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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1927-04-12

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 12 avril 1927

Description : 1927/04/12 (Numéro 102).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295103c

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CHRONIQUE DU « FIGARO »

la Belle et k Mmâtè

Un.' des plus admirables \de ces -vieux icontes français qui, sous leur forme légère, passent en sagesse profonde les plus mystérieux mythes orientaux, grecs'ou Scandinaves, est celui de Riqiiet à ta Houppe, dont Théodore de Banville a donné à la scène une si jolie version lyrique. Faut-il rappeler que le prince Riquet est affreusement laid et 'disgracié, en sa nature physique autant qu'intelligent, comme le fut le pauvre Lautrec qui, difforme, -eut le génie du dessin ? L'enchantement pernicieux d'une fée mauvaise a ainsi défendu toute espérance d'amour partagé à ce prince dont il a fait un paria mais.il iiie s'est point étendu à son âme, qui est grande, et toute brûlante de poésie. Riqùet- rencontre une jeune fille aussi radieuse qu'il est repoussant, mais aussi stupide -qu'il est noblement inspiré. •Elle le fuit d'abord mais peu à peu, par-la magie de sa parole, il la retient, l'instruit, l'illumine, éveille en elle le :divin,- elle le trouve moins hideux, puis .'supportable, puis elle est troublée, s'éprend, découvre la vie et l'amour, lattuiei-. $'p£fre i-.et alors le maléfice est rompu,, et la victoire de« l'esprit éter;ael s\if la. vaine apparence rend là beauté au; jîionstre, la pensée à la belle, et il y a yH; couple de parfaits amants de plus sur la 4erre.

On peut méditer beaucoup/ ce conte car tous les contes vraiment réussis comme l'est ce petit chef-d'œuvre sont des allégories qui illustrent la philosophie et vont souvent, en quelques pages divertissantes et ornées, plus loin que ses gros.tomes. La vie est un conte que tissent nos joies et nos peines, et le symbole est sous toutes choses. Quand on regarde de plus près une telle fable,- on voit qu'elle en évoque bien d'autres car ainsi que la nature fait tout avec quelques formes indéfiniment répétées sous réserve de subtiles v,ariantes, il n'y a. jamais eu que quelques façons de dite en tous pays les vérités essentielles, dont le. petit nombre nous suffira toujours entre le berceau et la tombe; Seules les présentations diffèrent. C'est ainsi que le mythe du prince Riquet n'est autre qu'une des manières multiples dont l'humanité a essayé d'exprimer l'antinomie entre la beauté et là laideur en cherchant dans le mira. cle un moyen de la réduire..De là le dtiel de l'intelligence et de la force brutes du.héros et du monstre, dont une vierge est l'enjeu. La léBÇnde Tnam.aine a fait une. grande consommation de monstres. La. charmante et sotte fille dont Riquet s'est épris ressemble beaucoup à( Andromède, que Jules Laforgue, ènun de ses merveilleux récits, a eu bien raison de nous montrer aussi bête que séduisante, et captive d'un'horrible mais débonnaire dragon: il la garde par ordre, .mais il l'aime, il ne voudrait la dévorer, que de baisers, et. quand le dédaigneux et. intellectuel Persée l'a tué par ordre aussi et s'éloigne en abandonnant, la petite Andromède, celle-ci s!éveille à la vie par la pitié, embrasse le pauvre être difforme, et voici que le dragon rédime par l'amour redevient

un agréable jeune homme prêt à voguer

u~n a~réâblc ie homme-prêt à voguer

avec elle: vers le bonheur intime « en évitant les côtes semées de casinos ». Le nombre des dragons dont l'imagination des peuples en mal d'allégorie a peuple la terre serait pour effrayer, s'il n'était efitendu qu'ils seront toujours mis à mal pour la plus grande gloire de l'intelligence, et la meilleure espérance de l'amour. Il y a la chimère de Reliérophon et le sphinx d'Œdipe, la tarasque provençale et le Gayant des Flandres, le .Satan, de saint Michel et les démons que le Poverèllo chassa d'Arezzb, la bête décorative que transperce saint Georges et le Fafher Avagnerien, et cent autres. Que la fable païenne invoque le triomphe de la beauté féminine et nue sur la laideur physique, que la fable chrétienne élève l'aventure au triomphe de l'âme sur les forces ténébreuses du péché, l'invention est la même en l'honneur de l'esprit dompteur de la matière, de la pjtié matant l'égoïsme, de l'idée faisant pliér la violence et le dragon a beau se recourber en replis tortueux, jeter venin et flamme, empester et. désoler, toujours Arrive l'heure où se place devant lui un être calme et blanc avec une épée de lumière aussi éclatante que la langue de feu apparue sur les têtes des apôtres, et la bête s'affaisse sous l'estocade du torero surnaturel, et la belle femme pu.la belle Idée, également désirables et fécondes, seront sauvées. Et quand la légende chrétienne fait du glaive une croix et de l'exploit mythologique un .geste de sainte rédemption, le mystère reste inchangé c'est toujours l'amour, charnel ou divin; qui réunit la forme et l'esprit et leur montre qu'ils sont faits l'un pour l'autre.

Mais il y a des contrepartie1- dans ce subtil des allégories. 11 y a la revanche du monstre, exprimée par d'autres ïablés. Voici les dangers l'attirance de la beauté voluptueuse, de la forme trop enivrante, jette le héros intelligent. Voici la captieuse Cirée, qm change les sensuels en porcs l'orgueilleuse Omphale, aux pieds de qui le maladroit Hercule embrouille et rompt fils et fuseaux tandis qu'elle rit de'sa sottise Samson, dont, la perfide Dalila détruit la puissance en rasant sa •chevelure hirsute et le roi Haràld Harfagar retenu sous les ondes par une sirène au delà des parages de l'ultime Thulé; et lè chevalier Tannhauser au VeHus'berg, et les amants de la cruelle Lorelli, et la fantasque petite Zubin

devant laquelle une inoubliable page de Hugo, dialoguée par Georges de PortoRiche, fait sangloter le génial et malheureux Chassériaù. Alors c'est la beauté physique elle-même qui, par iin étrange retour, devient- le monstre domptant -l'intelligence et l'âme qui s'oublient, c'est la. victoire inverse; celle de la séduction de la matière bien ornée sur,l'esprit qui vacille et qui doute. C'est ainsi que l'imagination inquiète des homines s'est plue à se jouer des idées, à chercher le pour et le contre dans les mystérieux appétits sensuels et intellectuels qui la sollicitaient tour à tour et la laissaient lasse et non rassasiée parce qu'elle, rêvait toujours leur réunion; et en arrivait à penser qu'elle n'est point possible en ce monde. Nous vivons ainsi sur quelques pensées ou intuitions servies par des fables polyvalentes vierge expiatoire ou libératrice, rédemption par l'amour, combat de la belle et du monstre. La blanche chlamyde d^phigénie, les voiles bariolés de Shéhérazade ou d'Esther, la nudité lumineuse d'Andromède, la parure de Judith, la cuirasse de Jeanne d'Arc, l'épée de Persée ou de l'archange, la beauté de Siegfried ou la laideur de Riquet à La Houppe, la horde tumultueuse et fumante des dragons voiïés à l'extermination finale, autant d'accessoires dans la féerie multiséculaire dont l'homme s'est amusé ou effrayé, qui vaut bien d'autres jeux, qui animejiolre; théâtre intérieur, et qui demande à la poésie le secret d'adoucir notre angoisse d'être toujours en face des mêmes attirants et insolubles problèmes. Camille Mauclair.

Echecs à Moscou

Dans la lutte urgente contre le ^lUr péril communiste, pour se sauver 4s >v du danger de mort couru il suffira d'appliquer les lois, les vieilles lois bourgeoises contre l'espionnage, la trahison, la provocation au crime. On les a laissé tomber. Il suffira de les relever pour se dé.fendre pn sera soutenu par le bon sens populaire.

Les élections de dimanche dans le département de la Seine ne sont-elles pas à ce point de vue 'bien encourageantes ? Il ne faut pas donner pour de grandes victoires ces petits scrutins'? Majs ces succès sont des indices importants. « La réaction l'emporte s», avoue l'Humanité, forcée de recqfc naître, que s« :1e trouble a.été. jeté.çfôfls quelques esprits timori î>,». Eh oui 1 Même danjl cette ceinture rouge, que les scrutins munir cipaux de dimanche ont marquée de quelques taches pâles, la folié aritipatriotiqùe, la manie révolutionnaire du parti de MM. Doriot et Cachin commencent à effrayer ceux.qui.purent croire un moment au Paradis Soviétique. A Choisy-le-Roi, la liste radicale, à Courbevoie, la liste d'Union républicaine l'emportent sur les communistes, et si à Saint-Ouen, c'est urjt socialiste-communiste qui remplace, au Conseil général, un socialiste-communiste, élu sénateur, du moins est-il agréable de voir que, aussi, le communiste moscovite est battu.. 'L'Humanité assure que la défàite de ses candidats est due à « d'immondes coalitions, £f des opérations policières ». Le jourftal de la'IlIe Internationale est bien forcé de donner à ses électeurs quelque excuse à des échecs auxquels, sa violence le montre, elle est fort sensible. Mais, en vérité, les yeux commencent à s'ouvrir sur le péril de sa propagande et sur l'odieuse absurdité de sa brutale doctrine de désorganisation. QueULes que soient les aspirations Jnrolétariennes, quels que soient les mécontentements qui engagent à voter pour les pires, ce rôle de trahison. mondiale et d'espionnage continu rempli par les bolchevistes, ne peut être toujours supporté par l'électeur. Et la duplicité de ces gens de Moscou qui font crier en Occident « à bas la guerre », et qui l'alimentent et la mènent en Chine, répugne au sentiment français.

Les fautes d'un Cartel antimilitariste, la tolérance de tous les gouvernements, la mollesse de notre politique extérieure peuvent avoir affaibli chez nous le-sens patriotique il n'est cependant pas oblitéré à ce point qu'il ne se révolte contre les menées de ces commis voyageurs en francophobie communiste, contre ces pacifistes dont on, vient de saisir à Changhaï les « résolutions accablantes qu'on lira plus loin. Un parti dont la fonction est de prendre toujours parti contre la France, contre l'Europe, contre la civilisation ne peut enfoncer chez nous bien avant des racines. Il sera aisé de l'arracher, si l'on s'y décide avant qu'il soit trop tard, et si l'on s'attache à cettebesogne .de salut. Mais là encore il faut vouloir et ne pas s'arrêter aux premières criailleries furieuses de gens qui se sentiront, per,dus dès -qu'ils se, sentiront rëellernent combattus. *•

i TABLEAU DES CHANGES: j A PARIS:, t

à 18 heures | Le Dollar vaut 25,54 La Livre vaut 124,03 La Lire vaut 1,23

Parité New -York.. 3,91 yB

1

VOIR LE COURRIER DE LA BOUliSE El LA COTE DES VALEURS A PARIS. LOS'DRES El SEW-YORK PAGE 4

APRES LES INCIDENTS DE NANKIN La note y des puissanees au gouvernement de Canton

1*

Voici le texte des demandes adressées hier, au nom des gouvernements américain, anglais,. français, italien et japonais, par les représentants consulaires à Hankéou, à M. Chen, poàr le bon règlement. de la situation créée par les attentats contre leurs nationaux, attentats commis par les troupes nationalistes à. Nankin; le 20 mar$' dernier. 1. Châtiment adéquat des commandants de troupes responsables des meurtres, blés,- sures et indignités personnelles et dégâts < matériels causés; ainsi qne châtiment :df toutes les personnes qui seraient reçonj- ̃ nues avoir été impliquées 2. Excuses par écrit par le ̃ commànî- dant en chef de l'armée nationaliste' y compris un engagement écrit fornîeî dp: s'abstenir de toute forme de Violence (ei i d'agitation contre les vies et les biens » étrangers ;̃•" 3. Réparation complète pour blessitfese 2 et torts personnels et'. p^iv dégâts, riia1(|riels causés. '• V. ¡ 'c' j A moins que les -autorités nationalistes ne démontrent, à la satisfaction des gouvernements intéressés, leur.. intention de se cbnfdrnier parfaitement aux conditions ci-dessus, iesdits^gouvernements se trouvent ront contraints de. prendre telles mesures qu'ils considèrent appropriées.

il faut noter que M. Chen a refusé de recevoir ensemble les cinq consuls en déclarant que les sudistes ne reconnaissent pas l'unité des corps diplomatiques. Devant une pareille attitude, un consul a remis une note portant les cinq signatures des représentants des Puissances. A Changhaï, la même note a été remise au général Pei Tchang Tsi, représentant le général Chiang Kai Chek qui est actuellement à Nankin. Chacun, des consuls lui a remis-la nôté^çqmrauné.- 'La, cérémonie a duré dix minutes. » (Voir, nos inforniatfons sur la Ghine en Dernière Heure}) ̃ i

ha limitation! des armemants jiaials Le refus de '14 l' Angleterre > ̃

,>

Le gouvernement britannique a définitivement repoussé la proposition française relative à Ja limitation des. armements navas Celle-ci, on s'en souvient, "'consistait à fixer uni^ia-ximum pour le1 tonnage total des bâtiments, autres que les navires de ligne, que chaque nation -aurait' le droit de posséder. Elle prévoyait en outre la communication réciproque: des programmes de constructions navales, et l'engagement de né- modifier ces programmes, d'ans la limite du déplacement total., qu'après un préavis- d'un :an.

La Grande-Bretagne reste sur ses positions. Elle veut que, pour chaque catégorie de bâtiments, un maximum soit fixé comme il l'a été par, la conférence de Washington pour lès bâtiments de: ligne; Elle célèbre les résultats obtenus! par cette conférence destructîcinid<e'l;800.OG0 tonnes, de cuirassés anglais, américains et japonais, et arrêt- de- la course aux armements, en ce qui concerne cette catégorie' de bâtiments. Elle aie conçoit pas que des résultats pratiques -puissent' être obtenus en dehors de ce dàdrcetdle compte sur la nouvelle Conférence a trois pour les atteindre. U' ̃ ̃ ̃̃ -<Le souci de laisser'là voie libre à cette nouvelle conférence est l'une des causes de Son refus, comme cëïuî ;dê në:pàs1"dês- saisir la Société des* natioi» a' înotivé'îfc rejet de la, dernière proposition américaine par la France. Mais le délégué bri^tannique n'a pas caché que là' conférence à trois devra assurer la pleine sécurité maritime de l'Angleterre. Il faut qùefle nombre des croiseurs,' 'des torpil- leurs et surtout des sous-marins de chaque puissance européenne soit au plus égal au nombre dés croiseurs, des torpilleurs et des sous-marins 'que "là Grande* Bretagne considérera comme. indïspeiïsà= ble de posséder. J

M. Paul-Boncour n'a pas1 èii' de pëiïiê à' faire ressortir la différence entre la sécurité maritime de l'Angleterre, ainsi comprise, et celle" de France sur terre. Il a montré que la proposition français^; avec les garanties qu'elle comportait, dèn» nait déjà un sérieux ^privilège aux grâfl' des nations maritimes. II a souligné l'illogismë d'une limitation des armement navals'par catégorie dèïbâtiments.en face d'une limitation dès;: armements terrestres qui ne portera que sur les effectifs globaux ou sur les dépensés militaire^ Mais la logique est vaine contre le parti pris.

Il est inadmissible qu'une nation qui accepte Ioyalement?un chiffre maximum pour le tonnage de sa flotte -rie puisse pas répartir ce tonnage comme il lui convient. La conférence du désarôiement doit respecter cette liberté ou renoncer à l'œuvre entreprise, '•̃̃

î: ̃̃• ̃••' ''̃̃̃̃'̃̃̃'̃ -A. Thomarà.

."T* ~t.,<i,i ̃ .»~77

'?' Réduction de l'intérêt `_ des Bons de ta Défense .nationale

JI

Conformément à l'avis du Comité financier de la Caisse autonome de gestion des Bons de la Défense'nalionale un décret a été pris qui parait ce matin, aux termes duquel le taux annuel d'intérêt des Bons de. la défense nationale est fixé, à partir du 12 avril 1927, à 5" 0/0 pour les lions ïi deux ans et à 4 (1,0 pour les bons à -.m an. Les intérêts des bcms.de la Défense n;ilionale continuent à être payables par anticipation. Un arrêté réduit à 2 O'O le taux de l'intérêt servi aux titulaires de comptes de dépôts de fonds ouverts à la Caisse centrale du Trésor publie et rembour.s;ibk' a vue, à partir, du 13 avril 1927.

,.J'> L.

LTaccoret est fait;;

entre la Banque de France et la Banque, d'Angleterre

On sait que des négociations se pour- suivaient depuis quelques semaines entre M. le gouverneur Moreau et M. Montagu Norman, au sujet du remboursement anticipé du crédit ouvert par la Banque d'Angleterre à la Banque de France pendant la guerre..

i;£jÇes négociations ont heureusement abouti et l'accord est maintenant signé. t;i Dans cette tranfsactiçn, rappelons-le, la ,|îanquo de France n'était intervenue qu'à fitre 'd'in-termédiaire. Ç<'çst le Trésor fran;pajs qui était' pn réalité l'emprunteur, ~mais notre Institut d'én\issiori avait fourni le gage de l'opération, sous la forme .d'un, dépôt d'or égal au tiers du prêt coñ senti, iPjar^a,. Banque d'Angleterre. h Le montant de.ee prêt était, à l'origi3ne,de &0 înillions de livres sterling. En; ,^9'ij3,un premier remboursement de 5 millions de livres permit de ramener la det- r,te de la ,Bai|q^e.^le tFrance à 55 millions. (j^ne. çonY^tj.oniiréi'diéée à la même époque spécifiait que l'extinction progressive de la dette, s'échelonnerait; jusqu'en 1930. L'or. déposé en garantie à Londres devait nous è.tre restitué parallèlement. par des verseinents échelonnés jusqu'au 30 novem-

7bre Ï930v.

A l'heure actuelle, par suite des remboursements effectués depuis quatre ans, la Banque de France restait encore devoir 33 millions de livres et le dépôt d'or en garantie se montait à 18.350.615 livres.

Aux termes de l'accord intervenu samedi dernier, la Banque de France se libérera intégralement de sa dette avant la fin du mois et, par contre, le solde de l'or détenu à Londres sera remis à sa disposition à la même date. Ainsi s'expliquent les achats de métal jaune impor"tahts 'auxquels la 'Banque d'Angleterre se livrait -depuis quelque temps sur le mar]clié mondial. •' P

1 -Ce; règlement a1 été poursuivi entre les deux histituts d'émission dans un esprit de .complète coopération amicale et le marché monétaire-, ne subira aucun contre-coup fâcheux du fait de ces déplacements de capitaux,

'Ajoutons que cet .apurement de comptes améliorera encore la situation de la Banque de France, au point de vue de son. encaisse métallique. Il ne subsistera • plus dans son bilan, comme or à l'étranger (donc indisponible), que les 53 millions et demi de livres remis au gouvernement anglais par le Trésor français, en garantie des prêts directs qui lui ont été consentis' pendant la 'guerre et qui constituent là dette proprement dite, visée dans la convention Caillaux-Chùrcliill.

:ÉCH<0

La Température

"probabilités ppur aujourd'hui

..Ciel epupert, avec: pluies. intermittentes. Vents modérés, température stationnairct Mgr BaudtiUatt part pour l'Améri-

que.. *[. '^H-^[

̃j ^Mgr.Baudrillapt s'embarquera demain pereredi pour New- York. L'éminent préla't'.représentera l'Académie française au Congrès &û Vingt-cinquième anniversaire de la Fédération des alliances françaises, qui se tiendra du 20 au 2j3. avril. De il se rendra à Québec, 4wl le Congres jubilaire de la Société du ? -'parler français au Canada tiendra ses séances a partir du 25 avril. Il ira ensuite à Montréal et à Ottawa et sera de retour a la fin de mai.

La capitale Ja plus encombrée.

Un joûrriàr Berlinois à demande à ses correspondants dans les grandes capitales 'et à un. de ses rédacteurs locaux, ^'établir le temps nécessaire pour faire, ëh' taxi, un Çtjrajet de 4 kilomètres, à m,idi et (5 liéures du soir, dans la pari[ç la plus fréquentée de chaque ville.

;>"•• ̃̃•;•̃̃' ̃'̃'•" 'A midi 'A G heures 'j. ̃̃ •' r r dusoir Paris, 23' 6" 24' 45" Londres 22' 20' New-York 18' 48" 28'32" Berlin .«.̃. 18' 25" 15' 30" Madrid 18' 22' 40" Rome 12' 14' 40" Copenhague 12', 13' Vienne 10' 30" 13'

AinsbParis détient le record pour midi. New- York pour 6 heures du soir. Majsil faut noter que midi est, à Paris, l'heure du déjeuner, plus tardive à Londres et à New-Yopk.

–°~ ~.<

Berlin, s'américanise.

C'est ce que constate la Chicago Trĩ bune ëh enregistrant l'adoption par Je conseil municipal de Berlin d'une proposition d'une compagnie américaine. Cotte compagnie avait offert de cons-* ffuire quatorze mille appartements sur ilés plans établis à New- York. Le!s maîi sons ainsi, construites deviendront proJpriëté municipale dans vingt-huit ans. • Mais compagnie exige que la location de ses appartements, ,pendant cette période, lui soit garantie aux prix qu'elle a fixés.

On envisage la, création de gratteciel sur l'emplacement des, hôtels Bellcvuc et Thiergarten, qui furent le siège des commissions militaires interalliées.

i«niu t

Supcrhlilion.

j La lutte contre la religion menée par les Soviets eu pour résultat de développcr beaucoup la superstition. Le pope d'un village de. la province de Gomel annonça aux habitants que sa gouver-

iiante, nommée Oria, était morte. Et trois jours après, il annonçait qu'elle était ressuscitée.

Personne n'eut le moindre doute. La ressuscitée fit aux paysans un récit détaillé de ce qu'elle avait vu dans l'autre monde. Elle avait reçu des commissions de parents de ses compatriotes qu'elle y. avait rencontrés. Ils s'étaient plaints, en général, de l'irréligion de ceux qu'ils avaient laissés sur terre, mais l'un d'eux recommandait à sa veuve d'habiller de neuf la gouvernante ressuscitée. Et Oria tira de sa résurrection encore bien d'autres avantages.

Les ennuis du protocole. 1 De passage à Brisbane, au cours de leur voyage en Australie,. le diic et la ,duchesse d'York voulurent voir les écoliers. Ils firent arrêter leur voiture devant l'école. De grands renforts de police accoururent des localités voisines: mais la petite et gentille cérémonie se passa dans le plus grand calme. Quand elle fut terminée, lés policiers entourèrent la voiture, obligeant le chauffeur à ralentir sa vitesse. Cela agaça le duc d'York, qui donna l'ordre, d'actionner la sirène. Les policiers crurent à quelque accident et s'écartèrent. Une seconde suffit à l'habile chauffeur pour démarrer. L'instant d'après la voiture était loin, laissant la police ahurie et la foule àttiusée.

̃̃̃;• ̃>- -^gj^ -U. '••̃

Le chapitre des chapeaux.

Les chapeliers de Vienne sont, dans le marasme. Les Autrichiens" ont pris l'habitude de porter le même 'Chapeau mou en toutes occasions. Quelques-uns, ceux qui ont des belles chevelures, vont tête nue. Les marchands, désolés, ont résolu de faire afficher de grands placards sur lesquels l'homme élégant verra qu'à chaque occasion doit correspondre un chapeau différent. Celui qui est nécessaire dans les réunions mondaines ne peut convenir pour le voyage, encore moins pour la chasse. Tout un petit code du savoir-vivre en matière de coiffures sera ainsi publié. Mais les journaux déjà raillent les pauvres chapeliers et demandent qu'ils indiquent en même temps la. manière de se procurer l'argent indispensable pour l'achat de tant de chapeaux.

«»»^ ̃

De l'ensemble des toiles que le peintre Peder Knudsen expose jusqu'au 23 avril à la Galerie de Marsan, 6, rue des Pyramides, émane un charme captivant. Paysages des régions froides et pittoresques de Norvège, du Danemark, « ciels ». et flots de notre Bretagne ravissent l'œil et l'âme, car Jl^sont, em-

preints^e \cMU fÇde ;.peéSi«

Le Masque de Fer.

AU JOUR LE JOUR.

BOY-MOSCOUTS

Le printemps, cette année, est comme l'amour du poète grec, il est mouillé, et des mousses encore neuves et vertes l'eau gicle sous nos pas comme en automne. La forêt pardonnezmoi cette comparaison, fatals amants de la nature la forêt aux doigts gris n'est plus qu'une éponge.

Pourtant, les boy-scouts, ne se découragent pas et, sous leurs tentes, tel un grand chef rouge qui ne fumerait pas le calumet, ils regardent pleuvoir avec la belle patience d'un âge qui a toute la vie pour attendre des plaisirs dont certains ne viendront jamais. Ils sont charmants, ces boys, avec leur jeune entrain et cet air déjà débrouillard à quoi, en dépit de leur nom anglais, on reconnaît déjà des petits gars de chez nous. Pourquoi faut-il que la politique vienne ici, encore une fois, tout gâter.

Des scouts de droite, il n'y a rien à dire t Sous la conduite de séminaristes qui ont aussi des joues candides et des yeux d'enfants^ ils sont fort discrets, car ils savent bien qu'on aurait tôt fait de les traiter en provocateurs et que, s'ils traversaient les villes en chantant de; cantiques, par rangs de quatre, ils seraient, par nos justes lois républicaines, coupables du délit de procession.

Mais il y a les autres, la contrefaçon communiste, les boy-moscouts, si j'ose risquer ce jeu de mots, ceux que coiffe le rougebéret. Dans les trains aux impériales retentissantes poluphosboio ils scandent du talon les hymnes révolutionnaires, injurient les bourgeois, les tout petits bourgeois de banlieue, et quand, pour gagner les bois, ils défilent dans les rues, agressifs, bruyants et en désordre, il semble qu'ils. s'essaient à suivre un président du Conseil menant quelqu'un de leurs grands hommes au Panthéon.

Ainsi vont-ils dans les clairs matins du dimanche, le samedi dans les soirs aux longues ombres, semant une terreur à leur échelle, pué.rile et un peu déshonorante pour ceux qui en subissent le joug ainsi vont-ils, prenant, dès leur jeune âge, pleine conscience de cette lâcheté universelle qui seule assure, dans les pays qui s'abandonnent, le succès des révolutions. E. Gascoin.

EN- DEUXIEME PAGE

LA VIE UTTERAIRE

Par HENRI DE REGNIER

LE FIGARO

Fondé le 14 Janvier 1826

Aucuns Directeurs U. DE Viixemessânt, F. Magnard, G. Calmette, A. Capss. ADMINISTRATION RÉDACTION PUBLICITÉ ANNONCES 14, ROND-POINT DES CHAMPS-ELYSÉES. PARIS Téléphone Elysées 1 3-S8, 12-61, 02-65

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Les rendez -vous syriens

Pjtr RAYMOND RECOllLY

Parties de points différents Of dn, Alger et Constantine, pour a'rîiVer au même but, Toinbouctou, trois MpiJTtantes missions algériennes avaient récemment choisi pour rendez-vous' ]uii endroit des plus inattendus le milieu même du Sahara. Le plus extraordinaire n'est pas qu'un pareil rendez-vous ait été donné, mais que chacun des groupes y soit arrivé au jour et à l'lieure.dits. ̃ • '-̃̃ Le désert fait, de la sorte, mentir sa vieille réputation. Non seulement on le traverse aisément, avec une rapidité, une facilité incessamment accrues, mais on s'y attend et on s'y retrouve. Les voyages sahariens n'ont rien de commun avec ce qu'on appelle une expédition ils ne relèvent plus que du tourisme, un tourisme mis de plus en plus à la portée de tous. Sans même recourir à l'avion, qui, lui, raccourcirait encore sensiblement le trajet, Paris-Tombouctou ne demandera bientôt gwère -plus d'une semaine* < ̃ p-r r Où sont les temps, pas très loïri* tains cependant, des caravanes, tèj-» les que le général Dumas, dans son "livre Le çjrand désert, en a. retracé Texistence\ Ouargla, 'In-Salah, ie Hogggr;le pays des Touaregs, tout au loin, bisn loin, Tombouctou la mystérieuse, les rives du Niger, le pays des Noirs, telles étaient les étapes jalonnant la traver.sée des « contrées de la soif » Cette traversée prenait des mois. Le chef de la caravane, maître absolu après Dieu, tel le capitaine à son bord, dirigeait le voyage à sa guise, guidait bêtes et gens à travers les difficultés du chemin, les embuscades des Touaregs et surtout le repérage précis des points d'eau, faute de quoi tout le monde risquait de mourir de soif.

Voici que l'automobile est en train d'éliminer le chameau, grâce qui ont pu s'effectuer la conquête et la pacification du Sahara. Quelques jours de « camping » constituent un attrait de plus pour tous ceux qui aiment à mettre un peu de pittoresque et d'imprévu dans leurs déplacements.

Celui de nos contemporains qui, venant de quitter les rives de la Seine, se réveille, une semaine /plus tard, sur celles du Niger, peut se flatter d'avoir accompli un extraordinaire bond dans l'espace. Si notre époque présente un certain nombre d'inconvénients, indisciitables autant qu'ixidiscutés, depuis i'éneombrement des rues jusqu'à la difficulté dféquilibrer son budget; "airsçi grande, sinon plus, pour les îiidiviclûs que pour les Etats, elle offre eii revau* che quelques avantages. Il faut compter, parmi ces derniers, celui de se mouvoir d'un point du globe à l'autre avec une rapidité et aussi une commodité que nos pères n'auraient pas soupçonnées: ̃̃ '̃'̃ Cette rapidité est telle qu'elle en ar? rive à supprimer la distance. Elle permet, en outre, et ceci est fort important, de-varier à sa guise le rythme des saisons, de rayer du' calendrier, si Ton peut dire, telle d'entre elles qui passe e à bon droit pour la moins agréable j, l'hiver.

Sans. faire intervenir les théories d'Einstein, le déplacement rapide dans l'espace équivaut à un déplacement dans le temps. Un voyageur quittant la France et l'automne peut se croire, en arrivant' à Tombouctou, de quelques mois plus jeune, puisqu'il y retrouve l'été. Jusqu'à ces temps-ci, ceux qu'on appelle lés hivernants pouvaient assurément, par un séjour sur la Riviera, en Espagne, en Algérie, en Egypte, rejeter de leurs épaules le triste manteau « de vent, de froidure et de pluie». Mais ils ne le rejetaient pas entièrement. L'hiver était adouci, et non pas supprimé. La preuve, c'est que les meilleurs hôtels de la Riviera, de l'Algérie et de l'Egypte n'ignorent pas, et pour cause, le radiateur et le chauffage central. Or, le Grand Hôtel de Bourem, sur le Niger, si,-comme tout le fait supposer, il s'en élève un prochainement, pourra très certainement se passer de l'un et de l'autre. C'est là-un avantage considérable. Les Etats-Unis étaient, à cet égard, dans une situation plus favorable, que la vieille Europe. A quarante heures de1 chemin de fer de New-York, se trouvent les stations hivernales de la Floride, de plus en plus fréquentées: PalmBeach, Miami, couvertes de villas et de bâtiments somptueux, où l'on peut prendre dès bains de mer en plein mois de janvier. Il est vrai, et ceci est une contre-partie assez fâcheuse, que. NewYork, et surtout Washington, sont àffligées, l'été, d'un climat à. peu" 'près tropical.

La possibilité de parvenir en une: semaine au cœur du continent africain ouvre au tourisme un champ d'explbitatioli presque illimité. Après ̃l'immei?.se effort que nous avons accompli dans toute notre Afrique du Nord, Algérie, Tunisie, Maroc, grâce à l'aménagement déâ hôtels et des circuits, c'est la France1 qui peut et doit avant tout profiter largement de cette opportunité. Les circuits sahariens poussant jusqu'à Tombouctou, le Niger et même le lac Tchad peuvent, sans trop de difficulté, se greffer sur les circuits nord-africains. La région du lac Tchad' était, avant la traversée du Sahara par les automobiles, difficile, presque impossible à atteindre. Il fallait cinq ou six semaines pour y parvenir, par un immense détour; en contournant une partie de la côte africaine. Il est dès maintenant relativement facile d'y aller par le Sahara. Or, cette région du lac Tchad est, au point de vue de la flore et de; la faune, dos


chasses et des excursions, une des plus intéressantes et des plus attirantes. Une fois .là, au cœur du continent noir, le voyageur et le touriste, pour y rayonner et revenir en Europe, n'auront bientôt que l'embarras du choix. La routedu Sénégal, de la Nigeria anglaise leur sont ouvertes, et aussi celle du Congo. Le jour n'est pas loin ou, du Tchad, ils pourront gagner la haute val- lée du Nil et de. ses affluents en bouclant de la sorte la boucle africaine. Jusqu'à présent, le continent n'a guère été itraversé de part en part, de l'ouest à l'est, que par d'intrépides pionniers de l'automobile. Ce qui a été fait par eux, après des prodiges d'énergie et d'efloïts; d'autres, sans presque aucune peirip, seront bientôt en état de r'âc'cbïnp»f-; ̃• :•̃ ,&. L'univers devenant de plus en plitg petit, les oiseaux inigraleiirs que, sont. les hiverMtttS ;et les touristes cherchent sans cesse do nouveaux parages et de nouvelles directions. En voici. de toutes Irotivéès.' Elles ont le grand avantage d'être sous notre pavillon, d'avoir' le fraiiç cojnnje nionnaiel courante, au 'lieu.

4P la'' Uvre ou du dollar.

Raymond Reçouly.

Académie des Sciences

Un retour. L'âge de la Terre. Çryptotoxines. Un dynamomètre télescopique.

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M, Lacroix, secrétaire perpétuel, reprenait hier sa place au bureau, à côté de M. Emile Picard.

Il rentre d'un long voyage de sept mois, au Japon d'abord, il était allé représenter .Compagnie au Congrès panpacifique, puis. "dans tout l'Extrême-Orient, oit il a fait d'importants travaux géologiques. M.- Charles Barrois, président, a salué son retour et l'a félicité, disant que les voyages de M. Lacroix sont toujours glorieux pour la science française* Celui-ci, après' avoir remercié, a annoncé qu'il entretiendrait ultérieurement" ses confrères des résultat!" de "sa mission,

M. Bi|i>ur_d.aii iil.priÉ^à-itéHqjijiaJoiei' de

M. Emile Belot sur le d&uuiinç interstellaire des comètes et ,1'àgC; de la T^rre, que « cette vieille cffquèifo; coiiinfi*"disait Voltaire, nous cachait ».

Ces deux astronomes ont commis l'indiscrétion de nous le révéler il est, d'après les calculs de M. Belot, voisin de 330 in.il-; lions d'années. Un bel âge

M. H. Vincent a exposé- ses nouvelles recherches sur les çryptotoxines microbienttes et sur l'action cryptotôxïque de certaines substances le professeur d'Arsonval, celles de MM. Bayeux et Vàugeois sur le choix d'un gnz véhicule des émanations radioactives dans l'organisme.

M> JBigourdan a apporté une nouvelle détermination, dont. il est l'auteur, de.la longitude Paris-Greenwich, et un mémoire de M. Defour sur la possibilité d'assouplir la, force des marées aux besoins des secteurs, au fur et à mesure de sa production. Etude de M. Chtjrrueau -r- présentée par M. d'Ocagne sur les surfaces d'équilibre relatif d'une masse liquide de révolution, à tension superficielle, en rotation, uniforme. Autres communications fort techniques de; MM, Sabatier, Gabriel Bertrand, Joubin, Gravier. Puis M. Lecprnu a présenté un, très intéressant dynanoniètre télesçopiquç Jonî M. Guiljery est l'inventepr. .̃̃• Ch. Dauzata.

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Les étudiants danois en France

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Oii-Nuitque l'Association fraitea-dtinoisfe,'

'dont. 10 but ést de -favoriser le développe-1 ment des relations scolaires, intellectuelles, industrielles et commerciales entrele Danemark et la France, s'efforce d'attirer chaque année dans nos lycées des étudiants Scandinaves.

Ces jours derniers, le lycée Clemenceau' de Nantes, qui compte une quarantaine de jeunes Danois, a reçu la visite de M. Tygc Rothc, ancien ministre du commerce du Danemark, président du Comité danois, et de M. Bjorneboe, inspecteur général de l'enseignement, délègue par le ministre de rins|rtiction> publique de son pays.. Nous «vous eu le plaisir de nous entretenir quelques instants, hier, avec M. Tygc Rotfre, à son passage à Paris. L'ancien ministre ne nous. a pas caché sa satisfaction de ,voir chaque année les étudiants danois prendre le chemin de notre lycée nantais. « Fairp d'un écolier danois un hachelier français est notre but, nous a-tril dit, et ainsi travaillons-nous à resserrer les liens séculaires qui unissent la France au Danëniark, et à faire mieux connaître et ainiér nos deux pays. »

FEUILLETON LITTÉRAIRE DU 12 AVRIL 1927 LA y IE Ll TTËR A im

LE ROI LÉPREUX, par Pierre Benoit (1 vol. Albin Michel). L'ECORCHÉ, par Robert de Traz, (1 vol. Grasset).– CORPS ET AME, par Robert Honnert (1 vol. Editions de 1» Nouvelle Revue Française).

CJiarles Dickens, sur qui M- André | Maurois'H'ient de faire une série de .brillantes et spirituelles conférences, a écrit un roman intitulé Le Magasin d'antiquités, et M. Pierre Benoit aurait pu donner ce même titre au récit romanesque pour lequel il a préféré celui de Le ÈM lépreux; mais lés ressemblances entre l'auteur de La Petite Dorrit et l'auteur de Mlle de La Ferlé s'arrêtent là, en y ajoutant que l'un et l'autre sont en possession de la, faveur d'un public très étendu. Comme Dickens eut d'innombrables lecteurs, M. Pierre Benoit est très lu, niais rien ne diffère plus d'un roman de Dickens qu'un roman de M. Pierre Benoit. M. Pierre Benoit n'a ni la sensibilité aiguë, ni "les préoccupations morales et sociales du romancier anglais, ni son pittoresque attendri et humoristique, pas plus qu'aucun de ses procédés de composition.et de narration et qu'aucune de ses intentions. Dickens a ses moyeils d'intérêt et M. Pierre Be-

udita'les^siéns. ̃' -"••̃'̃̃ •; -"̃

J'ai tenté déjà plus d'-une fois de les définir à propos de telle ou telle des

publications antérieures de M. Pierre;

plJPlications a. @~eures ,de, M!. ~i~F,C

Benoit, car les occasions ne m'ont pas manqué, M. Pierre Benoit étant un écrivain méthodique et abondant. Ses. romans se succèdent avec régularité; et chaque fois, M. Benoit y fait preuve de son remarquable don de conteur aussi bien que de sa remarquable habileté technique dont il a donné des preuves dès ses débuts. Son premier roman, Kœnigsmark, est imaginé, conduit et «combiné» avec une déjà magistrale virtuosité qui, depuis, ne s'est jamais démentie. Lisez l'Atlantide ou le Puits de Jacob, vous y. trouverez le même art

LE CONCOURS HIPPIQUE 1

îj't ̃ s' V' ~T**? r~~7~ ̃̃ •,••

Êa ^fngtiemç journée

•!• r

̃ Le Prix de Vejpdun

L'épr^-uye. régionale de di'fissagc pour,' officiers a été très intéressante pour les initiés venais en assez grand nombre à la séance d'hier matin. On y a vu des ca- valiers montant, bien' et prè§, des chevaux

justes, et, légers.. iiJ(^, ̃

LèSïprix ont été décernés dans cet or- dre .:̃̃ ̃

i; Samson (chef d'escadrons. Desprez) 2. 1. Home Rule (capitaine Ghallan-Belvat) 3. Brillajit A'IM (licuteriunt Mariolle, du -18e dragons) 4. Calais (capitaine Raymondaud,'

du 11e cuirassiers). ̃. ̃

du r exi;)ien s d?é(ittitatioil

Lps.<dern£ers' cxauiens d'équitalioii pour-

jcuiiGS gétin de quinze H> vingt et un sais- >

ont été passés ..dç-v^jU. jury, présidé par;-1-

M. le <îi)c de Brissac et coniposo de MM,

le yicomto. d'Ariiïai|)é,- Jean de ('haiide»i nay, je comte Alain de Goulaiiio., le niar- quis d'IJàvriiicourt, G. Hector, le comte de Lesterps, Léonce dé Scilivaux de Greisepe et le marquis (le .Vasspignc. La moyenne est satisfaisante. Mais il y a une trop grande diversité dans la tenue des rênes, et une meilleure unité de doctrine devrait. être adoptée, à' l'avenir, pour les différents centres d'instruction. Une médaille de vermeil à été décernée ii M. Jacques Wemaëre médailles de' bronze, à MM- Ch, de Pplignaç, Lazard, Gastambide,, de'Leuss.e, Digard, de Bellaigue de Buglias, Ph. de Croisset, J..de Prc- mio-Réal, Chauffort, Lainey,

Dans le prix du Rhin, de dimanche, ôiit été classés premiers ex mquo, Obéissant, monté par le lieutenant Roux; du dragons, et Obscur, monté par le lieutenant de Chabot, du 21" dragons, dans le prix des Juniors, là jument Sultane II, montée par M, Raymond Leroy, a été' classée première ex tequQ avec les chevaux Bobby et Violette IL

Le Prix de Verdun a été disputé par une cinquantaine d'officiers pleins d'entrain et de correction, devant une très élç-, gante et nonibreuse assistance.

Reniarqué. dans les tribunes Comtesse de La Guibourgère, comtesse de La Ruellç, comtesse de La. Villesbrune, jnayquise,J<lfl.|!fl!j'ille1B«ug4Trjiiarguise dp N,u;uU,,

M.1WhÇ;. <B)¡!j\n.Iti'p.û.13rw~, ,tnarq~Mc.ct~ ~taUM!

C\¡lIttUR~C. U(!"1'i'1l11t~\i, ,ttinnes~c. .do 'GMli~r,'

lime -'dp' Vâil^liim-el, 'liàPo-nné' de "Bavincho\v,'

côjfltos'sb de ÏJtoury, Jînje .Hertttud'.de La. ïeniplcrte,. marquise de Frqn4cvillc, Mme de. Viévitle, vicomtesse de Chézelles, vicon^tesse de Marisy, comtesse de Chandpn-Mbët, comtesse d'Argèntière, comtesse de Hostarig, comtesse de Mathan, comtesse de Teiiiiie, comtesse de

Thieulloy.

Plpsicyrs parcours sans' faute, très nppli\udis,; de ce classement '.[̃ Prixrtjl. Mimosa (lieutenant de Salins,du 24" dragojis) 2. Solo (lieutenajit Roques, du

106" d'artillerie) 3. Flanïbar4 (licut, AVins-

back, !i" hussards) 4. Poupée (chef d'escadrons Longin-Spindler, du 28" dragons) 5. Querelleur (Meut, de Briolle, du 24. d'ar-' tilleric) ().. Kef-Nadine (lieutenant Bran, du 2° hussards) 7. Civette (capitaine Radiguet de La Bajstaïe, de l'artillerie de la 4e division de cavalerie) 8, Alesh (lieut. de Chabot, du 21e dragons) !)., Quadrille (lieut. Brau, du 2* Hussards) 10. Quipos (lieut de "Rolland, du 2" dt-âgons)' î. Lauréa (lieut. Winsback, du 3^ hussards) 12. Obscur (tieut. de Chabot, du -2J» dtagpn!>). Onze flots de rubans.

Six. beaux attelages à .quatre ont pris

part au défilé promis par le programme du joqr, spectacle unique qui a transporté d'erithousiasnie une nombreuse assistance éprise d'un genre d'attelage, si élégant ét^ si difficile a bien 'mener, [

L'a; présentation i a'ét'e: parfaite et "de" jia-

'il es ton éfe Pllrfaite e e e

ture a contenter lés plus difficiles. Le jury était composé du duc dgtRris,sac,

-.lîrés^çlent,, et de MM, Henry.. JIM.

le conte tjrefuuhe, Janies-H'. IJ.i%'4e ..ët-le

;bai-o>i téjb'UttcV" -• ̃•u^j.

̃ !f Ôûs %'s ̃ârïeiaïesi^dnf été primés; îls; appartenaient, à MM: Hector Fran'c'BoitfffiK, Roger Guérin, Albert Howlett, José Marsans-Comas, Henri Viginer et le docteur; lïolder. C'est M. Henr-i -Vignier qui a enlevé la Coupe avec son mail-coach attelé des deux chevaux alezan Paon et Sardanapaje et des deux juments de même robe, "Unique au Monde et Mandarine.

Programme pour aujourd'hui mardi à !) heures, épreuve de dressage {officiers), (épreuve finale) à 13 h. 30, Pria; de la Coupe (gentlemen), épreuve internationale d'obstacles à 17 heures, Indoor-Polo,' matches internationax Coupe Henry Cachardi ̃̃̃•̃•

Toute demande de changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc claquante en UnibreS'PQste, pour couvrit une partie des frais..de renouvellement de la bande.

d'agencer les faits, d'utiliser les événements, de provoquer les péripéties, d'en tirer des effets de surprise,, de suspendre ou de précipiter l'intérêt, de piquer ou de satisfaire notre curiosité, de présenter des personnages tantôt adroitement simplifiés, tantôt maintenus dans juste assez de complication pour garder à, nos yeux ce qu'il faut d'énigmatique. Notez également que le souci d'intéresser ne va pas, chez M. Pierre Benoit sans celui de conserver à son récit une très soigneuse tenue littéraire. Excellent romancier, M. Pierre Benoit demeure bon écrivain; II use d'une langue de solide qualité, où l'on sent le poète et le lettré.

Cette technique habile et ce savant métier, M. Pierre Benoit aime à les appliquer à des sujets qui se rattachent de plus ou TOûins- près àj l'orctualité,. Ce soin est visible en des ouvrages tels que la Chaussée des Géants ou la Châtelaine du JJb(ù,Xp dont l'un se rapporté ;aux troubles d'Irlande etî l'autre à- notre occupation.de la Syrie, et nous ? retrouvons dans le Roi lépreux. M. Pierre Benoit a pu constater» l'importance prise depuis quelques années par le commerce des antiquités, leur recherche et leur vente, par tout ce qui relève de ce que l'on nomme la « curiosité »..pii;a vu, en effet, le nombre des marchands augmenter en proportion du nombre des amateurs. Chaque jour, s'ouvrent de nouveaux magasins et de nouvelles galeries où s'accumulent lés produits de tous les arts anciens et modernes. Le bric-à-brac, jadis tapi en d'obscures boutiques, s'éta. blit maintenant en de lumineux palais:. L'antiquaire a cesse d'être un perspn-

Lfr-smmw

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Pâques s^Cânires "• «.On dit » de l'Hôtel ,Mopt-FleuE)V, à Cannes, qu'il est l'endroit le plus.' sélect, q\xt-.h. ctiisine y' est •'•ejquisp et le stervjçe parfait, èt/fiue, pour lès vacances de Pâques; la dîrçctiôh fera

des prix spécw?. ''Yi V v, t'Z.

Recbnnur. aux dîners-^ fleuris des An^ite^)' deurs çt dans les saloiïs'dù1 Casino Municipal .Prince Frederick' de Danemark, prince et princesse Stanislas Popiatowsky, comte et comtesse de.- Chaponày, comtesse, ̃ ^orancjo,; comte;et comtesse H. de Wrangel, :fttc. On'signale parrni les'; dernières 'arrivées' Princesse Renée "dq Pourbon, comte et com•tçssè' de ;'Gajgnèrpn,: ..comtesse !;Wprontzgw-f

.Dashkof f .ba'rbii et' baronne de Rotz,' comte'"

.Cpérnip, baronne de. Gijerne, rnarquis ef Wf'rjv ,qùise''de--ÎMi>iJSsâÇ, 'etc. ,ï,? ,.» Sont nos hôtes' au CarltQti ̃ Mr et Mrs Kairoan, ,Mr& .Mary Gregory, Mr et Mrs P. Stevens, 'MM; Picardo, W. Dombre, Aldo Nadi, J Mr et jMrs Leigmanh,' M. et Mme Rousset, -Mv 'et Mme' Somati, amiral -de- Riseis, M. Mario Basil, Mr et. Mrs, Trunks, etc. f" ̃̃̃,{><»<̃ Sont amarrés 'au quariîpGyard-.V'IÏ1: !L^ Le yacht Béryl, à lprd inverclyde ;< le'-R&o. sabelle; à M. Prirn1.^ :.« .ï^ïwsw Au déjeuner oHe^^0^[%MM,^ij^ç^mj tesse de Mohtigny a î'HpfeT des Anglais, àsj;; sistaient ,< S. Exe. the Hon. Brajid Whitlock et Mrs Whitlock-, ,-C0Rit6sse de ?$$$$$&$!$. g*&T 1 DE NlCfl

Déjeune^ royal. ̃'̃ »f]àfiSfWA|€3 il Le roi de Suède a doftheT a l'Hôtel d'Angleterre, un< déjeuner très bttllaM ''auquel -<Jn£

assisté dé" nombreuses p^fâMitéi} H Mv !X$S$J

nedettr, préfet M.iMa'rtjçpfénft^lloifttf'M^ G sant fonction de ^niaife, Sjf[-Çl^s<j|}V.eoii^ul-- de Suède, etc. ̃• '̃•. '.̃•. v- ̃ Uri.^rj^ M^#$g$m€k^M

"?' ,,111,1, .f"i')?d(Y'JÍh;J,"I1'¡r; > ~),. ".c

,Necr/&cô; en ,*homicur du cinquintiew apni-

,Ne.sn.;s,co", .~fl ,~J¡olineur i "çl,l1qÍlfntl/:W,C 9-I1!ll"

versaipe MJ^r^vee en France ae M Ehaspit^ *cbn$U.I\de £$i|de .frfiicp Y assistaient M. Sàndg^en, ministre plempotenlmu >-c crétaire particulier du roi de Suède. le tom Monzani, consul génera.1 d J,tahe Je marquas de Maleissye, le barop Mifieftj \eiraUon, vice-consul d'Italie M, Poivik^ît?, \icct consul de Finlande. i n >< i i- K'

'.}~" \<m.-i<d')!nO''G.)9

Parmi -lesi-demièi es >çr&vees >t ,l ( Comté ;G. de Beauregard" 'Mnic^M ^tis, GoUblaye'de Menot\al M J s \hcs de L'fili1!, baronne' H. de Vin; k M G de Lt Guibour gère, M. Biard d'Aunei!3I J de Castro dgl Fresno, Mme Van Bakel, M et Mmç H Bay de La Tour, M. de au?: <

̃̃ i. J

ri-; yicHY^1 •̃ L'Etablissement thçrinal ain&i que l'Hûtel du Parc et « Çhantecleic et le Sporting-Club sont ouverte Une cilié à Vichy pendant les vacances de Pâques est ainsi tacile- à réaliser. iÀCHARITE :^t>(its.^Qiïs,s:ip'dc;'d^si'iriJBo«/B en açtioii durSt^Tnars", le beau geste des Y>e tites postières qui ont adopte et qui ilevt')it! (Jix-Btiit'orpHelins de guene A là suite cet article, nos lecteuis ont envoyé les dons suivants à Mme Hecliib, di-' rectrice du Nid des Oiphehm a Dornecj (Nièvre). 1

Liste des donateurs

Mme Avignon Fi. 50 M. Corledons 10 M. Danbrée "1'1 50 M. Duplay 10 M. Morhange' >()̃

Général Delcanibrc 50

Mme Blanc 1(10 Mlle Lemaître ~ii\ Mme Ayrton ÔO Anonyme 10

Anonyme 5

Anonyme 5 Comte et comtesse de Maigiel 50 Anonyme 100 Mme Joly Leblond 20

~.T.otal:' .1,

l Total 5 Vr. C10

Ch, D.

nage poussiéreux et flilol, il n'est plus 10 fournisseur du Cousin Pons, il est devenu un personnage aux relations mondiales, qui fait des affaires cënsi-' dérables et opère en. grand. Ses procédés; descente et ^l*aèhât^bn-t- çha-ngél-; Il â la'inâiïvldngiiè et sâïï où saisir e' beau billet qui tentera le goût du mil- liardaire, et pour se le procurer, pu qu'il soit, il recourra aux! artïïices ïes p'n^ romanesques et aux'i^lii^oeyvr^lês pjii| ingénieuses et c'est dans une dç, ces combinaisons que nous introduit M. Pierre Benoit.. ̃ -<<n Laissons-nous y guider^par lui et sài-:vons-le en Indo-Chine; :auprès de_M. Raphaël Saint-Sorlin, coiisérvateù'r des v ruines d'Angkor. Ay^ç cet aimable fonctionnaire, nous en visiterons les" merveilles et nous en .,adinir-er<>n,$, les gj? gantesques et délicate^, bëaut-és^tjiie a,nr s tique et noble civilisation gît ri^y deiit-u l'attrait mystérieux attiré: maints' :touristes. C'est le cas de l'aimable et de l'élégante Américaine,- Mrs Webb.VeBtië' à Angkor pour quelques jours, elle y reste plusieurs mois. Il est vrai que si" elle s'intéresse aux 'ruines, elle s'inté- resse aussi au séduisant Raphaël SaintSorlin qui, s'il est amoureux de la belle Américaine, l'est aussi de la mystérieu- se petite danseuse qui a. nom Apsara. = Que fait-elle à Angkor, cette énigmatiquè petite personne qui, avant de 'fiïat.i- qtier Jes danses sacrées, a frcquentèiles?

ateliei'S' de ̃••: Montparnasse ? `' Raphaël

Saint-Sorlin ,1'^jpprend bientôt. La d^iï- seu.se :• Apsara. est la fille" du dernier roi birman, et elle conspire pour chàssei*!) les Anglais de Birmanie. Angkor serj: de dépôt à des caisses d'armes et de munitions qu'il s'agit de faire passer aux futurs insiirge.s birmans, ce. à quoi'1 se prête amoureusètnent et naïvement le trop confiant Raphaël Saint-Sorlin, mais, de sa confiance et de sa naïveté, il sera récompensé plus tard, lorsque/ révoqué pour ses agissements et de re-1 tour en France, il y retrouvera, pour l'épouser, la belle et- riche, Mrs Webb, et la charmante danseuse Apsaf a et qu'il apprendra que les prétendues caisses d'armes et de munitions -contenaient" les objets d'art khniêr que la pfatiqtfe Apsaca, > commanditée par la belle

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:riL€ MOH0E 1^1 tA VILLE i

'J'~ ~ed.n~iewé!-·i-j~rs,~r.ryf~li~YY~iWU, > l

ÏDAN$:m^MMd$$XDES ̃'̃̃ -i *"•"̃" ̃ S. ExclM;: PàullGiaudel, ambassadeur de France aux Etats4Jai&, est rentré Washingtan. s^i: ,?iGlaudelj%"v visité l'Université de- ..ColiçÀ_|ia; ;l'ïiistitut ̃ Rockefeller 'que dirige le* !.doctJ?u(ç"Carrél, puisi' l'àriibassadéur s'est rendu' O^ter, pay.-pour -s^iiet; la. tombe du présj- dent" ftooseveîtr /w A l'occasion du séjour à Helsingfors de M- funck^rentano, conservateur à la Bibliothèque 'de l'Arsenàlj qui est'. Venu .donner j/ .'l'Université :de cette ville une série de dix leçons sur Fart français au dix-neuvième siè- c{e, S. Exe. le ministre de France en Finlande et Mme de Coppet ont offert un dîner auquel' .assistaient^*1-.1 '̃'̃̃'>'̃'̃̃̃ ` ̃ ̃ ^(j-- '̃••' ;">!i S." Exe. le ministre de Polqgne et ,MniS ,;F»Hpowic?,- le éhancellcr VEniversifè. et Mme Suolahti, le reetcupi df'rUhiyèrsiW çt'' Mme Tuletiheimo, le-jirofesâeur VerinolàJ an- cien; président du Gpnseil, et^Mme Vennola le professeur, et Mme Komp|Ja, le professeur et Mme NevanHnna, le professeur et Mme Mikkola, M, et Mme Talfgren, M.Laiigfors, ancien conseiller de laWgation do Finlande

& Pari$,

à Pari^. ̃ l_ ^|_ |. i\ l_

R~NS~ICNEMEN~'S hfpNDAINS <,

s, i S.' M, le roi !dè; Suède quittera Nice dii marche prochain ppiîj;" se rendre à Madrid. Après un séjour à Cannes, S. A. R. le j FJrnjce héritier de "Danemark est parti pour ïjlâjblés'et pour Rç-hie, ou il- passera' les fêtes' ider Pâques; .V ̃. j *;•;& A; I. la .princesse Napoléon; venant d'Italie, .'accompàgriée tîe. ;son jeune v fils, le prmée 'Louis; Napoléon; 's'est installée au* châttaù' :dé "Ronchine-Màillen, près 'Bruxelles. i ,Mme..René-iBartholoniet la vicomtesse if aul: -de • Gourthrronapf friront une matinée dansante, le dimaiwshe mai, aux amies de leurs (4lles,

v #iAi!fil) M^feiSïldyajrd Kipling "fpnt, U)i. lSfcjoucàvBtaûîitz;!00,Mca,r ̃ ̃:̃ *"M.. Ampfpise Mavrogordato et fMlïè Gladys 'Kf)lopmânlsonti partis, ces jçu.rs-cj par la route" pour passer W(;t4<£s;jé<jé$lUeft fe 'Cannes, .i^-rn'ib v>ni-i •>•» -:ib a-tV;j -j^. ̃̃̃• .Très •pîttoits.tiue' êBirée-1 ̃ 'rfilisiçaie' 'hjer?;; ̃id^ans l'atelier' du peintre Marcel Amigueti.' Mr.ip ̃ Çaro-Campbell, la danseuse endormie, dansa 1 a, merveille sur de prestigieuses niùsiques de Gaston \Vienerja)|;J virtuose de 1a, « scie. $,̃ e.t; 'des.i|'pprovi§atioji^ au-piano de Mme Amiguet. ^-Ràppélcais- gué Ja'1 Rétrospective Georges Michel' ;ét 'rEkpo;siti^ii;.i.du paysage .çoritempa-i rîain.qui ont lieu, ce,' moment >_vèc tant de s^çç^i eiv.'l'hôteï âe,^M,: Jean. Charpentier, fer- raerpni irrévocablement vendredi .prochain,

iv:avBiL:t; \r ̃ ̃ ̃̃

t-'P >̃̃̃' .-̃ ̃irvï, ̃ .i, ̃•

NÂMêM~M§- kbi- ̃̃'̃ '̃'̃-̃ "'• Mme -Jean-Albert Sorel vient de donnçr le jpjurrA un: fris, Çj^ude'Albert.

Mme Louis-Alfred Pagès-Maraval, femme. c^e-riotrë confrère L.-A. Pages, rédacteur en chçf ;dè l'Oiiest-Ecla}r%i Paris, .vient de .mettre heureusement àl|'nië^de: une fille, son septième enfant.

̃ i ̃!»,. y i n “̃'

CEROLES (,

Les Amis des Lettres française^ çrijt donné un gtand dîner, sous- la présidence- de. fa comtesse de Noaijles, en l'honneur de M. Norbertcii-LaineBjii secrétaire "d'-Etat1 seax'aiiiaites" ulEaDgère&dk.4a. ïK.épublk}ij&; Argentine, <et-tfe'' s savant porto^is -M^iReynaldô' Sààtosr M JRLjfggg '̃'̃. •̃̃ ̃̃ Hier a été célébré, grf l'église Saint-Louis des Invalides, le mariage du lieutenant de vaisseau Marc .Bernard,. héros du raid FranceMadagascar, avec Mlle "Marguerite Gélin. On remarquait dans l'assistance le capitaine de^frégate Le Bigot,' représentant M. Leygues, ipinjstre de Ja marine l'amiral Frochot, directeur des services aéronautiques de la marine 'i' -lé général' Mariaux, gouverneur des Invalides capitaine1 de corvette Guilbaud et le lieutenant de vaisseau Battet, officier d'or- aonnance au cabinet de la marine.

,> La comtesse Marina -Volpi,. fille aîhée du comte Giuseppe Volpi, ministre des finances du royaume d'Italie;' et de la comtesse née \erina Pisani, est fiancée au prince CharlesMaurice Ruspoli, Poggio-Suasa, fils de don "\Iaria Ruspoli, prirtee^de Poggio-Suasa, ancien ambassadeur 'd'Italie Bruxelles, et de la prin-

1 Mfs WeJjb, ,oiïre aux amateurs de. cunosilés asiatiques dans un brillant magasin de la rue La Boétie, à l'enseigne du «-Roi Lépreux ». i A travers toute cette intrigue com|iuerciale et artWtiqu'e.M'Piërre Benoit .^îpus conduit malicieusement et, pour ainsi dire, les xeux fermés, car M, Pierre Benoit se joue de son sujet et de nous avec une diabolique habileté. Il ̃inbiis y. égare à plaisir et avec un sérieux îdpnt nous spiiimes dupes. M. Pierre Be- njpit n'a .pas- seulement le goût de la mystification, il en'a a l'art .et le pousse loin. 'Nous nousj', apercevons quand il1 lui plaît de nous laisser entrevoir le mot de l'énigme, ce qu'il ne fait qu'au moment il le ju^e à propos. Mysti'fiés, nous ne ,luï en vouions pas dje l'avoir été, tant il a aimable.jujeïït fait semblant de l'être avec nous. iEt puis, n'est-ce pas à son Raphaël Spint-Sorlin qu'il a laissé le soin de !nbus abuser? M. Pierre Benoît s'est prudéminent retiré, derrière ce personnage ai qui il à donné la parole et qui en use fort bien, car c'est de M. Pierre Benoit 'lui-même qu'il a appris l'art de 'con*ter où excelle Encore une l'ois, avec la même virtuosité et les mêmes roueries narratives, l'auteur .de ce Roi Lépreux qm, s'il n'est pas le meilleur roman de M. Pierre Benoit, nous montre, comme à découvert, certains des procédés de sa très person-nelle technique romanesque. p.i£; roman 'd'intrigues ,etji'4v^ntyr.es,

îjious passons, avec M. Robert de Traz,

au roman de caractère. Le Marc Lé,preux, de L'Ecorché, est un pitoyable et singulier garçon, ce qu'on appelle un velléitaire. Marc Lépreux s'est engoué successivement d'études diverses, mais Si lui a toujours manqué la volonté de les poursuivre. A ces échecs, sa sensibilité s'est exacerbée d'autant plus qu'il a le goût et l'habitude de l'examen. inté» rieur, mais ce qu'il est réellement pour soi-même, il le dissimule soigneusement à autrui. Il a son secret, dont il souffre, car c'est celui de son infirmité devant la "vie et les êtres, le secret de ce qu'il appelle sa «lâcheté » et l'humirliation quiLen resseat. Cet « écorché ». est aussi un is^rié. Sa -famille n'est pas

cesse- née: Palma de TallèyrândiEérigord, .petitfils de la duchesse" de ^Diço,- née^ Elisabeth Curtis. ̃ "̃̃' ̃̃

Le ayril a été. célébrera, Xatan^ ,1e mariage 'de- Mlle Monique fd|IÈ1|^l|bëFy avec' M. Henri Blin, chevalier' dé* la tégion- 4'hoiv;neur., Çroiit- de. guerre. (' ̃;̃'̃̃'̃'•;̃ f'>V/

> ,i'

&WJA

Les obsèques de M. Emile Eébrardy ancien-^itreeteur-du Temps, ̃• auront- lieu, -selon làvolonté exprimée pat le djçfunt, 'dans.' l'inti- ;mitë'la plus stricte. ̃̃•̃•̃• ̃̃̃'̃-̃̃ Dès qu'il eut connaissance du décès de' i M. Emile iîébrard, M. Gaston Doumergut,, ,pfésident de;"la République; •? an ̃faiti/iappoîtèr, .pfir ;tm^'4es officiers de^sai maii on ;miHtait&, ses i «iCOmioMawcesîau ̃ '.T&ups'l .•̃ /V coi; eje ̃ M;'Ràyrnôri"d Pôincâré, Jjrésîdëht du Conseil M. 'Aristide- Briand, inihis.tre, desM affaires étrangères,' et M. Amè Ldroy, chef adjoint de son cabinet M. Edouard s Hèrriot, ministre de l'instruction publique et des beaux-arts M. Georges Leygues, ministre; de la marine, ainsi que M. Alexandre Millerind, 'ancien Président de la République,' se, sont fait inscrire. S. M. le :rpi des Belges et la princesse .Clémentine ont assisté, samedi, au service .célébré, à Bruxelles, pour ]ç repos de- l'âme du baron Auguste Goffinet, ̃"̃̃

On annoncé ,;la mort ^ç, "M,Gaston ̃ Girollet, ingénieur, des mines, secrétaire général adjoint des chemins de ier> de d'Etat- On annonce la'mort de M;/ Jean Varenne, conseiller municipal du quattîef de? Grandes'Carrières, à Paris. -• .̃' On nous, \prie d'annoncer. le ;iïétès de .M. Georges Bechmann, ingénieur en. chef des ponts. et. çhaqssées retraite/- vice-président du chemin de fer Nord-S«dri commandeur de la Légion d'honneur, décédé en son domicile, 5:, avenue Victor-Hugô. Les obsèques auront lifeu demain mercredi, 13 avril.' On se- réunira à. deux -heures et demie à la porte- principale

̃d(i cimetière. dU'iffèr0iliâénâise:.s^NK-ffeurs!iiî ;'I1:î.

5c<)ut8pe9i*iI>e4a-3sTp !MmS Gyi}_rgel"B8ch\

maiiriv M^ef'Mtfie^Èacjèiï1 Secfâai\n?CT'!ïeury

lenfants, M^'ef ^M'^faélflà #ilbïôSiîér"e;r ,c leurs fils,- ̃•M.- et Mme Jacques Redélsperger, ..M. Jean Simon,' M. et Mme Jeçtn Manuel', M. -Yves Cr'emieu, et dès. familles Edxnond' B.eehmann, Alfred' Beclimann et Benjamin

Xoheri..1.r. ,Vt •̃' -ii -̃'

M. Paul Léon, membre de/fl{istitut, di- a~ recteur des beanxtar t v Çt M. Jeün~Pau1 T,'éon, dans' l'irnpossibiilité de; répondre -tous les témoignages de sympathie qui leur ont été.prodigués ji l'occasioii dei leur grand:- deuil, prient leurs amis de trcaiver'- ici l'expression' de leur gratitude' émue-. ̃' '̃̃ •'̃ On annonce, de Nantes,: •̃ S 'mort de Mme Hubert del Scourioh ̃BValiforï,' née de Boscher. Elle était veuve du colonel ̃iH. de Scourion de Beaufort, décédé en 1921, et la mère'de la vicomtesse Guy dp Montessus "de Rully et dé la comtesse Eusèbe de Brémond d'Ars. Les obsèques seront célébrées demain mercredi, 13 ;avril,- à neuf heures trente, en l'église Saint-Clément j !de Nantes. L'inhumation aura lieu ultérieurement à SaintMartin-le-Beau (Indre-gt-Loire), :Le présent avis tient lieu de. faire-part.

f'f

La ̃̃famille de Mme veuve' Bernard tferzbach, très touçhée^de.s nombreux, témoi(gnajg,ès $! isyijipa.th.ie xeçus .à. Itpccasiesûcle suai ugrand; pjî^ÇJiS PWb ûbitxcmv.eti fà£e*,q: kPressJQn' de sa; profonde .gratitude. Nous rappelons que les obsèques de la duchesse de' Montmorency auront lieu aujourd'hui mardi, 12 avril, à dix heures et demie, en l'église Saint-Honoré d'Eylau, place VictorHugo, où l'on se réunira.

Le présent avis tient lieu d'invitation. i On nous annonce la mort de Mme Reiié Compère, née Allain, .chevalier de la Légion d'honneur, décédée, munie des sacrements de l'Eglise, en son domicile, 12, rue Godot-deMauroy. De la part de Mme Ernest Compère, sa belle-mère de M. et Mme Albert Omer-Decugis, de, M. Maurice.jAllaùi, de Mme Georges-Petit et ses enfants, de. Mme Emile Savary, ses enfants et petite-fille ses sœur;< frère, beau-frère, belles-soeurs, neveux et nièces, Les obsèques auront lieu demain mercredi, 13 courant, à dix heures précises, en l'église de la Madeleine, où l'on se réunira. Inhumation au cimetière de Bpylogne-surSeine,

un appui pour lui, aussi est-il prédisposé^ à subir les influences fortes qui se renconireront sur sa route, et la rencontre a lieu en la personne de l'étu-

Idian 1 w(31 i"i i <ï"

:'<l.ian~.n .tt.ss~ llii. 'fI.W.- i~v, qu~¡jé'

Vte^"sa inaîtrBssSI el pi'îi-^ous^

Ce1 n'est guèi-e là" com'pàgnè qu'il fau- drait à un Marc Lépreux, cette Olga! Sans être belle, elle exerce sur lui une sorte de séduction sourde et,. bien vite, elle a compris ce qu'il y a en lui d'incertain, de craintif, le besoin qu'éprou- 1 ve ce faible de se confier, de s'expli- qiier, de se confesser, ce besoin d'aveu, d'humiliation dans la souffrance. qui est i aussi une des caractéristiques de l'âme russe. Or, Olga a introduit dans la maison un ancien officier tsariste au lourd et cruel passé, Boris Kartzev. Venu en ] réfugié, il s'impose! en maître. cynique et suspect, en grossier parasite. Marc a peur de lui, car il est lâche et n'ose chasser cet intrus, et cette lâcheté, cette peur, Marc les avoué à Olga qui en éprouve un secret plaisir auquel s'ajoute celui qu'elle prend à voir Kartzev terroriser Marc. C'est un véritable sup- pli ce asiatique, qu'Olga et Kartzev, aidés par un certain Volodia Stalinsky, font subir à Marc Lépreux, le supplice de la i sincérité, en le forçant, tantôt avec brutalité, tantôt avec perfidie, à se dégra- i der à ses; propres yeux et aux leurs, en l'excitant an vice russe », qui consiste i en cette ïiiartie d'abais'sehient et de'con- naissance dfe soi, .e^jà^tie "h'^i'lucte, de

.controverse^ rintermifl^ble, « \&: ,SÎp.vel .1

cherche a démêler des apparences sa réalité profonde qu'il accepte sans honte en ses tares et ses •déchéances. ] Tel est -Je sujet du. beau et rigoureux roman de M. Robert de Traz: C'est une i œuvre forte, d'une solide valeur d'analyse et de sérieuse observation. Les Russes de M. Robert de *T/raz sont toujours les Russes Je, Dostoievs- j ki, et M. de Traz nous les mon- 1 tre restés les mêmes' dans le mi- 1 lieu génevqis il nous les peints ( jeh traits précis et saisissants. Le carac- ] tère de son Marc Lépreux est également j ï <5tudwi avec la même précision en sa 1 vérité d'exception. Des figures accessoires* complètent le tableau. Les scènes principales de son ̃ Mvre sont

*M.Roger GaUcheron, consul-"de;;FraB<3& Mlles Madeleine et Simone Gaucherpn ont la douleur de faire part du décès de leur mère, Mme Jeanne-Marie-Louise Gaucher on, née ̃Barreâi(/sfces>absèques 'ont .eu lieu;- hier, eiy ( .l'église.. Notre-Dame-de-Lorette,. dans-'ki;/pl:us"ï.s.i, stricte -intimité. •- .̃< .} é -On nous'pne de faite part dèï,ïa*moi<£îvi. de M. Paul Varnier, sous-directeur honoraire de la Caisse des dépôts et consignations, offi?cier de la Légion d'honneur, pieusement dfi.. cédé en son domicile de Versailles,, i,. 'a veriueC du Général-Mangin. Les obsèques auront lieu- le samedi'16 avril, à treize heures, en/ l'égli$e » Sainte-Jeanne-d'Arc de Versailles, où' l'on se .;̃ .réunira. Le présent avis tient h'eu d'invitation, lNj gçù'rs ni couronnes,. .> ̃:> i#Nousi:kpprep;<ins»ia!<mtet;ide';M. ifôharte;1-^ » i tLpitis, tôntrôleu-r-' de l'armée;' Jjès: ̃ obsèques auront lièii '-mercredi 13, à hnït hétires, ̃en!'îa *J chapelle du Val-de-Grâce. Cet avjs tient liejj d'invitation. ̃ .̃̃̃<̃;«•. ̃ ̃•- .Serignjj,

y PBTiTCÀRNÈt'

r-

Fin de Saison. -• f_ ̃ ̃̃̃ ̃̃> •̃ Paul Poiret .-̃_̃ Soldera ses collections, à Cannes, boulevarS"; de la Croisette.. r- .-• Pu. 15 au 30 avril. > i- v

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Le Comité France-Italie Hier au soir, a eu lieu, au Cercle de la Renaissance Française, le banquet d'inauguration du Comité France-Italie, récemment constitué sous la présidence de M. Edouard Herriot, représenté par son chef, de cabinet, M..Louis Ripault. Au dessert, des discours furent prononcés par MM. Ripault, Marccl Boulengerj. Oulniont, Simonatti et M. Attia, vice-président du Comité, en l'absence du .président, M. Albert Besnard, de l'Académie française, tous affirmant la nécessité d'une entente franco-italienne.

Une brillante soirée suivit, au cours de laquelle Mme Dussane -et M. Brunot, de la Comédie-Française, se firent applaudirdans une causerie sur 1a Comédie francai- se et italienne au cours dit dix-huitième. siècle, ainsi que dans l'interprétation d'une scène de Marivaux.

traitées avec sobriété et vigueur! et M. Robert de Traz y affirmt-ses qualités de romancier. J'y retrouYe- avec plus d'acquit et de hïëtier, l'auteur r p"tfs^meqrÂirfë£ié de lii^Purilairte de i^mpur <^Stim)èpgiijseirient oriental, et l'effigie est à retenir qu'il nous présente de ces Orientaux de la steppe qui s'appellent Olga Trofimov, Boris Kartzev et Volodia Stalinsky agent des Soviets-. ̃ -̃' '-̃• ̃̃̃••̃

C'est aussi un besoin de «confession», mais celui-là infiniment noble et respectable, qui nous vaut les pages de vif intérêt et de juvénile sincérité que e M. Robert Honnert a intitulé Corps et Ame. M. Robert Honnert, comme il le dit dans la préface de son livre, s'estproposé «d'y rendre sensibles les inquiétudes et les aspirations qu'il a pu observer chez la plupart des jeunes gens qui ont son âge, c'est-à-dire vingt-trois ans ». M. Honnert y a donc exposé cet effort à se connaître qui tourmente une certaine élite de la jeunesse actuelle, et son exposé mérite l'attention, aussi bien par sa portée documentaire que par sa valeur littéraire. M. Robert Honnert écrit une langue ferme et sobre, sans surcharge et sans artifice, propre à exprimer les sentiments les plus nuancés et les plus délicates impressions. Sa confession est émouvante, car ce n'est pas sans appréhenSJ011 que .le jeune .homme .dei M. Honnert s'avance « corps «t âme » vers'la vie; II a;' en lui .un 'noble 'désir de. pureté. spirituelle et l'appétit de la gloire, niais la gloire le satisfera-t-elle et l'amour suffira-t-il à lui donner cette exaltation à vivre qu'il recherche? Il lui faut quelque but plus stable et, plus absolu. Où prendra-t-il l'appui pour l'élan qu'il réclame et l'attitude qu'il se veut ? Choisira-t-il' sa voie dans le désir ou dans le renoncement? Villiers de l'Isle-Adam rêvait d'écrire un livre qu'il eût appelé Les Inquiète de Dieu. C'est parmi ces inquiets que se range le héros de M. Honnert, mais 'son inquiétude sait déjà où elle trouvera la, paix, la lumière et la vérité.

flenri de Régnier, V

de i'Acaàémîe françaises


DERNIÈRE HEURE

$N CHINE

LES ONT DE SERIEUSES DEFAITES L'ôNDREs, 11 avril. On mande de Changhaï, à l'Agence tenter

Des ratliotélégrammes émanant de Naaikin et de Chinkiang font savoir que les nationalistes ont subi de sérieuses défaites sur les deux fronts..

Des bruijs circulent à Nankin, suivant, lesquels les forces mandchouriennes avancent rapidement le long de la ligne du chemini,de fer Xientsin-Poukéou. 1 500 blessés nationalistes venant de Pukqu auraient! été dirigés, sur Nankin durant ces derniers jours. '»-

La protestation des puissances au sujet des incidents de Nankin

Le texte que nous publions d'autre part et qui a été remis simultanément à Hankéou et à Changhaï est accompagné du texte d'une déclaration publiée par les ministres des cinq puissances en Chine, et dans laquelle, apres avoir relaté les attenlatsi"dc Nankin, il est ajouté

« En vue des attaques manifestement préméditées contre les représentants officiels et contre leurs nationaux se livrant pacifiquement à leurs occupations légitimes, les gouvernements des Etats-Unis, d'Angleterre, de France, d'Italie et du Japon, ont du formuler des demandes pour que des amendes satisfaisantes soient faites par les .autorités nationalistes responsables.

» Les demandes sur lesquelles l'accord s'est ainsi fait, sont intentionnellement modérées et ne couvrent que le minimum de ce qui, vdans les circonstances, serait fait à titre d'amende honorable par tout gouvernement conscient de sa propre dignité et de ses devoirs envers d'autres peuples de la Famille des Nations.

» Ces demandes ne sont pas présentées en dérogation de la souveraineté ni ̃ de. la dignité dq .peuple chinois, quelles; -gç.u- viernemeiits intéressés sont neureux 'de croire amical et avec lequel ils désirent sincèrement poursuivre et améliorer des relations de bon vouloir et de coopération. » Les demandes ci-dessus visent plutôt les influences à la fois étrangères et chinoises qui se sont rendues responsables des attentats de Nankin, par leurs agissements de fait, de rompre l'amitié existante et'de provoquer la méfiance, la haine et la violence du peuple chinois, à l'égard des peuples de puissances amicales. » D'autre part, les consuls de Changhaï ont lu une déclaration expliquant au peuple chinois l'attitude des puissances. L'attitude du Japon

Changhaï, 11 avril. M. Yada, consul général du Japon, a fait les déclarations suivantes

« A la suite de la note soviétique, la tension entre la Russie et la Chine peut avoir des conséquences graves en Mandchourie où la population des villes est composite. Au ca_§ la guerre, à l'état latent, qui est- maintenant envisagée, causerait des désordres, le Japon devrait intervenir pour rétablir le calme. » M. Yada. a rappelé que les traités en vigueur interdisent aux ambassades soviétiques de faire de la propagande communiste-et que le Japon ne peut pas rester indifférent en présence -dé la bolchevisation deïla Chine.

«•iX^.gouvernement-de.TokiO' voit- favorab^ejjfcent-.ile -inouvenieiit national- chinois, mais il n'admettra Lpas une ingérence bolcheviste qui risquerait de mettre en péril la yie""ët les propriétés des Japonais en Chine. »

Le procès Zaniboni

Ro.MKj 11 avril. Ce matin a commencé, devant le tribunal spécial de Rome, le procès contre l'ancien député Zaniboni, le général Cappello et leurs complices, accuses. d'avoir organisé à la fin de 1925 un complot contre la vie de Mussolini. La séance de l'après-midi du procès Zaniboni a-été consacrée à l'interrogatoire du général Capello, qui a nié. avoir effectué des voyages l'étranger dans le but de recueillir des fonds destinés à organiser des escouades d'action antifascistes et avoir reçu un million de lires de Garibaldi. Après le général Capello, le président du tribunal interroge Zaniboni, qui revendique toute la responsabilité du délit qui lui! est reproché. L'inculpé affirme que si la police avait attendu midi pour l'arrêter, il aurait mis à exécution son projet ayant pour objectif l'institution d'une dictature militaire et le rétablisse-, ment.! graduel d'un régime parlementaire.

L'OPINION DES AlITOES

̃ llllrtiitl » -̃̃' ̃"

lie traité italo-hongrois Le JOURNAL DE GENEVE, commentant à son tour le traité italo-hongrois, laisse entrevoir des perspectives nouvelles sur sa portée ̃ i

On laisse entendre que l'Italie salue le traité avec une joie d'autant plus vive que celui-ci souligne les relations des deux pays parfaitement décidés à ne pas tolérer l'emprise du bolchevisme. Certains commentateurs affirment même que le traité est un accord déguisé de l'Angleterre et de la Hongrie contre la Russie, par l'intermédiaire de

l'Italie..

Il se peut qu'une' soudure entre les éléments non bolchevisanls de l'Europe se fasse à l'occasion de tels on tels pourparlers. Qui-oserait i'.en plaindre ? Les bolchevistes déploient une activité contre laquelle les nations civilisées ne sauraient lutter avec trop d'énergie. Leur propagande éhontée lasse ceux-là mêmes qui, dans leur candeur naïve, avaient pense. renouer des relations avec eux l'Angleterre, l'Italie et la France n'ont pu voir sans émotion le congrès dit colonial, qui se tint récemment €>n Belgique, au cours duquel, sous îo couvert de la liberté des peuples, les soviets tiraient les ficelles de leurs agents. Un aucieu diplomate hongrois va jusqu'à affirmer, 'dans un journal de Budapest, que la Russie, iVJtiiit réujsi 4 gagner.. l'Allemagne it sa cause, .la,

Hongrie doit choisir entre ces deux nations

avec i'èûr's" satellites, 'et Tunîôh":inglo-italièrjne 'avec sts clientes, qui leur sont opposées, Contre îe péril eommutiiste La plupart, de nos confrères parisiens se félicitent du recul marqué que Finîluênce soviétique vient de subir en ExtrêmerOrient. Plus encore peut-être que l'avance des troupes nordistes, l'hésitation et la faiblesse témoignés "par Moscou devant le geste de Tehang Tso Lin (perquisition a l'ambassade russe de Pékin), aura révélé îe véritable caractère de » puissance des Soviets. Tel est notamnient l'avis du Temps, qui écrit La politique de guerre civile et de conquête révolutionnaire, qui est. la seule politique que '•veuille 'connaître Moscou, parce que c'est la

GENEVE j

LE DESARMEMENT NAVAL i A LA SOCIETE DES NATIONS Genevk, 11 avril. La commission préparatoire, de la conférence du désarmement a pris connaissance ce matin de la réponse anglaise à-la proposition française relative aux armements navals. Elle est négative.

Lord Robert Cecil a pris le premier la

parole -̃̃. ̃ ̃̃>̃. ̃̃• •̃ 'A .'̃

« Le. jgouvernentent britannique, a^Wi dit, a examiné avec beaucoup :de> soin la proposition française relative -au tonnage naval, mais le résultat. de, cet examen 'lui a prouvé que cette proposition, qui ne limite pas les petites unités et les sous-marins, leur puissance d'action et celle de leur artillerie, ne'donne pas un minimum de sécurité navale et ne limite pas la course aux armements. ̃ » Conscient de la lourde responsabilité qu'il porte, le gouvernement britannique a donc le très grand regret de ne pas accepter les propositions françaises. » Le général Dé Marinis, délégué italien, a pris ensuite la parole.

Il a déclaré que son gouvernement regrettait de ne pouvoir donner son adhésion entière aux propositions françaises, surtout en raison de1 la distinction faite entre les forces concernant Je territoire nié- tropolitain et celles relatives à la défense des colonies. « La flotte d'un pays,a a ajouté le général, doit être considérée dans sa totalité, et liberté doit être laissée au pays d'employer sa flotte comme il l'en- tend et dans les buts qu'il estime les plus utiles. De plus, l'Italie tient à posséder un tonnage global équivalent celui de toute autre puissance continentale en Europe; » La réponse de M. Paul-Boncour

M. Paul-Boncour prit ensuite la parole. Il remercia tout d'abord lord Cecil d'avoir attçaue, dans une. çertai^ej mesure, ce que ;la répc|nse.tlu goiiy^riieme.nt, britannique a de fâcheux "eiju ,qe qui concerne le point, l'ondâiiientaLdes a,rm'em'ë]nts -navals/ 7, « Je regrette, dit-il, queles propositions. françaises, de nature si transactionnelles cependant, n'aient pas pu être agréées par le gouvernement britannique.

» La France ne pourrait et'ne peut pas accepter autre chose que le tonnage glo- bal des navires de guerre.

» Cette résolution découle d'abord, dit M. Paul-Bonc6ur, du fait qu'il est impossible d'accepter des.limitations par catégo- rie, parce qu'il est injuste d'apporter, -en matière navale,, des règles qui n'existent pas pour d'autres formes d'armements. » Une autre raison qui justifie l'attitude de la France, résulte des accords de Was- birigton. La France ne peut pas accepter de restreindre à nouveau la liberté de disposer du tonnage réduit qui lui a été laissé. » Je prie les grandes puissances qui m'entendent de songer que nous leur faisons, par cette proposition, une situation privilégiée, et il n'y a aucune nation continentale qui puisse avoir une sécurité comparable à celle que donnerait notre proposition aux grandes puissances maritimes. »

En terminant, M. Paul-Boncour a ajouté « Il nous restait la -liberté de répartir ce tonnage par catégorie et, là-dessus, nous ne devons pas céder d'un pouce. f

» Accepter les demandes de la légation fi britannique, ce sbrait -constituer une ex- cêptioii A l'ensemble die*s règles! et dès'Bbïi- i gâtions qui doivent régi toutes lés nations' ff et aliéner notre liberté de répartir, au mieux de notre sécurité, le tonnage réduit laissé par Washington. » De nombreuses puissances adhèrent à la proposition française M. Sato, délégué du Japon,, a reconnu ensuite l'effort considérable accompli par la France. -Il a ajouté que la proposition ] transactionnelle française pourrait très ] utilement servir de base à la discussion et la délégation japonaise n'est en désaccord avec elle sur aucun point fondamental. Le délégué des Etats-Unis, M. Gibson, a déclaré que la tâche principale de la délégation américaine est de contribuer au suc- ces de la conférence et qu'elle n'a nullement le désir de subordonner le- résultat de ses travaux aux résultats de la réunion à trois. Elle estime que la. méthode de limitation par catégorie est la meilleure et la plus juste, mais cela n'exclut pas l'examen de toute proposition' de nature à arriver à un accord.

Le délégué de la Yougoslavie, M. Yovanovitch, a accepté la proposition de la délégation française, ainsi que les délégués de la République Argentine, de.la Roumanie, du Chili, de la Hollande et de la Suède.

seule qui réponde à ce but de révolution- universelle sans lequel il n'y a pas de régime soviétique ni de dictature du prolétariat pos- sibles, est en échec en Chine. Il est de bon signe pour la cause .générale du monde civilisé que les Soviets n'osent ou ne peuvent entreprendre l'effort qu'exigerait une tentative de redressement. de. leur. part. La pénible réaction de Moscou devant' ie geste de Tchang Tso Liu comporte nn tuseignerneut pour toutes les nations qu'on voudrait essayer d'intimider par' l'arrogance bolchevique, et qui 'feront bien de se souvenir que, .dans les circonstance» actuelles, la Russie des Soviets, elle aussi, apparait un peu comme étant un colosse aux pieds d'argile.

Des .pièces se.erètes, saisies au consulat soviétique de Changhaf, montrent, que le gouvernement de Moscou entendait, dans l'intérêt" de' la Révolution bolchevique, diriger en maître le mouvement sudiste. Le Kuomingtarig chinois devait t.gir en étroite relation avec Je Komintéru de Moscou. De Moscou étaient préparées la grève générale, la résistance aux tribunaux, la fourniture d'argent, de troupes, de matériel, d'infor-

mations et. renseignements, ̃< étant con-

venu que.tous ordres donnés, toutes mesures prises par cette association devront avoir été préalablement discutés en présence du délégué du parti communiste. Et de quel ton commande Moscou Ex- ./1 trayons de la «- résolution du Comité exé-' eufif 192(5, 11° 64.509 :>, ce passage: f Xo Comité, exécutif ordonne L'action des deux comités doit être liée selon les instructions de nos résolutions; précédentes.

Le parti Kuoinintaug. pendant toute la période de coopération avec -le parti russe, n'aura pas le droit de conclure un traité, ni des accords q^iels qu'ils soient avec d'autres gouvernements ou d'au) res partis.

Le Comité 'exécutif observe que cette dernière, clause n'a pas été respectée. II n'approuve ni la division de l'action révolutionnaire en deux périodes, ni la distinction temporaire et -artificielle entre le nouvel Etat chinois et l'U. R. S. S:

Pour rendre, efficace et constante la collaboration Kupiniiitang-Komintern. le Comité exécutif donne l'ordre au parti russe d'envoyer à Canton le camarade Karakhan, compétent dans les questions de l'Est oriental. Le parti

A LONDRES

LE BUDGETl&ÂNNIQUI DEVANT IES_COMMÛNES Lonphes, 11 avril. C'est devant une Chambre des communes bondée que M.. Winston Churchill, chancelier de l'Echi- quier; a déposé ce soir' le projet de budget de la Grande-Bretagne pour l'exercice ïinancier 1927-1928. M. Winston Churchill déclara tout d'abord qu'il n'y avait aucun doute que. ls( grève générale de mai dernier et la lon- gue crise charbonnière fussent resp.onsa-' bles^ du. déficit 'enregisti'é dans le, budget 1926-1927. Les pertes totales occasionnées:^ par la grève générale et la crise charbonnière ont coûté 32 millions de livres slerlinfc- ̃' "̃' V M. Winston Churchill fit toutefois ressortir que la puissance financière de. la 'Grande-Bretagne n'avait pas été affaiblie et que la livre, par rapport au dollar, était à peu près restée la1 même/

Le chancelier de l'Echiquier évalue à 818.390.000 livres sterlingle montant des dépenses pour l'exercice -financier 1927'1 1928. Il regrette que le gouvernement: n'ait pas- pu réaliser toutes les;économi.es.en,y|n- sagées, mais,' dit-il, « si nous savions .réduit1, les dépenses des services de la guerre., de ~i la marine et de l'aéronautique, de quinze ou vingt millions, nous aurions, probablement créé une panique et. provoqué uuçl vive réaction., Toutefois,; nous avons .déc,i-- dé de supprimer, cettc.aiip.é.e'vlç.niini^tèrç(-! des transports, le dépariémèht dés mines et la Chambre de commerce d'outremer, mais il ne saurait être. question, d'abolir.: le ministère du travail et celui,, des penrv sions. » ,i En se basant sur les impôts et taxes exis- tant actuellement, M. \vïnst®ii'' Churchill évalue à environ 796.850.000 'ilîwe's 'ster^ ling le montant total des recettes jpour l'exercice financier 1927-1928, laissant ainsi la perspective d'un déficit supérieur ,à( 21 millions delfvres' ̃ ̃' ̃ 'l" « Au cours de ces cinq dernières an-' nées, dit-il, nous ayons, .payé aux -étatsUnis,, en remboursement d'une partie de notre' dette, une somme totale de 162, mil- lions de livres. » Contre notre paiement annuel de 33 millions de livres aux :Etàits-Uhîs, nous' avons reçu de l'Allemagne ét des Alliés,;i- en 1925, 5 millions 1/2 en, 1.92.6, ,17t. pil- lions 1/2, et nous devrions recevoir en 1927 25 millions de livres^» »

Le chancelier de l'Eçhîquiôr np sdhge' pas a supprimer partiellemèht1 le foriction-' nement du fonds d'amortissement, mais comme il ne peut pas rester indifférent cn< ( face du déficit de 36 millions de livres du budget de 1926-1927, il se voit obligé de recourir à l'établissement de nouveaux impôts, tout en affirmant 1.'espoir que cette action ne retardera pas le redressement de la position économique de ïa GrandeBretagne. ̃• De cette façon, le chançelieri .de rEchi- quier espère que l'excéd,ent des recettes sur les dépenses pour l'exercice 1927-1928; sera d'environ 1 million 440.000 livres sterling.

Le maréchal Franchet d'Esperey

blessé dans un accident, d'automobile

GasabïjsVxg.^ l'i'.avFiLiw-'line antomôbile

.trajispoa-tant ,,iei<maréclïal -Frahchet d'Ês-

ppréy, qui effectue au Marioc une tournée

p rey, qui e{fectue. au,l'tla,I1C'1cuhe' tourné'~

'drinspection, a capoté en allant de Safi à Mazagan, à 27 kilomètres de cette localité. Le maréchal n'a eu que de fortes ecchymoses. L'adjudant porte-fanion qui l'accompagnait a été transporté à l'hôpital, de Mazagan. Il a une -fracture, du bras. Le chauffeur n'a reçu que des contusions. Le maréchal Franchet Û'Esperey a pif immédiatement continuer- sa'1 route vers Mazagan où. il a été reçu par' le général Paui:él et où il a été soigné dans l'apparte-i ment du commandant d'armes. Son état n'inspire pas d'inquiétude il doit repartir demain pour Casablanca où il est attendu dans la soirée.

L'amiral Bouis est victime d'un accident d'automobile

Beyrouth, 11 avril/ Une automobile' dans laquelle se. trouvaient l'amiral Bouis. ainsi que M. Durieux, délégijéjdu commis- sàriat, a capoté près d'Antioche.

L'amiral Bouis a eu l'épaule démise,mais son état est excellent et on, espère, qii'il pourra assister aux fêtes â'e Beyrouth; ̃ M. Durieux a été contusionné." v

Kuomitttang devra accepter îîarakhan coinme ?on.prppre çgça^pk^ipçn.te^Kf^ >* ,;(,

Kotre confrère Louis Roubaudv qui a

envoyé' ces documents de Changhaï'au PE* '.TJT' PARISIEN, les fait suivre du com- mentaire suivant 'f.it- XHW •̃ Ces textes aident à c^lfiiprcndré' l:r guerre de Gliine en 1927, Ni les' cwàbxis et tiisilsi1 ni la valeur militnire ne idéternihient en cemoment l'avance ou la retraite des .armées. Le raid sur l'ambassade soviétique de PékhiA l'investissement du consulat1 de!chànghàt sont' peut-être des événements 'pins décisifs, que l'occupation d'une province. s Le généralissime du Sud. Tchang Kaï Chek approuve secrètement l'initiative de Tchang Tso Lin, maréchal du Nord. Les chefs ennemis' ` sont en conversation chacun par leurs émis-" saires au delà des lignes et l'on d.épei>se plus. de paroles que de balles. l*cki'n et Nankin pourraient bien s'accorder 'contre Moscou. 'j A Changhaï, des mesures ont été prises par1 jles régiments -de Canton pour désariner les gardes rouges des unions ouvrières. .Tevoi3 chaque jour des' chefs nationalistes qui mettent un doigt 'sur leurs lèvres. 1 Chut, ne dites rien pour- le moment. Nous préparons quelque chosç. ̃ Et l'on parle d'une entente Xord-Sud pour chasser d'Hankéou Borofline

Le TIMES nous apprend de son côté comment la III" Internationale de Moscou envoie ses subsides au Çuornintang, à Canton, via Constantinople. Commentant ces divers documents, M. Auguste'1 Gauvain (JOURNAL DES DEBATS)' écrit ·, Il nous est impossible de rie pas remarquer que, pat dtîs procédés plus Simples, la propaA gande soviétique*èst aut-si agissante en Pran-ce. Elle s'insinue dans les campagnes comme dans les villes. Elle ne regarde pas la dé-,pense.

Ici, notre confrère fait allusion aux pourparlers financiers qui viennent de reprendre entre le gouvernement français et M. Rakowski

:•

Cependaîi!, les pourparlers .financiers vien- 1 nent de reprendre entre le gouvernement ffran- çais et M..Rakowsky. L'ambassadeur des So- viets demande 500 millions de crédits à l'épar-, i gne française en échange de la promesse d'une" annuité dérisoire pendant' soixante-deux alis. f Les porteurs de fonds russes devraient se coii?: tenter de cette promesse d'annuités tandis, que,, les Français particuliers ou sociétés ex- .(

propriés par les Soviets, seraient ucfiiiïtivfc--

ment déchus de leurs droits. M. RakovrsUy n'w- pas- rapporté e Moscou la;, iTOindre; çoncossiom.

L| PROCES DE COLMAR CQli^AR,ll.,avril.J Les débats du procès Jîibé Hôëgy-Ed. Helsey ont été repris .ce matin devant la cour d'assises du HautRhin.

Les derniers témoins cités à la requête de lfabbé Hœgy ont été.ientendus, qui tous ont rjenté d'atténuer la portée des documents lus, ce% jours derniers à l'audience 'et contesté les propos prêtés à l'abbé. C'est d'abord M. Seltz, député du Bas-Rhin, puis un ^religieux, M. Pflieger un- instituteur, -M. Kessler un fonctionnaire, M. Heusner; un conseiller d'arrondissement, M. Sigrist; un publiciste, de Ferenzi un journaliste, M. Michelin, rédacteur à la Croix. Tous déclarent que si, parfois, l'abbé Hoeigy s'est montré sévère pour les sectaires de l'intérieur, il n'a jamais fait preuve d'un esprit' antinational.

Dans l'après-midi, on entendit successivement le, professeur Kleinlenescht, qui, sur une question de M* Henri-Robert, déejar.a que, sous le régime allemand,. 'les jauforïtes n'auraient jamais toléré, ,1e langage tenu par la presse de l'abbé Hoegy. L'attitude des autorités françaises, dit le témoin, a été interprétée comme une faibjesse par la population alsacienne, qui en a' conclu que la. France n'avait pas l'intention de garder l'Alsace et la Lorraine, i M. Jean Piot, rédacteur k. l'Œuvre, est également affirmatif. quant aux dangers que fait courir à la paix alsacienne la politique de l'abbé Hoegy. Une confrontation eut lieu ensuite entre, deux témoins, M. Gérardot, banquier à Strasbourg, et M. Maurice -Pujo, rédacteur en chef de l'Action française, au sujet de l'affaire de l'abbé Fashauer et de Mlle Eggeman.

L'audience fut' suspendue à cinq heures 1

trente. ia • ̃ ̃' "̃̃'••

l' trois communistes inculpés d'espionnage et de complicité

1 j -a/- ̃ T«Xr– :,̃̃̃

j ^jpps annoncions hier l!arrestation,: de ̃ trois/iiiiilitantii cojumunistes dont l'activité ekt 1res connue ^àiis la région parisienne Djaiiot, sè*creta^r(é de la Fédération des ouvriers1 de mariné Ménétrier, secrétaire de la Fédération des établissements de la guerre. et un ajusteur, Provost.

La Sûreté 'générale observe. une discré-

jlioii' extrême' sur les Zlomottt"s. de l'eriqiiête

~iton' extrême sur tes éléments de l'enquête

c~um"âbouti â lC.Sélén.1. dnfs: .¡Je. 1'.eri4lÍ.ête.

qui '"à abouti à l'iticùlpatiph' d'ésp.ibnnage

et de complîçiîtè. Cette réserve tient au cà-' ractère spécial de cette affaire,' dont Pin^fjonnation intéresse au plus haut point la Défense nationale.

Il ne nous est pas permis encore de con-.uaîtrb' les relations' exactes qui existent entré ••̃l'action! dés communistes et celle des deux étrangers également arrêtés sainedi Gronicki et Bernheim. Il semble ce1 pendant qu'on se trouve en présence d'une vaste .organisation-dont les membres avaient pour mission de réunir tous les documents relatifs a la. fabrication du matériel' dé' guerre français, aux réserves des arsenaux et des parcs d'artillerie, ainsi qu!aù mouvement des troupes, et de les livrer à une puissance étrangère.

Une perquisition a eu lieu au domicile personnel de M. Çrèniet, conseiller municipal du quartier de ta Santé, et peu après dans le bureau qu'if occupe au siège du parti communiste, 120; rue Lafayette. Queldués::documents intéressants ont été saisis.

1

A l'instruction

M. Peyre, juge d'instruction, chargé d'informer contre les communistes arrêtés samedi soir pour espionnage, est venu à son cabinet et a délivré-. à M. Duclaux, commissaire de la Sûreté générale, 'des Commissions rogatoires à l'effet d'enquê-

ter dans les |>orts.de guerre et de coin,

mej;pe, "Jes(, e^'pi.fins, se ^rendaient ;fré:

,1 ÇJ;RC, oul~" e,p'n~se"f;~n4('Ut(111 ;fre.,

quejnment. ;,V!î. i ]'̃ ̃'

i Le juge a inc.uipé. M. Creniet, conseiller municipal communiste, du quartier de la Santé, membre du bureau politique du parti communiste,! qui fait de fréquents voyages en Russie, mais qui est actuellement à Paris. Son arrestation n'est pas encore envisagée.

̃ La Sûreté générale, filait les çommunistes depuis 1925 et avait pu constater .qujB, Provost, qui se donne comme ajustei|p, ne travaille pas depuis 1919 elle. a PUA suivre jour par jour les allées et venues, des inculpes qui donnaient des rendeir-yous aux ouvriers de l'arsenal de Puteâu.x dans des grands magasins, dans des 1 cafés et autres lieux,

Les détenus ont choisi comme défenseurs M* André Berthon, Henry Torrès, Nqguèrès et Vaillant-Couturier.

S(f Berthon et son. secrétaire, Ma Jacques ;Abqut, sont venus, hier soir, prendre connaissance du dossier dans le cabinet du

juge.

ppur leur défense, Dadot, Ménétrier et ..Provost affirment qu'ils n'ont rien fait d'autre que de s'occuper de ce qui se passait dans les-syndicats et de mettre au Roint le, plan jdu. parti, qui consiste à iñ <.|tistrïaliser des services de l'Etat ils protpstent cpii-ire l'inculpation d'espionnage.

1} continue' à berner Je comité charge de né-

1 .goder, avec luK Jl s'efforce de .{eter.de la poudre aüx ;yeux .ue ceux de nos compatriotes'qui ^ont tentés de courir après leur argent en Russie en y engageant de nouveaux capitaux. L' « Intérim^ d'Emile Buré, à VAVE^NIBymet dans la' bouché' de'M.' Rako\vsky î!cer argument .«. vd'Ùn'e incontestable va-

i-!leùr''2> :'̃̃• "iI1!i'

If –'Vous avez bien accordé a l'Allemagne, 'Jiour obtenir le règlement dés réparations par ̃ilâ mise en œuvre duijjlan Dawes, un emprunt ;dfe.$pQ millions dp jnarks-or Et tous les. pays tjui. qnt réglé leur dette envers les Etats-Unis rtiç sont assure, de niême, un « contre-équiva•Jent »', Sort sous forme de crédits, soit sous ;forjné d'emprunts

Sans doute, mais cette thèse perd toute 'sa forcé 'quand elle est soutenue par le rcprésentant1 de la III" Internationale Nof. tre 1 confrère souligne l'impossibilité dans /.laquelle; mms, nous trouvons d'accorder jquelqvic créance aux- propositions qui nous sont faites du côte des Soviets. Et ̃jniis, Rvons-nous lé droit de passer j'éponge sur notre créance d'Etat Que diraient nos propres créanciers ? Et que diront nos autres débiteurs, ceux qui ont fait la guerre avec nous jusqu'au bout, sans nfms trahir comme les Soviets, sans nous vo!Jqr comme- les Soviets ?

̃ Oseronsrnous réclamer à ces loyaux alliés ce dont non? auroris fait cadeau au gouvernement de Moscou ? 9 ̃'•'• 1 Et puis. Et; puis, est-ce le moment de signer rfivefepe derjiier un accord 4nssî 'manifestement favorable à ses intérêts î Avons-nous moralement le droit de Je faire en présence surtout :)dês;-événenients de Chine, alors que nos alliés d'hier s'unissent pour relever, selon le mot de François Coty, « le défi de la. barbarie moscovite » ?' 'Nous. ayons cru devoir séparer notre cause de celle de l'Angleterre, des Etats.t'uis, de l'Italie et du .lapon. C'est notre .affaire. Ayons tout au moins la pudeur de ne pas paraître appuyer lu cause de leur ennemi commun en lui faisant ou à peu près remise de sa dette, tout en luf consentant des ouvertures de crédit pour les besoins immédiats de ses' industries pacifiques, ou guerrières. Go 'serait une inconvenance, un manque de tact, tnjs manque de chjcj disons le mot, une

innlpt-ppreté.

Getsoul a peu près tes mots dont se servait -récemment le leader radical M. Eugèi«;:Lauliei; pour apprécier « notre, isolement » .'d'jploniatiquç devant le conflit communo-smo^britaniuque.

•Ai'y. _̃• .̃̃ -yo'ï. Pierre VUlette.

Un longres national agricole examine le projet douanier

Le congrès tenu hier matin dans la grande salle de la Société dos Agriculteurs de France, rue d'Athènes, marque, dans la politiqué économique, une vigoureuse réaction du monde agricole, réaction qui aura une influence profonde sur l'économie générale du pays. Organisé par la Confédération nationale des- Associations arricolès (C. N. A. A.), il avait pour objet de porter, devant l'opinion, le sentiment unanime de millions d'agriculteurs désireux de voir notre nouveau statut douanier rétablir entre les forces .agricoles et industrielles de la France, cet équilibre qui est la condition fondamentale de sa prospérité.

Autour de M. Jules Gautier, président de la C. N. A. A*; étaient groupées de nom-> breuses personnalités citons -s: MMi Ca* pus; président de' la commissibrr' d'agriculture dé là Chambre, ancien ministre de l'agriculture ̃; Ji-Hv Ricard, ancien toinistre de l'agriculture de Vogué, président de la Société des agriculteurs de France les sénateurs J.Faure, Haudos, Damecour, Bouvart, 0. de Rougé, Delahayé,* Cassez, Ghauveau, Donon-; les députés Henri^Lemire, Falcoz, Dëlessalfe, Camùset, de Monieault, Alexandre Duval, Molinié, Le' Friec, Carlier-Caffieri, Hajon, Marin-Quilliard, Lamazou-Betbeder, d'Audiffret-Pasquier, Brigault, Régnier.

En ouvrant la séance, M. Jules Gautier se plait à noter que, depuis la convocation' du congrès, des changements heureux'se sont produits, grâce à la commission des douanes de la Chambre, qui, avec un souci de haute impartialité, a apporté au projet douanier des modifications importantes, relevant les' tarifs applicables aux pro-' duits agricoles, portant par exemple à 35 francs le droit sur les blés, et donnant aux agriculteurs les garanties de stabilité et de liberté commerciales essentielles au développement de notre production agricole.

C'est M. Garcin, président de l'Union du Sud-Est des syndicats agricoles," qui énonça, dans un vigoureux et éloquent' plaidoyer les revendications du monde agricole en ce qui concerne la révision du tarif douanier.

« Les agriculteurs, déclara M. Garcili, sont"ènnemis du supérprôtectibilîiïsrtiev;' ils réclament seiflèfti'éii't une'prqtc'çticvn.'iij$ï,' leur permettra de vendre leurs récoltes &, un prix suffisant pour rémunérer d'une façon convenable le travail des paysans et des ouvriers agricoles. » M. Camuzet, vice-président de la corn-'mission des douanes de la Chambre, ayant résumé à grands traits l'œuvre accomplie par la commission et montré le souci d'équité qui l'a inspirée, M. Haudos, viceprésident de la commission dés douanes du Sénat, apporta au congrès l'assurance que la Haute Assemblée approuverait l'oeuvre de la commission des douanes de la Chambre. Il précisa d'ailleurs qu'en1 réalité, il n'existe pas de conflit entre les intérêts de l'industrie et de l'agriculture françaises, et qu'un travail de révision douanière ne devait s'inspirer que du souci d'accorder à toutes les branchés de la production française lés droits compensateurs qui leur sont nécessaires pour supporter la concurrence étrangère. M. Haudos termina en attirant l'attention du congrès, sur la nécessité de respecter le, principe d'une parfaite inviolabilité du tarif

minimum.

M. Capus, ancien ministre dé l'agriculture, célébra les résultats féconds obtenus par l'organisation professionnelle agricole agissant en collaboration intime avec lés grandes commissions du Parlement. En conclusion, le congrès a adopté un vœif/p&r' 'lequel ".il prend acte des modifications "importantes apportées au projet

gouvernemental par la cûn'nn^'sioiij' (tes,

douanes ^dje. la, Chambre 4d,es députés; affijqn.e,0$ue,,les agriculteurs, ne sont pas protectionnistes à outrance et rappelle qu'ils ont demandé l'équilibre douanier dans une protection modérée.

A midi, un grand banquet a réuni les congressistes sous la présidence de M. Jules Gautier. En dehors dés parlementaires cités plus haut, nous. avons remarqué la présence de M. Lesage,, directeur de l'agriculture Le Trocquer, ancien ministre Fighie.ra,, directeur des .affaires commerciales et industrielles Pierre Lyautey, directeur de l'Association de l'industrie et de l'agriculture françaises Lucien Romier, Elbel, directeur du Comité d'action économique et douanière Hitier, secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture, etc. et de nombreux représentants de la presse.

Des discours furent prononcés par MM. Jules Gautier, Lemire, président de l'Association de l'industrie et de l'agriculture française Elbel, Poisson, secrétaire général de la Fédération des coopératives de consommation Lucien Romier, Ricard,,Damecour, président de la commission d'agriculture du Sénat Delésalle, député, rapporteur général adjoint de la commission des douanes, Falcoz.

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Informations politiques

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La révolution sans larmes

M. René Renoult, ancien ministre du cabinet Herriot, a prononcé hier à Toulon un discours en faveur de -lUinion- des gauches. Il veut bien regarder le cabinet d'union nationale travailler'au salut'de nos finances compromises. Comme M. Léon Blum, il appelle cet effort «une expérience». Il ne l'interrompra pas. c Nous espérons, a-t-il dit, voir une conclusion de cette expérience, c'est-à-dire la France respirant librement, complètement dégagée du poids écrasant qui l'obsède de la masse de sés engagements financiers. » Mais nous demeurons des hommes d'action et de progrès. Nous sommes .toujours les héritiers fidèles de ]a révolution et le mot ne nous épouvante pas quand il traduit l'accomplissement de nos aspirations dans. le. calme de la paix et du travail, sans tapage. et sans troubles. »

La révolution sans larmes; la- -révolution sans douleur, Par quel procédé? Il n'y en a qu'un le scrutin d'arrondissement. · Ainsi parla M. R.' Rehoult.

Elections au conseil général

Dans le canton de Varennes-en-Argonne en remplacement de M. Janoly, décédé, a été élu M. Poincelet, avocat ;t la Cour d'appel de Paris. r

Une conférence de M. Paul Reynaud Ji s'agit 'de ces jeunes patriotes qui, au mois de mai dernier, au moyen d'.u'n ingénieux enlèvement, privèrent leurs colicitoyens de Bougie'de la conférence de M. le député communiste Corndvin, dont on n'a pas oublié la comique mésaventure. Hier soir, au cours d'une réunion' de la Ligue républicaine nationale, placée sous la présidence de M. Jusserand, M, Paul Reynaud, qui fui, devant les assises de Constantine, l'avocat des ravisseurs du député Corrravin, raconta avec humour les phases de cet épisode héroï-comique et s'empressa d'en dégager tout aussitôt l'aspect tragique en dénonçant le développement des organisations communistes dans nos colonies et notamment en Algérie. On connaît les faits. Une conférence de M. Conïavin est annoncée à Bougie un soir de mai. Sept jeunes gens ont décidé à tout prix d'empêcher le porte-parole de Moscou de venir soulever l'indigène 'Jusque

chez eux, et, à l'arrivée du train, ils cueillent poliment M. Cornavin, l'emmènent en auto dans une villa éloignée, lui offrent un dîner succulent et, 'au petit jour, lui rendent '«a -liberté. ̃ ̃ M. Çornavin, qui n'hésite, pas à se placer sous la protection de la justice bourgeoise, porte plainte, et les sept joyeux gracons de Bougie sont déférés devant la Cour d'assises de Constantine, où M0 Paul Reynaud les fait acquitter avec les félicitations du jury. Le brillant avocat a résume, hier soir, les arguments de sa plaidoirie, qui devait démasquer, dans ce pays où elle s'exerce avec une sournoise intensité, la propagande révolutionnaire. « L'Algérie, disait Lénine, est le dernier rempai;t de la révolution », et en rappelant ces mots aux jurés de Constantinc, M" Paul Reynaud dénonça le triple but avoué des missionnaires moscovites en Algérie refus de l'impôt,. attentats individuels, insurrection générale il montra comment les mêmes ordres émanent de :̃- Moscou, quîil s'agisse de l'attentat de la y rue Damrémont ou de la révolte des Ri-, fqinsr;; •s'adressant alors à ses auditeurs

parisiens, M0 Paul Reynaud dit la nécessité

d' « assainir la politique intérieure du pays et son espoir de voir bientôt la jeunesse' se dresser contre les vieux politiciens du Cartel des gauches qu'il rend, lui et ses amis, responsables de tant de

ruines.

ruines. Simon Arbellot. `

Les négociations iranco-soviétiques

–t.

Le ministère dés finances communique la note suivante

Diverses informations de presse pourraient faire croire qu'un accord est sur le point d'être conclu par la conférence franco-soviétique, notamment en1 ce qui ̃• concerne les crédits demandés par l'union soviétique. Le ministère des finances ne peut 'que “• confirmer à cet égard le démenti déjà donné vendredi par le ministère des affaires étrangères. En particulier, la question ̃ des crédits ne pourra être abordée pratiquement que le jour un accord sera définitivement -précisé sur les points essentiels du règlement des dettes, accord qui n'est pas réalisé aujourd'hui.

LEGION D'HONNEUR

j -it-KMi ̃̃:̃,•̃ u^^a»/ ̃ ̃ ̃̃; i on. .i"

i. Finistère" du commerce Chevaliers MM. Fougerou, directeur des services d'exploitation télégraphique et téléphonique à la direction générale d'Orléans.; Busçail, receveur à Nice-Grimaldi Cotte, in- génieur de la Société française radio-élëctriquc.

i^ –r*

La Société des Ingénieurs

de l'automobile

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Ce soir mardi, à 20 h. 45, en l'hôtel des 1 Ingénieurs Civils de France, sera constituée 'définitivement, sur l'initiative de- no-' tre confrère Charles Faroux, la Société des'. Ingénieurs de l'automobile.

RALLEJTTENDO Les ouvrages biographiques les plus détaillés ne constituent qu'une documentation incertaine sur les musiciens dupassé.

Si comme créateurs ils se révèlent à nous, ce n'est que par intuition que -nous pouvons nous figurer comme exécutant un Mozart, un Chopin ou un Liszt. Plus favorises que nous, nos neveux connaîtront dans la vérité de leurs- alli-' îtudes ceux des grands interprètes de 110:ire ..temps qui se: seront laissé, surprendpo par {'indiscret regard d'une lentillô câné* matographique.

Sur l'invite de M. Gaveau, Etienne, le facteur de pianos bien connu, deux illustres virtuoses du clavier, MM: José Iturbi et Arthur Rubinstein ont consenti de bonne grâce à se laisser filmer. Tandis qu'un opérateur tournait la classique manivelle, les mains des célèbres artistes couraient' sur l'ivoire de leur Gaveau familier. Si la projection de ces films à la vitesse normale n'offre pas d'autre attrait spécial que l'agrément de saluer l'image de deux virtuoses aimés et populaires, l'examen de ces mêmes images au ralenti offre.' un intérêt captivant et ouvre un- champ ,de déductions d'une étendue infinie. Tout l'enchaînement ininterrompu des mouvements se trouve décomposé, ana-:lysé, isolé dans chacun de ses instants' successifs et tiré des ténèbres confuses de l'inconscience pour être restitué au domaine du lucide et du conscient.

Un public attentif cù se pressaient de nombreuses personnalités musicales'parisiennes, virtuoses ou professeurs, a assisté à la première représentation de ces films qui eut lieu, le 30 janvier, dans la maison Gaveau. rue La Boélic, au cours d'une séance de la Musique Vivante. Une conf éreucepréalable deMmeNouùcberg exposa les principes d'une nouvelle méthode d'enseignement du piano, basée sur l'étude; desjmouvements au ralenti, et. M. Vallas jinântrij gràfiâ à- la projection de -plusieurs reproductions de tableaux anciens, l'évolution accomplie dans le jeu des artistes du clavier.

Les deux colonnes consacrées à cette séance par M, Vuillermoz dans Candide' et les divers articles qui en ont rendu compte dans les principales revues musicales françaises et étrangères, montrent que l'initiative de la maison Gayeâu, toujours la première il s'engager sur le" chemin du progrès, n'est pas demeurée sans écho. Elle se propose, 'du reste, de- continuer dans cette voie. -̃̃

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CHRONIQUE MILITAIRE Le logement des familles

de sous-officiers

On sait qu'un certain nombre de familles de sous-officiers de carrière sont logés dans des bâtiments militaires. Ces familles se trouvaient dans une situation difficile lorsque les logements qu'elles occupent leur étaient retirés à. la suite de la désij gnation du clîef de famille pour servir sur un théâtre d'opérations exté-^ rieur ou aux colonies. Le ministre a estime qu'il'-convehait de prendre des dispositions de nature à. procurer, aux sous-officiers dont il s'agit tout apaisement touchant l'installation

is^igcielle. de leur 'famille, pendant, la.

au"l^gaq.;icui\ab'si,'iH'e. Il a eu fonsô.queœè'- décide." que les sous-ol'iipiers maries, de l'armée inélrbpolilairie ofî coloniale, Jogés dans les bâtiments militaires, qui,- désignés pour servir sur un T, 0? E; ou aux colonies, n'auraient pas été autorisés à emmener' ̃leur famille, conserveront le logement militaire qui leur avait été attribué, sous la .seule réserve qu'ils en adressent la demande au général commandant la -région.

Temps de service à l'étranger Le Journal officiel publie un décret aux termes duquel sera compté pour moitié, en sus de sa durée effective, le service accompli en temps de paix et en pays étranger

a) En Europe, par les personnels militaires et marins des missions cidessous

Albanie commission de délimitation des frontières Allemagne commission militaire interalliée de contrôle, comité de garantie aéronautique, commission de recherche des disparus Autriche organe de liquidation de la commission militaire interalliée de contrôle Bulgarie organe dé liquidation de la commission militaire interalliée de contrôle Hongrie organe de liquidation de la commission alliée de contrôle

h) Hors d'Europe, par lçs atttachés militaires et navals et leurs adjoints et lès militaires et marins en mission dans les ports du bassin méditerra- néen,' en Egypte, au Japon, en Amérique (Guyane exceptée) et en Océanie.

La convocation en 1927

des réservistes du G. M. P.

Les réservistes domiciliés dans le gouvernement militaire de Paris et appartenant aux corps ou services de la 10° région sont avisés que les dates de convocation sont fixées comme suit

1° Corps coitthattants (infanterie, chars de combat, artillerie, cavale-

rie. a) Réservistes exerçant des: professions agricoles :en totalité du 23 mai au 16 juin b) réservistes d'autres professions du 27 juillet au 20 août.

2° Autres corps et services (train' v des équipages, compagnie autonome d'ouvriers d'artillerie, sections de C. 0. A. et d'infirmiers militàires). Convocations échelonnées entre le 23 mai et le 20 novembre, à l'exclu-» sion, pour ceux exerçant des professions agricoles, des périodes allant du 16 juin au 31 août et du 5 au 31! octobre.

Ces dispositions annulent et remj placent celles publiées antérieures ̃

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Uilionnisk-s, dont 1< s industuis o\-| meUDie» el WUK^IIX lllUlICIUtt»

/joitaliicLs pau i.iunt les liais. "r~ M. Laiane i ixianne la situation Pendant quelques:; jours, le calme de l'txpoi talion des s produits \inuo> ^j îegiiLi à l'Hôtel .tfrouot. Il est les dans les diflu entes nations et d'usage, en effet, d'interrompre les ( oUUon a monlK le bon ctat de la mandes \entes durant les, fêtes de

situation Jiuancmi d'i ComitL. ̃» Pâques et de prolonger cetfe période

MAI Bosses, sfcrelam guieial ad-' de repos d'une huitaine. joint du ( onntt 1 \jce-picsi- Nous avons eu, hier encore, des dtnl (,Bi l«i<|ii( i, ou ptc.cnte divin- vacations qui inéritent d'être signases le&olution-. lI Mmrv qui sont d's- lt.es Uiles et mis au point <i9n d'ohe pie- A la salle n° 1, Me F. Lair-Dubreuil sentes aux pouvoirs publics. vendait dés objets d'art et d'ameuEnfin, M. de Luze fait un vibrant Renient. Une grande pendule et son apiïe'l pour ~-què les adhérents cle "?£l?'<Wbj>is noir et. bronzes, époque France et de tâttf-iijs pays assistent L(nus;X\L-©adran-de buplisleHelye, nombreux, au mois'de. mai prochain^ lut »<*}"&& 3.4o0.j ti-tnicv.; :»•».. r/'«»^' y la huitième conférence de la Ligue hllslrc en bronze, verre ri -peiiddointernationale -(&» adversaires, des <Jues <<? cmtoj.r, oMli..i\an petit

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glais. Maurice Monda.

COURRIER DE LA BOIIRSE luiimii–

11 avril.

Les habitués sont moins nombreux à la Bourse, mais il faut croire que la spéculation étrangère n'a pas, comme eux, la superstition des vacances. On a beaucoup travaillé en effet, grâce aux ordres transmis par les autres places, et la séance a été excellente. Les achats en valeurs de banques, d'électricité et services publics :de toute espèce, se poursuivent sans arrêt et les déplacements de .cours sont d'autant plus marqués que la marchandise devient plus rare. Le portefeuille français achète principalement des titres à revenu fixe il commence pourtant^ ^intéresser à toute une série ^hlTaires..du marché au comptant q^tj^sails ̃ être encore très connues, ̃; aisfribuent néanmoins des dividendes intéressants et susceptibles d'augmentation progressive.

Les valeurs internationales sont complètement négligées, bien que leur revenu soit parfois très avantã geux. Rappelons une fois de plus qu'un portefeuille bien composé doit leur réserver une large place. Nos Rentes gagnent encore un point en moyenne.

Fermeté des fonds ottomans Unifié, 120.90 Russes, mieux.

Nouvelle avance des établissejnents de crédit, à la suite de 'demantdes pour compte étranger la Ban-

que de France gagne 520 fr. à 17-380;

'de Fi m-p 520 fr. il 17.380;

Banque de l'Algérie 350, à 12.700 Foncier 95, à 2.790 Banque de Paris, 2.170 Lyonnais, 2.920 Union Parisienne, 1475 Comptoir d'Escompte, 1/485 Mobilier, 600 Banzque de i'liuloçhine 5.040, contre 4.820 Banque des Pays du Nord, 536 Financière Française et Coloniale, 2.o25.;

Union Européenne,: 1.612.

Nos chemins de fer son également, recherchés Lyon, 1:319 ÎVordj 1.860 Orléans, 1.210.

L'action Suez abandonne 150 îr.Js 13.125, Téais la part civile en gagne 250 à 18.6% V 0

Compagnf&ménérale Transatlantique, 301. L'assemblée générale extraordinaire du 9'avril a voté la création d'actions à vote privilégie. Ce vote devra être ratifié par deux assemblées spéciales.

'Les- valeurs d'électricité reprennent assez vivement i Distribution, 1.600 Générale o''E~'c<j'M~e 2.494, contre 2.402 Radio-France, 636. Mines métalliques bien tenues Rio, 5.040; Pcnarroya, 1.377; Platine, 1.342.

Reprise 'sensible des charbonnages *• Gourrières, 939- Lens, 530 Liévin, 409. ̃ ̃ >

Produits chimique* fermes "i 'Péchiuey, 1.815: Kuhlmann, -827 Air

̃ a ^™ ̃'̃ >"̃ ̃ ̃'

Liquide, 576 Phosphates Tunisiens, 463 Engrais Azotés, 179.

Bonne tenue des-Jsucrières SaiJ, 2.355 Sucreries d'Egypte, 1 llb. Pëtrolifères irrègulières Royal, 39.000 Wycming, 693. Fermeté des roumaines Roumano-Belge, 110. La production de ^cette dernière Société est en augmentation sensible. Caoutchoutières irrègulières ̃ Pa- dang, 1.515 Caoutchoucs de l'Indô. chine, 2-057. Au comptant, la Société fyenèrpâc e des Chaussures Françaises professe à 820. Les bénéfices de l'exercice 1926 s'élèvent au- chiffre de 10 millions 162.550 fr., contre 8 millions 578.1387- fr. i'anMfr. précédente1. p

VEieclro-Càblë ''ipsf-fçrmc- u 712.

Villemaane se raffermit à 487. Industrie Textile, 1.150.

L'action Tramwcys de Changhaï gagne 85 f r. à 1 .945 -Générale des Eaux 150, à 2.750, la jouissance 55, à 1.800 part Electricité et Gaz du Nord 300, à 9.000 part Electricité de Paris 200, à 8.400 Energie Elfe trique 100; à 1.700 Encrgic'lndochinoise 150, à -2.250 part Forces Motrices de la Vienne 445, à 7.850 fiart Lauriiwi Français 240, à 2.815 'Distilleries' de l'Indochine 200, à 4.20.0. Ciments Lafarge 425, à 6.250 part Paris-Maroc l'.OOO, à 12.000 part Caoutchoucs de l'Indochine 198, à 6.250 part Cultures-Tropicales 150,' à 5.750 Charbonnages du Tonlrfn 650, a 11.300 Minièr'eNord et Alpes 325, à 1.900, la par f 400, à 3.300 ;Satam, 1.005, la part, 1.935 Union Minière Française et Coloniale, 158. La part Cambodge abandonne 800 francs- à 23.000

Un Comité international du commerce des vins

ú- "q

f^^i&tijjémbléc générale du Comité

^misgiiïjtionfij A^ent d'avoir lieu, sous

*la_ présidence* 3o 'W Raymond de'

Lûaé^-pré'side"nt.% assisié de MM; Du-

bosc, séiiàteur; Jiunes Heiuressy, 15.

de Mun, député,, ^présidents honorai-

res Gucstier, de La Morinerie, Ca-

mille Martinet, vice-présidents délé-

gués Lafarie, secrétaire général René Cotillon, trésorier.

M. de Luxe, dans une allocution très applaudie, a exposé l'action féconde menée par le Comité pendant l'année écoulée.

Il a montré la nécessité d'obtenir que le nouveau régime douanier français comporte l'octroi des droits 'consolidés, de façon que l'étranger nous accordé des conditions semblables^ Que ce tarif spécifie qu'à l'avenir :il ne sera plus promulgué de traités de commerce d'une durée infé-

Robes de Pâques 1 Les départs de Pâques ramènent pour iious d'agréables visions de plein air, de plages fleuries et de « grounds » verdoyants, qui évoquent l'idée d'une élégance particulière de cette élégance nouvelle, les femmes s'occupent, aujourd'hui, à combiner avec le même plaisir qu'elles choisissaient, à l'automne, de riches fourrures et de somptueuses robes du soir voici pourquoi, sans doute, on rencontre tant de femmes élégantes en ce moment chez Amy Linker il semble que le succès aille plus particulièrement, en cette saison, aux créations de la grande Maison de la rue Auber, qui n'a pas attendu que tout le monde ait découvert le « Sport » pour diriger ses recherches dans le sens d'une élégance simple" et confortable il n'en faudrait pour exemple que ce 'iuaâêle de jupeculottç, .déposé en 192!$, ail la culotte dissiniulée au repos sous la jupe ne se laisse- voir qu'à la marche et au mouv.eJ«ent, mais il y a surtout cette mai•tHs"c,, parfaite avec laquelle sont traités 16us'*Jes modèles petits tailleurs sportifs; liiantcauk de lainage garnis de fourrtires -d'otiS, destinés à protéger les petites" robes" de tissus légers, en prévi- sion d'un soleil intermittent, vêtements d'auto réversibles permettant une rapide transformation, robés de golf, vêtements de pluie en cuir souple ou en crêpe imperméabilisé, aux tons de pastel, etc. Toutes ces créations portent la marque d'un esprit vraiment moderne d'un goût très sûr et très féminin. Mesdames, Amy Linker vous invite au voyage.

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A LTunionParisVe'nnè; !435 .14;8 s%191S-1916 76 50,77 90. 4% 1898 64 64 Industnelio do Chine.. !29 129 48 86JHaute-L<.irO (Houillères da-|al;!50 .1153 10 .h.. Brakpan .589 .585 4% 1918 13.3/16 13 7/16

Zl L °?.Atei,iann. ̃ 1895 .,1945 4% 1917 .T. 63 50 64 40 Russie 4% 1867-1869. !3 25 -13 55 15. Fr»noo.Japonaise 1.610.. 6!5 65 ..iMontrambert et la Beraudière. !620-63i 25 b. Caoutchoucs(SuFinancièrede) 521.. 521 Consolidés 54 3/16 54.1/8.

/U ••£0^1* *»••?£ ̃"̃»; !1449 3485 4% 1918 62 80 63 45 Sante-Fê S%'19IO !615 25 désPays du Nord 535. 536 -iSamt-Efienne (Houillères dé)". r.99v.! 100 | 3 Chartered.«. !S2 !82 50 Argentin 1886 100 1/21100 1/2 2

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S2 Z FÔnc êrdelMndo-Chine 560 ..i 575 4%\$2S 'fthVnJe saranti) .96 i- -95 25 Suisse 19O3. .:> -33 g»fanc.d'AI9érl«!.Tur.isie, 5Z0 4.580 35 9KBIÏn^a«fe5ii'i-.v.«. «0 «- CcmcprdU .i. Ï20 ..I 220 Chine 4 i/2 5! 52 1(2

tJ) ,1~r~l Foncier de France.12665 790 '6&'f.192~0.. 89 .1~ ,8?'?Q Su~de '3 1/2' 1895. ¡, .k, 3 'ç' i,' ~Ige~ien. '1' 3,j i:An;¡r\t~l~ 1335 ').¡Co~ombi~ ~77. Funding 8f!.I.! 80 1/2

m ftonnlis .J292O- Bona-'ou-Tresor 6% 1922 509 75] 509 75 Turfluiè-C«nso!idéeè 1890. 4t2 -412 SWît Foncier Argentin -.82- i «2 50WCarrriaux .Wri^ »0 530 Coroci.ro ord 45 43 2s EgvPte Unifiée 82 12 82

jnôii S Français 595.. 600 ̃– au févr. 1923 515 25 516 Douane» 1902. J 405. 405 52 50 du Brésil »j 50 Carvin •». ;56O ..i 58? 6 A. Crown Min.s 442 4:>! Extérieure 78. 78.

1-7 ilier Français 93 51' 50 515 75 Tribut d'Egypte .1. 5250 Co 770 79' 50: ,'560 !'58i 6 1 Da Beers ordinaire 2122 4" Italien 178 1 76

w SU "Vaînïriw.1150.. sept. 1923 5'5 50 515 75 Tribut d'Egypte 50i.. Colonial j 770 770 50 Oourgas Ï60O. jlfâa 30 sh. De Beers ordinair 2122 ..2095 Italien 15 15

27 50 Société Générale. –-• 1.50.. sTô 1924. 608 603 Priorité Tombac 326 50.: Soc. C», Banques de Province.! '•- 20' ©ràiaseaasc -443 445 20 sh. préférence Î6C5 Î590 japon 1899 j 68 | 68

IIS .Société Générale Fondera ObliB Ch.fer Etat 4561912-14. 305 309 Tabacs du Portugal. !480 !490 50 Soc. G1' Alsacienne de Banque..970 ..i.975 40 Grafld'Combea -.805 .8î5 Engrais a»tas i !80 ..j.:79.. Portugais. 373/41 373/4

^i.oslc 13275.. 13125.. 5% 1919. 330 339 Uruguay Or 1905. •̃ 40 Société Marseillaise 6^9 30 Ugny-les-Airas !>̃ .••̃! .z. 1 d. Franco-Wyoming. ord i 708 693 Russe 1906 5 i/4j 5 !/2 ^|5'So»x." •••"••̃••"• Obi- décennales 1919-29 «8 35 98 75 Uruguay ̃ ̃ .^30 Immobilière des Vo.turos 354 21 50;Loire (Mines dê.la) ̃ .-i 5/0 7 »b. 6- Seduld ,560.563.. 19O9 4. 41/2

^«ilu«Wv^ .».»»"» 1922-32 S25 fî50 OBLIGATIONS ̃ 28 fOiMafleo. ;6» ..I 636 2 ,b. 6 Çoldfi.lds, Consolidated 264 266 50 Turc 4'» 24.Î/4.

TS ï&c» 1060 IC80 Caisse autonom 524 53! ACTIONS INDUSTRIELLES 3; 5tt .Jostricourt M30 ..i!437 .Hartmann 253.. Ho 1909. 4. .11 4 112. $SelEst ""y \m 1319 .A ,uVoS FrVnç-àÔ 0 310..314.. 1S65 4% remb. à SOO1. 820 822 V 25 ..IV.icoigne. et N«ux .&&0 60 .• Hotchkiss.. ii2|5 ..11220 chartered 28/8.(2 27/7, [2

«SnfcrT 1231 -!B8 Annam-Tonkin2 1/2 %1 5! 1871 3% remb. à 400f. 360.. 355.. ̃ 28 $0 Chemin de fer Est, .ouïs 496.. 2Î0.. 175 .A1gérie:Tùnisie (Omnium) 3900 ..3900 Hu.nchaca | !39..| 135 East Rand 26/3. 12 26/6.

50!«"1'; !813 1860 Indo-Chine 3 O/O 1909. 285 280 J t875 4% remb. à SOO1. 430 426 35 Est-Alsér, «! .JBolé'o/pïrts. ,3fo ..370 5»h. 6 Jaoersfontein -497 .505 Goldfields 4O/7.l2|4!/3,

H^r." U30 1210 3 1(2 0/0 1913.1. 305.. 307. = 18764% r.mb.à 500f. 425.. 429 50.. Lyon, Jouis 785 8C0 102 ..Bor (Mines dé) ord 279» ..12790 Lianosoff 577 579 Rand Mines Î72/6. '73/1. ,'2 60--OWéans 11860 Madagascar 1897.1. 280 <l 1892 2 l/2remb.à 400'. 2:5 215 32 50 Midi, joûîsï 676 .703.^ 27 50 Cuivré, et Pyrites !«! ..j.3fc 7 »h- Malacca. ord 506 506 De Beers jl6l5/!6!l6/7/8. 1

80 1. d ..1 Indo.Chine 3001909. èb ii -4t210 û. 1 10 1/2 r. à 400' 210 (>4 st"'A.gel""t.e.n"I' il~425 "5~8 225 o!eo.. P'3rt.s. fr. 79" 17050 .0. egers ,625 i' 620 Goldflelds.j /1. f'

inn o a «-̃“ rh f.r ProvJ 2090 2120 1903-1905 & m 61 x al 1894.96 2 l/2 r. à 4OO(. 210.. 210.. 64.. Nord, jou.s jI423 15-.8 225 ..iMokU-el-Hadib.aot. de 500fr.!«f? ..7050 Malopoiska 625.. 620. jagersfontein U.|4..1,'I6

1-Fi 00 ans 2090 Madagasc..r 1897" 360 365 « 1892 2 1/2 remb. à 400'. 2:5.. 215.. 32 50 Midi, jôùi~I 67~ <!& 2~ 50lCuivré. et Pyrites. ¡ "13 7 ,h. Malacca. 506" 506.. De Beers, ¡ 1615/ !6! 1617 f8

•̃!& r.5 'M'p!; S TA.. 733 Maroc 4 1914.I •• 569 50 h898 2% remb. a SOO(.. 235.. 24U 15 50 NoràiSud Vl» Paris. 246 ..J 24> 45 ^.Xilio-Bonniè.res. ord |,oto ..1.660 MalUoff 371 368 RiJ Tint0 40, i/2 40.7/16

35 ..jMet.TOpol.tam de Pane. Maroc ISJ* g 1899 2% Met. r. SOO 230 232 45.. Orléans, jouis ] fo9 ..) 650 55 .Pétroles (C" Industrielle). ..639 Mexican-Eagle Oil, ord 9 f Mexican Eagle 17/4./2'17/3.

/= L. x o •̃• ,rt«^i.rïrit* 1548 ..1600 Tunis S 1892 235 233 u 1904 2i/2Mét.r.à500f. 237 235 24 Ouest, jouis 305 .308.. 100 Dynamite CS" Centrale) 2350 12380 4 sh.! Mexico Mines of el Oro H6 50MI6 Roya| Dutch l3I.W.3!.l/8.

65 •̃•Oistr.P*nS<enne4f\*jtr£>U.^™ p.494.. c"e"dft National SOÔ 1919 425 425 uj 19O5 2 3/4 remb.â400'. 368 50 368 50 28 75 <Wa«lUlS.r.»n f} ••! f\ •̃ » i..Eleetr.o-Chimie Métal JOsO 100 18L.!Montecatinr. j 264 !62 50 Sheli 4..5/8. '4 .5/8.

70 ::IElectricité Généra le ci'). '12402.. i!494 Crédit Nation.ar.5 O. 10 1919 '1. 425 ..¡ 425.. uJ/1905 2 3/4 remb.à400'. 368.50 368. 50 28~75 -0Jia.t.A.liérièn.¡ 530 472 ¡50" ,~5, Í.Electr.o.Chimie Métal. ""¡'Yi8. "080 ..18 L.I.Mo.ntec¡'tin¡. "j264. ¡ .~62 50 Sh-.11 j4..5i8, '4 4 .5i8~

W'-EI«etr.c.te<C G.ner.led).| 53r Crj.djtNat.^ 1920. 429 ..i 430 I91O 2 3/4 Mét.r.à430'. 214.. 214.. 30.. 'Tunisien-. 530 540 -60 ..Ipoutahc UÀS" •̃iMozambique. i-90v.l .69 North. Caucasien 2/6.I.2/6.

Thon-son Houston. |°o;o ,92 ..7.T.1 490 ..| 490 d 1910 3% r.mb; à 4OOf. 208,i. 208- 16 .,jp«r«ien.ie Ind. Elertrrque. M'9 •̃ 154 i.iLe'R.polin. jouiss •– IS2 ???2'- -9 •• Navigati"de l'Afrique duNord.i 310 ..| 3]0 Russie Oil 5/ .s/

2198 .2245 6 O/jO 1922 décen.i 485.25 486 25 > 1912 3$-o.remb. à 3001:.1. 201 202 50 70 ..Magasins Généraux d* Pans.. <2384 ..««3 102 27,Saint-Gobain, Chauny ?299 3330 ,North Caucasien.59 75 57 Venezuelan Oil 3/ll/16]î/!3/l6

115 Dives. 4^° "| ^,6 |oo ',5^2 5!3 •• 514 1919 5% remb. à 5Od(. 345 342 72 Eaux (C" GT') j260O ,.|2/5O 252 87 Soie artificielle .3«5.. 100 ..Ipadang (Caoutchoucs). (1525 .|515

15 ..JForo,*Ae.er.»sdu-Nord.tEst, <*» *"»••_ | ̃«$ 922 y ̃̃ 46, ,^4 ,921 5 3/4% r.. 500!| 457 457 -50 .Jv.chy (Etabl. therm.U.! 1725 .r'pZi 2 24 u.ina du Rhône U* ..|(75O 'Pekin Syndicale (ShansO. .58 ,50|5? Anaconda 9.9/16'9/.9/16 an .903 ..I 939 6 0(0 juin 1923-.J 473 '•i A7À •̃ I 52 50 Salin* du Midi •• '290 15 .Phosphates de Constantine. 610. 6i5.V steei Common 1 76. 1/2:176.. !2

30 Cournè«s.. j 519 i 530 oblig. 6 0/0^924 ..?. 460 460 Com.1879 260%r.S00'. 461 462 135 ..Air comprimé 13403 ..3400 ̃ | •• ••lRandfont.in..i 93 .«50 Marconi ,17/6.18/1. /2

12 ..(Uns- •. !93 !93 «"9. ° 13^ 1923.1 g/, Fono. 1879 3?S r.» SOo'.H70 •• 'K0 •• 30 O5|Càble» Télégraphiques '•̃•̃ ̃̃ ̃ 32} ,Port du Rosario 23! 60.. 232b.. 5 sh.;Rand Mines., 463 463 Malacca.V. 72/6./ .!72/6.

12 "1L.e~ :93..1193. oi- Fono.1879 3% r.¡' à 500 470.. "70.. 30 05¡Câble. TélégraphiC¡úes.i,S" .>90.. Chargeurs Rosario. ~~9~"iP~~).. 5 sh.:Rand. Mines. 4~ 463" Màlacca.I72/6.72/6.L

ïh 5ni° 3360 ..1397 Départ d.. Nord 6 0/0 1921.. ^7, 459 g| Com. 188O 31, r. S SOO'. 468 47! 37 SOjEdison .890 Chargeurs Réunis (parts) <-Si .3!j. 3 «h.iRobinson. Deep A 33 50 !32 5C Kuaià I95/90/.J.

m SCI* ̃ » •̃b** ̃̃ Vilîed- Albert 60;0. •;̃ f y- •• < Fonc. 1883 3% r, à SOO 245 243 25 El.ctricté et Gaz du Nord.L«0 ,.j 35 Havraise Péninsulaire (B) .f« •̃ f« Rouman6 Belge de Pétrole. ÏÇ6 50 0,. Escompte hors banque 14 .5/l6|4 .4/16

20 Platine. 395 392 v e da Reims 6 0/0 4531.. 447.. C Fono.138S260'or.500'. 2s4 255.. 65 ..Electricité Pans» |2«. 2300 4, Transports en commun .??? •• ;??2 ̃• Russian Oil al, 3O Prêts.. .3.3/4.3 3/4

Dabrowa (Pétroles). *g V e da Reims 6 U/O 449.. U-l Com. 1891 3% r, i 400' 245.- lf_ ̃̃ 37 50| Force. Motrice duRhône. » 905 4B 12 Transports Maritimes !315 !350 30 Steauafrançaise 467 470 g/^ris (chLnge) 124.02 J 124 02. Pétroles Prem.er. «" 395 392 Arturiënn» dw Minea 472 ̃ 1Ï6,' •SI"- 1S92 26OÏ,îr.5OO. 2«2 262 16 66lForo"Motri<duRhSne(parts). •;••.•̃̃•• i- Transports..en j '350 Tabacs d'Orient et d'Outremer -i| -j !5i s/New-York- 4.8568. |. 4 8559 «n 823.. 827 AteHersConstruct Jument. «« "i *0 '1 Fonc. 1895 28O»i r.500 266. 266 45 Havra.se d'En.r».» Electrique. '»•• v 26250|Benedictit>e •"̃Wj.X1^?" -Fanganyika 398 395 Rio' ̃ 5.27/3215.27/32

!?'"S^Wman" 1219 .1195 .-cird'Ene^XSectrique. <40 444 £ 1 Com. 1899 26O%r.S00. 26! 261.. 125 ..Indo-Chinoise d'Electricité. --y, ••!•– TO .̃.|D.»t.H.rio Cusenier f±- 125 ..Terres Rouges.. W -IH05 j. Valparaiso .V 39 £0. 39 58

41 Ofsa. jfag |8,5 iiugesïlvastées? ?.?.. fj X VI 5\ Fon=' 1903 3' r. i SOO ..280, 2/7 ,45 .Pyrénéenne d'Energie Electr.. -990 .9fo H* Oist.llerios de rindo-Chine. f000 ..4200. ;Tharste. 381; 38O Buenos-Aires.. 47 56. 47 56.

50 Produ.tschimdAlais, Forges. M30, cguses, «vastee 6o/o '446 50 449 I Com: 1906 3% r. è 5OO 265 265 15 Radio-Electrique ̃;• ;̃; •• » .Grand HôteJ ..I 1 ,h.9 Transvaal Consolidated Land..380 360 Argent:(métal).Cxomptant). 26. 26.3/8.

23 Chargeurs Riunis. :950 3g, «™sae ^y «JJ « .J 442 443.. | J Fonc. 1909 3"Â r. h 250 44.. 44.. 30 ..(Radio-France -6.-0.. fcc6. 20 {Grands Moulins de.Cofbeil, ord. ?»••! ̃• iTufees ef F. de Sosnowice '302 302 Cuivre (comptant) r\ ̃ 5412/16

9 Transatlantique ord ]m pîv.lhi. s 0 0 450.. 449.. CI Com. 19V2 3io r. à 2501.45 14> 22 ..[Radio-Maritime '• kucrenea Brésiliennes 33Î 533 43 b.jTubizepriv. u. 473 472 r •-

50X.VoKureSéPar-,s,I '«* Sor/p^.Xa.^fe: ̃̃ » J Fonc, 19,3 31/2 ;o r.SOOj. 308 f 303 45 pi^phi. sans F.M 730. ,7,0. rand j 4 A. 6. Union Corporation. 449 453 NEW-Y0RK. !J avril 1.26,318, ë :k^»£F= fo ii i ii StSKS3 1 :i^ 1 izspil itfl f :®«a«==w: | ,<r- ^^s=^ ;;| (^ » aiïtsiîi-^iiiikw v ..|Cultu«» Tropicales 1 w "o/o 922 ..i 460 ..j 46? y Empr.1921 6i/2r.àSOO'A- -t 160 ..Alsacienne Industrie Textile. J?^ •̃<s •• V-IPolLït & ChaussoÀ". ,'393 .MU 71 23jBro6=e JLa).̃.«. -915 ..915 change sur Paris, vue 4ï#'9ll/23 913/8

20 ..¡~ir L~'huid~I~'d;:èh'i~ 2027..12057.. Maison Alsaciens 1922'¡ 471 50 oIJJ Emp.1917 1/2r.à 'S oot. 395'501 ~~6" 20,U,,¡on ,rElectricj{é, 49'J 45 a.287 hine.. ..¡. 1620 16'0 Cail transfers. e 656i. 4 ,1

H, aou cu 'coles.UH 389. 388 h Maison c~G 1922. 4,~O 469 a:: Corn. 1920:51 2r.~500f.< 160 0" il,.li944 j.i' :]: Chaussoh h¡: 1414 71 ;~8akou ~La).' de). i. t 915C Câbles sur Paris vue. 0')68. ~4 8556.

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100. e e '1~08 :1612 Irièlo'Ch'n. e la99'1905. Y~251 ..¡2S0 3,Q,anClenne"¡32,1,. 325.. 37,50 ..d .89? "1>8190.. tO.Le F,garo"i, "7.' 4.h. 6'Í.She'¡"1.597 ..1.594 Chesapeake 8< Oh'0.¡lé9 3 4.170 3.8

"lU. n EUl"opeenne ~.u.¡.¡ ,t, D-Chine 1902. 239.. 231,. 2j¡~ 268- 260.. 6140t <1.. ,u~.e,.JQ~ü ..¡1,OO.. 200 .Ch;);x"T.¡¥,¡~¡J~ 100~1.:Steawa Rcma'nû. 352 ~53.. ChiCagoMilwaukeeE:)~¡ 15 3~4i 1!2

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1 Ottomane 250o. b"'l6.. Brésil 4:'j¡' t889. '1- S' 344 50.EMctro.Cabt.(er.j.na:rM).7''1.2.Haour(EtabIissements). r~e.nt!ne"1' ,¡:. Anaconda,Copper.¡ 26.26 :>/8

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L I. Central Mining-, |*»9 >-fâ» •• |«, ]|g| ;i 360 2 ,/2%, série C 298 2?7 50 30 .Mid.terranée(Forg"* ChanO.52d ..] 5Jy £O.15.3.Land Bank Egypt 598 5S8 Italie.| !23 50 ;22 70 Central U.ther .?"°. .$ 5/8; '.9 3. '8

L. 1. Central Mlnlng.. 5035 ¡<I"I'O 6"" 1903 '1360.. 21/2,1) serie C.¡ 298 o' 2,750 30 .Medlter,.anee(Forg &Ch8nt.).5~B 5" £0.b.3.Land Bank Egypt. Italie.1 !2350; ~22 70 Central Leather 9518' 93'8

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10 i)3!2.288 2m EayctBUnifiée. ~~S~O'esnsBonsdecennaux6%492.49~ ) .ForOtS& Fond 'u 'Mcntat-atre.¡. 28p.50;NordEspagnt.Po!ognc()00z~ty).283..Beth)=hemStM).55S.'6:545;8.

~.7 7 é ienne) .¡i t3f2 .I288 E;;pte Unifi'e. 3&250 40\ 365 25 6% 380 3/6 40 ..o.nain.An~in. 8!3 !8~ 28 P. 50!Nord Espagne.u. ;7~ Pologne (100 zloty), .U.S.St~Comm.n.7! .)7) 54 5/8,

t5.h.Lat)t.reN~et. 4-~ ~j~ SK. 350 355 5250;).orr9iMMin".&.M.ta)L-350p.2/0 .3j{.b.!Rou!na(A!g.ri.).tJC .6j9 Prcgut. Rcy~Duteh. 49 ).'Z 4928

I. I13Î2 ..II28B Envote Unifiée i13 *i 413 23 Orléans Bons décennaux 6% 492 493 | 1 M p. 50;Nord Espagne ̃̃.̃̃ ̃•'•••••• Pologne (IOO zloty), 283 Bethlehem Steel j 55 3/6/54 5/8.

l5th.UutaroNitr.te «" "j m •• EsDaar,, "térieure ..1. 6% 350 355 52 50;LorraineMih"M.tall.'35Op. !2/0 33 f. b.IRouiria (Algérie) ,.o3C .639 Progue Royal Dutch 49 1/2 49 2 8

5 1 C r et 5<B '586 w!?fi s*' 191O i.77O .779 4 -'5 ,( 305 303 55 .Matériel de Ch.defer (C = Fr.).l.«>2 -0ï0 Li" Sosnowice M2!5 .-1210 Roumani=.. 15 75 Shîil 4> 5,8 43 il

5 ^Oriental Carpet w *r«|S- u'il ïii'91' 1 <7 85i ?7 55 3'o anc 312 Mater, de Transport. t> t.2.6.9|Suo.. Réf. d'Egypte (parts), 1860 Suède

60 f t Pétrofina t ••"<•] «g '•; ,| j!' L 4% igos"»" 46i 50 462 25 Ouest 3% ïnc 305 .-i 306 100 .Métau* (C1' Française) j- .J7eO 85 p.(Tabacs des Philippines :5«5 .5900 Suisse 491 49! 50 Affaires totale». 2 44Î.000

.60f Sucrer" et Raffinerie d-Eepte-1 '1100 .1116 Japon 4" 1905 461 ..0, ouest anc 30j 30b 100 ~Métaux (Cl' Franc.alse).nu¡H." "7:O A' 8J J)"Tabac$ des Philippines ~592j .)9~J ¥. SUisse. 491 ,9.0 Aff r,.s 'totales, 244:'000 j

|U0o.6lSuarer"-etRaffmerled'Egypt».jl;«J .IHt> J»pon4^ 1|O&. :J87.387. 2 1/2 u.i 252 ,,i 3j4 60 «, LSenelie Maubeuje.U385 .l«0 8j p., .iTabaça des Philipp. (parts).. 3«C0 Vienne (IOO shillihae).V. titres. i j

25 .Tabacs e al' '¡~O' :7" 5(': t907' i. :8 ..¡;¡v -o' 2 2¡VUt.u.iW .!j~ V'o/(.5'eneUoMauQ.I;o.uu.u,")'f; .i)p.Tabac.edcePhi!ipp,(parti),¡,t; "1\1 Vienne (100 uhillings) "0,1 titre.s, 4-,

> 25 ..iTabaos Ottomans. '•>}>• l ̃•̃ '•< ̃ »'" .»w/ ̃̃••'•?•«••••• ̃»»,.•.̃ » ..<,«..



COURRIER DES THÉATRES

~rlrm·wr1 h-

Ita Femme Fatale

à la Comédie Caumartin La ravissante comédie de M. André Birabeau est jouée chaque soir devant des.salles combles et enthousiastes qui acclament son éclatante distribution M. Paul Bernard, Mlle Blanche Monte!, M. !Géo Lastry avec Mlle Sarah Rafale et M. Pierre Etchepare.

Ce soir

V* A l'Opéra (film).

Jt A la Co.mêdiE-Fha.çaise, à 8 h. 30,

(aboun. suspendu), La Marche nuptiale (MM. H. Monteaux, A. Luquet, Dorival, Drain, Ledoux, J. Weber Mmes M. Th. l'iérat, .1. Even, Bretty, Nizan, M. Barjac, M. Renaud, M. Samary, J. Sully, T. Fcdor, M. Romée).

i5S A l'Opéiu-Comique, à 8 heures. Lorenzaccio (Mines M. Sibillc, M. Calvet, V. Peeters MM. R. Bourdin, M. Oger, Guénot, Vieuille, Génin, Azéma). Oreh. M.. G. Lauweryns.

A i.'Odéo.n, à. 8 h. 30, Le Bonheur du Jour (M. M. de Féraudy, MM. A. Clariond, Cailloux, Charpin Mmes Ch. Clasis, J.'Verneuil, D.foiiy, Duhem). ̃<ît Aux VAniÉTiis, à 8 h. 30, [.'Habit ver/ (Mme Jeanne Granier, MM. Lefaur, Louvigny, Mlle G. Baron, M;Lurville, etc.. et M. Galipaux).

«^ AU; Gymnase, à' 8 h. 45, Le Venin pièce en 3 actes, de M. Henry Bernstein (Mmes Yvonne de Bray, Gaby Morl'ay, Yolande Laffon MM. Charles Boyer et Marcel ;André).

Jt A LA PonTE-SAINT-MARTIN, à 8 h. 15, Peer Gynt (Mmes Suzanne Després, Nel-, ly Marthyll, Mona Païva JIM. Bourdel, Joiïre).

j& Au Théâtre SARAH-BEHNiunDT, à 8 h. 30, il/o/[ curé chez les riches Robert Casa, Maxime-Léry, .H. Monteux; Mmes Jeanne Delys, Jehaimy et Margue^" rite Ducouret). Dim. et fêtes, matinées à 2 heures.

S A V Athénée, à 8 h. 45, Maître Bolbec et son ntari (Mlle Madeleine Soria et M. Lucien Rozenberg Mlles Renée Rysor, Louisa de Mornand, avec MM. Pierre Stéphen et Arnaudy).

Jt A; la GAiTÊ-LïniQUE (Arch. 29-20), à 8 h. 30, Ali-Baba (Mnies Louise Dhamarys et Hélène Gérard MM. Nabos ou Pernot,' Détours, Castin, Schlegel, avec Robert Allard et Henry-Jullien). Ballets: Mlles Capry et '3atelleff.

J* ÀJ3 Théâtre Antoine, & 8 h. 45, La Reine de Biarritz (MM. L. Gauthier, Lagreriée, R. Marco, Gallet, Mauger et Bélièrcs Mmes Augustine Leriche, H. Marion, J. Ronceray et Marcelle Praince). Jt Au Théâtre DE Paris, à 8 h 30, Tu m'épouseras (Mmes Elvire Popesco, Paule Andral, A. Guize, Reine Dessort MM. L.oùis Verneuil, G. Tréyille, P. Noyelle, J. Skj-, Ch. Bernard et M. S.

Fabre).

J* A la Renaissa.nce, à 8 h. 30, Madame ne veut -pas d'enfant (M. Tramel, Mhie Cassive, Mlle Mireille Perrey). »JC Au Palais-Roval, à 8 h. 45, On ne roule pas Antoinette (MM. Albert Brasseur, Le Gallo. Duvallës, Géo Leclercq, Lluis Mmes Marg. Templey, Alice Cocéa, Marg. Peuget).

jt Aux Bouffes-Paiusjexs, il 8 h. 45, Mercenàry Mary (Koval, L. Baroux, Leriier, Gabin, Xellson, l'iddock et Ed. Roze Mmes Denise Grey, Mary Massart et Sim-Viva).

Jt AU Théâtre Maricnv, à 8 h. 30, 1927 (MM. André Baugé, Saint-Granier, Pauley, Darthcz Mmes Thérèse Dorny, Danièlç'Bregis et M. Raimu).

ijS Aux Capucines; à 9 heures, Le Miroir quijait rire (Mlle Falconetti avec M. Harry-Baur Mme Rosé Grane, MM. Hiérpuimus, Fenonjois et Charles Dechamps).

•St A*i Théâtre DES Nouveautés, à 8 8 h. 45, Vn bon Garçon, opérette (Mmes Pierrette Madd, Davta et Reine Leblanc et MM. Milton» Urban, Gildcs, Robert Aucelin, Sergy. Champell, Numès fils.) »5t Au Théâtre Edouaru-VII, à 8 h. 35, Knoch-out, de MM. Jacques Natanson et Jacques Théry (Mlle Spinelly et MM. Pierre Blancliar, Paul Amiot, Alcover). JJ Au Grand-Guionol, à 8 h. 45, 'L'Auberge du cheval blanc Le Bonheur retrouvé Le Navire aveugle Ciel i c'est lui (Matinées merc, sam. dim. et fêtes,) ,)

%< Au Théâtre Fémina, à 8 h. 45, VEunuquc (Mmes Jane Chevrel, Mady Berry, Simone Sandré, Rozille MM. André Berley, Bcrthier, Burgère). tî* Au Théâtre Mogadou, à 8 h. 15, Rbse-Marie (MM. Boueot, Buriner Mlles Cloé Vidiane, M. Massé, en alternance June Roberts, Xavârre et Félix Oudard). JH Au Théâtre DE LA Madeleine (Elys. 86-25), Pluie, d'après Rain de Soinerset Maugham (Jane Marnac, VarTmusîcISïlsT

Feuilleton du tï Figaro a du 12 avril 1927 (29) LE REFLET DANS LA NUIT

ROMAN

traduit de l'anglais par Louis LABAT

CHAPITRE XVII

Chez Jean Cladel

(Suite)

C'est justement ce. qui m'iuquiète, ré-

pliqua Frobisher avec un certain ton d'importance. Il y a une minute^ ou marchait derrière nous. On s'est arrêté quand nous nous sommes arrêtés. Continuons a~ d'aller tout droit une ou deux minutes.

Bien," mon ami. ;;)

Sans souffler mol ? £'l Sans souffler mot.

Ils reprirent leur marche derrière eux, aussitôt, des pas sonnèrent sftr le pavé. J Frobisher saisit Hanaud par le bras. JJJ Que vous disais-je

De ne pas souffler mot. Et tout le premier vous violez la consigne

Soyez sérieux, monsieur. Nous som-

mes suivis.

Hjiiiaud, s'arrêlant net, planta sur Frobisher un regard d'admiration.

Quoi ? Vous avez compris cela ? Eh bien, c'est vrai, nous sommes suivis. Suivis par un de nos hommes chargés d'empêcher qu'on ne nous suive.

Frobisher faillit donner cours à son inyigmition, mais il prit le parti de rire. Continuons donc notre chemin, dit-il.

gas et Roger Tréville).

i* Au Théati|B DE LA Michodière, i 8 h. 45, Son mari (Mmes Marthe Régnier, Marcelle Yrveu, Renée Devillers MM. Victor Boucher, Alerroe).

•£ Au Théâtre Michel, à 9 heures, Le Chasseur (M. Fraiicen,. Mlles Renée Corciade, Simone Dulac et Suzanne Dantès).

<M A la Comédie-Caumartix, à 9 heures, La Femme fatale (M. Paul Bernard et Mlle Blanche Montel avec Géo Lastrey, Sarah-Rafale et M. Pierre Etcliepare).

A la Potinièriï, à 9 'jeures, Zig-Zag (MM. Arquillière, Roger Gaillard, Jean Gobet, Henry Trévoux Mlles Germaine Risse, Simone Deguyse, Suzanne Dehelly, Nita Malber).

iît Au Théâtre Daunou, à 9 heures, La Poupée Française, comédie Je V.-A. Jager.iSclmiidt, avec Mlle Madeleine Carlier, M. Paul Capellani et Robert Hasti. JC Au Théâtre DE L'AVENUE. à 9 heures, Masque et visage (Jacques Baumer, Betty Dausmond, Nadine Picard et André Dubosc.

Jt A LA Scala, à 8 h. 30, La petite grue du cinquième (Mlle J'arcelle, Parisys, Mmes G. Michel, G. Armand, C. Vernades MM. Sinoël, Ch. Lorrain, P. Labry et Robert Bossis).

S Aux MatHurins, à 9 heures, Baccara (Jules Berry,' Suzy Prim, Henry Richard, René Wofms.et Pierre Juvenet).. Au Triaxon-Lyrique, à 8 h. 30, Rigoletto (Mlles Mock, Duhian MM. Savernv, Péraldi, Marrio, Derroja, Mazzantï).

t£5 Aux Deux-Anes, Gabaroche. Jean Rieux, Georges Merrj', Geo Chàrley, de Soutter et Trémolo; La Revue de Rip, avec Marcelle Monthil, Dalio, George (en représentation).

JX. Au Théâtre DE Dix-Heures, W57, revue de M. Rieux, jouée par Eliane de Greus, H. Hetty,, L. Henry et G. Gabarôche les chansonniers P. Colliue,: Balder, Marrot, J. Flot, P. Màye et ,Charles Fallot dans un numéro inédit.

l,

̃ ̃*

̃̃•̃̃J». (Théâtre ..Ailiert-I", à 8 h. 45, Abraham Lincoln Arts, à 8 h. 30, La Grande Catherine, 7, rue de la Paroisse. Atelier, à 8 h. 45. La Comédie du Bonheur Châtelet, à 8 h. 30, La Course au bonheur Comédie des Champs-Elysées, il 8 h. 45, Revizor Déjazet, à 8 h. 30, Et moi j'te dis qu'elle t'a fait de l'œil Nouvel-Ambigu, à 8 h. 45. Le Grillon du Foyer Œuvre, à 8 h. 30, Le Dilemme du Docteur Studio des Champs-Elysées, à 9 heures, Maya.

T

NOTES ET INFORMATIONS Opéra. M. Franz est de retour à Paris, et c'est dans la Valkyrie que le célèbre artiste fera sa rentrée à l'Opéra, le diman-, chc 17 avril, en matinée..

Les directeurs de l'Odéon viennent d'adresser à M. Paul Ginisty, président de l'Association de la critique, la lettre suivante Monsieur le Président,

Le 13 avril, date retenue pour la répétition générale de 'l'Odéon Revue, en matinée, doit avoir lieu le déjeuner Nozière. JI ne nous paraitrait pas courtois, de convoquer la critique ce jour-là. D'autre part, cette générale ne saurait être affichée le Vendredi saint, jour ou les théâtres subventionnés font relâche. Nous nous voyons donc obligés de reporter notre générale au mardi 19 en matinée, et nous nous excusons auprès de la critique de passer auparavant .devant le public, samedi soir. 1.

Nous espérons que, vu ces circonstances, vous comprendrez notre détermination, qui aura au moins l'avantage de vous présenter un spectacle tout à fait au point.

Veuillez croire, Monsieur le Président, à l'assurance de nos sentiments les plus distingués. F. Gémier, P. Abbam.

» A »!!»'̃, ..V t

NouvEiï Ambigu. M. Maurice Lehman a reçu, pour être créée au début de la saison prochaine, à l'Ambigu, une, pièce de MM. Mouézy-Eon et Fontanes, intitulée Le Petit Cuistot, dont le rôle principal sera créé par M. Biscot.

Théâtre Ëdouard-VIL De retour à Paris avant-hier matin, avec Mlle Yvonne Printemps, M. Sacha Guitry a lu le jour même à ses interprètes sa comédie nouvelle en trois actes dans laquelle Mlje Yvonne Printemps et lui feront leur rentrée au Théâtie Edouard-VII., dès la semaine prochaine. Assistaient à cette lecture, avec le directeur M. Alphonse Francl;, Mmes Yvonne Printemps. Betty Daussmond, Carton et Leitner et MM. Robert Hasti et Chevalier.

–m a

La direction du Théâtre de l'Avenue annonce les dernières de Masque et Visage, b gros succès de M. Luigi Chiarelli, pour le 24 avril en soirée, et retient dès aujourd'hui la date du jeudi 28 avril, en soirée, pour la répétition générale de Nous ne sontmes plus des enfants, de M. Léopold Marchand, la première représentation ayant lieu le lendemain vendredi 29.

LA 50'' de « Knock-Out ». MM. Jacques Natanson et Jacques Téry avaient réuni, samedi, dans la loge. de -Mlle Spinelly, la brillante créatrice de Ktwck-Out, les artistes qui interprètent ce spirituel ouvrage pour en célébrer, dans l'intimité, la cinquantième représentation.. `

S Ést-iJ"fcoin de dire qu'il' n'y ;çut pas de discours, mais des félicitations réciproques sur l'apport de chacun à l'heureux succès de la pièce.

~s~e a.·

Théâtre MicrfEl. Ce soir, à 9 heure; dernière répétition de travail des Amants Saugrenus, comédie en trois actes de M. Jacques Natanson. Demain première.

La rue traversée, ils allèrent, par un inextricable lacis de ruelles ne se montrait ni une facade éclairée ni une âme vivante. Le; seul bruit qu'ils entendissent était celui de' leurs propres pas, auquel répondait, a distance, un bruit de pas plus faibles. Enfin Hanaud fit halte devant une petite maison dont une boutique aux volets clos occupait le rez-de-chaussée. Nous v sommes, dit-il à voix basse. Il pressa le bouton d'appel fixé au montant de la porte, un timbre aigu retentit à l'intérieur.

Nous allons avoir à patienter un moment si notre homme est au lit.

Une minute ou deux passèrent. Des horloges sonnèrent une demie. Hanaud appuya l'oreille contre le panneau de la porte, écouta et sonna de nouveau. Il y eut encore une ou deux minutes d'attente, puis une fenêtre s'ouvrit au premier étage, des persiennes claquèrent, une voix dont on étouffait le son demanda

Qui est là 7

La police, dit .Hanaud. i, Et comme' le'siîeiicesexïl lui répondait Vous n'avez rien à craindre, nous ne voulons de vous que quelques renseignements. ̃

Très bien. Le temps de passer un vêtement et je suis à vous.

Hanaud se mit à faire les cent pas sur le trottoir. Quant,à il n'avait de sa vie éprouvé une telle fièvre.

Je crois, que nous touchons à la vérité, dit-il, et que, d'ici à quelques instants, nous saurons qui a bien pu,' de la maison Grenelle, apporter la flèche à cet homme. Si, d'u'moins, il est réel qu'on la lui ait apportée.

Oh pour ça, voyez-vous

Hanaud se frappa lé front.

Je suis comme Waberski, j'en ai la certitude là.

Mais Frobisher demeurait convaincu que

Théâtre de LA Madeleine. M. Vargaà' a repris samedi, aux côtés de Mlle Jane Marnac, le rôle qu'il a créé dans Pluie, et qu'il avait dû abandonner momentanément- par suite de maladie.

Maxime Girard.

Spectacles et Concerts Aujourd'hui

Même spectacle que le soir:

A I'Olyinpia (2 h. 30).

@~iyinpia z n.

Ce soir

Jt Aux Folies-Bei.gére, à 8 h. 30, Un Vent de Folie, hyper-revue de J' L. Lemarchand, avec Joséphine Baker, Fowler et. Tamara, Jack Stanford, René Rudeau et Nicolska.

»Jt Au Casino de I'aius, à 8 h. 30, la grande revuq Paris (Maurice Chevalier, Pasquali, Devilder,. Lily Scott, Pizella, Dargyl, les 16 Lawrence Tiller girls et Yvonne Vallée, et les Lorraines Sisters). .5* Au Moulin-Rouge music-hall à 8 h. 30, la grande revue Ça. c'est Paris (Mistinguett, ltandall, Earl Leslie, Cebron-Norbens, Marthe Berthy, Yvonne Legeay, le Spark's ballet, les 40 Jackson Girls et les Lancashire lads' de J.. AV. Jackson et Dandy).

«St Au PALACE, à 8 h. 30, Femmes' et Sports. nouvelle revue â grand spectacle avec .Georges Carpeutier. •«• <* JS A l'Empire' MusictHa!.l Cirque. Pour, la première fois en Europe, la plus formidable troupe du monde entier, Singcr's Midnets, revue.

<it A LA Lune ROUSSE, a 9 heures, (Trud. 61-92), Ho-Ksé-Fou 1 revue (Nane Carty, Valneri) les chansonniers V. Hyspa, Léon-Michel. Secretan, Spark, P. Dac, H. Cor, E. Wyl, Monelly, Heintz. v* CHEZ Fursy ET Mauricet (43, boul. de Clichy, tél. Trud. 69-67), à 9 heures, Tout va bien revue de P. Briquet, avec Marguerite Deval, Fursy et Mauricet.

»Jt Au Perchoir, (43, faub. Montmartre. Tél. Provence 37-82), à 9 heures, La Cote des Fauchés, revue nouvelle de Rip (Marguerite Pierry, les chansonniers Martini, Vallier, Noël-Noël, Dorin, Pierre Pradier).

i5t Au CIRQUE d'Hiver (Roq. 12-25), à 8 h. 30, les Jeux romains, présentés par M. Nouguès la cavalerie de Jean Houcke, Idès et Wlaster. 20 attractions et les Fratellini. Matinée, jeudi, dimanche.

®.

On apprendra avec plaisir que M. Albert Fratellini qui, le 1" avril, fut opéré d'un anthrax avec kyste, a pu reprendre son travail au Cirque.

'iI'

COÏJRRÏËRJÏJSIÈAL Ce soïr

A la Salle Gaveau, Les Béatitudes de César Franck, par la Schola Cantorum} sous la direction de Vincent d'Indy. Demain soir mercredi, deuxième séance. Billets à la Salle, chez M. Durand et M. Dandelot.

A la Salle des Agriculteurs, récital de piano par Charlotte de Recsey.

Le pianiste Boris Rosenfield donnera demain mercredi, à 9 heures, un récital à la Salle des Agriculteurs. Œuvres de Mozart, Beethoven, Brahms, Chopin, Philipp, Liszt, Dohnanyi. Billets chez Durand, à la Salle et à Musica.

ID s'-

Vendredi Saint, 15 avril, à 8 h. 30 précises, au Châtclet, 24° concert, avec le concours de Mmes Ninon Vallin, Lina Falk et M. Robert Casadesus. Rôdemption, C. Franck, a. Interlude, b. air de l'Archange, Mme Ninon Vallin concerto du Couronnement, Mozart, M. Robert Casadesus La Demoiselle élue,C. Debussy, Mmes Ninon Vallin et Lina Falk Parsifal, R. Wagner, deuxième tableau du premier acte (grande scène religieuse) Judas Machabée, Haendet, air, Mme Ninon Vallin \f Le Messie {Allehiia) "Hâëndel. Soli, choeurs et orchestre, 25o exécutants sous la direction de,,M.

GabrieJ. P§n|.

Samedi 16, i 15 heures précises, concert donné au bénéfice de la Caisse de prévoyance de l'Association des Concerts Colonne, avec le concours de Mme Martinelli. Ouverture de La Princesse Jaune, SaintSaëns a. Prélude de l'Enfant-Roi, Bruneau b. Prélude de Fervaal, c. Prélude à l'Après-midi d'un Faune, C. Debussy LaDamnation de Faust, H. Berlioz Menuet des Follets, Danse des Sylphes, air de Marr guerite, Mme Martinelli; Marche hongroise; Les Maîtres Chanteurs, R. Wagner, Rêverie de H. Sachs, Danse des Apprentis, Marche des Corporations Tristan et Y seuil, R. Wagner, a. Prélude du troisième acte (cor anglais, M. P. Brun), b. Prélude et Mort d'Yseult, Mme Martinelli Chevauchée des Walkyries, R. Wagner. Concert sous la rirection de M. Gabriel Pierné.

L. de Crémone.

"la vie universitaire Les incidents d'Epirial

M. Herriot, ministre de l'Instruction publique, a pris connaissance des résultats de l'enquête qu'il avait prescrite au sujet du discours prononcé par M. Laurent, délégué dans les fonctions de prqfesseur à .Epirnal, aux. obsèques d'un militant communiste à Châtel-stir-Mosellc (Vos*

Ses).

De cette enquête, il résulte que l'incident aurait été considérablement grossi. Néanmoins, M. Laurent sera délégué dans un autre établissement, et son poste sera attribué à un agrégé.

Hanaud avait fait fausse route dès le début de l'enquête. Il dit, un peu aigrement En tout cas, la personne qui Ja lui aura portée doit être la même qui a. remis en place le livre sur le strophante. Hanaud rit entre les dents.

Je vous parie tout l'or du monde et, par-dessus le marché,, le collier de Mme Harlowe que vous faites complètement er- reur. Car ce n'est pas moi qui ai porté la flèche à Jean Cladel, mais c'est moi qui ai remis le livre en place.

Vous! s'écria Jim'

Et il fit un pas en arrière, la bouche bée. Moi. Et rtul autre que moi.

Une soudaine inquiétude parut saisir Hanaud. Il levt la tête, considéra les fenêtres fermées.

Cet animal nous fait poser plus que de raison.

Il appuya de nouveau sur le bouton de la sonnette. Un trille luirêpondit, dont le son pointu avait quelque chose d'ironique. Je n'aime pas cela, dit-il. 1 Empoignant le bouton de la porte, il s'arc-boùta de l'épaule contre le panneau, poussa de toute sa force la porte était solide, elle ne céda pas. Il glissa deux doigts dans sa bouche, siffla doucement, et, du côté où les pas s'étaient fait entendre, un homme apparat c'était Moreau, l'agent dont Hanaud avait, dans la matinée, utilisé les services.

Moreau, dit Hanaud, vous allez attendr ici. Vous siffleriez pour nous prévenir, si l'on ouvrait la porte et vous auriez soin de la tenir ouverte. Très bien, monsieur. ,)

Une venelle étroite longeait latéralement la boutique. Hanaud y entraîna Frobisher. j Accompagnez-moi, je ne suis pas tranquille. 1 ••;̃ <[ j C'est ici sans doute, dit Froliishcr, que Wabcrski, à l'en croire, "se serait ca- ¡

LA VIE SPORTIVE

'SPORT HIPPIQUE

COURSES^Aj;pHIEN Aujourd'hui, â' '2, heures, epurses à Enghien. Gagnants du Èiqaro Prix des Causses Surya, Droit d'Op-

tjon. ̃ > .1 ̃•

Prix Gratin Artamène^ Ecurie Veil;.Picard. ii •' ̃ •̃,• Prix du Languedoc Argeutanaisc, Scrivano.

Prix Royal-Visiteur Artamènc, Sirah. Prix du Yivarais Argentanaise, Mazzini.

Prix Memnon Verdun Wilkes, Washington.

Prix KcnlucUy .'Bengali, Amer Picpn.

-,s·ï

1, v.J

Courses à Saint -€ïou<| Le Prix Ksar <

Deux inédiles, F.lpr del Mal et La Jacotte, ont fini en tête, dans le Prix Liane. 11 a paru que la seconde, qui est une bene pouliche d'Lsard,,aurait gagné avec un peu plus de bonheur ou sur iine distance plus longue. Un certain avenir devrait lui être ré-

servé.' ù.. •'̃

Victoire impresi%jyjaij.tc. de War Mist dans le Prix Ksâr. ̃Bien que rendant du poids à tous ses adversaires; sauf Eider, le cheval a gagné au petit galop. Il pourrait bien s'être assez sensiblement amélioré depuis l'année dernière. Par contre. Ei'lûr ne s'est aucunement amélioré, bien au contraire, depuis sa dernière" course. II n'a pas été plus brillant que ne l'avait été, la veille, son coijipagnon d'écurie Sganarelle. La forme serait-elle en baisse chez Torterplèi;? Ce serait dommage pour Biribi. ^sJ. T'rart'eH.r. 1 Prix de Brunoy (à vendre aux enchères, 7.500 francs, 2.200 mètres). 1. Ojïdry, à M. Alexis Deleau (C.-H. Semblat) 2. Rihécourt, à M. A. L. Létey (C. Diez),; 3. Fouchtrasie, à M. William Flatman (H. Marsh) (1/2 longueur, 3/4 de longueur). Non placés Flyinger, Nadar II, ije Gouverneur, Thuyn, Saint Béat, CheiMî Barré, Connétable, Loving, Sultane X5J". Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 63 francs. Placés Oudry, 22 fr. 50 Ribécourt, 50 francs Fouchtrasie, 19 fr. 50.

Prix Liane (10.000 francs. 1.600 metres). 1. Flor del Mal, à M. Hençi i ̃ Teniynck (A. Sharpc) 2. La Jacotie, M. Edouard Esmond (G. Garuer) p; .'3. Triple Haleine, à M. Octave Hoinbeçg liÇM. Bellier) (1 longueur, 4 longueurs);; Non placés Bellecour, Roya, LenoÉe, Setting Sun, Brumeuse, Noisette II, ^ichinclia, Source Blonde, Bienaimêe, Cortina, Leïlah, Senorita. Léda, Absinthe, Olympia, Nébuna, Hésionc. ~i~

,P,ari mutuel à »10; francs Gagnant, '172 fr. 50. Placés Ffor del Mal, fil fr.SO,; La Iacotte, 26 francs Triple Haleine, ',22 ?,francs,

Prix Glorioùs (à vendre aux enchèIres, 20.000 francs, 1.500 mètres). -:1. •Chow, à Mine .1. -Winkfield (J. Winkfield) 2. Bad Virgin, à M. Octave Homberg (G. Duforez) 3. Danseur de Corde, il M. X. Balli (C.-H. Semblât) (2 longueurs, courte tète).

Non placés j i^olA^l^aint Barnabe, Credo, Yvafor"; Jacquief^Josette, Réjane, Godmod, In Bonis, Vase de Chine, Rhéteur, Lone Trek, Thelma, Liaison, Chasseresse, Capucine ,V, Benjamine, Fière Gitane, NaUghty Nan..

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 130 francs. Placés Chow, 38 francs' Bad Virgin, 18 fr.50- Danseuse de Corde, 71 francs. ̃̃*

Prix Ksar (25,000 fanes, 2.000 mè-

tres). 1. War Mist, Al. A. K. MacoMlber CA. Esling) 2.Tiaechus, a M. "A. Deleau (C.-H. Semblât) i). Joaeliimjfà M. Constant Vandanuvfc (J. Jeunings) .(2 longueurs 1/2, t longueur). Non placés Consuelo, Eider, Synthème, Plixbourg, Soyez Ferme. Pari mutuel à 10, fruncs GagnaÙlt, 52 iï-. 50. Placés Wàf Mist, 25 fr; Bacchus, 21 francs Joachim, 48 fr, Prix de Paray (handicap, 15.000 fr., 2.800 mètres). 1. Muscat, au baron E. 'de Rothschild- (Bégûiristain) 2. Le- Vey, à M. Emile Marchand (M. Brethès) 3. -Le Hic, ;i Mme- Chipault (H. Pantall) (2: longiieyrs;. 4 longiieurs). Non placés,: Printaniér, Triton,: Sourcçi Sarton, Vïsiivi1, Ivçïdanyj ̃Imnui\ Ki-

tonibo, Lamoflaycr

^Pari mutuel 4, 10 .lianes. Gaguant, 3/ francs. Placés' Muscat, "T(j "francs Le Vcy,tG francs Le Hic^ 21 fr.,50. Prix Arreau (10.000 .-francs, 1.600 mètres). Dark .Marvel, au prince Aga Khan (I)..Leroy) 2. Le Portal, à M,

Marcel Boussac (F. Hervé) 3. Le Ré-

gent' H. au baron P. de Kceppen (G.- Vatard)' (1/2 longueur, 2 longueurs 1/2). (Non placés Xelleu. Huchet, El "Ma.nsour, Obernai. Le' Centaure, Centurion; Kadius, ̃ Archimèdc, Montesquieu, Belluaircv Triton IL BjoUtefeùJ Bolct Jaune;. Parbleu, Eddystone,' Casse Cœur, Battage..

Pari mutuel a 10 francs Gagnant 149 fr."5Û. Placés Dàrk Marvel. 47 fr.' Le Portal, 90 francs, Le Régent II', 37 francs. ̃ i

A MAUTOM$BILE^l Le record du modde de vitesse Les vitesses, nioyeijifês atteintes par Scegra-se le 29 mars snrla lïlàge1 de Dayion, soumises à l'homô-l'Ogation des pouvoirs sportifs' américains; sont les sui-' vantes -̃->«.! :̃; ̃ ̃•̃'̃̃• 1 kilomètre départ lancé 11 secondes 020. Moyenne à l'heure 326,101,678.

-clié; le matin du 7 mai, pour guetter Mlle Harlowe ? ̃̃

Sans doute.

ï/a venelle débouchait dans,un petit chemin parallèle la rue Gambetta. Hanaud s'y précipita. Un mur le bordait, qui pouvait nu mètre cinquante, et que divisaient, par intervalles, des portes de bois vermoulues fermant des cours intérieures. Hanaud s'arrêta devant la première de ces

portes el, se haussant sur la pointe des

pieds, regarda la cour au-dessous de lui, puis, au bout de lacoiir, l'arrière de la maison. Il n'y avait, dans le chemin, ni réverbère ni fenêtre éclairée, il y faisait noir comme dans une caverne; même après que ses yeux:eurent .commencé de s'habituer à l'obscurité, Jim n'aurait pas vu un homme à dix pas. Cependant Hanaud, cramponné à la crête du mur, continuait de scruter t'ombre devant lui. Enfin il attira Jim par 1;>. manche.

Je crois, murmura-t-il d'une voix .Ir'o'ubjée, qu'une fenêtre du prejnier étage est ouverte. Allons voir..

JI toucha la porte elle n'était retenue qu'au loquet et gémit sur ses gonds. Jim et lui s'insinuèrent dans la cour, la traversèrent. Le rez-de-chaussée était bas. Au-dessus de leur tête, Jim pouvait voir bâiller la fenêtre du premier étage. • Vous aviez raison, souffla-t-il. Mais une pression sur le bras lui imposa silence.

Derrière la fenêtre, l'obscurité régnait, muette et profonde.'Hajiaud, rasant le mur de la façade, découvrit à l'une des extrémités une porte. Il tourna la poignée, pesa contre le pan 1. eau. >

̃ Elle est "fermée à clef, murmura-t-il, mais non pas verrouillée comme celle -de devant. A la. bonne heure'

Des clefs bruirent, Hanaud se pencha, la porte s'ouvrit lentement. Elle donnait sur un corridor, plojigéjComme la chambre

1 mille départ lancé 17 secondes 665. Moyenne à l'heure 327 kil. 972. 5 kilomètres départ lancé 55 secondes 185. Moyenne a l'heure 326 kil. 175. Les temps exacts réalisés par Seegrave et enregistres par les appareils électri-' ques ont été, sur le parcours aller, avec départ lancé

1 kilom. 11 secondes 200.. 321k. 428 1 mille 17 secondes 940. 322 k. 936 5 kilom. 56 secondes 170.. 318 k. 753 Et sur le parcours retour, toujours avec départ lancé

1 kilom. 10 secondes 840.. 332 k. 103 1 mille 17 secondes 390. 333 k. 150 5 kilom. 53 secondes 900.. 333 k. 951 Ainsi que les dépêches nous l'avaient annoncé, la vitesse de 333 kilomètres à l'heure a bien été faite èt même dépassée, puisque Seegrave a atteint 3.33 kil. 95 à l'heure, sur une distance de cinq kilomètres.

̃ Le huitième Concours

du bidon de 5, litres

Avec l'appui de l'Office National des Combustibles liquides, l'AutomobileClub de l'Ouest organise, le dimanche 1" mai, sur le circuit de La Ferté-Bernard, le concours de consommation pour voitures automobiles, dénommé « Concours du bidon de 5 litres ».

La formule

Chaque voiture concurrente est munie, pour tout réservoir d'essence, d'un seul bidon de 5 litres du commerce ou analogue. Celui-ci est placé en évidence à l'extérieur de la carrosserie (sur un montant du! pare-brise le plus souvent). Il est reljé directement au carburateur par une tubulure unique, munie d'un robinet entièrement visible depuis la sortie du bidon jusqu'à son entrée sous le capot. Dans son bidon, préalablement vidangé,1 chaque concurrent reçoit, pour la première épreuve, cinq litres d'une essence touriste du commerce la même pour tout le monde. Pour la seconde épreuve, cinq litres d'un carburant de son choix. te gagnant dans chaque catégorie est celui qui, à l'allure. imposée de 40 kilomètres à l'heure et transportant par voyageur déclaré un poids de 80 kilos, parcourra le plus grand nombre de kilomètres, tous les organes de sa voilure, étant plombés (bidon de 5 litres, robinets, tubulures, radiateur, capot) et à condition de ne pas dépasser, en huile, la consommation d'un quart de litre pour chaque tranche parcourue ou corn-, mencée, de cinquante kilomètres. Le Carburateur

eOZETTE, enlève avec Gnonie-Rhônè

la Coupe Hutchinson du Tourist-Trophy

Bernard, sur Gnome-Rhône 500 cm3, remporte la victoire après avoir parcouru 4.987 kil. 500, s'attribue la Coupe Ponsot,. et, avec son coéquipier Naas, enlève la Coupe Hutchinson..

Tous les autres partants équipés du Carburateur Cozette ont terminé également, sans aucune pénalisation, la formidable épreuve. Ce sont les Liaudois, premiers des 250 cm3, et Parizet, tous deux sur Favor, et enfin Marceau et Robert, en 175 cm3, sur Jean Thomaun,

a. 1

AVIATION

Le raid New-York-Paris

Parmi les concurrents pour le raid sans escale New-York-Paris, le capitaine de corvette Noël Davis a surpris tout le monde en essayant son biplan à triple moteur. V American Légion. Il a déclaré qu'il était très satisfait de l'appareil et qu'il comptait partir au commencement de mai.

Ses concurrents croyaient qu'il était impossible que son avion fût prêt avant plusieurs semaines. iaec' Presque en même temps onjfi, annoncé que le commandant Byrd, qui; fait ra'nnéé passée J'expédition auj^ôlc Nord, a l'intention d'effectuer auss», tou mal, le même voyage sur un monoplan qui portera le nom de Americun et qui doit être prêt pour son premier essai vers le 20 courant.

Les Allemands battent à nouveau deux records du monde

On annonce que le pilote allemand "Rqeder -vient de battre deux nouveaux records d'aviation, lioeder a parcouru 500 kilomètres avec un appareil à trois moteurs portant mille, kilos de charge util?, à la vitesse de 175 kilomètres à l'heure, alors que le record précédent clair de 166 kilomètres à l'heure. Roeder a ensuite parcouru 100 kilomètres avec l'.OOO kilos de charge utile à la vitesse .de 179 kilomètres, contre 174 précédemment.

Lés épreuves militaires de 1927 La coupe fondée et dotée par M. Michelin poiir"]'année 1926r1927, et qui est en compétition depuis le 1" juillet, n'a pas encore été courue. Ouverte aux ap;pai;éils de bombardement de jour Bréguet'19 B2, elle consiste à parcourir, à la vitesse horaire commerciale la plus e'evéc, un circuit de 2.793 kil. 800, passant par Paris (Le Bourgct), Xletz, Neustadt, Strasbourg, Dijon, Bourges, Glermont-Ferrand, Lyon, Istres, Pau. Cazaux, Châteauroux, Tours, Romorantin, Chartres, Paris (Le Bourget). Les pilotes devront atteindre pendant le parcours de la Coupe l'altitude de

,|.00p jriètres vériflée. parilbarbgr.aphc'< en-

-l'episireur.

Lu p'rêcéd enté Coupe MichelirrTannéé 1925-1926) a été gagnée par le capitaine Coslin. à la vitesse commerciale de 163 kil. 643.

Pour 1927-1928, c'est-à-dire pour cette 'n'nnée, la même coupe entrera en compétition à partir du 1" juillet 1927, pour prendre fin le 30 juin 192*5. Mêmes ,conditions et même parcours que pour

du haut, dans des fenêtres opaques. Hanaud y pénétra sans bruit. Jim le suivait sur les talons, et son cœur battait avec violence. Que s'était-il passé dans la première chambre, la chambre^ sur la rue, après qu'elle s'était éclairée, et dans cette autre, -là, sur In cour, si sombre et si taciturne ? `? Pourquoi Jean Cladel n'était-il pas descendu leur ouvrir sa porte ? Pourquoi n'entendait-011 pas le sifflet de Moreau ni l'appel de sa voix Avant d'aller plus loin, Hanaud retourna pousser la porte, la referma à clef, puis, du bout des lèvres Naturellement. vous n'avez pas sur vous une lanterne électrique ? °>.

Prenant la main de Jim, il la posa sur la rampe. Jim chercha la marche, assura son pied et monta derrière Hanaud. Le palier où ils arrivèrent se trouvait juste au-dessus de la porte par où ils étaient entrés. En face d'eux, l'obscurité s'atténuait, devenait plus subtile; elle cessait d'être un capuchon impénétrable jeté sur leurs 3'cux. Jim comprit qu'il y avait là une porte ouverte et que, de la fenêtre ouverte à leur gauche par delà cette' porte, une lueur vague émanait.

Hanaud entra dans la chambre.* Jim Frobisher l'y suivait, quand l'inspecteur trébucha ct jeta un cri un cri étranglé,- mais si imprévu dans ce silence qu'il surprit 1

l'épreuve- 1926-27. L'altitude de 4.000 mètres doit être atteinte, les concurrents devront effectuer un exercice militaire consistant à effectuer 4 passages à la vertical d'un objectif en un seul vol, aux altitudes de' 1.000, ̃ 2.000, 3.00 et 4.000 mètres, et la photographie de l'objectif avec un appareil t'e 0 m. 50 de

'foyer..

Cet exercice sera contrôlé par la direction de l'aéronautique militaire. Le réseau aérien allemand

Voici les intéressants renseignements que le major Wronsky, directeur politique de la «German Luft Hansa », la société qui contrôle toutes les lignes de navigation aérienne allemandes, a donnés au cours d'une conférence à Londres. Le major Wronsky a reconnu que la Luft Hansa était déficitaire que 30 0/0 des frais étaient couverts par les recettes d'exploiations et que, pour le reste, les 70 0/0 de déficit, il fallait faire appel à l'Etat et aux villes.

Il a expliqué que le succès de l'aviation en Allemagne a été surtout déterminé par la position géographique du qui est le centre de croisement d^ toutes les lignes internationales. Le major décrivit les modèles d'avions employés, les méthodes: d'inspection des machines, l'organisation de. recrutement et d'entraînement des pilotes, et communiqua des statistiques sur le trafic de la compagnie. Ce trafic a été ouvert régulièrement le 6 avril 1926. Il compte 54 lignes aériennes allemandes et 15 lignes étrangères, desservies par 57 aéroports sur le territoire allemand le ré7seau allemand des routes de l'air représente 20.408 kilomètres. Les résultats obtenus ont été, pour 1926 56.268 passagers transportés 384 tonnes de ba-

gages 260 tonnes de marchandises 300

tonnes de transport postal.

La régularité des services a été généralement de 90 0/0. Trois accidents mortels seulement ont été constatés deux en 1925 et un en 1926. Le nombre de kilomètres parcourus a été de 6.141.479, soit environ une moyenne de 110 kilomètres par passager.

Sur les lignes allemandes fonctionne l'assurance automatique des passagers, qui sont garantis pour 25.000 marks lorsqu'ils voyagent à bord des appareils appartenant à la Luft Hansa.

En ajoutant aux sacrifices faits par le Reich ceux faits par les Etats, on arrive à un total d'environ 70 millions de marks d'appuis et subventions officielles, primes kilométriques, primes de vol, etc.

Les nouveaux avions étudiés par la Luft Hansa doivent, d'après le Temps, pouvoir transporter au moins 300 kilos de fret, 240 kilos de bagages, avec un emplacement spécial .pour le^yale^rs et

la poste. ̃• t

Le ràypri''d'àctioH ̃̃'aérait de'' l."200 ki-

lomètres, l'appareil, ïnultinrotéûrs, afin que l'arrêt de l'un 'd'eux n'ait aucune influence sur le vol de l'avion. La vitesse commerciale serait prévue pour 170 kilomètres à l'heure, avec une installation réceptrice et émettrice de télégraphie et de téléphonie sans fil. Le mouvement aérien français Le mouvement aérien français pour le mois de janvier, s'établit ainsi Sur les lignes Latécoère (ToulouseCasablanca, Marseille-Perpignan, Casablanca-Oran, Casablanca-Dakar et OranAlicante, 88 passagers, 1.265 kilos de messageries et 9.720 kilos de courrier. Sur les lignes Paris-Londres, ParisMarseille, Antibes-Tunis, 129 passagers, 20.789 kilos de messageries, 108 kilos de courrier.

Sur les lignes Paris-Amsterdam, Paris-Bruxelles et Cologne, 32 passagers, 2.503 kilos de messageries et 75 kilos de courrier.

C'est un trafic insuffisant et qui montre avec quelle lenteur se répand le goût du voyage aérien.

Pour les progrès, de l'hydraviation le prix Lioré-Olivier

MM. Lioré et Olivier ont remis à l'Aéro-Club de France un prix de 50.000 francs en espèces, en vue de récompenser l'équipage d'un hydravion à coque qui, entre le 1" octobre 1926 et le 1" juillet 1927, aura exécuté, avec le même appareil et le même moteur, un voyage aller et retour entre la' France' et l'une de ses colonies; lointaines, et aura le plus çontnibuéî par la ;v«leur de 15©jOPort technique réalisé et par le retentissement obtenu par le voyage, à faire naître et à développer en France l'idée que le navire volant devra être, dans l'avernir, un agent de liaison normal entre la France et ses colonies.

Le prix sera ainsi partagé -25.000 fr. au pilote, le reste réparti entre les membres de l'équipage au prorata des kilomètres et à condition que l'intéressé ait fait les deux tiers au moins du parcours.

New-York-Paris

Le commandant Byrd et le lieutenantcommandant* Noël Davis qui doivent tenter la traversée de l'Atlantique, de New-York a Paris, ont fixé leur départ au mois de mai.

TENNIS

tes promotions de Pâques

Après la clôture de 'la saison sur courts couverts, la'Fédération française de lawn-tennis procède à dçs promotions d'après les résultats des compétitions officielles. Les joueurs parisiens dont suivent les noms en ont été l'objet r- Messieurs. F.'Hansteeu, de 15,2 à 15; P. Joessel, de 15,1 à 15 L. Granguillot jeune, à 15,1 M. Francès, à 15,2 E. Géranton, à 15,2 J. Vétillard, à 15,4. Dajnes.i^- -Mlle Marguerite Ghanove, 'de 15,2 a ,5/6. Mlle S. Revel, de, 15,5, à 5/1 Mme Ayoibrihier, à- 15,4 Mme Roger Costallat, à 30.

Avaient été omis dans le classement du 1er janvier dernier

Messieurs. L. Rogers, 2/6 de Jessey, 4/6 Verneaux, lieut. Vigna, J. Vlasto, E. Vulliemin, A. Weiss et S. Zafiropoulo, 15 A. Charlier et R. Solliel, 15,1 Béasse, Dôeschner, Nouct et R.

Non, lui répondit Frobisher.

Moi non plus. Et je ne veux pas me servir d'allumettes. Je ne sais ce qui nous attend là-haut, mais j'ai peur.

Hanaud prononçait à peine les mots, comme si la simple vibration de l'air avait dû, quelque part dans la maison; prévenir des oreilles trop attentives.

Inutile de vous recommander 'la prudence. Tenez-moi par, le: veston.: 11 fit quelques pas.

Voici l'escalier. à droite. Il tourne tout de suite. Tâchez de ne pas heurter la première marche.

Snyers, 15,3 Wilhclm, 1.5,4 Latyioy,. J. Mourin, E. Pollct et M. Rufin,15,5. v Dames. Mlle L. Mouret, 15,4 Mlle Duché, 15,5. ̃ ̃̃

M. G. Hull (anglais) avait été omis à 15,2 dans la liste des joueurs étrangers classés comme habitant en France de- puis plus de deux ans.

La commission de classement a publié ̃ aussi une liste des errata aux classe- s ments qui figurent à l'annuaire de 1927, qui vient de paraître et qu'on trouve, 14, rue Duphot, au siège de la F. F. L. T.PC. Le Paribas bat le Club Sceen

Dans le premier tour éliminatoire du Critérium interclubs de Paris, sur ses ̃ courts de Rueil, le Paribas A. C. vient de battre le Tennis Club Sceen par!. 5 parties à 1 la septième n'a pas été terminée.

Simples. J. Deniau (P.) b. J. Fou- cault (S.), 6-1, 8-6 Magaloff (P.) b. Port (S.), 6-3, 6-4 l'illois (P.) 1). Mer- ̃ rine (S.), 6-1, 3-6, 8-6 Monteil (P.) b. '̃•̃ Tov (S.), 6-0, 4-6, 6-0 P. Deniau (P;) "b. 'A. Foucault (S,), 6-jO, ;64. Doubles. Port et Merrine (S;)' h. '̃̃'̃ R. Deniau et H. Jahan(P.); 4-6,6-1, 6^ç.'ifOi Monteil et-Sheade (P.) ,b;,J. et. A.. Yow-Ï .«, cault (S.), 2-1, arrêté. -> ». L'ouverture à Saint-Mandé •̃

Le lawn-tennis Club de Saint-Mandé, dont les courts sont situés 68, avenue- des. Minimes, ouvrira ses portes demain pour la saison d'été. Il y a encore quel- '̃• ques places de libres. S'adresser au se. crétanat, 3, rue Cart, à Saint-Mandé.

9 ̃ ;'̃.

La GOLF Fontainebleau'

La médaille d'avril de Fontainebleau' .f La médaille d'avril sur le parcours de r Fontainebleau, jouée sur 18 trous, a été. remportée par M. Cari Wijk (12) 69, de.vant M. L. V. Puyforcat (28) 73.

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BOXE

Au Cirque de.Paris t ̃'̃'̃

Le |ala. au profit de la Caisse de" secours ''de l'Union nationale ''̃̃' ''des combattants 'j!l Ce soir mardi, à partir de 20 heures, au Cirque de Paris, avenue de La Motte- è Piçquet, se déroulera l'annuel gala ar- •< tistique et 'sportif de l'Union nationale ̃ des combattants. Cette soirée organisée au profit de la Caisse de secours dev l'U. N. C., avec le concours de l'Ameri-, can Légion, est d'une importance excep-c- tionnelïe, et étant donné son but, il "est à prévoir qu'il y aura foule pour api plaudir tous ceux qui ont bien voulu prêter leur concours.

EDUCATION PHYSIQUE; i, Un institut de culture physique Mme Lacaze et le docteur G.-A. Ri- chard, directeur médical, ont, ces jours derniers, reçu, en leur Institut médical dé la rue Saint-Lazare, une délégation. •̃•- Le docteur Richard a exposé à ses. confrères quels étaient les buts de l'Ius- titut Lacaze mettre à la disposition de tous une salle d'éducation et de culture physiques, où l'on trouver.. les différentes formes de gymnastiques, analy- tique, synthétique, harmonique et d'ap- plication, de façon à pouvoir adapter à ̃̃̃'>. »; chaque cas particulier ce qui doit être, fait.

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Jim et le fit sursauter comme la détonation' d'un revolver.

Cependant rien ne survint. Personne ne bougea ni ne demanda « Qui est là'?» a Le silence retomba sur la maison, massif f comme l'obscurité elle-même. Enfin Hanaud parla, de l'autre bout de la chambre et sa voix était si changée que Jim hésita d'abord à la reconnaitre.,

• Ne bougez pas. Il v a quelque chose. Je vous le disais bien que j'avais peur.

Les mots expirèrent sur ses lèvres. Jim l'entendit se mouvoir avec précau- tion. Et peu s'en fallut que lui aussi ne poussât un cri: les persiennes de la fenêtre venaient, en effet, de se refermer, la chambre n'appartenait plus qu'aux ténèbres.

Qu'est-ce que cela ? murmura-Ml avec,. violence..

Chut lui répondit Hàiïaùcl. Je ne voulais pau. avec cette fenêtre? pu verte, faire de la lumière. Dieu sait^c'e cfû^Fs^st" passé d'effroyable. Entrez et refermez la porte..

Jim obéit. En changeant de place, il rc- marqua, sur le plancher, à l'autre extrémité de la pièce, une raie brillante, mince. comme un trait de crayon. Il y avait là une porte donnant accès dans la chambre dont il avait vu auparavant les fenêtres s'éclairer sur la rue Gambetta.

II ne s'en était pas plus tôt rendu compte que la porte s'ouvrait avec fracas, ;laï forme compacte de Hanaud se silhouetta. dans la lumière.

Rien ici, fit Hanaud, immobile et bloquant le seuil, les mains aux poches. ï.a chambre est vide.

(.1 suivre.) A. E. W. Mason.


Région économique de l'EstL'assemblée annuelle du Comité' èconpiniqùé régional, qui groupe dix chambres de commerce de l'Est de la France* a eu lieu dernièrement à Nancy^-en IMiôtel de la Chambre de commerce, sous la présidence de M. Dreux, président.

Parmi les délégués présents- des chambres de commerce, nous pouvons citer ̃•;

MMi> Perrigôt et Copel, "vice-président^et présidents des chambres de commerce d'Epinal et de Troyes Dutertre, secrétaire-trésorier et viceprésident de la Chambre de commerce de Châlons-sur-Marne Couten et Godinot, président et secrétaire tje là' Chambre de commerce de Bai>Ie:Duc Pesfre, président de la Chambre de commerce de Châlons-' sur-Marne Imbert et Sopulchro, tr.ésorier et-piernbçfltde 1%, Chambre,. de

comnierçe-diÉpinàl: ïtorget, Gardot

et Furxei»,. président, vi coprésident* et secrétaire-trésorier 'de la dhambre* de Commerce de- ,Lure; Tourtel, Krug, Yicê-pr.ésident et ancien viceprésident de la Chambre de commerce de N.anpy Boucher, membre de la Chambre de commerce de Sain{-Di& Guyard et Delanne, président et ̃vice-président de la Chambre de commerce de Saint-Didier Ricard, membre de la Chambre de commerce de Sedan.

Assistaient également à la séance

MM. le1 maréchal Lyautey, niémbre d'honneur; Daum, vice-président; Paul, 'trésorier, et Michel, membre de la Chambre de commerce .de Nancy; Fayolle, secrétaire général de la région économique de l'Est.

Le bureau sortant est réélu à l'unanimité pour 1927 i

Président," M. A. flreuk 'Viçet-prév sidents, MM. Peprigot et Copèl secrétpirpjtrésprier, M.-Dutertre. Télégrairtmes à M. Poincarè. Au début de la séance, et sur la. proposition de son président, le Comité économique régiona} adresse à M. Poincaré, président du conseil des ministres, ses respectueuses félicitations pour le redressement financier de la Ijjjuice et le vote rapide jpar, la

qlalllbrf?~it~¡#é1W~tlt;; J,a.JAj q(¡as]

msant la defeos.e1niiUqi\oIe>i3Jî.iritaire

et civile. Il lui "exprime, d'autre part, sa çonfÏÀnçe 4^ns *-M boiâ'yqîrs; pu- blics» afin, tju'ils côinmehcent etpoursuivent .sans retard, ainsi que l'aipro-' mis M. le ministre, de la guerre Painlevé, l'organisation de frontière de l'Est et- du Nord.

Parmi lès' vœux émis et; les ques-; tioni fartées par le Comité, signalons les suivants

Protection de la frontière. Comme suite au télégramme à rM- Poincaré,;l'assçm.bLée donne, son adhésion, à la création d'un comité-de protection de' la, frontière du Nord-Est, composé de représentants de divers organismes économiques, côitunpnes' de ïa région, groupements' de siiiiçtrés, familles nombreuses, .'anciens combattants, officiers de.réserve; etc., La présidence est offerte avec; insistance H-M.'Peri'igot, qui accepte. Le Jbut du comité est" de 'soutenir .l'actjçln.. du, gouvernement .par' une campagne de propagande auprès du

graiid',jiub}ic.

Bebôiseïncnt. La France ne peut fournir actuellement que la moitié du bois nécessaire à sa consommation fle. papier;, sans parler desi'lJe-. soins"* tlë la construction' et autres. Les disponibilités forestières, en Europe, nexOesseiUi de-;diminuerjJEt' le Canada, prejid, à ce .que l'pn dU> dfiS- dispositions pour fènùer, du ijiqjjis en partie, ses portes à l'exportation de la' p,âte, à papier, En France, les déboisements continuent sans contrepartie sérieuse de plantation; et c'est un danger réel pour notre pays. L'assemblée, sur la proposition de

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M. Dreux, confie à une commission, prise parmi ses membres, le soin de mettre à l'étude ùft effort régional de reboisement et la recherche des mesures législatives et autres propres à favoriser la? reconstitution de notre capital forestier. '.̃

Situation de, l'industrie du papier. Si, d'une part,'l'insuffisance de bois nous oblige; À jnjp<wi;e.i' de grandes quantité, de, pâtes de cellulose, notre industrie nationale du papier voit d'autre part ispri activité fprtement ralentie, en raison d'une protection douanière presque illusoire pour çer-, tains produits de -sa- fabrication, il en résulte que nos achats de'papier à l'étranger, sont passes de 13.000 tonnes en Ï913 à 179.00Û tonnes en

.1926. ̃̃' 7.

Sur la demande des chambres de: commerce de Saint-Dié.et d'Epinal, lerComité économique régional émet

le 'vœu ;'•>̃̃ '•'• ̃

« Que l'iiidfeji'ijî^pti'ôhaje du p'a-J pier i soit miëù^/Jirotegée; .'ppar .des* 1

.dvpus"'deo.ào«a;he>:apBr,oprïes^:

» £jjué, d'autre part;1 ïe" gouverne-

ment?, adopte une politique générale de reboisement de la France et des colonies pour assurer l'approvision- nement nécessaire au .développement de la fabrication' nationale des- pâtes de bois et des celluloses rappelant, pour mémoire, que c'est avec de' la pâte de bois que, durant je blocus, les Allemands ont fabriqué le nitrocellulose et les -poudres. >

Accord ,entre industrie, et'âgricuh. tare. Les- intérêts:' de l'industrie et ceux de l'agriculture deviennent de plus en 'plus connexes, notamment en matière! d'impôts' et de maind'œuvi'e.

L'assemblée estime, !qu'uiïe. collaboration étroite ,et concrète, entre, ces -deux forces -de- production, réalisée par une action concordante du Comité économique' régional et des chambres d'agriculture,* donnerait les meilleurs résultats.' ` Utilisation des fo~trs ~M travailleurs agricoles.– M. le; maréchal Lyautey entretient l'assemblée de. l'intérêt que présente la situation d'ouvriers -agricoles qui, pendant un certain nombre de inois^ en --hiver»-

manquent -parfois- -de- '-tî'âVar}/-PMr

s,ul|y Wiifeià leur .cii^etj.en., $. à. oc(tï'uï;

de ileur fa^)JÏ^c(jirtp1^epnti'

cœur-, abandonnent» 'ies.-ehahips pour

1^ ville et les usinesj-au détriment de la production agricole. N'y aurait-il pas moyen de'jiroçùrër' à ces ouvriers un petit travail 'à; 'domicile et suffi.samment rémunérateur pendant les* mois de chômage"?

Une première enquête permet de penser que 'l'Oit y- arrivera dans les cas les plus intéressants la vanne,rie pourrait,- en particulier, renaître dans nos campagnes la suite, d'une adaptation relativement facile. Consommation fdà pa,in par les chiens. *–ÏLe nombre ^des .chiens, en France, est considérable; ils epn-, sommeraient-par an plusieurs mil- lions; de quintaux de pain, alors que la production nationale de blé est insuffisante. ,t

̃ La Chambre de 'cohiniercè de Bar* le-Duc s'est déjà préoccupépde cette question et a demandé que, pour réduire la consommation du pain, on fabrique industriellement un aliment spécial pour chiens avec des farinés de succédanési provenant des colonies ou avec tout autre produit moins cher que'le'_blé,'et en tout cas moins indispensable à l'alimentation

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qui concerne spécialement les chiens de luxe et les chiens de chasser »?. 1 Prix du vin, Les prix du viô est de plus en- plus élevé. Dans le but d'enrayer la hausse persistante et qui frappe lourdement les modestes bufl" gets, l'assemblée émet le voeu « Que le gouvernement prennetoute mesure pour arrêter la hausse des yijis, notamment.

1 ° Par la réduction des droits de douane sur les vins étrangers et par l'augmentation du contingent de vins tunisiens admis .en France à des droits réduits. Ce contingent, quï été porté dernièrement à 600.000 hecVtolitres, démeure encore insuffisant 2° ,Par la. rétrocession, comme alcool de bouche, des a,lcools de l'Etat pour éviter la" distillation de 2 mil- lions d'hectolitres devin.-» ̃ Prix- du charbon. De décembre .1 025 à janvier 1927, les cours moyens (lep charbonist indnstriels^ont été tmajorés de 60 0-/O; soit -Un 'coefficient 7 par rapport à 191-4. Même enîtenant 1 cplnptie'de'la^bàisse- de t0 0/0'de ces derniers îtio.is, la question reste entière,' une aussi faible' diminution permettant pas à l'industrie .de reprendre son a'ctivijé, bien que' la métallurgife, par exemple, tenant çomp-, te 'de la revalorisation du franc, ,^it diminué ses prix de 30 0/0. ;• .Le Comité éconoriiique régional émet le vœu que « Sans porter atteinte au dévelop' peinent vital de la production, des houillères de France,, le gouverne-, ment s'efforce de réaliser ou cl'obte- rûr un sérieux abaissement du prix des charbons, tant français (y corn-»' pris charbons sarrois) que de'répij-. rations, en, hannonic avec la valeur,1 du franc.» » 7 Comité régional d'arbitrage.' -i-p L'assemblée: nomme le bureau duCor' mité régional d'arbitrage et lui c'6n-! fie le soin de mettre cet organisme, ep:

action. ̃

Colonies. La Région économie que de l'Est, depuis sa création,1 a? toujours, porté ses efforts sur la prdi1' pagande coloniale. En liaison aveçl1 les différentes agences générales,:des- •colonies, et notamment celle de Madagascar, elle donne à ses ressortissants intéressés dès renseignements

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collection' de produits coloniaux qu'elle désirerait compléter. A, cet efTet," elle a'c'cepteraitîavee empressement tous les dons de cette nature ̃ qu'on voudrait bien lui adresser. Chronique de I. & RF

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