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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1927-05-20

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 20 mai 1927

Description : 1927/05/20 (Numéro 140).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2951410

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CHRONIQUE DU s FIGARO »

.~i:

Par oîes de Soldats

ig,

Legciitiraî de Maud'huy, qui avait de la repartie, fit un jour une bonne réponse à l'un de ces parlementaires qui, avant la guerre, se montraient déjà pacifistes. Il n'était alors qu'un petit capitaine, peut-être un commandant de chasseurs à pied. Chargé de prendre la parole à quelque cérémonie publique, il déploya tant d'esprit et d'érudition ensemble qu'un député considérable dont je ne citerai pas le nom officiellement présent, fut ébloui, charmé, conquis, et le lui témoigna non sans condescendance. Se pouvait-il qu'il y eût dans notre corps d'officiers une valeur pareille ? Agacé, le jeune de Maud'huy gardait le silence et n'aspirait qu'à un prompt départ. Mais l'autre le retint avec des offres

'̃>- Que désirez-vous? Que puis-je faire pour vous ?

c Rien, monsieur le député.

L'avancement, vous n'y songez

pas.

1 Mes chefs sont là.

Et un changement de garnison ? Une bonne garnison ? ̃

Je suis bien partout, monsieur le

député.

̃ –Tâlit pis J'aurais eu plaisir. L'homme influent allait rejoindre son -cqrtège, lorsqu'une illumination traversa le cerveau de Maud'huy. Ah si, monsieur le député, vous pouvez quelque chose pour moi. r- Je le pensais bien. Très heureux. Une garnison, avez-vous dit ? Une Bonne garnison ? Je souhaiterais la ville je suis né.

Comme je vous comprends, mon ami Le pays natal. C'est une chose entendue. Et quelle ville ? ` Metz. ̃ ,• Le député s'éloigna, sans un mot. Quelque vingt ans plus tard, le généial de Maud'huy était nommé gouverneur de Metz et déclarait à qui voulait l'entendre

On m'offrirait d'être le bon Dieu, je répondrais Merci, je suis déjà gouverneur de Metz..

Metz, Strasbourg, se souvient-on, aujourd'hui qu'elles sont rentrées dans la communauté française, de l'ardent amour qu'une classe d'hommes, en France, avait plus spécialement voué à à ces exilées ? Cette classe d'hommes, ce fut notre corps d'officiers. Il y eut, après 1870, des vocations militaires comparables aux vocations religieuses, çt-aious -ne savons j?1hs ^asse? que ces vocations militaires sont pour une très grande part dans notre victoire de 1918. Nation armée, peuple debout, ce sont là des mots, dé. grands mots, vides. Une nation, un peuple ont ou n'ont pas dans le sang des vertus guerrières, le courage, l'endurance, l'entrain, et ce sont bien là des vertus françaises, acquises depuis des siècles. Mais tout cela est pareil à un champ en friche. Il le faut labourer. Notre corps d'officiers a labouré' sans relâche, pendant les années même l'on semblait avoir oublié toutes possibilités, toutes menaces de guerre. Tranquillement, obscurément, avec un désintéressement magnifique, il a travaillé. Nous lui devons notre résistance immédiate. Les hécatombes d'officiers

tombés en 1914 ont été le sacrifice san-

glant qui continuait le sacrifice journa- lier. Sur le carnet de route du capitaine Bàrthe, du 15* bataillon de chasseurs alpins, j'ai recueilli pieusement cette note, qui vaut pour tous ses camarades. Le-soir du premier combat oit son bataillon reçoit, eh Alsace, le baptême du feu sans broncher, il écrit « En quel- ques moments je me suis senti récompensé des vingt années de maussade instruction de recrues que j'avais fai-

tes. Vingt ans de préparation- payés

te, S'» un~ sentiment "d"e ,pr~r~ti~ri, ~pa)~és

par un sentiment imméaiâV'dë sécuïité

pour le salut du pays telle fut la première et la plus grande récompense de ce-corps d'officiers qui, sans relâche, avait formé des hommes..

:;r. ̃̃• .•̃̃;̃̃̃ ̃>• •.̃

Ce corps d'officiers, depuis la fin de la guerre, s'est-on préoccupé de lui rendre hommage et de lui témoigner la gratitude de la nation? Chacun sait qu'il y a dans l'armée un malaise moral qu'on ne se presse guère de dissiper. La fameuse loi- militaire dont la discussion n'avance pas, et dont le premier article n'est qu'un trompe-l'œil, d'ailleurs dangereux, car il risque de nous faire passer pour militaristes- et il donne l'illusion d'une force nationale qui pourrait bien n'être qu'une gêne, constituera-t-elle un corps d'officiers égal à celui que nous avions en 1914 et tiendra-t-elle un compte suffisant des transformations apportées par la dernière guerre, ces transformations qui, jadis, préoccupaient si fort un des meilleurs écrivains militaires, et l'un des plus démunis de préjugés, le colonel Colins ? Je relisais récemment un article, déjà vieux d'une année, du général Duirai, sur la Crise de notre organisation ̃militaire, parii dans Ja Revfie de, Paris, et j'y trouvais des indications don il faut bien qu'on s'inspire, car elles viennent de l'un des hommes les plus remarquables que la guerre nous ait révélés.•

J'ai rencontré le général Du val à l'état-major du général Fayolle, puis au Grand Quartier, puis au poste de commandement de la division aérienne. Grand et maigre, le teint coloré, l'œil oxtraordinairement clair, il vous évaluait d'un regard et s'il vous estimaii digne d'une conversation, il s'interrompait aussitôt dans son travail. II donnait l'impression qu'on ne pouvait pas le déranger, que tout, dans sa têts, était si bien classé et ordonné que, très aisément, il dominait sa matière et en

,¿,*¡¡.¿.' '-Nv11,:

disposait son gré. Jamais il ne me parut le moins du monde accablé par les besognes les plus écrasantes, ni par les responsabilités les plus lourdes. Y Chef d'étàt-major de -Fayolle de Fayolle chez qui le, bon sens confinait au génie pendant toute la bataille de la Somme! il -fut le Wèygand de ce Foch. Bataille qui rompait avec les méthodes précédentes, qui substituait aux. offensives à outrance de l'année 1915 une offensive plus liée et plus rigoureusement préparée dans ses objectifs. La Somme fut une victoire qui dégagea Verdun et provoqua le retrait allemand sur la ligne Hindenburg. Plus tard, le colonel Duval fut chargé par le général Pétain, devenu généralissime, de l'organisation de l'aviation et commanda cette fameuse division aérienne qui joua un rôle si important lors des attaques allemandes de 191 et lors de notre avance continue après la victoire de Mangin à Villers-Cotterets. Toujours on le vit perfectionnant la liaison des ̃armées. Il fut une des plus belles intelligences de la guerre. N'allait-on pas, la paix venue, se servir, de .lui pour en tirer les leçons à l'Ecole de guerre, à l'état-major? C'est une grande maladressede ne pas savoir retenir des hom- mes de cette valeur qui, pour trouver des buts correspondant à .leur activité, se voient contraints à les chercher hors deç routines TEtat.

Or, jugeant notre organisation militaire actuelle, le général Duval estime que nous rétournons directement aux errements du. passé, quand les conditions d'existence sont entièrement nonvelles. "L'outillage a pris une place ignorée précédemment. « La matière cesse d'être aveugle, parce que l'homme en est l'âme mais il est lui-même matière et la première victoire, il faut qu'il la remporte sur lui-même. Le facteur moral ne doit donc jamais être négligé, mais il importe de ne pas ravaler l'importance de l'outil. Le perfectionnement t de l'outillage réclame des cadres intelligents, habiles et énergiques. « Ce ne sont pas. d'immenses armées nationales, mais des armées relativement réduites qui commenceront la guerre, et le résultat de. ces premières opérations aura une grande importance morale et matérielle peut-être sera-t-il décisif ? Ces armées seront nécessairement les armées du temps de paix mobilisées. »

.̃̃• ̃ '̃. •♦̃ --•.•̃-

̃

Qu'est devenue notre année- du temps 1 de paix ? Pourquoi ces cloisons étan- l ches entre les différentes armes, quand la guerre les a renversées et a démon-

tre que l'infanterie, l'artillerie, l'avia-

iion, les .«bars d'assaut ne forniainai. qu'un Seul organe amalgamé 3 P.ourrquoi ce manque de travail d'ensemble? Pourquoi ces discussions sur la durée du service ? «Il faut bien, dit, le géné- '-« ral Duval, se. pénétrer de cette vérité que, s'il est permis de dire et de faire impunément en temps de paix toutes les sottises dans le domaine militaire, une fois sur le champ de bataille, il n'y a plus que les réalités qui comptent, et la réalité ce n'est ni une armée socialiste, ni une armée républicaine, ni une armée- cléricale ou monarchiste, c'est simplement une bonne ou une mauvaise armée française, résultat tout à fait indépendant de la rhétorique politicienne. »

Paroles de bon sens qui nous mettent en face des seules réalités. Et le général Duval-arrive à cette conclusion que, si nous voulons trouver' les véritables remèdes à la crise actuelle, nous ne le. pouvons que « dans l'organisation d'une armée peu nombreuse, mais très forte, composée, pour une large part, de soldats de carrière et au sein de laquelle dés périodes relativement courtes seront obligatoirement accomplies par

tous.» »

Que ceux qui sont chargés de nous» donner un statut militaire destiné à protéger le pays contre-toute menace d'invasion méditent ces paroles. Nation armée, c'est bien, mais nation certaine de sa sécurité, c'est beaucoup mieux. Henry Bordeaux.

de l'Académie française.

LE CHEVAUCHEMENT DANS LE FOUILLIS

.«.

Dans son discours de Tours. M. Fernand Bouisson, président de la. Chambre, donnait, il v a quelques jours, des conseils pleins de sagesse sur la méthode de travail qui s'impose aux assemblées parlemen- taires. Mais à peine les débats viennent-ils de reprendre au Palais-Bourbon, que le désordre règne en maître dans les discussions de la Chambre. Le projet de révi-

sion douanière déjà se trouve, on le sait,

ajourné au dela du 1" juin. On a mis aussi.en cj élibérati'on hier matin le projet I modifiant la législation sur les accidents du travail ils ont abordé l'après-midi la discussion, vite renvoyée à mardi, prochain, du projet d'organisation générale de l'armée. Aujourd'hui viendra une inter-,pellation sur les vins et la vie chère. Ce n'est pas tout. t.

Le débat sur les accidents du travail^ qui aurait dû, normalement, se poursuivre ce matin, a été ajourné au 2 juin on 1il s'occupera aujourd'hui, dans la matinée, de la convention de Washington sur les huit heures, puis des appellations d'origine, dont la discussion sera continuée mardi prochain. Mais si l'examen de ce dernier projet n'est pas terminé ce jour- là. on ne l'achèvera pas jeudi matin. Il fera place au projet de gestion du monopole des allumettes. Ce débat sur le monopole prendra quelque développement, il doit être achevé' en un minimum de deux séances celles de jeudi et de vendredi puisque le projet sur les loyers, retour du Sénat, est déjà inscrit pour le mardi 31. •

C'est le comble du chevauchement dans

Je fouillis..

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L'~c~o~ /o~

.<e–t.

La discussion du projet d'orgâ« :<

^«ra«[ nisation de l'ârmëè a commencé

M hier à la Chambre, dans une atmosphère améliorée. Au lendemain des toasts de Londres, ce débat évocateur du temps de guerre remuait trop de durs souvenirs, soulevait trop de graves problèmes pour que ne se haussât pas le ton de la discussion générale. La présence du chef du gouvernement, aux côtés de M. Painlevé, soulignait encore l'importance essentielle de la tâche entreprise. Ce n'est pas sans réelle ,émotion; que la Chambre a écouté le discours de M. Maginot,. montrant que depuis 1924, même en matière de défense nationale, le souci politique ou démagogique a .dominé, l'action législative- et gouvernementale.. Le service de dix-huit-mois est condam- né, bien que l'armée qu'il a donnée ait per- mis d'occuper la Ruhr et de sauver le Maroc. II. est condamné parce qu'en fait il a abouti à de piteux résultais mais quelle est la cause de cet échec ?? La cause, c'est S que les conditions prévues pour son fonctionnement n'ont pas été appliquées c'est qu'on a retiré les projets complémentaires déposés par le ministre du Bloc nàtio-ual fiiOn 9. multiplié les permissions agricor r les, supprimé les convocations de réservis- tes, etc. en trois ans le Bloc des Gauches, maître du pouvoir, n'a pas su mettre sur pied un système conforme à ses promesses, et qui va peut-être se réaliser sous le ministère Poincaré sauf renvoi à la Commission ou autre procédé d'avortement. D'ailleurs, le système nouveau et le projet actuel (que M. Maginot ne repousse pas) ne donneront pas de résultats meilleurs que le précédent, si l'on s'entête en des errements semblables.

Ainsi les vices parlementaires apparaissent plus angoissants lorsqu'on les voit aboutir à cette sorte de désarmement palcachexie des corps de troupes. Mais cette instabilité, ce manque d'esprit de suite, cette façon de légiférer pour pu contre un parti, cette inaction des lois, cette lenteur à les voter, ne les retrouve-t-on pas en toute ma-

tière ? -̃̃ ̃

Hier même, tandis que le discours de M. Maginot suggérait de telles réflexions, un rapport était distribué sur le projet de loi destiné à réprimer la hausse illicite, dé. I posé par M. Barthou il y a plus de trois OTP.i.s et. dont le garde des sceaux a, plu- sieurs fois, niargué Fuj-geiice. Le rappor- | teur, M." Onry, un socialiste-pàrtelliste; jM tenu à rappeler que M. Herriot avait déposé un projet analogue bien avant, M.îs Barthou. Après examen, minutieux parait-il, une commission de la Chambre nomma M. Maurice Palmade rapporteur qui. nous dit M. Uhry, le 19 décembre 1924, déposa le rapport le plus complet et le plus impartial qu'on ait pu faire il fut enfoui dans les cartons. << II n'était pas op- ° portun de discuter le projet de loi, ajoute ironiquement M. Uhry, à la veille des élections municipales de mai 1925 puis des élections au Conseil général dè juillet 1925. » 5.

Pourvu que les élections de mai 28, qui assombrissent l'horizon, ne. condamnent pas au même sort le projet de M. Bartliou; Quand lés lois ne restent pas à l'état de simples velléités, quand ce sont de vieux textes séchés et durcis à l'Officiel, leur sort est-il meilleur ?. L'ankylose les gagne. Lorsque le péril national impose d'urgence le recours à leurs articles, si insuffisants qu'ils puissent. être, le gouvernement prend figure tyrannique dès qu'il s'avise de s'en armer. Et les radicaux crient à la réaction parce qu'il est question d'appliquer le Code ou la foi sûr la presse à des"prbvocations 1 communistes à des attentats contre la sûreté de l'Etat.. 1 Voilà pourquoi, hier, à la Chambre, malgré l'intérêt des discours de MM. Ma- ginot et Missoffe et le sérieux de la séance, on ne pouvait s'empêcher de se poser cette' ] angoissante question La réforme qu'on j aborde verra-t-elle jamais le jour ? Et -m elle est promulguée, cette loi d'organisation 1 de l'armée sera-t-elle appliquée plus exacs- J tement que la précédente ? .̃]

«-^v«s^ f

La poursuite contre les communistes

l_ -?

M. Louis Barthou, garde des sceaux, a 1 avisé officiellement le président et le rap- j porteur de la commission des poursuites de son désir d'être entendu par elle,' afia de lui remettre le dossier de l'affaire Do- riot, complété par les rapports qui ont sui- vi la demande de mainlevée de l'immunité j c parlementaire, c ( On sait qu'avant même d'avoir reçu ce ( dossier, la commission avail demandé mr l rapport provisoire à M. E. Lafont. Faut-ii espérer qu'avant de juger elle voudra bijSUî être renseignée ?

-•̃̃̃̃ -i

En deuxième page Croisières tràns- t t atlantiques (A. Thomazi). Er* troi- j > sième:pagë A la Chambre Lcri'téoF~n.' ¡"l nisation de V armée. «

LE FIGARO

Fonde le 14 Janvier 1826

j Aucuns Directeurs H. de VillemessanT.

F. Magxard, G. Cal.mette. A. Capus..

ADMINISTRATION' RÉDACTION PUBLICITÉ ANNONCES 14. ROND-POINT DES'CHÂMPS-ÉI.YSÉES. PARIS Téléphone: Eîvsées I2-S8, 12-61, 02-65 i' ABONNEMENTS':

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Le retout1 r

de M. Boumergue Le départ de Londres

A tuize heures* le. Président do. la République qui, dans la .matinée,, avait visité la National. Gallur.y, prenait, congé de, la reine au Palais de. Buckingbam et, .accompagné de M..Briarul,gagnait, en automobile la gare Victoria.

Dans. un. salon fleuri et pavoise aux couleurs françaises, le. roi. attendait le président et, après. uu. cordial entretien, tous les: deux, se dirigeaient vers le quai. se tenaient, le, prince de Galles, le marquis de Crewe, le. duc de. C.oaxnaugtit, M. Chamberlain, ramba.ssadem-.de FranPBi M-, de Fleuriaù, et, de nombreus.es. personnalités. M. Doumçrgue eut'.pour chacun un- jnot aimable, puis, toujours accompagné du roi, alla, jusqu'à son \yagon et y prit place. Les deux chefs d'État se serrent ujie dernière fois la iriain et échangent quelques paroles affectueuses. w

A 11 heures 2.Ù,. le train Se mettait en route p.uur. Dous;res,

̃"•'̃• '• ;] À Douvres

Le maire et les échêvins sont rassemblés sur quai"lorsqué à 1 lî. 15, le train entre-en gare de Douvres.' Aussitôt' cortège présidentiel s'engage s'Ui1 le' quai d'enibarquoinent nue compagnie de fusiliers marins- présente les armes. L'hymne natiûual français retentit une dernière fois, tandis que le président prend congé du maréchal Haig, de- lord Cochebrooke et du major Seymour, ainsi que de l'ambassadeur de France et des attachés militaires et na val.

L'Invicta, escorté de cinq torpilleurs, lève l'ancre. C'est le départ.

A Boulogne

A 2 heures 30, Vlnvicta entre en rade .de Boulogne où tous les navires sont pavoisés. La foule est dense sur les falaises let sur les quais qui acclame le navire présidentiel. A la garé" maritime, richement décorée de. drqpeaux et de plantes vertes, MM. Peytral, préfet du Pas-de-Calais Mo- reau, sous-prefet de Boulogne Farjon, sénateur, maire de Boulogne le :général de La Capëlle, commandant le premier corps; le vice-amiral de Marguerie, préfet niariti. me de Cherbourg, et de nombreuses personnalités s'avancent à la rencontre du président.

L'arrivée à Paris

Le train spécial est entré, hier soir, à 5 heures 55, a la gare du Nord où M. Poincaré et tous les membres du gouvernement étaient y^nus saluer le président son retour d'Angleterre. La Compagnie des che. "mins dé fer du Nord était représentée par MM. Griolet, Savary. Moyrânil et Girard une conipggnie'itte la gàf de républicaine^ rendait les honneurs.. :'•

CH' os

La Température

Probabilités pour dujourd'hm

Ciel nuageux, avec de belles èclaircies. Vents modérés, température stationnaire,.

La clef. ̃̃/̃;

Une délégation française faisait un voyage en rapide en Angleterre.. Tous les bagages avaient été mis en commun et les Voyageurs n'eurent af- faire à aucun. douanier anglais. Quelqu'un félicitait l'un d'eux de cette facilité inusitée.

Néanmoins, répondit ce voyageur, ma valise a du être ouverte. Son contenu n'a pas éj£ dérangé, mais je suis sûr qu'elle. a ét(4.ouyerte. Pourquoi? Parce que j'avais perdu depuis longtemps la' clef de cette valise, et au retour j'ai constaté qu'il y en avait une dans la serrure. Le douanier avait oublié la sienne.

Fêtes en perspective. ̃̃ 1, .On a célébré tant. de centenaires, en ces dernières années, que la provision commence à s'épuiser. C'est ainsi que la Normandie en est réduite à commémorer le neuf centième anniversaire de la, naissance .de Guillaume le Conquérant. Cela ne nous rajeunit pas Au commencement de juillet, des fêtes somptueuses se dérouleront donc à Falaise, naquît le héros de la bataille d'Hastings. Et, comme il mourut aux environs de RJouen, les autorités de cette ville le glorifieront également, quelques s jours après. Il y aura cortège historique, cour d'amour, illuminations et feux d'artifice, un agréable mélange de j mi-carême et de 14 iuillef.

«*

Les cheveux courts.

Voilà une mode qui ne date pas j d'hier Parmi les. tombes que fouille, en Egypfe, la mission d'Harvard. est celle de la reine Mères Ankh, fille du roi Kar&'aal et de la princesse Hetephères, giïi était elle-même fille, du constructeur de la grande pyramide. Sui un bas-relief en couleurs est représenI tée cette princesse Hetephères, qui vii vait deux mille huit cents ans avant "FèrÈ chrétienne, et on f peut constaterqu'elle portait les cheveux courts, à la

TABLEAU DES CHANGE? ·

l' À PARIS: 1

a" paris,

à l S heures

Le Dollar vaut 25,54 j 'La Livre vaut. “> M T, ..124,02 La Lire vaut 1,38

Parité New -York.. 3,91 3/4

VOIR LE COURRIER DB LA BOUttSb El LA COTE DES I VAUVRS Â PARIS, LONDRES E7 NEW-YORK PAGE 4

mode du vingtième siècle. De plus, ils étaient blonds, ce qui est extrêmement rare pour les cheveux d'une Egytienne. Mais les propriétés du henné étaient sans doute déjà connues, et la blondeur de la princesse si lointaine pouvait être artificielle. ̃

Pourquoi ne pas profiter du moment actuel pour commander ses fourrures ? La hausse qui vient de se produire est un avertissement pour l'hiver prochain. Voilà le conseil que donne Henri Vergne, le maître-fourreur du 18, rue Royale, qui maintient encore ses prix du début de l'année sur ses renards et sur ses manteaux.

Le Masque de Fer.

Le Carnet de Figaro En ouvrant la session du conseil général de la Meuse, le 2 mai 1927, M. Poincaré, président du Conseil, a prononcé deux belles parores:

1° « Pour mon compte, je suis fer» mement résolu à ne me faire, par » complaisance ou par faiblesse, le » complice d'aucun vote qui compro» mettrait un équilibre budgétaire si » péniblement obtenu. »

« Que deviendrait la Constitution » républicaine, que deviendrait l'ordre » public, que deviendrait la volonté du » pays, le jour où le gouvernement is» su de la volonté populaire serait ex» posé à trouver en face de lui des oli» garchies professionnelles qui dispo» seraient, le cas échéant, contre lui, de » tous les organes vitaux de la na» tion? »

Bravo Pas de prodigalités démagogiques à l'approche des élections. Et pas de capitulation de l'Etat républicain devant le soviétisme des fonctionnaires. Un peu auparavant, le gouvernement s'était réveillé avec cinq cents millions d'excédent sur les bras. Il avait un demi-milliard disponible. Il pouvait le rendre aux contribuables, sous forme de dégrèvements, comme cela se fait aux Etats-Unis depuis que les Etats-Unis (voir la, Grande Parade) ont gagné la guerre c'eût été l'emploi le plus logique et le plus juste. Il pouvait s'en servir pour construire de beaux vaisseaux, afin d'occuper les quatre-vingt-six amiraux qui se disputent l'honneur d'arborer leur pavillon sur une demi-douzaine

de cuirassés.

Mais. il a fait don gratuit des cinq cents'miHions aux fonctionnaires, pour compléter la distribution de quelques milliards antérieurs. Largesse électorale. Démagogie. « Par complaisance ou par faiblesse. » Les députés qui vont sortir, et qui ne veulent pas arriver les mains vides devant leurs électeurs, en tireront argument dans la discussion du budget.

Que,disent les mineurs, à qui M. André Tardieu a fait accepter une réduction de salaires ? Et quelles réductions de salaires fera-t-on jamais accepter dans l'avenir aux travailleurs qui produisent, quand ils voient les millions pleuvoir par centaines sur les parasites de la production ? '?

La France comptait, en 1920, cent cinquante et un mille fonctionnaires de plus qu'en 1913. C'est un « fruit de la victoire » que ni les alliés ni les ennemis ne nous ont envié. Aux élections prochaines, cent mille hommes encore exigeront des candidats la promesse de cent mille fonctions nouvelles. Aussitôt nantis de leurs cinq cents millions, les fonctionnaires ont remercié M. Poincaré à leur façon. Us ont constitué, le 24 avril 1927, le Cartel confédéral des services publics ils se sont affiliés à la Confédération générale du Travail ils ont signifié au gouvernement de la République, d'abord, qu'ils ne laisseraient pas affermer le monopole. des allumettes (lequel s'exerce, pour une part, en achetant les produits de l'industrie privée, mais de l'industrie privée étrangère); ensuite, qu'ils défendraient pareillement les autres monopoles ;'enfin, qu'ils imposeraient la substitution de monopoles nouveaux à diverses industries francaises.

En Angleterre, M. Winston Churchill a publié la résolution prise par le gouvernement d'interdire l'affiliation des fonctionnaires (civils servants, serviteurs de l'Etat et du peuple) aux « or- ganisations industrielles et politiques». Il n'entend pas que le pays coure lc danger d'une grève générale dans les services publics.

En France, le chef du ministère d'union nationale constate la menace il voit les organes vitaux, les fonctions vit,ales de la nation a la merci de ces « oligarchies professionnelles qui peuvent arrêter demain la production de la lumière et de la force électriques, l'expédition dés lettres et des télégrammes, tous les transports de personnes, d'aliments, de marchandises, sur terre et sur mer, au premier ordre lancé de Berlin ou de Moscou.

Le vrai nom de ces oligarchies professionnelles est Soviets:

Dès l'élection de Louis-Bonaparte à la présidence de la République, le 10 décembre 1848, on aurait pu dire « l'Empire est fait ».

Dès la constitution du cartel confédéral des services publics, nous disons: « Le bolchevisme est installé. » 1

AU JOUR LE JOUR. ·

y «.–r. ̃:̃.

Le succès personnel de -M. Douraefgue à Londres a été très grand. Un de nos confrères anglais a noté les deux nuances de son, sourire. Cordial, familier quand il s'adressait à ceux de nos compatriotes qui habitent la capitale de l'Empire britannique,^ il prenait, sinon de la hauteur," du moins,de la dignité, alors qu'il qu'il exprimait vis-à-vis des sujets du roi George, la bienveillance naturelle de notre Président.

Il ne faut pas méconnaîtra la.force persuasive du sourire. Il transmet l'allégresse plus sûrement que ne saurait le faire une grossière hilarité, toujours un peu agaçante quand elle n'est pas d'avance partagée. Certes, il y a des sourires auxquels on ne sau.rait se fier. Ceux-là, inspirés par. une humeur moqueuse, peuvent aller jusqu'à la méchanceté. Jules Renard, dont la sensibilité se plaisait dans la solitude, donna ce titre Sourires' pinces, à. l'un de ses premiers livres qui n'apportait aucune contribution nouvelle à la félicité humaine.

Pour avoir cours dans le coeur de ceux aux- quels .il est destiné, le sourire doit exprimer, plutôt qu'un plaisir de l'esprit, la satisfaction de l'âme, et la flamme d'un regard souriant ne réchauffe que si elle jaillit d'un sentiment gér néreux. ̃ ."̃> Parmi nos richesses artistiques, nous .possédons deux sourires, et leur célébrité dépasse de beaucoup celle de bien d'autres chefs-d'œuvre d'une beauté comparable. Nous les '.avons tous deux failli perdre. Et parce que le sourire de la Jocoaide retrouvée éclaire de nouveau un coin du Louvre, nous nous sommes tous senti le cœur allégé d'un souci. Le péril fut plus grand encore, que courut le sourire de l'ange de Saint-Nicaise, dont la beauté éclaire la muraille de la cathédrale de Reims. Camille Enlart, en IQ.IÛ, écrivait « Après 'quinze siècles, Reims a revu les barbares. L'ange au bon sourire est réduit en gravats de sa tête merveilleuse, il reste quatre morceaux informes. »

Louons les artistes qui, en rajustant ces morceaux, leur ont rendu leur expression divine. Gardons soigneusement désormais ces deux sourires fixés par le génie des hommes. Ils nous serviront, de modèles.

Pierre Soulainé.

LES BEAUX TRAVAUX DE L'ÉTANG DE BERRE

1

Comment disparaît une race de pêcheurs

n" 'i¡~ ,c

Par SIMON ARBELLOT

Comme- je- traversais, dernièrement,

à la suite du Président de la République et avec la rapidité d'un mistral officiel, ce petit pays de la Provence maritime, on me dit

« Tout va très mal à Martigucs, les travaux ilu Canal ont tué la pêche. C'est tout un nid de pêcheurs qui va disparaître. » En apercevant au passage Martigues eu fête soùs ses platanes, on ne pouvait s'enjpêcher de songer qu'un droit vingt fois se. calaire, la richesse naturelle de ses étangs, la connaissance approfondie de son « petit art » en avaient fait la plus heureuse des petites villes méditerranéennes et aussi la plus riche. Là, au couchant de l'étang

de Berrc, des hommes qui, dans la tradi-

tion, avaient trouvé la sécurité, se transmettaient de père en fils tartanes et filets, une population tout entière y vivait du travail de la mer c'était iinc race forte et fière, véritable pépinière de pêcheurs et de matelots. Ainsi la petite patrie et la grande y trouvaient-elles également leur compte. Et le progrès contre toute vraisein. blance viendrait troubler un ordre aussi raisonnable. l'audacieux et magnifique canal de Marseille au Rhône, dont dépend le plus grand avenir économique de la France pourrait en passant semer la ruine ? I? Ces craintes formulées depuis près do dix ans par quelques esprits clairvoyants sont, hélas, aujourd'hui, justifiées. L'étang de Bérre est' devenu un passage, et les beaux poissons argentés qui, entre nous, ne sont pas plus bêtes que les hommes, l'ont emprunté pour gagner la haute mer. Lequel, d'ailleurs, d'entre ces rougets, ces loups, ces thons, se sentirait capable de résister à la riche, mais malodorante flotte de commerce qui remplacera demain, sur les eaux bleues de Berre et de Caronte, les tartanes aux voiles légères V

Quelle sole supporterait le voisinage de ces puissantes usines dont les cheminées se dressent chaque jour plus nombreuses et semblent défier les coltines couronnées de thyms et de romarins ? '?

Le résultat ne s'est pas fait attendre le <; petit art » se meurt à Martigues, le poisson devient rare, les vieux pêcheurs se lamentent et les jeunes, délaissant les barques, oublient l'inscription maritime et recherchent dans les usines une sécurité matérielle que leur étang ne leur assure plus. Mais, nous dira-t-on, les pêcheurs de Martigues, si experts en "leur art, ne pourraient-ils pas modifier leur travail, le perfectionner et gagner, eux aussi, le large ? Nous verrons, au cours de cette enquête, comment ces « expropriés d'un nouveau genre, abandonnés de tous, sont mis (tans l'impossibilité de continuer un métier auquel un service militaire onéreux et librement consenti semblait devoir accorder des droits imprescriptibles. ̃ Loin de nous la pensée de eciliqiièr'les travaux du tunnel de Rovo et le projet grandiose de la Chambre de commerce de Marseille dont nous avons dit, ici-même, toute l'importance nationale. Les protestations isolées de quelques artistes ne suffisent heureusement, pas à faire regretter une nature qui, eh se transformant, n'a aucune raison de s'enlaidir, La beauté, de l'étang de Berre ira, d'ailleurs, rien à redouter des ingénieurs ai des maçons, et l'amorce de ces grands ..quais en pierre blanche visible aujourd'hui sur sa nappe bleue ajoutera, n'en doutons pas, à la majesté de ses lignes. Nous ne nous perdrons donc pas dans de vaines considérations ruskinines, et nous admirerons, sans réserve, la transformation économique de ta vallée du Rhône avec tout ce qu'elle comporte pour la France d'avantages de toutes sortes et de développement, industriel ,Depuis de très longues années, ces tra-


vaux étaient décidés, depuis dix-huit ans, ils sont commencés. On savait en perçant le massif de la Nerthe, que le formidable courant d'eau, traversant l'étang de Berre, ravirait en passant le gagne-pain des Massaliotes. On le savait, on l'a écrit, on l'a dit du haut de la tribune du Sénat, on a attiré l'attention des pouvoirs publics sur ce nid de 'pêcheurs menacé. L'Etat est resté sourd il a laissé mourir une race forte qui, bon an mal an, donnait, à sa marine marchande comme à sa marine de guerre un fort.contingent de vrais matelots nourris aux'sourses mêmes de l'éducation et de la tradition professionnelles. En décrétant la mer « res nullius », pour mieux prouver qu'il n'est pas dû d'indemnité à un propriétaire inexistant, on a tué Martigues. Non seulement le capital poissonneux de l'étang de Berre s'est enfui ce qui, encore un coup, est dans l'ordre naturel du progrès mais on n'a pas per-, mis aux pêcheurs de le poursuivre au delà de Çaronte, vers la pleine nier. Les pêcheurs ne -pont pas des gens riches qui, dun jour à. l'autre, peuvent transformer leurs filets, acheter des bateaux, changer leurs méthodes de travail. L'Etat les aignorés. La pêche se meurt à Martigues les vieux grognent les jeunes, demain, seront ̃' ouvriers d'usine, portefaix, coltineurs. Ils ne seront ni pêcheurs, ni mate-

lots.

v-, W ̃•:̃=.

Pouvait-on sauver les pêcheurs de Mariigues ? Certes oui, et depuis de longues années, MM. Charles Maurras et Schrameclc sont d'accord sur ce point, à des titres di-, vers.. ..̃ Enfant de Martigues, amoureux de sa « petite patrie » qu'il a si divinement chantée dans son inoubliable Etang de Berre, M. Charles Maurras fut le premier, dans la presse, a prédire le danger qui menaçait ses frères massaliotes. Dès 1920, il prenait en mains la cause de cette petite population de pêcheurs qu'il aime et qui je peux le constater ici le lui rend bien. Deux mille pêcheurs et patrons pêcheurs, redoutant l'inévitable ruine, avaient demandé une indemnité convenable qui leur permît d'armer des chalutiers en vue de la pêche en haute mer.

Le conseil des prud'hommes pêcheurs du quartier maritime de Martigues avait adressé une demande pressante à M. le sous-secrétaire d'Etat à la marine marchande alors M. Rio.

« Retenez bien, disaient-ils, que les nombreux pêcheurs de Martigues ntf vivcut'Tijli*juement que. du produit de leur pêche qu'ils1 possèdent un petit capital1 ett'fiîèïs' et barques que ce capital va se trouver sans valeur du fait du brusque; »rrêt de leur travail. Pour permettre a ces mêmes pêcheurs de s'orienter vers d'autres lieux poissonneux, en l'espèce la Méditerranée, il nous parait juste qu'une indcminté leur soit accordée en attendant qu'ils s'organisent et modifient leurs engins pour l'exploitation du littoral méditerranéen qui exige d'autres agrès que ceux qui servent à la pêche de l'étang de Berre. » Peine perdue. L'administration né répondit pas. Un au après, ën 1921, le premier prud'homme, François Rolland, que nous retrouverons tout à l'heure,adressait un nouvel et pressant appel par l'intermédiaire du Petit Provençal, organe socialiste de Marseille. Dans sqii' Action Française, M. Charles Maurras lui fit écho et mit toute sa généreuse et forte logique au service de ces pêcheurs et de leur droit patrimonial sur la mer.

C'est alors que M. Schrameck, sénateur et ancien préfet des Bouches-du-Rhône, gravit" les marches de la tribune du Sénat j tandis que M. Girard, député des Bouchesdu-Rhône et ancien maire de Salon, saisissait ses collègues de la Chambre de cette grave question sociale.

M. Rio s'en tira par une pirouette « Les pêcheurs n'ont aucun, droit de propriété sur le littoral; dit-il, et les travaux accomplis sur ce littoral; même .s'jjs leur, sont préjudiciables, n'ouvrent droit a indemnité. Sans doute, il est toujours possible .de faire appel au sentiment d'une compagnie, mais au cas où la compagnie ne veut. pas offrir d'indemnité l'Etat est desarme. »

C'était l'aveu dénué d'artifices. Le'prud'-< homme François Rolland eut beau écrire lettres sur lettres à l'administration, à la chambre de commerce, au ministre, rien n'v fit. Les politiciens se turent et les pêcheurs de Martigues attendirent l'heure de la catastrophe, à mesure que le tunnel de Rove s'avançait lentement dans les rochers de la Jvfirthe,

̃> [-*̃*

Le Président de la République a inaugure, la semaine passée, le premier tronçon du canal de Marseille au Rhône. Il a dit, en termes excellents, tout ce que le pays était en droit d'attendre d'une telle entreprise. Il n'est pas un Français qui n'ait souscrit à la souriante mais ferme approbation de M. Gaston Doumergue les gens de Martigues, les premiers. Nous en fumes les témoins.

Je suis revenu dans ce petit pays, les drapeaux, les guirlandes de fleurs ont disparu. M. le maire a posé son habit. J'y ai rencontre François Rolland, premier prud homme tout fraîchement révoqué par M. André Tardieu. J'ai vu aussi son successeur qu'on dit son ennemi et qui se trouve entièrement d'accord avec lui j'ai questionné des pêcheurs. Ma visite à Finscnption maritime ne fut. guère plus ••rassurante. Là, c'est la désertion.- J'ai regardé autour de moi, et, dans ce petit pays, jadis heureux, j'ai cru voir poindre, se mêlant au sable des calanques et dominant les oliviers, le spectre hideux de la politique. `(A suiai'e.): Simon Arbellot.

(A suivre.)

Feuilleton du « Figaro » du 20 mai 1927

Mademoiselle Jabert (Roman inédit par i'Occitanienne) Mœurs de province sons la Restauration Pauvre Azor lui, de même, avait vu finir ses heureux jours Azor avait toujours était laid, médiocrement aimable et l'âge l'avait rendu très maussade. Il n'en était pas moins un fidèle serviteur, traité comme tel par Mlle Jabert. Mais comme les fidèles serviteurs, il avait abusé de ses droits. Il aboyait à tout propos, grognait continuellement, se flattant de montrer les dents qu'il n'avait plus, prenait une targe place au coin du foyer, ne se dérangeait pour personne, poussant quelquefois fa hardiesse jusqu'à se coucher en rond sur le canapé du sanctuaire. Et Mlle Jabert faisait semblant tantôt de ne rien roir, tantôt de ne rien entendre, pour ne pas avoir à gronder son chien.

Mais tout changea subitement. Pris en {rippe par Mme Jabert qui n'aimait pas les filains chiens, chassé de partout par les Lignol qu'il ennuyait, il avait tout particulièrement pour ennemis le jeune frère ♦colier et son grand danois qui se failaient un jeu de se lancer à sa poursuite tvec aboiements et cris.

En chien qui pense et réfléchit, Azor, cependant, comprit et accepta sa cruelle destinée au lieu de se montrer, il se cachait on ne le voyait paraître qu'à l'beure du rôti» pour remplir ses devoirs en

ACADEMIE FRANÇAISE

L'approche dès grands prix littéraires, de la réception de M. Paul Valéry et des deux scrutins dont on sé flatte d'obtenir les successeurs de Repé Boylesve et de Jean Richepin ménage chaque jeudi de très agréables surprises à l'Académie après le retour si heureux et si fêté de M. Henri Bergson, on vit M. l'abbé Henri Brémond enfln revenu des Pyrénées puis ce fut hier M."le- duc de La, Force qui reparut. » .[̃• ̃ Et M. Henri de Régnier,- directeur, put présider une séance groupant MM. Gabriel Hanotaux, René Bazin, Maurice -Donnay, Eugène Brieux,,René Doumic; Marcel Prévost, Pierre de.La-Gorce, le maréchal. Jofrfre, Louis Barthou, Jules Cambon, Henry Bordeaux, Joseph Bédier, André Chevril- lon,Pierre de Nolhac.Georges Goyau, Henri Brémond, "Henri-iRobért, Camille Jullian, Georges Lecomte, Emile Picard et Je dut de Force. `

M. Henry Bordeaux, qui rentre de Suède, où il était allé "rêpr*es6nt'ér TAca'dêmie au 25° anniversaire de l'Alliance .française eiï '••ce "payai a dit l'ac«ueil chaleureux et charmant qu'il reçut de tous à Stockholm. La Cour et la ville se disputèrent l'Immortel. Justement elles venaient d'applaudir l'Habit Vert..Elles récidivèrent devant celui de M. Henry Bordeaux, en l'honneur de qui l'Académie de Suède, « filleule » de l'Académie française, tint, le 8 mai, une séance solennelle et amicale on rappela les liens unissant les deux compagnies, visites de là reine Christine et de Gusta- ve III aux Quarante, prix Nobel décernés à Sully Prudhomme et à Albert Sorel, etc. et d'émouvants propos resserrèrent encore ces liens.

M. Gabriel Hanotaux tient le discours de réception de M. Paul Valéry, et il écrit sa réponse au successeur d'Anatole France. L?Académie ne siégera pas jeudi prochain, jour de l'Ascension mais, le jeudi suivant, elle> nomniera une commission qui entendra, en première lecture, le 16 juin, les deux harangues que nous applaudirons le 23- sous la Coupole. Le prix du roman et le grand prix de littérature, ainsi que quelques'autres prix de première importance, seront décernés le S- juin. Enfin, le 30, scrutins pour compléter la compagnie. M. Guigot, juge honoraire au tribunal de Louhans; a légué 200.000 francs, dont les arrérages récompenseront le dévouement :ù-"<Ies" 'râeiïlàï'dS iriflrme^ ou délaissés. ïLe

;mot mirtuierie est admis au Dictionnaire.

u' l ''•i!I- 'l' ̃̃•'• Ch. Dauzats. '̃!

Gmséf esJraMtlaniips

Aussitôt après le voyage qu'ils doivent accomplir dans quelques jours, en Angleterre, pour se rendre à l'invitation de l'Amirautè.britannique, les deux croiseurs, LaMotte->Plcquet et Duguay-Trouin iront montrer les couleurs françaises de l'autre côté de l'Atlantique.

Le IM Motte-Picquet, qui porte le pavillon du contre-amiral Pirot, quittera Brest le 9 juin. Il se rendra d'abord à la Guadeloupe, et à la Martinique, puis, descendant le long de la côte de l'Amérique Sud, visitera Cayenne, Pernambouc, Rio-de-Janeiro, Buenoi-Ayres, Montevideo, remontera à Bahia et rentrera à Brest vers le 25 septembre.' Il sera accompagné de l'un des nouveaux contre-torpilleurs de 2.400 tonnes, le Ti.qre ou le Chacal,

Le Duguay-Trouia quittera Brest en même temps que le LàMotte-Picquet. Il ira d'abord .séjourner à Bordeaux pendant quelques' jours âil'oceasion de la- Semaine des Sports nautiques, puis se rendra à Saint-Jean-de-Terre-Neuve, à Saint-Pierre et Miq'ueion, à Québec et Montréal où il prendra part aux fêtes du soixantième anniversaire- -de la Constitution canadienne. U >relâçhèra' Ensuite à; Halifax et à NéwYorkv:Son retour, Brest âiipâ liei}îvers le 15 août. ̃.̃̃̃• ̃' Le troisième croiseur du même type,rdte Primauguei, vient de traverser le canal de Spez et la mer Rouge, faisant route sur Madagascar d'au il est probable qu'il se rendra en Chine.

Nos trois nouveaux croiseurs vont donc se trouver' simultanément hors de France pendant tout l'été. On sait que le DuguayTrouin vient d'accomplir une tournée de deux. mois et demi dans la Méditerranée Orientale, et qu'auparavant avec le La Mottc-Picquet, il avait fait une croisière dans l'Atlantique Est. L'endurance de ces unités récemment sorties des chantiers est ainsi mise à l'épreuve avec un succès des plus satisfaisants pour la construction française. Leurs voyages sont les premières manifestations' de cette renaissance de notre marine, dont un journal étranger disait récemment qu'après la reconstitution des régions dévastées, elle était une des meilleures preuves de la vitalité française. A. Thomazi.

M. Chiappe veut épurer

le Bois de Boulogne

En 'exécution d'instructions données par M. Chiappe, préfet de police, des opérations de .surveillance ont été effectuées, l'autre nuit, au bois dé Boulogne, par les services., de la police judiciaire.

Au cours de ces opérations, qui ont eu lieu à diverses heures de la journée, et auxquelles quarante commissaires et inspecteurs ont participé, de nombreux individus ont été interpellés quatre ont été conduits au poste et maintenus en état d'arrestation,

consciencieux tourne:broche et, du haut de sa roue tournante^ il jetait un regard de côté, espérant rencontrer le regard ami de Mlle Jabert. La bonne fille avait eu jusque-là pour Azor plus d'estime que d'affection. D'autre part, le chien hargneux n'avait jamais flatté personne. Mais il y eut une attraction entre ces existences dépossédées, et ce fut Mlle Jabert qui fit les premiers frais. Elle osa même, à plusieurs reprises, protéger la victime contre l'écolier et le danois, en rassemblant tout son courage pour leur interdire l'entrée du chais où le pauvre animal s'était créé un asile. Un jour, les Lignol, arrivés nombreux, avaient envahi la maison. Dans son humble méfiance, embarrassée d'elle-même, Mlle Jabert .quitta. la place à petit bruit et se réfugia dans le jardin. C'était une de ces journées d'octobre où le soleil est si radieux et si chaud qu'il semblerait capable de reverdir les feuilles jaunies. La vieille -fille alla s'asseoir à l'ombre d'un grand laurier, que je "crois voir encore

appuyé, contré le; mur de notre parc au-

appuyé, "contI'e 1e;11101' ':de notre parc au-

quel il avait fait brèche. Et je crois la voir elle-même, s'imaginant être cachée à tous les yeux, tandis que je la regardais par la brèche, -.me cachant moi aussi. Assise sur une pierre détachée, elle étendait sur ses genoux et à moitié sur le gazon, une pièce de toile dans laquelle elle 'coupait des draps et lès cousait. Le vieux chien, qui l'avait devinée près de lui, s'était hasardé à sortir de sa cachette se glissant tout doucement sans que rien eût trahi sa marche, il vint se coucher à ses pieds, remuant la queue, tournant, cependant, un œil inquiet de tous côtés. Alors, Mlle Jabert prit un coin du drap pour en convrir le proscrit ety.la sécurité amenant le sommeil, 3e chien s'abandonna bientôt à son plus doux farniente, tandis que l'aiguille infatigable, piquant la grosse toilç, faisait

LA CHARITE

À' la suite des articles parus dans ïa Bonté eh action du 31 mars, du 13 mai et du 19 mai, les dons suivants ont été en-

voyés ̃̃ j

Pour les orphelins des petite? postières, ù Mme Reclus, ù Dornecy (Nièvre)

Mme Goulet » fr. 25 Collecte faite auprès de 36 habi- tants de M_aison-JDieu >• n -ÏOô. Anonyme j 15 Mme Louise Bériat .i 4. Mlle Simone Legall j^« 3, Total fr. 152

Listes précédentes fr. 1.571.

Total général fr, 1.723

Pour les jeunes infirmes pauvres des 1

frères Saint- Jean-de-Dieu, 223, rue Le- I

courbe -s ̃ 223, rue

Comte B. '"iii'V;ï.. T.. fn aOO

Anonyme J20 Docteui'X. .20 Mme Sch 50 Mme B.' .>j. 30 Anonyme 60 n. b. r; 200 M. c. 10 A. C ..̃»* jj*. «.à.»' 10 Mme Casson > i 70 Mlle L. V s 80 M. M ^i.<J 40Mlle N. “• ••• 30 M. B. ,-i- 80 Mme Canielle '.j,; .».̃̃ (10 M. S t 20 Marquise de V- 300 M. B. »: 20 M. Th. 10 M. de P.< 50 J. de B. u. -̃ 50 Comte de B ,4:v. 50 -̃•̃• •̃̃ Total* f îv 1.860

Pour lès deux familles dohfnous avons^

signalé la misère, le Figaro, a re~u « ~>1 j

Mnie. Georges Kohn .nvii. fr.. 300 Mme César Koch «•;̃ :<; .,̃ 50 Bernard C ;7.>w ..J<'i t-, '£.>; 100 Henri Walbaum .<- .i;=. «j- 150 C. Y .7- .•; 100 Marquise de Cepoy 50 L. J. A.t,(i.^ 50 i Mme; Brotier ,,v.>«.20

m,,b; .^v.v,.v.)i; .a;

(Anonyme.; ^1ftr-.u 1 Û0 >

i .Delapaift.fluip^tit, Bernard 50

1 ̃' ̃̃̃ '̃̃'̃'•' Totâi V.. ir.~7~dî§;:

LA SAISON 1

b'B ÉONTB'CARLO

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Adossé aux derniers contreforts des Alpes, f enfoui dans la verdure, l'Etablissement de bains de mer de Larvotto f^ît reluire au, soleil les laques et les vernis de ses cabines,, de son 1 hall, de son solarium et de, ses terrasses fleuries qui conduisent, de gradin et çradin, :les baigneurs jusqu'à la mer.1 -̃̃' ̃•; Complètement remis à neuf cette année, il offre à ses Habitués, à tous ceux qui savent combien la saison d'été est agréable à Monte- Carlo, de nouvelles, attractions déjeuners et dîners à prix fixe, service impeccable, orchestre '•' à tous des repas et thé dancing qui sera le clou des distractions estivales à Monte-Carlo. ï Ouvert depuis le 15 mai, l'Etablissement de Larvotto est relié par un service, d'auto-cafs à la place du Casino. ̃

-«*>- .•' 'v

Lerid'Espagoe tore des Français `

'I* V

S. M. le roi' d'Espagne vient d'élever i M. André Citroën à la 'dignité de grand of- j ficier- de l'Ordre d'Isabelle la Catholi-

que. ̃"̃̃̃ ""•

Par même décret, M. Georges-Marie Haardt est nommé commandeur, et d'autres membres de l'expédition Citroën Centre-Afrique sont promus chevaliers. Ces récompenses témoignent de l'intérêt que le gouvernement espagnol porte aux efforts industriels et coloniaux de nos compatriotes. Elles constituent aussi un, geste de remerciement pour la représenta-, tion de gala de la Croisière Noire » donnée à Madrid dans le courant du mois de. juin dernier, au cours d'une soirée àl'ambassade de France, à laquelle assistaient LL. MM. le' Roi et la Reine, toute la famille royale et les Grands d'Espagne.

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Notre SiippU Liltéraire É Oii

José Btuyr En marge da Romantiime, Les figures effacées Pc-

-^rns fiçre!.

Fernand Vandétem.. Choses et Gens de Lettres Un manuel. t~

Léon Cladel raconté par sa fille Deax lettres inédites

d'Edmond de Concoart et <f«,<«BsfBee 'Flaubert ,`~ par Gaston Picard

Jean Monval Léon Cladel et François Coppée. Lettres inédites.

Chronique de Maurice LevailUat, François Monte),

JacqacB Patin. ]'

entendre une sorte de bruit monotone. La pensée accompagnait-elle les points nombreux ajoutés "ainsi l'un à l'autre par l'ouvrière laborieuse ,?

La créature heureuse, que berce une douce quiétude, saisit la pensée comme un papillon qu'elle regarde un instant, pour le laisser aussitôt s'envolen Mais les regrets Mais le chagrin Ah les pensées qu'ils amènent n'ont point d'ailés Oui, la pauvre fille était devenue apte à penser Je crois deviner ce qui se passait dans son âme, d'après les ombres sur son front, le jour où je la regardais ainsi sans être vue.

II faut avoir vécu bien des années en tournant sur soi-même pour savoir ce que sont ces attachements aux petites choses, qui captivent l'esprit et envahissent le cœur à la façon des bonheurs vrais. Instinctivement, j'observais et je réfléchissais le regard fixé sur ce visage, où, pour la première fois, je saisissais des émotions au. passage.

La servante parut, un panier à la main et s'avança du côté dit laurier. Je pensais qu'elle venait prendre les ordres de Mlle Jâbeft mais elle passa sans s'arrêter, cueillant cà et là choux et salades à son gré. Cette servante n'était pas la robuste Jeannette, dont les gros bras bêchaient si rudement la terre et qui, sous la pluie, se secouait comme un caniche sans discontinuer son travail. Trouvée trop rustique, on l'avait remplacép par une fille de ville, paresseuse, maladroite, impertinente, qui » laissait tomber tout le poids du ménage sur Mlle Jabert et recevait ses ordres d'unair rechigné. ,.̃

Quelques instants après s'élevèrent, plus loin, de jeunes voix joyeuses, celles de Mme Jabert, de ses frères «t de deux ou trois cousines. Aucune intonation grave, ne venait s'y mêler. C'était comme ces accents printaoiers ^ui sont en parfaite conson-*

LE MONDE ET LA VILLE ̃,̃:>-̃ l" i. .• r*T'r'

>~ l "J"

Xût Çraride Jiuit de Paris au Claridge

Mille entrées, avons-nous dit, et pas une de Plus. L'année dernière, débordés par les demandes et soucieux de faire produire à cette fête,, pour son début, une recette qui la classât d'emblée parmi les plus importantes soirées de bienfaisance de la saison, nous avions dépassé de. quelques centaines le chiffre de quinze cents que nous nous étions fixé. Encore avions-nous dû refuser, le soir même, quelques autres centaines de billets. Cette année, le Figaro et Fémhui ont. décidé de supprimer toutes les entrées donnant le droit de circulation dans le Claridge. Seuls seront mis en vente des, billets de souper, ait nombre de ,i.ooq,et qu prix de': 250' francs..De-cette façon, tout le-

ijnonde sera assis et ce "gala de la1 haute élé^

éailte y gagnera en unité et en aisance, sans que sa recette en soit diminuée.̃

Autre modification pour1 que le spectacle se déroulé sans discontinuité, nous avons neutralisé une des salles du Claridge. Les deux scènes seront adossées à cette salle qui servira de cour h'sse. De cette manière, le spectacle qui aura passé sur une scène pourra passer immédiatement sur la seconde.

Nous publierons à .partir de la semaine prochaine le détail du programme. Ce que nous pouvons en dire, h l'heure actuelle, c'est qu'il dépassera encore en élégance, en variété et en imprévu celui de l'an passé. De plus, toute spectatricei recevra au moins un cadeau offert par les premières maisons de luxe de Paris. Quant à la tpmb'oîa, elle comportera des lots d'une richesse et d'une ingéniosité qui feront sensation. Nous y reviendrons bientôt..

.̃̃̃ 1 .|. L- n

LEjMONDE OFFICIEL ')

Le maréchal ,et Mme Foch sont atten. dus ce soir à Casablanca, venant de Marakech. i Etant donné le désir du maréchal de voyager dans le plus strict incognito, aucune réception ne sera donnée en son honneur. Toutefois, les autorités locales ciyiles et, militaires iront le saluer lors de son .embarquement. Le maréchal .fjuitterà.i&sablarica -samedi prochain par lcîpa«iuebot ^Mar.éihaUhyautey -pour1

SMarseille. "• ̃̃̃̃ <>' ̃'̃;̃ ••-

Le président de la République du Libé^. iria et sa famille sont partis pour la France, ^SËlGNjmNJgJMONDAINJS

*-S. M. le roi' d'Egypte fera dans le courant ide l'été un voyage en Angleterre et en Belgique. S. A. R. le prince George de GrandeBretagne, accompagne de son aide de camp, est arrivé à Paris.. La marquise -Guïlhen de Pothuau douairière fera danserce soir les amies de sa petite-

Pé. '̃̃̃•"

M. James Hazeh'Hyde a donné, au Cercle de l'Union artistique, un dîner en l'honneur de M. Paul Doumerj président du Sénat, de MM. .Georges Leygues, ministre de la marine, fallières, ministre du travail, et de quelques personnalités du monde politique.

[ La baronne Taylor vient de donner, pour ïçs amies de sa fille, une élégante soirée dan-

sante. ̃ s-' •̃̃

Mme Henry Rosenfeld recevra le mardi '7 juin, au Cercle interallié, les amies de sa fille, ̃Mlle Marion Thompson,

'> r. la. i'

| •.̃vî.,r:i^S?v

^BIENFAISANCE

J– i." 1 f

Le succès du bal franco-américain s'annonce particulièrement brillant. Chaque, jour ̃arrivent, plus nombreuses que jamais, les demandes de billets et inscriptions au souper. Toutes les tables prévues sont retenues. Il faut maintenant en ajouter un nombre important pour satisfaire les amateurs de belles fêtes qui veulent compléter leur soirée du 31 mai. Le programme comporte, entre autres, des reconstitutions de danses anciennes en costume de l'époque d'une grande beauté, interprétées par les plus charmantes jeunes femmes de la société parisienne.

A ces danses s'ajouteront des attractions inédites'tout à fait sensationnelles.

Le 31 mai, les salons du ministère des affaires étrangères,, cadre, digne de cette belle fête, réyéleront à tous ceux qui n'y ont pas encore pénétré et qui s'intéressent à nos palais, des ensembles les plus> remarquables qui existent. C'est donc un appel pressant que le Comité j adresse à tous et ajoutes en faveur des petits 'enfants de France.

On trouve des billets, Ï50 francs pour le bal ,et 150 francs pour le souper 18, boulevard iHaussmann (tél. Provence 72-21 et la suite), à ̃l'hôtel Crillon et à l'Agence des théâtres, i 71, 'avenue- cteâifChaTnps-Eiî'sécsï';

$ Rappelons" "qu'une messe solennelle' sera s célébrée à la mémoire des morts de la grande guerre le 28 niai; à dix heures du matin, à Notre-Dame, sous la présidence de S. Em. le cardinal Dubôis~. Pendant la messe, audition du Requiem de Berlioz, avec le concours de l'orchestre et des chœurs des concerts Colonne, de

rîîînce.. Oh entendait de petits rires, et puis, tbtit à coup, de grands éclats, véritable ex- plosion les paroles s'entrecroisaient, pa- jreilles à des fumées. De temps en temps, le ̃> danois semblait y, répondre par un aboie- i ment qui faisait tressaillir Azor dans ses ( rêves. w 1 Un silence se fit la gaieté reprenait 1 lialeine. Une dçs jeunes cousines se mit à < chanter une romance nouvelle, que je re- f connus, l'ayant entendue à Toulouse. Elle ] avait fait son chemin, et de la grand'ville 1 elle arrivait au village. Après le premier 1 couplet, l'écolier prit son flageolet pour es- 1 sayer un accompagnement. Des rires, de 1 raillerie cette fois, interrompirent les faus- i ses notes qui jaillissaient à flots sous les doigts novices, et le rire du musicien vint ( s*y joindre en les couvrant tous. Le'flageolet se tut, mais les voix reprirent en i Chœur. Une ronde du vieux temps mit en 1 mouvement tous les pieds, et je sentis les ] ^iiens se trémousser au fond de ma ca- 5 chette. ,Me.i yeux se reportèrent 'sur 'yieille ] fille. Ses mains demeuraient inactives elle écoutait et son front s'élàit assombri plus encore. Ces accents si jeunes avaient- ( ils réveillé les regrets ou évoqué l'envie ? « Mais, est-ce que la jeunesse avait jamais v été faite pour elle ? Non ce qu'elle re- grettait, c'étaient les rares plaisirs de son 1 âge mûr, les visites de ses amies, les vieil- ( les dévotes de Labruguière, à peu près ( bannies par l'accueil inhospitalier des Li- t gnol et remplacées par cette bruyante tri- i t>u d'un autre âge ̃; ce qu'elle enviait, i c'était la place qui, si longtemps, fut la J sienne, lorsqu'elle présidait ces réunions 1 du dimanche, où s'échangeaient dans la vesprée tant de saintes paroles, puériles i peut-être, mais que les anges se plaisent 1 a recueillir, écailles qui s'ouvrent entre 3 leurs mains parce que souvent elles ren- i ferment des perles. <

la chorale Amicitia et des musiques militairesde Paris, autorisées spécialement par le mi- nistre de la guerre 460 d'infanterie, chef M. Froment $1° d'infanterie, chefs MM. Avy et Perrier 5° d'infanterie, chef M. Barat. Cinq cents exécutants dirigés par M. Gabriel Pierné, de l'Institut. Le'solo. de .ténor sera chanté par M. Gabriel Paulet. A l'orgue, M. Louis Vierne. L'orch^stte et les chœurs seront placés sur une estrade édifiée au centre de l'église et les fanfares seront placées, suivant la conception de Berlioz, aux quatre points cardinaux. Billets, de 5 à 100 francs, vendus au'profit de l'Association générale des mutilés1 àNotreJDame, à l'Association générait: dés. mutilés de h guerre, 85 bis, faubourg' Sàiht-Hono.ré, et chez, Mme Jehannq, secrétaire générale du Comité, 18, rue Louis-David (16e)..(Téléphone Passy 42-37)- ̃ ;̃̃ | '̃̃̃̃ n ;saïle"'de l'Etoile, '17, rue Chateau- briand, une vente de charité aura lieu au profit des œuvres du patronage de jeunes filles, Villa des Otages, rue Haxo, 85-95 (20') aujourd'hui vendredi 20, et demain, samedi 2 mai, de quatorze à dix-huit heures. •̃ ̃ Samedi 28 mai, à deux heures un quart, en l'église St-Roch, sous la présidence de S. -Em: le cardinal archevêque de Paris, aura lieu la cérémonie annuelle organisée par le Comité de l'Hartmannswillerkopf, à la mémoire des. officiers, soldats et marins français 'et alliés morts pour la France. On exécutera d'importants' fragments du Stabat Mater de Rossini, avec Mmes Dernougeot, Dolorès de Silvera, MM. Saint-Cricq et Huberty, de FOpéra. Soli, orchestre et chœurs, deux cents exécutants sous li direction de Victor Charpentier. •̃̃'̃̃ Le R. P. Dieux,, oratorien, titulaire de la croix de guerre, prononcera une allocution. Une quête sera faite par des Alsaciennes au profit du monument national de rHartrftannswillerkopf. Pour terminer, S. Em. le cardinal archevêque de Paris donnera l'absoute.

Le Président de la République sera représenté à cette. cérémoHiie iJaqutilelSiîÈt conviés MM. les mâ'réchauXj-.le. porps diplomatique et les attachés militaires .alliés, les ^fficiers généraux! de "terre 'et de '.mer, ainsi, qu'un .grand;. nombre de délégations d'anciens- combattants irançais et alliés, avec leurs drapeaux.

l

CERCLES

L'Automobile Club féminin: participera officiellement à la journée féminine d'automobile organisée à Montlhéry 1s 12 juin prochain. Le Club dotera le championnat' féminin d'une « Coupe-handicap et prendra part, avec tous ses membres, au concours: dîéléganc-e. et de loges fleuries.. :̃> Lundi 23 mai, à trois heures, au Cercle de l'Union artistique, la Société des amateurs donnera une matinée. Au programme conférence du marquis de Montferrier sur « la politesse », avec une comédie en un acte Politesse conjugale, jouée par Mlle Fordyce et M. Dumesnil.

Le gala mensuel et la soirée dansante du, Golfers Club ont obtenu, mercredi, un vif succès.

Reconnu

LL. AA. RR. le prince et la princesse Nicolas de Grèce, comtesse Potocka, lady Newborqugb, Mr et Mrs Johnston, Mme Edmond jPdfié^j fcomte et comtesse de Rosanbo, duc'de pr'ahîbht,"itinr(Jûfs deiOastellane, coiAtésse de La Béraudière, comtessç ;de. jSrajjtedo, Mr et

prs.Harrisoji, M. TlUon.dc La ,Chauine> M. et

Mme Bpnriardcl, Mme et Mlle Guiraldès, Mme et'atlTës Pcrez Caballero, Mme et Mlle de Elia, Mme et Mlle Obregon, baron R. de L'Epée, etc.

̃ .1". r.

kjlSSANCES ,'̃̃ s Mme Raymond Nain, née Françoise Hubin, a mis heureusement au mendè un fils, JeanPaul.

M. et Mme René Cambournac née Senegas nous prient de faire part de la naissance de leur deuxième fils, Daniel. 4 bis, rue de Lyon, le 9 mai.

«̃̃̃"̃ 'I' t-tH

MARIAGES

S. Exe. Mgr Micara, nonce apostolique ù Bruxelles, a béni, en la chapelle de, la nonciature, le mariage de Mlle Antoinette de Borchgrave, fille du baron de Borchgrave, ambassadeur de Belgique à Madrid, avec le, chevalier de Biseau d'Hauteville. ̃̃

̃ >»" 1 "•

DEUIL

On annonce la mort- de Mme Eugène Guillaume, femme de notre confrère directeur du Réveil du Nord. Nous apprenons', la rjiôtt^ije "I^tfvè' clistOn Théret, née Berthe Jacquemart. Les obsèques auront lieu demain samedi, 21 courant, à midi précis, en l'église Saint-Augustin. Les personnes n'ayant pas reçu de lettre de faire-part sont priées de considérer cet avis comme en tenant lieu. L'inhumation se fera à Charlevillç (Ardennes) lundi. ̃

J'allais sortir de ma cachette lorsque la voix de son frère, revenant après plusieurs jours d'absence, vint se mêler aux autres voix. Je surpris un mouvement précipité de la pauvre fille, prête à s'élancer mais elle retomba sur son siège en secouant la tête. Son frère était là et .elle n'osait aller à lui Elle l'entendait parler à tous et il ne l'appelait point L'ouvrage qu'elle avait repris fièrement s'échappa de ses mains et son visage se trouva baigné de larmes qui coulaient silencieusement, semblables à ces gouttes d'eau qui tr.aîiissent le trop plein d'une source. Je ne l'ai vue pleurer que" cette fois. Mais j'assistais, invisible, à une scène de douleur solitaire, sans doute souvent répétée, douleur qui, depuis le mariage de son frère, avait saisi son coeur, pour lui infliger une torture au-dessus de ses forces. On l'a su, car elle l'a dit, non pour se plaindre, seulement pour s'accuser d'avoir manqué de résignation en se pérméttant'dcs larmes. .a- Ah son frère ne -l'aimait. plus. Jje ° l'entendis répéter à demi-voix

« II ne m'aime plus » et, à mesure que cette pensée se faisait jour dans son esprit, elle imprimait plus profondément sur sa physionomie une expression de désolation qui ne pouvait, cependant, lui enlever sa douceur. Elle ne se demandait pas de quelle façon ce frère l'avait aimée, elle, donnant tout, et recevant si peu 1 Mais ces deux vies n'en avaient pas moins été soudées l'une à l'autre depuis les premières années de leur enfance, déjà si loin, hélas Tout à coup, ces existences s'étaient trouvées désunies.

Cependant, Mlle Jabert avait une de ces natures qui peuvent encore alimenter le bonheur en en ramassant les miettes. Malheureusement, entre le frère et la sœur, il y avait toujours l'épisode ineffaçable du lendemain du mariage et lê~ généreux

On annonce la mort de Mlle Isabelle Pi* cher de Grandchamp, décédée à Chamonix. Les obsèques auront lieu à Paris, demain samedi 21 mai, à dix heures, en l'église Saint-Ferdinand des Ternes, où l'on se réunira.

,On nous prie d'annoncer la mort de Mme Valéry de Grassi, décédée à Montpellier îq 17 mai, dans sa quatre-vingt-seizième année, Elle était ;mçre de -M. Jules Valéry, doyen honoraire de la Faculté de droit de Montpellier, et de M. Paul Valéry, de l'Académie française,- Nous apprenons la mort de M. Louis Dupont, chevalier de la Légion d'honneur, décédé le 1.9 mai, dans sa soixante-treizième an- née, en son domicile, 11, avenue Hoche. Les obsèques auront lieu demain samedi, 21 courant, à midi, en l'église Saint-Philippe du Roùlp, .sa paroisse, où l'on se 'réunira. De la part, de, 'Mme Louis Dupont, son épouse, de M.s-et, Mme Pierre Dupont et leurs enfants, de M. et, Mme Jean Dupont' et leurs enfants, de M, et, Mme Maurice Keller, ses enfants, et petits-enfants de Mme Vve Quarré, de Mme Vve Dupont, et des familles Dard et Quarré. Cet avis tient lieu d'invitation. Serigny^

PETIT CARNET

C'est le charme de Mlle Edmée Favaft, et le si populaire sourire de M. Saint-Granier qui se prodigueront aujourd'hui vendredi, chez Boler Innovation, 237, rue Saint-Honoré, à l'occasion de la grande vente de gala que le Comité, de là rue Saint-Honoré organise au. profit de l'Union des artistes.

Doucet, 21, rue de la Paix, soldera aujourd'hui et demain, de 9 h. 30 à midi et de h. 30 à 6 heures, robes, manteaux et lingerie, ainsi que ses modèles de Cannes à partir de 300 francs. Vente strictement au comptant, Jïdiette Courtisien a établi de délicieuses' robes de crêpe de Chine à i.ooô francs,, des tailleurs à 1.250 francs et des manteaux de lainage impeccables à partir de 1.000 francs. La, réputatiçn de Jidiette Courtisien est une garantie qualité 'et d'exécution, 9, rue Riche- pansk »; A l'occasion des fêtes de la rue Saint* Honoré, Mlles Joséphine Baker et Simone Du* lac recevront chez Glenat, 281, rue Saiht-Hô'< noré, l'après-midi, aujourd'hui vendredi. Bas et" gants seront consentis ce jour-là à des prix spéciaux dont toutes les élégantes vou«. dront profiter. a,

VICHY

L'Astoria-Palace-Hôtel, sur le Parc, entier rement transformé, placé sous la même direction que le Pont-Royal-Hôtel, de Paris, est ouvert. Nouvelle direction, R. Soalhat. ̃

A PEU DE FRAIS vous aurez, Madame, chez Brigitte, ma)> chande de frivolités, les plus jolies nouveautés en J'obes pour le sport (depuis 350 francs), pour le soir, manteaux, etc, Modèles nouveaux chaque semaine, 37, boulevard Haussmann. ̃"̃

Aux Artistes Décorateurs v Le cuir de reptile Alpina, qui avait déjà permis de créer les plus jolies combinaisons telles que souliers, chapeaux, -mar».- leôux; sacs'à 'fnàin, etc., vient de trouvas son application dans l'ameublement moderne.

C'est dans le but de faire admirer cette nouvelle application qu'Alpin'a édite et expose aux Artistes Décorateurs plusieurs ensembles signés de Raymond Nicolas tous les cuirs de reptile Alpina sont utilisés avec un goût très sûr allié à un niûi dernisme parfait.

A la Compagnie de la Chine et des Indes

En dehors de ses collections d'objets d'art anciens chinois de haute époque, des céramiques et des pierres dures, la Compagnie de la Chine et des Indes a cherché tout spécialement a réunir un ensemble très complet de meubles anciens chinois.

Dans ses salons nouvellement installés, et réservés à la Décoration, se trouve ex-, posé un choix important de laques anciens Coromandel, laques cuir, laques rouges, en paravents, tables basses, etç, (39., avenue de Friedland, près l'Etoile.)

ÇJk. B3TT HaJL. s.iMt L/expositi<Mi de l'Art de fa soie, au musée Galliera, avec section rétrospective de la Soierie d'ameublement romantique,, sera inaugurée le 24 mai, à 3 heures. Le ministre de la guerre vient de donner l'autorisation à la commune de Buequoy, dans le Pas-de-Calais, d'ériger un monument à la mémoire de la 42. division

britannique.

mensonge sous lequel la tête de la pauvre fille restait courbée.

Les intelligences bornées pardonnent très difficilement. parce que l'oubli ne saurait se faire dans ces âmes, dont le regard se concentre sur un seul point, avec une fixité grandissant de plus en plus. l'objet. L'humiliation de M. Jabert avait été profonde sa rancune le fut plus encore et tout entière elle se porta sur sa sœur. « Sans elle, se disait-il à lui-même, ma femme n'aurait pas quitté la maison! » L'égoïsme est ingrat et cruel. Mlle Jabert étant devenue moins nécessaire à sou frère, celui-ci s'était abandonné à un ressentiment qui prit peu à peu les apparences de l'antipathie, du moins aux yeux de la malheureuse sœur. Dieu seul à su sa souffrance et je pouvais en observer les effets durant cette scène de larmes sans paroles, qui n'avait pour témoin qu'une enfaut.

Elle continua doucement à pleureiy Tout à coup, elle s'interrompit.

Il faut s'occuper de leur dîner dU> elle à demi-voix.

Elle se leva, roula sa toile, et se glissa, longeant le mur, suivie d'Azor qui s'effa.çait aussi. Le chien regagna son coin noir au fond du chais Mlle Jabert inonta dans sa chambre pour y déposer son ouvrage avant de courir à ses casseroles, et je la revis un instant après, se penchant sur sa fenêtre liour arroser un pied de basilie, son fétiche habituel. La charité de l'excellente créature n'oubliait rien.

Léontine de Villeneuve

Comtesse de C. :tcltajac.

(A suivre-)


DERNIERE HEURE

v 1 iLfUJL Jt i JL U H 1~

A LONDRES

La perquisition de Soviet House et îe Cabinet brîfeoiiiqye

Londres, 19 mai. Le gouvernement britannique s'est réuni aujourd'hui à Downing Street, sous la présidence de M. Baldwin, pour entendre l'exposé du ministre de l'intérieur sur les documents découverts par la police anglaise dans les bureaux de Soviet-House à Londres, et pour prendre connaissance de la note du, gouvernement russe, reçue la niiit! derniè-' re,~ profèstant contre lès perquisitions ef-'

fectuées dans 'les bureaux de. 1' « Arcos »

et déîa délégation commerciale russe. A la Chambre des Communes

A la Chambre des Communes, la majorité des députés étaient à leur place en prévision de la déclaration que le ministre de l'intérieur avait promis de faire concernant les perquisitions en question, mais les membres de l'opposition furent profondément déçus quand le ministre de l'intérieur annonça que les informations recueillies par la police dans les bureaux de Soviet-House était nt telles, qu'il lui était entièrement impossible de faire une déclaration à ce sujet devant le Parlement avant mardi prochain.

Sur une suggestion faite par M. Baldwin, il filt même convenu que la déclaration du ministre de l'intérieur ne serait pas faite avant jeudi de la semaine prochaine, -ce que voyant, plusieurs députés bombardèrent le gouvernement de questions, Le ministre de l'intérieur fut donc amené à déclarer, notamment, qu'aucune compensation ne serait payée" par le gouvernement britannique pour les dégâts causés dans les locaax de la Compagnie « Arcos (démolition de murs, percement de coffres-forts, etc.) et qu'il était dans les prérogatives d'un magistrat anglais d'ordonner des perquisitions dans les locaux de:Compagmes britanniques pu .étrangère^

établies eu Graiule-Bretagiiç ..si'.ce, iiiag.is-

trat avait des raisons de croire que" "Cèr- tains délits avaient été commis. °

Comment la « ïaeglische Randèchau » justifie la manière

dont les Allemands ont conduit la guerre Berlix, 19 mai. La Tœglischc Rundschau écrit au sujet du rapport déposé hier au Reichstag, relativement à l'enquête de la sous-commission parlementaire sut- les violations du droit des gens commises pendant la guerre

« Après avoir pris connaissance de celuici, on est obligé d'arriver à la conviction ?[u'il ne reste pour ainsi dire rien,des difamations dont la propagande .ennemie a fait usage pour porter atteinte à la manière' dont les Allemands ont conduit la guerre.

'La sous-commission a justifié la conduite allemande dans la guerre de l'air, l'emploi des gaz, son attitude à l'égard des partisans belges, le traitement des prisonniçcs et tous les autres, points d'accusation. La direction de l'armée allemande n'a pas violé; la convention de. La .Haye. Le commandement allemand n'a fait usage de réprésailles qu'après que l'advtersaire avait lui-même violé les stipulations du droit des gen&jLa .^ous-CQipniissioii à.' îrpùyé aussi

une '.justifl<ïatiGn.»p9.\ir; Ja. guerre sous-m,

rine, tout connneeile a «iabli -que-J'einplôi', par les Allemands de bombes à gaz asphyxiants n'a eu lieu qu'à la suite de l'emploi par-la France d'armes-à gaz, contrairement au- droit des gens, »

i_h

tk QUESTION DE TANGER

Madrid, 19 mai. -,Le.roi a reçu M.. Aguirre Carcer qui, à la sortie du palais, a déplacé qji'il partirait demain pour Paris etvîiue; Jâi. semaine prochaine, » les pour-'parlers au sujet de Tanger reprendraient plus activement. M. Aguirre Carcer a ajouté cependant que la fin des négociations nepeut pas être: prévue avant un mois environ.'

LES SOVIETS A GENEVE

Genève, 19' mai. Le bruit s'est répandu dans les couloirs que -la délégation russe. aurait entrepris certaines démarches officieuses auprès de la Conférence pour que celle^i soit appelée â se prononcer sur une résolution qui, en" reconnaissant la coexistence des. régimes économiques soviétique et capitaliste, procurerait à la délégation russe une satisfaction morale dont elle pourrait se prévaloir en rentrant dans son pays.

":A l'heure présente, ce .dessein, n'a pris aucune forme concrète. Néanmoins, on discute diversement l'accueil que pourrait faire la Conférence à une semblable proposition.

L'OPINION DES AUTRES

J fie fjouv ef flemetit et les partis

Signalons encore quelques-unes des réactions produites chez nos confrères de nuances diverses par l'agitation parleinen-. taire de ces "derniers jours. « Eh quoi direz-vous, le gouvernement n'a-t-il pas tout ce qu'il faut pour la dominer ? Sans doute il a pour lui ses succès, mais, comme ïe fait remarquer très' justement M. C.-J; Gignoux dans la JOURNEE INDUSTRIELLE, lesdits succès «sont en passe de'se retourner contre lui. Plusieurs, mois de stabilité monétaire, l'aménagement progressif et aisé de la dette flottante, la" restauration du crédit de l'Etat font croire aux ignorants, volontaires ou non, qu'il n'y a plus de problème du franc, ou au moins qu'il n'est pas tellement conipli-. que »t. Rien n'est plus exact. « II doit cependant rester, une part suffisante de l'qpJT nion, mênxe parlementaire, ajoute M. C.-J. Gignoux, pour comprendre que le salut financier est pour de longs mois encore à la" merci d'un accident, notamment politi-

que».

Sans doute, et c'est pour parer à cette éventualité qu'an avait agité l'été dernier et ce journal fut le premier à le faire l'idée d'une dissolution. Des élections générales eussent alors renvoyé à la Chambre une majorité gouvernementale telle que la politique de M. Poincaré, ainsi plébiscitée en quelque sorte, n'aurait plus eu à craindre « un accident politique ». Nous restons persuadés qu'aujourd'hui même, s'il était possible de consulter le pays, «l'expérience Pôincaré», comme gisait M. Léon Blum, serait approuvée et incouragée par le « Français moyen qui travaille, qui veut la paix et qui aspire à 4ne stabilisation gouvernementale autant

A VIENNE

Mgr Seipel est réélu chancelier de, la République autrichienne

Vienne,- 19 mai. Par 94 voix contre 70, le Parlement autrichien a réélu, au- jourd'hui, M^rSeipel comme chancelier. Le seul changement apporté dans la composition du nouveau gouvernement est que :'M, Caçl Hartlieb, nièmbrè du parti agrarieh, succède comme vice-charteelier à M. Fraiitz'Binghofor, qui est. élu 'lui*11 mêmê'-nninistra sans' portefeuille.

Mgr Seipel a exposé aujourd'hui, au Conseil national,, la politique du nouyeau-.ca-

binet/ t ̃ '• ̃

Les partis composant la majorité, a-t-il dit, se sont entendus pour donner la priorité, sur toute autre question, à celles susceptibles d'at- ténuer et; si possible, de résoudre les difficultés de nature économique, qui, depuis la guerre, persistent pour toutes les classes en Autriche. Nous essayerons d'obtenir, sans dénoncer les traités et par, -des. négociations avec les autres, certains avantages pour notre vie économique.

Le chancelier, abordant les rapports de l'Autriche. et de, l'Allemagne, a déclaré Nous avons particulièrement à cœur le développement de nos relations avec nos frères de l'Empire allemand. Dans tous les domaines intellectuels, les relations ne peuvent pas être plus étroites. Elles sont d'ailleurs basées sur nos origines de civilisation et d'histoire communes.' En outre,' nous encourageons et désirons tout rapprochement de nature; économique ou autre, dans la mesure où les circonstances de temps,rendent un tel rapprochement possible et licite entre les deux Etats.

Mgr Seipel a terminé son discours en déclarant que la politique étrangère du nouveau Conseil national sera la continuation de la politique déjà suivie par l'Autriche.

M, MITIUNEU.A PARIS

_p.i.f'f; }~A. J

1 W'-MMî&u* ministre des affaires étrâ'lïgërcs 'âc ''Roumanie," est' arrivé à Paris hier- après-midi, à 2 h.- 10;

Il a été reçu à la gare par M. Diamandy, ministre de Roumanie M. Louis Marin, ministre des pensions et président de l' « Amitié franco-roumaine », et, au nom de M. Briand, par M. Dalimier, sous-chef du protocole.

Le sort de Nungesser et Coli

•*

'Le vice-àmiral sir Rudolf Benting, commandant en chef de la base navale de Plymouth, vient d'ordonner au destrover Seawùlf, actuellement à Kingstone, d'effectuer des recherches entre la côte irlandaise et la côte- de Cornouailles.

Ces recherches sont provoquées par la découverte de la bouteille repêchee par des pêcheurs de Falmouth, bouteille contenant un soi-disant message de Nungesser, disant qu'à 75 milles de la côte d'Irlande il avait' eu des difficultés avec son moteur. •>•̃•• Les recherches au Labrador

L'hydravion du gouvernement canadien,. qui a procédé à des. recherches de l'avion de I^iingesser, dans le golfe de Sàint-LaU:rent et au Labrador, n'a trouvé aucun'Qii trace> deil'aviou.vlla dirigéses recherchieiSi,') hier,- «vers ̃.Hairington. ̃ "'i- '.̃̃•̃̃ --t. mini Les recnercheS ëffçcttiées!'à; ï'Ûé'!d*Aiï^ ticosti sont restées également infructueû- ses. -1. ̃ ̃

Une lettre de Mgr le duc de Guise 1

Dans une lettre au commandant Beau, l'un des blessés du guet-apens communiste de Montmorency, le duc de Guise déclare que cet attentat, venant après ceux de la rue Damrémont, de Marseille et de SaintEtienne, doit être un avertissement. Ces attentats, dit-if, justifient les courageuses campagnes de presse qu'inspire un patriotisme éclairé.

» Les éléments de désordre qui menacent la société, sont, pour la plupart, des sans-patrie, venus de toutes les nations, souvent chassés par elles, et arrivés chez nous pour saccager un pays qui, trop gérnéreusement, leur a donné asile.

» La France peut être accueillante sans, se laisser envahir par des indésirables. » Quelque justice que l'on doive rendre à des personnalités politiques qui, se plaçant sur le terrain national, ont relevé les finances et déclarent vouloir combattre les menées communistes, on ne saurait oublier que- l'instabilité gouvernementale, autorise toutes les craintes. » Hommes d'ordre, ries royalistes, unis à 'tous les Français patriotes, arrêteront l'action communiste, internationale et anarchiste, génératrice de déception; de misère et de mort.»

que monétaire, la première, du reste, conditionnantla seconde..

La dissolution est-elle possible aujourd'hui ? Est-elle envisagée par le gouvernement comme suprême moyen: d'assurer le succès définitif de la restauration financière qu'il a entreprise ? La presse de gauche considère "que c'est faire injure à M. Poincaré, à M. Doumergue et au Sénat que de les supposer capables de songer à en appeler au, suffrage universel!. Curtius (GAULOIS) écrit au contraire qu'il sait assez de civisme à, M. Pôincaré «pourcroire ^capable de réagir tout autrement que l'imagine M., Pierre Bertrand, c'est-àdire conformément aux nécessités supé- rieures de la patrie. Mais sans sortir de la légalité, les armes ne lui manquent pas.» En tout cas « il est bien certain que l'heure e,s.t ^olennfille et qu!il importe 4e réagir si nous ne voulons pas attendre cet ins- tant, dont parle l'historien latin, où nous pourrons plus' supporter'ni nos vices ni les remèdes à ces vices ». 'M. Gustave Hervé (VICTOIRE) déplore que nos élites sociales soient si «totale- j ment dénuées d'esprit combattit sur le terrain politique ». Autrement, «dans un an la France pourrait être redressée par les voies légales aussi complètement qu'elle l'a été par le coup d'Etat du 18 brumaire ou que l'Italie par le coup de force de Mussolini -»v Evidemment Mais qui parle de sortir de la légalité? Les plus hardis ] n'envisagent que ̃ la dissolution de la Chambre. Nos confrères cartellistes crient .au fascisme. « Mais non, leur- répond M. Emile Bure dans l'AVENIR; il n'y a aucune suggestion fasciste. Le droit de dissoudre.. la .Chambre. -:est inscrit dans la ConsJtituti-çin et il serait même salutaire à la République qu'on en usât plus souvent. .En l'occurrence, le Président de la Repu'

a £A CHAMBRE

La réorganisation de l'armée On aborda, à la Chambre la suite des lois militaires qui forment, en quelque sorte, une tétralogie. La première partie, déjà .votée, règle l'organisation de la nation en temps de guerre elle est actuellement devant le Senat, où elle vient d'être fortement bousculée.̃

Les trois autres parties traitent de la réorganisation de l'armée, du recrutement et des cadres. C'est de l,a réorganisation qu'on s'occupa hier. Dès l'ouverture du débat, un député bolcheviste réclame l'ajournement. C'est dans l'ordre, Moscou n'admet pas que la Frahcb ait une armée forte. Par 415 voix contre .31" la motion d'ajournement est repoussée elle ne réunit que les voix communistes. Toutefois, le nombre.' des abstentionnistes est élevé » les. socialistes n'ont pas eu le courage de,- prendre parti pour la. France .contre se&v çnnemis ,(. La discussion générale étant ouverte, M: Maginot, ancien ministre de la guerre, présenté un exposé technique de la question, 'clair et substantiel, qui est suivi avec un vif intérêt. D'abord, un rapide coup d'œil sur le passé: lorsque l'orateur eut fait voter le service de dix-huit mois et le regroupement de l'armée en trente-deux divisions, nos troupes.se trouvaient dans une situation précaire, résultant dii formidable effort qu'elles avaient fourni. Nous avions, en tout, 61- divisions pour G30.000 hommes d'effectifs budgétaires nos unités étaient squelettiques et l'instruction se faisait mal., En, réduisant de mpitié le, nombre des divisions, et d'un quart l'importance de,s effectifs, on opé- rait le rajustement nécessaire dans la mesuré des possibilités.

L'armée, ain'si regroupée, nous a permis de faire face aux plus lourdes obligations militaires occupation de la Ruhr, défense du Maroc et de la Syrie; L'organisationV* qui a produit de tels résultats, ne" mérite"pas que des critiques, et :elle en mérite d'autant moins que les; conditions qui avaient été prévues pour ^on .fonctionnement n'ont pas été remplies. On a laissé se désorganiser l'armée en ri'acçùmçlissant pas l'effort nécessaire pour activer le recrutement des militaires de carrière, et pour faire jouer à pléinle service; de dix-huit mois.Fu~ s~uïimte~~ lâ loiar'apas été appl-ïquéerdans- i'cspcll elle a ,:été votée» Quoi qu'il en soit, on entend, âujourd!hixi; faire du neuf, et l'on a raison les institutions militaires n'échappent pas- la loi du progrès. ̃• > M. Maginot. Trois projets sont en présence qui, tous trois, reposent sur le, principe de la. nation armée. Je ne parlerai' pas du contre-prdfc1 jet du colonel Fabry puisque son auteur pense H le retirer s'il obtient que lé projet du gouvernement soit modifié dans le sens qu'il désire,; Restent' d'oïic le projet gouvernemental et te projet Renaudel. Aucun des deux ne me donne satisfaction, mais entre les deux, je n'hésite pas à donner-la préférence au projet du gouverr.ement, parce qu'il fait effort, pour- donner if 1 co pays une armée qui, avec des formes nouvelles, reste'dans le cadre des armées permanentes, tandis que lc projet Renaudel tend à substituer le système des milices il' celui des' armées permanentes.

Nous pensons, mes amis et moi, que, dans l'état actuel de l'Europe et du monde, seule une armée permanente peut assurer à la France la force dont elle a besoin. (Applaudissements.) ̃ Après une critique trèsserrée du système Renaudel, qui offre, entre autres inconvénients, celui de fournir des effectifs insuffisants, l'ancien ministre de la guerre conclut en faveur du projet du gouvernement. Certes,, il soulève des critiques, que M. Sénac a d'ailleurs signalées dans son rapport, notamment un nombre de divisions trop élevé et qui n'est pas en rap-

port avec le nombre d'hommes dont nous

disposons.WJÙ..J: .i.j. -̃i'U I Par contre, M. Maginot "approuve le pro-

jet en cér qûT ccirTéer "ne" Ta" couverture

Comment trouver mauvais, ditHl^ qu'en cas de besoin, nous faisions face à la nécessité de renforcer. notre couverture, puisqu'il est bien entendu .que nous ne ferons jamais que nous, défendre, et que, tous, nous considérons une guerre agressive comme un crime. •'̃̃'̃

En résumé, le projet, du gouvernement, malgré ses.imperfections, nous paraît pouvoir jouer dans des conditions' satisfaisantes pour la sécurité de notre pays, à là condition toutefois que nous ayons le.,personnel éivil et les militaires de carrière en nombre suffisant. Nous voterons donc ce projet s'il spécifia d'une façon formelle, dans 'son 'teste même, que ces conditions seront préalablement renuplies, sinon nous voterons contre.

En effet, quand il s'agit de l'existence même du pays, il ne faut laisser place à aucune équivoque, à aucune incertitude.

La France a besoin d'une armée forte, parce qu'elle ne veut pas que ses fris et son sol repassent par les épouvantables épreuves qu'ils viennent de traverser. (Vifs applaudissements.) Comme M. Maginot, M. Missoffé accepte le projet du gouvernement qui tend à la réduction du temps de service. Cette tën' dance n'est pas:spéciale à la France ;eU« est commune aux autres; jiations .de l'Europe et répond aux leçons de la dernière guerre. -•̃ Le mérite du projet est de^côncilier les nécessités militaires avec les possibilités de fait." C'est ainsi qu'il prend une série; de précautions pour que le service d'un' an n'affaiblisse pas'la défense du pays et- permette à l'arjftéeC'de 'remplir,! ses diffé- rentes, missions de couverture,, d'instruction, etc.

Mais l'organisation proposée n'est réalisable qu'à la condition que le nombre des;

blique et le Sénat, constatant que l'impuis* sance de la Chambre du 11 mai peut avoir, les plus redoutables conséquences, seront impardonnables s'ils abdiquent "la très heureuse prérogative que leur, conférèrent les, fondateurs de notre Troisième République, » Voyez maintenant comment l'idée est ac-: cueillie au POPULAIRE par M. Emile; Kahn « Le parti radica^ se rev,eiHc..l Après le discours de M. Rcnôult, déclaration de M. Malvy Les actes suivent lés paroles, les bulletins radicaux se retrouvent avec les nôtres Le parti radical doit se rendre à l'évidence et se reprenr dre. L'union nationale, Consciente du péril, songe, parait-il, à' la dissolution. dissolution Essayez Ainsi parle l'orgâ-' ne socialiste. N'est-ce paç à rapprocher du cri de triomphe pousse la veille par M., Vaillant-Couturier, et que nous reproduisions hier « C'est le moment de continuer sans désemparer la poursuite, notre poursuite. » .( Empruntons une conclusion à M. Jules Ver an. (ECHO DE PARIS), qui expose "ïa nécessité d'en. finir avec ce bruit et ,'cçs provocations. En brimant la Chainbre-x Non,, mais en la plaçant en face de ses responsabilités. « Là politique du gouvernement n'a pas varié, on le sait. Ce sera à la ;Çhàmbre "de dire si, elle e^ntenfl toujours la faire sienne. Comme notre confrère, nous ne doutons pas qu'elle ne l'affirme. «Il est certain que M. Pôincaré dispose toujours d'une très suffisante majorité. Mais le débat que nous appelons, ajoute M. Jules Veran, devra permettre à la^ minorité de se définir dans sa composition et sa politique.-»..

ffatiçe et flugMef f e

Dans le « Bulletin Politique » d' ACTUA- LITES, M. Henry Bérenger se félicite,, lui aussi, q^ue les conversations de Londres aient révélé «un accord complet .des points de vue. » des deux ministres, des affaires étrangères/

militaires' àé carrière, des agents mili- i taires "et des employés civils soit notoire- ment augmenté. Ce n'est pas seulement un problème financier, c'est un problème psychologique et moral. Il faut, a la fois, relever les soldes et le prestige de l'armée qui a droit à la confiance, à l'amour et à. la reconnaissance de la patrie. Sur ce discours très applaudi, la suite de la discussion est renvoyée à une autre séance.

En fin de séance, le ministre de la guerre répond à deux questions, l'une de M; Biré, sur la convocation des réservistes agriculteurs en juillet, et l'autre de M. Dèat, sur l'installation d'un champ de tir au camp de Tahure.

Dans une séance du matin, la Chambre avait commencé l'examen de divers projets et propositions modifiant la loi du '9 avril 1898.

Ce matin, pn s'occupera. des appellations

d'origine.

d'origine. Saint-Selve.

Le monopole des allumettes

»a~

Le projet de convention relative à l'exploitation du monopole des allumettes a été amélioré sur plusieurs points, grâce aux nouvelles négociations engagées par le président du Conseil avec la Société qui serait éventuellement chargée de la ges-. tipn du monopole.

Nous avons indiqué déjà que le taux d'intérêtsdu cautionnement de 80 millions de dollars serait ramené de 5 50 à 5 0/0. Le nouvel arrangement prévoit, en outrr, que cette somme de 80 millions de dollars serait versée à l'Etat, pour la première moitié, deux mois au plus tard après la ratification de la' convention par le, Parlement, et, pour l'autre moitié, huit mois après là même date.

La Société garantit qu'à partir du ^"̃: janvier 1932 elle aura amélioré les prix de revient dans une proportion telle que la- part 'de bénéfice l'Etat sur la seule Consommation intérieure, sera dès lors au moins de 15 millions par an. Si cette part dev bénéfice devait être inférieure à ce chiffre, ia Société Rengage à parfaire chaquè année ce minimum par prélèvement sur sa propre part.

Elle garantit également, à partir de l'exercice 1932, un minimum de recettes de 20 millions1 « provenir des: bénéfices réalisés survies- ventes des types de lùxej" fenV l'exportation et -sur,' la publicité. ̃" Au total, la garan'tie%o'avellè' porte ainsi sur un minimum de 35 millions de recet-

tes1.'

'En regard de ces avantages, ne convientil pas, de. signaler, la proposition de MM. Moutet et CanaveUi, quLvont demander à ̃la Chambre d'engager immédiatement \iiji çffidih de 30 millions pour assurer la ino'deriiisatian «des 'services industriels du inonç:pole des allumettes de nommer une commission pour arrêter un « programme de réorganisation, de transformation et d'amélioration techniques ». D'autre part, avec le projet du gouvernement, l'Etat encaisse, d'ici huit mois, 80 millions de dollars, soit plus de deux milliards de francs, dont il peut disposer à sa. guise, et il est assuré de réaliser des recettes bien, supérieures à celles que produit âptuèllement le monopole.

D'autre part, le système socialiste consiste à dépenser "30 millions pour essayer d'obtenir un résultat d'autant plus problé'matique qu'on a reconnu déjà l'impossi-, bilité de perfectionner les méthodes d'exploitation des monopoles d'Etat, surtout avec l'aide de commissions où siègent des parlementaires.

Informations politiques

La. s^abil^satjpJi .inonét9ir,e y iXe comité .'parlementaire français -dài oomîmercé a discuté le, rapport sur -1 es conditions internationales de la stabilisation des changes et des monnaies, qui doit être présenté à Rio<le-Taneircii au mois de septembre prochain, à la Conférence parlementaire internationale du commerce.

Les conclusions du rapport présentées sons la former d'un projet de résolution- par M. Chaumet ont été adoptées à l'unanimité. ,,Ce projet de résolution émet le vœu que «toutes les nations fassent effort et s'entr'aidéht en vue d'arriver à l'équilibre de leurs budgets aussi bien que de la balance générale de leurs payements qu'elles décident, à dé-' faut de la convertibilité totale de leur circulation fiduciaire, d'adopter le système de l'étalon d'or régulateur (gold exchange standard) et qu'elles .fassent; choix -d'un. taux de cou-, vértiWlité qui satisfasse aux données de la ,situation budgétaire et économique en même ̃temps qu'aux exigences de Ja justice due à toutes Jes catégories sociales en cause ».

Jjé tarif douanier et. la presse

Le groupe radical-socialiste, réuni" sous' 3a a présidence de M. Gazais, a voté la motion suivante.

%p. groupe^ çpuçieux de garantir l'expression de toutes I$s opinions par la voie de la presse, demahiîe qu'aucune mesure ne soit prisRide nature à provoquer un relèvement du prix des journaux, et à paralyser la publication de tous lés périodiques ».

La crise charbonnière

M. André Tardièu a fait part à la Cèmmiss;on des mines des décidions. «ju'a déjà prises et que compte prendre immédiatement le gou-

actuelle. ̃

Le ministre des travaux publics, complètement approuvé par la commission, a déclaré qu'il ferait l'impossible pour éviter que la

Quant 00 a.prfse^txà l'esprit, ces points de vue » qui s'appliquent au régime de la Rhénanie, aux événements de Chine, aux menées de Moscou, aux relations européo-américaines, on "ne saurait sous-évâluer l'importance du voyage «Je; Londres,

Cette importance, M. Doumsrgue l'a magistralement soulignée dans ses différents toasts officiels et notamment dans son toast du Guildhall « Chacun de nos peuples, sachant le prix de la paix et se souvenant de 'l'horreur de la guerre, n'aspire qu'à orienter ses activités et celles dc,rhu,mauUè,vers les initiatives, les entreprises et les travaux créateurs de richesse et de civilisation. »

Aujourd'hui que la nation anglaise est devenue la « Communauté Britannique », rayonnant par plus de quatre cents millions d'habitants sur les cinq continents avec ses cinq Dominions aujourd'hui aussi que. la République française est devenue un système intercontinental de plus de cent millions d'habitants répartis par nos colonies sur toute la planète, n'est-il pas nécessaire de répéter avec le « Times » que « la France et l'Angleterre ont une responsabilité commune dans le monde --> Cetfe responsabilité commune n'était-çlle pas .inscrite dans le destin des deux grands peuples ? Cette responsabilité n'est d'ailleurs pas née d'hier. Elle s'ébauchait déjà à la finj.du dixliintième siècle, lorsque Mirabeau, détaché en mission à Berlin par Vergennes, écrivait à son confident Talleyrand « II n'y ?. qu'un projet assez vaste pour tout concilier, tout terminer c'est le vôtre qui, faisant disparaître, non pas les ;rivalités de commerce, mais les inimitiés absurdes et sanglantes qu'elles font naître; confierait aux soins de la France et de l'Angleterre la paix et la liberté des deux mondes. » Vérité d'hier et d'aujourd'hui Que de fois n'avons-nous pas défendu cette thèse dans ce journal T Et comme ;M. Henry Bérenger a raison de dire que plus que jamais il importe que nous attachions le sort du progrès de la paix et de la civilisation «à l'ancre de salut d'une Entente franco-britannique consolidée ».

Responsabilité ^commune implique solidàrité commune.

V:. ̃ Pierre .Villette.

corporation minières qui vient "de rnontrei^ son 1 esprit de" solidarité* nationale, voit s'ajdilter le chômage -k la baisse des salaires qu'elle a dernièrement acceptée.

M. Tardieu viendra le 15 juin prochain mettre la commission au courant'du résultat des mesures qu'elle a approuvées.. ̃ j Le cumul, des mandats ] La commission sénatoriale, chargée d'étudier le mode d'élection des députés, a-entendu hier lecture du rapport de son président et rapporteur M. Janneney, lequel approuve le projet voté par la Chambre.

Le scrutin du 22; mai M. C. Levée, candidat du comité d'Union ré- publicaine et démocratique du. quartier du Palais-Royal, a fait approuver son program- jme à l'élection du 22 mai.

La séance d'aujourd'hui •" i La s.éance de la Chambre peut être assez mouvementée aujourd'hui. On y discutera, en effet, des crédits destinés à des indemnités aux titulaires des greffes supprimés par les décrets: de septembre, et deux iijterpqllatjons sur ,1a .vie .clièrçt et In .hausse -dés* vins. ir Excellents sujets' pour 'mdavc'inçufs câvtcïr listes.̃ ̃

La loi sur la 'naturalisation au Sénat

La. commission sénatoriale ;de législa- i lion a entendu un exposé de M. Lisbonne, ( rapporteur du projet réformant: le régime ( de la nationalité, rapport ayant trait aux modifications. apportées par là, -Chambre au texte voté par le Sénat.. •. > i La commission a approuvé le projet à ï elle soumis de nouveau, mais elle a; toute- r fois, repris sur deux points la rédaction primitive du Sénat. .•̃̃ 1 Elle a, naturellement, décidé que-pcn- ( dant une période de dix ans les étrangers s naturalisés ne pourraient exercer aucune fonction ni remplir aucun mandat électif, [ alors que l'autre Assemblée restreint cette interdiction aux seuls mandats purement t politiques. D'autre part, la commission a estimé que é la procédure de déchéance pour la qua- 1 lité de Français pourrait être, exercée l'on I seulement .contre les étrangers naturalisés, ainsi que l'avait décidé la Chambre, mais aussi a rencontre de ceux qui ont antériourement acquis la qualité de Français j sur leur demande, et notamment à- l'en-! i contre des bénéficiaires de certaines dispositions d'une des annexes du traité de 1 Versailles.c j'.j. .•,•• .)̃ II est à remarquer^ ^op.eudant, que; ces. différences ne sont rpas çss.ei)tif}llçs';eJt ;ije-; j, motiveront sans doute aucun débat por- tant sur le fond du p,rQMènic.

La revision des soldes militaires

Le ministère de la guerre communique la ( note suivante: [ On a annoncé que les travaux de la commis- { s:on Martin chargée d'étudier la question de la j revision des traitements des fonctionnaires étaient sur le point d'être achevés ̃ et présen- i tés au gouvernement. D'aucuns r,e sont demandés si.les, travaux de cette commission s'appliquaient aux person- t ncls militaires. Il n'en est rien, et c'est une, commission présidée par le général Nollét qui j ] étudie la question du relèvement des soldes. Le ministre, de la guerre suit de très près les travaux de cette commission avec le vif souci 1 de donner aux cadres militaires les améliora- i tiens qu'ils sont en droit d'attendre, compte i tenu de la situation financière du pays. Quand ( le moment sera venu, c'est d'ailleurs une déci- i sion d'ensemble qui interviendra, concernant à la fois les traitements des fonctionnaires, ci- ails et des soldes de l'armée. > j

LA VIE RELIGIEUSE

Deux lettres de S. Em, le cardinal Dubois, r archevêque de Paris

.La Semaine, Religieuse; de Paris.. publie,

deux lettres de S.,Em. le cardinal Dubois, archevêque.' d&JRaiTisvi l'une; 'au xlérgé et aux fidèles du diocèse de Paris, à l'occàsion.'idit prochain pèlerinage diocésain à Notre-Dame de'Lourdes, et l'autre à Mgr Prunel, vice-recteur de l'Institut catholique, à l'occasion d'une protestation d'un groupe d'étudiants partisans de l'Action

française.

Les fêtes de Chartres.

Nous publierons, ces jours-ci, le programme des fêtes qui auront, lieu à Chartres du 31 mai au 6 juin.

Disons, dès, maintenant, que le Souverain Pontife vient de désigner S. Em. le cardinal Dubois, archevêque de Paris, comme légat pontifical.

*̃̃&

GAZETTE DES TRIBUNAUX Cinq lettres

de M. Romain Rolland

Dans un catalogue de vente d'autographes qui doit avoir lieu prochainement à l'Hôtel des Ventes, figurent cinq lettres adressées à un tiers par M. Romain Rolland et. contenant des considérations littéraires et politiques.

Le' signataire s'est adressé, hier, au tribunal des Référés pour lui demander le retrait des lettres de.la vente et leur mise sous séquestre, en atte.rid^nt la, décision du tribunal.

Le président a1 ui)rdbii'n'è' le' rentrait' itamédiat des lettres en litige et à nommé séquestre M. Desvouges, commissaire-priseur, avec obligation pour M. Romain Rolland d'assigner dans les quinze jours. L'authenticité d'une œuvre M. Gamaelins, amateur suédois, avait acheté à un antiquaire parisien différents objets dont un portrait de connétable signé Philippe de Champagne. L'authenticité de cette toile ayant été mise en doute, l'acheteur a réclamé le remboursement ,du prix du tableau, soit 103.000 francs, que lui a accordé le tribunal.

L'accident du peintre Favory Dans la nuit du 30 au 31 décembre 1924, un taxi-auto conduisant le peintre André Favory culbuta le candélabre à trois branches placé sur le refuge situé au rondpoint de Grenelle. L'artiste fut blessé. Le chauffeur, Jules Làporte, a comparu hier devant le tribunal correctionnel. Défendu par M0 Milhié, il a été condamné à quinze jours de prison avec sursis*. M. Favory, partie civile par l'organe de M" Campinchi, a obtenu 5.000 francs de dommages-intérêts.

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Les Championnats internationaux ̃X de France de, tennis

Le Comité d'organisation des CharaVpionnats de France de tennis, qui corn^- menceront le mardi 24 mai, à la Faisanderie, a procédé, hier, au tirage au sort des Championnats simples. Le voici Championnat simple

Premier tour Fyzce c. J. Siguier R. Làurent c. Prasada It. Danou c. R. de Buzelet L. Torralva c. Krishen K. VVetzel c, J. Condom Flaqucr c. E. Tburneyssen P. Barrelet de Ricou c. Sydney B. Wood Alain Bernard c. H. Lester J. Van Alen c. P. Landry;. Les autres exempts. > Deuxième tour, en haut du tableau H. Co-chet c. E. Sàrkies Farqubacom c. R. Cham-' pin J. Arago c: H. Timmer Bràme-Hillyard< Géraud B. von Kehrling c. J. Rebis M. Guillemot c. S. Rodzianko R. Le Blant ç.- Turnbull 0. Froitzheim c. J. Carreras W. T. Tilden c. J. Andreu Craig-Biddle c. R, Rddel; E. Klcinadcl'c. P. Pàpndopoulo CF. Aesclili4mann c. Augustin Rayraond ç. R. Danet-; Ch.'Boussùs "c. Fyièe J. Sigùier. ̃̃•• Deuxième tour, en bas du tableau L. Wahid c. A.Aron A. Persin c. Huater D.- Laurent c.. A. Gcntien D. Torralva c. E. du Plaix J. Fisher c. C. Van Lennep B. Thalbitzer c. J. Borotra E. Micard c. Ed. Broquedis comte S.ilni c. N. Mishu J. Sai c. Arteus J. Arriga Xogues c. J. Brugnon A. Piel c. Klazkowski H. Czertwetynski c. H. Chiesa Wuarin c. H. Kleinscbrott R. George c. R. Lacoste.

Championnat simple de dames

Premier, tour Mlle S. Devé c. Mlle S. Amaury miss Saunders c. Mlle J. Gallay Mme de Montebello c. miss R. D. Tapscott Mlle G. Cousin c. Mme Pons Mme R. Mathieu c Mlle Uosenbaum Mlle Y. Sigart c. Mine Kîeinadel miss Ridley c. Mme Danct. Deuxième tour, en haut du tableau Mlle de Alvarez c. Mlle Holzscbuch Mme Vaussard c. Mme Von Heznick Mrs Watson c. Mlle Grasset miss E. Heine c. Mlle Y. Bourgeois Mlle K. Bouman c. Mme Le Conte Mme "Friedleben c. Mlle Beaugé.

Deuxième tour, en bas du tableau Mlle Contostavlos c. miss Ridlev ou Mme Danet Mlle Charnelet c. Mlle J. Sigart Mme Golding c. Mrs Peacock Mme Sperehza \Vyns c. Mme Mcppach Mme J. B. Le Besnerais c. miss E. Bennett Mme Gounouilhou c. Mlle Barbier Mlle Cantenat c. Mme Bordes.

En double, les têtes de séries sont 1. Cochet-Br.ugnon 2. Tiiden-Hunter 3. Raymond-Condom 4. Borotra-Lacoste .5. Van Lenappe-Timmer (i. Landry-Boussus 7. Kleinschrott-voil Kherling 8. ïurnbullLester.

Les inçjlleufs ,|p.u?«rs u monde, e~ on- le: voit,, sont 'engagés. ".C'est, dire l'intérêt conisidérable qui s'attache au Tournoi, v-r P. C»:

Mlle Thion de La Ckume

est championne d'Angleterre de golf La finale du championnat féminin' d'Angleterre de 'golf a été disputée hier à Neweastle (Irlande). Elle opposait l'Anglaise miss Dorothy Pearson à notre compatriote, Mlle S. Thion de La Chaume, championne de France. Cette dernière, en battant miss Dorothy Pearson par 5 à 4, a remporté ]e titre de champion d'Angleterre de golf, succédant à miss Cecil Leith. Ce brillant succès de la jeune championne française, outre qu'il est d'une excellente propagande pour le sport français, constitue une remarquable performance. Par' même, Mile Thion de La Chaume confirme ses dernières victoires et s'inscrit comme une des plus réputées championnes du continent.

I-

Le raid en avionnette du lieutenant Thoret

L'aviateur est contraint d'atterrir à l'aérodrome de ïempelhof (Berlin)L'aviateur français Thoret, qui avait quitté le Bourget mercredi à 17 h. 05, à bord de son avionnette munie d'un moteur de 40 CV, dans l'intention d'effectuer 16 vol sans escale Paris-Moscou, a été, contraint de se poser. liîcr matin,, à 2 11. ;55j à. Tcïnpelhoff, près de Berlin, "ayant quel* ques ennuis avec son moteur.

CHEZ MARCEL ROCHAS

̃ ^~i'

Incontestablement le plus jeune de nos couturiers, vingt-cinq ans et un nom déjà connu, un succès qui promet.

Marcel Rochas et sa charmante jeune femme créent et dessinent eux-mêmes tous les modèles de leur collection. Nous les trouvons tous les deux dans le délicieux écrin qu'ils ont su donner à leurs créations, et leur extrême jeunesse surprend c,t amuse.

Comme nous lui parlons de sa collection d'été dont la simplicité et la jeunesse lui ont conquis d'emblée une clientèle très raffinée, Marcel Rochas nous précise le genre qu'il a adopté et dont la réalisation lui a si bien réussi. « Tous mes modèles sont. simples, d'allure sportive, nous dit-il, parce que les jeunes femmes que j'habille, ma femme et moi-même, ne pouvons concevoir la mode autrement. Voyez évoluer dans toutes les manifestations sportives et mondaines, les quelques rares femmes vraiment chics, qui savent vraiment s'habiller et que toutes les autres femmes s'empressent aussitôt de copier. Dites-moi si ces femmes exhibent autre chose que des modèles simples, sobres, bannis de toute excentricité et dont tout le raffinement perce seuj,eanen,t danSileiÇolorjs, la coupe et d'imperceptibles détails.

Pour ces femmes, il n'est d'autres conseils que leur goût personnel, elles n'écoutent que lui et elles ont raison.; c'est en vain que les couturiers du monde entier leur, proposeraient leurs créations les plus sensationnelles, elles ne voudraient pas les porter. Elles n'aiment. pas une. révolution brutale de la mode, mais une évolution lente à laquelle elles contribuent d'ailleurs elles-mêmes sans s'en douter et, en fin de compte, ce ne sont plus les couturiers, mais bien elles qui font la mode.

En partant de cette théorie, qu,i .n'^à d'autre valeur, ajoute d'ailleurs très. simplement M. Rochas, que celle que je lui donne personnellement, j'ai été amené à créer des modèles satisfaisant uniquement, et le goût de ces femmes et le mien. Vivant dans leur ambiance, évoluant constamment avec elles au cours de toutes les manifestations mondaines, ne manquantmais une occasion de m'inspirer de 'iftirs idées et de leurs désirs, je trouve en elles de précieuses collaboratrices qui m'aident à créer les modes, non pas pour la couture mais pour elles. Ceci ne n'emj>êche pas d'ailleurs de chercher sans cesse ,du nouveau comttie tout créateur, je n'aime plus aujourd'hui mes modèles que j'avais aimés hier, et j'adore déjà tous ceux que je ferai demain, mais j'évite de faire n'importe quoi pour le plaisir de faire de la nouveauté. Une vieille mais bonne idée rajeuïiiê'est préférable à une jeune excentrique; C'est en demandant sans répit dé la nouveauté que les acheteurs étrangers ont déformé bien souvent le goût des modeliS" tes, en les faisant tomber dans une excentricité qui, heureusement, n'a plus cours cheznous. ̃ Nous laissons Marcel Rochas, c'est l'Jjeure de la collection et, déjà, comme pour confirmer ses déclarations, ses salons -sont envahis par un essaim de jeunes et jolies femmes, parmi lesquelles nous reconnais- sons au hasard, telles et telles élégantes, ha- bituées des golf et villes d'eaux.

Ne doutant pas que ce jeune nom devienne, avant quelques années, un des premiers de la haute couture parisienne, nous souhaitons seulement qu'en homme intelligent, Marcel Rochas garde toujours, au milïea d'un succès grandissant, sa charmante' sim- plicité, d'aujourd'hui,


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1 BOURSE DU 10^ 1^ 1927 •̃ •̃̃̃̃ y r .•, }_ RS$ | TERME |pC&VDàr COMPTANT g^f. | | COMPTANT |ggSfi|"g| 'gg* COMPTANT- g".|tg ffit" COMPTANT |ggffû°£r XT\ MARCHÉ EN BANQUE |ggg. MARCHÉS ÉTRANGERS [S^F

brut-, *<-r~t'<t.. pr6cid" cours <tnrt~mt pnieM" cours COMPTMT IJI'kêd" murs trot CC>MPT AP~T çréedl* 1 cours ~tra préc6d" cours brut '"ttnhnt M OttH~Ut pr6C6d" fout: mUnEnM bTnAHEERS pr6c6d" cours

»:«^*rjj^j^:|W: PONDS D'ÉTATS | M^gJ l^ i BANQUES, < j 450 B^no^ &. «^ TERME LONdRES «9 mai

36~ 82i de l'Algirie II~cnn ¡l' 1 0' '1 444 BANQUES 1 J50 1 (c" de) nouv TERME LONDRES 19 mai

36~82 \-d.t'A)6er.))395..).700.. FONDS D'TATS 5%)?)0.)800.8)0.. l,' 240..Charbonnage.duT.nkin.))900..))950.

50;. r- Nationale de Crédit. 869 880., 3% 57.. îû 05 Portuc»! 3% 1" série 186.. 164 25 195 Banque de l'Indo-Chin» 5425 5350 55 Commentry-Fourchambeult l!35 .>. Mexique intérieur S% .57 25 .58 75 3% Françéis Il 1/2 il 1/2 85 AS T* d«Pa>-is& Pays-Bas.. ZU2 2!60 3% Amortissable 6730 67 60 Roumanie 4% I89O 55.. française de- •'Afrique 815.. 50 Dombrowa (Houillères), parts. !600 1600 3% 4150 42255% ,• ja VA' 18 J '8 23 75 Transatlantique 839 395 31/2% Amortissable 90 50 4% 1896 66.6i .9.. lndust.de i'Af^duNord 4J2 400 45 EpinacCHouilleres6.Ch.fer d1). !300i.. 1340 Balia-Karaîdin 270.. 769 50 4% 1917 13 12/: 13 î/2 S&\l3;ri. de l'Union Parisienne. J378 400 g% 1915-1916 75 40 75 20 4% -1898 60 Industrielle de Chine.. !fcO 159.. 55 60 Haute-Loire (Houillères de la). MCO 1105 10 «h.. Brakpan 603 .60! 4% 1918. 15 15 1/8* 70 ^Cçnnp^nie Algérienne WO 990 4% 1917 63 70 63 50 Russie 4$o 1867-1869 12.. !2 15.. Franco. JaponàlVe. 645 629 75 Montrambert et la Beraudière. Î639 >660 25 b. Caoutchoucs (Su Financière de) .549 552 Consolidés 55 3/âV' 55 3/a"

60 .iiPornçtoir National d'Escompte. «4 ,480 ..4% 1918 62 20 62 10 Santa-Fé 5% 1910 1625 Î600 30.. des Pays du Nord. 500 », ;500 Saint-Eti.enne (Houillères de). 125 123 I .h. 6 Chartered .182,50 IS3 50 Araentin 1886 1 w 10! .1 SOÎ X

60 ,;¡s;om, ¡¡tOirNatoonald Escompte. 1444" 14W 49~d 1918 > 6220 62 10 Santa.Ft 5'0 1910. 1625 '60f) 30. -des Pays du, Nëi~d. 500 ¡', .'500.. S Sa~nt.Etl.enna (l1ou,1I6re. de). IQ ,'23 1 .h. 6:c~ertered. ,182 ,5,O,l.~3 50 Argentin 1886"t:~ }O, 101 .J.

50 .vJCrédk Commercial de Franc.. 1230 1250 5%192Q Amoriiseable. 84 75 84 8fl Serbe 6 1913. !!5 50 !I6 15 Banqwjrivée ;j,on cum. 263 283 65 Aniehe (Mlnec d") 1645 J65O 3 At 6 City-Deep. 202" 204 50 Brésil 1889 *W .58 T 8Ovil'?-- Foncier de Franc 2550 26!£ eîfiSSft: S&55 90 30 SuM. 3 1/2S5 1895 Cré%Poémn ,,3>tW0 55 Anzin !480 1480 Colombia 38! ,.4 '387 ïïunàmt .7iM \à'M.f

2O!ï}, Foncier deJUodd.Chine !M1 4%192S (change aarantl). 94 25 .93 95 Suisse 19O3 S3 Créd.ftBac.d-AIflérie-Tunrtie. 589 589.. 35 92 Blanzy ano 981 .980 Concordia 226 .j 232 Chine 4 i/2.i *{ 59 1/2 59 1/2

90.. ̃– •̃ Lyonnais :V. 2710 i.j272O B<ins du Trésor 6% 1922 516 î. 516 Turquie Consolidées 1S9O. 409 50 420 Crédl* Penoï«rAr8entin 80.. 50 06 Carmaux Ï520 J50J Corocoro ord 44 25 .44 Egypte Unifiée. 1! .83 F 83

4U9J Mobilier Français.eœ612 févr. 1923 523 75 523 Douanes 1902 390 404 52 50 du Brésil. 825 825 50 ..ICarvin Î500 1525 6 »h. Crown Mines 454 454 50 Extérieure .M" 77 77 T

27i50|Soçrété Générale 105 100 sept. 1923 520 50 520.. Tribut d'Egypt 55.. Colonial. 935.. 935.. 65 Dourges J645 J650 30 »h. De Beere ordinair 2050 ..2060 italien J J8 |8

27\59,S"D,j'e,té Générale. 1105..1100 .eJ!t.1923. 520 50 520 50 Tribut d'Egypte. 55.. CO,IO, niai, '935.. 935.. 65.. Dourges. ,645.. jMO.. 30 .h, Da 8eora ordinaire. 2050 2060 ltalien' :[8 266 18 112 .1.

135 ,US^«ét6 Générale Foncier. 610 1610 ̃ >. 5% 1924 584 50 578 50 Priorité Tombac •• ,??,5 Soc. C" Eianques d. Preyine». ̃ 20 Graissessae 480 .500 20 ih. ah. préférence 1615 ,(1626 Japon 1899 65 !/2 66 1/2

L'.V ,mn .T [ 7% 1926. 534 53S Tabaoa du Portuoal 1545 1575. 125 Soc. Finano" franc- et oolon. 2«0 2600 40 Grand'Combes 840 Enorais azotés !7! !73 50 Portugais.. h 'J. 39 .1 ,1.

42498'r^uo-T "'• S;* S' 7%1927. 513 7s 513 50 Uru8««, Or I9OS. ». 457.. 55 Soc. G" Alsacienne de Banque..900 .915 30 Ligny-les-Aires 825 .829 1 d.. Franco-Wyomina. ord .697,. 700 RUSso 1906 "-4-C/* 5 464 7?,Sub7-: (part fondateur) 12300.. 12450.. Oblig. CK. fer Etat 4% 1912-14. 300 300 40 Société Marseille! 650.. 658 21 50 Loir. (Mines de la) 575 .575 7 A. 66 Geduld.568 569 1909. "4TQ 4 2

1 824 %;s^r (civile). ,.20275.. 20700.. j, 5% 1919. 345.. 340 CBU3ATIONB 30 Immobilière des VoitursW.. »3 28 50 Mariée ,646 .649 2 ih.. Goldfields, Consolidated 287.. 283 50 Turs 4% ^«JI!U 241/8* 25.

50 ..}Est.. [UJJ •- >•}*'•• OW- décennales 1919-29 96 9655 50 Ostricourt 1515 <5O5 Hertmann 229.. 235..

^'L^5n- M7 Mî" 1922-32. 9350 94.. 1365 4% remb. 4 500' 780.. 7to ACTIONS INDUSTRIELLES 25 Vicoigne et Nœux. 720 730.. 60 Hotchkiss 1285 1300 Chsrtered.i. 2Z/10/2 27/Î0/2

5750Midu.i ™7 ££» Caisse, aûtonom 558.. 559.. 1871 3% remb. è 400 355.. 350. 17» Aigéri^Tunisie (Omnium) 6130 6280 .6 Huanchaca i.J5^. !53 Eact Rand.L.. 24/9.7 24/3/

80.4Nord. 2 2£,.tè200.. Afriqu. Occident Franc- 30/0 311 31! «, 1875 4% remb. àSOO 398.. 404 30 Chemin d. fer Est. joui, 505.. 5!0 Boléo. part. 386.. 3SS 5.h.. Jagersfontein .V..468 .477 3êwfields.î 'R5O 45 7 3

65 .^Orléans. 1219 •• Annam:Tonkin 2 if2% 5| •• » ë[ IB76 4% remb. a SOO1. 398.. 40150 35.. Est-Algérien.V. | 0 510.. 102 Bor (Mines d.) crd 2626 2622 Lianosoff 515.. 5!4 Rand Min8s 73/9. 74/41 2 •̃•+ Usa'»!» Indo-Chine 3 0/0 1909 286 286 ^l 1892 2 i/2r?mb.à 400 ?M 210 50 Lyon, jouis. 818.. 835.. 27 50 Cuivre et Pyrites 429 432 7 «h. Malacca. ord 500 502 Do g^rs 16.7/. 6|I6 7 6 100 ..Jsonta.Fé(Ciefr.ch. fer ProvJ 2238 ..2286 3 1/2 O/O 1913- 321 321 0.1 1894-96 2 1/2 r. à40O(. 207.. 207 32 50 Midi, jouis 675.. 67! 235 Mokta-el-Hadib. act. de SOOfr. "20 75« Malopolska 647. 653 Jagersfontein 3/13/16 3 13 6 35 .jMêiropolitain <la Paris 734.. 719 Madagascar 1897 49 40 49 25 J ,898 2% remb. à 5OOT.. 24! 242 50 64 Nord, jouis. 1625 J6» 45 LiH.-Bcnniè.rea. ord -085 .675 Maltzoff 322 328 r,| T?nÎS!?l?I! 39,3/8 39 5 16 35 ,.JMé'tropolitain de i-is i£-.s 19O3-19OS 6150 6150 g 1899 2% Met. r. à SOO 230 50 230 1550 Nord-Sud de Paris. ?W 250 55 pétroles (C" Industrielle). 659 655 Mexican-Ea9!e Oil, ord 115 50 !!4 Mexican Eagl 16/10/2 I6/4Î/2 65 Distr. Parisienne d'Electricité. WS -• '6g Maroc 4 1914 -• 1904 2 i/2Mét.r.è5OO'. 2« 246.. 50.. Orléans, joufs 665 680.. 100 Dynamite (S" Centrale) 2560 2560 4 sh. Mexico Mines of el Oro ;37 50 Roya| Dutch ,30.118. 30 7/8

70.. E!ectricité(C* Générale d"). 22»- 22M.. 5 5, ,818 415.411 uj 1905 23/4 remb. à 4O0. 355.. 366.. 24.. Ouest, jouis 308.. 45 El.otro.Chimia Métal -'120 ..1140.. I8L. Montecatini .267 50 273 SheH. 4.26 32 4.13 ?6

.Thomson Houston 553.. 560 Tunis s ,892. 250 j 1910 2 3/4Mét.r.a43o'. 225.. 223.. 28 75 Ouest-Algérien 480 494 ,60..pou,,nc ^986 !OÛ2 Mozambique 85.. 85 25 Nortn Caucasien. 2/6. -.2/6.

70 ..¡Elect'icité (C'. Générala vm ffln Crédit National S 0/0 1919. 445 445 g ,9i0 3% remb. è 400 222 2M 30 Tunisiens .5* •• ,575 154 Le Ripolin. jouiss »20 3025 .9 Navigati^de l'Afrique du Nord. »7 310 Russian Oil. 3/9. 3/9. 115 ..Divas *^f5 •- 22J° -• oblig 500 f. 5 0/0 192O. 430 445.. > 1912 3% remb. » 300 206 50 205 16 Parisienne Ind. Eleotriqu ••̃ •• 102 27jSaint-Gobain, Chauny 5055 5090 North Caucasian 45.43 75 Venezuelan Oil. 3/. 1/4. 3/. 1/4. 15 ..tForH-&AciériesduNprdetEst. 41/ 420.. Bons60/0l921 489.. 485.. 1919 5% remb. è SOO 355.. 350.. 70 ..Magasins Généraux de Paris.. •̃••-••• 252 87 Soie artlfieiell .5355.. 100 Padana (Caoutchoucs) Î5?l !576 Venezuelan 011. 31.1/4, '1.1/

30 Courrières 9=0 980 S 0 0 1922 520 520 50 19195% remb. à ,M*n 50 Viohy (Etabl. thermal) 2030 2090 52 50 Salins du Midi 1350 1350 15 Phosphates de Constantine. 60J 6H Steel Common 125 l/2|125.l/2

30 Cour,ères, ,9:>0.. ro.. 6 olo 1922. 520.. 52050 Con. 7V 2E;O% .600- 4W 460 50 Vishy (Etabl. the,). 2030 ..lO9O.. 5250 S.lin. du Midi. 1350 1350.. 15:. Phosphates <le Const.ntine. 6Q4:. 6~ 75 Marconi Common. 125 I/Z¡12S.1/2

12 Lens ?22 543.. 6 0 0 janv- 1923- 472 r, 472.. Ccm.lS7S 260% r.SOO". 460.. 460. Randfontein 93 50 .94 Jj Marctmi 19/4./2 19/41/2

.Boléo 'iEk-imo" 6 0/0 juin 1923. 469.. 470.. g Fono. 1S79 3% r.â SOO •• «5.. ||5 Air .comprimé. 3850 3810 325 Port du Ros.rio 23600.. 23900.. 5 A. Rand Min. \Z 46?.. 466 MaS: [["[[[l" il .316 113 1S.

42 50 Penarroya ?45 340 ob|ia. 6 0/0 1924 468 469.. zj Com. 1880 3% r. è SOO *>4 ̃• 30 05 cables Téléoraphiques «M .625 Chargeurs Réunis (parts) 2270 2425 3 »h. Robinson Deep A. :3g Kuala 85/ 86/3

20 Platine >2» •• 1256 •̃ Départ, di. Nord 60/0 1921.. "69.. 468.. <i Fonc. 1883 3% r. à SOO 255 250 37 50 Edison "SS #2k 35 Havraise Péninsulaire (B) 425.. 429 Roumano Belge de Pétrol !0Ç '.0 Escompte hors b a. 3 12/16 3.11/16 Dabrowa (Pétroles) 454 458 Vine ^-Albert 6 0/0 468 E Fonc. 1885 260%r.Soo'. ?60 260 25 Electricité et Gaz du Nord. *6 .485 45 Transports en commun 677 685 Russian Oil 41.. 4! 50 prêts .4./ 3 1/2

“Pétroles Premier «S 489 vin. da Reîm, 6 0/0 «8.. 443,. 4 Com. 1891 3% r a 400 2)0 249.. 65 Electricité d. Paris 2320 23» 48 12 Transport. Maritim 1340 !36O 30 Steaua française 476.. 4M s/Paris (chanVaXilIIii'lM 01 124 015

pe,'trolOS TO7 R17 Ville de Verdun 6 O/O, 460 470 «l_ 1892 260% r.5OO. 287 50 286 37 50 Forces Motrice, du Rh8p ÏOI0 1050 Tabacs d'Orient etd'Outrenier îî? 50 :50 s/Now.Yk _8W' 4.8543..4.8543

30 Kuhlmann «7 ••?"•• Asturienn. deuMinW.v.w; 499 500.. I Fono. 1895 280% r.SOO. 275 50 274 50 U| 66 Fore" Motric"du Rhône (parts). »»•• 262:50 Bénédictins 10525.. IOjJO Tanganyik 4M.. 418 Rio 5.27/32 5.24M

"41 Gafsa. G™ •- I°° "Ateliers Construct. Jeumont. 478.. 4/8.. £ J Com. 1899 26O%r.500. i»-- 265.. 45 Havraipe d'Energie Electrique. •"•• g°5 -• 20 Distillerie Cusenier 2550 2600 125 Terres Rou9es 100 10» Val 3986. 3984 50 •• Produits chim.d'Alais, Forges. 8'8 •• 9™ Cie d-En.r8ie Electrique- J58 45? g-, Fono. I9O3 3% r. è SOO'. 288.. 283.. 125 Indo-Chinoise d'Electricité. 920 930 17) Distilleries de l'Indo-Chln f » 00 ..4060 3 sh. Tharsis 364.. 367 50 Buenos-Aires.. 47 53. 86. 47 53. 25 ,4 Chaleurs Réunis '140 M90 Eg)iae. dévastées «6 50 454 g ] Com 1906 3% r. è 500 275 268 47 50 Pyrénéenne d'EnerSie E!«otr.. >'» •̃ ''4* •• 80 Grand Hôtel. 12» !255 I ,h.9 Transvaal Consolidated Land. 36! 359 Argent (métal) (comptant) 2514/16 26.

.25' Chaj.-geur's Réunis 1140 1190 Eglicsa de,vastées. ,456 50 454 Z Com 1906 ?% r. il 500:, 270" 1>0" 47 50 Pyr~néenne d'Energie Electr.. 11195 Ih44.. 80.. Grand H8tel. 123~ 1255 1 .h,9lTransvaal Consolidated Land, 361 Argent Crnètal) (comptant) 2514116 26..1..

9. Transatlantique ord »| •• ^5 •• Grosse Métalluraie 6 O/O 467> 467 50 o I Fonu 1909 .3$ r. i 2SO. ». 50.. |5 ». Radio-Electriqu 245.. 250.. 20 Grands Moulins de Corbeil. ord. 243.. 242.. Tubes et F. de Sosnowice. 279.. 284 cJïr0 Comptant)., 5419/32 5415/32

̃50 .n Voitures à Paris '065 KW 6 0/0,neuve1les. 46i,"4?l-- M Com. 1912 3% r è 2SO •>" 30 •• Radio-France 615 618 Sucreries Brésiliennes. 600 619 45 b. Tubize priv 544 553 omptent).

» Transatlantique ord" Caii FiveÈ-T_iile 6 QWr. -467 4M H| Fonc. l913 3l/2'/or.5oO 285 2 5 280. 22 Radio-Maritime 298 335 4 «h. 9. Union Corporation. 474 469 NEW-YORK !9 ma; '54, 19/~2 5415/3Z

22.. AirLiquid M ̃̃ »?. ̃• Nord Pas-de-Calais -1922. '439. 459 | ,9IS A% soo ^99 390 45 Télégraphie .sana Fil 740.. 734 200 Ciments Françai 14825 ..4905 pT. 1474 544 NE1W-YORK. NbW YORK..» ma,

1 Air Liquide :2l' 553 570 F,ves-1.ile S Of(). '4?7 459 Fonc. 1913 S 1/2.0,,500, g6 25 22.. Radlo-Merlt'me. Fil.. 33 1 4905 sh. 9, U",t>¡> COMPTANT 474.. 469. NEW'YORK,!9 ma.

120 Caoutchoucs Indo-Chine. 21 20© |ndustrie Sucrier .Frwc.ai.se., ,*0 Emp. 19J.7 5 1/2 r.è 30O g6--2». SO-Téléphonea. 670 680 40.. du Boulonnais 702.. l' COMPTANT Î" 1. Cai! MÔney ç. m. !4.4 4

.Cultures Tropicales. fg.. 3W lndusiri.l Alsaciens 1922 449 441.. q Çom. 1920 5i/2r.» SOO .406 4..403. 20.. Union d'Elaetri«Sti 515 45.. to l'Indo-Chin 450 -.452. Bakou (Naphte de). (1540 -.1530 CWesvtr/n'sfer™. ^I 465 37 485.'47'

Cultures TroPical" l,' 392 1136 Maison ~E3réquet:6 19, 2,2,1,46, 480 II C,om, 1920 S1/2r"50,.O" ",I.'f39 "439, 20.. Un'on d EI.~tt"¡,,¡it~, 515. 45. ~.i:, 1 ln ,d, f" 450 "462 îi ::1, S.ko" (Na, phte"d, e), "11'40, ..¡l5;0 CJlb,le,r:tr'ansfers.¡48S 37 4!b.47,

Orosdi-Back .184- •*•• Maison BréSw»t6 0/0. "If? If? ° 1 Empr> f 5' 6 l/2r.àSOo'. 439 439 ̃- 95 y Polli.t flfJOhauaaon B97 139Î ?1 2s Brosse (La) ».< change sur Paris, vue. 3 911/2 39.1 3/8

25 ..Pathé-CinémaUcuIs).. J* •• •̃ Saint.GoTjain; Çhauny,ï. •• 5°» ̃• t, R Acétylène & Electro-MStat, 1410 1440 50 Nouvelles .Salaries 608 .627 I7.50;0mnium-Pétrol"bs 394 395". Atéhlson Topeka 181 1/8 182 3;4

100 Raffineries & Sucrerits.Say.. «g 26 10 U4in8S sin;.uif;,é:G,\n 0/O. 482 482 Est 6^ .j 4!8 416 20 Aciéries & For3es de Rfmïnj,. 307 308 ..̃ 100 Agence44aV*s.^»i.«, 278;. 280.Oi.IRoyal Dutch -38650..38550.. Baltimore et Ohio 123 1/41123 1/2

100 Raffineries & Sucrer.eS,Say., ¡Z620 ,,12610: Usines Sln't~ ,e~1I'2, 0/0. ,,0182, 'i 482 Es- 6 "14! ~17 20, Ac,eries & forges de F'r<r>II\Y. 308.. 100.. A gence_14"5 !278 ..¡126Q, .230B.,RoyaJ Dut,Ch.386, >0..1385~O.. Seltlmore et Oh,o. 123 .1~ 123 1{2

59 09 Sucreries coloniales. ,'|7 ;796 Alaérie 3,0/0 1902. ••: 4% 32> ,||7 ri. prmc 230 230 72 Didot-Bottin !56<J ..1560 80 ..|H. F. de Saulnes 1905 I9!5- Canadîan Pacific 179

59 09 Sucreries coloni~les, 797..1,7% Algér,.ie3,O/O,90::¡"330 "333.. 4" '325 "3,4"" 65 de 1160 '150 10 Le Figaro., ,56') ..jl560.. s8ho .6-ISH-heFll..de S.ulne.1905 ",19b'" Chesapeake & Ohio 1.1 179./ Il,9.

100 Union EBrop.éenn. '572 1600 e 0/0 ,921 462 ,460. 3% ancienne 324 324 65 •_ dB Longwy. 60 I50 10 Le Figaro. «. 4 ih. 6. Shell i .615 1.616 Chosapeake Ohio. 18! 3/4 182 t/4

Rus*. Consolidera' série». 24 24 ,nd0.Chin, 19Og. 23! 231 Lyon 3% .855 » b :6| 40j de Sambre-et.Mewse. 1126 Il» 80 Librairie Hachette 1400 1415 725 .Monaco. î 1400.. !«. Ch'ctll RocT.sland ?. .98 3 4 100 i/4

5%t9OS.2295 21-50Tûni'8 3'0('0-t9O2-t9O7. 283.. 289.. ̃_ 6% Bons déc. r. è SOOÎ. W.50 498 Urbal (Etablissements) 217 220 Hachette.I400 ..11415.. 5 D.iutah Copper ..2925. Erie Railroad 53 7/8 53. ̃- 6%a .409 402 Atel.sChentiers.de I». Loire.. 565.. 585.. 85 ac-i. iv.m.1. fr.i. T 3&9i1 3662 >- ̃̃ Illinois Central «26 126 4 0/0 Serbie 4% amortissable 1895.. &2 40 61 75 Allemagne lS2»'.(Oars)I00L.|l2?00., 12751.. S%359.. 356 25 Cpnst. Nord de Ja France. 552.. 29 27 Air Liqàde (parts).. 1620 1635 CHANGES ̃ ¡ New-Yor Ca^. i ZIV. l-'8 149 i/ê Turo Unifié !'8 90 !22 A t rr^2 ,|2 0,'0. i 2?1 27. 4V0 .< 323 32. st«NpZaîre.. 540 531.. 50 Bergouanan “800 .773 CMANSE9;i Pe jvania 61 1/8 6*. 1/2 5%4914 ?4 ?5 ArgentinS^S 1957.7. -2326 ..2363 j. 3% Fusion «ne 300.. 200 ..Chapal (Etablissements), 4750 ..Î4716 Londres 02 124 02 Readina 119 1/8 118 7-8

Z: Banque de Londres et Mexico.. ,268 f_ ^555,1909. 2315 ..|23!5 2 1/2% 272 2?2 50 75 ChâtiU.n.Ccmmantry. 2550 2540 70 Ciragea .Français 1240 ..11250 New York 35 55 25 54 Southern Pao fie "i! H2 3 4 13 7}8

Sanciue de ond~tM'i~ 266 ..1. ,.5%I~O,. 9"2315 ..¡¿315 2 1/2 '¡¡' ,,272.. 5W 50 1.5 ,Ch, âtilJ~n.comn¡en"tr! 2550 '12~ 70 ..I,Cira~ea'Françala 12~ .1250 NeW"'Y\>rk"2555 25 54 So,tt,em 'c!fIC. 112 3/~11I3 ~i6

Nationale du .Mexique. ™°, •• Belgique 1873; ̃ « •̃ ?|9. 7> Midi Bons décennaux 6% 492 50 50O .5 ..iDecauville. 201 203 22 50 Continentale Compteurs à (5a*. 340 351 Allemagn 4.. 605 5 602 25 Union Pacific .«178 !/2 179 2 Ottomane 2SO'D S612 1619. anéaîl *%̃ ÎS8Sr: -280! 280 6^ ,408. «W Dyl» a Bacaten- priv. 105 .104 52 50 Gaveau & C" 655 658 Argentine Anaconda Copper 45 5/8 45 1/2 ,~» S% Funslfjg. ̃̃•• ..• •• S% ̃̃ ̃̃ j. ord. -74 J> Haour œtablissement») .• Belgique (100 Belga).». 354 50 50 354 50 Chino Copper. 26 1. 26

\& 1-2.7 crédit Foncier Esyptien. .<> «00 i.. 19O9 (Pern.mbuco). 562. 565 4% 3 9 50 3 6 50 Elaçtro-Cabla (ordinaires) 687 5, 8e0 Auar. 907 908 Danemark 68! 25 1 Ray copper ->i ï.'4 «̃ 4.

10 Congo au Grands Lac "'98 1274 BulBsrie:S;c1S96'«. 595.. 6U0 Nord 6Wrle F 414.. 414.. 85 Fives-Ulte 580 600 30 Maroc (C" Générale du) 649.. 630 Espagne ,U.. 446 87! 443 Utah Copper 115 .|M5

£ '1,2,7 Fon",f.r E, it 4'i/a';i'19O7. ̃§*••• 7t0" S% série E. H?-»?" ?0 dFoi^e, a Aç'-<>Huta-Bankowa. "81 12M Tabacs (C" Générale des). 105 Finlande '1.66: American Téléphone. 165, lv'2 166- 1. 4 60b. Wàoons-Lits nrd .641 1670 Chine 4% Or 1895. *"••.••• 4% série D i. 365 >M 1 29 .For0"a,:Ac"1Marin«« Homéo. «5.. 750.. 22» Tabacs au Maroc .6:20 Grec» •« j, American Car F. IU6 1 ,7 J06 J/2

L. I. C^ntMl M n%9.. 22« .-gfo. S% 190iy. '47 •• «6 3% ancienne.3M |!0 20 (Jeumont. 432 434 45 Union ComrWlndo.Chino1". 685 700 .Hollande 1022 25 Ï022 50 British ÂmeHcfn Tooiceo 25 25 j.

SOA-Rio-Tirito. 1890 4980. < ̃B% 190Srf,< •" -«vul in?? r# 2oJ/2i4' "rio C i?q,"CT M 31 "ï, (part). I6™ 1617 45 "junioncommer, Ohlndo,Chlnol.685 |taMa B9 05 !38 75 Central Leather 101/2 10 3/4 I ̃• i- ̃• 4 .1/8% 4008 10fJ) 1075 6%-192) tran. A -379.37725 .MêdiUrran.e(Fprg"& Chant J. 488 .475 £OI5-3 Land Bank Egypt "726 Norvège General Electric 97 3)8 98. LO.10 1 Azote (Norvégienne). »«0 •̃ l*« Egypte Unifiée. 50; |.î Orieans Bons décennaux 6%j 496 -497 S5 £, ,.|Fsr«s a Fond"" Montataire. ,52* .549 360 CréditfoncierFranco.Canadien .9200.. 9210. Pologne (100 zloty) 285 50 Bethlehem Steel 50 !4 50 J/2 15,b. Lautero Nitrate. • «».. 449., i- PrîviléoW» ̃ ..J S>8 ||i 4,4 7? 410 g jpenam-Anzm .«g » 890 28 p. M Nord Eapagna Portugal U. S. Steel Common 170 3 4 170 3,4

1 Espagne extérieure ..i. ••;•• f 5% | »» ̃• 52 50 ^LorrameMm™ & Matait. 3S0 p. ft° ̃̃ ̃• 2& p. Saragosse Prague 75 70 Royal Dutch 49 1/8 49 1/8

5 «V. Oriental Carnet. ».«.. 51 Hallj.S* W1O.(.^ .♦, -7g -a. 4% 32 -|.32j 53>iMa«riel de Ch. de fer (C" Fr J. i<<35 1ÇW 35 f. b.lRouina (Algérie). 635 .636 Roumani !5 35 <5 30 Shell 45 3,4 45 3/4 14 60 f bl PétrôfL 1229.. 1245 italto 3 Mi% -j ,f| 3% ano VS'lvS'' .«. 'iMflté>- do Transport viiA ,4S? » •' -iSoanowiea 1220 ..1220 Suéde. 63250!.683.. 4> V ™* p.2.4 sSerer^rtHeffineried'Eaypta. "<* •̃ »<» •• d*P«n 4% 190S «3 50 453 Quart |V.ne. 301 3W |00 ..Métaux (C" Française) 740 73* L Suc. Raf. d'Egypte (parts). J22S ,.|2Î56 Sulss 490 751 491 25 Affaires totales. 2.295.000 ,1 Tabacs Ottomans. -201..1.200 6% 1907.i.x<i ->W 21/2% “• «>(̃ 60 ..tSenello Maubauge. IWU IJOU 85 p.lTabacs d«s Philippines. OTQ ,|575O Vienne (IOO shillings). •«. titres. J j

Les plus belles paille* Les plus beaux feutres CHAPEAUX

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r~y~bï-~lysées.

1

L'ART ET LA ÈUBJOSITÉ Les grandes ventes

parisiennes

v Objets d'art et de èuriosité '.̃ Les objets d'art eb de curiosité élaiutit /a' l'honneur hier à l'Hôtel Drouot F. Lair-Dubreuil, assisté de M. Henri Leman, dirigeait en effet,, à- lu, salle 1, une vente? réunissant 173 numéros représentés par des 'antiquités-, égyptiennes, grecques et romaines des faïences italiennes et de Rhodes, des émaux champleyés' et peints de Limoges, des meubles, des étoffes et des tapisseries. Certaines enchères furent impressionnantes.

Parmi les- antiquités égyptiennes une grosse tète dtqpplique de femme en plâtra, Egypte, fut adjugée 2.900 fr. une grosse tête d'applique de lion, Egypte,1 3.000^ francs, et une grande statuette en bois sculpté, (le personnage debout, -vêtii de lai Shenti, Egypte, xvin» dynastie (collections Hoffmann et Carmîcael), 46.100 francs.

On paya ensuite 6.300 francs » un petit plat creux en ancienne faïence de Dcruta, xvi" siècle 5.000 francs une petite plaquette en stéatite verte, saint Démetrius à, mi-corps, arf byzantin, xi" siècle 4.000 francs un diptllque en ivoire, art français, xiv" siècle 4.900 francs une valve de boite à miroir, Tristan et Yseult chez l'ermite. art français, xi\f siècle 7.500 francs une plaque de châsse en cuivre champlevé, Martyre de sainte Catherine, Limoges, xih" siècle 7.000 francs une plaque de châsse en cuivre champlevé, Le Christ de gloire, Limoges xni' siècle; 5.220 francs '.quatorze •petites •jijaques

en émail, atelier de Pierre Jiaumorid.

Linioji^Sj xyiV*iètle ̃ nirtË^friJiflir i un gran/Zfffe^mauÙW^Wr noir,

Italie,- xv; siêclpcj;- J

Puis vinrent les sculptures et les bois sculptés un chapiteau en marbre blanc. travail hispano-arabe, Xe siècle, fit 4.720 francs un haut-relief cintré en terre èmaillèe, présentant la Vierge debout accompagnée d'anges devant saint Bruno. Atelier de Giovanni della Robbia, Italie, xvi° siècle, 20,000 francs un encadrement do tabernacle, en marbre blanc, avec le monogramme du Christ, Italie, xvi* siècle (vente Beurdeley), 12.500 francs; Une Vierge assise de face, sur un ban garni d'un coussin, art français, XIII. siècle 14.000 francs, et un haut-relief en bois sculpté et peint, représentant la Vierge assise en adoration devant l'Enfant-Jésus, art italien, fin du xv° siècle, 8.500 francs.

On termina par les meubles, les sièges et les tapisseries un meuble de coin d'applique, en bois sculpté, panneaux gothiques et médaillon à buste d'homme, art français, xv. siècle, fut adjugé 15.500 francs une créde.nce gothique, xv* siècle, 10.800 francs un meuble dressoir, modèle dit Du Cerceau. art français, Ecole de l'Ile-de-France, en partie du xvi" siècle, 11.000 francs une tapisserie verdure du commence- ment du xvi" siècle, paysage boisé (2 m. 75 X 2 m. 25), 15.000 francs une tapisserie des Flandres, scène de chasse à nombreux personnages et cavaliers. chiens, animaux et oiseaux, xvt" siècle (3 m. 15. X m. 55), 18.200 francs une tapisserie des Flandres, tissée en couleurs à grands personnages, représen-

tant le Jugement de Paris, xvi" siècle

(3 m. 20x2 m. 40), 15:700 francs, et une grandç tapisserie perdure* reprèsèn-

<Kn om 6 0 0 1922 diean. 490.. 487 1921 S 3/4?4 r. 4 5OO1. 469 463 72 Eaux (C oh %™ ?»0 •• 24 Uein. du Rhône. 730 760 Pékin Syndicale (Shansi) 66.66 25 Anaconda 9. 3/8. 9/ .3/8.

Mines da *,»«»: 6 I/O 1922. # I«K Corn- 1922.6% t. pi. -»14 414. 160 Alsacienne Industrtelle.Twtile. ;•:•̃•;••••• 62 50 Grande -Maison. df Blanc '810 8!5 .IMalopolsk» (pari),, .t.252O.. 2570 .f u. S;?Libert y 3 1^2% 101 100 7;§

Indochine 1899-19OS. ». 25 24b 2:1/2% •̃ sS" Si»: 3' Ml de Micheville 10!0 025 2O0 Chaiic 5635 5570 100 1. Steaua Romana 341 30 341 Chicane» Mitwaukse C 14 I 14

tant un paysa boisé, animé d'un canard et d'un chien de chasse, Flandres, xvh° siècle (2 m. 40 X 2 m. 30), 10.300 francs. F*

W ••

Une vente de tableaux modernes a eu lieu, il y a quelques jours, à la Galerie Christié, à Londres. Une toile de Meissonier 1814, fut payée 183.000 francs; deux toiles de Corot Souvenir de Normandie et Souvenir de l'écluse près Douai, firent 273.000 et 443.000 francs, et enfin une toile du même artiste Chevriere^ au bord du lac de Gardes atteignit 5.565 livres, soit au cours du change actuel, 690.000 francs.

Maurice Monda.

~<

Bibliothèque J. C.

Ou disperse cette' importante collection comprenant des éditions originales rarissimes sur grand papier et <de très beaux illustrés,

̃ Jf. J./ C. ayant 'fréquente nos grands écrivains dès leurs débuts, sa collection contient des autographes et manuscrits du plus haut intérêt, entre autres de Verlaine, Anatole France, Gide, Marcel Proust, etc.

Exposition ét distribution du catalogue chez M. Georges Andrieux, libraireexpert, 38, rue de Laborde. Edouard Giard procédera il la vente les 27 et 28 mai, en PHôtel Drouot, salle 9. Expositions

et Ventes d'aujourd'hui EXPOSITIONS

HOTEL DROUOT. Salle n° 1. Exposition publique. Collection de M. D. Tableaux anciens, onze peintures par 7. Pillemeni. M" Lair-DuBriEUiL, commissaire-prisçur MM. E. et R. Haro, experts.

HOTEL DROUOT. Salle n° 11. Exposition publique. -Objets d'art. Meubles et Sièges. Tapisseries anciennes, Tapis. M" Heniu Baudoin, commissaire-priseur MM. Mannheim, experts. VENTES

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HENRI BUSSIENNE

82, Faubourg Saint- Hon°ré ^PARIS Décorateur antiquaire Vente au commerce

COURRIER DE L JLA_ BJOURSE

1

M. Schreiber, ministre du commerce de Prusse, a fait hier, au Landtag, des déclarations sur la crise de vendredi dernier « J'estime, a-t-il dit en terminant, que le but visé par le président Schacht aurait pu être atteint d'une autre façon, sans provoquer une panique de Bourse. » Cette impression, qui avait été formulée dès le premier jour dans la presse allemande, a été encore fortifiée par tout ce qu'on a appris depuis. Les préoccupations politiques ont joue un grand rote dans l'affaire.

Quoi qu'il en soit, le calme se rétablit à Berlin, et notre place n'a à redouter aucune répercussion fâj cheusc de cette crise. Les ventes de titres pour compte étranger ont été insignifiantes ces jours-ci et, par contre, nous avons pu constater aujourd'hui de très gros achats de primes qui avaient la même origine.

Le marché s'est ressaisi et on a été beaucoup plus actif au début de la séance. Mais la clientèle se montre ,.encore assez timide -et on a piétiné sur place après les premiers cours. Le bilan de la Banque est très satisfaisant. L'Etat a remboursé 1.500 millions à son compte d'avances et les comptes courants particuliers ont grossi de 666 millions (provenant sans doute de versements de la Caisse autonome). La Banque de France a pu ainsi acheter 1.894 millions de devises, alors que la circulation des billets diminuait de 460 millions. Nos Rentes abandonnent quelques centimes.

Vive reprise des fonds ottomans, sur le bruit que le gouvernement d'Angora demanderait a reprendre la conversation au sujet du règlement de la dette. Turc unifié, 123 5 0/0,

VENTES

Réunions, Cours et Conférences

aujourd'hui

i A l'Uriivergitt des Attllafôs, Colissée, 38, Champs-Elysées, 3 h. « les Musiciens et les Poètes de Schumann à Fauréj- Commentaires et concert par M, Robert Lortat. Un rapprochement franco-hongrcûs, par M. Chojecfcï,1 16 li. 15, rue de la Sot. bonne, 16.

La Psychanalyse, par le docteur Vachet, 17 h. 30, rue de la Sorbonne, 16. Amon au pays de Koush, par M. Mainage, 17 h.- 15? *ue d'Assaî, 19. La Pologne et la Haute-Sibérie, par M. Tibal, 17 h. 30, boulevard SaintGermain, 173.

La Poésie dans la chanson populaire française, par M- André Bellessort, 14 h. 45, en l'hôtel de Mme de Rouvre, avenue Geôrgc-V, 11.

L'existence réelle, de l'éther et de son potentiel, par Je professeur Raoul Pictet, 21 heures, rue Serpente, 28,

ÏBtyn “• 4 «

Chronique militaire

Statistiques des, tirs antiaériens SLl'on en croit un rapport établi par le colonel Barnes de l'armée américaine, le nombre d'avions abattus par l'artillerie do défense antiaérienne pendant la grande guerre1 s'élèverait en Italie, à .129 avions; en Allemagne, 1,520 en France; 50|), Les rapports britanniques donnent les renseignements suivants sur le nombre de coups nécessaire à l'artillcrie antiaérienne pour abattre un avion Avant 1917, pas de statistique en 1917, 8.000 coups en 1918, 4,550 coups dernier mois de 1918, 1,500 coups.

La D C'A. américaine, bien qu'ayant été en action pendant peu de mois, aurait, pour abattre chacun des 58 avions â son actif, nécessité seulement' un nombre de 605 coups.

Par contre, les statistiques françaises donnent comme consommations de munitions en France, par avion abattu En 1916, 11,000 coups; en 1918, 7,500 coups.

De telles divergences dans les chiffres montrent combien il est difficile d'établir la vérité, en matière de statistiques militaires.

19 mai.

83,75: Mexicains on'progrès. Serbes soutenus.

Hausse générale des établissements de crédit Banque de France, 16.100; Banque de l'Alf/érie, 11.695 Banque de Paris, 2.159 Lyonnais, 2.725 Union Parisienne, 1.399 .Comptoir d'Escompte, 1.480 Compagnie Algérienne, 1.995 Mobilier, 615 Banque des Pays du Nord, 500.

Banque de l'Indochine, 5M0- L'assemblée annuelle qui s'est tenue hier a approuvé les comptes de l'exercice 1926. Le dividende du deuxième semestre a été fixé à 130 francs le dividende total de l'année s'élève donc à 245,195. Le rapport du conseil fait observer que malgré des circonstances difficiles dues, pendant les sept premiers mois de l'année, à la chute presque ininterrompue du franc, puis dans les derniers mois de 1926, aux préoccupations causées par les événements qui se déroulaient en Chine, la Banque a développé encore ses opérations dans la'|plupart des branches de son activité. La progression du volume des saïïaires est attestée par la comparaison des bilans au 31 décembre des années 1925 et 1926, dont les totaux font ressortir une augmentatiqjf de 289 millions de francs en faveur de l'exercice écoulé. Union Européenne, l'.596. Générale Foncière, 1.615.

Suez, 14.040 part civile, 20.850 part fondateur, 12.500.

Nouvelle avance des chemins de fer Nord, 2.2001; SantaFé, 2-300 Grands Lacs, 1.277.

Groupe électrique très ferme Distribution, 1.630 Générale d'ElëctrU cité, 2.300 Thomson, 563.

'Charbonnages mieux Courrières, 975 Lens, 544 Liévin, 435,50 Bèthune 5.650, contre'5.410.

Mfnes métalliques irrégulières.

Fermeté des phosphates et pro- duits chimiques Gafsa, 1.099 Kuhlmahn, 816 Péchine!l, 1.915 Air Li- -quide, 564.

.^Hausse des valeurs de navigation Chargeurs Réunis,1.194 Transatlantique, 313.

Reprise de Pathé Cinéma jouissance à 777.

Pétrolières soutenues.

Sud-africaines et caoiitchoutières bieù tenues.

A;u comptant, Villemaque reprend à 480 la part Agricole &nd-Indocliinoise à 665. Satam, 1.095. =

Wittenheim gagne 100 fr. à 2.520 pai-1 Minière da Congo 900, à 17.900 port da Rosario 300, à 23.900 part Chargeurs Réunis 105, à 2.475 part Paris-Maroc 700, à 13,900;; flaut-Katanga capital 225, à 6.800 Qairo-Héliopolis dividende 300, à 8.250 part HéracléeM0,-à 37.800 Sumatra 100, à 4.650 "Uniam Minière et Financiè- re Coloniale,- 162 Immobilière des Vocttifes' 7jL>5 Casino (le Dieppe, 164, etc.. i,

INFORMATIONS HNANCËRES BANQUE DE FRANCE. Principaux chapitres de la situation du 12 au 19 mai 1927 .•̃••̃.̃• ••'̃̃<.̃

̃.•̃'̃ ̃ AtTIF .'• i ,•̃

EN MILLIERS DE FRANCS

Dr en- France 3.68a;5oj » Or libre et disponi- hilités-or à l'e-

tranger 1. /J62.7J1 > Or non» disponible à

l'étranger i.4oi-549 j> Argent 343.36a -|r ,«27 Disponibilités et

avoir à l'étranger 5i.8iG .f.gSS Jr, argent et devises

achetés (Loi du 7

août 1928)/. a.ia3.Sai ij.531 Portefeuille 2. 091. 981 -i- 157.620 Avances sur titres 1.638. 447 35,4aj Avances p e r va a-

nentes à l'Etat.. aoo.ooo » Avances nouvelles

à l'Etat. 27.400,000–1,500.000 Bons du Trésor

français escomp-

tés pour avances

de l'Etat à des

gouvernements j

étrangers S.joo.oob-l- 6.000

'1 étrangcrs 5.00,000 + 6.000

Divers 18.073.51a-t-1.S94.052

1 1 Passif

ExàSgcni affecté h

l'œeiortiosement

defew avances h

l'Etat t 472.102 -f 18.918 Compte annexe fi

d' i |J t c r ê t s du

compte d'amor-

tissement i9-4la Billets en circula-

tion 5a.i56.5io 460. 449 Compte courant du

Trésor 172.393+ 129.359 Comptes courants

particuliers g.8a3.3?4 + 660. 83i Divers 969039+ 211.749

yiCKERs'LIMITËD UN BON RAPPORT

Bonne situation financière Extrait de Thé Times, dit 21 avril 1927 Le rapport de Vickers

Le rapport de Vickers Limited sur l'exercice 1926 est remarquablement bon. C'est le premier rapport qui ait été fait depuis la réorganisation et qui, par suite, couvre la première année active du nouveau Comité directeur. Son habileté a été justement récompensée, puisqu'il ,gt.k réussi à faire un bénéfice plus important qu'en 1925 pendant l'année la plus troublée de l'histoire industrielle, couvrant une grève générale et une grève prolongée de l'industrie charbonnière, période pendant laquelle les affaires ont été, dans bien des cas, très difficiles et souvent sans bénéfices. Après avoir réservé £ 110.788 pour la dépréciation ainsi que l'amortissement des obligations qui demandait £ 173.000, la Compagnie a réalisé un bénéfice net de £ 562-284, en excédent de £ 141.310 sur l'exercice 1925, mais l'excédent véritable est plus grand, car en 1925 presque rien n'a été réservé sur les bénéfices pour la dépréciation. Les dividendes sur les deux actions de préférence à 5 0/0 ont absorbé £ 418.190, laissant

£ 144.093. Ceci additionné à la somme apportée fait un total de £ 334.8.68.' Les directeurs ont sagement décidé de ne payer aucun dividende sur les actions ordinaires, quoiqu'un dividende de 5 0/0 ne nécessitât que £ 205.000. Ils ont donc adopté une méthode plus saine en transférant £ 200.000 au compte réserve et £ 134.868 aux reports.

Situation financière solide

Les directeurs expliquent' qu'en temps normal un dividende aurait été distribué les actionnaires^ ont donc tout lieu d'espérer .'une distri^ bution au printemps prochain, à moins que quelque chose d'imprévu ne se produise d'ici .là. Le rapport dit qu'à la suite'de la réorganisation des services de' la compagnie, des économies considérables ont été réalisées pendant l'année, aussi bien dans les bureaux qu'aux usines. La partie la plus frappante de la balance des comptes est l'importante disponibilité de la compagnie. L'argent liquide ut les Bons (valeurs) du gouvernement britannique se montent à £ 1.795.848. En plus, elle détient-des valeurs négociables à vue se montant à près de £ 600.000, ainsi que du papier se montant à environ £ 300.000. En conséquence, la compagnie possède suffisamment de ressources financières pour lui permettre de profiter largement d'une reprise des affaires dans le pays ou à l'étranger-

Balance des comptes

Une importante innovation est la présentation de la balance des comptes de la compagnie mère et de ses filiales. Cette balance fait ressortir un surplus de près d'un million, comme l'indiquent les principales rubriques ci-dessous

PASSIF ï

Capital actions de Vickers..£ 12.-ifl8.9C8 Capital actions des liliales. 172.556 Capital obligations de Vickers 3.284.784 Capital obligations émises par

Btiates 107.1-12 Fonds d'assurance (Vickers), 62,228 Fonds de réserve (Vickers) 200.000 Créditeurs (Vickers) 1.939.60!) Créditeurs (filiales) 1.188.971 Disponibilités diverses, etc. 2.032.873 Dei'nicîr dividende des actions

de préférence de Vickers;, 201.595 Surplus 944.401) "̃~ Total 22.603.135

1 ACTIF -'•

Actif statutaire (Vickers)– C 3.315.056 Actif statutaire des filiales.. 4.009.385 Stocks (Vickers). 1.789.672 Stocks des filiales 1.526.272 Débiteurs (Vickers) 1.640.407 Débiteurs (filiales) 1.384.185 Valeurs portefeuille (Vickers) 817.128 Valeurs portefeuille (filiales). 4.071.940 Disponibilités (Vickers). 305.848 Disponibilités (flliales) 2.051.479 Papiers négociables (Vickers) 298.121 Papiers négociables (filiales) 3.772 Valeurs du gouvernement bri-

tannique (Vickers). 1.490.000 Valeurs du gouvernement bri-

tannique (filiales) 19.943 4.169.181,

Moins, passif bancaire, etc.,

des filiales a 120.091 4.049.090

Total £ 22.603.135

Comprenant les placements daus la Metropolitan Vickers Electrical Com-

pany-.

Ici la partie la plus frappante est encore la situation très ferme du groupe. Les disponibilités, papiers et Bons du gouvernement britannique détenus par les diverses compagnies, montrent un total de-£ 4.049*090, après déduction des prêts de banques et des excédents de crédit (qui ne se montent qu'à une petite somme). En outre, le groupe -détient dans son portefeuille des valeurs se montant à £ 4.889.069. Celles-ci sont évaluées au prix le plus bas, que ce soit le cours d'achat ou le cours du jour, et permettent donc de supposer une réserve qui, quoique cachée, n'en est pas moins réelle, étant dopné le cours auquel sont cotées les actions do la ,Metropolitan Vickers Electrical Company. Les directeurs expliquent que l'excédent comprend la somme de £ 809.541, par laquelle l'actif, moins le passif des filiales donné par leur balance des comptes, dépasse là valeur que leur donnent les livres- de Vickers.

he printemps

prélude aux villégiatures C'est partout, en ces heures exquises d'un printemps ensoleillé et parfumé, une fraîche et gracieuse éclosion do fleurs, qui fait que l'on. songe déjà aux prochaines villégiatures. Les femmes se portent en foule chez Georges pour choisir entre tous le modèle de sport qui fera leur succès de demain. Comme il est entendu que la Parisienne n'a jamais rien à se. mettre, quel que soit le nombre de robes qu'elle possède, son choix s'arrêtera, eu. attendant, sur le tailleur ou la petite robe printanière qu'elle portera à Paris avant le départ pour la mer et la campagne- et qu'elle complète d'un de ces charmants chapeaux imaginés par Georges pour inienx en parachever la grâce.

A côté d'un choix ravissant et varié de coutumes, blouse .iobcs et chapeaux de sport, Georges nous fuit la surprise de li'iM'i ios lnii-. (l.mi des mouchoirs spé-< ci.tlcmcnl hibiHiiLis pour lui et dignes de

.4~F i.f. t,.

nos coquetteries. N'oublions pas ses nonï« breuses ceintures pour les différents sports et pour la danse, qui procureut plus de liberté, plus d'aisance dans les mouvements tout en maintenant ce qu'il est utile de soutenir pour se bien porter. Joueuses de tennis et de golf, ama.zones et « chauffeuses » no voudront d'autres ceintures que les siennes, d'au-. tres robes et d'autres chapeaux que ceux qu'il a su si bien adapter aux exigences et aux circonstances de la vie mondaine. Georges est un psychologue averti et, de plus, uu bienfaiteur de la femme si l'on songe à sa ceinture amaigrissante en soit} caoutchoutée. En très peu de temps, cel- le-ci donne à la femme la plus forte une .{igne d'une idéaJc; inincew, çç|te ligne pour quoi ou commettrait mille folies si on n'avait recours il cette' famellse gaine, F. Georges, 35 et 37,' boulevard des Ca. pucines.

Rosine.

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Katbor, Thé russe Denissôff, Balalaïka orchestre. Chants russes, 25t rue Washington. Elysées 66-17. Medova Tea Room, 3, rue dq l'Echelle. Lunch prix fixe.

L'Oiseau Bleu, 47, Bd Haussmann, Gut. 62-18. Lunch. Pâtiss. viennoises. Peer Gynt, 1, avenue de.Messine. Thé norvégien. Musique Scandinave, Ramy, 43, avenue de Wagram, Tél. Galv. 04-27, le vrai salon da thé des familles. ]'

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Versigny invite ses anciennes élèveS à participer an Rallye-Ballons! automo* bile, organisé par l'Aéro-Club dje France, qui doit avoir lieu le 28 mai. Il se tient leur disposition pour tous renseignements et pour leur engagement.


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Les 'belles journées ensoleillées dont nous sommes' redevables au printemps de 192 7, favo. risent les journées de Courses et chaque diman.che c'est une nouvelle explosion d'élégances. Le grand chapeau, si seyant, continue à triompher et pour les garden-parties qui se préparent, celle de l'ambassade d'Angleterre, dans le beau jardin,. aux frais ombrages, et aussi celle que donnera; S. A. le Maharadjha'de Kapu,rthala) jj" sera appelé au plus grand succès.

La baronne Edouard de Rothschild en a un' ravissant- de lignes et de proportions, en paille picot bleu très foncé, bordé d'un étroit velours d'un bleu plus ..clair- sur le côté, un bouquet j:arnpagnard de Éluets "parachève ce chef-d'œu^vWde'îa mode parisienne. DÏmanorié, à'Long- vu, champ, la très belle Mme Van .den Heyden r- Hauzeur en avait im de= manille naturelle, simplement ceinturé d'un gros grain du ton, et aussi' la jolie Mme Roger Hart le sien était de forme canotier et en bangkok chiné de plu- sieurs tons, bois de rose, vert atténué et mauvelîarme.et autour de la calotte, deux étroites draperies dans les tons de la paille. Mme François Pietri, toujours dimanche dernier, avait un très grand canotier, dont le fond était en .feutre, blanc et la passe de tagal noir, toujours simplement ceinturé d'un étroit gros grain noir. On ne peut que se féliciter de ce retour à ce que nos, voisins, les Britanniques, appellent picture hat et le banal petit bibi va se trouver! rélégué pour la promenade au Bois, le matin, et les simples sorties de l'après-midi, et ce n'est que justice. LrDoMiNO Rosg. Babette et le serpent Qu'est-ce que tu penses de mon costume, Jean?

Et Babette, onduleuse et souple, présente à la manière d'un mannequin sa robe neuve qur imite à s'y méprendre une peau de serpent, Hum! ravissant. Mais terrible, Babette, Je ne me sens pas très rassuré! Je me dis que j'ai sans le vouloir réchauffé un reptile dans mon sein. Je me sens tout tremblant, comme,' '̃̃• un canari, devant-un boa constrictdr. Autrement dit, je te fascine.

Parfaitement, je suis fasciné. Mais croistu, Babette, que j'avais attendu que tu portes ` cette robe. Ce n'est pas la peau de serpent qui m'émeut, mais l'éclat de ton visage ravissant, la perfection de ta peau si .fraîche et si douce. Ce n'est pas d'aujourd'hui que je suis recon- naissant-à à BOURJOIS d'avoir créé pour ta beauté les adorables s Fards Pastels », la poudre exquise « Mon Parfum et « Mon Parfum », le plus suave des aromes. x

Assez assez, Jean! J'ai l'habit du serpent! 1 pais, ô tentateur, tu en as le langage!

Manteau en drapsilka beige, echarpe et passepoit bleus.

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COURRIER DI

̃̃ –.11111

LES PREMIERES THÉÂTRE DE LA COMÉDIE- CAUMARTIN Le Singe qui parle, comédie en 3 actes de M. René Fauchois.

Le Sinqe qui parle est une des co- médies les plus attrayantes que je connaisse. Je l'ai revue hier avec un plaisir égal à celui qu'elle m'avait procuré à' la-création. M^, René Fau-: xlîois a situé dans un -milieu palto. resque et qu'il a, étudié avec un1 art remarquable, une action qui ne cê.&Se de nous intéresser et qui, par instants, devient pathétique.

Si je ne me trompe, le Singe qui parle a été joué plus de mille fois déjà, et dans tous les pays du monde. 11 retrouvera à Paris tout son succès. L'interprétation est excellente. Mlle Lucienne Parizet est délicieuse de grâce ingénue et tendre Mlle Liiv Mounet joue avec élégance le rôle du « traître ».

M. Signoret prête sou autorité au rôle du prince devenu manager. M. Raoul Marco est un père, plaisamment indulgent.

Et M. Lerner a fait du rôle du singe une composition si extraordinaire qu'on n'imagine pas qu'un autre que lui puisse interpréter ce personnage.

MM, Armand Morius, Labry, Blancard n'ont pas été moins applaudis, ainsi que Mme Marguerite Moreno," dans un de ces rôles de fantaisie

elle excelle. ''̃

"Maxime Girard.

̃̃m' .1 tr i

Les toilettes de la pièce Les toilettes portées par Mlle Lily Mouiiefc sont de la maison Christian?, .33, rue Saint-Aiigitslin. AU THEATRE DE LA MADELEINE

Mlle Maria Ricotti, dont nous connaissroijs' depuis longtemps le généreux apostolat pour le. renouvellement de la pantomime, de concert avec M. Enrico Prampolmi, a organisé au théâtre de la Madeleine, une série de représenta Lions du théâtre de'la «Pantomime futuriste», d'une .qualité d'art tout à fait remarquable. Dix numéros pantomimes, petits ballets, interprétations mimiques composant un programme dont l'ensemble sort incontestablement de la banalité et transporte le spectateur dans une ambiance artistique. d'un rare intérêt. Nous devons à Mme, Maria, Ricotti personnellement les meilleurs instants de la so'7 rée. La troupe du Théâtre de la Pantomime, fwtudste.se.compos.e.d'artistes danseurs ou mimes tous remarquables. Les (jécors; les costumes, les' éclairages de M. Enrico Prampolini abondent en indications du plus grand intérêt et que nos metteurs en scène auront profit à étudier.

~VVVVVVVVVVYVVVVVWYVYY

Ce soir

rJ* A L'OPÉRA, il 8 h. 30, Le Coq d'or (Mme: Ritter-Ciampï, JIMi Huberty," Ed. Ràmbaud, Grommen Mines Tessan-"dra, Marilliet M-M. Madlcu, Guyard- Danses Mlles Gir'o; Salomoh). Orch. M. Nicolas Tcherepnine. La. Xuit ensorcelée '(Mme- A. Johnsson, M. Albert Aveline). Orch. M. Henri Busscr.

A la Comédie-Fraxçaise. à 8 h. 15: Le Vieil Homme (MM. Ch. Granval, R. Monteaux, J. Weber Mmes M. Ventura, A. de Chauveron, Bretty, M. Samary). .Jt A L'OpÉnA-CoMiQÛii, il S heures, Manon- (Mlles Hallie Stiles, M. Païva, A. Comte-; MM. Micheletti, R. Bourdin, Autfoin). Orch. M. M. Fi-igara.

Jt A l'Gdéox, à 8 h. 30, Odéon-Revue, n (Wiener, Doucet, Mme R. Delaunois), avec toute la troupe du Second Théâtre Français. Oreh. M, A. Cadou. J Jt Aux Variétés, à 8 h. 45, Mademoiselle Flûte (A. Lefaur, Maud Loty, Pau- ley, J. Loury, G. Baron et Louvigny). Jt A'p Gymnase, à 8 h. 45, Le Venin { pièce eh 3 actes, de M. Henry Bprnstein (Mmes Yvonne de Bray, Gaby Môrlay, i Yolande Laffon MM. Charges Boyer et 1 Marcel André).

J^éaYresJ ̃mSARAH-BERNHARDTO Direction Les Frires ISOLA

27. 28, 30, 3) Mai

't";2,3, 7.8, 9 Juin

10 GALAS DES

BALLETS RUSSES rie Seras de 2HGflt1EW

JUSQU'AU 26 MAI et le Dirnanche 29 (Mat. et Soir.)

MON CURÉ

CHEZ LES RICHES® ̃i THÉÂTRE DES ARTS Oi Georges et Ludmilla PITOEFF jouent ce soir et samedi à.2O heures Dimanche en matinée (14 h.) et le soir à 20 h. SAINTE JEANNE Les 23, 24 et 25 Mai, à 19 h. 3O

JEi A M LE3T

I~USIC-HALLS

i^i OLYMPIA ^Io 0- SÂRTHEL- DÂUVIA MftX ROGÉ JANE STICK PAULETTE DOR1SSE ?^r_powiiÈs ??? Sylvestre SCHAFFER ET HUtT ATTRACTIONS RARES

1 1 ^twÈK

iS THEATRES Mlll i ̃ ̃

Jt A Lk Porte-Saint-Martin, às8 h. 15, Cyrano de Bergerac (Mme Jeanne Provost, M. Jacques Grétillat, M. Joffre et M. Maurice Escande);

Jt Au Théâtre Sahah-Bernhardt, à 8 h. 30, Mon curé chez les riches (MM. Robert Casa, Maxinie-Léry, H. Monteux; Mmes Jeanne Delys, Jehanno et Geneviève Williams) Diin. et fêtes, matinées à 2 heures.

Jt A i/Atuénéê, 8 11. 45; Maître Bolbec et son mari (Mme Madeleine Soria, M. Lucien R<Jzenl»erg, ̃•̃ Mîtes Renée Rysor, Louisa de Mornaiid, avec MJÎ. Pierre Stéphen ét Arnaudy). ̃-̃' > Jt Au THÉA.TJÎB Antoine;, ù 8 fi. 45j L'EUliuqtie ̃'• (Mmes Jane Chèvre! Màdy Berry, Simone Sandre, Debory MM. André Berley, Bcrthier, Burgère, Charlys).

Jt Au TinïATnE dBPajus, à 8 h. 30, Tu m^épouseras. (AJmes, Elvire' Popesco, Paule AndralATatiana, R'çihe Déssort MM. Louis Verneuil, G.' Tréville, P. Noyelle, J. Sky, Cb, Bernard et. M. S. Fabre).

a? A LA Gàité-Ltrique, à 8 h. 45, Cotillpn 111 (Mlles Marcelle Denya, de l'Opéra, avec Rachel Lanwers, Simone Valbelle MM. Gilbert-Moryn et Henry Laverne, avec R. Allant, Louis Izar et Henry-Jullien). >

•£ A LA Renaissance, à 8 h. 30, Madame ne vent pas d'enfant (Mme Cassive, M. Paul Villé, Mlle Mireille Perrey).. ̃<̃ ̃

»ït Au PALAls-iRoYAt, 8. h. 45, On ne roule pas Antoinette, (MM. Albert Brasseur, Le Gallo, Duvallès, Géo Leclercq, Lluis Mmes Marg. Templey, AlicVCbcéa, Marg. Peuget).

J* Aux Bouffes-Parisiens, à 8 h. 45, Mon cœur au. ralenti (Mmes Germaine Dermoz, Blanche Bilbao, Alice Beylat, Gaby Benda MM. Jean Worms, Alco- ver,"L. Baroux, Gabin et Koval). AU T«ÉATnE DE LA MlCHODIÈRE, à 8 h. 45, Les Vignes, du Seigneur (MM.. Victor Boucher, Alerme, Serge Nadaud Mmes Jeanne Cheirel, Renée Devillers, Suzanne Dantès, Jeanne Lion). <ôS Au Théâtre Màisigny, à 8 h. 30, 1927 (Mlle Edinée Favsrij" A1M. André

BaM&ttt~Qrt~er,< ]!H't'}; t~njfbcz.

~m?rë~T~8~ è~M~e<Ë~egh

M..Raimu)., r ♦̃̃.w.v

t* AU Théâtre EDouAnï>Vn,! *1) h. 15 Désiré, comédie de M. Sacha Guitry, avec Mlle Yvonne Printemps, MM. Louis Gauthier, H. Trévoux, Mlles Alys Delonde, Betty Daussmond, P. Carton et M. Sacha G'uitry).

t}t Aux Capucines, 9 h, 15, Mesdames (Mlles Fernande Albany, 'J. Merrey et Marg. Ducouret MM. C. Dechamps, Hiéronimus, Defrennc et Robert Clermont).•'

<£5 Au Théâtre des NOUVEAUTÉS, à 8 h. 45, Un bon Garçon, opérette (Mmes Pierrette Madd, Davia-"et Reine Leblanc et MM. Milton, Urban, (ii^des, Robert Ancelin, Sergy, Champell, Numès fils.) ,J5 Au Grand-Guignol, à- 8 ir. 45. L'Auberge du cheval blanc Le Bonheur refrottoé-; Le Aavire~ aaettgle ),\ Ciel t. c'est lui 1 (Matinées mekc, sam. dim, et fêtes.)-- ̃'• ̃' ~-Av .Théatu.3 Mogadqr, à: 8 h. 30, Rose-Marie (MM. Boucot. Burnier Mlles Cloé Vidiane; et Flore George, en alternance Jiiné Roberts, Cecilia Navarre' et M. Félix Oudard).

S Au Théâtre Femina,. âv,3 h, 30; Arlequin (Mmes G. Darthy, G. Webb. S. Paris, A.Ritcby (de l'Opéra) MM. Roger Gailhard et Saint-Bonnet).

.A LA Comédie-Caumartin, à 9 heures, Le Singe qui parle (M. Signoret, Mmes Lucienne Parizet, Marg. Moréno, M.-A. Morins, Lily Mounet, avec MM. Raoul Marco et Lernër).

Jt Au Théâtre DE LA Madeleine, à 8 h. 45, Le Théâtre 'de la Pantomime futuriste, de Maria Ricotti et JHenrico l?ranipolinii Orchestre javçc bruiteurs et r'ûindrharmohJiim.

<it Au Théâtre Daunou, à 9 heures, Pannu et ses gens (Mmes Jane Renouardt, Berthe Fusier et Jeanne Fusier-Gir-; MM. Constant Rémy, F. Gravey. L. Dayle et Paul Amiot).

^Jt Au Théâtre-Michel', à 9 heures, L'Amant conjugal (P.- de Guingand, S. Dulac, Mad.Linval etPalau)

Au. Théâtre DE L'AVENUE, à 8 h. 45, Nous ne somAies plus des enfants (MM. J. Baumer, Ai;vel, Dclaître Mlles Blanche Mohtel, Geoffroy; Prémore et M. lean Wall).

i5t A LA PoTiNiÈHE, à. 9 heures, La Femme d'amour (Mmes Rai'aele Osborne, N'ita Malber MM. Rouyer, AllainDhurtal.R. Monthis et Puylagarde). Jt A LA Scala, 8 S h. 30, La petite îru-e du cinquième (Mlle Marcelle. Pari;ys, Mmes G. Michel, G. Armand, C. Verlades MM. Sinoél, Ch. Lorrain, P. La)ry et Robert Bossis). 4~

,}! Aux Mathurins, & "9 heures, Bac-

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Supot productiu2

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« Jamais rien de pareil n'a été et ne sera peut-être filmé. » (Le Journal). ) GAUMONT- PALACE ..à partir. çl'.yiujourd'hui H NORMA SHEARERJ

DANS

MAITRE 1

/nICOLEetI

/son FIANCE 1 i Rira Métro Ooidn;n Majcr ^ft Ballet et nombreuses attractions M # 2 h. 30 8 h. 30 M

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ONTÂGNE

SACRÉE

̃" Une mwTtillc d'art Tous ht joim A Fimp t"(i»l

L-LJOMON

àFtEHI^E: X>KS I*YRÉ;ivèBS;' 1SO.JK.X A OCTOBRES

cara (Jules Berry, Suzy Prim, Henry Richard, René Worms et Pierre Finaly). Au- Trianon-Lvrique, 8 h. 30, Monsieur Dumollet (Mlles Louise Balazy, Louise Perrold, Lemichel du Roy, Lo,rys MM. Cadet-Grégoire, Delaquerrière, Derroja, Cardon, Mazzanti, Dorbey). S Au Théâtre DES Champs-Elysées, à 8 h. 30, Rêve de Valse, opérette viennoise, de M. Oscar Straus, interprétée par les premières vedettes de Vienne.

̃$ Arts, à 8 h., Sainte Jeanne; Atelier,à 8 h.45, La Comédie du bonheur; Châtelet, 8 h. 30, La Course au bonheur; Comédie des Champs-Elysées, à 9 heures, Le Revizpr Dejazet, à 8 ji." 30, J' marie ma fermnù Deux-Anes, à -9 heures,- revue Théâtre de Dix-Heures, à 10 heures, revue Nouvel-Ambigu, à 8 h. 45, Le Maltre de Forges Œuvre, à 9 heures, Les Deux Amis Studio des ChampsElysées, à 9 heures, Maya.

NOTES ET INFORMATIONS OpéiU. Les répétitions en scène du ballet de M. Inghelbrecht, la Chute de l<i maison Uslter, ont lieu, en ce moment, en vue de la prochaine création de cet ouvrage, dont la chorégraphie est réglée par M. Nicolas Guerre.

•»̃-̃

L'Opéra donnera demain, Tdnnhauser, avec M. Franz, Mme Jane Cros, M. Rouard, Mlle Georgette Caro, M. Grommen, Mme Lalande, M. G. Dubois dans les principaux rôles, sous la direction de M. Fr; Ruhlmann..

Comédie-Française. M. Alexandre Benois a présenté à M. Emile Fabré les maquettes des décors de Ruy Blas. Ces décors serviront pour la reprise du chefd'œuvre de Victor Hugo, qui sera remonté le mois prochain pendant le cycle romantique.

Opéra-Comique. Dimanche, en- soirée, l'Opéra- Comique fêtera la' 'mille, six; vcentiè-' me TCprësëntatibiv de Mignon-. -A cette: oc- ̃. casion, l'œuvre célèbre d'Ambroise Thomas bénéficiera d'une interprétation exceptionnelle qui réunira Mme Ninon Vallin, dans le rôle de Mignon, et Mlle Sarah Fischer qui, après avoir interprété le rôle de Mignon, chantera pour la première fois le rôle de Philine. Le ténor Villabella sera Wilhelm Meister. M. Félix Vieuille, dans le rôle de Lothario, MM. Hérent et Cornellier compléteront cette distribution. L'orchestre sera dirigé par M. Georges Lauweryns.

Autorisée par M. Emile Fabre, Mlle Madeleine Roch, sociétaire de la ComédieFrançaise, viendra dire un à-propos en vers du poète André Dumas.

Enfin, au foyer du public les spectateurs trouveront une exposition de tous les souvenirs autographes musicaux, lettres, portraits' et dessins relatifs à Ambroise Thomas et à Mignon, que M. Henri de .Curzon,: le bibliothécaire de l'Opéra-Comique, a réunis.

•'• "*•'̃

Mme Tapales Isang,' qui a obtenu mercredi soir un succès triomphal, dans Ma- dame Butterfly, donnera lundi, en soirée, sa seconde et dernière représentation de l'œuvre célèbre de Puccini. ̃

I,e ucsic-y.u,i, a L'OPt~tiA-Coatyu~.

Le music-hall a l'Opéra-Cojiique.

Ce..se.ça^.un.. des grands attraits du mer-

veilleux, programme de la roa;trUiég,de .gsl»,, qu'organise le Petit Jo.nrotal à l'Opéra-Co- mique (samedi 28 mai),, au profit 'de l'csu- vro çlçs pupilles de la nation en vacances. On appiau'dira MM. Alibert, Balder, Robert Burnier, Carpentier, Dorville, Mauricet, Mlle Nina Myral, MM. Pierre Pradier, Wiener 'et Doùcet, etc., et toute la troupe des Ambassadeurs, avec ses Stars et son' Jazz, prendra'part à ce spectacle, qui sera un des plus brillants de toute la saison parisienne..

Théâtre Sarah-Bërnhardt. Les Frères Isola donneront le mardi 21 juin la première représentation de J'veux la marier comédie en trois actes de M. Lucien Empis et de Mme Augustine Leriche. La répétition générale aura lieu la veille, le lundi 20.

C'est Mme Augustine Leriche qui créera le principal rôle féminin et M. André Dubcsc le principal rôle d'homme.

IhieNaliilipéiii Tous les records de recettes et de durée ont été batte

par

un a 4 VU m M GAME

Interprété par Albert DIEUDONNÉ

DIMANCHE 22 MAI

(EN MATINÉE)

avant-dernière représentation

j LOCATiqH OUVERTE A liPJgj

11 RéU LAINES Ce soir à 21 h. 15

.PREWll.^R,E, de

Six et demi, onze DE JEAN EPSTEIN

(Lecatian Dantcn 81.69)

Toute demande de changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc cinquante en timbres-poste, pour couvrir une partie des frais de renouvellement de la j bande* 1

Comédie-Caumartin. Ce soir, réception du service de seconde de Le singe qui parle. ̃'

mm t »

Chatëmx Lundi -prochain aura lieu la première représentation de les Aventures d'un Français en Chine..

»mi

COMÉDIE DES Champs-Elysées. Le théâtre flamand de Bruxelles (Het Vlaamsche Volksteenel) donnerai le 31 mai, une unique représentation de Lucifer (Ga révolte des anges), de Joost Van Den Vondel. Mise en scène de Johan de Meester. Décors de René Mouïaert. Musique/de Kiirél Albert.

M. Brô'ussan, directeur dit théâtre municipal de" Biarritz, vient d'engager Mme

SPECTACLES ET CONCERTS iinimi

Répétitions générales

,ît A la CIGALE, ce soir, à 8 h. 30 précises, répétition générale à bureaux ouverts de Tout' à la Chine, revue montmartroise, de Qiiinel et Moreau, et de Ah la vie chère, un acte, de JeanTPierrc Monel.

Aujourd^hut:

Même spectacle qu'en soirée

A l'Olympia (2 rh. 30).

Ce soir •> >-i ~.r ̃̃ ̃̃̃

1;

Jt Aux Folies-Bei.cîère, â 8 h. 30, Un Vent de Folie, hyper-revue de M. L. Ler marchand, avec Joséphine' Baker, Fouler, et Tamara, Jack: Stanford,. René Hudeau dt Nicolska. <; Jt Ad Casino dé1 Paris, à 8 h. 30, la grande revue Paris (Les Lorraines Sisters, Pasquali, Devilder, Lily Scott, Pizella, Dargyl, les 16 Lawrence Tiller girls- et Saschoff). ̃•'̃ ̃ ̃ ̃ ̃ Jt Au MOULIN-ROUGE MUSIC-HALU '•– à ^oh. 30, la grande revue Ça,*v,ç\est /Jarîs{Mistinguett, RandaU, Earl Lesljc, Cebron-Norbens, Marthe Berthy, Yvonne Legeay, le Spark's balUt, les 40 Jackson Girls et les Lancasjbïr'e lads de J. "W. Jackson et Dandy).

Au PALACE, à 8 h. 30, Femmes et Sports, nouvelle revue à grand spectacle avec Georges Carpcntier.

J5 A x'E.Mi'iim Music-Hai.i- Cirque. Le célèbre hypnotiseur Onofroff dans ses expériences sensationnelles, la troupe nègre Mutt et JefjE, Suzanne Dubost, de POpéra-Comiqu,e ^0 .attractions. J* A LA Foire Saint-Germain (place Saint-Sulpice)i Tous les jours, de ̃ midi à niinuit,: théâtre en plein air La Bouquetière de Saint-Sulpice. (Entrée 3 fr. 50).

A LA Lune Rousse, d 9 heures, Cîrud. 61f92), Eb-Ksi'-Fou revue (Nane Carty* 'Valheri) les chansonniers V. Hyspa, iLéon^Michel, Secretan, Spark, P. Dac, H. Cor, E. WyL Monelly, Hcintz.

^t Chez Fubsy ET Mauhicet (Moulin

de la Chanson), à 9 heures, Chez. Raymond tout est bon, revue d'André Dabi, et tours de chant nouveaux.

it A l'Œil DE Paius (4 bis, rue de l'Etoile avenue Wagram tél. Carnot, 36-82), à 9 heures, Les,Linoltes (M.Charles Lamy, Mlle Clara Tambour, MM. Mauley, Max de Rréux, Mmes Jeanne 1 Perriat, Jenny Rackson, Natacha, etc.,

et M. Marcel 'V'alléeh!,

Jt Au Chique d'Hiveu (Roq. 12-25), à 8 h. 30, Hugo Zacchini. Vllomme-Projectilc, Steéns « le Maître de l'Impossiible » les Algéyo!, Jean Houcke jet4 sa cavalerie, les inimitables Fratcllini, 20<ttract. nouyenos,rf; ,T, y,

'ntfp t.v ̃

Au Cirque Médrano, succès de Catalini avec l'cquatit cycling, Rainah, les hommes volants. Carré danî'so'n nouveau dressage. Allez rire avec les clowns. Nouveaux débuts. Matinées jeudis, dimanches, à 2 h. 30. Téléphone Trudaine i: 3-/8.

4 1 T!–

G0URRMJIUS1CAL JEAN; DENNERY pc, jeune artiste> donnera son dernier récital de la. saison iJa salle du Conservatoire mercredi prochain, en soirée, œuvres de Bach, Beethoven, Chopin,. De- bussy, Liszt. Billets à la salle, chez Durand et Dandelot. ̃;̃̃.

C~ soir

:~Ce3oïr_

À la Salle de l'ancien Conservatoire, à ïq heures, concert donné par Edmée Konow,; cantatrice, avec le concours de Karl Achatz," flûtiste,. et Nicolas ..Tcherepnin, pianjste. Au programme mélodies espagnoles, russes et suédoises. Billets à la Salle.

A la Salle Erajd, récital de chant donné par Mariéthée .L'stva. ̃ •; Billets à la Salle, chez- X»urand et 'Daïi-'

•̃ddoU»H!-< ̃ .u"i ̃̃̃̃

^_Iv.4--la Salle des.' 'Agriculteurs, récital 1 ci: chant donné par Lucille Chalfant.. Location à la Salle, chez Durand et chez Dandelot.

ilPO^

Demain samedi, premier concert, Serge Kousspvitzky au, thçâtJc des Champs-Elyseei.cn -matinée, à.a5i.|i.3o.. Au programme Sérénade de Mozart; Symphonie en v.l mineur de Beethoven, 'et deux premiè-.res, auditions SitHfi -en "Je, d'Albert Roussei,,ct le Carnaval ,,d'Aix,, de Darius Milhaud, interprété par l'auteur. Billets au théâtre, chez Durand et 4-, rue Blanche.

–<e~-<~<t––

Emmanuel Feuermann, Salle des Agriculteurs, demain' soir' samedi.

~QQ-

Lflf ,ji, îj mai, Salle .Erard, concerts de, l'Association., .française d'expansion et d'échanges artistiques. A'uditioli intégrale

des 'Qttir.teiie's de- MoxartT -avec- le-coiir-

cour:, du quatuor Rosé et de MM. Erwin

Dénglor et Louis Cahuzac. Places de ij à 100 fr. Chez Durand et à in Salle Erard.

-a.

Ed'.vigc Bç.rgcro! la trts remarquable violoncelliste, donnera mardi 24 mai, i <) heures, Salle Comcedia, un récital d'œuvres de Sammartini. Hellendaal, Bocchcrïni, Sch^imann. Ghzounow, Ravel, Fauré et Granados. Billets: chez M. Durand, au Courrier Musical. et a\i)Gu:de-Billets.

^s*-& ̃

Yves Nat à l'Opéra. Mardi soir 2\ mai, récital de piano. Locatt6n*"i l'Opéra, chez Durand et Dandelot.

1 11M B–

Le violoniste Klinglcr, qui doit donner, avec 'F. de Mendelssohn et C. Hansen, un concert avec l'orchestre de la Société des Concerts, mercredi çoir.25 mai, salle Gaveau, est le successeur 'de Joachim au ConKrvatoire de Beriin. Il est le chef du quatuor qui, lors du festival. Beethoven, à Bonn, a joué, ,1e jour ^anniversaire, de la mort de Beethoven, dans la chambre natale de Beethoven,. -iSur ..des -instruments ayant appartenu au maitre. Francesco de Mendels.sohn, descendant de l'illustre compositeur, élève de Pablo Casais et Cassado, est lé violoncelliste de ce célèbre quatuor. Le? billets pour le concert sont en vente i à In Salle et chez Durand.

j o>o«

i \psie Fujiwara, le ténor^Japonais qui

Aimée Mortimer pour les représentations d'Opéra-Comique, qu'il donnera cet été.

Mlle Ninon Gilles doit jouer, au commencement de juin, Le Chapon feint, au théâtre de Lille. ·

̃ *m

M. Irénée Mauget, tout en gardant la direction du théâtre Albert-I", prend celle' de l'ex-thêâtre Buffalo, qui s'appellera désormais théâtre de la Barrière. L'ouverture aura lieu à la fin du mois; avec un prologue de M. André Salmon. Deux pièces inédites Un animal triste, un acte du docteur Rhem,; le Bûut-ëriTrain, un acte de M. Nôzière. Les amis de la dernière 'heure (version riouVelle) de M. André' Obeyy et la Mineure, de M. Jean Julien, ̃ ̃ •. :̃'̃ Maxime Giiard:

vient de terminer une brillante tournée de Concerts en Italie, donnera, avant de s'embarquer pour les Etats-Unis, un unique récital le, mercredi 25 mai, à 9 heures du soir, salle des Agriculteurs. Le programme comportera, avec un groupe d'oeuvres classiques italiennes et modernes, un ensemble des plus intéressants d'œuvres du compositeur japonais Yamada.

Billets de 25 à 5 francs, à la Sa'.le, chez Durand et Kiesgen et Delaet, 47, rue Blanche.

Edith Walton interprétera 'des sonates de Schumann, Beethoven, et Chopin, mercredi soir 25 mai, à la Salle Comœdia.

·

René Benedetti donnera, un récital de violon le jeudi 26 mai, en soirée, à la Salle Gaveau. Billets à la Salle, chez. Durand et chez Dandelot.

w a^fc.

Nicolas Orloff donnera deux récitals de e piano à la Salle des Agriculteurs, les 26 mai et 3 juin en soirée. Billets à la Salle; ̃' xhez ̃ Durâiîd étudiez Dandelot'.

..C>i i. «»»^. ̃̃ >̃'

Abram Golbcrg donnera un récital de' violon le 27 mai en soirée, à la Salle dés Agriculteurs. Billets à la, ̃ SalICj chez Durand et chez Dandelot.

Mmes Yvette Guilbert et Dussane annoncent de nouvelles matinées à la Salle Gaveau, dont la première aura lieu jeudi 2 juin, à 3 h. 45. Au programme les Vergers fleuris. La location est ouverte à la Salle Gaveau et chez Durand.

M. Guy Ferrand a obtenu le plus vif succès pour la façon charmante dont il a interprété, au cours du récent concert des Instruments anciens, quelques chansons anciennes.

L. de Crémone.

FIGARO-'ciNËMÀ"

FIGAPO~~CINEMA

Informations ̃

En Rade, le dernier film de Cavalcanti, a été présente samedi dernier à la Pressé. On a pu y constater un bel effort artistique, qu'il faut souligner:

Henri Desfontahies vient de donner, cette semaine,' au S*udiO-'d,"I""3>inay, le premier tour de îïïifJjLyeHb/de Poker d'Asj le nouveau, flM' qit'il \iiiet en scène pour': la Sociëté"dcs Cin'ôro- mans, d'après un ̃seénarrt!iK'dl'Ar'ft'ur Beraède. Le metteur en -scène ̃noiis a dît « Je me prépare à tourner bientôt des passages extrêmement curieux qui nous feront entrer dans les. milieux de la haute pègre parisienne. Au cours de ces scènes particulièrement émouvantes, vous ferez la connaissance de Poker d'As, dont René Navarre campe une impressionnante figure.

Le mariage de Pola Negri a été célébré le samedi. 14 niai' au château de Rueil, à Seraincourt. Pola Negri, afin de prouver, sa sympathie toute particulière aux membres de la presse française .et étrangère, avait convoqué les journalistes:à une. gardenparty, qui fut donnée, aprè.s. la cérémonie, dans le parc du château. Le titre du prochain film de Douglas Fairbanks sera le Gaucho, titre équivalent au titre anglais le Cowboy. L'histoire est de Elton Thomas; l'auteur du scénario du Pirate Noir, et Lotta Woods travaille actuellement le scénario. Le metteur en scène sera F. Richard Jones. Le Gaucho est une histoire sur la vie des cowboj's dans l'Amérique du Sud. Le-, compositeur et .metteur .en scène Tictor-Schértzinger, auteur de Marquita, vient de terminer la réalisation' du Cœur, de Salomé pour la Fox Film. II a également ecrit la partition du film,. avec une version inédite de là « Danse de Salomé », écrite spécialement pour Aima 'Rubens. Tous deux en avaient. ébauché le projet alors que la célèbre « star » était danseuse dans un grand-théâ-.tre de San-Francisco, Victor Schertzinger était chef d'orchestre. C'est la (54e 'production faite' par le compositeur.

René Clair, le plus charmant, des jeunes réalisateurs, vient de signer ,avec la maison Albatros pour laquelle il a tourné la Proie du Vent et Un Chapeau de paille d'ïtatie.un contrat qui l'engage à réaliser ses deux prochains films. Félicitons M. Kamenka de s'être attache une aussi précieuse collaboration. R.Clair tournera: Passe, Pair et Gagne. g. S.-

̃y' ̃ •̃ _• R. S.

Demain Au Pays du roi lépreux, par Jacques Feyder-

DANS LA MARINE La 31° session.de l'Association < technique 'maritime et aéronautique I La 31* session de l'Association trehnique maritime et aéronautique aura lieu les 31 mai, 1", 2 et 3 juin 1927, dans les locaux de son siège social, 7, rue de Madrid, Paris. Cette session promet d'être particulièrement intéressante par le nombre et la valeur des vingt-cinq communications qui seront faites sur les sujets les plus variés, maritimes et aéronautiques..

Le ban,quet final sera présidé par M. Georges Leygues, ministre de la marine, assisté de M. Emmanuel Rousseau, président de l'Association. La session se terminera le 3 juin après-midi, par la visite des installations de l'aéronautique à Chalais- Meudpn et à Villacoublay.

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Aujourd'hui vendredi, commencera cette grande Quinzaine internationale de tennis, dont les deiix glorieuses sociétés doyennes des sports en France, le Racing-Club de- France et le Stade Français assurent, en colla-

borationv'l'aiHitielle' organisation.

Elle comporte >deux. parties. La première? est cotarferéè à' la rencoii-' tre France-Etats-Unis la seconde sera occupée par les Championnats internationaux de France.

Ce dernier tournoi dont l'institution vient de l'initiative hardie d'un sportif de la première heure et qui fut un athlète remarquable,' A. de Joannis date d'avant la guerre. II a d'année en année remporté un succés croissant. • II a pris rang parmi les grands événements mondiaux du tennis. Il est atterïdu avec impatience suivi avec un intérêt passionné. L'an dernier il eut un éclat particulier' de par Fà participation de l'incomparable Suzanne Lehglen et de la nouvelle étoile miss Helén W.ills, de l'américain Vincent Richards, et par celle enfin de Borçtra, de Lacoste et par celle de Cochet qui s'y montra prestigieux 'd'autorité et de précision.

En importance et en intérêt la quinzaine de 1927 ne sera pas inférieure à cclle.de 192(i. La participation des américains- "SV. T. Tilden et de Francis Hunter, et de nos dcti.x valeureux et si différemment brillants champions R. Lacoste et Borotra en est à celle seule un sûr garant. Mais il est facile: d'imaginer avec quelle attention les résultats, de

cette, c|a^5iqijft épr«uye, attçn1dui?,i4ai3s!. 1

̃ le moadeicentier, aujourdMàii qtie>

tous les pays sont si épris de sport, et:avec quelle passion. s.eront suivies, chez nous, 'les- rencontres, la liste des nations dont les meilleurs joueurs sont engagés les Etats-Unis. la FranceJ'Uruguay, l'Espagne, l'Italie, là Suisse, l'Afrique du Sud, l'Autriche,' Ja Tchécoslovaquie, la Yougoslavie; la, Hongrie, le Danemark, la Suède, la Hollande, l'Irlande, le Chili, la Grèce, "a Pologne, la Bélgique, la Graride-Br.etagne. Ce tournoi enfin servira de rentrée en France aux joueurs allemands, dont la Fédération a été de nouveau admise dans la Fédération internationale. f,-

D'un haut intérêt sportif la Quin- zaine internationale est aussi une manifestation charmante, attrayante par son élégance. Les organisateurs des tournois de tennis du Stade Français et du Racing-Club de France sont des maîtres organisateurs. Dans le cadre magnifique de la Faisanderie, au cœur du Parc de Saint-Cloud, le Tournoi qui s'ouvre demain? a«ra:.un cachetiunique. Encouragés par le succès si mérité des dernières années, ceux qui règlent les mille détails de cette si intéressante.. niajiifesfatiQn, n'ont rien négligé pour qu'elle soit par- faite. Je me laisserai- peut-être aller à un seul regret :'là pose dans Paris de quelques affiches, pour annoncer aux passants ils peuvent louer des places.

L'affiche est un procédé de propagande que je déplore dans les sports amateurs en général, aux'quels il donne un. caractère accu.se et fâcheux de spectacle et d'entreprise que je déplore encore, plus" quand il s'agit, d'un sport aussi élégant que le tennis.

Cette'petite critique faite, nous souhaitons bien sincèrement qu'un temps splendidement ensoleillé, favorise les efforts des organisateurs de la grande quinzaine internationale et ceux des fameux et réputés athlètes, leurs invitée nos hôtes.

Frantz-Reichel. <;

Toutes les femmes f

élégantes

sont et restent

les élèves de ·

VERSIGNYi TENNIS

Le match France-Etats-Unis Le match France contre Etats-Unis d'Amérique commencé a'ujourdhui a 3 heures, sur les courts du'Stade Français à la: Faisanderie, dans le parc de Saint-Cloud. ,Les. deux premiers ,sjmnu pies se Joueront dans, le meilleur ,ds.(j trois sets dans cet ordre "<i. A 15 heures F. Hunier (E.-U.) ci Jean Borotra (F.). ̃ A 16 heures W. T. Tilden (E:-U.)c. •̃ René Lacoste (F.). s .'̃̃'̃ Ces deux parties présenteront un très vif intérêt et donneront d'intéressantes indications sur la, forme des .quatre joueurs précités qui participeront ensuite aux Championnats internationaux de France. P.C. ';i

PAUME

La Coupe Bathurst

La Coupe Bathurst, qui se joue avec les règlements de la Coupe Davis, a commencée à se disputer, hier, à la Société de Paume de Paris; ,74 ter, rue de, Lauriston. Voici les résultats des deux premiers simples E. B. Bruce (Angleterre) b. Blanchy (France), 8-2, 8-1 comte Renaud du Vivier (France) b. Lees (Angleterre), 8-2,

Aujourd'hui vendredi, à 14 heures, on jouera le double •: Blanchy et du V""er contre Bruce et Lees. P. C.

` ti";

GOLF

La Coupe du « Gaulois à à Chantilly Jouée hier, sur 30 trous, sur le par- cours de Chantilly, la Coupe du Gaulois S tfbïeiiUJ'ub succès. complet:;RéBTiU'i.- tats ::t- • :• ̃ '̃̃ •; ̃; I;fr- a. Mme Miirqui,san,,84, 83 = 107 s 2.- Mme P. Muhier ,86, 83 = 169 3. 'Mlle. S. Esmond, 87, 85 = 172, etc. La première place du classement ban-. dicap a été partagée entre Mlle Lavigjoe et Mme Monier, avec 151 net.

Sur le parcours du Sart -"y c Au Golf du Sart, près Lille,, les der uières compétitions réunirejit de nom-, breux joueurs. Résultats

Coupe Paul Le Blan (scratch). 1.A. M. Vagliano, 79, 73 = 152 2. Patrick Le Blan, 79, 78 = 157 3. P. Dupas, 80, 83 = 163; D. Lcsouëf, 81, 82 '=163 R. Valentin, 85, 78 = 163 6.A.. Motte-Motte, 85, 81 = 166 7. A: Waltinne, 88, 81 = 169 8. J. Le Blan, 84,; 89 = 173 9. PaulGiraud, 89, 86 -i 175;' 10. T. J. Gough, 86, 90"= 176 et-comtoi" d'Harambure, 92, 84 = 176. ''̃ Prix des dames (handicap). 1. Mlle Gertrude Le Blan (10) 77 et Mme Monier (11) 77 ;-3. Mme Etienne Pollet (Ï8) 8Ô"; 4. Mme Germain Motte (24) 87 5. Mme Albert Ternynck (18)- 88 6. Mmè^Àlbe'rfe" Pollet (24) "89, etc.

Le barrage a été gagné par Mme Mo~nier, battant Mlle Gertrude Le Blan par 4 et 3.

Coupe double mixte (handicap réduit des 3/8 sur 36 trous). 1. Duchesse de Mouchy et baron F. de Bellet, 2 au-dessous 2. Mme Roger de Vilmorin j;t É4rard, 8 3. Mme Aublin et Roger de Vil- mdrin, 10 Mme Etienne Pollet et R. Se-'garii,-10'; ;5.M'mE D:;>Besouëf et D. LcL.. souËf, '"̃] 1" ;"B. "Mme de La Rocheîoùccruld et G&rlos de -la 'Toriv. Ï2 7. Mme' Mai*quisan et Patrick Le Blan, 13 Mme Tripier et Pierre Dupas, 13 9. Mme Jameson et Jameson, 14 Mme Polleti et A. Motte-Motte, 14 Mme A. Ternyick et Heyndrickx, 14, etc.

"̃'̃̃̃•' ESCRIME !/j

La conférence de Joë Bridge; La soirée, organisée par Joë Bridge, à l'Universitaire populaire de Saint-Denis, a remporté' un très vif succès. S'a" conférence sur les « Sports dans une démocratie », les danses de Jeanne Ronsay et ses élèves, et les assauts d'escrime Lucien Gaudin, Bordes, Hostalîèr-Degouve, Heidé-Crosnier furent chaleure\ sèment applaudis.

C'est Cornic, champion de France, q,)ii arbitrait.

Le gala du Cercle d'Anjou

Le gala du Cercle d'Anjou, donné aux Ingénieurs Civils,- devant une élégante assistance, a obtenu un très vif succès. Lucien Gaudin tira contre Piot. Brunel gagna un match à l'épée contre Pavre par 10 à 9. Lèmoin battit au fleuret Crosnier, par 10 à 5. Parmi les autres tireurs applaudis, citons le maitre Bordes et Taillandier au sabre, Schmetz et Haas, Henri Laurent et René Haussy, champion de France Spinosi et Félix- Ayat, champion d'epée, etc., etc.

1 -<> i'f

s; ~ul,râ%~ ?'

Contre les records de vitesse avec 1.000 kilos de charge utileL'appareil de l'aviateur De Marinier qui doit tenter demain de battre différents records mondiaux et français de vitesse, avec 1.000 kil.os de charge utile, est arrivé hier, dans la matinée, à l'aérodrome de Mondésir.

De Marmier prendra le départ ce matin, à 5 heures. Il fera sa tentative sur une piste de 500 kni.-

Frantz-Reichel.

1

Toute la correspondance concernant les sports doit 'être adressée â. M. 'Fralltz-Rciclzel; chef de la rubrique sportive du Figaro. (

nic mâcon

maçon

à ~~`f50 ~a,


La situation des marchés IHustrfels ̃' •iiit<iiit

_.<̃' La crise charbonnière

Nous avons signalé dans notre précédente revue le malaise qui se»vit actuellement" dans les chàrljonnages français. La situation reste sérieuse sans être toutefois encore inquiétante.

Il n'en est pas de même à l'étranger où la crise devient de plus en plus aiguë et se traduit par une réduction des heures' de travail et de ^extraction et surtout par -àri-e forte augmentation des sto.cSs. Des mines de la Sarre chôment un jour par semaine. Les mines de la Ruhr ont près de deux millions de tonnes d'avance. En Angleterr?, les exportations pour les quatre premiers mois de 1927 sont en diminution de 600.000 tonnes sur la période correspondante de 1.926., En Belgique, le* stocks Repassent, un million de. tonnes maigre -les1 baisses successives des prix de veitte. ̃̃̃. ̃'̃'̃"̃̃ Comme on le voit, ii s'agit donc d'une crise mondiale. Aussi. commence-t-on à parler de nouveau d'une entente internationale entre les producteurs. Il est possible que la Conférence économique qui a lieu, actuellement à Genève ait permis certains échanges de vues, outre les représentants des principaux pays intéressés.

Les marchés textiles

Dans l'industrie de "la laine, le travail est à peu près normal dans les triages, les peignages et filatu-, res de laine peignée, travaillant surtout pour l'exportation.

Par contre, dans les tissages les commandes sont rares et les ouvriers chôment au moins un jour par semaine. Dans les filatures de laine cardée, la situation est également difficile, la durée du travail est réduite dans le Nord, à l(i heures par semaine. Les filatures de laine mixte travaillent surtout pour le stock à raison de 5 jours par semaine.

Les commandes sont rares dans les filatures de lin et de coton et la plupart des établissements > tabçi, quent surtout pour le slocJû; Ûe. ti'ak vail est intermittent dans les tissai ges d,c toiles le chômage, partiel est pratiqué de temps, â autre. Dans la région de la Seine-Inférieure, la situation est redevenue difficile dans l'industrie du coton et de nouvelles réductions de la journée de travail sont envisagées. Dans les filatures et tissages de jute des régions de Dunkerque et Hazebrouck, la situation s'améliore lentement, mais d'une façon continue. ̃"

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dentelles du Camïirésis, la reprise signalée précédemment ne se maintient que 'dîuicîrêmènt. La situation est" iii«j8««Fpb«dWs*Jys «fabriqués de broderie, mais les ordres reçus sont peu importants, v

En 'kttn<e,' la»iroi«ièroeîsérie d'en- chères de Londres s'est, terminée sur des prix sputenusrsurtout pour les belles ci*uiaî|tes.>i.a jHupartTdes lainés ont regagné tferram perdu dans les premières ventes. Toutefois, les qualités médiocres .marquent une baisse d'environ ô, 0./0-; sur l%n ventes de mars.; En. Fraftce, ,1e brut est sans changement à 1,700 francs- ̃']''̃- En coton, les variations des^couits du brut ont été' passez "nombreuses, par suite des nouvelles coiiir.adicitoii.res concernant les inondâtiohs./wll sfeHibk qfte)iia?'situationi,i!*iix;jtE!|aïsi- 'Ijinis, se soit plutôt aggrayée.'rAi-iS»i: ein dernfêWs; itouvêMès les' pMx riisr'^!q!uent-ils une-^ertaina» .fermeté vers 518 francs.

Dïap'rèsfte fWpp$çt,;piibliévp;ar.;tle! ministère de l'agriculture de Washington, environ 2 millions d'acres au total, fchiffre bien 'inférieur à Ta plupart des es.tiinatio.ns privées, spraient inondés'; leni:p>oduction est estimée à rl- mJJlioii ,<(e.b.alles. Signalons que l'acréage- !.dc la prochaine récolte dépasserait -48, millions 700 acres, en "atigmentatipîi. siir Tannée dernière. -En France, 'le niâr'élié reste particulièrement calme. Les "flls coton sont traités à 17 fi\ 511-18 lï..pour' la chair" ne 28. A. ,SJ"bpbii;q,.»lc. calicot 3/4

20 x 20.ebip 2,fr, 20,]e 18 X..16,

1 fr. X 90. 20. cote ̃• 2 r .fr. 20, ̃• le -̃. 18 x" ̃ i%' En soie, le marche se réserve,, attendant d'ayoir des renseignements plus complets siiiv la nouvelle récolte.. Les prix so.nt sans changement .np-" préciabte, les, -gruges Erance Cëverines 12/1(5 à 375' francs.

La fabrique. 'traite un triés petit courant d'affaires, Nps exportations, pendant le .pfbmrer trimestre 1927, se $on,t. élevées à 2.368.000 kilos, en diminution de 80.000 kilos sur période. c,oi;çesp.oiidjintÇj .d4e:jU)£(}{. '.x.

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̃ •: '"i'iic'pw ,t/ i^iwiWin5?? ?b T T rfiti; De TÎTB»'|lrofes,!atio"ni seiiontf'êlçvéiîs la par tf dès! ctittsdnimatëu-ijS français de f&nt,K' (fondeurs et inéca-; niciens) concernant' les prix jde vente des fontes. ;> | On a fait: l'éinàvquer 'que le prix actuel sur le mariné.; national est*de' 500 francs,: parité' LQngwjv ce qui correspond, chiïiwsle,- pour beaucoup d'acheteurs, à uiî'pt\ixrréel de vente variant entre '52<flr. et 530; fr. départ usine. '"̃'̃' 't' ̃ Or, les producteurs, français ven-

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Les producteurs répondent que ces: ventes à l'exportation leur sojït; nécessaires :pour garder l'activité normale de leurs hauts,fourneaux. Ils ajoutent que les sacrifies consen^s ainsi sur les affaires d'exportatioii profitent également à la clieni<ël,e française en permettant de maintenir des prix relativement bas, alors qu'une rédaction de la production, en augmentant les frais, généraux, au-» raii pour conséquence une élévation assez s.ensiple des prix .de i>e.ntè. Toutefois, les producteurs de fonte viç.nu'p'nt ~Aç, se réuniç lé; 1.9. courant, pour. examiner la. qù.ëstioii djes prix

~?~S- t

ïl est- probable qu'une Jiaïsse de 20 à. ⧠francs par toaae sera. appliquée e à partir du 1" mai sur lès prix des. fontes sphasphôreyses.

;En açi«r, les prix, du marché français sont à la parité des prix d'exportation. i" On peut donner confine prix 48 francs pour les blooms, 55-56 fi-, pour les poutrellee, '.5Î7-58 fr. pou le*- aciers marchands,. 56-57 fr. pour les. ronds à béton, Î5 fr. pour-les tôles fortes,, 80 fr. pour les tôles moyennes, 98400 fr." pour les tôles fines". On signale une plus grande fermeté* des prix à' l'exportation. La situation des industries méca-

niques et .de, transformation s'est 'lé-

gèrement améliorée, mais reste encore peu brillante. Quelques commandes sont venues sur le marché en matériel roulant* de la part de l'Etat, du P.-L.-M., des- P. T. T. ainsi que de différentes colonies.

En automobile, l'activité se maintient, du moins dans les grandes maisons, car dans les fabriques ;de moiili dre importance les. carnets sont' peu"'

garnis..T

La cri.se. qui sévit dans-l'industrie du. cycle .depuis, déjà plusieurs mois a PoulVà6ftnâéqttep(»e ,TOftKre.çi;ud^ çence de conçjurrejjjpç^ctJULJLvilisscment des pà> "'̃ “,(•> -<̃< i lies :foiideeies; botrionBeriesy fer-" roniTt-rks, les'Usines d'estampage ̃suhissent les répercussions des indus-tries pour lesquelles'elles travaillent directeiuenfcCelles qui.ont pour client le matériel roulant jouissent d'une- activité assez favorable, alors que» beaucoup d/usines à clientèle locak sont obligées denréduire leurs heures- de travail..Cest le cas, par exemple, des fonderies travaillant pour les industries textiles,

Marc Nody.

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\îcnbt, à. rGagqy.; .-••

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