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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1929-03-28

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 28 mars 1929

Description : 1929/03/28 (Numéro 87).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2958203

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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JEUDI 28 MARS 1929

SO M MAI RE DE FIGARO

PAGE 2. Les offices de la Semaine sainte. Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville. Les Echos. Une prière américaine pour le maréchal Foch.

PAGE 3. Gérard d'Houville Chronique des Théâtres de Paris. A.-M. Belfoe La Flamme sacrée. S. Golestan Les Compositeurs et la Radiophonie. R. Lécuyer Une tournée qui a mal tourné. Montaudran A l'Opéra.

PAGE 4. A la Chambre. Les Congrégations missionnaires. Le Concours hippique. Aux Assises de la Seine Le danseur Lafortune condamné à mort.

PAGE 5. Duc de La Force, de l'Académie française :• Madame de Genlis, cordon bleu. André Rousseaux Littérature et Phonographe. Courrier dés Lettres et des Arts. PAGE 7. Dernière heure. Revue de Presse. PAGE 8. Théâtres..

PAGE 9. Les Sports.

BULLETIN Du JOUR

UNE PENSION A LA MARECHALE FOCH. ,> La Chambre a voté, hier, un projet de loi déposé par le gouvernement attribuant à la maréchale Foch une pension exceptionnelle de 100,000 francs reversible sur la tête de ses petits-enfants jusqu'à leur majorité.

« Le maréchal, dit l'exposé des motifs, avait refusé de son vivant les dotations que l'Angleterre et l'Amérique voulaient lui offrir. Nul ne comprendrait qu'au lendemain des manifestations grandioses dont nous avons été les témoins la veuve et les petits-enfants de l'illustre soldat fussent oubliés. »

C'est fort justement pensé et il n'y a pas de mesure plus sage, plus conforme à une heureuse politique que de constituer une dotation à une famille pour des services rendus par son chef à la patrie. 'C'est ainsi qu'on perpétue l'aristocratie du mérite. Les Français qui s'inclinaient hier devant la dépouille mortelle du maréchal Foçh doivent logiquement désirer; que les héritiers de 'son sang occupent dans la société un rang digne de leur ancêtre, et c'est le devoir du gouvernement de leur en, assurer la possibilité.

LES CONGREGATIONS AUTORISEES. Voici les congrégations missionnaires autorisées. De cela encore, les Français préoccupés de 1a grandeur de leur pays se réjouissent. Mais à une condition, c'est que la loi qu'on vote cette nuit soit autre chose que de la poudre aux yeux.

Permettre aux congrégations missionnaires de se recruter librement, c'est très bien mais si, ce geste accompli, vous adoptez les projets de M. Herriot sur l'école unique, c'est-à-dire si vous contraignez les enfants à recevoir une éducation qui abolit en eux le sens du divin, la vocation de servir et l'appétit du sacrifice, vous vous moquez'du monde

En termes familiers, mais imagés, Mgr de Guébriant s'est plaint dernièrement de voir les pouvoirs publics s'ingénier à « visser des robinets sur un réservoir vide ». Le moraliste lui donne raison. Si un régime s'applique à taire les vocations ecclésiastiques, à quoi riment des lois de pure forme que les Chambres votent actuellement ? La nature fait les hommes inquiets de leur destinée, mais L'éducation et la société donnent à leur inqui étude telle Qlj telle direction. La France avait jusqu ici con:servé ses sentiments traditionnels avec, ou plutôt malgré ses institutions. On travaille maintenant à nous ôter nos sentiments et •l'école laïque fait de l'athéisme révolutionnaire un système. Les peuples se gouvernent par des exemples plutôt que par des lois. L'absence d'influences moralisantes sur la jeunesse est la grande plaie politique de la France LES PROFESSEURS DE LYCEE A LA C. q ? Voyez ce qui s'est passé hier au Consrès'des professeurs de lycée et du personnel de l'enseignement secondaire féminin! Ces singuliers pédagogues ont voté, par 4.017 voix contre 743, une motion favorable à une collaboration avec la Fédération générale de l'enseignement, qui n'est plus qu'une section dé la Confédération générale du travail.

La Confédération générale du travail est l'organe de la révolution marxiste, et notre gouvernement va permettre aux éducateurs de notre jeunesse de recevoir leurs directives de cette organisation. Bien plus, nos Chambres se préparent à créer à son bénéfice un monopole de enseignement

A QUOI TIENT LA PAIX DU MONDE Le pacte Kellogg a mis la guerre hors la loi. C'est entendu dans l'ancien comme dans le nouveau monde. Mais hier, à propos de l'incident de la goélette anglaise t'm alone, poursuivie et coulée par les garde-côte américains, un membre important de la Chambre des Représentants de Washington n'hésitait pas à déclarer que « la décision prise par le gouvernement américain de renforcer la loi interdisant la vente ou la consommation des boissons alcooliques sur le territoire américain pourrait précipiter une guerre entre les Etats-Unis et les nations européennes ».

On peut compter sur la sagesse et la pondération de la diplomatie anglaise pour réduire à ses justes proportions le fait regrettable que l'on nous signale Mais tant qu'il y aura des hommes animés par les passions, la guerre restera entre les mains des dieux LUCIEN Corpechot.

LA JOURNEE DES EXPERTS ̃^ Les experts tiendront aujourd'hui une

v|S|L_^ séance décisive. Ils sauront si la pre-

jfFL mière phase de leurs travaux, qui a

duré huit semaines, peut avoir une conclusion avant la séparation de Pâques, ou si la solution doit être ajournée. Tout dépend de l'attitude de l'Allemagne qui a reporté de séance en séance le moment de prononcer le chiffre de ses paiements.

Les délégations ont manifesté à l'égard du docteur Schacht la plus courtoise patience. Elles ont écouté toutes ses explications. Elles ont attendu, sans le presser, l'heure où il ferait des propositions. Elles lui ont donné tout le temps d'aller à Berlin et d'en revenir. Elles l'ont laissé à sa guise partager l'annuité de l'Allemagne en deux, prendre acte des avantages que lui réservent la clause des transferts et le projet de Banque internationale. C'était une méthode qui témoignait de la grande bonne volonté du Comité.

Mais l'esprit de conciliation lui-même doit avoir une limite, au delà de laquelle il risque d'être une duperie. C'est l'Allemagne qui a réclamé la réunion des experts. C'est elle qui devait faire des propositions. Or, elle semble avoir voulu manœuvrer de telle sorte que les Alliés fussent amenés à fixer des chiffres et à les défendre. Ce renversement des rôles serait inacceptable. Les Alliés d'ailleurs ont fait connaître, dès les entretiens de Genève, qu'il y avait à leurs concessions une borne immuable. Si le docteur Schacht a sur ce sujet des idées irréductibles, ce sera au tour du gouvernement de Berlin de déclarer s'il partage les conceptions de son expert indépendant.

Il est à la rigueur compréhensible que le docteur Schacht, soucieux de ne pas mécontenter l'Amérique, consente aux annuités qui serviront aux Alliés pour payer leurs dettes, et qu'il ne porte aucun intérêt aux réparations. Mais les Alliés ont les meilleures raisons pour vouloir que les réparations, » d'ailleurs réduites, soient payées. La Belgique <a toujours manifesté sur ce point une résolution ferme, qui a une portée générale. Pratiquement, les réparations pèsent sur la situation intérieure des Alliés, et il serait injuste que l'Allemagne fût seule délivrée de la charge qui lui incombe. Politiquement, elles sont la' base juridique des réclamations faites par les pays vainqueurs, et elles sont inscrites dans le traité qui domine toute la matière. A.NDRÉ CHAUMEIX.

La vie ehère

et l'intérêt public Un ajournement significatif

L'importante commission de surveillance des prix, qui, depuis le mois de mai de l'an dernier, ne s'est pas réunie en séance plénière, devait examiner aujourd'hui, à la Préfecture de Police, les motifs de la progression constante du coût de la vie.

Ces assises sont ajournées sine die.

Cette décision est fort regrettable, car rien n'apparait plus urgent, à l'heure actuelle, que de définir et de réduire les risques sociaux provoqués par l'accroissement des charges domestiques. Il est facile d'incriminer la production, de critiquer les intermédiaires, de juger avec sévérité l'insuffisance de certains contrôles et des règlements, de se livrer à des dissertations comparatives sur les doctrines douanières.

Le mal n'est pas là surtout il réside dans notre fiscalité destructrice et dans la diminution de notre capacité monétaire.

Toutefois les milieux économiques ne modifieront rien à la situation présente s'ils s'obstinent dans une simple expectative diverses personnalités du monde de l'industrie et du commerce commencent à s'en rendre compte. Aussi, il y a quelques jours à peine, M. de Lavergne, délégué général de la Confédération générale de la Production française, déclarait, dans le très intéressant rapport annuel qu'il avait rédigé, pour son groupement, sur la situation économique de la France « II serait .téméraire de se leurrer sur la portée de la stabilisation. La valeur de la monnaie peut être reconnue par le législateur elle n'est pas fixée arbitrairement par lui elle reste soumise aux multiples influences qui réagissent sur les mouvements internationaux de capitaux. Parmi ceux-ci figure la confiance dans la stabilité du gouvernement. » Puis, faisant allusion à la balance déficitaire de notre commerce extérieur, M. de Lavergne déplorait les nouvelles charges sociales qui, 3'âhs les prochains mois, obéreront lourdement les prix de revient de la plupart de nos industries. De son côté, M. Joseph Hitier, professeur à l'Institut national agronomique et à la Faculté de droit de Paris, demandait, l'autre jour, la réforme de notre régime successoral et, au sujet de la liberté testamentaire, la revision partielle du Code Civil, afin de protéger la petite propriété foncière, base de notre résistance héréditaire et du jeu normal de nos transactions.

La Commission des prix dont la convocation avait alarmé le groupe parlementaire de défense paysanne ne siégera pas, aujourd'hui. Cette abstention a une utilité celle de souligner, publiquement, la vanité de tout effort d'amélioration économique tant que s'accentuera l'oppression fiscale de l'Etat, insoucieux de notre devise amputée. Gaétan Sanvoisin

DIK.-ŒCXErCJ-ie. -A.3STÇOIS COTX

Carnet d'Almaviva

J'imagine que notre admirable Foch,! et 'qui aimait tant ses soldats, sur son lit de souffrance, a trouver dans sa grande âme un coin de pitié pour les incidents de Rhénanie, dans lesquels nos politiciens n'ont vu qu'une occasion de chambardement parlementaire. J'en causais, en revenant des obsèques d'avanthier, avec un. de nos meilleurs historiens mililaires, mon ancien camarade aux Sciences politiques. Ce que je pense de ces incidents, me dit-il, dès ma question, mais ce que vous en pensez, ce qu'en a certainement pensé le maréchal, qu'il est douloureux, après l'hécatombe de la grande guerre, d'apprendre que des soldats] meurent ainsi. Mais que le problème a donc été mal posé Pas plus tard que cette nuit, préoccupé, moi aussi, des discours prononcés au Palais-Bourbon, je relisais dans Plutarquc excusez ce pédantisme professionnel les pages il raconte comment Marins, ayant constaté que ses légionnaires avaient peur des CimbfêSj eut l'idée de les- accabler d'un formidable travail physique. Il lQ»Mbïi<jeà de creuser entre le Rhône et la mer un canal qui reste légendaire. Vous avez entendu nommer le golfe de Fos. C'étaient les Fossœ Marianse. La besogne e était si dure que les hommes supplièrent enfin le consul de les mener utôt à la bataille. La vicioire de Fourrières fut le résultat. Et vous concluez ?

Que la première qualité d'un soldat est d'être entraîné. Que faisait d'autre l'Empereur, quand il exigeait qu'un corps d'armée, vint à pied d'Espagne en Autriche ? Comme les hommes s'étaient hâtés et qu'ils rejoignaient la grande armée en moins de jours que le Maître n'avait fixé « C'est bien marcher » fut son seul éloge, et les grognards trouvaient ces exigences si légitinics qu'ils ne se plaignirent pas. L'abbé de Pradt raconte que, le soir du Jour où Napoléon était' arrivé à l'ambassade de Varsovie, après la terrible retraite de Russie, les deux clrenadiers qui l'avaient accompagné dormaient debout devant la porte du palais: «Allez uous coucher, mes braves », leur dit l'abbé, et l'un d'eux, se réveillant,- répond r Jamais de la vie. On m'a trop fait lever. »

C'est magnifique, dis-je, mais c'étaient des vétérans.

̃ Tout simplement des soldats de métier. On a cherché des responsables aux morts surDénués en Rhénanie. IT^'&istent, mais ce sont les législateurs qui ont conçu et voté le service d'un an. Pour que le soldat rfasse campagne, il est de toute nécessité qu'il soit -endurci, et il ne peut l'être que par l'accoutumance aux rigueurs des saisons. Ce n'est pas à vingt ans et par un casernement de quelques mois que cette éducation peut se faire. Imaginez que nous ayons eu en Rhénanie des professionnels de régiment, recrutés par vocation et dressés à une discipline de solide endurance, croyez-vous que la grippe eût fait parmi eux de pareils ravages ?

Alors, d'après vous ?.

D'après moi, l'armée nationale, comprise comme elle l'est, par des députés, pour qui un vrai soldat représente la défenestration possible, est un mauvais, outil. Que tous les Français valides soient appelés en temps de guerre, c'est une cruelle nécessité. Mais il faut qu'un solide cadre préalable soit formé pour que cette masse à demi préparée s'y adapte. Que furent d'abord les troupes de la Révolu-.tion ? Un afflux de volontaires coulé dans l'armée de l'ancien Régime.

Allez donc tenir de pareils propos à la tribune de la Chambre. ïr,

̃ Aussi, ne serai- je jamais candidat. Mais les idées justes, vérifiées par les faits, finissent par avoir raison d*ès sophismëê /èi des utopies. Vous et moi, nous reverrons tôt ou tard une armée de métier*, parce que la France ne peut pas se passer de soldats et qu'il n'y a pas d'autre procédé pour en fabriquer.

Un croiseur s'appellera « Foch »

Le ministre de la maryie a décidé, hier, de donner le nom de Foch au croiseur de 10.000 tonnes qui est en construction à Brest et doit être lancé à la fin d'avril ou au commencement de mai. Les marins; comme la Frarice entière, applaudiront à cette décision. Il est très bien que dans la série de nos nouveaux croiseurs cette grande gloire militaire voisine avec les gloires maritimes de Duquesne, Tourville et SUffren.

Du reste, c'est là pour notre flotte une tradition ancienne. Nous avons eu naguère des cuirassés ou des croiseurs qui s'appelaient le Davout, le Masséna, le Catinat, le Coudé, le Friànt, le Bugeaud, etc., de même que d'aujres commémoraient des victoires terrestres Vtènà, le Fleurus, l'Austerlitz, le Wattignies, ï'Isly, etc.. Et dans la liste des navires actuellement en chantier figurent côte à> côte le Colbert et le Vauban.

Jamais l'armée et la marine n'ont mieux senti que depuis la Grande Guerre combien elles dépendent l'une de l'autre, à quel point leur collaboration est nécessaire' à la sécurité du pays. Le nom de Foch inscrit ,à l'arrière d'un croiseur rappellera aux chefs maritimes les grands principes de stratégie que l'illustre maréchal avait1' codifiés avant de les mettre en pratique principes qui valent sur mer comme sur terre, de même qu'ils sont vrais pour tous tes temps. Brodé en lettres d'or sur les bonnets. de marins, il sera l'inspirateur de tous les dévouements. Et quel capitaine de vaisseau, quel amiral, ne serait pas fier de conduire le Foch au milieu d'une assemblée de navires étrangers ? Le respect naîtra devant lui. Et comment, s'il doit se battre un jour, ri'aurait-il pas la victoire ?

A. Thonazi.

BILLET K, DE MINUIT

Jadis dès le temps de mes enfances je gardais pieusement les moindres lettres que m'écrivaient mes amis. C'était presque du fétichisme. Qu'est-ce que Freud en penserait ? Je n'en sais rien, mais il aurait tort. A l'âge respectable, exécrable, veux-je dire, où je suis parvenu, je puis bien avouer sans fausse honte que ma pureté était alors exemplaire, et sans plus de honte confesser que je l'ai depuis lors perdue irrémédiablement. La crise du logement m'a, hélas obligé de détruire ces archives, qui tenaient trop de place. Je ne saurais dire combien je les regrette, Le ciel m'a doué, par bonheur, d'une mémoire des yeux qui" touche au prodige. Hier, en revenant des funérailles' du maréchal Foch, je me suis rappelé; j'ai relu de souvenir l'une de ces lettres sacrifiées. Elle est de circonstance; car elle me fut adressée peu de jours après l'enterrement de M.. Thiers par mon plus ancien camarade de collège, mon contemporain à huit jours près nous avions alors quinze ans tous les deux.

Nous avions le même âge, mais j'étais beaucoup | plus avancé. Mon camarade était gobeur, je n'avais aucune facilité à l'enthousiasme. II se destinait à la politique. Nous étions du même côté de la barricade, républicains tous les deux mais il était républicain professionnel, j'étais républicain amateur. En dépit de ces nuances imperceptibles, nous avions l'un pour l'autre une solide affection, avec ce qu'il faut de dédain réciproque pour l'assaisonner.

J'avais assisté aux obsèques de M. Thiers mon camarade n'en avait rien pu voir, pour la bonne raison qu'il était alors en province. C'était lui cependant qui m'en faisait le compte rendu et la description. Sa lettre était lyrique. Il me disait, entre autres « Et la foule, mon vieux, la foule Grave, recueillie, silencieuse. Pas une cigarette C'est magnifique »

Sur le moment, j'en rougis au bout de plus d'un demi-siècle, ce détail ne me parut pas du tout magnifique. Je trouvai qu'il manquait de noblesse. A quinze ans, quand on fait des études classiques, on a la superstition des mots nobles. L'aurais-je égarée en route ? Lorsque, relisant des yeux de INîsprit ^lettre iha'n camarade, je m'avisai que j'aurais pu faire la mêrne observation que lui, de Notre-Dame aux Invalides, elle ne me parut point si négligeable. Je lui attribuai même une sorte de valeur symbolique. Le bon peuple de Paris a une tenue parfaite, et jamais il n'adoptera le genre des journaux qui justement se piquent d'écrire pour lui. Est-ce le signe qu'il ne goûte pas davantage leurs idées ? Souhaitons-le. En attendant, nous n'avons point vu jusqu'ici, et n'avons guère chance de voir, sur le parcours de funérailles nationales, les mégots ou les pipes de l'Humanité ni les glorieux coronas du Populaire.

Abel Hermant,

de l'Académie française.

AUX INVALIDES

Les anciens combattants devant le eereueil du'Chef

Otilh>e mille anciens combattants ont défilé, hier, dans un ordre impeccable, devant leur chef, couché sous la coupole d'or des Invalides. Dès dix heures du matin, les portes de la chapelle avaient été ouvertes. Le général Mariaux. gouverneur de l'institution nationale, avait fait amener le cercueil glorieux au pied des vingtcinq marches conduisant au caveau.

Une double haie -de gardes républicains, en grande tenue, encadrait les pèlerins jusqu'à la chapelle.

Durant les premières heures,, on permit tous ceux qui se présentaient d'accéder à la crypte. Mais, par la suite, on opéra un filtrage discret et on exigea des visiteurs la carte ou l'insigne des anciens combattants, Aussi, au cours de l'aprèsmidi, le cortège put-il accomplir, dans le pieux recueillement qui convenait, le pèlerinage qu'un geste réparateur des pouvoirs publics a permis d'organiser.

Beaucoup des héros de la grande guerre avaient amené avec eux leur famille. Rien n'était plus émouvant que la vue de ces hommes, souvent meurtris dans leur chair, menant par la main leurs enfants devant la dépouille de celui qui a tout fait pour qu'eux du moins ne connaissent pas de semblables souffrances

Derrière l'autel de l'église Saint-Louis, les portes de la crypte grandes ouvertes et, dra,pées de noir, portaient une écharpe tricolore. Le cercueil était recouvert du drapeau national, avec, tout autour, la couronne de coussins noirs portant les décorations et le' 'bâton étoile 3u maréchalat.

Quatre gardes, immobiles et sabre au clair, rendaient les honneurs.

Les anciens combattants, en mince file, s'éloignaient à regret de la crypte. Car, dès aujourd'hui, le cercueil du grand soldat sera à jamais dérobé "aux regards.. 11 sera déposé dans une des alvéoles du caveau, dont l'entrée sera immédiate^ment scellée.

.Et le grand capitaine Ferdinand Foch reposera là, pour quelque temps, entre le cœur de Mlle de Sombreuil et celui du général Bisson. avant d'aller dormir son éternel sommeil plus près encore du grand Empereur,

JEUDI 28 MARS 1929

PROPOS. DIPLOMATIQUES

Une visite de Guillaume II a au Vatican

Le 11 octobre 1888, Guillaume IL arrivait a Rome pour y faire à son allié le roi d'Italie, sa visite d'avènement .Afin de ne pas mécontenter ses sujets catholiques, l'Empereur se rendit également au Vatican. De cette mémorable rencontre, avec. Léon XIII, la France eut grandement à se féliciter. Dans nos rapports avec l'Allemagne, si nous avons tout à craindre de son ambition, nous avons parfois beaucoup à espérer de son aveuglement ou de sa brutalité. Dès le début de son règne, Guillaume II avait inauguré sa fonction essentielle celle de commis voyageur, de l'oligarchie régnante, oligarchie militaire et industrielle qui était ]à maîtresse de l'Empire et qui, à l'abri des fictions constitutionnelles l'est toujours, puisqu'elle détient la force organisée de l'Etat, sa puissance économique et, par le quasi-monopole, de la Presse, l'opinion. Quant à son impérial commis voyageur, il n'est plus nécessaire, là propagande allemande étant faite sur place par la germanophilie interalliée. A cet égard, les successeurs de Guillaume II, ce sont nos pacifistes.

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Léon XIII fondait de. grandes espérances .sur. son entrevue avec le plus puissant souverain du monde. A une époque où, sans être tous des saints, nos dirigeants, pour nous désarmer matériellement, affectent de faire toujours appel aux forces morales, comme s'ils en disposaient, nous leur, proposons l'exemple de' ce grand pape, investi d'un pouvoir exclusivement spirir tu ©1/ tout rayonnant d'idéalisme et. même d'ascétisme avec sa tête émaciée, son profil milice et translucide comnip u.ae hostie, niais qui, représentant de Dieu sur terre, compte avec lés forces terrestres et 'ne néglige pas celles d'un souverain hérétique. Le moment lui semble propice pour recueillir les fruits d'une longue campagne diplomatique au cours de laquelle il n'a ménagé.iii. les fifforis, ni même, les, sacri-

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Léon XIII a donné la mesuré du prix qu'il attachait à l'entente avec Berlin quand, pour l'assurer, il alla jusqu'à inviter le centre catholique à voter le septennat militaire. Bismarck, il est vrai, souhaitait trop ardemment cette intervention du Saint-Siège pour ne pas lui prodiguer des prévenances dont il devait bien rire sous cape. Par exemple, après avoir, lors du Concile du Vatican, combattu l'infaillibilité avec l'espoir de provoquer un schisme, il fit condamner par le, tribunal d'Empire un journaliste pour avoir publié un article injurieux sur cette même infaillibilité. Il s'en fît de nouveau le champion quand le centre opposa un non possumus aux- instructions'du pape.. Les journaux invoquèrent contre les1 députés catholiques et leur chef Windthorst, -la bulle unam sanctam lancée en 1302 par Boniface VIII pour enjoindre aux catholiques d'obéir au pape, « source de toute juridiction, de toute infaillibilité, et de tout pouvoir séculier et spirituel ». Quant au Kronprinz, le futur Guillaume II, il s'écriait: « Ce Centre! Ce Centre Le pape ne ya-t-il pas retrousser sa soutane et retrousser ses manches pour empoigner tous ces'gensrlà ? ̃̃» .•̃ -v ̃̃'̃ >v'En; outre1,' 'Bismarck s'était donné beaucoup de mal pour persuader le Vatican que la paix de l'Europe* dépendait du septennat, c'est-àdire de l'hégémonie militaire de l' Allemagne. Léon XIII avait trop médité les enseignements de l'histoire pour être dupe de ce sophisme auquel la grande guerre a infligé le plus sanglant démenti. Aussi longtemps qu'il y aura une "Europe et que les peuples auront l'amour de l'indépendance, toute tentative d'hégémonie, fûtelle d'abord triomphante, se brisera tôt ou tard contre leur coalition.

̃̃•̃̃ ̃ '-̃==*̃̃ "̃• ̃• .•'̃

̃ ̃' ̃

L'événement a démontré qu'ils ne sont pas plus disposés à se courber sous le joug de l'Allemagne que' sous celui de Louis XIV ou de Napoléon. Plus. que tout autre, l'Empire .allemand créé par la violence, ne pouvait grandir que par la violence. La loi de son origine est aussi celle de son dé\'eloppemènt. En fait, le septennat a été le point de départ de la course aux armements et a préparé le cataclysme de 1914.. Comment .expliquer que cet illustre Pontife qui recherchait la grandeur de l'Eglise, le maintien dé la paix et î*amitié de la France, ait donné son concours à une politique incompatible avec ce triple objectif, puisqu'elle visait à l'accomplissement, au profit d'un Empire protestant, du rêve de monarchie universelle, vainement poursuivi au 12" siècle par le 1Saint-Siège; et ne pouvait réussir que par la guerre, en accablant de nouveau notre pays t Cette dernière perspective devait être d'autant plus affligeante qu'on n'avait pas encore oublié au Vatican que la chute du pouvoir temporel, le 20 septembre 1870, le jour où les troupes italiennes pénétrèrent dans Rome par la, brèche de la Porta Pia, était un épilogue de Sedan. On n'y avait pas oublié non plus que si, à la veille de la guerre, Napoléon III avait consenti à rappeler les troupes françaises qui maintenaient la souveraineté pontificale dans la 'ville éternelle, il eût sans doute obtenu l'alliance de l'Italie et, par voie de conséquence, celle de l'Autri-»


che, ce qui eût change en faveur de la France 1e cours $e l'histoire. « Jamais » s'était éjr^ M. Routarr àr la tribune dé la Ohàmbre^'effléw ponse à ceux qui sommaient le gouvernement, impérial d'abandonner le Saint-Siège. On âdît qu'en politique demain signifie jamais. En revâïiofiei ;le jamais de M: Kotther signifiait $einÉiï? É'ais; la fatalité de' la guerre à'êms- trelise qui nous fut .imposée par l'Allemagiiei Si, malgré ces considérations qui semblaient imposer tout au iïiôlri's la neutralité dans le conflit survenu entre Bisirtàrck et le Centre, Léon XiJI a Usé de toute son autorité efi faveur de l'hégéirionie militaire de .rAllemagne. c'est, «ans doute, parce qu'il la jugeait inévitable rét tiSc'omptait'lâ reconnaissance de Berlin pour u'û service pïn s apparent1 que réel. C'est la périmée qui "apparaît ïfa'frs la lettre adressée. ';lé 2,1' ja^-

̃vjer;l:888*au /noixce .de1 ^iinîclif ^a^le^^er^t^ir'Q

<d*ëi:at^le cardinal Jaeobini. 'a;- -.> ̃̃.?[[

\v.«.îç.!3Saint-Siège. ,d|t-il,; ne ppuyait laisse,f échapper, Jj'joccasion de se çoneÛiei" ,ies sentj,- ments bienveillants du puissant; Empire d''Al~

leifisigne,. ém th,e •: d'améliorer: sa- sîtuatioitWf u-

ture. »•••'••̃̃. l '̃̃̃•̃:•̃̃• ••• ̃ '̃'>'•! ̃<̃-̃̃:•.>̃•:>̃?" '"<;̃̃

Huhe s'agit plus dii Kiûtur Kanipf qui cessèï'a Weiitôtj'à là suite de marchandages entré 6iSaïïarck t Wiiidthofst, qu'une caricaturé ]df è l'époque montre disant au chancelier « -Pour iiji'^fé.suite^ je vous donnerai trois soldats, >? j 1.1 s'agit de la situation politique du Saint-Siège, c'est-à-dire- du pouvoir temporel dont j^eul, penr saitron nw '.Vatican f l'Empereur d'Allemagne tout-puissant allié du Roi d'Italie était à même d'imposerla restauration.

"L'occasîoh se présenta bientôt d'éprouver cés

[«Sentiinerits bienveillants ».>̃

Guillaume II rit bien au Vatican la visite au cours de laquelle Léon XIII se proposait. d'exei* cçr tout son ascendant sur le jeune Empereur, pour lier partie avec lui et obtenir l'équivalent de ses concessions. Selon le cérémonial cônve'J nu, l'Empereur ne s'y rendit pas -directement •du Quirinal, mais de la légation de Prusse près" Je Saint-Siège, que la fiction diplomatique assir iriîï'e' au territoire allemand. Il était si ému en entrant au Vatican, q^^i^bi'4oJpb§r(îS«»

S?PSW$f ^?ï> ff^~ •̃<;« i.Mi: xiiY^i or. ii L^uQ

,w: I|tj ayait.jdf .qiuoiitrfljtçoUjbléflSsiij.tîffminHfjtoiut

l'indique, Guillaume H était au courant du'isfeér nario qui allait se dérouler et où un rôle odieux lui était réservé. Léon XIII joyeux et patëïhHi reçoit l'Empereur avec un geste de bénédictioftl Les voici en tète à tète pour régler le sort ç(ii inonde. Quelques minutes se sont à peine écoulées qu'un tumulte éclate dans l'antichambre. ,e,t que la porte s'ouvre brusquement. Le Pape, s'é* crie « Qu'y a-t-il ? Fermez donc » Son orf dre; ji'est pas obéi. C'est le frère de l'Empereur1, le prince. Henri de Prusse qui, accompagné <ï':Hefbert de Bismarck, bousculant lesconslgâë's et la garde noble, vient interrompre l'éntrîétîën,- et, souriant, emmène Guillaume il pâ,le

et nerveux.

Par un raffinement de grossièreté, afin que l'offense fût publique, dans cette Rome le Pa$e avait rêvé de manifester son entente avec 3'Empereur, entente qu'il avait déjà payée Mi ̃très haut prix, Guillaume II, contrairement" â ce' cfUî- avait été convenu, retourna directem'ènt âû Qùîrinal. Le soir même, au banquet de'jfô Cour, il portait un toast au roi d'Italie, ;f ^oa hôte dans sa çàj.ntal,çV»., t “,•

Quelque^ '^M^pr^vM'^iW'e-fe-QÛittf.WQû

Xlïr avait (Jnç.çf e^lesjaçjijfts .^ux.-yfviix. AhtKVfgfa

^iéf>iQuë par Méphisto si, comme Goetjie,'

Méphïsto, c'est l'esprit qui' dit non* Guil-

laume II s'était brutalement refusé à l'entente dont il avait empoché d'avance les avantages san» contre-partie. L'expérience prouve que, même au Vatican, sur le plan terrestre, il laût une longue cuiller pour souper avec le diabïé> ..̃ ̃ Ulysse.

les offices de la Semaine Sainte~ rs~ dans les principales Eglises de Pans

A, Notre-Dame. Le Jeudi Saint; S. Eni.-le car1 ̃tlinaj Dubois officiera pontilicalement à 8 h. 30 èt> à 14 heures et présidera à 20 h. 30 le sermon dtfi R; P, Pinard de La Boullaye. Le Vendredi Sainf S.Ein. le cardinal Dubois célébrera l'office à 9 ,hj et 'présidera à 20 h. 30 la Passion prèchée par lé. 'R. P. Pinard de La Boullaye. A 13 n., sermon sur la Passion, par le R. P. Barret. > A Saint-Augustin. Le Jeudi Saint, à 14 li., sermon? par M. l'abbé Lacour à 20 h. 30, sermon par Ie''RrP;: Knhn. Le Vendredi Saint, à Ï3' È. éf 20 h. 30, sermon par le B. P. Kuhn.

A ̃Saint-Charlii.'i-de-Mùiiéemi:' ;Le "•Jëtitli Saiht,

à 15 li. 30,- sermon: jWJt/iJtë/* PMb«#»;TSui<h*ïm A- 20 -h: 30, sermon rftiBiléfORii'Ip.JiBèrrraiiaF.^a1-^ Vendredi Saint, sermon par Dom Chauvin, et â' 20, h, 30^ par le R. P. Bernard.

ASaïnt-Eustache. Le Jeudi Saint, à 20 h., ser- mon parle R. P. Mao. Le Vendredi Saint, à 16 h., sermon par le~R. P. (lahy. Le célèbre, maîtrise, forte de .près de 100 cho^is-tes et instrumentisteSi exécufera pendant la cérémonie le Reniement de saint Pierre (Marc-Antoine Charpentier. 1660), le Actus Tragieus (J.-S. Bach, 1711), des -chœurs d'Hsenilel, DVir'ahte, Vittoria et Astorga). Solistes Mmes Dai-ien, Jeandet, Picard, Terrons MM. de Patel- Hère, Stéphane Austin. Deniau. A 20 h., sermon pav le, R. P. Mao.

,4 Saint-Françoi.i-de-SaJes. Le Jeudi Saint, à 20 h. 30, sermon par Mgr Dieu. Le Vendredi Saint, à 13 h. 30. sermon par M. l'abbé Audoin à 20 h. 30, sermon par Mgr Dieu.

A' Saïni-Gérmain-l'Auxerrois. Le Jeudi et le Vendredi Saints, à 20 h. 30, sermon par le H. "P: -de Bovnes. 1

•A' Saint-Honoré-d'Eylau. Le Jeudi Saint, à 20 H. 30, sermon par M. l'abbé Chevrot. ̃ Le Vendredi Saint, à 14 h., sermon par M. l'abbé. Simo-, nafd à 20 h. 30, sermon par M. l'abbé Chèvrot. .4 lu Madeleine^ Le Jeudi Saint, à 15 h., sermon pnr M. l'abbé Verriet à 20 'h. 30, sermon par le l)t V. HénussjD., Le Vendredi. Saint, à 13 h., sewnôn iiar;ie,B, P..Hén'us.se à 20 h. 3.0, sermon.

pat- le r:W Pi-dé. •̃.̃̃ u .:• ̃ ::̃>

A Sawt-Philippc-du-Houle-. Le Jeudi Saint7 à 15 h.j sermon par te H. P. Delor; à 20 h. 30, sermon par le fi. P. MarU'-Arnimid. l.e Vendredi Saint, à 14 vli.y, sermon par )e H.. P. Deloj- ù, M h- 30, sermon par le R. P. Marie-Armand. ̃:̃ -• ,.4. ÇawtrPiflrverdç-.ÇhaiUot. Le .-Jeudi Saint,- à 20" hVUO. sermon par M. l'abbé Foateny. Le Vendredi Saint, à 14 h.. sermon par le R. P. Dehaut. A 20 h. 30, sermjttnpar. M. l'abbé Eonteny. ••' •> A Sainte-CivHlde. Le Jeudi. Saint et le Vendredi Saint, à 20 h. 30, sermon par le R. P. Jeajt» de Dieu.

A Saint-Germain-des-Prés. Le Jeudi et le Vendredi; Saints, à 20 h. 30, sermon par M. l'aMié Cordonnier.

A^Saint-Pierre-du-Gros-Caillou. Le Jeudi et le Vendredi Saints, à 20 h. 30, sermon, par :1c ,R. P.. Barret. v; 4 ,&pini-Sulpice. Le Jeudi et le Vendredi Sftiijts.*â 20 h. 30, sermon parle R. P. Lamblin. ASainl-Thomas-d'Aquin. Le. Jeudi et le Vendredi Saints, sermon par M. l'afcbé Lacoste,

Les, Cours, les Auttbasiadf s, M Monde et la Ville

e

I

t

Les Cours

S. M. la reine Marie de Roaœânie. et la prttitesâe Ilearia sont arrivées Mer matin à Madrid, où elles ont été reçues à la gare par le roi Alphonse XÏÎÏ et les membres de la famille royale, le vice-pfésident du Conseil e&def ^nombreuses personnalités. ̃̃̃̃̃• •̃ ̃ J ïî^l Après ;«ne., journée passée «u palais de Buefciffghamy 3«,3jl-Ja reinç. ,4' Angleterre est rentrée à Bognor. *& S. A. R. la duchesse d'Aoste a donné au palais de Capodimonte, à Naples, un déjéiinef intimé en rtîonneur de S. M. la reine Amélie de Portugal. Bans tes ambassades

'̃'De nombreuses pèréorinklit'és de jl colqiiié ''èspa-

iiKrte. ëtPéitè'ik Miftâiti\si:U ifinfa%ssa.$tii-&$;4>ji£ûë,

è8â^Hàvprfesid<é"rifcë'dfe S.Exc'. M.: Qumones dé'ï,fe'on;eii

•vue id -ouvrir1. une' 'sbuscription pouf l'érectioiï d'un" moi^niQpt ifeniéjBoira.'de la- rtine; Marie-Christine.. ̃ "ltdl .MÕi1àeotfi~lêl"

'•' 'fï'w1 < •̃̃ '.• .m*; .r' if '̃̃-̃

-Sf- Jfeyl Painlev^ijmjaistre de la gu.erre. ,a. reçu Ker; matin .à. déjeuner les, chefs des délégations militaires ̃étrangères vendes à Paris pour les funérailles du maré- chal' fôctt. Lés maréchaux de France assistaient également ai ce déjeuner. syj&kç. M. G.-G. Miroriesco. ministre des affaires étrangères dé Roumanie, est arrivé h'iéf matin, à M gare 'de' '¥%£?, par rOrient-Èxpress. venant de Bucarest. Le ministre était accompagné dë' S. Exe. M. Carol ïïâvila, fiftihistre -de Roumanie à Washington^ et du iirfncë G. Ëdg. "Msvroc'ordato, chef- de son dabineC. ̃ ̃•̃

Renseignements, mondains

.,♦ 1g* comte et la comtesse Humbert Costa de Beaufegard,iyiennent de partir pour Rome.-

',i.^ MmteWeill Goudchaux a quitté Taris, pour.- •.Florence, £tt,ne recevra pas avant lé 21 avril.̃̃ •-•̃♦'Mme Georges Lakhovsîty, 'absente de Paris, rie reççsyrà-,pap, le S avril. •̃•'

.̃>̃'̃̃>,̃•̃. ;r-i ̃. -Kaissattces •. ̃'̃•'

'̃♦"•'Ml 'François FoùtTiier et madame, née Madeleine Vautîé'r'i''sont heureux d'àniibhcer la naissance de leur fils, Louis-Frédéric. ••'̃ ̃••••'̃ -'•̃•• ̃ ":<:

'<futf!t.. 't.?" t'. .l,s ~tt-,

M, Ravniprra Leniarchand et.madame. née D,eesélas.

feônt heureux, cl annoncer la naissance de leur fus, Mail?

he!wA 'v'"i '•'̃• ̃•••̃•«̃^q."i-

̃̃• '< î! {> /• •'̃ J s~B i i> V- ••>! Vf* '.iu~ :̃'̃:̃ -r;v. ;(;î(r- '̃"

]^ Le L comte et la, comtesse de Lur, Salu.ces sont rieure^x àc faire part de la naissance, de leur fille, arie. Mme Pierre 'Jeanson, née Lefebvre-Dibon, a donné le jour à une fille qui a reçu le prénom de Miriam. Mme René de Belloy, née de Tugny, a heureusement mis au monde un fils, Jean. Dourdan, le iS mars. •̃'̃̃ Cercles

•̃^ Ont' été reçus: membres permanents du Cercle de l'Uriidn artistique au ballottage,d'hier °

̃ rlie vicomte de Froidefond de Florian, présenté par le marquis de Barthélémy et le comte Maingard M. Antoine de Boissieu, présenté par le baron Tupinier et le vicppite de B,oissieu.,

̃♦ En raison de la mort de son illustre président, maréchal Foch. le Comité de l'Union Interalliée a décidé, la suppression des réceptions, fêtes et soirées jusqu'au début de mai. feules, les conférences de MM. Pierre Benoît, FunckBrêH'lând, l'Institut, S. Exe. le comte de Saint- Aulaire, ambassadeur de France, auront lieu respectivement les 91 avril, ;3à avril et 14 mai, à quinze heures et demie.

»>«"" --i-'r.; ̃̃ JJ#ii&WŒft, '•

n(#,jSr©u% appr»n<)W$|iles*'6ïnçailies>de'MUe. Gfeèle Mi-' gnftt, Bbzérian|;§J{f 5 [da* M«.»-|yl!K>ofc > Bozériaii^i 4pciefi, ..djê*

EMlRirf.'BurçjBfe'feftipii et Jji((1toe, Mignot Bozérja.n,. a^c,

~.tK,' Albett r~rl\~1¥<if. beau ~l~f~15, du général ay~c.. de

M.. Albert Planchpn, beap-fils ^gls, du général et de

Mme Sègbnne. "rrj

,c. '̃-> ̃'̃ ̃̃• ̃ri.')"i< ̃̃ ̃'̃ •̃̃̃'

♦: .On ,aniip;}ce les .fiançailles de M. Bernard Valdeljèyie,, ingénieur E.C.P., fils de M. et Mme Alfred Valdelièvre et neveu du général et Mme Morgon, avec Mlle Marguerite de Labeau, fille du baron et de la baronne de. tabeau.

.♦On annonce les fiançailles de Mlle Marie Groussau. petite-fille de M. Groussau, député du Nord, et de M. Joseph L'Hôpital, l'écrivain normand, avec M. François Join-Lambert, fils de M. Join-Lambert, archiviste paléographe, ancien membre de l'Ecole de Rome, et de madame, née Lacave La Plagne Barris. '*♦ '(M annonce les fiançailles de Mlle de Mollins avec M. Jean de Sandol-Roy.

Deuils

.♦La marquise douairière de Cambridge, dont l'état de santé s'était aggravé, a succombé mardi soir, à Lonrdres.- à .une,, pneumonie, dans sa cinquante-septième année. Née Msrgaret Grosyenor et quatrième fille dit premier duc de. Westminster, elle,a,vait épgusé en 1894 le marquis de .Cambridge, frère de S., M. 18 *eine d'Angleterre et du comte d'Athlone. ,r,

> De, ce. mariage elle avait ey:,guatre enfants le; comte

HR TEM~E~RT'U~

:^f.çbabililés: pour aujourd'hui.

̃ -Vent faible; mais variable. ̃̃•

CM. brumeux, avec éckiircies. ''̃ •' "-•

Mêtnç.tempêtatùre. ̃

à m ;.x.

bféfôqpçiénéè tâdiogêniqûe Un des épisodes marquants des funérailles du marféçhal Foch a été la diffusion du discours prononcé par le président du Conseil. Des milliers de personnes qui ne voyaient pas l'orateur ont pu ainsi entendre ï^éloge du défunt.. C'était un spectacle assurément, curieux que cette foule massée par exemple place de la Concorde et. recevant avec un silènee recueilli les paroleS>Vroftônçées aux Invalides. Si Tôîi! songe au nombre de gens qui, dans le même temps écoutaient ce même discours à leurs inftaïlations de "T. S. F., on songe que l'éloquence del demain sera aécessairement différente de celle

4'a.ujoprd'Jwb 1 ,.v; ,«it, ̃̃̃; y. v^w-'n.,»! t. ?.̃̃̃••.

Un récent Gœnei de. Figaro rappelait que, lors dès 'dernières élections s américaines,' M. Hoover avait certainement dû une part de son succès à la perfection' avec laquelle il s'exprimait devant le microphone.

Actuellement, l'éloquence reste régie par le prinçîpe ide, Démbsthène «De l'action, encore de l'action Une voix flexible, Une grande variété de gestes et d'attitudes sont nécessaires à l'homme qui parle; Surtout, nous aimons que l'orateur improvisé, ou du moins qu'il nous en donne l'illusion. S'il tient un papier, il nous paraît moins éloquent. Cette conception autorise et favorise l'imprécision de la pensée et le débraillé de la forme. Elle explique,en partie pourquoi l'éloquence de nos parlementaires est si souvent incorrecte, plate ou cm-

d'Eltham. la duchesse de Beaufort, lady Hélène Gibbs et lord Frédéric.. •> ̃. > y' •« Hier ont. été cêiébfées, en l'êgïtét ̃ grecque de Ja rue Georges-Bizet, les obsèques de M. X. Balli. Les prières de la religion orthodoxe ont été dites par le supérieur Kazokos, .assisté de l'archimandrite Paradîsis. Le deuil» était représenté ;par.I me .Papas, sœur du défunt, par Mme John Balïi, sa belle-soeur, et les autres membres de la famille.' :iw -<•, .•Parlé l'assistance -j-'K 1 ..J'.i /.i.li '.> 'J' 1- Mme ]n maréchale Lyau.tev, S.. À. le prince Murât, duchesse de Morny, comte Greffulhe. duc de Morny, comté et coffltessé de Chabrillan, comte et comtesse J. de Sfortemart, marquise de Miîille, marquise de 'Fiers.; "printeëssel'0àTeépiS1ri'i*. 'do'mté' ifc'cointesse (le Hbha,ti -Chabot' marquis de, tSanaj', comte "do -Moriny, -cdmfe du P'ontavice, Mme Vesnj^chj Mme ;Delyajii]i, y\. gt Mme Th. Haltazzi, comte'* et comtesse 0. de Shn'frfsf, comte Rœderer, M. 'James^Hoimessv, baron Hottinituer, marquis et màrqnise de Saint-SauveUr, comte de VlétCastel, comte et «omtès'so (5aston de' Périgny; comte Hubert de Poùrtalès,, ç£m|eaK;ogL'r de Beauregartl1, générale de Virv, comtesse de Roussv de Sales, comte de Chamelle, M. teyiiioiid Lazard, ICIIfo' 0heilKamff, M. André Vsglia-iio, M. N.-Ei' Ambatielos) Mme Paul Negfoponte, Mme Sgouta.M. e,t Mme,Jean Ster,n, M. Jean Nicolopôulo, prince et priueessë -PetrocoKino, professeur et Mme Félix Terrien, baron Maurice dé Nexon, comte Guy de Chevigné, M. et Mme Nicolas Rallj, baronne Baeyens, Mme TfOùsSeàii, M. et Mme René Lôze, M. et Mme Jacques Lc-guèu, M. et Mme Renault de la TcmpleHe. Marquise de Valcarlos, .Mme Charles, Rouvier, Mme Lùcâs-Championnière, Mme Jean-Félix Guyqn, M. J. de Chtft'debien, comte Antoine Hocquaft, Mme Hély d'Oissel, M. et Mnie de Xélidoff, Mme A.-G. Cartali, comte Vigier, comte Jean Le Gonidec, comte Guy Le Gonidec, baron et baronne Gérard ''Tabvier, générale 4ttbïcr, M. et Mme Michel de Zogjiel), Mme Stéphane Jottssèlîri, Mine Xélatûn, M. J. Saint-Olive, baron de Bouléménf, général Blacqne-Bclîdr, M. et Mme Armand Brun, M. et Mme WHJy Blumenthali Mme Scrini, baron Robert de Nexon, M. et Mme Paul d'Ocagnc, Mme Legràiid, née Kournès. comte et comtesse de Saporta, Mme Brouardel, M. H. de Sandol-Roy, .marquise- de la Croix, Mme Funck-Brentano, baron et baronne Lucre,

M. Mahot de la Quérantonnais, M. André' 'Vafilianb,

M. Jean Thierry, Mme M. de Gheest,- comte de' Grâmedo, M, ,A.:BaguenauJt de Puchesse, docteur. et Mme Ralli, M. Georges Rodocanachi, M. et Mme J. Hellbronner, M. A. Tanvacopoulo, viedmte de Villeneuve, Mme Ê. Xrolsifir, Mme ,2ygomala. ,Mlle Coronio, comte de la Tour-en-Voivr'e, M. Georges. Bleck, le professeur et Mme Léon Bernard, M.' Jean Jouberl, M. de Mëzailles, baron F(>y, Mlle Weisweillei;, Mme Thi Rodocanachi, M. et Mme E. Antoiiiqdi, colonel Gillois, M. N. Eck, Mme Sethiari, licutenànt-colonel Cailfôult, M. H. Say, Mine Auguste IlodoBanachi, M. et 'MmesJeftn Hodoeunai-hl,

Mnie^L^.Guzjnap Blançq,M.j^"2maii;B.Iu:uw? etc.

ï.&lft£s<'Jfc eérémonie .religieuse, le ç6rps}aoététidépol3é

dans;, les, ea<?eaux: ,de l^gUsflj.-rinhumajtJqtii dey aut>av<)jr lieu à Norwood (Ang^leterr.e)^

Nous apprenons^ Jfl. ̃ inQjt/ a l'âge de quatre-vingttrois ans, de M. Eugène Stçpfl, ancien pasteur, de l'église Saint-Thomas, à. Strasbourg., ̃.̃ 'Le pasteur Stern qui, depuis 1S82, était président du consistoire de Saint-Thomas, a publié plusieurs études sur la Réforme en Espagne et en Italie, les biographies du réformateur strasboûrgèois Martin Bùcker et du juriste- Christophe Guillaume Koclv. >: Les obsèques de M. Jean Marctthàcy ont été célébrées hier, en l'église la Madeleine.

La levée du corps a été faite par le chanoine Flynn, Curé de la paroisse, et l'absoute a- été donnée par l'abbé Hecquet, second vicaire de Saint-Louis d'Antin, ami de la famille. ̃ •̃̃

Le deuil était représenté ..par M. Maurice Marcilhacy, président de l'Ordre des ay.ocats au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, yjère du défunt M. Majcel Rambaud de Larocque, avocat honoraire au Conseil d'Etat et à la Cour de Cassation, vice-président du conseil géiiéràl de la Charente,' son grand-père M. Pierre Marcilhacy, son frère, et >M.: Léon Marcilhacy, son oncle. Du côté '-des dames, par Mme Maurice Marcilhacy, sa mère Mme Léon Marcilhacy. sa tante, et les autres membres de la famille.; t ïfinhuBjatioa a eu ^pij^au cimetière-, 4«bBpss^ t. On) annonce la.rri1ofeûWe::M. "Alfred (ktot, ancien» sénateur, de l'Orne,, conseille): générale. tocantoh de :Phtangeset maire de Bazqçhes-eijrHoulme, décédé subitement à l'âge deifluatre-vinglf-deux.a.ns.

On annonce la mort>,du statuaire H..Galy, chevalier de la Légion d'honneur», .décédé à Paris. On annonce de Bologne la mort de M. Alcide Mussolini, oncle du Duce.

On annonce de Delhi la mort du -maharajah de Baharatpur. ,-<

♦ Mlle Lucie George vient d'avoir la douleur de perdre sa sœur, Mlle Anna: George, .décédée à Paris le 10 mars 192g. Elle était, la fille du .regretté poète, M. Félix George, membre de la Société des Gens de. lettres et des Poètes français.

Mlle. Anna George, artiste peintre. exposa maintes fois à. Paris. Elle avait illustré notamment «.Patrie», poésie de M. Félix George, qui fut mise en musique peu de temps avant la grande guerre.

Les obsèques religieuses ont été célébrées en l'église Notre-Dame-de-Grâce de Passy, sa paroisse, le 22 mars 1920, dans la plus stricte Intimité, et l'inhumation a eu lieu au cimetière de Billancourt, dans la sépulture de famille. ̃

Hier matin ont eu Heu, en l'église. Saint-Sever, de Rouen, les obsèques dv^1f général de division Emile Borschneck, inspecteur; permanent d,es fabrications du

x*jiï*i'»<. ̃̃•̃••>%•̃'•̃•'̃̃ ftff- -̃̃ '< :> ̃ ̃ ̃£*+ ̃'•

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f phatique, et' n'est même parois qu'un ridicule cha- | rabia. Mais lorsqu'on parlera pour des auditeurs placés à des kilomètres, on s'avisera qu'il. vaut mieux lire un texte posément écrit. Que de grâces nous devrons à la science si elle tue ainsi certaine éloquence l '•'̃

l ̃̃̃'̃ V^ imn-

!fi"R

Faussaires.

Il n'y a plus guère qu'à THôtel Drouot où l'on évoque encore de temps à autre le souvenir de la Gazette du Franc. On y liquide en effet très fréquemment les parcelles de la faj meuse entreprise de la << Présidente ». On adjui gea hier, pour 14.000 francs, une B. 14 jadis i affectée à MM. les administrateurs.

Nous vendons un ''k faux cabriolet », annonça le conimissaire-prîséùr.

Nat,Uré]iemçnt, d!t un spectateur, le ni{tt<i.

riel lui-même était faux1 J

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^Instj^ ',¡, -i "•̃̃

S~n~I;, 4.

LÉON LiEMONNIER

l Xe sang quelle n'avait pas versé Il se dégage du troublait roman de Léon Lemonnier une leçon qui, à la réflexion, prend une importance singulière. Il semble après lui qu'on n'ait plus le droit d'halluciner -on lecteur par des moyens artificiels. Il y a au fond des êtres des âmes britanniques qu'il a peintes, df l'énigmalique W,. (Il- l'Arménien Tazanian, > des. éléments de mystère attachants, fantastiques et si vrais qu'on finit par craindre, en les découvrant, pour sol-même.

S Si

l Le Palais des Nations. 'ii

Enfin, on va pouvoir travailler à Genève dans

génief officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, décédé au Val de Grâce, à» Paris.

Parmi les personnalités présentes, on remarquait Le générai Corda, représentant te général Cliarpy, comtnandanl le .'i'' corps d'armée, absent de Ryiie.i^ je généra"! -Oherne, coninuindant l'infanterie de 1;r 3?1 iïî vision; M. Boulet, adjoint aU maire de Rouen le colonel Hubft-deau, commandant' le ij!)" régiment, d'infanterie le colonel Malraison, commandant le 103" régiment d'artillerie' lourde de nombreux officier:; de la garnison et des amis d'Alsace, doat Iç.çfjtfnt était originaire, de Rouen et d'Elbeuf. Le corps a ensuite été transporté dans un fourgon au cimetière de Sotteville-Iès-RdUen, l'inhumation a eu l;eu dans- le cave'au'îde famille.('V> .î'5'' i vJ

̃••tf.iiy :-} -V-- ̃'̃fi/ "•r'h<i<i ''H'?, ÎUi'b •>î

y[ Le. docteur Jean ,Lher.iiutt,e^ pi-ofesseiy;- jUgjre^f.

la "Faculté de mëSecirie', et Mme Jeaii Lhermitte, née Dufiocq, ont la douleur de faire' part" du>;(lé,cês'J" 'leur fils, Philippe, rappelé à Dieu l'âge1' âe ̃(hîii{.nioiHf:C;t,;ss obsèques' auront lieu aujourd'hui jeudi 28 mars,' à' îreiteè heures, en l'église Saiint-fRierre de ChailWfj ° /;>"̃̃• Nous rappelons que lés obsèques de M'me ofô'Aïaffidreiiille, née de Lamoth'e-Dfeuzy; veuve dit 'colonel tombé glorieusement pour la France,' seront cèfébrées demain vendredi 29 mars, à onze heures, en l'églièe. Saint-L'oUis', à Versailles. ̃ "̃> •̃']'"̃ ̃ ♦' On annonce la mort de Mme de Pavant i Jiée..Gabrielle de Campeau, décédée 30. avenue Victor-Ëmmanuel-fil. Ses obsèques auront lieu le mardi '2 avril," à dix heures, en l'église Saint-PKilippe-du-Rotile,où l'on se réunira. Le présent avis tient lieu d'invitation. .♦ On nous prie d'annoncer la mort de .M." Pjjjtrc Major elle, chevalier de la Légion d'honneur, intendant militaire, administrateur-délégué de la Publicité Pqur Tous. décédé subitement à son domicile; S.ace SaintMichel. Les obsèques auront lieu à midij aujourd'hui jeudi 28 mars, en l'église Saint-Séverin.

̃̃̃̃ ̃ -Sërighy;

L.=- '1'

PETIT CAËNÊT

Derniers jours de.la grande quinzaine de Pâques, chez ïY~~nty, Vous ne manquerez pas de~ :'pmntef ,des occasions qui vous. sont présenté et }¡:s sp9rts. t u eTtonchèC e ,H' > .1. >

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.<" .,̃ •(!̃ ii nrrw.î/ >it!O.(

un cadre digne de la grande œuvre entreprise. Le secrétaire général de la S. D.N. et M. Mbttai celui-ci au nom de la Confédération suisse, agissant comme mandataire de l'Etat et de la ville de Genève, ont signé avant-hier la convention relative à l'échange des terrains de PÀriana et de Secheron conclue entre eux.

On sait que sur ce terrain s'élèvera un jour 1 le Palais des Nations dont on a tant parlé. Il sera l'oasis de la paix, les loups y deviendront agneaux et M. Valdemaras y fera figure d'un homme aimable. Quel que soit ce palais de l'Ariana, les délégués et les spectateurs y seront tout de même mieux que dans la salle en bois de la Réformation.

m m ̃ ̃̃ ;̃̃̃̃

Les étoiles de Minerve.. La plus belle vient de s'éteimÉe'aii ciel dë' l'Institut de France. T- .1 v,

I Mais il en reste encore ilisîr -̃••^•^̃'••̃: >: •• Trois maréchaux, un amiral, six généraux constellent toujours le Palais Mazarhr lés maréchaux Joffre et Lyautey à l'Académie française, et le maréchal Pétain- à, l'Académie des Sciences morales, et politiques le- général

Qouraud à rÀÇftdéHiie, djes Inscriptions 1,'ami-r

r^l )Foiu-ni#r <}t, ï»s généraux Sébert, Bourgeois,

Fprrié et Perrier à l'Académie des Sciences;

le, général de Castelnau à l'Académie des

Je. général de Castelnau. il .1'rleadémie. des

Béaux-Arts.

Dans cette dernière Académie, un confrèpe de Castelnau porte depuis plus d'un demi-siècle la médaille militaire, qu'engagé volontaire de seize ans il gagna sur les champs de bataille, de 1870-71 M. Nénot, l'architecte de la Sovbonne.

Si»

« Ce peuple français » '`

Le Times publiait hier la lettre d'un de ses abonnés qui se trouve actuellement à Nice. Cet

Anglais'qui a sentubattre le cœur, de la France Je jour rparviiït la nouvelle de la mort du 'fiîâTéchal écrit ̃̃ •̃- ̃• « Vraiment, ce peuple français eit digne "qu'on se bàtte pour lui. Aujourd'hui, "été des fleurs des enfants l'un des jours le; plus joyeux de, la saison, a.; été décon>iiiaridée, FoCh:'èst mort. En concert de JUUsiqui' Se cir« constance fut donné alors au jardin Albert, de< vaut deux mille personnes silencieuses et m>« cueillies.- On voyait et on sentait Vibrer; I'ànn. de cette nation. »

De tels hommages de l'étranger sont- précieux

ïtUxbonsFrançats.

aux :̃̃ bons Français. m m ̃••̃'̃* ̃̃̃̃ ̃ ̃̃̃̃̃< '̃ }̃

P.etitSjjdialo^ues; devant là, peinture, L'Ajiatei?k' (awiablch -( Très gentille cetlr

toile tout à fait dans 1'espïit.du -dix-huitièmï'

r. '̃:LH''1"PÊiNTnE {digne 0tnV?xé)J–+- Oh c'e^ ^tfftmit modeî'niè.i'M-à «̃ vision est proche d(

8celfe'-de1Gttag«ïll>î"1. <;̃> i s ï V r f .tv:>ic.» -t ̃ n-.> j.'ui.i.v.

Un peu plus loin i<\ ̃̃ ̃̃ Monsieur. ,-4– C'est vraiment fort ice. portrait MADAME .(d'un air eiitëadiih. *Oui, et quel

beau cadre >

̃̃ m ^̃̃̃̃

I^ nouvelle' collègue de M. MajçDonald. >ïiss Jenny Lee, âgée de 24 ans, élue récemment au Parlement, a fait, avant-hier; son apparition à la Chambre des Communes. Cette jeune personne, qui est la fille d'tin mineur, est allée s'asseoir stir ies bancs du parti saéialiste où elle représentera la circonscription de' Larnak. Son entrée fut, on le devine, saluée par les applaudissements de tous les travaillistes présents. •••'̃' i Miss Jenny Lee prit place entre M. Maxtbn et t M. Smillie. Tandis que les dames des tribunes braquaient sur tant d'audace et de jeunesse leurs impitoyables lorgnettes. ̃

.,̃ m ai. ̃̃

Ascension. ̃ Quand Frédéric Ecker entra à la « Metropp» litan Life Insurance Company »., une des. plus puissantes compagnies d assurances américai-ines, ce fut comme garçon de courses. Il gagnait alors quatre dollars par,, .semaine. Depuis hier

il est ^président de la société et va toucher

200.000 dollars par an. société et vt toucher

Une>ibe>Ue«'Ieçon d'énergie tient dans ce rac-;

caurci.

"TVrârs" il y"â aussi « la veine », aurait dit

~iWi,' \uf..{.J x J j eT J,f" `" _J, s we

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Le sucçèsrde la maison «A Carnavalet », ï>, boulevard Baspail, 9, grandit chaque jour. La meilleure publicité est faite par tous ceux qui ont pu y trouver des occasions rares aux plus bas prix meubles, sièges, bibelots .anciens» curiosités, tapisseries, lustres. Nombreuse ar* genterie. ̃ Le Masque de Fer.

L.A CI~-IARIT~

..A. la suite de l'article paru dans Ja Bonté en action, les dons suivants ont été envoyéspour les orphelins du Pacifique, à Mme Soublin, les Pervenches, rue Georges-Cuvier, à Fécamp (Seine-

Inférieure)..

P.'L Fr. Ï-.000 <: Listes précédentes v. 8.120

Total Fr. 9.1.20"

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~A y~E~M~EUSE

'ti.i '.m~ij't~<m~–ti~')'?'X

Mort du cardinal Galli

vS; Km. le cardinal Galli est mort hier, à»Rome, à l'age de (53 ans. Il était cardinal depuis le 20 décembre 1!)23.

Le. vénéré prince de l'Eglise avait été attaché à la congrégafion affaires extraordinaires et, en qualité de secrétaire des lettres latines, avait pris une part importante à la rédaction de nombreux documents pontificaux des Papes Léon XIIL Pie X et Benoit XV..

PETires NouveucEs

Lo patronage Saint-Pierre, fondé par M. l'abbé .Julien Dhuit, fêtera solennellement ses noces d'or la dimanche 14 avril. 279, rue des Pyrénées. Au programme messe solennelle, banquet, réjouissances, etc.

Une prière américaine

pour le maréchal Foch

î! ist" iihpossible d'apprécier exactement les répercussions mondiales du deuil qui vient de frapper la France.

Chaque' jour; un témoignage1 "nouveau dé svmpathie nous arrive. On lira avec émotion la prière spécialement léciâte par le docteur Frederick W:v l^fkmaiv dp4'Amer4ofln Pro-Cathedral Church of »îe,P,oly .TrinUy, .et. dife l'occasion cle.Ja mort

a~~i~ I11,(~'t^2~i (~ky··p.. ~t~

"Dieu Tout-Puismnli notre Père qui règnes dani les Cieux, nous évoquons devant Toi aujourd'hui Ton fidèle et chevaleresque serviteur, le plus grand maréchal çle France, dont il T'a plu de rappeler t'ame dans Ton sein. Nous Te rendons grâce de. sa simplicité et de sa noblesse, de son courage et de sa foi, de sa dévotion à la Foi et à la Vérité. Et lui auant ouvert les portes de vie éternelle, nous Te supplions de l'admettre de plus en plus dans Ton joyeux service, afin qu'il puisse, avec 1 an aide et •celle de Tes serviteurs, remporter l'éternelle victoire en tous lieux.

~t' '~t- *B<

Çà, et la1'

M. André Maurois i doinlait, avant-hier, à l'Université des Annales, une conférence qui émut profondément le public. Le jour même oit Paris faisait à Foch les admirables obsèques répondant au vœu national, M. André Maurois estima qu'aucan .autre sujet n'était possible. Il conta donc, dans ..un mouvement rythmé par le cœur, la vie !si noble, si grande, si droite de ce soldat maréchal de France, vainqueur de la «uerre, pleuré par la :France et le monde entier. Il le fit avec une sincérité contenue et pathétique, laissant couler des souvenirs. dont chacun remuait l'âme. Le public fit à cette improvisation le sueeès Qu'elle méritait. U acclama l'immortel Foch et'c'est bien là le succés que souhaitait l'éminen! conférencier, Ou. pourra lire cette admirable leçon dans Conferencia.

~r_ :»;:

'~TI~HY' PAQUES 1~ Les'H'ô~eIs.P6fr<' f<.Wa;fs~)'c sont ouverts, ainsi. .que le «C~ifec~r~. 1~'Et<thlisseinent Thermal, le S~porting-Club avec son Go)f et ses Tennis, de niênto que le Casino. L'Hôtel de France et d'Anglelerre à Forttaiuebleau est également ~lacé sous la divection de .4~ donc bonne table et bon: gife.

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LE MOUVEMENT DRAMATIQUE ET MUSICAL

A L'OPÉRA

Répétition générale de «MAS» Par dérogation à ses coutumes, l'Opéra a donné hier, dans l'après-midi, la générale du Mas, de M. Canteloube. Le critique musical de Figaro, demain, en rendra compte.

Nous devons seulement noter ici l'impression des'couloirs, désaccoutumés de -voir tant de vestons ot de costumes tailleurs dans un cadre oit « la tenue de soirée est de nigucur »,. Il est vrai que tes artistes eux-mêmes, sur la scène, étaient non seulement en veston, mais en chemise de travail et en pantalons rapiécés.

?M. Alfred Bruneau, au lever du rideau, s'est frotté les yeux: on allait donc jouer Messidor (Il faudra bien, un jour !)

Les compositeurs, à chaque entr'acte, exprimaient leur estime pour la musique; les dramaturges s'évertuaient à y découvrir «une pièces. Les critiques hochaient la tête, perplexes l'œuvre est sérieuse et donne à penser. Elle ouvre la porte à quelques « bêtises » inévitables. Des journaux les imprimeront peut-être après le public. Le musicien, dans la loge centrale, écoutait, nerveux et sympathique.

On lui a fait une ovation qu'il a accueillie sans apparent émoi. C'est un homme sec, sportif, élégant. Il est jeune la cinquantaine à peine de loin, trente ans, la première enfance pour un compositeur et rural c'est le Curel de la musique.

Auprès de lui, M. Jacques Rouché et M. François-Poncet dialoguaient avec bonne humeur. Il n'était pas du tout question de la démission du directeur, que l'on annonce, depuis deux ans, toutes les trois semaines M. Rouché rappelle, à cet égard, M. Claretic pendant vingt-quatre ans, on a affirmé qu'il quittait la Comédie-Française, à la fin du mois ».

Et quand ce bruit s'assoupissait trop longtemps, un" grand journaliste, souriant et narquois, le relanî-ait lui-même Jules Clarètie en' personne.

•̃' '̃(. -KV,, te: ̃ »̃ "i)1 |»>K,

';̃ ̃̃̃.̃ ̃>• i- -v-Montaudran.

L'ÀPOLO DE MADRID VA DISPARAITRE Les journaux espagnols nous annoncent que le •[Théâtre Apolo, absorbé par une banque, va disparaître. Cet événement, qui passera chez nous presque inaperçu, a cependant son importance, car le Théâtre Apolo, bâti sur les plans d'un architecte français, il y a cinquante-cinq ans, construit en pierre et situé au centre de Madrid, Culle Alcalat, à deux pas de la Puerta del Sol, pouvait passer pour Je « Temple de la zarzuela ». La zarzuela ? Le mot est intraduisible. Vaudeville ? Opérette? Opéra-Comique? Rien de tout cela, et cependant un peu de tout cela. Genre éminemment espagnol, peinture de coutumes espagnoles dans un cadre musical, et ne pouvant guère être compris que par un public de langue espagnole. La zarzuela n'est pas un article d'exportation. Genre charmant, délicieux, qui a produit de petits chefs-d'œuvre, et que l'on peut écouter sans fatigue, car ce. spectacle, composé en général de petits actes d'une heure, peut aller s'entendre par sections. Qui doaoî sa jMadrid, n*ira "pas, dans sa soirée, assister à une ou deux sections de zarzuela ? '?

Le Théâtre Apolo, dont la salle pouvait se comparer comme grandeur à celle de notre Gaité-Lyrique, possédait un grand vestibule et un foyer. Tout y était luxueux et confortable. Allons assister à une section de zarzuela. Assurément, rien de plus étrange pour un novice l'action se passant presque toujours dans un milieu populaire que le chœur de ces dix-huit bonnes femmes, vêtues à peu près comme des blanchisseuses au lavoir, revenant périodiquement chanter des absurdités avec des gestes faux et des pas en avant et en arrière, que ces défilés de cfmlos en casquettes, que ces femmes sans fard, sans poudre, enveloppées dans des châles de laine, sans un désir de coquetterie. Le décor, toujours très bien peint, représentera un carrefour, les bords du Manzanérès, où l'on étend le linge, un cabaret, le quartier de Lavapiès, etc., et le public ne se passera jamais de ces scènes populaires prisés sur le vif, égayées par des danses, des chants au rythme vif, alerte. joyeux dont les refrains vont bientôt courir les rues, et sur lesquels on ajustera quelquefois des chansons françaises, comme C'est la mode nouvelle, mademoiselle!

Ces zarzuelas sont jouées la plupart du temps dans un mouvement endiablé. Les chanteuses ont presque toujours de la voix et sont jolies femmes. Certains acteurs y sont supérieurs' dans, des rôles de composition. Les types fie toreros, de golfos, de serenos, de forgerons, d'ivrognes, d'àgéhts de' police, de paysans, de maquignons, de musiciens ambulants, de camelots, de vendeurs de journaux sont rendus avec une vérité parfaite, et l'on pourrait presque dire de plus d'un de ces-acteurs ce que l'on disait du vieil acteur Tiercelin, des Variétés, toujours inégalable dans les rôles de savetier, qu'il serait déplacé dans celui d'un cordonnier. Les fêtes sont nombreuses en Espagne. On y célèbre tous les saints du Paradis. Chaque quartier à. son saint, et la veille au soir de cette fête s'appelle la Verbena. C'est la soirée aux pétards, aux lanternes vénitiennes, aux danses en plein vent. Les boutiquiers se sont surpassés. Ils ont tendu à travers les nues des ficelles supportant des guirlandes de feuillage en papier. On a planté des mâts au haut desquels on a hissé des banderoles. Les marchands de friture et de noisettes circulent en criant leur marchandise. Les voisins, encore accablés par la chaleur du jour, s'éventent sur lé pas de leurs portes, et, comme il existe à Madrid un quartier populaire où l'on vénère la Vierge de la Paloma (de la Colombe), les auteurs nous feront assister à la Verbena de la Paloma.

Quel joli cadre pour une zarzuela Ne demandez ni philosophie, ni conclusion, ni morale. Ce sont trois quarts d'heure passés doucement, en écoutant- une musique exquise. en voyant défiler ,devant nous des scènes populaires et toujours amusantes.

Certes, le genre ne disparaîtra pas avec l'Apolo. Mais il perd un de ses meilleurs abris. On nous assure, au dernier moment, que la Société des Auteurs espagnols a ubminuniqué aux journaux espagnols une protestation émouvante contre la démolition de ce théâtre. Le comité directeur de cette Société, qui comprend notamment M. Linares Rivas, S. Alvarez Quintero et C. Arniches, évoque dans sa protestation le glorieux passé de l'Apolo, qui fut l'un des principaux sanctuaires de l'art théâtral espagnol depuis un demi-siècle. Il termine en exprimant l'espoir qu'un miraclt sauvera de la démolition cette scène fameuse. Hélas hélas Nous avons connu cette histoire il y a quatre ans, avec le Vaudeville de la Chausséed'Antin, une de nos premières scènes de comédie et des plus glorieuses. Qui nous rendra le Théâtre du Vaudeville ? Puissent nos amis madrilènes être plus heureux que nous et sauver leur théâtre Apolo .•'̃ Henry Lyonnet.

· CHRONIQUE DES THÉÂTRES DE PARIS

THÉÂTRE DE LA PETITE-SCÈNE La Seconde Surprise de l'Amour, comédie en trois actes de Marivaux mise en scène de Fr. de Heeckeren. Décors de X.de Courville, exécutés par J. de Froberville. Costumes d'Olga Choumansky. Le Médecin volant, comédie en un acte de Molière; mise en scène et décors de X. de Courville. Costumes d'Olga Choumansky. Danse finale réglée par Mme Boutkowsky. THÉÂTRE DU CHATELET Show Boat, Mississipi, u i

La Petite Scène nous a offert un de ces spectacles d'un goût parfait dont elle a le charmant secret. Certes, la Seconde Surprise de l'Amour n'est pas un des chefs-d'œuvre (Je Marivaux, mais le dialogue est délicieux, d'ironie cachée et de galante méchanceté. Ironie et méchanceté sont là, plus encore qu'aux pesonnages, adressées au sort, au destin, à J'affligeante condition humaine. Quoi ? les douleurs même sont brèves ? et aussi infidèles que les sentiments vivants ? La jeune Marquise pleure un époux, perdu à peine épousé Lisette, sa ronde femme de chambre, sait, elle, avant tous les personnages et même avant Hortensius, le savant philosophe, que la nature, indifférente aux individus, ne s'occupe que de la durée des espèces et que, par conséquent, la Marquise, étant jeune, oubliera son deuil et sa peine, et aimera de nouveau, selon les lois naturelles. La Marquise ne veut point être consolée non seulement parce que, vraiment, elle pleure, mais encore parce que ses pleurs ont leur élégance, leur bon ton, leur convenance. Cependant, son voisin, le Chevalier, qui fut ami du défunt, veut venir lui faire ses adieux il veut quitter un pays qui lui est devenu odieux depuis que sa fiancée, très aimée, a consenti à entrer au cloître et, traîtresse aux serments de ce monde, le trahit pour le ciel et Dieu. Voila donc deux raisons d'être pleurés qui semblent à première vue bien respectables tout en étant inexorables. Le Chevalier veut affecter pour la fiancée, saintement infidèle; une admiration, un respect, un regret sans fin mais, au fond, il lui en veut sans se l'avouer à lui-même. Et, le croiriez-vous? la Marquise n'est pas loin, de son côté, d'en vouloir à ce jeune marquis, qui, au lieu de profiter de la vie conjugale, s'en est allé à la fleur de l'âge, l'abandonnant veuve, jolie, si jeune Je connais un enfant qui disait, innocent, à sa jeune mère « Si tu meurs, je ne te le pardonnerai jamais ». Eh bien la Marquise m'a tout l'air de ressembler à cet enfant. Vous pensez bien que ce déçu et cette abandonnée vont prendre plaisir à se trouver ensemble. Le Chevalier renonce à ses projets de voyage son valet, Lubin pourtant en deuil aussi d'une fiancée ou d'une maîtresse se sent plein d'ardeur pour Lisette. Lisette, fine mouche, comme toutes les caméristes du théâtre de ce temps-là, sent bien que, pour activer les flammes et les coquetteries, un peu de jalousie est nécessaire. Les Lisettes sont là, en toutes les comédies de ce répertoire, pour rappeler aux personnes du grand monde, devenues artificielles et comme ignorantes des vérités naturelles, ces vérités, leurs nécessités, leur empire et comme quoi, grandes, et, petites doivent s'y soumettre, en cotillon court ou robes à falbalas. Lisette donc introduit un Comte amoureux qui demande la Marquise en mariage Lisette fait croire au Chevalier que le Comte a des chances et même qu'il est agréé et le Chevalier, trépignant de rage, s'entend, par ce Comte, proposer sa sœur en mariage Lubin est maladroit Lisette fait semblant d'être indiscrète enfin, de scène en scène, et de quipro-

Les Compositeurs'

et la Radiophonie

Voici une séance qui réunissait tout ce que Paris compte de notoire comme compositeurs et ou, pourtant, on n'a pas entendu une note de de musique Sous la présidence de M. FrançoisPoncet, sous-secrétaire d'Etat aux beaux-arts, qu'assistait M. Paul Léon, directeur général des beaux-arts il y avait là MM. Georges Hue, de l'Institut Paul Dukas, Vincent d'Indy, Albert Roussel, Sylvio Lazzari, Maurice Emmanuel, Max d'Ollone, Henry Février, Mare Delmus, L. Haudebert, G. Caussade, D. Levidis, Carol Bérard, E. Nerini. Louis Masson, G. Samazeuilh Mmes Simone Plé, Sauvrezis,. etc., réunis sous l'égide de l'Union syndicale des compositeurs de musique, afin de défendre leurs intérêts matériels et moraux. qu'une législation insuffisante ne protège que peu ou point contre (les abus criants, jusqu'ici considérés comme tout naturels. puisque les iraouions voulaient bien se laisser tondre. Or, voici que les moutons se déclarent las d'être tondus. et que des protestations s'élèvent contre un état de choses inique qui menace nos compositeurs dans la propriété de ce qui leur tient le plus au cœur, leur œuvre, et, il faut bien le dire, jusque dans leur existence même car les conditions de la vie sont devenues si dures que le vieil axiome s'impose avec une actualité terrible Primun vivere.

Ainsi que le fit remarquer M. Vincent d'Indy, président de l'Union, dans son allocution liminaire

« En ce moment surtout où la mécanique semble vouloir prendre le pas sur l'âme humaine, en ce moment où le créateur d'une œuvre est relégué au dernier plan et paraît se résigner à cette iniquité de voir des arrangeurs, parfois même des dérangeurs, détourner à leur profit la maigre rémunération due, en toute équité, au seul inventeur de l'œuvre, en ce moment où tant de questions importantes se dressent devant nous, notre devoir est de résister fortement à l'injustice, et nous pouvons l'accomplir par l'union 0|t; force de l'Association. »

Il n'est que temps, en effet,' que les compositeurs songent un peu à leurs droits d'auteur, illusoires en bien des cas, et complètement inexistants lorsqu'il s'agit d'enregistrement mécaniques. Certains éditeurs, par des contrats léonins, ont le plus souvent l'habileté de faire tourner à leur profit le suc de la production intellectuelle, et le créateur dépouillé commence à la trouver mauvaise.

Alors que la propriété littéraire est protégée comme elle le mérite qu'il existe une loi en faveur du droit des peintres. la musique mécanique et radiophonique en est encore à attendre son statut légal. Les plus célèbres morceaux de Carmen, Faust, des mélodies de Fauré, de Duparc, des Symphonies de C. Franck, Chausson, Saint-Saëns. des Sonates d'auteurs vivants et illustres ne sont reproduits et diffusés qu'au seul bénéfice de l'édi-

quo en quiproquo, de malentendus en èxpljca-.tions, de surprise en dépit, il arrive ce qui doit arriver. Le Chevalier,, qui se sentait tant d'amitié pour la Marquise, parce que leur double douleur les mettait, croyaient-ils, à l'abri de tout amour, reconnaît bien vite à sa jalousie, à son mécontentement, à propos du Comte, etc., que l'amour recommence ses surprises. Hortensius et ses bouquins sont congédies, car le cœur triomphe de l'esprit, et les doux propos des lectures insipides ou sérieuses. Qu'at-on besoin de ces vieux in-folio et incunables reliés de vieux parchemins ou de tristes veaux lorsqu'on est chevalier et marquise, à peau de satin ? Lubin épousera Lisette le Chevalier épouse la Marquise. Le passé est oublié et la vie recommence. Sous leurs frivoles apparences ces trois petits actes sont d'une profonde férocité. Mais rien n'étonne de la part de ce Marivaux lorsqu'on voit, à la charmante exposition du Théâtre, à Carnavalet en ce moment, son visage, en ce portrait de Van Loo si expressif et toujours vivant. Son regard est celui d'une femme voluptueuse, ironique et tendrement rouée son nez, celui d'un homme jouisseur, buveur, flaireur des bonnes choses de la terre; sa bouche sait de doubles secrets. On comprend que, comme certaines fleurs porteuses des attributs des deux sexes, la cervelle doublement épanouie et mystérieuse de Marivaux Connaissait les perfidies et résr!p6'ssibilités de toutes les espèces. La courbe dès phrases est toujours charmante, d'imprévues drôleries les ponctuent parfois. Mlle de Heeckeren a été ravissante en Marquise, de hauteur d'abord vis-à-vis du destin, et ensuite de tendresse vaincue. Et quels merveilleux costumes Et que les petites perruques de soie blanche sont seyantes et brillantes Les noirs et gris du premier acte sont d'une douleur si élégante! et la robe mauve du second acte avec l'immense nœud aux épaules, déjà fait penser' à des ailes et à un nouveau vol vers un autre rêve et, enfin, la robe rose met au point l'oubli et l'espoir M. Fr. de Heeckeren est un charmant Chevalier, dont la veste vert tendre est couleur de promesses Jacques Aubigny, un Hortensius très amusant, habillé en brun comme un livre André Alphand, un Lubin très comique et bariolé M. Lebock, un Comte dépité et violet Mlle G. Besnard, une Lisette impérieuse, roublarde et très réussie. Ravissant décor excellente mise en scène et très jolis etrets d'éclairage. Nous retrouvons ces aimables et jolis acteurs, accompagnés de Brynhilda Baldwin si blonde d'Ed. Mao Avoy, R. Daroles et Jacques Michaut, dans la farce du illédecin volant qui terminait le spectacle. Cette parade est, avec la .Jalousie du Barbouillé, tout ce qui reste des premières pièces burlesques où Molière, comédien et directeur de l'Illustre Théâtre, semble avoir esquissé ses coinédies futures lorsque sa troupe allait de ville en ville, avant de devenir la troupe de Monsieur et du Roi.

Rudimentaire, mais d'une haute verve et

leur ou de certains organisateurs. C'est inconcevable, et M. Carol Bérard, le dévoué secrétaire de l'Union syndicale, raconta, l'autre jour, qu'au second Congrès du Livre, en 1921, le rapport qu'il présenta sur ce douloureux sujet causa la stupéfaction des écrivains, des auteurs dramatiques, voire des éditeurs de librairie qui assistaient à ce congrès.

M. Grunebaum-Ballin, maître des requêtes honoraire au Conseil d'Etat, jurisconsulte de !a direction générale des beaux-arts, qui prit part à cette réunion, qui, en matière de droit d'auteur, intéresse particulièrement les compositeurs de musique, signale notamment celui du contrat d'édition, celui des redevances sur la fabrication et la vente des disques, auquel un arrêté de la Cour de cassation devant intervenir d'ici peu et dont l'importance sura primordiale;, va donner un regain. jd'actualité. Mais l'illustre savant juriste croit devoir se borner à exposer dans quelles^ojiditions 'se pose le problème du statut légal d| la radiophonie. La radiodiffusion intéresse tous les créateurs actuels)'' et au premier rang, par.mi eux, les compositeurs de musique, dont les œuvres tiennent une si large place les programmes des postes émetteurs radioélectriques. Depuis plusieurs années, un régime purement provisoire, et qui ne donne satisfaction à personne, subsiste en vertu du décret-loi de décembre 1926.

Les entreprises d'émissions radiophoniques publiques ou privées se plaignent, dous dit M. Carol Bérard, de n'avoir pas de ressources assurées en dehors de la publicité, faute d'une loi créant des taxes sur les usagers.

Les auteurs et les compositeurs, de leur côté, se plaignent non moins vivement que, depuis plusieurs années, on ait trop souvent radio-diffusé leurs œuvres, sans autorisation, ce qui a donné lieu à des incidents très vifs, et même à un jugement du tribunal de police correctionnelle de Marseille condamnant un directeur régional des P. T. T. ils constatent qu'ils ne peuvent obtenir, dans les accords conclus avec les directions des postes émetteurs, que des rémunérations d'un taux dérisoire, par comparaison avec celles qu'obtiennent leurs confrères en Allemagne, en Angleterre et dans d'autres pays.

Pour l'instant, il y a urgen.ee à régler la question toujours pendante de la radiophonie. Un statut légal comportant l'établissement de taxes doit être adopté sans retard par le Parlement. Un projet de loi a été déposé le 28 juin 1928 à cet effet, il faut espérer que la consécration des droits imprescriptibles de la pensée artistique sera le résultat tangible de la loi qui en sortira. En attendant, conseillée par M. Grunebaum-Ballin, l'Union syndicale, en accord avec d'autres organismes qualifiés, est décidée à présenter les objections et les critiques soulevées par ce projet. La question se pose aujourd'hui, pour les compositeurs, dé savoir s'ils entendent s'associer avec toute la force de leur solidarité corporative aux vues des trois grandes sociétés qui groupent leurs confrères auteurs et compositeurs dramatiques, écrivains, orateurs et conférenciers. Nous ne voulons pas douter de leur réponse.

S. Golestan.

d'une puissante vitalité comique, est le Médecin volant. Maigre les refus du tuteur ou père Gorgibus,, Lucile et Valère s'aiment et veulent s'épouser. La cousine Sabine invente une ruse et Sganarelle, valet de Valère, la fait réussir. Il se déguise en médecin^ car Lucile feint la maladie il lui ordonne le repos dans .un pavillon au fond du jardin, qui sera propice aux entrevues des amants. Mais Gorgibus surprend Sganarelle sous ses atours médicaux Sganarelle imagine donc qu'il est le frère du médecin, qu'ils se querellent et qu'ils sont brouillés. Gorgibus veut les réconcilier. On voit d'ici la suite de folies nécessitées par cette situation déjà « Pirandellesque » où Sganarelle, à la fois lui et un autre, doit faire preuve d'invention et d'acrobatie inouïes il sort par une fenêtre, se montre à une autre, tour à tour médecin, valet, perruque et noir, ou tondu et rayé enfin il se réconcilie avec lui-même, serrant sur son cœur le chapeau et la perruque du médecin volant cependant que Gorgibus, d'en bas le contemple à la fenêtre. André Alphaud a été absolument impayable en ce rôle double à tout point de vue car il demande autant de verve que d'agilité physique. Et tout se découvre et s'arrange et finit, comme d'habitude, par le triomphe de la jeunesse, ce qui est la meilleure morale du monde. Une mise en scène d'une ingéniosité charmante,' un décor très drôle et gaiement bariolé, lit parade foraine, les acteurs si joliment et drôlement costumés aux gestes guignolesques, la danse finale si comique et farceuse, tout cela nous a enchantés et ce fut pour la « Petite Scène » un nouveau et très vif succès.

Pourquoi Show Boat, au Châtelet, n'aurait-il pas été un grand succès cette saison-ci ? Il s'en est fallu de peu. Des décors plus ingénieux, une adaptation plus stricte de la célèbre opérette américaine et cela aurait pu être une attraction aussi à la mode que la Revue Nègre, de bruyante mémoire. Tel quel, et malgré toutes les restrictions que l'on est obligé de faire, illississipi reste un spectacle très amusant. Certes, la vue du fleuve n'évoque guère en mes souvenirs l'immense « Meschacébé » à l'eau tigrée de limon et couleur de banane mûre mais les costumes 1893 habillant de leurs désuètes excentricités les élégantes de « couleur » l'excellence des jeunes « girls » blanches, la grâce de miss Ellinger et l'admirable voix de Harvey White se déployarfPïB&ris le très connu mais toujours apprécié. Siiri nostalgique de 01' Mmi River emportent' le subcès. L'intrigue est puérile mais tait rire le public; l'Oiseau s'envole est bien mal traduit, mais séduit félicitons aussi Mlle Max, M. Florencie et Allard enfin, dans l'ensemble, on ne s'ennuie pas, on passe une gaie soirée, et si ce n'est pas un succès éclatant, c'est, à n'en pas douter, un succès noir. Gérard d'Houville.

REMARQUES

Une tournée qui a mal tourné Avant-hier soir à Turiâ. La salle du théâtre Chiarella est comble. Comment le public ne serait-il pas accouru ? Des affiches du format le plus impressionnant lui promettent depuis huit jours un spectacle français, une revue jouée par la troupe d'un grand music-hall parisien, des décors et des costumes du goût le plus nouveau et le plus magnifique, des femmes éblouissantes, trente merveilles. Et quel titre aguichant Un soir de folie. Chaque spectateur attend depuis une semaine le plaisir qu'il va enfin goûter.

Le rideau se lève sur une scène fort médiocre, platement" jouée, entre des toiles fanées. La scène suivante est encore moins reluisante. Dieux quels costumes, de quels décrochez-moi-ça ont-ils été tirés ? Et quels décors, rapiécés comme un pantalon de mendiant De tableau en tableau grandit la surprise puis le mécontentement de ceux qui voient et qui écoutent. Si d'aimables minois, si des corps gracieux paraissaient, les Turinois peut-être s'apaiseraient. Mais, décidément, l'impresario a limité tous les frais, les visages sont aussi fripés que les costumes, et les voix aussi usées que les décors. Alors les protestations s'élèvent, s'enflent, emplissent la salle, les huées et les sifflets réduisent au silence l'orchestre asthmatique, acteurs et figurants doivent battre en retraite vers les coulisses. Celle faite ne calme pas le public qui voudrait qu'on le remboursât. Et bientôt le désordre est tel que les carabiniers doivent intervenir. A l'heure j'écris, la troupe « du grand music-hall parisien » a dû faire ses malles si elle en a. faut approuver le public turinois d'avoir puni un abus de confiance. Puisse la vivacité de' son attitude faire réfléchir certains impresarios, qui un peu partout il l'étranger usent impudemment du prestige que conservent -les épithètes de « parisien » et de «, français ». La plupart seraient fort gênés d'ailleurs si on les priait d'exhiber leur acte de naissance, et celui de tous les ratés de l'art international qu'ils racolent pour composer leur troupe. 'En tàut cas, il est grand temps de surveiller de près ces organisateurs de duperies. La France qui n'a pas, grâce au ciel, perdu sa probité artistique, ne doit pas être compromise :au dehors par quelques barnums déhontés,

/• i;R$yinond Lècuyer.

ECHOS ET NOUVELLES

La direction du Conservatoire de Strasbourg est vacante par suite du départ de M. Guy Ropartz. Pour remplacer l'auteur du Pays, il serait question, dit Comœdia, d'un des meilleurs chefs d'orchestre parisiens.

Strasbourg, qui a déjà confié la direction de son théâtre à l'éminerit comédien André Calmettes, sait i recruter son personnel artistique.

LA FLAMME SACRÉE de Somerset Maugham

1 (The Playhouse)

La Flamme sacrée est une pièce intéressante, bien construite, mais moins bien écrite que d'autres du même auteur qui ont remporté à Paris un si vif succès, La Pluie, Le Cercle surtout, que l'on, peut considérer comme le chef-d'eeuvre de l'auteur. Peut-être, grâce à l'idée très haute que l'on s'est faite de son. talent, attendait-on trop de l'auteur, peut-être ce pénible sujet demande un traitement particulièrement délicat et subtil. Mais une chose est sûre, là pièce est trop longue et elle aurait gagné si elle s'était terminée une demi-heure avant le baisser du rideau.

Maurice Tabret a fait toute la guerre sans même une égratignure,, mais en essayant un nouvel appareil il a eu un accident d'aéroplane effroyable et il en est sorti mutilé sans espoir. Il a une femme jeune et radieusement belle qui, après un an de bonheur conjugal parfait, se trouve ainsi liée à tout jamais à un malheureux estropié inguérissable. Elle paraît être un ange de bonté pour lui, mais elle est secrètement amoureuse du jeune frère de Maurice, Colin. Maurice, qui adore sa femme et qui ne veut pas la sacrifier, insiste pour qu'elle continue à vivre de façon aussi normale que possible et c'est grâce à son insistance que les deux jeunes gens se trouvent continuellement ensemble. Au premier acte, nous voyons Maurice avec sa mère, son docteur et son infirmière. Tous ils attendent le retour de Stella qui a été à l'Opéra avec Colin. Elle rentre avec lui et elle reste seule quelques instants avec son mari. Au cours de cette entrevue, il a une crise de désespoir. II voudrait mourir afin de libérer cette belle jeune femme qu'il adore. H sanglote mais il se ressaisit grâce à la tendresse de Stella qui le réconforte. Son infirmière ayant amené Maurice dans sa chaise roulante se coucher, les autres restent là la vie reprend ils mangent des sandwiches. Stella a un court tête-à-tête avec Colin et 'le' rideau tombé;'

Quand il se relève nous apprenons que Maurice est mort. pendant la nuit. -Le docteur est sur le point de signer le certificat de décès, mais il y a une surprise dramatique quand l'infirmière l'en empêche. Vibrante d'émotion, elle déclare que son malade a été assassiné et elle ajoute un fait ignoré de tous Stella est enceinte. Colin intervient et se déclare le père. ·

Les soupçons de meurtre tombent tout naturellement sur Stella. Elle fut la dernière personne à entrer dans la chambre de Maurice pour lui souhaiter bonne nuit. L'infirmière ne cache pas sa certitude et pour ainsi dire accuse Stella d'être la coupable. Ce n'est qu'à la fin du dernier acte que Mrs Tabret, la mère de Maurice, avoue qu'elle est entrée dans la chambre de son fils à l'insu de tous et lui a administré une dose mortelle de son soporifique habituel. Ensuite elle est restée auprès de lui et l'a veillé jusqu'à ce qu'il entrât dans son dernier sommeil. Elle leur apprend aussi qu'elle avait toujours promis à son bien-aimé fils aîné de l'aider à s'évader si son sort devenait par trop insupportable. Elle avait deviné que son autre fils Colin aimait Stella d'un amour qu'elle lui rendait. La Nature avait été trop forte et avait triomphé de ces deux pauvres êtres malgré tout leur désir de rester fidèles au malheureux. Mais pour la mère, le moment était venu de tenir sa promesse. La pièce se termine avec l'angoisse et le remords de l'infirmière qui aimait d'amour ïe pauvre Maurice mais qui maintenant est navrée de ses révélations. Elle comprend la torture de la pauvre mère qui avait été toute bonté pour elle. Elle n'a qu'un désir, arrêter le cours de la justice. Elle supplie le docteur de signer le certificat de mort. Miss Gladys Cooper, une des plus belles actrices anglaises, a admirablement joué le rôle difficile de Stella. Ce ne fut pas sa faute si des pauses bien trop longues ont interrompu la continuité de l'action. Ceci est sans aucun doute une erreur de mise en scène. Par sa beauté et son charme, elle a rendu la malheureuse jeune femme possible et compréhensible. Miss Mary Jerrold a joué honorablement le rôle pénible et désagréable de la mère, rôle, qui gagnerait à être récrit. Mais le triomphé de la soirée revient à miss Clare Eames, l'infirmière. Miss Clare Eames a joué de façon véritablement géniale. Elle n'a jamais manqué un instant d'intelligence, de finesse, de tact. Bref, elle en a fait une création exquise et il est impossible de penser à une autre actrice anglaise qui aurait pu insuffler autant de beauté à cet être humain hanté d'un sentiment de justice et dont l'extérieur, d'une rigidité toute britannique, cache une nature débordante de passion et d'émotion frémissante. Parmi les hommes, qui jouent tous de façon convenable, le seul qui mérite d'être signalé est C. V. France.

La, Flamme sacrée fut créée cet hiver à NewYork et y subit un échec. A Londres, c'est un succès, mais, il faut l'avouer, auprès d'un public un peu spécial.

A. M. A. Belfoe.

PETITS CADEAUX

Mlle Madeleine Guitty répète au Théâtre Michel la comédie de M. Fernand Nozière, qui succédera à Ma dame de compagnie.

C'est une occasion nouvelle d'enrichir sa collection. Ne disons pas laquelle et ménageons notre effet. Mais expliquons-nous.

Mlle Madeleine Guitty allait interpréter il,n'y a pas très longtemps la pièce d'un tout jeune auteur. Au cours des dernières répétitions, elle lui dit

J'espère que vous n'allez pas être assez bête pour m'envoyer des fleurs Mais non, mon petit Mais non Elles seraient fanées deux heures après Ne faites pas ça, surtout 1-.

Etonné, il balbutia

Mais je voudrais tout de même Je suis si heureux de vous avoir comme interprète De quelle façon, pourrais-je, alors ?

Mlle Madeleine Guitty le saisit par un bouton de son veston et le tutoyant soudain

Tu veux me faire plaisir ? Oui ? Eh bien, envoie-moi une pipe

Devançant ses camarades, Mlle Madeleine Guitty ne fume, en effet, que la pipe.

Le tout jeune auteur, interloqué, observa Mais c'est que je n'y connais, rien Je ne fume pas

Elle répliqua

Eh bien je l'achèterai, moi, ta pipe. Combien veux-tu mettre? •,

Mais je vous en prie, ma chère amie Prenez la pipe que vous aurez choisie Je vous le répète je suis trop content.

Mlle Madeleine Guitty se montra d'une extrême discrétion. La pipe ne coûta que cinquante francs. Ce qui n'empêcha pas l'artiste de la baptiser in memoriam du titre de la pièce.


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es Congrégations missionnaires

La Chambre, ne se rendant pas compte que le pays est las de la voir s'agiter vainement et perdre ses heures à de basses, clucaneSj a continue hier!. le matin, le soir et jusque dans' la 'nuit, de Vocj'^upef des congrégatioits missionnaires. Les gestes, ,(e& paroles qui. a.yaient illustré tris,teinent les,(eé4entes séances, dllustuèrent pareillement celles d'hier. Il n'y a pas autre chose a ëri dire. ^j ,n La discussion reprit sur « t'âge d'entrée des ?;ïtttw* niïssionnai.res- dans'les maisons de 'formai-

**¥&&̃»<.?'̃'>̃'• '̃••̃"̃" ''̃ >̃̃'<:̃̃̃ ̃. ••̃ ••̃

On se souvient peut-être que l'Assemblée, lundi ̃ Jdernieiv àv«iUi:epoussé un amendemnet <le ,M. Stanislas de Castellftixe, tendant à porter l'âge d'ad..laissions dans les noviciats à quatorze ans. La Cbm^luis.sion proposait seize, ans. Les radicaux, de leur 4.c6"lé, deinahdaiént que cet âge fût fixé à dix-huit 'ans. 'On devine les arguments de ces profession- 'nels sectaires,- qui ont noms Julien Durand, Fran!çoïs 'Afbert ou Berthod.

Avant sa dix-huitième année, le jeune homme n'est. point ,en état d'engager toute son existence. ;». On disserta t^ès longuement sur le sujet. La fine fleur des Loges maçonniques se remua beaucoup. (-- Pour mettre fin à ses ébats, le gouvernement, une "fûts de plus, 'posa la question de confiance, et î'ameiniement radical fut rejeté impitoyablement. v On dut entendre alors le sectaire de petite taille François Albert développer des vœux fantaisistes propres, dans son esprit, à sauvegarder ces lois laïques, qu,'il regarde comme un trésor et qu'il a peur qu'on lui ravisse. Il se liyra à des mathé,matîques ridicules touchant, l'effectif des maisons de formation, multiplia ses' amendements, avec cet espoir diabolique de retarder le vote des articles. i^mals Chaque fois se vit rabroué et non sans fracas.

Malgré lu; malgré M. Berthod et tous leurs comu,-j»ar se-s, l'artiçl^ 5 fut adopté.

a, A .ï'arlïclç !6, c'est le soeialo-communiste Ernest Lâfont– J'hoinmé' qui demeure assis quand on annonce le décès du vainqueur de la guerre qui se chargea de l'obstruction 1 svstématiflue ordon- née par la rue Cadet. Ayant bièWiffMtïttiflièWPtMte j

T.d.'amt't?fier,,çqt,,articl(5, il demanda la suppression

nl·.exl.~r~t141~' SIIiV:rrlt, S"ft4~~`~ÂreTe$ ( ~l1,P, Pr.f!!s~on

Je^ariticlf .liiiVant; sttâs\1^«te ^qnf'^ S(oil jeu

Jjermettrâit e gariiïf ies"éta'blissêrnerits cohgrega-

pistes français^- eh sus du chiffre prévu à l'article 5 ». ̃ ̃• ̃ ..•̃r-^ On arriverait, dit-il, à ce résultat: la Conigrégation de l'Enfant-Jésus, par exemple, pourrait .ayôir 31 membres français, au maximum, mais un .nombre illimité de membres étrangers! Son vœu lui fut laissé pour compte par 313 voix 'contre 242.

Et les députés, ayant constaté la déception du révolutionnaire, s'en furent déjeuner. ` "'•

"••̃ ̃• <*< j

̃•'»'• '1-après-raidi, comme un appelait, après un menu débat, l'article 8 du projet, un socialiste du nom »4e Locquin, se leva, et dit

̃ v Je fais remarquer que les vœux sont interdits par la loi.

Ils ne sont pas interdits, ils sont ignorés par la loi lui lit le président du Conseil. Mais de savoir que de jeunes hommes prononçaiënt des vœuX, cela trneassaîMè socialiste Loc-

INFORMATiraS ?OUTIQUES La vie chère et le* prix

te group«y1«-défcniie paysanne p voté la motion

suivante <^ 71 jfvs C il *L la motion

5uh'anlo l (,j..

« Le groupe de ctêfense* paysanne, éinu par l'annonce de la convocation de la commission de surveillance «les grûf k .&iip, qui n.e/çst. pn$ réunie depuis mai 1928, rappeilfr'qBfî} é'43t Une- erreur économique grossière que i.de penser que la cherté de lu vie est fonction du prix <#es' produits agricoles et surtout de la volonté des agri•çulïeiirs. Le groupe ne nie pas le devoir du gouver•jjetne.nt de suivre les .variations des cours, niais, s'$pipuyant sur les. déclarations très nettes faites par tes Milnisti*es intéressés, il proteste, a l'unanimité et avec Jfernieté, contre toutes tentatives de fausser !c jeu nor^mnl du- marché français an détriment des seuls agri«nlteurs et sans se préoccuper d'autrus remides plus conformes h la situation nouvelle d'après guerre, mais exigeant peut-C'tre plus d'études et plus de science ëco-

'nomique. »-•̃

,'•̃ Libéthtiùn anticipée '•'<

t,a commission de l'armée b adopîo le projet de loi 1 libéra n( par' anticipation, apnis un au dé serrice. les, inilitRircs frères de deux ou trois enfants. ï-t Elle a- entendu un exposé sur la proposition réinte>rant dans Je cadre latéral .certains .$ous-offlcîers dêmissionnaires d'un grade d'officier.

< A la commission des finances <! La eommissioii des finances, a entendu l'avis de M. Bjiréty sur le projet de loi portant institution d'une chambre syndicale des banques populaires. Elle a décidé d'entendre à ce sujet le ministre du eommoree; i. A In suite de l'audition do M. Magiuot. eUo a adopté .^ie projet tendant à approuver une convention entre J'Etat et le Crédit national relative à In réparation des -$lo'njniages causés par le cyclone de la Guadeloupe; ;j -I..a refwnte de la loi sur la chasse '̃ftViha. cammission. do l'agricullurei apiv^s avoir- entendu tJti exposé de M.: Moiinelj.^ptî^mncirprpPflsiîJoD. déKÎoi. tendanl à modifier certains ,,»,!&»;§£ ,<iç,,1« Ijoi ,,s»r Ih ttliiisso, a décidé de mettre a J'.étiifle luiô. 'refente QJjn-

̃̃̃'̃£teté"de'boné loi de"r84Ï.r'lrt »^B^ '-•*< r-tfrf

ïit La commission a approuvé la proposition de r&ojljftion de M. Alexandre Duval invitant Je gouvernement à prendre d'urgence toutes dispositions utiles pour que l*è*'portation des produits de la terre, et notaTnment • celle des fruits et légumes, ne soit pas entravée par des prohibitions abusives de la part des Etnts acheteurs habituels.

La prorogation des Imus1

La commission sénatoriale de législation a adopté Je*, conclusions du rapport de M. Morand sur lo projet tendant à proroger d'un an la loi du 27 mars 1928 sur les expulsions de commerçants dont les baux arrivent ..4 expiration.

̃ Le garde des sceaux est opposa à la prorogation, |nais la commission a jugé cette prorogation nécessaire, 'attendu (pie Tés conflits en iustauco devant les tribu>,poaux ue sont pas tous tranchés et qu'un grand nombre tU .procès n^oat pas encore été examinés, ,a, i, :•̃̃, .̃/ i JLfe «ollectlf et la Sén»«

Ltf 'éliambrc' ayant conservé par devers elle pendant ♦plus de deux mois le collectif de décembre, le met rpendanl deux jours à la dispusitian du Séuat. Les membres de la Haute Assemblée, après avoir protesté ainsi' qu'il sied, voteront le projet qui leur sera soumis.1 Ils ne semblent pas, pour le moment, disposés ,-Ji- lu voter sans modification. M. Charles Dnmont, rapporteur général, a, nous t'avons indiqué hier, écarté divers crédits, comprimé certaines dépensés et pnalcment est .arrivé à o.pérer pour plus de 25 millions d'abattements. De ce. fajt, le montant des crédits sypf* lémentaires à ouvrir est ramené do 1.90S.S1O.438 francs 1.88U.153.:3-2:t 'francs- ̃ ̃̃'̃•̃

Les réductions portent sur 88 chapitres. Cela donne à -penser qu'il faudra que l'une, et l'autre, assemblées se tassent réciproquement de multiplas coucessions pour arriver une entente.

̃ En -fin de soii r!ippor.t,' M. Cil. Btiuloni établît" la ̃ situation de l'exercice,- 1923 â la date du 28 février 1929. Cette situation se chiffre par un excédent le recettes

de 2.^0 1.200.848 ïf a nés.

4'^ Lé rapporteur général souligne Véeurt entre les précisions de la loi de finances, qui «toiçnt de 42 -lilliards 4i)(i(j.l(i,n6 trançs, et les recettes de l'exercice, qui se *èbiït elevéés'ù ,4<>' milliards î*4a.434.05I francs. soit une plus-value de ^inilliûrds 44«.81 7-875 francs. Cette pius•valuc ne doit point nous empêcher de voir que le contribuable, accablé d'impôts, commence- à donner "«les signes de gêne grandissante. Il faut songer aux

̃ •dégrèv-c'Bients. ̃

Les diocésaines

La commission d'administration générale examiné

.jes amendiimenls au projet de loi relatif, ta dévolu-

iioij aux associations diocésaines des biens cultuels non 'encore 'attribues. Elle a repoussé un amenderoc-iu de •Mvl'alcoz et" un contre-projet de M. François-Albert par contre -elle a adopté un amendement de M. Ihry, Biodiiié par M. Ïaton-Vâshal et spécifiant que les dïoec"'sàiiies1 'seront conformes- à'ia loi de 1905 ce que le .̃(.CûhseR-d'Et«fc:-a d'ailleurs reconnu. Ce texte ne modifie, en rien l'économie .du projet, alors que le contre-projet de M. Frauçois-Albert le bouleversait complètement.

quin. Il crut devoir le dire et ce qui était assommant, le répéter sous des formés diverses. A son grand désespoir, l'article 8 filtadopté. Toutefois, à l'article ,9, ce M. Locquin reparut. Il entendait « que tous les membres de la congrégation conservassent l'administration de leurs

'.Mens. ».

Cela rie présente aucun l 'inconvénient,' a'ssu-

:4»ait-n. ̃ :̃'•̃ ,̃•: ••̃̃•̃̃̃• '̃• ̃̃̃̃<̃̃ ̃ ̃•̃'̃ ̃•

y.uty; se.VJt dans l'obligation de constater le contraire, qiiqnj^ l'addition qu'il prétendait faire a l'article fut repoûssée par un vote formel. AlO'rS' surgit de nouveau M. Berthod que l'on ii n'avait plus entendu depuis près d'une heure. Son ambition était de modifier de fond en comble le textç de; l'article 10 qui concerne « les valeurs mobilières et immobilières ayant appartenu à l'ancienne congrégation ». Un autre socialiste, M. Frot, vint se joindre à lui. Quelques instants plus tard ils mordaient fraternellement la poussière sous un vote accablant.

L'article 11 ayant été réservé, M. Frot déposa, â l'article 12, un nouvel amendement tendant à ajouter au premier alinéa la disposition suivante !< Est réputé irrégulier tout étabhsscment autre, que ceux énumérés au tableau de l'article 2. » Echec de M. Frot. Les articles 12 et 13 furent adoptés.

Nouvelle fantaisie de M. François Albert qui ne mérite;, pas d'être exposée même en cinq lignes et les amendements continuèrent de pleuvoir, tous rédigés 'dans le même dessein retarder autant que possible le vote de la loi, tous inspirés d'un même esprit la haine de la foi.

Vint le moment pourtant où il fallut se prononcer sur « l'ensemble ». Des discours de MM. G.rumbach et Frossard furent un coup de plus infligés à une assemblée excédée. Le premier proclamait que sur ce débat « plane la grande question de la laïcité en France », l'autre promit de faire tous ses efforts pour que les élections municipales prochaines « soient surtout anticléricales ».

•-• M, MetH&t, à qui personne rie demandait '^lèn, dnttfejjgril'iria faire l'élo-ge.du gouvernement qnttî a présj.(ié., C'était son droit e,t c'était, le flôtre^de ,j:ire. yuêlqûeÇ orateurs expliquèrent leur vo'te^et -recffreW cé"qtfils avaient dit dans la discussion générale. M. Briand aussi se répéta en proclamant «l'intérêt national de la loi » et « le respect du gouvernement pour la laïcité ».

A la majorité de 325 voix contre 255, le projet concernant les religieuses de l'Enfant Jésus du Puy fut alors adopté et l'on décida de poursuivre dans une séance de nuit la discussion des projets concernant les autres congrégations l'Association des Missionnaires d'Afrique, la congrégation des Frères Maristes des Missions, celle des pères Missionnaires de Picpus, celle des Frères des Ecoles chrétiennes, celle des Sœurs de Notre-Dame des Apôttles, celle des Franciscains français, celle des Missions africaines de Lyon et celle, enfin, des Missionnaires du Levant.

.'̃ T*"1

1

En fin de séance la Chambre, sans débat, a accordé au ministre des Finances l'autorisation de servir à Mme la maréchale Foch une pension de rente viagère de 100.000 francs.

LE CONCOURS HIPPIQUE

̃ ̃ 'r. n\i

Le comte Henry ,d'Yanj\[j%| assiste ,dn, comte Alain de Gpulaine^ du comte de Leste.rp$j.,du viebintè FeTc'rfurV au comte de' La 'Ruelle, du eomie Jde-'Mon^hy.'îdu c?ùniteJ!J. de Sâlttt-Gèriys, de M. Léonce de Scitivaux -rf(j JïreLsché et du marquis de Vassoigne, a présj/ijijj.hJer matin aux examens d'équitation pour jeunes gens.

Ce jury a constaté une moyenne d'instruction très satisfaisante et décerné des médailles d'argent à. MM. Bernier, Boulin, Falcou, Jaubert, Nolot, Lepàs, Douvin, de Guillebon, Mignot, Bunel, Appert, Faivre, Sautot, de Roufflgnac, Chardey, Dacquin, Bore, J. Rousseau, Prost, Verthamon, Vial, Plom, Levairé, Harsin, Denizet et Carlier.

Les chevaux de selle «poids moyens de la deuxième division ont été présentés au marquis 'de Cornulier, au. comte de Lesterps, à M. du Ché, inspecteur général des haras, et au commandant de Luget.

Les deux premiers sujets classés sont d'élevage normand 1. Dame-de-Pique, par Royal-Chesnut, à M. Edmond Henry modèle très plaisant, distingué et près de terre, avec un magnifique massif antérieur et des allures souples et étendues 2. Dictée, par Vieux-Chouan, à M. Louis Conard harmonieuse et bien faite, brillante en action. Le jury a pu décerner trente-trois autres prix et quinze flots de rubans. Il faut citer, à la suite des premiers lauréats, notamment Diavolo II (élevage normand), Duchesse (Saône-et-Loire), Doyen (Saôneet-Loire). Ce dernier, présenté, dans l'épreuve d'obstacles de l'après-midi, a fait un parcours sans 'faute et très vite c'est un sujet d'avenir. Plus de quatre-vingts concurrents pour le prix des Ecoles. Les lauréats ont été ainsi classés ï<> !Hc-.ut;Gos.se II, à M. Fraïnçois Chevalier, Jjtifl-iiM.

jAl.v^st ^L, ijra^ston) ,2.-ex.vj»quo Démocratp, ^%iM.

Constant Moreau, pour M. Louis Perreau de Launav (M. Chàlntreuil), Poule-Chérie, à M. Jules Clétnençon, pour M. Emmanuel Hiant (M( K^ Gléinençon), et Cloche d'Or, à MM. pour M. Marçql Bénard (M. Dick-Grayston) 3. CoTïnette III,' à Mnie' François Juif (M. Riquet Cortembert) 4. ex a?quo Gribel, à M. Louis Hardy (M. Chaintreuil). et Elan,' à M. Franck Duvoisin-Mazorie (M. Henri Jlcix).

Douze autres prix et treize flots de rubans ont été en outre attribués.

Les prix internationaux, équipages de maîtres à un cheval et tandem ont obtenu le juste succès 'qu'ils méritaient par la classique élégance des conducteurs et les brillantes allures des chevaux. Le jury, présidé par le comte de Guébriant,' et composé de M. Octave Manset, comte G. Becci, M. h. Béharelle, comte de Groix, comte d'Harambure. comte de La Ruelle et M. A. Nouvellet, a décerné des prix sans classement aux très beaux attelages de Hector Franchomme, Jean Landrin, du marquis d'Andigné, du duc de Andria, du docteur Ch. Holder, de MM. S.-J. Patino, Henry Viguier Mme .ï. de Frey, de Mlle Odette Lazard, de Mlle Jacky Monnier, de Mme Ortiz Linarez, de Mme Léon 'l'home et de M. Pagnicz. Flots de rubans au baron Edward Cachard et à M. Jean Landrin.

Dans la soirée, superbes parcours pour le prix de l'Ourcq, dont nous donnerons demain les résultats, et aujourd'hui, .prix internationaux aux chevaux de selle « hacks présentés par des ama,Kones et des gentlemen,. puis pris de la Prévoyance, jB-preHWîs.1' d'obstaèle» pour chevaux français. Ch. D.

ACADEMIE DE MEDECINE

Elections, hier, de1 deux correspondaiits étrangers les professeurs Kbouri, d'Alexandrie, et Van Itallie, de Leyde.

L'Académie a suspendu sa séance pendant cinq minutes, en signe de deuil, à l'occasion de la mort et des obsèques du maréchal Foch.

M. Jeanseltne a communiqué une note du docteur Paul Vigne, qui constate que l'importation de la lèpre à Marseille a doublé depuis dix .ans. Il y a là un danger sur lequel doit être appelée l'attention des pouvoirs publics. Il importe qu'une h-ès rigoureuse surveillance soit exercée sur les étrangers véhiculant un fléau qui s'étend et devient inquiétant.

M. Camus, directeur de l'Institut supérieur de vaccine, a signalé quelques points particuliers du rapport de la Commission, qui s'est occupée ré-

eemment de l'encéphalite post-vaccinale. Cette

complication, à peti^gr^B inconnue jeu France, n'a

jusqu'ici été obscrvéV~q]ae:*daTis quelques pays. Ce sont peut-être les conditions favorables à la vaccination, généralisées depuis l'application de la

foi de ''février 19()2ï> giuif <&£* "contribué à é.earter

èhez- noé's-eettc eomptiemfônV -•̃' à écarter

La Commission de la S. D. N. ayant reconnu l'heureuse influence de la vaccination, pratiquée ̃au cours.* de la première année de Kcnfance sur

la .fréquence- des réaqtiQns. ençépb,alitjques, en, re-

commande emploi aîiXj pav,s qui n'ont pas la vaccination obligatoire et Jntî 'vaccinent les enfants à un âge déjà av-ancé1.». ;i

Quoi qu'il en ;S0tifr,nMw(fîajnu4 demande que-soient transmises à, l'Insfitut s^u^jprieur. de,, vaccine toutes les observations qui pourraient être utilement communiquées à la S. 1)/ N.V*et il invite les centras ^'aeciriogènôs à participer à. l'étude des conditions favorables au înaintienjtd^la virulence du .vaccin par la culture exclusive' de génisse à génisse, conseillée par la Çô'nimïision de la variole et de la vaedination de'îa S;'i>. /N. "•'̃ <; Notes techniques! idnterses de, MM. Jausion, Blanc, Lesag.ç,)-J?içhat, et, lecture par M. Ménétrier, vice-président, une notice nécrologique sur M. Balier. lv ̃ ̃ ̃'̃̃̃•̃̃'•̃

̃ ̃ ̃>'>!̃; <>.V, •̃f^l' ̃ ̃̃•< .'̃ ->V, ,n- =~ S '̃'

L'Académie des inscriptions a voté 'l'adjonction iV son vrétf-'p'résfdent, M. René Dussaud, de M. Seyrig, secrétaire général dé notre Ecole d'Athènes, pour l.'exanien des: ruines, de Palmyre, dont la consolidation est prévue. Elle a décerné le prix' Chavè'é, "de' 1.800 francs, en partage à M. Jean Rôurcier,' pour son ouvrage Le parfait en Gascogne, et à 1VL; Albert Dauzat, pour ses deux Uyres d' Essais ̃ rfe Géographie linguistique*

Savante communication dé' M. A. Meillet, sur l'articulation de la lettre l liquide en latin. M. Adrien Blanchet a entretenu ses oonfrères des origines de la médaille française, que permettra de bien déterminer une étude documentée et précise à laquelle il vient de se livrer.

L'AMITIE FRAÏ>ÎCClr^NGLAISE

r-r- f .1,.

uu/; »(jLa'A»Fl»mme k v-a se renât^iÀipMtdresttinU: j i

isur la tombe ̃du.JSoUal Inconnu britannique.

^(.^ne.RmpiÇj^antc dyléga^pii d'MWi'Cn«,(Com.b!SttantS

français, ay^int le généra^, Gouraud. à sa tête, va se rendre à Londres afin (ïe, saluer, le jour de Pâques, le Soldat Inconnu britannique;

Ce pèlerinage1,' organisé. -par la « Flamme sous l'Arc de Triomphe .», et, auqjuel participeront plus de huit cents anciens combattants, prend une signification toute particulière au lendemain des obsèques du maréchal Foch..

Puisque, pour rendre le dernier hommage à l'illustre capitaine, le prince de Galles est venu en personne suivre, son cercueil, le voyage des anciens combattants sur la tombe du Soldat britannique sera certainement considéré', à .Londres, comme une répense française au geste dé la Grande-Bretagne. Les délégués partiront- après'demain soir de Paris par Dieppe et Dunkerque. Le jour de Pâques, ils assisteront, à 9 h. 45, aijx services religieux. A 11 h. 45, ils se rassembleront ,à porse Guard's Ground, ils se fornieront par cfuatre, et, précédés de leurs camarades britanniques, -ils se. rendront au cénotaphe, conduits par une musique militaire. La cérémonie terminée,, ils, se rendront à Westminster Abbey, pour saluer le Soldat Inconnu britannique et déposer dés gerbes de fleurs sur sa tomte. L'après-midi, réception par la British Legion, dans le Westminster Hall, et vin d'honneur offert par le gouvernement.

La journée de lundi sera consacrée à la visite de Londres et denses environs. Les pèlerins seront, ati^dida rétour Paris.

« LA mi&À ITALIANA »

Jamais la s'aison c^e lfi 'DSfnfàisarice n'a été plus exceptidnnéllênient acflré 'ijue11 cette année, tant par le nonibrie des iwanifestatiohs charitables que par leur éjdat et leur j»Hgéi>iosité. Mais, selon une tradition solidement éAa.blie maintenant dans la vie élégante parisienne, Joiites les fêtes vont trouver leur couronnehiétft'et leur apothéose dans le bal de:«;la Stella Italiana », qui sera donné, le samedi 0 avril, dans les luxueux. salons de l'Hôtel Moderne, place de la République, sous la présidence du ministre du: travail et de S. Exe. l'ambassitdeur d'Italie. ,~)

Le commandeur F. Pôcciirdi ést'le président de cette fête, et le chevalier G. Broccà sera son fidèle adjoint. De hautes pierWonrtàlités parisiennes et étrangères, de très grands artistes seront réunis dans les cortèges et entrées, prêtant, de compagnie, leur bienveillant cqriçours pour ce geste infiniment noble et toujours renouvelé la charité. Le secrétariat, du bal est au Palais-Royal, 99, galerie Beaujolais, Allez-y retirer vos cartes à l'avance. Ce sera prudent, ,r-.

« rr!c :H~f-

NOUVELLES DIVERSES

̃ ̃•̃̃̃• -;iç,.l i/ -̃̃

Trafic `d~'s~ujié~~ânta

Marcel Brun, 27 ans, 12, rue Lafernère, représenl- f

)larcel B\~1I1, 27 ans, .1~1. rue Lafer[i,èrlf¡ r,J}rfse¡~~

'tiiWti'une Importante ;ifi8isï»n tMH-s, sM?[«ndait ̃Êréqbàimtrfiit-en Allenia*gHe po*3"^ UïlaiWs" et rapportait chaque fois J'iinportantes quantités de stupéfiants. Son aniie, MUp, Mag^e-Louise De Mangel, 24 ans, dite de Valence, danseuse, en prenait possession. Le coupîe a été af-retéi A leur domicile, la police a découvert unëH^ise pWne de cocaïne et d'héroïne. ̃? .-̃̃>>

L'enquête, i se ppursuit, i pour rechercher des complices que Brun /ournissâijt et qui, rayitaillsjient des intoxiqués en province. t

Les obsequea. ;du g~rdien Reslou

Les obsèques du gardien Reslou

•«Les obsèques du gardieh'de la paix Marie Reslou, blessé mortellement par des communistes, dimanche dernier, à Çlichy, ^aupernt.lieu.jV^ndredi matin. à 5) heures. 'i

Après la céréinbnie reïigieusè â î'e^lise Saint- Viucent^de-Paul de 'Cliehy;;Iîé cO'rps^^ëra dirigé, en fourgon, vers le {cimetiéçè Montparnasse, où aura lieu l'inhumation dans lhit caveau des victimes du devoir. |( ̃ ̃ t Incendie dans 'un sous-marin

'Un incendie s'est déclaré, hier après-midi, à bord du SoUs-niarin Marsituin, -èh réparation dans l'arsenal..i-< ̃

Les pompiers,de la marine accourus sur les lieux se sont rapidement rendu maîtres du sinistre. Les dégâts sent, purement anatériels.

LES OBSEQUES DU GENERAL SARRAIL

Le ministère de Ja>,gneiiwfi..communique la noie

suivante

Les amis du général Sarrail &e réuniront le 28 mars 1929, à 10 heures, au pont Alexandre-III (accès paf-Ie Qours-là-Rèinë),' où se formera le cortège, qui ira à ̃ pied jusqu'à la grille des Invalides. Là, un bref discours du ministre de la guerre sera suivi d'un défilé de troupes. Le corps sera ensuite transporté (vers 11 heures),, à la crypte des Invalides. ,-̃̃̃•<

Les amis du général Sarrail pourront également se rendre en voiture, à 9 h. 45, au domicile, d'où le corps sera transporté1 en automobile au pont Alexandre-IIL

.̃>̃̃;• n '̃'•

Le Journal Officiel yubtie^ ce matin, la loi indiquant que Jes maréch^ufi de France, les généraux ayant commandé en che'f ou ayant exercé le contmandement d'un groupe "d'années où' .d'une armée pendant la guerre de 1DÏ4, pourront être inhumés "aux Invalides.'

jlxjx: Assises iDqs 3Li*a- ..̃.s'BSiasrps

Le danseur nègre Lafortune est condamné à piort

Ch. Dauzats.

Le très éloquent avocat général Gaudcl avait demandé deux têtes. Les jurés ont accordé des circonstances atténuantes au nègre Julan, mais les ont refusées au danseur nctii\ Lafortune, car c'était lui qui avait indiqué, prémédité les deux assassinats de vieilles femmes. i:' .'̃

Les deux audiences dè< ce procès nous «nt révélé un coin du Paris moderne, de ce PnJ'is équivoque qui fréquente trop souvent les dancings montmartrois.. Une femme, une -bourgeoise, mariée a un commerçant honorable, se trouve mêlée soudain à ce lugubre procès. Elle a .connu ce Lafortune au nez en forme de trompe aplatie et aux narines énormes. Pour lui elle s'est compromise et, malgré tout, malgré les paroles justement sévères du président et de l'avocat général, elle a encore une profonde, inexplicable et morbide sympathie pour ce nègre accusé d'un double assassinat et qui l'a, dans les restaurants de nuit, tenue dans ses bras solides et l'a fait tournoyer ait son du jazz tout en lui murmurant de tendres paroles.

Quelle leçon pour les femmes qui fréquentent les dancings, que cette audience, sinistre au fond comme un roman de Carco.

Faites entrer Mine Jacquet dit M, le président Bacquart.

Et à la barre s'avance 'd'une allure- décidée une femme mince, grande et souple, au visage encore fin et joli (car elle n'est plus très jeune), aux grands yeux noirs, avec deux grosses perles aux oreilles, fausses sans doute. Fort élégante avec son tailleur bleu, sa chemisette blanche, une étole de vison repliée sur le bras gauche; une petite toque sombre sur des cheveux noirs.. Elle entre, regarde longuement le nègre Lafortune et elle lui sourit sympathiquement.

Toute- sa déposition est, en sa faveur. Elle ne veut pas croire it son crime.

Mais elle a fait mieux lorsque, accusé d'assassinat, Lafortune, son danseur noir des restaurants de Montmartre, était arrête, elle alla chercher son linge à l'hôtel qu'il habitait, le lui apporta en sa prispn. où elle alla le voir. :<-(. <p, LA mince fenilhe brune "reste" impassible, mais 'soM- regard se tourne le danseur nègre, Je fixe. presque tendre, et, lentement, dêtàchamli chaque. isVli labe r:- ̃•• ̃ Jamais je ne l'ai cru capable d'un crime Allons Retirez-vous avec votre sincérité s'écrie M. l'avocat général Gaudel.

Et fine, jolie, élégante,; 'nullement émue, repliant avec soin sa fourrure sur son bras gauche, Mme

LES CONGRES DE PAQUES Syndicat des professeurs, C. G. T. et Fédération de l'Enseignement

Le congrès du Syndicat des professeurs de lyeée et-cle l'enseignement secondaire féminin s'est ouvert hier, au lycée Louis-le-Gciind, sous la présidence de M. V. Cope, président, assisté. de Mlle Bréchot et de M, Favières, vice-présidents, et de M. Lacroix, secrétaire général.

Le Congrès a, tout d'abord, étudié la question des assurances sociales et voté la constitution d'une caisse syndicale de secours aux familles de syndiqués frappées par la mort d'un de leurs membres.

Puis il ;a discuté la question des rapports avec la Fédération gén;éi»ïlKjj.de l'enseignement adhérant à la C. G. T. r Il~

î/En'tente Universitairi?, qui' groupait" toutes les Associations des quatre ordres d'enseignement n'exis^ ;tt!;plusl « Pour la première fois deptïS que notre syndicat existe,, dit .M>. <Gope, nous nous trouvons entièrement isolés, incapables de conclure désormais, quelles que soient les occasions qui nous y invitent, une de ces ententes ou provisoires ou durables qui nous ont été si profitables dans le passé. Que pourrat-il résulter de l'isolement nous nous trouvons désormais ? Rien de bon, selon toute vraisemblance. » L'intérêt bien compris du syndicat l'oblige à pratiquer « une politique d'entente cordiale: et de confiance réciproque à l'égard de la Fédération générale de l'Enseignement, et de la Fédération des syndicats de fonctionnaires ».

Aussi, M. Cope propose-t-il aux congressistes de prendre parti sur une motion dont voici le texte •: «. Le congrès, renouvelant l'expression de son attachement aux principes de stricte neutralité politique qui ont toujours présidé à l'action du syndicat, donne au bureau le mandat d'établir avec la Fédération générale de l'enseignement adhérant à la C. G. T., les relations les plus cordiales et une collaboration aussi suivie que possible. En particulier. le congrès, en chaque occasion où la défense des intérêts communs aux deux organisations l'exigera, invite le bureau à se tenir prêt à déléguer des représentants aux séances de bureau, de comité ou de congrès de la Fédération générale et à recevoir, à titre de réciprocité, dans toutes nos assemblées délibérantes, des représentants de la Fédération à qui sera accordée voix consultative. »̃

Mais un certain nombre, de professeurs voient là jUnys manœuvre hypocrite d'adhésion dij< .syndical à m ClG.T. Ils soulignent ce fait quvil y a contradiction' entre la déclaration de neutralHé'pCilitiqUe et la proposition elle-même. Personnellement, M. Suran, président de la Société des professeurs de français et de langues anciennes, membre du Conseil supérieur de l'Instruction publique, a toujours préconisé l'union des professeurs avec. les autres fonctionnaires. Mais la Fédération dés fonctionnaires a modifié les termes de la question en s'affiliant, et la Fédération de l'enseignement a suivi son exemple. à la C. G. T. Or, d'une part, la G. G. T. a pour principe la lutte de classes, principe qui n'est pas celui de l'enseignement secondaire et, d'autre part, il y a une différence radicale de statut entre l'ouvrier qui est libre de se donner les chefs qu'il veut, et le fonctionnaire celui-ci étant serviteur de l'Etat risque de se trouver pris un jour entre son deveir professionnel et son obéissance syndicale. Ce conflit de devoirs, ce cas de conscience, il dépend des professeurs de l'éviter.

Adhérera-t-on à la C. G. T. ? Les statuts du syndicat nécessitent pour cette adhésion un vote des deux tiers des membres du congrès. Et même après ce vote un référendum serait obligatoirement à envisager.

Mais le syndicat n'adhérera pas à la C. G. T. Par 4.017 voix contre 745, le Congrès a seulement autorisé une collaboration suivie avec la Fédération pour toutes les questions intéressant l'enseignement secondaire. Il a, de plus, « invité le Bureau et la Commission exécutive à nouer éventuellen\ent des collaborations avec toute autre associâtiôti avec' laquelle des' 'contacts pourraient également être utiles ».

Jules Laurent.

On veut électrifier la ligne de Sceaux

)

Le Conseil général, après un débat prolongé, a adopté un projet par lequel il autorise le préfet de la Seine à reprendre les pourparlers avec la Compagnie des chemins de fer d'Orléans en vue de la reprise, par le département de Ja Seine, de la ligne Paris-Luxembourg à Sceaux et Massy-Palaiseau.

Ce projet n'est simplement qu'un nouvel acheminement de l'extension du Métropolitain en banlieue, puisqu'il prévoit, en effet, le rattachement de la ligne réorganisée et électrifiée au réseau du chemin de fer souterrain.

Afin de permettre de résoudre certaines difficultés, ce qui exigera un certain temps, on a proposé et décidé l'affermage de la ligne. Le vote pour les conclusions du rapport a été obtenu par 57 voix contre 35.

Jacquet quitte Je salle non sans avoir longuement regardé son ex-danseur noir, qui la suit des yeux intensément.. Quelle' tranche b*t*vte;i! ôotnthe en dit' aujour- d'hui. Est-ce là vraiment notrejfiaris actuel ? Tune partie, certes, et non la. plus belle. Mais il y a encore, heureusement, un Paris qui travaille, qui lutte, qui pein,v, fit,.qùi souffre, Et cççi console jçle

cela.. ''̃-̃

Un témoin, Mme Husson,' la d'une, dés deux victimes, de Mme Lemoiiie,' 'qui fût étrarigtéé, va nous faire pénétrer dans l'intimité d'un autre intérieur, l'on ne fréquente ni les dancings, ni les danseurs nègres. Mme Husson, née Lemoine, qui est employée au ministère du travail, vient nous dire ce qu'était sa belle-mère. Mme Lcmoine, dorsqu'clle fut assassinée, .avait 78 ans. Elle était propriétaire de l'immeuble, une maison de peu de rapport, si bien que, malgré son âge, elle travaillait encore. Chaque matin elle allait voir son fils qui est paralysé, l'aidant à se lever, à s'habiller; Quel contraste avec le Paris de Mme Jacquet, Après le réquisitoire de M. Gaudel, M" Frcynet et Thaon défendent les accusés. Julan est condamné aux travaux forcés à perpétuité. Lafortune, le danseur mondain, sans émotion mais avec de la colère dans les yeux, entend la sentence qui ordonne que sa tête sera tranchée sur une place publiquè. Georges Claretie.

Fin du procès politique de Foix Le tribunal a rendu son jugement dans le procès intenté par M. Pérès contre MM. Lafargue, Dautrçsme et Ragot.

Les prévenus sont déclarés convaincus d'avoir, ensemble et de concert, au mois de juillet 1925, à Foix, Saint-Girons et dans le canton dé Sainle-Croix, par promesses de faveurs administratives à des communes, tenté d'influencer le vote des électeurs do jCesi çonjnjunes, ;jfaits.jnnévus et punis par les articIes;3,,4,,9 de la JuUda.Sl/maEï. 15)14, o ,,r,

((, ,Lc; tqbu^.aj les, relaxe. ,de,.tou(es, autres inculpations

pouvant résulter des .Vernies de la citation;1 E'n'Y-eparatioiv, ilcondamire chacun a peint! de ï.'ÔlBO francs d'amende et conjointeniéht et solidairement à payer à M. Pérès, à -titre de dommages-intérêts, la somme de un franc les condamne solidairement aux dépens, fixe au minimum, pour chacun d'eux, la durée de la contrainte par corps.

L'AFFAIRE KLOTZ

Un nouveau désistement L

M. de Ventile s'est rendu, hier après-midi, à prison de Fresnes pour procéder à l'interrogatoire d'identité de M. Klotz au sujet d'un fait nouveau. Il s'agissait d'une traite de 25.000 francs surlaquelle l'inculpé avait imité la signature de M. Geoffroy. Cet effet avalisé par M. Vermandon, de Biarritz, avait été escompté par M. Gomez, banquier à Bayonne.

Réquisitoire avait été délivré contre X. le, 27 novembre dernier pour faux et usage de faux. Il s'était transformé le 20 décembre, par suite de la démission de M. Klotz, datant du 14, en un réquisitoire contre l'ancien sénateur.

Le parquet de Bayonne s'était dessaisi de l'aftaire en faveur de M. de Gentile et l'instruction sur, lenoUveau fait savait' été jôintesà celle en cours.. ̃M. Klotz assisté de ses; deux:-avoeats, ;M" Hç.i?r.y ̃Torrès et Gustave JoLy, -a idéelaré « II résulte dit dossier de la procédure que le; réquisitoire contre X. qui est devenu un réquisitoire contre mol, '.n'a été décerné que le 27 novembre, après que 23 du même mois, M. Gomez eût été désintéressé et que M. Vermandon eut fait 'connaître qu'il n'entrait pas dans ses intentions d'engager contre moi une action judiciaire. » Il a conclu- en excipant de sa bonne foi. t. M' Henry Torrès a remis, en outre, au juge dMnstruction un désistement émanant du principal. plaignant, M. Chysson, qui avait accusé M. Klotz de faux et d'abus de confiance.. C'est le second désistement qui intervient dans cette affaire, Me premier ayant été formulé par le plaignant originaire, M. Kellner.

Pierre Audibert

a été de nouveau entendu par M. Glard M. Glard, de son côté, est allé. à Fresnes ,dans l'après-midi d'hier, pour entendre Pierre Audibert au sujet de certains articles parus dans la Gazette du Franc, dont il était directeur, et portant sa signature. Cet interrogatoire semble avoir marqué une étape dans l'instruction, car à la:suile de sa visite M. Glard transmettra aujourd'hui au parquet, qui prendra ses; réquisitions, une nauy'eJUe demande- de, ny.se., eii ^i^rié provisoire. Ensuite il aura à statuer et rendra' soit une ordonnance de rejet, soit une ordonnance d'admission. M" Campinchi et Guyonnet se trouvant absents de Paris, c'est M° Assélinot qui a assiste rincuïpé.Mj |] ^V |, Celui-ci a répété ce qu'il avait dit au cours des précédents interrogatoires.

Il a précisé que le numéro de la Gazette publié à l'occasion du pacte Kellogg ne contenait aucun article relatif aux entreprises de Mme Hanau. Le magistrat ayant mis sous les yeux de Pierre Audibert des lettres de démarcheurs où il ést en cause, l'inculpé a répondu qu'on ne pouvait le considérer comme responsable, n'ayant « ni écrit; ni inspiré » quoi que ce soit.

L'instruction ouverte

contre la « Caserne » et Y «Humanité »

Ainsi que nous l'avions fait prévoir, une décision prise au dernier conseil des ministres porte que lès insulteurs communistes de Foch seront poursuivis.

L'instruction a été confiée à M. Delalé. Dès lundi soir, a 18 h. 30, la police a perquisitionné dans les locaux de l'Humanité, 12i, rue Montmartre, où elle a fait ample moisson de documents antimilitaristes.

A notamment été saisi un numéro Caserne, spécialement édité à l'occasion de la mort du maréchal, et dont les articles étaient conçus en termes tellement odieux qu'ils ont valu à leurs auteurs d'être inculpés pour « pïpvpçatiiQn 4'e"nylitaires à la désobéissance ».

Le gouvernement s'honore d'avoir promptement sévi contre les blasphémateurs 'dû Victorieux, mais leurs blasphèmes emplissaient'tincore' hier matin, la feuille des SoH'iètsî Réprimer, c'est bien, empêcher serait mieux.

Ajoutons que l'information ouverte par, JVI. Delalé contre le journal la Caserne vise le gérant, M. Aristide Denis, déjà détenu à la prison de la Santé, et l'auteur de l'article, M. X. M. Marc Nuriny, qui a paru le 19 mars. r

D'autre part, l'information contre VHiimanîiê vise le nîeme gérant, M. Aristide Denis, et l'auteur d'un article signé P. J.

Extrait du Catalogue des automobiles VOISIN > Quinze litres sont d'un gourmet, quarante sont dignes d'un goinfre ».


LE '̃̃̃̃̃̃ '•̃" J^r* ^b* .•, ?l£?_2'' r-' •-̃' ̃1'" ̃̃ '̃' ~™, mj^ t ̃ rt

Littérature f'

i et Phonographe

Le Château des Carpathes n'est pas un des romans les plus connus de» Jules Verne. Il; est vrai qu"on n'y voït.pasril'homme éventrer la terre, es- calàder le ciel, eu1 circuler dan"s le système plané- taire. Mais lJules Vérnè; qui a! prévu; cîhquantb ans à l'avance tant d'aspects du' nibn'ay fnodérnêj>1déç.rit, dans ce, livre oublié, une, des inventions qui changent '^ujçurd'b!ui la, vie t de .chacun de nous,, ;` le phonographe,» j te héros au .Chatep.ii. dçs Carpathes, est un baron de Transylvanie qui, grâce à une machine ,merveilleuse, a capté tout à la fois l'image 'et, la voix d'une femme qu'il a aimée, cantatrice à "la Scala de Milan. Cette femme est morte ` depuis longtemps. Cependant, tous les soirs, son souvenir vivant reparaît dans le château du baron, et sa voix chante, comme jadis, sur la scène! milanaise.

Il n'y a pas si longtemps que cette féerie 'mécanique nous plongeait dans l'extase, en faudrait davantage pour les enfants d'aujourd'hui leurs parents ont chez eux, dans un coffret de chêne ou d'acajou, mainte cantatrice et maint ténor de>la Scala de Milan, sans compter ceux de Bayreuth et d'ailleurs. Et il n'est plus nécessaire de posséder la fortune d'un châtelain de Transylvanie pour s'offrir une, place au cinéma parlant.

Mais voit-on ce que la littérature, dans la direction indiquée par Jules Verne, pourra tirer d'une invention qui'conserve les voix du passé, qui permet à tout instant de les évoquer? Un romancier s'en est avisé déjà c'est M. Pierre Benoit. Dans son nouveau livre, Erromango, qui va paraître dans quelques jours, un phonographe joue un ï-ôle:capital il.tient la place de l'héroïne du roman» qui est morte depuis quelque dix ans. > Cotte femme aimait à chanter ntrte^itrèlod^UJlWU'niélodie est éditée en disque:' Vous ^devinez le reste* c'est comme ;d&ns; ie'; Château; d^Càr^mi'VhMmie gui ia. ;âijbaé' cette femme fej.t", tonner, 'le'.djsij^e. Il n'en faut 'pas plus pour, que la bJieATaimée re,>vve à sasryeMX, lui montre, sou visage, lui fasse respirer le parfum 'de sa chevelure. Car Baudelaire .n'a pas seulement fait un beau vers mais exprimé une vérité physiologique, quand il a écrit que [« les parfums, les couleurs et les sons se répondent ». Et comme il n'est pas de psychologie qui ne tienne compte de la sensibilité physique (certain romanciers d'aujourd'hui n'en donnent que trop de preuves), on voit quelle ressources le disque, employé avec à propos est capable de fournir au roman de demain. Une maison de gramophones nous faisait entendre « la voix de son maître ». Le héros û'Ërromango, lui, évoque la Voix de sa maîtresse. Voilà qui promet de rajeunir la croix de ma mère du vieux mélodrame.. C'est, de toutes façons d'ailleurs,, que les lettres devront compter désormais avec le phonographe. Si le livre ne se fait pas un allié du disque, celui-ci deviendra tôt ou tard son rival. Déjà, on enregistre maint poème, dit par quelque acteur renommé. Il y aurait beaucoup plus à faire dans ce sens. M. André Billy disait naguère l'émotion qu'il avait éprouvée à entendre, au phonographe, un poème de Guillaume Apollinaire récité par lui-même. Le -disque était vieux, l'enregistrement médiocre. Mais c'était 1*> v«ixt:;d?Apollinairen;QHe dJautres voîx n'àimèrions-nous-pas entende» .ainsi -1 Ijnagir nez •l'inestimable1 tfékbi-' que- sciiait'wHb tkctur.e loù une conférence de Jules Lemaître, conservée en ̃quelques disques. Mais c'est vers l'avenir qu'il faut regarder, ou, pour mieux parler, qu'il faut tendr« l'oreille. S'il est trop tard pour flxer la -1 voix, de Jules Lemaitre, on peut enregistrer une I lecture de Jacques Copeau, des vers de Tristan Derème, dits de sa voix grave et chantante on pourrait demander à M. Paul Valéry de lire devant le microphone un poème de Charmes ou une puge d'Eupalinos. Enfin des scènes dramatiques tout entières, des interprétations d'anciens et de modernes telle scène de Molière ou de Musset par la troupe du Français, telle scène de Giraudoux ou de Jules Romains par les Compagnies des ChampsElysées et de l'Atelier devraient aussi être conservées par l'édition phonographique. Ne soyons pas trop sûrs que ce soit toujours pour lîadtoiration de la postérité,; cela vaudrait au moins à titre de document. ~`

Il reste en somme à faire, pour la littérature, ce que le phonographe fait déjà, avec magnificence, pour la musique. La poésie aussi est de la musique.

i On nous prodigue d'admirables partitions phonographiques-– commis le Trisiaii e-i- 1 solde rècepi-meflt enregistré à ©ayreuth; à quund une tragédie ou vrk comédie- de Musset en disques sonores "? ̃

'>»* '̃•'̃ '?. \q^.An<ïi,'é Sîuss^auk: ̃

-r; ̃ m';i<.ttHi– -rTmfl£Lim7~. ,<i ̃̃̃̃̃' 1/ Académie îtaliciiîiê

Après avoir, comme Bonaparte à la France, donne à l'Italie la paix religieuse, Mussolini veut, comme Richelieu, orienter la vie intellectuelle. de l'Italie.

L'Académie italienne, qu'il vient de créer, comptera soixante membres. -Elle logera à la Villa Farnésine, où sont les admirables compositions des élèves de Raphaël, et qui a été acquise à son intention au prix de douze millions. Chaque académicien recevra une rente de .30.000 lires. L'Académie, comme la nôtre, maintiendra la langue. Elle préparera une grande édition des classiques latins et grecs que l'Etat éditera et le « Corpus des exploratëurs, italiens », et elle rédigera une grande revue internationale des sciences, des lettres et des arts en plusieurs langues, destinée à faire connaître dans le monde entier le génie créateur de 1 Italie. Comme premiers académiciens, VEcïatreur de Nice donne les noms de Gabriele d'Anniinzio, de Luigi Pirandello, de Perosi, de Pietro Mascagni. Il se pourrait que la question féminine fût posée .'en la personne de Grazia Delleda, lauréate du Prix >Nfobeh ;̃̃•̃̃ ̃" '•• Les ftôininatiortS' se feront par une entente entre JècHèf dur gouvernement, le ministre' de l'instruction publique et le président dé l'Académie; déjà 'aésigiiè, Té sénateur tittoni, ancien ministre et ancien amhassad'pur d'Italie à Paris.' Plus tard, les académiciens choisiront eux~mein.es leurs comreres. Encore faudra-t-il l'agrément du gouvernement 'On sait que cet agrément est aussi requis che* nous, "mais, en fait, le chef de l'Etat, sous auciùi.,de nos gouvernements, li'a jamais exerce le moindre droit de veto.

IiAcadémie d'Italie est pour le moment composée de 30 membres, nommés par décret ministériel. Maïs l'Académie doit en compter soixante. Les 30 autres seront élus par l'Aoadémie ellemême à, raison de dix par an.

Les dix premiers seront élus avant le 24 octobre, jour axi-poMP l'inauguration de l'Académie. Dans la fiéimcé sera faite .l'élection de ces. dix d'Annuiizîo sëfa élu ainsi il entrera dans l'Académie non efi vertu d'un décret ministériel, mais par la rvolanté des Académiciens réunis.

II en sera de même pour Marconi.

MADAME DE GEN1JS, CORDON BLEU

i On lit dans un poème où l'abbé Delille, émigré: lui-même, chante -les i malheurs de;; l'émigration ̃mais'lé poète des Saisons a-t-il eïidb'rè'âe's lecteurs ? ce' vers longtemps à la mode et que la catastrophe de la Russie en 1917-a>refldu tristement actuel ?'- fi- ̃ ru

'Le marquis sémillant au comptoir est tranquille.

¡"I.1: i;<y,

< Encethiver de l'année 1799, ce n'étaient pas tout à fait les mêmes raisons qui avaient ins'îajlé', ;le, marquis la caisse et la comtesse au fourneau; La brillante Félicité du Crest, comtesse de- Genlis, marquise de Sillery, l'ancien ~ouue/'7!eur des enfants de Philippe-Egalité, n'en était pas réduite, pour vivre, à ceindre le tablier. Elle avait plus d'une corde à son arc, sans compter celles de la fameuse harpe qui ne là quittait jamais. Auteur déjà célèbre et applaudi, il lui suffisait de laisser courir sa plume et d'utiliser les ressources d'un esprit qui lui avait permis, six ans plus tôt, de se sauver en Belgique, au travers; des avantpostes français.

.Elle à conté cette aventure dans ses Mémoires. Mme de Genlis se trouvait alors, avec son ancienne élève, Mlle d'Orléans, âgée de quatorze ans, et sa nièce, Mlle de Sercey, à SaintAmand, près de Valenciennes, au milieu de l'armée de Dumouriez. Le duc de Chartres, frère de Mlle d'Orléans (le futur roi Louis-Philippe) et te comte de Valence, lieutenant généiT-aU gendre de Mme de Genlis, y servaient sous le vainqueur de Valmy. C'était le 4 avril 1793, .lendemain du jour où Duinoiiriez avait arrêté .lçç éor^nyssajres de la convention chargés,, de îFari'^iejf-i liiUmèraë. Mme' de Genlis venait» de monter en voiture, à sept heures du matin, pour fuir à l'étranger avec les deux jeunes filles. Les fugitives étaient fort inquiètes, car un officier do l'armée de Dumouriez, M. de Montjoie, qui les -accompagnait et comptait gagner la Suisse, avait oublié de demander le mot d'ordre. Il avait fallu s'engager dans des chemins de travçrse, tourner autour de Valenciennes. Ornières, fondrières, pierres d'achoppement p,êniblement surmontées et tout à coup, dans un village regorgeant de volontaires, là voiture brisée Quelle attente Une heure et demie d'angoisse, tandis qu'un charron raccommode la guimbarde. Comment répondre, en ce cabaret où l'on a dû entrer, aux questions des volontaires, « faites avec un air indécis et sombre qui était véritablement effrayant > La nuit tombait. Reparties non sans un indicible soulagement, les trois voyageuses étaient bientôt descendues de la voiture, dont les cahots devenaient insupportables. Elles avaient l'ait un quart de lieue à pied derrière un guide qui tenait une lanterne à la main, lorsqu'un capitaine de volontaires, attwé''par le fanal, s'était placé sur leur passage, les avait interrogées ''et, 1 l,J>pis satisfait 'Jde )feù^4.' réponses *v à^ait ,<iéelar#. q«!ïl',le.s. soupçoftnuit d'être des iémigrées et qu'il allait les Conduire à Valencien-

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Malgré son épouvante, Mme de Genlis a l'air de consentir très gaiement à ce voyage qui ne peut se terminer qu'au pied de la guillotine. Elle prend le commandant sous le bras et, dans un baragouin anglo-français, avec les intonations les plus britanniques, elle l'accable de plaisanteries, lui reproche de manquer de complaisance envers elle, lady Verzenay, et marche de plus en plus allègrement. Amusé, convaincu, le capitaine s'arrête au bout d'un demi-quart d'heure « il voit bien qu'elle est une véritable Anglaise » il la laissera continuer sa route sur Quiévrain. Qu'elle éteigne la compromettante lanterne et suive ce petit sentier qui mène aux avant-postes autrichiens. Les années sanglantes de la Révolution s'étaient écoulées. Mlle d'Orléans avait rejoint à Fribourg sa tante la princesse de Conti.- MUe de Sercey avait épousé M; Mafhiessen, un riche négcciantde Hambourg; M. et Mme de Valence stvàFèïrt Mié;!â,"Sielk, à "cinq lieues' de la ville

iW^puWîf >'W? mais^n &? campa^nfi<,i'iet

Mpie de Génhs. avait perdu son époux, le marquis de Sillery, guillotiné pour avoir voté contre la mort du Roi et motivé ainsi son vote « Premièrement, parce qu'il ne la mérite point deuxièmement parce que nous n'avons pas le droit de le juger troisièmement parce que je regarde sa condamnation comme la plus grande 'faute politique que l'on puisse commettre ». C'est chez sa nièce Mathiessen que Mme de Genlis, pendant sa vie d'émigrée, reçut la visite du poète allemand Klopstoçk. « II y a pour les auteurs, a-t-elle raconté, certaines gens dont la première entrevue est insupportable. Ces gens-là veulent, non vous connaître, mais vous montrer, en vous abordant, tout ce qu'ils, savent et tout ce qu'ils ont d'esprit. Je nie l'appellerai toujours ma singulière entrevue avec le fameux auteur de la Messiade, au commencement, de mon séjour à Hambourg j'étais en pension chez le pasteur Volters. Klopstoçk fit demander à me voir il vint. J'étais seule avec ma nièce. Je vis entrer un petit

l" ̃ ^ESPRIT ALSACIEN, 1 L'Alsacien, nous dit M. Léon Treich, dans les Leelurcs .pour Tous, tient de., la France .un. goût passionné de l'ironie il est le premier à railler s.fes-triiie!s;.tiï>cs|tlfrond'ïl*î^Kous nous *n apercevons aujourd'hui, et les derniers débats de la Chambre des députés ont bien montré que le plus grand nombre des autonomistes n'étaient que des « rouspéteurs »), Il galège comme Marius> ou Olive, il blague comme un Gascon, il -aime les contes salés comme un Bourguignon, il est d'esprit gaulois, pouï tout dire. Et M. Léon Treich, parmi d'autres traits savoureux, cite ceux-ci

.:L!empt'reur allemand était revenu, à Strasbourg, ̃̃cette fois avec son fils aine, le kronprinz. Ce dernier, le soir, rentra au Palais impérial à une heure tardive et dut réveiller l'appariteur, vieil Alsacien bonhomme, qui, saluant l'héritier du trône, lui dit familièrement v ̃ II y longtemps que votre papa est rentré et couché.

Le prince Frédéric eut un sursaut. Il dévisagea

ETUDES, j'ILISTORIQUES. L

vieillard, boiteux, ford laid je me lève, je vais à liii, jtr1 le éondttit "vers' \xn' fauteuil il s'assied en silence', ;d'u,h air riflèchi, croise les jambes, s'enfonce dans le fauteuil, et prend le maintien' d'un homme qui s'établit pour longtemps. Alors, d'une yijix haute et 'glapissante, il m'adresse /cette singulière question Quel est, Madame, à votre avis, le meilleur prosateur, de Voltaire, ou dé Baffon ? Cette manière d'entamer, .non, une conversation, mais une thèse, me pétrifia et Klopstoçk, qui avait beaucoup plus d'envie de me faire connaître so opinion que de savoir la mienne, n'insista nullement pour obtenir une réponse. Quant à moi, reprit-il, je me décide pour Voltaire, et je me fonde sur plusieurs raisons la première. II. me donna une douzaine de raisons, ce qui fit un très long discours ensuite il me parla de son séjour à Dresde et en panemark, des hommages qu'on lui avait rendus, et de la traduction qu'un émigré faisait alors de la Messifide. Dans tout cet entretienne ne plaçai pas six monosyllabes. Klopstoçk, au bout de trois heures, se retira très satisfait de ma conversation :car il dit le soir, à un de mes amis, qu'il m'avait trouvée fort aimable. Assurément, c'était l'être à peu dé frais, a

~z a,

Mais c'est surtout ,à Uerlin ?que résidait Mme de Genlis. Elle Vétaït arrivée vers le début de l'année 1797 et s'était logée chez

Mme-B«>c4[uet,t: une» maîtres»®! i de « -'pension

qui était1 Sûto" UÛtth-ââiiïce L-es'" "libellïstes y

'avaient^ poursuivi MHhv1 de Genli's!|'ide"i leurs

sottes diffamati'6iis,iiskurknt tantôt qu'« o l'avait vue avec le cuijjte Pptocki, au spectacle, déguisée en jockey », tantôt qu'elle était allée en Suisse, « pour y*- épouser M. Necker, devenu « veuf », ce qui eût donné à Mme de Staël une belle-mère dont elle goûtait peu les critiques. La victime des libellistes n'avait pas tardé à être chassée de. Berlin par FrédéricGuillaume II sous prétexte que l'ex-abbé Sieyès lui avait tendii visite à sa pension. Pure calomnie Un e,S£iiipt ne l'avait pas moins conduite en calèche découverte, sous une pluie diluvienne, à la frontière de Saxe. Si le brutal Frédéric-Guillatuiie II, avait dit spirituellement « Je n'exilerai jamais Mme de Genlis de mit bibliothèque, mais je ne la souffrirai pas dans mes Etats »» la fine comtesse, arrivée au terme de son voyage et priée par l'exempt de signer l'engagemen't de ne plus rentrer en Prusse, avait improvise ,cette épigramme à la Voltaire.:

Malgré mon goût pour les voyages,

Je promets. avec grand plaisir,

D'éviter et mêhïk de fuir

̃ Ce royaume dont les usages-

$WMH#t''pns &rkpenin. ÀJ s

En ce mois de janvier 1799, Mme de Genlis était revenue à Berlin. Le nouveau roi de Prusse Frederic-GuL.ar.me III lui avait permis de séjo. ner dans sa capitale et Mlle Itzieg, une amie aveugle, mais fort riche, lui avait obtenu un logement à la fonderie royale de canons, à Charlottenbourg, près de la porte de Silésie;

Madame de Genlis y' travaille avec acharnement. Heures à l'usage des jeunes personnes, Herbier moral, Dialogues à l'usage des Français en Allemagne et des Allemands en France, contenant les expressions les' plus usitées en voyage et dans les différentes circonstances de la vie, Ida ou le Jupon vert, le Maillot sensible et raisonnable, Les mères rivales toute une littérature didactique et romanesque s'échappe de son cerveau sans cesse en ébullition et lui rapporte plus de gloire que de ducats. Il lui faut donner des leçons à -des femmes de banquiers berlinois, à Mme^ CoKgi). et Herz, à une certaine Mme Bernard, à M. Lombard, conseiller intime de vingt et un ans, frère du favori de Frédéric-

Guillaume.' ;rs \«>*

'1\" "1"> {' iri I

v; .p^i ùjj èti é? leur a^nsëigné l'aiît" Tmrdïêficile

'p;our;<àe,s ljQuciie.s prussiennes t– ijdeadéclaïHtr

des vers français ou* la manière de composer quelque lettre française alerte et spirituelle, leçons précieuses qui se paient un ducat (cinquante francs, de notre monnaie de 1929), Mme de Genlis fait des fleurs. Elle les fait même si bien, qu'un marchand de Berlin lui a proposé quatre mille ducats par an, si elle consentait à diriger ses ouvrières. Elle a refusé; elle fait «eé: 'frivolités que pour son plaisir. Mais un jour Mme de Genlis, qui jusqu'à présent se flattait d'être universelle, s'aperçoit avec consternation que le plus humble, le plus utile des talents lui manque. Quoi cette ménagère accomplie, cette éducatrice. hors ligne ne sait pas préparer un pot-au-feu Il n'est jamais trop tard pour apprendre. Elle s'avise d'ailleurs que la cuisine allemande est nuisible à sa santé elle étudiera cet art si cher à Brillat-Savarin elle mettra le tablier à la taille et la main à la, pâte. Gageons qu'ils seront exquis, les plats de sa façon. Une lettre, conservée parmi d'autres, montre que cette in-

le brave homme avec hauteur et, d'un air mépri-

sant ̃• ̃-•?>- ri.. > :•->:? •̃

Ist "et béstoffen? Èst-iï iv'ré ? murmura-t-il à demi-voix.

L'Alsacien fit semblant de ne pas comprendre Ça, répondit-il, ça, je ne sais pas.

Une dernière anecdote

C'est un joijr d'élections municipales. Un. hrave .paysan ulsaçien vient voter. Il voit an bureau de vote un fonctionnaire allemand, bien connu pour son sectarisme germanique. L'Alsacien va vers lui, lui présente deux bulletins, l'un au nom du candidat protestataire, l'autre au nom du candidat allemand t

Pardon, monsieur», qa«l est le meilleur? Celui-ci, fait le fonctionnaire en désignant le bulletin allemand.

Ah 1 je vous remercie; je le mettrai donc sur mon cœur, continue l'Alsacien en glissant le billet sur sa poitrine; quant à celui-là, puisqu'il ne vaut rien, je m'en débarrasserai dans cette boite. Et de glisser dans l'urne le bulletin protestataire.

corrigible .optimiste .notait, pas moins contente e de -sa cuisine <^ue de ses fleurs.

̃ <'̃̃̃̃ ̃ ̃• ̃ ̃)'<'<( '̃• »' -•• t.-

<i.

« Voire dernière lettre, ma chère enfant, écrivait-elle ,1e 26 janvier. 1799 à sa petite-fille ° Félicie de Valence, plus tard comtesse de Celles, 'alors âgée de dix a'ns, était bien-aimable et m'a fait le'pluà grand plaisir. '^c Serai charmée, de r-ecevoir les. (.petits ouvrages: que vous m'annoncez; je les .examinerai avec -attendrissement, en pensaivV que ma chère Félkie les a' faits pour moi, et ils me seront bien .précieux. Je vous enverrai une tasse de porcelaine, parce que c'est ce qu'il y a de plus joli ici. J'aurais bien voulu vous envoyer aussi de mou ouvrage j'ai appris à faire ici des corbeilles de plusieurs genres, qui sont charmantes, en paille et en soie. Les plus distinguées sont en soie, mais elles sont si grandes et si délicates, que je ne saurais les emballer. J'ai appris aussi à faire des nattes et des chapeaux de paille, es qui m'amuse extrêmement. En outre, je me suis remise à faire des fleurs artificielles, de sorte que ma chambre est un véritable atelier. Màndez-moi si vous portez, des fleurs, car, cela, est facile à envoyer. » Pour la pièce d'écriture que vous me destinez, je vous prie, chère enfant, de l'écrire sur un papier de la grandeur de celui que je vous envoie et de n'écrire que d'un côté, afin que je puisse coller cette feuille dans mon deuxième volume de Souvenirs, car mon preiin.ieru,yp,lu,me est .tout rempli..jF.alte-Sjxous un K-Ure de Souvenirs ? Cela est bien atniïisaatiet il '̃ëSj/'Jtolî surtout de le, commencer' 'èi; 'yc^l-^à^ej. Si vo'ùs ,en 'faites uiï, Je vous enverrai 'qiiejquels petites peintures, que vous pourrez y mettre^ » Je vais vous dire une grande nouvelle que je vous prie de communiquer à votre papa, à Palnéla et à Henriette, c'est que je suis, devenue une excellente cuisinière.' Voici pourquoi. Je veux me, mettre dans mon ménage, parce que la cuisine allemande me fait mal comme je ne puis avoir de cuisinière française, je me suis décidée à faire moi-même ma cuisine avec l'aide d'une servante que je formerai et j'ai voulu faire mon apprentissage avant d'entrer dans mon ménage. J'ai communiqué ce projet à une aimable et jeune amie, peu versée dans l'art de la cuisine, mais qui a une fort bonne maison et qui loge près de moi, et deux fois la semaine, à des jours fixés, je vais chez elle faire la cuisine. Nous faisons ensemble un bon déjeuner-dîner, que nous mangeons ensuite avec ravissement. Je prends pour guide la Cuisinière bourgeoise,, mais j,y apprends par cœur la ïteille ce que je dois faire le lendemain, afin d'avoir l'air plus savant, mais j'aimerais mieux apprendre un grand rôle de comédie qu'un seul artiçl'è^'te 'cuisine Heii n'est plus .difficile, &' retenir. J)ë cé|te inuïiièi'e, je fais' inon apprentissage sans frais et, fort gaiçniejjt. Qnan<j je serai chez mo«ï j-)v mettrai un peu plus d'économie. Il y a pitisKlifs choses que je fais ave une perfection déjà célèbre les oeufs à la tripe, la crème au gratin, la crème à l'italienne et la soupe aux amandes. Je voudrais bien que ma chère Félicie pût goûter de tout cela j'aurais bien plus de plaisir à faire toutes ces bonnes choses pour elle.

» C'est aujourd'hui mon jour de naissance (le quarante-troisième). Il n'y a pas beaucoup de félicitations à me faire là-dessus, mais l'upn amie, Mlle Bocquet, vient de me donner à cette occasion, un grand rouet, le plus charmant que l'on puisse voir elle dit que le talent de, filer me manque, elle veut me le donner et je prendrai lundi ma première leçon.

» De tout ceci, ma chère enfant, il résulte une petite moralité c'est qu'avec un bon esprit on peut se faire à toutes les situations, se suflire à soi-même et apprendre à tout âge. Il ne faut que de la persévérance et de l'application pour apprendre tout ce qui ne demande pas du génie et, dans ce nombre, combien de choses agréables et utiles, combien môme de connaissances distinguées et solides Faites donc /de.tpnne heure, ma chère enfantées îfisceilenj-

>' te^s -jirovisioiis. Perfectionner son::ca-rïiictère' et

'ne' négliger aucune occasion de s'instruire, voilà le véritable emploi de la vie. Adieu, ma chère Félicie, je vous embrasse maternellement ainsi que votre papa. »

̃

Admirables conseils Au sortir de la cuisine, le gouverneur de princes retrouvait son naturel à la veille d'écrire des romans que n'eût pas désapprouvés Mlle de Scudéry, Mme de Genlis écrivait une lettre qui eût rayi'IVÎme de Maintenon. Ces deux femmes, du reste, n'étaient pas tellement dissemblables. Educ'atrices partout et toujours, elles avaient l'une et l'autre la passion de l'enseignement. Et il aurait pu convenir à l'une comme à l'autre, le cachet d'or monté en breloque, pieusement gardé par la petite Félicie en souvenir de celle qui fut le gouverneur du roi Louis-Philippe une clef de montre entourée de cette devise « J'âiJ réglé qui nous règle. » Lsi Force

de l'Académie, française.

LA JEUNESSE FRANÇAISE Après bien d'autres, M. Duhamel se penche sur la jeunesse d-aujourd'hui el| ̃ dans la revue orléanaîse Le Mail s'efforce de Ja curactériser. 11 la voit divisée, mais riche de forces cachées. Pourquoi faut-il que cet article, assez juste dans son ensemble, soit gâté par cette phrase « Les tout jeunes hommes dont je parle n'ont pas connu cette affreuse humiliation de l'âme et du corps qui caractérisé la Guerre. »

La guerre une « humiliation » ? L'auteur de La Vie des Martyrs oublie qu'elle est aussi la vie des héros et des saints.

M. Duhamel s'était mêlé avant-hier à la foule, il aurait trouvé la meilleure réponse à cette question. Il aurait vu bien des yeux se voiler de larmes devant la dépouille du héros qui sauva hotre patrie de la plus dure des « humiliations », celle du joug étranger.

Courrier des Lettres et des cMi-

fK! •;̃ ̃ .;̃'

Jf étoileJoachim Gasquet

h M. P. Vigne d'Octon évoque dans' Le Petit Méridional îe> souvenir du poèté!; Joaehha GaSijuet et de la première soirée qu'ils passèrent 'epsèttible ;V:V ,̃ ̃r- ̃̃̃.̃ ".['. un,* Certain .jour, à .Montpellier, k*rg ji'ùhe gpgpde fête universitaire, Xavier de Ricard nous présenta •r«n à l'autre. ̃•' •̃ >•; ̃̃< ^>- » Aussi profondé -que Spontanée 'ifut la sympathie. Ce soir-là, minuit sonnait; Nous étions dans la grande allée du Peyrou un groupe de <|tt»tre, qui désertant la représentation., de ,j$Ja au, théâtre, [ déambulions en devisant du cher' pays d'Oc et en contemplant sur nos têtes la splendeur de son firmament. Il y avait Maurice Faure, Maffre de Baugé, de Ricard et moi.

» Les mots gloire, immortalité tombaient souvent de nos lèvres, étant ceux qui perpétuellement nous hantaient.

» Tout à coup, Maffre de Baugé,. -gui s'occupait alors d'astronomie ou plus exactement qui s'amusait à déchiffrer quelques vieux grimoires d'astrologie, se mit à interpeller par leurs noms les plus brillantes étoiles quiscintillaient au- firmament. » Tout à coup, il objurgua Sirius, Vega, Aïdëbaran d'avoir à veiller sur son destin. Mais quand, montrant du doigt l'une des plus belles, il dénomma Altaïr, Gasquet l'arrêta soudain

» Oh celle-ci, s'écria-t-il, n'y touchez pas* c'est la mienne. :>

» Et gravement Baugé lui répondit

» Soit gardez-la, et que votre nom resplendisse devant les yeux des générations aussi longtemps que ses, ra\ ons > t

~.¡' ;ti.i. J!,i":j." ,J' Ci ,;1.t

iQtokar'fereMnjçi, r

"s t'checd~o.v~quës .viennent d.t. perdre

"tes 'lèpres téh'éepsiôv'Aaues Menneni dfe perdre

'lin de.Jeiu-s' plus' célèbres représentants. I«e poète Oiokar Brezina est mort à Prague d'une attaque d'apoplexie. Il avait soixante et un ans. Par sa conception de la technique poétique, il 1 s'apparentait à nos Parnassiens. Préoccupé par lés problèmes métaphysiques, très imprégné de science moderne, Brezina nous apparaît à la fois comme un spiritualiste chrétien et un mystique oriental. Prix littéraire anglais

M. Siegfried Saassoon a reçu le prix Jamestatt Black pour son roman Les Mémoires d'un chasseur de renards, Ce prix est attribué au meilleur roman paru dans l'année. -̃•̃••'̃ M. Saassoon a déjà publié, en 1917, Le Vieux Chasseur en 1918, Contre-attaque en 1919, Poèmes de guerre. Le dialecte monégasque

Les Monégasques s'agitent beaucoup en ce moment. Non contents d'exiger la revision de leur statut politique, ils veulent créer une grammaire monégasque et un lexique. Mgr Joseph Baud, un très érudit monégasque, sera chargé de ces travaux.

LES cZlRTS

:si-:l. "-a- »(• s-. ̃̃̃•̃̃̃:̃ -•̃̃̃ ̃•̃ ï-vi. ̃•̃̃̃̃;̃ v,

Un plan ancien du Mont Saint-Michel Dans la bibliothèque de l'Arsenal, dont il est, comme on sait, le distingué administrateur, M. Louis Batiffol vient de découvrir un plan du Mont Saint-Michel dressé en 1758. Son auteur, un soldat de la garnison du Mont, l'avait offert au marquis de Paulmy d'Argenson alors que ce dernier, secrétaire 'd'Etat de la guerre, faisait une tournée ^'inspection en Normandie.

Ce document est d'autant plus précieux, que l'on crovait jusqu'ici ne posséder aucun plan du Mont Suint-Michel antérieur à la Révolution. 11 va être grandement utile au service des Monuments Historiques pour la restauration de l'abbaye.

Il présente entre autres un dessin de l'église tel qu'elle était sans doute au moyen âge, avec la disposition du chœur, les stalles des moines, la sacristie et'le trésor placés autrement qu'on ne croyait. Il fournit le plan du réfectoire avec les tables et les bancs des religieux et ceux du prieur remplacement de la cuisine et de ses fours il donne des indications sur des parties encore inconnues de l'abbaye et enfouies, qu'on pourra dégager il change la position du poulain, grande roue destinée à monter les provisions de la grève, qui ne date donc pas, comme quelques-uns le croient, du pénitentier il permettra enfin d'éta-

j-blii» la;'nisiM>sit;ion-du logis abbatial.

":Kn-"cç 'qui^concéirne ty'; petite ville,, il donne le •'p'Taiï'aè's m'aiioiis, le noiii-des tours, qui ne sont pas toutes appelées comme aujourd'hui, et montre, ce qu'on ignorait jusqu'à présent, quels étaient les bâtiments qui se trouvaient au bas dû' Mont, à gauche, le long des remparts, en allant vers le moulin. (, Majoral du Félibrige et peintre

Edouard Marsal, qui est mort ce mois-ci à quatre-vingt-quatre ans, est pleuré par les Montpelliérains, ses compatriotes.

Ce bon peintre s'était toute sa vie intéressé passionnément aux lettres et surtout aux lettres occitanes. Il avait illustré avec une verve parfois mordante les œuvres de l'abbé Fabre, de son ami Louis Roumieux, et de quelques autres savoureux rimeurs. Lui-même abandonnait parfois le crayon ou le pinceau pour la plume qu' 1 maniait avec aisance. Ses récits languedociens et ses poèmes étaient fort appréciés et cinq ou six de ses chansons depuis longtemps sont populaires dans son pays. Aussi bien l'artiste fut-il majorai du Félibrige et « cabiscou d'honneur des félibres du parage .de Montpellier.

̃ :« « Marsal, écrit M. J. Fournel, nous apparaissait sous larges allés de son chapeau, comme un génie de la Cité, bienveillant et familier., C'est qu'en lui s'incarnaient les caractères distinctlfs du Montpelliérain autochtone joyeux et fier de vivre comme avaient vécu ses ancêtres, il en avait la .simplicité naturelle et la curlosité attentive, Tout ce qui, dans l'ordre de l'esprit était montpelHérain lui appartenait un peu en propre, et «si les nouveautés l'intéressaient, à la condition de ne pas brusquer la tradition, il préférait s'entourer de l'apparence, qui lui était chère, des choses d'autreiois. C'est ainsi qu'il colîectiqilnait avec un soin jaloux des débris matériels d'un -ordre disparu, [ notamment lorsqu'ils se rattachaient à un passé récent' lui rappelant ses jeunes ans. Comme jadis, Guillaume Pèlliciei-, il était le « livre vivant », le livre oral de raison de la terre natale. » Un dernier trait pour compléter l'image de cette figure pittoresque et sympathique. Vivant, au milieu d'un peuple dont la vigne est la plus sûre prospérité, Marsal s'était appliqué à composer Une série de planches il montrait avec la plus exacte précision les symptômes et le processus des ln&là-i dies de la souche et de la grappe. Leg .4~guaail~g~ t

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Le; gejtéiairPiijuo'dt: Rivera et les nunisUi^ ôht; Jïresiûe à l'inaugui ation Jae}' VeHiticu' de' la délégation des fin-aWceJs^w'i fe ministre des finances, ctansjun rliscouis, a déclaré que l'excedeni réel de l'exercice budgétâïVe1929 atteint 180 millions (ïp pesetas. Le chef du gouvernement a présidé" à> la clôture du ̃congrès des vi/Mes et a^. prononcé un. disefiurs. sur/4çs questions .urbaines];' dont il|â souligné l'importance dans, la vie ^îbdèt-rîë. Le ministre- et les autorités ont "déjeûné .eidn^ï l'enceinte ,de l'exposition, où. ifs avaient été inyftésfpjar. le conntë-ïd'o^ganisation.t .'• '̃> '(̃

i. .7 ̃̃̃ ~?; ̃î

i&. { i;Jte'i'(Bi;Geo|Rgé'V* i,Ç: reprend une p#rt active aux affaires de l'Etat

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Lobbies, V mars." 1^ premrKv ministw.ÂfcJJîalfïwiii, s'etfeamïu s/i-/

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pres£i«b); ^E|î*PV eoingie- ï^isa{j«ft 1er ~t;.

prés: s;~ ~çomtB~t:{Jsa{{é.:Jt(

veulj ijjffljHKaik arcfeevèqups ik-

.Cantb^ii vlgES'York. (( fut (idiïflun dis salons (fu rv?-1 'de-cb.^N^ws$|ït!elffït lien 1 v i ee.ep'Hon offn'ie^çï^CTftiil le i-oi qui etauf en redingote/ <et le piçnmr nuiuslie, les deux prG.la.ts pi ôtefriint'. sci nient, et, s age nouillan-t sui des coussins pourpres, baisèrent la main du souvei am

Api^s la ceiemonio M Ba-ldwin et les d«a&Tj^&b.e\tques dejcu-nèient

avec leviçi îpla îejjic

Avaâfc 'fte^îïtiHap.OUi' Londres, le premier ujjjnstr(>"s,'Ô!>(;»en5tretenii pendant près tl'uue heuie avec le roi George des af fan es courantes de l'Etat. '7., C'est' la première fois depuis quatre 'mois que le roi George Y a pris titre part active dans les affaires de l'Etat. `

ii +. =_.

• Vers la fondation du parti,

lib,ét~1 alle~itattd

libéral allemand

Blhm^' 27 mars. La ~Se\iv^Zeit, journalj;flemoc-rMe, annonce que'» la rolLiDUti'iition entre 1' « oidre deç

Jeunes ̃̃ Allemands le, « £roni'

1929: a W oCf~ 7,

On sni^ajSifr I' ,^3ai^Vi^4^ét^lé^

AllemanEK N réalise une nrndanw

politixiue assez originale, intermé-

diaire entre le nationalisme et le

pacifisme. <)uanl au « front 102') »,

pacl SIpe'; Quant au « Front 192H »"

il unit;11éja les jeunesses populistes et démocrates. Le comité directeur des «'Jeunes Allemands > Meut-cpautoriser son président à entrer dans Li voie de la collabqraiion. pratique avec le~:« 'Front 19&£.?>r •;̃ l Ce fait est de toute première ;iint- portàiiàV, ;et il se pourrait .que 'cçltè collaboration- fut lestai Be la fonj- dation \çïu grand parti' libéral doiijt j tout le :-ihoiule' parle. Cet exemple de l'esprit- d'associaj- tiqn de'la jëunesÂîi'alIéSiande aurait même, -s'il- faut cri. croire, la Neue Zeit, 'séduit uh> homme pokitique de premier-pian, quj; prendrait la, tête du mouvement.

̃. Nous-iapj>'gaWi»nir\ M. Sf rès«;mann. a ̃prbn(î^fes^ri«*gupr't'5t un discours dans cèbfens devant1 les i jeunesses ̃populistes^. et il se pourrai) que Le ministre: des affaires étrangères fût" rhommei©blitiquè'.âuquel;S#ngç, la HeueZeil.- -1.

̃ -pal-5s U; ̃

'}_t_

r "Des] e&os inédits .et'chaiiiTuiite^su^ ïe glo-fiirax disparu,* fies nouverfos'aei

le gI&riiMx disparu,* fies no~tvel~ç s ~ef

Myriam- Harry et! de. Gaston CHp'aut le romatt; de Tristan J3ernaMyid<;5' articles a]ïss| savoureux que curieux,- des Ghrhnkjuësy la page de la ville» du Pàlâïs, de l'Humour, du Théâtre et le règïéipipnt du Concours referendum avec >ses.lro.ïs cents prix font du Candide de cette semaine un nu,ïn-éro sensationnel. (0.75;) •' ̃-

:̃̃. ;̃̃ .'̃•̃ +> :L4.:ïftri

Un contre-torpilleur italien Honibre en Chine i

Changîiai, 2-7 mars.- fJ^i/CPHtrê'-i forpilïeur italien Mugtjià, ;s^refl4-àrit! à Chaughaï, est venu donaficpcle' lai bande sur dès récifs, par^ilmttS'dui brouillard opaque, -e'f à soîflbr'é.j fl'ous les membres de l'équipage r&rtt^ pu être;sauvés par un navire ̃japo-, jiais. 'y. 'U'

•– !r– r

îrons nous ?" Pâque^ la première détente de; î'annéy-^Jile premier sourire <lu»prin-' temps.

.passer ces trois jours de fête, sinonià|]Ç>eauville, au bord de la mer, dans ta jéiante campagne normande/ à trois Mures, de Paris, par les rapides qiii partiront de la gare Saint-Lazare samedi a 8 h. 45, 14 h. 15 et 16 h. ;4^ et dimanche à 8 h. 45. Du ;jl||* -avril au 1" octobre, tous les jourig ûn^tràin direct-^uittera Paris à 8 l||20, pour arriver à Deauviïlê à midi ^1.

Par; lagglus1 belle route aùtodrome, Paris-plauvHle 186 kilomètres. Sans îfiterruption. jusqu'à fin septembre, ifous les clubs, les hôtels et l*e Cash» resteront ouverts. i

r" •*> I

A l!A«adémie itaiienoe

Romk,(.27 mars,, Les nominations 'dtï^ M, ,f ittoni, sénateur, et du professôîii' ttîîoaccnins Volpi à la préside^fcé t«l 'Mi secrétariat de l'Académie rivale .d'Italie viennent d'être !Conl"irmAw.,»ffieieJlenieHti(- •̃

«énérâîcjjWHK^PrîPrjr

A BBLORADE '}h Le traité d'amitié gréco-yougoslave a été signs Î

iwJM. Carapnos et Koumanoudi

pfMIEP^iiS4nii)is.trï dt^'a^u^e^^UM^^ ,J

es .de Gtjtiiëf^m. 'j />f>Kori|fcr^5^ai^

^î%iflis>t,re Mes ,a.rt(Hrefiv?^aift«resîife;jï

P,t (1P r` ~txe g~`l'

l'issue (U la 's^Mfen Uni i

:p.n1))ujjitJtÎc' pu-

/•. \u <ouis des negoc-ïSi-pïïs poui, j suivies ces temps dernurs* enlie les | {{Oumi hement lu lleniqui' ei \6u- 1 gosLnt, il a cfe lonstate de part et d'.iutie que des luns det£inceic ainl' tie, une identité d'inteiêts et unc ̃ conliance mutuelle unissent heuieu- sèment les deux pa\s \Qisins, Le trafic yougoslave par la zone libre de Salonique • Les questions du transit et du trafic serbe-cronte-slovène par la |voiç de^la.'zojie- iitorâ? de Saloniquif i iaydht été c^éklee§ ^àrMes jprotot oj* < ns(|nés' al Sjen;éve-]e ;Ï7 4e.ee5 mpi^ i( îles gauxerfieinentis des ,*|eux pâ\ ranimés d'tîn égal scfùci du maintien i ̃ de l'état de paix et de la stabilik j politique, oht crurde leur, devoir de jne plus retarder ia conclusion 'd.'un a~ pacte solennel 'd'amitié' ̃̃• » Un pacte qui est* intitulé" « Pao- i Je d'amilié, .de.çQucj'l^a|ion et dcie- ^'glemeiA -'judiciaire » vient d'être signé ce uni in a HelgiadéV'^iai M Caîapmos, muustiV des affjnes ttianjjeies de la République h- llenujUL et

P€" H /1«^«ftJ' uu<ifl c fits

r 1llt,(j~m" dlt

f^3 ^*cspe<St?^aites ^it

» ^fteii bautes paitïcs1* ( onti allan-

te s'tfn^afçcnt -réciproquement a se. pretei 'irtiT".ipj)ui"inutuel et a côllh Ijoiii coidialement au maintien jd._ l'oidie établi pai les tiaités rk paix, dont ils sont lous deux signataires, i ainsi qu'au îespecl et à l'exécution des obligations stipulées dans lestiits i lia>tes » Les haule^paiUes contactantes s'engageiil rcciproquemint a ne se hvrti, dt-pail et d' nitu, en uituii cas. à un aeti de giuîu ma'is u régler pai la voie pacifique tout dif- férend qui viendrait à les illifsiir i. » S'inspiranl des formules des

U pressa allemande eontre la Pologne

,i tDes informations mensongères

h > ̃

t «Nous -lisons d-ans- h Messager Po- i louais

t' 4:'

;X*" Ces du j'011~,

out rcccm-

~ttlc~~l3s., r fornwtions

agccaales de ~r,°1'I1latil)ns

-spéciales (ef^corablenV), que la

fête du m^ipéchal Pi&Hiîski serait

l'occasion d'tifl terril)k\b1iuleverse| ment politique, la Deutsche Zeitunq i voulu alloi, elle aussi, de sa pe4Ue <s- iHiirv-eHo sensationnelle sur j la Pologne. Sensationnel, ce canard

l\ pjqiu'mcnt « made in Germain >s,

•l'est, dans tpoti' l'acception du terine, il -l'est j même nu point de ne }>his être très yràisemblable. Mais ̃ tiû'inipor-fe^n v'3 tanT'dt-geiïk qui t 'ne demandent qu'à être -naïfs. -»^Toi{t.eu-. gàiùiant uuej.,pt;iidente | Itlisçrétioiv quant à la :soHrceide; ses

t tinformarfôns,' 'ti£', DeiiLschë Zeitmu/

'housT ^rleVfpKÔpment d'un vaste ino^ivèmènf séparatiste' qui se desskierait chez; noj^ra|jtsjtont les chefs seraient 1^ jiiiiiJ^ÎSiî" Pilsudski et ilM^'lloman HînioWski' ''un «les lea>' tiers du j)arti 'iràfional-démocrate.-

'̃•̃ "? •'

a~¡ 'r;ijA~~ii.B~~

J" Le détM ~~Jes

'v, ~ŒE~ ,]

~f r1 ~a c ~st .aM~s~)~

(m~)K.uA ~;t)~<~tHM~~i lit

£ Les député|?eÈfi«pl2^^pnt 'p^S x venus fort..hi>ni=bnpuxî- .̃KviA

*ev La Chambre- commeneïS 'p.aVdis-'

,e' cuter le projet .i^g'^lpï.'iâuiiirisant.

les le .pr(jJet qlt'.).dt:,tW,arisant

ij. les missionnaires.d'AÏrique. i(Pères

lt Blancs). ,•̃ x, M. Bei'JHpd; ;èx'p.rJîne'^lfe."âésir quej '] le- déliât- annoneîéHsui": les ;àssocia-i J. tions e^rbpésaines ne yieftifë pas ce ̃ sôîr dansj lin 'dçîjat écou'r't^ l'ora- teuii, H- ejst vrai, v se mon tre prêt à r ̃ iW: :pas:' i]Qtarder la discussion des ;<jîuéfèi)tsi!pre?jëts inscrits, à l'ordre ̃; -d,u'jou¥. | ̃̃. ,Vv. -'H; M. Mplle donne coiïnaiss^ficecrunei it! e^irqulaire (jtans .laqueliè'-M?.: Steegj lai ators gouverneur- de l'Aigerie,! faisait

ii| "ltéloge; raction^fles Pèifes; BlUiics

ê.j d*Àïn-Sefra, .aupnês.-dès ini^ig«hes et

irt^ -êtes Européens. 0, jjj1- ̃̃̃̃ ne s j-; ;'Mf yioUétteH lui-iiiêijve.fiyf tfbserver que^plersonixe n'a. pu -setniéproiidrë 'sur l'oeuvre des Pères ;Bfa n'es en 'Afrique, "v irs^'aççomplÂsgent^làrbais, dit-il,, une œuvre de chaEité,. sans s préoccupation. |»oïitique; -Se 'soùve-

'ç, liant de\celà,l'aHciBn ,'g.ouvplfnéur de

'c, ,na, !"Jt <le cel i l,al!t:wn ,go, ux.~),'n,£, .~r de l

i-'i FAÎgéric yoh'râ-4'flu.torisaMj(jfl> Les premiers- tïrtirtfles SoUt adoi^ f », tés. '•̃ •;̃- ̃ -'V ̃;«. '-̃ ;"li: ,r:

r, '-(Sur l'artic%:31,R.rth;eï|i^é«ëfr(f

une disposition" addftitoîra'èHé teni- dant à interdire aux religieux aui- torisés toute prédication en dehors ;t des maisons de leur ordre. M. Marcel Héraud, rapporteur, et is M. Briand, combattent Pamendsmçnt t- de M. Berthod. Le ministre des at-T c f aires étrangères ".montre l'inutilité et le caractère vraiment trop res- ` ?, trictif de cet amendement.

Comme on pouvait .s'y attendre," Ni:1 Ernest Lafont se. mêle! ô> Jai eiiscus.- ;t sion pour .réfiitcr ectte argumenta- tion. M. 'l'oinearé (U'iuande avec une certaine vivacité et une certaine iro- I" ̃nii; si ji|inaii> -un gouvernement ré-1 publicain a frappé- d'interdiction un seul membre dune- congrégation en a ce' -qui concerne Ja prédication. |- a M. Groussau. ̃ député du Nord, 1: 1- elpfiiie, alors lecture d'un arrêt de la e -Cour de cassation relatif à l'applica- •tionjde^lat^ô^delflM) et d'aprèsrle^;

i*fâ inodV?s/à&g(Mjj«ut pacif i-

'6^aW,differ(?nTas'-3iikTna\K)i}auK

ulàÉrfepu la S f) N.^ igi, ilofll ila

'> ~tt ,é,}; ,i_l,i a~, G }.~l"

1~ 5 éi:,Tck':

.'1.JII1'j¡ ~Y' 8

]>i*ô( c" <Tf jf 1 1 ^t s ii'( ( Dm jli ilmn eï^j^i'bi-

tiM,4e *jkyt*

)&tttëlto*Be de la Cour de JuM%

f% 'T'T m1onwtio;>dl«, « :'¡JIJ.8fi~

'i~ri)~tM~aIe; x:

) Ions les dilft'Pcnds futurs, dans lisfluels S les hautes parties eontiacfantes auraient enin elles des con- installons juridiques et qui n'aui lient pas pu être règles par la voie

diplomatique seront obligatoiioii'"nt

îOinnis à l'arbitrage de la Coui perniilLnente de justice nitei nationale 1N Cet laibitrage pourra etie ,pietide d'uiie proteduie de conciliation. ,j » Pqur e^; qui est des futuis différends qui ne sont pas d'ordre |uri-i rficfiu iK de-U'ont gtligatoiienient Lti'i soutins a li pioceduri dt conciliation (k\anl une commission |)timaiKnk ou spéciale composée de, Linq nlcniVus Cette commission ih-j ra poui tâche d'élucider les (ni^s- L>obV litigieuses et de s'efforcei dL roacihei les parties. » Le lesultat des' travaux delà commission sera a consigne dans ÙU procès-verbal.

Le recours à la S. D N.

» Dans le i\is ou la ( oui mission ne paiMindiul pas à iomili*i ks

de>u\ parlus, le tityji 'M%*i,P«Jr1t*(-'i!fi*i,

̃towni la S D. l^ftgKBI

|>«Blies se mettent €^<^mÊ^fM

up tribunal arbitra). '<

cTulement pour ce cas. «. > Les différends relatifs a inter- prétation ou à l'applicition du pacte seront tranchés par la Cour permanentc de justice internationale. » Toutefois, la proceduie susindi[fuec ne s'applique pas aux différends avant trait au statut territorial qui ont surgi antei îeuremcnt a la conclusion du pacte et à ceux por- tant sur les questions que le diQii international laisse à la compétence exclusive des Ltnts

» Le pacte est conclu pour cinq ans crlentieia en vigueur nnmediateineat après l'échange des ratifications qui aura lieu à Athènes. »

11 ne sagnait 1 îen moins <>)t 1 oceu.r.r"e]icfi que d un ,110m eut partage de lu". Cologne, M -Dmowski ui^jn^-

!<h:ii¡f."p'Qur:,Iui

îj'oiSi. pi-fl.vintes ^»r-o»(ri-i>K^è<'s»nrH<1 Aé-

m8i{i;pto.inces, ~}~~s~S~~§~&<t~

jiîâfj?, de 1 1 Pi-ujsçt orientale, m

.1 :d,e 1 P, nÙ¡. Q. 'rif~.}.Ü/.lle- ><c-

raraS -érigei en rovaume heiedi taire. (Il est très regiettabU» que le journal aile nidnd .lùiit j) is cru devoir lions donner ciueique's pi casions suc la 'personnalité du futm sou\ eraii^v) » Quaiïl au inaiéi'hal Pilsudski, il se contenterait cUt reste du pa\s, augmenté, b.iei\eiiteuilu de la Lithuanie, qui serait annexée de vive force (MM. Snietana et "Walde'niar'as n'ont qu'à bienjse ten'fr')

» L'auteur de farticle nourrit l'espoir que la Prusse orientale ne se laissera pas prenelie a ee « mi- rage » (Quel euphémisme !) et qu'elle exigera, au conti af 1 e, de Va Pologne., le .r.cmjbuui sèment des 20 uyllipiis de inarks que lui coûte ae-

-tti'dlentent Hexistencc de l'infâme

ço(>ri<ier: '<» ..̃'̃'̃' 7 l'inÍfuu e'j'

1, .<

IfueJ^'eS^ejcice .df s -ffoiici»nV sacer-

jdod^^ (f^MbsolumeTirMégn i wve^our

ajji^etsgiéux ît#Tae non autorise.

l-'I^e gouvernement impose e alors la question.de, confiance; A la majorité '` 'de 321 voix contre 2G0i TaineHdeT tuent. est repoussé. ̃"̃'•'̃' >• Les articles ejui suivent sont adoptés. A là majorité de 345 voix contre 240, l'ensemble du projet est voté; La .'• ("h'ain'brc adôpte ensuite sans discussion, la majorité de 32(i "1 voix contre' 265 voix l'ensemble du projet sur congrégation des Frè: res maristes des mission. Elle adopte également sans débat- -l'ensemble du .projet teaidant àtiutorisei.^ con- ,j

grégation missionnaire des Sacrés-

^œurs et de l'Adoration perpétuelle de Picp'us.par 328 voix contre 263. j '1 Prise d'une hâte fébrile la Cham- bre continue de voter sans discus- sion-'ljes autres autorisations. L'ensentble du projet concernant la congréjgatioii de l'Institut missioniiaire-des Frères des écoles chrétieniies est adopté par 325 voix cqh& 264,- ̃ M,algré une courte intervention de M; Peyris sur l'article 2 'la Chambre ddop'fè à la majorité de 33» • voix contre 247 l'ensemble -dw' p-ojot au- ] torisant la Société des Sci-urs^dc 1 1 Notre-Dame des Apôtres. Elle ̃aïloptc j q également par 331 voix eqntrïP'260 le projet autorisant la Satiété, des' Missions Africaines de Lyon. La^Çhambre s'occupe ijjors efe la

Société des MissiomjïfTrè's'fdu Le\ a 11 1.

M. Ernest LïMM!M~P'

dre la, pa^ïffie"5'fols*i:eï^|jilrts sur1 1'articÈjje I?fvi ppur présente1! un cer- ] tiiiii rtpnibite d'observations -sans iiï- < téret. 1 L!eli$cmble du projet est [

adapté) par .321 voix contr,e,.260., .]

La séance, est levée à minuit cinq. Cet .aprè.ymidi, à 3 heuVés, la ( Chambre se 'réunira pour discuter It- jlrojet ek– loi- autorisant la co*gi-cga- tton des Franciscains français pour < les -missions à l'étranger, ainsi que le f projet de loi tendant à attribuer aux « associations diocésaines le reliquat -j des' biens cultuels ayant, appartenu -i aux anciens établissements publics :<

du ffûlteVi ̃̃>̃> '•" ̃ ̃•;••. '•'• '•̃ 'p'

-$$LtULEMAGNE.. l

Le général Ludendorff condamné pour injures H~t~oUHG, 27 mars.- Ce matin, ,16 li lignai de Cuxhaven a condamne

<"l 800 Jfrêfrks d'aintiidi otf*ïr" sei^t

louis de pri^Qn le gen.wal Luden-,

iloift ppu? ofÎKjise et ..înjuios a

.regard d1fH)'~hoMij)U'aphc anemana~

l'egaid dtui^hoT^apTio 'allemand'

dans son lîïie îj^nj-s/ruc/io/t de

ta iranc-macvniieHki par la revMit-

lion de leuis «Bc-n?tS ^FV

Le geneial LiïdeiSt[^f avait publie,

u|ie i>hotograpiïii' îyyTesenfeanl les 1 membres d'une! îcjfjë allnmanflo ail1

coins «l'mit léuniOH tenue av i>aitit-

Qut'iifin pendant, la guerre. ï*«rmi

eux se Uouvn1 le phologia])hc haui-l

boursjiwîs Spai r, qm le général avait accusé a fui\ d c spionnage en fa- veur de la 1 i-iiut

+&,

EN CHINE

Le général Tchang Kaï Chek 1', fakjnïiMr'

le gouverneur de Canton f > 'iUltÕn

£ } ( hangliai, 27 niai s

Le ^fonflil mté^icui du Kuonun

tangj 'i atti'int }>on parowsnu Li {•enej U Icliang Ku ( hik i fait fu

sillei hier Li (lu Se n guuvei nttvil

de ( m Ion d ejief du paiti milf»' tan<i du Kouan^ Si, qui avait été emprisonne

(^etle ntiuvillc; â provoque unei

Ji m li émotion Mans les nulle ux

poliliqies, et en paitiruhei djhs le

groupe modèle dftnt ^Js iliefs Ou Tse We ( hiana^biin' Kiang et Li âfijtoinsç aVjiie-ftWtfonne les gaiantyjf*"1 3

aieiit en

WWIÊÈffl* pour tentO une

Wêïfflpme supienii en feveui de la

paix

Ou I se We, ne pouv ml supporter

li d'ésftonneatr;<A~ est ~uicttié uritité-

le d'éshonneuivo* si suicide Hume a

diifiiunt ( ^Jjiug ( hniy Kiang a

tenté de s (.mjiw^oniuM

1 e geste de T^h mg kaï Chek, contraire a toute s 1e\ tiaditipns du vieil homuui diiiKis i ])iovoque une indi{,i^i[u)ii unanime On croit qu'une ( onlLigration geneiale est

miniinente

Leg rebelles, ««cupent Iche-Fou 1 1 lu f ou 27 mais Le î,?ih 'I 1 l h ni, I ehung Tchang i lu, mmi enhee a Tche- Fou à 8 htiiies s ui:> uneontier de i

résistance II i lin occuper la 'Sta-

tion du sei \k e dt> < ibk's Les Iioujhs «^tioiiahstis, qui' avalent commence lcin ntinle a'| 3 lu m ( s en dneclini de Nmg'i 'I

lelnu le lu on ciiip ihn1 avec' «Ucj. :1'

de glandes quiniilLs de îmmiU^ns

La Oiambie (L coninui ei)r Chinoise a oiunvc iiipjes de Té^ang Tchung I ( h m, une delc n< itio^poui

b. ~¡- t'J ¡..

denianelc4t «tUj-l{'*|WjifeH que 1 ociÊupa i

tion do ift"î|jpyijifes< P'iiifiejik

mé'ÍIt..il a

gasi

ici le aime"

Les troupes *tSoinniu-jgiiBtes

s tin partit 4t TiAk TêlWjjpa

LoMiiits 27 iiiars ̃ Selon des

nouvelles d'XmoT, parvenues a ||on (ïres, les troupes communistes' 'Sont

pris lu ville de 'I LUK-Tcheou, ftf^jsl

le Kukttoi, ville onl/ffiMc les bâlnnenîU! s

d'une sociite a/igïa'isc de inis&ion^i

d'une: société a~¡,#a1sl' de Imss¡~1¥'

naires 7 i

Y"

INFORMATIONS"1

i

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et cnsimbies l-")»n ( cl ville, depuis ]

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.iVsuVv.-IB^B^SBBi

.'hurles lleiirv Hren<vc>.| inorf^wpî-

cillent cel> aprt'i-ijjitjtj •' L,ius.uny;|.o ~.o

I a sui-<N)iub^j*WMJl«Éjto-f1ardi<wjiic.'1 [;

Le ]-iévereofl*^BaBRKfaft 'né j'u!ir'

::aiidda le 4^1'?»^ <

AuiiMiiiicr .i^ëgaCjijiês. troupfShij" K

mit'riciûnes ëSp^i^itteP 'pendant la []•

juerreASiondiale, c'est a la suite de

es, ej^tetations résultant des divi-

;ie>iis||ro séparent les diverses c-las-

;és: cp^ln chrétienté, qu'il 's'efforça c

.l'ajaiënef plus d'unité ;.il participa d

an 1927' aux conférences tenues à lii

ïto.el^JjBBSiK'f te.LaçsajHie, J r

LA REVUE M LA PRESSE

¡ ¡ "< ~,1a~ ~~oi~e~ c~i Focy

La presse nationale a su releyëjr' avec grandeurfie caractère inoubli^ ble de l'homisiag*e funèbre qui a été rendu à Foch.

Foch a, au-delà de la vie, réalisé un dernier miracle, constate M, René I Lara (GAULOIS)

Ses funérailles. qui les pourra jamais oublier? Il a. au delà de la vis- ualisé ce dernier miracle la comnu^ nion de tous les eœurs, de toutes leS;] Lisses sociales, de toutes les races lm-^S nuines dans la piété d'une gratitude impérissable,, dansude recueillement d'un '̃-ouvenir a^!gniflque.- Oui, il a fait ce suprême jïiiracle de transformer Paris ^n une Cité muette, en une sorte? de ca| Ihédrnlq immense, sileicieuse et' fer- vente. -$> N'otrc-Uninj£,.aux In'vaJ^des, pas ua .fôMit, pas un;vTjàwôus ^.{'fîxiic, pas uiï.SjS§ten,t;rfe»iâfer'r,ière ^ne.el»|ublé

haie âé~J'cts'~es~ m`111ion5 yig itéle's;

h.iie d«%|I'Mls%Ésï mïllions;e:-riêtes.

iThues, ii-^TrSb.3Wj^in'lnniobilit'éi^n!;ue|i ijro'^ondos. i'ell'e&nt (jusqu'au fâ;iïe des maisons, des" ji.ijfires,' sans --qu'î.'? aucuia.' ni 6 caoini t' -l-afffOÎiijph ll\e service^ fJr'CJrdré 'aii eu:à'*Ttitervejjjf. H semWa.fe1c}iip-l.-çls;'gIo,

i l'eiix morts, lx^s. drau^'criil nïUle-iiori s

c( uchés .'dans Jcs.ipittlfïe.s de l'rauéè fusseut venus. eux ̃>aùssi,salucr")e plus grand d'entre eux et que leur présence invisible oppressât la multitude des vivants

Miracle aussi, cette union de la soUnmte religieuse, de l'apparat militaire ot de la pompe officielle qui depuis près d'un demi-siècle ne se confondaient plus.

Dans V HOMME LIBRE, M. René; Davenav, décrivant avec éloquence!^ le faste du cortège, s'arrête à la su-; blime image du Moi't'qni est conduit au te"ni])le de gloire :;>

0t. 'qui était surtout',» ce qui était .uput tout, et presse') uniquement, c'était ce Mort.

tsAJois, quand il passait, le mIchcc, diji total, s'approfondissait, se eicusiil H avait, dans l'air, une soi te d'invisible battonicnt d'aile, on ne sait quoi quïdépassait cette foule, et peut etie, les temps. -Les roues, du e.il non, voilées de )a soie bleu-blanc-iougi sLinlildien ces "poitrines il et .-JcfUL toutes ces^asf^rinesî.fUssep;! devi. 'nues muettes,^rniue4}es t^lite-ii efi J)Ç»l^}, elles si muett{|s <mJii.v'.ii&fU. ete,

huilajj±rf<(H].'itre ans âu"nii4'^ajitt»^^SsJa j

la quatre ans a.~ra J

ioiwlanblt des canons î, 'Y'wïD^ i. Ft, dans ce silence, f'Mtwdis, quand il jlussi, le pas eneivfi^JjScl'iquant du «li^vil (.ripai uvonne ckjBeuil et d'<ti)iles qui fut le ehe\al du fcare-

thal i.

I IVïUl Pans était la autoui d'un

homme qui était un moi Mais d'un homme qui, avait su vouloir, qui avait su ])ousst1 >ii fond ses eneigics Et ink.ivnci, aLunt seconde supiênn la

seconde l\hc(i qu'il filltit I'Aiik

même d'un peuple qui voulait inuei Et pas seulement d'un peuple d'un

inonde t r'

Autour d'un eada\ie flge.v<^an« I'audelà, toute une foule' »v lïp pi is eons tienic de jadis et de denwin l'ai vu de ses contemporains, a luj, 1 oc.li |'ai

vu de ses troupes j'ai vujeeux qui

vil; de ses tro,uP,e,s A'ar:ccux qni

sont nos fils déjà yen o.vâïs un sui

soutanes fils, déjà,; J en n,V:1!!S", Ull' sur

|niis épaules huit ans

I M. Augusti Gauvain ee rit «dans les DEBITS « Non Foch n'était pis mort », et consuie a li glo<ri dii 'maréchal une ui^i foi terne nt suiht

I lui, le Chil i rfui de supieme;. hou

jîeuis si nndaiintj ettit un di et*,

lonqueiants lanuus Lis de vameie poui suiXiifirstir des Urrcs lerosees xle (.ang li eliimeit de la domination UJUvi1! i sillc ou un. capitiiue bataillant PftUr 1v i sitistution de ses tmbilions, oVpj^uH jSU^Uyiqi Sfiim. d pue ftimillc de proie **u KsKÈ^SPpVKî.Jifcseruiiule a la grandTui

^Kl»! cl un ttit > Non, ne,

piété discréte, e c

eï«ïffiJflîh*^»tMim^e pitf^ diseiete gjBP* il t

di «& lu elcchîre&nent etc li UdJ*1, il

avait applique sessions natu^ins i s^e

picpari i iti sei v îeç (tu p iv s .-Pins ij Se

tait consaeié» » l'ejp-si'iiniincnt des fie

néiiitons (im ejftytujin.t. aussi servir 1 Puff, rcpieuvc dépfsr^e^ venue, l'éjjreuve cjc^il n'awnt pas désiré^, mais qui le l trouvait prêt, }1 avait eirfptpyé toute son cueille, toujte son intelligence, tout ce qui vn.it en lui, à la tache qui s'im- ( pos'ut Ni obstacles, ni deuils, ni déeep,tions ne l'avaient arrêté ni troublé dans ^netoinplissement d'une mission à la- ( Vjuillc il subordonnait tout. Il n'avait ja- 1 hluis uen demandé. Il ne s'était mêlé Il t aucune intrigue. Mais. quand les Alliés j t tftvaiiMTt enfin du choisir un Chef coin- ` itftiji^ c'est lui que d'un commun élan ils ` nVaitînt choisi. Ensuite, jour après jour, ` sans Une minute de défaillance, sans une hésitation dans ses espoirs, il s'était dressé contre la pression d'armées en- J nciiTiis qun. croyaient arrivée Meure de t leur victoire. Il avait contenu, refoulé, désarticule, épuisé ces masses incrus- t tées <dans notrjssol. Ef, quand J'cnncmi, j I passé eje- transports furieux au déçjoura- fielnenl, rmnpu. terrifié par l'approche du e chii,timeiit' avait demandé grâce, il "Javait t arrêté l'effusion de sang en se cijn^en- tant de le désarmer et de le renvoyer c de l'aulrë côté du Rliin. T. Ce puissant raccourci est à platSÈi' l en regard; du grandiose hommage.

po'pulake. ̃ ̃ -,t f

^1. Gi&tavè Hervé (LA VICTOIRE) <

veufc uuejjcett^ mémorable journée c

\'e~ Que t'C,'etjJf,mélilOl'Uble journée. c

est TJtrarore .-ftti. redressement, natio- r

I1ql:' ;('"

La partie la plus impressionnante Ç peuttètre et en même temps la plus ré- a confortante du cortège, fut le défilé t des cohortes des anciens combattants combien étaient-ils derrière le cercueil de leur ancien généralissime ? Trente mille, cinquante mille, cent mille, qui peut le dire Ce qu'on peut dire, c'est que tous ces soldats de Foch, défilant au pas, avec une allure martiale, donnaient l'impression d'une armée en marelle à qui il ne manque qu'un chef et un programme de résurrection nationale pour devenir une force irrésistible redoutable aux ennemis de la patrie, ou J qu'ils se trouvent. Quand on a vu défiler cette troupe disciplinée, on est sûr, sûr de toute certitude, que la patrie qu'ils ont sauvée de l'invasion et du démembrement, ils sont de taille à la sauver de l'anarchie, du désordre et du gâ- r chis. r Foch leur chef. leur a donné la re- c cette pour être victorieux, dans la ba- r taille. Cette recette est aussi bonne q pour les batailles politiques que pour 1 les batailles contre les envahisseurs du territoire national avoir la foi dans la victoire et les destinées de la patrie, 1] et après avoir préparé de puissants F moyens d'action, prendre l'offensive contre les politiciens, les illuminés et les idéologues qui, si on les laisse isàWS^IÎ tueraient rapidement Ia-^>^bcuT .^Vi: R

Oui, il t'ut r fi `~.t

Mais i^i-^Ssi JêW.. ser'ant' cqinplèjt»

ntettt. e v'~si n~t~; `-

l' s i x.

leW. |-e!.te' à âHUàSteu\«r la Krancé-Nfas '"$

Jac*R]c!pUDlî<fùe jpArïtanentaire W,'îim^fe 't

çieijs^ qui, majoré "ïa victoire dfepragBp* î1

at a

Hélas de malheureux incidents

yiJt ijiontrf efueiles anciens combat-

lanls. n'Avaient pas eu leur place Té- jp pitable dans l'hommage rendu à" y-

Foch f

,f: .7' i1 ~]

foes incidents aux Invalides p

:=– d

Les anciens1 combattants n'ont'pu, p 2ii effet,, défiler à leur tour devant ïa ti dépouille de leur Chef. Les organisa- r leurs \6-p,- ont donné une raison, se"- g

riejisleiÉUUa' latiguè trop, gréel^j n

Ktt; PKifiJ^e •eje^îf i Bïcxtle. prusMeiine/'jïl; I

'4.1I-~<>

.diKda^aiaf&âWlfcdgÊÈâli^W^èff: repré-

sentants officiels. < ̃, D'autres signes, cependant, sont venus témôigiîer du peu de cas qui a été faïfr- 'flans la cérémonie. >, eles hommes,:qui avaient pourtant les'premiers droit à se 'placer deri;iéï"« la dépouille sacrée..••? M. Maurice Pujo écrit dans i'ACTION FRA'fl^ISE

< L'incidçnt^^wit l'aboutissement des

•hianœuvrès Jq^î, tendaient depuis pluMeurs jours«-;a~«écarter le plus possible &s nnciens combattants des funérailles de leur chef. Ca que refusait de reconnaître l'esprit de jalousie du régime, c'est le lien qui subsiste entre ce chef et ceux qu'il a conduits à 4«! ?rio|nire. Ce qu'il voulait réduire le Jjîfo!j5iw|5J%. ble, alors qu'il devait coîjsèivfîîjSJ^Éfilf honneurs officiels, c'est la 'Tnnnîi&nKlicj^i de fidélité personnelle et 'populrt«nté qui s'adressait à un grand wleliff-

̃*vj)éjà, à Notre-Dame, la délégation ofîjîîiellc des anciens combattants, composée des chefs de leurs associations, et qui comprenait a peii^id-eUr: cents personnes avait été relégi!p!Jif"fp;iHs un bascôté, alors que les pai-fpjiçataires trônaient dans h' nef. Au?;'3iS'àlides, aucun emplacement n'a va îï. S rései-vé pour elle. Mais que dir? tjtê la façon dont on a traite les associations c!lesmêmes

On avait pri^&^aquc groupe de la Katisfactionide (ï^yïèr derrière ses drapeaux, ce iepj^devàït'Ifavoi-iscT le désordre. Tous lÇ-ft^s ewiipcaux et fanions avaient été ^-tmni,^ 'en une seule masse qni put seul partFciper au défilé final. ais cette disposition elle-même moatro que l'on avait prémédité le mauvais ̃tjdur qui a eté .jïiué aux membres des

associations.. -j

M. Jacques Titettâffî'AUTORITl est plein dJwuére&yil^v'ï t Ct y VU ijVcive1 cj58^{ft)M.1i ides ^'esi

Viu» NÎMvs'n'<M' 'prfV $& jwlïtfts à-*dHile'

(. esMc p£lilpIe-"«cfe,>lîfl[fœji^U.i' s (*t ekcou-

\ert a v g 1 1 éj! tfti^jp&f •&}>* 4

U v .i\viit-'ï^*vi$*p*jMcys, desefem-

ives, dd enra^fs, ,fte!!).'j^r0c«ci'

Ils uilonnftrçnt, ÇÛA jlfi<^h, votrp Mrir-

-ullaiir cwi«e^s'ei«,it<ïltt les ertoplets

fotlfttafinï 'fSî'<Wp*4H^i 'fuvjicnt

.s{.~Ü5;' -¡'

âi

Sî^lplwWlTPnciû m n ci liai it«it depuis

longtemps aux Invalides loi<re[ue vous êtes arrivés, muiyiitnt le p*is inisirnbli e gueusullc touiom'snj TOesntc, des P. C, I) F., qui serez toujours des pauvres bougres. >

Alors, d'un e"lan s ms, ejistinction d'opinion d'assocntiort, Nous a\i^ eouiu sus « 11 Chambre

D'aliord, pourquoi les députés anciens combattants ne sont-ils pas. lestes, iux, à leur place pour hoiinjei votre de'filc? Tout simplement parce qu'ils ne sont plus que des parlementaires.

Alors, vous nve? chanté la Warveillaise, et vous êtes pa,Llx»-t<rmme a l'fts

saut avec vos jl}lîs>W:v«Ugitlfiq<ie><; et

votie mépris tfe li reilite^et vous êtes

timbis sui de^s gulLes fxa,jne.es it sui

des ige nts" qui tmt ehïtfjjr^an1 vmrs et

sui des g~rdes ir?MlïfW<n!is qiîi ihn-

geaient sur '?oS- Sir2®™Sèt')(îuelr(-' vos

m-edailles militiSlf^ ^Sffip ifptlons et vos

blcs suies u ,e^£i£m4 't

ee qu'il P-VT'V.'Mb^S* s'appelle

iiiaî4iic~p~r- 1 ordrne ~a"

muMeair l'oi ifre, {âï*v*w ?

In députe siA^kste ^M^'hi se

I îopose d'i'ntet* ver4e-, wient sur la m imii^i^brçrTanlipai Oementaiie ̃> de s" 'iSfetoftiis ^combat tants. Peut être amia^w^eyi l'oni- tut)^ -d bierç poser là^6^fe|{ôn s Icv' tjuels luirréseliteitt 1e pt^w^fnuiiejiit des polilieieiy, ou de Çjjjfljj^jftUL l*9n^

Sll~.

14-v^ .¡' h f v.,

7-r ~7

Bello coin-

Hent,iyîft«5fàiu*J^KwSB" sur les

:unei'ïfflïç^-dp.-ï?OT;h ils ne s'adiesient- puis qu'aux pouvoirs judiciai-

res.

L'AMI DU 'PEUPLE du matin jerit

Ne regrettons rien. Foch disparaît iprès avoir accompli jusqu'au bout sa ache de sauveur de la patrie. Une autre {énération lui succède qui saura, pénérée de sesjeçons, suivre sa trace, niagïiiIque. La France a plus que jamais lieioih d'hommes capables de la défe'hdre tu dedans comme au dehors.. La tâche la plus ^pressante ^qui s'offre 1 nous -est celle qui consiste à mettre ians l'impuissance de nuire plus longemps les ennemis de l'intérieur. Nos politiciens de gauche affectent de lier le péril communiste. On a vu Her•iot établir des relations aussi cordiaes que diplomatiques les Soviets, t l'un de ses ministres -de 1924 soutetir que le péril moscou^nirc était une c rigolade » et qu'il n'y avait qu'un langer sérieux, celui que Quelques moites et quelques nonnes font courir à a République.

Que ce triste personnage aille donc voir à Clichy, qu'il interroge M. le préet de palice sur lesinquiétijtles que lui ausc lafeipropaganlde réveitetîônnaire fontre la^MUc'les Io4s existil^^s •sîavèènt impuis^^Jes. ^Wtèfëtiïù&giiy Le POPULAIRE, ^J^organe. des1 "'so;ialistes qui font 4^fe'.de prétendants l la direction du pàys^a un comnïe'naire digne d'être ret^iju

Les obsèques du maréchal Foch se-

j T7

DERNIERE mmÉ% SPORTIVE

'r'

LA BOXE AU -(^QUEIdE PARIS lîarceî Thil est champion d'Europe des poids moyens

Marcel Thil est champion d'Euope des poids moyens. Il a conquis :e titre hier soir au Cirque de Pais, sur le mulâtre italien Jacovacci [u'il battit aux points en quinze reirises.

Le succès de Thil était g'ënëralelent prévu, il fut net, et ne sera las discuté.

Il est dommage cependant que 'le ^mpion de- Frafl«de^ait pu triom-

ïlé»:* plus nettement. sûn-ad>ë;p»Ji-

ja^em ploya pendant toute la pat^ ` ontre à paralyser son jeu, par e%v,^ ,4

us répétés qui méritaient d'être^

iyèfenient sanctionnés, et duraient m^f J'être radicalement des"*le&

jreniièr«i* reprises.

r'Jl-Yst întolérabte^et-flaiême mcom- iréhensible que des juges qui 'ont la ossibilité de disqualifier »h boxeur ont l'attitude e§J<rBO^i|t&tciiieiit ntisportive hésitent à prendre Ja écision qui s'impose.

Ceci noup valut hier quinze re-

iris-es er*un intérêt t^ïirfli naine,

Iri~cs; :(r~n. et iq,7e t,

istidieubës et siu-to^TlJsriVa Marciel .i

'hil d'une! victoire \t0si* aurait eJr- îfîniment plus rapM^1^' plus Com- l<

léte. '*•̃̃.̃̃ -t.. v

II nous reste maintenant l'espoir 1 e voir le nouveau champion en '< résence de boxeurs de classe in- 1 îrnationale, plus corrects, espe- 1 ons-le, que Jacovaeci, tels Mulli- 1 an et Moody qui sent tous deux dp e edoutahks 'prétendants .au -titré j

I--II rr– i– ~rw~i– -mrt

?>>#»t :défobln5esf lïiëii, iWce.iiiui MWîse en scène .gBandiose,dcvanl une foule considérable. :D.e .partout, on avait f^it* venir, des délégations d'anciens çcMnjbattaats; dont queleiucs-ùns ont ,tk>:nnjé à cette t- cérémonie, par leur' éiiiiçtérùent plus* que par' leur nombre, uiieÇà^lure militariste assez inquiétante. *">, t De la foule elle-même, rien âidirB sinon qu'elle fut celle de toutes les ijjadauderies parisiennes, avide de sp«ji?tacle, désecuvrée jidr l'obligation de c.lroniage que lui imposait le deuil offlciejj-'J si Le ftVa'réjilial Foch qui ne che4<5na| jamais, ejiiioï qu'on en dise, à j^j^i-ii un rôle politique important 'dans'jp événements d'après guerre, et fut fljiilleur's assez négligé par ses fanatiques a [fmira-

teurs d'aujourd'hui, n'avait cértes'pas

prévu la f ornStoftfWg 'B^S:de à il imjelle

sa mort donneFft|.|lîi^|r^ussi bui»,;son souvenir n'est-il "iA'S-èniic'ause; 1 g feules critiques que nous ayons à- fô, |imler vont à ceux pour quiftout est pretsxte à manifestation de foi-ce brutale, y | Les socialistes se rangent hSjrî de la, communauté française. ,||

ar

V "fi problème des féparitibas

r1~, a de l'onrbrc 1 dt s 'tra·

-IKv a de l'ombre autour» des 'tra-

vaux'kles experts. Qu^vfiachçit-jellc pour nous ? M. Eugène L'avrtier (HOMME LIBRE) y voit plus -àe* politique qu'on ne le croit et des;|>ffres inacceptabli's »"a Personne lie nous oblige à^feijidrc l'innocence jusqu'au point d'ifpiotjer que. la politique' pacifique de M. Stres'énjann i-"est point celle -cJe très hautes'JsjMtères du Reich, ni celle.de partis. trèsiSnport;;nts en Allemagne-, ni celle db?'M. le docteur Schacht. ̃̃ '̃̃}:£ Pour toutes ces: raisons, ji'^nti^çois beaucoup de difficultés -non tee'liWi«lues dans le. règlement de'A, dattes inteniiyées et elçs réparallqiiSv <> T An fond, la question 'est /nettement posée entre le contribuable fi-ptiçalK <qui .subH déjà deux'ou trois fois te^rdeaii de .la g'tiei-fe) et le eontribua'blèK allemand qui s'en est allégé.̃ i t Si ic eluuieur Schacht rentra it;> Çerlin avcc-'nii triomphe, après avoir sup-

primé un ;-à peu près les répafàtiflns,

comme il veut le faire, personne îfe par'k'fOit'ïl$$r' même sur un ton .j^mai"j^tosÔI'w ambitions des Hohcnjjgjl^irn* Le Q$lpTIDIEN jfflj

lf. Oiujen loun;; presse lesyï~,âas»

M. O^yien Young presse les jïïJiîjM as-

Mirc-t-on, de rabattre largémèW: leur l' chiffre, fii presse tes AlleHKinds"'<#|lih'cr le leur à huit milliards; A ce i^vx, îjnotre pays toucherait ^environ, pôuri sa ] irt, vingt-cinq milliards de friiàis«papicr. C'est à peu près le quarÈUtaj cc qu'il a dépensé dans les provinces ienjliies.. -v Il est plus que douteux que ]e-J)résident du Conseil accepte une. telle solution, et il n'y a pas. croyons-np^s,; de majorité au Parlement pour rji^noussn!M. Owén Young le sait-il? &, Js'it le sait, s'obstinera-t-il dans la'çt^chc diionnète courtier qu'il a. assumée?! L'a presse allemande révèle, .'s^ir'les li ayaux en cours, un pessimisme tjrès net et présente, bien entendu, de)^ nouvelles exigences. •! La DEUTSCHE TAGESZEIT^fi La délégation allemande Tse heurtera, au cours de cette semaine^-à' unej plus gi inde résistance. C'est qu'un facteur d'ordre psychologique entre en jeui et qui ne lui facilitera pas sa ,tiâcltf ,i En effet, à l'occasion des. funérailles cÇ(i çialechal Foch. le sentiment de la ^èliida~nié des anciens alliés". s'est réveillé, en partie d'une manière artificielle, en partie d'une manière spontanée. 'ijjj | La KOLNISCHE ZElVfJNG Ï'I 4'~ On ne saurait concevoir uftï so|jiàoii définitive du problème des réparations ans que l'Allemagne soit totalSnwnl libérée des entraves innombrables ||ue lui impose le traité de Versailles! |oit dans le domaine économique, soit^dîins le domaine financier. et sans quiy sous tous les rapports, elle soit placée «nr; un pied d'égalité avec les autres Etats? souverains. Il s'agit ici, avant tout, dtt jRecuuery Act et du remplacement dés }iyp»thèques actuelles par la seule soj»'ajbilitfé du.Reich.. i| Parlant du débat sur les a|uijiii-« tes, la feuille allemande écrit y;> r4 Il est d'autant plus difficile d'en; prévoir l'issue, que l'expérience a irtontre que chaque partenaire diffère jusqu'au dernier moment de faire connaîtÉe jles concessions auxquelles ihpeut consentir. Tout l'art du chef des dé^égatiousii cons!ste précisément à devine/ le jïiojinent opportun. > fe' La thèse française est TBgî}inœ. M. Poincaré l'a exposée en toute.>e%iilé. Le rapport de M. Parker IGïl'betrt1 pareillement laissé penser que notre solde pour les réparations -ne pouvait être une somme dérisoire' P. S. Nous avons duivolj :<l4n* notre Revue de Presse1 du -15 Âars, des extraits d'articles de- VErlai'r 'de e

l'Est et du Bien Public de Drfoivliïet-

-tai£îSÈSâ*n«fei au vW^ain dép^açe-

1ilcnt r ;d'un~tric, la

ifient rSrn^'d'un^în'H^futric^ Ha

Jp,igue fles ditùLs de PHomliie. (k>He-ci

nous écrit que. sa action locale n'est intervenue ni directement, ni indirectement dans -pètte affaifô' ad-̃; ministrative ». ̃. Maurice ^«'éh

:i "lJrice;~¡;l.\

que détient désormais Marcel Thil. Parmi lçs rencontres disputées, celle qui mit aux prises Frilscji vet Kessler, ei!se termina pai' la^victoire aux points de ce denùofc, fut particulièrement intéressante.

;mni i

EN POLOGNE ,J

La léga^ïon italienne élevée au .?ang d'ambassade ̃ Varsovies 27 mars. = M.iMtiioni, ancien ministre italien à Varsovie, vient d'èffe promu au rang eVambassadeur. Il se rendra dans les premiers jours d'avnl à Varsovie-, où ij présentera ses lettres de rappel au Prudent de la république? pofo-

~fJ1}<C

-il "jtra ̃̃fmpluo&j^ptott.lûirtfi pro-

L'incident de « Vm Atone »

x ,(,<1>;i; 6

Londres, 27 jnajsaiig^ -Le- rapport détaille ppomis A *|ij|nirba:.ss-udeiir d'Angleferre par- l^rrfepartemint i'Etaf américain .sur lUtll^nc-du shoohi>jr'k Anglais 1 m Moue a etf (f^asnrif> à Londres. "Vticiine1 décision rie tera prise avant que ce rapport n'.iit L'té étudie d'une lacon approfoiulie. On mande, M\'nHfc paM. "de Washington que M. Masse\, muuat-tfdu Canada aux Etats-Lins, s'est entre;eim aujourd'hui avec le sous-.seprfcaire d'Etat de l'iiuideiit. Le ̃îiilti^s-

:re ,tontinueia a s'occuper -dd la

TC.. ¡çbnhnuera le à "¡,!o. cCUPct"da,'

luestion avec le déjjarteiueflr d'Çtat.

e navire étant -inscrit au Cairada,


POUR PAQUES

Cette fois, la retraite de la pluie du froid est bien définitive et non pouvons songer à nos toilettes nov velles sans nrninrli

ic retour offensi iu mauvais temps Comme transitio lux toilettes d'hi rer que nous por ons encore et elles que nous por terons cet été, Geor tes vient de crée] m délicieux peti ailleur bleu, en lai lage léger, de l'prm lassique et quel [ue peu pincé à 1 aille pour forme luelques godets )ans ses magasin! •pus trouverez éga ement dés tailleur toisés de tons va iés en tissus sué lés et 'bordés qu ont le ravissemen le toutes les éle [antes. Pour aile ivec ces tailleurs ious vous rappelon lue Georges s'es ait une véritabl pécialité dans 1 réation des blouse t que nulle par

illi»nrs niip r*}ipy. In

vous no trouverez mieux la blouse qu sait convenir tout à 'la fois à votre tailleur et à votre teint.

̃̃•̃.̃̃ .•••'̃.• "v ̃̃'̃ Maintenant, est-il besoin de vous si gnaler l'importance qu'il y a pour vcu à surveiller la sveltesse de votre ligm

nu îYi Aninnf Ail lrto Inilnt

tes légères de printemp et d'été vont en fain mieux valoir la souplessi et la minceur. Trop d< femmes négligent cela e compromettent du mèm coup leur élégance et leu charme. Il est pourtant s facile, avec la ceinture e le soutien-gorge amaigris sants Georges, de ne riei perdre de la grâce de se vingt ans et même de li recouvrer 1

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brut prêcéd"i cours TANT precêd" cours prêcêd"¡ cours brut précêd~ ¡;ours 1 brut COMPT prêcëd" cours brut, prêcêd" cours precëd" cours

~3O/O :•• ̃gjjgg- FONDSD-ÈTATS Maroc |% ,|O4 "[% BANQUES | g0 ^un.v. 0850.. 0.25.. TERME" UONDHÉS 27Msr.

iS O/O 1915-1916 99 40 So~ 99», FONDS'-D'ÉTATS 72/0oT 7»' 1927 2?00 "12655 290 Banque de rindo-Chin. 13950.. 14095.. 70 Commentry-Fourchambault 2510 2510 Mexique intérieur S ,J 33 10 33 75 5 Fr.np.is M 1/2 4 1/2

15 t915.1916 99 40 99 27, 5Vo 1910. 1710.710. 70 63 Charbonneges du Tonkin. 12500.. 12625. 33 10 33 75 5 ~o ~Françait 14 1/2 14 112

|SO'0 1920amort,ssable MB H9 27 3 V ̃ %olot3"' /J 'f«J.r,e 25 français, de l'Afrique ̃• 60 Dombrow. CHouillere.) part. 2070 2055 3% 26 15 26 25 3% ? 3 4 9 7 8

40*01918 8750 87 3? 3 i 9 ^Amortissable., 7840 78 50 Portugal 3 1 «™ |03»J>103 M Indurt. de l'AfrJMqrd. 803..A J20. 40 EpiçaeCHouttlires* Ch.f.rdO. 1365 1345 Balia,Ktrjaïdm Ifll.. 178 50 4% n' 1917 Zi'/S-iiM»2

426 82~ 1,918 ~~5 .94 3i ('1oumanre4/~ 1890 1 IQ3, ,¡03. 14.. Indust..¡le 1 Af~~ord. ng, ~O(t., 40 ..t~II;¡i>Go.J~u¡¡leres.Ch. ferd). t365 13~). Sall!&d,n 111.1 178, 4 1917. 17 1/2 17 112

426 62~nq~n~ 25800: 25555.. 3~2~ .94 R°u~.y~~ tndustr: d. '~? < 475otH.i~(Ho.h..r.. d. t~. 2)30 2060 )0.h 9~pW~W. 556 4 .9)8. ,< 1/2.

4~74~dl i'A~nérie "~t.tN350.)8375.. S ~9 5-)9t6. ,A; 85 ".2')'' ?98 -9<90i .94- )7 50 FranM-Ui-ponai: 32~ 332 75 .Montrambertet taStraudiere. 26)0- 26)0 ,25b. Caoutchoucs (S'F.naneièr.d.) 280 26) Con~tid~

1 5S^>?-g' »" .Sig-f^i?19 ^^b 30 H ?* S^ ;:ïiSBlr.i'?rr^SS8 SS -^S *SSiSS5-nr: ?ofS S": iWfflS^ g j jg!:

85 ~~P~0~ ~'A'~o'rt's~ 'J~20~9)'o )750 ?)730 5 pr!ve.~n.um. 349 .350 75 .r. 3MO 3000 Cotomb. 30) M 305 Br.sn )889 39 2 60

P £SB^S SiS:i.vI||™v: iëg fSlïfâS ̃•̃ 'S^'V^I?»^ SiaSSSi: sio iaôô; g^ >^ ,ffl-: o^°: g §4 90 Lyonnais 3235 3220 o 926. 5SU 6PJ'^13J. 717 720 50 Société Marseillaise :222 1220 28 Loire CMines d. la) 765 770 3 .h.. Goldfields. consolidated 352 351 Russe 9O6 4 2 4

5). d.eIUn',onParls,enne'i2740'I:1725 "40Ó 1925 (cbangegara'nti).119,50111950Su6de'3112%1895; 37 Crédit Fonc. d'Algérie.Tunisie" 61 ..1140.. 35 18C,armaux.1820 ..1800, 6 sh.. Crédit, Gén. d"sPétroles. 1498,15\5' Chine 4112. 76. 753/4

80 Commercial de France. 19M '2 '75 6 %1927 Am, orties, able"" 109 201' 109 ,'¡5 Suissa consolidées 1890 385 380 C, rèdit Colonial, 1231 2' 75 ..¡carvin. 2' 1.50 2(.50 20 6,ah. cr,own. M, i.n,e.s', 3. 87 '382, Eg. Y,p. te, un, ¡fi,ée. 85 114 85 .,1.

0.. Cr,ed,t Commerc,al de rance. 5895" 5880 Sone du sor f4~ 19'23. Ilou.~e. 1902. 385.. 380.. 55.. Colon,al. 400 ci" 21.. Graissessac. 490 -.H7' 20 .h.. préférence .1527 .1515.. Italien 181/2 .181/

-!50~S?~~ 58M ne du Ted 413 Sanquesde Province. 400 39à 40 Grand'Cornb« 1430 1438 1 d. Franço-Wyoming, ord 639, 623, Jap,,n 1.89..9 71 112 71 112

'120, Fonc~er de Chi~~ 6~8"'1 656" 5,% 19;24,688.. ,689. Tribut d'Egypte. .413. Sanqu~sdeProvince.,125'fr. 1410" 1410 40.. Grand'Combes. 1430.1436 73b.6 F~anço.Wyoming. ord. 639, ,623' Portugais 1899 71 112 71'1/2

22 L~n.is.3235 3220 M7' 550 '545.. Priorité Tombac. 520.509.. 50 ..S.cieteMars.i~22..)220.. Li~nY-.les.-Aires. 652. 3.h..s.)dfMds.c=ns.)idat.d. 457, 35<R~.906. 2 42

90' Lyo,a,s'1105.'1 ''1.1 ,45" 79'°1927, 5M 563 Tabacs du portugel. 717.. 720.. 50.. Soc'et, Merse"la,se, 19Õ0" 28.. 3 2~ 212 Russo 1906. 4lt241/2

S;: 1=;=: «« ..jjjj-. -p-- ïl^ f «« ^==:: | 1 a «- 1 | iÔ7 is-«ii- 1ÎS & 2-i:: S^ $ Iô^ SÈgfcggtë

37 Société Gén t465 :1470 -5%1919 395.. 398 18713% 375.:377 ACTIONS INDUSTRIELLES, 6S9 6900 Huanchaca. 236.. 245.. 37 i.

62 ~V~ ~3~ JjS~ g Chemin .67 ~~d.rd: 5025 .=~d: 367 365 55,71/155!71/2 2

6'> rpùez 'è' IOt4 I\UI9 Caisse autonome 1919-29"1" 62Z cn 18754%' 47<4.' 474 15 l Nord-Sud de Paris 3)6 '.30. 17) Alger,e.Tun,s,e (Omn,um). ,5 ..1 3 ah.. Jagersfontelh. 337.. 3:N Chartered. 3'¡..1. 37.

^t^i^S'^o^^ï^ |*f jg| Hlilfe: 2§™\?<kv. g. = g^ ™v.^v^v.i^™> a»:: :K^x ^^| U £

1130 ()4 St~ez (civile) ,7100"1374?5.. Indo-Chine 3 '~09 3?1 361 50 i,2.~ 1898 2% 285,. 286.. 2).. Oue~t:Alger'en 518 260 ..IMokta.el.H,ad,d. act. de 500 fr. 2200"1 1235f).. maltkoff 168.170 De Seers 14.9/16 14.1/2:

1130 04 Suez Ccivile) ^100.. J747 5.. indo-Chme 3 ^%°f- •-̃• •• 3U <1 1898 2% 40 Tunisiens ̃̃̃ -• 40 Lille-Bonnieres, ord 400 458 Meicic.n-E.9l. Oil-ord -H5 50 ̃ 146 50 Jag.rsfontein I 6 •/ 0

50 ..Est iL'XlUJ?" 3,1 =id?<? 73 70 74 ) '89S 2% Mét «a" to2 16 Parisienne ind. Électrique 705.. 7.00. pétroles <Cie Industrielle) 1050 ..1050.. 4 sh.. Mexioo-Mines of el Oro. 213.. 207 .!• Rio Tinto. $ 2 62

75 Lyon «g -j^ Madagascar 1903-1905.. 73 70 ^4 g 394 294 ̃̃ Sas,.™. Générl\,x d. Paris.. 2+M 23?0 I00 Dynamite (Société Centrale).. 3300 ..3163 I8L. Montecatini 388 384 M.xi=an,Eagle 12/7/212/71/2

75 Lyon.t5úO ..114;) Madagascar 1903.1905. 7370' 74.. UL19042 112'M't 294.. 294 16.. Magasins Généraux de Paris 2ZOO "2330" 100 Dynamite (Société Centrale) 1050.. 1050.. 4 .h.. Montecetini of al Oro. 213, 207 R,o T,nto. 61, 1,2 62.1.

60 ..Midi '«0 --Ugl --Maroc 4, yo 9 4 W- -W )905 2 3/4 383 36> 60 8 Gétrtrale des). •• ^l«0 60 Electro-Chimie Métal 2965 ..2980 Mozambique 96 50 96 25 Royal Dutch f. 32.3 8.

90 ..Nord 2o65 .2695 SAISIS. 49Z ,9I0 2 3/4 M.t g0.. 245. m *? ,(É P tnerma, 2765 2750 42 Rhône-Poulenc 3740..3710.. 10 Navigation d. l'Afrique du Nord 365 50 367 Shell. 4.23 32 4 3 4 65 ..Orléans U36 ̃•i'Mi •• Tums S .-» 1892 *|« 3> -j ,91O 3% 241 245 ..Eau/é,ect. Indo-Chine 7*0 --73O0 168 73 Le Ripolin, jouis. 3380 ..3305 69 10 Padang (Caoutchoucs) 10/5 1 100 North Caucasien 3 4.1/2 3 /.I 2 un e c-ri-i.fr rh fer Prov > 3700 ..13665 Crédit National 5% 1919 5s0 552. 1912 3% {{' ̃̃ tt? •• 134 14 Saint-Gobain. Chauny d2oU,.B300 Pékin Syndicate CShansi) 80.. 79 50 Russian Oil '• •• {' ̃•̃{̃ 1. 35 M«™»HSn de plVi. I"» ..|lOS2 oblig. SOO' 5 192O-. 518 517 > 19I9 5% • 453 455 -fg ̃• comprim. 5025 ..5060 275 84 Soi. Artificielle j«M. 3750.. 20 Phosphates d. Constant! ne Il» 1159 Veneruelan Oil 4 1/16. 4 -1/16

fit ̃̃-Dïstr PaHs^nw d^Electricité ^895 ..2385 3ons6%1921 539 .539.. 19215 3,4% 504.. ML.. 4J ,? Télégraphiques i?S",SS" 65 Salins du Midi 1900.. 1860.. 20 Phosphates Tunisiens 568.. 567. M.)H'))7;X

63 ..Distr.Par.s.enned tiectnc.te. IIU&J 6%,922di 5|6.. 515. 192461/2%. K7-- 505 40 Edison m«" 600 Port du Rosario 31850.. 31200. Randfontein 49.. 48 30 Anaconda ,!? 8 il! 8 lôr'le=tr!ctéCc'Gfnéra)Vd;> i«O..33?5.. 1% 1922 5205052050 1 Com, ,87926O% 494 .493.. 30 IfectHcité et Gaz du Nord. "<» •• '200 Chargeurs Réuni,, parts 'ÎÏR '^0 5'h--R^M'"« *|7.. 382 Steel Common 183. 184. 2rvl^™â Littoral MédTterran- 11420 M^l 6 lanv, 1923.. 521.. 520 Corn. 8 /|| 6O .u 4% 75 E|octrioité d. Paris tS?i"1?^" 35 Havraise Péninsulaire CB) 430.. 450.Roumano-Belge de Pétrole. 63.. 62 ̃̃ Marconi f I 32 4 3,32. «•"i2ê™êE.etr Nord "Z™im ..1164 6 juin 1923. 543- 538 o; Fonc. 18 79 3 495__ 4% 100.. .jElectricité de Strasbourg ^"liS" 52 59 Transports en commun 824.. 828 Steaua Française 463.. 464 Ma|acca I 15, 16 I 5/ 16

W ̃' Thomson rifuston .r. 10/i ..luol •• oblig. 6% 1924 540.. 542.. Z Corn- ||||o| 28! 205.. 204 84 de Varsovie ord *90 4695 30 Transports maritimes 902.. 895. Tanganyik 527 520 Kuala » 6 57 6

20"nrrn^nv ̃̃'̃̃̃ ̃̃̃ ̃ "̃• »4 -730 13() Départ, du Nord-6% 1921. 50.. «. 2 < Fonc. 883 3 mm_ » 50| Forces Motrices du Rhône «W-- 4'00 1 ,h.5 Tavoy Tin 94 50 93 75 Escompte hors banque 5 1/32 5 11 32

125 DivTs --im ••3'9V •' Ville d'Albert 6 fl5.. 513, K ^°"? ||, 3 266.. 268 50 145 83 Forc"Motric"du Rhône(parts). f^O- -••• 265 Bénédictine JM5" i^ 22 50 Terres Rouges 600.. 599 .<pj.au 4 1/2 5 5.1(2

25 '.WZ ?*X;f.ri~duNordrtE.t«IO Wl vmi. de Reims 6"»,- ]jO •- 506 £ Corn. 1||'3^ -••̃̃ 3^ Havraise d.Energie E,ectrique. -M» 435 Br«.ri. Qui.més 7*0 ..7805 3 .h.6 Tharsis. 8B 827 s Pans. (change) 124 18 124.19. ,1. o r.or. « «<• 16 Ville de Verdun 6% 5I0-- ?JS •• c™. 1895 2 80% 3" 3I0-- 125 ..Indo-Chinoise d'Electricité f"î •• •• 125 Distillerie Cusenier ït,l,o, 3 »^-3 Tin Sélection trust l«{ 30 Ibi S/New-York. «/« V ?7,ii 50..Oourrières \™°. \fA Asturiennes des Mines •• ^.̃̃CC Coml89926O% 296.. /95.. 30 ..Marocaine Distribution '•27^ 200 Distillerie de l'indo-Chine. 4W 472J I .h.9 Transvaal Consolidated Land 270 268 ..Rio 3 27/32 5 27/32 l8-.Jll.ns «0 439 Ateher Construct. Jeumont.. 503.. 505 fi Corn- 89| 2 6O 0 326 326 50 Nantaise d'éclairage ord '*•• 740 50 Grand Hôtel 9W ««••lO Tubes et F. de Sosnowice 332 330 Valpar.iso 39.52 39 52.

35 ..ivico.gne. etNceux-, '^V 'lîf Cie d'Energie Électrique 534.. 505.. o Fonc. 1903 3 i|5 3|4 50 22 50 f priorité.. •• 'fO 20 Grands Moulins de Corbeil ord. fW i95 45 b Tubize priv 955 965 Buenos- A ires 47.31 4 73

.ibotéo (ancienne) V.IS ,4^5 Églises dévastées .• »i 503 z |om. '|°|| I6J 50 165 75 Nord-Lumiero 4005 ..3953 35 Sucreries Brésili.nries'850 845 5 .h.. Union Corporation 553 549 Argent (métal) (comptant) 1HU6 «IV fc

35 £penarr.oya. <*» ̃ '1*5 GrossoMétallurgie S £ Corn ili2 3 170 ..I/O.. 250 Ciments Français '0« .•«?».:• Cuivre (comptant) 95.3/8. 9313,16

.frratine ̃̃• 41£ ^'« 6-îi nouvelles V. ̃•- 5J3 "• |1| l'2% r 345 345 50 Pyrénéenne d'Energie Eleci»' 32,^ •• 3200 45_. du Boulonnais im"ï!S" COMPTANT. 330..Valparaiso 39.523952. .iDabrd^'CPétroles) ,7)5 Cail F,ves-L,lle 6%. 504 Mi t Fonc. | | 3 1/2,0 4,5 4|0 ,5 Ridio.E|ectrique .T.. •̃ 40 de l'Indo.Chine 1S '•?&'•̃ ̃̃ 'ah.. C, ̃ ,n.n NEW-YORK 27 Mars 26,,11.1626 '16 40 ..«uhinTanp, S "ip« Nord Pas-de-Calais 1,922 1 »6 515 Q -t ™™ 27250 272.. 35 Radio-France *'•••• Sît 5?fc 40 Polliet & Chausson 1 Jk Î7S -•• Bakou (Naphte de) 1065 IOiO ,2 ,57. 35 .J«j'«fs»r. -̃̃̃̃̃ iiVo "iiidO Industrie Sucr.érefranoaise.. 504.. 501 uj |"ïr- | ,/f 450 50 450 25 ..Radio-Maritime /^î ,f£ ̃̃ 75 Grande Maison de Blano ̃. '"5 ̃•'?* 40 Brosse. (La) ,656 666 £•« M °™V°-™ ̃ •• 485 34 435 37 70 ..pçodu.tsch.m.d'Alais. Forges »™ >™ •̃ Industriels Alsaciens 1922. ̃̃̃ ̃̃ »3 C Com^ 192° | «^ 4^ 50 Té,égraphi. sans Fil.fe •• *%g •• 50 Nouvelles Galeries »64 860 M^jC.ssous (Charbon) 1795 Change su? Paru vu. 1 **> 7/8 390 3»4

25 :C:r~~u"f'sRé~nis ~II "'J4 Maison.Briguet 6 5Ó7:: 507:: oi Empr',19216112. 410 :469" 50.. Téléphones sans Fil. 655 659:: 50.. Nouvelles Galeries 8b4 b85 .~b41!OiCessous (Charbon) t7~5. Change sur Paris, vu; 0 390 7132 718 390"3j4 97 3 i 16

25 ..Chargeurs Réunis ^> '̃]$$ Malson Bréguet 6 50? 507 ° l l^^g^ 6 t p 4/0 469 24 ..Téléphones K. ,SS .$?? •• 42 50 Rouff »5 085 10 0/0 Cia Pautiste 920 ,-••̃ Qg^erty 3 1/2 7/32 <fl 3,U6

80 Jirrar,satlantiqU6ord •\<uh"\llM Mm» de Lens 6% 1922 507 51.0 Corn. ia^ 0.-0 t. p. 25 Union d'Electricité. l3(» •• "315 80 Agences Havas.. '540. 1530 Crédit gén. des Pétroles, parts 16000.. '6600-- ^ichison Topeka 1/2 197 Î.2

50 :Voiture~ à Paris 2~lu ziw ~~7~G~b~s Chaun 5e 507 5m ,301 300. 25, .Union d»Electricitê. 1300 1315 80.. Agences Haves .540. 1 40 1550 Crédit gen. des Petroles, ports 16000"1,6600.. 0. S. Lîbemy. 3 112 197 1!2 197 1;2

50 .«jVoiture, à Par,s -f •• Saint.Gobajn, Chauny..(.; 528 5g ^u iOT. 300 fc "1650 1650 80 Didot-Bottin -• •• Kétol CL* « 76 ™:J™ 119 3/4 122 30 Air Liquide. « Usmes sinistrées 61/2% ̃•• •' 522 £«• 400».. 475 ,oa; Alsacienne Industrielle (Textile; "»U I6|« Le "Figaro. •- •̃ ̃ ̃'•̃ |BreveU Hr. Lefranc 1200 1200 di p ifi 230 .234'J.

•50 ..Saoutchoucs tnd.o-Chme *». «»..• 3 ,9o2 385 .392 Est o, 389 383 30 Acétylène & Electro-Métal <SÏ ••• 200 Chai* 3350 ..«00 17 50 Omnium-Pétroles ^Sli" jnrm" Cnwan.âka Ohio I 2'l •/̃ 215

20.JCiiroên.B.u, '(wjô loi!: 6% 1921. 518 50 5|0.. _y 34! 342.. 65 Aciéries de Longwy. ^5 2*3 ,00 Librairie Hachette «0 240 6.. Roya! Dutch 43050.. 40100.. Ch.«£ 'c I ,31 7,8 33. 1

20 !'ca 112 ,Oi 9"1 '5185() 5.<0 2 3 112 ancienne ~u 65 Aciéries de 0""2'25 1." 0.- mhlum. 4»50.. 4OfOO Chesapeake & Ohi 211 1215"1 1.

"roen. l''I~ ~45~)ndo-Chine)899-)905. 3~ ''SM–-2)/2% 34o 343 65 Ac',er',es 2.6j 100 L,bra'r,. Hachette lWUV 5th..She~t. '50 ~4--r:h,eaaoRockM.nd.23. '25-.

;p~~m~ 74 i_ ~3 ,'9~907: 322 318 4~ 3?7 00 35 ~n~d~ 54 27 A~~u~ 'IV ..1 M~c– 273 274 :Chicago Rock Island 31 7 6 33

100 ..Pathé-Cinéma-(iouiss.).. f' f/ Tunis 3 ,9O2-19O7 360 ̃• 361 30 Lyon |,< ,iat> 47a.. 478. Atel. & Chantiers d. la Loire.. 675" *«>.•• 54 27 Air Liquide (parts) î?2?"mi" Pr," MonaM Illinois Centra 135 137 1 2

L. I. [Central Mmms liïîi 7t&) taypte 36850 .1 6% I66 •• 4.,t 40 Denain-Anzin "f. ̃ ̃ «" ̃• 23 p. 50 Saragosse ,-̃ •- ••,• Norvège \J S. Steel Common 178 1/8 179 1/2 2

60 .¡:>a et'" 84 (149.. AllemagneI924(Dawes)100L. 13080.. 13075.. 5% 405 405 )5, Const. Nord de la France. 1'900' 50.. Sergougnln ,!65 1153 5 D.. Utah Copper. d450 M Illinois entrai. 135e11

100 Union Européenne 2235 .1.235 Angleterre 2 ;12 %1 330 233> 30 ~65:n~m~ Chapal (E\abli.sements), 1,00 5145 R:02i'4~3.2

\&S^ÏÏï^ ~?-9 7ô5 z II: Ç | %*ïïiï2'&XXr£%ï.fà :p ::S^K*g ::£"».?.??. »* «g-rr^ V.?. î±

.se 5% 1906. 1<4~) 14 4v E3ré,il 4e 1689. 6 6 41" 50 50.. Electro.Câble (ord'na,res). 999 25.. Gaveeu t5 4., 52o outnern Ra"ay. 1"'51""126.1

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COURRIER DE LA BOURSE I

'»., ̃• 27 mars.

Depuis un au et même davantaj peut-être les vendeurs à découve n'ont pas cessé de terroriser le marc] de Paris avec la menace d'une crise m< 1 nétaire et boursière à Wall Street. L hausse continue des valeurs américaine L pendant toute cette période n'avait, d reste, eu aucune influence stimulanl sur notre marché, mais on était pre: que parvenu à nous persuader qu'un secousse à New- York aurait une répei cussion désastreuse sur notre place. Eh bien on l'a suWie cette secouss L La séance de lundi avait déjà été mai vaisc à Wall Street. Celle d'hier a él pire. Près de 8.250.000 titres ont chang de mains, ce qui ne s'était encore jt ̃ mais vu. L'argent auijour le jour a ai 1 teint 16 0/0 et même 20 0/0; taux qu'o n'avait pas pratiqué depuis 1920. Per ï dant toute la journée, le marché a et en proie aux plus violentes convuls,ion Les banques, conformément aux instrui tions du Fédéral Reserve Board, refv • saient de servir d'intermédiaires au clients qui offraient des capitaux e reports sur titres. Et cependant le mai ché ne s'est pas effondré et il n'a pa terminé au plus bas.

Quant à nous, c'est à peine si lE événements de New-York ont fait 1 moindre impression ici. La Bourse fei niera demain soir ses portes pour cjue tre jours et la plupart des habitués sor déjà partis en vacances. Avec une rare faction presque complète des affaire on pouvait donc s'attendre à de la fa' blesse. Pas du tout. Le marché a ét un peu irrégulier mais remarquablemer résistant. Il est vrai que la décisio prise par le conseil de la Banque d Paris d'offrir les nouveaux titres 1.250 francs (alors qu'on s'attendait a prix de 1.500) a causé une agréabl surprise et a provoqué des achats qt ont soutenu toute la cote. On reconna: tra tout de même qu'un marché qu dans les circonstances présentes, se con porte aussi gaillardement, donne un preuve significative sa vitalité. Lai: sons passer les vacances et la liquida tion. Le mois d'avril nous apporter sans doute un dédommagement pou toutes cefe 'semaines de létliapgtë.

Nos Renies sont fermés "k -'îétfrs cour précédents.

Fonds ottomans et serbes lourds.' Etablissements de crédit bien tenus Banque de France, 25.555 Banque d Paris, 4.850 Lyonnais, 3.220 Unio Parisienne, 2.<>00 Société Générait 1.895 Comptoir d'Escompte, 2.575 Mobilier. 1.045 Financière Français et Coloniale. 2.975.

Le Suez est calme à 25.540. Part ci vile. 37.475.

Les valeurs d'électricité ne s'écarten pas de leurs cours de lundi Seint 1.088 Littoral, 1.421 Distribntioi

2.885.

.Malgré les soubresauts de Wall Stree c'est à peine si les mines métallique ICOHTREXEVILLE Elimine l'Acide Urique

~_j' ~*6_ N~ JL-L~J ~~S JL~JL~cIL.t~LSS~ JL<E3~~c5<E3~

cèdent quelques francs Rio, 7.660 Boléo nouvelle, 441 Penarroya, 1.485 e Platine, 2.145.

t Produits chimiques résistants Péé chiney, 3.580 Kuhtmann, 1.165 Air Liquide, 1.350 Azote Norvégienne, 3.085.

s Citroën, 1.732 Peugeot, 849. Pétrolifères fermes Royal Dulch, 1 40.100 Shell, 593 Malopotska, 508. E Léger tassement aux sud-africaines De Beers, 1.783.

e Caoutchoutières en progrès Indochine, 1.429 Padang, 1.100.

Au comptant, les Biscuits Vignals progressent à 411.

Etablissements Tissier (Lions de 7 Faïence) 373, ex-droit de souscription aux nouvelles actions.

Aciéries de la Marine, 1.780.

Leoal-Aulnoye, 3.240.

L'Union des Gaz gagne 105 fr. à 3.950; i part Minière dit Congo, 175 à 7.900 Mokta, 350 à 12.350 Cie Générale du ̃ Maroc, 140 à 2.350 part Peugeot, 200 a 'J.80O Sarre et Moselle, 140 a 2.240 part Cambodge, 300 à 19.500.

La part Electricité de Paris abandonne 850 fr. à 16.650 Ciments Franc <*m-, 225 à 8.850 part Haut-Ogooué, i 750 à 13.550.

» INFORMATIONS FINANCIERES

s

i SOCIETE MARSEILLAISE DE CRÉDIT. L'Assemblée annuelle s'est tenue en l'Hôtel de la Société à Marseille. le 23 mars, sous la présidence de M. Edouard de Cazalet, président.

Après avoir retracé, dans les grandes lignes, les principaux faits qui ont caractérisé le dernier Exercice de la Société le soixante-quatrième de son t existence le rapport du Conseil souligne les progrès intéressants réalisés au cours de l'année 1928, progrès qui trouvent, surtout, leur origine dans le développement continu de la clientèle 1 el l'extansion du champ d'action de la ï Société.

i Ce sont, du reste, ces considérations qui ont conduit le Conseil à utiliser la faculté qui lui était donnée par les statuts, de porter le capital social de 75 à 100 millions de francs.

Cette opération a été réalisée avec un plein succès.

Durant cet exercice, la Société Mari seillaise de Crédit, poursuivant l'appli- ̃ cation du programme de mise au point de son réseau d'Agence^, a ouvert une sous-agence à Carcassôhne et des bu- j i reaux.à Yals-les-Bains, Apt^Sommièrès j i 5 et Tuchan. D'autre part, et en raison des nombreux encouragements qu'elle a déjà rẽ eus dans l'Afrique du Nord; la Société vient de décider de compléter ses [ moyens d'action en créant un' nouveau groupe dans le département de Consluntine avec agence à Corstantine et sous-agences à Philippeville et à Bônc. I Cette dernière, qui a commencé ses ope- J rations dans les premiers jours de fé- 1 vrier, a débuté sous les plus heureux auspices.

Le bilan au 31 décembre 1928 se totalise par frs 1.046.844.794, en augmentation de frs 134.673.885 sur celui au 31 décembre 1927.

Les disponibilités atteignent francs 687.773.334. i Les dépôts et comptes courants créan- cie'rs ilgurent au bilan pour francs 918.367.896, en augmentation de francs i 130.544.400 sur le chiffre de l'année der- < nière. ] Après divers amortissements. les be- (

néfices nets de 1928 se sont élevés à frs

10.416.618, contre 9.735.788 en 1927, marquant une progression de 679.170. Ces bénéfices permettent la distribution d'un dividende de frs 55 par action, i contre frs 50 l'année dernière. j Le report à nouveau s'élève à. francs j 3.207.993.

Toute*. les résolutions ont cte adoptées à l'unanimité.

A l'issue de cette réunion, une Assemblée générale extraordinaire a vérifié et reconnu la sincérité de la déclaration de (. •.souscription et de versement relative à la récéHté"BUL'mentation de capital de ] 75 à'-t'ftO'fmimons de francs, à laquelle a procédé la Société et qui a été assurée par 7.940 souscripteurs. J

CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON | ET A LA MEMTERRANEE Circulation d'un wagun-llts

de première et deuxième classes, entre Lyon-Pcnache el Milan

Les rapides Bordeaux-Milan et Milan- Bordeaux comportent un wagon-lits de première et deuxième classes entre Lyon-Per- j rache et Milan, ce qui permet d'effectuer, 1 avec tout le confort désirable, le trajet de nuit entre ces deux grandes villes.

Départ de Lyon-Perrache à 22 h. 58; de Lvon-Brotteaux, à 23 h. 17. Arrivée à Tu- rin, à 8 h. 45; Milan, à 11 h. 35. En sens inverse, départ de Milan à 19 h. 10; de Turin, à 22 h. 40. Arrivée à Lyon-Brotteaux, à 6 h. 3; Lyon-Perrache,

i

COURRIER DES THEATRES

Répétitions générales

,jf /ht Théâtre Saint-Geouues, 8 8 h. 45, répétition générale de

1° L'Accidenl, de M. Henri Duvernois (Mme Anita Soler; MM. André Beart et Harry Krimer)

2" Printemps, pièce de M. Bernard Zimmer (Mines Marguerite Louvain, Berthe Fusier MM. Guy Sioux, Alfred Argus); 3" Le Jardin des Supplices, drame tiré du roman. d'Oeta »Te Mirbeau. par M. Pierre Chaine (Mme Eve Francis, dans le rôle de C:ara Walson; Mmes Anita Soler, Fanny Marotte, Suzanne Stanley-, Renée Parés MM. Paulnis, Georges Clarius, Alfred Argus, Maurice Vermont, André Beart)

4° Une Balle perdue, pièce de M. Marcel Acli^rd (Mlles Germaine Auger, Fanny MuvMei MM. Guy Slpuji,' Maurjceif yermeint). Lé service de prem ère sera reçu vendredi soir, et le service de seconde lundi soir. S Au Théâtre Fkmina. à 8 h. 45, répétition générale (reprise) de ta Prisonnière, comédie en trois actes de AI. Edouard Bourdet.

Distribution r

Aime Véia Sergitie (Irène) JIM. Jean Worms (Aiguilles), et' Henri Rollan (Jacques) Suzanne Dantcs (Françoise), Mirande (G'sèle), Rauzéiïu (MMe Marchand), Muzalto (Joséphine) M. Max Victor (Georges) et M. Mauloy (Montée)).

Preinière représentation

Jjt Au Théâtre DES Deux-Anes, à 9 Iieures, première de Anon, voici le soleil revue.

Reprise

Jt Au Thiaxon-Lybique, à 8 h. 30, reprise du Trouvère.

Distribution Miles Téclar (Léonore), Becker (Azucéna), Meunier (Inès); MM. Saverny (Manrique), Péruldi (comte de Lima), Marrio (Fernund), Jugain (Ruiz).

L'orchestre sera dirigé par M. Albert-E. Jacobs.

En matinée

A l'Opérn-Coinique, à 1 h. 45 (12« représ. de l'ubon. série bleue), Riquet à La Houppe.

A l'Oil'ton, à 2 h. 30, les Bouffons. Au Trianon-Lyrique, à 2 heures 30, le

Trouvère.

Même spectacle qu'en soirée

Au Gymnase, à 2 h. 30, à la Porte-SaintMartin, à 2 h. 30 a la Gaité-Lyrique, à 2 h. 30; à l'Athénée, à 2 h. 30; aux Nouveautés, à 2 h. 45; aux' Bouffes-Parisiens, à 2 h. 30; à la Miehodière, à 2 h.">l.r>; au Tliéotre Mogador, à 2 h. 30; a "Marltfijy, à 2 h. 30; à l'ApolliJ;!à'2 2 h. 30; au Clidtelet, à 2 h. 30.

En soirée

A l'Opéra, relâclic.

A Jn foiiiédle-I'i'iiicnise, relâche. A l'Opéra-Comlquc, à 8 heures (12« représ. de l'abon. série B), Manon (Mlles J. Guylii, A. Comte, de Bauwura; MM. M.cheletti, Musy, Audoin). Ort't. M. M. Fr.garu. A l'O<K-nii, à 8 h. -0, le Père Lebonnurd (M. Silvuin; MM. P. Œtlly, L. Raymond. L. Seigncr; Aimes N. Blanc, H. MoVct, Y. Tramond, G. Deibat). La Rose de Jéricho (MAI. P. Motin, J. Séol; Mmes F. Rolnanc, Ginéva).

Aux Variétés, 8 h. 30, Topaze (J. Provost, A. Lefaur, Puuley, Marcel Vallée). Au Gjmniiup, 8 heures 30,- Mélo (Gahy Alorlay. Charles Boyer, Pierre Blanchar et Vargas).

Au Théâtre .Sanili-l(eiii!i:irclt, à 8 heures. Tristan et Iseut, de MAI. Joseph Bédier et Louis Artus (André Brûlé et Mad. Lcly). Dimanches et fêtes, matinées.

A lu Gntté-LyrUiue. à 8 h. 30, Chanson d'amour (centenaire de Schubert) (Mmes Renée Camla, Louise Dhaniarys Yvonne Yma MM. Gilbert-AIoryn. André Noël, Castin. Gilberi Nabos, Descombes et Robert Casa).

Au Théâtre Antoine. à 8 h. 45, l'Eraltation (Mme Germaine -Dcrinoz, Mmes Ma<ly Berry. Line Noro, M. Lurvllle et J. U'riey). Peu la mère de Madame (AI. Marcel Simon, Allie Betty Daussmoud). Au Théâtre du Palais-Royal, à 8 heures 30, le Bouif elle: mon Curé (MM. Albert Brasseur. Dùvallès, Robert Hasti, Paul Faîvre H Charles Lorrain Mmes Jeanne Véniat, Renée Varvillc).

A l'Athénée. 8 ̃<> •l-r'» J' manquait un homme (Madeleine "noria, Lucien Rozenberg et Paul Bernard. Germaine Auger et Abel Jacquin).

Au Théâtre de la Renaissance (Direction intérimaire),, à 9 heures, Circé, en quatre actes, de M. André Pascal (M. Constant Réiny; Mmes Vérà Korène. Charlotte Barbier-Krauss, Marie Laure; MM. Arvel et Bélières).

Aux Bouffes-Parisiens, à S heures 30, Déshabillez-vous (Mmes Aîireille Perrey, Jeanne Perriat, Jacqneline Francell MM. Louis Blanche, Lucien Ruroux, Mobert Ancelia, Gabin).

Au Théfttre de Paris, à 8 h. 45, Marins (MM. Raimu, Pierre Fresnay, Charpin, Dullac Mmes AUda Rouffe et Orane Demazis).

Au Théâtre Mnrliïny, à 8 h. 30, Coups de roulis (Mlles Yvonne Faroche, Rose Nivel: MAI. Robert Burnier, Marcel Carpentier, G. Nelson, d'Ary-Brlssac, etc., et Pierre Alagnier).

Au Théâtre Edouard-VII, à 9 heures, Mariette, comédie musicale de M. Sacha r.nitrv. miiKlnnc de M. Oscar Strauss (Sa-

cha Guitry, Yvonne Printemps, Aquistapace).

Au Théâtre IUiehel. 9 heures, Ma D~me du compagnie (Spinelly, Le Gallo, R. Clermont et l'alau, avec Marguerite Temploy). Au Théâtre de la Klmleleine, à 8 h. 45, l'Homme de joie (MM. Jules Berry, Hémery et AI. Marcel André; Mnies Huguette cxDuflos, Lucienne Givry et Mme Marguerite Moréno)

A la Comédie-Cnuinnrtlii. à 9 heures, Débauche (Aimes Murlha Régnier, Gaby Basset, Mady Berry; MM. Pierre Etchepare, Crémieux et Pierre Brasseur).

Au Grnud-Guùcnol, & 8 heures 45, Le 2 août t'M't, le Cheval de cirque,. te Baiser de samj, Pipe et Madame.

Au Théâtre de In Mieliortière. à 8 II. 30, le Trou dans le mur (MAI. Victor Boucher, Berthier, Serge Naduns, Robert Tourneur Mmes Blanche Alontel et Alarguerite .1 Plerry, Alice Beylat, Jeanne Lion). Au Théâtre Dnuhou, à 8 if. 45, Jean V, (AIM. Fernand Gravey, Geoi'gé, Rognon et Henry Jullien Mmes Arletty, Edith Aiéra, Janle Marèse et Mlle Duvia).

Au Théâtre des Nouveautés, à 8 h. 30, Elle est à vous! opérette (MM. Milton, Urban, Pierre Darmant; Mmes Gabrieile Ristori, Eliane de Creus, Simone Cerdan, et Suzanne Dehclly).

An Théâtre Snlnt-GcorRes. à 8 h. 45 (l'épouvante et le rire), Une Nuit d'Edyar 7'oe, Harmonie, Destination inconnue, le Déjeuner marocain.

An Théûtre Fcmlnn, relâche pour répétition.

Au Théfltre MoK»d»r. à 8 h. 30, RoscMarie (AIAI. Oudart, Géj Bury, Cumbes Mmes Cloé Vidiane, June Roberts, Cécilia Navarre et M. Dréan).

A l'ATinll». i 8 h. 45, le Procès de Mary Duaan (AI. Harry Baur, Aime Jane Chevrel AIM. André Burgère, P. Geoffroy, Mlle Carletta Conti).

Au Théâtre de l'Avenue, a 9 heures, Départs, de M. Simon Gaiitilloii, mise en scène de M. Gaston Baty.

Aux ncrs-.lnw (Dir. Roger Ferréol. Téléphone Alarc. 10-20). Tous les soirs, à 9 heures, les chansonniers Martini, Jean R!eux, Géo Churlcy, Goupil, Victor Vallicr, Jean Alauger, G. Âla'.is, dans leurs œuvres, présentés par Georges Alerry. Anan, .voici le soleil!, revue de J. Rieux et G. Alerry, .)(>uée par Maud Gipsy, les chansonniers et les auteurs.

Au Théâtre de Dix-Heures, les chansonn'ers Alauricet, Vincent Hyspa, Géo Charley, V:elor Vallicr, Paul Alaye et Je Iiastia. Glard Saint-Lazare! revue de Mauncet et Pierre Varenne.

Au Théfitre National de ln Caricature (Dir. Roger Ferréol, 43, Fg-AIontmartre: Téléphone Provence 37-82). Les chansonniers Dorin, Noël-Noël, Balder, Goupil, Trémolo. Max Bill, avec Paul Colline. Chargeons! revue de P. Colline. Musique de André Renaud, jouée par Lculou Hégoburu, Carlos Conté, les chansonniers avec l'auteur et Paulette Darty.

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4lbert-i", à 8 h. 30, Mater dolorosa, le

Péril jaune: Arts. il 8 h..3(1, C'est le dieu de la jeunesse; Atelier, à 8 h. 30, Vaipone; Capucines, à 8 h. 45, Couchette n" 3; Chàtelet, à 8 h. 15, Mississipi (Show boat); Comédie des Champs-Elysées, h 8 h. 30, Suzanne; Déjazet, a 9 h'-ures, Tire au Flanc; Eldorado, à 8 heures 30, Rive de Valse Folies-Dramatiques, a S h. -15, l'Amant Maison de l'Œuvre, il 8 heures 45, Mnsique, ou la Sonate à Kreutzer; Alathurins, à 9 heures, le Docteur Bacchus No,velAmbigu, à 8 heures 30, Pomme d'Amour; Porte-Saint-AIartin, il 8 heures :30, Madame Sans-Gêne Polinlère, relâche Studio des Champs-Elysées, Une Vie secrète.

A TRAVERS LES THEATRES La Comédie-Française iouait de malheur. Mlle Cécile Sorel se trouvait empêchée par une attaque de grippe' de jouer Le Mariage de Figaro. Rétablie. la grande artiste fera sa rentrée dimanche soir, dans Safiho.

M. Roger Monteaux était pareillement souffrant. Il est de nouveau en parfaite santé.

Mlles Yvonne Ducos et Hélène Perdrièrc sont, par contre, encore en convalescence. NOTES ET "INFORMATIONS CREATION PROCHAINE.

M. Jack Jouvin,' directeur du GrandGuignol, vient de recevoir une comédie, en un acte, de M. Marcel Pagnol, qui'sera créée au, cours- de cette saison. ̃ Comédie-Française. ̃Aujourd'h,ut-1i£tidi, vendredi et samedi 30 mars. relâche. Le bureau de location sera fermé le vendredi 2g mars.'

OpÉRA-CoMiQUE. Mercredi 3 avril, Laktné, Le Festin de ~.4Mt<:tec jeudi 4, en matinée, Les Contes d'Hojjmann eu soirée, La Vie de Bohème. Paillasse vendredi 5, La Fiancée vendue, Le Festin de l'Araignée.

Odéon.. Voici les spectacles que l'Odéon affiche à l'occasion des fêtes de Pâaues Samedi, en matinée, Le Cid, Les Précieuses ridicules en soirée, Le Bonheur du jour.

Dimanche, en matinée, Le Père Lebonnard (M.- Silvain), La Rose' de Jéricho en soirée, L'Ane de Buridan.

Lundi, en matinée, L'Artésienne, musique

de'G. Bizet, orchestre et chàurs du T.NIO. sous la direction de M. A. Cadou en soirée, Les Bouffons.

Théâtre SARAH-BËRNiHARbT. L'admirable spectacle que constitue Tristan et Iseut sera donné dimanche et lundi de Pâques, en matinée, avec, comme chaque soir, André Brûlé et Madeleine Lély.

Gaité-Lyriquê. Aujourd'hui, en matinée et en soirée, deux dernières de Chanson d'Amour, avec la délicieuse musique de' Schubert.

Tous les soirs, à partir de Samedi, La Belle Hélène, le légendaire chef-d'oeuvre d'Offenbach. La location est, ouverte pour les fêtes de Pâques.

Théâtre Antoine. Exceptionnellement, il n'y aura pas de matinée aujourd'hui jeudi saint. Samedi, à 2 h. 4$, matinée de L'Exaltation et de Feu la mère de madame. Demain' soir vendredi saint, relâche.

Daunou. Aujourd'hui, à 2 h. 45, maj THÉAT RÏS™] fœ^S. A L'ATHENEE S^^S^ t La comédie nouvelle (

de M. Félix Gandéra

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MiCHODiÈRË. Aujourd'hui, matinée à 2 h. 4s, avec Le trou dans le mur, le formidable succès de rire et ses remarquables interprètes Victor Boucher, Blanche Montel, Berthier et Marguerite Pierry. Théâtre FEMINA. Les services de première et de seconde pour La Prisonnière seront reçus respectivement dimanche soir et lundi soir.

Théâtre Mogador. Aujourd'hui jeudi, dimanche 31 mars et lundi 1" avril (Pâques). matinée à 2 h. 30, avec la triomphante opérette Rose-Marie. Même distribution que le soir. Loc. Gutenberg 52-03.

TI.

Théâtre Apollo. Le Procès de Mary Dunan, qui atteindra la semaine prochaine la centième représentation, sera donné en matinée aujourd'hui jeudi, le dimanche et le lundi de Pâques.

Deux- Anes (direction Roger FerréoU. î– Ce soir, première à bureaux ouverts du nouveau spectacle Anon; 'voici le soleil, revue nouvelle de MM. Jean Rieux et Georges Merry. On loue ses places à Marcadet 10-26.

Les Artistes Associés répètent actuellement Rivière des Tribunes, de M. Pierre de Rose. Cette pièce sera interprétée par Mmes Marie Valsamaki. Germaine Delbo, Marcelle Page et par MM. Pierre Magnier, Maurice Lagrenée, Raymond de Boncour. Les AMIS DE Carthage et des Villes D'OR. La Société des Amis de Carthage et des Villes d'Or (reconnue d'utilité publique) entreprend, sous la direction de sa dévouée vice-présidente, la marquise de Tastes, sa quatrième tournée de propagande théâtrale annuelle, dans les principales v\lles de l'Afrique du Nord, et surtout dans les admirab'.es théâtres antiques de Cherchell, Timgad. Djémila, Guelma, Carthage. DoUgga, etc., etc.. ̃

Rappelons que l'œuvre entreprise par la Société des'Amis de Carthage et des Villes d'Or n'a aucun caractère commercial, car les bénéfices sont versés intégralement à la caisse des monuments historiques pour aider au relèvement des ruines romaines de l'Afrique du Nord.

Au orogramme Le Cid, Horace, Mithri". date. Phèdre, Hernani, La Fille de Roland, QHftBircrtion (iaumont-Lœw-Metro WÊtÊ OÏteMA 2A.4S

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Kl AL 1 U (angle « Matin »)

LES FUNERAILLES

DU MARECHAL FOCH I SEANCES 3 h. et 9 h. ̃̃̃§


Sophonisbc, d'Alfred. Poizat Orestc, de 1 René Beïton }. lluon de, Bardeaux,. A'"E, Roudie. Ces pièces auront pour tJrincipatlx interprètes Mmes Madeleine Roch, Golonna-RomanOj sociétaires de la Comédjeï'rançaise, .Ha.wskins. Bréviiie. Dagmar. Gétard et 3ilM. Romualoi Joubé, Froment, Raoul Henrv, Roger Weber, Fabrl. La trouue s'embarquera k Marseille, ïe S' avril, jioùr Tanger. ̃ Aptes avoir donne dés représentations officielles dans les grandes villes du Maroc. et en particulier dans, le Dië.ryeillçûs jardin de la Kasbah des 0udaia>, (>i)Us:camment prêté par le couverni;- ment cherifién, la tournée parcourra l'Algérie et la Tunisie- «t. s'embarqcûra pour rentrer en France, à Tunis,, le 4' juin. < »' V-- ̃ .»»*» -f.-ii-.w ̃ ̃ ÏÔURNÉÉ; OFFICIELLE. La Cotn«iié-tdorinerà, le $ avrils à Stras* bSiirs, au Théâtre Municipal, sa troisième et dernière .reprpsentation.de la saison avec £n]Nuii.'4'Ùçtofir.c, ..A1^Y- v, ̃.

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M. fct Mme -Arnia«d-4JfsFttez, directeurs des Capucines,fcticnneiiUlaydat,»;du, jç.uûi il: .avril, vy>j suir"é«;VîM!t)ûr'l»-'fét>éti{f6fi-.|iérié7 raie (JenopsieUe nouvelle dp .M- .P,ujof i>our, le livret et 'de, MMvî ^Krrc Cjîagnon et, F«ea.P«af^t«fafc'M-jnii«jkjU6, r Maxime Girard..

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A In l>une Housse, à 9, h. (Trucl. Cl-92). Les cllAiisonlilci':t Léôli-Michet, Seei'étall, jur, Wyl. Souijlex, Spai-k. Monelly et Fiorre Dac, présentée luir i). lioimaurt..Panlins ni l'utins reVue "noifvelle (Mlles Yvette Le Builly, Christia.ue .Michel et L. Iforest). Kl'jtltu'- Cl*# Aitrul-tioii* I. Mpsjoiikilie duns ?u Maison du mystère-, mise cil scène de A. Volkotï, avec Koline et Oh- Vr.nel. St-aiiees à a heures et 9 heures; 1)1nmiiehes, trois sÇaftcès i 3 h; îlOj -trh ;J5 ej i) heures. SPlGtACLÈS DIVERS Olympla-Muslé-Hall, tous les -jours-, -ma tir née». 2 h. 30; Conç-i.T.t Ma»-1, 8 .h. ̃J.ri, lin /iltin'i', jetiin'.sset :çh-que ,ii"ii-îvev, les l-rar (el)ln'l, niât. jeu'it., snni.. '.dliii. (jit>i|uê. si'Hiver» les I-'rateHiuj, ujat. j., s., d; Cirnue,,tl<t JJo*;ISi,.8 11. 80»-^tif»t. j., dim.j. à 2 h. ;»u' X4a 2 à 1-* ̃••) i- I-.una-Park, .9 h. dancing,' sain., dhu,, ̃ ̃ alfin.eHou* înatinée; Noutftiiuiujcs, a- » heure». Slaiwu.t.tnu-.tie. ̃ Mov'i.ix-RoVOi;. ̃– M- Pierre .ï'aucféi, quanti il eut prie, la décision. de fermer !e Moulin-Rouge: le- jour des funérailles .du maréchal Foch. eut la <ftlr|irise d6 voir que. ;es artMesrde leUT'côté, rai utfraicnl'de renoncer à leurs cachets., Le petit personnel ivait, d'autre part, fait de même. M. Pierre Foucret, très ému', a offert le châmpasne à :es artistes et à 'son personnel pour les remercier. ̃ la :Mou!in-RouKe fait désormais m,àlfnëe jeudi, samedi et dimanche, à 2 I1..4S. Le soir, spectacle commence à h, 4S; En soirée J

Au Théâtre des ChamfJSiEilysées, à q heures, dixième concert Walther-Straràm. Symphonie. 8 (BeethoveliJ Escales (Ifeeft) Cinq pièces enfantines,, première audition (Rodrigo) ̃ Lu Mer (Debussy^). Places dé 2 à 40 francs. Location au théâ-1 lit et çhet î)urand. Pemain soir, Orchestre Symphonicjue de Paris, salle Pleyél, à p heures. M. Georpjesco ditiRtra OitvertuTê A'ËRmoni Cïk- quième Symphonie. (Beethoven) Mort et Transfiguration (Richard Strauss). José Iturbi ̃ joueta le Quatrième Concerto de Beethoven. m ••.

Le célèbre pianiste Alfred Mirovitéh. très apptécit :ails Etats-Unis où, âtt courant des dernières années, il a fait cinq tournées et prêté son concours à tous le* grands concerts symphoniques, se fera entendre pour la. j}Knîijère:iois.à paris,lc?.«> -^âjjjj^'j^ q heures,- aux Concerts Colorini^f^BqFW.-ii ->)̃ ̃̃ -«B: fi 'i- V !v- ̃ Pierre Honteux, qur dirigera les coficertiî de l'OÉchestre SymphoniQue de Paris pcW dant. les mois d'avril et de mai, fut le fondateur ,de la. Société des Concerts populaires, de Paris (concerts Monteux). Il a dirigé {rois années l'orehestre du Metropolitaii Opéra de New- York, cinq années le Boston Symphony Orchestra, puis Je Phîladelphia Orchestra. Depuis cinq ans, il est le collaborateur de W. Mengerbcnj avec qui partage chaque saison la direction de l'orchestre du .ConcertRabouw d'Amsterdam. Les abonnements 'aux huit "concerts, de 70 à 260 francs, sont en vente à l'administratioh, 252, faubourg Sàint-Honoré.

Sigrid Onegin, la célèbre cantatrice, dont le succès a été si retentissant lors de ses débuts à Paris, donnera un récital à 'a Société Philharmonique, salle Plevel, mercredi soir 10 avril. Location ouverte. Festival Beethoven. Après une tournée ̃triomphale aux. Etats- Unis, le Quatuor Roth donnera son premier concert consacré à Beethoven (Quatuors 1, et 10). salle. ;Chppin, le 13 avril, à q heures. Billets la ,salfo, chez- Durand et ait C. t. M. L. de Crémone. .«# .CINEMAS ̃̃̃̃̃̃'̃ -Agi4Hîflt«ùrs(S, riie d'iïtliè)ics,4»'oîar- '*̃ U'Arffenh'KÙHtq.s.tfitmtte&.i'ï'dc t:iniina<imr, Ishahghaied; Artistic-Cinérouj le. fâouue et Or. 'Aoir; Aubcd-Palaee, 'Cjhon(ais.j<e jmz; Eleclric-Palace-Aubert, Sérénade, Caméo, ta .WèréHë, ^nuptiale Côllsée, ̃ l'Enfer de, 'l'Amont; -Gtenmont-Pttlacè, Verdun, visions' d'Histoire; Impérial,- Anny. de Montparnasse Madeleine-Cinéma, les Nouvelles Vierges -Marivaux, mat; et soir., Quartier Latin (Maurice DeKalira) MaX~lAnder, Looping the Loup; Omnia-Pathé, le Hmujn et le jXoir; Panunount, -Maître après Dieu; nialto» Cinéma, Ivan Mosjoukine, dans la Mui.ion dn mystère; Studio 2S (10, rue Tholozé), le Dernier avertissement; Ursulines, i) heures, Lonesome (.Solitude), la Jalousie du Barbouillé.

C'est avec un film de Jean Epstein: Finis Terra-, que l'CEil de Paris-Cinéma, 4, rue de l'Etoile (avenue de Wagram) fera son ouverture dans les premiers jours d'avril.

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Couverture illustrée de fllb. GOÎ^BERY E. Fasquelle, éd. «.• 12 fr.

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COURS~S A ~~Mï~~C~Q~~ ï~

\Le. Pîii*Sîii>43AaB'Ule > >

i;a J.l'6f]ne,* la 'très l'rahdé' forme. -Céfçï joint au savoir-faire héréditairede i :1a: la- l mille Lieux, et.il Ji'en,,}'ijut P"s plus poui; ,}i ncqucriv une s<,)r,l(i.-d'i»vuicjbjiit:e..C est le t cas actuel de lu- jinnejitj;diî.<(u«ire':ans Sun e Ooddess, qui Mient" tkv %igner tout» -sur n coup; à Kairit-Glpmf li,' .pfx ̃'Consul- stii:».10(» mètres et le' V'tik SiirrJaiiapal'e s'uï ï 2.4(10. Daiis l'Mib et -l'autre- +>«>a-sfoni ellï 1 ii battu quelques aninuiu$ iutsnuel.s jadis, sous ses arlfcleii'nes "çbitletli-s. dii TCnurait d même pas osé l'opposer. Tels Fh'eboi.se, M l'auti-e jour, et, iiicr,v,Sùerain Ut Ln.,lJalr, 1 let. La roue tourne, et la famille J.ie.ux' t demeure. gUfi Ooddes^ scrfiit-elle; a deux 1 générations de propriétaires entraifteûrs e près, utte nouvelle Puntn (lorda' ï EreniuntS lui, est un. puillain de Saint- r Cloud, et qui a- besoin d'Uhë course- dfc'î I rentrée pour donner sa mesure. Il a ga- n tîné le Prix de iloiui.yille dans un. style r qui n'nunHt' pas .permis à Princesse Maté ] à^-iù seln'c'f.êh J'ptiU1, J. Trafléu*. Prix- du Pecq (ît rendre aux" enchères, ç 7.500 fjnticsi'-a.'an'ft'mMrPs).- J. Monttniir- t let, (i M. Yvi'S Perdtiux (fi. Rowland) 2. Ver- > (luron, à M. André VoKèlé (L. Toehe) X j 1 Nectar, à Al. H.-G.T-h^rolt! ̃ (Bonaytnttife) \1 limg., 2 Ions.. '3- lfn'S- '-)•

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ohild (C. Biiiiillon); .'i. Saint (iildas, a M.

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Par) mutuel à, û francs .(unifié). ̃'îagnnnt K2 francs, l'iacf s Mrsa'ngi1..s i'r. 50 Péri- hoie, 7 i'r. 50;!Srtii]t '-tlïldas; 7 'francs. Prix, (/c JAsieiix i<;i ,;Tr.ndre ,aux enrficres,. ÎO.'OOO francs,. i).(|(t'iïiji(rt!<V-' J. Néyijj-.ù M,.

Jîd., \ni-n\f er Ql. IJafek; 2. Anne o4>,lC|(|Viis,i 1

i, itnîç Ji'uvl JV.nsfli l«.^«!sçrv littroapt t Wikïi<m Shïlut (.I.jujjul.l-.fA Juhg;, dtad- heatl1". '̃̃>-&̃ JjI'j 1 Pari mutuel à, 5 francs toiillé). Gagnant 24 fr. 511. Places "1sSvC 10 ïr. 50; Snhe or t Cleves, 10 francs; Ubrude^ 7^ francs, y- Prix Sardanlipnlc (3(l.ti00 'Jr'Mç- 2.<M mètros^. t. Sun (ioddess, à'- M. Frédéric Lieux (H. Chancelier); 2. Suzerain, à }f. .lean SU'rn (A. Êslirw); LePallet, à M. le comte O. de Hivaud?(F."I1ei'vé) (2 ïoïiguours, courte lèlo).- Pari mutuel â 5 l'r'à'ucs' .(Unifié)., «uisnant X fr. ^0. 'Phieiis §(i,fi. Guddéss, 0/ii.v 50; SiDïcraiii,- 11 francs; ''̃ 'Prix «V. la Châtaigneraie (handicap, 15.000 francs, t.-GOO. niètresjt. i. ̃Arlostc, à.M, Gùslayi;. Béauvois (J..(Lyon);; .-2. Saim Sernin, à M. Geo-rurs Baoyaiz (J. l-'rigonl) a.Hotchrkiss, a" M". Paul r.ialibe (U. Goldin) (2 long., 2 long. 1 '2, 2 lon.a.)

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Prix de. MÙliDtitWr-'ifJiSIM) francs. 2.100 iiièfrésr. 1. 'KrmiHu'ùs. iV -M. le comte T. de GraniPdà (R. Vln'cenll 2. Prince Kikra, à Al. H. W. CouloTi Jénnlngs) X Mécano, fi M..I; T!eun-ier-(A( Dnpuit)' (4-Iohg. eneolurc.'ii long.» •>(.%̃̃ ̃

Pari ̃̃̃linituel a 5 ïrniH<M (unifié), tiagnant t. 11 fr. 1 lacés lîreiMirus, "5 I'r. 50; Prince; Kara9 W fr. 50; Mécaiili. 0 francs. Concours hippique de Paris 6" Journée: -.les 'Prix des EtôWS Le Prix. d.es;ijf»? ̃ ^'nôierVii nBX.jeiinos ^«llTOiièf: f**açais-l.d«ia.là/j6. auS, ««tctçHto' jours suivi avec jnJBéMtc piw tousîties gêrttleli»ftîï"tjf(ii esi)èri?)il. décou-vM?f'paf-mi'Tes :déJj\ttatitTsL.'iy:'flV.;u'k futur de' Tëiir' rêve. Cette, année ils ont ,.i,wger_ les. sauteurs pluSi-sur. ce qu'ils les^pient capables de faire que sur ce qu'ils les ont vu faire réellement car le parcours était:' bien,.i(isigiiifVun( pcAti' des 3, .et ti ans déjà -familiarisés' avec des ylistacles .plus sérieux.. ,• •. Quoi ̃̃'qù.'il en s'oiti-, .citons les quel,; crues poulains qui nous ont paru être, appelés au plus bel- avenir Beau Gosse U. par Mosque. à M. Alvisi, qui fut le. -triomphateur, 'dû jour Co/isplrateur, pal; Klbroux, il M. Bilhouct Cloche d'Or, par Le Merlera'ult, à M. Rot Cabriole ,llt par Oracle, ù M. R. vdé In Cruix Ùoyen, par Oenté, au comte ̃̃<!<> lo.uiïroy-1 Câlin, par Indigène, h M;:Maurer ''i Démocrate, par Senescha), à > Perreau de Lau.nay Roi des GdulèS, p'a;r"'Cocj Gaulois, à M. M. Rousseau i: ;'V#spe'r, par Mimosa, à M. Paulet Côte d'Or 11. par Senes.clial,"âjti cûuitfe: ~d\i BWiillc et-;à 'Mlle Biirrus.

̃Peut-être v'à|ronsîî,"cqte un dorées p'ouraiiis-enlever ëans'"fi«èlques «hùéeè la Coupe de Paris? °

̃̃ •- •̃̃̃̃' | Pour terminer 'la-réunion -un défilé d'attelages à un cheval et tandems a

utbousiasmé les ])his difficiles et l'on e sait qui l'on doit le plus admirer ti Ji'iorning car du marquis d'Andigné, e l'américaine de M. Henry Vigiliér otj es tandems de .MM. Hector Francltom- ïe et Jean Landriii.. Mme Léon Thoiné, Mme Orti/ Lîii.tès. Mme de I-Yc'.y. Mlles Holder, Pnlino, .azard et Munnier ont mené elles-mè- nés avec un brio et. un chic extrêmes e ravissants chevaux attelés nvec unb orreetiôh. parfaite. Au point de vite éléffàift'c, l'autrtmïr- ille n'a pas encore définitivement déroue les jolis .attelages d'autrefois. ienn.de/jidHeJ!. :.u..

̃̃ir r i .r" 'i

"lift- ifteétifig d'Âiitilfe* ] Le lundi de P-âxiUcs '.se courra- le iritlid Pi-iJi: ùitci- .hôtial d'AliMbcs qui Irendf'it cette, jin lie] e iihtv eXceptiunnclle; mportahéii -pai? la valeur des pilote's -hgtigps ainsi que -par la qualité dta nachineK qu'ils Conduiront.' .̃"̃̃ Dans chaciu'rié dits catégories de l'ô-i ireuve, les marqu'ès é"n présence ^se ivréi-ortt 'Uiïé; lutte opiniâtre. •'̃ •-• ̃̃; >'̃'̃ Su 'i 'litres se-Tencontreront uï\ -Itiit' !e huit Bugatti conduites par des flraieurs Bret, Lainy. Bouriaiio. J. Phi-

ippe,. Elaiicelih, (rririia'ldî, prhicc Es-

iplIc" EL¡1nceliri,. ~~¡rir!,l,a'jdî", MWcu. Es-

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La veille, après une coUrsè.dc «vota.:ycler-tes, aura lieu le Prix du Conseil jénériil sur 100 kilomètres, auquel paricipè'ront Stutz (Austro-Oaimler), 'Marinetti, Signdrct et Jourdan (Sairii'son), îaiielli,. Decàroli, BarraqUè (Bttgatti), Lîoucly, 'liura'nd et Muraour. •'

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pt;r\H'IV~Jl~

rir'Hïîehr'de'^cleniniider' ait g'oirvisfiié-. inent russe d'organiser Une iîçirfyelle' .•pt:ditii?iï pûlitlfe puur le rechercher/

.1. 't

L 'ancêtre automobile Le Tciiiiring-Cfiili de France expose dniïs le grand Irall de son siège social, ti"), avenue do la Grande-Armée, une des premières voitures automobiles de série qui aient été construites en France. Ce véhiculé devait partir ces jours-' ci iiU.Musée de la Voiture et du Tourisme, à Çompiègne. Sur la demande d'un grand nombre de personnes qui n'ont pas pu voir encore « Fanc.Êlfe », celui-ci ne quittera Paris qu'après les l'êtes de Pâques. Il est donc loisible jusque la de voir cette vieille Renault construite en 18M8 et portant, le.n" 22 de la première série de véhfeules sortie des établissements de Billancourt qui, à cette époque, n'étaient qu'un petit ntelier de mécanicien, o.ù. travaillaicril feu Marcel Renault et Louis Renault, ce dernier toujours ;i la tête de^la.vé- lèbre firme. r! La revanche Pladner-Genaro sera signée aujourd'hui f unir'I s :'i'-

̃», .1 0«?.2i'i

&H::P<Hl- pi'einaj.nreinêni. on ^a^n.noncc. aprjès'' -lu victoire <(e l-*Jcidner 'SÛr/r^îo-. tiafo, qup l.T.rçA'apçhe entre dg^Xj

boxeurs avait été signée e|>(juîfl!Jsi,jSiu-

hoxeurs avait ét,: sig,née ek.qu!Jkiy,¡t,U-i

rait même lieu l,e 8 .avril proqhntm. t /1

II ju'en était rien. jn^is il y.avai.t des pourparlers qui aboutiront vraisemblablement ce matin, les boxeurs intér ressés étant, convoqttés chez l'organisateur, -.leff Dickson, afin de signer un contrat eïi vue d'une revanche qui aurait lieu dans le courant du mois d'avril. Lé major SegraVe ` à la Maison Blanche

Le major H. Segrave, recordman du nlonde de la vitesse en automobile (372 km. à l'heure) et Mme Segrave, qui se trouvent à Washington, y séjourneront encore quelques jours avant de s'embarquer, le (i avril prochain, à New-York pour la Grande-Bretagne. Ils ont été reçus mardi par le président et Mfnc Hooveiy à la Maison BTanche. > M. Hoover, après avoir vivement félicité le. courageux conducteur, a écouté a\:ec le plus grand intérêt le récit que, sur sa demande, ce dernier lui a. fait de sa -périlleuse tentative.

Une avionnette allemande 1 ̃}. ̃y^cfîîs^a.ftjol; s

“̃ "rtr^-

Le pilote est blessé, la passagère •' est morte

On mande de Carlsruln: ..qu'une ,ayi,on- y nette vofant à .une..uinqu'Mliluine de mû- j, ;,res de iiaiileur s'est subiteuicnt, hier, ibattue sur le sol: <; Do l'accident le.' pilote' s'en "tire .avec ;fueïqite.s blossures ^superficielles^ la ;j passagère, Mlle Bi-iun4 à-H'é'1' 'dé '2i ans, ;j grièvémeiï;: blessêgi, a .s.uçuonibé. quel-'tfpes heures aprè^.son transport à l'hô,[iital. •̃ '.•'• ̃" '"» ̃ v '.̃t': ̃ 1 c AVIATION? ̃«

£ê r'àifl 6ruxelVes,-Léopolcfville e ̃"̃̃' (CortîtS belgeT J^es aviateur;, belges Araijdevclde et Aev- f dt'n. 'qui tentent /actuellement le raift'. Bruxfclles-Congo belge." (I.ccipoidvi Ile), par étaiiés-de; 8f)0 a T.20ft 'ki! ont quitte' ¡ riérûdWmc i do Lyorf-livori' hier. fif 12c hi. 5iti, poùr-'BàracJQi», '-point rtermi». j nftiji de leur daujîièmo.'wtfipet s.e- ̃; ,t' ̃ '•-̃ -Wf-RAïiD-' #A'BSsi9AiGON' } Ba'iïly'et Seginensi sont arrives > !•̃ 'p'hdoue-' v '• Les avïal'c-urs' Builly et IVeèinensî qui, t à bord d'iinnio'noplan à moteur Gnome- ,] Rhônl>luj)iteV tentent liaisrin rapide entre Paris' et: Sjtïgôi», et" qui' a^aiwit. quitté Le B ou rgctf mardi malin, sont ar- 1 rivés sans encombre i> JPadoue, ayant ] négligé Istrcs ou ils dcyujenf primitive- ment atterri-r. Ils devaient répartir, hier mâtin pour Belgrade.- :î. lV"(, ':1 Berlin port âéfiéji ï|qu.r zeppelins ;( ;1 Les nÉgoeintions entreprises en vue de l'achat du terrniu d'aviation de Stuaken par la ville de BerUu sont près d'ab'oii^ 1 tir pour y ti'itiisfçrCr 'le port -aér. rien du lac de Constance." Le docteuf' Eckeiicr ét'lc miiVisfiré ddS'co'rhmXlnicaStions ont approuvé le projet-

Ùii accord n'a pas encore été obtenu au sujet de. la fixation.du prix' d'achat, ce?- ̃̃; pendant il y a peû.de ^différence entre la somme offerte, et i'.rjx de vente. Cette' 'so'minc est estiniée à 6' millions et demi de niarks environ, :Ia' Ville déve- riant propriétaire du tcl'ràln ̃ potiv une somme moindre que ceHéqu'a dû payer le -détenteur actuel.. ..< "Miïiït&^r-]- ̃-̃>

Ch~amptilonnats 1>ritanniques I~

..tes Championnats ftritanniciuess

.WI; ,t;erïe-ft*tf.ne

Les CU^ptoyi1^^ «<te ï /i 6*%niJ«-tBr0l!*»o "giïe sur terre battue se joueront le 2'J itvril et jours suivants sur les courts du. Bour^ic;utllralr,j T.n-Ç.JM. Brtiy

îs'uthall, qui conquit je titre en 1927, est

engagée dans le Championnat simple, de darnes, dans le Championnat double mixte avec (i. R. O. Crole^Pees et 'dans le Çhnjm^ionnat. double de 'cîa'riies avec Mrs M. ^af son. Ces deux joueuses ont triomphé en 1928. '• Le Tournof de, Rtt'uen

Un programme trop copieux ponr un tournoi qui ne devait 'durer que deux jours n'a .pas permis de jouer tontes les finales du tournoi rfe 'RdUen. Celles du simple et du double mixte seront jouées ultérieurement après entente entre les intéressés.

En finale du double. H. Goehet et Joba furent battus par Bërthet et Les'uèur. Ce fut une assez forte surprise. Résultats \i. Championnat sinmlq, J>eini-finajes: Berthet h.\X :de Macéd^fi-;),- '6-1 \hàsijeur b. Z«firopoulos, ti-2; ft-1. Gham>piownat simple «l&dame's. Demi-finales Mlle Chalvon b. Mme Lan-. gànay, 6-î. 7:5 Mlle! Fpurnié.ri.b. Mll&; Odier, 1-6, 6-2, 6-4, Finale Mlle Chalvon b; Mlle Four-

uicr'(i-<4. .1~ '-c'

Clianipioiinat double. Derai-finàJesh Hcrthet-LX'sueur b. Roy-Odier. 6-îy"6-vtl; Cochet^Ip&a1 b. Vétillard-Chartier, 5-7, 6-3. 'é-4. '••̃̃ S .'̃ ̃ i. iv- Finale lierthét-t'esueui. 1^, nCoçhetJoha. l-o,.(H, ,9r7. "• > jChampioiinatydpublc mixte. Dèmfei finales Jtfiu.Clialvon et Chartier b

;t~ ~c:

et ZafirppoviloSj 2r6, ..6-2, 6^3. Les Championnats do BeaiiKoleil, Sur les courts du Monte-Carlo Country Club, le tournoi des Championnats de BeàuKÔle.iV,,(;c?nime*!p(îércin|. 1c -lundi- de PàqUes 1e1 rivril. Au jjrcSgxarauie. les cinq championnats classiques et quatre han- dicap. -Lé Prîx "<fé fâmfUts} championnat double mixtii :donti les:r éfluipes ;doivcult. ôtre -forrnées du" mari, et de- la femme, de la mère et du fils, du père et de.la fille,.du frère et de sœur, et Coupe Macomber, championnat- --Simple réservé aux joueurs scolaires ou aux étudiants de moins de 23 ans Conijgïfttcut heureusement le programme. = Les engagements seront reçus jusqu'au samedi 30 mars.- Les .adresser à M. W. G. Henley, Monte-Carlo j^ G, Boite 49, à Monte-Carlo! ̃ Parmi les. engageinèntjs déjà. reçus signalons ceux de Mme H. Mathieu, première du cliis'senieilt iïaïl(fais dans" le* championnat simple de dames, et daiu le Chanipitmnat double mixte, avec M. As Gentïen. Mme R. Mathieu jouera avec son mari le Prix des familles.

Amateurs contre Professionnels Sur les courts du Duhvich L. ï. C., un matcli amateurs contre professionnels

ient de se .louer. Les- amateurs furant ictorieux -par ? ^parties contre -2. Réultats

Simples. N. Sharpe (A.) \>. W H. )ear, 6-1. 6-3 S. S. Ollïff (A.) b. T. C. effery, (i-2, 0-2 S. W. Harris (A.).b. W.. Lockyer, 6-4s 7-5 H. G. N. Lej A.) b. C. Hierons, 4<>-4. (i- ̃ V. H. I).; Vilde (A.) b. T..loues 6-2. 7-5 E. C. Celly ..(:P.) b. P. 15. AitUen, 6-2, 6-1. Doubles. ..Dearot Jeffer.v b..011iff et iharpe, 9-7, 8-6 Lee et. Har-ris (A.) b. lierons et Joncs, 3-0, 6-3;. 6-'J. \Vidc et Wtken "(Al), b; toekj'er et Kèlty, 6-2, -6.. 6-3.

La rcouvertitc» àa: Stàifts Français La période do" beau temps continu tue nous venons de travepsei* a- permis m .Stade. Français de mettre une partis le ses terrains d'il" Parc de Saint-Cloud ̃iv état. Huit cou-ts seront donc a la Ijsposition des joueurs dès le dimauiho 31 mars.-lj: va de soi que la réfec- ion des autres courts va ûtT.e poin-sui'ie activement et' que, sous peu, ils se:ent-.tpus- à -nouveali disponibles.

1 1 ,n •̃'

̃je»' ÇÔrintlhens jionère le CluB, français Les Çorinthieus, qui comptent parmi es' meilleurs joueurs amateurs du coninent, joueront demain vendredi à Paris, ils reneontrei'ont l'équipe du Lljub Français champion de Paris. Nous avons vu diéja h- Paris, en 1927, "équipe dès Corinthiens devant celle du iled Star et nous ayons gardé' de cette) iquipe' un excellent souvenir.

.Nt)u,s pensons que la venue de ces joueurs à Paris doit. iitce l'occasion Jyuh succès.. La question se pose de savoir cç.quo fera devant eux le Club Français, dont l'équipe devant l'A. S; Roma fit assez piètre figure. Le champion de Paris, it est vrai, sera renforcé par quelques joueurs de valeur dont le Suédois Simonsen.dc l'F. S. Vésinet. Bitudinot du S. O* Est et Villaplanc le fumeux demi-, du S, C. Kîliifis; dans ces conditions on peut espérer qu'il fera figure honorable: et que, les chances s'équilibrast, le match sera intéressant a. suivre. ercEmmE v,. ;`~ La journée du « Prix do Premier Pas Jrf Le dimanche 28- avriT se disputera- à l'autodiiome de Monllhéry la finale du prix du Premier- Pas, organisé par sla maison Dunlop. Le programme, de: la journée" comj^jîterAi.-JsKiijtiiSférentos nranifestatÏGras sportives usaiv«iUes. X ,t i /.ISvAriîiviiiihi'un rallye.- cycliste, edtrci 13ïfe.^l5iet i2iifc'.lS. c/

2" Départ dg'prïx.dM Premier pas»1 à. 13 h." Arrivée vers 15 h. La fînalo se disputera sur cinq tours de la piste routière, soit 62 km! 50O. ;̃ Pendant que la Jfiia-Ie dit prix du Pre^ mier Pas se disputera, des hauts parleurs égaieroh.1, la réunion par l'exécution de différents morceaux de niûsiquë et l'annonce des nouvelles du jour. A 15 h. 30, départ d'une course do motocyclettes organisée sous les règle* ments" du M'. C. F. et son président Sf. Sénéchal. Cette course se terminera vers"

16 h. 15..

A 16 h. 30, départ d'une course de voitures automobiles organisée par les soiiïs de M. Sénéchal, président duj

Ml C. F.

Des services d'autocars et d'autobus fonctionneront spécialement entre la porte d'Orléans, et Mont^héry pour per- mettre au public d'assister à ces ^Uférentes manifestations.

̃̃[i^>" $t& ̃- ̃/ °'^ i L'Assaut an Pistolet j Lors de la dernière réunion .de l' Assaut" au Pislolel. les pqules ont. et 6 "ga- > gnées par MM'. Ausseur (2% gériéral'LcpeWetier<2) el «Mopineau. '.•̃•• Prochaine réunion le vendredi 12 avril à 20 h."30; aU «oU'ers C:iub.

1z.l~etcheL

-i' .t

Radio-Paris (1.741 mètres) ̃

· jZadio-('üris-(l;îa1 ntétrés)

12 h. IIU. Uadio-cnneert. par l'orrliestre JLocatçlli •; Kève .îSiegfrïed-Idvlle. (Wagner),, «Andhnle iiu quatuor (Tjihàïk'o-Ws%)-;i ^larche .rtnèlire (Bêethoveif). ̃••' 15,i»..15. 3Iusiqjie.sj:icphoniqu«u,cîian't et danse. l .18 h. 45. '.lia ikmi-heUTy; Pa'ihc. W ? 20 h. 30. Had ib-concert 1/ Apocalypse (Jacques de Preste) Petite suite (De- bussy) Symphonie inachevée (Schubert). Tour Eiffel (1.185 m. 15.)

lit li. 20. Radio-concert.

Paris P. T.. T. (453. mètres) ? 12, h:' 30. L'Heure -d'opérettes. ̃ l't heures. Radio-concert La KlùW Enchantée (Mozart). Fédiu. (Erlanger) Ballet« Roméo et Juliette » (Gounod).; 15. h; 15. L'Jieure enfantine « Les Vacances de Pûques », causerie Gonc«rtt> (Mcndelssohn> Rondes et chansons par les lUèyes du cours de Mme Geôlier.

20 h. 15. Causerie ̃<: Les Clochers 'da France, les clochers gothiques », par M. Soucher, architecte.

21 heures. Diffusion du concert Str«ram Symphonie 8 (Beethoven) Escales (Ibert) Cinq pièces enfantines Première audition (J. Rodrigo) La Mer (Claude Dcbussy).

Radio L. (61 et 370 mètres)

12 h. 30. Concert par le trio Charles


Seringues Première arabesque (Debussy) Sonate, premier, mouvement (Ed. Flament). Petit Parisien (336 m. 3)

20 h. 45. Disques.

21 heures. Concert Ouverture de « Prométhée (Beethoven)" Le Songe d'une nuit d'été, suite (Mendelssohn).

21 h. 30. La demi-heure symphonique. ;22 heures. Concert Les deux pigeons, làllet (Messager) Scherzo (Lalo) Danse slave n" 4 (Dvorak).

̃'Londres (358 m. 3)

il heures. Gramophone.

12 heures. Concert. r

13 heures., Gramophonev

18 h. 45. Sonates" pour'violon et piano, !dc Bach.

19. h. 45. t Vendredi-Saint », pièce en vers, par' John Masefleld, musique de O'Connor Morris.

21 h. 35. Rëcital Max Mayer./

.22 h. 35. .Musique de danse.

Marchés commerciaux

̃iftS-i ft; ̃̃ '̃• i ̃•

METAUX PRECIEUX. Paris, 27 mars. $-+̃ Cours d'achat au kil. .Or.:16.650; Argent 460; Platine 49.000.

-BLES. Paris, 27. mars. Cour., 157 50 P: avril, 157 75 P .mai-juin, 160 «t 160 25 R;4 4 de mai,.160 25 P; juili.-aqût, 159 75 P. -~r Marché libre ̃ Beauce, Loiret,,159 à 160; Toiiràine, Indre, Loir-et-Cher, 161 à 162"; editou, Cher; 164 a 165; Alliér, Nièvre, 165 à 166; Loire-Inférieur* 157 à 158; Aube; Marne, 158 à 158 50; Côte-d'Or, Yonne, 159 à,160; Sarthe,- Mayenne, 157 à 158., AVOINES. Paris, 27 mars. Noires cour., 135 75 et 135 50 P; avril, 135 75 à 136; mai-juin, 137 25 P; 4 de mal, 133 25 à'ï33 50; juill.-àoût, 129 25 à 129 50.Diverses: cour., 131 V; avril, 131 50 N; mai-juin, 131 50 N; 4 de mal, 130 V; juill.août, 127 N. Marché libre grises de printemps, Beauce, Eure, Brie, 129 50 à 130 noires du'Centre, 129 50 à 130; grises d'hiver Poitou, Centre, 136 à 137; noires Bretagne, 133 à 136; grises Bretagne, 134 à 137; ligowo, 127 à 128.

ORGES. Paris,. 27 mars. Cour., 144 P; avril, 144 50 N; mai-juin, 145 50 V; 4 de mai, 141 N; juill.-août, 138 V. Marché libre :>Beauce', 141 à 142;.Gâtinais, 143 à 144; Champagne, 144 à 145 Sarthe, Mayenne, 138 è, 140 berry, 138 à 139.

SEIGLES. Paris, 27 mars. Cour., 135 N; avril, 135 N; mai-juin, 135. N; 4 de mai, 127 N; juill.-août, 120 N. Marché Ifbre Bretagne, 128 à 130; autres réglons, 128 à 132.

FARINES. Paris, 27 mars. ,Cour., 203 N; avril, 203 N; mai-juin, 204 N; 4 de mai, 202 A; juill.-août, 203 N. Farine de consommation, 215.

SUCRES. Paris, 27 mars. Cour., 236 50 à 237: avril, 236 à 235 50 P; mai, 235 P; 3 d'avril, 235 50 P; 3 de mai, 235 P; 3 de juin, 235 50 et 235 Pf 3 d'oct., 229 P; 3î de nov., 229 P. Cote officielle 236 50. CAFES. Le Havre, 27 mars. Cour.; 511 50; avril, 506 50; mai, 497 75; juin, 494 '50; juill., 483 50; août, 480; sept., 487; éc'ti, 484; nov.481; déc;, 472 25; janv.-févr., incoté. Ventes 3.250 sacs.

COTONS. Le Havre, 27 mars. Cour., Incoté; avril, 655; mai, 654; juin, «51.; juill., 649; août, 648; sept., 647; ,,mU. 645; jnpvjj 644;.déc., 643; jahv.; 642; févr.41. VenftS*: 850 balles.•̃̃ ï>>*fi ̃ r HUILES DE LIN ET DE eOI&A?*- IftW-

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Le Code du Propriétaire

LA GERANCE DES FONDS

DE. COMMERCE

Les procédés les plus astucieux sont généralement inventés par les agents d'affaires. Les notaires sont: peu enclins à rechercher les combinaisons les' plus pratiques pour leurs clients. La-forme étant pour eux le but essentiel. le procédé le plus classique leur parait toujours le meilleur. C'est ainsi que l'invention, de la « gérance-vente » n'émane pas d'eux. Mais il faut reconnaître, pour une fois, qu'ils ont été assez bien ins-

'̃̃ 'pires. >̃• -•' i.,i;1 ̃•̃ »̃̃•-

;t; La Jàtïntilc' »<ré';ïa ̃gttance-venle est.. ré"• pandu,e depuis prçsa ,longlg'Jnps déjà. EI(e ..consiste q,. donner- &.un commerçant la gérance, d'un foiids' de commerce moyennant paiement d'un loyer mensuel. Ce loyer comprend deux éléments l'un représente effectivement Uippix de la jouissance dit fonds, l'autre une annuité à valoir sur le prix de vente de ce fonds. Ce procédé malin permettrait à l'acquéreur de ne pas payer le droit de mutation que l'enregistrement exige en pareil cas, ou tout au moins de réaliser des économies importantes.

Malheureusement, cette petite machine de gllerre n'a pas' duré aussi longtemps que les impôts, et la jurisprudence s'est, à diverses reprises, formellement prononcée contre cette façon de procéder. Les décisions jusqu'ici rendues l'avaient été pour des motifs fiscaux. Il vient d'en être pris une nouvelle qui est fondée uniquement sur des motifs de droit1 commercial.

On sait qu'une loi du 17 mars 1909 fait obligation au vendeur d'un fonds de commerce de publier les conditions essentielles de son acte, de veille et de désigner un séquestre. CeliliTCi a pour rôle de recevoir le > prix du fonds ,payé pnr l'acquéreur. Les créanciers du vendeur, qui ne sont pas encore réglés et qui ont un titre, doivent former opposition entre les mains du séquestre au versement- au vendeur des espèces déjà ` encat.ssée,s. Or, le contre de gérnncé-uenle n'est pas soumis à publication par la loi que nous rapportons. 1 en résultait que le gage normal es créanciers se trouvait disparattre progressivement a leur insu. Ils conser̃ -valent a la [vérité différents moyens de se -faire paywfmctis enfin la garantie principale et normale leur échappait.

Désormais; le contrat de gérance-vente doit être considéré comme une vente, dégfii- sée, et les conséquences Je ce caractère peu*1 vent en être tirées par tous les intéressés^

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