de Londres n'ont aucun doute que, sans le traité de Londres, les constructions navales auraient considérablement dépassé celles qui sont autorisées par le traité. « La politique que nous poursuivons, a ajouté M. Macdonald, est parfaitement claire. Nous voulons renforcer notre sécurité et assurer la paix et, une fois la paix et la sécurité assurées nous ne voulons pas continuer à gaspiller des fonds pour la construction de nouveaux armements. L'accord à trois réalisé à la conférence de Londres n'est qu'un commencement et nous poursuivons actuellement nos efforts en vue de faire de l'accord à trois un accord entre les cinq puissances représentées à la conférence navale. Nous devons poursuivre notre tâche pas à pas, étape par étape, jusqu'à ce que nous obtenions enfin le désarmement par le maintien d'un équilibre entre les puissances navales. »
Et M. Macdonald a conclu en exprimant l'espoir que la Chambre des communes rejette la résolution déposée par l'opposition conservatrice et garde toute sa confiance et tout son appui au traité de Londres.
On a entendu ensuite le député libéral George Lambert, qui est venu promettre au gouvernement l'appui de son parti.
La motion conservatrice est repoussée A>1a fin du débat, la motion conservatrice a été. repôussée.:par 282- voix contre 201, soit une majorité de 81 voix pour le gouvernement.
Démission de M. Ben Turner
ministre des mines
Londres, 2 juin. On annonce que M. Ben Turner, ministre des mines, a remis aujourd'hui sa démission au premier ministre.
M. Turner avait récemment annoncé son intention de se démettre de ses fonctions ministérielles afin de se consacrer plus activement à ses occupations syndicalistes.
Il est probable que la démission du ministre des mines, si elle est acceptée par M. Macdonald, entraînera un léger remaniement du ministère. Par ailleurs, la rumeur selon laquelle M. J.-H. Thomas, ministre actuel du chômage, recevrait un autre portefeuille, ne semble pas, pour le moment, justifiée.
EXPOSITION D'ART Les Galeries Durand-Ruel, 37, avenue de Friedland, exposeront, du 2 au 17 juin, des tableaux et aquarelles de Georges Carette, comprenant des vues de Paris et des paysages des bords de la Seine.
Inf ormations politiques « L'Action F~ançaise » proteste
Nous avons noté hier 1a protestation de l'Action Française contre l'évacuation de la Rhénanie, qui a interrompu un instant le banquet de Dijon une pluie de tracts intitulés « Le Parlement contre la patrie et contre la paix » est tombée sur les tables. Des tracts pareils avaient été distribués dans la matinée sur le cortège officiel. Deux arrestations d'étudiants d'A. F. avaient eu lieu. Elles n'ont pas été maintenues. Au Sénat
Aujourd'hui, au Sénat, après les discours d'adieu aux morts du mois de mai MM. Pams et Gaudin de Villaine, on fixera la date des interpellations de M. Philip sur le téléphone automatique et de M. Delahaye sur la question des emprunts-or.
En vue du Congrès de Bordeaux
La Fédération socialiste du Tarn a adopté par 65 voix contre 27 une motion par laquelle elle se déclare attachée à la défense nationale et à la paix internationale. Au sujet de la tactique électorale, le congrès, à l'unanimité, a adopté une motion recommandant de barrer la route à la réaction par la discipline républicaine. Au point de vue agraire, le congrès a adopté une motion favorable au programme du parti et affirmant le respect de la propriété paysanne. La Fédération de la Gironde a voté une motion analogue.
Les récompenses des Artistes français Le jury d'architecture s'est réuni hier, sous la présidence de M. Roussi, et a décerné les récompenses suivantes
Médaille d'honneur M. Umbdenstock (Gustave). Médailles d'argent MM. Maigrot (Emile), Barge (Jacques-Henri), Trouvé (Georges), Godbarge (Henri-C.), Mujica (Francisco).
Médailles de bronze MM. Grange (Germain), Jacquet (Pierre), Domenc (Paul), Klein (Max), Genoud (Augustin). Le jury de gravure, sous la présidence de M. Alleaume, a décerné les récompenses suivantes Médailles d'or MM. Padro Bouisset (Jacques), DaHemagne (Aimé-Ed.), Tattegrain (Henry). Médailles d'argent MM.Hertenberger (Fernand), Feltesse (Emile-H.), Vallée (Georges-A.), Guino (Richard), Beunke (Gabriel).
Médailles de bronze MM. Breton (Jos-Marcel), Vandenbergue (Gustave), Guilbert (Paul-Louis), Thouvenot (Georges-M.), Jankowski (Cheslas B. de), Cordonnier (Raphaël), Tison (Mlle MarieMag.), MM. Legros (Emile-Marie), Dufour (JeanJules).
Prix Jules-Robert Mlle Bédouin (Cécile-Marie). Prix Jehan-Peccard M. Bessé (Albert-Georges). Prix Suzanne-Jonas Mlle Tison (Marie-MagdeJeinej.
LE PREMIER EMPRUNT YOUNG
Une réunion plénière
pour l'échange des signatures aurait Heu samedi
Le sous-comité, composé de MM. Masson, Luther, Anderson et Montagu Norman, chargé par la conférence des banquiers de mettre au point les textes des contrats d'émission du premier emprunt Young, a siégé, hier, de 11 heures à 13 heures 30 et de 5 à 8 heures. Juristes, techniciens de trésoreries et représentants de la Banque des règlements internationaux seraient, dit-on, arrivés à des accords sur la plupart des points litigieux, y compris le libellé en monnaie-or des titres et coupons des obligations allemandes.
La déclaration du ministre des finances du Reich qui doit être jointe au prospectus d'émission dans tous les pays souscripteurs, a été traduite en français, en anglais, en italien, en hollandais, en suédois et en japonais, et envoyée à l'impression.
L'on considère comme vraisemblable une réunion plénière de la conférence samedi prochain date anniversaire de la conclusion du plan Young pour l'échange des signatures définitives entre les représentants des banques et des gouvernements intéressés. Cette cérémonie, qui revêtirait un certain caractère de solennité, se déroulerait dans la salle même où fut signée, le 7 juin 1929, le plan des experts.
En raison des fêtes de la Pentecôte, l'émission ne serait ouverte que le mardi ou le mercredi de la semaine prochaine. Il n'est pas impossible que les textes, du contrat général de l'emprunt et de la déclaration du ministre des finances du Reich soient publiés dès le lendemain de la signature. Une certaine résistance s'est manifestée, parmi les représentants de l'opposition du Sénat américain et dans quelques groupes financiers des EtatsLnis, à l'émission sur le marché de New-York d'un tiers des obligations allemandes. Nombre de journaux critiquent la politique du département d'Etat et du Trésor, qui engagerait les responsabilités du gouvernement de Washington dans le règlementdes réparations allemandes.
II convient de ne pas attacher trop d'importance à des objections isolées, qui ne sauraient influencer les décisions prochaines du président Hoover. On considère comme imminente la publication d'une note officielle de Washington autorisant l'émission projetée aux Etats-Unis. Dores et déjà la souscription est couverte par plusieurs grands établissements bancaires américains.
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Le mouvement nationaliste dans l'Inde britannique Londres, 2 juin. Le correspondant du Daily Telegraph à Bombay télégraphie
« L'attaque contre le dépôt de sel de Wadala, qui était menée aujourd'hui par Mrs Munshi, sera la dernière de la saison. L'approche de la mousson rendra le terrain impraticable aux environs de Wadala et l'on peut s'attendre à une cessation générale des hostilités dans la région de Gujerat en particulier et dans toute l'Inde ;en général. » Les pluies torrentielles calmeront l'ardeur des « satyagrahi », et des milliers de gens qui sont maintenant sans travail trouveront de l'occupation dans les champs.
» La police a grand besoin de repos tous les hommes sont fatigués de ces continuelles démonstrations presque comiques et les maires commencent à être très surexcités. »
D'autre part, l'envoyé spécial du Daily Herald, à Simla, rapporte que, dans les milieux officiels de l'Inde se confirme l'opinion que les trois prochaines semaines décideront du sort de la campagne de désobéissance civile.
Ce journaliste ajoute que si dans les trois prochaines semaines le mouvement de désobéissance civile continue à gagner du terrain, il est probable que le gouvernement de l'Inde proclamera la loi martiale dans certains districts les plus affectés par le mouvement nationaliste hindou. Bagarres sanglantes à Leipzig
entre socialistes et communistes
Berlin', 2 juin. Plusieurs personnes ont été grièvement blessées, la nuit dernière, au cours de rencontres sanglantes à Leipzig entre socialistesnationalistes et communistes.
A Bresiau, des collisions ont également eu lieu entre personnes d'opinions politiques opposées. Une trentaine d'arrestations ont été opérées. DOVE
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C'est vraiment une étrange idée qu'ont eue, en septembre dernier, deux jeunes écrivains « surréalistes », dit-on, MM. Georges Sadoul et Jean Campenne, d'adresser à M. Keller, qui venait d'être reçu à Saint-Cyr avec le numéro 1, une lettre le sommant de donner sa démission « s'il ne voulait pas se voir fesser publiquement sur la place de SainfcCyr ».
Il y avait dans cette lettre autre chose que cette stupide menace. Il y avait des outrages à l'armée, à la patrie, au drapeau « Nous crachons sur les trois couleurs. Avec vos hommes soulevés, nous mettrons au soleil les tripes de tous les officiers français ».
M. Keller porta la lettre à la connaissance de ses chefs. Ceux-ci, au lieu de poursuivre, préférèrent demander aux signataires de la lettre des excuses publiques faites devant les Saint-Cyriens. L'un d'eux, M. Jean Campenne, accepta et fit amende honorable. Mais Georges Sadoul refusa. D'où poursuites judiciaires, et hier la douzième chambre, présidée par M. Audière, après plaidoirie de M" Marcel Fourrier, l'a condamné pour injures non publiques à trois mois de prison, mais par défaut. Georges Claretie.
Le Crédit Foncier Franco-Canadien Une importante affaire financière, qui occupera plusieurs audiences, a commencé, hier après-midi, devant la Chambre civile de la Cour de cassation, présidée par M. le premier président Lescouvé. M. le procureur général Paul Matter remplit les fonctions du ministère public.
Il s'agit d'un pourvoi formé par la Sociéré anonyme du Crédit Foncier Franco-Canadien contre un arrêt de la Cour d'appel en date du 17 juillet 1925, rendu sur appel d'un jugement du tribunal civil de la Seine du 14 novembre 1923, et condamnant le Crédit Franco-Canadien à payer, en francs suisses, les coupons présentés au paiement en Suisse des obligations par lui émises, en 1890, 1896 et 1908, en représentations d'emprunts im-
nj.£bjliers.
EN EXTREME-ORIENT
Une grande bataille serait engagée en Chine entre Pékin et Nankin
Changhai, 2 juin. -Un communiqué, publié par le gouvernement nationaliste chinois, annonce qu'environ 60.000 soldats sont engagés dans une grande bataille qui se livre actuellement dans le centre de la province du Honan, entre les troupes nordistes et les forces gouvernementales, pour la possession de la ville de /fcheng-Tchou. D'autre part, le quartier général des forces gouvernementales chinoises dément l'information selon laquelle le général Chang-Kaï-Tchek aurait été blessé. i Un mouvement communiste menacerait Nankin Londres, 2 juin. Le correspondant du Daily Mail à Changhaï télégraphie
Le gouvernement de Nankin est menacé par un mouvement communiste dans le Sud. Le commandant des troupes à Tchang-Tcha, à environ trois cent vingt kilomètres au sud de Hankéou, a évacué la ville sans résister à l'avance des communistes arrivant du Kouang-Si.
Les forces communistes ont été organisées par les agents de Moscou, et la crainte, de la part du gouvernement, d'un grand soulèvement intérieur est indiquée par la fermeture soudaine de beaucoup de grandes routes sur lesquelles des soldats arrêtent et fouillent les piétons.
Dans le haut du Yang Tse Kiang, les communistes causent de l'anxiété aux autorités, et deux canonnières britanniques sont ancrées à Shasi, à mi-chemin entre Hankéou et Tchang, où la ville est fermée par des troupes communistes. Il n'y a que très peu d'étrangers à Sashi, mais il reste beaucoup de missionnaires dans le district. On craint un règne de terreur rouge.
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La crise ministérielle en Suède
Stockholm, 2 juin. A la suite de l'échec du gouvernement suédois, samedi dernier, dans les j deux Chambres, le premier ministre, M. Lindman, a remis aujourd'hui au roi Gustave la démission collective de son cabinet. Le souverain l'a acceptée et a nrié M. Lindman de continuer à exercer ses fonctions en attendant la constitution d'un nouveau ministère.
Le roi Gustave a convoqué peu après à une conférence les chefs des divers partis d'opposition.
Après la mort du cardinal Luçon Reims, 2 juin. -Toute la journée d'hier, la foule venue de tous les points de la région n'a cessé de défiler devant le corps du cardinal Luçon, autour duquel la Jeunesse ouvrière catholique montait la garde d'honneur.
MM. Merlin et Monfeuillart, sénateurs, le général Lacapelle, gouverneur de Metz, sont venus présenter leurs condoléances à Mgr Neveux.
Le maréchal Pétain, avant de quitter Reims, est venu s'incliner devant la bière.
« Foch et Clemenceau sbnt morts, a-t-il déclaré à Mgr Neveux, le cardinal Luçon ne leur a pas survécu longtemps. Avec lui, c'est un peu de notre victoire que nous pleurons. »
Le bureau du Conseil municipal a décidé qu'une couronne sera déposée, au nom de la Ville de Paris, sur le cercueil de S. Em. le cardinal Luçon et que la Ville de Paris sera représentée aux obsèques par le syndic du Conseil municipal.
LA PLUIE A PARIS
Plusleurs caves Inondées
Les pluies de ces jours derniers ont fait inonder des caves à Paris, rue Croix-Nivert et rue Léauty. A Gentillv, deux immeubles ont subi un commencement d'inondation, 1, impasse du Paroy et 18, rue du Paroy. Les pompiers de la localité ont procédé à l'évacuation des eaux.
II n'y a pas eu d'accidents de personnes. La Pentecôte à La Baule En vue de vos grandes vacances, hâtez-vous, pendant les fêtes de la Pentecôte, d'aller à La Baule retenir vos chambres à l'Hermitage ou louer votre villa. Votre voyage sera agréable. Route splendide par Chartres, Le Mans, Angers, La Baule. Trains rapides, départ Quai d'Orsay.
M. Mourier reçoit son épée d'académicien Au cours d'une cérémonie à laquelle assistaient de nombreuses personnalités du monde médical, la municipalité de Paris a remis hier, solennellement, à l'Hôtel de Ville, à M. Louis Mourier, directeur de l'Assistance publique, membre de l'Académie de médecine, son épée d'académicien. Au nombre des personnes qui se pressaient dans le salon des Arcades, où avait lieu cette solennité, on remarquait MM. Paul Strauss, sénateur, ancien ministre Delsol, Chassaigne-Goyon, Bussat, Le Corbeiller, député de Paris les professeurs Achard, Léon Bernard, Bezançon, Carnot, de Lapersonne, Pouchet, Roussy, Teissier, Vincent, de l'Académie de médecine Roger, doyen de la Faculté de médecine le médecin général Cadiot, Crouzou; les docteurs Paul, Bardet, Guibert; Paul Bouju, ancien préfet de la Seine Mme Louis Mourier Mmes Carré et Mazer, filles de M. Louis Mourier Mme Rachel Boyer, présidente de l'orphelinat des Arts, etc.
M. l'inspecteur général Dopter représentait le ministre de la santé, et M. Liard, secrétaire général de la préfecture de police M. Jean Chiappe, préfet de police.
En remettant à M. Louis Mourier son épée, admirable œuvre d'art d'André Falize, M. F. d'Andigné, président du conseil municipal, lui a adressé les félicitations de l'assemblée communale. [. Décrivant les ciselures qui l'ornent et qui évoquent certains épisodes de la vie du savant, il a dit notamment
» Voici, sur le bouton de chape du fourreau, une médaille antique synthétisant, sous la forme du dieu Mars, votre passage au ministère de la guerre, où vous eûtes le privilège de faire appliquer la loi fameuse dont vous étiez l'auteur et qui, envoyant au combat tous les hommes jeunes et valides et plaçant à l'arrière les mobilisés pères de quatre enfants, conciliait de la façon la plus opportune la défense immédiate de la patrie et le ménagement de son avenir. »
M. Renard, préfet de la Seine, a fait l'éloge de M. Mourier.
Enfin, le professeur Ménétrier, président de l'Académie de médecine, s'est associé à ces louanges.
En termes émus, M. Louis Mourier a remercié la municipalité et fait l'éloge de son prédécesseur à l'Académie, Georges Clemenceau, dont il.a évoqué la gv&née figure,
L'OUTILLAGE NATIONAL Un rapport de M. de Chappedelaine La commission des finances de la Chambre a entendu hier après-midi un exposé de son rapporteur général, M. de Chappedelaine, sur le plan d'outillage national.
M. de Chappedelaine a rappelé que le gouvernement et le Parlement ont estimé opportun de consacrer une somme importante à l'amélioration de la race, au soutien de l'agriculture et à la rénovation de l'outillage national.
Le projet gouvernemental et les propositions de loi présentent les caractéristiques suivantes Projet du gouvernement, 17 milliards proposition de loi Bedouce, 50 milliards proposition de loi Palmade, 35 milliards proposition de loi Chabrun, 65 milliards.
La durée des travaux serait, pour le projet du gouvernement, 5 ans; la proposition de loi Bedouce, 7 ans la proposition de loi Palmade, 10 ans la proposition de loi Chabrun, 10 ans. Dans la proposition Bedouce, les capitaux nécessaires proviennent d'un prélèvement de.3 milliards sur les avoirs du Trésor, à concurrence de 26 milliards du produit des obligations allemandes et du produit des obligations émises par une caisse spéciale à raison de 3 milliards par ans jusqu'à concurrence de 21 milliards.
Pour M. Palmade, sur un programme de travaux de 35 milliards, dix milliards sont à la charge des collectivités locales intéressées et cinq milliards proviennent des crédits inscrits annuellement au budget général ou des fonds du pari mutuel. On recourra à l'emprunt pour une somme de 20 milliards de francs l'Etat devant assurer la charge du service.
En ce qui concerne la proposition de M. Chabrun, qui s'élève à 65 milliards de francs, près de 17 milliards proviennent de fonds de concours. La quote-part de l'Etat s'élève donc à environ 50 milliards.
Aux chiffres de la proposition Palmade, il faut ajouter la participation des collectivités, soit 10 milliards de francs en tout 35 milliards. Au chiffre du gouvernement, il convient d'ajouter 12 milliards à provenir des budgets et des collectivités intéressées, soit en tout 17 milliards 115 millions. Le gouvernement, qui fera paraître incessamment un rectificatif à son projet primitif, maintient la durée d'exécution pour 5 ans, mais le programme porterait sur une masse globale de 17 milliards 115 millions, savoir 5 milliards prélevés sur la trésorerie, 5.940 millions provenant de crédits inscrits au budget général, et 6.175 millions représentant l'effort des' collectivités.̃•̃; 'i Le gouvernement accepte la création d'une caisse d'avances aux départements et aux communes, destinée à permettre aux collectivités locales la réaliIsation des emprunts dont elles auront besoin pour l'exécution de leurs travaux d'outillage national. Cette caisse consentira aux communes des prêts à intérêts réduits et accordera aux départements, aux communes et aux syndicats de communes des bonifications d'intérêts sur leurs emprunts en prenant à sa charge la partie dépassant 3 0/0 des intérêts résultant de ces emprunts.
Le rapporteur général estime que le projet de perfectionnement de l'outillage national doit avoir un caractère rural et un caractère de décentralijsation. Il suggère la création d'une caisse d'avances qui permettrait aux petites communes de se procurer de l'argent à bon compte et d'effectuer les travaux qu'elles jugent les mieux appropriés à leurs besoins.
Après avoir mis en garde la commission des finances contre toutes les illusions possibles et en particulier contre l'idée qu'on pourrait avoir qu'un outillage plus moderne et plus perfectionné puisse suppléer aux ententes économiques nécessaires avec les autres Etats, M. de'Chappedelaine fait remarquer qu'un terrain d'entente semble possible entre le gouvernement et la commission, puisque à 385 millions près la cadence des travaux est la même entre la proposition Painiàde et le projet du gouvernement, la difféï'éjice. devant s'atténuer, en outre, du fait que le gouvernement, comme la commission, semble d'avis de soumettre un projet spécial relatif à l'organisation des; colonies et des P. T. T. Un court échange' dei- vues a eu lieu ensuite, auquel prirent part MM. Bedouce, de Tinguy, Vincent-Auriol et Patenôtre-Desnoyers, et il a été décidé que la commission entendrait le gouvernement dans une des ses prochaines séances, vraisemblablement mercredi prochain.
Le Derby de la Manche A l'occasion des épreuves importantes qui seront disputées sur l'hippodrome de Cabourg les dimanche et lundi de la Pentecôte, le Casino et le « Normandy Hôtel » de Cabourg seront ouverts à partir du 7 juin.
Une lettre de M. Camille Barrère Dans son numéro du 31 mai, le Temps avait cité certains passages d'un article de M. Delpech, paru dans la Dépèche de Toulouse, et où était mis en cause M. Camille Barrère, ancien ambassadeur de France à Rome, membre de l'Institut.
Le Temps a publié dimanche la lettre suivante, où M. Barrère proteste contre le rôle et l'attitude que lui a prêtés M. Delpech
« Monsieur le directeur,
» Le Temps a reproduit, dans son numéro d'hier, un récit des circonstances qui auraient entouré la retraite de M. Delcàssé. Ce récit contient à mon endroit de sérieuses inexactitudes.
» II y est relaté (je cite) que « le roi d'Italie » appela notre ambassadeur Barrère, et lui donna » connaissance de graves renseignements venus » de Berlin. L'empereur Guillaume allait adresser un ultimatum à la France ». Et, plus loin, il est dit encore « Barrère court à Paris. Il transmet le » renseignement, non à Delcassé, mais à Rou» vier ».
» Je n'ai jamais reçu une communication de cette sorte du roi d'Italie. Je ne suis pas accouru à Paris, Je n'ai remis aucun renseignement d'une telle nature à M. Rouvier.
» Le ministre des affaires étrangères, M. Tittoni, m'ayant informé que l'ambassadeur d'Allemagne lui avait fait savoir que si le sultan du Maroc était attaqué par la France, celle-ci trouverait' devant elle les armées allemandes, je transmis de Rome cette information à M. Delcassé, et à lui seul, en le mettant en garde contre cette tentative d'intimidation. En agissant autrement à l'égard d'un homme d'Etat qui était mon ami et dont j'approuvais la politique, j'aurais commis un acte de félonie, » Veuillez agréer, monsieur le directeur, mes plus distingués sentiments.
» Camille BARRÈRE. »
LA 5AI5CXN
L'Express dés Glaciers
Les estivants trouveront cette année, en Suisse, le réseau alpestre le plus vaste d'Europe. Ils pourront se rendre, sans changer de voiture, de Saint-Moritz à Zermatt, de la métropole de l'Engadine au pied du Cervin, en passant les grands cols de l'Albula, de l'Oberalp et de la Furka. En dix heures, 1' Express des Glaciers », parcourant des différences d'altitudes de plusieurs milliers de mètres, descendant dans les vallées ou grimpant jusqu'aux solitudes où commencent les neiges éternelles, traversera le cœur des Alpes suisses. Des paysages d'une grandeur impressionnante se succéderont à travers les larges baies des confortables voitures de la compagnie de la Furka. Un wagon-restaurant pourvoira au confort matériel de cet incomparable voyage.
DE MARSEILLE
S. A. I. le prince Takamatsu, frère du Mikado, et la princesse sont arrivés hier à Marseille et sont descendus à l'Hôtel de Nçaffle^
La catastrophe de Montereau Les enquêteurs concluent dès maintenant à un attentat criminel
L'enquête sur la catastrophe de Montereau continue, activement menée par M. Gabrielli, directeur de la première brigade mobile, et les commissaires Lalo et Balmadief. Il est maintenant établi que le lori qui a provoqué le déraillement avait été pris par les malfaiteurs à soixante mètres de là, dans le fossé où il avait été abandonné, il y a huit jours, considéré comme hors d'usage. Ceci tend-à à prouver que les criminels étaient très au courant des habitudes du service.
Les recherches continuent et diverses pistes sont déjà suivies. Les policiers se tournent maintenant, à la suite de certaines observations notamment celle-ci, que le mode de l'attentat se trouve tout entier dans une brochure récemment éditée par un parti révolutionnaire vers les milieux communistes et anarchistes des environs.
Le nombre d'ouvriers étrangers employés dans la région n'est pas fait, d'ailleurs, pour faciliter la découverte de la vérité. De l'aveu même de certaines personnalités locales, la gendarmerie était dès longtemps débordée par cette invasion cosmopolite.
Il ne serait peut-être pas déplacé de se souvenir, à l'occasion de cet attentat, de ceux qui ont été commis, il y a plusieurs mois, sur la Côte d'Azur, par des communistes italiens et qui visaient justement la voie des chemins de fer, ou ses abords immédiats, comme, par exemple, à Juan-les-Pins. Une piste sérieuse ? '?
Une piste, qui offre quelque garantie d'être sérieuse, a été retenue. Ln restaurateur de la rue Jean-Jaurès, à Montereau, est venu faire spontanément les déclarations suivantes
Samedi, vers 21 h. 45, un homme de haute taille, paraissant âgé d'une cinquantaine d'années, vêtu pauvrement d'un complet usagé noir, est entré dans mon établissement et s'est fait servir un repas sommaire. Il paraissait nerveux. Il me raconta qu'il avait marché longtemps à travers champs et il déplora qu'aucun chemin ne longe l'Yonne..
» II est reparti ensuite, mais je ne sais de quel côté il s'est dirigé. »
L'heure à laquelle l'homme aurait quitté le restaurant est à peu près l'heure où est passé le dernier train avant l'express sinistré. Le malfaiteur, si c'est lui, ou, s'il faisait partie d'une bande organisée, a donc eu tout le temps de perpétrer son
crime.
Mais si les recherches n'ont pas encore abouti à un résultat tangible, la conviction est désormais faite qu'un attentat criminel est la seule cause de la catastrophe. L'enquête porte maintenant, comme on l'a vu plus haut, sur la personnalité du ou des criminels.
La mise en bière des victimes
Les corps des malheureuses victimes, M. Rey, sa femme, leurs deux fils et la petite Clairon, ont été. mis en bière, hier matin, et ont été, dans la soirée, dirigés sur Paris.
Celui de M. Siaux avait été conduit à Paris dès la veille.
L'état des blessés est satisfaisant
Les blessés sont maintenant dans un état qui n'inspire plus aucune inquiétude aux médecins de l'hôpital de Montereau.
Les trois jeunes femmes anglaises, Mrs Bleasdell, Burckett et May Ayers, ont quitté l'hôpital et se sont fait conduire dans une maison de repos de Neuilly. Mlle Rev, dont quatre membres de sa famille ont trouvé la mort dans l'accident, se remet peu à peu. Les autres victimes, MM. Clairon, Poulain, Massion et Mlle Grandot, vont aussi bien que possible.
La circulation est rétablie
Les puissants moyens mis en action pour le déblaiement ont permis de réduire au minimum l'interruption du trafic. ont été
La locomotive et les restes des wagons ont été relevés et conduits sur une voie de garage où ils ont été mis sous scellés.. _• La voie a été rapidement remise 'en état et le trafic normal a repris dans la matinée d'hier. Une conférence au parquet général
Le procureur général avait convoqué à son cabinet, MM. Marquet, procureur de la République à Melun, et Gomien, avocat général, retour de la; mission qui leur avait été confiée.
A la suite de la conférence qui a eu lieu entre ces personnages, trois experts ont été nommés d'urgence "MM. Moutier, professeur à 1 Ecolecentrale Maison, inspecteur général des ponts et chaussées, et Jougueî, professeur à l'Ecole polytechnique.
Ils devront se rendre sans tarder à Montereau et, dès aujourd'hui, ils auront à fournir un rapport sur ce point précis « Scientifiquement peuton établir s'il y a eu attentat ou non '? » Si la réponse est affirmative, M. Donat-Guigue chargera aussitôt la Sûreté générale d'une enquête qui tendra à la prompte arrestation des auteurs du crime.
Une conférence au ministère de la Justice M. Raoul Péret, garde des sceaux, a conféré hier matin avec M. Georges Pernot, ministre des travaux publics, au sujet de l'enquête ouverte sur l'accident.
A cette conférence ont pris part, également, MM. Donat-Guigue, procureur général Gomien, avocat général Rateau, directeur des affaires criminelles au ministère de la justice, et Paul Roquère, directeur de la Sûreté générale. Les investigations officielles n'ont, jusqu'à a présent, révélé aucun fait nouveau.
Un commentaire du « Daily Mail »
Londres, 2 juin. Dans un éditorial, le Daily Mail croit que l'attentat qui provoqua la catastrophe de Montereau était dirigé contre M. Tardieu et écrit
« L'influence de M. Tardieu a été si précieuse pour son pays et pour le monde qu'on se félicitera universellement qu'il ait échappé au désastre. C'est cependant une affaire qui souligne le péril qu'il y a à permettre aux communistes et à leur trésorier payeur et instigateur, les Soviets, de prendre trop de pied. »
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La production du lin
"oc et la défense naiioriaie
t. Le problème linier se pose à nouveau à l'attention du monde agricole, car la culture lu lin, dont 1 le relèvement avait été escompté depuis la guerre, se trouve encore une fois anéantie par la baisse des cours. Il s'agit, comme avant 1914, de la concurrence de la production russe et de la différence d'opinion entre industriels et agriculteurs sur le degré de protection à accorder à une matière d'où 'dépend le prix de la toile. Mais le problème linier, qui jadis se limitait aux activités économiques, intéresse maintenant, et au plus haut point, la défense nationale, puisque le lin constitue un des éléments essentiels de l'aviation. Il paraît donc intolérable que la France dépende de la Russie pour assurer sa consommation en lin, alors qu'elle devrait ,tirer de son sol la satisfaction de ses. besoins. A la séance du 4 avril, M. Cavillon, président de la, commission des textiles nationaux au Sénat, a çxposé la question dans toute son ampleur, mais les liniçulteurs lui font grief, quant à ses conclusions, de l'avoir envisagée davantage du point de vue de la fabrication que de celui de la production. Cependant, même en ce qui concerne l'agriculture, son intervention n'aura pas été inutile, puisqu'elle a placé l'opinion parlementaire en présence d'une situation dont la gravité s'étend aux -intérêts généraux du pays. Au surplus, elle a déterminé la fondation de l'Association générale des producteurs de lin, dont M. Dalle a été nommé le ̃ président, et M. du Frétay le secrétaire général, ce qui fait espérer que ce problème, plus étroitement étudié dans le sens agricole, et par conséquent national, parviendra à une heureuse solution. La culture du lin s'inscrivait sur le cadastre de la France pour 105,000 hectares en 1862, ce qui témoigne des qualités de notre sol pour une telle ,production. Depuis cette date jusqu'à la guerre, l'industrie française favorisa, à notre détriment, >-̃ la liniculture russe, en raison de ses bas prix, si bien que les ensemencements en lins s'étaient réduits il 11.000 hectares. En 1920, nos agriculteurs avaient entrepris le relèvement de cette cul̃̃ ture et, en 1929, on chiffrait à 50,000 hectares l'étendue de production de ce textile. Bien que nous soyons très loin de satisfaire à l'alimentation •• xle notre industrie, le prix du lin en paille et en filasse a baissé de 50 et 60 0/0. Résultat le monde agricole abandonne ̃ Une entreprise dont les idépenses dépassent les recettes, en raison d'un trust international qui surélève le coût •de la graiûe eh .raison du dumping russe dont lés effets désasîreux s'étendent jusqu'à la Belgique. En attendant, la France a acheté, en 1929, 296,821 quintaux de lin teillé, représentant une valeur de 305,450,000 ̃ francs, qui, en majeure partie, ont été versés au trésor soviétique.
M. Cavillon, en citant ces chiffres devant le Sénat, a ajouté « Certains de nos industriels filateurs de lin sont alléchés en ce moment par les prix qui leur paraissent très favorables des lins russes et ils ne s'aperçoivent pas suffisamment des dangers qu'ils courraient si l'offensive russe arrivait à paralyser les efforts de nos agriculteurs de France. » Ce danger ne s'arrête pas à l'affaiblis-, sement de nos activités agricoles et industrielles, il s'étend à la sécurité de nos frontières. Ne se- rait-il pas insensé que la France, en temps de guerre, dépende, pour la construction de ses avions, de la Russie soviétique, qui s'efforce aujourd'hui comme naguère, et avec succès, de mo- nopoliser la production du lin.
Un droit protecteur s'impose donc, de manière que la culture du lin se développe suffisamment en France pour alimenter nos usines. D'ailleurs, pul n'y contredit, mais où intervient le différend entre fabricants et agriculteurs, c'est dans le degré de protection qu'il convient d'accorder à cette ma- tière pour ménager les droits des consommateurs et permettre à l'agriculture et à l'artisanat rural du teillage et du rouissage de contribuer à la renaissance d'une production qui fut essentiellement française. Tandis que M. Cavillon, à l'instar des tisseurs de laine, demande un droit de 0 fr. 10 pour cent, dont le produit serait affecté au développement de la liniculture, pour l'achat d'arracheuses mécaniques, l'association générale des producteurs de lin, réunie en assemblée générale au siège de la Société des agriculteurs de France, après avoir entendu un rapport remarquable de M. du Frétay, son secrétaire général, estime qu'une aussi mince production n'empêcherait pas nos filateurs de préférer le lin russe au lin français. Aussi s'oppose-t-elle au projet de M. Cavillon, qu'elle considère comme néfaste à l'avenir de la liniculture. La question reste entière elle ne peut même être résolue avant que nos accords commerciaux avec l'Esthonie ne soient dénoncés. Mais on peut être certain qu'elle fera l'objet d'une étude suivie de la part de la jeune association et que les industriels, comme par le passé, n'auront pas seuls voix au chapitre. L'agriculture et la défense nationale, dont les intérêts sont communs pour la rénovation de la liniculture française, feront entendre leurs raisons.
Raymond de Passillé.
A l'Exposition coloniale internationale de Paris La répartition des terrains entre, ceux desposants à l'Exposition coloniale qui désirent édifier des pavillons particuliers devant être effectuée très prochainement, l'administration de l'Ex- position fait connaître que les demandes nouvelles doivent lui parvenir avant le 1'r juillet 1930. Les demandes doivent être adressées au Commissariat général de l'Exposition, au Grand Palais. Le « Décor de la Table » au musée Galliera La municipalité de Paris a inauguré hier aprèsmidi, au musée Galliera, l'exposition du « Décor moderne de la Table ». M. d'Andigné, président du Conseil municipal, a prononcé un discours dans lequel il a fait, sur l'art d'orner la table, un intéTessant historique rappelant à quel degré de faste et de raffinement les Romains portèrent l'art de décorer les tables devant lesquelles ils mangeaient à demi-couchés sur des lits.
Nous assistons, depuis quelques années, a-t-il ajouté, à un véritable retour vers la simplicité, vers la sobriété la plus raffinée.
Puis M. d'Andigné a loué le goût éclairé du con- servateur, M. Henri Clouzot, qui, dans cette exposition, '« n'a rien oublié de ce qui peut concourir à l'embellissement du repas mobilier, porcelaines et faïences, cristallerie, orfèvrerie, lingerie brodée, %o\A invite aux plaisirs de la table ».
n Les mères américaines à Verdun
.Verdun, 2 juin. Arrivé hier soir à Verdun, un contingent de 106 mères et veuves américaines, accompagnées du capitaine Earnest, a accompli au- jourd'hui sa première visite à la grande nécropole américaine de Romagne. Demain, les Gold Star Mothers feront un pèlerinage à l'ossuaire de Douau. montet aux champs de bataille.
LA CONFERENCE NORD-AFRICAINE Alger, 2 juin. La Conférence nord-africaine, qui devait se tenir à Tunis et qui fut remise par suite de l'indisponibilité de M. Bordes, aura lieu à Alger le 1" juillet prochain.
MM. Manceron, Lucien Saint et Bordes y assis-
teront.
M. Lucien Saint, résident général de France au Maroc, partira d'Alger, après la conférence, pour Paris ou il arrivera le 7 juillet. M. Manceron retourner?: à Tunis d'où il partira en compagnie de J jS. A. le bey pour la France,
Clôture de la Semaine
de propagande touristique Un discours de M. Gaston Gérard La dernière journée du voyage effectué pendant toute la semaine par les invités de l'Union des Syndicats d'initiative de Seine-et-Oise a été consacrée à la région de Chevreuse. Le Syndicat d'initiative de cette petite ville avait eu l'excellente idée de faire dresser la table du banquet offert par ses soins dans la salle d'exposition des œuvres des artistes de la vallée cette réunion d'ceuvres d'art, présentée au public jusqu'à la fin du mois, est visitée avec intérêt par les voyageurs. Le charme de la vallée de Chevreuse, si prenant et si varié, est trop apprécié des Parisiens, pour qu'il soit nécessaire d en décrire ici tous les détails ce fut avec un réel plaisir que, sous la conduite de M. L. Bracon, l'aimable et actif présidentdu syndicat local, nous visitâmes successivement les régions avoisinant les châteaux de Breteuil, Dampierre, La Madeleine, les Vaux-de-Cernay, Senlisse et les vestiges de l'abbaye de Port-Royal, avant de rejoindre Versailles, où un diner était offert par le président du Syndicat d'initiative. Le soir, dans le parc du château, des places avaient été réservées aux invités, qui assistèrent, avec la plus grande satisfaction, aux splendeurs de la fête nocture se déroulant sur le bassin de Neptune. Dans le décor majestueux du parc du Grand Roi, la variété infinie des jeux de lumière savamment étudiés, mariée aux fontaines, dont les eaux jaillissent à des hauteurs prodigieuses, tandis qu'un feu d'artifice bien ordonné recouvre le tout des mille feux croisés de ses étoiles filantes, remporte le succès mérité par le féerique spectacle de cette attraction unique au monde.
La semaine touristique a enfin été brillamment clôturée par le déjeuner offert hier aux congressistes, dans l'un des plus réputés établissements de Versailles, par l'Automobile-Club de l'Ile-deFrance, sous la présidence de M. Gaston Gérard. Après des discours prononcés par le président de l'Automobile-Club, M. Vallat, directeur de l'Office national du tourisme et président de la Fédération des Syndicats d'initiative, et M. Dormann, député de Versailles, le haut commissaire au tourisme prit la parole en termes heureux et, faisant appel à la presse, lui demanda de contribuer au développement du tourisme français, en mettant en action sa devise « Bien faire et le faire savoir », car les beautés touristiques et archéologiques du sol de France et les ressources renommées de ses spécialités gastronomiques doivent contribuer puissamment à l'épanouissement de la prospérité pationale, si elles sont présentées à l'étranger sous leur véritable aspect honnête et accueillant. ..La semaine de propagande touristique, organisée. par: Jk'unipn, des Syndicats d'initiative de Seine-etOise,' doit être considérée comme l'un des exemples de cette publicité intelligente dont on est eh droit d'attendre les plus heureux effets. G. de Guilhermy.
LA VIE RELIGIEUSE
Les obsèques de Mgr Foucault,
évêque de Saint-Dié
Epinal, 2 juin. Ce matin, au milieu d'une grande affluence, ont eu lieu les obsèques solennelles de Mgr Foucault, évêque de Saint-Dié. Avant la levée du corps, le préfet des Vosges est allé à l'évêché, saluer au nom du gouvernement la dépouille mortelle du prélat.
Après un discours de M. Burlin, maire de SaintDié, apportant l'hommage attristé de la population, le cortege s'est rendu à la cathédrale. Devant le monument aux morts, suivant la volonté formelle du défunt, une minute de silence a été observée. L'office des morts a été célébré par Mgr Curien, évêque de La Rochelle. La cinquième absoute a été donnée par Mgr Binet archevêque métropolitain de Besançon, qui présidait la cérémonie. Ce soir, Mgr Foucault sera inhumé dans le transept de la cathédrale. '-t'u'r un
De. nombreuses perstonaialiités' politiques, mili-
taries et ecclésiastiques 'Ont accompagné le convoi.
Fanrii le clergé, on notait là1 présence de Mgr Baudrillarf, de l'Institut cath'tffique' rde Paris des évêques ou archevêques deitChâlons, Troyes, Strasbourg, Metz, Chartres, Orléans, Verdun, Besançon. LA VIE UNIVERSITAIRE
Les élections au Conseil départemental de l'Enseignement primaire de la Seine ont lieu aujourd'hui
On sait que, pour protester contre la révocation de M. Doron, instituteur communiste de la Loire, la Fédération des syndicats unitaires des membres de l'enseignement laïque donna, au mois de décem- bre 1929, à ses élus aux conseils départementaux, l'ordre de se démettre de leurs fonctions. Timidement, d'abord, puis résolument, sous la pression de ses sections départementales, le bureau du Syndicat national des instituteurs invita les con- seillers membres du groupement à donner, eux aussi, leur démission.
Dès le mois de février dernier, les douze délégués des maîtres et des maîtresses de la Seine se rendirent à cette invitation.
Ils voulaient, par ce geste, « attirer l'attention du personnel enseignant, du gouvernement, des parlementaires, du public sur les revendications morales du Syndicat national
1° Respect des décisions du Conseil départemental, en matière disciplinaire. Composition du Conseil départemental sur la base paritaire;^ <t~ 2° Protestation contre les déplacements d'office; 3° Droit d'exprimer et de défendre, hors de la classe, toute opinion politique ou religieuse, sans réserves ni restrictions;
4° Respect des décisions prises par le comité consultatif, en tout ce qui concerne les mouvements du personnel;
5° Défense de l'école laïque.
Les élections pour le remplacement de ces douze délégués auront lieu aujourd'hui. Les conseillers sortants se représentent, à l'exception de MM. Pu- jos et Bordage. Le premier est nommé inspecteur de l'enseignement primaire, et le second abandonne la lutte « pour raisons de santé », dit-on! La liste des candidats porte les noms de MM. Cliquot, Emile Roussel, A. Fleutot, L. Lallement, Henri Blutte, E. Jacquemard, H. Pignochet et de Mmes F. Wilhem, Grimmer, Hagnauer, Pichorel, Prigent.
Soulignons ce fait que M. L. Lallement n'est autre que le président de la Société pédagogique des directrices et des directeurs de la Seine; que Mmes Grimmer, Pichorel, Prigent et que MM. Jacquemard et Pignochet sont directeurs d'école. Or, la section de la Seine du Syndicat national a voté, le 15 mai dernier, un ordre du jour nettement agressif à l'égard des directeurs d'école, et dont voici le passage essentiel
« A la veille des élections pour le renouvellement du C. B.f la section tient à préciser une fois de plus
» ,1° Qu'elle s'est toujours prononcée contre tout projet de statut de la direction d'école, contre toute tentative faite dans le but de donner aux di- recteurs d'école des pouvoirs de contrôle et d'inspection, qu'elle a toujours affirmé que la direction d'école était line fonction et non un grade; » Qu'elle réclame depuis longtemps la législation du Conseil des maîtres;
» 3° Qu'elle demande à tous ses adhérents, adjoints et directeurs, de s'employer à donner au Conseil des maîtres le maximum d'autorité dans l'école. »
A la Sorbonne
En accord avec l'Office national des Universités et écoles françaises, Mme Suzanne Mercié, professeur à l'Université populaire « Urania », de Vienne, fera ce soir, à 0 heures, dans l'amphithéâtre Descartes, à la Sorbonne, une conférence sur « Vacances en Autriche de la Jeunesse française universitaire ». Cette conférence est faite au nom du Comité d'échanges interscolaires franco-autrichien, qui est placé sous le patronage du mi .istre de France en Autriche, le comte Bertrand Clauzel. Jfn'îs Laurent.
f REVU E DE LAf ,.ç., PRESSE
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Le discours de M. Tardieu et fa concentration
La presse est bien loin d'épuiser, dans ses commentaires, les multiples points de vue qu'a exposés M. Tardieu dans son discours de Dijon. Deux problèmes surtout retiennent l'examen des écrivains politiques celui de la concentration ou plutôt du retour des radicaux à la majorité, et la réforme de. l'Etat. 1
Nous pouvions attendre de la presse valoisienne une plus vive réaction au point de vue exprimé par M. Tardieu sur la concentration. Le président du conseil a déclaré en substance aux radicaux la 'concentration est faite, niais on peut l'élargir etfèBévvous est 'ouverte, à condition que vous veuillez bien vous contenter de votre part et ne pas prétendre à la primauté sur les autres partis.' À' gauche, mauvaise humeur, mais on ne relève point de polémique. La REPUBLIQUE de M. Daladier reconnaît aussitôt dans l'invitation de M. Tardieu une formation politique abhorrée l'Union nationale.
Il est certes naturel qu'un chef de gouvernement se préoccupe d'accroître le volume et le poids de sa majorité plutôt que de les restreindre. A ce désir, assurément fort légitime/ s'ajoute chez M. Tardieu ie souci qu'inspire une loyauté digne d'éloges^ de ne point rejeter loin de lui ce qui pourrait d'ailleurs présenter quelque péril les hommes qui lui ont accordé un concours total et une confiance sans conditions. Mais les partisans les plus résolus de la concentration seront sans doute les plus décidés à ne point la reconnaitre sous les traits que leur prête le discours de Dijon. « La concentration est dès à présent réalisée, Il ne s'agit que.de savoir si elle peut devenir plus large. >> Voila qui est clair. Le nouveau Bloc national voudrait s'élargir en une nouvellè'Union nationale à laquelle servirait de ciment, cette fois, l'antispcialisme. Nous ne croyons pas qu'il ait un seul radical qui soit prêt à accepter l'idée de cette collaboration avec la droite. Il semble bien en être ainsi, car toutes les feuilles d'inspiration radicale qui ont prêché ou accepté tacitement l'idée de la concentration ron,t toujours définie et comme urïT,éti;aît d'une notable partie de -l'U;R;D. et comme ùne-for̃matrïotf 'd'âxe radical '̃"•̃̃' ̃̃> ̃̃̃-• -"̃ *<̃ ISERE NOUVELLEfàappose une fin de nonrecevoir et revient àlÉt thèse de « conciliation républicaine » qu'elle a brandie sans succès lors de la dernière crise,; ministérielle
II nous apparaît de plus en plus que la seule formule correspondant complètement à la réalité politique de l'heure serait celle même -qu'ici nous préconisions la conciliation républicaine. Elle comporte, évidemment, des modalités que le président du conseil ne pouvait pas envisager dans son discours.
.la première que M. Tardieu, peu aimé de la rue de Valois et trop marqué au point de vue national, s'efface devant une personnalité ayant un passé de gauche (l'Ere Nouvelle a clairement fait connaître ses vœux en faveur de M. Briand, à qui on peut accorder non seulement d'être de gauche, mais de venir de très loin sur la gauche.)
La feuille valoisienne remarque pourtant que M. Tardieu a eu un mot aimable pour la laïcité, de même que YŒUVRE se félicite de « l'adhésion totale » du président du conseil à la « politique d'organisation européenne ». Souci de ne point voir couper tous les ponts ? M. Jean Piot écrit pour le reste
Nous avons le droit, nous, de penser qu'une « concentration » obtenue par pimple ,àdjonctiop:
'–collective bu-individuelle dé r'élë'rriènf radical
'collective bu- individuelle de l'élément raclicâl
a la majorité parlementaire actuelle,; ressemblerait beaucoup plus à uje dilution qu'à une concentraLion.
Et la concentration si, 'après le congrès de Bordeaux/ elle apparaît inévitable peut tout de même se concevoir comme une coordination des forces républicaines de celles qui n'acceptent pas la « laïcité » du bout des lèvres et dont la conversion à la politique de paix n'est pas de trop fraîche date et non comme un simple amalgame. Quant au QUOTIDIEN, son acrimonie est vive
Si cette concentration existe dès maintenant, elle est à droite. Qu'importe au chef du,, gouvernement elle cons- titue sa majorité.
Ainsi les radicaux, dont on n'a plus besoin, n'ont qu'à prendre leur place, bien modestement, à l'arrière de la phalange gouvernementale. Leurs voix seront les bienvenues.
Tant pis pour eux s'ils, ont laissé passer le moment d'entrer par la grande porte, il n'y a plus que l'escalier de service.
Soit, mais que le président renonce à se dire le chef d'un gouvernement démocratique.
Il y a des équivoques qui se dissipent fatalement à l'expérience des actes.
Le discours de Dijon ne contient pas encore assez d'artifices oratoires–pour abuser les républicains.
Ce, ne sont pas les adversaires de ,1a démocratie Iqui Ifrviront iamaïs"ia^cause et r'ëaligerôhtl srîh
ideâl. "̃'̃ ,;¡¡r >•»-* »
En conclusion, le projet de la concentration n'avance pas. Il y a malentendu. M. Blum (POPULAIRE) est K premier à en prendre acte et avec une certaine satisfaction, car l'isolement des radicaux sert puissamment sa tactique d'enveloppement il garde sa proie. M. Blum met en valeur tous les faits qui déjouent les espoirs valoisiens d'abord, contrairement à certaines rumeurs, M. Tardieu ne songe pas à s'en aller, puisqu'il élargit son programme jusqu'à la refonte fiscale et à la réforme de l'enseignement. D'autre part
M. Tardieu s'accommode à merveille de vivre et de durer sans la collaboration des radicaux. Ils attendaient des grâces et des risettes. M. Tardieu leur a réservé les plus rudes rebuffades. Il leur rappelle avec une arrogance impitoyable leurs incertitudes et leurs contradictions. Tout ce qu'il leur concède, c'est ce qu'il est hors d'état de leur refuser le droit de voter pour son gouvernement tel qu'il est, de s'agréger à sa majorité telle qu'elle est. S'ils font preuve publique de soumission, il n'est pas dit qu'on ne leur ménagera pas, en se serrant ou en se dilatant, une petite place dans le ministère, mais ils sont avertis d'avance que les illustres « leviers de commande ne sont pas pour eux, et que M. Tardieu est résolu à ne pas sacrifier à leur concours une seule voix d'extrême-droite. Voilà les radicaux dûment avertis. Ils feront peutêtre la concentration dans le prochain ministère et je suis bien loin de le leur souhaiter, comme on sait mais en tout cas ce n'est pas pour cette fois-ci.
Le TEMPS dit les ifésultats du discours de M, Tardieu Premier résultat la position de demandeurs des radicaux socialistes se trouve mise en évidence. Ni le gouvernement n'a besoin d'eux puisqu'il a déjà sa majorité ni la majorité n'a besoin d'eux, car elle se suffit à elle-même. Si les valoisiens estiment que leur intérêt, coïncidant en cela avec l'intérêt général est de rallier le gros des troupes républicaines il leur suffit d'en exprimer le désir pour que ce désir soit exaucé. Et cela nous conduit à ce deuxième résultat que la concentration ne peut être conçue que comme un élargissement de la majorité actuelle sans aucune exclusive contre aucun des partis composant cette dernière. Sollicité de sacrifier parlons clair l'Union républicaine démocratique, M. André Tardieu a répondu non. S'il est disposé à accueillir toutes les bonnes volontés, il sa déclare fermement résolu à n'acheter aucun concours su prix d'ua abandon,
Troisième résultat la majorité se-trouve non seulement fortifiée,: mais clichée en-quelque sorte. et l'on peut espérer. que l'administration préfectorale, d'ailleurs solidement tenue en main par le chef du gouvernement, y regardera désormais à deux fois avant de faire systématiquement ia.politique de l'opposition.
« Pressés par les socialistes victorieusement partis à l'assaut de leurs sièges, voilà que se ferme devant eux la porte du lieu d'asile où ils pensaient reprendre haleine. La clef de cette. porte est dans leur main ce serait l'abandon de leurs prétentions de constituer à eux seuls la République. Ils n'ont qu'un mot à prononcer pour cesser d'être isolés. »
Ce mot, M. Paul Valdieu (HOMME LIBRE); plus connu, croyons-nous, sous le nom d'Eugêne Lautier, l'a déjà prononcé pour son propre compte. Il espère que ses anciens compagnons feront de même
En somme, André Tardieu a dit à l'opposition de gauche le mot de Clemenceau « Messieurs les radicaux, je vous attends. » Mais le geste de Clemenceau, en 1909, fut un petit coup sec sur la tribune. L'invitation d'André Tardieu, c'est la main ouverte étant bien entendu que faire place ne signifie point céder la place.
Rien ne vaut les explications franches désormais, après le discours de Dijon, où le président du conseil a dissipé toutes les causes de malentendus, la situation est très nette, et je ne vois pas ce qui pourrait gêner un républicain quelque soit son groupe ou quelle que soit sa nuance.
M. Valdieu voit les choses de l'autre côté de la barricade.
La réforme de l'Etat
L'applaudissement est à peu près général pour les déclarations de M. Tardieu sur la réforme de l'Etat. C'est, sans doute, que le président du conseil a interprété des aspirations, plus que fixé un programme, et que ces aspirations sont profondes dans le public. M. Martin-Mamy (AMI DU PEUPLE du soir) le constate
On pouvait craindre que des vues de ce genre ̃ r– e-t, qui expliquent si bien l'antipathie intollefc-' tuçïis des radicaux-socialistes pour le président. du ,'Cô'n.se'îï "•. 'étonnent un peu lés quin'zei cents audji-. ''teùrs bourguignons auxquels elle étaient présentée^. Nous avons été personnellement témoin qu'au contraire elles ont provoqué d'interminables et passionnés applaudissements. Preuve évidente qu'elles tombaient à un point névralgique et que, selon le vocabulaire socratique, elles accouchaient le public d'idées peut-être confuses mais qui vivaient déjà en lui.
M. Bluni estime que l'Etat moderne conçu par M. Tardieu « paraît tout bonnement un retour aux formes traditionnelles du commandement monarchique et impérial », ce qui, lui permet d'ajouter une formule qui lui est chère « Le néo-bonapartisme continue. ».
Mais, à part cet accusé de réception du marxisme à des idées qui le menacent, on approuve. La VOLONTE sans rancune de voir démolies les belles thèses sur la concentration qu'elle proclamait depuis six mois écrit A quelque parti ou à quelque nuance politique que l'on appartienne, nous ne pensons pas qu'il soit possible de ne point s'incliner devant la hardiesse, la clairvoyance, le sens profond des nécessités contemporaines dont M. Tardieu a témoigné sur ce sujet fondamental. Jusqu'ici, seul M. Joseph Caillaux dont les radicaux n'apprécieront jamais assez la précise clairvoya»8el avait su tenir un langage aussi lucide et aù$j6i;'rjéejlement révolutionnaire.. Car si l'on songe au^, attaches économiques de la majorité dont M,_ Tardieu se réclame, on doit admirer î'hô"m'me de gouvernement qui tise'affirmér la néces̃sitè de rétablir l'autorité, de l'Etat' vis-à-vis des coalitions d'intérêts dont l'inadmissible pression fausse de plus en plus le jeu normal des institutions républicaines. Dénonciation de la vieille doctrine libérale, constatation de la faillite marxiste, nécessité de définir les rapports de groupe à groupe et des groupes avec l'Etat M. André Tardieu n'a rien esquivé. Et, sur chaque problème, il a dit ce que pensent les nouvelles générations. Cela seul ferait du discours de Dijon un très grand discours. M. Fernand de Brinon (INFORMATION) Il est possible que les vastes horizons qu'il découvre troublent les endormis et inquiètent des profiteurs. Mais l'action est faite d'audace, et pour reprendre encore un mot de M. Tardieu, nous devons tendre vers des ré'formes d'avenir nos pensées et nos énergies.
Cependant, il ne manque pas de confrères pour remarquer que M. Tardieu nous laisse sur notre appétit il assigne à l'Etat un rôle de haut arbitrage, une mission nécessaire, mais, ce même Etat il nous le montre débordé et à peu près ruiné et il ne nous fait pas entrevoir les actes de redressement.
L'éditoria! de Y AMI DU PEUPLE du matin pousse vers plus de précision les aspirations exprimées par M. Tardieu
Les collectivités préoccupées par-dessus tout de leurs intérêts matériels ne sont fortes que de la faiblesse jdes organismes centraux. Les députés cë:$4pt ijev^nt leurs sommations et contraignent les 'ministres, qui 'dépendent d'eux, à se soumettre à leurs propres exigences. Pour être fort, pour être respecté et, en définitive, pour être obéi, l'Etat devrait avoir des racines plus profondes dans la nation. Les députés devraient être le produit d'un scrutin élargi et les ministres devraient cesser d'être des pantins que les députés manœuvrent à leur gré. L'Exécutif devrait puiser une autorité incontestée dans le peuple directement consulté.
C'est de la sorte qu'à notre sens se pose le problème. La France souffre d'une crise d'autorité. Il faut restaurer l'autorité.
Ce pays est la proie des coalitions puissantes dressées pour mettre en échec l'intérêt général et arracher à l'Etat, à son budget, des satisfactions matérielles qui rarement vont aux plus dignes, le plus souvent aux plus entreprenants.
La réforme de l'Etat doit s'exercer dans le sens de la prééminence de l'Etat
M. Gustave Hervé (LA VICTOIRE) n'est pas content
Sur l'autre question capitale, vitale, la refonte de notre Constitution, la reconstruction totale de l'Etat sur des bases modernes, quelle timidité, quel vague, quelle obscurité Nous avons un régime politique absurde, mortel pour le pays, qui nous amène fatalement, au fur et à mesure que l'école publique libre penseuse fabrique de nouvelles générations de révoltés et de révolutionnaires, à une expérience non pas communiste, mais collectiviste. Ce régime, sorti de la cervelle de Rousseau, comme le régime bolcheviste russe est sorti de la cervelle de Karl Marx, donne la souveraineté sans limite et sans contrepoids au nombre, aveugle, à la .multitude forcément inapte à conduire un grand pays, et c'est à une foire de politiciens incompétents et irresponsables que cette multitude délègue son pouvoir absolu. Il n'y a plus tin homme sensé en France qui croie que l'on pourra arrêter la désorganisation de la patrie sans donner comme contrepoids à ce suffrage universel un chef national armé de pouvoirs quasi souverains et sans réduire considérablement les pouvoirs de la démagogie parlementaire. Pourquoi André Tardieu ne veut-il pas dire clairement au pays que l'autorité que lui donnent sa situation à la tête du gouvernement, ses grandes qualités personnelles et les services déjà rendus, que sans une revision rapide et profonde de notre Constitution, nous irons inévitablement à une terrible guerre civile, à une affreuse révolution sociale ?
M. Hervé a raison. On pourra parler longtemps de la réforme de l'Etat si les rapports de Pélecloralisme cause essentielle du mal
et du pouvoir exécutif ne sont pas remjs au point. ̃̃
LA POLITIQUE EXTERIEURE
M. Emile Buré (ORDRE) n'est pas convaincu par les félicitations que s'est décernées M. Tardieu sur la « liquidation » de La Haye A l'intérieur comme l'extérieur, la politique de la France était la politique du chien crevé. Il l'a en horreur, son discours le prouve, mais pour en inaugurer une nouvelle, celle qui ressuscitera le prestige français dans le monde, il lui convient d'abord de restaurer avec les forces matérielles de notre pays ses forces spirituelles qui ont décliné dans la mesure même où se manifestait le défaitisme gouvernemental. Outillage national ? Oui, certes! mais que peut l'outil sans 'l'ouvrier, le navire sans l'équipage ? Le discours du président du Conseil: respire la jeunesse, une jeunesse sûre de son, avenir, dédaigneuse de s'instruire à l'école des-sages que, sont les pessimistes, impatiente d'agir et de dominer. C'est très bien. André Tardieu sait que dans l'équipe politique je le considère comme « le meilleur », mais si je veux bien consentir, sur sa demande, à oublier le passé, qu'il me rassure en me déclarant que la leçon de ce passé ne sera pas perdue pour lui. Quoi qu'il en dise, la politique qui a abouti à l'évacuation anticipée de la Rhénanie, à l'heure même où pèsent sur notre pays et sur ses alliés tant de menaces redoutables, est une politique d'imbécillité qu'il convient d'abandonner au plus vite.
Au plus vite.
L'attentat de Moiuereau
Un sourd soupçon grandit dans l'opinion au sujet de l'attentat de Montereau entreprise communiste ? M. Albert Petit (JOURNAL DES DEBATS) penche vers ce sentiment Nos partis politiques vont-ils continuer à échafauder des calculs machiavéliques sur l'appoint possible des bulletins communistes pour renverser des ministères ou escamoter des mandats électoraux ?
Les communistes sont plus intelligents. Ils ont, au fond, conscience de leur faiblesse. Ils savent très bien qu'ils ne peuvent triompher que si on -Tes laisse faire. A'ùssij quand un coup leur a réussi, ils se hâtent d'en dissimuler la portée aux naïfs •de -la société .bourgeoise. L'Humanité se garde de triompher ce matin. Les communistes se réjouiront en famille, en « cellule », non en public. L'organe officiel proclame l'accident, un accident dû au mauvais état de la voie, au manque de personnel. Oh si on reprenait tous les cheminots révoqués pour sabotage, grève, chapardage, il n'y aurait plus jamais de wagonnets égarés sur les voies ni de péniches à la dérive au voisinage des ponts. La sécurité serait assurée, et comment Ces plaisanteries macabres auront-elles leur succès accoutumé ? Allons-nous, une fois de plus, enterrer les morts, gémir sur le malheur des temps, et oublier demain l'attentat d'hier ?
« Ah les bandits » s'écrie M. E. Gascoin (AMI DU PEUPLE du soir)
Les morts de Montereau, après ceux de Yen-Bay, parlent pour nous et plus haut que nous ne le saurions faire. Combien faudra-t-il encore d'attentats et de crimes pour qu'on se décide à intervenir, à fermer les officines plus ou moins diplomatiques où s'élaborent ces attentats, à poursuivre et à interdire les journaux qui en ont assumé la préparation morale ? En un mot, pour que nous nous ressaisissions er.'in, combien faudra-t-il encore de victimes au tableau de chasse de Moscou ? 2 Maurice Noël.
Les anciens combattants des Dardanelles sont partis pour Sedd-UI-Bar
MARSEILLE, 2 juin. Un nouveau contingent d'anciens combattants des Dardanelles, allant participer à l'inauguration du monument élevé aux soldats alliés à Sedd-ul-Bar, a pris passage sur le paquebot Doukkala qui appareilla ce matin. Les poilus d'Orient sont accompagnés du général d'Amade, de l'amiral Guépratte, de l'écrivain Claude' Farrère et M. Robert David, ancien ministre, etc.
ACADEMIE DES SCIENCES Election de M. Louis Lapicque
i^e fauteuil de membre titulaire de l'Académie des sciences, vacant par décès de M. Lindet, dans la section d'économie rurale section à laquelle appartiennent MM. Roux, Schlœsing, Leclainche, Viala et Calmette a passé hier à M. Louis Lapicque, élu au quatrième tour de scrutin, par 31 voix, contre 22 à M. Gustave Moussu. M. Louis Lapicque est, on le sait, le physiologiste que ses recherches sur l'excitation électrique ont conduit à l'importante découverte de la chronaxie.
Né à Epinal en 1866, docteur en médecine et docteur ès sciences, ancien professeur au Muséum, actuellement professeur de physiologie à la Sorbonne, directeur du laboratoire de physionomie animale à la -Faculté des sciences, directeur adjoint à l'Ecole des hautes études pour la physiologie générale, M. Louis Lapicque a vu ses travaux maintes fois couronnés par l'Académie des sciences, et ii est aussi lauréat de la Société de géographie. Il est membre de l'Académie de médecine. Il a rempli des missions scientifiques fécondes en Abyssinie, aux Indes anglaises, aux îles Andaman, en Malaisie, dans le Golfe Persique. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur les mutations organiques, le poids du cerveau et l'intelligence, sur la ration alimentaire, sur la race nègre en général, sur les algues marines, etc. Pendant la guerre, médecin en chef du 53' d'infanterie, M. Louis Lapicque fut appelé à présider une section de la direction des inventions. Il rendit là de grands services notamment il créa un système de protection contre les gaz de combat. M. Charles Fabry, directeur de l'Institut d'optique, a signalé à l'Académie une nouvelle méthode de microradiographie due à M. Dauvillier M. Léon Guillet, directeur de l'Ecole centrale, a résumé les importants résultats d'une étude qu'il a poursuivie avec M. Ballay, étude relative à l'influence du silicium sur la conductibilité de l'aluminium.
M. Deslandres a fait une communication personnelle sur une propriété nouvelle des spectres propriétés des raies et séries anormales dans les spectres atomiques.
M. Delépine a présenté une 'note de Mlle François sur la neutralisation des huiles de ricin utilisées pour le graissage dans les apuareils d'aviation. On peut réaliser cette neutralisation par la triemanolamine, découverte en 1859 par Wurtz et industriellement fabriquée aujourd'hui.
M. Mesnager a noté qu'avec des matières transparentes quelconques, on peut arriver, par les méthodes optiques, à la résolution expérimentale des problèmes (Pélasticité à trois dimensions, sans recourir au verre Pockels avec inclusion d'autres matières, comme l'avait indiqué. M. Favre. M. Esclangon, directeur de l'Observatoire de Paris, a annoncé que M. Stoïco, après avoir rassemblé toutes les observations de la période de visibilité (mars à 26 mai) de l'astre transneptunien, a pu conclure que la distance de celui-ci représente auarante et une fois la distance de la Terre au Soleil, et que son inclinaison est de l'ordre de vingt degrés. Dès 1927, on avait observé à Uccle un corps céleste qui pouvait être la « planète » de Lowell.
M. Pierre Termier, vice-président, a communiqué une note de pétrographie de M. Jacques de Lapparent, et une note de géologie pyrénéenne de M. L. Bertrand.
'» Ch.' DauzatS.
LES LETTRES, LE THEATRE ET LES ARTS
La fête solennelle de Delacroix ,,¡ au Louvre
On voudrait trouver des mots, mais ils sont tous si usés, si affaiblis aujourd'hui, des mots éclatants, intenses et profonds, pour résumer l'impression, la portée et la leçon de l'immense spectacle qui se déroulera, à partir de jeudi prochain, au Louvre.
Comme en un édifice grandiose, un palais magnifique et terrible à la fois, la grande salle des Etats offrira au public toutes les pages capitales de l'œuvre de Delacroix, et les deux annexes prises de droite et de gauche sur les salles du dix-septième i et du dix-huitième siècles remplies de dessins, d'aquarelles, de pastels,' de tableaux de petites dimensions, forment comme les ailes de cet édifice incomparable. Un chiffre ne signifie rien, mais il faut dire pourtant que le catalogue n'enregistre pas moins de neuf cents pièces devant lesquelles, jusqu'à la moindre, l'imagination s'éblouit et le .̃cœur s'émeut.
II. en est venu de tous les plus grands musées de France et de l'étranger. L'on songe que dans les républiques florentines le peuple escortait en grande pompe, d'une ville à la voisine, des chefsd'oeuvre qui n'étaient pas supérieurs à certains de ceux qui viennent d'ainsi voyager en chemin de fer, nous devons faire acte d'humilité pour nos prédécesseurs qui accablèrent Delacroix vivant de leurs sarcasmes, et nous efforcer de nous mettre nous-mêmes en état de grâce pour goûter, comprendre et honorer le plus grand des peintres français modernes.
Le dix-neuvième siècle a produit ces deux hommes qui peuvent être placés au même rang que Michel Ange et Rembrandt, que Shakespeare et Goethe, c'est-à-dire Victor Hugo et Eugène Delacroix. Les petites railleries, les pauvres dédains, par lesquels croient se donner des airs supérieurs ceux qui sont incapables d'enthousiasme, et privés de ce moyen de salut qu'est le don d'admiration, se fissent-ils entendre encore aujourd'hui, ne sauraient nous arrêter un moment, même pour rîiles plaindre.
»« -(Joand on pense que le foudroyant ensemble qui 'est réuni au Louvre n'est encore qu'une partie de ce que cet esprit et cette main ont répandu en torrents de rêves, d'évocations, de frissons, ou d'amour qu'à deux pas de ces salles^il y a encore le Plafond d'Apollon qu'une course de quelques minutes la sépare de l'épopée humaine du Palais-Bourbon, bibliothèque et salon du Roi de l'épopée poétique du Palais Médicis de l'épopée divine de la chapelle de Saint-Sulpice, on éprouve un sentiment d'étonnement comme devant un cataclysme de beauté. Et*en même temps on se dit que compris et encouragé à sa taille, Delacroix aurait également couvert les murs des édifices français, comme a pu, quoique combattu et raillé également, Puvis de Chavannes à Rouen, à Lyon, à Poitiers, à Marseille, et jusqu'à Boston, on se demande si vraiment l'homme n'est pas par définition un être ingrat et rebelle, pour qui les génies travaillent malgré lui
Car je suis ton bon ange, entends-tu ? Je le veux pourrait-ils dire, comme a pu penser le grand solitaire de la rue Notre-Dame-de-Lorette, de la rue Furstenberg et de Champrosay lorsqu'il méditait et œuvrait ces pages où, en dépit de tous les obstacles, ont triomphé ses deux forces, si bien discernées et mises en relief par Baudelaire une passion immense, doublée d'une volonté formi-
dable.' O *i. ̃*1<v; ̃'̃̃ ̃; •̃̃̃
Il semble que par ce concile de chefs-d œuvre, ceux que possède le Louvre, qui devraient nous être devenus presque trop familiers, reprennent une puissance, une évocation, une solennité nouTelles. La Barque de Dante, les Messacres de Scio, ̃le Sardanapale, la tragique Liberté, puis les Femmes d'Alger, le Naufrage de Don Juan, placés autrement, entourés autrement, indemnes des comparaisons avec d'autres œuvres que celles qui sont sorties de lui, soustraites à des émanations d'autres fluides, à des radiations d'autres talents, si excellents soient-ils, deviennent, selon une citation dont on a un peu abusé, mais qui ici est singulièrement à propos, « ce qu'en elles-mêmes enfin l'éternité les change ».
Mais alors quels rapprochements à faire, enivrants ou sanctifiants Voici la Clémence de Trajan, ce splendide tumulte du musée de Rouen; le Testament de Marc-Auréle, ce drame de la Pensée, qui est une des œuvres, au musée de Lyon, rivales de ses plus riches héritages du passé le Moulay Abder Rhaman du musée de Toulouse, où est condensée toute la gravité et la grandeur du monde musulman là Médée du musée de Lille, traduite par Delacroix d'Euripide et de Corneille, avec la couleur de Rubens la Mort de Charles te Téméraire du musée de Nancy, et la Bataille de Taillebourg des Galeries de Versailles, sans compter les trésors de Montpellier, de Bordeaux (la Grèce expirante .'), de Bayonne, d'autres villes de France ou d'outre-mer, car il faut abréger une liste déjà si éloquente. On n!a pas pu, naturellement, détacher de son mur pathétique la Pieta de Saint-Denis du Saint-Sacrement, mais le Christ aux Anges de Saint-Pau-Saint-Louis sera une révélation touchante et somptueuse pour bien des gens qui croient connaître Paris. Enfin, comment pourrions-nous omettre que Bruxelles a prêté la merveilleuse copie des Miracles de saint Benoît, que le Musée Royal a si judicieusement placée bord à bord avec l'original de Rubens, et qui est ce phénomére rare (comparable à celui du Titien-Rubens du Prado) d'un mariage de génies.
Il est impossible, il serait même puéril de songer à donner une idée complète dans un article de journal d'une telle fête, qu'il faut bien se garder de considérer comme une célébration du romantisme, car elle le dépasse comme un raz de marée intellectuel. Mais relisez Baudelaire, feuilletez sans Relâche les deux volumes de Moreau-Nélaton, et épelez mot à mot les écrits de Delacroix lui-même, son Journal, miroir de son âme, et ses études sur Tart.
Puis regardez-le jouer avec les tigres, visiter l'Orient et le réinventer, s'entretenir avec Shakespeare, avec Dante, avec le Tasse, l'Arioste, Byron, Jenfin s'élever jusqu'au sommet sanglotant du Calcaire, et dites-vous que vous aurez contemplé un spectacle tel; que vos aïeux n'ont pu le soupçonner et que vos arrière-petits-fils ne le reverront pas. Puisse-t-il Tous être bienfaisant Alexandre.
-iv: •'̃̃' Arsène Alexandre.
LE PRIX JACQUES NORMAND Ce prix, d'une valeur de 2,400 francs, sera décerné pendant la deuxième quinzaine de juin. Le jury comprend le président, les vice-présiSents et le délégué de la Société des Gens de lettres, auxquels on adjoindra deux poètes, membres de la Société, élus par le comité.
Le choix du jury pourra se porter sur tout poète, Homme ou femme, faisant ou non partie de la So• «iété non encore édité, auteur d'une œuvre d'au moins 1,500 vers, et qui sera signalée d'une façon ̃quelconque à l'examen des commissaires avant le
15 juin.
En outre, pour avoir droit au prix tout candidat «ievra prouver qu'il se trouve dans une situation jgécuaiaire qnl i'empêche de s'éditer à ses frais..
LA VIE LITTÉRAIRE Voici ton maître, par Marcel Prévost, 1 volume (Éditions de France).
« Les moralistes qui dissertent sur les mœurs de ce temps sont, à l'ordinaire, des personnages mûrs et comme retraités, qui n'en ont pas éprouvé ni même essayé l'effet. Ils les raillent ou les condamnent d'office, sans information, sans réflexion », ainsi s'exprime l'Andrée Simonis du Voici ton maître, de M. Marcel Prévost, et elle ajoute; des mêmes moralistes « Il n'est d'ailleurs pas facile de dire, sur ces matières, des choses exactes, mesurées. » Or, ces remarques fort justes pourraient aussi bien s'appliquer aux romanciers qu'aux moralistes. Il en est, des uns et des autres, de notoirement incompétents et qui ne sont pas des moins écoutés. Les uns dissertent, en effet, de mœurs qu'ils ne connaissent guère, les autres les peignent sans guère les avoir observées, mais M. Marcel Prévost qui, en même temps qu'un romancier, est un moraliste, puisque ses romans sont tous des romans de mœurs et que, des mœurs qu'ils décrivent, il tire surtout des considérations morales, M. Marcel Prévost, dis-je, ne saurait encourir le reproche que formule la charmante héroïne du beau livre où M. Marcel Prévost affirme une fois de plus la maîtrise de son talent de conteur et la compréhensive acuité de son esprit d'observation. Ni en littérature, ni en morale, M. Marcel Prévost ne fait figure de retraité.
Loin de là. Je connais peu d'écrivains de l'âge et de la situation littéraire de M. Marcel Prévost qui soient restés plus que lui en contact direct avec la vie. Justement et brillamment célèbre par une œuvre romanesque considérable et qui a touché un public très étendu, M. Marcel Prévost ne s'est pas isolé dans sa célébrité et ne songe nullement à se tenir, comme on dit « sur ses positions ». Sans cesser d'être de son temps et en ayant gardé certaines manières de voir et des habitudes d'esprit, M. Marcel Prévost a continué à vivre avec son époque, s'efforçant d'en comprendre les transformations et les nouveautés. Il en a suivi avec une vigilante attention le mouvement intellectuel et en a surveillé avec une attentive vigilance les successifs indices moraux, passionnels ou psychologiques. En littérature comme en art il n'a cessé d'être au courant ou, comme cela se dit maintenant, « à la page ». Directeur d'une importante revue, il l'a ouverte très largement à ce qui se fait et à ceux qui le font. Les audaces ne l'effraient pas et les changements qu'il constate autour de lui ne lui causent ni enthousiasme exagéré, ni regrets inutiles. Il tient avant tout à voir clair en ce qui se passe. Ce souci lui constitue dans les hautes lettres une physionomie très particulière. Il n'est ni du clan grondeur des retraités, ni de l'équipe bruyante des novateurs. Ayant beaucoup vu, beaucoup produit, il a conservé de la curiosité et de l'activité, le goût de l'expérience instructive, le goût du travail, de son travail et du métier. ^i .>(
Car, visiblement, M. Marcel Prévost aime le sien. Ecrire un roman est pour lui un plaisir et une partie de ce plaisir lui vient, j'en suis certain, de la technique même de son art. Romancier, M. Marcel Prévost sait trouver des sujets de romans et des sujets qui, indépendamment de leur intérêt dramatique, passionnel ou psychologique, mettent en vue des états de mœurs qu'il excelle à mettre en valeur mais, ces sujets une fois trouvés et délimités, il s'agit d'en établir la présentation, d'en définir les personnages, d'en agencer les péripéties, de leur donner le mouvement et la vie. C'est alors qu'intervient une des qualités dominantes de M. Marcel Prévost, c'est-à-dire sa parfaite connaissance de la technique du métier. Certes, chez un romancier, le don narratif est essentiel, mais il y faut un support que lui fournit l'art de la construction et de la composition. M. Prévost ne s'écarte jamais
COURRIER DES LETTRES
Le Prix Catulle-Mendè*
Ce prix devait être décerné le lundi 8 juin. Ce jour se trouvant être celui de la Pentecôte, l'attribution en est reportée au dimanche suivant, 15 juin.
Le souvenir d'Agrippa d'Aubigné
Une exposition consacrée à Agrippa d'Aubigné et à Mme de Maintenon vient d'être ouverte à Niort (Deux-Sèvres), par les soins de M. Henri Clouzot, maire de cette ville et critique d'art.
Cette exposition, qui comprend des éditions rares de livres anciens, des tableaux, des estampes et des documents d'archives concernant Agrippa d'Aubigné et Mme de Maintenon, forme un ensemble unique de l'intérêt le plus vif.
Un prix littéraire au meilleur ouvrage
sur les sites de France
Le Syndicat de la défense du tourisme, récemment organisé à Chantilly, a décidé de créer un prix littéraire dont le montant ne pourra pas être inférieur à 3,000 francs. Ce prix sera décerné pour la première fois en 1930 et donné à « un écrivain français ou étranger qui, dans son œuvre, aura décrit et célébré avec le plus de maîtrise les paysages, les sites, les vieilles et jolies villes de France. » Prix de littérature militaire Lé conseil d'administration de l'Union natio. nalo des officiers de réserve vient de voter l'attribution d'un prix de 3,000 francs au «meilleur ouvrage de nature à provoquer la vocation militaire parmi les jeunes gens »,
Les Jeux floraux de France
La proclamation des lauréats du Tournoi de poésie des « Jeux Floraux de France a a eu lieu le 30 mai, à l'Odéon, à la soirée de gala donnée sous la présidence de Mme la comtesse de Noailles, do MM. Paul Fort, J. Raudin et André Dumas, président -de la Société des poètes français, qui pro.nonça l'allocution de clôture des Jeux. Le grand prix des Jeux Floraux de France pour 1930 a été décerné à Mlle Guilly d'Herbemont, qui reçoit aussi la médaille d'or de la société «Les Amis des Arbres» le second prix à M. Jules1 Edmond ~a!Eti~!1~~
de ce principe. Ses romans sont construits, composés. Je sais que, pour arriver à ses fins, M. Marcel Prévost se sert de plans très détaillés, très précis, très circonstanciés où rien n'est laissé au hasard. Cela fait, l'écrivain n'a plus qu'à écrire. M. Marcel Prévost y use d'une langue sobre, claire, sans pr,nements parasites, une langue strictement appropriée.
Cette impression d'un livre bien conté, bien construit, bien composé, le Voici ton maître de M. Marcel Prévost me la donne pleinement et mieux encore peut-être que certains de ses plus célèbres ouvrages antérieurs. Jamais M. Marcel Prévost ne m'a paru plus « en pleine forme », comme dirait l'aimable et très moderne Roland de Lesparren, en qui la tendre Andrée Simonis finit par trouver « son maître », que dans ce roman qui peint avec une rare intensité et une rare justesse un état de mœurs actuelles et certains modes de penser et de sentir d'aujourd'hui. A cette peinture, M. Marcel Prévost a apporté une verve et une précision remarquables et il n'y a pas mis la mauvaise humeur et le parti pris que manifestent ceux qu'il appelle des» « moralistes retraités » il y montre, au contraire, une singulière compréhension pour la manière nouvelle d'entendre la vie dont témoignent les personnages qu'il met en scène, pour leur façon d'envisager l'amour, l'honneur, la sensibilité, l'argent. Le roman de M. Marcel Prévost n'a rien d'un roman satirique, ni d'un réquisitoire de censeur. C'est le roman d'un observateur impartial, clairvoyant, soucieux d'exactitude, de mesure et de vérité et qui, de l'exposé d'un cas particulier, nous laisse le soin d'en tirer les conséquences et les réflexions qu'il comporte. Des personnages du roman de Marcel Prévost, il en est un spécialement représentatif en qui M. Prévost a incarné le type du j<nine
1. ,J.
homme moderne. Certes, les autres héros de Voiti ton maître sont bien modernes aussi, tous sont des produits d'après guerre, mais tous n'ont pas pris également leur parti du nouveau genre d'existence en cours. Une Andrée Simonis, par exemple, tient encore de certaines nuances de sensibilité et de sentiment antérieures. Elle ne se modernisera que peu à peu, et par l'amour.
Qu'il y ait eu, de tout temps, en elle un désir de liberté sentimentale, d'affranchissement familial, elle n'en a pas moins accepté des conditions de vie assez sévères et étroitement traditionnelles. Sous la direction de sa mère, elle s'est occupée de diriger la grande filature îilloise dont il fallait entreprendre le relèvement. Fille d'industriel, elle a obéi au devoir que cette qualité lui imposait. C'est pourquoi elle a épousé par raison Justin Simonis, capable d'assurer la prospérité de l'usine. Ce ne sera qu'après la mort de son mari qu'elle rompra avec le milieu provincial où elle a vécu jusque-là et qu'elle viendra s'installer à Paris. A Paris, elle retrouvera son amie de pension, la délicieuse Fanny de Lesparren, dite Fanoute, qui, après divorce et annulation, y mène la vie libre, élégante et facile, non pas ce que l'on appelait jadis la vie mondaine, mais celle que l'on pourrait appeler la vie plaisante. Tout en la vivant, Fanoute en reconnaît le vide et l'ennui bruyant. Fanoute valait mieux que ce qu'elle est devenue. Elle avait tous les dons charmants la beauté, la grâce, la fantaisie, l'esprit. Elle était faite pour mieux que pour être une belle de boîtes de nuit, mais cette vie factice, c'est celle que mènent son amant Max de Vence, ses amis et ses amies, la vie de « sa génération », et elle s'y laisse aller avec une sorte d'indifférence passionnée de fatalisme désespéré, et c'est un autre fatalisme qui attirera Andrée Simonis. N'est-ce pas dans ces boîtes où grincent et tonnent les jazz, dans ces parties d'autos, dans ces soirées de veulerie qu'elle aura chance de rencontrer
Pourquoi les Petits Poètnes en prose de Baudelaire ne furent pas publiés du vivant de leur auteur M. Armand Lodz continue, dans l'Intermédiaire des chercheurs et des curieux, à nous révéler certains détails peu connus de la vie littéraire de Baudelaire.
L'auteur des Fleurs dit mal proposa, en 1861, à Arsène Houssaye, d'accueillir dans son journal la Presse, plusieurs séries de poèmes en prose auxquels il projetait de donner le titre du Promeneur solitaire ou du Rôdeur parisien.
Une réponse favorable n'arrivant pas, Hetzel intervint, et une première série de neuf poèmes était insérée dans la Presse du 26 août 1861, suivie de deux autres séries, les 27 août et 24 septembre de la même année.
C'est alors qu'un fâcheux accident mit brusquement fin à cette publication. On s'aperçut que six poèmes parus dans la Presse avaient déjà été publiés en 1857 dans lé Présent, et en 1861 dans la Revue fantaisiste. Le fait fut signalé à Arsène Houssaye, qui chargea immédiatement M. Rouy, administrateur de la Presse, d'avertir Baudelaire qu'il cessait d'être attaché à ce journal et qu'à l'avenir aucun des poèmes en prose' ne serait accepté.
Le poète tenta de se justifier dans une lettre du 8 octobre. Il faisait remarquer que la Revue fantaisiste était ignorée du grand publie, elle tirait à 500 exemplaires et le nombre des numéros vendus ne dépassait pas 100 exemplaires, il ajoutait que les morceaux déjà publiés avaient été remaniés, on pourrait même dire transformés. Il reconnaissait toutefois' qu'il avait eu tort de procéder ainsi sans consulter au préalable Arsène Houssaye. il lui proposait donc de lui soumettre le manuscrit tout entier et il concluait en ces termes
« Selon votre décision finale, quand vous aurez tout, je vous laisserai l'ouvrage ou je le porterai immédiatement au libraire. »
Houssaye fut inflexible, Baudelaire ne collabora plus à la Presse, l'éditeur Hetzel renonça à publier les Petits Poèmes en prose, qui parurent seulement en 1869, après la mort du poète, dans le tonie IV des ÇEavres. çpmglète§t
le frère de Fanoute, ce beau Roland de Les- parren qui ne fait guère attention à elle, qui la traite en camarade, qui passe distrait, préoccupé, séduisant, brutal, cynique et irrésistible, parce qu'il sera la figure du destin d'Andrée, comme Max de Vence sera le masque fourbe et tragique de celui de Fanoute ?
Ce personnage de Roland de Lesparren est, le plus curieusement étudié du roman de M. Marcel Prévost. ïl en est aussi le plus vrai et le plus vivant. Elle vit aussi, certes, sa charmante et folle Fanoute, qui, à travers sa fausse légèreté, les rôles qu'elle se joue visà-vis d'elle-même, sait bien où la mène son amour pour un Max de Vence, sait bien qu'elle va vers la ruine physique de son corps et le désastre moral de son cœur. Elle vit aussi cette Andrée Simonis, clairvoyante, raisonneuse, foncièrement honnête, de qui la sensibilité, la sentimentalité et la sensualité s'éveillent sous Je coup d'une présence dont elle analyse peu à peu le pouvoir auquel elle ne s'abandonne qu'avec la pleine conscience de sa faiblesse. De toutes deux M. Marcel Prévost a fait des types significatifs qui illustrent le tableau de mœurs nouvelles auxquelles l'une et l'autre participent, mais qui ont, en Roland de Lesparren, leur exemple le plus caractéristique. Certes, ainsi que le remarque M. Marcel Prévost, tous les jeunes gens modernes ne sont pas des Roland de Lesparren mais, lui, offre les caractères spécifiques de son époque. Il en est le « modèle courant » et, cela, nous le reconnaissons volontiers en le voyant agir, en l'écoutant parler, car, comme la jeunesse de son temps, il a son langage particulier, de même qu'il a sa morale, sa sensibilité propres. En paroles, il est volontiers elliptique en actes, il est direct. Il a peu d'idées, mais il est fermement convaincu que l'argent est le
principal support de l'existence. L'amour, le plaisir y ont leur place néanmoins, mais il faut que cela « s'arrange ». Roland de Lesparren n'est ni dissimulé, ni hypocrite, mais il est secret. A l'occasion, il est tendre, ce qui ne l'empêche pas d'être brutal et cynique. Il n'est pas incapable d'affection, mais il est utilitaire, sans bassesse d'ailleurs et avec une sorte de désinvolture élégante. Nous nous en apercevons dans l'étonnante scène où il propose à Andrée Simonis de l'épouser, de l'épouser parce qu'il l'aime et aussi parce que la fortune de la jeune femme lui sera une bonne couverture dans ses affaires, car Roland de Lesparren fait des affaires, à la suite de l'une desquelles il s'est trouvé dans une situation difficile où il n'a pas hésité à demander l'aide pécuniaire de sa maîtresse Andrée Simonis. Et qu'elle y ait consenti, n'est-ce pas bien naturel ? Jadis, en un cas semblable, un vieux préjugé eût fait obstacle. Aujourd'hui, pour un Roland de Lesparren, il n'en est plus de même. Ces scrupules d'autrefois sont u remplacés maintenant par une sorte de naïveté. Les temps sont changés. Roland de Lesparren est terriblement du sien et Andrée Simonis s'y adapte, et d'autant mieux qu'elle aime passionnément ce grand et beau garçon. Elle l'aime sensuellement et aussi maternellement, car il y a encore du « pauvre gamin » en ce jeune homme qui traite la vie avec sans gêne, selon une morale personnelle, qui n'est peut-être pas celle des moralistes retraités, mais qui, après tout, en vaut bien une autre, puisqu'elle a ses règles propres et ses points d'honneur à elle. ;p
C'est cette constatation qui ressort du beau roman de M. Marcel Prévost où la profondeur et la justesse de l'observation ne s'alourdissent jamais de didactisme, roman de romancier qui sait son métier, et qui le pratique en maître, avec une maîtrise sans prétention et sans défaillance.
Henri de Régnier,
de l'Académie française.
Une collection ibéro-américaine
Réunie en février 1927, une assemblée d'intellectuels sud-américains décidait de proposer à l'Institut international la création d'une collection des œuvres les plus marquantes de leurs pays, en traduction dans les langues de grande diffusion. Les délégués des Etats de l'Amérique latine auprès de l'Institut, saisis de ce vœu, nommèrent un comité qui assumait la tâche, en collaboration avec la section des relations littéraires de l'Institut international, de choisir les ouvrages, de désigner les interprètes et de faire publier ces traductions. Composé à la fois de représentants des littératures ibéro-américaines et d'universitaires européens, spécialistes de ces mêmes littératures, le comité a établi la liste des ouvrages, études et préfaces qui formeront la collection.
La série des ouvrages s'ouvrira par une Anthologie des historiens chiliens qu'on pourrait plus exactement appeler une histoire des événements et de la culture du Chili racontée par les témoins de ces faits et de cette société. M. Carlos Pereyra, bien connu dans le monde des historiens par son importante Histoire du Chili, a été chargé du choix des auteurs il s'est attaché à réunir dans ce volume des fragments de journal de route, des récits de conquête, des tableaux de mœurs. Et ces pages, dont chacune constitue une véritable source histo? rique, sont classées de manière à offrir le tableau le plus vivant, le plus pittoresque et le plus fidèle aussi, des 'origines et de l'évolution de ce pays. Présidence
M. Léon Bérard, sénateur, vient d'être élu président de l'Académie de Béarn, au cours de l'assemblée générale que cette Société a tenue au château de Pau. Ont été, en même temps, nommés membres de l'Académie M. l'abbé Annat, directeur de la Revue historique et archéologique du Béarn, et M. Le Bondidier, conservateur du Musée pyrénéen, au château-fort de Lourdes.
♦ ♦ ♦
.J* Une société Dosto'ïevsky vient d'être fondée à Prague. Elle se propose de faire paraître en janvier 1931 un Tombeau de Dostoïevsky, de créer une bibliothèque, de former des collections de documents bibliographiques et d'éditer un annuaire DoS-
toïevsky, j^B Aignazils.
J.,es Alguazils.
A TRAVERS LA MUSIQUE La « Soirée de danse » d'Emmy Magliani le triomphe de la cnorégraphie classique. La musique à la Sorbonne. Une conférence de M. Mateusz Glinski sur la musique polonaise» La danse est de plus en plus l'objet de manifestations incessantes, et le public de nos salles de concert prend un plaisir, sans mélange, en contemplant les diverses tentatives de l'art chorégraphique. Mais quelques-uns de ces spectacles furent poussés si loin dans les recherches et des formules si agressives s'implantèrent avec une telle désinvolture que les réalisations s'écartèrent totalement de leur véritable but, et la danse n'était plus la danse. Aussi on. a été ravi de retrouver les harmonieuses lignes, la grâce exquise des figurines de « ballet de cour » dans la belle « Soirée de danses » que Mlle Emmy Magliani nous a offerte à la salle Gaveau.
La « soirée fut, en effet, un enchantement, et on ne savait qu'admirer le plus, la perfection des attitudes de cette ballerine, la technique approfondie où rien n'est laissé à l'abandon, la sveltesse des mouvements, flexibles, aériens, où la mimique espiègle est parfaitement en accord avec les forces suggestives de la musique. Transfuge de l'OpéraComique, Mlle Emmy Magliani a porté au loin, dans les grands centres de l'Europe, la poésie de son art, la vision étincelante de ses harmonieuses lignes si profondément expressives, et ses succès furent très grands.
Que ce soit dans la musique romantique de Weber, Schumann, Chopin, ou encore dans la noble Sonate « Claire de lune » de Beethoven, Mlle Magliani évoque le mystère du rêve et nous transporte par sa grâce frissonnante vers un art pur, vers la danse aux courbes classiques, à l'esprit exquis où se complaisait tant l'imagination d'un Degas. L'atmosphère de ce spectacle fut complétée encore par la présence d'autres éminents artistes d'abord celle de M. Térence Kennedy, remarquable partenaire de Mlle Magliani, qui lui aussi remporta un très vif succès par ses trouvailles ingénieuses dans ses répliques et attitudes pleines de détails charmants.
Une autre -grande artiste, Mie Lily Laskine, a été fêtée comme il sied, car c'est la virtuose incomparable de la harpe, qui allie la musicalité la plus parfaite avec l'expression poussée à son suprême degré. Mme Denyse Dixmier, au piano, montra à la fois un mécanisme très solide et une sensibilité très belle. Elle a joué les œuvres de Debussy, Rameau et Schumann avec une sonorité fine et dans le meilleur esprit musical.
(*?̃
La musique a tenu cette année une place honorable sur les bancs de la Sorbonne. Nous nous souvenons de l'effort des plus louables entrepris par le Cercle musical universitaire en faveur de la diffusion des œuvres classiques et modernes devant la jeunesse studieuse. Chaque séance, précédée d'une présentation verbale, fut des plus instructives. Cette fois, c'est la Société des études slaves qui vient d'organiser, à l'amphithéâtre Descartes, une conférence sur la musique polonaise contemporaine, et M. Mateusz Glinski, critique musical et directeur de la revue Muzyka, de Varsovie, a été chargé de nous instruire sur les nouvelles destinées de l'art musical de son pays. Il commença par nous faire l'historique des premiers maîtres de l'école polonaise en nous citant les influences de Zieleaski et Penkicel pour arriver au génie pur de la race que fut Chopin, dont les œuvres défient le temps. Après une analyse synthétique de l'évolution de la jeune école polonaise, M. Glinski nous en apporte une affirmation concrète en nous démontrant qu'une grande poussée s'est faite dans la production actuelle des compositeurs, et qu'avec l'indépendance de la patrie un chemin nouveau est tracé parmi la- jeune génération un art national musical vient de ressusciter.
La conférence de M. Glinski a été des plus intéressantes et les applaudissements s'adressèrent non seulement à l'exégète de l'art polonais, mais aussi à celui qui fut le premier apôtre de l'art debussyste en son pays, à l'ami de longue date de la musique française.
Stan Golestan.
NOUVELLES ARTISTIQUES Exposition internationale de moulages
Samedi dernier a été inaugurée, au musée du Cinquantenaire, à Bruxelles, la seconde exposition internationale de moulages d'oeuvres d'art, organisée par l'Office international des musées (Institut international de coopération intellectuelle). Cette exposition, dont la commission de coopération intellectuelle de la Société des nations a pris l'initiative; comprend 400 pièces de dimensions diverses, provenant des musées et ateliers officiels d'Athènes, Berlin, Bruxelles, Florence, Londres et Paris. Les moulages exposés reproduisent des œuvres d'Assyrie, d'Egypte, de l'antiquité classique, du moyen âge, de la Renaissance et des temps modernes, jusqu'au début du dix-neuvième siècle.
On sait que cette exposition a déjà été présentée l'été dernier à Cologne, où elle a remporté un très grand succès. Il est intéressant de rappeler que le, but poursuivi par l'Institut international de coopération intellectuelle, au moment où il organisait cette exposition, était de donner le schéma d'un petit musée de sculpture par le moulage. Les pièces réunies constituent, en quelque sorte, un échantillonnage qui pourrait servir à cette collection. Elle montre ce qui poutrait être réalisé par les centres d'enseignement dans les villes qui ne seraient pas en état de constituer des collections originales. Il leur serait possible, d'après ces données, de réunir les moulages nécessaires & l'éducation et à la formation du goût public.
A l'exposition de Bruxelles sera présenté, pour la première fois, le moulage en bronze d'une statue de Zeus, chef-d'œuvre du musée d'Athènes, qui a été découverte, il y a deux ans à peine, au fond de la mer, devant les côtes d'Eubée.
Les récompenses du Salon
Parmi les lauréats du Salon de 1930, M. Pierre Sevaistrc mérite une mention toute spéciale. Gravement blessé pendant la guerre, il a perdu l'usage de la main droite, et son tableau, Suggestion, exposé actuellement aux Artistes français, qui vient de lui valoir la médaille d'or, a été exécuté de la main gauche. C'est un bel exemple de courage, de patience, que cette rééducation à ce point parfaite qu'en 1920 une médaille d'argent venait récompenser l'artiste pour son remarquable portrait de M. Outrey, alors que celui de M. Alfred Andrieux lui valait, huit ans plus tard, le prix Conté. Il est vrai que l'ancien élève de Luc OlivierMerson a montré, dès le début de sa carrière, son ardeur et ses dons en emportant, à vingt ans, lu première médaille de l'Ecole des beaux-arts. Exposition de peinture espagnole
Dans les salons de l'ancien hôtel du général Lafayette, au 8 de la rue d'Anjou, la maison Léger inaugurera après-demain jeudi, 5 juin, une exposi-< tion de peintures espagnoles du dix-neuvième siècle, où l'on pourra admirer, notamment, de très belles scènes de tauromachie,
COURRIER DE LA BOURSE
• 2 juin. 1 Comme pendant la séance précédente, le marché est plus résistant, bien que l'irrégularité ait prévalu aujourd'hui. Les rentes françaises,, les banques, les chemins de fer, le Suez, ont été fermes, mais le reste a subi un certain flottement. 11 a été vendu des titres au comptant pour régler les différences de cette liquidation, (fui est encore sévère pour les acheteurs à crédit.
Cette opération s'est effectuée aujourd'hui. Elle a révélé que le découvert a augmenté ses positions. Pourquoi, d'ailleurs, se gênerait-il V Personne ne semble disposé à le contrarier. Le taux des reports a été fixé péniblement à 0 fr. 75 0/0 an Parquet, au lieu de 2 1/8 0/0 le 15 mai. Ce prix infime indique que la position vendeur balance, à peu de chose près, la position acheteur, car, 'bien que les capitaux soient surabondants, cette maigre rémunération n'est pas susceptible de les attirer beaucoup.
L'argent a valu 0/0 en coulisse riontrë 5 1/2 0/0 'précédemment, ajlors qu'il est impossible au public di'empJoyer ses capitaux même à 2 0/0 sur ce marché. Quant aux cours moyens des reports, les habitués de la Bourse savent qu'ils sont fioles par un petit comité,, dans un
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65" d;7;~io~n¡oi~~i:i~ 1985 1950 6 1920. 104 97 10 9, Santa.Fé 5% 19)0.670. 30 des Pays du Nord. 722 40.. Blanzy. 4)4.400.. )20..Bruay. 66).. 652.. Fund.ng. 82 ¡{,Z 82 .~2
S LTu^rp'^n;: i% !0^ ::28 S?7 !| ol^il9'.0: '8? -m S %?: ™ S «gïïï; ? | I2° e^ i i ï 2
80 Conipagnie Algérienne ,)25 2)30 6% 1927 Amortissable.06,06)5s~~3,/2%)89S. 85 ..Carvin.2)83 ..2)93.Cairo-Héi.op.'is.776.744 ..Egypteun.f.ee. 75 '/2 75 ïi
80 ComPa3nie Aérienne 2,25 2H0 | .«7 $ 7> j» g 3 1/2% 189S J « ^r^ || •• | Cajr^opoU, ̃ ̃_ ^p^ | j 2 § jg
55.. Comptoir Uyon-Alemand. 070 03, 1928. 10170 Turquie consolidées 1890. 260.. 260.. 37 Créd. Fonc. d'Algérie-Tunisie. 920' 918.. 21 Graissessao ,n£",rU2" 12 b. Caoutchoucs CS" financière de) Vh 170 50 Itahen -18 12 18 12
80 icorriptoir National d'Escompte 1927 1934 Obligations 6 ?Io 1927 521 50 519 Turquie cons olidées 1890 260.. 260.. 37.. Créd. Fonc. d'Algérie.Tunisie, 920'911:1.. 21.. G,aissessac. 425 412.. 12 b, Caoutchoucs (Suf ,nanc,è,ede) 175 526 50 Italien 75 18 3{4 75 18 3/4 112
80 ..Compter Nat.oosl d'Escompte 1927 IW4 ligations 6 1927 52150 5 9.. J Douanes 19O2 '94.. 166.. Crédit Foncier Argentin 38 40 Grand'Combes 1080 ..1060.. Caoutchoucs V 545 526 Japo n 1899 75347534 14hg ,475 Bons du Trésor 5% 1924. 710 710 0 Tribut d'Egypte. 50.. du Brésil I20J..12I1. Ligny-les-Aires ̃•• • 515 | ,h 6 Chartered 226 50 2 24 50 P ortu9a,s « 47 4 50- CredK Comn. rc.l de France. 1*9 ..1475 7 ,926 572 555 priorité Tombac 55.. Colonial 780.. 779.. 30 • Loire (Mines de la) ,K? ••,?!?•• .Colombia \f ̃ ..RUss e 19 06 212 212 '??Jn F°nc<»r de France 428 450- 7%(927. 567 30 5/0 Tabaç5 du portuoa, 465.. 465.. 7 50 Banques de Province. 125 fr- 300.. 230.. 37 50 Maries Il» 165 50 |ei.. Concordia V ̃̃ •» 1909 2 2.1. 1750 Foncer de l'Indo-Chme 428 ..430 Ob(i ch-ferÉtat 4% ,g,2.,4. 432 55 Soc. G1' Alsacienne de Banque. 1400 1405 65 Ostricourt 2?33--205-- .Corococo 51 50 50 75 Turc 4 Vo 12. 12. 1°0 Lyonnais. «30 829 5% 1919. +*6 470 rtmlr.ATlrtM= 55 Société Marseillaise d» Crédit. 1 133 1 130 220 Algérie-Tunisie (Omnium).«75.. 3630 Crédit Gén. des Pétroles 5 »'' 470 Chartered 36/3.. 36/3.. 7
40.. Mobiher Franca, 830.. 829 ob|.g d .eenna|es ,922.32. ••102 b 15 OBLIGATIONS 60 Foncière Nord de France, t.p. 985. 30 38 Boléo. parts J?2"i$" 6 ,h.6 Crown Mines 418 420 ;• 9/6i. 9f6;.
140 Sac. Financ. ̃ 1195 1155 Caisse autonome 4 V: I°9?'I9?4" _v 394 392 45 Immobilière des Voitures 730.. 703.. |87 Bor (Mines de) ord. «/5 46UU ]5 ,h_ De Beers ordinaire ï?f -1 «| Goldfields 35/ 35/ 140 Soc. Finano. franc, et colon. W ̃• "» ̃• Afrigue Occident. F ranç. 3 «I 432.. 18 7 13%. 394.. 392.. 290 Mokta-el-Hadid, actîdeSOO fr. 9300. 9793. -20 .h.. préférence "551 ..1551 60/ 60/ 42 50 Société Général ?£) {70 Indo-Chine 3 1909 J26 421.. 1875 4% 497.. 497.. 65 Lille-Bonnières, ord ™ •• •• .EastRand 59 73 60 25 D g .5/8 .-8 ;5/6. 42 ..Rente Foncière.. «5 526 3 1/2 1913 450 430 1376 4%493.. 497.. ACTIONS INDUSTRIELLES 50 Pétroles (Cie Industrielle). 970 £70 Jagersfontein" 1 .7/8. I .7/8. 8 ..Société Générale Foncr. 525 526 19O3-190S. -85 50 B6 40 1892 2 1/2.303.. 302.. "F. 100 Dynamite (Société Central.) 2o60 2o70 8.. Equateur. m^ioîa' Ri° Tipto!! ? 39.3/4. 39 3/4.' J |8,oo 16350 Maroc4%1914 503 492 1894-962 1/2 301 300 35 Chemin Est-Algérien. 601 537 70 Electro-Chimie Métal 2005 2000 I6 Extension • '065 ..1018 o^ Eagle.. W7 'A WVi, 644 57 Suez -̃̃••̃••• 7000 5 1918 520.. ail- M 1|?| 374.. 375.. |55O Nord-Sud de Paris. 502.. 30J.. 45 Ensrais- Novo ,j?Vu«n" 40 Extrême-Orient 620.. 647 al 9 33.3/8. 33.3/16 .7 2 19 Suez (part de fondateur) i^ 2^75'" Tunis 5 1892 >7* K 189?5%^et. 360 26 Ouest jouis 457.. 445.. |00 Kali Sainte-Thérèse ̃ 4630.. 4250. Franco-Polonaise Pétro 147.. 140.. V CA 4 27/32 4 1 1/16
IÏ64 14 Sue^ (civile) 243U0.3/3.. < 1904 2 1/2 Met 373 25.. Ouest-Algérien 530 526 ,3 Matières Color. St-Denls JJU 1202. d Franco-Wyoming. ord 504 510 Caucasfe^ 0/3. 0/3,. 7.
5250Est "15 .17 -Crédit National S 1919 g0 6£ • "• 19052314. 404.. 404 50 40.. Tunisien! 911.. 919.. 50 Rhône-Poulenc 21 85 2 90 6 ,h.3 Geduld «2 S w RUs5ian O ™ W 1/
80 .LyoA;» ..Y. \VÀ- obli9.500'5%1920.. «O- X\:u 19JO 2 3/4 Met x Parisienne ;nd. È^ricu, Mi.. X».. \9} ?I Le Rip0lin. jouis «70 "«m" G^Trust 164 50 50 162 50 v^of," :2II/l6 2 7/â.
^50MÏdT 1225 ..1222.. Bons6%l921 530 30 53l Q 1910 3% 317.. 318.. 100 Tram, de Shanghai KS-'iin?" 135 ̃ Saint-Gobain, Chauny «m Sin 3 sh.. Goldfields, consol.dated 226 224.
hZ5OMid. 5ons6%1921. 52'b 529 uj 1910 6'2" 1.. 318.. lOO..T,am.deShanghaï,1870.. 8, 135 38 Soie Artifici ]le (Givet) 3.h..Goldf.elds,consoladated. Anaconda 12 li2 12 1/2.
ifj^rd ̃liïs-niïv. ilMil"– m?:: «?!?a ilïilit: 502 %l ^2220. z»» 301^^101.1..»^: ^g- ..h 6 Gu.K.lumP.n9 16S w .« m\Wlk
n 500rléa"" 1378.. 'Yo 1922. 560 j 19195 °"12'' 502.. 502.. Eaux (Comp. Générale des). 1725 1740 94 88 Soie art..d'l,:ieux (pa,tJ. ¿8_5 2400 Holding Franç 170 166 Marconi C?mmon. 180 41
7250OrleanS !£«?–; 555.. 560 J Oblig. décen. 1922 6 514.. 514.. 80 Eaux (Comp. Généra.e des). 1J25 1740 'fi £ Soie .rt; d.[zi^ > 2435 2400 Holding Française 170 166 Marconi. 45 1/2.41^2.:
'g::SSS3S!;SS;'rr?^ i O^l^2i9- Sa:: %> z = ISU:: W> S2:: 2S:é^inSnle-39éô:: ^&d&|£:: ^S^à: .1/4, 3/16~
65 35M Eaux et Éclairage arls"1 3225 3050 oblig. 6% 1924. 924-1/2% ,0" '20.. 516.. 200.. Eaux élect, Indo.Chine. 4030.. 3980.. 75.. Salins du Midi .14:5.. 1490. Huanchaca. 150.. 197" Kuala 35/3. 35~
îî i lîsir ^^nn!r^tf^l::Dépar,de1-Aisne7o/o,926. 55. g, îl| f. ïp" 524 v. 523 135 Air comprimé «g sa» ri gff^ ^?:: ^i S^ÏT f.opAT^iM:L- g»:: gi-^T"1*"11– –̃ lîiJS"2.
65 Electricité de la d'Electricité.¡3340 33~ Dèpa,t, de l'Aisne 7IJ/O 19 26, 625 630 1925 7 l" 524 52~ 135.. Ai, comprimé. 4960 315 445 35 Havraise Péninsulaire pa,ts. 1010 9)0.. 20.. Huiles de Pét'?le. 229 802 gg3 Es:ompte hors ba, nqu,e '12 123 1 3 935 4.. 123 'ti2. 92'.
35.. Elect,icité et Gaz du Nord. 1136.. 1131., 60/01928,1035.1 16c879 °1., 495 30 50Cabies Teleg,aph,ques. 450.. 445.. 55 Transpo a orts maritimes. 990.. 99- 4 .h.. Jagersfontean. 229. S/Pa"s,(change).112~ 935 9(j 1237'
85 :éoïête'<C<- Générale dO. 3480 ..3460 de la Marne 6 1/2 0/0 5 5 5 6.. Com. 1879 2 6O 495.. 493.. 40..Edison «1.. 391.. 35 Transports maritimes 680.. 679.. 3 ,h ̃ Johannesburg 243 244 50 S/New-York. 48 3 90 43W,
I? àferB;: EEiecr1^ IS !S = %££$%>$$ | J SE -'SS I| le ,S I!îit SS: 1 | 300 Bènédict, 9000. ïsi^.T1" | te» 1 1 ||
37 50 ¡;¡"ergie Electr. Nord 1125 1 1125.. d:=-~6/0)923 523 UJ, Com. 1880 3~ 500 500 100.. E:t Strasbourg 2550 2600 300 ..1 Bénédiotine 9000. Li~ Valparaiso 39 93 39?~
90.. Nord.Lumière, 3440 3450.. lu Nord 6% 1921. 54Z '5" oi Fonc, 1883 3/0..Ó. 355.. 353.. 21796 -de Varsovie orcl 36~0 36CJO.. 455 Brasserie Quilmès 7400.. 7400 Lohdon Tin ord 140. 137 Buenos-Aires 42 75 A2,J.
I-SS^3" du ^^S: ig" $.•̃ !llll|o% ïï»v. ^*ror<z,v.™j. 1g gïïSBï:. §ïïl'S! 2S tSSS î!s 'S; $» g SM, <$
-30 •• Thomson-Houston %C 978 70/01927-- 520.. 5l3..< Corn. 1891 3 329.. 326 294 58 Fore" Motric" du Rhône(parts). 1*100.. 18400.. 200 Distillerie de l'Indo-Chine. 3100 3030 28 Lorra;na 341 ..337 Cuivre (comptant) ..34.1/16 5313,16
570.. 571 70/01927.. 50.. 515 a: Com, 18913 310/o 329.. 326.. 294 58Fo,c"Mot,ic"duRhône(pa,ts),ltlIOO.. 18490.- 200.. Distillerie de l'Indo.Chine. 31OQ.. 3080.. 26.. Lorra:na. 34! ,337 cuivre (comptan!> ,4,1/165313,16
2S..(-rminy 2475"247u" Somme S 1/2 0/0 1923 522.. 323 J ,892 2 60% 380.. 380.. 22 00 Forces Mot. Vallée d'Aspe- ̃•• 495.. 501.. 50 Grand Hôtel 803.. 815.. Main Reef Consolideted 9375 93.. 13S..D**eS 14Q6 "1495 =- ce Fonc. 1895 2 8O 398.. 393.. 333^ P(art) 4700 |6 25 Grands Moul. de Corbeil ord.. ,253 25C ,£ _6 Malacca. ord 217 212 NEW-YORK 2 Juin 40' For. «.Aciéries du Nord ei Est \f° • • }*» ̃• vi|, d.Albert 6% 510 515.. -S Corn. 1899260% 370.. 374.. 30 de la Vienne ̃•̃̃ I062 •̃ 1°^' •• 100 Nossi-Bé 1640..1600.. Malopolska 292.. 283..
114 Trâfileries et Lam. du Havre- ̃?>*> ̃̃ vul e d eR oi m3 6 517.. 525 ..p. Fonc. 19O3 3 402.. 402.. 3854 (rt) 3025 3173 45 Sucreries Brésiliennes 548. Maltzoff ̃• •- •• •• Cad Money e. m 3 3
50 Courrières ?W 1|?5 Vile de Verdun 6 ï-i 52/" 5U"U Corn. 19063% 395.. 394.. 9 76 Sucreries Coloniales 205 198.. Mexican-Eagle Oil ord 157 50 b6 Câbles transfers 48 373148 575 21 .Len«. 37? •• 36| ••^urtennes des Mines.: 518.. 520.. o Fonc. 19O9 3 '0 202.. 202.. 125 Indo-Chinoise d'Electricité "80 2790 250 Ciments Français ^-7»" IJMines et Minerais. 9575 94 50 Change sur Paris vue ^1/8392 ,1. 40.. Vioown.«tNc.Ux. Atelier Construct. Jeumont.. 520.. 521.. z Corn. 1912 3 207 205.. 32 50 Marocaine Distribution '^••12n" 45.. du Boulonnais 905.. 910.. 5n Moteurs Gnome 923.. 910 u. S. Liberty. 3 l/2 10013,3 00 3 2 17 82 Boléo (ancienne) 2^ •• f* • • Ci. d'En.rgi. ÊLetrigu. Va" ^"° F°na- Wï 3, l£% jil jl? 23 75 Nantaise d'éclairape ord !?S"^R" 40.. de l'indo-Chin. 87/ '66 Atchison Topeka 223 3/4 23 14 4 Km» "l « I 303.. 303 Éolises dévastées 514.. 508. 1913 4% 462 462 23 75 priorité 630.. 650.. Financière des Ciments.i.. 190.. 180.. Mozambique. 6650 9? ;̃ Baltimore et Ohio .131/21113/4 « § £««» 946-- »'l?o"râ««;6% v,t- 5«--t EmPr..917 5 1/2 305.. m %Pirr*n..nn.d'En.rfli.E'«ï-2475..243s.. -70 po,lirt*Ch.u.«n 2950 ..2905.. ;M.z.Tt.. 305 c.n.di.n P.ome 2» .zœ V. SU penarroya 6 nouvelles 3'5-. 524.. Q Corn. 1920 S 1/2 516.. 516.. )5 Radio-Electrique. '95. '86.. 10 Navigation de l'Afrique du Nord 290.. 285 Chesapeake & Ohio 212. 212 2 2
Platine \i9$ \4i 6..n.uv.s «a ï Empr. 1921 6 1/2 521.. 521.. 35 Radio-France^ ^i:. 549.. 524.. 36 Bon Marché. 540 550 £ fo Padana (Caoutchouc.) 707 692 chicago Milwaukae c 1878 9.,
Platane 152. 145.. Emp', 1921 6o~/2. 521 ~21 35.. Radio.France 549.. '_4.. 36.. Son Me,ché" 5:!<J.. 550 26 10,Padang (Caoutchoucs) 707 69~ Chicago Milwaukee 18 I~ 19 19,.1.
Dabrowa (Pétroles) iïj 720 Cail Fives-Lill. 6 » 5l3.. 526 ..g Corn. 1922 6 t. p 516.. 516.. 24 Radio-Maritime •• 303.. 250 Chapal.- ?530 45t)O 12 jPans-Foncier .• 212 50 223 Chicago Rock Island "3 •̃l'£:; 25 Boxel-Malétra "••̃̃ '3" '• Nord Pas-de-Calais 1922 520.. 520 ..«I 19236%. 515.. 510.. 16 22 Sud Lumière prier 510.. 509.. 60 Coty (Société anonyme) 1Ç25 ^1000 45 ..Phosphates de Constantine 834.. 69/ En. Railroad i* ,j- inm innn Industrie Sucrière Française.. 515.. 514.. Empr. 1926 7. 726 726.. (9923 ord 3130.. 1 1 Galeries Lafayette Io7 30jl6i.. 20 Phosphates Tunisiens 37o 3W |||,n0ls Central .128 1/2 128 1,4
«..Kk.hlm.n 'ws-'er nduîîri.1. ï5:ï.™n.79M. *Jf '• Com..927 7 579.. 500- 50 Télégraphie sans Fil 864 865 9333 33 I (part).71500. 67000. \] P.aka.niUa. 171.. Wl ̃ Louisville-NashviUe l™ l'ïfâ
35..Gafsa I3<,S ••3Î35 "Maison BréBU.t 6% $ •̃ 516 C.m. ,0 580 27 Téléphones ,??? ,??< 100 Grande Maison de Blanc 'il0-?-" ̃̃ Randfontem «•̃ f 50 New-York Central 1/4 '2 174.
80 Produits chim.d'Alais. Frcoes 3-53 ..3-33 B^ 6% ]g22 5H__ 520 A,sac:(>.LorrBine 6%(Ch.def.) 496 50 495.. 27 50 Union d'Electricité '3" U8i 50 Nouvelles Galeries 8to.. 805.. 5 sh Rand Mines 376 373 ..Pennsylvanie j 78 1,4 78.
80.. Proodu,tschlm, d Ala's, Aon f,7i Saint Gobain Chauny 521.. 320.. 5% 939.. 939. 27 50Uruon d'Electrlc.te. 1311.. 43 58 Printemps ord 711 720 5 Roumano-Belge de Pétrole 37 25 37 50 Reading i 16 i 16 45 Chargeurs «° 673..Sa nt-G oba"i^»u g% 368 368 100 Alsacienne .ndustrielle Textile. 8?5 •••••• 4250Rouff-j^-i^" .IRoumenc,Belge de Pet,ole. 44 43 Southe'R^'w.y J0o |,2|jO7
80 Transatlantique ord 37m "i?715 a » k »*; 4S7 4M 81 56 Dollfus-Mieg 10740.. 10655.. 85 Agences Havas 1430 .426.. Shansi 44.. 43 Sojthern Pacific 119 I 2|120 1:4
125 Voitures à Paris 2705 ̃••ni A|gérie 3 19O2 448 446 Est | /o «/ 4B8 m Indu6trias.taexti|es (Genera,,) 2060 85 Didot-Bottin 1723 1723 ..5 sh She,| 603 59a Union Pacific 227 1/2J226 35 Air uouide ^5 .990 Indochine i|99.,9os 389 ;.j 388 ^=^= 405 402 il 100- -«.tri. t. ^v. 66ÔÔ 6695 25 •; î^ 2^ 2 i: t^Y.: .SS !}8 .« :j:
35 Air Liquide (~75 '61:17 1902, 368 21/2% 30/o ancienne. 370 365 ,22> Chaix 6695 25 Steaua Française 286. Utah Copper. ,189 ,I,.18} ,1.
StigKÏÏST1..1^ «» §"ïïï;?ï,ra^à- %J^Z:.ZZ:. Si 37, w::S:nce0:M^S "T. '-o-»–- 2000-20M" 9VM^ -25 3§aî™r£s ZÏÏT. "à'^àlW
Cultures Tropicale». 65.. 63.. i ums.e o 1027..102/ 6% 490.. 490.. 80 Longwy I960 ..1953.. 90 Afrique Occidentale (C'*J. 3005 3000 ,g' qj Terres Rouges 301 289 British American Tobacco.. 26 3/4 26 7/» ,«, «n 5. 469 470 50 de Michevill 2270..2285.. 63 08 Air Liquide (oarts) 7990 8050 4 ,h Tharsis 553 551 u. S. Leatner 111/2 12. 35 Pathé-Cinéma (jouiss.) if° 5 UZ3U 1924CDawes) 1OOL J3125.. «3'25-r 4% 435.. 440.. |00 de Sambre-et-Meuse ^25 2375 50 Bergcugnan !^R 22rî 3- sh. Tin Sélection trust -•• General Electric 84. 83 5.;8 41 ..(Pathé-Cinéma (cap.) ï-î ?£ i Anoleterre 2 i/2 273 73 273 53 3 Fusion anc 380.. 380.. 25 Atel. & Chantiers de la Loire.. 590 598.. 80 Cirages Français 1490..1480.. | ,[, 3 Transvaal Consolidated Land 171 168 Bethlehem Steel 93 1/8 93 1/8
70 Peugeot .££ •• ,i2J •̃ A-oentin S% 19O7 2310 2195 3% Fusion nouv. 374 375 80 Const. Nord de la Franoe. H76 1156 Citroën (parts) 305 ..] 297 )2 Tubes et F. de Sosnowice 191 18/ U. S. Steel Common 173 5/ttj 173
100 Raffineries et Sucreries Say 830 6S0 Argentin s mQ^ 2 )/2 ;#> 35b 356 ,oo Bonneville 1685.. 1710.. 40 Colonies 'Générale des)- 1500 ..130 jTubize priv 493.. 464 Roya, Dutoh | 53 3/8| 53
100 Union Eurooéenne |l/ol i«i 6 q/0 1921. 489 489 50 Chantiers de 'Saint-Nazaire. 62S •• 612.. |00 Consortium du Nord 1623..1620.. 5 ,n fe Union Corporation 430.. 42« Shell j 45 5/81 45 1/2
100 .U,nlon EuroP.,enne .¡ 4490 60(01921. 489.. 48950. Chant,e" de Sa,nt.Naza"e.1-628 .6IL.. 100.. Conso,t,um du Nord l~l3 "11?2.~ 5 .h.6'Un'on Co,po,ation"1 4,0 ..1,426 She"1 4'5/8/' 4, 1;2
Russe Consolidé^ et 2' séries *> 90 « 80 tieg^que 90 0/ 15 Decauville .318.. 320 27 50 Continent Compteurs à Gaz.. 526..|a3l.. Vermir.k 119 120 T"' -e treHes- l./Uo.OOO, |
S%19O6 635| yi i 1/2 070 1923: 524.. 522 M,d, Bons décennaux 6 ,0. 507.. 508.. 50 Electro.Câl3,e (cJrdinair!!s) 615 845. Cultures tropicales 749 ..I, 2m'b. Vieille Mcontagne 2520 ..25?O.
Serbie 4% amortissable 189S 14J *j '« 25 Brécil 4 1889 255 | Ç ™ • ™ 37 50 Estampage de la Venoe 5«.. 515.. 90 Dragages et Trav. Pub .I«3 ,|I383 Villsmagne- 164.. 139 t, CHANGES
Turo Unifié »55; 3/ Z3 g~p 437 '434' 4179 (dixième part). ^41 1 635 30 Gaveau & C" .368 M d. vins & Spiritueux 23/226.. CHANGES
Turc Unifié amo,tlssable 1895' '-8 55! 57 25 E3,i,-il 4 1889. 5 %0. 470' 468 37 501'Estampage de la Vence. 515 515.. 90" Dragages et T,av. PuO. ..11405 '1138' 80 ci.. Vinemagne, 164 ..II 1,9 CHANGES
5% 1914 ,f. 50UÏ4 1909 (Pernambuco) l890-- -,4/0- 43/ «4 85 Fiïa8.LJH, l3Q3 .l368 75..BecAuer M 500 .U7p 1..1 Londres 123 94i 123 92
Banque Nationale du Mexique. «/ --i^lj» ̃• g «j ,896 628.. 620 Nord 6% série F 48S 492 75 Forg. & Acier. Huta-Bankowa. '02° ••' IOOu ̃• 45 Maroc (C!1 Générale du) 1.1415 ,I425 New-York > 25 50! 25 50 5 «h. Ottomane iïV, S 7 1(, 4 1/2 1907. 630.. 640.. 5 série E. 473..1 473.. 50 i Marineet Homéc. 1430 1423 Tabacs(C" Générais des) priv. M 1 'J 73 Allemagne 608 50 608 75 1-4.6 Crédit roncier Egyptien i?7.?? ••«,«" ~.OMU/ 4 série D 461, .1458.. 32 SO'jeumom 863 844 450 Tabacs du Maro: 17330 7345 COMPTANT Argentine i. 10 0/0 CanBdian-P.cific P Chine 4 Or 1695 484.. 492 3 ancienne 398 ..j 398 50 71761 (parts. 2500 2450 50 Union Comm" indo-Chinoise. i 499 500.. • Belgique <!OO belgas) 356 I 356 2Oh w ,L,t,ord 561 560 ,902..?.. 639 610 2 1/2 série C 382..1389.. 15 ..j Méditerranée (Forg. & Chant.). 840 .̃ 820 36 b.U.tùri.nn. d.. Min». 449 I 440 Brésil u. ,j | fflb. WasonsO-tts ord. 2180 ..12125 i 1903 198.. 195.. 6 1921 tran. A 492.. ..J"" iForgesa. Fonderies Montataire ç« 930 0.l9.4!L.ne San. Egypt 1300 .̃ ̃- j Bakou (Naohte de> i.Espàane i 310 50: 310 78 tt I M ♦ \"r-" 331 133250 4i/2% 1908 "i: .•̃-•• 1535 ̃̃ 3 0/0 1921.• 371 ..1371.. |25 ..JForï.. Levai Aûlnoye 2323 2330 375 .JCrédit foncier Franco-Canad.7470 ..J7400 60 .Jcessous CCharbon) • .[12S0.j!27C- Grèce j
1 o° t ̃♦ 492^ 4915 .,c obi 40/01901 600.- t01 cvlsit Ulh 85 ̃ F- Belges Mat. Ch. de fer- l?25 11720 28 p. SOiNord Espagne 1 11745..r JCrédit gén. des Pétroles, parts* 9175..j 9l7j.. Hollande M02J 75M026 75
8KM û'°;I™°"Ve"nneV It55 1650 |0X Unifiée.T. 373 75 373 Orléans Bçns décennaux 6 /.( 5|D 3l6 ?Q |Denam9.Anzin, 12925 ..2845 28 p. 50iSarasosse. |i630 62 pûiCzeladz |i76O ..(170) ,.al;a i ,33 50i 133 50
il if^r ïiï?, ê ̃" "32.. -Ml B^* p"v"BiV. I 32350 32350 6 g 49. 483. ,(“LorraineMin- & Métall. 35O 2900 2010 |Rouin3 (Algérie; | 317 ..| 318.. 60 jFranco-Ang aise P'" 655 6/U Norvè 682 25 5 b Onenta°Carpet 517 51? E spa8nea;«ri.Ur. SA -«S" ei' bi .Mat.ri.ld.Ch..d.f.rCCVr5. 1300 1301 .Sosnowice iiv? ̃̃#«"̃ •• ̃̃ï3^^ '•; ••U(W •̃ P^sne C1OO zloty) .2SS 50! 286 50
Ml\o"rTr 1608.. 597 Ha7ti S 191O 710.. 703.. 4 /c 11, 3=n Matériel de Transport •• Kreuger & Toll 42/3 :4265 125 Hutehinsor, .p! 10 308C pragu6 ̃ ;j ,0:
24 fl R» «f Sut'énVd'iVl.misJ 4130 "15 4125 .̃ Ttaie I /2% 9165 «1.50 3 ,0 anc 3 380.. (2Q rançP,iM) 2423 ..12400 40 8.. Royal Duteh J41200. 4i20O.. 17 5olomn,um-Pétr0|e0 171 ..M76 Rournan|a I 15-20! 50,. 15 15 j 21ej5 Portunuesa de TlbTcos "i: 362 355 J.pan*% 9OS .1 ̃̃̃»W..O-U..t3%.r.e 390.. 391 90 Creueot 2060 ..I2040 6 sh i.Suc. Raf. d'Egypte .(parts) .I- ^J •̃• ISteaua Romana 136 ..j 133 Suèd I 684 50i 7c 684
24 fi Royal Dutch (dixièmes). 4,130.. 412~ Itafie 31/2 Go 91 i~ 91 c. 0,0 a 380 120 métau (Cie Française) 24:> '040' « fI.. Royal DutCIi.q4)200. -:41300..1 17.sofOmnlum.Pétf"oleO .u.lilt ..1 176 Roumanie 115 684 -201 50i 1515
21.es35 Portu~uesa de T8b8CO~ 362 3 35;> Japon 4 1905 499 Ouest a sne. 390.. 391," 90 .'jCl"eusot.¡206q. '12900 6 ah 1 'S ~Sue. Raf. d"Egypte,(parts> "¡JI 0 ..¡Steaua 13b ..¡ J3j Suède .) 684 ;o¡ 684
J2Us33 Port^uesa de Tabacos Ï90 s% 1907.. -C9 50 434 2_l/2 « 353 75 .senerie-Maub.ug. '3863 '3900 \5 s. ^Suédoise Allumettes '2433 .2460 k.l 645 'Mon.00 6800 ..6750 SuisM.«.. i 493 50 493 25
cabinet, à l'abri des indiscrétions, et que l'offre et la demande n'ont rien à v voir. C'est le marché libre Transformé en cours moyens, lé taux de 5 0/0 se mue en 7 Ô/0 i
Nos Rentes gagnent un peu de terrain, bien impressionnées par le discours de Dijon.
Fonds ottomans lourds. Serbes bien tenus.
Etablissements de crédit soutenus Banque de Paris, 2.955 Lyonnais, 3.185 Union Parisienne, 1.950 Comptoir d'Escompte, 1.934 Mobilier, 829.
Les chemins de fer gagnent quelques francs Nord, 2.430.
Groupe électrique irrégulier Distribution, 3.335 Seine, 940 Littoral, 1.472 Lyonnaise des Eaux, 3.050.
Mines métalliques fermes Rio, 4.915.
Charbonnages faibles Courrières, 1.420 Lcns, 1.175.
Produits chimiques résistants Kuhlmann, 1.000 Péchiney, 3.235 Air Liquide, 1.990.
Aux sucrières Say récupère 50 francs à 1.880:
Pétrolil'ères mollement tenues Shell, 598 Malopolska, 283. Mines d'or lourdes Brakpan, 366. Depuis le 1" juin, les actions de cette Société ne sont plus abonnées au Timbre.
Les caoutchoutières faibles Padang, 692 Terres Rouges, 289. Au comptant, les plus-values balancent les pertes.
La part Consortium du Nord gagne 280 fr., à 5.505 Air comprimé 115, à 5.075 part Forces Motrices du Rhône 300, à 18.400 part Forces Motrices de la Vienne 150, à 3.175 Cusenier 105, à 2.760, etc. INFORMATIONS FINANCIERES BANQUE OTTOMANE. MM. les actionnaires sont convoqués, en assemblée générale annuelle, conformément aux dispositions de l'article 29 des statuts, pour le mardi 24 juin 1930. à midi et demi, Winchester Hoùse, Old Broad Street, à Londres.
Ordre du jour
1° Rapport du Comité général pour l'exercice 1929
2° Approbation des comptes arrêtés au 31 décembre 1929
3° Fixation du dividende
i° Xominatioa de membres du Comité général.
Aux termes de l'article 27 des statuts, l'assemblée générale se compose de tous les actionnaires possédant au moins trente actions. Toutefois, auront seuls le droit de prendre part à l'assemblée du 24 juin les actionnaires qui auront déposé leurs titres dix jours au moins avant la date fixée pour la réunion
A Paris, au siège de la Banque, 7, rue Meyerbeer (9e)
A Londres, au siège de la Banque, 26, Throgmorton Street, E. C. 2 A Istanbul, au siège central, ainsi que dans les diverses agences de la Banque.
mm
Cours et Conférences
Aujourd'hui
Au Musée du Louvre (4, quai des Tuileries), à 14 h. 45, conférence de M. André Lebey, ancien député, sur « Le Monument aux morts de Bartholomé ».
195 1155 Caisoe autonome 4 Y2 1(3ài loog 60 Foncière Nord de France, t,p, 98). 30 38 Boleo, parts 4575 6 .h.6 Crown M,nes 61" East Rend 1916" 9(6
,J 6 go Belgique 2 1/2 0/0 46 50 44 90- 3 0/0 1921 370 373 ,00 Châtillon-Commentry 5760 5690 90.. paPt. 5225 .5303 Urikany 472 466 1706 000
Programme des Spectacles
Théâtres
Première représentation
EN SOIREE
PORTE-SAINT-MARTIN, à S h. 30. première représentation, ïi bureaux ouverts, donnée par le Théâtre nègre « The Black Flowers » présentant Liza, opérette-revue à grand spectacle, en lieux actes, S tableaux, 45 scènes, de Louis Douglas, mis en scène par l'auteur-, décors et costumes de l'aul Colin, interprétée par Vnlad.1 Suow, Louis Douglas, Margarett BccKett, avec les ̃« Utlca Jubiice Si tigre rs », (Ballets', chœurs, Jazz nègres). Création de là nouvelle danse américaine « The Llnay Hop ».
En soirée
OPERA, a S heures, Tannhauser. (Mme E. RiUllberg. M. Sullivan, M. Rouard. Mlle M. Mahleu, M. Hubert}-. Mme Lalande: MM. Morinl, Ernst, Cambou, Madlen. Danse Mlle Lorcia. M. Perettn O'rch. M. Ruhlmann. COMEDIE-FRANÇAISE, a S 11. 30 (abon. s-'érle A), Les Miettes (MM. L. Bernard, D. d'Inès, J. Cullhène, J. Weber: Mmes B. Bovy).
La Conversion d'Alceste (MM. Dessonnes, A. Brunet, Croué, J. GuLltiène; Mme M. Marquer). Molière et sa Femme (MM. R. Monteaux, de RIgoult. L. Dubosq; Mmes A., de Chauveron, B. Bretty., Ir. Brillant).
OPERA-COMIQUE, à S heures, soirée ae gala (17* repré-s. de l'abon. série A), Rayon des soieries (Mmes V. Pecters, Calvet; MM. n. Bourdln, Baldou-5, Balbon, Rousseau, Mor-j turier, Payen). Orcli. M. Cioez.
Le Fou de la Dame (Mraes O. ErtauuY de Rauwera, Cernay, \'avon, Kenoyer MM. Rousseau. Veltchek, louchy, Balbon, Génio, Rociue). ûrcli. M. Cloez.
L'Amour sorcier (Mmes Argentina. Ibanez, Josellto, Lecouvreur; MM. G. Wague, \eltchek). Orch. M. Louis Masson. Angélique (Mmes M. Gondy, Vavon, Berr.adet; MM. R. Bourdln, Tubiana, Pujol, Marvlnl, Bernardi, Génto). Orch. M. Albert Wolff.
VARIETES, à 8 h. 30, Topaze (MM. André Lefaur, Pauley, Marcel Vallée Mme Jeanne Provost)
GYMNASE, ii 9 heures. Félix (Mmes Gaby Morlay, Mady Berry; MM. Constant Rémy. Uerthier, Maurice Dorléac, Maurice Jacquelin, et Jacques Grétillat).
THEATRE SARAH-BERNHARDT, à 8 heures 30. Mon Curé chez les pauvres, avec Félix Oudart, Rolla Norman, Henri Monteux, Yvonne Hébert, Une Npro et Alice Tissot. Dimanches et fêtes, matinée à 2 heures, GAITE-LYRIQUE, à 8 h. 30. Le Clown amoureux (Mmes Réville, Cardot, Cres'sonr.ols; MM. André Baugé, Rozzi et Robert Casa )
PALAIS-ROYAL, à 8 h. 45, L'Amour à l'américaine (Mmes Spinelly, Simone DuIac, Andrée Champeaux, Louise Dauvllle Mil. Duvallès, Ch. Dechamps, Géo Lastry, dL Llvry).
THEATRE ANTOINE, a 8 h. 40, Toi que J'ai tant aimée (Mme Sylvie: MM. Alcover, René Hocher). Aveux spontanés (MM, René nocher, Jacques1 Varennes)
BOUFFES-PARISIENS, a 8 h. 45, Arsène Lupin, banquier (MM. Koval, L. Blanche. L. Baroux, J. Gabin, n. Ancelin; Mmes Jacqueline Francell, Meg- Lemonnier, Simond, Engel).
THEATRE DE PARIS, a 8 h. 45, Marius de M. Marcel Pagnol (Raimu, Pierre Fresnay, Alida, Rouffe, Dullac, etc., et Andrée Givry et Suzanne Dehelly.
ATHENEE, à 0 heures, Le Cœur y est! (MM. Henry Laverne, Devalde, et Donnio; Mmes Davia, Derminy, R. Rysor).
THEATRE MARIGNY, à 8 h. 45, Madame de Pompadour (Mmes' Raymonde Vécart, Janie Marèse, Marguerite Thibault; MM. Robert Burnler, René Hérent. Nelson, etc., et Carpentier).
THEATRE MICHEL, à 9 heures, Pardon, Madame! de MM. Romain Coolus et André Rlvolre (Lugné Poe, Debucourt, Renée Devillers et Henriette Marion).
THEATRE DE LA MADELEINE, à 9 heures, Un soir, quand on est seul; Le Veilleur de nuit (Mlle Yvonne Printemps, M. Sacha Guitry, Mme Pauline Carton et M. M.urice de • Féraudy).
"Dl^kTTTa CSXP T-\TT la TTTTTVT -fl Ci 1* f~
THEATRE EDOUARD-VII, à 8 h. 45, Tu m'épouseras!, comédie en quatre actes de M. Louis Verneutl (Elvire. Popesco. Andrée Tcrroy, Tatiana; MM. Gallet, Louis Scott, Arbtileau. Pierre iV'oyelle).
RENAISSANCE, a S h. 30, Business, de M. Pierre Sabatier (Vera Serg-ine et Henri ROUan; Serge Nadaud, Marguerite Mayane). I Matinée dimanche.
NOUVEAUTES, à 9 heures. Langrevln père et fils, comédie nouvelle de M. Tristan Bernard. Avec MM. Roger Maïs, Lucienne Glvry et Suzanne Deh illy.
Matinées jeudis, dimanches et fêtes. GRAND-GUIGNOL, a S h. 45, Depuis six mois. La Cellule 13, Seur, La Main de singe, Sans bonne.
THEATRE SAINT-GEORGES, à 9 heures, Etienne (Mme Marthe Régnier; MM. Jacques Baumer, P. Bernard; Mmes Alice Ael, Véra Ossipova et M. Raoul Marco). DAUNOU, a 9 heure?. Pa? le temps qui court (Mmes Jane Renouardt, Thérèse Dorny, Arletty, Josylla MM. LOuvigny, Gravcy, Barencey, J. Hubert, Pizaui et Gabaroche).
THEATRE DE LA MICHODIERE, à S h. 45, Le Sexe faible (Mme Jeanne Cheirel, M. Victor Boucher Mmes Marguerite Moreno, Jeanne Grumbaoh, M. Pierre Brasseur et Mme Suzanne Dantès).
THEATRE PIGALLE, présentation corporative de films (Tarakanova;
THEATRE DE L'AVENUE, S h. 30, Avenue 1930, divertissement en deux parties et 26 tableaux,' de M. Paul Colinnc. çketebes de MM. Simon GantiUon.. Marcel Espiau et Maurice Jaubert. Danses et ensembles réglés par M. Georges Zenga.
COMEDIE DES CHAMPS ELYSEES, il 8 II. 4 5. Le Prof d'anglais, trois actes de Régis Giguoux, avec Valentlne Tessier, Louis Jouvet. Romain Bouquet.
THEATRE DES CHAMPS-ELYSEES (Opéra 1 russe à Paris). A S h. 30, Prince Igor (Mme Rogowjka MM. Jureneff. Ritcli, Kaydanoff, .Zaporojetz; Mmes LucezaroKa, Efinnovslïy; j MM. Posemkovsky. Oksansky, Skouia). FOLIES-WAGRAM, fl S h. 50, Zou! (Mmes Marguerite Deval, Cliristiano Dor, Sim-Viva, Devilder, France Dellys; MM. Dréan, Henry Jullien, Adrien Lamy, Camus et M. Edmond Roze). MOGADOR, à 8 li. 30, Le Chant du désert (Mlle Marcello Denya, M. Robert Couzlnou, M. Dot-ville, M. Géo Bury; Miles Mona Païvu, Cœcilia Navarre; M. Goavec). POTINIERE, à 9 heures. Coucou (Mmes Ch. Lysès, A. Cocéa, R. Fournier; MM. A. Lurvilie. A. Jacquln et GU. Roland). ALBERT-I", à 8 h. 30. The Middle Watch. ARTS, clôture annuelle.
ATELIER, à 8 h. 30, spectacle de M. GeorS'es Pomiès.
CHATELET, à n. 30, Robert lo Pirate, COMZDIE-CAUIV1ARTIN, a 9 h., Françoise. DEJAZET. a 8 n.< 30., Une Houle d'essai. MATHURINS, à 9 heures, Prisonnier de mon cœur.
NOUVEL-AMBIGU, à 8 h. 30, Ces messieurs du milieu.
NOUVEAU THEATRE, à 8 h. 45, PhiPhi.
ODEON, clôture annuelle.
ŒUVRE, à 9 heures, L'Acheteuse.
SCALA, relâche.
STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES, à 9 h., L'Otage.
TR1ANON-LYRIQUE, à S'h. 30, Les Vingthuit jours de Clairette.
THEATRE DES DEUX-ANES (Marcadet 10-26), à 9 heures, Aliboron 38.
THEATRE DE DIX-HEURES (Marcadet 07-48), à 10 heures. Le Texte faible. THEATRE DE LA CARICATURE (Provence 37-82), a 9 heures. Parade d'humour. MOULIN DE LA CHANSON (Trinité 6967), à 9 h. 30. Les Chants du Dessert.
» » ̃!
Music-Halls
Cabarets et Cirques En soirée
FOLIES-BERGERE, à S h. 30, Un Coup de Folie, nouvelle revue en deux actes, et j 80 sensations d'art et de joie, de M. Louis Lemarchand.
CASINO DE PARIS, a 8 h. 30, la revue a super-spectacle Paris-Miss, avec Mtetlnguett.
PALACE, à S h. 30, La Revue de le femme,
en deux actes et 4 5 tableaux, de MM. Henri Varna, Saint-Granier et Earl Leslie, avec Tiaquel Meller, Saint-Granler, Loulou llégoburu, 300 artistes, 80 girls et boys. EMPIRE-MUSIC-HALL-CIRQUE, a 8 b. 30. le célèbre comique américain liai Sherman. Pour la première rois en France, la troupe Yousg China. Première fois en France, Harry Moore. 20 attractions.
CONCERT MAYOL, a 8 h. 30, La Parada du Nu, revue en deux actes et 45 tableaux, de MM. Léo Lelièvre. Henri Varna et Marc Cab, avec Charpini, Peggy Vere, Marguerite Perney, Paillette Franck, etc.
ELDORADO, à 8 h. 30, Et Poum!, deux actes de Georplus..
LUNE-ROUSSE, à 9 heures (Trln. 61-92). Les chansonniers Léon-Michel. Secretan, Cor, Souplex. Monelly, René Paul et Pierre Dac. présentés par D. Bonnaud. A la mode de Khan! revue jouée par Mlles Le Bailly. Paquita Sol, J. Ford, G. Lolret et les chansonniers.
CIRQUE D'HIVER, clôture annuelle. CIRQUE MEDRANO. 4 S 1 30.
LUNA-PARK, t. les jours, mat. et soir. Attractions, dancing.
Cinémas
AGRICULTEURS (S, rue d'Athènes), Dix l minutes d'avant-garde, La Femme de quarante ans.
COURRIERDES THÉÂTRES
.o x t )M M–
Notes & Informations Opéra. Mme Rethberj:, de l'Opéra de Dresde, que Paris vient d'applaudir dans !ej rôles de Sieslinde et d'Aïda, paraîtra ce soir pour une seule fois encore, dans un autre rôle, celui d'Elisabeth, du Tannhauser, Qui est l'un des plus beaux succès de !a célèbre artiste, entourée de MM Sullivan et Rouard, de Mlle Mathieu et de M. Hubert}'.
A l'orchestre M. François Ruhlmann. Dans quelques jours, le io juin, Tristan et Isoldc aura soixante-cinq ans d'âge. La première, à Munich, est du io juin j ISO*.
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Comédie-Française. Ruy Blas est af| fiché demain soir pour la dernière représen| tation du Cycle Romantique.
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Pour le 3-1° anniverîiire de la naissance de Corneille, la Comédie-Française donnera, jeudi en matinée, Le Menteur, avec le concours de MM. André Brunot. Jacques Guilhcnc, Pierre Bertin, Chambreuil, de Rigoult, Mmes Marie Bell, Béatrice Bretty, Jane Faber, Jeanne Sully.
Le spectacle sera complété par Poil de Carotte, que joueront M. Léon Bernard, Mmes Berthe Bovy, Dussane, Catherine Fonteney.
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Vendredi, le souvenir de Corneille sera encore commémoré par une représentation de Rodogunc et de Psyché, et par des récitations de poèmes de l'auteur du Cid. •
Jeudi soir (abonnement série A), Molière et Sa femme. La Conversion d'Alceste, Les Miettes.
-A-
La prochaine matinée de la ComédieFrançaise (abonnement terminé) a'ira lieu samedi 7 juin, à 4 h. 30. Elle sera consacrée à la Chanson française.
Au cours de la conférence de Mme Dussane. on entendra Mmes Berthe Bovy, Mary Marquet. Jane Faber, Jeanne Sully, MM. Pierre Bertin, Lucien Dubosq, Pierre Dux dans des chansons et duos de « chez nous ».
C'est aujourd'hui mardi qu'a lieu, au « Vrai Arbre de Robinson », le banquet offert à M. André Brunot, à l'occasion de sa nomination dans la Lésion d'honneur.
Mme SeKond-Weber jouera vendredi, pour
ARTISTIC-CINEMA, L'Amante légitime. AUBERT-PALAÇE, Mirage de Paris et Autour de votre main, madame!
CAMEO, Chez les mangeurs d'hommes. CAPUCINES, Variétés.
COLISEE, Ce bon M. Jacob.
ELECTRIC-AUBERT-PALACE, Détresse. GAUMONT-PALACE, Le Masque de fer. GAUMONT THEATRE, Le Chanteur de jazz.
IMPERIAL-PATHE, La Tendresse.
MADELEINE-CINEMA, Le Spectre vert. MARIVAUX PATHE, matinCe et soirée, Mon gosse de père.
MAX-LINDER, Prix de beauté (miss Eu- rope).
MOULIN-ROUGE-CINEMA, Sous les toits de Paris.
ŒIL-DE-PARIS-CINEMA Ci, rue de l'Etoile), il 9 heures, Le Monastère de Sandomir. Les deux timides, de René Clair. OLYMPIA-CINEMA, Le Prince étudiant. OMNIA-PATHE, Ombres blanches.
CINEMA DU PANTHEON (13. rue VictorCoustn (5e), The Love Parade (en anglais), avec Maurice Chevalier.
PARAMOUNT, Le Chant du loup.
RIALTO-CINEMA (angle du « Matin »), Chalnes.
STUDIO 28, 10, rue Tholozé, à 9 heures, Méliès, Gllson, F. Léger, Deslaw et Alibi. STUDIO-DIAMANT, a 9 heures, L'Ecole du courage, Mlle Chariot.
STUDIO DES URSULINES, à 9 h. 15, L'Assommeur (Bancroft).
l'anniversaire de Corneille, le rôle de Cléopâtre, dans RodoRunc.
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Opéra-Comique. L'Opéra-Comique donne, samedi en matinée, une représentation de gala au bénéfice de la caisse de retraites du personnel du théâtre. A cette occasion. Mme Argentina, la célèbre et merveilleuse danseuse espagnole, prêtera son concours. Le programme comprendra, en outre, Angélique, avec tous ses remarquables créateurs Mlle Maguy Gondy, MM. Roger Bourdin, Tubiana, Pujol, Marvini, Bernardi, sous la direction magistrale de M. Albert Wolff.
Le premier acte de La Vie de Bohème, avec le concours exceptionnel de Mme Ganna Walska dans le rôle de Mimi et de MM. Claudel, Gaudin. Musy, Dupré et Payen. Mlle Fanny Heldy viendra chanter, salle Favart, le rôle de Manon qui lui a valu l'un de ses plus magnifiques succès. Elle interprétera l'acte de Saint-Sulpice, avec M. Micheletti dans le rôle de des Grieux. et M. Allard.
Le quatrième acte de Don Quichotte sera chanté par Mlle Lucy Arbell, inoubliable créatrice du rôle de Dulcinée. M. Roger Bourdin se fera entendre pour la première fois dans Je rôle de Don Quichotte dont il fait une interprétation singulièrement émouvante. et M. André Allard chanteraole rôle de Sancho. l'un de ses plus grands succès. Au pupitre M. Albert Wolff pour Angélique M. Maurice Fri^ara pour Manon M. Georges Lauweryns pour La Vie de Bohème et Don Quichotte,
C'est la un spectacle exceptionnel qui per-
THÉATRES
1 GYMNASE ̃ FELIX pièce en 3 actes de M. ffenry BERNSTEIN avec
GABY MORLAY
CONSTANT-REMY Jacques GRETELLAT BERTHIER
b Jeudi matinée g
mettra d'applaudir, avec la troupe de l'Opéra-Coniique, Mme Argentina, Mme Fannv Heldy, Mlle Lucy Arbell et Mme Ganni: iValska.
Ballets Russes de Zinaïda Ouzaroff. -J- Zinaïda Ouzaroff qui. parmi les innombra-
bles artistes émigrés de l'ancienne Russie, se place en tête des ballerines du plus grand talent, présentera, à Paris, au Théâtre des Champs-Elysées, les S et 13 juin, avec le concours d'une e troupe comprenant les meilleurs danseurs et danseuses actuels, un spectacle de ballets appelé au plus retentissant succès. Au programme Roussalka. de Rimskv-Korsakofï L'Aoule. d'Ipolitoi Ivanof Aviatrice. de Sabaneeft et .Divertisse-
ments. La location est ouverte au l'héàtre des Champs-Elysées. ̃ ^poILO C'est le 14 juin que, passera; La Revue Milliardaire, avec pour interprète* Damia, Tack Forester. Ilona et Gina, Karolevna. Vera Amazar, le trio javanais, de la princesse Yo Nay Tong, Colette d'Or, Geo Thibert. les Love Sisters, Charley MclU, la négresse Ruth Bayton.
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LES PROCHAINS CONCOURS DU ` CONSERVATOIRE.
Vingt-cinq élèves seulement sont admis à sc prér.entçr aux concours de comédie. Ce sont MM. Roger Berthau, Martinelli Abrassart, Roger Maxime, Aumont, AUchaut, Bonifas Mlles Reyna. Ravmonde" Alain, Toujane, Marquis, Crépin, Gabarre, Barreau, Cunati, Rouet, Demarnaud, Baptiste Cusin et Ledret.
La plupart de ces élèves ne sont pas des inconnus du public. Ils ont tenu des rôles dans des pièces du Boulevard, mais ont du prendre un pseudonyme pour se conformer aux règlements du Conservatoire.
CREATIONS. •
M Maurice Lehmann montera la saison prochaine, à la Porte-Saint-Martin, La Flamme Sacrée, une pièce de M. Somerset Maugham, Que M. de Carbuçcia a adaptée
RENAISSANCE VESA m\M^&
S s i se il .t %ef,
^j^iim rouan
CE SOIR PItEMIEHE AU THEATRE
NEGRE
THE BLACK FLOWERS
50 des meilleurs artistes de New-York avec
VALADA SNOW LOUIS DOUGLAS Mnrffunrett BECKETT
Les « VTtica Jubilee Singcrs » Bnllets, choeurs, jazz Ji&stre création « Tlie I.imly Ht>p » nouvelle danse américaine dans «LIZA» t Oncrette-revue à grand spectacle Décors et costumes de Paul COLIN t Matinées jeudi, samedi et dimanche
à la scène française. Mme Suzanne Després doit êt-re; en tête de la distribution.
Mme Marguerite Duterme, l'auteur des ËRarés. la pièce qui fut jouée avec succès la saison dernière à la Comédie -Caumarim. iiiira deux œuvres nouvelles représentées la saison prochôine à Paris sa première niijee. Les Enfants jouent, refaite et .augmentée de quatre tableaux, sera présentée" à ïâ Corné- tiie^Caumertin, et M. Gaston- Baty .monter?, dans son .Théâtre Montparnasse, Xvcliïrne, trois tableaux. '̃>. J.
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OUVERTURE..̃'̃'̃•
Le' spectacle d'ouverture du Théâtre. 'des Deux-Masques, qui sera créé ,1e jeudi juin. au;; Menus-Plaisirs, comprendra Le Dindon -de la Farce, comédie en trois tableaux de MM. A. Willemetz et P, Darcel Le, Viol; de M. Jean d'Astor? Adultère. co-J niédie bouffe, de MM. Clément Vjutel et Léf>, Marchés. Les mises en scène sont de
M'. Palau. et"' la distribution réu>iit' Mlies
DÔUy Sprins. Çlary^Monthàl 'et" Simone Mciitaiet. MM? Liâm'oiie. Vérité. Ebstehv Weber, Terror et Landier. '.̃> TRAVAUX DM UTEURS.
..M. Martineïli a. écrit une pitre en deux actes et qui comprend deux personnages Nous deux. Mlle Corciade et M. ConstantRcrnvla créeront la saison prochaine
+
M. Jean Rieux va écrire une revue de théâtre. MM. Quinson et Albert Willemetz lui ont commandé un spectacle. mais on ne sait pas encore s'il sera joué aux Bouffes-
Parisiens.
s e.
VILLES D'EAUX.
M. René Laoêlletrie créera le rôle dr Faust, de Mépliistophélè-s, de Boïto, au Casino de Vichy, cet été, et y chantera différents autres opéras. En automne, il donnera une série de représentations au Casino de Tunis, puis ira pour tout le reste de la saison à l'Opéra municipal de Nice où il chantera, en plus du réDertoire Salotné, de Richard Strauss Fidélio, de Beethoven L'Or du Rhin, de Wagner, et Quo Vadis, de Jean Nouguès.
–ef–
RENTRÉE.
Mme Louise Lagrange qui, avant de devenir reine du Cinéma, fut pensionnaire de la Comédie-Française va faire sa rentrée au théâtre après une longue absence. C'est elle qui incarnera Marie Vestera, dans Maverling. la pièce de M.,d%tie Anet, en septembre "prochain, au Théâtre 'des- Aïff&W
s*eurS4e§«s. principaux ̃fcgftâijIftesfcltÊbnt,
s ursj çes, Principau~ pd;f~é~~ear ~t-
cSre %0 (gifel^ Boyferi J(aiihMiicRRoHl>l- 1
pp) Ip, .iRariV^êrier (l'empereur Francqïè-Joseph) et Ârvel (le journaliste libéral
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~GAG~M~N2'S. [fille Germaine Michel et M. Hénery- feront partie de la distribution de la pièce de MM. Gustave -Quinson et Pierre Veber, qui succédera à L'Antour à l'Américaine, au Palais-Royal, et dont Mlle Marguerite Tempiejgft M. Duvallès- seront-les protagonistes. i- Maxime Girard.
MUSIQUE
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Vendredi O Juin à 21 heures
^CONCERT. CLASSIQUE rSrthcstre Symphonies de Paris sous la dimtion da I £̃̃ FRANZ SCHALK Concerto Grosso HAEXDEL 'tofvertlssemeiît KIOZ iRT T 'Symphonie en si bémol.. Mélodies Mme ROSA ADER < Places de 00 i 5 francs
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^̃^̃̃r DANS UN FILM DE
^H^ A.CENiNA
V PRIXK
K BEAUTI
BKHk (MISS EUROPE)
Bi^K S0NORE-PAt>LANT-CHANTAN|
H9S FRANÇAIS
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Feuilleton de FIGARO du 3 Juin 1930 'c (13)
Étdaram de Trébizonde
I. (Suite)
«Si je, continuais à monter la rue, je sortais bientôt dev la' ville sans même m'en douter. La route s'en allait vers Tiflis. Combien de soirs Chouchîhe"m'â4-el.le fait asseoir au premier tournant ?• J'ajp.ftelais les montagnes par leurs noms. A mes pieds, là' vieille forteresse, prête à bondir -sur les gocgës de la Zanga, inclinait à tomber ses créneaux et ses toits. Je distinguais les faïences d'une mosquée persane, couleur, des. turquoises mortes, et le Palais des Sirdars tourné vers la plaine. Très loijti, la croix d'or de l'église russe brillait dans les arbres. J'entendais la musique d'un régiment qui sortait. Les nuages aux formes bizarres jetaient sur Erivan des ombres de chimères éclairant ou poussant dans le gris des coins inconnus, ressuscitant des minarets ou enterrant des coupoles. Le ciel n'était jamais immobile, mais agité, inquiet, menaçant, toujours .nouveau, presque; humain. Le pavsage recevait de lui une vie plus intense. Depuis, j'ai trouvé irritant le ciel de Trcbizonde. Parfois, je croisais une caravane de chameaux qui parlaient, silencieux, hiératiques, importants, vers des pays dont les noms faisaient battre mon cœur, veri des pays où le vent frissonne dans les tebri'gis :&u tronc blanc. Mes souvenirs d'enfance, voistu, ont pour gardiens des. pierres, ils reviennent
''̃ T1 ''̃ '̃
Le film Le Spectre. vert, qui passe, avec tant de succès au Cinéma Madeleine, débute par des photos de Lomlçea >en plein brouillard, un brouillard à couper au couteau, se!on l'expression populaire.! Il fallait Jacaues Fevdcr pour arriver à un tel résultat. Des ombres, des bruits étouffés, des klaksons, .des coup de «ifltet, des l'umières clicnotantes. tout ronlrtbue- à mettre les spectateurs, dès les premières images du. film, dans une atmosphère d'angoissé* et d anxiété oui est maintenue iu=ciu'à la fin. Etchcpare. excellent, artiste, de composition, joue le rôle d'un jcjtriè avocat, dans Le Défenseur, grand ilim parlant lacques Haïk,réalisé par Alexandre Rvder Il v déploie une, fantaisie, un sens. rie t'humour vraiment id.éjicieux et les spectateurs ne s "ennuieront .pas en le -vovan't rerevnir la Dresse, venue "aux renseignements chez le maitre. Le >srand a,voc%t étant absenti Etfhpparcr sjinstaile dans, ,son,, fauteuil. sr; fait passer lui-même pour un ténor., du barreau. affecte, de ;téléjjhoner à de.i grands personnages et offre des cigares. gros cominc, ça^ ̃̃ •?«:̃;••̃ ;̃. Vous verrez, entre Etchenarc et Ginette Gsuberl. des 'scènes- xiur vous leront WcOrir de rire. ̃
«>««•
Courrier Musical En soirée
A la salle Caveau, ohief Os.-Kc-NonTon, barvton indien, chantera des mélodies indiennes et des œuvre; classioucs. A la grande salle Pievel. à 0 heures, sous le haut -patronage de M..le président de la République et sou; la présidence d'honneur de M. Pierre Marraud. ministre de l'Instruction- publique, et de M. Eugène Lautier, sous-secrétaire d'Etat aux BeauxArts, concert de gala au profit de la Maison de Repos des Vieux Musiciens s. avec le concours de Mme Germaine Martineïli,
.LA VIE SPORTIVE,.
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'COURSES^ÂJNGHIEN Aujourd'hui, à 2 heures, courses à Engliïen. Gagnants de Fiyaro
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CONCOURS HIPPIQUE Le Tournoi international de Varsovie Les derniers résultats du concours hippique de Varsovie sont les suivants 1. Capitaine Filipponi (Italie), sur Nasello 2. capitaine Formigli (Italie), sur Montebello 3. lieutenant Clavé (France), sur Don Giovanni 4. lieutenant Dabski Nehrlick, sur Xerô 10. M. Dubreuil, sur Salamandra 14. capitaine Debalanda, sur Fleurance.
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tous en foule au pied du château de Trébizonde, à l'ombre de la forteresse d'Erivan. Il n'est pas bon de jouer dans l'atmosphère des morts.
» Quelques semaines après, nous partions sur les rives du lac de Sévan, bleu ardent dans l'encorbellement de rocs fauves. Mon grand-père avait là-bas des terres sans limites, des pâturages, des forêts, des rivières. Sans doute descendait-il de ces anciens nakharars qui vivaient au moyen âge, retranchés dans leurs châteaux et presque indépendants dans leurs vallées fertiles, accourant au secours du roi lorsque les soldats de Byzance ou les Persans ravageaient la plaine de l'Araxe. Dans la Haute-Arménie, les temps féodaux furent plus sanglants qu'ailleurs.
» Bassure-ioi, mon ânVie, je ne remonterai pas au déluge, bien que l'Ararat y ait' joué son rôle J'i-onore moi-même la généalogie touffue et coin-" pliquée des Arzrouni. Les Bagratides sombraient d'ans l'anarchie, -cinq, ou"1 six •' prétendants Vawa- chaient l'Arménie, guettés par le Basileus. sans se. douter que les Turcs-Sel djoukides- approchaient. Dans ton passé, aucun siècle ne --peut .se, ressembler en horreurs, 'en-inystèrei-, etf^ntrigues à celui-ci. » Lorsque les seigneurs arméniens, sentant la menace de Toghrui bey, abandonnèrent leurs forteresses et leurs villes des bords du lac de Van pour la blanche Sébaste, peut-être la branche cadette des Arzrouni les suivit vers jes ..plaines de la Cilicie. L'histoire de ces temps-là n'est qu'un perpétuel peut-être. Lorsque le roi Gaguik, le dernier des Bagratides, dépossédé par Byzance, fut assassinera Cyzistra de Cappadoce, par les Grecs félons, avec ses deux fils et ses parents proches, il paraît qu'il 1 fut défendu par un écuyer- qui. portait son nom. » Un fait est certain la famille de ma mère n'a jamais quitté les montagnes qui Entourent le lac de Sévan, ni la vallée de l'Araxe. Ellc subit la domination seldjoukï<lë et l'épouvante .des ruées asia-
MM. G: Jouattc et Marcel Journet. José Iturbi.. Philippe Gaubert. Gçor^s Enesco et de ta Société des Concerts du Conservatoire sous la direction xle M. Pierre. Sechiari.. Comme suite à la découverte faite à la Bibliothèque- de l'Opéra, par M. Charles Rouvet, d'un lot important de manuscrits de Boççherini. la Société Française de Musicol.ogic ,iipmieM. maison Ga veau, salle des Quatuors* le jeudi v, juin,, à 20 h. 4.v une audUkin de quelaues-unes de. ces œuvres inconnues deux .quialetti, un-terzetto et deux arias a'eademica pour chant, avec le concours di; quatuor Krtttlv, de Mme Guignnrd-Marquaire et de M. P Grout. Vendredi prochain, à p heures, unique concert donné à Paris, au Théâtre des Ch.ampsrEiviées. par le fameux pianiste russe Vhdimir Hôrûwit'z 'oui. lors d'un conecrf à rOpjra, il y a deux^ans, a obténi4-,ùn t'nomDhe. '̃̃. Là Société « Pro MusicS » donnera un concert, mercredi soir n juin, salle Gav'eau. svec un Drogramme exceptionnel Messe de Pauvres (-Erik,ga.UvX.aîriE:ée par M. Boutnikoff. à forgué. M! ^Cellier Vocalises pour ondes (Koechiin-Roussel), par Maurice Martenot Mélodies' hindoues, par A. A. Bake. Sn'ûe (Hersther-Glément)-. par le quatuor Tcmerson Danses indiennes, par le chef peau-rouce Os-Ke-Non-Ton. -La" célèbre chorale -1iQgre de Hamptôn e Hjimpton- Choir », doaf le récent succès au Théâtre des Champs-Eivsées est dans toutes les mémoires, vient de triompher à Berlin, à Vienne, à Zurich. Le « Hampton Choir s> arrivera- à Paris 1 ces jours-ci pour donner un second concert, salle Pleyel, et sera reçu officiellement à l'ambassade des Etnts-Unis, par S. Exe. M. Edge, avant de s'embarquer pour les Etats-Unis.
:II !iii
Albert -Levecue, le grand interprèle de Bach, vient de faire entendre Quelques élè,ves. salle Erard, dans tes concertos du maitre. Public enthousiaste et très gros spçcès. L. de Crémone.
vient de donner toute sa mesure dans le troisième grand prix Bugatti. Au départ, toutes les voitures Bugatti en présence n'avaient pas l'amortisseur Hepusseau-Silentbloc nuis, à l'arrivée, après plus de 500 kilomètres de course, à près de ^30^ kilomètres de moyenne* pouf le va'inq-ûeurj Jlés trô-is. c, premières voîtuï'es, eCilcs dt'-2a;ii£llii' (fè" Max Fou'rny et'^ilé ^tfit tfé.é.&i'J)" étaie'ht -toutes tfbis éq'ù'ipe'és 'JA-ilc des' amortisseurs Repusse&u-Silentblo'c, coin'- me le sont d'ailleurs toutes les Bugatti de série.
Etablissements ̃ Repusseau, 75, ru? Danton, Levallois (Seine).
Le nageur Taris
bat le record de France
du 400 mètres nage libre Au cours d'une réunion de natation, donnée a Nice, le jeune scufiste Taris, dont la bonne forme actuelle est évidente, a réussi une très belle peri'or.mance en abaissant n 4 minutes ,'<1 se-Icondes le record de France du 401) meures nage libre, qu'i! détenait avec 4 minutes ,")(> secondes.
L'exploit de Taris est d'autant plus intéressant qu'il est de classe tout à (ait internationale. En effet, le record .'de France, désormais, est à 3/5 de seseonde du record .du monde que détient ,3e Norvégien Arn Bor,a avec 4 minutes y>() secondes 2/3. Après le record du §880 yards nage libre, qu'il a amené à Sj/5 du record du inonde, ce nouveau ïuccès du jeune Taris doit lui donner J'as-suflçî&ik. qu'il réussira prochaine^inerit i'iL,,M!Lire!- dans la liste des recordmen" (Tu monde.
^AUTOMOBILE' *-̃̃̃' ̃ tsff" Concours d'élégance
te ,Êo«»Mirs- d'élégance,, organisé cljaquï nuilttJai' notre confrère 1' « Auto')?, commencera demain si* les pelouses dli Parc des Princes.
Les organisateurs ont repris l'excel-lente formule des éliminatoires qui se dérouleront, demain mercredi et jeudi. C'est vendredi que;- seront décernés les nombreux prix de ce concours et nue sera disputé le trophée féminin de l'élégance.
Nos lecteurs apprendront certainement avec satisfaction que la Carrosserie Belvallette, dont les luxueuses et confortables- créations sont toujours si fort en faveur dans l'aristocratie, vient de s'attacher, au titre de directeur, M. René Darr, qui fut l'animateur de la Carrosserie Mu-lbacher.
C'est assez dire qu'aux vieilles traditions de sérieux, de solidité, d'élégance et de bon goût qui firent la réputation de la signature Belvalette auprès de l'élite, s'allieront désormais les conceptions les plus nouvelles imposées par les formes spéciales de nos modernes voitures de vitesse.
;>>. AVIATION Le record du monde d'altitude pour avions légers
Après .plusieursi.essajs infructueux, ef.fectués ces 'jou.r.s, 7.de(rni^r.s,lc,>,4>ilQt.o: Voigt de Da-rmstadt a atteint. le;'23tniaii sur l'avio-nWctte D..18«<tué- .pilotait; -îe regretté Xehriug, as du vol à voile, une altitude de 8.400 mètres.
Cette ̃performance est considérée! > qnime'un i%g}i>fed allemand et intepiià- i| ibnrti. 1/ftl'fmiS-e"" de 'l'auricn record était- le 7. 730 mètres.. z Le groupe universitaire d'aviation de L iamstàdt détient ainsi 'plusieurs records ximv avions légers. Il s'était attribué léjà dernièrement le record d'altitude liondi'al pour avionnettes biplaces. •̃̃' TENNIS LA COUPE DAVIS
,£.-F. Moon ne jouera pas
pour l'Australie
E. F. Moon, le champion d'Australie, nc' lourra .pas jquer contre la Grande-Brcagije, -à Eastbouriie, vendredi prp;hai'n."M s'est rompu un muscle vendrerti jernièr en jouant 'contre de llorpurgo, ni Stade Roland-Garros.. Il a continue a jouer maigre qu'il* souffrait beaucoup. fl a vu un docteur qui lui a absolument interdit de jouer. C'est un lourd handi.•ap pour réçjuipç 'cTAustralic. Le départ de l'équipe américaine ̃t. Weaiv pré*ide.iVt ,dp Comité- améi i- :ain de sélection jroiir" la Coupe Davi.s, annonce offiçjelj^mc.ivt.qiie Gregory Maugin, de l'Université de' Georgetown, sera incorporé dans, le team américain pour la Coupe Davis. Les Américajns ..s'embarqueront pour1 l'Europe' aujourd'hui à \ew-York, à bord du <.< Béfcngaria, », en roule pour l'Europe-, La Tchécoslovaquie bat la Hollande- A Amsterdam, les. deux derniers simples furent partagés entre la Tchécoslovaquie et la Hollande Tinimei- (H.) a battu Menzel (T.), par 8-6, 6-0, 4-6, 7-5; Kozcluh (T.) a bc;ttu Diemerkool CH.), par (i-4: 4MÎ. 6-3. 6-3.
La Tchécoslovaquie ayant remporté, trois victoires sur cinq parties est donc qualifiée pour la première demi-finale. Le tournoi du Vésinet
Le tournoi annuel du Vésinet Ibis T. C, aura lieu du samedi 7 juin su 15 juin. comprendra ]es épreuves suivantes simple messieurs, Coupe des Ibis (détenteur Gcntien), simple de danies, double messieurs, double mixte et double de 'daines. s
Les engagemenjs son) reçus jusquaV. niti-crecH 4' juin et doivent être adressés '•̃ 35, avewue d'A'sace-Lorraine, Le; Vésinet/ ̃ -• .An M:; ̃ GOLF
Le Championnat international
de France amateurs
Le Championnat international de Fraiw ce .sCaiivBrt.! seulement- aux ̃ jouéïtïa2ïm*a jeurs'vs«vii dispufé.V-à'iïhW-iV^d^-uMtt-.
d'hii-j'-ïS iflin, siw;01e.<JÎ&a.fcours .ifSï^î^l?
Cl»b de'Pm-i^à t*Boùlie. • -i- sr(UHTA>-> Le premier tour éliminatoire se 'j&ue–1 ra ce matin sur 18 trous. 'Premier départ à S) h. 10.
L'atjrès-midi. secosftP "tour avec le premier départ à midi 30.
L'élite des joueurs1 français est^engagée dans cette cfenspétition à litfjuelk' participent les meilleurs joueurs a'nié'ri' cains et britanniqrt»* sl-' Le. Çhamyionnat Emateur iS de Grande-Bretagne
Sur le vieux «parcours de Saint-An-<" diews, « Bobby '«..Jones a battu Roger Wethered par 7=.ti'OB« d'avance et 6 -i jouer dans la .finale du championnat amateur de Grande-Bretagne. Ainsi « Bobby »..lones-'a réalisé brillamment son rêve de devenir --le champion amateur britannique; r- ̃̃•̃ ̃̃
Aubrey Boomer battu
Horton Smitli, .ii6*jeune professionnel américain, a battu Aubrey Boomer par) 6 et sur le- paredurs du sSaint-Cloud Country Cliib. A la fiii des 18 premiers trous, les deux joueurs étaient à égalité. POLO ̃ ,.«.
Au Polo de Bagatelle `
Le Prix « Yves du Manoir », joué en présence de M. Mqringud, sous-secrétaire d'Etat il l'édBtatïftnsHJlXvsique, et de .M. Louis Tissier, chef de cabinet, a été 1 o< cas,ioHrd.'«»t 4-ovi Jwdle réunion. AuscOiW»1' des trois premières périodes, l'équipe du Polo de Parts, .t'orïHSê: du prinEe O. Haiim. Taurel, captain Robinson, captain
P-rioleau, donna. l'jSîtoiîé'sàion de téjpir en
échec J'équipe 'reprfsteiitanf le Racine ,Club de France Veomprise du baron Sehroeders, C. L. Villanueva, H. de Monbrison, H. Couturt*ft^- v "̃ Mais, pendant les trois dernières pç, riodesî grâce à àa'>hésion, son ardeuft soii habileté à frapper la balle (notam-ment le baron bchrœders et M. C. L. Villaliueva), l'équipe du « Racing » a enlevé, par 6 buts contre 3, lés objets d'art superbes qui constituaient le prix. M. Morinaud remit des médailles aux vainqueurs, après les avoir félicités, et Mme Morinaud leur présenta les prix, entourés du duc Pccazes et de la dualtesse Decazes, et de Mme Viilanueva. Reconnu dans l'assistance
Baron et baronnciR. de Rothschild, princesse de Beauvau, duc et dn'chesôs; de Maillé, comtesse.- de Lesscps, marquise <îe La Chapelle-Crosville, M. et Mme Maurice Stem, Mme Eddy EdmondBlanc, comte et comtesse de LaugierVillairs, M. et Mme Citroën, M. et Mme German-Riiion, marquis et marquise de Braza'is, M. et Mme de Carbuccia, baron et baronne de, Bai-bot,' baronne de Courcel, S'. -Exe. M. Carafonos, M. et Mme GermaimPa.v.en, colorie.! du Corde Damrémont, comte et comtesse Mathcus, M. et Mme Piltet, M.. -et-. Mme Partuné, comte et comtesse de Lustrae, comtesse de La Roche, Mme de, Monbrison, Mme II. Cputurié, M. et Mme Broadvvatér, M. ttiVMine kittauer, M. Santos-Dum.qpi, rfea.i-^ùnè <Jeif.Navace]]et;M. et Mme Genza- ic&iliiJJCOî- Mme Van der Hoyden a. Hauzêur, comte de Montreuij, Mme Neal, baron et baronne de-Bernis, M. et Mme Achille Fouid. >L, Mme et Mlle-Pani, haronne de Neufvillc, comtesse de Molinié, etc. l'"
La ..soirée d'aujourd'hui n/aura pas lieu, Je temps- ayant, été trop mai&'aU ces jours passés. ̃ ̃
Frantz-Reichel.
Toute la. correspondance concernant les- sports doit être adressée d M. Frantz-Reichel, .chef de la rubrique sportive de Figaro.
tiques, elle resta. Ecoute une histoire entre d'autres. » L'héroïne est Une femme. Elle s'appelait Satinik et elle était belle. Son mari, parti pour guerroyer contre les hordes mongoles, n'était pas revenu. On racontait que Timoar Lenk enterrait les blessés, vivants et qu'à Sébaste les habitants terrifiés ayant envoyé au-devant de lui des petits enfants chargés de roses, en signe de paix, ,ii avait fait charger ses cavaliers-aux longs cheveux flottants, écrasant au galop les corolles et les corps. Un soir d'hiver, un des; plus hardis lieutenants de Timour-Lenk assiégea, dans la haute Zanga, le château de Satinik, le château couleur de rocher. Elle se défendit plus d'un an et, les citernes vides, elle se rendit au vainqueur. Le Mongol la garda prisonnière *>otis sa tenteynl au'rait pu la prendre de force par un raffinement pervers, il voulut la contraindre à se donner, D.ouze nuits avaient passé. L'Arménienne résistait encore. Alors, pour îà décider vite, il lui lit apporter le- cadavre de son mari,
(fïcorché vif et empaillé,j^ûtiuik •l'aperçut, et,
sans un cri, glissa sur les tapis son cœur avait cessé de battre. Et le barbare viola une morte. Et depuis le. quinzième- -siècic, la fille ainée des Arzrouni a toujours pris ce, nom.
» Leurs propriétés devinrent le lieu de bataille favori des sultans et des schahs ils restèrent. Ils virent arriver les tribus sauvages que les Turcs avaient appelées du fond du Kurdistan pour remplacer les Arméniens émigrés ils restèrent. Ils connurent la tyrannie des sirdars persans ils restèrent. Oh les hommes ne dépassaient guère quarante ans Comment ont-ils pu faire souche ? C'est un de ces miracles que le ciel multiplie quand il veut sauver une race. A la tête de tous les soulèvements, et nous ne savons combien il y en eut, t, qji trouve des Arzrouni. Ils se tournaient vers la Russie et quelques-uns d'entre eux s'en allèrent jusqu'à Saint-Pétersbourg. Mais jamais les soldats du tsar ne pouvaient. atteindre Erivan., Les aimées s'écoulaient.
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» Au début du siècle dernier, l'archevêque d'Aschtaralc, Nersès, fit appeler auprès de lui, en grand mystère, mon arrière-grand-père, qui était un tout jeune homme. L'Arménie se préparait ail combat. La vallée de l'Araxe devenait un vaste camp retranche avec des villages fortifiés et des magasins de blé. Des volontaires descendaient des montagnes. Une armée importante fut ainsi réunie sous le commandement de Matarloff. L'archevêque lui-même combattit au colé d'Hovannès Arzrouni. Les Persans prirent la fuite et Paskievitch arrivait. ]i fit pleuvoir sur Erivan une grêle de feu. Tous lés canons tonnaient. Le bombardement fut terrifiani j'ai vu dans les remparts des trous énormes. Un boulet traversa la mosquée où la population s'était réfugiée. La forteresse invincible croula. » Certes, il y a un mélaneolique chemin à parcourir des "promesses aux actes. Au lieu d'auto- nomié, 'le Tsar imposa sa langue dans ses lycées, et le service militaire dans son armée. L'archevêque .Nersès," devenu catholicos d'Etchmiadzine, calholicos. c'est comme votre Pape, passa su vie à protester. Mon arrière-grand-père ne le suivit pas il avait épousé une jeune parente d'Adana il savait trop l'horreur de la persécution turque pour se plaindre de la vie, somme toute supportable, dans l'Arménie russe.
» Quant aux Djivanian de Cilicie, qui s'étaient installés jusqu'au pied du Taurus, dans la forteresse de Vahka, sur les routes de Tarse et de Cappadoce, j'aime à croire que les chevaliers de Godeîroy de Bouillon et de Baudouin, de Bohémond et de Raymond de Toulouse ne restèrent pas insensibles aux grands yeux sombres de leurs filles et de leurs sœurs. Mon imagination un peu folle, je la tiens sans doute de ces ancêtres qui vécurent, pendant deux cents ans, auprès de leurs barons, puis de leurs rois, le plus extravagant et le plus incroyable des contes. Un conte très oriental où passent des Croisés et des Templiers, où il y a des enlèvements, des échelles de corde, des yeux crevés, des pillages,
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» Pardonne-moi. A m'enfoncer dans le passé, je semble me perdre, oublier ta présence. Non, rien de tout cela n'est inutile.
» Comprends-tu, maintenant, à quel point je suis différente d'une petite fille ce chez toi dont les ancêtres n'ont jamais aimé, pillé, tué, dont les parents sont morts paisiblement dans leur lit, comme tout le monde ? Alors, si, au cours de mon récit, quelque chose l'étonné, souviens-toi de cela, des récits tristes et violents ensemble qui ont bercé ma jeunesse.
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£.a Corporation a' augmente ses participations dans les mines d'oi et les pttrolcs, et prjs des inttrets en liolrwe et en Rhodesie •s&ptenriipnatp la situation fi îanciere dejnfcûré saine et la \aleur des placements dif- pasSç considérablement leui pn\ d inventaire Au Ramï Tannée a emote <u •̃itisfailante ïa moienm des d< penses d exploitas tion des mines du cioupr •» diminue ̃ATea\iron 6 d par tonne bro\ei et rlr nouveaux progrès ont ete réalises dms l'outil! igc. l.:t main-d'œm re indigène s'est -îmUioiee niais reste infeneuie au chiffre de 201. 000 juge nécessaire L'industne aurifeie est H. seule. qui échappe a la dépression économique mondiale i) appartient au gouvernement de l'Union de prendre des mesures pour fa- c eihter l'abaissement du prix de revient, le- miel rendrait p<nants d'immenses tonnages
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à faible teneur et prolongerait fa durée des mines.
La Village Deep. cédé ses droits miniers à la Robin.ion Deep. Le capital de la Durban Deep a été réorganisé et l'on espère que les dividendes seront repris cette année. Les ̃broyages de ta Erown Mines ont atteint un nouveau record jla' durée..de la mine sera prolongée par, lâchât des terrains Diepkloof. A. la S,ew.Stodàcr, .la situation. reste excellente. Les 'perspective; de la-City Deep sont meilleures; mais les' bénéfices- seront restreints si. le' 'rendement, ne s'améliore pas considérablement.
Les résultats,, de la Trinidad Leascliolds ont été très satisfaisants- en 1928-29 ceux de,' l'exercice en. cours ont été affectés par la baisse des prix; mais la Compagnie est appelée à. bénéficier-de l'achèvement prochain du, programme intensif de"dépenses de premier établissement. Les gisements de ]a. Si paria Trinidqd- Ôilfie'liln présentent de bonnes perspectives.Jjes;réchercHes de la- Xorlli Vepexnclari PelipHfyn se. pV<irsui-r_eiit _éner-_
gïqueinent.-Larbcnjp) Oilfield.i. a- réalisé des-
prosrès très satisfaisants' et i-oninie-ncera à expédier du pétrole dans quelques semaines. En ce qui concerne' le chemin de fer de Santander à la' Méditerranée, la totalité de la1 ligne de 'Càlataynd à Cidàd (366 kil.) est presque achevée. MM. Bernhard. Scholle and C° ont .maintenu leur dividende. La ttrUïsh Mêlai Corporation a fusionné avec la 'firme Henry Gardner ahd C" sous le nom
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d'Amalgamaled Métal Corporation, dont l'avenir -peut être en'isagé avec confiance. Une participation a été prise dans deux affaires d'étain en Bolivie, qui doivent donner un ï-veriu intéressant. Enfin, la Corporation s'cst intéressée à la constitution de la BanUers' Industriel Development Co.
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