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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1927-07-02

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 02 juillet 1927

Description : 1927/07/02 (Numéro 183).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295184h

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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jM essai çomniiMîste v en Meiriapc

î ̃'Ceï iesiàiHe confmuïiisnlé ii'a pas' été

tenté, qu'on ««.rassure, dans l'AUemar

̃ .grie. d'aujourd'hui. Cela; s'est passé au1 seizième siècle, mais- la leçon d'histoire n'en; est pas moins actuelle.

En; revenant de la Suède, où j'avais ^représenté l'Académie, je pensais m'arrêter' dans, l'une ou l'autre ville d'Allemagne, non pas à Berlin, qui n,e peut prendre de l'intérêt que si l'on séjotene afin d'y observer l'opinion allemande, mais à Lubeck, par exemple, qUi' a gardé un caractère moyenâgeux plein de pittoresque, ou à Munster, pat reillement curieuse avec ses maisons à ̃̃arcades et ses vieux hôtels de la no.bles.se, cou à Dusseldorf ou Cologne, villes du Rhin que je visitai autrefois,1 ce^le-ci pour sa cathédrale magnifique, etctrop neuve et ses ponts sur le fleuve, ] celle-là uniquement pour, un souvenir littéraire. Souvenir littéraire toujours présent à ma mémoire à Dusseldorf, sa ville natale, Henri Heine vit passer! ̃ Napoléon et en fut ébloui. C'était alors une bonne, ville bien sajge que Dussel.•i'dorf,- Une ordonnance ;de policé défen-: daït de passer à tihival dans les allées ̃ du.jardin, sous peine d'une .amende de'- ̃ éi^qîUhalers, et tous les citoyens respfeètâient les ordonnances de police. Or Napoléon, avec toute sa suite, chevauchait au beau milieu de l'allée principale. Pour lui, il n'y avait plus de loi, puisqu'il la faisait. Et le gamin qui, bouche bée, regardait ce spectacle inoubliable calculait, en bon petit juif, tous les thalers d'amende, jusqu'à ce qu'il oubliât cette question même pour retenir à jamais et fixer dans ses Reisebiïder la forme d'une main, la main de l'Empereur,: « C'était une main de marbre qui éclatait au soleil, une main puissante, une de ces deux mains qui avaient dompté l'anarchie, le monstre aux mille têtes, et réglé le duel des peuples et elle frappait doucement le cou de ce

cheval. »

J'hésitais donc entre Dusseldorf et Cologne, entre Munster et Lubeck, et finalement je m'arrêtai à Hambourg, si belle au printemps avec ses lacs intérieurs et ses arbres, et si impression-;

̃ «êftl&i&vpa; la. ^^UKe-x^^èlfe, <jç;

§on ,c"("1w..ï.;r, .t;rr:<t{"" '11'1: ,n" t..

^oh port.-Mais-àjpeine.iXa^yais-je ^quittée,-

contràinf â'rèvenif directement a Paris Sans autre escale, que je me pris à re• gretter une halte à Munster, uniquement pour avoir relu un ancien article d'Eugènè-Melchior de Vogué sur La Nouvelle Allemagne (la nouvelle Allemagne de 1905, celle de Guillaume II),l'éyocateur. d'histoire rappelle cet essai de communisme qui dévasta Munster autrefois. ̃ >, Pourquoi ne lisons-nous plus guère Eùgène-Melchior de Vogüé ? Pourquoi sa prose savante et rythmée, balancée avec harmonie et toujours prête à l'éloquence, nous paraît-elle, un peu démodee ? Nous sommes si. riches en gloires que nous pouvons nous offrir le luxe de l'injustice. Vogué, sans doute, a trop de pompe et Chateaubriand en avait plus que lui, mais avec quelle.ampleur multipliée quand il donnait les grandes orgues et avec quelle profusion d'images £ Cependant tous deux, avant de' nombrér leurs phrases, entassaient les lectures, vidaient les' WMrotfeèques. L'érudition de Chateaubriand pour l'Essai sur les révolutimr%t"^ô'ii¥>¥Ititié'r.aire est formidable. Et pour une étude d,e la Revue des Deux Mondes, Vogüé épuisait les sources. Mais le concert faisait oublier les répétitions préliminaires. Il'aimait à indiquer les voies nouvelles. Nul, mieux que lui, n'a su montrer, il y a très longtemps, Pimportànce de notre domaine colonial et, avant; Màngin, l'utilisation possible de la force noire. Il fut des premiers, au camp d'aviation de Reims, à saluer la maîtrise^de l'air. Il ne se trompa guère qu'une seule fois, mais sa m épris fut de taille. Ce fut dans son livre le plus retentissant, Le Roman russe, sa foi dans- l'âme slave et; dans la rénovation .;du monde occidental par la pitié moscovite. Que n'artril lui-même médité avec plus d'attention le passage de son Cessai sur la Nouvelle -Allemagne que je vais citer ?

Donc Vogué, .voyageant dans la Hanse "é't la WéstpHàlié, séjourne à Munster et y rencontré le souvenir- des fameux Anabaptistes. Les Anabaptistes, on le sait, furent tout d'abord une secte religieuse en désaccord avec Luther sur l'âge du baptêmes On commença par des controverses théologiques. Puis ils imaginèrent de refaire ïft société tout entière sur un plan d'égalité civique et politique. Devenus maîtres de Munster et de, la'Westptialie, ils en chassèrent l'évêque et ifs y établirent leur communisme, que Melchior de Vogué compare a notre Commune de 1871, mais notre Commune dura peu, tandis que celle des Anabaptistes eut le temps de porter tous ses fruits, là communauté des biens suivie bientôt de la communauté des femmes, et le tout couronné de la plus effroyable tyrannie exercée par le 'fameux Jean de Leyde. Celui-ci est un aubergiste monté en grade, le premier des marchands de vin grar-^s électeurs.

II succède dans le commandement à Jean Matthys, qui est tué à- Munster, et il -se -fait' respecter en faisant couper les têtes. «Du. sang- versé, écqt Vpgîxé, les fumées de Forgueil.ïui montent au cerveau.; il se proclame roi par droit d'inspiration divine, il se grise de>s ponipes carnàValesqUés ou ïî parade. >rlie.« Roi de Sion» promulgue la fcominunauté des -femmes après celle jies biens cet édit rencontre chez les sujets iine- obéissance empressée. Les suites en sont décrites dans le latin un peu vèrb: du chroniqueur Hortensius à la fin dû siège, s'il faut l'en croire, il n'y avait' pas dans Munster une fille audCssbus -de quatorze ans qui- n'eût ressenti' les effets des maximes anabap-,tistes. ,». L'historien qui'visite la ville recueille

sur place sinistre leçon et conclut

sur place la sinistre leçon et conclut:

«L'orgie communiste finit selon les régles habituelles. Une trahison livra les portes de Munster aux soldats de l'évêque W.aldeck. Les fanatiques, se sentant perdus,, avaient pris leurs dispositions pour incendier la ville on ne leur laissa pas le temps d'exécuter èe beau dessein. Acculés dans le, boyau de Prinzipalmarkt, ils ne demandèrent pas de quartier, ils- s'y firent bravement ha,cher.' Gomme l'évêque lui reprochait le pillage de son trésor, Jean; -de Leyde

Fengagea frèrement 'àrsé récàifÊÉér £n<

pronien>aat Je roi ,:de Sion< dans une cage de fer les populations paieraient cher, {golir .le voir. Le prélat suivit ce consèif avant de faire tenailler Jean par le bourreau. On réintégra son cadavre dans la cage, on en fit deux autres pour ses grands officiers, Knipperdolling et Krechting les trois cages où pourrissaient les suppliciés furent suspendues au clocher de la jolie église Saint-Lambert. Elles y sont encore, on les montre avec orgueil aux étrangers, car la mémoire de Jean de Leyde n'est" pas impopulaire à Munster. Il y a de la vénération dans le geste du custode qui extrait d'un bahut du Rathaus et vous présente un soulier de la Reine, la première femme du Roi-Prophète. Elle avait de grands pieds. Cette imperfection n'excuse pas le Roi qui, de sa main, lui trancha publiquement la tête; après quoi ses quinze autres femmes dansèrent avec Jean une sarabande joyeuse autour du corps de leur compagne. » Et le voyageur d'ajouter « Cela se .$assait;4§iisxet; hôtel, 4e ville, respecta-"b 1 6,1~. stî.il fttt~ ellplaee .~()ïnn<!I~n te:#li,i9 i

braves gens "discutent les intérêts dé'

leur négoce, tout en buvant d'innombrables chopes de bonne bière à bas prix citoyens soumis, dociles aux moindres punitions de la police, .jusqu'au jour où passera sur leurs têtes, un de ces souffles d'orage qui font- recommencer aux fils les folies de leurs pères. » M.. Tchitcherine est-il allé ,én Allemagne pour provoquer ce souffle d'orage ? Que ne s'est-il arrêté à Munster, sur la route de Berlin, afin d'y méditer à son tour, comme Èugéne-Melchior de* Vogiié, sur l'aventure de Jean de Leyde qui proclama la communauté des biens et celle des femmes, régna par la violence et le massacre et finit dans une cage de fer Sou venons-nous du portrait de Napoléon par Henri Heine et rappelons-nous la beauté de cette main qui avait dompté l'anarchie, le monstre aux mille têtes. Car la popularité de Napoléon lui/vint de là, et non 'de ses guerres. L'histoire contient tant de leçons, mais si peu la connaissent. iH" Henry Bgrdeaip,

̃̃̃ r«f t- i. -^etl'Aeadémie française.

-+^

Là Conférence navale de Genève Le comité technique dé la conférence pour la limitation des armements navals a. engagé une discussion préliminaire sur les caractéristiques des sous-marins et a ééhangé des informations plus détaillées sur la portée de ses propositions primitives. Il a été décidé qu'à la lumière de ces nouveaux renseignements.^ les différentes propositions seraient- soigneusement examinées par chaque' délégation et que le débat se< poursuivrait samedi.

Jusqu'à présent, les discussions du Gomité technique se sont limitées en principe aux caractéristiques des différentes catégories de navires et certains accords provisoires ont été réalisés. Toutefois, ces accords provisoires restent sujets à une revision lorsque la réunion plénière aura abouti à une décision au sujet de la question principale du tonnage global et dés effectifs des différentes catégories de navires..̃

D/airfre part, la délégation américaine a définitivement déclaré que les accords lie, Washington ne, -pouvaient être remis en question, /notamment en ce qui concerne le déplacement et l'armement des navires de ligne. Mais elle;- a accepté d'échanger avec les deux autres délégations des vues à ce sujet, dans le dessein de préparer les conversations diplomatiques qui devront présider via- révision du traité de Washington, prévue pour 1931. -̃̃̃

LE FIGARO

Fondé le 14 Janvier 1826

Anciens Directeurs H..de Villemessa-nt, F.Magnard, G. Calmette, A. Capos. ADAIINIÎSTÏIATION RÉDACTION PUBLICITÉ ANNONCES ̃ I4J RbNIl-POINT DES CHAMES-ÉLYSÉES. PARIS ̃̃- Téléphoné Elysccs 12-58, 12-61, .02-65̃ ABONNEMENTS

3 mois 6 mois, ivan

Paris,DépartemenB5: Colonies. 30» n 54 » £00 » .'ÉTRANGER-

Pays à tarif postal réduit 52 » 1OO » 190 s Pays à tarif postal augmenté:. '72» 140 » 260 » 'On's'abonne dans tous les Bureaux de Poste de France Chèque postal, 242-S3 Paris

L& réjfmmm électorale

discussion en à commencé hier! Hieh .de. moins passionnant cqiie ce ;débat. passionné. L'ar*

deur quon apporte a dénoncer la fraude de la loi projetée tombe devant la par.faite franchise de ses auteurs.- Là vérité s'étale et le scandale avec- elle. Il ne s'agit que de se comptér; Pauvres' naïfs, ceux qui espéraient, par exemple, faire reculer les cumulards .de mandats, :£qui,' par: une audace sans précédent et .grâce à la Complicité du Sénat jadis «: ^gardien de la Constitution », demeurait dans les deux assemblées. Ils entendent assurer à la loi électorale de leurs amis une majorité, douteuse encore, et sont Jiers de le pouvoir, en dépit de l'esprit des lois.. L'un d'eux a tenu à faire hier, au milieu de la journée, une entrée que saluèrent les- bravos de la Gauche. Ainsi des ruses dont on voudrait lès faire rougir, les arrondissementiers s'ei norgueillissént' des manquements aux promesses qu'on leur reproche, ils' n'ont cure. Ils ne tiennent pas à persuader que le mode de scrutin qu'ils préfèrent est leïplus conforme au bien public; le plus f avoraM&iM xe j£ji$ls n.omîùent le libre-exercice; de la souveraineté populaire. Comment le pourraient-ils ? La plupart ont, pendant des années, soutenu le contraire. Mais aujourd'hui, il ne s'agit plus de « justice électorale » ils veulent faire seulement aboutir une loi de garantie. Ils la veulent telle qu'elle est. Nous sommes, s'est écrié M. Léon Blum, inébranlablement résolus ». « A trahir la pensée de Jaurès », a complété M. Blaisot.

Et cependant, nïêmè- après un premier vote qui a donné au Cartel une faible majorité, malgré les consignes et les menaces, malgré le comité de vigilance, les arrondissëmëhtiérs demeurent inquiets..La loi ira-t-ellç jusqu'au bout Ceux qui ont lancé à la mer de l'ordre du jour ce bateau trop bien aménagé à leur convenance, se demandent si quelque voie d'eau ne se déclarera pas au milieu de la traversée.: Ils sont nerveux, bruyants, agités. Ah la séance d'hier était bien 'une séance de Cartél. La violence des interruptions, le bruit continue!. l'indiscipline retrouvée rapr pèlàjéht à certains i moments ces désordres auxquels présidait, en- 1 924, M. Painle^i vé. Si Itbb »en; est pas venu3 aux mains, c'est que M; Bouissoii, débordé, juste à temps, se couvrit.

.Cette séance enr.majeure partie, fut consacrée à la question préalable deman-i dée par M. Verlot. A vrai dire, selon lé mot de M,, Chautemps, c'est plutôt un amendement anticipé qu'a développé le député des Vosges. La tactique fut-elle la meilleure ? Peut-être pas. Mais logiquement il était utile que la question de réduction du chiffre des députés; toujours liée à celle des 45.000, occupât le seuil de ce débat. N'a-t-il pas pour fin d'assurer, au mépris de promesses solennelles, la réélection du! plus grand nombre de sortants possible ?

Le vote à la tribune qui suivit la motion fut fort instructif., Bien que des prp- portionnalistes de gauche eussent déclaré la repousser, elle ne réunit contre elle qu'une. majorité de 36 voix. Et le chiffre fut important de ceux qui par l'absence $e% dérobèrent au «-jjoug de .fer ». qu'a mis sur to.us ses adhérents, le Cartel ressuscita II n'y eut que"4|2 votants.. Iis.,étaient aq. sez pour prmjw paï^îkatiurésence tumultueuse l'inutilité et .même la nocivité des assemblées nombreuses. Mais les abs? tentions;et la petite majorité réunie, mpnr traient le peu d'enthousiasme de la Chamr' bre pour un projet qui reste, comme. on, dit, à la merci du moindre incident.

L'incident d'Ahrensdorf

1.,O(

Un incident s'est produit dimanche à Ahrënsdorf, près de Francfoft-Sur-1'Oder. Une section de l'AssociaJi4n;jrépublicaine «Bannière du Reich »5ja' été assaillie par des membres des organisations réactionnaires Werwolf et Stàhlhelm. Un homme de la '«Bannière du Reich -y a été tué, dix autres blessés.

A la suite de cet attentat, les membres du Comité directeur du parti social-démocrate se sont rendus auprès du ministre prussien de l'intérieur, Grzesinski. Le ministre a .promis de faire une enquête sévère. ̃ Les journaux de. gauche soulignent que la jurisprudence''allemande favorise les excès ,des réactionnaires, ei,que:la plupart des jugements, au sujet des incidents'qui ont mis aux prises la '«Bannière du Reich et les organisations nationalistes sont empreints de partialité. C'est ainsi qu'un membre du Stàhlhelm qui avait tué ârBres"laU un membre de là «Bannière du Reich » a1 été acquitté. Le Çerliner Tagebkflt (27 juin) exprime l'espoir que, dans le cas présent, la justice punira pleinement les coupables.

Il est certain que Iê" dernier incident prouve, une fois de plus, riricompatibilité entre'le maintien de l'ordre en Allemagne et l'activité des associations extrémistes de droite. Mais les appels du Bèrliner Ta-,gcblatt et des* autres journaux démocrates et socialistes ne changeront pas la situation tant que les réactionnaires se sentiront tacitement approuvés, et soutenus par, les autorités. "•'

aujourd'hui; r.- -v Sup>i)l ém en t li ttéfaif e

LA POLITIQUE

%iJb ^ifteydes Mmaîrîtés

Le Conseil supérieur de l'instruction, publique est saisi d'un projet qui concerne le baccalauréat. C'est un triste pr ojet,,que M.Herriot présente sans gloire et avec une. résignation démocratique. L'enseignement secbndaire a été saboté depuis trois ans. ai" de mettre au terme des études dévastées un diplôme consolateur. II y aura désormais plusieurs baccalauréats, dont l'uit supposera une culture étendue, et dont'leâ autres ne réclameront que des efforts discrets. Mais il n'y aura qu'iin diplôme, quf récompensera à la fois îfe savoir, le demi-savoir, et au-besoin i^igiiorance. Des 'sections différentes- sont fondées sur des programmes différents. Au bodt des études, des examens différents. Mais le même parchemin et les mêmes droits. L'Etat supporte encore l'inégalité dans les efforts et dans l'intelligence il ne la supporte pas dans les droits que donne la qualité du travail.

La réforme de*l'enseignement secondaire a eu pour objet de combattre l'éducation classique, de, frapper la cultur-e,- latine, d'éviter les élites. Elle réussira pleinement. Il faudra bien de la vertu aux écoliers pour prendre le chemin le plus long et le plu* difficile, alors qu'un raccourci les éonduira à ,un .examen portant le même EÔrn- et un diplôme équivalent. Il iifé res"tera plus Aqu'u,n perf ectionnçnient à appoï- ter aux éludes un syndicat de candidats finira par obtenir de M. Herriot un certain nombre de diplômes à distribuer à l'anciennÈté et selon la fermeté des opinions radicales.

Le cas de M. Pujo

L'arrestation de M. Pùjo et le traite. ment de rigueur. qui lui a, été infligî posent une question qui intéresse à ,la. fois la justice et la presse. Tous les journaux ont reproduit Ja. parole adressée par le commissaire, divisionnaire de la police judiciaire, M.. Barthélémy, à à M. Pujo, au moment où il l'a arrêté « Ce que nous avons à yôus reprocher n'est pas très grave ». Alors, pourquoi M. Pujo, rédacteur en chef, ^'un journal politique, est-il traité çommçAin malfaiteur, fouillé, privé dé sa mpnjtre et de sa cravate ? Il avait déjà, .paru surprenant que M. Pujo, incqlpé pour un délit assez mal défini, ne fût pas laissé en liberté provisoire. On savait le trouver. Il était à son journal, et il n'avait nullement l'air de js'apprêter à pr.ejwjce la lu iie.. On iJarcête.. )Ge ri'es{: pas pour délit^de presse, et en fait' leii délit ,-donti il .s^est rendu coupaWe.i l'afiaire de la mystification par téléphone n'est pas spécialement professionnel. Juridiquement, on prétend qu'il rentre dans le droit commun. Même si c'est là la lettre de la loi, personne ne peut soutenir que M. Pujo, dont les opinions et le tempérament; sont assez con-. nus, n'ait pas agi comme homme politique et 'comme partisan, et qu'on puisse le confondre avec- les apaches. L'administration aurait bien fait de mettre" en cette affaire un peu de tact et d'esprit. Ce n'est pas parce que M. Daudet a été soudain relâché par l'Etat et malgré l'Etat, que M. Pujo doit être enfermé comme un conspirateur dangereux pour l'Etat. Puisque tout le monde a souri du.délit, pourquoi traiter dramatiquement le délinquant, qui n'est d'ailleurs jusqu'à nouvel ordre qu'un délinquant présumé ? 2 Les vieux juristes enseignaient que l'inculpé doit être tenu pour non coupable jusqu'après le jugement.

v> André Chaumeix.

̃

EC:H-6S

'1 '.vtt' c~.ll.~E~A.6: ,.t:'

La Température .̃-•

Probabilités pour' aujourd'hui

Ciel nuageux,, avec '$ës pluies orageuses suivies d'édaircies. ̃ v Vents modérés; température stationnaire.

̃ O

Un soldat inconnu français sera honoré en Belgique. 'i

'L'e 17 juillet, -en présence du roi AIbert et de M. Poincàré, le corps d'un soldat inconnu français tombé sur le sol belge, sera inhumé solennellement dans un mausolée édifié à son intention au parvis Notre-Dame de Laeken. Ce monument élevé au Poilu de la Grande Guerre est l'œuvre admirable du sculpte'Ur Désmàrée. Sur les quatre faces des. sculptures allégoriques représentent la France en deuil, l'hommage du peuple belge, un sarcophage porté par quatre soldats belges. L'entrée du monument est gardée par deux statues gigantesques • de soldats français. Elle portera »çette inscription Ici repose un soldat français inconnu tombé sun le sol belg& /^i, Ainsi l'amitié belge se manifestera, une fois de plus, de la manière la plus touchante.

A. q'Uoi' rêvent les jeunes garçons. On a- donné aux élèves- des écoles du département de la Seine candidats au certificat' d'études ce. sujet de composition francaise z.

« La fleuriste. Son étalage dans un magasin; élëganij, ou au marché, qu sur une simple petite voiture ambulante. Quellès fleurs voyez-vous en cette saison ? A quoi vous font-elles penser ? » » 'Presque toutes les copies des jeunes garçons d'un, des cantons de la banlieue Est furent le développement de cette idée « Aujourd'hui, les fleurs sont belles, mais demain elles seront fanées, jetées dans la boîte à ordures et emportées par les « boueux ». Mais, avant cette destinée cruelle, une jolie tète s'est

penchée sur elles et les a respirées. Suivait la description, de la jolie tête: yeux doux, cheveux blonds ou bruns, et cette pensée « Cette jolie tête restera toujours jeunet Le Français est ne ga-

>Pk,oW. V -̃•̃

.\tm,% w

..Nous, recçyons la lettre suivante,: « Monsieur, beaucoup d'amateurs de ses tableaux, estiment que le peintre Armand Guillaumin, qui vient de mourir, n'occupa pas dans la ;peinture- de son temps la place due 4'. son talent. Un groupe de ses amis s'est réuni, ils envisagent l'élévation sur la tombe de l'artiste d'un monument qui perpétuerait sa figure, en attendant que la postérité rende exactement justice au peintre du pays de Grozant,- Le Figaro veut-il le faire savoir ? »

̃̃ »̃ m' r. '̃-

Byrd.. ';] '}̃

Bird, en anglais, veut dire:, oiseau. C'est, dans Je cas présent, un oiseau de bon augure. Car il semble qu'il n'y ait point sur la terre un homme plus aimable que le vaillant commandant Byrd.

On connaît ses exploits, son voyage sur' le pôle, et tous les aviateurs du monde sont unanimes à reconnaître sa valeur. Mais tout cela semble ne lui avoir inspiré aucun orgueil. Il est d'une simplicité, nous dit-on, ji!une:dpuceur, d*une bomi&grâçe parfaites.

C'est une justice à rendre aux, grands Américains, que le ,succès ne semble point les avoir troublés.

Un de nos amis polonais' nous a fait remarquer une curieuse coïncidence. Si l'on écrit le nom de Voïkov au-dessus de celui de son assassin Koverda,.on obtient cette disposition de lettres VOIKOV

KOVERDA

Et sion sépare ces noms en deux parties, on les lit de même dans ie" sente vertical

voi EOV

-.̃̃< KOV ERDA

Les noms influent-ils sur la destinée, comme le prétendait Balzac X

Une bonne nouvelle.

Mariette, ex-directeur de l'Ermitage, vient de. prendre la direction du Château dé'Guigneville, hostellerie, à la Ferté-Alais (S,-et-O.), téléphone 28. Sous cette habile direction, ce déli£|«gx.|iu t, de proHxeJiaiie *«a «bientôt d e-

.ftrf jide%TVQus selecjt dilimQnde

.s, ,• Le Masque de Fer.

ilUJOUR;LE JQUR

COUP^TOURRÉ

Personne n'a jamais su si c'étaient les oeufs qui avaient commencé par donner des poulets, ou si c'étaient les'poulets qui avaient commencé par produire des œufs. Qui est venu le premier en. ce monde, l'œuf ou le poulet ?. La question n'a jamais été résolue.

De même, personne n'a jamais su si c'étaient les hausses à la production qui maintenaient les hauts cours du détail, ou si les'hauts prix de vente encourageaient les prix orgueilleux de la production. Tout homme se croit économiste, comme toute femme se croit économe. Mais nous ne discuterons pas ce. problème, qui se résout chaque jour à nos frais.. Ce qui nous fait vous parler de cela, c'est que nous venons d'apprendre que «les. fourrures 'étant en voie de hausse ,à la production, il fallait s'attendre à un mouvement des prix de détail». ̃

Oh, oh Toutes<ies«fenHïœs/-qifl1Beus«lisent vont être navrées. -EHes -commençaient à -reprendre- du poil de 'la "bête: -'Elles*-se' paraient; depuis un -an, de peaux économiques, et on pouvait, s'orner de fourrures- sans être obligatoirement fourré dedans. On pouvait se faire un boa avec du serpent; boa. des: îles ou boa naturel. Le veau mort-né était en pleine renaissance, et les lézards modernes étaient des lézards d'agrément

Que s'est-il donc passé ? renard bleu a-t-il pâli à l'idée de- finir en correctionnelle ? A-t-on chassé les petits fauves loutres-mesure ? Le tapir est-il donc allé se tapir, et la taupe est-elle .rentrée sous ̃ terre Toujours est-il queile loup est, inabordable, le: singe grimpe sans cesse et le cours de là panthère fait des bonds. >

Voilà ce que c'est que d'avoir: attendu la baisse,^ petites' imprudentes que vous êtes Votre kolinsky espéré pour l'hiver prochain subira le sort de la peau de l'ours le rat gondin promis par André, ce sera encore un lapin. Il ne faut jamais attendre la baisse de quoi que ce soit, puisque nous sommes en 1927-! Il ne faut pas souffler les bulles légères de l'espérance sur la: forêt pointue des réalités/ II ne faut pas se suspendre à un ballon rouge pour traverser des fils' barbelés.

Croire à la baisse, c'est être aussi optimiste que d'emmener à toute allure en automobile un officier de uhlans sur une mauvaise route, sans se rendre compte que son casque percera forcément -là capote "'à tous les passages à niveau. "•̃ ̃̃ ̃ ?.• Hervé Lauwiek.

TABLEAU DES CHANGES

A PARIS; ̃•̃"•

à 18 heures

Le -Dollar vaut 25,54 La Livre vaut. 124,03 La Lire vaut 1,41 Parité New-York..3,91^s

VOIR LE COURRIER DE LA BQUitSE ET LA COTE DES VALEURS'A PARIS, LONDRES NEW-YORK PAGE 4

LES GRANDES AVPOR^ AERIENNES r^ipSa^ réussit la traverséa ^i^tlp^ie

-}~

Le dramatique amerrissage de Ver-sur-Mer

Partis de New-York mercredi à 10 Meures 24 du matin, à bord du monoplan trimoteur V America, R. E. Byrd et ses trois compagnons, le lieutenant Georges Noville, le pilote Bert Acosta et le navigateur Bernard Balten qu'on attendait jeudi soir à l'aéro-port du Bourget, sont tombés dans la Manche, à 2 heures 20 du matin, hier vendredi, à 200 mètres du rivage, à 1.800 mètres de Ver-sur-Mer.

On lira plus loin les détails de cette dramatique et émouvante traversée' aérienne de: l'Atlantique, dont l'aviation américaine peut tirer une grande et nouvelle fierté.. ̃. ̃ En quelques semaines, cette aviation a '̃mis' son actif quatre remarquables performances celle de Lindbergh, celle de Chamberlin et Levine, celle de Maitlând et Hegenberger, et enfin celle dont Byrd est le héros principal, traversée de l'Atlantique et du Pacifique. Une telle série dîéxploits ne sont pas que des résultats Heureux ils sont la preuve d'une', aviation, admirablement organisée et passion-

uément^jtÇac^ga: â,(j:éaliser. les gi-ogees

néfeessàïres ^pôù£,,que la. navigation aé- s rienne, rendue pratique, joue le grand et souverain rôle qui est réservé:, R. E. Byrd et ses compagnons n'ont pas atteint Paris. Ils eh ont été empêches par les circonstances atmosphériques qui leur furent extraordinairement défavorables. 1

A partir de Terre-Neuve, ils n'ont na- vigué que dans le brouillard, sans voir > ni le ciel ni la mer, suivis dans leur. vol verfl la France et Paris, par les question^ les réponses et les signaux que, par T. S. F., ils échangeaient, voyageurs invisibles avec les navires ou les postes terrestres de la T. S. F. La T. S. F., c'est en effet la note caractéristique et singulièrement, impressionnante de cette ;tra* versée qu'on peut considérer comme là plus frappante, la plus instructive, la plus utile de toutes celles qui viennent d'être accomplies et qui ont d'admiration et d'en? thousiasme remué le monde entier.- Imaginez la scène. L'aérodrome du Bourget par. une nuit affreusement noire, sous une pluie désespérante; le ciel est bas; un cercle brisé de feux rouges dessine lés li. mites vagues et lointaines de l'aéro-port. Quelques lumières d'automobiles. Dans le ciel se poursuivent les faisceaux lumineux des phares du Bourget et du Mont-Valérien. Seuls, le restaurant et le pavillon de ̃la direction sont flamboyants de clarté. •mais--que sont-ces'*iachesv4dé'iumière**dans ^es ténèbres épaisses ? Nous sommes '.cïno. :,oU -six, ;iBille,peut-êtr,e plus, peut-être: moins, mais qu'en sait-on dans ce noir si. lencieux où l'on perçoit le continuel et monotone ruissellement de l'eau. Au bord du terrain d'atterrissage, groupés sur l'aire de ciment nous: avons l'impression d'être sur un môle, dans l'angoissante attente du na'vire.en péril. ̃ Car il devrait être là, Y America! Depuis quelques quarts d'heure, avec les messages accourus à travers l'espace et de plus en plus alarmants, les conversations bruyantes -étaient tombées. Tous les yeux interrogeaient les ténèbres, les oreilles le ciel, etles regards allaient sans cesse de l'aiguille de l'horloge à l'horizon noir, noir et si menaçant. Et puis ce haut-parleur qui avait lancé ses allô! allô! et la nouvelle du passage de Y America à Brest, à Landivisiau, à Rennes, avait enfin annonce que l'America cherchait le Bourget. Il 1 avait réclamé le silence pour qu'il fut possible d'entendre le bruit des moteurs, ,et maintenant il se taisait obstinément. Mais les « sans-fil » qu'il ne répétait plus on se les transmettait-à voix basse: le dernier disait que YAmerica était à court d'essence; que son compas était déréglé; que l'avion, égaré, cherchait un terrain d'attèrrissage. Tous eurent alors le cœur affreusement .serre, .en, pensant à ces quatre braves qui volaient .dans- les ténèbres, sous cette pbaifi «wr««se, >pt'nH* la dernière goutte d'êssencé allait livrer à la périlleuse aventure de l'atterrissage forcé. e ° Nous avons tous vécu des moments infiniment pénibles dont je ne noterai pourtant que ce cri de confiance d'un des meïlleurs amis de Byrd, le colonel Sweenev, le héros de l'escadrille Lafayette, qui me dit alors que tous désespéraient: ̃" C'est tragique, mais j'ai la foi en tsyrd; c pst un homme étonnant de san«froid et d'énergie. Il se tirera d'affaire. r, Et puis ce fut tout à coup la nouvelle qui l'a lancée ? de l'atterrissage à Issyles^Mouhneaux, de l'appareil brisé, des aviateurs indemnes!

Quelle joie! Quel soulagement! Et ce fut alors la- ruée vers Issy-les-Moulineaux où la plus douloureuse, déception attendait ceux qui étaient accourus pour acclamer ceux qui venaient pensaient-ils a échapper a un si grand danger. Alors on les crut définitivement per-ius. On Sail qu û n>en fut pas ainsi- «yrd ei ses compagnons sont sortis.sains et saufs. d'un amerrissage dont on troiiT ?nC1'J dcsi° :us Ief émouvantes péripéties. Les quatre héros de ce drame de l'ait- sont, conformément à un télégramme que nous s,vons reçu. du. professeur Gibbons J.ami .de. M- Wanemaker qui a financé' la traversée arrivés cette nuit par la route l mô'f'^r n,"eS mais -raVis et descendus al l'Hôtel Continental où une réception et quelle réception! les attendait nu I ,ont retrouvé leurs, /compatriotes Ghamter în et Levine, fidèles au rendezvous qu'ils avaient pris avec lui, lors -de leur départ de Roosevelt field pour l'Eu-

J'PM.,

Le naufrage de F « Ainerica »

Voici la dépêche parvenue sur le naufrage de 1 America et qui, répandue par des éditions spéciales, mit fin à l'anxiété née des nouvelles inquiétantes de la, nuit et du sort inconnu de l'équipage de Byrd. Rouen, 1" juillet. UAmerica est tombé en mer à 2 h. 30 du matin, à 200 mètres de la plage de Ver-sur-Mer (Calvados). L'avion aurait rôdé pendant la nuit au-dessus de la Normandie, demandant qu'on lui signale, la route de Paris, et faisait savoir qu'il lui lestait une heure d'essence. L'avion est en partie brisé. Les aviateurs sont sains et saufs.

Ainsi, après une traversée que la


pluje e et le brouillard avaient rendue épouvantableittent difficile, Byrd avait réussi à atteindre les côtes de France, mais dès cet instant, il l'a avoué lui-même, il s'est perdu. La boussole, qui fut le guide le plus précieux de Lindbergh, ne fonctionnait plus. Le brouillard redoublait d'intensité, tandis que la pluie faisait- rage.

L'essence s'épuisait et l'avion, alourdi, se 'rapprochait rapidement du sol, Byrd décidait d'atterrir, résolu qu'il était à sauver ses trois braves compagnons. C'est alors que l'avion a touché l'eau sans que les pilotes l'aient vue. Les roues et le train d'atterrissage furent arrachées et, en un clin d'œil, la cabine fut pleine d'eau. Par bonheur, il y avait à" bord ùo petit bateau de sauvetage en caoutchouc que les naufragés purent gonfler, Après avoir ramé pendant 200-mètrësen-̃ffrori, ils touchèrent le rivage, ils- étaient sauvés. ̃̃̃'̃̃'̃ ̃•• ̃ ̃ ̃•

'Ayant gagné'^er-sur-Mer, ils frappèseàt aux fenêtres; Eftaiff' en vain; II était 3 h^30 du matin. '̃̃̃<: .:̃• ">?̃̃ «•̃ Uiï'marln, enfin;1 devait" les rencontrer '` -et' les amener auprès de M. Caissier, maire (1 du pays, qui lesirtcôcUlit. ̃ -̃ M :ft t~ t Byrd, tandis que. Baltsn. et, Aco^taj -s'en allaient se reposer, et que ÎNovitte, aide de marins du pays, tâchait de repêcher l'appareil, travailla jusqu'à' 8 heures du matin à mettre à jour son livre de bord. Exténué, à 8 heures, il s'endormait pour se réveiller à midi et continuer avec ses compagnons et les habitants de la région les travaux de sauvetage de son appareil. Celui-ci a été mis a sec dans 1 après* midi; à 15 heures. Les aviateurs Acqsta et Balten ont assisté au démontage de deux moteurs, opération assurée par les officiers du centre d'aviation de Cherbourg, lesquels, les pieds nus dans l'eap. laissée par la marée basse, y. ont travaillé tandis que la foule s'amassait autour do l'appareil, abîmé par la mer. Celle-ci a, en effet, réduit en miettes tout le gouvernail et une partie de la carlingue.

..L'un des pilotes, interrogé, a affirmé avoir survolé dans ta brume et la pluie une partie de la France et même les approches de Paris. Il .a donné, par ailleurs, cette version assez vraisemblable à 2 heures du matin, ils survolaient Gaen et, -trompés parla lueur des hauts fourneaux, qu'ils ont prise pour un phare, ils sont repartis vers Jsjl mer, complètement égarés, Peu de temps après, faute d'essence, ils amérissaient. Une réception a eu lieu, à 16 heures) ̃«»

jflFése.nce, &$, ,prpf et, du jOalyflc(ps.v et d'une

•foule de paysans et defla^n.euràqùi^Pjnij

t ~e çu V-6liùb'eéi4ge4' '), P.Ii¡¡i¡J;g" qr?i '1,,9, Li

Y America. De nombreuses signatures on|

'ëté demandées à Acôsfa' et à Balten,; gui

les pnl volontiers accordées.

J- Ce que dit Byrd Yofci, par ailleurs, des i diçlafaUons du

1 commandant Byrd

Recevant les journalistes français, il a tenu avant tout à soulifinev l 'accueil cordial qu'il avait reçu sur toute la petite plage, caivadosienne» M n'était pas possible de faire mieux, et cette réception spontapie; nous a vivement émus, mes eamara.* 4és/ et moi, »

Byrd est enchanté d'avoir pu apporter intact, pour le Président de la République, le drapeau américain emporté dans cette traversée, ainsi q,ue la lettre dont nous r donnons la reproduction ci*desgQus s A Monsieur Gasien Doumergue,

Plaident de la République f ranime,

̃̃ Excellence,

L'avion pionnier America apporte à la France un drapeau sacré (los Etats-Unis. 11 a été fait-par Tarriêrc-petitc-petite-njècç de Betsy Ross, de Philadelphie, gui dessina et exécuta le premier drapeau de notre République. Et des morceaux durte toile identique à celle em-

ployée pour le modèle des « Stars and S,trlf `

̃sjjfef «'ofiCstfrW'àf itoif fi#swntïtaffe? T "^r »

~.t{l\ ,»:q1ie:st!i:¡(~n1'Î\Rs~1\fbtngc~

CSÈVMmihJinaant ÎUcMrtt Ei- By-Mte de Mme-

rica, vous apporter^ ce: fepeau et vous sqHJt citera de' le consacrer sur la tombe W Fayette, ce vaillant chevalier de France et courageux ami de l'Amérique, repose dans un sol 'formé dé terre prise dans nos deux pays, afin qu'en des cérémonies appropriées- cç drapeau puisse symboliser encore les sentiments de profonde gratitude que nous conservons aux indomptables enfants de la France héroïque. Que. ce drapeau consacré revienne ensuite prendre place à l'Independence Hall, & Phila"'deltthie,l'Amérique proclama pour la -preinriére fois sa liberté, fermant ainsi le cercle qui 'unit les deux -Républiques dans les liens éternels de. la liberté, de l'égalité et de, la fra- °

tçrnîté.. ̃ ̃

'• '.• RopMAN WaNAMAKBR.

Dites bien aussi, a-t-il ajouté, ma reConnaissance potir les ouvriers du centre maritime d'aviation du Tréport, qui m'ont permis de sauver mon appareil. Bientôt, • gtfâ^è à eux, V America s'envolera à nouveau. C'est d'ailleurs un navire splendide suf lequel, eu ligne droite, nous aurions pu faire 4,200 milles (6,800 kilomètres),' et qui a tenu l'air: pendant quarante-deux heures. »

Le commandant a ensuite parlé de sa traversée. Pendant dix-neuf heures, les aviateurs 'ont eu à lutter contre un brouillard terrible, en perdant totalement le point depuis le cap Finisterre (côte éx- trême ouest de l'Angleterre). Ils ont fait par deux fois un circuit autour xre l'ouest de la France en s'apprpfchant 'çetfern^ltij^ij;

"très près de Paris, -j,? \e.

tI:~s 'pl' s e.. ans. ,7" ~J;l, 1

Leur compas, qui avait très bien foiietienne pendant la première moitié du raid, avait, sur la fin; une erreur de plusieurs degrés. C'est ainsi qu'alors que les •passagers de VAmerica croyaient toucher Paris, ils furent tout étonnés de se retrouver sur la mer. Les yeux fixés sur la provision d'essence, qui baissait sans cesse, .ils entreprirent enfin un dernier circuit, mais se perdirent à nouveau, -survolant Caen à 2 heures et se retrouvant, une fois de plus, ensuite, au-dessus des flots. C'est alors qu'ils décidaient* ainsi que nous le disons plus haut, d'atterrir coûte ̃ qijè coûte.

Le tableau de marche

Voiçi un, tableau détaillé de la marche de l'avion depuis son départ de New-York: Journée du mercredi 29 juin

New-York (Roosevelt Field) 10 h. 24 Newport (Massachusetts) 11 h. 36 Cap Cood (Massachusetts) 12 h. 35 Yarmouth (Nouvelle-Ecosse). 14: h. 45 Scherbrocke (Nouvelle-Ecosse). 17 h. 15 Cap Breton (Nouvelle-Ecosse).. 18 h, 30 Saint-Pierre (Terre-Neuve). 19 h. 50 Garnish (Terre-Neuve) 22 h. 35 Wijbourne (T<;rrerNeuve). 23 h. i 10 Journée^ u 3ft: juin f •. v Sur l'Atlantique

2QQ miUes. est de Terré-

Neuve ,i C. ".̃̃. 1 h., 30

-ï' 4^^ 33' noed, 18° •-10' ouest. 11 h. ̃> '̃̃ 50° 6' nord, 7° 57' ouest. 13 h. Raz de geiné. 19 h. 55 Brest (côte française) 20 h.. 30 Landivisiau ̃ ̃ 20 h.' 50 S,aijti.t7Briei|: 21 h. 25 Rennes 22 h. Journée du vendredi 1" juillet Î

Xer.sur.Mer 2 h. 30

Les félicitations officielles

Dès la nouvelle parvenue à la présidence du Conseil de l'amérissage des aviateurs, américains à Ver-sur-Mer, M. Poiilcarc a fait téléphoner au préfet du Calvados d'aller présenter les félicitations du gouvernement au commandant Byrd et à ses compagnons.

Il a chargé M. Ribière, chef de son ca-^binet, de se rendre â l'ambassade des EtatsJJnis pour prier M. Whitehouse de trans-

mettre les félicitations du .gouvernement français^ ̃goûverrifpeintiàes États-Unis.;

,r

f:~

WASHiNtiTôîi, î* Juilrèt. Le président Cbojidge a adressé à l'aviateur Byrd et à ses ^compagnons, un message- de félicitations dans lequel il exprime la certitude que la r.àfidojioée de YAmeriça, ajoutera à la somme, des connaissances nécessaires touchant les conditions à remplir. p,our rendre possible et sans danger une organisation .aérienne commerciale # travers

.l'Atlantique. ,.̃̃'

La Vie aventureuse du commandant Byrd Le commandant Richard Evelyn Byrd descend d'une vieille famille de yjrginie. II. est. âé* a Winchester. (Virginie), 1$ 25 oc• tobfe 1888. Ses anqêtres, se fixèrent- en Amérique au dix-sèptième siècle. Un.de ses frères, est, gouverneur de l'état de Vir-

ginie, -•(., •̃ r

A douze ans, By.rd_se ^.rejuli]; eut aux

PhÂ. '1; d°!1¡:~ pour ~'y:r~e)d'l;g~J .~euI.ÆP~

Philippines,' pour y rendre visite jjri

,~y~Q~at~9l~~c a9l~lle. Ayapt ~tFerntT~r

Ta maison, il ^entreprit., un /voyage autour

dU lllonde., w rr d' ¡

^^Sp'jJlmï^e^^fddés' ;f âit'ès,' ïî %êivàj' l'Académie américaine d'Ann'apoïis. $ éiii tra ensuite dans l'ayiàtidij.'En 1022, il fut promu au rang' de lieutenant-commandant. Depuis plusieurs années il demandait au ministère l'autorisation de traverser l'Atlantique en'aMon, ce' qui lui-fut toujours refusé jusqu'à présent. .v- On se souvient, d'autre part, comment, en 1925,' il entreprit un vol au Groenland et 'parcourut en 'avion 6,000 milles' dan^' des conditibils difficiles.

Peu après, il réalisait le vol au-dessus du pôle en seize heures. Byrd est marié -et a deux enfants. Le lieutenant Noville^ qui l'accompagnei est à Clèveland: (Ohio), en avril 1890, Il fit la guerre' dans l'aviation navale,, -sur! le front italien. ̃• ̃ Noville est ̃ également- iftarié et babitej ordinairement San-Francisco.

'̃̃' Frantz-Eeichel.

1.

Les deux pilotes du « Columbia »

'JT;3oWt.r«sià«: '.̃̃i

Pfir le prsfidettt de la République ie^pésident de;'l.a République a rççu( hier après-midi, les aviateurs am.érica.in^

",çp$l1'~rhin ie~ M'!{nq ~M.lUI: o~t.~t~ 2.r,

.~pnt~~fP~It11~t 'rT,rN;e, \ip!? ~,lh,{ç~~J'flé tyrr

res es Efats-Unis a,Pans. B J

~? ~p 'qf¡J"lr,(I. ,JI}t1¡~t, .); -!< ï.

Pes communistes invites f ?

à se jgoostitMer prisonniers

Le Parquet général à invité à se constituer prisonniers, le 4 juillet, avant midi, MM. Seavard, Cachin, Midol, Thorez, Bellanger, Berrar, Raynaud, Bonnefous, Chassaigne et-jGi,lbert, pour purger des condamnations prononcées le 10 mai dernier. '7" ̃ .Renvoi en correctionelle

Quatre camelots du roi arrêtés avanthier pour port d'armes prohibées ont été renvoyés -devant "fa 11e" Chambre où ils comparaîtront aujourd'hui. ̃

"> ̃

La gwvfe 'des' pêcheurs bretons Mi An,4ré Terdiew a conféré hier avec les usiniers

Le douloureux conflit qui met aux prises les pèb'heUPs du pays de PenmaYeh et les «siniers.touçhe-t-il à sa fin? Nous le saurons ce matin à l'issue de l'entrevue qui réunira, m minïstère des Travàuk publics pn présence de M. André Tardîéu,* les délégués des deux partis^

Pis ifaS: toiw#£ f ec^ai]p}i!s&îS^é"

«#«tants dR$1ÏAlitfWfWt?,.(le fifiRsel-M^iMP'

,~¡Ùant~ dA$,flWJ:~s;¡w.>qe ~~i}s~ en

-tretenait longuement avec, eux déJra/sîTaafi.bfl.'ADr|s"nn long éè'hariaellae''JvaesBîcs

##«1? !WW i&ùs'H^rBnë fiHSqu'à ü

present lés intentions, ont-; déîriahdé (un nouveau délai' à M. Tar dieu ils donneront leur réponse définitive ce matin avant 11 heures, heure à laquelle les -délégués des pécheurs seront introduits chez le ministre, ̃

te prix du pain va baisser La Commission consultative pour la fixation du prix des farines panifiables a réduit- la cote. officielle de 241 à 237 fr. Je qufntal. Ainsi le prix du pain, bénéficié d'une diminution de cinq centimes à partir du 7 juillet, le kilo sera vendu 2 fr. 20, au lieu de 2 fr. 25. i

-t -i ̃«̃"

Le remboursement des rentes 3 .1/2 0/0

Le ministère des finances nous com* munique, la.note suivante

Le 1" juillet 19271, à 10 heures du ma-

tin, il à été procédé publiquement, jlàns

Un; il a. été "procc. de pu. cnt, ~ans

l'une des salles du 'ministère dçs finances, au tirage au sort de trois des quaran.te-six sénés de là rente 3 1/20/0 ainôr» tiSsahié qui devront être remboursées, en

1927 'i;

1927.~ ~pd:f! q'ê~i~flI~s ,seties3,.17 et 4:

~M~g.'d~i~, les séries 3, ;kT et ~4,

!îyps: pwrleôîs flé; fin-és .sont, en con^éqqçn-

|ce,.i privées que M\ remboiirsement -u pair dès inscriptions appartenant à ces séries, aura lieu à partir du; 16 àtût prochain, savoir- pour Paris, à la Caisse centrale du Trésor et pour les départements aux caisses des trésoriers payeursgénéraux des receveurs particuliers des finances et des percepteurs.

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Conseil supérieur de l'Instruction publique

ni i ̃ ̃ ̃

L'affaire Platon

Le Conseil supérieur de l'instruction publique a tenu une séance plénièr'e, hier matin. Il a,, de nouveau, exaniiné l'affaire 'Platon.

On sait que, M. Platon, professeur à la Faculté de médecine d'Aix-Marseille, avait' été suspendu de ses fonctions par le Conseil de l'Université a la suite des incidents dés carnets médicaux. M* Guernut, avocat à la Cour d'appel dé Paris, défenseur de M. Platon, a demandé au Conseil dé vouloir bien ajourner, une fois encore, cette affaire. Mais l'assem- blée a rejeté cette demande, retenu l'af- faire au fond et confirmé là décision du Conseil de l'Université d'Aïx-Marseille.

_i_ ->^S^> ̃-

L'Ecole de la Femme Secrétaire

~r c. "-y..

"r<t L'jjcole5 dé. la Èemme Sscrétaire- »,-9, rue du' Cherche-Midi, résérvéeVaux femmes iCti.jeUnes filles diilanoade, a tonvié. le 18 jttîn tine centainesèsVélèves de Pàriset de Lyon à 'ùti cbneours' dé' "sténotypie sous "la présidence de M. Berthélémy, doyen* de la Facul'fë/de droit.

Des exhibitions intéressantes à des vitesses de 225 et 235 mots ont été contrô- lées'par'M. Bluét, sténographe' judiciaire. ,La médaille- offerte Par la Chambre de Commerce a été attribuée â Mlle Sïénis- siér- championne, avec 230 niots'. Le con- cours à 212 mots est attribué à Mme Dũ joncquby celui à 200 mots, à Mlle de :1 Germiny. Mlle Ligneau remporte le çdncours' d'anglais-.

.• ..<w ̃

Fendant l'année scolaire 1927-1928, des cours seront faits par M. Thiery, maître de Conlênences l'Institut .Catholique, 100, riiè'.de VaUgirard, sur Ce que toute femme doit savoir en droit ».,M. Wilbois continuera ses leçons d'Economie politique. O- ̃̃• ̃̃-> ̃ ̃ ̃ ̃

GAZETTE DES •raiBUNAUX X

Le château de Pontchartrftin Son -sort n'a pas encore été réglé parle tribunal. Des experts diront quelle est! lu valeur de ce château historique dont iJjai été question dans le douloureux procès .^ue* nouis avfens raconté. M.1 lé marquis de Viljahermosâ et ;mn frère M. le duc de Premiq Beal plaidaient •contre leur- soeur Mme- là- vicomtesse de ` Lyrot. Ils- demandaient l'annulation ̃̃'<àu testament de leur mènewMme laanarquise de Villeahei*mosa,et -i soutenaient que celle-ci avait passé un certain nom, bre d'actes cjttîy avantageant sa fille, avaient dépassé, quotité»" disponible ̃; entre autres –,1a. vente faite parla mère à sa fille-diï.çliâteàu de Pontchàrtrain. Spn; dernier propriétaire, le- père 'de fa-, mille, M. Auguste Dreyfus GomzaleiE, Va. 'Vdit^estimé lui-.mêmei en' 1897, -sept mil', ° lions. Or, sa veuve, Mme de Villkhermosa,! 9 fen !>922,<le v«ji!dait à; sa fille, Mme de Ly» rot, .deux millions cinquante francs, et çomuie en 1925, le fisc, dit fe jugement1 `; que vient de rendre la première ,Chàm- brè 'du tribunal présidée par M. W^tttfije! l'estimait vingt millions le prix, vérité « paraît, dit le tribunal, in,fèrieurl(à valeur réelle ». De..même pbut lié. mobilier de l'hôtel de .-rayenue Rùysdael que Mme de Villahermqsà^ vendait 29.000 fr., à ,sa,fille.; .? j, 1 A, Le .tribunal maintient sle, testament, mais nomme des. experts apchittçtes MM, Da- ^lane, Legros et Moriçe,- pour dire quelle était la valeur du château de Ponté.hàrtrain au jour de layentget au jour du dé. cès de la marquise,

Il nomme enfin des experts comptables MM. Doyen, Yché.et Israël pour rechercher dans quelles conditions et dans quel but la mère a aussi yendu /à. sa fille Mme dç Ly- rot les droits ej; actions qu'elle possédait dans diverses sociétés; et fixer la valeur de bijoux' et divers ..objets mobiliers; n.o« tamirient une automobile i Bolls-Boycëj qtie Mme de Villahermosà aurait aussi (Jbrinés à' sa filië. '̃• ̃̃̃ "••• •̃ ̃ En attendant que cette expertise sbit faite, le 'tribunal décide que Mme de Lyrot continuera à avoir « la jouissance du

.domaine.: de PQotch.art.rain soijs^le.contrù-

de MiDavid adinînistrateur îuflfciaire ». Le sort futur et définitif de Pontchar- train êèt tdin d'être encore fixéet"ii

Ml 1ÏU mtktiitir ^îffî&ya^eFM» 'Vimè.

Mas&è- pl'ôWkièhtTp-bU^'lelr fHs-aé'M.D^;

fus' Gonzalez,1 M(*L'Crti^pl^a -<Jauti-afpaW M. et Mme de Lyrot. ^»no9g 1

.< ;̃̃̃• ̃••̃• .!̃ u ï*. ,;p*J;v :J,

Les élections au Conseil de l'Ordre

.[: °/ (.

Le Palais, -.comme Auteuil et Long' champ a sa grande semaine, Après. l'éleci tion du bâtonnier, il nomme les membres du Conseil de l'ordre, des avocats. Set maine d'agitation et de fièvre Ies,cou4 loirs; du Palais ont'- une 'foule presque! aussi grouillante que ofelle qui assiégeâtes guichets, du Part anutuel un jour, de j)er4 by à Chantilly, Les ^concurrents de .1^ course au Conseil accompagnés de ileùr^ secrétaires-entraîneurs serrent des niains amies ou des mains d'adversaires paH lenti palabrent, discutent, cherchent des voix Et le Palais, en ces jours'd'électionj offre un-aspect bien pittoresque. II y a vingt-quatre places au Conseil de l'ordre. Certains membres, les anciens bâ- tonniers, ou ceux qui n'ont pas siégé pe'n^ dant deux années, sont rééligibles et rééjus par tradition. Cette àfttiée il y a huit pla- ces vacantes 'M" Raymond Poincaré- Vaunois, Poultier, Arrijghi, Hild, Rodanet, Flageul, Cauchy, ont -donc demandé, qu'on ne votât point pour eux. Jamais, »\\ premier tour, on ne vit votants aussi nOmt breùx ils' étaient 1,004. Su? seize rëélii

gibles. quatorze. memhrt?&,6n't''Été réétrts^

.Ce..sdpt.les ftAtohniers tfenri-K&bert (775 "Voix) ^-iMennessoH' (764)r:»Çh¥ftu i'Kw!)

;RaoulitRou^et?!(ja&7), îAubini}1^(ê4ï'),' Foù'r

;Raoul~'R.ouws€.t'!(M&7),:AuMni~(Ml'),'F.otïr

cadfe- (568)7 Alb'ért Salle (564) puis-" M'\

Carpentier (650), Fraysse (538), Pôthîèd (521), Radot (517), Drucker (508), Qhrçs' teil '(508.). Venaient ensuite, »:en ballôtage] Tailtefer (165),Millerabd 458), Ils on{ été réélus au second tour. M" Taiiïefeij avec 487 voix: et- M* MMlerand avec 450i Mais cette fois, les volants étaient moins nombreux ils n'étaient" plus que 884 ils semblent même diminuer à chaque tour. Venaient ensuite Me<" Dorville, Landowski, Jallu, I?iouart, Jacques Charpentier, Levisalles, de" Morô-Giafferi» Philjpporti Campinchi, Larran, Doublet; ̃̃•̃ i On continuera aujourd'hui et jours sui« vants. -Georges Çlaretie.

.•- -<-<v>>- .̃̃? j l

Pour le « Foyer te Infirmières >i

^i.< i,

Quatrième liste de Souscription •(

Vicomte Emmanuel d'If itcoiM,.Vr. lôiûDO Û Mme Emile Halphen. 5100O' » M. d'Athetze 50 » Vicomte Ernest de La Tour. ,iH 1Ô0 » sMnie Adolphe Friedmann ;>, 1.G80 »

.Comtesse de Salignac-Fénelon. 1.00a"- »

Baronne Hottinguer.. i l.'QpiKy j. M. Michel Lazard ,[,i.J^s ,5.000 s. '̃to. et Mme1 Jacques Foùw. 5.000-

Mme Georges Menier, .«.. 5.000 4

'm. Godiiwjt. J:\i ,'W:»rv: ;Jr.. :?“ ̃ 2.500 i 'fflletfavey (infirmière S. B. M.). J 10.000 I

liaison- Hachette .••' '1.00Ô'! •̃

M. Worms. 1.00Ô Banque de .Syrie, i^ 690 » Mme Whitney-Hoff.. 1,000 » Maison Kellner. "T" '600 i^ Maison Janesich t 500 s>

Maison Boucheron, i Vi;V'ii..J.« 250 »

Maison Boucheron. < .V~OJ .2~0

Maison Doucet, .i,w 100 s Maison Chaumet. ,'i.}1.- » 10Q-À » Mme Foy. V.1. 10Ù' » Anonyme. 50 s Maison Mayoly. 50 s Maison Cartier.s: g'fl'o' » Quête faite au' pavillon d'Armenon-

ville par Mme Van Cleef et Mlle

Vincent. 4.383,60 M. Georges Lévy et Cie 3.000 m Maison Devilda.̃: 2.000 » Quête' faite au Fouquet's. 548 85 La Cote Auxiliaire. 1.000 » M. Lanz. V. 1.000 » M. Paul Goldschmidt.». 1,000 » M. Hugues Citroen 200 » M, A.' Liiidon. 200 » Parfumerie Bourgeois. 2.000 » Maison .Sàuerbach. :.l' 200 » Anonyme.̃?;• 500 » Maison Habib 500 » M. Mirabaud 100 » ̃M. et Mme Vuilleret1. 100 » Général Joussen. .4 20 > M. Richer .•, 25 j> Anonyme de Gisors. !> j> Marquise de ChaSBeloup-taubat.i. 100'» t. M. Sanchplle-Henïifux.. 500 » Cie d'Assurances « Le Nord s. 0' 4.000 » M. Pannier, dti'ectcur de la Com- pagnie « Le Nord » 1,000 i MM. R. Gaston-Dxeyfus et Cie. 200 ̃>

Jf.'RaôUl PéHetjùëî1, ̃̃• 0 ̃300»: J

Commandant Toussaint. ,= 100 J

Commandant 1.ouS5a111t. 100 »

• M. Pierre Meugniot: .•• 100 » M: Le Rèna'rd-Ransoh v 50 » M. Boudet.. 20 » M. Gaston Pereire. 1Ô0 » Mme Laguionie. ` 1.000 » Maison Olida. 1.000 » Anonyme. 250 »

Mme de Olazabal 50 s

Mme de r!,r,· 50 z

Total. :J: ",Fr, ,26,807 45

Total. Fr, 7.6.897 45

Listes précédentes.Fr. 365.225 » Total /général. Fr. 442,122 ,45

Toute demande dt changement d'adresse doit être accompagnée de la sommé <ie un txanç(ciûquàirte en iihi± très-poste, pour coubtlr une partie des frais de renouvellement de la bande;

Académie des Inscriptions

i|.«èmiîe Mlâe a, reçu, hier," en spmee, de

M.1SIlomonî*êiiï«cb', président l'Acadé-

mie des inscriptions; tes plus chaleureuses i'éUc.itaUpos dfi,to,a«'Ses:,cpi\fr:èr.e.s,.deI cette Çomp'âgrife; r l'occasion ̃ de son élection ^pay- 1^fi mie TgPijnçaise. Il a, di.i en re merciant combien i\ était sensible a cette petite manifestation si amicale.

L'Acadéïnie'â à^réê l'hommage d'un très b(&ù! liVré' que M'.a offert, an nom de J'aiïteiir, 'M. Ch. V. Langlois r l'Afrique 'sâtfdriëniie et' .soudàifatee: Ce.qiïén ont lconnù tetl nticiéiis, par M. André Berthel'ot.Elle a fait le même accueil à uiï grand ouvrage du prince Youssouf' Kamal Mo'WjLiîienls cartogMpIiiques de TAfrique et "de l'Egypte,' donl ïe tome I lui a été présçnté par M. René ;Çûgnat, secrétaire per'wétiiel. '•̃'̃;̃̃' *r; ^̃̃̃' ̃- .-•̃'̃; .••" l'(;;M.3l"hjé.>,dctfe*îieinach a:,lû un mémoire;

sur les variations' du rapport de vàlëur'fen»

'tre l'or et l'argent' dansj lé' monriayiage: tle

lÎVEg^|lfcvi)%lëemaïqùé\ ;'€e' rapport; fixé

d'abord à 10, comme dans le' système b"iInfetallique d'Alexandre; ^élèveisuccessive* mentà 42 vers l'an ^300 et à 12 1/2 vers '̃î'an -250. En>réalité,' puisque- dans. le commerce I'ôp faisait prinid,- la îfelation effective S'élevait* à < 13 1/2, "Comme dans l'anciftn monnayage des Achéménides. Le rapport officiel 12 1/>1° fut adopté pour la monnaie romainejpar Auguste après l'an. nexion de l'Egypte..

Communication de M. Franz Cumont sur les colonies de marchands syriens, établis à l'époque romaine, dans le midi de l'Espagne des ancres retirées des eaux du cap Palos, une inscription de Malaga, une ;dédi.çà'Çè' gfecqué'à' Çordoue, jalonnent la 'route' 'q'u'g ,.c"és négociants orientaux ont );uiY,içJjHsg<ijl.'aJiJ^].c^pitale de la province de

Béti.qHe.)!; ôïdmôo. ̃ ̃ ̃̃̃

La deuxième tombe de ̃ Glozel a été ou-i verte-enjiprésence de M. Espérandieu qui estime néolithiques tous les objets qu'on y .a a trouvés.. <• M. Camille- Jullian, interrogé par nous, -•& déclaré de nouveau qu'il ne s'est jamais occupé dans cette affaire que des choses .eutheaUques. lesquelles appartiennent à un, gisemÈnt magique dftJ'époque romaine,,

Ch. Dauzats.

̃̃̃'̃ -:i;- ,:̃̃'•¥*̃>̃ "'i:f'j J

Les étudiants américains en France ,?.<i ai K»sq auniîfîdS nr. n nouËifs.u'- ,jî P^îis.te^gliioadrej(ki eanole doJa >Renàfe| ;^ance seibéBjiy5a4eiB.tiliiet sèâf'leà'protesj i*eurs,tlppjftf(u#gnl$nW lesîWhfef.derJa Sscj tion étrangère du groupe de l'Ultww^itéj jD/elaware, f^n^lé,}} y «, quatre ans, 'grsca ]^.géhér.Asj.|é(4e eet.'excellent ami' -do Ja France, M. Pierre Samuel Dupoat1 de'-Ne-j mOurS. > i Sous la direction du, professeur -Rfiy-! mond Kirhbride, des jeune? gens et des jeunes filles américaines d'une vingtajnd .jd'lJnjyersités des -Etats-Unis,ils sonii en cours d'études,^ sont ,venus passer une

;,£Uinée à Paris, demeurant dans tes fantilleS

françaises, suivant les cours dq nos gvanj des institutioAs, .visitant toute «; la Belle France ;>ai$]jSi que, ;nos amis étrangers sp .̃ylaiseiit A dénflpimer notre pays, Les iirésùltgts intellectuels furent élo« .;çiuemnie;ijt ftQÛli^nés par le dévoué et sym-l iPathîqijç yd4r^Çteiir du groupe et les résul- ,-tiats' moraujt, pçut-on dire, furent précisés par M. Cestre, professeur de Civilisation; ̃.américaine., là.laj'Sorbonne, qui salua en ces étudiants, sur. Je- point de quitter la -France, les jeunes, frères et soeurs de Lind-; fbergh, eu^ .aussi, ambassadeurs à ieui) ïsçon. -̃•̃ On entendit efleore M. IJnderhill, pr,o£esi i.seur à rUniversMé. de Minnesota, et fondateur do ces- groupes d'après-guerre, les détachements 4e§. mobilisés américains, dans r,os.l^ni(V'.cr3itési.,MmG^S4ignia«;Lui^ déléguée l'Accueil jiu létudrants aesj

•!Ëtàtà-Urtisj{-qiiî'i'e^ût' |rfè '.rVm&fé 'ëutïiou^

^àste,aO^HanpîrB:^W§ùJem Jjiraé'man-! «asa'cougtbqration pour l'édiflcafion de la .Maison américaine de la Cité universitaire; 'Je'Dr Kraus, directeur de l'Union des Uni. •yersités améncàin'Sl'Mhie B. de Jouvehel, secrétaire géhëraîé de la Bienvenue française, et les processeurs du groupe Deîawaré, paniiï lesquels le bon écrivain Char- les pelvért, du Lycée Jansori-de-Sailly. Fête de i'amiti'e, fête dé lg joyeuse jeu^ nesse, telle fut cette réunion franco-amé- ricaineV

""̃V-1.V'!(|" :T B,Clévenot.

Une ntitôi&sfation française à Rome

Mardi defl(iet*a eu lieu dans lès salons «du palais Fa(rnèse, la distribution des iprîx du Lycée Chateaubriand, sous la présidence de M. René Besnard, àmbasasadéui* de France à "Rome.

t>£ -M, Henri Rebois, professeur au Lycée Français, a traité le sujet suivant « L'art et la vie » et a fait ressortir les avantage? esthétiques qu'il y a'à tirer 'd'un séjour un peu prolongé à Rome, équivalant d'une (,« seeorçd.&-3édufiaHftn<;»,. ̃: pans ssLprsp^hfs, ,,M'<;René Besnard. à esquissé une interprétation, philpsopbil >nue de teiKie;. et, insisté ,sawlia iiécejssite de rlwealîîdsas f.JlwtistenfiB' (huniaine. Ib ̃ jj rendu hommage a«x iprofésseûrs l'Uni4 iSersité détachBSià.iRdme et aux Confèrent iiCes annueJlBSK'quitsont suivies par unç pui blic de plus'en plus nombreux. •̃ ̃ Plusieurs ambassadeurs et ministres, de nombreuses notabilités italiennes de l'art et des lettres, et toute la colonie fran- çaise assistaient à la séance qui fut très Jbrillante.

<> '•.?!>-•̃̃̃ -.•ta>^»>.

Ç^L «T T-uGL £ M.IJerriôïl* ministre. de l'Instruction I»ublique,,a,,ïnauguré, hier matin, le musée ,de la;;yoitu'r& installé au palais de Compiègnei îi.?étai#:accompagné par M, Paul- Léon, directew^des beaux-arts.

i. 'é* Comm-e, les années précédentes, l'Association France-Grande-Bretagne organise du 15 au 30 juillet, une « Quinzaine de langue anglaise à Paris. S'adresser au secrétariat de l'Association, 1, rue d'Astorg. (S* Le général Mariaux, gouverneur des Invalides, remettra dimanche, à 5 h. 30 du soir, à l'Arc, de triomphe, le drapeau à la Fédération nationale des mutilés des yeux de France et des colonies.

iM Le Journée Officiel publie ce matin ula> liste d/adniissibHité'"des" candidats" â l'Ecole spéciale militaire et ayant subi les épreuves écrites à Paris, à yetsailles, à Lille et à Rouen. '.• '*̃*£̃-£* qP.Pgrès, d,e 1,'U^pn natJQnal,e,_des. cptticiers de.reserve aura lieu a Strasbourg ,,du 23 au 26. juillet.

«^ Par les soins déjà Société des Fovers ;U. F. A. et de la S. S. B. M., (J.00 jeunes (Soldats des garnisons de Paris,' vont visiter, dimanche, les champs de bataille de ,-iYerdun.

L'Association de la critique littéraire a ainsi constitué son comité pour 1927: président Gaston Rageot; vice-présidents: Antoine Albalat, Auguste Bailly.

J* Le .nouveau comité de la Société des orateurs et conférenciers est ainsi constitue = prient. M. André Rivoire; vice- Iirésiflents^.lvriVl. Martineau, Gaston Râ- geot, André Tajllefer, Paul Olagnier.. ̃£ Une expositionvtnationale du travail ,.iiUi-a lieu au Grand Palais, du 15 décembre eau 8 janvier, en vue de désigner lesmeilïeurs -ouvriers- deiFraifce pour le vêtement. t.

LE MOfiDfc ET LA VII4.fi

Jf"

A~ r' ~tr. ;~4 f.

M. :G*Ston Doumerguer président de la République, a reçu hier àpxes-midi Me Guillaumin, le nouveau bâtonnier ^jrdrp des avocatg de la Cour d'appel de P.a%ri$..

̃.̃̃̃' -• ̃"̃̃•"̃"Vj- .r.-

DANS LES AMBASSADES t i~

i J. ̃ i'p^-j, J'1 "|

S. Exe. M. Alexandre Moore, ancien am- bassadeur des Etats-Unis en Espagne, fait un Séjour1 à- Paris; ̃• :-̃••̃••«̃̃ ̃?̃••«: S.:<Exç;,le-«»nistre. de.0Llbéria:et la ba. ronne Lehmahn ont- donné hier un grand dîner en l'honneur .du Président de I<ibçria et de Mme Ring. .j u/,?ju-< i'f, ,îtwi '?; Parmi' 'les;invités: :•̃• '.̃ > '̃' "S. ,Exc.|'ê iiopce apostolique, la. 4uèhçgse ̃Â')ltk, \W Morfenwrt, §;! PXt. de p'eâ'Uïttarthïiis, ^dir'ertetir pçlftiifue atf rtihls-;1ère des affaires étrAiigèreS'i.'M, Jul& Michel,1

sewttejreiigén^l,- dp .4& ,i,prçsyençB: dgj la

République, et Mme Jules Michel^ le e dg; pefe 14 dé la Seine.et Mme Boûju, le général Ber- dpulat,' le préfet dé police et Mme Ghiàppe, S. Exe. M. Becq de Fouquières, introducteur des ambassadeurs, Mme Becq de Fouquièrés, Mlle Becq de Fouquières, Mme Ketter; M'gr Valério Valeri, la comtesse de .Sainte-Aldegqnde, le colonel IJlwpod Davis. >.

groupe des conseillers et attachés commerciaux étrangers en France a offert mer- credi un déje.ûner en l'honneur de M. Bonne,ton Crappnne, .récemment nommé directeur de l'Office national du commerce extérieur. A la fin du déjeuner, M. Guimaraes a porté un toast à la santé dé M. Bonnefon Crapbnne, qui a répondu, remerciant et exprimant le' désir de se tenir en contact très .suivf avec. les représentants commerciaux des nations étrangères,

RENSEIGNEMENTS MONDAINS

Venant de Madrid par le Sud-Express, S. M. la reine Marie-Christine arrivera aujourd'hui samedi à Saint-Séb^stiea, au palais de, Miramar, où elle sera rejointe, vers Je mijieu du mois, par S.. M. la reine Victoria, par JJLi. AA. RR. les infants et les infantes. L,e rajah de Pudukota est, arrivé à Paris. o# Le duc, et la duchesse ;4e,.Poudeâuvi|le

^installent au châteaftt'rdfe-BeJfihét^jlfeî'ip r\i.i )

1 pYinstllU!Jnt au r ~i t ~n 7 '¡f< ,)'0

~ê'mWquïs'e ''C~ a~~aH~~an~er;

ùné;;tr,ès.|o% /âtêf^tfe|ft^«IÏMffiBJ Roseau- Véainet ;V' f' 'La.'>.ra.aîtres"se..4e Ja maison, avaitï; revêtu le C96tu!ne;de ~agUostro, etjes eostumes de Ja plupart ejes invités étaient en hMffionj^ avec j'époqye çb9i§i& ̃̃•̃

'Reconnu J "V''1 -:•' '"̃̃^

Lady Crewe, S. Esc. l'ambassadeur d'Italiq et la comtesse Manzoni, princesse Amédée du Broglie, duchesse d'Arènberg, née Ligne, du* chesse de Gramont, née Rusppli, princesse P. d'Arènberg, inarxjujs et niarquise de Jan- court, marquise de Lubersac, princesse Jac- ques de Broglie, duc et duchesse de Sangro, princesse Guy .dé Fauclgny^Lucinge, prince et princesse Robert j|ç Broglie, Jjaron et ba- ronne Robert de Rothschild, comte et com,tesse de Bpis.rpuvray,- comtesse M,-Th. dn Bourg de Bpzas, -comte et comtesse de Lyrot, fearpnne R. d'Erlanger, comtesse Blanche dq jClermont-Touperre, marquis et marquise de, Polignac, hqn. Mrs Reginuld Fellpws, comte et comtesse Etienne de Beaumont, vicomte et vicomtesse Henri de Janzé, comte et comtesse Jean de Ségonzac, comtesse Thérèsq d'Hunolstein, vicomte et vicomtesse Obert dq Thieusies, M. et Mme Maurice de Wendel. 1. S. A. Je prince Jiaram de Kapurthala; S. A, l'agha Iiban, prince. Dorifl. ponite Aripand de La Rochefoucauld, comte Gabriel de Gramont, cpmte Çhiassi, M. des Crances, prince

fric de Bibglie, cpmte 'Orlpwsîsi, comte Guy

Eri,.c de,' )~j;ORI. if!, comte 'Orlowsl}i,.cQIn, tcG. uy

ù'10i5\ii;èi'de»'BÔi!fà%ët>iBté' ip?«*'<^|i!èj-(

Vignal, M. André de Fpuqutèresjiïet«R4ims''D

:r. ..1-"

9'ËJ~ VifQ~~ç~F¡;rnl\Wi~"fj\Y~¡IDprrÇY!¡\

fle -B^gnac itidonne ayant-H|er..un g&Brteï a 1 sccasion des fiançailles de sa fiJJe avec le vicomte de Moucheron..

Oh nous écrit de puisse que S, A. S. le prince de M°nac0" vient de conférer là croix d'officier de- l'ordre' de Saint-Charles au doc,teur Henry Rémond, rdto-rhino-Iàryngologigte réputé de Fribourg.

Lé^.aviàteurs ̃ Châm'béfKS'. etiUvine-sont-

descendu^ h 4'.h,§tel Ambassador, ( I^a comtesse Giansantj vjënt de donner un grand et él.égant déjeuner en. l'honneur de S. A. R. l'infante Euîape d'Espagne et de S. Esc. ramba?saçjeu'r d'Italie, et de.ïa cojntesse

Manzoni.

BIENFAISANCE

La vente organisée par Mme Georges Leygues au profit de la Ligue, Hatiopalç, contre le taudis et pour l'édification de la. cité- jardin d'Orly, se poursuivra aujourd'hui dans les sa- lons du ministère de marine: '•;

cercles '̃•• ̃̃̃̃ ̃ Xv-'j.pv» ,?

,W~ ';è~, i~o.

litiques, sur le rapport da. M- ,MilIerand, vient dlélire l'hon. Rodolpbév>l«ni«B«îoP'î.é«dftnt da la Cliambredes communes du Canada, membre de- l'Institut.' Le Comité France-Amérique offrira en son honneur et en l'honneur de Mme Rodolphe Lemiéux, le' 5 juillet, un dîner qui aura- lieu à l'hôtel des ..Nations américaines) dont ce sera t'inauguration.

L'assemblée générale .'du Cercle,. -d'escrime d'Anjou a eu lieu Je- 22- juin. Ont été élus membres du Comité

MM. le docteur Aùmont, R. Bamberger, prince de Beauvau-Craon, MM. J. F. D. Bow.den, Bruneau de.Laborie, G. Bureau, W. de Constantinovitch, A. Hignette, R. Lacroix, comte G. de La Rochefoucauld, docteur Liouville. marquis de Mailly-Nesle, MM. J. Potin, M. Rives, C. Cainpinchi, comte A. de Fels, docteur M. Lambert, M. R. Oppenheim, comte Ch. de Saint-Léon, M. G. Sellier, comte J. de Valon, M. D, Weill.

Le Comité a, par acclamation, exprimé ses sentiments de fidèle attachement à M. le marquis de Dion, président démissionnaire, et l'a nommé président d'honneur.

Il a ensuite élu son bureau, qui se trouve ainsi composé .-••.̃ •; Président •: (comte Jde Gramont-Lesparre. 1 "ice-TJTésHiEnts comte R. de Quelen et M.- E. Higgins.

'Secrétaire'?, duc ̃dé-'Vallonibïosa 'eit-Mt-P,

'^k, ̃̃> ;_i' .:•̃̃

StÂR'ÎAtES ~U" ̃ ""iv| ,? ̃'

Hier a été béhi, en l'église Saint-Jacques du, Haut-Pas, le mariage de Mlle Jeanne Bi. gourdan, fille de M. G. Bigourdan, membre de l'Institut,' et de madame née Mouchez, avec M. Jean Diez, docteur en droit, fils' du général P. Diez et de madame née Vannesson. Les témoins étaient, pour la mariée, l'amiral Arago et Mme Edouard Càlmette,. et pour te marié, le, général Npllet et M" "Xarieaw.

l,

DEUIL

Nous apprenons la mort de M. Gustave Schelle, membre de l'Institut, directeur hono. rairè au ministère des travaux publics, commandeur de la. Légion d'honneur, décédé à l'âge -de. quatre-vingt-deux- ans. M; -Schelle- faisait partie de l'Académie des

jStiences morales et politiques, où iJ'^vàit.SUC-* cédé en 191 à M. Stourm dans la section d'économie politique.

Les obsèques de la comtesse \de Quincey, née Benoist d'Azy, ont eu lieu hier en l'église Saint-François-Xavier.. ',< .^Xl: La levée du corps a été faite par le <3É-* noine Pierret, curé de la paroisse, qui, a également donné l'absoute. ':̃• Le deuil était représenté par le comte Pierre des .IjFjétumîèrès §t,'le comte. René des Nétumières, gendres de la défunte M, Jean des Nétumière's, son petit-fils^ et le comte Benojst d'Azy, son frère. r le co~nt ̃

Dp côté des dames, par la comtesse Pierre des Nét^'mières et "la comtesie René des Néhi.mièr^sfes filles Mlles '.dd'eUe, Fpnççise, Aniîe ,et, Yvonne 4e,s'IiJ§tumiaresi Mlles jacqueline,: llëlèneiiet Monique des Nétumières, ..ses iipetites-iilles la comtesse ̃Romée,- de uVilleaeuxe Ësctapon, sa sceur, et. la>; comtesse Bçnoist d'Azy, sa belle-sœur. Av.-f. Reeonnu;: ̃'̃<̃̃& '̃̃ ̃'̃*<̃ '"̃ ito*1» '•• ̃

̃" ̃̃ '• ̃. ̃ ,ù:i ';̃:• :!̃ .a :̃̃ •rr-

Duchesse de La RochefoupaulA douairière, duc et duchesse de. La Rochefpuqauld, duc et duchesse de Là Force, duchesse de R'nhan, marquis et marquise de La' Rochelambéft, général et Mme Morgon, comtesse de'Ludré, marquis et marquise d'Audiffret-Pasquier, marquis et marquise de Louvencourt, comte et comtesse de Sainte-Suzanne, comtesse; M. de Levis-Mirepoix, comte et comtesse Philippe d'Harcourt, Mme Legrand, née' Fournés, comté et comtesse H. de Loisne, ̃ marqûlge de Clapiers-Collongues, général Blacque-Pelair, comte et comtesse de Labritfe, marquée de Castellane, duchesse de Plaisance, née Haussonville, duchesse de Reggio,' général Détroyat, comte et comtesse F. de Salver^e, colonel Gillois, M. et Mme Aubry-Vitet, vicomtesse Rœderer, comte et comtesse À. de Goulaine, vicomte et vicomtesse Benpisfc d'Azy; baronne Benoist d'Azy, général baron et baronne de l'Espée, vicomte de Villiepsi vicomte de Riancey, Marquise de Bouille douairière comte £Ê comtesse de Caumont La Force, comte et comtesse Dadvisard, marquis et marquise de Bonardi, vicomte et vicomtesse d'Estaintqt, comtesse M. de Villeneuve-Bargemon, ppinje et comtesse de Lévis-Mirepoix, prince et princesse Gérôme Murât, cpmte et comtesse Théodore de Goulaine, marquis et marquise de Vibraye, comtesse de Clermbnt-Tpnnerre, çprnté et comtesse Louis de Preu3j-Bré.?é, comte et comtesse d'Hunolstelii, marquise d'Hughes, comte et comtesse de Sars-le-Comte, i«HHaè"Glftrîé¥Jd3EBroglie, Mme Henri Cophin, Mme Guynemer, marquis et, mârqtiîso :dè K^chempnteix, marquis et marquise de Bpis-

gelin, amiral et Mnie Borel de Brétizel, cpmt,g

~i 4~nt~esylGO~tfi~'de BiaFtt~ maM)utsn!c)Ca?'-

tèlla-nei hïarquiS de 'Màtlian, coWte ̃ 'Mn ÇasteJlajie, pomte et, comtesse d-Astovg, «onitesse P. de Rdûgé, Mlle de Verges d'Aiilîay, vicomte G, de La Barre de Nanteuil, etc, X l'inhumation a eu lieu au cimetière ti Mçntparnasse, dans la sépulture de la famine, Hier ont été célébrées, en l'église Sajrtft Pierre de Çhaillot, les obsèques du b&ron

Vienne. ̃

Le deuil était conduit par le baron Robert' de Varenne, frère du défunt, le duc.de "M^fà: et le comte Gaston de Massa, ses cousins, §e,r-i mains M. Jacques Hennessy, J'amiral baron Mercier de Lostende, le baron Robert de Lçstende, le marquis de Massait MM. Philippe; Henri de Massa, ses cousins. Du côté des dames, par la marquise de Mâa* sa, sa cousine germaine Ja duchesse de Mas|| et la, barpnne de Lostende, pe$ cousines. L'inhumation a eu lieu dans ja. sépulturei de famille, au cimetière du Père-^achaise, ,J Lord Omnmore and Propne, pair 'd'Irlande et pair du Royaunie-llni, qui avait été,' blessé grièvement, le 7 juin, dans un' accident d'automobile au cours 4uqweJ..sa femme a,v8ifc otïaûvé':la,.mottr:i tuccopabé Bier^après-midi.

tn ~tpH~ànf,bffcë; ae"l~fo'~g ~jièjiîY` fâv 1

~'dè' M:}\'û~us't'ê t r .v Ált

':de' ~usïà r oc 5 ~'à w~~âingtoil,

ambassadeur du Brésil à Washin|ton,

On annonce h mort de Mme veuve Clovis Amelin, décédée 31, rue du Géiiérali Foy. Les obsèques auront lieu lundi 4 cou.rant, à dix heures, en l'église Saint-Augustin. Réunion à l'église. De la part des familles Léon Gueugnier, Alphonse Demis/ Albert Ame- lin. Ni fleurs, ni couronnes. Le présent avis tient lieu d'invitation. Comme il n'a pas été envoyé d'invitation", nous rappelons que c'est aujourd'hui samedi, à midi, que seront célébrées, en l'église SaintSulpice, les obsèques de M, Paul Buffet, àdmi? nistrateur du Crédit Industriel et Commercial^ fils de l'ancien ministre et pré^i^ent' «Je ~VAs*

.semblée Nationale. ̃̃•-

Serigny,

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LA SAISON

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PB LUCffQN

La fin. de juin a été marquée, dans la Reine des Pyrénées,, par diverses manifestations touristiques et mondaines, qui montrent combien ce début de saison est animé. Le fête si pittoresque du Brandon Pyrénéen, qu'au soir, de la Saint-Jean le clergé vient allumer en grande pompe, avait attii\i tous les villégiaturants sur les quinconces, et l'arbre en fla.mme,s. déversait des myriades d'étincelles sur J'étabUsseraent -thermal; donnant à l'œuvre architecturale, si belle dans sa pureté classique, de Chambert, une allure ̃féerique, .tandi^ que ^ççpns ,et nJtettés," eh Jeurs costumes ̃locaux, font tournoyer; sur leur tête les brandons' enflammés. .|iê^tfBriieHse,<jui,?e,pe.rpgtae,4spMis.des;iëcles, ^wee toujours le même attrait pour, qui ne la connaît points, voire pour lès habitués.' Les excursions renouvelées des Automobile et Motocycle Clubs de Barcelone donnent lieu à des festivals de musique espagnole, où la baguette magique du maître Cahuzac' semble donner les couleurs ibériques, à son orchestre. Superbagnères a depuis longtemps ouvert ses portes, et du superbe belvédère, la vue est magnifique, en ces longues journées de juin, sur les sommets pyrénéens. Noté dans les récentes arrivées duchesse de Manchester, M. et ?"me Plaisance, M.pt Mme Assher, M. et Mme Touny, M. et'jktme Lejeune, lady Stanley, M. et Mme Lejeune, Mme Sainz et sa famille, M. et Mme I^ïr, baron de Montesquieu, M. et Mme SêymQUr, l'intendant général et MmeSavy, M. et Mme Henri de Gorsse, M. Rudinewski, etc.


ÙÈRNTÈRÊMURE

i/H 0, nE uKt

La Belgique élève

un monument à nos soldats 'ê,' tombés sur son sol

ÎI sera inauguré le 17 juillet, dans la ville de Laeken

.Bruxelles, 1" juillet. -r-L'e dimanche Î7- juillet,. à, 16 heures, aura lieu à Laeken, en présence :.d$; Roi et de M. PoinCaré, Pînauguratibri 'du prestigieux îrjonuttient t

dû: au ciseau dtr sculpteur Mathiei} Des-j

dU" au ciseau ,dU5cn1pt~ur':Mathleq'Des-

mare, et dans ~lé4nél.~ aura ~t6:ln4Ul11é':llc'

ooEpsiiî'ùnQSoldafcfEaiicais inconnu, tombé!

sun-lê"salj}elge> au^cours delà guerre. 1914-j

1918: "I

Le monument, dont la base a près/de 6 mètres de large, est haut de 11 m'26. LVnorme- niasse de pierre constituant l'assise 'comporte quatre faces.' Celle d'avant représenté fraternisation franco-belge et est surmontée d'un bjoc où est burinée l'inscription « Ici repose un soldat fran.çais'.inconnu tombé- sur le sol belge. 1-914-' 1-918». A droite, une allégorie de la France en deuil. A gauche, l'hommage du peuple belge. Derrière, l'entrée du caveau gardée pat-deux poilus hauts de 2 m. 20. Le sommet du monument est constitué par un. .sarcophage. porté par,quatre soldats.belges. IL a. été; décidé que le corps du soldat inconnu serait pris dans le cimetière de Saint-Charles-lez-Potijze, situé à deux kilomètres àl'est'd'Ypres, sur la grand'route de cette ville à Passchendàelé. ,Là. reposent de! nombreux Français tombés au cours de ̃la bataille de l'Yser (octobre-novembre :i<)14) et dont l'identification n'a pu 'être'

faite. ̃

L'exhumation aura lieu au cours de la journée' du 13 juollet, en présence. d'un of'i|cier. français du service des sépultures, •de .représentants de la ville d'Ypres et de. -l'œuvre belge '« Nos tombes », ainsi que :de délégués1 de groupements d'anciens' combattants. '̃̃ Le corps sera transporté dans une çhéde. l'arme^ françaiserj:, h l, .^uiùiviuù s.uM

.le- 1,a,rnlce,.franç-aISC'i;,LL ,JI"'Jl'~¡¡D MuZ j

'°- ,a" :>-lÏ'!

ïa ^mission des Manda(r|fe;fa Si, SI N. } examine le rapport français sur la Syrie

--·

t Genève, 1" juillet. La commission dea mandats de'la S.D.N. a commencé 4tiér l'examen du rapport du gouvernement ÏFaAÇais sur l'administration, en 1926, de, la Syrie et du Liban.

La France avait délégué, pour prendre part à la discussion de ce rapport, M. Robert de'Caix, ancien secrétaire général du ̃ haut commissariat de la République française pour la Syrie et le Liban.

En réponse aux questions posées par divers membres de la commission, M. de "Caix a exposé la-situation de la Syrie au point de vue militaire. Il a .déclaré, que l'insurrection du Djebel Druse pouvait, être considérée comme terminée, l'ordre étant complètement rétabli.

M. Caix a déclaré ensuite que l'élabo-: ration d'un statut organique des territoires souSj mandat a été retardée par suite du désir de la puissance mandataire d'obte1 nir la collaboration du pouvoir indigène. L'Allemagne siégera-t-elle à la- Commission? ̃ -La Commission des mandats a précédé à,un .échange: de îvAies sur laldemaridè.faite| ^par. le Consey..dtftvCbonfler., spn^vjsiSUf lai ̃"quéstibii raugriientatiori 4u,.n.ombre d.esi É

mëjnbrés de la Çompiission, J en vue de;

l'adjonction 'd'un Allemand.

Finaleanent, la commission a décidé .d'éme,ttre un avis favorable à la nomination d'un membre allemand.

-r~m.

tes armements aériens des Etats-Unis

'l'

Lonjpbes, i" juillet.. On mande de New-Ï'ork aux journaux que M. Davidsori, sous-se«;rétaire d'Etat à la guerre, a déclaré qwe les Etats-Unis avaient l'intention d'inscrire à leur programme aérien, pour les cinq années à venir, une somme de 21;891,000 dollars pour les besoins de l'âérbnàuti.que militaire américaine.

Après avoir fait l'éloge des succès obtenus par l'aviation américaine et fait remarquer yue le vol exécuté par les lieutenants Mairland et Hegenberger, de San ` Francisco à Honolulu, faisait partie du programme des raids aériens de l'armée américaine, M. Davidson ajouta que des commandes avaient déjà été faites pour 299 nouveaux avions, dont 135 avaient déjà" iété livrés.' Il déclara ensuite que le département de ̃f'aërôïiâutique espérait avoir, en 1932, "'1,650 ôifiôiers ̃ pilotés:, ~55Q ,6ffîCieT*sf aviaj' ^teurs de- réserve et'15,000I%ngàgès-vol<}nJ "L taires, avec un inatétî'eï tpm'pYèsiafif'iS w' avions de poursuite, 95~3Vions d'attaque; 'f 165 avions de bombardement, 59 avions de i transport, 420 avions d'oî)seryation,- 73 ap-* pareils amphibies, 479 appareils pour l'«n- .traînement des pilotes.. .• 1

L'OPINION DES AUTRES

L'Allemagne et la tyissie

M. WMdimir d'Ormesson analyse,, avec sa compétence parti.Culièrej ..dans TEMPS, les raisons qui peuvent inciter l'Allemagne, à ménager au moins momentanément la Russie rouge. Ce sont des .raiso.ns d'intérêt économique et diplomatique. S'ensuit-il que l'Allemand-ne comrend ou ne mesure pas le danger que le. I)olchévisme fait peser sur l'ordre social €t l'économie européenne? Si fait. Mais l'Allemagne ne redoute plus chez elle' le ravage de la doctrine soviétique. Elle raisonne donc avec un sang-froid particulier: Paur'ç'otidamner' l'esprit, les principes,. leS iriéthodes nioscoutaires, pas de divergences outce-Rhin. Bien^que l'Allemand -ae~ sôlt ïtetrt-! être pas aussi « capitaliste » (dans. le sens in, dividualiste de ce mot) que l'Anglais que le Fraoçais,- et qii'en 'matière économique1 et sociale il ait parfois, comme hier; Rathenàu,: des. conceptions très hardies/ la «, commué nàuté de la misère » par quoi s'illustre l'idéoiogiB-'Sovtéthjtteicie^pem -que" f aittr hausser "lés 'épaules d'Un Allemand. Mais .les courants-se partagent quand. il s'agit de Fecoinmander -les moyens propres à lutter contre les formes violentes du bolchevisme et à. faire évoluer la Russie vers un régime plus proche des nôtres; aLes uns voient le..remède dans, une politique de réserve, les autres dans une politique de compromission. Ces derniers sont probablement1 les plus nombreux. Pour eux, l'Aogleter-re a mal choisi soif moment. Le gouvernement soviétique, disent-ils, était en train de se transformer. La rupture des relations diplomatiques l'oblige à faire marche en arrière; Mieux vaut prendre les Soviets par le miel gue par le vinaigre. En les apprivoisant, en usant d'une large politique de crédit, on les enserre peu à peu dans un réseau ténu par lequel, tôt ou tard, on les tiendra. Les adversaires de cette conception font valoir, au- contraire, que cette tactique a fait ses preuves. N'est-ce pas la tactique même de Lloyd George ? Et cette politique n'a-t-elle. pas ménagé 5*àniers et retentissants déboires aux Anglais ? Ce qui tend à en montrer, en outre, la vanité,

~our. rédiiication,

Pour l'édification,

dans la Cité universitaire, r d'un collège anglais ,`

Lord Crëwe adresse un vibrant appel à ses concitoyens

Londres,' juillet; -j– Le marquis de; Crewe, ambassadeur à Paris, a pris la parole aujourd'hui à une.manifesiatibn.orga-; nisée jcn. vue de réunir des souscri.ptj.onsi '.pour1 ré^lification, dans, la cité liniversi-,

W& $ç; P,aj^{vd'tuj3j9oH^e. far^q^

•dont' la première pierre sera posée le1 •8 juillet <p;uç S. A.*R. 4e priocèMei Galles;; f I L'e plan.- a 'réaliser comportait YsfëqUi-*

s^t.ipn1. du. Collège' de la Guï|de, déjà1 ter-;

ïninë.'et lia construction. à"la.Ciïè Ûjii!vèr-

sitçdre,. d'un collège, destiné .àr recevo'ir- t^rois cents étudiants. ,̃. ̃ >.Le GolVègé de la. Guilde donne,: depuis des années,, l'enseignement -en français et en anglais.' Il continuera son, ceuvrë.. Une 1 bibliothèque. va être" adjointe", ainsi~qu'une salle et uh hall de-lecture. Les étudiants, «"ailleurs., ne seront pas- les seuls à-enprofdter.rrtàiis aussi tous ceux qui font des re- cherches scientifiques à: Paris.

s.i$ Dans notre; appel de janvier dernier, a. ajouté; lord" Cre^e, nous avons indiqué la somme de, 80.000 livres au, moins, comijie cprresppndant à nos. besoins. Mes informations ultérieures m'obligent a aug-

me~ter e'- cotisïdi'rableniènt >t cëtte sominè; si

ment considérablement cette somme;' si

l'œuvre- doit être menée à bonne fin. L'activité de,, la Guilde sera complète l'automne prochain. C'est donClau Collège de, la Cité Universitaire que_nqus devons nous consacrer maintenant. Les. frais de coijstraction se sont accrus considérablement' en; France c'oniihe" ailleurs et un 'édifice" convenable pour abriter trois1 cents :ëtu-, dïantsv'et le directeur de l'Institut .ne pourra guère être construit à^moins -der 120.000 livres, :».. ̃. k

Après avoir insisté sur l'effort financier

Arrès. aÿ?if 1 s t 1 l'effort financier

qu'il resté* accomplir, lord- Crewe a montré quelIclpriïfit'ffretiroEOtît'les Anglais:de cette ,JnsUJution ^qui-Jeur permeUra^ de

mieux Connaître Jaf^far^ce et 'lesf'ioFcer a

,m\,(ijl~o~oP.WP t;JtJ'" .ra~ciiç !lt,e '1,j91<e,

'ÏÏ'MÙW e^oritaWfVec'ïës^nïais.îi

IL a terminé en affirmanï-qùé le* 'Collège brïtâniiiqùe ne servirait 'pascaux: seuls Anglais, niais à tous les étudiants ̃des'1 Dominions 'etxolonies. qui. n'aturont pas, comme le Canada, leur maison à eux,, et en fai-f sant appel aux amis d'outre-mer « pour aider à la réalisation d'un projet qui aura une valeur pratique pour la jeunesse de l'Empire tout entier >;

« ̃ r-;

Y ïiï QUESTION MONETAIRE

Le voyage de M. Rist aux Etats-Unis

i–

̃ L'Agence Havas se dit autorisée déclarer que, contrairement aux informations publiées par une partie de- la' presse,- M.' Rist, sbus-gouverneiir de la Bànqile de France, n'a été chargé par gouvernement d'aupune ifnission. spéciale aux EtatsUnis.. ̃ !•̃ M. Rist, durant son -court séjour, n'aura la possibilité de converser >ni' avec la Trésorerie,- ni avec les banques privées. Il se bornera à examiner avec MM. Stroîig.'Norman et Schacht la situation générale au

point de vue monétaire et"les questions

P,Oi!1t de vije moii~ta, i, r,c' e, l,es. <I.\I,\lèSti,on, s

_in|éç«ss%iii$olP £»nfttionijçmBht|,de!siSiîP'Wes

•d'émissiian.>H>-i.. m. ̃» ..̃ .j iHfiyiV i

I¿YAViA,£tiWt~ÎYRïr'~Ã'aIS

L AViAtEtUK ttYKU A JrAKto

CAEN, 1" juillet. L'aviateur américain Byrd qui devait arriver à la gare Saint- Lazare à 23 h. 40, a manqué son train. Il a pris une automobile et arrivera sans doute, vers, deux heures du.matin.. `

̃ >V^>j-'

Les Championnats d'Angleterre de tennis, à Wimbledon

Mme Bordes et J; Borotra

ainsi que Mrs Mallery et W. T. Tilden sont battus en double mixte

LONDRES, 1er juillet. Malgré quelques ondées qui- ont' interrompu les parties, on a pu jouer aujourd'hui >:de nombreux doubles devant une assistance assez res- treinte. Résultats '̃̃ Championnat double^ Quarts de finale H. Cochet et :J. Brugnon b. J. C. Gregory ;et €«H..Kingsley, 8-6, 6-3, 3-6, 6-4; Championnat double mixte. Miss Betty Nuthall et_H._ W. Austin b. Mme" Bordes et Jean Borotra, 6-4, "9-7 miss E. Ryari et F. Hùnter b. Mrs Lambert-Chamtéi-s et A. Berger, 6-1, 8^6 von Kehrling et miss

'-Ele'éirf BënpjeU"!): "Mf^'Mallorf et >V. T.

Tilderii- 3-6,'r«4,- 6^ %ïj]:i. if> V}hmnptomim^d4uiiei(de dames. 3Mrs Peaco ck.( et iniss Heine b. miss E. Jïàrvey et Mrs-Mac Ilguhamj 6-2, 6-4 miss Heleii Wills et miss; E.. Ryan b. Mrs M. Watson et miss E. A. Goldsaçk, 6-2y 6-2. JL. y.

•«̃> «^B*»!*

ce sont, précisément, les répercussions profondes, inattendues, que le geste du gouvernement britannique a' provoquées chez les Soviets. Or, "sur. la réalité de ces répercussions, tous les Allemands sont d'accord. Et c'est bien ce qui trouble, ce qui agite,' ce qui" inquiète FAÏlemagne. Elle se sent à -un moment psychologique de saî politique continentale; Doit-elle rectifier son attitude -vis^à-vis de la Russie ? Dans quelle mesure ? Jusqu'à quel point- ? Quelles seraient les conséquences' à' prévoir ? Sachons-le. L'Allemagne estime' qu'elle a un grand, jôle ft.jpuer en Europe :.> c'est d'être le trait d'union entre l'est et L'ouest, l'honnête « courtier » de la Russie. Il serait' puéril de nous indigner de cette position que les choses ont elles-mêmes créée; Mais il est nécessaire de réfléchir froidement à l'attitude personnelle qu'elle nous dicte.

= Sur le -disepafs- d'Ôsïo La presse allemande célèbreije.^aractpre pacifique- 4ui discours- prononce àjQsJo par M." Stresemann: MaiV la GERMANIA, organe du centre catholique, interprète d'une iaçon'plùs nette cette manifestatipn^inat-, tendue. On dit volontiers en France, écri,t-elle, que pour, les Français, Loca.rnp et la paix constituent des buts, tandis que; pour les Allemands, Locarno et la. paix ne sont quel des moyens pour, obtenir certains -avantages. Lp discours de M. ^tresemann est de 'nâCurè a prouver que c'est' une erreur.

La feuille allemande croit pouvoir rapporter qu'ayant son, discours de' Lunéville, le président ïdu Conseil français avait fait savoïr:àu gouvernement'âllemandpar l'intermédiaire d'une « -personne influente », qu'avec lui aussi on pouvait suivre une politique de Locarno. Il ajoute En juin 1927, la Conférence des ambassadeurs., a solennellement proclamé que nous avions- exécuté loyalement toutes les condi- tions touchant le désarmement. Pendant ce temps; -la Fraiieé s'arme- jusqu'aux derits* et construit une formidable ejiceinteforiiliée; depuis la.gier du Nord jusqu'à ses frontières de

LA REFORME ELECTORALE DEVANT g CHAMBRE I

"̃' •̃̃'̃̃̃̃ ̃̃ •̃ ..̃̃•' t. i'y :• -À-

La question préalable est repoussie On conspue 1eS'dép|it»f.i'àm^^e»'>>l Les temps sont. î-ëyoru'^ëi.îl'lje'u^e, parait proche la .Gh.ambfèjdévra^pp'tér entre le

retour au scrutin d'arropdissemeiit é£ le

maintien du statu .qu^. Maïs l'hëuré'Às&Ille1 le vraiment proche'?. IJn seul fait est certain,! c'est que {e. débat conimençà hier. P,oùr)

la suite, on verra. ,.fj j

L^nfomateùr par'lenjpnfàïre du Figard a exposé hier, très gbmplètemerit, l'état d.e la question. Jl'enjré.sMÎte que le projet de la commission^ rétablissant le scrutin

i ifÀnomin.aJ avec augmentatif du jiqrabf

l,tIlknqI!.lÍl}~} a.ye,.c a,1Jg~IJ.<taH, ~fu.,r].\I,l..1Ó:W~re.

.des. députés ̃(6iO,au lieu, de a8$. subira1

jde.jte,rrible.s;as^au0 ses-'adyers»ires sont uécidég^ rà, ,épuiser tçù^çg les:,ressoHrçes de la procédure parjernéntaire.. ̃̃ •j/ iEitotriomphefa-tril -NuT ne:, saurait-l» dire:, En foui cas, la lutte sera ardente et •mouvementée.ij^con;; a -jpù sien Jcohsraincrel hier par les incidents qu'a^pr^voquéGj.laf simple apparition .dans- Fhénsicyle des .députés amphibiesyic0ux,.qui, élus sénateurs, conservent leur .siège f au Palais-Bourbon] :en vue d'aider., ;au succès de l'arrondisse-' ment. '.iav.

̃ ̃̃••.•:(.-• .x'^h^

Amsi que nous l'annoncions hier, la question pj-éalable est'd^àb'brd "iJoëéé par M. Constant VeHot. ^'J ̃̃ La, Chambre, diWI, compte Actuellement 584 membres et Je rapport de Tâ'çomiBissi'oh porte leur nombre à 611. Mes amis \ei moi nous nous refusons à discuter tout 'projet ^Ui'he compterait pas une réduction du nombre dei^députés. Snns pi'éjùger auouneinentS dUiiâiftde-lde scrutin, nous •réclamons avant tout- Hnat réduction ̃sensiWe. ia^iA Cette déclaration est accueillie; au centre et à droite, par. /des applaudissements auxquels ..répondent; -ai .gauche, des imur-i inuces prolongés;. ̃ ,iu 1.. 1 ̃< l.t- Sur1 -ces- entrefaites;n:deùx députés' aiu4 phibies font leur 'entrée :f MM. Dâlbï&fc et

Voillin.

*'•. Ç3!?^??1^ JJJaudrait bien^gue les sénateurs nous laissent' délibérer tranquilles.

ri ~pr~lù`W~'lÎ~liCt~R4~ïRénqteur~

L'agitation n"'eh'~gBîïtïnue pas moins, et sMtfiDaibiers denité ijéesiiia»casHies^!qtii lui

ssdnt'décoçttés', feittmânèade (se'jdiriger ver J

les âhtetrupteuEsJ Màisf!itàiî'lsani'ëte"aSse2f

'aisément,- ^l-. itjf.'i-r- > ̃fi

.'Et M. Verlot^ poui-sui^'s'o-n exposé. On1 iconnaît ses. arguments jihous4es--avons;fait connaître chier. D'après lui, a l>heurè présente, toute augmentation du nombre dès députési-'si faible soit-elle, est un défi aux électeurs qui attendent une réduction dq nombre des, députés et, par voie de çonJ 4 iséquence; une réduction proportionnelle du nombre des sénateurs; '»"'̃̃ r ̃̃• C'était le vœu' de Jules Ferry, celui que ̃M. Poincaré exprimait à Commercy en 1896, et M. 'Louis Bàrthou en 1900, alors que la Chambre comptait 5*0' membres. En votant la question» préalable, la Chambre ne préjugera pas'du'mode de scrutin qui sera, employé1 ''eft -'l'928; mais signifiera qu'elle ne" veut Jex&mihéf qu'un projet comportant urte réduction du nombre dès députés. ,.r Pour permettre à chacun de voter en toute liberté. et- selon sa consdiènee; M. Verlot annonce qu'il dépose une demande de scrutin public, à la tribune.. La Cham- bre ne voudra pas donner au peuple frañcais, si droit et si honnête, le spectacle ,du reniement d'une promesse solennelle et •du manquement' à la parole donnée. 'Âvé6r'M..Camille' Chautemps, nous en-i 1-tJifr<î#n1s'-i.uHf:aiitr^- s^'h* 'TO ''cTdfcfte- lia ques-!

~'ti~, 'M'te ?1'à, b, 1e, 'lie ~.a~r-eq1st

y. propos,' p,k i 'articjc' 2 ope devrait être

examinée îa'réaUc^oH'airn^Mjtjé des dé-

putés.' ̃ \J' '.̃"̃ •'•"

Mais c'est à la. réforme n^eme qu'on s'atl taque, et la manœu^çe, d'aujourd'hui est l'aboutissement logique, d'une "campagne tenace qui. se 'poursuit déppis des mois. Certes, la réduction du nombre des dét putés est souhaitable, mais.il importe encore davantage que la réforme d'ensemble aboutisse. Y

A ce' moment le Châhùt recommence. Que se passe-t-il ? C'est un nouveau par^ mentaire amphibie, M. Delthil, qui est accueilli par des épithètes-malsonnantes, accompagnées de cris d'a,nimaux. A droite, oh crie ï -« ÂtifiSTOft? Î^Âu Se; nat » Le président s'effojçeYjde rétablir le calme.; mais, n'y parvenant pas, il se cou. vre et quitte le fauteuil, pendant que M; Chautemps descend de la tribune. Dix minutes après, la, séance étant re4 prise, M. Chautemps peut achever son discours, en répétait que la motion Verlot apparaît comme,un simple artifice de pro| cé.qure d|rigé contre la loi elle-même. ̃. On acrive aux explications 4e vote.

M. Ernest Lafont/propoptionnâliste, vo

tera. Ernest Lafo,n,h''Pl'OP,OI?t,i"OnI7.:mste'vof

tera contrera môtionî!;Siin'' que le déba

ptjisse s'engager.- îm k- .>

-M, Léon d81tea,cluiT!èii votant pour h ̃. mbtioQetftBnH votecidoistre léfisicrutin mai

jdritajr.eiet):ii»inomiaafc y§aj:iiïio-'ï '1

Chr entend alors EnôuareâxDi"'xiris.: «A4 Sénat Au Sénat;- !;»olls«j?adi>èssent, eett^ fois, à M. BaudryTd'AssV>n,T:qui!S*écrie :̃' i j Si les 'autres membres de ïa'Châttbfé qui ont

l'Est, tandis que l'Allemagne qui n'a construil que quelques abris bétonnés sur ses frontières de l'Est, se voit., contrainte _d_elÊS__ détruise. On nous conteste le droit de refuser le conf trôle^sde ces.destructioils/,et, sur ce point, noué cédons encore. L'Alïerfwgrie pourrait-elle faire davantage ? Cependant, l'Allenvagne est,-prête à conclure une entente avec tout homme d Ét&t ^-r même avec Poincaré qui pourrait1 parler au nom du peuple français. Mais »-à ceisfiérnier, nous conseillons de se. montrer .défejMnaik j>in,s prurdent dans le choix -des hommes de .confiance qui ont pour mission de le renseigner sur les choses allemandes. Qu'il; viefnn^- donc lui-même voir de ses propres ^eux:!>.S'Û le fait impartialement et s'il.possèflei la:f acuité de distinguer l'essentiel, sa présence en Allemagne serait certainement. des plus utdlës.à la cause du rapprochement.. J, Suit un examen du problème de l'ocçiù pation rhénane et de, lâ/situàtion générale de l'Allemagne et de'iat France, Le peuple allemand est upanime à estimer^ que la continuation de l'occupation rhénane ost incompatible ïavec l'esprit de i,ocarno.

Nous ;ne:demaij^oàsip»s>dai.saçnifices- nûui

.demandons seulement que soit extirpée de notre chair l'épine qui nous irrite et qui jie pciit rien"rapporter à" la France. Si la Krancfc ne veut pas entendre la voix' de la logique, nous ne serons pas finalement les perdants. •«La France possède aujourd'hui une ,écra(sSinte supériorité militaire. "Jn'ais la supi-emai- tie dans l'ordre matériel et les alliances peuj. vent .changer, elles .n'ont qu'une importance secondaire dans l'histoire politique. Par "contré', la supériorité numérique du peuple, allemand, nos H'oÊSinages géogl-aphif ques, nos! capacités, d'organisation, nos possi|bilités, économiques sont des faits qui ne disiparaîtront pas. C'est pourquoi, malgré la détresse actuelle^ nous ne craignons pas l'avenir. La cOnsteUation, politique se modifiera; de mièmè qu'elle s'est modifiée après. 1870, L^mitié du. peuple allemand à l'égard de' France peut venir beaucoup plus vite que les Français ne se l'imaginent. i: i :< S Y M. Auguste Gaûvain ;,ty.OUR$ÂL DÉS DEBATS) met au point quelqup^-ùnes ies illusions exprimées etutfahs le discours d'Oslo et dans la .presscailcmande r Après Locarno, '16s Allemands invoquent Thoiry'comme si Thoiry était un :corolilaire' de Lp.çaxap, dûment signe? et ratifié. Depuis le

̃;«M jfe>nime inpi, iéfûs/s^âieurs,! sont disposés 'àMmïter la salle en rti'êtne temps qUeinoi, "'je • ne voterai pas. •: ;P^rsonne);netbôîige.. s -(- Et le vote commence. Pendant une 'heure, _les députés défilent la tribune. Cette -opération fastidieuse pst heureusement ̃ égayée;- deci delà, (par. divers lazzi i qui '^s'adressent aux votants.

Enfin, le président proclame le. résultat (ïyi vote. Par 259 voix. contre 223 la, motion yerlot est écartée. Le président ajoute qu'il a reçu- de M. iGeorges JRonnefous j,a motion, suivante > ''Là" Cliambre' décidé' de renvoyer1 à la1 conimission 'le projet1 jusqu'à -ce que la commission rapporte .un projet réduisant à. 500 lé nombre de,s députés et à 250 le nombre des.. sénateurs, M;!Bonne$ousts'explique-*ainsi ".̃'̃̃•Si, ditlil'Ué scrutin satisfait les aïrondîsse1 «Rentiers, îl'!me sàtisfàit'éga'lemerit et je-me ré•serve de défendre, à l'occasion'de l'article 2, jun .amendement, sur réduction du nombre ides députés 'et :des, sénftteucs^e 4i'iinsiste;dojii} rM^urj.ma, motion.j- ̃̃ ,i.\s "Va-t-on continuer»; Ia*'idis<niss'ioM'-k)u"'la( .renvoyer à' mardi ? Après .deux épreuve^ -déclarées: douteuses, on Vote 'au 's'èriïtïrt public, et, "par '2f97"v6ix contre 225, la "faiaïnbré décide que ïédséâ'fice* continuera; '̃A'u"'nom du -groupe' démocrate, M; Le. Douarejc présente alors un exposé su'b^ta'n-! fiel .de; l'ensemble' de la question, et, re-? riionta'n^d&hs/le'pâsSé, il cité' tes person-. 'nages considérables de' la 'République qui ont combattu le scrutin d'arrondissement,' Son discours élégant,' habilement construit; est écduté'àvec attention sur tous les bancs et fort applaudi à droite et 'au centré;. '• e~ ̃ ̃'̃- A mardi; la 'suite de la -réforme électorale. •'•̃'̃'̃̃ ̃̃̃̃

̃̃ ̃̃ "ir"' ̃ ̃

̃. Y' ̃ !Dans sa' seanCe du' ipa.tiji, la Chambre à. poursuivi l'eXamcn de la loi sur les loyers, mais son travail de deux heures et' 'demie &' été purement 'négatif il a "consisté à repousser urt contre-projet de M, Georges Weill et Une série d'amende-. "i^ents. Ojieh/.es): donc resté à -l'article premier," que Ton espère voter, ainsi que les .suivants, dans la séance de ce matin. ̃• -vf l' t ̃ Saint-'Selve..

"1,' "1 r ¡-

Les Assurances Sociales au Sénat

J}:() –r

La discussion au Sénat. de la loi- sur les ass.urances^sQqi^fiSjfl ^^eri vu grand

.^asjptiisgpe,^ ar,tiq<îs,r-r^p.it,p.l^si tyfP\mn

rde-la loi iàr jOjnt<:tytf;yoitiff_ dsan§;uné seul(|

séance..to'iY.J 'Ai afl" •••

Les articles 34 à. 43 sont adoptés sans «•'âiJtry modifications ;qu'u,n, anjendemeiit spécifiant que la loi nouvelle ne pourra 'imposer des charges supérieures à celles •qui sont actuellement prévues de ce chef non seulement 'au. budget général de l'Etat mais aussi, aubudget des départements et 'des communesi'i ,'̃ <

"A l'article'43, un long débat s'institue sur lin amendement de M. Tournan, lequel voudrait qu'un travailleur -agricole puisse, pour 1 acquisition d'une propriété qu'il exploitera avec les siens, demander sa radiation et la restitution du capital Tepré̃sentatif des droits'acquis. Finalement, cette clause additionnelle est repoussée par 224 "Voix contre -81.

Pas de débats ;pour les articles suivants, jusqu'à l'article .52, qui préyoit un délai de dix ans pour appliquer loi à l'AlsaceLorraine. Ce délai est trop précis, déclare ,M. Jourdain. Il v ft[ entre- les textes qu'on vote et la législation actuelle des départements recouvrés jjjur la matière une trop grande différence: pour qu'on puisse fixer un délai pour cette application. En conséquence, le sénateur du Haut-Rhin demande et obtiént qu'une loi (spéciale .sera necesgaire pbuç que les assurances sociales soient valables en AlsacerLorraine.

O.1Ht'f""J,(c,ri'to,tit"5' >-J"5.'4."55>t

̃ On. vqte_ enfin R(st ^articles oa, 5.4, 55 \et

op I1vneeUUIJ.es,arlces a ;et

i ̃5S» «t ,iPo'n!j)àss,c» a 'la,|pr.Ôp9sjiio'n"afb'^M!.

iHonnol'a^ (demandant; a^i}! g^v.e^nemen.t-de 'Célébrer en 1927 le "troisième centenaire de jja -reconstruction de la SopbOiine par.Ri;chelieu. ̃

M. Pelletier, rapporteur, appuie chaleureusement cette proposition et rend en même temps hommage à l'œuvre acèomplie à la cité universitaire par M. Honnorat, « qui consàcce tous, ses, soins, à. la consîtruction. progressive de cette ville réservée la jeunesse studieuse ».

M. Herriot, au nom du gouvernement, accepte avec empressement de rendre-un td.oubie hommage Richelieu et aux initiatéûrs de la cité universitaire: La séance est ensuite renvoyée à mardi.

w'" 'Co E. Gagcoirt.

pougues'les-eaîjx

« tia' région #»bugues est situé est une des plus belles de toute la France. L'aspect du pays ,e?t vallonné,, entrecoupé de prairies d'élevage pu se prélassent les magnifiques troupeaux bovins du Niyernais.'r •• '̃" |<a Loire coule à proximité. Partout se dressent ,des bois touffus et des ombrages qui tamisent les rayons ardents du soleil. Des chemins et des sentiers charmants sillonnent ,là campagne vér-i doyante. •̃••̃̃ rJsC *S ..° '^e'" village de Pou'gues' est:\l)ienu;'téïïu; ayenant et Côqùèt, ses." habitants 1res KosPAjtaliers. C'est vivre d'une vie infiniment douce et. inoubliable que de passer ses vacances à Pougues-les-Eeaux.

njois de septembre dernier ils ne- cessent d'en parler comme M. Stresemann en a parlé luimême dans le fameux Bieralbend de Genève. Qf Thoiry consisté dans une conversation en tet^ à tête entre TtfM. Stresemann et Briand conversation que Tuh et l'autre ont déclarée netre qu'un échangé de vues destiné à être rapporté à leurs deux gouvernements. Peuimporte que le lendemain M. Stresemann ait confié infef pocula ses appréciations personnelles à ses compatriotes résidant à Genève. Si regrettable qu'ait été ensuite le silence de .M. Briand, il est de notoriété publique que le cabinet de Paris n'a pas. approuve les. déclarations'de M. Stresemann et qu'il a réservé son entière liberté d'action. Les dispositions attribuées par fa presse allemande à M. Briand ne se sont traduites par aucun engagement quelconque du gouvernement français. En conséquence ni LocdTnd, ni Thoiry n'obligent la France d'aucune jnanière, ni moralement, ni juridiquement, à évacuer la Rhénanie avant la date fixée par le traité de Versailles. A Oslo, M. Stresemajin a pris une position latérale. Ajrès Lpcarflo, a-t-il,dit, il est « injuste » de maintenir plus longtemps l'occupation de la Rhénanie. Une telle parole, prononcée publiqu.enient.par «n ministre des âfiaires étrangères, est grave. Tous les peuples vaincus qualifient d'injustes les obligations que les vainqueurs leur imposant.. On les; laisse épancher leur douleur. Mais un ministre commet une incorrection quand il emploie J'expreçsion d'injustice pour d'échainer'un .courant d opinion contre une clause solennelle d'un traité signé par son gouvernement. Qu'il négocie pour obtenir ce qu'il" désire, cela. se comprend/Mais qu'il veuille arracher par une pression ce qu'on ne lui' accorde pas à l'amiable, c'est un mauvais procède dont les effets peuvent être fâcheux. Il est propre, en effet, à provoquer en France une réaction. M.' Stresemann et l'opinion allemande se sont plaints du discours de Lunéville. Cependant les constatations de M. Poincaré étalent tout objectives, et d'un ton bien modéré en comparaison de celui de plusieurs ministres du Reich. Il est inévitable qu'il sé'produise chez nous des réactions plus vives si le langage de la presse geuvertiemeritale allemande, à plus forte raison des ministres, jie.se modifie pas. La Germania, qui prétend soutenir la cause du rapprochement franco-allemand,. nous adresse aujourd'hui des observations presque comminatoires « Attention à l'avenir s'éexie-t-elle. Vous êtes les plus forts aujourd'hui," mais vous hfcîe serez -.plus dans' quelque temps, et -alor^ ». -.Si l'organe du Centre,

1- r

IVL Maurice Pajo

à l'instruction V

̃ M; Maurice Pujo, rédaéteur-ën c'hef' de 1 Action française, inculpe}' d?ùsûrpâtion de 'fonctions, .avait ̃àé'té fconyoqiïe 'hier 'à: 'deux- heures' et 'demie rpàr M.>:yiiïëtt'é! juge d'instraetion.. i ̃̃<:<̃ -y :•'• Une demi'-heure- avant, :M. Barthélémy,- commissaire 'divisibhnairè'j dssïsté'de cinq gardes municipaux et d'inspectèûFs'^de la' 'police- jud.iBiaire, ,,iorgaitisn}t,r un ss'Srviçe d'ordre dans "les "couipirs et' .faisait* évacuer la 'deuxième galerie'- nouvelle, une vingtaine de jeunes gens venaient- d'arriver par divers 'escaliers ils se' fetif'èrent sans protester, en affirmant qu'ils h'étaieiit pas canielçts du roi! ;r:< -( A l'heure indiqu'ée, M.V;pû]o'>pënétt1àit; dans le cabinet 22,,où venaient le rêjoïn-, di-e ses défenseurs, "M6 de "Roux et *Cal-f "z'ant. r" '• '«ii!î •̃• 'M'yù-i .'̃̃Î^Viftoi.te^ sur les articles qu'il a écrits a }a suïte ̃ dç.^a. triple .éyasio.n.î4fi,^M.;L|,ç|iî'&4kdet,s •DelesLet^Sé^ara. :n <;̃ '1 H- «HJP ^epond, ^u^lr Lorsque j ai ete îiiçulpe,, lp, 29V, juin,; J'étais .prêt à m'e.x.P.Uquëri Si.jç, ne ï'ài pas:. fait, c'ost par égard. poyr( mon" défendeur, .M" de BrQUXy.qui était absent., ']"" » Lorsque j!ai été, trajjsiéré a la prison de la Santé,, j'ai été 1,'objeCdes. formalités' pénibles, de l'identité; et 4$ làioujUe. Ce ne sont: que, les inculpés de droit coinmun qui subissent de tellçss -formalités. J'ai été, :soumis ̃ étroitement au- régime)-. de droit commun. a » Je; suis inculpé ppûrî.un f^it d'ordre, purement ip'olitique; j?-en trouve la démonstration, au surplus^ idajis ,.la: lettre: adressée. hier- par ;mes>-défenseurs>.â-M. <le garde des sceaux. .,̃• ̃. ̃'̃ °I »' Le fait qu'on -me rieproche -n'egt -pas,' que je sache, un délit ayant, uii" caractère, moins, pplitique. que celui de provocation de militaires à. la, désobéissance, par exemple, çei qui Jj'empjècjie pas jles prisonniei's ctfmmunistcs -'tfé'i)e4ièflcïer–'du régime des dptenus uçlitiques, à moins' que le type du'délit politique ne soit celui qui est çommisrcantre.seûi.pâyjS^à-là soldé; et au profit de gouvernements "étrangers.: » Dans ces conditions, il m'est impossible d'avoir confiance dî\ns 1-adlriinistra-

tion de la justice et je refuse "dé '"répondre

à-rhucune: questi«H ffftft'^ie'W'SÔfaffpèsl

obtenu les' garantifis' quijèxigtent.ill!h<Si»iHWîr]!

obtenu le~ :gaI'aiJ.tÜW j.éX,¡,t: !l!h"d,'it,ti~, fI'

les convenances l^lf^'f^ ̃ *9i' .i Sur cette déclar^ition, l'inculpé se ras-f sied et ne pwftonèe'îJrikiiàUï&iîgii^l^ ̃ 1 '̃, M?., de, Jioux, pro.teste alors oralement 'contre' le fait'qû'on à'versè aux dossiers des procès-yerbaùx de table d'écoute. Ces procès-verbàUx s'arl*êtent onze heures du hiatin, 'dans la' journée de'saiiiédi ils ne 'présentent1 donc aticun 'intérêt pour l'accusation. < t i r'f

Le défenseur demande que Ces "•pi'ocèsrverbaux soient rejetés. càr-'c*êst la première fois qu'ils figurent dans ?un dossier d'instruction ils émanent de l'administration des téléphones et ne instituentque des documents administratifs, Le juge répliqué' >:i-' 1'.

Si vous acceptez le débat, je suis pr.êt;à.interroLger immédiatement M. Ppjo. L'inculpé e'squis'sé ufa' geste ëeïj dénégation. Si.' "Villette ordonne d'emmèneV l'inculpé. ••̃•̃̃̃̃•̃̃•>̃

Les coups de téléphone M. Villette entend ensuite MM.- Àugé; secrétaire de radministration péhiteñtiaire aq mmistèçe de l'intérieur' Càtry, ancien directeur de la prison de'ïà Santé, et SI. Çjard, employé au standard; v'Lès ïtoik Wmoin$:swnt-d,'accoi-d;pour rei

̃,49/pgft^e \giie l'aiirnirà^trïttidn vûénitetoJ

'q91}hR;t~l\' ,qp,ri'¡(dnrh1, M,tW~? n '~n!.tet,

^^SBYetaB"?!! de SSntç.^yîdHV'^té;

̃ '%i?Hpuçiflj^àment, cfi.' 'r app'prts tëlépljienii ques .dans la matinée, du 25 juin, jusqu'à la fermeture de l'administration, à midi; M. Auge ,-dit qu'il n'y avait; persanne dans son bureau, de midi à deux heures, et qu'à .deux heures.. un quart seulement M. Cânavaggio, son secrétaire, d reçu le premier coup. de^télé.phone. J M. Catry a tlonné un ^premier coup de ,1 téléphoné i à ïriidf 'trënte-cin^fâu?c'abinet du ministre à midi quarante-cinq au même cabinet," puis à ̃ la < ^préf eeture de '̃< police. Il est 'allé déjeuner et:à téHéphpné à 2 heures un quart à M; 'Canavaggib. Enfin, .M. Gard a donné des comnïimica- tions à midi trente-cinq, puis à midi-qua- rarite-cinq. ̃̃ > L'accusation en déduit que l'es Organisa- teurs de la mystification savaient qVil n'y ] avait personne a' l'administration pénitentiaire. Y •̃ r. M- Un; incident si ] Vers quatre heures, M0 Cajzant venait de < quitter le cabinet de M. Villette, quand, dans la galerie Marchande, il constata qu'il était suivi, quoique eh Tobe; par" un ] inspecteur de police., lequel s'é.tait attaché j a ses pas depuis troisjours.il l'apostro- j 1 phâ en ces termes •;̃' ̃̃ ̃" Je trouve intolérable; d'être flïérre* c vêtu de ma robe," p^' iÎd(> iii.skcieïtr ûàÛ

p'oliéè;;1 alors 'Me !Vîé"*tt¥s 'xfWSfte' ô"iïhé T

Pdliêè,al'6r,s:JNe'i~J'Ù*, `~9' ~q d,~h~ '1

affaire d'ordr^poffliçpiy? L'êFW&ts yàè' t

la défense' sont violés". J.' '1 '4esuis ,p!as d,e; la i)pliç!é; répondit t l'interpellé. V 'r

dont le chancelier Marx est le chef, croit ainsi faire naître en nous .cette confiance. qu'il assure mériter pleinement, il commet une singuîsèf ë;erreur.. ©'autre .;p.art,pn--|êp.repd! la. thèse de « l'innocence ». allemande en'1914"et Ton réédite à grands frais des publications ultratendancieuses à cet égard;

Reprendre une telle attitude à Genève au mois de septembreprochain serait vouloir délibérément -aller au-devant 'dès Mis -sérieux obstacles.

y Jgofltfe le eommtmisme

lie nombreux journaux d'e.proyinçe nous continuent leur campagne d'appui en. reproduisant tout ou partie des articles de M. François Coty,( que l'I^DEpËNDANT de Tours, par exemple, qualifie de' « lumineux» et' de solides ». 'On r^tr.ouvè des approbations analogues sous là plume de M. Lquis Hosotté (ECLAIR COMTOIS)Boulatier (SEMAPHORE DE MARSEILLE); Jules Mercier, (BIEN PUBLlt M Di^1^^°^ -YW-8Ç AECBOy, DE LA BBÆUC".gJ1'.et'1d~'<rè<fucJt-èu~.t ainJII~me& du JOURNAL DE ROUEN, de la CROIX J)V CANTALi ,du TRAVAILLEUR- W-AURILLAC; du JOURNAL DE L'ORNE', du JOURNAL DE FOUG£RMS,du PETITnXAR.'ùc Toulon, de Aa REPUBLIQUE DE L 'ISERE ̃ Au MEMORIAL DE LA LOIRE. ̃'̃: Apf ès le raid de Byrd

Les nouvelles, imprécises- et !jeontradic- toires publiées sur l'issue, du paiçl du lieutenant Byrd n'ont pas permis Jiipr à. nos confrères du matin de., saluer, .cette, nouvelle prouesse des aviateurs américains. Après avoir, adressé aux hérosi de la .troisième traversée de rÀtlantïqiie'r^ommace ^^f?^611^1' M-MQn Bailby UNTRANÙHikANl ) émettait hier soir lgs.'céflexions suivantes sur la carence de l'Etat français dans la grande lutte ouverte pour le pro-.grès aéronautique ;«~ Sportive avant topt aux Etats-îfnis1, 'l'aviation' représente pour la France uhrdes éléments" essentiels de' la défense iiationaïe/ en même teïnps qu un organisme cotiimérciaf "fifèmière. valeur. Et, ;à: ce double titre, tffts doït'être directement soutenue par le pouvoir,

.t- .Venez^ayec -moi au cabinet de M. ^procureur général.' Des confrères "de M'Calzant, témoins de l'altercation, s'approchèrenl, approuy^rent l'avocat et le sqiyirent chez 3\JL SchéVrdlin. ,i ̃. ,ji; ;?" M" Çalzant pénétra -dans. le cabinet, du procureur général- àvec;M'sMo.ncis,. Henri .Dorm.on et, le policier. L'avocat mit le procureur au çqurant de l'incident. Je .ne- suis pas compétent,, flf ^remarquer le procureur.. r– Vous êtes .-chargé de la discipline du .Palais, et de. la police judiciaire,-rëplïqua l'avocat. Quand il vous plaira de me faire arrêter, M. le Procureur, je m'inclijnejr-aiv; mais, tant que. je serai défenseui% jertipns

̃à "'̃ être, respecté.• ,•, ̃ ̃̃'}-"̃

̃ v L'hommeî3nis; en cause, questionné' sur •ses.- fonctions^ déclara'd'abord'qu'il, Q'éjtait pas inspecteur de police puis avoua. qu'il était, brigadier jdaiïSjJeï'jsbrviçe .de Sï.- Beiithupli II ,,rçf àsVite" ÎRÇniser sa captevetde décliner son nom. '̃.> \:±< -il ;v (L'e>"pïocuréuli «onsejH'à,alor&) à-Ma'Câlazian't ,dei.s.adre6Seiti au m bâtonnier,; ce :que fit le défenseur sàéi M. Pu jp. •̃ >̃'̃<. «;^Mais,- 'déjàs-'le^bûtonnieîP, jn-is. au, coûtant de' l'incident, était allé, lui aussi,: chez;.]© procureur général. j A son retour, il assura M" Galzant que. "la! filature dont il était l'objet cesserait ta.nt qu'il sfefâit* dans le Palais de justice^ '̃̃̃• ̃'̃̃ Louis TJiiiiet.

Un article de M. Léon Daudet L'Action française publie ce matin ,i}ri article de M. Léon Daudet sur ,«. l'arrestation de Pujo » j

Quelest le crime' de Pujo ? Un gouvernement

affolé' voudrait le faire payer pour ceux qu'on ivatteindra pas. Entre tous ceux qui ne pouvaient plus supporter l'abominable prolongation de l'abominable iniquité dont nous étions yictimés, De. lest et moi, le fécond génie pratique de quelques-ùns a conçu le système de' délivrance "dit « "à Voti'e Santé » qui a été exécute avec la perfection redoutable que l'on sait.iScher&lin.et Piôuharani m'ont fait" jeter- en prison ppur crime de paternité. Ils fontarrèter Pujo qui figure à leurs yeux le crime d'amitié.. Quant à Delest et à votre serviteur « celui qui &'rit ceci .», comine disait Hugo ils sont' poùr'suivi;s 'par: le- Crime, eux qui -représentent la Justice. 'au -conïf aire1 du fameux tableau de Pru-

(id'lHiruMi ai h .«aï. .;jKl.o-: m-

'"j¡'~f,' ué~dlt"D~et'lfaiRlYe`~p~cè`sJ`d~NI.

'.PoiHbaf.é^ËaFtiioû et Sarratit: Én: p'dàt-

^cr^jMfe'-W rc.fti^rçie '"l'as 'îiïilliiïrs- Wij'Ï^Hh- çais qui lui "adressent des témoienagés-dé kur âhïMé!" ̃ •1- De Belgique, de Suisse,' d'Italie j de HollandCj d'Angleterre et même 4'Amérique me parviennent journellement, ajoute-t-il, des lettres et télégrammes qui m'émeuvent profondément. CHEZ JOSEPH PflQOiy, Joseph Pàquin, 10, rue de Castigliorie, soldera au comptant avant inventaire -sa collection d'été à des prix très avantageux le lundi, 4 juillet. Manteaux^ robes impri- mées et du soir. ̃"<"̃ L'ÉTÉ SUR -LA COTE DES MiMES C'est une région très pittoresque et l'été y est très agréable. A la Croix (Var) on jouit à la fois du soleil, du repos, des fleurs et d'un climat sec et vivifiant grâce à la ibrise:de mer. Pas de casino, mais une belle plage' et de nombreuses" excursions. Vous trouverez, au Grand Hôtel, bonne tàb'Jje et ïpn ;àppjiëjl. ̃ ̃'

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̃ ..̃ j- 1. ir> 1. »b. ,1-r .1 4 .v

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_'̃•• Art et Industrie -La. revue Art et 'Industrie à offert, a"vânthier, dans les Salons du Sporting-Club' un déjeuner qui réunissait des artistes, des écrivains et des représentants de la presse. Reconnu

MmesL. S. Bernhardt, de Lyee- de Belleaut MM^. Louis Dausset, E. de .Bremaeeker, Domin, Rouard, Bigrre- Patout, Pierre Lange, de ;La .P.ortelle,. Sabino, Far-

rere!H.1GrQnko,w.ski,. Pierre Mille, G. Jad-

~ete,~` Grptikp,w~~t, Pierre Bagues, G Sad-

êiîft ^^SSp.V' Heudelot, Bagués, Mauxice

Jag.94^d&}t|I1:|;ric Bagge, Boyer-Gëfeén-

le*, Ffourteôrgës "Và-udoyéï; t3ïôuzôt, .cpflite de Maupas, Sabatier,: Herbst, Paul fiïrmant, Louis Artus," Louis Meletta, de Martijly, J, et R. Hagûet, Paul Brandt,1' Bernard, Bernard Saffrov, etc.

'̃̃ Y .si-:i .••;

Aussi longtemps, en effet, que l'aviation De

sera pas adoptée chez nous par les particuJ iiers, comme, moyen de transport courant (passagers, courrier, marchandises) elle devra', faute de commandes civiles, ne compter que sur le secours direct de l'Etat. Crédits insuffisants et crédits mal di'stribues, principes généraux mal établis,- fausse conception, de l'aviation militaire qui "paralyse le développement de liaviation commerciale, tout cela nous mène à réclamer d'abord lè retour à une direction unique, à un ministère de l'aviation, qui'devra' prendre ses responsabilité:; et qui, si son plan est net et sa volonté d'aboutir ferme, sera. soutenu' par la presse et par -l'opinion., ̃

Et en attendant,, pour en venir au plus pressé, pourquoi, dans cette lutte pour la traversée commercialisée de l'Atlantique, 'la France n'est-elle pas. encore représentée ? Il ne s'agit plus d'y arriver les premiers, soit. Mais il s'agit de ne-.pas être absents de la compétition.1

-.Deux constructeurs, français au- moins sont prêts, si je suis, bien renseigné, à courir. le risque, de la" grande aventure. Ils n'attendent qu'un encôû'r'à'g'ement .de TÉtyt. Le Conseil des" ministres devait, hfer jeudi, se saisir de la question. Il l'a saiisikloùte considérée comme accessoire puisqu'il L'a' laissé* t£rtni>ex.£n attendant,, à notre-, détriment, les records tombent. On nous dit' que le ^"oiivèrneSnent/tljaite-raJ'de la question samedi. Ne voit-il pas que c'est argent, et d'un mtétfilï-i>rïniordial ? ?, Hélas, il le voit sans doute, mais il va d'abord aux besognes urgentes, c*estiâ-diro -les1 débats parlementaires". Y Pierre Valette*

Le Congrès de la presse latine

J" -H.

Madrid, 1" juillet. Dans la salle des séances du palais du Sénat a eu lieû-à midi la. séance- :inaugurale du Congrès de la ̃presse latine- Elle était présidée par le »éneral Primo de Rivera, M.Francos Rodriguez, 'président de l'association de la presse imadrilène. ;M., Callejo, ministre ide l'instruction publique M. de Wateffe.- Les ambassadeurs 'et ministres des pays laUns, inotammeot l'ambassadeur Yde Fran,

ce,;y-assistaient.


La situation des marcher agfteotes

Céréales. Le désir que paraissent avoir les agriculteurs qui ont encore du blé de s'en débarrasser avant la moisson les entraine à faire des concessions de prix qui n'ont guère de raison d'être à cette époque. On en a pris prétexte pour prétendre .-qu'il reste- en culture plus de blé qu'on ne. pense. Ce n'est pas notre avis. Les agriculteurs, qui ont été à même de constater la facilité avec laquelle la meunerie s'est approvisionnée en blés étrangers, n'ont pu entretenir l'espoir de voir au moment de la soudure rechercher à tout prix les rares blés encore dis- ponibles. En' outre ils n'ont plus depuis longtemps d'illusions sur un relèvement prochain du droit de douane, relèvement qiïj devait leur faire envisager 'sans trop de cràiiite -de. n'avoir "pii- vendre tout leur blé: avant la. fin de la campagne. Les bonnes, apparences de récolte que nous avons eues jusqu'ici sont en outre un élément de faiblesse des cours. Mais de ce côté il pourrait se produire un revirement. Le temps pluvieux et frais continue. Le pfétin, la verse, la- rouille, qui jusqu'ici n'ont pas fait de dégâts serieux pourraient compromettre la récolte. Même si le beau temps revient, on peut craindre à l'époque où nous sommes que les chaleurs brutales, succédant au temps frais, causent' l'echaudage des grains. Bref le sort de la prochaine récolte n'est pas assuré et si tout va pour le mieux elle sera du moins retardée bientôt la meunerie s'intéressera peut-être davantage aux offres de la culture. Ces offres, trop libérales ces jours derniers,' ont provoqué au dernier marché libre des céréales, à Paris, une baisse de 5 à francs sur les blés de Beauce, du Centre et de l'Ouest de 2 3 francs pour ceux des régions Nord et. Est. On- cotait blés1 de Beauce, Orléanais, 169. à 170; Poitou, 170 à 171 Bourbonnais, Berry, 166 à 167 Loire-Inférieure, 165 à

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13 75 Transatlantique 364 36,4 31/2% Amortissable.i.Vi» 5. •» 4% 189S-. >.»>». i\.5k». nôl v i &'&. U-jumi .Dndust.de PAïn du Nord 410.. 425.. 45 ipFnBcÇHbmllères&ch.fer d'). I3§5îc !27-l BaMK:KarWdtni5?«i«%.I;.Vni ?£24.. 229, 4% -1917. 13 Ij'lU;

1 75 Tra.nsatlantiqU; 3b4, 4,&4 3 J!2% Am, 0, r~"i~i!bl't~ IIÍt" "(~ 4~ 189i: "1.5£\ ""sZ .:J $' ",01_' ndus, t'e Ml'r du Nord 410 J25.. 45.. i.11, d'). 85 1 :27,1, 8a, ~,I:Kar:J¡dth,,?¡:l~m £24 ,229 4% 1 19,17 13; .1,. I~'n.

5 de l'Union Parisienne'. 1340 1325 s% f9i5-i916.i'iV?.w^<V 7^5 7"^ ? 4% 1B9S. 55 M.nr a -.a-» ,,(ndustrrejle,i«le|cmine.. 'BS'.i. «»38 '55 60 WauWUoirlWouiilèrê^de la). Ï099 V. 1090 10 «h. Bra^psn ..l<iv.V|i^.i..615:6!6 /f%I.- 'tsis.̃ 1^1/8 14 X"

70 Compagnie Algérienne lU'ii. J865- iP910.> 4%)9t7,<i,i>.i,i.tAi»»i« .'«.^ 62-10 Riresiff*% 1867-1«69;(.V.Ïv;. ^J U 'A '-50 B'4- £ranco-'Japo"na;is<». 609, 609. 4 75 M Montraml3e<rtlet la Ber.àucHère. !600 1600 ?. 35 b. Caoûtchoucs'CS" Financière d'e) -'W,, .&H. 4;o{«slWé9-»n 54,1/4. 54 JM

60 Comptoir National d'Escô*irte. 3??.i, !395,tJ A% lais, 62t0|, 61, Santa^é ;a«P19l»Ji.ii.i*U J^SlKODa. «ÎOitJj.C Jibi^es Pays du I^ory:y ft\. Saint.EtilSnN, Wouilleres de). M6, '07.50 1 sh. 6 Chartereo1. > VO ,7! 50 Argentin 1886 101 !/2 100 J.'

50 Crédit Commercial de France. 1145 ?.. 1170 s^aMô'Amortresable. 87 20' 87 20 Serbe, 5% 1913. 105.. '.06 50 |5 Banque ppivée,hon,eumi.i.». 2j4 253. « «5. Anlche (Mines d'). !58O 3 ih. 6 City-Deep. 184 185 Brésil 1889 57 1/2 56'3'4''

«0 Foncier de France 2645 2690 6% 1920 86 60 86 50 Suètle- 3' 1/2% 1895 Crédit Algérien., .i v55vf. Amin., S362_ 1375 Colombia.»,.• 325 326 Funding 82 I-/2 83 1/2

'80 Fonc!er, de -Chine 264 2690 '6~ 1927 amortisgpldle 86,60, 86 ,50 Suisop 3 1/2% 1,89~ C"dJt ~}gé~len. 563'> 55\ Anzl,n.8 i3p2~ )375 Concordia. 325.. 3..6.. Chi~. F",?ding 'u. 82 1 l'~ 83 1/2

20 Foncier de l'indo-Chine 575 572. 6% 1927 amortissabje. 93 JQ 93 25 Suisa? \9Ù3. 395 33 Créd.fonc.d'Algéfie-Tijnlsle 5É8 56Î 35^ 92 Blanzy anc -91" •̃ -923 Concordia ..• 185 188 50 chine 4 1/2. 60 1/1 61 )

90.. Lyonnais 2605 2625 4% 1925 (change garanti).98 60 98 55 Turquie Consolidées 1890, 500.. 507. Crédit. Foncier.ArgenVni 75.. 50 06 Carmaux M40 !410 6 «h. Crown Mines 450. 454 Egypte Unifiée.. 83. 83

4090 Mobilier' Français..1. 590' 575 Bons du Trésor 6% 1922. '518 518 '̃" -"Douano«'19O2.v: 369 •• 365.. 52 50 du Brésil 830.. 830.. 5O..Carvin. 1430 1425. 30 sh. Do Beers- ordinaire. Î886 1865 Extérieure 71.1. VI

27 50 Soefété Générale 050 1055 févr. 1923 5!6 5.14 Tribut d'Egypte. 55.. -• Colonial.. 615 ..790.. 65 Dourges i'50 1570 20 h. préférence !540 1550 italien « 18. 18 j* 135 Société Générale Foncière. i485 !484 •– sept. 1923 514.. 514.. Priorité Tombac 383 Soç, C Banques de province. -90.66.. 20 Graissessae. -458 435 Engrais azotés. !45 50 .'40 japon 1899 651/2 651/2 I 5% 1924. 592.. 591 Tabacs du Portugal. 1420.. 125 Soc1. Financ" franc, et gcolon. 2400 23a0 40 Qrand'Combes .799 .786.. 1 d.. Franco-Wyorning, ord 597.. 607 Portugais 38 3/4 '38 3'4' I 424 Sue* HK?0/ !2ï5" 7,% 1926, 51.9 .519, Uruguay Or 190S 55 Soc. G1* Alsacienne de«Banque. ̃-̃ •• ̃&> '•̃ 30 Ligny-iès-Aires.. ••• Hj ̃ 7 sh. 66 Geduld 554 .557 Russ0 ,9O6 5. ,5 J I

«A 77 Suez Xpart de fondateur) 12710.. 12703., 7 1927 521 520 40 Société Marseillaise.. 650 649 2I 50 Loire (Mines de ta). -529 525 2 sh. Goldfields, Ccnsolidatçd 290 29! ,90| > i 12 3 1/2 I

464;77 Suoz,(p~r:t.dG fcndateur). 1.710.. 12700. Ch. Etit %01927 12-14 52! 520.. i OàL'IÔA'rIONS ,,40 Soo'et~, ~arseJllalse: 650.. 649.. 2150 50 Loir. (Mines de la).5i9 620 525 2..h." Goldfields, CDnsolidated. ~90.. 29. 1909. ,3112 3 !i2,

824 96 Suez (civile) 20675.. 20750. Oblig. Ch.fer Etat 4% 1912-14. 295 292 OBLIGATIONS =30 Immobilière des Voit<Jres M3 755.. 28 50 Maries -6" •• ,512 •̃ .Hartmann Î89 159 Tur0 4% «. 25 1.'4. 25. i/8.î I 1 50 Est. '91? '9$ S%,1919. 337 33J .+: n 50 Ostricourt !430 1430 «)̃ Hotchkiss. 1349 1365 I .70' Lyon •• ?™ •• Obi. deee'nnaln 11919-29. 97 10 97 20 186S 4% rem*, h SQO' ?9ï 783 ACTIONS (NdUSTRlELT.ES 25 vicoigne et Nœux .695 708 .6 Huanchaca !52 !66 chartered 27I.V.27I..I.I

S.750Midi îS^-iAS"" '192*32 94^02 .̃•'•̃ 1871 3% rernb. è-4OO 353 346 ̃ i) •̃ 175 Algérie-Tunisie (Omnium) 5560 5600 5lh.. Jagersfontem.i., .425 .424 Ea8t Rand.. 237.6 23 I

80 ..Nord. 2070, 2080 Caisse autonome 360, 558, ,,w 1875 4-% remb. à,SOO 401,. 408.. 30, Chemin defer Est, joui 480.. 480. Boléo. parts 374 370 Lianosoff 4 2.. 430 Goldfields 47/. 1/2 46 10/2 I 65. -Orléans 1G93..1095 g 1876 4.% remb. à 5OOf. 406 403 35.. Est Algérien 461 480 !& Bor (Mines deVord 2jn? jm ? Malacea. ord 419 408 Rantl Mines. 71/3/ 71 .3- I ̃'̃ Afrique Occident .Franç..30/0 3!0 ,308 < 1892 2 1/2 remb.à 4OO 2°5 211 50 tyon, jouié 800.. 814, g 50 Cuivre et Pyrites «' ̃• «°. Malopolska 584 580 Da Beers .15.1/4.15. I

100 Santa.Fé.(Ciefr.oh.ferProvj2!40 ..21.75 Indo-Chine 3 o/o 19O9 288,; 286 p.. 1894-96 2 1/2 r. à 400 200.. 32 50 Midi, jouis., .i g»"1 235 Mokta.el-Hadib. act.de 500 fr. »20 7300 Maltzoff .̃; 268 j fontein. 3..7/16 3..3/S. I

100 Santa.FUCle fr. oh. fer Prov,) 2¿~ 2¿~~ Indo-Chine 3 010 1909 .2&8 V~6 2fi" .D, 1,~94..96%2 1/2, r. e 4~0,' h6 ~~g.~ 32 50 M,d.. JOUIS. i649, 1600 235 Mokta-el.Had,b. act.' de 500fr. 7~ 7~~?. Maltzoff '9:" 2~ Jagersfontein. 3..7/16 3..3/8.

35.. Métropolitain de Pari 690.. 694.. 3 1/2 0/0 1913- 3]3 318.. 898 2% remb. à SOO. 228.. 226.. 64 Nord, jouis 16W. 600 45 uile-Bonnières, ord •&» .66! Mexican-Eagle OM, ord *> Rio Tinto 38/3,8. 38.1 2., I ̃ Madagascar 1903-1905. 60.25 -60 g 1899 2% Met. r, à 500 220 219.. 15 50 50 Nord-Sud de Paris. 236.. 234 55 Pétroles (C" Industrielle) ,6>' •• 600 4 4. Mexico Mines of. el Oro '̃£̃̃ !>? 50 Moxican Eagle 15/ 15/ I

65 ..Distr. Parisienne d'Électricité. 1540 575 Mar009 4 1914 345.. 355. 1904 2i/2Mét.r.à SOO1. 232 228 50 5a. Orléans, jouis, -6« tv "fi^Ul 100 Dynamite (S" Centrale) «00 2580 .8L. Monteoatini 243 ^50 .2« 50 RoyalDutch 30. J/16 30 I

65 Distr, Par,s,e,nne d É,lectr,c,té, 2180 ZI 70 Maroc 4, 1914.¡.. 405 ,_55 190421/1.2 remb. 1>500.. E850,' 361 50, ,5p, Ouest, JO, u,s', .()4\),. ",M!)WJ 100 Dynamite (S, Centrale) 1!50 ~115 ..16 Mozambique 81 50 -80 5() Royal,D, utoh 30,) /,163,°.

.70.. Electricité (C" Générale d'). 2180 ..2170 5 ,8,8 405 405 W 1905 23/4 remb. à 400 35850 36150 24 Ouest, jouis ->£ •̃ «• ,,45 Electro-Chimle Métal '-50 1!!5 Mozambique 81 50 .80 30 sh;M 42J/52 4..5/8. I

Thomson Houston. •• 520 Tunis s 1892. 250 :245 -J 191O 2 3/4 Met, r. à,43o'. 210 ;206 28 .Ouest-Algérien 452 4W -g, Pou|enc.980 '.9.6 ̃ .,9 Navigatrdol.A friquedur4ord 2?0 2" North Caucasien 1/9.I/.9/ I v -)«n «« Crédit National 5 0/0 1S.19. 450 430 1910,3% remb. à 400/ 205 205 30.. T,unis;ons 386.. 586 154 Le Ripolin, joUiss. 2m'1- ̃••• North Caucasian. ̃& ̃̃ 4! 50 Russian oi| 3/9. I U5..bive, '•'••*$& "̃&•̃• oblig 500 f. 5 0/0 t92O. 438 50 439 > 1912 3% remb. à 3001. 204 202 16 Parisienne Ind. El.ctri<,«. 373 3S0.. 102 27 Saint-Gobain, Chauny «20 130 Padang (Caoutchoucs) M ° 14C0 Venezuelan Oil 3/ 3/. I 15 ..Ffarg. 8. Aciéries du Nord et Est. 420- 418 Bons 6 0 0 ^921 490 .493, 1919^5% remb. 4,5.00 335 «7 50 jo- Magasms Généraux de Paris.. 2110 2K» 252 87 Soie artificiel! ,5403 ?4Q5 Pékin Syndicats (Shansi). .58 7, 7>, I 8 ̃ Q,n .• 6,0(0 1922 déçen, 497 4% ,;1921.5 3/4% r.à 5OO' 478,. 479.. 72. Eaux (g-.GT"). 2440, z4$0 24 Usine du Rhône. ;*»̃ •• 15 Phosphates d. Const.ptine. '582 Anaconda 8..5/S, S/.3/4. 30., Courrier SS'11?^1 6 0(0 1922 523 5H O,Q o/ 4M 445 59' V.chy (Et^bl. thermaD. 21 5 .2075 52,50 Salins du Midi ,203 12iO 20 Phosphaf.es tunisiertsV.V..4=° ;• .413 stee, Common 23 123: I

t2..Lens.SC8.. 5.0., -60&janv.~23.?t76..479.. /C.m.)879260%r.S00.450..445 38' 3925 24000 2400 .Randfontein.60~0 6).M.rconi.9/4)/2!9/4./2

.3o)éo. '1S" 6 JUin 1923.47~ 46?.. g F<nc.18793%r.a500. 475.. 474 5U )35~ Air comprimé. 38~0.. 3925. ..part du Rosario. 24000.. 17750.. -5.1,. Rend Mines. 1~7" 442 ..Majacca. 3/.3/4.2/.3/4.

42 50 pênarrôya 260 270 oblig. 6-0/0 Iâ2tf 472' 4?0 Corn. 1880 3% r. à'SÔO 465 460 30 & Câbles Télégraphiques -60! 600 chargeurs. Réunis (parts) '"5 1775 3 ,h. Robinson D A ;37 50 136 E! 75 75/T

20 latine. ••»•••• •• '^9 '• Départ, du -Nord 6-0/0.1921.. 470 472 .>. < Fonc. T8B3 3% r r.500 245 244- 37- 50 Edison.925 .943 35 Havraise Péninsulaire (B) 394 400 Roumano Peige de Pétrole. ?3 50 5() 91 Escompte hors banque.?. 4 .3/8. 4,.3/8.

Dabrowa (Pétroles) 396.. 3% •• Ville d'Albert 6 0/0 435,, 457.. K Fjjpc. 1885 260% r.5OO. 239.. 236.. 25 EJectncté et Gaz du Noed. -482 _+to ^45. Tr anBportsen commun ,6g •»! Russian Oil ̃ ^f 38 PrMs .H..5.4 1/221/2 I

I. paroles Premier 476. 458 Villa da R8ims 6 0/0 1.. 472.; 452 Com 1891 3% r r 500 232.. 2.8 65 Electricité de Paris. 2345 2500 46 12 Transports Maritimes 1293 !30O 30 Steaua française 40! jl3 s/Paris (change). 124.01. 12.40!.

Pétroles Pram,er. 476 458.. V~lIa'da Re,ms 6 01() 472.. 457 tr~ .?1. 1~91 3% r%, r 500.. 239 t,350 65.. Eleotrlolto et Gaz 2.~ 485 4,'ii Transports Mar,tlmes. ,293 30" Steauaf;~Ma'se. 4~2" 413.. S/Par,s. (ohange). 124.QI. 12,4Q!

,30 Kuhlmann; «2 760 Astur|enne de5 M|nas 492 492 Fonc. 895 280% r 400 265 263 m 66 Forc"JWotri="du Rhône (ftarts). 7S0O. 7m 262 S0 Bénédictin 9705 ..|995 65 Terres Rouges.. .930 Rio 5.27/325.25/32

..311: Kuhlmann' 752. 760. Asturien,ne des ~Ine!492 .492.. 0:. ,Fono.lf!95 à 400" 2:1" 51" 116 66 Forc ".f-Iotr,'c du ~hone (p~rts), 72 0, ?295 262 50~Bénidictine 9705 2300'" 65 Terres RougeSi. ,940 ,9.0 Rio. 5,27/32 5.25132

41 Gafsa 219 S2! # Ateliers Construct. Jéumont 474.. 464.. g Com, 1899 %r>. h à.SOO 254.. 251.45 Havra.se d'Energ.e Electrique '°5 /60 20 distillerie. Cusenier.. lïnn"1' 3 sh' Tharsis •̃" Jm" 3f? 50 Valparaiso 39 84. "39 84

50 produits chim."d'Alais, Forges. '«5 7o5 cie d'Energie Electrique' <j« .462 g Fonc. 19O3 3.% r,i 500 265 50 283.125 Indo-Chinoise d'Electricité.850 650- 175 Distilleries de l'Indo-Chin 4100 ,4.10 1 ,h. 9 Transvaal Consolidated Lahd. 313 Buenos-Aires.. 47.75 4775.

25 Chargeurs Réuni ..••*» 1000 E lises dév8astées 454 452 « ,Com,19p€ i 3 r. 4 SOO 252 251 47 50 Pyrénéenne d'Energie Qectr.. "'O- •• i'fj ,80 Grand Hôtel 'f2 U|5 Tubes, et F. de Sosnowice. & 2?1 ?rgent (métal) (comptanO 26 !6 26.1/16

50" Transatlantique ( 1048 1,705 Cie, d', 6~ 50. V/"FO, n' 0"1,9, 03, 3ro,r.. '50, 0, ."zg2 ,"?, b, 1 J IndO.C, ,hlDO, 's, e, ;d E, le, 0, tr,'O,té'" .1.?fg ~1?7 Q.. 175. Ó'S,tlller,e, de',I'lndO,Ch,ln, e, .1i~0 509 1! 5 4 eh. 9. Union Corpor- '10*n 442 444 U",en,O, S-Ai~. es," h, 47, '1~ 477>

q. Ca,1 Fivoi-Lille 6 0/0, 4~¡6Y". FFon..151133/0 r, è 500.. 366' 62 22 Radlo.Marlt, 04.. 1 200 Cirrents Françaip.1,~5 0 4"45" COMPTANiJ" NEW'YORK 1" Juillet

u..Mr Liquide. :m.,«-;ï;&sï^ \922. 4'8' 45?," :Õ, .1913 4260% osool. 223 366 | ««»?&>«: g:: g » c^ pw^«o, %>- ..comptant NST^?f,

120 eaodtchoucs 1Industrie 815 1820 Sucrière R~onçaiise.. '1922. J65 4" Emp,1917 1/2 r-teoo'. 361 365: ,50.. Téléphones. 1 5' 625 4o du Boulonnais 7'0 1420" Bakou (Napht,s, "1125 1405 C~JI Momey m. 544 ,1{2

45Z -$':< 'S 2~~ :g.§- '20 Union 4 5.39, 525 -C ~'=e: g 7i 25 ~:se~ ~b.s~ 485-5~85~

•• Orosdi-Back ̃ ̃S«.84..Mai,onBrtBU(rt6 0/0 456 50 460 o\ Empr,1|2l 6i7.2r.aSOO1. f|| 95 Polliet 8. Chausson. l|» •• Crédit gén. des Pétroles, 830 700 change sur Paris, vue 3911/23915/8 ). ̃ Mrnes da Lent 6 Q/0.1322. •-•itïgj-îj, j^ ..iV,- Oom. TS22. 6^1j3w4.v.(l;38Sjtt ?«>•• 160 Alsacienne IndustrielWTextile. ;920 .925 62 50 Grande Maison.de Blanc. 820 (parts) 15200.. 15150.. u. S. Liberty, 3 1/2% !0! 1/4 101 25 Pattié-CIreSm^tiloui»). 69! 693 ëaint.G9b9in, Chouny > 498 50 -497 25 Acéty lèB,?«. Elêct^-Ùétal. '™> !323 50 NouvelW.0alàrî.sï-VJKj.f^Â *M> Qmn!Bm,p.4troles-l*>> 356 33? Atohtson Topeka.v..Vi.i;>;J76*l/2l 79>

2S.. Patné-CI~I)'J,ttl.OI.?- 691,693., Sa~nt.G9?.n, 6 jallo. 49(UÇ 4135 ,"391.. ,Z5 Ac~~y!é"~l&Eleot~o¡ ~tal: ,316.39'" .50., Nouvenés'~¡¡;lèÍ'"ls,605"n90" Or ,356.. 3,7 ..At,onT~peka:r,;m¡!I(iI79>,I.

(00 ..Raffineries a. Sucreries Say..lî50 ̃• f560. Usines sinistrées S 1/2 0/0..V 474 473 50 Est £% ;ivi f»- §?> •• 20 Acter.es » Forges de firaniny, .286 235 100 Agence Havas.. |65 W 230J. Roya| Dutch. 3/750.. 37700.. Baltimore et Ohio. 114 .1. 14 3/8

'59 09 sucreries coloHîales.• 715 ..705 Algérie 3, 0/û 1902 323. 3.9 -,4% ̃• 318. de Franc. ,2» 22! =0 72 DiJotlBottin <3W «r»- 80, H. F.deSaùlnés 1905 ..1920 Canadien Paeffie. m i/i 176 1,:4'

«00 ..Union Européenne 1520 1.508 6 0j0 19.21 ,4g 463 -3% ancienn 312. 65 do Longwy. '100 1100- W. Le Figaro. •̃• •̃ •• 4 .h. 6. Shell -|96 .59 chesap.aka 4 Ohio J76.3/4 176 3/4. ̃̃ ,mIndo-Chlhe 1899-V9O5. 245 243 2 i/2%« 306 3W 3} 50 50 de Michev.lle «70 .910 200 Çhaix. •?*' ̃̃ ?|"ï •• 100J Steaua Rohiana.. 3!4 311 Chicago Milwaukee C. 16. 16 1/8' Russe' Consolidé fa, 2" séries. 20 fo '2K50 ind Çnine ,902 -221 50 220 Lyon 3% 18S5. *«̃̃ 290 61 40 .̃̃ d,Sambre^t-Meuse. 'gS 80 Librairie Hachett 134° •; 13«5 72a.. Monaco U600.. 11650.. Chicago Rock Island 111 i/8 113 5%19O6 t9 5a !9 20 Tunis 3 0/0 1902-19O7 265 284 6% Bons déo. r. è 5Oo'. 505 490 Atel. & Chantiers de la U.oire.. f!4 6 4 ,«- «ae 5 D. Utah Copper 2S75 2880 Er(e Raîlroad' 517/8 52.

,,662 345" 35" Const. Nord de la Franoe. '130" 519 ,85.. A~rlq~e 9cclder¡tele(C 3.. 153~" Illinois Central, !27 .127 ,J.

4.0/0Serbie4%amortissab,e,89S. |39 Ml A,,ema9n,,924 (Oawas) ,00L..2900.«K, M l^ f ̃̃ | -06 i; V. | 27 W^^ ^h^ |f f V. ^CHAHGES = ^i^^itUVMt IS 3^4 !S

4,OJO Serbie 4% emortissable 1895. :~9.. ;4: Allemogn~ 1!~24 (p~wa,) loot.. 1~900" 12.900. ,-526 '309'" ,307" 100., 13onnevil@tl" » .4. '099 29 7J Air L,qu,de (parts). 15~ 735:' "CHANGES, New-York Central 1.49 ;1:4 148

?1974: 8310 84..50 Argentin 5'% 1907. 2350.. 2315.. .'3% Fus,on anc. ~78,50 '.75" 71~ Chairs 0-~1- 200 c~~ab!.seme-nt-s) 4520 ,1'25 Londres.?. .24 02 124 03 Reading. 1!4 3,4 !l4.3,4,

̃ "s^Siaftî £»: m m:: b.stw ^9°?: .ô2| ^1^ | |:é t- g^^|evrr: 2| 2m a | »gsn"JKl^ïïfeï G; '1 '| ^Snt:r: S :«8 1 SïïïïrsiSfK^ i% T KI8

Nationale du Mfexique. ¡855 .865 Belgique 1873. .,38; Ó.> 38 Midi 8~os.dEtoen"x 6% 370' 370 "SÔ De_cauvllI~ .97' 98.. 22 i'O Continentale Compteurs à Gaz. '8 565'" ~lIema~ne .5 25 .604 7.- Union Pacifie. 172 .1. 172 :1';4

Ottomane 2SO1 p '525 1534 Bré8i| 4% ,889 28150 285.. 6%. 370.. 370 50 ̃ .f. Dy|e Bacal.n priv .97 ,8.. 52 50 Gaveau & C" 558 565 Argentine Anaconda Copper 42 7/8 « 3/4 5%Fgndlog »••' ^j:r S% 331 330 d 71 50 .69 Haour .(Etablissements) «™ •• Belgique (lOOBèlga) 354 75 354 7> Chino Copper. 25 25 ÉM.7 Crédit Foncier Egyptien. 3910 ..3960.. 1909 (Pernambuco). 540 535. *K *»•• 305 |0 Eiectro-Câble (ordinaires) 626 55 Bec Auer 87! 889 Danemark # 68! 75 .682 75 Ray Copper l.. « i j| 10 Congo au Grand» Lacs. Bulgarie S^ISgS. 577 561 Nord 6% séné F. 4M 4,/ 85. Fives-Lille..480 30 Maroc (c" Générale du). 590 3M) Espagn8 433 50 435 ut h Copper., |!5 j ||5 ° ml 4 1/2% 1907. g5. >• g5 6% ̃ série E.- 340 338 50 Forges & A£" Huta-Bankowa. !̃« »40 Tabacs (c" Générale des) -f° ̃• •• Finlande. American Téléphone 16! 7 8 16? 3/4 60b.- Wagons-Lits ord 8?' -• 900 Chine 4% ,0 1895. 366 .379 50 4% série D. 353.. 35*. 25 Forg"&Ac"" Marine âkHoméc. 6.5.. o2s 225 Tabacs au Maroc. 5690 5600 Gr4oe American Car & F 198 5/8 96 1/2

•L.I. Central Mining- i2^1'2^1' S%19O2^59,; 402 ̃ 3% ancienne 319 314 50 ,20 Jeumont, di?"1' Union Commerq" Indo-Chino'». 624.. 595 Hollande- SO23 25 Î0Z2 75 British American Tobacco. ••

50ib. Rio-Tinto .4790.(4773.. 6% 19O3 -363 370 2 1/2%; série C. ïS"?n'- 3I (part) 1413 ij)? ̃ UnlonCommerc:: Italie H0 35 Mi 20 Central Leather 13 13 î s 01 4 1/2%19O8 !O32 6% 1921 tran.: A. |69.. 370 Méditerranée (Forg "a Chant.). «0 £0.15.3 Land Bank Egypt.. •••• •• I6I0- Norv6ae.̃t. t60 50 660 50 Gen8ra| Electric 08 1/2 !2/

UW01 Azote (Norvégienne) l585. 1489 Egypte Unifiée. 4.0 05 '410 25 Orléans Bons décennaux 6% -5jW •• 494 '25 Forqes ̃ *Fondn" Mbrftaiàire. -4» ̃̃ ,4/5 .360 CréditfoncierFranco-Canadien 8300.8260. Pologne (IOO zlot y). '285 Bethlehem Steel Y. 46 1,4 46 1/2

« tt>. Lautaro Nitrate. 4C8 405 ̃ -J* .Privilégié» 339.3,0 -• 6% f' fj, ̃̃ « Denain-Anzin .«. 6.6 ,8.0 28p. 50 Nord Espagne. ;••̃̃• Portugal ,i U. S. Steel Common 193/8 9 3/4

c Espdgne.xtérieure. ••••,̃ •̃••• -S% 340 50 52 50 Lorrain. Min"* M«all.35O p. »£ ̃̃ "'f •• 28 p. Saragosse ..2205..P ̃ .75 30 .75. 60 Roya, Outoh 47 5/8 47,3;c

5 •h. Orientai Carpet 435.. 445, HaTtiS%'t3iO. -™ •'̃ -^O 4% f?î .:i -"M 55 •• Matér.el d. Ch.de fer (C":FrJ. •• ̃885 ̃ 35 (. b. Rouina (Algérie) .59! .59! Rournanie 15 40 15 45 Shell 44 3,4 44 1/8

'< E8PQgne.xt~rjeu,eu""u"t 5~ .305:303 55 52'5() Lorraine Min" ,~lV!etafl'9;>Op. B8Q" 885.' 28p.S~r~gosse"u"ï" 591 ..Prague.530 ,~S.6ÇRoya'Dutçh. 475/847,]14;"

7Ob.50pétr"f?na,?^ '«40 1032. |ta||8 3 1/2%»" ?' f. 5t* -> 3% 4na. |l 1 50 |05 Mater, de Transport •̃; .Sosnowice 06» 066 Suide. 684 50.684 25 45 •' @.. ̃ ̃• '?:• U0.2,4sUOrer'?etRaff ™r d'Esypt.. Ï065' 1060 Japon 4% 19OS. 454 444 Ouest 3% «ne. V. ;|» 304 109 Métaux (C" Française). "35 725 L. Suc. Raf. d'Egypte (parts). "550 ..1530 Suiss(î ft.# 491 25 49! 50 Affa,res tota|eB,.|( h326.m :11 ̃* Tabacs Ottomans ̃. 215, .224 ,J S%1907.i ..̃•••. 392 25 »2 2 1/2 &" <̃'> --• ̃ «wtS»n«B» Mtubeurfe ».••••• 3U« •• 85 p, T.ebaos de. Philippine» &™ ,,16160 vienns C1OO shillings) 358. titres. )

mu i ..̃̃–

166 région du Nord, 174 à 175 région de Paris, 168 à 169 Côte-d'Or, 167 à 168 Normandie, 168 à 169. La moisson bat son plein dans l'Afrique du Nord. Les rendements sont moyeps. On tenait des blés du Maroc de 164 à 166 francs, caf Dun-kerqùè -et* iftouen;r "^ttBaf quemènt juillet. ̃•»• •; ̃ ̃ Dans les pays" exportateurs la sitiiation a quelque 'analogie avec ce qui se. passe en; France. \Les cours subissent des. variations continuel- ï les. La tendance, générale est f aïble jusqu'ici parce que. les pffressontili. bérales aux Etats-Unis et au Caij,ar, da et que les expéditions, sprit im- portantes. Mais il y'4" de£ éléments, de* ,fèrmeté qui pourraient se? "fîlifé sentir bientôt temps pluvieux !Jëtu' froid de. îil'Europ* ;septè»trâçfnâ'te !l qui, en retardant la- soudure? façitr-

terâ le p,laç,en^ént^.des,,expçditiQ_njs,;j

çr e

temps "trop5 sec en Australie QÙ""ae

ce (î ait: les emblaVures serbnt rédài- L tes:; sécheresse' également en Afgeh^ tine. Si à ces éléments? de ïeririeté venaient^ s'ajouter.de-mauvaises -nouvelles de la récolte au,Canada, et aux,» Etats-Unis, une hausse,; assez forte surviendrait. Ôr on parle déjà des dégâts considérables' de Jlâ rouille?' Mais i il- convient d'être prudent; car c'est'un spectre qu'on agite tous les* ans vers la fin. de juin. Actuellement ,on traite en -.blés exotiques, approxîr"; mativement, caf nos ports Mani- toba n° 1, 164. sur 3 d'octobre n°2,, 159; n°3, 155 05. Hardwinter. 152 05, du 10 au 25 juillet; Barusso 78 kilos 147 65 sur juin-juilJet Rosafé, 78 kilos, 148- 85 sur juin-juillet blés allemands, 75 -kilos, 143 35 sur août-septembre blés .du Danube, 77 kilos, 143, 90 même période.

La moisson du seigle, retardée en .France par le mauvais temps, est à peiné commencée, maïs elle s'annonce excellente;- Pouf' le moment offres et demandes- sont à peu près nulles, pas de vendeurs en livrable. En vieille marchandise quelques lots à 133-134 francs départ Puy-deDôme, c'est-à-dire, avec, une légère ̃ -baisse mais la baisse» d^îJbl^Bvajt

entraîner celle des autres céréales.

Àrasi les pM#§Ktwie$nnes sont tom-

'lié'~`s~à les ,j)~g~if~o,@nnes sont ns. En

-W& 126 suivant régions. En

nouvelles oi»gès "d'e BMÏÏôe ëf%u Gfc tin'ais, 130 livraison juillet-^oûti -Es- courgeons anciens 125 à, 127 nou- veaux de, Beauce 12,8 àtlSQ autres provenances; ÎJ25 à 1-27 livraison juillet-août. Orge de l'Afrique du Nord, 119 à 120, caf Rouen, embarquement juillet-floût..

En avoines, les affaires se limitent encore à la marchandise disponible. Les perspectives de la nécolte, qui va commencer dans le Sud-Ouest et le Sud-Est, sont excellentes. Avoines grises de Beauce, Eure, Brie 125 à 126 grises d'hiver du Poi-. tou, Bèrry,- Charérites 123 à 125 noires du Centre et de- Touraine 123 à 12'4 V jaunes et blanches' nié-' langées 123 à 124 blanches 124 à125.' ,j-; ̃̃̃̃. ,> Laj tendance est plus faible sur les .maïs le-.Plata jaune disponible est à 102-104, Dunkerque ou- Le Havre^ sur wagon, droits acquittés..Offres, abondantes, demande calme. Fourrages et Pailles. Bien que ia première coupe d,ës prairies soit ̃achevée, il y a encore peu de four? rages nouveaux d'ans lOéjfiph paj- sienne et'Jes prix ji ont grté,.legej;e.ment -baissée i.^&l .i~.J^>i-^ ;w.iSï< La| «oupfe^a *té4«ah«nrda*rte *Mài0 les prairies artificielles, luzerne, sainfoin et trèfle et la végétationest déjà vigoureusement répartie, promettant une seconde coupe satisfaisante. En revanche, les pré^ naturels ont beaucoup souffert du printemps froid et pluvieux. Coirime il en a été de même l'an dernier, la situation des éleveurs reste assefc critique, «t nous verrons en- core la répercussion de cet état de choses sur les prix du bétail. Au îuarphé de Paris-La Chapelle, on cotait cette semaine aux 104 hottes :;de 5 kilos, vendues franco à domicile dans Paris luzerne et' sainfoin 350 à 375 regain 345 à 365 foin 330 à 345 paille de 170 à 185, paille de -seigle 170 à 1S0- paille

MQTLJ3ES.S3E1 33tU :-±g; ^fTJl^LJJUJErr ± 927

im Ville de. Verdun.S.0/,0 4»: 459-. « td92 26O% à.500 265 Z6J 50 37 50 Forces Motrices du RhSne. 999 999 Tanganyika 3j2.. 3?5 s/New-York 4.8553..4.8556

d^ajvjin§,4^5, -krM&Pans ïess^sffipï la région,; parisienne, on tenait aux 100 kildsisien balles pressées/?: luzerne 4,4 à 4^ 'foin 41 à 43«;c w paille de1' fié l,0"'à !18, paille d>jà-, votne 13 va! 14. Ea Brie et' çn Béait-1: ce on parlait '<$ prix- de 60 francs les 100 kilos1 #épart-*pour la' liïzérnc nouvelle et le- sainfoin luzerné. Bestiaux. Tendance toujours la .nrêniB,' «'esf-à-dirë faible; "Au mar-~ ché calme de lundi, a succédé un marché très difficile jeudi sur tBh>- tes l'es" viandes., Prix en léger recuï.j Au- kilogramme de viande « nette,- ̃pou;vlies,ti}ois qualités bœufs. 9.60. 8.60, 6.90 Veaux 12.20, 10.20, 8 moutons '15.80, 12.30, -10.40 au M'logfànime !poids vif, porc;s maigres.,

8 à 8.60 gras'. 7.50 à.8,20.; fonds

8 à- '8.60' gras,. 7.50 à .8,0. fonds

sdè' parqu€(ts'J7'.30à 7.60' coches

J-4.80 à- 6." 5 ur beaucoup de .foirfig.jsL

maceh~és ~ur.beauCOUPd,de.f..D. signalé

niacchésic province on a signalé

jéigal^mejnt de la baisse, slfrtput sur. le -gros 'bétail. ï#rnïai[yâ!| élat dtfes' /prés çn.es|; uni Jes\ principales raï-

sHfit.w;1J Ji

:j,~t~res~ <– En general.1eJ,Ç¡.¡Jtu-

utMtiï<¥ireêt> r~ En général^, les cultu- ,!4U t,emps trop pluvieux. On note "cependant! dn retard dans presque toute 'l'Europe. La .dernière estima-:tion de"Licht,_à la date du 30: juin, accuse une surface, ensemencée de 2.482.000 hectares de betteraves, soit une augmentation de 17 O/O'sùr^ la eanipagne précédente. Le ,n)arché mondial reste faible. "En France, il y a eu un meilleur Courant de demandes pour le disponible, du sans doute a eo qi'i, 1 i consommation avait trop .tttendu pour renouveler ses réserves, .accn- sant ainsi; une foi te <nininuiion. De ce fait elle est ni'ainten-uit c*ji jprogrès. lia cote des eourtieis as-i 'serment'és pour le disponible c»t autour de: 246 fr. lés 100 îlot de ̃sucre roux. Sur la prochaine cam- pagne la' tendance est plut, faible.- On cote, en Bourse, autour de 227.50 surfies 3 d'octobre U de novembre, i ..̃̃̃ Vins. ̃̃1-4 Dans le Midi, la situa- tion est exactement Ja intrac qu'il yv a,, huit jours mêmes coulions.. Pommes de terre. ̃̃ Les avis sur

,,la:-réciG#e en terie1 soiït'en gcaorat

,Ja;'réc~ ~en terre¡¡~~fr1:tjU)1WMt:ak:'

satisfaisants. Les poinmes de t< i ( nouvelles de la r^ion <iij iw soiil

telleinient jabondantesf^i'bn no Ips

vettd' 'plus [que 100 fiV les 100 kilos sur le 'barbeau des Halles1 et que les sortes"de ^Bretagne sont délaissées. Au marché des Innocents, On Cotai' en nouvelles, aux 100 kilos, J.om, (kjpart Barbentane 120 a 125 P umpol 120 t'ont-l'Abbe 05 nom elles

d'Espagne! Yalencia J.1Ô départ Cet-

te. î ,;çst~>

(e. ,d

Légume^ et fruits. Les cultmcst légumières ont bonne appaiencq.' Aux Halles on a note de Ja haïsse sur tous les léguine.s qui aunent en abondance elle a atteint 200 j. 300 fri sur les haricots, veits. `. La température est moins îa\ oi a- blé aux fruits qui niûiisseiit difiicilement. ;Mais ils sont abondants, surtout dans le Midi, Piovence <.( vallée du ÎRhône, ou pêches et; Ab\ l: cots donnent largement en ce jç[p*« ment. On termine la îecolt^ dos iÇ|- ̃ nses.. Onisait que les Anglais qoi .acceptept les cerises dîItaUe et d'Es*' pagne, ont interdit Pimpoitation des cerises françaises spus prétexte quo les cerises du Var: ^ont atteints du vter dé Ta [cerise. C'esl-la une «usure 'de guerre douanière eu ptuvpur

;9SrMtM~ C ~-p-<4~&<

Vib$ÈvBaines. La foire de ChaléniflftWSaône, une des plus ijnppr,tantesiffiEoijres aux, > ^auWgînés de Franpe, s'est tenue le 29 juin. Grande quantitjé tfa marchandise, surtout en, peauk de chevreaux. Lapins blancs faièins demandés les renards oni trouvé facilement preneurs 'sùrjtout les renards de mon-jtagne. 'Coïirs moyens pour bonne marchandise courante martres d'hiver ,5Q0 fr. fouines d'hiver 360 renards" de montagne 13ft à; 150'; renards plaine 80 à'100 puj tois d'hiver 75 à 85 taupes cuir blanc 1.50 taché 0.80 à 1 chèvres 25 £,28 chevreaux 17 à 20 lapins -30! à 34 fr. (le kilo) blaireaux 20 ;à 22 fr. soies de porcs .20 à 25- fr. 4e kilo. -̃• >•• ̃̃ i-i ̃ ̃ »ç", -H.N.f-

;•. ";̃̃[ ^juàiet. ;Le, marché^ officiel est litf! peu mje.ux'jdisposé! C| n'est pas <jue les ordres'id'ach-àt soi^tîbeaucjopp f)lus nourris que ces jours derniers, mais la position dei; pla.cç Kévéîée.^plrî lg liquidation conseille la prudence aux vendeurs=à âéèouVert, Les r grandes valeurs sont en effet revenues à un niveau facile a défendre et d'où

̃Qii rebondirait; visenuent à la pre-

,o,p. rebondira'Ïotf '!iw.cItle, ut: à)a,pfe-

.mière. bonne npuyejl.ev"

..Sur le marche èn,JBanque, c'est encore la lourdeur; 3ui a prévalu. La forte-baisse de4a; ÔeïJeërs hier et la faiblûsscL des aaoiitehoucs-, ont causé quelques remous.5 Le Stock Exchange de Londres où une' reprise semblait se deSSfTrvT1; -y?;t~TPtnTrrhpi^ darrs-snn attitude expectante en raison du suicide d'un gros spfculateui1 très engagé sur la Brittsf CfntrolfedïOÇ- fie-lds. Que,lques/<®ft,urs *5e passeront avant .qu'on pui,sse, apprécier les conséquences de cette défaillance. »Ên :-5ptàme, ^éanajei- ^j-attejijf! jsans grand.intérlt, Nos Renl.es piYQtgpt autour de, leurs. cours d'hier-

'Réprise des foiids ottomatis1 et ser- ves tares, 5 0/f); 85; Serbes' 1.8^)5, 141,75; "Russes, fermes. Les établissémtents de crédit gagnent quelques francs Banque de France, 15.325; iBxmque de Paris,, 2.070 ^Lyonnais, 2.620; Union Parisienne, 1.320; Comptoir d'Escompte, 1 380, Molnlui, r>!)S, Banque det, Pdi/s du \<nd, (8(>, [ (it'ciei 77/J/P" iiin, .î()50, (A/mpaqme l'ftifc»'»,

l'.<)13;

G( lia aie Foiidc-e, 1.480. rumclc des chpimns de 'fer: Xouî, 2 080t, hjon, 1.300

Le Suez s'.mnce i l'.i 7.">0. Ë\ceUi'iite tenue du gioui)e élec- trique Dhtubulion 1 573, Générale ^d'Eleclru'ite, 2U>3; Tbuimon, 524. VMruts rruLiIlicnies feiines, saul îe Rio qui îecuh à 1700. Penanoija, 1.21)8, Plntim, 1,122. Pall\( (Uni ma, 753. Phosphates tt pioduits chimiques tu pioms Gajsn, 1.030, Kuhlmann, 7(>3; Pcchinci], 1 77.") \znte Xoivt- ^0-imitic,^ l.i'M, air liquide, .")i') ?;u iït le s ( ilim s

l'eliol lues iri(ii\ leniK s i/ami'iff, (il)7, ( micuulu J 88,50, SU aiia

yï'f/Hco:'t'e, 4J3.

])i<iuici util tus (neoie en iccul, mais ])lus iLSisUmles De Beei^, 1 86Ô; Mme, d'oi, fcimcs, I es caoiitchoutiercs cèdeut q'ielques s ftancs Padanq, 1.400; Terres Rouf/c», 1)3Q. \u comptant, Vhnmobiliirc des voitures, donl k iii.ii Ju' est complètement dibU<)<>i s'.i\ nue a 755 UlUeitucité di Pans gagne l.">5 fi a 2 500; Lnerqic éhcUiquc, 12,0 à 1 300, part Minière dn Conqo 300 à 17 000, Bénédictine, 290 a () S«tj, Vail Caoutchoucs de llndoçhiiu, 20 j a j %0 ex-coupon; Bvthune. 100 i u.625, etc. INFORMATIONS ECOKDMÏQUES La culture de l'o^ui. La Com- mission des questions agricoles d'i Comité national des conseillais du commerce exttrieui, îiunic sous la) ])resulcnce de M( Georges Lefebvre, api es examen tî'un rapport de AI. F.it/ Tumbacbi-g omis le ^œu qu fïB^WriitH e de lWr soit KjnOTnfrfï^cf* en France, en la faisant connaitre par des cQiifcrç^cc&r-dans les écoles, des inatries, par presse. Les oseraies qui ont couvert jusqu'à 60.000 hectares n'en représentent plus à -l'hejurè actuelle que. 7.000. Non seu- leiiientson pëûf anjéliorer et intens,in ,fiér la culture des anciennes îtjsë-* •raies, mais l'bsiér spécial connu sous le nom de jrotin français Csalix repens argentés) donne des récoltes abondantes dans les dunes du littoral de la Fr.anqe, c'est-à-dire dans des terrains dpsertiques, açtirelle,ment sans valëuKi.Il, a l'avantage de retenir,en outre! lès sables; ''L'extension de la cultiirp de l'osier rendrait inutile, sans dommage poùrle cèmmerce et l'induçtrie fran-çais, l'importation des osiers bruits eWdes articls de yannerie fabriqués à l'étranéer. `

t~RT -fl M ~u~~r~

Les grandes ventes

parisiennes

La collection d'un amateur d'estampes La salle n" 8~de l'Hôtel1 Drouot abritait difficilement les amateurs nom-' breux accourus à l'annonce de cette vente remarquable, que dirigeait M" André Desvougès, ayant à ses -côtés "M. Maurice Rousseau, libraire de la Société pour l'E£ude de la Gravure'française. Une très belle épreuve par Bonnet, ̃d'après Bouclier, Tête de femme, fut adjugée 8.000" francs- deux belles- épreu-,ves par Bonnet, d'après Scliall, L'Eventail cassé et L'Amant écouté, 3,800 fr.' une très belle épreuve par Demarteau, d'après Huet, La Laitière, '4.110 francs 'deux" très belles épreuves par Demarteau, d'après.. Huetr. L'Après-midi et- Le

'SôîtT1I.1DOffifncs'dêÜ/c :r'er~, hellesi

épreuves ffiancs d'après .^r^ halleg Je Printemps et ÛBj,Der, 13.900' frHncs1;; i'deusîivjliejfiïants. 'par; Gaugain» d'çprèsj Morlafnd, Dancings Dogs et Guinea Pigs, 4M0 francs une siipefcbeYÊpfcêtftfè par Descourtis, d'après Taunay, ie %am]bQnrin, 5.500 francs, deux très *beirës~ëpfeuves par Mallet, d'après Vân Gorp, Ah qu'il est joli et Le Déjeuner de Fanfan, 8.110 francs l'œuvre unique a Veau-forte d'Eugène Delacroix, 6.000 fisa^ncs douze aquarelles originales,, itostumes' de Normandie, par Xante et ̃Pécheux, 8.550 francs. La pièce la plus importante de la vacation une superbe, épreuve du premier état, avant le titre et: a grandes marges, de L'Indiscrétion, gravée par Janinet, d'après Lawreince; fut adjugée 30.100 francs à M. Paul Pi-outé.

Art Précolombien

M" Itou 1 lagel et M. André Portier (ml toiniuiL hier, à la salle 6, la vente des poteries, d'art précolombien, des statuettes, masques et fétiches africains

Ct ()LC UllLllb

l ih stile funtraire, empierre taillée, précolojnbien, Amérique éenti'ale, fut j ml i 150 francs un casse-tête féulIil en pierre sculptée d'une face hu7ii(jiue, prctolombien, Haïti;1 15.900 fr. ;> une toape en bois noir sculpté, Congo bil-ft, lvassai, 2 100 francs) une couronne df chef, en cordelettes tressées, ornée (h plaquelHs d'os et d'ecaille, ciselée de « ;s «, Iles Marquise 2.450 francs, et Une slallu in pierre, formée de deux « tilis » o]>pot.cs dos à ios, Iles- -Marquises, 1)10(1 flancs. ̃ Mei'b'es, objets d'art et tapisseries

Oui i iït ili.i(\ \acations très.'Charfiées,

M 1 1 ii nubrcml et MM. s Maïius Pâul- e~" nc et 'j.'ugeb B I.asquii vendront un in i-inbic emportant de n eubles, objets,

ii .ut lu on, (s t tapisserie^'Bn'cfénaéèî"-

I i a k ili jii d'hier nois:fiit ênr.egis-

trer des pn\ étincelants un lustre en Inon-i époque Empire fut adjugé I) )<l(i francs u;ic pendule en bronze et mai bu époque Louis XVI, cadran signé Piol une a Paris, 6.200 francs une paiu de (benêts en bronze, modèle à perîoquet sur une terrasse, époque Louis XV, 16.000 francs un mobilier de salon, couvert.cn Aubusson à personnages; M\tc Louis XVI, 13.800 francs une Inrqira et- cinq fauteuils garnis d'imbiilme « rayures, en partie d'époque L,oiu!> XV, 10 000 irancs une tapisseîn-mrdnie 'd'Aubusson de la fin du \mi" sitele, paysage avec habitations (2 m 55 Xt 2 m 75), 17.590 francs, et une tapisserie-verdure d'Aubusson de la fm ,du xvii0 neclc, sur fond clair, à naiibage avec château au centre (2 jn. 65 X J m 85), 18.500 francs. La \.icaliori de demain sera consacrée ,iu\ gi a\mcs*, tableaux, faïences et porLcl.uncs antiennes, argenterie, objets de Mtrmt, tkoovdtions et miniatures. Maurice Monda.

~) Expositions

et ventes d'aujourd'hui VENTES ̃;̃

HOTi'L DROUOT. Salle 7. ->-

fii-biiiytittq-tt e *i château de la R^

'~M#î/<~t~qWB*~M cMteau ua ~e !a

Piteitux inanuscuts du qUator^fëmë Sièr

cle et Incunables à figurasJnâiMH?t*tRf' Dubreuil, commissaire-p|-issuî-I. ^Çi, raud-Badin, expert. HOTEL UROUOT. Çalle n" 11. Vetoe. » Meubles: et objets d'art an,çiens et modernes. Tapisseries anciennes, Tapis. M" F. Lair-Dubreuil, commissaire-priseur; MM. Pa,ulme et Lasquin,- experts.,

CHRONIQUE^ MILITAIRE Etat-majoir général de l'armée Par application des dispositions de l'article premier de la loi du 8 juillet 1920, le général de division Ganter, commandant la 15° division d'infanterie, a été placé, à compter' du 1" juillet 1927, dans la 2° section (réserve) du cadre de l'état-major général de l'armée..

€©^R^îPRr D E S TH É ATRèS

LES PREMIERES

THÉÂTRE DE LA BARRIÈRE Le Charme. trois actes de M. Pierre Matèse.La Tarte, comédie de M. Jean Aragny. .j^e^éâtre-de -la- Barrière, que M. Irénée Mauget a ouvert très loin trop loin peut-être du centre de Paris. vient de nous donner uni « spectacle coupé », composé d'un drame et d'une comédie.

-Le drame n'est pas dès meilleurs. Que la tranquillité «d'un, ménage soit troublée un instant par le passage d'une inconnue, c'est une situation dramatique, as.'sez fréquemment traitée. Il eût- fallu pour la renouveler,' à -défaut rd/in-ciç!.ents; imprévus, ,un art particulier, d'analyse. Te"l n'est pas le cas., -̃̃̃: Mlle Maxa-TOnt'lè ¥51é ingrat de., If épouse: douloujreuae «et.,qu.i s'humilie jusqu'à, imploror: le désistement; de sa rivale.

"'K£a Tarte, de M. Jean Aragny, est uriè' comédie développée sur le ton .de la farce. Farce des plus pmusantes d'ailleurs.

Un Marseillais fa nfaron se trouve dans un café. Il parie dix mille francs qu'il donnera une gifle (une tarte, en argot), à un consommateur. Celui-ci n'est autre, que., le commissaire de police, ch argé, de rechercher' un repris de justice. Il le fait appréhender et l'incarcère.

M. Kock a joué a,vec beaucoup de Jjrio et d'entrain le rôle du Marseillais. M. G.

TROIS^DERNIÈRES DE LA SAISON LE SINGE QUI PARLE

A LA COMÊDIE-CAUMARTIN Le légendaire et mondial succès de. M. René Fauchois ne sera plus, joué que jusqu'à demain soir dimanche. 3 juillet inclus.

Jusqu'au dernier jour, le, pinge qui Parle gardera son éclatante distribution. Le 4 juilletj'clôture d'été, et réouverture le içr septembre,, avec le Singe, qui parle. '̃•̃̃.

DtJSMsfi?anattt(êein se-m-lj. ,7

ù*±£ tiC-

-'•' Aujourd'hai <y«T j n;M î;

'9!

cî5 A LA. Çomédie-Fbançaise, à 4 M. '30, deuxième matinée romantique, lettrepréface aux poèmes de Charles Do^alle (Victor Hugo 1830), lue .par M, Léon Bernard. Poèmes dits par MM. Roger Montea,ux (Félix) Arvers, Alex. Guiraud), Jean Hervé (A. de Vigny), Paul Gerliault (Charles -Dovalle),, Dorival (Petrus .Bord, Gustave Drouineau),Chambreuil (Sainte-Beuve, George Sand), de Rigoult (H. de Balzac, Chateaubriand) Mines Colonna Romano (Alexandre Soumet, Ulrich Guttinguer), Tania;.Fèdor (Alexandre Dumas, Mélânie Waldor), Marcelle pomée (Louise! Colet, Delphine Gay).

Chant M. Denis d'Inès (Béranger), Mlle Marie Marquât (Loïsa Puget). Avant-propos et notices de M. Alphonse Séché, lus par Mi Dessonnes.

/-«-if''

Même spectacle que le soir

''A la Porte-Saint-Martin (2 ̃ ili. 15), au' Nouvel-Ambigu (2 h. 45), alla Renaissance (2 h. 45), au Grand-Guignol (2 h. 45), la Scala (2 h. 45).

Ce soir

'iJt À' l'Opéra, â *!S ïieiires,- Fausi 4Mnie JMairthe-'NtopeuioaSîtiMM. -Erîc Aiidouin,

'Bqrdpn, Mauran,.1Mme^,L1.9bèr,esi Moht-f

'fort, 'M: S? ÏSffinf Dansé V Mme fMady çPierozzi, Mlles Damazio, Simoni). Orch. M. Ph. Gaubert.

»5t A la Comédie-Française, à 8 h. 15, (Cycle romantique), Lorenzaccio (MM. Alexandre, Denis, d'Inès, Desjardins, R. Monteaux, J. Hervé, A. Luguct, P. Nunia, Lafon, J. Guilhène, P. Gerbatlt, Dorival, Drain, Rognoni, P. Bertin, A. Bacqué, J. Weher, Chambreuil, Yonnel, de JUgoult, Donneaud, L. Dubosq, M. Le Marchand; Mmes M.rTh. Piérat, S. Devoyod, G. Robinne, Yv. Ducos, M. Renaud, T. Navar, J. Sully, T. Fédor, M. Roniée,.Lherbaj% Roussel).

•£. A l'Opéra-Comique, à 8 heures, La Vie de bohème (Mmes Germaine Cor̃ney, Morère MM. Razavet, Georges Villier, Musy, Dupré, Morturier, Roussel). 'Paitiasse (Mlle Stach, MM. Oger, A. Allard, Jysor, Corni2ll-ier). Orch. M. Cloez.

Jit A l'Odéon, à 8 h. 30, L'Arlësienna (MM. Darras, Fabry, L. Raymond, P. Morin, Baconnet, S. Fainsilber Mmes N.-Blanc, Ch. Clasis, D. Mony, R. Simonot).

j!Âu Porte-Saint-Martin^ à 8 h. 15, Cyrano de Bergerac (Mme Jeanne Boiteî» MM. Jacques Grétillat, Joffre).

Jt A l'AïhéNéé, à 8 h. ih, Maître Bolbec et son mari (Mmes Renée Pierny, Renée .'Rysor, Camille Vernades MM. Jean Capoul, Grange et Pierre Stéphên). ^t A LA Gaité -Lyrique, à 8 h. 30, La Marraine' de l'escouade (Mmes Dhamarys, H. Gérard, A. Castelain, J. Boyer; MM. Nabos, Izar, Détours, avec R. Allard et H. Jullien).

̃ Si Au Théâtre .DE, PARIS, à 8 h. 30, Tu m'épouseras (Mmes Elyire Popesço, Tatiana, Reine Dessort MM. Louis Verneuil, G. Tréville, P^'Noyelle, J. Sky,: Ch. Bernard et M: S. Babre)^: S Au ̃ THÉAiwie;, Sarah-Behnhardt, à <8 45, P,our marier ma fille (Mme .Aug. Lericîie, M. A. Dubosc, Mme Alice Tissot, MM. ̃MonteuXï'Héaoùiri et Mlle Gèr'maifio Risse). Dim. et fêtes,- mat. jk 2 h..30i j£ Au Pal'ajs-Roïai., à 8; h. 45, On ne roule pas Antoinette. ;<M'M. Ch. Lorrain, Larquey, G. Gobet, Michel, de Livry Mmes K. de Bedts, P. Laildaies, Marg, Pçuget).

\jt A LA RENAISSANCE, à 8 h. 30, Monsieur de Saini-Obin (M. Jules Berry et Mlle Suzy Prim MM. Pierre Juvenet, H. Richard Mlles Yv. Lyantis, Rialtoét M. Bélières).. c^S Au THÉATRE ANTOINE, à 8 h. 45, L'Inconnu (Mmes Suzanne Révohrie (Jeanne Chaumont), Lili Rito (Mme Lorgeac), Dolly Fairlie (Yvonne Sérigny), Marthe Jorge (Marie) MM. Georges Raulin (Serval), Northberg (Chaumont), Lucien Çallamand (Sérigny), Ghilain (Justin).

iSt AU Théâtre DE LA Michodière, S. 8 h. 45, Les Vignes du Seigneur (MM. Victor Boucher, Alerme, Serge Nadaud ô Mmes Jeanne Cheirel, Renée Devillers, Suzanne Dantès, Jeanne Lion).

J* Au THÉATRE Edouard-VII, à 9 h. 15 Désiré,, comédie de M. Sacha Guitry, avec Mlle Yvonne Printemps, MM. Louis Gauthier, H. Trévoux, Mlles Alys Delonde, Betty Daussmond, P. Carton et to. Sacha Guitry). v$t Au GRAND-GUIGNOL, à 8 h..45,; La Prison du vice, L'Homme de la nuit, Le Passé d'Aurélie, Nounouche. (Matinées sam. dim. et fêtes.) Aux Bouffes-Parisiens,' à 8 h. 45, Trois jeunes filles nues (MM. Camus, Gabin, P. Faivre, G. Nellson, Dumont

Mmes ?E..SPommiery Lidy. SJefn, .^réen.

.Lesley, Line Marjac). ^> 'iW'Atfk Ôapucines, à 9 hiùVès, fSeir-

bV'tendrei,; 'à-.9 "h.. 30, Mesdames (Mlljs

bei't.enare,f; 'à-9 )1., 30,3, 31e~daMes tJs,' '(¥,' l*s

Janine, J. Merrey, Pasçalînë et Marg. Ducouret MM.- Deschamps, Hiéronimus, Defrenne et Fenonjois. ,y

<£t Au THÉATRE Marigny, à 8 h. 45, Venise (MM. André Baugé, Gilbert Moryn, J. Deiss Mmes Danielle Brégis, 'l'ariol-Baugé, Jane Pierly et M. Rainiu), Au THÉATRE DES Nouveautés; à 8 h. 45, Un bon Garçon, opérette (Mines Renée Duler, Davia et- Reine Leblanc et MM. Milton, Urban, Gildes, Robert Ancelin, Sergy, Champell, Numès fils). <£t Au Théatrb Mogador, à 8 h. SO, Rose-Marie (MM. Boucot, Burnier Mlles Cloé Vidiane et Flore George, en alternance June Roberts, Çecilia Navarre et M. Félix Oudard).

<it A LA Comédie-Caumartin, à 9 heurès, Le Singe qui parle (M. Signorètj Mmes Lucienne Parizet,' Marg. Moréno, M.-A. Morins, Lily Mounet, avec MM< Raoul Marco et Lerner).

J* Au THÉATRE Fémina, à 9 heures* ̃Par le bout du nez (M. Paul Villé,.Mlles Simone Deguyse, Alice Soulié, M. J. Devalde, Mlle'F. Despernay, M.' J. DumOh^tier et M. Marcel Vallée). J* Au THÉATRE Daunou, à 9 heures, Fanny et ses gens (Mmes Jane Renouardt, Berthe Fnsier et Jeanne Fusier-Gir TMM. Constant Rémy, F. Gra-^vey, L. Dayle et Paul Amiot).

•A LA Pospuuère, -à., ? heures, Kettg

j&çxeur., Oîf»ç»i Mwy. MalA>of.Bv.,<le

CreUs, S; Déhëlly ̃; MM.GaiJàroc!ie,

Asselin-etiBaiunant). "? < •̃̃ ̃•;•;• ̃•̃̃

A l'Avenue, à 8 h. ^30, M on gosse de père (MM. Mauloy, R. Trévïlle, Ichac, Loche, Ferdy, Lamour Mmes S, Dulac, S. Berni, L. Haytvaxd, S. Miguel). à* A LA Scala, à 8 h. 45,' La Petee grue du cinquième (Mlles Andrée ©elàval, Henriette Darthel, Elise Pugelu..S. Real MM. Schneider, Ceuille, Garriel). JS AU TRIANON-LYRIQUEi &-8-t>. :30, La Dernière valse (Mlles Sonia Alny, Jane. Ferny, Novakova MM. Mazzàn,-i ti, Léon Joubert, Sainprey, Cardon)'.

`

+*

Arts, clôture; Châtelet, clôture; Co" médie des Champs-Elysées, à. 8 h. 30, Knock Déjazet, à 8. h. 30, J' marie ma femme Dix-Heures, à 9 heures, Déboutonnons-nous, revue' Gymnase' relâche; Nouvel-Ambigu, à 8 h. 45; La Garçanih; Madeleine, relâche Michel., clôture CEuvre, clôture Studio dis Champs-


Elysées, à 9 heures, Maya Théâtre de Champs-EJysées, relâche Variétés, clô ture. r ̃-

ROTES ET INFORMATIONS

r

La Société des auteurs et compositeurs dramatiques nous communique la note suivante:

La commission de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques félicite et remercie.le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts de S'heureusè initiative qu'il a prise en déposant sur le bureau de la Chambre le projet de loi qui institue une caisse nationale des arts, des lettres et des sciences» inyestie de la personnalité civile et de l'autonomie financière.

Cet organisme atténuera une injustice séculaire en prolongeant pour les héritiers, donataires ou légataires, un. droit dont ils étaient dépossédés cinquante ans après la mort'de l'auteur et, d'autre part, permettra d'aider de la façon a plus efficace, outre les savants et lefc artistes, les écrivains ainsi 'que les institutions créées en faveur des lettre», des arts etdës sciences, notamment les théitrès municipaux et populaires. La présence p'réponaérante de repré' sentants des organisations profession» neïles d'écrivains, de savants et d'arti-s-' tes'dans le conseil d'administration de cette caisse nationale et dans les comanissions arbitrales constitue dans un organisme public une innovation de première importance, dont la Société dès auteurs apprécie toute la portée et elle s'associe unanimement à un projet qui aura pour conséquence de donner au droit d'auteur une force plus grande et »ux sociétés qui le défendent une autoyjté ^ccrue. ̃

Qpsra. -r-* L'Opéra., donnera demain dUnsnebe, ..en spjrée Thaïs, avec Mme Mireille Berton, MM. John Brownlee et Gilles dans les principaux rôles. Mlle de Craponne dans le ballet, sous, h djrsçtion M. fx, Rublmann.

w

Ce soir, très belle interprétation de Faust jvee Mme Marthe Nespqulous et M. E. Audouin.

Comédie-Feançaise. •»- Demain, en m»' tinée, on donnera le Demi-Monde, avec MM! Fenoux, Monteaux, Dorival, Le Bargy i Mmes Cécile Sorel, Devoyod, Dussane, Marie-Bell.

En soirée, cycle romantique ̃;̃̃ (deuxième représentation de Ruy Blas 4»PS sat JIPHyelle présentation»-- · V-'ij «jl {y>iu

h 'r:J i~ .M.

f ,:»̃ } |

Fantà^ii' îsera repris iff'S^Mji^iawe^ pour la*>première fois; dans le rôîéUs-Jp'à.ntasio, M. Yonnel. d^ns, celui de- gparçk, M. Lucien Dubosq..

OfÉRÀ-CoMiQUE. Lundi, en soirée, l'Opéra- Comique affiche les Contes d'Hoffmann, Mmes Gondy, Madeleine Sibille et Marie-Thérèse' Gauley chanteront les trois premiers rôles féminins de 'l'ouvrage d'Offenbach.

Les principaux rôles masculins seront chantés par MM. Oger et Dupré. ta di^« tribution comprendra en outre MM. Hérent, Bçussel, Azénm, Jysor, Rousseau,

d'Arjac,

L'orsliestre.sera dirigé par M. Cloez,

PoRTB-SAINt-MARTIM-. ™» A-4 h. IS et à 8 h. ij, demain dimanche, en matinée et en foirée, quatre dernières de Cyrano •lg Bergerac, avec M. J. Grétjjlat, Mlle J. Boitel et M- Joffre. Lundi, reprise du'CAç-. mlneau, de Jean Richepin, avec la parti-, tiop de M. JTiarko, Richepin. (MM. Jo«re, Pierre Morin, Mlle Niclos, MM. P, Aljnette et Clenat,)

GRANDrGxJiQNoi,. Aujourd'hui et demajn,. en matinée &1^aJ^SwJi&.J'ftoU

*T''?" j" 'T'.Tl??™ I1** T*

TpTBÉÀTRESTf MOGADOR»

REPRÉSENTATION DE Rose Marie LEflUlGJfîSLSUCCÉS DE Ir'ANNCE ̃ D.m«io DiBWndu, M»U«e àZb.30 Sf ir«a i 8 b, 30 ̃

LE FIGARO IlilOl^ffiR MOBILIER

U Code du Propriétaire L'ENREGISTREMENT ET LA VENTE DES FONDS DE COMMERCE

L'enregistrement de l'acte par lequel se çïde un fonds de commerce remonte à la loi du 22 Frimaire MVIL

Cette loi dit ceci

« Lâçqu'un acte translatif de propriété ou d'usufruit comprend des meules, et immeubles, le droit d'enregistrement est perçu sur la totalité du prix au taux réglé pour lesr immeubles, à moins qu'il ne: soit stipulé un prix particulier pour les objets mobiliers, et qu'ils ne soient désignes et estimés article par article dans le contrat. » Autrement1 dit, en appliquant ce texte à un fonds, de commerce, si l'acte de vénte ne porte qu'un prix global et comprend tout à la fois la maison et les meubles, le droit d'enregistrement est calculé uniformément d'après le taux "des immeubles. Si, au contraire, il est énoncé un prix pour la maison d'une part, et un prix spécial pour chacun des meubles, le droit est calculé d'après le taux applicable à chaque ar-

commissaires-priseurs Vente Hôtel Drouot, salle 6, le 5 juil., 2 h. BPU MOBILIER S Tableaux, céramiqu., sculptures, bronzts, pendules, meubles et sièges des 17° et Ï8" siècles. Ameublement de salle à -maager style Renaissance.

Appàrte"n. & M. X. et *ray; chât.pi'O.vinee, M. Léon André, c-prl, 26, r. dé' Téhéran. M. Georges GuiUws^ jPXf>^3,r.d'Aujn«lî. Exposition publ. lunSi 4 juillet, 2 à 6 h. .Vente en vertu d'ordonn., Hôtel Drouot, salle 16, lundi 4 juillet, à 2 heures*: TABLEÀtJX MODERNES par Antral, Conrad, Foujita, Klingsor, Lapade, Montassier, Utrillo, Vlaminck, de Waroquier, etc..

M'Paul |Hotjel»c.-pr.,22,r.Chauchat, assisté MM.Briant et Robert,exp,,7,r.d'ArgenteuH. Exposition" 'publ. 'dim. 3 juil., 2 à '6 h. officiers ministériels Belle PROPRIETE à Margny-les-Compiêgne (Oise), 81,-r. de Beauvais. Conf. m. C 1.006 m. Libre. M. à p. 120.000 fr. Adj. Ch. n. Paris 26 juillet. S'ad.: M" D11janJ des Aulnois, n.à Paris, 15, r.Tronchet

du vice, le plus grand succès "qu'ajt connu le Grand- Guignol.

»#*é»c'Jf"

Potinière. Trois dernières de la saison de l'éclatant succès d'opérette Ketty Boxeur. Dimanche, matinée.

Théaïrë de i,' Avenue; Demain di-i manche 3 juillet, dernière matinée de Mpn gosse de père, le grand succès de rire: 4e M. Léopold Marchand.

Maxime Girard.

Spectacles et Conceife LES PREMIËJRES L'ŒIL DE PAiRIS V TTojfë .ma« rii FwtsUie dVstualité de M. Henri Dumont. Chansonniers- et- divettës sont à à rhpnneur a L'Œil de<. Paris, oàr M iMajorité du spectacle Jfeur î'ést'râs'éM vée.iNous avons erttendu tour à tour

Mlle Geôrsetté- César qui' a -Maison

Mlle ,(!1eori!l}tl,â;' ce,' sn1" '9,ùi<a :'P,'I1i(¡on,

de chantet! « L'Omnibus Madeleine^Bastille », rttaïs'1 jort' xi'êmp'runtet upe autre chanson «u répertoire de Mlle France Màftfs M. Buvic-à flùi" l'ironie sied juteux de le lyrisme "j M. Jean Vôrcet 'qiii a beaucoup d'esprit et du plus mordant. lie Leduc est charmante de désinvolture et de' malice et interprète à ravir les œuvres de Noël-Noël, avec des Rés-j tes qui rappellent peut-être un tantinet ceux. de Martini. L'humour de M. Roméo Cârlès est des plus savoureux et cet excellent chansjpijii nier se double d'un véritable virtuose de la.sclë. Mlle Marie Bubaç, qui a certainemtetrt-orie jolie voi)ç,' abuse de la danse; excentrique^ et comproinef ses moyens par un esc* ces de gesticulations Qui feraient meilleur effet sur une scène" de music-hall. C'est avec joie enfin qiié nous avons applaudi quelques-unes de.çei gaynètes, si pleines d'obseiv v'ations et de trouvailles comiques où triomphe l'invention satirique1 de Jules Mpy.. qu

M. Henri' Dun^pnt n'a pas"ëhpisi des thèmes bien houyeàùx ptmr brocl.r l'aimable fantaisie qui ter- mine le spectacle. Là crise des ap- partements les regrets que laisse le passé, l'Académie françaïse, le TSiéfttrei î^tuel et part içuli-èrthiiént

UlàL.'dern%é, ̃- H*èci;- W' ?%' 'Henri;

or '0 '<il" 'f"" < '.J.. ':1 t,

Berhstein^^nt^ifefe^ â_ytt 1p&

'le (|e blugitésVèpê^^die^'cnïlès1 ;ypr| se mêlent £la prose. Tôufiieia ÇSt plaisant et fait so.urïre, DigJo» gue, tirades et couplets sont d'ail- Jeurs d'un tour soigné et témoi- gnent d'un souci de l'élégance et du/ bop^ ton qui se retrouvent dans les propos de M. Louis Tune, un spea- r ker qui enchaîne av.ec des guirlan-

des..

aes.. ̃̃̃"̃ Jacques Patin.

Aujourd'hui v q

Même speetàpJe qne ï'ç sçîr'

Aux Fplies-Bergère (2 h. 80), h, l'Olym-

pia (2 h. 30), il- l'Empire (2 h.~0),' îi la Cigale (2 Jj. 30), au Cirque

d'Hiver (f II 3Q)t à Madeleine-Cinéma,

d'Hiver (j Il. 3Q)~ il. MAd, !!leine-q~~¡:¡:u~

(2 h. 30), ywWmi (3 h. >).. Ce 3Olg 1 -r,i -t.•>̃],

if .1' 'r,

'Jt Aux FoLiES-BEnoÈnE, à 8 h. 30, Un Vent de Polie,' hyper-revue de M, L. L.Çmarchand, avec Joséphine Baker, Fçwler et Tamnra, Jack Stanford, Rpné Rudeau et Nicolska. jt Au Casino bb Pahis, eo soif, à 8 h. 30, Petrit-New-York, des Dçlly, Sisters, Hal Sherman, les Lilliputiens,

"1I1bs"~16rM(lei" ~UAlbhlflJIf~ ptr~

drta, eteerlys:etfeK«e)3Î ï; .(,-â,-r!-?;.f ,i

,¡\u l4;R.\ILJ}!1'~PWl" ,:MVIYÇ.~Lk '7'"

f-'8 hf 30, la grande < revue Ça. c'çgt

Paris (MistingueW, Randall, Çârl ^eslie, ÇeJjron-Norbens, Marthe Berthy, Yvonne Legeay, le Sparlt's ballet; les 40 JftskgOn Gms et les Lancashire lads).-

Jt Au Palace, à 8 h. 30, Femmes et Sports, nouvelle revue à grand speqtacle avec Georges Cnrpentier. à» A (.'Empire Musio-rUr* Cirque. La Revue de Rip, aved Marguerite Deval et la troupe 20 attractions, et « Voulez^vous faire du ojnérfla ».-(20 minutes de fou rire).

jt A l'Œil de Paris (4 bis, rue de l'Etoile, avenue Wagram f tél. t Carnot 36-82), à 9 h. 30,- Ros.se. mais- ris l (Marie Dubae, Renée d'Yd et Maurice •oggi), Jules Moy et les chapsonniera Roméo Cariés, Jean Vorcet,- Ourle, "eta,

1 ̃ .n^«_ i– ̃' '•'

Aux Fqliës-Bbrgèri:. L'étonnante hyper-revue Un vent de folie, dans laquelle triomphent les fameus danseurs Follet, st

toUÊfaeyêg idJfféreiiéé est' pratiquement W&WÊQrmnte puisque le taux de l'm- ̃WiÊfemeM appltcBtk°A tlrf tente Tjflw immeuble, Kefirfç^trenieflLY^Cim'mjmt dit s'entend) est. de 15 pour J00, le taux des meublés n'est au contraire que de. 6,60 'pouf 100 en général.

Les immeubles, le fonds de commerce et l'indemnité de dommages de guerre d'une brasserie avaient été par adjudi- cation attribué à un epcherisse'ur. Le procès verbal d'adjudication donnait trois prix, l'un pour les immeubles, l'autre pour te fonds, le dernier pour l'indemnité de dommages' de guerre,; le tribunal fut saisi du différend" qui s'éleva avec l'administration? L'acquéreur estimait le prix porté an jrraiiès verbal suffisant pour constituer Ténumèration exigée par la loi. L'administration so^int qu'il aurait dd figurer non seulement dans le. pmcès verbal d'adjudication mais aussi dans toutes les pièces officielles qui avaient précédé la, vente, cahier dès charges notant-'min't. Le tribunal lui a' donné' raison; Que cette". solution .soit ou nàn, sujette* à critique, les. intéressés feront bien d'en prévenir l'éventualité.

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̃̃<4?fB ̃S^J.'Tiï l®n énonce; >l!arrç*!é|i£n Argentjpe, parmi' les passagers'*1 V Vin-.

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îturbi, quj 'y*, donner' une série d&'cpn* fertjs (fenj» les principales capitales de'l'Âmê^ rlque du Sud: Buenos- Ayres, Montévi;dep, Riorde-Janeiro, Santfagorde-OMli.. Ç'egt Ja première fois que le célèbre Wtuose vfeite, le. nouveau continent f jj trou^ yera certainement auprès des populations' l'Amérique latine, dont le rapprochent .ees affinités de race et de culture, d'innumbrables admirateurs et des triomphes comparables a ceux qu'il a J'habjtudç 'de remporter en Eurppç. "•'̃; li, de Crémone.̃ '•

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Pour corser le programmej un reporter Je Candide suivra le milliardaire éphé-i mêré et rendra compte de. tous ses faits st gestes. Peut-être verra-t-il que tout 9?est pas rosé dans la vie d'un rjohard. Nous., croyons que l'itinéraire choisi par lé gagnant passera par la rue de Paix, l'Agence C00U et Bodéga. A midi 30 minutes, AI.' Gravier sera libre. e réfléchir aux vanité» de la fortune.

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Monphofigifr.olO,. vi' |

-™Jm??rix (t^'P^ident,. t «ijfffla #jgpubliqu£ à gaint-CJoud Dçriîain dimanche 3 juillet, M. le Pré^siderit de |a. Républiqug assistera sur l'hippodrome de SaijitTCioud au Grand Prix, placé sous son. Kaut 'patronage. Cette épreuve capitale, dotée de 405. 'mille francs et' d'uni dbM d'art, 'offert paœile chef de l'Etait, venant après le ri-'and Steeple-Chase:<jt|le Grand Prix de Paris, forme ,1e pojnt cculminant dés

grandes courses ïntpf ûa.Uonales de la

saisoH^.d'été créée ci l^Ûi et courue

ijasqîi-n-'igW sur Th'lp îoarome dftrM4i^

I,J,'îl5CW, '#r, '19H .S,Rr '1, 'l1tP, ,?4rQme 9ftrH-, ltti°,

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Troîs KarSiés;, dont un "gardé, peuvent retfèWfti'Tpl'usîëM'S -mlHiersi d'automobilès.:0I J3 Juté ̃•̃ •̃ Les Bourses commenceront à 2 heures, Le Prjxjjjlu Président de la République jswa couru 4 3 ,h. J0.K'

"Voici, lès partants, jet nioAtes probables pour Ja grande épreuve M. Marcel Boussafe' fianstar, 4 ans, 61 k. M. Jean' lAVmi, %ïntfs Daflîng,

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KLe Prix Général Àuselin pour officiers est gagné paç le Jieutenarit Marin, montant Quentin, le lieutenant Tourné,,sur Qùirinal; et le lieutenant" Clové, sur Lutin, sont'plâcéS^^et'âV r- Uiiè< coupe' d'âïgent, offerte' pàrf 'le§: ppçaiden€s idui,conoQU-Es,sie*,harojt: Âj, Teil- et. le baron de Neuflize, a été trlPlamnierit enlevée par -Mmfr .Gaiithièr de

Bayon, ;jnontant sa remarquable jùinerit

Oalatée. :J!lQ~t!lnt sa .̃,̃" ̃ M.- Roger,,de La Croix, sur Ritournelle,1, et le lieutenant Longin Spindler, surï Vaififfllt ont ESi§ les j>laœs d'honneur. 1 ̃ "-̃̃ "JLa Coupe Internationale Jeudi, a été jouée, au Polo de Bagatêlle, la 'finale de la Coupe. Internationale, épreuve la plus importante de la -"saison.

Les Crocodiles (gris et. rouge) MM. .V, RjOsenthal, H. de Monbrison, H. Cputurjé, J.-F. Macaire, se trouvèrent, en1

présence des Enthousiastes (bleu et ro-

se) MM- le prince 0. flalim, major Jung; P.-W:;Dpllar, baron J, de Bpnstetten.' ••̃̃' •-•'̃̃'̃'

A.'près six poriodes très fortement méaées, les Crocodiles furent battus par lès' Enthousiastes, qui marquèrent 6 buts

contre 1.

^Inae de Monbrison a rém'i^ les magnifiques coupés 'offertes par TM. Robert Le-'

Waudy. ̃'̃:•' "'̃̃'•

~) a~

} AUTOMOBILE

l,i' ¡

4es Grands Prix de l'i C. F. LA PREMIERE JOURNEE

Ce matin la course formule libre Cet après-midi la Coupe t, ft "-tdel la» oo-taniissiôn sportif.

iï&M W |#^wës^:i>utodro.

'(~'b,' C, .,W~u,f,¡' t,' Í"Ó,h, r~u, f,C,S,J, ;-J'autoctr9,

%ï&t J^orjtlJïçi'Y, ser^ donné ]fe dé-

parfçle Î3 course fpriwîfe Hbf g et

13 heures celui (Je, la Ggiipe. 4e la oomiwssion sportive, ̃ H,

Nous avons donné, hier,; toutes les précisioiis sur ces, deux épreuves, et le?> concurrents qui y, participent, a 4 la suite des. opérations de pesage qui s# sont .déroulées hier, trois forfaits seulement ont été enregistrés. Ç^ sont, dans la formule libre, ceux do AvDuJiopnet et d© Colette Salo, itjgn, et dang la coupe de la commission sportive, celui de Lesçot sur voiture De Coucy.

Nous aurons donc aujourd'hui- un' programme .captivant, que les spsçl tateurs des tribunes pourront suivre à l'abri, car, répétons-le, cellesroi sont couvertes sur leur majeure partie, Ily aura 8 partants. dans la foi'* mute libre et 19 dans la coupe. de la commission sportive.

̃ l/ •(^\ :.?̃̃••

v'if"t.ei opëiiatlons <ïii pesage ïTes voiturcs d^i Grand Prix de vjtesse se sont déroulées hier et toutes les voitures engagées se sont présentées. €e sont :̃̃̃"

..2. Malfûjd (Eyston)4 f. Talbot (D

,vq);. 5' ~no~t). M<î.

D~~(Bp~ter),f4. B~

(Materxissi), 16. falbot JIl (Wagner),

18. Belage Ui (MôreJ), 20, Bugàtt

(Poux), v

Les remplaçants sont, pour le team Delage Sénéchal; pour Bugattj, Costotjni et ÇoneHij et pour TaJbot, Soriceaii'.ï.- "̃. Le déPWt du Grand Prix de vi|e§sie qui devait avoir lieu demain à IÀ te 30 ne sera donné qu'à 13 heures, Je Président de la République ayant manifesté le désir d'assister à

1 arrivée.

Le spectacle sera d'une rare beau- te car toutes les voitures sont merveilleusement au point et leur vitesse, a. quelques kilomètres près, :est sensiblement, la même. Il est à peu près impossible de faire un pronostic La lutte sera extrêmement serrée entre

capitaux lJ"' l

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Si le départ du Graad Prix n'aura. lieu,: qu'à 13 heures, la matinée sera quand même fort animée, Elle sera, en effet, consacrée à l'ultime préparation des bolides et le spectacle de ces galops d'essai sera» infiniment intéressant, pour ceux qui .avanceront l'heure de leur-venue'» Tautodrome de- Montjhéçy,. Robert Haussât.

· ^=~

̃' i e i l% meeting de Dieppe Comme les années précédentes, l'A. C. 0. organise, pour les -9-10 et llr juillet prbcliains, son meeting de Dieppe. Le samedi ;9, se disputeront le rallye Dieppe et, un concours d'élégance, le .dimanche, dans la .matinée, une course de cote sur S00 mètres, départ arrêté, dans la rue Gam"betta et l'après-midi, daîjs la côte de PiQMryille,' le. mille, départ arrfté et, le, k,iWmètrc Janp.é. t î:iîfln,;le meeting *se terminera le luri-, d$ ïi par -un gymkanà et ïe« Pri^ des

~!BM.i(! a. ~<1.' j ¡

̃̃̃ ̃' r'i 1 -tt-ï .itr. \j '1

T^MtATjo$Z;y:

"tié raîtf 'du commandant Dagnaux "te commandant Dagnaux, ainsi que son mécanicien,- sur le 'sort -desquels on qtait inquiet, ont atterri à quinze kilo-' mètres au sud de Fenoarivo, par suite d'une panne-de- moteur. Une automobile amènera à Tananarive les aviateurs qui s'ont sains et -saufs-:

Fenoarivo «e trouve à 60 kilomètres au nord de Miarinarive.

~T,lw~rt-r~n

TENNIS

"JLES .CHAMPIONNATS-

.D'ANGLETERRE

A WIBJBLEDbN

Après la victoire fe Cpcïjiet.

"l,ia magnifique victoire remportée par Henri .Cochet sur.W., T., Tjlden" a littéralement enthousiasmé- tes nombreux spectateurs, qui se pressaient sur. les

gradins bondés du court central de.Wim-

pledon.. Non pas parce que Tilden avait été battu; mais bien par suite de l'extraordihaire rétablissement d'une partie qui semblait irrémédiablement perdue, l~ ieffeçtué par Cochet.'

Tilden menait par 2' i manches à 0, 5 jeux à 1 dans, lai Jrpisiènje. II. lui suffisait d^fevgfrjUB M Bftur àagçjev^iir,

.sa~.cc,,CQc!~t ,onte~tL fe.,]cu,Mre~.

30-it ~0 ët' af t~t Wt~7e~ j~re::>

tendait SUr'lç1 sbrtreenujdçtf "de voir tfe-

lni-ci- |agiçr,1t,eè''sêi'vft'e's- sfe'és.'durs )3t

rapides, qui 'àV-iïé\û ''jusqu'ici dominé

Cochet, furent repris magnifiquement.

Çeehet, furent ni

Alors la physipnomjè de.la partie changeta, A son tour,. Cochet domina et de 5 jeux à 1 pour Tilden, il réussit à égaliser 5 à 5, jouant des balles courtes qui faisaient courir son adversaire, venant au filet Cochet eut- la manche à 7-5. Ce fut un tonnerre ~dë bravos par }'as«istance éleçtï'isée. '̃' Dans la quatrième Jnanclie, Cochet eut

quelques moments critiques. Cochet a

mené 4 jeux à. 3, mais TjWeP égalisait Il,'

4~ ;'Ii, 4 je,'ux il, 3, mp¡~ :r""il,i" <.I! égalisait

S' 4-- Après ijvoir 'ànjfeivf i jeux à 4, Cochet fut deux fois à un point d'enje-

yer^le jeu avant de teçuiin/r par 6-4.

Dans ila ciriq|iipm;Ç!^ maîiiclie, Cochet, perdit son service au 5" jfeù encore qu'il eut 40 à 0. Tilden menait alors par 3 à 2. Très énergiquement,, supérieur ,physiquement à ce moment Tilden qui était épuisé, Cochet eut ensuite quatre jeux do suite, gagnant par 6 jeux à 3 uj» match -<qui marquerar une date historique pour le tennis.

Aujourd'hui, si Je tpupnpi n'a pas été regarde par le mauvais temps 'dfhjtèr, nous aurons les finales 'des championnats simples, Mlle' de Alvarez contre miss Helen Wills, puis ensuite' Henri Uocnôt contre Jean Borotra. Il' faût's'attendre à voir battus tous les records de l'assistance à des matches de' tennis. rf^2 ^"t^e .JWffi?^' 4i BruSP9n et miss"

Ooiyer bàtfirêftlj ait^troisilrne tour Si

ml<*H' mlss ff apseott et -J^; Phi'guharsDiï M«r 8,6; '6-4. Eh double de dames, miss

»«..Wills«et- -Jn.i«s- E. Ry»n ̃ pirf Mimiiié

miss P. Dransfield et miss: Hpgarth.' 6-3,'

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LE GRAND PRIX DEPABISUr s- La seconde journée

Cinq coureurs seulement se trouvènl qualifiés pour les séries du Grand Prix des Professionnels pour les ultimes ren* contres de dimanche.

C'est dire combien sera intéressant le Prix de l'Espérance/ qui doit qualifier trois nouveaux hommes.

Au cours de la .journée d'aujourd'hui, sera également disppté le Prix QuenV tin^Bauchart, qui mettra en présence, sous forme de course poursuite, les équipes sélectionnées de Paris, de Belgique, de Reims, de Lyon, de Marseille, de Bordeaux, constituées chacune par quatre hommes.

Seront également courues les séries du Grand Prix des Amateurs etrd.ee Indépendants..

Et, enfin, Je Grand Prix du Conseil Général,' en deux épreuves de 23 et 50 kilomètres derrière motocyclette avec' rouleau à 80 centimètre),, .d (,

Pa'r ailleurs, les spe'ctateûi-s assiste-' rôr^t au Championnat de France militéîre sur rbûtë co-ul-u sur* 100 'kilomètres !«veç 'départ à 'Chaiiipigny 1 et- anivée à ̃ e 4a Piste Municipale du Bpis f}e Vinç.en- = ^ies ,^u '^HUV 4e là. réunjori '1 elçpursës.

!.j..fj

POLO

La Coupe Internationale militaire' Au "Saint-Cloud Country Club, danà la finale de la Coupe' Internationale mi-, litaire, le 8° hussards de l'armée aa-> gjajse a été battu par l'équipe mixte ;du 6" et 13° dragons par 5 buts ,1/2 h. 5 buts.Les dragons recevaient 3 bùjt's,l/î2j

~e–

BILLARD

LE CHALLENGE R, DE DRiBTÊ Victoire de Charles Farouix v

Le Challenge Iî. de Drée, disputé S Vichy, a donné le résultat suivant 1. Faroux (France), 5 parties, 5 vie-, toires 2. Poensgen (Allemagne). 5 par* ties, 3 victoires"; 3. Qavin' (France), 5 parties, 2 victoires 4. Maréchal (Bel-, gimie), 5.parties, 2 'victoires 5. Pons (Espagne), 5 parties, 2 victoires; 6. Appleby (Etats-Unis), 5 parties, 1 victoire. A l'occasion de ce tournoi, les records du monde (amateurs) que voici ont été homologués "•

Plus forte série, 88, par Faroux plus forte moyenne particulière, 20, par Poensgen plus forte: Jnpyenne générale. 7,50, par FarPijx,

r.n[»..|n'V -»i-ifv- ̃- ̃ ̃

\'J;H:~ -) J''j.i~ :f~

r'yy "i ~I~ · i~

y* è Szrtvs-'b-JiQXfit -̃:̃•? :r -m'.

Mjckey Walker «'

resfe. champion d\i mondse

Le champion du monde des poids moyens, l'Américain Mickey Walker, a conservé son titre en battant, à Londres, jeudi soir, l'Ecossais Milligan,- qui abandonné à la dixième reprise. La victoire de Walker a donc été très nette, ainsi s'affirme une fois de 'plus la très, complète; supériorité des boxeuïa américains sur les boxeurs européens,

̃-••tfïff-;

Au Tir aux Pigeons d'Aix-les-Bains Prix Saaoedra (1 pigeon, handicap).. 1. cpmte de Prpt, Vepspreween, docteur Magrinii 18 sur 18 4. Questala, 17 sur 18 5. uenuno 15 sur 16.

Prix Jean Guimet (1 pigeon, de 29 à 92 mètres), 1. Flory, de Lunden, RaÎjeL 14 sur 14 4, Gejnmp, Dardon, Bbw doni, 13 sur 14. >

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Chroiïigift de T. S. Fj Une semaine radiotéléphonique du-tou- risme est organisée par l'Union des Grandes Associations Françaises. Elle débutera par une causerie de M. Fernand David, ancien ministre, président de l'Office National' du Tourisme. Prendront successivement la parole M. Chàix, président du Toùrihg Club; M. Victor Bérard, sénateur du Jura; M. Armbruster; sénateur de l'Aube; MM. A. Borrel, Landry et Le Trocquer, anciens ministres; MM. Auscher,1 'Audigier, Dal Piaz, Maillon, Géville, Sicre, délégués par diverses associations touristiques.

18 h. 35 La Semaine radiotéléphonique du tourisme.», par M. L. Armbruster..

Radio-Paris (1.750 m.). Emission de midi 12 h. 30-: Concert Caravane Je Marouf (Rabaud) Air du Jongleur de Notre-Dame .(Massenet); Padmayàti. (A. Roussel); Deux nocturnes (G. Grécourt). Emission de'l'après-midi 16 h. 30 Concert. Emission' du soir 20 h. à 22 h. 45 Causerie. Concert de gala avec Mmes Maria' Axarina, Louise Carmel, Jenny Elsen" Mlles Sylvie DufourStaub, Denyse Labory.^ MlI.îiAssilieff, Jacques

foie reins estomac y

vessie

intestins

àrthritisme

Feuilleton du S Figaro » du 2 juillet; 1927 Sous la Croix do Sud

le O 3VC .A. 3SC

,1 1.

«cl'll be loving, yoji alwags

With a love' fhât's true alu~ays. a

IV a

Mrs Daisy Henderson

En s'inslallanl de noin^au devant -K& Pleyel, il av^it vite oublié l'auditoire qui se pressaitidàns le salon du paquebot où, exceptionnellement, les passagers des différentes classes se' trouvaient réunis ih n'avait plus vu près de lui que la grâce élé- gante de Mrs Henderson" dans une robe de voile hardiment décolletée 'et la main fine où scintillait 'un diamant; prodigieux, .prête à tourner les feuilles du 'cahier ouvert sur le pupitre.

Un regard sur sa voisine le sourire trouvé en réponse lui avait redonné courage. Sous-ses doigts, la même plainte émouvante était née, le même chant harmo-: nieux avait jailli, grandiose, dans le silence de la salle que troublait seule, assourdie et lointaine; la vibration rythmique des machines.

Le tonnerre d'applaudissements apaisé, André avait !dû,: sans plus tarder, entamer son second morceau le prélude de Rachmaninoff.

Porfman, Kamenetsky, Norcel, Roussel, le- chànsoimierrFrot,-Iodel Club. v. r; ̃P.TtT T. (458 m.). 14 h. Concert i.-Scèhes rustiques (Mouton); 2. Ntocissus (X.);3;,Les Pêcheurs de Perles (Bizët) 4. Menuet et Madrigal (MtoUs- Silva) 5. Cocorico (Ganne). 20 'h. 15 Causerie « A travers l'Aveyron ». 20 h. 30 Causerie « L'Art d'être Gjand-Père », par M.. Benoît-Lévy. 21 'h.: Concert": 1. J'avais juré (Georges Bernard) Insaisissable (Georges Bernard);! 2.' Chant, de Solvcig-- (Grieg); Guillajime Tell (Rossini),'Mlïé Lucienne Gault; 3, Polonaise en mi (Weber); Le rossignol s'est tu (Nicolas Sokolow), Mlle Huguette Goullon; 4. Hallucination; Pourquoi (5chuma.nu); L'eau qui court (Alexandre Georges), Mlle Lucienne Gault; 5. Seguidilias (A'ibeniz) 'Première- ballade (Chopin), Mlle. Huguette Goullon; 6.- Hérodiâde^ (air de- SaTomé) (Massenet)yjMHe Lûciënne_Gault;r 7. La plùie-fZàmflCoïs)^ Mlle Le* Flefn -8. ̃ Le drapeau (Clovis Hugues); 9. La 49e cuisinière; saynète; Musique de danse jusqu'à 24 heures. i -.̃̃ Tour Eiffel (2.650 m.). 20 h.. Cbncert" :Trio- à; ïarcMiduç (Beethoven); ntlles lIelüne~9rnitz,rlfadélemè Campôëhia et Tkl. Joseph Gilles, Les Alieilles (Théodore Dubois). Polonaise.. (Liszt),

̃: '̃̃•'̃ ,I- .̃;̃̃ •!

L thi P4-, s du Docteur GusHn

) Son numéro » terminé,' épuisé par.l'éf- fort qu'il-, ayait dû fournir, par la chuté -brusque-de la- tension nerveuse où ili;'ve- -nait-d'è vivre ces quelques instants, -André avait quitté le salon et s'était réfugie sur le pont. La fraîcheur de la nuit fit re- naître I'apaisenient.: II alluma une' cigarette et se pencha- vers la- mer. Déchires pari l î'étrave, les flots s'illuminaient de phosphorescences étranges et le,paquebot laissait ;dàrisî son sillage une; palpitante traînée de feu; ̃ Du salon, des fragments de musique, des bribes de chant, montaient jusqu'à lui. Des salves d'applaudissements, dont l'auditoire ne se'içontraif pas, avatrè, crépitaient sans cessfe.^Eûïs il y eut un brouhaha, le pont, fut:ïVÏihi robes de'soiréè, -smokings' s'éparpôlèrenf lin peu partout, le jazz.'

égfe'nk soudain.ses Records syacapés..lia.

égte~Ii.ti;o~daÍn;Ses ~c'()~a".SY,lJ.Copé,s,' .Un,

balig.#vait lej'cafl^â- t^à,ljs. ^âH-plps

tournoyaient en plein air sous réblouissement des guirlandes de lampes multicolores. André s'en fut à l'écart, mais soudain if 'tressaillit: Mrs Henffersôh était près de lui. ;• .• ,G?est ainsi que vous disp^raissq?:sans mot ̃̃̃ dii-e:. s'exclama-t-ellev^ 3e' viens seulement de pouvoir m'échàpper." et je désèspérais'de vous retrouver dans" cette côhiie! Il faisait une telle chaleur dans -le salon, expliqua-t-il, que je me suis empressé d'en partir dès que je l'ai pu. 7-r, Et vous n\vez. pas hésité à m'abandeinner i ̃ Pardonnez-moi,'murmura André, en prenant d'un geste spontané la main de la jeune femme posée près de la sienne- Vous êtes tout pardonné! fit-elle sans paraître' s'émouvoir de .cette privapfér. .Au ciel, des constellations inconnues brillaient sur' le fond de velours sombré" de la nuit,

E CATAL.OGUE. FRANCO

M. Gaston. Singery; Le mirqjr; 'Muet aveu (R. de Francmesnil), Mnië' Siniône Camys; Lohengrin (Wagner)" 'Deux pièrces (Gaston Singery) Mélodie (Georges Hüe), Mnie Simo'ne Camys Àndanterflû quatuor (iDebussy) 21 h; 15 à 22 U i Université populaire par'T.'S; F. :"M. Armand Givolet Histoire de la radiophonie MM. Maurice Privat et Philippe Lamour 'Discussion devant le 'micro Mme Paule jHelles Cours de grapholo-; gie; M. Théodore* Les problèmes de' la population; en.Europe; M., le docteur de Médeviellé. Le traitement inKa'Iatorial M" Pètitat-Cartellier Conseils de droit pratique; Mme Bonfante Histoire des savants.

Pètit.Parisièh" (340> mi ?). 21: h; Concert, avec, Mlle Suzanne Duval,. Mlle Suzanne Bertin et M.'d'Arjac dans La Cigale- et la" Fourmi» (Âudran). Ouverture delà :Cigale?.et ri'a" F/ourmî. if

-Londjres_(36i: m;;4)'i.4; h._3flr: :M\l-.

sique; 18 h;- 45 Musique militafe; 19 h: 15 "JBallade en sol miçeflr (Grieg); 19 h.' 45 Sur p,ont de quart (Alfrod); Poète" et Paysan "(Suppé); Vieilles chansons anglaises: Merrie- Englandi(Germari) ^Un/cpipéfïien "écossais; pot pourri (Alfrod);' Chansons de" marin Trois^- tâBleâux irlandais "(Arisëll);22 h. 30 Musique; de. dansé,

Daisyl les yeux -levés, désigna^ soudain trois étoiles dont4&sciiïtillement dominait leurs têtes. i « ̃ '< ̃ Southern Cross La Groix du Sud!; Regardez dit-elle. Nous -voici1 maintenant sous le signe du jnonde austral Qu'elle soit" la -.bienvenue !• s'écria ;joyeusémèjlt Andjè,. puisque j'ai le "bonheur de la contempler pour la première fois près de vous.

;7 Un instàiit,: leuKs-^euxse rencontrèrent. ° B'ùn souMré, Dais' relnercia et, dégageant sa main qu'André conservait tendrement pressée dans la sienne

Allons danser, dit-elle^, en L'entraî'nànt'vèïsle rectangle, illuftyiié.. \r "II l'éii^ga, humant le capiteux pafium ;de chjqg|èî qui, ipiat aux; lumièresjvm' 1g. musique {M à la danse; achevait ,de 'rêroUr-

,dir |às^^iblement;; dans,, ses brqs, le

'CQrps^£^p)le^>de,la jeune femme :^pndulait voluptueusement au rythme d'un tàKgo, et ses épaules nues, émergeant de la robe claire, prenaient, sous .l'éclat des lampes électriqujès, la lumirilqsité.' blànclîe, 1$. velouté délicat des fleurs de magnolias. Un; instant, il oublia le lieu il se •trouvait, les passagers et l'océan qui, de chaque coté de la salle de bal, étendait :i l'infini Isoh-moùtonnément glauque. Ivresse momentanée 'qui se dissipa avec la fin de la danse quand il se retrouva seul, après que Daisy fut partie rejoindre le baron Lepièvre- qui cojQversait avec -le commissaire. i Le jazz, déjà, reprenait de plus belle. Trop troublé pour chercher- une autre cavalière, André s'éloigna. Il allait gagner le spardeck, reprendre la contemplation de là..mer à .la- ,fdis limiineuse. et ̃soœbrej- ;quand»le désir de revoir: DaiSy, de 4'assurér' qu'elle ne le cherchait pasrruifît redescendre l'escalier de fer. En-chemin, il

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se heurta â Vandier qui fumait un cigare en regardant s'ébattre la jeunesse. Mes compliments, lui dit-il en l'arrêtant, vous avez joué tout à l'heure en véritable artiste..

D'un geste de la main, André modéra la louange, tandis que son œil avide scrutait les couples. Mrs Hendersoii ne s'y trouvait pas.

Allons, venez au fumoir, proposa le Cantonais je suis las d'être debout. Ils partirent côte à côte.

J'ai réfléchi à ce que vous m'avez dit.I'autre soir, commença Vandier quand ilsréurent pris place dans. deux fauteuils, élastiques et bas, -où. l'on enfonçait comme dans une trappe^ VjOtçe affaire peut, décidément» m'intéreSsèr/b'eaucoUp plus que je ne le croyais de prime abord. Tout dépend évidemment des conditions auxquelles la Société 'ffârifeo-Bhinôisé entendra, s'assurer mon. concours. Cependant, ^«Qgime, d'après pe" que !j5âi' cru edmprendrej vous demeurez en, fait le maîtr& des recherches, je crois que nous pourrons arriver facilement à une entente. Pourriezvous m'indiquer les clauses du contrat qui vous lie à la Société ?

Mais André ne répondait pas. Daisy venait d'entrer et Mr Hopkins, cette fois, l'accompagnait. Eloignant dé sa bouche le f lime-cigarette d'écaillé, la jeune femme souffla un nuage de fumée odorante puis, tournant les talons dès qu'elle eut franchi la porte

̃• Oh Il fait encore plus chaud ici,' montons sur le pont. Venez, Archie "ift elle s'éloigna au bras du jeune homme, sans paraître avoir, remarqué la présence des deux amis enfouis dans leurs fauteuils de cuir.

Eh bien; .monsieur Bernard, à quoi

Le Commandant

de meme que le Col' LINDBERGH a traversé l'Atlantique grâce à l'essence de qualité fournie^ far les producteurs de la célèbre mafîauo

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songez-vous ? demanda-Vândiër" à son compagnon toujours silencieux.

André parut s'éveiller d'un rêve doulou^ reux.

Par donnez-moi, 's'e&çusaMJiE ^Què %e disiez-vous donc ? V- --«̃-•. •• Ah! ces inventeurs, s'esclaffa Vandier, toujours dans la lune!

Des inconvénients du poker

Minuit..

Au fond du pare, la grande demeure de M. Grieber se dresse, silencieuse. Sur la façade grise que 'soufflette une bise^aigre chargée de pluie, une seulè<>yfenêtre s'é .détache, lumineuse, darisJa nuit sombre. Lucette écrit à son petit, bureau -de bois de rôse.^Elle n'a pas pris'^ teifps de se •déshabiller et porte encore bïa robe de velours frappé qu'elle avait mîàapour le diner auqufel viennent d'assister plusieurs" industriels de la région, dont le dipBcteur de la Société d'électricité de Do-inb'aslë et Robert Lancelot. Naturellement,}!ël.le,l!avait eu comme voisin et ils s'étaient .-retrouvés à la même -table de bridge ;iâpr,ès*ïe repas- Lorsqu'ils étaient assis l'un^près de l'autre, M. Grieber, baissant légèrement-- la tête, leur lançait de temps,"4 autre" par-dessus son lorgnon un regard/: bref qu'elle surprenait au passage et qu|, chaque fois, avivait en elle une sour,dé révolte contre ce qu'elle appelait « leXpîan familial ». Il lui 'apparaissait, ce regard, comme un contrôle exercé à distance sur les progrès du flirt dont M. et Mme Grieber guettaient l'éclosion entre les deux jeunes gens,' et, de sentir que lk*n ^surveillait. l'évolution, de ses sentiments de même que l'on eût suivi les phases- d'une réaction; de -laboratoire

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ou étudié- le cycle, de fonctibnnenïënt d'une machine, la jetait dans,une irritation contenue qu'elle dissimulait soigneusement à ses parents, mais dont le pauvre Langelot, encaissait le contre-coup-; sous forme de répliques aigres-dqùces;;ôu,;lprsqu'iM'avait comme partenaire au briçlge* d'annonces fantaisistes iquil se terminaient habituellement par un «''contre » •devlîadvers!aire_; suivi' d'un écrasement 'final du malKeureux garçon quï- ne comprenait rien à la façon de jouer de Mlle Grieber. Aussi, dès qu'elle se trouva seule, quand l'auto emportant les invités eut repris la route de Nancy, Lucette se renferma dans sa chambre et, sortant du tiroir soigneusement verrouillé de son secrétaire son bloc de" correspondance,, -elle reprit bien vite à l'eûdroit'bù, elle .Savait interrompue la 'vCiHe,,la.,Jôngtié IettÉe_qu'elle écrivait, bribe par -brrbe, à André, en lui contant cha- que soir v4çs événements de la journée. ,6'était l'heiîf^Bx'quise où elle pouvait enfin se retrouver ̃seule avec celui qui occupait toutes ses penses, l'antidote contre le découragement qui' sournoisement, venait torturer l'esprit, de la jeune fille dont le cœur voguait, là-bas, sur les mers lointaines, tandis qu'elle vivait -Jes journées monotones et pluvieuses de l'hiver lor- rain. Ayant repris la liasse des légères' feuilles de papier mauve, après avoir relûmes pages de la veille, elle poursuivit, pour le voyageur que chaque aurore éloignait d'elle. le récit de son existence quotidien.ne

(A suivre.};

r !;Annand; BJerçier,