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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1927-03-27

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 27 mars 1927

Description : 1927/03/27 (Numéro 86).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295087b

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CHRONIQUE DU «FIGARO »

LÂ'iom-ini,att.|);laeaï:iîi-

l'hQîîimé à l'auto, ^et les sept ânes de Bùridan

-se -an- an

Gulliver m'écrit r « J'ai, monsieur, hésité plus d'un ̃.moment avant de vous faire cette lettre, qui n'aurait point de raison d'être • si j'eft bannissais les remarques per-sûnnélles. Vous.n'ignorez pas que l'éducation anglaise me les interdit mais •je; pense que la vôtre n'est pas si rigoureuse sur cet article, qu'un épistolier doit moins regarder à ses conve.niarices propres et à ses préjugés qu'à -ceux de ses correspondants, qu'au surplus la France veut. plaire et que ses amis ont le devoir de lui signaler les maladroits qui risqueraient, si elle n'y mettait bon ordre, de diminuer son prestige 'aux yeux des étrangers.. Ces ;maladroits sont présentement au nombre de neuf, ni plus ni moins et sur ̃l^s^neuf il n'y a qu'un criminel, c'est peu, mais il y a huit parlementaires, •c'est trop. ̃ Le 'criminel est le docteur Bou'Jïàt, qui a tué un encaisseur et l*âprôvisbirement rangé dans un placard: eja France, dites-vous; il rTy a que le provisoire qui dure. Je ne vais pas vous raconter cette histoire vous la connaissez mieux que moi, et elle ne me passionne point. Si malveillants, d'ailleUrs, que soient à votre égard vos anciens frères d'armes, ils n'iraient point •jusqu'à solidariser (selon une expression barbare, inconnue de mon temps), solidariser, dis-je, tout le peuple français avec un médecin encore un peu plus assassin que ses confrères et du fait que ce Bougrat fut, pendant la guerre, un héros, ils veulent bien ne pas conclure que tous les héros, dans l'ênervement de la paix, deviennent nécessairement des Bougrat. Ce serait commettre une faute trop grossière de raisonnement, dont je ne sais point le nom dans le jargon scolastique, mais dont l'insolence crève les yeux. » II est néanmoins regrettable que la presse de votre glorieux pays dispense tant de place à un guerrier dé-:̃©hu comme ce Bougrat, et que l'on consacre de si longues audiences à son procès qui, chez nous, serait réglé en cinq sec (n'estrce pas une locution française ?). Je me défends toujours de çiteç J'AngTeterre en exeïnpfë", HïâB ^aveK-«fous *poiat lu, par hasardv ctaus nos* journaux, l'histoire toute récente d'un de mes honnêtes concitoyens qui, ̃ accusé ̃ d'un meurtre, dit simplement aïix jures « Je regrette de dire (/ am sprry fo say) que je l'ai commis.' » Le lord Justice consulta de l'oeil les jurés, qui lui répondirent d'un signe, et' il riposta du tac au tac. (encore une locution française) « Bien, vous serez j>éhdu. » Le tout n'avait pas duré trois niînutes.

v».Je passe aux huit parlementaires. h'ïïn est celui à qui la voix publique reproche d'avoir bousculé un pauvre homme, qui en est mort, et d'avoir aussitôt décampé sans demander son reste. Il vade soi, cher monsieur, que jusqu'à, plus ample informé je n'en crois rien. Je sais bien que)tout prévenu doit être, considéré innocent tant que la preuve- du contraire n'a pas été administrée. Je tiens mordicus à ce principe, d'autant qu'il est, si je ne me trompe, d'invention anglaise vous nous i?avez emprunté, une fois n'est pas cou-

tume.

^>) Ço qdi nous choque (pardonneznous, vous savez combien nous sommes faciles à scandaliser), c'est la lançon cavalière dont ce prévemt*ci se défend ou, plus exactement, prend Ja sorte d'offensive que" les 'AH'éîfaâhâS Sfp/èlaiênt offensive-défensive en 1914. ïl revendique l'inviolabilité non seulement pour sa personne, mais pour ses meubles et pour ses effets. Je ne serais pas surpris qu'à la. prochaine session H:, proposât de rétablir l'ancienne. loi du sacrilège et prétendit faire condamner, à l'amende honorable, nu en chemise, avec une cire au poing de quatre livres, non le cambrioleur qui a volé le trésor d'une église, mais le magistrat qui a porté une main hardie sur l'auto-d'un représentant du peuple. ,!» J'avoue que son système est sans réplique. On l'a vu sur le lieu et à l'heure de l'accident n'est-ce pas justement ce que l'on appelle une coïncidence, et'n'a-t-il pas, comme le premier Venu, le droit de se promener où il lui plaît ? Que si l'on a trouvé quelques débris de sa voiture dans celle qu'a héürïe'e-.uii inconnu, qui ne dit point son nom, ni.son numéro, et qu'on n'a point revu, cela ne fait toujours qu'une deuxième coïncidence, et l'on ne tardera pas sans doute à en découvrir une •troisième, pour .peu que le proverbe dise vrai.

-». Franchement, cher monsieur, estce que ces histoires vous paraissent plaisantes et bien imaginées --?-Si vous

y* apercevez ombre d'esprit, alors c'est

y\ape.rcevè~ ombre, d'esptit,alors, c'st

que' je suis devenu bien Anglais en vieillissant et que l'esprit de France, «Ue j'ai, tant aimé, est maintenant pour moi lettre morte. J'en serais fâché. Mais non, vous n'avez nul besoin de les trouver drôles pour ne les pas prendre au sérieux. Hélas! voilà ce que les étrangers, plus ingénus que moi, n'entendent point, et si votre député au vo,lant, avec ses façons de tranche-montagne, ne détourne de votre cher pays ipie ceux qui ne pouvaient déjà pas le sentir, vous m'accorderez qu'il ne contribue point à rehausser aux yeux du

monde votre gent politique et .parle-;jmentaire. ̃ » Maisiemal qu'il lui peut laire n'est rien au prix du discrédit que jettent sur elle les sept autres,, ses congénçr.e,s. Ce chiffre de sept vous, fait, je gage, deviner que je, veux parler des députés élus sénateurs depuis deux mois, qui n'ont pas, opté encore entre l'une ou l'autre Assemblée. J'ai cru sentir, à certains articles de vos journaux, que l'attitude, de jees sept ânes de Buridan entre deux -appétissants picotins, commençait dé làâser la patience française. Vous leur avez décoché des traits, qui d'ailleurs les laissent indifférents car ils feignent de ne pas comprendre les inj urçs et, de très bonne foi, ne comprennent pas l'ironie. Ils ont l'épiderme aussi dur que ceux de nos frères inférieurs dont j'ai dit, il n'ya qu'un instant, et dont je ne veux pas répéter le nom.

» Mais, à l'étranger, cher monsieur, vous ne soupçonnez pas quel effet déplorable peut faire une indélicatesse de si vulgaire. qualité. En Angleterre notamment, nous ne haïssons pas le scandale et le cynisme pourvu qu'ils aient de l*allure, nous sommes bien contents que pareille aventure'.ne nous puisse avenir, puisqu'il faut, être né ou anobli pour faire partie de la Chambre Haute, et que l'on ne peut matérielle1 mt*nt plut, éîi' ce cas, 'siéger aux Communes. ,“> T,V,v.'i c Abel Hermant.

̃̃ -̃̃>a.-<»^^s^>. ̃ 1^

Monopoles

La Chambre est obligée de s'occuper des monopoles. Elle en a tant parlé qu'un moment fa-

tal vient où un article de programme, qui. n'était là que pour là pompe électorale, menace d| devenir une réalité. C'est un des 's vices dè notre régime parlementaire qu'on y peut impunément proposer des mesures qui sont des sottises ou -des folies. Les apologistes ne risquent rien vils passent même pour des esprits hardis et pour des démocrates avancés: Mais un jour arrive où les projets en l'air, à force d'avoir été mis en formules, prennent une sorte de consistance. Le moindre accident politique suffit à leur donner une existence improvisée,' aux dépens de la nation. C'est ce qui est arrivé jadis pour le rachat de ,1'Ouest.et, plus récemment, pour la loi'-de huit heures. Même aventure pour les monopole?; La Chambre ayant institue" par hâs'aWi/ W f- A six mois, celui des pétroles. hésite devant l'mcônrra,"6t ellerèfcùte devant îli'"èhatge d'un milliard qu'il en coûterait au budget. Sur le papier, et en réunion publôçaje* toat semblait facile. L'expérience a de dures exigences les chiffres nont pas -de complaisance pour la gauche •; l'arithmétique résiste au, Cartel. Alors la Chambre se contente d'ajourner ce qui, examen fait de la question, est décidément impossible. Elle n'abjure pas ses erreurs elle ne revient pas sur une: résolution prise à' l'aveuglé et insérée dans la loi à la faveur des lassitudes d'une discussion budgétaire. Elle se contente de remettre à plus tard l'application des lois inapplicables. Pratiquement, c'est le moindre mal. Mais politiquement, quelle inconsistance démagogique que de faire des promesses que personne ne demande, et de remettre d'année en année, ou de législature en législature, l'heure d'en tenir compte ou de les révoquer

̃ Dans quelques jours la Chambre aura l'occasion de montrer si, quand il est question de monopoles, elle est capable d'avoir une volonté, et de faire passer les intérêts évidents de, nos finances avant ses préjugés socialistes. Il s'agit du monopole cdes-allumettes. as»ur^ que le gouvernement est saisi d'une proposition intéressante de régie. L'Etat,, le budget, ;les ouvriers et le consommateur se trouveraient;* également bien de cette réforme. Le projet n'a qu'un défaut au ,regard du Parlement il n'est pas conforme à,la doctrine socialiste, et il aura contre lui les révolutionnaires. Les radicaux nous donneront, à ce sujet, la mesure de leur indépendance ils diront, s'ils sont capables de mettre le biçn public audessus de leurs systèmes particuliers, ou s'ils, sont définitivement dominés par des maîtres internationaux qui disposent, par leur entremise de l'activité, de, la prospérité et de la liberté de notre pays.

–=–«~

M. MELLON S'EST EMBARQUE POUR L'EUROPE

New-Yokk, 26 mars. M. Mellon, secré taire ..d'Etat à, la Trésorerie américaine, s'est embarqué aujourd'hui à, destination de Paris, a bord du paquebot Olympic. ̃̃' On- sait que M. -Mellon vierit rendre visite à sa fille, Mrs David Bruce, entrée- en convalescence après avoir subi l'opéralion de l'appendicite.̃

Notre, Page coloniale est, exceptionnellement, reportée à mardi matin,

» "FÍ'G'~RÓ,

LE FIGARO

Fondé le, 14. Janvier .1826

Anciens Directeurs: H. de Vu,lemessâïïT, F. MAGNARD, G. Calmette, A. CAPUS. ADMINISTRATION RÉDACTION PUBLICITÉ ANNONCES II, ROKD-PO1NT DES CHAMPS-ELYSÉES. PARIS Téléphone Elysç'cs 12-58, -12-61, 02-65 = ABONNEMENTS s

j t .3, mois 6,mois i an

Raris,Dépattemcnts&Cqlonies. 30» 54 iOO »

ÉTRAKGËR' inn i on » Pays'à tai-ïf postal réduit. 52» IOO» 190» Pays à tarif postal augmenté.. 72 140» 260» 1 On s'abonne dans, tous Its Bureaux de Poste de France Chèque postal 24:- s; Paris

..V-OfcA P&kl TIQUE .|

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legs histoire yousiums^

•Si lrhistoire du scandale: Mailhot amusait quelqu'un, par hasard, =*eluMà pouiv rait.être satisfait elle recommence à chaque Conseil des :ministeés.. On, la traite en livraisons. Rappelonsies principaux chapitres. Le scandale /a éclaté l'été dernier dans la presse. Il a- traîné jusqu'à l'autre vendredi sans, que* -sur cette affaire qui aurait dû rester purement administrative, le ministre, ait pris par.ti-: il s!en remettait au gouverneur -général, qui prenait seul les responsabilités-! On se rappelle l'interpellation tumultueuse et confuse qui s'ensuit. Le député-gouverneur pose la question, de confiance, personnellement, devant ses collègues. Le président du Conseil, au moment du.vote, vient remettre un peu d'ordre constitutionnel dans le dé- bat. C'est lui qui choisit l'ordre du jour qu'il accepte la Chamhre, à sa/.dëfnànde, s'en remet au gouvernement. Dès le lendemain, celui-ci ordonne, ^vec lîenquête qui s'imposait, la suspension des effets de la concession discutée. ̃

Hier, nouveau Conseil," înçayelle périr pétie. Le ministre;.des colonies, conformé- ment à l'avis de ln^commission des domaines et des concessions coloniales, décide de poursuivre par voie judiciaice l'annula:.iion âb& Iraux.. emphytéotiques du Dar-lac. PiaignSns les porteurs, de titres qui oi»ti acheté au plus haut cours, et de bonne foi, cette valeur à des spéculateurs qui se désintéressent totalement de l'affaire aujourd'hui. Mais surtout, demandons-nous un peu, comme Figaro, pourquoi ces choses et non d'autres ?

Si le gouverneur général d'Indochine était un administrateur de carrière, et non un .vice-président de la Chambre qui a quitté le fauteuil pour partir en mission, est-ce que les incidents actuels pourraient être présentés par certains comme une lutte de puissances ? Le chef aurait couvert le fonctionnaire, ou l'aurait soumis à> l'enquête, ou l'aurait révoqué. Il aurait, on veut, le croire, cqmtnencé £ar -consulter sur l'affaire cette commission [dont: pn n'avait.pas encore parle et dont l'autorité est grande puisque son tardif avis déclenche une action judiciaire, aux conséquent ces graves. Si, depuis six .mois, elle avait été saisie, cette commission que le minis» tre écoute, tout ce bruit néfaste serait dès longtemps apaisé; Ses conclusions auraient coupé court à .toute interpellation, toute polémique! Entre parenthèses, on devrait bien demander à cette coranijssibn retrouvée son sentiment sur d'autires contrats asiatiques ou africains, critiquéSf: aussi vi^> vement; mais avec moins de retentissement-

.qW.laiïdjJgesSïOH Mailhot. O(t épargiiwàït

peut-être ainsi a nos colonies- et à l'épargné,, d'autres av.entures. pareilles. v- >~ En attendant, on voudrait en terminer avec celle-ci. Le Darlac eèt loin, sans"' doute, et c'est la saison des "pluies; Maisc ce n'est pas une raison pour que la formation même de la, cominission d'enquête soit aussi lente, ̃<•̃' î ̃• M. Vàrenne retarde encore, son déparjt? C'est, explique-t-on, pour éviter d,e voya< ger avec les enquêteurs. Mais eux, partiront-ils le 8 Leur àura-t-on troiivé un président d'ici ? Nous le saurons peuti être au prochain numéro, .nous voulons dire au prochain conseil des ministres 2, Henri Vonbven.

Voir, en troisième page} le Conseil des ministres.

-+̃+**̃̃+– =

Quelques précisions s,. sur les troubles e Nankin

.̃̃ ,.f

Selon les dernières nouvelles qui nous parviennent de Chine, si la situation n'd jamais été très mauvaise pour les êtraiigers à Changhaï, grâce sans aucun douté à la gàrâe-.4esv.eoiafiessïoas ,pw. les mariiif européens et aux renforts envoyés par la Granclei'Bi>atagii®p«ui»i-i)i>otégep la vie1^ les biens de ses nationaux, il n'en 'a1 pas été de même à'NSnkin, où les troubles qui se sont produits ont été très graves, La population étrangère a été molestée et il a fallu l'énergique attitude des commanjdants navals britanniques et américains pour obtenir des chefs,lde l'armée de Canton que tous les étrangers fussent autorisés à se rendre à bord des navires de

guerre. 'i

De graves dégâts ont été subis par les ressortissants étrangers. Les; consulats britannique, japonais et américain ont êtë saccagés. Des centres de mission ont été dévastés ou brûlés. De nombreux étrangers, y compris des femmes, ont été sérieusement molestés. Le docteur Williams, vice-président américain de l'université de Nankin a été tué, le consul anglais, M. B. Giles, et deux attachés du consulat jàponais ont été blessés."

Le vapeur Kungwou,, escorté par une canonnière anglaisât et .un contre-torpi|j[leur américain, est arrivé à Changhaï,! ayant à bord 140 étrangers évacués, de Nankin. Durant le voyage entre' Nankin et Chdm> haï, les trois bateaux ont été soumis' a' un violent feu de mousqueterîfe partant des deux rives du Yan-Tse-Kiangi;>

Les réfugiés déclarent que le tir de bar- rage: effectué à Nankin par les pièces fte maririfr des bâtiments de guerre américains, pour assurer la retraite des étrangers, a duré environ trois heures et-qu/il n'y a aucun doutequer sans» l'entrée» en action des unités navales en qaestion, tops les étrangers de Nankin auraJeat été massacrés par les soldats chinois.

Les pertes de la colonie étrangère de f Nankin seraient de trois tues et quatre ble.ssés. Mme Davis,- femme duccbnsul général

américain à Nankin,' a déclaré au corres-

pondant de la Britisli United Press à Cfa.a«ghaï que les étrangers, avaient offert de l'argent aux soldats chinois pour, que ceuxci leur permettent de quitter la ville.^saus être molestés, mais que les soldats répondirent qu'ils n'avaient que faire d'argent et que ce qu'ils voulaient avant tout, c'était tuer tous lès étrangers, sans 'distinction de nationalité.

LETTRE D'AMERIQUE

̃ .• m' .̃̃̃'•

~1:"Etats~UlÍiset I~Angléterre s II y- a quelques années, Ja- Grande-Bre- tagne était la bête noire des Etats-Unis. II n'est pas vrai que nous l'ayons remplacée datas ce rôle, mais il 'est exact qu'elle est devenue « amie de cœur » de l'Amérique. Et c'est là l'un des plus curieux phénomènes de l'époque présente. liestpartieulièrement apparent et instructif en ce moment. Les semaines qui vien.nent de s'écouler ont donné, tant à l'Angleterre qu'à l'Amérique, de fort bonnes raisons pour s'exciter contre la « nation sCeur » et, à. la- 'surprise de tous, ces incidents,» loin de nuire à la fraternelle intimité anglo-américaine, semblent'au contraire l'avoir cimentée.

L'Angleterre s'est permis un « geste » qui jadis eût soulevé aux Etats-Unis une bruyante indignation. Elle a envoyé un croiseur dans les eaux du Nicaragua, sous prétexte de protéger ses nationaux, que protégeaient déjà Une flotte et une armée qméricaines et' que personne ne paraissait songer sérieusement à attaquer. Par là, -l'Angleterre a porté une atteinte directe à doctrine de Monroe, qui "interdit l'intervention des pouvoirs européens dans les affaires du Nouveau Monde. Qu,eJ.ques Américains,; inibus, des bonnes trà(îlttons,, ont été sur le point 4e s'en indigner, mais immetliatement le président Coolidge en personne a fait savoir qu'il ne voyait aucun inconvénient à cette démarche de l'Angleterre, bien au contraire. « Plus on est de fous, plus on rit », dit un proverbe français, et M. Coolidge semble l'avoir repris pour cette occasion. Que les temps sont changés. Nous sommes loin de l'époque où les Etats-Unis ne, souffraient pas de voir des navires de guerre européens dans les eaux américaines et où le kaiser se faisait donner sur les doigts parce qu'il avait voulu en envoyer au Venezuela. Quelques sénateurs naïfs et en retard s'étonnent encore, mais l'opinion publique ne les suit" pas et est avec le prési- dent. Des esprits subtils prétendent même qu'en envoyant ce croiseur au Nicaragua ] l'Angleterre, loin" 'de faire quoi que ce soit de désagréable au gouvernement américain, a- continuera jouer là ce rôle de brillant second7 qu'elle semble avoir accepté. Ce croiseur, l inoffensif, symbolique et muet, n'aurait servi, d'après cette interprétation, qu'à manifester la bonne volonté du gouvernement anglais vis-à-vis du gouvernement américain. Celui-ci, engagé dans une campagne ennuyeuse et un peu ridicule au Nicaragua, ne trouve pas déplaisant d'avoir un camarade avec 'soi'ftt de pouvoir dire :_«..Vo«s voyez bien

que tout }$.̃ môJid», trçriivé ,îa situation.

grave. L'inertie et la déférence du croiseur anglais ont fortifié cette hypothèse Ingénieuse.

Pourtant les Anglais avaient de bonnes raisons de se montrer nerveux. Une fois de plus les Etats-Unis viennent de "convoquer une conféreiiee du désarmement. Il s'agit de limiter le nombre des croiseurs dont les Anglais ont en abondance et les Américains peu. Dans ces conditions, il est, logique que les' États-Unis fassent un beau geste pacifiste, proposent une réduction générale des croiseurs, ce qui leur épargnera des dépenses et contraindra les Anglais à des concessions sans qu'ils aient chance de recevoir de compensation. Les seules compensations possibles et envisagées eussent été les sôus-marins français que, semble-t-il, le gouvernement américain eût été prêt sacrifier, en tout ou en partie. Le refus de la France de participer à la conférence rend cette réunion décidément pénible à l'Angleterre, qui cependant accepte de s'y rendre, comme l'exigent l'entente anglo-saxonne et les besoins de sa\ propagande.

;• ̃ ;•̃̃. ̃ :.• .:̃

Elle est trop engagée vis-à-vis des EtatsUnis pour reculer. Chaque jojir qui passe vapproclte les deUx p'âys. Kécemment la réception; à Washington, dtt' uaiivël ambassadeur canadien, homme tout à fait remarquable et sympathique, a donné lieu :'l des manifestations cordiales mais troublantes. Ôii, s^ demande si le Canada est un dominiori janglais ou une dépendance économique de^ Etats-Unis. Le blé, le principal produit du Canada, a son marclié de vente à Chicago, et c'est à New- York que se font les opérations financières relatives à ce commerce. C'est le bois du Canada qui alimente les journaux américains c'est là un énorme commerce. Enfin, si, les projets actuels se réalisent et si l'on creuse le canal des, Grands-Lacs, que réclame ardemment tout le centre des Etats-Unis, 'cette région aura son débouché commercial à travers la province de Québec,, le Canada français.

L'Angleterre est siir la route des sacrifices elle les fait avec élégance, mais elle n'est point au bout de ses peines. A, vrai dire, elle en est ^récompensée par la faveur, dont elle jouit outre-mer. M. W. R. Heaist lui-même, le grand journaliste, jadis àritiânglais, antiallié, progermain, etc., a si bien changé que lui et tous ses journaux prônent en ce moment une sorte de fédération anglo-américaine. Sans doute Hearst n'est pas pris au sérieux dans la Bonne société, mais les nombreux quotidiens et périodiques qu'il possède toucJient de vastes masses, et .précisément celles qui jadis étaient le plus hostiles à l'Angleterre, les Irlandais, les pauvres gens, etc. Le changement a été si rapide et il est si surprenant que l'on raconte à ce sujet une anecdote qui devrait être vraie « Comment avez-vous pu ̃ changer d'opin'joli si rapidement, M. Hearst ? lui disait un.de ses amis,' vous le grand patriote américain, prôner une fédération angloaméricaine, quand jadis toute idée de collaboration avec l'Angleterre vous était odieuse l » On. ^prétend queHeafst répondit «Jadis l'Angleterre était la plus forte -nous allier avec elle," c'eût été nous mettre à su remorque maintenant, nous

sommes les plus forts nous allier avec elle, c'est prendre la. tête d'une fédération qui peut être la plus forte du moRde, » Un bon nombre™- d'Américains sont de cet avis, mais ils trouveraient excessif de l'é- crir^ et;ils savent bien -que les conditions' indispensables au succès de cette politique' sont l'appui'' financier de l'Amérique à l'Angleterre le sacrifice par l'Angleterre de son prestige militaire (sinon de sa force, car ce sont là deux termes distincts), l'entente tacite que rien ne sera écrit, car tout texte d'alliance, dans l'état d'esprit actuel du peuple américain, surexcité contre toute sujétion, toute compromission, toute diminution de sa liberté théorique, serait assuré d'amener une réaction.

Malgré les critiques, assez nombreuses, que l'on entend formuler ici contre le president Coolidge, je ne puis m'empêcher de penser qu'il a mené ces négociations et dirigé toute cette entreprise avec persévérance et sagesse. Son pays n'y a rien perdu. Et. après tout, l'Angleterre aussi peut y avoir gagné. On gagne toujours à accepter -de; bonne grâce le destin.

Bernard Fay.

ÉCHOS La Tenapératuïe

Probabilités pour aujourd'hui '̃'̃ Vent sud-ouest à ouest- assez fort.

Pluie sitivie d'éclair des et d'averses.

Même température. Conseils financiers.

On sait combien il est délicat de donner aux capitalistes des conseils pour leurs placements d'argent. Il est plus délicat encore de choisir, parmi les journaux financiers, ceux qu'il est bon de recommander. L'administration des postes ne s'embarrasse pas de ces finesses. Elle attire, dans ses carnets de timbres, l'attention sur les journaux financiers qui veulent bien recourir, à cette publicité. Ce journal est sérieux puisqu'il paie, se dit l'administration des 's postes. Se doute-t-elle qu'elle prend une certaine responsabilité ?

~w~

Contradictions.

M. René Chavagnes, député de Loiret-Cher, va comparaître devant le juge d'instruction pour homicide par imprudence.

Or, en même temps, il est prévenu, tan* prudence serait grande, d'avoir commis-le délit de fuite 1

Or- ftè peut concilier ces deux acousations qu'en précisant que, les deux délits firent eoiam-is i'xtn après Patitre; j^ojfts de robes. '̃̃•'

La province suit de très près les modes parisiennes. Un journal provençal décrivant sur le mode' lyrique la présentation des modèles d'une couturière locale nous donne les noms de quelques-unes des robes offertes à la clientèle. Nous relevons parmi ces noms « Pourquoi pas ? Voulez-vous ? Je veux plaire. Suivez-moi. Mon premier béguin. Mon deuxième béguin. Ma passion. Me voici. Pour vous. J'attends. Tentation. Tête à tête. J'ose. Petit péché. Passionnément. Eperdument. » C'est ainsi que les dames de Provence effeuillent la marguerite. •<

L'heure officielle.

Nous avons signalé la fantaisie de certains receveurs des postes des départements, qui ouvrent leurs bureaux à l'heure locale, alors que cette heure n'existe pas en réalité.

Consulté sur ce sujet, le ministre du commerce et des P. T. T. vient de répondre que « l'heure officielle est transmise chaque jour par le poste central télégraphique de Paris à ses correspondants franjîais ceux-ci la communiquent à leur tour 'OeuYs^iburéâiïx "satellites; et c'est cette heure qui doit être observée pour'l'ouverture et la fermeture des guichets des bureaux df poste »..

Voilà la question tranchée.

1– m »

Goût, style, beaux meubles, une exécution impeccable. Ces mots pourraient servir de devise à Smith, doni l'exposition et les ateliers, 22, rut Dautancourt, fournissent aux amateurs de belles choses l'occasion d'admirei sa maîtrise et son sens raffiné dE l'harmonie.

Bien que mars touche à sa fin, la saison, à Nice, n'a pas encore marque de ralentissement. Tout au contraire, le délicieux climat de la Côte d'Azur attire tous les jours sur la Promenade des Anglais l'élite de la société cosmo.polite de la Riviera.

Nombreux sont les Parisiens qui onl retenu leurs appartements dans les hôtels de Nice en prévision des vacances de Pâques. A cet effet, l'hôtel Ruhl prévient ses fidèles habitués que des prix spéciaux ont été établis pour cette période.

~.z~ Le Masque de Fer.

TABLEAU DES CHANGES: A PARIS;

a 18 heures Le Dollar vaut M « 25,53 La Livre vaut. M 124,05 La Lire vaut 1,17

Parité New -York.. 3,91 5/8 VOIR LE COURRIER DE LA BOURSE.E1 LA COTE DE!> VALEURS A PARIS, LONDRES El NEW-YORK PAGE 4

AU JOUR LE JOUR ghïënFI'auto

l' ~j,

Quel esprit, prompt à VatiticipatÎQn, aurait prévu que l'automobile "devait avoir, de nos jours, une influence primordiale ̃ sur le sort de la gent canine ? Depuis que la cinq ou six chevaux paraît être l'une des conquêtes les plus certaines de la femme, la mode impose un chien de garde comme l'accessoire obligatoire d'une voiture en ordre de marche.

Non pas n'importe quel chien. Le berger d'Alsace tient trop de place" dans une carrosserie surbaissée, et le pékinois, ce protégé des boudoirs, ne fait guère figure de chien protecteur. Aussi bien nos compagnes se sont-elles décidées pour le bull où pour le caniche blanc. Ne tentons pas dayantage de justifier leur choix la mode s'en mêle il y faut de l'arbitraire. Notons simplement que le caniche blanc détient cette supériorité d'être à double usage, et d'avoir bonne grâce, le matin, au Bois, auprès d'un tailleur sombre sur corsage clair. Une autre conséquence de cette mode, est une transformation remarquable du vocabulaire de la route ou de la rue.

Les chauffeurs, jusqu'alors, s'étaient assez volontiers annexé une tradition dont, seuls,; les très vieux cochers de fiacre détiennent le secret intégral. Les incidents de carrefour-les trouvaient sans aménité verbale, et les passants, d'aventure^ y goûtaient une distraction y,

innocente.. ')"

i-jflnocente.i le chien, qui pense avoir charge également de l'invective, a tôt fait, d'une voi* ture à l'autre, de rendre toute réplique intraduisible en dialecte humain. Mieux vaut y rerioncer. Ainsi se crée un nouveau code de civilité canine et honnête, et nous y gagnons de voir s'établir une sorte d'amabilité de la route, de politesse du volant dont ces dames, d'ailleurs, réclament tout le prix. Elles affirment que leur influence est, au croisement d'une départementale et d'une nationale, ce qu'elle est dans un salon, et que nos mœurs, qui avaient trop de tendance à se faire soldatesques dès que nous mettions le pied sur un ac- célérateur, leur devront cette grâce. Nous leur devions tant, déjà, que nous n'au-' rons pas le coeur de contester cette obligation nouvelle.

nouyelle. Robert Destez.

̃- r •+̃+̃*̃̃?̃ ~k.

Le procès Bougras

h La paisible vie

de l'employé Rumèbe

.n i i'h

Âjx-en-Pkovence, 26 mars (De notre envoyé spécial). Bougras, hier, m'a, paru simplement odieux devant la veuve de "Rumèbe. Il h!» pas eu un mot, pas un ï1 geste. Rie». 11 a perdu une belle occasion d'attirer sur lui un peu de pitié. La veuve en noir est debout dans le prétoire elle fut la femme de son compagnon de tranchées qu'il dit aimer il a mis le corps de cet ami à pourrir dans son placard, et à cette malheureuse femme, il n'adressera pas un seul mot. ] » Quelle jolie description d'un intérieur paisible, de petit employé de la banlieue de Marseille, nous a faite Mme Rumèbe. Elle ne s'en doute même pas, cette femme qui parle avec un bel accent provençal elle ne cherche pas, mais elle trouve les mots qui émeuvent, et la vie de Rumèfre nous apparaît simple, et modeste, et touchante.

Nous n'étions pas: riches, mais, nous vivions comme des rois. C'était à Saint-Henry, au bord de la mer bleue, et tous les jours Rumèbe s'en allait à Marseille par le tramway. Il rentraitf.dejeuner' en famille, repartait, revenait, le soir, soignant ses pigeons et ses canards. Comme distraction, le dimanche, il jouait aux boules avec les gendarmes, ou faisait une partie de dominos avec un vieil ami de 70 ans, membre de l'Harmonie de SaintHenry. Il accompagnait la fanfare les jours de fête il ne songeait qu'à l'époque de la retraite, comptant finir ses jours, la, à Saint-Henry, devant la mer, avec ses enfants et ses oiseaux.

Un jour, il ne revient pas déjeuner. On se met 4 table sans lui, car les enfants ont failli. Il fie retint jamais, et la malheureuse fe.rn.r4e. est "alors persuadée qu'on l'a tué pour le voler. Elle va dans tous les hôpitaux, dans tous les postes de police, partout. Pendant des jours et des jours,, elle bat Marseille, ses avenues et ses ruelles., cherchant s'il n'y aurait pas chez quelque fripier des vêtements de son mari mort. Non, rien. Un jour, elle apprend que Bougras le soignait. Elle court chez le médecin.

Oh c'est un homme du monde comme il n'y en 'a pas. Il me fit asseoir sur le canapé où il avait assassiné mon mari, dont le corps était là, chez lui. Il nie dit « Je ne sais rien, Rumèbe m'a quitté un » matin, l'air très heureux car je lui 'avais fait sa dernière piqûre ». ̃̃̃̃̃- Mme Rumèbe, très 'émue, arrête un ins-* tant. Sa dernière piqûre, je le crois 'bien. Hélas Puis il me dit « Si on retroave » son corps, je ferai son autopsie gratui» tement. »

Bougras ne bronche pas, mais il a les s yeux baissés et ne regarde pas la -veuve. Celle-ci s'anime. C'est un criminel, on n'a jamais voulu le mettre entre mes mains. Messieurs lès jurés, je ne vous demande qu'une chose, sa tête. Je ne demande que ça, que ça. Voilà. ° L'émotion est profonde.

–̃Bougras, avez-vous quelque chose -.à dire? demande le président. ` '̃•;

Et, avec un geste évas if, presque méprisant .̃̃

-«• Absolument rien-», répond l'ac-

cusé, sans même se lever, et son silence est vraiment pénible. ̃

Singulier accusé qui n'aura pas non 'plus un mot de remerciement pour son ancien chef, le-colonel Malandrin,' venu tout exprès de Rouen pour parler de la belle conduite de Bougras à Verdun, et à Salonique.

Un cours sur lés poisons

Pour confirmer le rapport de l'expert de Lyon, le docteur Barral M" Stéfani Martin a cité M. le professeur Desgrê^, membre de l'Académie de médecine un petit homme à la barbiche blanche, au* yeux mi-clos derrière son lorgnon,,et qui, longuement, allant, venant'dans le prétoi-


re, tantôt se frottant les mains, tantôt les mettant toutes deux dans les poches de son pantalon, puis les retirant, coupant l'air d'un geste bref, regardant les jurés d'un air peu commode, comme s'ils étaient des candidats à' un examen, il commente le rap.port du professeur Barrai.

A la première lecture, dit-il, on croirait le docteur Barrai favorable à l'accusation, puisqu'il écrit « Je cherche les poi» sons a, donc cela pourrait faire croire qu'il songe à un empoisonnement. Et le professeur, d une voix âpre, au débit rapide, qui ne semble admettre aucune contradiction

On a trouvé dans le corps de Rumèbe un'peu de mercure, et on a conclu qu'il provenait d'une injection. Qu'en sait-on ? Rumèbe aurait pu absorber du calomel. Le docteur Barrai dit que l'arsenic et le mercure ont été injectés peu de temps avant la mort. Qu'en sait-il Ils peuvent avoir été injectés huit jours avant. Tout cela, c'est de l'hypothèse. >i .t-x' Qu'est-ce qu*un toxique ? lui deman- de Ji'Stéfanf Martin. •̃>> > aj Le professeur plonge les deux mains' dans les poches de son pantalon, prend un temps et répond ̃ i– s Up, toxique, c'est aussi embarrassant à définir que l'espace et le temps. On emploie des toxiques comme médicaments, cela ne veut pas dire qu'ils tuent. Au point de vue juridique, c'est la quantité qui définit le poison. Injectez-moi un demi-centigramme de morphine, je pourrai m'en trouver bien et y prendre même du plai-

sir.. -.•

Tout, va sembler anodin et aimable pour le professeur, le monde des poisons det vient une sorte de paradis artificiel. L'açjde cyanhydriçuè, continue le docteur d'une voix tranchante, mais nous en prenons quand nous sommes enrhumés et que nous avons un bon médecin il s'appelle le laurier-cerise l'arsenic, mais les jeunes filles du Tyrol en prennent pour se donner aux joues de belles couleurs le mercure, mais on l'emploie dans la toilette .tout dépend des quantités. ,-r- Rumèbe a-t-il pu mourir du choc consécutif à une piqûre ? demande-t-on. Certes oui. A l'hôpital de Saint-Lazare, il y eut dix morts dans la même semaine, a la suite d'injections à l'arsénobenzol, car l'arséno-benzol employé était impur. Mais> meurt-on tout de suite, le choc est-il instantané? •̃̃̃̃ ̃̃

Les mains du professeur se-i-replongent encore une fois dans ses pochesyil se ̃̃<SSrJ'; re, sur Jes jambes et s'écrie, "d'une '.voix*; tranchante; et sans répliqua «̃• ̃̃•; ̃• -T- On peut mourir huit, dix/douze jours-! après une piqûre;' on peut avoir longtemps après des érythèmes de la peau, des accidents gastro-intestinaux, des hémor- raghies ,on peut avoir un ictère, et j'an» pelle ictère un reflux de la bile dans le sang, vingt jours après.

Et la conférence se poursuit, le professeur choisit ses mots avec soin état, nocivité, toxicité, quantité, idyosincràsie.i. i. Et rien ne peut rendre l'autorité tran- chante avec lesquelles il parle, les yeux toujours ̃ à moitié fermés derrière son lorgnon, il est comme en chaire.

Dans ce procès sinistre, ce cours sur les poisons fut comme une sorte de dé- tente, un peu ironique peut-être. Les poisons ont semblé devenir aimables et les accessoires du cabinet de toilette d'une jolies tfemmie. Mais, par contre, les traite,»! mènts paraissent pouvoir tuer à brève' oit lointaine échéance, et c'est toujours le mot éternel de Beaumarchais, ,s Ou la m,ajadie vous tuera, ou ce sera le médecin. » L'empoisonné sans poison Rarement il eut procès aussi dramatique. et.aussi troublant. Â chaque >instant il aides rebondissements inattendus. A la fin sde l'audience d'hie.r, il semblait que l'accusation d'empoisonnement s'écrou^lait et qu'il n'y avait contre le docteur Bougras. que la dissimulation d'un1 câda»vre dans un placard.,

Mais cela peut arriver chez ïin médecin, cela s'est vu, nous a répondu un des experts sans que la salle ait ri.

A l'audience du matin, le professeur Desgrès nous avait représenté les poisons' comme des médicaments aimables. A celle de l'après-midi, nous allons plonger dans Je monde mystérieux des toxiques. M0 Stéfani Martin fait mettre en présence les trou? .expertSj les docteurs Barral, Domer-j gué et Desgres, et les questions se précipitent, précises.

Trouve-t-on dans le cominerce de l'acide cyanhydrique ?

-p Qui, à la solution à 1 pour cent, .mais, mise sous le nez, dans un tampon, elle .ne tuerait pas. Avec du cyanure, ce serait autre chose, mais on le retrouverait dans le cadavre au bout de trois mois, très probablemént, car, au bout de deux mois, on le retrouve encore. '–Rumèbe s'est-il empoisonné ? Non, répondent les experts.

L'a-t-on empoisonné ? 9

-t- L'arsenic et le mercure trouvés sur le cadavre ne peuvent l'avoir tué, répond professeur Desgrès. D'ailleurs il ne faut

pas'Se hâter de bàptiseT poisan unu stibs-'

pas Se de baptiser ppison uni: subs-

tance. L'eau distillée, injectée sous la peau, peut tuer.

Et,, dans le silence profond de l'assistance, le do'cteur Desgrês conclut Dans mon âme et conscience, au nom de la science actuelle, je dis que Ruraèbe n'a pas été empoisonné, Npn_ N911 On ne peut 'le condamner IPdtirtpJtff.'difraié, supposer qu'il a été empoisonné, puisqu'on n'a pas trouvé de poison ? La science nous oblige à dire qu'il ne l'a pas été. Il est donc mort d'accident.

-–Au nom de la science, de tout mon cœur, merci, s'écrie M* Stéfani Martin. Pa# de poison, l'accusation de meurtre senïblé s'écrouler et la figure asiatique et' inquiétante de Bougras s'illumine d'un large sourire.

.Je préfère de beaucoup les experts qui viennent décharger les accusés à ceux qui démarident leur tête, mais' je songe en moi-même que dans les affaires d'empoisonnement, bien rarement on retrouve le poison. Le criminel, hélas, semble toujours en avance sur les savants. On ne retrouvait pas jadis le poison de la BrinvilIiers. Au, dix-neuvième siècle, on ne retrouva pas la digitaline du docteur La Pommerais. Plus près de nous, les chimis- tes anglais ne retrouvèrent pas l'hyosciaujine dans le corps de la victime du docteur Crippen qui fut pendu, il y a six ans. On ne retrouva pas non plus la piuscarine dans les victimes de l'empoisonneur Gi-, rard qui était coupable. La science qui affirme, si souvent, hésite devant le poison. Et cette pensée vient à M. le président Brîiigufer.

Connaissez-vous, docteur, des poisons qui ne laissent pas de traces ? Le docteur Desgrès qui, ce matin, vantait les bienfaits de certains toxiques,. cette fois hésité. Oh: il y a :beaueoup de toxines. II. y d*s alcaloïdes. L'écorce d'aejicia peut-

être.

Au bout de trois mois, en retrouverait-on des traces ?

On prend dès extraits du cadavre décomposé, on les expérimente sur des cœurs, de grenouilles ou de rats, et on voit s'ils produisent ou non des troubles. C'est là le seul-signe, car l'alcaloïde même ne s'isole plus.

Oui, l'aconitine, la phalline donneraient des troubles, je crois, mais ici je n'affirme rien, répond le professeur Desgrès mais on a fait des expériences avec les viscères de Rumèbe et on n'a rien trou-

vé. ̃' ̃

JSfouâ sommes Ici dans le domaine mys-

térieux des choses qui tueut depuis Locuste. Quel champ <r expériences pour la science de demain Mais, c'est avec celle d'aujourd'hui;qu'il faut juger Bougras. Si cm" ne" trouve pas de poison dans le corps de Rumèbe, s'écrie M°Stefanj, l'accusation doit au moins prouver qu'on en a mis,

Ce sera, là évidemment une belle partie pour la défense.

Mais l'accusation ne désarme pas. r-r .Ah s'ilri'y ayait pas les manœuvres de Rpugr^s, il ne serait probablement pas ici: Un médecin qui met un- cadavre dans un placard! c'est étrange, dit le président. Il jra des exemples, réplique (s^js que la salle ait ri) le processeur Desgrés, et j'en connais un c'est celui d'un inédecin qui à mis son client dans une malle. Il peut'sé présenter chez le médecin. le plus

honnête, un trouble de l'esprit qui ppussê

~lOrinêté" rouble'. de l'esprit qui ppusse

à cacher un cadavre. Cela peut, non se justifier, mais s'expliquer façjileipent.Nous protestons tous évidemment, mais savonsnoûs'çe que noîis aurions fait s'il y avait un mort' dans notre cabinët'ë't dans notre salon du monde qui attend ̃ On: ne rit- pas, on a" tort, car les scènW les plus terribles du Grand-Guignol deviennent ici comme normales, une tranche de vie bourgeoise toute simple Ce n'est plus du drame, c'est de l'ôpérëttë. Aussi Bougras sourit-il toujours comme s'il avait partie gagnée et il'-l'à peut-être. S'il n'y avait pas recel de cadavre et accusation de vol, dit M* Stéfani, on ne pourrait donc pas le poursuivre; même pour homicide par imprudence.

Nous sommes d'accord, réplique le président. Cependant il y a des poisons qui ne laissent pas de traces et il y à chez un médecin un cadavre dans un placard. La, partie civile

Il n'y a plus de témoins, et il est 3- h. 30. "+̃ Maître ,'Natalinî, vous avez la parole pour la partie civile.

M° Natalini se lève, sa, verdoyante crû-vate du Nichain Iftikar s'agite sur son rabat blanc et jette des étincelles, et avec un bel' accent t

̃ Mais je ne m'attendais pas à'pîaidet aujourd'hui.* Mes notes sont' eh désordre, je veux préparer des-arguments nouveaux. Je ne veux pas saccager (sïc) les, intérêts de Mme Rumèbe.. ̃ ,-̃ ̃i– Mais vous avez eu- deux ans pour étudier' le dossier et toute la s'eiriaine d'audiences pour préparer votre1 plaidoirie, répligae1' justement '^«président. "J"' s- Mai&vmëg-'fb'rces "ont' dçs limités et mon temps aussi.n iw sv*s; aveu* Mme' Ruriïèbe.i^ue'je'/cph^ple toujours :c;je demande, au- nom' de ma;, santé» lr- repos qui m'est bien' dû*1 ̃̃ •: ̃î– Alors, ça, c'est une autre affaire, réplique le^président, qui voit avec raison une journée inemployée. Si vous êtes'jualade, ne plaidez pas, mais vous devriez être prêt à prendre la parole depuis deux ans. Vraiment, le- président se montre aimable. 1 i

Alors on remet à lundi la fin,du débat, mais à quelle heure aura-t-on le verdict ? Georges Claretie.

̃̃ iV t 'r^T ?

LE «BAL DES ARTISTES» LE 2 AVRIL A JWARIGNY Le sQupçrrbal rigoureusement masque organisé au" 'profit de Pont-aux-Damës s'annonce comme une fête d'un éclat sans précédent. Les- loges s'arrachent. Parmi les premières qui ont été enlevées, par les vedettes les plus aitnéçs du public, citons celles prises par Mines Blanche Bilbao, Régiria Cainier, Colonnà Romano, Thérèse Dorny, Huguette Duflos,. Anna Johnson, Marie Leconte, Maud Loty, Charlotte Lysès, Mary Marquât, Jtfistinguett» Blanche Montel, Parisys, Elvire Popesço,. J^gçcejje Praince, Edmond Roze,. Madeleine Soria,

SBlnçlJ^, fenexiçyc ®x.

Outre cet assaut de générosité, trteja des dons m^giiifiqyes affluent citons ceux

tlc'ifmés~fàrthë affluent Ida Rubinstein,

de Mmes ittârthë Régnier, Ida Rubinstein,

de M. Coty et du baron Henri de Rothschild-. Signalons que PAssqcjatipitïdeSjjii-, recteurs' de théâtres paie "sa loge 25IÏÏ0Û francs.

Le nombre d'entrées étant forcément limité, .il est prudent de louer dès maintenant ppur éviter l'affluence des derniers jours. Rappelons qu'on trouve des coupons d'entrée (150 francs) aux bureaux de location de tous les théâtres et music-halls, agences et hôtels. Pour les loges et balcons, s'adresser à Marigny.

LES GRANDES VENTES PARISIENNES

Une grande vacation à THôtel Drouot

<*̃>̃ •̃• ̃ ?

Ce fut, hier, matinée du gala à la salle 6,'M" Lair-Dubreuil, au milieu d'une foule d'amateurs s'épongeant le front et de dames élégantes s'éventant de leurs catalogues,, présidait une vente de meubles et d'objets d'art, de gravures et de tapisseries toutes pièces de choix, appartenant à divers amateurs. MM. Marius Paulme et Geors-B. Lasquin occupaient la table d'ex-

pertise. y!

On mit d'ahord £ux._en chïres quelques gravures de Deî-ucourt de qualité remar-

qttâble'' W'Woinpliment et 'Jes" Bouquets

fûrerif !a'tfjà'|ès ïêlaOff francs M Menuet ïïè> la mariée et la Noce au cllâteau, 31.000 fr.; Promenade de la galerie du Palais-Royal, 20.200 francs, et fa Promenade publique, 22.100 francs. On paya ensuite 27.000 francs. :'deux sucriers eiv argent, poinçon de Paris, xvni* siècle 12.500 francs une paire de petits vases ovoïdes enspatll-fluor, monture en bronze,; 14.100 francs deux autres, vases ovoïdes en même matière 23.500 francs une pendule de lu fin du xvni0 siècle ou commencement du xix°, cadran marqué «Gaston Jolly, à Paris» 26.100 francs une pendule, en bronze d'époque Lduis XVI, cadran marqué « Le Roy, à Paris », et une paire de petits candélabres de même époque.

Parmi les sièges et les meubles deux grands fauteuils couverts de tapisserie fine de Paris, époque Louis XV, furent vendus 26.000 francs une table â jeu et de travail pliante, qui fut celle de campagne du Grand Condé, et que- Napoléon donna au maréchal Lanpes, époque Louis XIV, 43V00O francs un petit bureau" de dame en marqueterie de bois de rosé et amarante, époque Louis XV, estampille de «Dautriche M. E. », 86.100 francs une petite table ,de forme rectangulaire, en marqueterie de bois de couleur clair, époque' fin Louis XV, 70.000 francs une petite table rectangulaire de bois dé couleur clair, à bouquet et guirlaiide$, époque- Louis XVI, estampille de « M. G. Cramer M. ;E.», 60.100 francs, et enfin, un large secrétaire en marqueterie de bois de,couleur à quadrillage et filets, époque Louis XVI, estampille de « J. B. Œben », 50400 francs.

On termina, comme de coutume, par les tapisseries; parmi lesquelles une grande cantonnière en ancienne tapisserie de Paris ou des, Gobelins du commencement du xviii' siècle, fut adjugée 74.500 francs à M. Fabrei <et une' tapisserie de la manufacture des Gobelins de la tenture- des Méta-

morphoses", commencement du xvni* siè-

morp/toses, commencement du xvni' siè-

cle (3 m. X 2 m. 25), fut acquise .moyennant S3.500 francs par la même personne. La vacation produisit 1.400.000 francs environ.

Maurice Monda.

LES GRAPEtiPRBPIS DE L'AUTOT

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Le grand Prix de Provence `~

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Le Grand Prix de Provence, fonde en 1925» sera disputé aujourd'hui, sur l'auto! drome de Miramas,- créé- dans, les' plaines pierreuses de la Grau, sur ^initiative hàr^ '1 die et opiniâtre d'un- des maîtres du vo. lant, Balbot. En 1925 ,.et, 1926, le Grandi Prix de Provence a été couru sur ce même-: .1~ autodrome. Il a été gagné l'an dernier par le conducteur anglais Sëegrave-, sur Tal- bot.

L'épreuve de cette année, dont la .dis- tance est, dans les éliminatoires, de 50 et? de 100 kilomètres, et de 300 kilomètres dans la finale,, a réuni 26 'engagements dès marques suivantes '• Talbot, Déluge, Amilcar, Bugatti; B.N.C., Bue, Georges Irat, Lérraine-Dîétrich et«; Giraud- ̃• ̃ jt :̃' s Parmi les conducteurs. ,on remarque Robert Benoît, Divo, Williams, Morel, Martin, Duray, Lèhoux, tous les maîtres du volant. ̃ .-• ̃̃'̃

Les voitures Talbot et Delagetisont du type des, voitures qui participeront en juillet, sur l'autodrome .de MQnUhêry, au Grand Prix de, l'A. C. F. Leur lutte d'aujourd'hui. constitue donc une passionnante ayant-première-

Disohs, à ce sujet, que c'est à tort qu'on avait annoncé le forfait de Talbot, dont les trois voitures sont des partantes certaines; Le Grand Prix de Provence est, rappe> lons-le, 4oté de la^ Coupe Hartford, offerte par, M. François, Repusseau,

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Les fondateurs de l'Automobile

̃̃̃- -h-V j- -̃̃

.• M»- J..

Un hommage au marquis] de Dion et à M. Bouton

'̃̃'̃̃̃, -̃•̃r-T:; Ji'f

Hier après-midi, dans -une- cérémonie émouvante, la Société ,< ^'encouragement pour l'industrie nationale. a, pein.is au- marquis de Dion et à son collaborateur et associé, M. Bouton, sa grande médaille d'or, en hommage aux deux hommes qui sont parmi les fondateurs de l'automobile, f obdaieurs';dd»it l'çeu.vre ,ii bouleversé* la ta-, ce' du monde, la vie S;ûr tiéyre,,et.permijs'lâ la

conquête 'du tëlêl. "•" 't.: "[̃ -1-'

C'est M. Chapes. %jfi^hïVr/ ?#i |vâit; été chargé- (le' justifier les titres du mar-' quis. de Dion et de. M.. Bouton, à cette rare' récompense.

M. walckcnàer,. a puissamment ramas- 't se l'œuvre de ces deux gririçjs créateurs d'une richesse nationale qu^ll! n'oïit cessé de servir, et le marquis de ï)ion, avec une foi,' une force, iin dévouement admirables.; Le marquis de Dion, M. Bouton i–r as-j sisté alors de son beau-frère, M. Trepaf- doux, sont ̃ exitré^ dans -la ..carrière ils devaient s'illustrer en 1882.

C'est en 1883 qu'ils sortaient leur prermiéé guadricycle à vapeur, en collabora-, tion avec deux autres grands serviteurs dè; l'automobile et de Taeronautiquè, les frères Renard. • ̃ ",¡ Depuis, que d'oeuvres mécaniques à va-; peur et à essence sont sorties. déS ateliers de Dion-Bouton, des célèbres usines de^ Puteaux Voitures, tracteurs, camioris,T tricycles, bicyclettes, groupes électrogènes, motoculteurs, arroseuses, etc. « Associés depuis plus de quarante ans dans une constante et étroite collabora' tiori', M. de Dion et M. Bouton, sont par' leurs caractères et leurs talents, deux honi-' mes bien différents 'mais merveilleusement complémentaires. M. de Dion s'est montré en même temps qu'un appréciateur toujours clairvoyant des possibilités mécaniques, un brillant et puissant animateur, un enthousiaste <tH.'p|to^rès, n'ayant: pas son pareil ppuf.cosiniÛTOfl.uei-.autquRj de lui,î'*efiprit de :harç|iesse ÇtÀe confiaiiT ce. C'est grâce à ces rares qualités qu'il a su, dè&- les premières années de la lo-s comotion moderne, grouper autour ,de lin., les adeptes du sport automobile, oriente^ leur action vers la réalisation industrielle et le progrès et; à Une époque où ce faisceau de bonnes volontés était'encore bien étroit, fonder" l'Automobile Club de France. Il a joué un rôle analogue de précurseur et. de pionnier poUp la ..locomotion aérienne possesseur, vers 1884, d'un ballon construit par MM. Renard, avec lequel il fit des voyages, tel, que celui de Paris au Jura suisse, il a été le président fondateur deTÀéro.Club, et a donné, dans ce domaine, com'mé dans l'autre,' une im- ` pulsion qui dure 'encore; =

M. Bouton, C'est l'inventeur, le réali*; sateur, le metteur au point des dispositifs, sans lui, les idées les- plus justes dans leur principe auraient risqué de rester infécondes ;,iï a-été, sur des points essentiels, véritablement créateur. Ils ont, à eux deux, accompli une belle "œuvre et ëf-;ficacement contribué à la"= gloire de la mécanique française. » ..̃ C'est en ces termes, qufe s'est exprimé M. Charles Walckenaer-, pour- demander- 4 ses collègues d'attribuer àces deux pré*1 curseurs, la grande médaille d'or de -la; Société d'encouragement pour l'industrie nationale.

̃il ̃ Frantz-Reichel.

1 11' j'i ̃»-'>y-»– ^–̃

L'Expoiition >«4é ;f 't Àttimnùt

M. Louis Marin, ministre des pensions, va inaugurer aujourd'hui, au Grand.Palais, l'exposition organisée par ljè'-Chambre Artisanale de France.

Tous Français, tous artisans ou ouvriers d'art, et qu'ils soient «laites «u apprentis, des joailliers, des forgerons, des menui*'» siers, des lapidaires, des brodeurs, des sculpteurs et des décorateurs exposent, i dans la grande galerie qui donne' s.ujc". }&l rue Jean-Goujon, une profusion .d'œuvres diverses et toutes intéressantes. On trouve là des objets mobiliers* des jouets, -dès- services de table, des meubles; en tapisserie, des bois ouvragés, dés panneaux'; de^ coratifs il y a une section des apjirenitis et une section spécialement réservée aux artisans mutilés, • Trois cents ouvriers, qui sont autant; d'artistes, se sont ainsi réunis avec l'espoir d'obtenir pour tous les artisans de France un sort plus favorable et de meilleures conditions de travail; 5

r_ ̃̃>4«

Les bureaux du ,tourisme des Chemins de fer de l'Etat Poursuivant ùné'série d'innovations particulièrement goûtées, les Chemins de fer de l'Etat 'ouvrirent, cette année, le 1" avril. prochain, leurs bureaux de. tourisme ides garés de Paris-Saint-Lazare et de Paris-

Montparnasse. ̃

Le public y trouvera, en dehors d'une documentation gratuite, complète, sur sites,, villégiatures, hôtel (prix, situation, confort), transports locaux, etc., toutes facilités, en ce qui concerne les détails matériels du voyage, du séjour, des excursions, etc. (billets, autocars, navigation, location de chambres dans les hôtels, vil- las, etc.). "•

Toute demande fit, changement d'adresse doit être accompagnée de ̃. la somme de un franc fiwquante en ~m- bres-poste, pour couvrit une partie de*

m MONDE El LA VILLE

̃LU MONpjrOFFlClEL

*• -Le général Primo de Rivera, président du Conseil, qui se blessa dernièrement au front, est complètement rétabli. Il a été reçu, hier matin, par S. M. le roi d'Espagne, avec qui il s'est entretenu pendant plus d'une heure.

RENSEIGNEMENTS- MONDAINS

*S. M. la reine des Belges est rentrée à Bruxelles, "venant de Rapallo.

S. M. le 'roi -d'4%hgl'ctërre est rentre, hier, à Londres, venant d'Euston, où il a assisté aux épreuves du -Grand National.». 'Si'M. le roi de Suède prolongera, jusqu'à Pâques son séjour sur la 'Cote d'Azur. S, A. S.. le prince de Monaco. est arrivé, hier, dans la principauté.

'LL. AA..ÀR. duc ;ét duchesse .d'York sont arrivés à Sydney., ,,̃ Nous apprenons' avec plaisir que M. Lacour-Gayet,' attaché financier près l'ambassade de France aux Etats-TJqis. où, depuis deux ans, jl a fait preuve d'une rare compétence dans là gestion des encaisses,, importantes du Trésor, vient d'être nommé chevalier de la Légion d'honneur.

Déjeuner élégant, hier, chez M. et Mme Alfred ï)roin.

Les convive étaient

et Mme Louis Barthou, princesse Palev, M, André Çhevrjllon, M. et Mme Claude Farritè. M. et Mme Jacques Bninvillc, Mme André Çorthis, M. Bayniond Lecuyer,. M. et, Mme Pierre Lassorre, M. Abel Bonùard, e|c.

r~ ~n"

NAISSANCES ̃ ̃•: ̃̃ M^ et Mme Anthony de Rothschild nous prient de faire part,: de la naissance de leur fille,. Renée.

Mme Philippe Bidal d'Asfeld, née TéroUahrie,,$mi& heureusement au monde un fils, Claude, Cannes, le 34. mars..

M. Henri Bonin et madame née Gisèle Lacoût nou^ prient; 4e faire. part, de,,Ja. naissàijçç. de leur'^js,. Jefn-Çlaude. T

| :r^~lr^r,m^^ ..V .̃̃̃̃ r ̃̃•-̃:

ptENFx:rsjJN'CE\ ̃'• 'V":C..V'

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vente de l'Appui' Maternel (Groupe Pitié) aura', lieu les 31 mars, 1" et 2 avril, aux TrcHS'S.ultjines, 199, rue Saint-Honoré. L'œuvre lutte;' contre la, mortalité infantile.

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CERCLES

M. Armand-Achille Fould, présenté par Je" comte Paul de.pQùrtalès et le général de Mac Màhbn, dup de "Magenta, a été reçu membre permanent du Jockey .Club au ballottage

d'hier.

L'inauguration de la 15* Exposition de Ja .'Société artistique des Amateurs aura lieu le' mercredi 30 mars,, de trois heures à six heures, 5,. rue Boissy-d'Anglas (Cercle de l'Union Artistique). S. M. la reine Amélie de Portugal a bien voulu détacher pour cette exposition quelques pages charmantes illustrées de dessins et d'aquarelles de l'album qu'Elle vient de faire éditer..

On admirera ;aussi les délicates peintures'et aquarelles de fleurs de S. A.; R. Madame la duchesse de Vendôme, ainsi que des œuvres, toutes dignes d'attention, de la duchesse d'Uzès douairière, de la duchesse de Noailles, de la comtesse èref fùlhe, de là' comtesse R. de CosséBrissac, de prittcês§è""â*ë ^obech, etc. J ZgiffèftStiiSib rèïteraf^u^èrtë'jtJsqtJ'ât' 14 avril au profit d'oeuvres de bienfaisance,

MARIAGES^ ̃' ̃

Le 19 mars a été célébré, au chate.au de Villeneuve-Loubet, le mariage du baron de Précourt, fils du capitaine de Précourt, mort pour la France, et de la baronne née de Vaudrimey .Davoiist, et beau-fils de la comtesse de'-ijS Fleuriaye avec Mlle Davila, fille du général Davila, décédé, et de Mme Davila." Le. 23 mars a été célébré le'mariage de M. Raymond Furst avec Mlle Andrée Rousseau. En raison d'un deuil récent, la cérémonie a eu lieu dans l'intimité.

..•' '̃̃ .1 ̃̃ 1-»..

DEUIL •'̃ Les comités royalistes, de Paris et les comités directeurs d'Action française ont fait célébrer, hier, en l'église Saint-Germainr^lixérroîs, ancienne paroisse des rois de France, un service de bout de l'an pour le repos de l'âme de Monseigneur le' duc d'Orléatis. La messe a été dite par l'abbé Thiriot et l'absoutej a été donnée par l'abbé Fromantin, !curé de «la paroisse.

i Monseigneur le duc de Guise était représenté ipàr'Ies membres de son service d'honneur, •M. Paul Bézinè, le colonel deïuite, MM. Mauirîce, Emmër^lët diiPoy, it par. ses délégués irégionaux, le commahdan^'Be^u-.efcte' marquis :de Roux. r .•̃

.Ensuite le. vicomte de La Loge d'Aus*sôn, président des comités royalistes de la Seine MM. Henry Boeringer, André Legrand, les comités directeurs d'Action- française, représentés par MM. Charles Maurras, Maurice Pujo, Lucien Moreau, Robert de Boisfleury, le colonel Larpent, le marquis de Juigné, le marquis de La .Ferronnays, M. Le CourGrandmaison et M. de. Kervenoaël, députés, et M. François Saint-Maur, sénateur.

La comtesse de Lur-Saluces, présidente du groupe des dames royalistes, avec la vicomtesse de-La Besse, la comtesse de Martimprey, la comtesse Charles de Brissac et la comtesse Bernard de Vésins, puis Mlles Yolande de, jLuynes et Herwige de Gabrières, secrétaires générales des jeunes filles royalistes.

On annonce la mort de M. Louis Gallix, ancien député et ancien maire de Tournon, chevalier de la Légion d'honneur, décédé à l'âge de quatre-vingt-neuf ans.

Hier matin a eu lieu, en l'église Saint-, Louis des Invalides, le service pour le repos de J'âme. du général de division Clergerie, ancien chef d'état-major du général Gallieni, décédé lé 25 février dernier. On sait que ses obsèques •avaient eu lieu à Frelissac et l'inhumation dans le caveau de la famille, à Ëxcideuil :(Dordo-

i& ̃̃•>' ̃•• '"•̃̃̃

iîL'absoute a été"- donnée -par M. le chanoine iWrdrie, curé de Sainte-Clotilde.

"Le deuil était conduit par Mme la générale Clergerie, le capitaine Jean Clergerie, M. et 'Mme André Clergerie, M. et Mme d'Anglemont et Mlle Lucienne d'Anglemont, accompagnés de la famille, M. et Mme Arthur Leymarie,. M. et Mme Jean de Chauveron, M. et Mme E. Julliard, M. et Mme Henri Lagorce, M.'et Mme Edmond de Chauveron, M. et Mme Pierre de Chauveroh, M. et Mme Marcel Dupont, M. et Mme Paul de Chauveron, M. et Mme Emile Leymarie, M. et Mme G. Cuenot. ï'armi les personnalités présentes, reconnu M. Paul Dounier, président du Sénat; le gé-:r.éral Gouraud, gouverneur de Paris le gé-

nëral Lasson, commandant de la maison militaire du Président de la République Mme la maréchale Mauiiouty le commandant SainteBeuve, représentant le ministre delà guerre le commandant Bugnet, représentant le maréchal Foch le capitaine Laffar^iié, représentant te maréchal Joffre le capitaine de Bernài'di, représentant le marééhfll Fayplle te lieutenant-colonel Daille, représentant le maréchal Franchet d'Esperey le procureur général Schérdelin, le général Andrès-Simqn,^ commandant la place de Paris, et Mme Andrès-Simon le général Hirschauer et Mme Hirschauer, le général Girod,' président de la commission de l'armée le général Niessel, le général Mariaux, le général Fillonneau, le général Duport, l'intendant général Burguet, le général Calmel; le général Hellot, l'intehdant général Défait, -le général Ungener, le général Gràziani et Mme Graziani, le général Compagnon, le général Bèlin, le général» Lan- quetpt, L3 général et ,Mme, Dclapue, Mme lu générale Legrand-Girarde, le général Bayer, le général Desbriéres, le comte Jean de Castellane, vice-président du Conseil municipal le colonel' Boiissat,* commandant militaire -lu Palais des Invalides M* Paul Didier, conséilJer d'Etat, le commandant Beslaj', M. Tirman, conseiller d'Etat M. Ame Leroy, chef adjoint du cabinet du ministre des, affaires étrangères. Un groupement des anciens officiers de l'état-major du G. M. P., sous la direction de M. Emile Massard, conseiller municipal, parmi lesquels reconnu

Colonel et Mme Mayer.hoffen, colonel Durigne, M. Daniel, M. Eiigèiie VUette, le comte Henri de Sonis, le capitaine Vallet; le liéutenant-colonel Martin des Sallières, le docteur (iorodiche, lp commandant Chauré, M. ChaJ;mçon, le commandant Henri Charbonnël, le commandant Havard, le commandant Roger, M. Lacroix.

Le lieutenant-colonel Paul Renard, M. Louis Martin, directeur du Crédit National, et Mme Loui's Martin; Je colonel et Mme Triboulet, M. Paul Séjournet, membre de l'Institut M. Chancerel, inspecteur général des eaux et forets, et Mlles Chancerel; Mme Charles Baudier. M. Leblanc, directeur général de la Sociétë Générale M. Hérard, M. Edmond Laurent, maître des requêtes au Conseil d'Etat M. Ciomeï, M. et Mme Dubreuilh, la comtesse Renée de Galard-Béarn, M. et Mme Napoléon Magne, le comte et la comtesse de Brèves, Je; prince Gérard de Faucigny-Lucinge, Mme Léon Musnier, le colonel Barbet, M. et Mme Fran-, cis Chanôt, M. et Mme Auge, le comte et la comtesse du Buat, M. et Mme de Lapisse, la' vicëmtesse G. de Kergariou,M., Mme et MHe de :TalUt, le colonel et Miiie Bftstidon;-Mine't Ha*esU»îi,' comtesse de ÇaladsJiVîMnie^Gpws-^

sault, M, Gpdebski, M. jet(,M,rne Blaqu^-Bplajrf.

M, Ga.Jicier, M. de. Girô^o'n, Mroç Çasel^Lai}-"

guevilie, Mme lierai,' Mme Ë. Çhapon.Tacbiritesse de Jarcy, le colonel baron Chab'ert,' M. Barbot, le comte de Tt'oismonts, Mme Proust, M. et Mme Roger Àmblard, M. et Mme Char- les Roger, M. et Mme Blancs, M. et Mme Grelicr, le lieutenant de vaisseau et Mme Pierre Rénon, M. Nodé-Langlois, M. et Mme Lamarche, M. de Martignac, M. et Mme Ed. de La Gabbe, Mme de Langalerie, M. et Mme Pierre Mai'beau, M. Mathiot, avocat à la Cour M. et Mme Zagànessen, M. et Mme Pineau, M. de Erégeas-Laureni, le lieutenant Etienne Le Bon, Mme de Villars, M. et Mme Gerlier, le docteur et Mme Joly, M. de Bretagne, Mme Raynaud, Mme Veyrines, M. et Mljie Cpuraud-Dùmesnil, M. et Mme A. Guiard, M. Mercier, le vicomte de Chaunac, M. et Mme Tailleferre, M. et Mme Henri Braquenié, M. Jacques Braquenié, M. André Troisier, M. Daniel Sicklés, M. Pierre Chanot, M. Jean Godebski. Un groupe d'officiers du 8* régiment du' génie, conduits par le commandant Violette,' commandant le bataillon. Une délégation de la Société des anciens combattants des et 180 régiments du génie, conduits par M" Solal, avocat à la Cour, vice-président.

Avant-hier ont été célébrées, en l'église Saint-Pierre du Gros-Caillou, les obsèques de M. Victor du Bled, chevalier de la Légion d'honneur, homme de lettres.

i }Laj. levée du corps a été faite par le cha-

hô'ine R4)pha,rd, ,curé d,e. la, RarQJssç, ,qui s,iga-,(

lement donnée l'absoute. Le de'yïl.étai^V représenté parM,! Théodpjfi dy1KPle.d[.1et Mlle Yvonne du Sied, fils et fille

'du défunfc

A la- fin de la cérémonie, un discours a été prononcé, au nom de la Société dès Gens de lettres, par un des vice-présidents.

L'inhumation a eu lieu au cimetière de la Chapelle, dans la sépulture de famille. 1 Nous avons le.regret d'apprendre la mort de M. Paul Dieudonné, père de notre confrère Robert Dieudonné, décédé subitement dans sa soixante-quinzième année.

Les obsèques ont été célébrées dans la plus stricte intimité, suivant la demande expresse du défunt. L'inhumation a eu lieu au PèreLachaise.

On annonce la mort de M. Gaston David, ancien député, décédé à Glandon (HauteVienne). Il était le beau-frère'du Président Sadi Carnot.

On nous prie d'annoncer la mort de Mme Paul Jaunie, pieusement décédée en son domicile, 52, boulevard Malesherbes. Les obsèques seront célébrées mardi, 29 mars 1927, à midi précis, en l'église Saint-Augustin, où l'on se réunira. Ni fleurs ni couronnes. L'inhumation aura lieu à Saint-Leu-la-Forêt (S.-èt-O.), à trois heures. Prière de considé-' rer le présent avis comme une invitation. Nous rappelons que 'fc service- pour' lw- baroime» Catelitij née' L'^âiitey* de Colombe, aura- lieu demain lundi, 28 courant, a midi, en l'église Saint-Pierre de Chaillot, où l'on se réunira. ̃

On nous prie d'annoncer le décès, survenu à Nice, le 21 mars, de Mme Lenoe'l, née! Berthe Lecomte. Une messe sera dite en l'église Notre-Dame-de-la -Miséricorde, 88,.rue de l'Assomption; le mardi 29, à neuf heures du matin. De la part du docteur Louis Lenoël et de la famille. i

On nous prie d'annoncer le décès de M. Louis Cordonnier, survenu au château de Couronne, le 25 mars. Les obsèques seront célébrées en l'église de Petit-Couronne, près Rouen, le mardi 29 mars, à onze heures précises. Serigny,

'PETIT CARNET

L'ouvrage publié par le Conseil municipal, l'Hommage de Paris à Gallieni, son sauveur, vient de paraître, sous la signature de M. René Weiss.

Ce livre fait revivre les jours tragiques d'août-septembre 1914, au cours, desquels se décidèrent- le sort de Paris et le sort de la France, et évoque la figure du grand soldat dont l'audacieuse et géniale manœuvre déclencha- la bataille de la Marne.

Les ..photographies- et fac-similé de très nombreux documents y sont réunis, notamment de documents alors répandus en Allemagne (médailles, cartes postales illustrées, affiches, etc.)-. L'ouvrage, luxueusement édité par l'Imprimerie Nationale, est en vente à la Maison du Livre français, 4, rue Félibien, et chez les li- braires, au prix de 80 francs..

Du même auteur et dans la même collection municipale, ont déjà paru: le Premier Voyage officiel en Alsace-Lorraine française, la Croix de guerre de la Ville de Paris (Paris pendant la guerre. Le Bombardement), h ~Me, & Paris et les fêtes de la victoire.

Doucet, 21, rue de la Paix, soldera les_ lundi 28 et mardi 29, de neuf heures et demieà dix-huit heures, ses modèles de la» saison^ robes, manteaux, etc. à partir de 300 francs." Vente strictement au comptant.

Mesdames Pour vos combustibles, avril vous apporte les prix d'été." Vallanet îjizërollç se tient à votre disposition pour tout* iérisei- gnement ou commande. 44, avenue de Ver* sailles. Aut. 08-22 et 33. ;̃̃̃.•'̃•̃

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LA SAIS Op

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'Bataille, df fleurs et Ëei'iÀit'e'[blanche.} ̃̃• J\l^ Les, hôtes, de "Nice, ont -vécu,, jeudi dernier,' ̃; des heures délicieuses qui ont fait remonter* dans toutes les mémoires, le souvenir des plus-- belles journées carnavalesques. Pans l'après-midi, dans le cadre incomparai ble de* la Promenade des Anglais, 's'est déroÏK" lée la troisième bataille de fleurs, pour laquelle chacun avait fait une ample provision, d'ardeur printanière et de projectiles embaumés. Le soir, dans le hall grandiose du Casino Mu.nicipal, tout de blanc décoré, une foule nom. breuse et élégante où dominaient Pierrots. £t Colombines, a continué la joyeuse et folle tradition niçoise, aux sons des plus entraînants." orchestres. ̃ .1 ..̃•*̃. Et maintenant, avec l'avril, voici Venir lés fêtes de Pâques et leur élégant cortège de r<S« jouissances nouvelles. ,;̃

r*,

Le dîner dansant du « Mqjèstic*. ¡ M.- Àletti a offert aux habitués, de son beat i palace un dîner dansant qui a obtenu le plus complet succès. Le couple « Meazza ^fc Adrienne » a été chaleureusement applaudi par l'assistance élégante et choisie qui l se pressait; autour des. tables du « Majestic », ainsi que' Low^xifi^inieiidaiiSt^é5 danses orientales, e't le§

soUptes,lt Mrmjiakujc ,Chflu.i;inofl fe%'î*S^t^>4

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Le^ réceptions, ,• r ,̃•>̃̃•.̃.£

M. et Mme Maurice Maeterlinck ont offert en leur villa « Les Abeilles », un déjeuner en: ° l'honneur, de M. A. Abrahams, le grand pro" priétaire des théâtres de Londres. ], Mme William E. Çorey a donné, au. Ne-j' gresco, un brillant dîner en l'honneur 4e S-' Mv le schah de Perse. Y assistaient ,.ï.>. S. A. I. le grand-duc et la duchesse André de Russie le prince Vladimir, la comtesse Blanche de Clermont-Tonnerre.

*fi.'

IE CONCOURS HIPPIPE

•'̃ :̃̃ •: -•» -,u<i'

Deuxième journée

'̃̃ i

On a préludé, hier, aux grandes, épreu« ires du Concours par lettres beau military du prix de l'Ourcq, qui a été couru devant des tribunes élégamment garnies, et qu'avait précédé une remarquable présear tation des attelages militaires. i.i; Dans la matinée, les examens d'équit$*p, tion des jeunes gens de quinze à. vingt ^t Un ans (U. S. E. M. F.) pour la médaille de, vermeil avaient démontré une excellente.

moy.ehneJ d'instruction,; Ensemble :ngttesw

menti sppérieur.â i'flnnéfJ' dernière.- -/rr

Le, ..jury, présidé par Te, comte Rcédéi'êi' et ^composé de Ï\1M. <lc La Hamayde,. le- comte Alain de Goulaine, J. Guichard, le:- marquis d'Havrincourt, le comte de. Les-: terps, le comte de Monchy, Léonce de Sci- tivaux de Greische et le marquis de Vafsoigne, a décerné des médailles de vermeil, à MM. Maurice Broc, Jean Dupuy, Maurice Gadmer, Maurice Nérot, Jean Delariouç, Roger Marraud, Emmanuel Becci, RëheV: Rouzée, Raymond Eychenne, Jean Prévit, Robert Lévy, Guy dé Vaulchièr, Guillaume de Beauvais. Jacques Huet, William Trafr- tort, André Logut, André Tournier, Mauri.» ce Léger, Jacques Barbier, André VanV. toura, Georges Morlotet Maurice Mayeurw A neuf heures, brillante présentation dejS chevaux .attelés seuls. La catégorie des chevaux decinqji six ans a été particulièrement bonne. En raison du nombre de bons sujets le jury, que présidait le comte Henry d'Yanville* et dont faisaient partie MM. Octave Manset, Paul Baubigny.'Béha- relie, le comte G. de Bonvouloir, Hector Franchomme, le comte J. de Saint-Genys et de M. Pierre, inspecteur général des Jha» ras, a dû créer quatre prix supplèmehtài»

res.

Dans la première division,- le premier prix a été décerné à Brick, à M. Henri Vu guier, et le second, à B.éguin IL à ..M» Léon; Lenseigne dans la seconde division, prçnijer prix à Varav.ille, au marquis d'Aridi-

gné, et second prix à VeinaFde, à MM. Roy,

{{ne,' et se, C, ond,pr"j,x à ,Ve,ina, l'de, à"l\1l\f.ROY"

f*leu,f .autres r,prix-jet deux flots de rubans.

t>nt été attribués, vàraville est un joli po- neyy très « distingué d'ensemble^ .avec up brio extraordinaire et une énergie particu» lière dans ses actions.

A une et demie, la présentation déi-âttê' loges militaires a permis d'admirer de fort beaux modèles de trait provenant de tou-' tes les régions de France chevaux en' état, bien attelés, bien tenus cavaliers^ .bien en selle. Le tout admirablement présente.

Ils ont été récompensés par le colonel Gillois, président, et MM. le comte Alain de Goulaine,- le vicomte" Hervé de Gourcuff et Léonce de Scitivaux de Greische, dans cet ordre ̃ 12° cuirassiers artillerie de la première division de cavalerie 11" cuirassiers 6° dragons 4° hussards 32' d'artillerie 1" génie 19° escadron du train 23" d'ink fanterie coloniale 31° d'infanterie 24-' d'infanterie 31" d'infanterie.- A deux heures ont commencé les pancours pour le Prix de l'Ourcq, épreuve d'obstacles pour officiers. Beaucoup de ces parcours ont été couverts sans faute. Nos officiers ils étaient 59 concurrents ont fait preuve, tous, de science, d'habileté, de crânerie et de bonne équitation. ̃

si Le classement des lauréats a été fait ain> 1. Volhynie (capitaine Lamy, du 32e d'artillerie) ;'2. Ida (lieutenant {ïaffiy'de ïaiirines, instructeur à Saint-Cyr) '3. Turbu^ leflte (lieutenant de iNiortj du '16° dragons); 4. Paulin. (lieutenant de Masin, du 12» cuirassiers) 5. Primeyère .(lieutenant Roux = du 6° dragons) 6. Lay (même cavalier) Onfa (lieutenant d'Auber de Peyrelongue, du hussards) 8. Pythie (capitairije Revony, du 12° cuirassiers) 9. Triboulet (lieutenant de Vaulx, du 6° dragons) 5. 10, Rossignol (capitaine Bastien, de l'Ecole d'aéronautique) 11. Queteuse (capitaine Latterrade, de l'art, de la 5° division de cavalerie'; 12. Rosace (lieutenant de Niort, du 16* dragons 13. Limier (lieutenant 4e Vaulx, du 6' dragons). Quatorze ilôts de rubans ont, en outre, été attribués. Aujourd'hui, dimanche Prix des Vë. neurs, parcours de chasse, officiers. L'épreuve commencera à une heure quart au lieu de deux heures.

Ch. D..


DERNIERE MEURE

1~

LES EVENEMENTS DE CHINE ,l, Les Etats-Unis

renforcent leurs effectifs'

j.• .1.

Washington, 26 mars. Un nouveau- contingent de 1.500 marins va partir pour la Chine.

Lorsque ce nouveau contingent arrivera à destination/, raïniral? Williams, commandant des forcés américaines, aura à sa disposition 6.000 hommes.

Le, .renforcement des troupes américaiïiei.M.Êhine a été décidé ce matin, après la rëceptipn d'un rapport de l'amiral, W^Jliams, disant que les excès des troupes indisciplinées de l'armée sudiste, dans les villes situées :sur le fleuve Bleu, créent tine-hsituation grave et lourde .de périlleuses possibilités.

De Plus, un télégramme de San-Diégo (Californie) annonce que 65 officiers aviateùr,k américains ont reçu l'ordre de" se tenir prêts à s'embarquer, avec'26 aéroplanes; à destination de GhanghaL Deux prêtres français ̃ ̃

1 ̃̃' auraient été' tués à Nankin

'Londres, 26 mars. On mande de Changhaï' à l'Agence Reuter

Selon des dépêches de Pékin la'GrandeBretàgne, les Etats-Unis et le Japon envisagent des mesures pour empêcher, la ré-, pétition des incidents qui ont eu lieu à

Nankin.

Outre les victimes déjà mentionnées, on annonce qu'à Nankin deux prêtres français ont été tués.

Protestation américaine

On mandé de Pékin, à l'Agence Reuter Xics autorités américaines déclarent qu'un Américain seulement a été tué à Nankin. La légation américaine a char,gé son Consul à Hankéou de protester auprès de." M. Eugène Chen contre les outrages dont les Américains sont l'objet de la part des nationalistes, et d'insister pour qu^M. Çhén prenne tôàtes'Lileà"lTOè1surès'possibles' pour venir à 'l'aitfe^dës 'Antéci-cains qui se trouvent encore à Nankin. A Chahghaï

Changhaï, 26 njars. Chang KaFChek, dès son arrivée à Changhaï il est parvenu sur. une canonnière accompagné de six cents hommes,, est entré en relations avec la police française. Il a déclaré qu'il était pleinement d'accord avec le général Pâà pour s'opposer par tous les moyens aux tentatives d'ingérence dans le gouvernement de la part des éléments extrémis-

tes, ̃

Le- drapeau soviétique a. été hissé cet après-midi à la gare du Nord, à Changhaï, point terminus de là voie ferrée NankinChanghaï.

Une activité intense serait déployée par lesV syndicats ouvriers] autour de Changhaï. Tous ces syndicats sont maintenant sous le contrôle des communistes.

7

M. Marx parle devant le Reichstag de' l'occupation rhénane

Berlin, 26 mars. Au. cours de la discussion du budget du ministère des territoires occupés, le chancelier, qui dirige également les affaires de -ce département, a pris la parole cet après-midi, au Reichs-î iagj pour- déclarer que, malgré les coitces-^ siôns faites en. ce qui concerne la réduction des troupes d'occupation^ et les logements, lés vévehdicutiôns justtflêWide I'Ai^' leïnâghé s'ont- enèore très loin d'être satisfaites. Il est à eépérer que la réduction des effectifs déjà promise à Locarno aura lieu prochainement. M.; Marx signale que les négociations en cours entre le commissaire d'Empire et la commission iiiteralliée de Coblence, en vue la revision des ordonnances en vigueur, dureront probablement encore un mors. Il espère que le nouveau système répondra, à l'esprit nouveau de la politique étrangère des pays intéressés, c'est-à-dire' que les autorités d'occupation, s'immisceront le moins possible dans les affaires allemandes et se borneront à imposer aux populations les charges et les obligations strictement nécessaires une réforme* 1117têrieure est également indispensable. 4ansdomaine judiciaire. `

•– ̃ T- r–

Le procès de la Sainte-Vehme Berlin, 26 mars. Le tribunal a rendu aujourd'hui son jugement dans le procès des assassins du soldat Wilms, de la Reichswehr noire. Ses compagnons l'avaient fait disparaître pour éviter de sa part des indiscrétions sur les formations illégales de la Reichswehr.

"Lés accusés Xlapproth, Unhofef et Fuhrmann ont été condamnés à mort pour assassinat. SchUlz a été condamné à mort peur incitation au meurtre. ïiés -aUtos de*1 cuSêS ont été acquittés". "ll Le tribunal a décidé de'présewteFTfln te* cours en grâce en faveur des condamnés.

I/OPÏNION DES AUTRES

"'̃ ,'̃'̃ n Mil 1

^es événements de Chine

;LÎs TEMPS, comme la plupart des journaux parisiens qui traitent la question, s'alarme à la pensée que le gouvernement de Canton ou bien n'est plus maître de. ses troupes, ou bien fait preuve d'une criminelle 1 complaisance à l'égard des éléments révolutionnaires dominés par'la haine des étrangers. En ce qui concerne les; -incidents déplorables de Nankin, notre confrère s'exprime en ces termes Xous avons souligné à plusieurs reprises les inconvénients pouvant résulter du flottement et des variations de la politique britannique à l'égard de la Chine, et il était malheureusement à craindre que la inénace d'un recours à la force, en même temps qu'on cherchait à négocier, avec les Cantonais .dans des conditions assez pénibles, ne contribuât à exaspérer les colères contre certains éléments étrangers, surtout contre les Anglais, colères que les i-évôlutionnaires cherchent à entretenir chez Jes masses populaires chinoises. Il est très nàturtlï.que chaque puissances veuille assurer Ia- protection efficace de ses reissortiss^nts, mais.I Ii on J>^pt discuter les circonstances et les con- ditions' dans lesquelles les autorités 'navales; devant Nankin, ont lancé leur ultimatum pour exiger le transfert immédiat des ïésiâants anglais et américains sous la protection des troupes sudistes. H n'en reste pas moins que des: violences inadmissibles ont été commises' par ces troupes et que ces violences justifient actuellement les mesnres de force que les gouvernements de Londres et de Washington crôîtoht devoir prendre pour défendre leurs nationaux. Déjà on annonce que le gouvernement américain a décidé que s'il est établi que les «autorités* cantonaises sont impuissantes à assurer l'ordre par l'action de leurs commandants l,ocaux,;Ies pouvoirs les plus étendus seront accordés à l'amiral Williams, commandant. des forces 11aval.es américaines, pour agir suivant les circonstances.

Qu'il y ait là un péril â un point dp vue général, oq ne saurait en douter.

L'INCIDENT BALKANIQUE

̃ '̃̃•̃ .1.

tes négociations

marquent un temps d'arrêt

¡;

Les conversations qui ont lieu à Paris en Vue de Vêgler l'incident, italô-yougdslave marquent en ce moment' un léger

temps d'arrêt, :i t

On sait ^qu'il a été décidé, en principe,! de nommer une commisMon d'enquête qui irait cdntpôler,:rà -la'1 Frontière albano^you1-'

goslayc^'ie- &ien-fondé;'des .révélations, ita-

liennès-ji'èlà'tn'e's^ aftx aniibnierifs Idc 'Bel1'

grade. 'l,p. ,'̃' -•̃.••

Cette,, commission serait- composée de militaires ̃ appartenant aux armées des trois puissances saisies -du mémorandum italien." "• ̃. Les négociations qui se poursuivent ont' pour but de faire accepter cette procédure par les. parties intéressées.

Bruits de révolte en Albanie

Londres; 26 mars. On mande de Tirana au Times que, suivant des bruits qui continuent à circuler, tous .les hommes aptes au service, dans .les régions d'Ejek, Mitrovitza et Prisina seraient enrôlés. Des camions arrivent de nuit dans i les mo.nfagnes. de.JakavaMC-t des routes sont en- préparation dans la a'égioiii de Dibra.. Rejet) Shala', ancien ministre albanais, serait à Poejorit/.a avec quarante officiers occupés' à préparer des troupes. Quinze, cents homnïe.i. seraient également tenus prêts dans le Monténégro.

Suivant le plan général, dit^ou, une attaque aurait lieu au nord- et une "pousséeserait efl'ôctilée de Kossovo et Dibrà sur Tirana." ̃ '"̃ "•̃' Lonpkks, ^6 mars. Le coiTcspondant', de la Hritish United Press •ù- Athènes con-

firme la ̃nouvelle- selon laquelle -l'Albanie

aurait ordpjiilé la mpbiU'sâtipii" d0s hbiumes appartenant aux douze classes, les' plus jeunes..1 ,[ j ,T;o,ute|'bis,i,il w'a.ipasj-çiijcjpre. été possible jusqu'ici- d'obtenu'. •: CQnfirmation de .'la.

nouvolle.serqn-4aq»K>lle Une révolutioîif^atfK

l-aJt«t'^JiaW'Wi- Aîb^nie, bie;rt'u;qu'unî' \é\è^

t'au, "tll,a,I1b, )t'h, ~n>t\l~l~, ",J'M,1'l,' ~i ql1',t1,n' ',t-è~4

fel'âTi.lyî^n|^t^àpvenij[>à''L9adr<?̃$<̃c,cï'

soir, annonce qu'un regime.nt dïnfanterieV albanaise stationné à Ël-Basan, à 30 kilomètres au sud de Tirana, /se serait mutiné' et que tous les soldats de ce régiment se seraient réfugiés dans' les "montagnes. Berlin, 26. niars. ,La> Tx-çflichc Rundschau apprend Qu'une .révolution, aurait éclaté en Albanie et que les insur- gés auraient réussi à entrer à Tirana et- à s'assurer de la personne du président Ahmed Zbgou.

D'âpre^ îles nouvelles, d'Athènes, un bataillon d'infanterie albanais se serait révolté à El-Basan.

(Il convient de 'n'accueillir qu'avec réserve ces informations qui nous parviennent par des voies détournées et sur lesquelles.. o)i ne possède, pour le moment, aucun renseignement officiel.)

Les travaux de la Commission préparatoire du désarmement

Genève, 26 mars. La commission préparatoire de. la conférence du désarmement a commencé, ce matins l'élaboration du projet de convention, .;j>V9i c f La commission a adopté, les articles X.-3 et 3 dd chapitré dé la co!nÀ'eMtiOhJ,d)sarit;: '«. Lçs hautes parties "cdhtr'actâ'n'ffis èaj)-

vitnrt'ë&'t 'de limiter Te"; -'noïnbre; "d'Hôinnies

en service dans leurs- forcés armées- <)tt formations organisées militairementl/làb «l Mais, tandis que le projet britannique parle seulement, des formations de terre, le projet français fait allusion aux formations de terre,, de mer ou aériennes. A ce propos, une longue discussion s'est engagée.

Si, comme- le .propose lord Cecil; on se limite pour le moment aux effectifs de terre, au lieu d'aborder la question des effectifs dans les trois formes d'armement, comment pourra-t-on alors discuter la fameuse question des réserves instruites ? La commission s'est occupée ensuite du point n° 5. iLe texte anglais dit « Les forces de terre qui, dans un délai de. après l'ouverture des hostilités, seront en état d'être envoyées sur le front de combat. », tandis que le projet français dé- clare <t .qui sont immédiatement utilisables sans avoir été mobilisées.» » A ce propos, lord Cecil a fait .remarquer que cette question n'intéressait pas spécialement la' Grande-Bretagne ni les autres pays qui ont des armées de volontaires. « Nous sommes en train de faire quelque chose de nouveau,; de poser des principes et de chercher à -arriver à un résultat. Pour cela, ma proposition constitue la meilleure solution. Il faut.limiter les forces de chacun, et, le seul moyen, est de. limiter le nombre des hommes qui seront envoyés "me le'frpntye'Combat.. Sil'hnveut arriver à un pë-sultat positif, il ,est préférable; d'âyoir" recours a utie méthode directe. », La discussion, a, été renvoyée, à lundi.

La nouvelle que le général Chang Kaï Cheh (qui est en lutte ouverte avec les révolutionnaires bolchevisants), cherche un contact avec Tchaiig Tso Lin en vue d'une entente' sur la base d'un programme national, ouvre dès perspectives rassurantes. .Une,,trêv,e entre nordistes et sudistes hâterait l'heure où des négociations pourront s'engager pour la revision régulière des traités entre les puissances et les autorités chinoises qualifiées pour agir au nom de la Chine entière. Mais pour que ces perspectives ne demeurent pas illusoires et pour que la politique de Chang Kàï-Ohek puisse donner des résultats, il importe que le commandant en chef cantonais soit sûr de son armée, qu'il ait ia certitude absolue que,celle-ci n'agira pas à l'inspiration des chefs révolutionnaires contre ses propres desseins. Les événements de Nankin font malheureusement douter qu'il en sbit ainsi. Il n'y a plus de faute à commettre en Chine, ni. d'un côté ni de l'autre, si ,l!on veut prévenir une catastrophe et empêcher que l'aspect international la crise cliinoïsè:ijê prenne un- caractère de granité qui ne saurait; laisser indiffèrent queun gp,u,vernemen.t du monde ci-

vilise. ̃

"h. .t.L.' uL~

Le rejet du traité heîlaod^betge M. Emile" Buré (A VENIR) plaint U Belgique de l'affront que vient de lui faire le Sénat hollandais en rejetant le traité hollando-belge laborieusement préparé depuis deux ans et qui libérait le. peupje belge « desl lourdes et insupportables servitudes que fait peser sur lui le traité de 1,839, caduc depuis que l'Allemagne le viola cyniquement». Notre confrère rappelle certains-faits qui montrent que, daris le règlement de la" paix, « la Belgique, comme la France, fut victime de ses pacifistes ». II désigne .-nommément M. Vandervelde « La trouée du Limbourg-est toujours ouverte à une invasion allemande, et les "bouches de

LES FETES DpCENTEN AIRE I

DE BEETHOVEN

*rr-- r~* ̃̃̃

M. H erriot représente à Vienne le gouvernement français w Viekxe, 26, mars. Les fêtes, en l'hon-/ neur du centenaire de la' mort de Beethoven s'annoncent très brillantes.

M. Edouard Herriotr-qui •̃y représentera le gouvernement français, est arrivé hier soir le ministre français-.est accompagne de M. Bollaert chef de son cabinet, et^de: plusieurs musiciens et musicologues français: "̃ Ilfut salué en garé do yiennfe'par M. de Chambruli, ministre: de France; -par le chef dç..ic,abine,t,çlp- Mgr .Seipçl, ;chanCjelier, et par xl'autré^ ,i)érsphn;ilités de la'cploniQi française. "̃' "'̃ C'est dans la- grande salle de la Société des amis de la musique que; \{es -fêtes da? centenaire, ont cammencé. p_aij une assemblée que présidait M." Ha'ini'sch: président de la République autrichienne, 'èVa laquelle 'assistait :le chajticeliei\.M.grrSeipel, ainsi que les, membres du gouvernement. La cantate ppur. (J'à mort de l'empereur Joseph' II fut exécutée par les chœurs et. l'orchestre. v<

M. HHcrriot prit la parole ou nom de'la'

France. •̃ ̃ ̃̃ '̃̃̃• ̃' °-r

Voici quelques passages de son dis'' cours, ( « J'ai reçu le mmidat 'd'apporter' a Bec- thoven le salut de mon pays sur cette térrè qu'il a contribué à ennoblir de ses'r'chc>fsd'œ.uvre, dans ̃ l'illustre capitale -où il ra mêlé sa- gloire naissante à 'la gloire côn- sacrée ̃d'Haydn et de Mozart. Il est' des noms si' hauts que Je mieux poùrle's Celé-, brer serait de s'incliiier et de se taire, Nous sommes venus i'ei" pour écouter, et non pour parler. •:•"•••' •̃'•̃ » Et comment définir en quelques mots celte création sonore' •s'affirme la' personnalité à la. fois impépiensé et douce" de ce génie oit se tempèrent la-' science de la tradition, et l'audape dit novateur ? Elle nous apparaît àmainiéV.è d'un jardin féerique ou médite W'r'hi'êrfé contemplative, où chantent' les ûisenu'X •' et les ruisseaux de la Mastorale. ̃'» Sensibles à tfos, devoirs enversA'l'Uiua-

liité.fîmiuS^ diévis^otts -1daii;!s''?ccfaj&tre (te

génie le poète ̃'ïj«f«a> itf '-faire W la- mtr^

,sique un. moy«ii-d©-per«aflsion-et d'action plus cfiicace que la parole ;J.'|i^nmç i.q-uiif de toute façon, crucifié par la vie, -n' retenu dans son ceuyre que l,a tendresse et la pitié. Et si n'ons s'oinme.s venus;içi ew:\ pèlerins, c'est pour a'ffirmer notre ëspè- rancevqû'un jour ces h'y'mnès de prophète deviendront les charits"d4àinbrvuf cPunè1 lift-" manité fraternelle et réconciliée: »' ` La commémoration en 'France^- De nombreuses sociçtes.nUsic'ales se pré-, parent à célébrer, par dès concerts, le'pen-' tenairc de Beethoven* Aujourd'hûi,à'trois/ heures à Saint-Leu-la-Forêt, salle de là* Croix-Blanche, les plus belles œuvres du' maître seront interprétées.

La Société française de musicologie consacrera sa prochaine séaiicc demain, lundi 28 inars.'à- 4 ii. 30, salle Ga veau, au centenaire de- Beethoven. par Une audition d'oeu-" vr.es inédites, ou récemment: identifiées, ou' exécutées d'après des, autographes consa-' crés à Paris, avec Ie, concours de M., Borrel, Mlles HortenseSampigny,! M..Î L. Asso, Mme Lileuse "Nov'a]>\ etç,, sous la:' présidence de M. Julien Teirsot. M. Georges de-'Sàiiit-Foix présentera lés œuvres; Une exposition d'autographes de Beetho- ven aura lieu au cours -de la séance.

-• 'Ji __L __v

̃ LE, 8;;ANNiyERSAI RE DU F-ASÇISME-

` f 1." sl. i t

Une proclamation de M; Mussolini aux Chemises noires ,l' "t

̃ '-̃ ̃̃ ̃ ̃ -^r–

A l'occasion du 8* anniversaire >ïa^ fondation des Faisceaux, M. Mussolini,âadressé aux Chemisés noires la proclamation suivante ̃̃̃"•'• ̃'̃ -t .'•

'?

Chemises noires» .Y

Huit ans se sont écoulés depuis le Jour où, sous leur nom symbolique, les Faisceaux itia-, liens de combat se sont formés. En mars 1919,un petit groupe d'hommes ont fait face à l'hos- tilité des gouvernements et à celle des masses trompées et trahies. En octobre 1922, c'était une multitude victorieuse, à.\tr.ayers. des' sacri-; fices de sang aujourd'hui c'est une armée infinie qui se confond avec la nation entière. L'idée a trouvé les baïonnettes nécessaires et est devenue le régime accepté-et soutenu par le peuple italien tout entier. ̃ Avant-gardistes

Dans cet anniversaire, glorieux du régime, I dans cette célébration imposante et solennelle, je --vous donne une carte et --un fusil. La>prë-i mière est le symbole de notre foi, le second est.; l'instrument de notre force. Gpnsidérez comme l'bonneur le plus grand de revêtir Ja chemise,' noire et comme le privilége le plus haut d'en-1 trer dans les rangs de la milice. -,m;,< Chemises noires iy, f. Allez, guidons déployés.' û la rencontre des générations qui nous offrent la' certitude de l,avenir,-saluez par le chant des>ivieux hymnes j guerriers, les avants-gardes qui viennent • à nous, pures de toute contagion, fraîches coinme, l'aurore. Contre les tentatives du vieux mondë^ que "nous aivpnsiiédrid* .et;dispeRspJ1j;esté la, jeuiffi nes,se4di«,LiUpriQjkarden^ç,^t disciplinée, anxieu- j

se de travailler et de coi.nbattre "pour"!»"' puis,' 1

sancè;a^l3ta^e!;f^is¥«l>W.fflrno: »• r >'An

Chemises noires, à nous J i!|

l'Escaut, qui sont ses .vér}tab}e.s^« yoies res-

piraloires », s'obstruent lentement de par la

volonté de sa rivale, la Hollande, plus docile" que jamais aux ordres d'une Allemagne dont'kij puissance est déjà supérieure à celle qu'elle! avait en 1914." .,«̃/ La France iie saurait 'donc attacher trop d'importance au :rejet, par lé Sénat hollandais, du traité hollando-belge. '•̃; Son alliée, la Pologne, a déjà du subir en pleine santé l'opération de la tracHéotôhiie, ellese déshonorerait si elle-laissait infliger. le même j >~ supplice à la Belgique,4iée à elle paç. les liens, de la plus étroite, de la* plus fraternelle amitié. ~l Tout ce qui est belge est nôtre et les Aile-! I mands s'en rendent' si bien compte qu'ils s'efforcent d'affaiblir nos voisins- pour ̃ nous- ̃ af-v faiblir nous-mêmes. La « Nation Belge » re- marque fort justement'que les sénateurs hollandais votèrent pour oi» contre le traité" -holri: lando-belge, selon qu'ils ifx^ient été germano^ philes ou aliadophilcs pôtTdant les hostilités^ et notre grand confrère de Bruxelles ajoute que le prince Henri de Meckiembourg, le prince consort, prit parti, cette fois; en faveur du Reich. ̃ ̃• '»̃; •" La guerre continue, et, ironie ̃-I'tfe i'hfstoîrej' Stresemann, président > actuel ̃ de tla. Société des nations, peut avoir demain à Soumettre aux .membres de l'Assemblée genevoise, les"j .éléments s idù.= conflit' bollândb-belge; Rietf 'dcj'î prouve mieux que la victoire a changé ^lo. camp. Les Hollandais sont naturellement pleins d'espoir, car ils sont sûrs que le tout-puissajit= ministre! allemand a déjà choisi 'entre éuxy 'qui eu 1914 favorisèrent la mgrche de l'armée? d'invasion allemande, et leurs rivaux qui eurent ^l'insolence de leur barrer la route. Le recours aux puissances

L'INDEPENDANCE BELGE, après avoir' souligné que les intérêts d'Anvers, de- Gand, de toute l'activité belge étaient menacés, que le régime de 'l'Escaut et Ihêoiè'" la neutralité étaient^ remis en qvrestion.-dé- clare 1" que toutes les dispositions tran,» ¡ sactionuelles, toutes tes concessions précédemment faites par la Belgique sont de-i sormais caduques 2° qu'après ràffroiit qui vient de lui être infligé' le gouvernement belge ne peut plus traiter directement avec la "Hollande. L

COftSEIË jDES^MINISTRES

M."yare*nné ajourne son départ

pour l'Indochine

Au. -Coraseil des >Hunistrcs qui s'est, tenu hier matin, à l'Elysée, M. Léon Perrier a tout de suite annoncé que le gouverneur général de l'Indochine ne partirait pas peur la colonie le 8 avril, par le' même paquebot qui emportera les commissaires enquêteurs si, d'ici là, ils sont nommés. M1. Varenne, a dit le ministre, est désit»eux d'éviter tout- soupçon sur l'indépendance, de la commission et a décidé de retarder son départ.

De son' côté/ M. Varenne' a déclaré aux journalistes qui l'ont interrogé qu'il s'embarquerait dans -un mois, exactement le 27 avril.

Dans. les milieux politiques, ia nouvelle de l'ajournement de son voyage été, hier, très commentée. On s'étonnait- des termes' du' s CiQininunkjué officiel sr.tmi'së termine

par ces mots « son départ-pour la ce-

îonie ces la tète de laquelle le gpu.eriie--

o~ a la tête de laquelle le gOll,'crlle--

arent; l'a'niaintenu »^ w Son remp'lâéèment, disait-on; a donc

été" envisagé1 ?̃•

D'autre part, nous le disons plus' haut, et conformément à l'avis de la commission '«des domaines et des -eoneesions coloniales, le gouvernement a décidé, sur la proposition de M. Léon Perrier, de- poursuivre par voie judiciaire l'annulation des baux emphytéotiques récemment passés dans^'le Darlac: ï °

>Enfin, le ministre des colonies a fait signer, mi; décret Stipulant que, jusqu'à la' refonte actuellement entreprise du régime concessionnaire;enîlndoehine, aucune concession ni aucua -contrat foncier ne pourront avoir lieu qu'en vertu d'un décret. Ce décret paraît ce matin au Journal of-

ï~.

Affaires extérieures

Les, •aff.ajrc.s,, extérieures ont. retenu l'atr ten'tiôii' 'Conseil', à quiM.Briand a donné les toutes', dejmières '.informations reçues de Chine au Quai d'Orsay, et le ministre de la guerre a fait connaître à ses collègues les conditions favorables dans lesquelles se poûrsuif, devant la commission de l'armée, à la 'Chambre,' la discussion des projets' de lois militaires. j,< La;. réforme électorale -w> Àjji' cours ftde ,Ia réunion,. il,a élé de..nou-

veau que'slïôn'lilë"l'a réforme électorale. M.

Et'i'riuir •dei'»è'nO1'lë'ibrUit/qHii'isiefait"à'c-

«r^djUt: dans certaijTijS gçoupeiî jtlfe' Cham-

bre, sèlQtt,'I,eqJjt!1 \ePrble~dép:o:se etait in.

complet. ̃ ̃• -̃̃

'̃ Tel qu'il a été présenté, le projet sera tnaintenu par le gouvernement, et le minisl'fc'.se réserve de discuter devant la coin-, ^nissipri Jes derniers amendements qui seront apportés. 11 se propose, en outres "de recevoir d'autres délégations parlementaires désirant s'enlfi-tenir avec lui de la .ques|ioii électorale. Le monopole des allumettes Les ministres, ont, enfin examiné le projet. dë-Joi, sur le imonopole.de la fabrication des allumettes.

Après discussion,, le président du Conèoil a décidé de soumettre quelques points de .détail aux auteurs de la proposition de mise en régie que,, nous avons exposée. Le projet complet sei-a soumis au Conseil mardi e^. aussitôt déposé à la Chambre. Le président du! -Conseil se propose de montrer au Parlement les avantages de la combinaison offerte.. Mais il n'engagera pbint.la question de confiance. Il laissera aux Chambres la responsabilité de leur refus.

MISE Ej^JJBERTE A là demande de M6 Pierre Weill, M. pbàrles Bertaïfi!fj.'gu$e d?instractîon,îa mis

èit»'liberté -provisoire Mv 'Lucïen -Werner^

~n~H,b'l:té"1?1:o\'lsGire ,M. uéien" Wel'n~r,

poiiccssidnnâire && ïa ^htti' de1 biffèts de

théâtre <jui,'l€ 13 marSj rue Félix-Zié'm, à sliite d'une discussion, tira quatre coups de revolver sur Mme Alice Tassin, veuve H'un'cîief d'orchestre.

-er-

j"A]~~ES

j -V-

i M:; Réynaldo Hahn nous prié de publier tette lettre !(1 .• « Joseph', t'une des plus pures gloires de l'Opéra .français, fut représenté pour la première fois en 1807 puis, pendant un siècle, repris fréquemment sur ies grandes scènes de l'Europe. Or, voici que depuis plus de vingt ahs? le sublime' chef-d'œuvre deMébul napasieté représenté.

.>. Il nous a semblé que le Théâtre du Casino Municipal de Cannes se devait, ainsi qu'à ,son public, de combler cette lacune pt de^J'éparer cette i injustice. Joseph sera Honci. donné, mardi prochain 29 mars, à EiO heures 3/4j. avec une interprétation de premier ordre.

ï Sachant l'intérêt que vous portez- aux pelles manifestations artistiques, -je-, me faiSi un devoir de vous prévenir de cette, solennité. té. i> ̃

:VieuiHez ;agréer. 1 ̃ ̃̃

¡ » REYXALPO HAHS. a PsrS. £haciinia,it,qu'jLji!x.ajgu>à prendre un des rapides du soir pour se trouj ver, au ^Bî«J*4^urfsJ*ot^A#flte'tî^Hîera i bleue.

j Xoutefois, pqtre confrère belge récuse absolument la Société des nations j Ilk Société des hâtions a été créée poiir aplanir s Jes différends efttre les nations et pour préKehirles risques de guerre. Aucun différend de ïla sorte n'existe entre la Hollande et la Belgique. pour les d,eux pays, H s'agit, avec l'appui des grandes puissances intéressées, de' reJviser.iin statut périmé, qui ne répond plus aux circonstances actuelles. Rien de plus. L'accord direct n'a pu se faire ? C'est aux puissances intéressées à chercher un terrain d'entente epai respect^. la. souveraineté des deux pays et. qui garwUssi; JpjUr indépendance et aussi leurs intérêts -r- réciproque. C'est ainsi et pas autrement que se pose Je problème. Le considérer sous un autre aspect, lé rendre justiciable îdu pacte de Genève, ce serait le compliquer en .piiïe perte, sans profit pour personne. J La. solution d.u problème incombe' désortaaiSf.faux grandes puissances, Angleterre et France, qui ont garanti notre neutralité et qui nous ont impose, ajoute notre conïrère, un régime dont le danger est apparu clairement quand il était trop tard, en 1914. C'est à ces puissances intéressées égaleHj'çnt à la liberté de l'Escaut aussi bien qu'à notre souveraineté, qu'il appartient de mettre de l'ordre dans le désordre' international issu du rejet du traitée. Voilà ouvert 'ùii nouveau champ d'âfctivité pbur nos diplomates L'opinion francai-

se^ielle, ne comprend pasf'qué'la Belgique

p?aitfpas coilquis de plein* droit, par son glorieux héroïsme, sa totale iridéperidan:ce politique et économique.

Oti jtige du Gaf tel

M. Eugène Lautier (HOMME LIBRE) use sans^ ménagements pour ses amis de la liberté" qu'il s'est accordée Un de ses. collègues radicaux, M. Georges Bonnet, s'étant plaint de « l'atonie parlementaire actuelJe » M. Eugène Lautier lui répond Cette atonie n'a-t-elle pas été précédée par l'atonie gouvernementale ? Qu'ont fait les chefs

du Cartel au pouvoir ? Rien.

ï'art }U' politique, cfeït, ditj-on, de plumer: li Jioule sans la faii'e crier.

̃•̃ V ̃ ̃ "Ai- w- ̃

Le Cinquantenaire

de l'Université catholique

•̃ ̃ ̃-̃̃'̃

Luxe, 26, mars. (De notre envoyé spécial.) La Flandre française est en fête. Lille célèbre aujourd'hui le cinquantenaire de cette Université catholique dont M. Georges Goyau célébrait il y a quelques jours, dans le Figaro, les et les services qu'elle a rendus depuis 1877. Depuis hier sont arrivées ici un grand nombre -dé personnalités ecclésiastiques et laïques venues de toutes les régions de la France et de l'étranger.

Quand, cet après-midi, S. lîm. le cardinal Cl^arost, légat du Souverain Pontife,1 fut solennellement reçu dans la salte des actes fie l'Université, on rémarquait t,

S. rV,xc. Mgr Magljonb; nonce. àjpbstoliimé

N5f.:SS' ('lio'llet, archcVê'que de;Çaiijbrai

de 4<a Vijlerabel,. arithevèquc' ctè Roueai Jansdone, évèque auxiliaire, d(Q. Lille Julieu, évoque d'Arras ;• Roland-Gosseliii, coadjuteur. de Versailles Le'comte, évoque .d'Amiens.; Poirier, coadjuleur de Lourdes MonnUr, évêque de Troyes Grentc; évêque du Mans; Pelt, évèque de Metz; Ginisty, évêque de Verdun j-JSinet, évoque de Soissons Legasse, évêque de Périgueux- Mommesch, évêque de Luxembourg Rasneur, évèque de Tournai;; Ja-masik, représentant ?larchcvêque de Posnan. .•• ̃ ,Les Universités catholiques françaises sont représentées par NN., -!4S. Baudrillart, Breton, Lavallcc et Gry,:rectej.irs des Instituts catholiques de Paris, Toulouse, Lyon et Angers.

Parmi les 'représentants des Universités étrangères, nous avons noté M. Jorgue Lira, délégué de l'Université, de.. Saiitiago-duChili Mgr Ladeuze, recteur de l'Université de Louvain M. Renier, délégué de l'Université de Liège, M. Van den Bossche, recteur de l'Univ.ersité: de Gand M. Josef Cibulka, délégué de l'Université de Prague MM. Liroir. et Grondin, délégués de l'Université Laval de' Québec le R. P. Dhqrme, représentant l'Ins.tHul Biblique de Jérusalem le R.P. Geinelli, recteur de l'Université de,v:M.Uan MM. Mulder et Schrynen, délégués de l'Université de Kimègue le recteur de l'Univer-' site..grégorienne de Rome j M, Girardin,

vice-recteur de. i'4Jni\rsiité,,1de..1>Çri^WWS4L'"

dej renr.ésentiyits .(les ,X ni>'ÇJ'si(és; Ma-

drid, Ani-.stpr(lgui',i Ittdim*a,s.«rfctx– .̃> f i.n >> r is>ir

Mous ,avoiss «perçu éjBiileiiient;>lgri

Reaupin,! -secrétaire» général > des! Amitiés 1

Françaises à l'étranger; les RR. PP;!Vcrdier, supérieur de la congrégation de La Mission, et Louis, provincial des Dominicains ̃ M. l'abbé Bremond,- de 'l'Acadeniie française M. Duval-Arnould, député é de Paris, MM. Coutel, Crespel, Nivelle, des Retours et Grousseau, députés du Nord le général de Saint-.Tust et M. Lefebvre du Prey, députés du Pas-de-Calais M. Lùchaire, directeur de l'Institut do.Coopération intellectuelle, etc.

A quatre heures, un cortège de 15,000 hommes s'est formé pour conduire le légat à l'église '.Sijint-Maurice,a ,q'a -^ieu-.la première cérémonie religieuse. Au moment où..le cortège s'est îiiis*. en" branle, toutes les cloches de la ville ont sonné. Sur tout le parcours, une foule énorme se pressait, contenue à grand'péine par une double haie de jeunes gens et d'étudiants. Les spectateurs ont chaleureusement acclamé l'ancien évêque de Lille, qui'Tut;' on' s'en souvient, le réconfort de tous pendant l'occupation allemande.

A l'église Saint-Maurice, dont les àbdrds étaient littéralement enyahis, un Te Deum a été chanté solennellement. Après quoi le R. P. Janvier a fait l'éloge de l'œuvre de l'Université catholique de Lille, due à la seulfc'gênêrosité du catholicisme du Nord. Le soir, une soirée de gala a réuni les invités dans la grande salle des fêtes do l'Université^ .'̃̃'•> ï. ̃• ̃̃>. '.• ̃

̃'̃̃•; •̃vt1 ;i;>J;l.èi\pàfi&z;r-1.

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A la Commission des réparations

La Commission des réparations s'est réunie, hier samedi, sous la présidence, de M. Fernand Ghapsal, et a' procédé à' l'examen d'un certain nombre d'affaires. En particulier, elle a pris acte de l'accord intervenu entre les gouvernements intéressés pour le règlement des frais des armées d'occupation en territoires rhénans pour la période du 1" avril 192(3 au 10 janvier 1930. ̃

Elle a homologué divers contrats i de prestations de fournitures et d'outillage et ilxé pour la période du 1" avril 1927 au 31 mars 1928.. le montant maximum des contrats livraisons de marchandises en provenance de; la Sarre.

L'AFFAIRE ROCHETTE Par les organes de M* Bacri, avocat, et M" Fernand Bertin, avoué, M. Yves Rocard,' professeur de "science, 84, rue Clau- de-Bèrnard, au nom d'un groupe de soixante plaignants, s'est porté partie civile dans l'affaire1 Rbchette.

.?.?"

Le voyage du comte Bethlen à Rome

̃{,. i'!ii<V. ,:̃'̃̃ s- ,Ili.

1 Rome, 26 mars. 71- On annonce ce soir

qiie le- comte Bethlen,, premier, ministre de

Hongrie,, arrivera à Roflie'le 5 avril.

Or, nos gouvernements du Cartel ont fait crier la poule sans la plumer.

Après avoiraffiché tout de suite des prétentions peut-être trop ambitieuses, on a dès le lendemain reculé dans faction. Je sais bien l'excuse commode que l'on invoque. On dit' « Les socialistes nous avaient refusé la participation. » Mille pardons Ce refus nous était connu lorsque nous avons établi. nos programmes de gouvernement. Nous avons donc tenu compte de ccifait que le parti radical socialiste seul saisirait la queue de la poêle. Nous avons rédigé notre programme en conséquence. Et, je le. répète, dès le. lendemain, ce fut lo reçut, la pusillanimité, tout ce qui précède et .engendre forcément la débandade Nous n'avons pas même eu, le courage de nous faire battre sur nos idées et sur nos hommes. Quand les difficultés sont apparues, nous sommes allés chercher des participants parmi les anciens grands hommes du Bloc -national ou parmi les réactionnaires les-pliis notoires. Dès lors que nos chefs estimaient que nous ne pouvons rien faire- sans appeler au pouvoir d'anciens sous-officiers du Bloc national, des ultramontains et des nationalistes réactionnaires, autant valait laisser la place à ceux qui représentent, authentiquement le Bloc national. ••̃ A partir du moment où l'on jouait les sousPoincaré, il était plus normal de prendre M. Foincaré lui-même avec tpns ses inconvénients

pour- le parti et tons ses avantage? poui'

̃pïiys.' "'̃̃ ̃̃̃̃ •̃'̃' '̃' -̃̃ -̃•

Telle fut, d'ailleurs, l'opinion de nos chefs puisque (ians le sens antique– il ont ren- j ¡ du à M. Poinçaré l'hommage féodal et qu'ils se s"éht încllhés,' « ex-1'iérs Sicainbrcs »," pour baiser son écusson. ̃ 1 Tout s'est donc passé d'après une logknie rigoureuse. Dans mon pays du Languedoc, on dit «Nous avions le pain et le couteau, » II ne restait donc qu'à tailler la miche, mais non pour la distribuer uniquement aux incapables, aux inutiles "et^même aux adversaires.

Voilà qui n'est point sans netteté, ni même sans courage Mais comment notre éminent confrère pent-il s'étonner qu'on ait été chercher les adversaires ?Fallait-il donc perpétuellement laisser le pouvoir t aux « incapables et- aux « inutiles » ?

M. Eugène Lautier est bien sévère pour

son parti, ,Pierre 'Gîlle.tte.

Pierre Tillette.

NOUVELLES

DIVERSES ,y:

J"

Un drame à la gare du Nord, A la gare Nord, hier, à 4 heures, quelques minutes avant le départ du rapide; pour Boulogne, une jeune femme élégante était en discussion avec un voyageur d'une trentaine d'années qu'elle accompagnait. Quelques personnes, présentes à la secne, -la virent sortir soudain un revolver; de son sac à main et tirer à bout portant sur son .compagnon; Celui-ci s'écroula 'et la meurtrière, retournant son arme contre soi, avant qu'on eût pu la -maîtrisoiv se iogeai(u,ne balle dans la poitrine. jlfCs deux blessés furent aussitôt ilrans̃portés à l'hôpital Larîboisièrc, oinl'on ôtar.'j Mit leur identité w la mem-lrière était, la comtesse de Janzé, née Alice Silverthornr et.jfia victime un Anglais, M. ftaymond de

Traffprd.> âgé' -dé 2-8 ans. ̃' r^'î?

M. de Trafford avait été, atteinti par le1 projectile dans. la région du coeur et la comtesse de Janzé avait l'abdomen traversé. En raison de la gravité de leur état,' les deux blesses ont, du être opères d'urgence, hier soir, à 9 heures, par les chirur->-

giens de Lariboisicre. ̃ ̃̃• ••

La comtesse de Janzé, qui vivait depuis* plusieurs mois séparée de son mari, habitait une pension de famille, 20, rue Chaigrin, près de l'avenue du Bois-dè-Boulogne. Comme il n'a pu être procédé à> aucun interrogatoire, oii ignore encore la cause précise de ce pénible drame. v -.Un encaisseur ̃̃)' l,\

attaqué en plein jour

Deux jeunes gens de dix-sept ans; pour se procurer de l'argent et faire Ma- fête, ont attaqué hier, en plein jour, un encaisseur au moment où celui-ci venait de toucher une somme de 4.000 /rancs. Cette agression, heureusement, a échoué et la victime en sera quitte pour quelques jours de lit. Il y a plusieurs semaines déjà, (lue les jeunes bandit:; préparaient leur" coup. Pour cela, ils avaient dérobé des tringles de fer qu'ils avaient soigneusement recouvertes de cuir, volé: égalemeui

dAns.,J<jal^Yagans.r,ijo,chemins de fier. Puis,

guettant autour d'établissements .dû- crédit, ils"*vaienl choisi: M.' Charles Sehcc,: sortant d'une banque de la rue Lafavette (rf-qui- leur- paraissait ;iuiïé proie facile. L'ayant suivi'jusquc dans l'immeuble où il devait encaisser, pendant. que l'un d'eux faisait le guet, l'autre, Maurice Duriez, attendait' dans l'immeuble l'encaisseur. Commerce-' lui-ci descendait, sans méfiance, il reçut? sur la tête un coup de matraque. A peine* étourdi, il appela à l'aide. Pris de peur, Duriez voulut s'enfuir mais le concierge, arrivant à ce moment, l'immobilisa sans peine. Son' complice avait' déjà disparu. Duriez, au commissariat, a avoué ht .•préméditation de l'agression, mais il a refusé de donner le nom de son complice qu'on' recherche. Il habitait chez ses parents; de braves ouvriers, qu'on prévint aussitôt. Dans la soirée, il fut conduit au Dépôts «?s^s<*s^ DERNIERE HEURE SPORTIVE Un déjeuner à l'A. C. F. `y

Hier, .sous la présidence du vicojnte de Rohan, l'Automobile Club de France a offert un déjeuner aux représentants de la police londonienne, as* sistés de leurs collègues de la police parisienne. A l'issue du déjeuner, les convives' ont été vivement intéressés par la visite de toutes les organisations sportives du Cercle dp îa place .delà Concorde. Assistaient au déjeuné]* MM/ le général sir Horwood, le général Gouraud, M. Liard, Guichard, Faulkner, Bénin, le colonel Laurie, de Castellane, Faralicq, Maurice de Wendel, Billings, Morard, J. Meyer, le major Tomlin, le commandant Mac Grew, Charles Meyer, Gérard. •̃' ̃ ̃

Les grands matches d'athlétisme Cambridge triomphe d'Oxford

Hier, à Londres, les équipes d'athlétisme' des célèbres universités de Cambridge- et d'Oxford se sont trouvées aux prises. Cambridge a battu Oxford par 9 victoires contre 2.

Vers les 300 kilomètres à l'heure v en automobile

Hier, aux Etats-Unis, sur la plage de Dayton (Floride). le major anglais Sea- grave, qui doit s'attaquer mardi prochain ~i au record mondial de vitesse en automo-' bile, à réussi la vitesse de 288 kilomètres à l'heure.

Le major Seagrave espère atteindre les 320 kilomètres' à l'heure.

Les championnats d'Amérique

'?' Làwn-Tennis

i

Victoire de Borotra et de Brugnon Hier, à Brooklyn, dans le championnat double messieurs de tennis sur courts couverts, les joueurs français Borotra et Brugnon ont triomphé en battant les joueurs américains King et Hunter par. 7-3, <5-3 et 6-2.

La victoire de l'équipe française fait grande impression. Borotra et Brugnon ayant joué dans une forme remarquable. La Boxe internationale

*J. ,d

Les amateurs français et les amateurs hollandais ont. fait match nul

Le troisième tournoi international'de' boxe amateurs a été disputé hier soir au vélodrome d'hiver,- devant une assistance des plus restreintes. Il opposait les ama- teurs hollandais aux amateurs français. L'équipehollaudaise a réussi à faire match nul avec l'équipe:'franeàise. Sur six ren- contres, chaque équipe a remporté, eu effet, 2 matches, et 2 matches ont été nuls, Résultats Poids mouche Cuard (F.)

bat Nieuvenbura (H.) aux points poia'i

coq Geene (Hjbat Privé (F.) aux points; poids plumé Van Klâvèren (H.) bat Frappé (F ) aux points poids lèyers Fangei* (F.) et Gronevlod (H.) font match nul 5 poids moyens ± Langlet bat Konven- heng (H.) aux points poids lourds Moret (F.) et Oly (H.) font match nul.

Tous ces combats ont été disputés «a trois reprises de trois minutes chacune

Le Circuit de l'Atlantique;, par le colonel de Pinedo L'hydravion Santa-Maria, piloté par la colonel italien de Pinedo, est arrivé hier, à 14 heures, à Pointe-â-Pitre, venant de Georgetown (Guyane anglaise).

Le colonel doit repartir aujourd'hui pour Curaçao, après avoir été reçu par les autorités à l'hôtel de ville.


L'ART Et LA CURIOSITÉ 1

II faut visiter.

.la très belle exposition que nous avons signalée et- qui connaît le plus grand succès. Nous rappelons que l'admirable collection cb meubles anciens, objets d'art, tapisseries, tissus rares, gravures et tableaux réunie par l'excellent artiste qu'est Paul Seret, est visible tous les jours (dimanche excepté) dans le vaste hôtel particulier du n, rue Christophe-Çolomb, de 10 b. à 12 heures et de 14 hv à 18 heures.

Paul Seret met d'ailleurs à la disposition de tous les gens de goût son expérience si notoire pour tout ce qui concerne parfaites installatidns tant à la ville qu'à la campagne. Il faut en profiter.

Expositions

et Ventes d'aujourd'hui 'i

HOTEL DROUOT. –Salle,n"' 6. Exposition publique. Salle à. manger loupe d'amboinc, Empire Salon Aubusson, Chambrt. à coucher marqueterie Louis XVI, Piano à queue Pleyel, Objets d'art, Ameublement, Tableaux anciens et modernes, Importants Tapis d'Orient, appartenant à M. X. Mc Louis Debauve, commissairepriscur.

HOTEL DROUOT.– Salle n" 10. Exposition publique, Bibliothèque de jeu M. Hector de Backcr (2° partie). Livres anciens, Riches reliures des XVI", XVII* et XVIIIe siècles. M' Lair-Dubreuh, cominissaire-priseur" MM. L. Giraud-Badin et de Samblanx, experts.

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Réunions, Cours et Conférences Aujourd'hui

Lo centenaire de Beethoven, par- 3e pasteur Hcnry Soulié, 10 heures, rue de Musset, 10.

La Bulgarie, par M. Moreau-Reibel, 14 h. 30, boulevard Raspail, 101.

A l'Université des Annales,, CoJiséo. 38, Champs-Elysées.. Dernsùj lundi, 3 h. « La sous Louis XV Le Salon rUi Mme Geoffrin ». Conférence i-ïài^Mriitm*tri Mallet. Auditions (le Mme Blanche Toutain et de M. Henri Beaulieu. A 5 h. «Le Théâtre Romantique La jeunesse d'Alexandre Dumas ». Conférence par M. Itobert de Fiers, de l'Académie française. -La semaine à la Société des Conférences, 184, boulevard St-Gennain Mercredi, à 2 h. 30,' cours de M. André Bellessort sur Sainte-Beuve les Dernières années de Sainte-Beuve; jeudi, à 2 h. 30, même conférence ré- pétée vendredi, a 2 h. 30, cours de M. André Maurois sur Dickens la Philosophie de Dickens.

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«titra Tcoimr Clôture Dernier #>amdtiint Clôture Ooraier ^amdthmt j Clôture Deraigr Revenu /b>iiviD'rniUT> Clôture Dernier Revenu rAMDTBMT Clôture Dernier Revenu MARPHË EH RAUDIIP Clôtura Dernier MADPUCC CTDlHifCDQ Clôtura Dernier \ni TERME préced" cotirs l, COMPTANT préoed» 1 cours COMPTANT précèS" mn brut COMPTANT' prèced** cour» brut COMPTANT prÈcèd» coare brut mAnlint CD BAngUt vritti" rours .HIAnbntd tTRANbCnS p-joeSt.. cours 363 63'Bonque Franc 114240..j!4230.. FONDS D'ÉTATS Maroo S% 1904 442.. 440.. BANQUES 150 Bithune CC" d.) nouv 5080..5110.. TERME LONDRES 26 mort "1'

563 82 do l'Algérie JIO45O.. i 5% 1910 1890.890., 240 Charbonnage» du Tonkin 12800.. 12700..

45. Nalionolo de Crédit. 814 810 3e), 55 95 56 50 Portugal 3% 1" série t. 182 50 193 Banque de IMndo-Chine i. 4940 4875 55 Commentry-Fourchambault 1134 !125 Mexique intérieur S% 57.58 40 3% Français; M

80 ..I de Parie» Pays-Bas.. 1845 1870 3% Amortissable 68 25 -68 50 Roumanie 4% r890 91.. 92.. 55' française de l'Afrique. 755.. 755/ 50 Dombrowa (Houillères), parts. 1615 1625 3% 43 25 43 75 5% ;», 14.1/2.

80..i -Transatlantique. )845..)870..3~Am!trt:Mab)e. 68:5 M50Roum~n)e4%fS90.9).. 162,50 '193.; fron~tie'derAfrique. 4940.. 755, 50..Dombrow«(HouiH4res).parts.'6)5..)625. 3% 4325 4!75s% .)4.)f2.

23751 Transatlantique. 355.. 360 3 1/2% Amortissable. 84 50 64.85 -4%1896 63., .68.9 ̃ 1ndust.de l'Afr. du Nord 379.. 379.. 45 EpinacCHouillères&Ch.fer d'). !?50 1270 Balia-Karaldin 255 ,,255 4% 1917 111/4.:

45.. do l'Union Porisienne. 1339 1348 s», 191S-19I6. 70 30 70 95 50 4% 1S98 65.. 67 Industrielle de phine.. '38 48 86 Haute-Loire (Houillères de la). 1100 ,.i!130 10 th..iBrakpsn 591 .592 4% 1918 12 1/8!" 70 ..jcompaanie Aloérionne.I655 1665 4%1917. 58 35 58 50 Russie 4?o 1867-1869 14 70 14 10 15.. Franco-Japonaise 585 586 65 Montrambert et la Beraudlôre. 1580 1588 25 b. Caoutchoucs (S" Financière de) 526 538 Consolidés (54.5/8

èO ..jComptoirNationald'Esoompte.300 ..|J3CO 4%t9|8 58 50 58 80 Sant«-Fé 5?S 1910 1580 1571. 25. des Pays du Nord\| 495 500 Saint-Etienne (Houillères de) ..95 .96 1 3 Chartered 186.. !91 Argentin 1886.M00 1/2

,50 ..(crédit Commercial de Franc. il l'OO ..1145 ..i, 5% 1920 Amortissable 91 15! 91 05 Serbe 5% 1913 [tf> 75) !I4 12 SOlBanqué-prrvie non -cij'tteii -259 258 65. Anicha. (N9irtes dO 379 395 3 th. ,6 City-De*p 202 201 ̃ Brésil 1889. 56 1/2

'80 ..i Foncier.de France. ,|2I85.. 12250. e«;192Ô '82 50! 501 SI 80 sui,de 3 1/2% 189S [ï' JCrédit 'Algârion. ;ifXZ. -:i- ̃ 55 Anjin. 12».1280. Colbmbia. 399;. 399.. Funding ,80 ̃20 Foncierde l'Indo-Chine 586 -.593 :i #%>T92S. (change garanti). 97 •̃! 50 Suisse 1903 33 ..iCréd.fonc d'Algcrie-Tunisie, 32Ç •• 519 •̃ 55 92 Blowy anc -900 909 Conoordia 225 230 chine 4 1/2. 58 .̃• 80 Lyonnais 2595 a6J8. Sona duTrésor 6% 1922. 509 50| 509 7i Turquie- Consolidées 1890. [ «5 “•» ,-Cvf(Criti« F«nci.ar- Ar9entm ̃« « 5006 Carmaux, 440 410 Corocoro ordi .i. 47 50 .47 50 Egypte Unifiées 823/4 4U9U ^Mobilier Françoi 5[5*3529.. févr 1923 5Û0 50! 50 Douanes 1902: 399 39! 52 50 du Brésil 1789 .̃•̃••̃ 50..Carvln. 249.. 240- 6 th. Crown Min I 437 436 Extérieure 78, 27 50tSociété Générale. Id62.070.. _• sept. 1923 501 503 50 ̃_• Tribut d'Egypte 50.. Colonial 'g ̃̃ 760 •• 50 Dourges 524 !545 30 th. De Beers ordinair 2002 2001 italien JS-I: H 118 ..iSocfété Générale Foncière.11592 1574 s% 1924 1 5/0 ..j 574 50 Priorité Tombac | Soo. C,' Banques de Provmce..« 50 72 50 20 Sraissesaac 445 .460 A. préférene 1578 157a japon ,899 68 3/4 v .H Obllg. Ch. fer Etat 4% -1912-14. 278 279 Tabacs du Portugal Î490..I505.. 50. Soc. G1' Alsacienne de Bonque. /70 803 40 Grand'Combes 765 .762 I d. Franeo-Wyoming ord. 753 7:>3 Portugais 37 3/4 S

424 98'Suez. •̃̃•-̃̃'̃ 13240. JÏ3180.. 5% 19)9. 309 310 Uruguay Or 1905 •• .• 40 Société Marseillaise 600.. 600.. 30 Ligny-les-Aires 7 th. 6. Geduld 55* 555 Russe 1906 6. 2

464 77iSuez (part, d». -fondateur).. Obli décennales 1919-29. 93 55] 93 85 ̃ 30 ..Immobilière des Voitures ] 21 50 Loire (Mines de la) Jj> .525 2 ,h.. 6 Gpldfields, Consolidated .'268.. 267.. )909 41/2'S

624% Suer (civile).. 18060.. I8W0. 1922-32 92 20,92 75 OBLIGATIONS 28 50 Maries 589 600 .Hartmann 253 254 Turc 4% 23.1/2. S

48 50-Est. -%3 .975 caisse autonom. 527 ACTIONS INDUSTRIELLES 50 Ostricourt '«0 1366 60 Hotehkia 1204 1212 •»

70..JLyOn 225 !260 Afrique Occident Franc- 30/0 30Û 300.. I86S 4?» remb. à SOO 8fo- 815.. 25 Vicoigne et Nceux 614 625 < Huanchacé !37 r. 34 Chartered. 28(3. H

57 50 Midi ]* ̃̃ 1220 Annam-Tonkin 2 i/2 ̃ •• 1871 3% remb. à 400 360 iil 50 28 50 Chemin de fer Est. Joui. 439 439 175 Algèrie-Tunisia. (Omnium) 5800 58UO 5sh. 6 Jagersfontein 463 .460 East Rand 27/Î./2 ̃ S

80 :Nerd. 694 I«Û.. ,nd0-Chine 3o/o 1909 282 285.. m 187S 4% remb. à SOO 40125 405 35 Est-Algénen 450 450. Boléo, parts ,|K •• ,llr< Lianosoff.. 587.. 583 Goldfields 41/102 «

60 ..iortéans.m. 1079 !095 3 1/2 O/O 1913- 294 291 g 1876 4% r.mb. è 5OO1. fW 414 50 50.. Lyon, joui, »4 715.. 102 Bor (Mines de) ord. 2850 2830 7 th. Malacca, ord 512.. 519 Rlmd Mine 7l/i0 2 g

̃' I .=“- ,™ Madagascar 1897, > ̃̃ •̃ < 1892 2 i/2r.mb.à 400 £ S96 50 32 50 Midi, jeu, s 660 .674 27 50 Cuivre et Pyrites. J58 358 Malopoteka -635 f -639 D.-B«..rs ». I6,1. 100 v.Santa-Fé(Cîefr.t:h. fer ProvO I89j 1920 t903-190S, 62 a.' 1894-96 2 1/2 r. a 4OO'.Î92 >9| 64.. Nord, jeu, .222 .270 225 Mokta.el-Hadib. act. de SOOfr. 6550 06OO Maltioff 381 383 J88Br,fontein ,3.11/16 m 35 ..Métropolitain de Paris 750.. 749 Maroc 4 ,9,4 323..1328.. 1898 2% remb. à SOO1.. 229 75 225 1550 Nord-Sud de P.r.s. 240 45 Lille-Bonnières, ord .to3.655. Mexican-Eagle Oil, ord 22.. !23 50 Rio Tinto 40.1/4. I P S W 1818 j37O..|375.. g 1S99 2% Met. r.. SOO 220 2 8 45.. Orléans, jouis, 62) 55 Pétroles (C" Industrielle) &>0 .650 4 th. Mexico Mines of el Oro 18,. 18 50 Mexican Eagle 18/. J. •65 ..Distr. Parisienne d'Électricité. M75 1480 Tunl. 5 1892. 226 50,229 u 1904 2 i/2Mét.r.àS00f. 22).. 227 24 Ouest, jouis. 297.. 29> 100 Dynamite (S" Centrale) Z%0 2200 3 th. 9. Modderfontein (B) M! !37 Rova| Dutc^ 31.7/8..

70 ..Electricité «r Générale d'). Î270 2324 .-Crédit National S 0,»0 1919. 4 5 ..417 u 1905 2 3/4 remb.à400 365 367.. 28 75 Ou.st-Algérien 450. 45 Elactro-Chimie Métal .90.. 920 18L. Montecatini 257.. 256 » Sh.ll 4 25/32

.Thomson Houston. 521.. 520.. oblig SOO f. S 0/0 192O.J 419 425 J 1910 2 3/4 Mét.r.à430!. ^50-90.. 30.. Tunisiens. M»- «» 60 Poulenc I2 2"i2?§" •• Moiambiqu M.. 91 7^5 North Caucasien.2/6. 1.

70 Eleotrici,té (C" Génére,'la" d,),¡mo '12324. cré,dit N8tion,al,' 50,0 '191,,9'" 415 417.. 111 1905,2, 3' ~j24 remb, à 400. ~5 ..367.. 28' 75 O~ t.Alg.rl.n" '1 ~1483" 45.. EI.ctro.Chlmle Méta, ;Ó¡8 ..Ij~ 18 L, Mont.catln, ,257 ..¡ 256 Sh.II, 4 25/321

115 Dives Houston. 521 20~5 520., obllg 500f, 50101920. 419 18W 425.. :J 1910 23ï4Mét.r,il430'. 190 50,190.. 30. -Par* la.. 2MO 2390 102 27 Saint-Gobain, Chauny 1 5m 2" Mozambique.90.. 91 J5 Nortn Cauc08ien. ,2/6,1;

115. 5 Divas 2060 ..2065.. 6 0/0 1922 décen. 476 ..i 480 > 1912 3% remb. à 3OOf. t 195.. !96 70 ..I Magasins Généraux d«-P»ris.. f,300 •̃ *> •̃ 102 27 Saint-Gobain, Chauny 3l00..>220. North Caucasian 63.63 25 Venezuelan Oil 3/.3M'

15 ..Ferg À Aciéries du Nord et Est. 373.. 397 6 0/0 1922 4»5Oi50O.. 1919 S% remb. à SOO' 336 335 72 Eaux (C GTl> » •̃ 21« •• 252 87 Soie artificiel! •̃•• •• 4735 100 Padang (Caoutchoucs) 1552 1565

Il; cerg.s. en Z060 6 0/0 janv. 1923-. 450 450 1921 S 3/4% r. » SOOf. 445 449 50 ..Vichy (Etabl. thermaD 1645..1670.. 24 Usine du Rhâno. 700 719 Pékin Syndicats (Shansi) 64 25.65 Anaconda 9/. 1/2 30 Courriers 820 ..(.832 Q 0/0 juin 1923- 463 464 135 Air cornprimi 380 3340 52 50 Salins du Midi 120. 1202 15 Phosphates de Constantine. 601 614 steel Common 169.

12..LensT «».. f».. oblig. 6 0/0 1924 460 ..i 465 Com.1879 26OÎÔ r.SOO 457 465 135 ..Air comprimé Hf.l?* Port du Rosrio ->nn nv,< ̃• •̃ Randfontein .94.96 Marconi .17/6.

.Bolée. !?î-- '?! •• I g| Fonc. 1879 3%r.àS0O. jg 50 jSO 30 05 Cêbles Télégraphiques. -534.. 534.. 32) Port du Ros.rio 25100.. 23375.. 5 th. Rand Minas 460 462 Malacca 72/6.

42 50 Penarrova P22 !3f3 ••• Départ, du Mord 6 0/0 1921.. 4^3 438 .g Cpm, 1880 3% r. à SOO 466 466 37 50 Edison .8 1 ..| ..Chargeurs Réunis (parts) •;•• ̃ *• 3 «hi Robinson Deep A. 38 50 Î36 50 Kua,a 90/

20- Platine.». •• 'jW •- Ville d'Albert 6 010. «7.. 436.. $ Fine. 1883 3% r à 500 225.. 225.. 25 Electricité;et Gaz du Nord. 4!° ..4!5 3) Havraise Péninsulaire (B) 338. Roumano Belge de Pétrole. 107 108 -Escompte' hors banque .4.3/8.4.3/8

.Dabrow. (Pétroles). ff? 396 ville da Reims 6 0/0 «9 432 K Fonc. 188S 26O%r.5OO 237 65 .Electricité de Paris.V. 22» ..2250 45 Transports en commun ;"| •• ,*g •• Russian Oil 5150 52 50 pr,ts 4.4.

Pétroles Premier 383.. 383 ville d. Verdun 6 0/0. 442.. 442.. "• Corn. 1891 3% r. a 4OO, 227 220 37 50 Forces Motrices du Rh6n 865 ..880 48 12 Trensports Maritimes 1305 !322 30 Steaua français. f95 495..S/Paris (change). J 24 025 24.06 Debrowa (Pétroles). 389 3% Asturienne des Mines I6,7' '• MB ̃8 1S92 260% r.SOO 24) 240 ||| 66 Fore" Motric"du Rhâne (parts). '700 •• 7795 Tabacs d'Orient et d'Outremer 145 !47 s/New-York 485684.8568 30 K,,hlmann 761.. 772 Ateliers Construct. Oeumont 433 437 ° Fonc.1895 280°ir.500!. 243 50 248 50 45 Hovraise d'EnerBie Electrique. ,•̃••• ,725 262 50 Bénédictin 1152> 11500. Tanganyika 402.. 415 Rio 5 7/8 5 28/12

41 ëafJr ?: .I'84 ..1l09.. CUd'EnerO^Eiectrique- 425.. 425 E Corn. 1899 260%r.Soo'. 245 50 239.. 125 Indo-Chinols, d'Electricité: 1840 1849 120 ..Distillerie Cusenier 2395 ..2400.. 125 ..Terres Roug .•»».. v.r.i,o. 39 69 39 69

50 p™duiuohim.d'Alai.. Forgea. 1755 1760 ^«rdévastêe.• îg.JjM.. S Fonc. 1903 3% r. à SOO 255.. 255.. 45 Pyrénéenne d'Energî» El.ctr.. 970 .980.. 1J5 ..Distillerie, d. l'Indo-Chin. 4440 4499 Thar.is. 389.. 393 BÏ.no™Air. .Y. 47 56. 47 Se!

25 Chargeurs Réunis. -920 ̃• -920 Grosse Métallurgie 6 0/0 *??•• 1H-- » j Corn. 1906 3% r.è 500 248.. 248.. 15 Radio-Electrique :•• •• 80 Grand Hôtel i2» 1345 I th. 9 Transvael Consolidated Land. 385.. 394 -Argent (métaD (comptanO 25/1116 25M/I6 9-.Tranlatlantiqu.ord ,S2& ift?V*' 6 0/0 no'uv.ll. 435.. 436.. g I Fonc. 1909 3% r. à 25O 36.. \f 30 R.dio.France .«. 589 583 20 Grands Moulin, de Çorbeil. ord. |22 221 Tube, et F. de So.nowlc 316.. 311 50 Cufvre (c0mptan0..P 5513/16 50 Voitures à Pari '068 ..(1062 c,,| Fives-Lillè 6 0/0 430 432 u.1 Corn. 1912 3'^r,à2S0. '32 75 13» 22 R.dio-Mantime. »J.-|S' •̃ Sucreries Brésiliennes.. 54> 546 35 b. Tubire pnv 480 498.. CUIvre (comptant). 5513116 .1..

Nord Pas-de-Calais 1922 JS'-JS- r-f p»"é. «*13 3]/2%r.SOO 275 273 45 Télégraphie sans F SS -'i SX «, \iKn «,«, f*- 6- Union Corporation 429 432 NEW-YORK. 26 mer.

22 Air Liquide «4 |ndu,lrie Sucrier. Française.. 430 430 E ,9,3 4.% r. è SOo ^54 355 50 Téléphones 559 560 2Q0 Ciment. Français 4250 +050 COMPTANT NEW'YORK,26 mare

22.. Air Liquid. 464.. 464.. IndustrIe Sucrlè. Françe,se.. 430. 4~ Õ, 19134,. 1/2 500,. >54.. 355.. 50.. TéI,.phones. 559. 200 C.manta Francals. 4250.. 01050 COMPTANT,

120:. Caoutchoucs Indo-Chin 2165 2165 lndu,tri.| AUaoien, 1922 U, -j £8 $\ Emp, 19.-J -S 1/2 r.à3OO 229 •• g6 20 Union d'El.cWcité. \> ̃̃ f ̃̃ du Boutonnais 642 .650 < 5OM PTANT 1660 1,655 Cail Money. ç. m 4.

Culture» Tropicales. ̃?.. 422 Maison Bréguet 6 0/0 \*Q"'iVl~ Ei Corn. 1920 S 1/2r.è SOO |W •̃«/•• •̃ 45.. de l'Indo.Chine. 403 4W Bakou (Napht. de). 'st9 ̃' 'ÊSâ -• Câbles transfers 4 8575. 4 8575 I. Orosdi Back '73 •̃ !7» •• Mines da Lens 6 0/0 1922. 438 ..j 453 o ̃ Empr.1921 6i/2r.à500'.| 389- f86-- 160 Alsacienne IndustrI.II. Textile. 2ÇC0 95 Polliet & Chausson |I26) ̃̃'<%£̃̃ 71 25 Brosse (La) 878 .890 change sur Paris, vue. 3 913/4 3 915/8 Sack 173 "'0 Mines da Lens i4<p.. m.. ICom. 1922 6%t. B. 360. 358..Acétylène & Electro-Métal. 1170 .1170 62 Grande Maison de Blanc US'I-d?- -i •• MalQpel.k. <p»rO. 2705 2710 (j. S. Liberty. 3 1/2% 1003121007/6 9 25..Pathé-Cif,ém.<aOUIs> 7»-Wî--U.inessmi,tré,s6i/2 0/0.4g '4SI ̃̃ 20 Aciéries a Forg.s d. Fi. mïny. «..gv M. Nouvelles Galeries j 83 )93 J7.|0|lpn,nlum.P«trpl«, 394 • ̃ ^4 ̃ Atchlson Topek. 175 1/2 176.°

100 Raffineries & Sucrerie. Say.. 2328 ..2318 Algérie 3 0/0 1902 | W 50; 297 ïO Est 6|( f75 #7 de France..i 231 ..22) 100 Aaence H.vas 1^0 185 2300. Royal Dutch. «100.. 3*850.. Baltimore et Ohlo 113 114.1/8 8

59 09 Sucreries coloniales 788 -795.. i- 6 0/0 1921. ••• ^f <<> •• -> 4% 305., .SB. fo Je Longwy.ï j-9» !O0O 72 Didot-Bottin 1430 1400 80 H. F de Saulnes igS Canadien Pacific 183 I '2 183 1/4 100 Union Européenne H20 ..II435 ,nlJo-Chîne 1699-19OS i 2)5 235 3% a,jcienn 3]0 |W 37 50 de Mleh.vlll,SIÛ .815 10 Figaro .] ̃̃ ̃* ̃̃ 4th. 6. |hpll. •£? •• -f'' ̃• Ch.sapeuke a Ohio 162 162 8

Russe Consolider* S*. érl. 29 50 29 45 Tunis 3 0/0 1902-1907 j 256 260 Lypn 3% 18SS. 2/5.. 2W Arb.KEtablis.om.nti). ffî W 80 Librairie Hechett 1289 1285 725 Mon»c, 11550.. 11600.. Chicago Rock Island 661286:"

S%1906 2655 2655 Tunia 200 6Ï0 Bons déc r. à SOO1- 485.. 4S8 At.l. & Chantiers de la Lojre.. 506 .v 510 80.. Occidentale 1269 L. 5 D.lUtah Copper. 287) 4. 2660 Erie Rallroad. 44./ 43 7/8 ° J Allemagne 1924 <Dawas) 100 L. 13060.. 13060.. 6% 387 382 25 Const. Nord de (a France. 525 8) Afrique Occidentale (C") 3630 ̃̃ 3649 ̃ Illinois Central. 125 4 8 125 1/2 i 4 0/0 Serbie 4?S.mortîs..bl.l89S. 163 50! 160 50 Angleterre 2 1?2 0/0 270 ..[ 268 -sf? ?2I 323 d. St-Narair. 483 29 27 Air Liquide (part,) 1474 1500 CHANGES New-York Central 143 5/4144'

•: Tuié ««- 7M ̃'« t Arsej:tln II !§§2:i£8 z t% ¥«'» ;i | a I •̃ » ̃• ch««,.n.c.mmw.a» m fss?Sïïiir.«nV^i- -M p> Londres. m 04 .24 05 &nr:?: ë\% ,H 7i8

TurÓUnifi<I. ,11775 81 Argentin 5(,'? 19P7.230~ 4[,9 0, sien anc .286"" 75 Chitillon-Commentr 21" 50 Bargougnan.7;e ,,729.. 124 04 124 05 Reading sa 1/8 58//8

Banque de 1914. 61 10; 8120 5¡; 1909"230) "1" 1/20 u 290 50 75.. Chibllon.Commentry. !62 168 290.. Cirages Français 42.5 ..4226., Londres. 12404 124 os Reodlng 106 5i'8 112 .1.

:Br^ô^xM^qr;S:S:i: M 2"1/2'1246.. ^^S& :«:: S- liôSs^ompuù^G;1! ;:SS^ 53, 2? 53 Southern pacific. III S:8112 Ottoman. 2So'p 1520 ..jl5!9 Brésil 4% 1889.. 291. ^•Amvi iA-T T, "j* 72 70 52 M SBVMU ,& C 550 560 Argentine .i. Anaconda Copper 465/8 461/2

-Ottomana 250', p. 1~2O .1519.. BrésiI4~" 1689. 291 'i 6,11 34 322M ord. 600" 684" S;Z 5O¡Gavaeu& C 550 ,560., Argentin. Anaconda Copper. 26l41 112

fI', &% Fundlng.. i a. '( S% 324 32J 50 50 ElKtro-Câble (ordinaires) ,«» W4 Haour (Etablissements) Belgique (1OO Belg«> 3)5.. 354 75 Chino Copper 26. 26

£ 1-2.7 Crédit Foncier Egyptien. 3966 ..13965 1909 (Pernambuco). 576..) 585.. 4% 298 295.. 85 ..iFive.-Lille. ^-™- 55.;BecAuer 828.. 835 Danemark Ray Copper 151/8 15 i ili

Ip Censé .u Grende L.C. 852.. 637 Bulgarie S%. 896.. 6S6 ..| NorO 6% série F 375.. 378., 50 Forge. ftAc'" Hut..Bankowa. ll«0 105 30 ..Maroc (Ç^ Général, du). 582.. 560 E.p.gn ». 454.. 458 25 UUh Copp.r. 112 j 112 8

r 1.2.1 B FOnC,ia,. .,13965 4 1/2% 1907 .736.. 735.. 5% série E II? m? ?5 .|Forg"& Ac'" Marine:* Homéç. ,•.•̃•• Tabw» (C" Générale des) 165 165 Finlande American Téléphone 164 1/2 167 3/4 1/6 40b. Wagon.-Ut. ord 1689 1669 Chine 4ÎS Or 1895 -»• -375 4% série D. 331 337 20 Jeumont. -325 330 225 Tabacs eu Maroc :*» 5900 ..Sr.ce. American Car e. F 102 3;8fl03 1/2

40 b. Wagon*-Lits ord 1689 41/:2/01907. 7jfJ 735. SA) 8érl6 E. 3 37.. 25 31 90 M.¡n.,8f,Homéç., 1129 i3Õ'- 155 Tab"c8 Union Ginorar. dea).165.. t 5914 Finlande. 1021 75 Telephone. 164 1/211613:

t. I. Cintrai M ning. 2262 ..2294 5% 1902 «™ ̃ 3% ancienne ?«K-2s50 5'° H » fe»1"*) I '29 1155 45 Union Comm.rc1' Indo-Chino' 599 594 Holland 1022 1021 75 British American Tobacco. 24 4 '8

»4.R^ntr"ÏÏ.»«.»»..50I0.. SSI903 | 375..376.. «ri. C. S* 338 f? MMit«"ni' £«£•? K*^ « 524 ^-5' EQypt. ««"••!•£«»•̃ '««» '• !16 20 »? 35 Central Le.ther 9 1/4 9 3 4

5Osb:1Rio.Tinto" iwo ,!5050 5% 1903 i 37~ ¡,37~ 20Jl2%, tran. C ~"Í 30.. M6dihrranéo (F;I[I"40 Cha~t.),¡ .4~5 ..¡ m 3W Crédit foncier Frarico-Cenadie 1661 ..¡. Italie: 11620 111 35 C.ntral Leath~r.9 fl4 :93Í4

j 1. -4 1/250 1908, i107) -I07ï -r •&% '1921 tran. A ^S" on"" 25 Forqes «. Fond Montataire. -S^ ..[ 524 360 CréditfoncierFranco-Canadien .9950.. !.9930.. Norvège. i, 665 General Electric 85 l'4 114 84 5;8 L.14.7. Azote (Norvégienne) 1202 1225 Egypte Unifié 41! 25i 412 75 OrKan» Sons d*eenn»ux 6%l W ••! «W •• j,,M 28 p. 50 Nord Espagne Pologne (1OO zloty) 285 Bethlehem Steel .504/851.

I5.b. Uutaro Nitrït. «1 •̃ <28.. Privilégié ̃̃• ••: 6% |60 363 40 iDenam.Anzm; 73O..]!738 28 p. -S.f.a«w.Portugal U. S. Steel Commcn 164 J. 164 5/8

15 oh. Leutero Nitrate I 431 428 E»fiegne extérieure .». 1- ̃ ̃'• ••̃••• S% 342 33/ 52 50, Lorraine Min & Metell.3SO p. 1245 ,̃<̃••̃ 35 f. b. Rouina (Algérie) .619 .615 Pragu .75 40 Royal Dutch 505/8505/8

5 Orienta! Crprt 595 595 Haïti 5% 1910 .1.774 .789 r~. 4% 288 292 55 Matériel^. Ch. d. far CC" Fr J. -949 ,940 Sosnowlce. 225 220 Roumanie. 16 55 16 55 Shell 44 7/8 44 7 8

&f£ Pétrone. ». "JI246 ..1246 ..Italie 3 1/2% .». | 72.35; 73 (b 3% »nc ..] 305 M.tér. de Transport .f8 L.2.6.9 Suc. Raf. d'Egypte (parts). 1930 1930 Suède 684 55 Sh6U '+f

LO 5.6 Sacrt^tRMfi".rlêd'Ëgypte.ilO6l .11041 .< japon 4% «9OS.4.•! 465 50 j 4 Ouest 3% .Ko..i 30 |00 Métau, (C Française). 650 ..690 8? p. Tabacs de. Philippine 5505 5550 Sui 491 25 490 75 Affaires totales 851.000 1 ïfS, ",™ i 705 708 S9J 1907 i 395 25! 392 50 2 1/2-% 247 ..] 249 60 Senell. Maubeuge 11440 ..11430 8) p.iTabacs d.s Philipp. (parts).. ,,(5jOO 5350 Vienn. C1OO shilling.).. 1359. titres.

COURRIER DE LA BOURSE HMIIIIIIt-–

EXPOSITIONS

26 mars 1927. La Bourse d'aujourd'hui a été très animée pour un samedi, et elle a "éïicbre fortifié l'opinion encourageante qu'avaient fait naître les dernières séances. L'étranger continue ses achats en valeurs françaises dirigeantes et l'assurance dont il fait ainsi preuve, en escomptant une stabilisation, monétaire assez prochaine, commence à faire impression sur la clientèle. Celle-ci s'en tenait, jusqu'ici, aux valeurs à revenu fixe, mais elle semble se rendre compte qu'après la brillante étape qu'ils viennent -de franchir, ces titres sont à peu près à leur prix. Pour trouver des valeurs susceptibles d'élasticité,.il va donefalloir chercher parmi les actions de Sociétés industrielles. Dans cette chasse à la valeur-or, la faveur ira de préférence aux entreprises.de vieille roche, dont le capital est sensiblement le même qu'en 1-914 et dont les dirigeants se sont montrés parcimonieux en matière de dividendes, mais insatiables' quant aux amortissements, réserves et provisions de toutes sortes, etc. D'agréables surprises pour les actionnaires pourront sortir de tous ces tiroirs te jour où notre monnaie sera enfin solidement goupillée à l'étàlon-on

Un journal financier anglais, peu au courant sans doute du rvocabulaire, a parlé d'un emprunt de couversion qui serait en préparation chez nous. Bien entendu, il ne saurait être question d'une conversion de nos rentes. C'est une opération de consolidation facultative de la dette flottante qui est à l'étude. Elle viserait lès bons du Trésor, bons du Crédit national, obligations décennales, etc., qui viennent à échéance en 1928 et 1929; au total, 16 à 18 milliards environ. Mais on se demande s'il n'y aurait pas Heu d'inviter également les porteurs.- de bons de la Défense nationale, auquel cas c*csl 04. milliards qui auraient droit cle participer à l'opération. Malgré la répugnance de la clientèltî^pottrlfS emprunts en perpétuel, l, il parait (tue certains techniciens se son^ prononcés en faveur de cette forhitilë. Il fatit espérer, p'ôur succès (le l'emprunt, qu'ils ne l'emporteront pas; Depuis la guerre, le public a pris le goût des placements qui lui permettent de revoir son capital intact à plus ou moins longue échéance. C'est donc du côté d'un emprunt amortissable il 15, 20 ou 25 ans qu'il faut s'orienter si l'on vent provoquer un élan général1 pour la consohdation dé la dette à court terme. v

Ajoutons, en vue de calmer certai-

devenues

delà «tic

littéraire

"]3C),VFl.SEJ JLJ~'LJ' ~St~ ~.A.Ft.S 3L<~y<~s: ~f

Bons 60/0 1921 480.. 483.. d 1910 3% remb. à 4001. 189,. 16 ..[Parisienne Ind. Electrique. ,??i •• ,ÎK •• 154 Le Ripolin, jouiss. 2915 2912 .9 Navigati"de l'Afrique du Nord. 30! 308 Russian Oil.» 5/

Indo-Chine 19O2 •••! 222 222 2 I/2S0 5?î'- Sn" 61 de Sembre.et-Meu4e.W0 •*»̃ 200 Chalx )Zto 529J 100 I. Steaua Ronrtana 365 372 Chicago Milwaukee Cv. -13 5/8 13 5/8

nes appréhensions, que l'opération en question comportera simplement l'échange d'un titre déjà existant contre un titre nouveau. Les souscriptions en numéraire ne seront pas admises. 11 ne devrait donc en résulter aucune répercussion fâcheuse pour la Bourse.

Très bien orientées, nos Rentes font de nouveaux progrès 3 0/0, 56 50. ? Fonds ottomans et russes soutenus. Serbes lourds 4 0/0,160 50. Fermeté des établissements de crédit Banque de Paris, 1.870; Lyonnais, 2.018; Union Parisienne, 1.348; Comptoir d'Escompte, 1.300; Foncier, 2.250 contre 2.185. N'ayant pas encore participé la hausse des banques, le.Crédit Mobilier commence h se mettre en mouvement. Il finit à 529 en attendant mieux. La Banque des Pays du Nord atteint le cours de 500. Banque Française de l'Afrique,

755.

Union Européenne, 1.435.

Nouvelle avance des actions de nos grandes Compagnies de chemins de fer Lyon, 1.260; Nord, 1.760; Orléans, 1.095.

Les. valeurs électriques sont recherchées Distribution, 1.480; Générale d'Electricité, 2.324.

Progrès des inines métalliques Rio, 5.050; Penarroya, 1.343; Tharsis, 393.

Demandas suivies en charbonnages Conrrières, 832 Lens, 489. Phosphates et produits chimiques fermes Gafaa, 1.199; Kuhfmann, 772; Pévhiney, 1.760; Azote Xorvéyienn'e, 1.225.. .̃̃ Un peu de recul aux sucrières Say, 2.318: Sucreries d'Egypte, 1.041. Pétroliferes irrégulières Royal Dulch, 39.850. Fermeté des roumaines Coûcordia, 230; Roumano-Bcl!jc, 108.

P<?ir de modifications aux SudAfricaines.

Les caoutchouticres gagnent queN ques francs Padaitg, 1.565. Soie ile Tubize. 498 contre 480; pari Soie d'ArqentcuU, i.110 contre

1.090.. W •' ̃•̃ ̃••-• •̃̃ ̃

Ait comptant, la part Lefranc regagne 900 francs, à 10.500. ElectroCâble; 684; -Aciéries de ht Marine; 589; industrie Textile, 1.150. L'action de capital Générale des Eaux, gagne 150 francs, à 2.160; Magasins Généraux 90, à 2.390; part Minière dit Congo 290, à 12.o90; Satnt-G.obain 120, à 5.220; Salines de Djibouti, 35, à 515; Tabacs au Maroc l'ÔO, a, 5.900; La Brosse 12, ù 890; la yrt;Sataitt 60, à 1.865, l'actionl 970; Haut-Katanga capital 375, à. 6:800; Haiit-Katanya dividende 550; i 8.600; Cairo Heiiopolis dividcûdc 225, à 8.900; etc..

.<t–

CREDIT LYONNAIS. Bilan au 31 janvier 1027

Actif

Espèces en caisse, chez

les trésoriers et dans ft

les banques Fr. 90 1.496. 022 38 Portefeuille et Bons

de 'la Défense natio-

nale ̃ j.^O-o^.o^o.u Avances sur garanties

et reports 2o6.43o.jj6 7G Comptes courants 1 -9:4 W Portef cuillo titres (ac-

tions, bons, obliga-

tiôqs, rentes). 4.960.19034

̃ Cohlptes d'ordre e,t di; VM

vcrl «. i j.m.58î.j84 .:o

rniHW«Wes r. ̃35.ooo.ooo •- .Fr. A-ï^i-'i?93?.S:?- a5

̃- •̃ "i 'Pàssip ̃ •• -MgiÊgiÊdgBB

̃̃ Dipôts- et-bons à vue.. 3'3'io;>K Comptes courants 4 .i88:Ç»r X.' Cojnp.tes exigibles ̃

après encaissement 120.397,2168- -AtjCffinfations 39.971.086 Bo^Vtèhêancp nS.45l.466 88 Comptes d'ordre et di-

vers 2j0.077.860 a5

Solde eu compte- « Pro- i

flt$ ,ct 'Pertes » des .? exercices antérieurs.. 10. 946. 653,1» Réserves diverses 2aj.a5o.oo6}' Capital entièrement

versé aôj.ooo.QcÎQ

"•̃ .̃'̃•̃ Fr. S.ritio. 469:99a 05

LA VIE SPORTIVE

i ̃ filiiniili

'SPORT HIPPIQUE

COURSES A AUTEUIL Aujourd'hui, à 2 heures, courses à Auteuil. Gagnants du Figaro Prix Grandesse Héros de Lcscar, The Osprcy.

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Courses à Saint-Cloud

Forseti gagne

son Prix Consul annuel .Persistance du rÇ'fjime des ondées; dont s'accommode à merveille Forseti, qui retrouve à point nommé ses moyens pour remporter son Prix Consul annuel.' H suffisait, en effet, à l'excellent stayer d'être bien pour, n'avoir rien à craindre de ses adversaires d'hier. Après avoir suivi sans douleur le train fait,par Cardinal, il a démarré à l'entrée de la ligne droite, et a immédiatement gagné d'une distance et d'une classe. C'est un extrême outsider, Prince. Charmant, qui a enlevé le Handicap de Printemps. ̃

Nous avons vu, sans doute, un assez bofi inédit gagner le Prix Le Justicier. D'une excellente race, étant par Nouvel An et ,Gador, ce Golden New Year a fait preuve d'une supériorité certaine, encore que le'favori Frecbar ait été bienpauvrement monté, et c'est dans un galop d'exercice qu'il a passé le poteau* II. doit être meilleur que son entourage même ne le pensait. V.

Trarieitx.

Pri* de Villecresnes la vendre, 7:500 francs," 900 mètres). 1. In Bfrtttsrrâ-M:' Yves Perdoux (A. Esling) 2. Oka, à M. Henrv Gnrnicr iG. Vnlard) 3. Naughty Nan, ù M. Ga*riel îBwm (Bpguiristain) (JI/4 de longueur, tête).

Pari mutuel à 10 'francs Gaynant, 36 fr 50. Placés In Bonis, 19 francs Oka, 42 fr. 50 Najmghty Nan, 49 francs. Prix Nuage (12.500 francs. 1.600 mètres). i, Jnrny, à M. E, L. F. de Soysa (F. Rovclla) 2. Hcrnani III, à M. Pierre Minelle (A. Esling) 3. Caulet Flori, à M. Georges Wildenstein (M. Allemand) (cfourtc encolure, 3 longueurs).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 103 fr. 50. Placé» .larny, 23 francs Hernani III, 15 fr. 50 Caulet Flori, 20 francs.

Prix de Gisors (a vendre aux enchères, 10.000 francs, 2.000 mètres). 1. Kym- ris, à M. André Vogèle (E. Chancelier) 2 Old Pip, à M. -Emile Marchand (N. Kriegclstein) Red Gond, à fil. A. L. Léautey (C. biez) (3/4 tlo longueur, tête). Pari mutuel à 10. francs Gagnant, 91 fr. 50. Placés KymriB, 25 fr..50 Old Pip, 16 fr. 50 Red Cloud, 6-1 francs. Prix; Consul (50,000 francs, 3.600, mètres). 1. Forseti» h M. A. K. Macomber (A. Esling) 2. Scot's Grey, à M. S. J. Unzue (D. Torteroloy 3. Siradan, ù M. Jacques Wittouck (M. Allemand) (2 longueurs, courte encolure).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 14 fr. 50. Placés Forseti, 12 .francs Scot's Grey, 17 francs.

Handicap de Printemps (30.000 francs, 1.600 mètres). 1. Prince Charmant, à M. Antonin Gosset (C. Diez) 2. MuseaJet, à M. Alexis DclpaufM. Brethès) · "?. Gôte d'Ivoire, à >f. Max de Rïvjiud (M. Deuton) (1/2 longueur, encolure). Pari mutuel â ÏB francs Giignant, 757 fr. 50. Placés Prince Charmant, 141 francs Muscadet, 25 francs Côte d'Ivoire, 2G fv. 50.

Prix Le Justicier T. 12.500 francs, 2.000 mètres). 1. GoTden: New Year, à M. Alexis Deleau (J. Clay) 2. Freehar, à M. Marcel Boussac (H. Marsh) 3. Donro, à M. Jean Stern;(W. Lister) (4 longueurs, 2 longueurs);

Pari mutuel à 10; francs Gagnant, 102, francs. Placés Golden New Year, 20 fr. S0 Freebapî 17 francs Doùro, 15 francs.

COURSES A LIVERPOOL

La victoire du cheval français, cet après-midi, sur l'hippodrome d'Aintree, a été fort brillante, car c'est dix lon.gueurs devant le second qu'il a passé le poteau. 1 Liverpool Hurdle Race (1.500 souverains, 3.600 mètres). 1. Idolo di Savoia, au major Keith Trevor (8/1) 2. Hidennis, il M. A. Huntley Walker (8/1) 3. Louvixen, à M. T. P. O'Neill (10 longueurs, loin).

» m

Lille Le Cap

Il y a trois ans, peut-être davantage, l'aviateur Helen, un athlète de l'air, me contait qu'il rêvait de la 'réalisation d'un vaste, projet relier Lille, centre de filatures, à l'Afrique du Sud, centre de production' de !# matière première nécessaire à ces filatures.

Je me souviens qu'alors, certains, beaucoup, considérèrent comme excessifs, prématurés, les projets d'Helen.

Helen a aujourd'hui gagné sa cause. Lé succès de ses efforts a été consacré hier dans un déjeuner qui, donné chez Maxim's, réunissait, sous la présidence du général Girod, les fondateurs de la ligne Lille-Le Cap, et quelques-uns de ceux qui, amis d'Helen, ont depuis toujours servi !u cause de l'aviation.

Au dessert, après une vibrante allocution du général Girod, des allocutions de -MM. Clifford Harmond et Léon Bathiat, présidents, l'un de' ` la Ligue internationale des aviateurs. l'autre îles Vieilles Tiges, et une allocution du président du Syndicat de la presse sportive,. Helen a exposé l'économie générale de la ligne aérienne Lille-Le Cap.'

La ligne passera par Marseille, Rome, Athènes, Port-Saïd, Suez, PortSoudan, Djibouti, Addis-Abàba, PortVictoria, Monbassani, Dar-ès-Salam, Mozambique, Beïra, Lourcneo-Marquès, Durban, Port-Elisabeth, Le Cap, soit au total 12.430 kilomètres qui seront parcourus en six jours.

t1-'T~C-sieT:rlei;.Ti}e*-}a™Iigne: sera-assuré

par des hydravions. F.-R.

,.¡ 't'I!

AUTOMOBILE

La Coupe des 1.000 Milles

Ce matin, à Brescia, sera donné le départ de la course des 1.000 milles organisée par l'Automobile Club de Breseia.

Cette épreuve de 1.609 kilomètres sera un véritable concours de régularité dont l'itinéraire est le suivant: Brcseia, Parme, Bologne, Florence, Vitcrbe, Home, Pérouse, Ancône, Bologne, Padoue, Vicencc, Vérone et Brescia.

101 voitures sont inscrites dans cette épreuve, dont H voitures françaises. Toutes les autres voitures sont .de. construction italienne.

Le concours d'appareils à signaux Xous avons vendu compte' hier des concours d'appareils de signalisation qui s'est déroulé au Parc des Princes. Les appareils que nous avions remarqués figurent presque tous parmi les premiers prix accordés par le jury." Voici d'ailleurs le classement officiel appareils optiques à commande électrique 1", Virolux appareils optiques à commande pneumatique 1", Diskoto appareils optiques à commande mécanique 1er, Signofil appareils optiques et sonores à commande électrique 1" et 2°, Repson.

Le prix de l'essence

Xous avons publié, ces jours derniers, une note, sur le prix de ressence où nous disions notamment qu'elle coûtait en France 50 0/0 plus cher qu'en Angleterre.

A ce sujet, la Chambre syndicale de l'industrie du pétrole nous adresse une lettre nous informant, que, déduction faite des taxes et impôts payés par nos importateurs, l'essence coûte moins cher en France qu'en Angleterre.

Nous la publierons incessamment, en la commentant.

Le Rallye des carburants nationaux Les voitures du Rallye des carburants nationaux sont arrivées a Toulouse, venant de Carcassonne. Elles ont été gâ-

rces dans un parc aménage allée JeanJaurès, où elles pourront être visitées, la caravane devant partir demain matin pour Agen.

L'emploi et les avantages 'des carburants seront cxpligtfés'au cours de conférences publiques données aujourd'hui par les ingénieurs Duniànois et Luinet. RUGBY

Les policiers de Londres

victorieux des policiers de Paris Les joueurs de rugby de la police de Londres ont complété hier la victoire de leurs caramades boxeurs. Opposés aux joueurs de la police parisienne, sur le terrain du stade Buffalo, ils les ont battus par 8 points (2 essais, 1 but) à 5 (1 essai, 1 but).

Des deux côtés, lés joueurs se sont distingues par leur maladresse, qu'un ballon glissant et un terrain en assez pitçux état ont rendue plus grande encore. FOOTBALL >

LA COUPE DE FRANCE

Le C. A. Paris contre le Club Français

Le Cercle Athlétique de Paris, champion de Paris, et le Club Français, son rival le plus direct, seront, à la suite d'un match nul survenu il y trois semaines, an cours des quarts de finale de la Coupe de France, à nouveau aux prises aujourd'hui dimanche sur le terrain du stade Pershing.

TENNIS

Lés championnats au Tennis Club de Paris

Championnat simple (classe A). Demi-flnales (fin) Vieillard b. Guillemot, 0-4, 7.-5.

Finale R. de Buzelet b. Vieillard,

C-3, 6-3.

Championnat simple (filasse B). Demi-finales Baillat b. Potlier, 7-5, 0-3 Grandguillot b. Joëssel, 6-4, 6-4. Finale Grandgùillot b. Baillât, 6-1, 4-6,

M, ¡'

ti-q, Championnat simple (classe I3)='

Championnat simple (classe- B).-

Finale Mils Espinasse b. Mlle Pelvcy, 6-4, 6-1.

Championnat double. Demi-finales: Mme Vaussard et Micard b. Mrs Culbert et J. Deniau.. 6-2, 6-2 Mlle (;onquet et Pcrsïri Iv Mme Kleinadel ct.Klaiiwis. del. 6-4. 3-6. 6-2.

Finale Mme Vaussard et Mipard b. MM e Conquetî et Persin, 10-8; 4-6,' ,6-1 En quart de finale, classe B, Mlle Baujean avait battu Mlle S. Revel, 1-6, 8-6, 6-4, après une belle résistance. P. C.

Le tournoi de Cannes

Le tournoi du Beausite L. T. C. de Cannes tire à sa fin. Voici les principaux résultats de la ̃ cinquième journée

Championnat simple. Quarts de finale (fin) Rogers b. Craig Biddle, 6-4,

Championnat simple de dames. Demi-finales Mlle de Alvarez b. Mrs Crawshey Williams, 6-2, 6-3 Mlle Contostavlos b. miss E. Ryan, 6-3, 6-2. Championnat double mixte. Quart de finale Mlle Contostavlos et lord Cholmondcley b. Mrs O'Neill et Marsden,

Les championnats de Londres Les championnats de Londres sur courts couverts se sont joués au.Queen's Club de Londres. Résultats

Championnat simple. C. R. CroleHees b. B. D. Helmore, 6-4, 6-2, 6-4 S. M. Jacob b. N. Sharpe, 6-8, 6-2, 6-4,

Finale S. M. Jacob b. C. R. CroleRees, 1-6, 6-3, 7-5, &-$.

Championnat simple de dames. Miss John Hill b. miss E. Hemmant, 6-3, 6-2 Mrs H. Edgington b. Mrs Mecredy, 6-1, 6-2.

Finale miss John Hill b. Mrs Edgington, 6-3, 8-6.

Championnat double. Finale C. G. Eames et G. R. Cr6le-Rees b. D. Powell et N. Sharpe, 6-4, 6-2, 6-0. Championnat double mi.de. Finale: W. A. Ingram et Mrs P. Bouverie b. G. R. Crole-Reës et miss D. Haydon, 6-4, 8-6.

1 olt

HOCKEY

Les demi-finales du championnat de France

Les .demi-finales du championnat de France de hockey, seront disputées au-

jourd'Iml, sur le terrain de La> Faisant derie, à Saint-Cloud. Elles opposeront, d'une part, le Stade Français au Lille Hockey Club. d'autre part, l'Union Athlétique Intergad'zarts au C, I. Bou-

logne.

A TRAVERS LES SPORTS Le tourisme nautique et la chasse. M. Prudhomme et Mi Odette San Marino viennent de faire en. Afrique Orientale une série de chasses dans là région du lac Victoria. Montés sur. "un canot Peugeot, ils ont couvert près de 3.000 kilomètres sur ce lue et les rivières environnantes. Frantz-Reichel.

o.

Chronique de T. S. F.,

Radio-Paris (1.750 mètres). 12 h.. Musique spirituelle, clw'urs par la Cantoria.sous la direction de M. Jules Meunier, Quatrième Wadio-Serinorf de Carême, par le Rév. P. Lhande « La lumière du monde », «'Ils le forcèrent à porter Ja croix de Jésus ;>'• I* h. 45, Informations, Radio-Concert, par la Parisienne Edition 17 h., Radjo-diffusion du sermon de' Carême prononcé à NotreDame de Paris par le Rév. P. Sanson 19 h. 30, Radio-Colonial, Radio-Œuvre, Information Radio-Concert 1. Les chansons de la rue 2. Un poème dit par Maurice Landeau i). Nocturne (Borodine) 4. a) Printemps nouveau (Vidal); 1» Chanson du treizième siècle (Tristan Joyeuse) 5. Fragment de Circé (G. Feuillet) Radio-Jazz par Mario Cazes et son orchestre.

P.T.T. (458 m.). 14 h., Radio-concert; 15 h., Salle des fêtes du journal « Lo Journal », diffusion du concert symphonique donné sous la direction de M. Jean, Tomasi 20 h., Avis, informations, résultats sportifs 20 h. 15, Causerie « Nietzsche », par le docteur Charpy 20 h. 30, Causerie touristique « Le Dauphiné » 20 h. 40, Salle des Sociétés Savantes, diffusion du gala artistique organisé par M. Lorneg, rénovateur de la Saint; Chanson, avec le concours de Mmes Rosalia Lùmbrechl, Anna Thibaud, Carmen Vildez, Rogère,' Françoise Lecca, Yvonne Louis, Dina Ber, MM. Langlois, du théâtre de l'Opéra-Comiquc Vorelli, le chansonnier de Soutter. Camille Renouardi Lorneg, P. Bar. Delongue, Brou, Lelio, Mme Roux-Parassac, du théâtre do l'Opéra Orchestre du compositeur Boussard Musique de danse transmise du Coliséum de Paris jusqu'à 2-1 heures. Tour Eiffel (2.850 mètres). 18 h., Le Journal Parlé par T. S. F. 19 h., Prévisions météorologiques régionales et ̃les»der>nières nouvelles 19 h. 15, RadioConcert .1. Largo (Hrcndel), Vorchestru des Amis de la Tour 2. a) Le Héros quo j'attends 1)) Cantilène (Lulli) 3. Pré.lude symphonique (Guittard), l'orrchestre 4. a) Kol Nidreï (Max Bruch) b) Le ranz des vaches de la Gruyère (Gustave Doret) 5. a) Le bonheur est chose légère (C. Saint-Saëns) b) Chanson triste (I)upare) 6. Anniversaire (Félix Fourdrain), l'orchestre 7. a) Chanson, première audition b) Chanson hindoue (Rimsky-Korsakow) 20 h. 15, Université par T. S. F.

Radlo-Vitus (310 m.). 21 heures. 1. Radio-chronique au sans fil des jours, par M. Marcel Laporte 2. Radio-interview de Th. Valensi, avocat à la Cour d'appel 3. Enlèvement au sérail (Mo» zart) 4. Rêverie, poésie d'André Delacour, par Marcel Laporte 5. l'Arlésienno (Bizet), par l'orchestre 6. Solo de violoncelle, par M. Guy Hardoin 7. Les éléphants, poésie de Leconte de L'Islc, par Marcel Laporte 8. Prélude de l'a.près-midi d'un faune (Debussy), par l'or, chestre 9. Radio-Cabaret, avec le concours de M. de Soutten, chansonnier des Deux-Anes, et des chansonniers de Pascal, MM. Bertal, Maulon et Marcel Laporte. Transforme à tort,, revue montmartroise.

Petit Parisien (340 mètres). 21 II., Concert avec le concours d'artistes de l'Opéra et de l'Opêra-Comique Ouverture de Cendrillon (Rossini) Séguedille de Carmen (Bizet) Méditation de Thaïs (Massenet), M. Raoul Laparra, 'violon solo des Concerts Colonne Paillasse, sélec.fion(Leoncavallo) la Reine de Saba, sélection (Gounod) Le pas des écharpes de la Source (Léo Delibes) Danse des prêtresses de Dagon de Samson et Dalila (Saint-Saëns).

Londres (361 mètres). 15 h. 30, Musique militaire 20 h., Récital d'orgue 20 h. 15, Service religieux 21 h. 20, Récital Liszt.

Daventry (1.600 mètres). 15 h. 30 et 21 h. 20, Même programme que Lon.dres.

Radio-Bruxelles (508 mètres). 16 h, Matinée de danses; 20 h., Journal parlé et à 20 h. 30, Concert de gala.

Barcelone (344 mètres). 17 h., Fes» tival Beethoven 20 h., Récitation. Rome (449 mètres). 16 h. 30, Jazz. band 20 h., Concert Beethoven.


;-V/' .«.̃. y.K.u- .'hô'^nc'i .) -ïM aprés^m.tdï/ty'am: ftasavâ au séjour, Je si)ir^~âcar~refour des ^fromencutès >^ fcOkswa Municipal 'if'U. J?,atais de Îa Jjef£e\((niJ4r^ foiifé han'nip),. ;i(. ̃̃«/• '̃^r' n- •-• '•'• r ̃ accu^Utznt' les fourisfes désireux, d' apprécier, dan \s' un cadre de-rêd*; le charme des spectacles .d' art ou la frépiddnfe l~~ e tVreJse ait qçpcfng, ;•"̃ V1 V^ •.

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"• ̃'••̃- » '•'• '̃• JsTîce resfe ta Capitale d'JLzur, mondaine, élégante ei pleine de séduètion. JSfulle part ailleurs, le printemps nes$ plus riant, plus merveilleuse* y'~ ̃ ;t ..», ment heau. C'est pourquoi la Reine de la Côte d'JLz.ur, dessertie par de nombreuse trains de luseœ et rapides, e§& devenue, *-> ax)ec ses collines <:<r ̃'• ̃̃̃ ̃•• toutes proches et de sa campagne bruissante et J r»..••̃ "M'f' ̃ J- ̃ ̃ ̃ .̃••'• ••̃̃• '̃-̃- gaie, ̃̃ .*»i.-i& cadre, idéal des i$acance<s- dè^ JPdfues? ̃'•̃ *̃•'•̃̃- 2 '̃- .'̃

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pays différents, concourir pour la Coupe des jtJafions.

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«5?

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G <MJ RRI ER DES T H ʣTR ES

LES PREMIERES COMÉDIE-FRANÇAISE Les Flambeau* de la Noce, pièce en actes de M. Saint. Georges de Bouhélicr.

Lfuli des.personnages .de if. SaintGeorges de Bouhélier cite ce dicton Scandinave « Le mariages scJfont dans le ciel. » L'auteur des Flàihbeaux (le lu Xqgc nous conte l'histoire 4'une jeune fille qui s'est mariée contre son. cœur, pour sauver sa, famille dont elle savait la situation précaire, sacrifice d'autant plus douloureux qu'elle aimait un ami d'enfance.

M. Saint-Georges • de Bouhélicr étudie les états d'âme avec sa psychologie subtile. ̃̃'̃̃̃• ̃'̃•u' '̃>•,••«"( Pierre, Sibald, aviateur,1 -a formé, lorsqu'il était adolescent, le projet d'épouser xin jour -Monique de Tenneinare. Il apprend, en Norvège oit il se trouve, son prochain mariage avec un riche industriel, Robert Pigaud.' 11 repart sur son avion pour assister à la cérémonie..

Monique, cependant, se prépare, à se rendre à l'église. La tristesse de son visage nous indique ses sentiments.- Tout à l'heure, après le lunch traditionnel, elle aura une conversation' avec Pierre. Conversation le dépit s'affirme d'abord. Pourquoi ne lui a-t-il pas donné de ses nouvelles? PoilVqûoi n'a-t-ellç pas répdridu à ses lettres? Mais ils ne tarderont pas -4 s'apercevoir qu'ils n'ont jamais cessé de s'aimer.

Seule avec son mari, à l'heure oit l'on imaginerait plus d'abandon, Monique se montre nerveuse, hostile, toutes griffes dehors. L'ombre de Pierre passe au lointain. Monique, dans un élan de sinpérité qui ne serait peut-être pas du goût de tous lès maris,' déclare il Robert Pigaud qu'elle ne l'a jamais ainié, qu'il lui inspire une sorte dé répulsion. Elle

s'enfuit.

Au tableau suivant,' Monique» 'après ime étreinte furtive avec Pierre, s'est jetée dans un étang.. On la retire de l'eau a moitié folle. -ùt» Nous assistons à son agpirîje^aj^^ une scène avec s'rjrt jnari, eire|le5^&i ge mission ingrate! (le jHrafc e

parvenir, :Y Pierre une letlrp-oij' C'fk

lui dit' un éternel adieu.' Et elle meurt, dans une dernière convul-

sion. '• ̃'

Le dénouement nous conduit en Italie. Pierre, dans un décor de fête, reçoit la lettre de Monique. Il sanglote devant leurs deux destinées

brisées.

M. Saint-Georges de Bouhélier a traité ce sujet un peu ténu avec son

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art et-sa puissance ordinaires. Il .n'a pas évité, pourtant, quelque lon- gueur dans le développement .d'une situation dont l'évolution était, en somme, aisée, à prévoir. Mme Berthe Ceriiy .joue avec son admirable talent, un rôle de mère coquette et coupable; Mlle Romée a de la sensibilité. et de l'émotion; Mlle Nizan est une. demoiselle d'hon-, neur très « flirt ».

M. Léon Bernard est un mari déçu et paternel; M., Siblot un pèr.e à qui la vie a réservé bien des mécomptes. Mmes Andrée de Chauveron, Tonia Navar, Jeanne Sully; MM. Gerbault, Ledoux, interprètent à leurs côtés les rôjes principaux de Fouvrage. ,Waxiine Girard.

i.l~i.r

POUklA T'AMJLLE Ii

DÉ CATHERINE JÔRDAAN

Catherine Jordaan, à qui son, ''{aient., assurait-la plus brillante: carrière,, connut une destinée tragique. Elle ,avait quitté la France avec une compagnie d'artistes éminents pour interpréter, .en Amérique du Sud, .les- chef sKfœujvTe dé notre répertoire. ̃

Son état de santé avait fait craindre à son entourage qu'elle n'eût pas la résistance nécessaire pour accomplir ce voya- ge. Elle voulut partir -quand même. Le mal dont elle souffrait devait la' terrasJ ser au loin, en plein travail.'

Si, à l'heure suprême, elle eut la dou- leur de penser à ceux qu'elle laissait derrière elle, elle dut s'interroger avec an- goisse sur le sort réservé sa famille. Son effort quotidien l'aidait à vivre. Aujourd'hui, ̃ sur.. l'initiative de M. Maurice Lehmann, directeur de la Porte- Saint-Martip,. et ,4e.. l'Ambigu, les amis

de l'artiste ont décidé d'organiser, vau":

1 dc l'artiste nec,0

bénéfice de. sçs parents,, un grand gala qui aura lieu le lundi 4 avril, en matinée.' Les meilleurs artistes de Paris y prél6roHt;.leur._Gonço.urs,;M.André Antoinç prononcera une allocution. Nous donnerons pro'chaînèmepr leV; programme' détaillé de cette fêtejdjajjb'et dcsol^dari.lé^

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THÉÂTRE DÀUNÔU

Aujourd'hui, à srhejires, on donnera en matinée la Poitfiée française, de V.-A. Jager-Schmidt, avec Mme Madeleine Carlier, MM.'P. Capellani et R. Hasti; 'Aujourd'hùï

«S*. A l'Opéïia, fi 1 h. 30, Sàmson et Dalila La Nuit ensorcelée.

<$ A la Comédie-Fbançaise, à 1 h. 45, Le Cid Les Précieuses ridicules. et A l'Opêha-Comique, à ,1 h. 30, Manon.

A i.'Odéon, a 2 h. 30, Le Marchand de Venise.

Au TniANO.N-LYnjQUE, à 2 h. 30, Les Cloches de Corneoille.. •£ A i/Ateliéb, k 2 h..30, Le Veau

Gras.

̃ ̃ ̃ -r

Même spectacle que te sotr.

Aux Variétés (2 h; 45), au Gymnase (2 h. 45), à la Portc-Sàint-Martin (2 h. 30), au Nouvel Ambigu (2 h'. 30), à la Gaîtc-Lyriqui- (2 h. 30), à la Renaissance (2 h. 45), au Théâtre Sarah-Bernhardt (2 li. 30), à l'Atliénée (2 11. 30), au Théâtre Antoine ('! h. 45), au Pa}a}s-Roya.l(2 h. 30), aux Bouffes-Parisiens (2 h..30), au Théâtre Èdouard-VII (2 h. 45), au Grand-Guignol (2 h. 45,)^ aux ^puveàntés (2 h.T45)» au Théâtre Michel (2 h. 45), -au Théâtre de la Madeloine (2 h. 45î,J'au Tljéâ- trôtf Fénfitla (2 h. -30),' -iNtli Théâtre Marigny (2 ]i. 30), au Théâtre de fa Michodière (8<h. 45), au Théâtre Mogador (2 heures), à la Scaja (2 h. 45), à la Potinjère.(2 h. 45), au Théâtre Daunou (2 Il. 45), à la Comédie-Caurriartin (2 h. 45), au Théâtre des Afsthurins (2 h. 45), à l'Avenue (2 h. 30), à l'Œuvre (2 h. 45), à la Comédie des Champs-Elysées (2 h. 30), au Studio des Champs-Elysées (3 heures), au Châtelet (5 heures), au Théâtre des Arts (2 h. 30), aux DeuxAnes (3 heures), au Théâtre de Dix-Heures (3 heures), à B^jazet (2 h. 30). Ce soir t ̃ ̃ ̃̃̃ A l'Opéra,; à 8 heures, Rig.oletto (Mme Haramboure, MM. Duclos, :Ed. .Rambaud, A.1 Grèsse, Mme Tessandra, M. Narçon, Mrrië'Dôyen, M. Madlen,:Mme C. Rex MM, Ernst, Guyard, Cambon, Mme Lobères) Coppêlia (Mme de Craponne, Mlle Soatzo, M. P. Raymond). Orch. M. H. Bùsser." «U A CosiÉDiii-FnANÇAiSE, à 8 h. 30, Ls Burgraves (MM. Alb.-Lambert fils, J. Fenoux, Desjardins,- ,t. Hervé, P. Gerbault, Drain, Ledoux, Chambreuil, R. Simon, de Rigoult Mmes 'Weber, J. Sully, Roussel).

A l'Opéra-Comique. à 8 h. 15, Les Contes d'Hoffmann (Mmes M. Roger, Gateia, Ducùing MM. Çh. Fontaine, Dupré, Hérent, Roussel," Azéma). Orch.. M. Cohen. Jt A l'Odéon-, à 8I1. 30, L&.Bonhen* mu -Wur m?3&à&> Kéra-udj-i --MM, ;À-'Gla.- riôndr CafilOilki-'CKarpirtî Mmes Ch. Clttsls, j; VcVitèùTi,5t/Giron, D. Mony). jï Aux Vahiétés, à 8 h. 30, L'Habit vert (Mme Jeanne Granier, MM. Lefaur, Louvignjv Mlle G. Baron, M. Lurville, etc. et M. Golipaux).

JZ Au Gïmsase, à 8 h. 45,. Le Venin (Mmes Yvonne de> Bra jv Gaby Morlay, Yolande L'affon MM. Charles Boyer et Marcel André).

̃ «S* A l'A rPORTE^SAlNT-MARTlS, à 8 11. 15, Peer Gynt (Mme? Suzanne Després, Nclly Marthyll," Mônà Païva MM. Bourdel, Joffre). ̃ Jt- -Au1 Théâtre SAitAH-BERNHARDT. à 8 h. 30, Mon curé chez les riches (MM. Robert Casa, Maxime-Léry, H. Monteux; Mmes Jeanne Delysj Jehanno et Marguerite Ducourét).Dim. et fêtes, matinées à 2 heures.

À l'Athbnee, à 8 h. 45, Maître Bolbec et son mari'iMlle Madeleine Soria et M. Lucien Rbzeaberg ̃ Mlles Renée Rysor, Louisa de Mornand, avec MM. Pierre Stêphen et Amaudy).

Jt A t.A Gaité-Lyr'que (Arch. 29r20), ̃à 8 h. 30, Ali-Baba (Mmes Louise Dhamarys et Hélène Gérard MM. Xabos ou Pernot, Detours, Castïn, Schlêgel, avec Robert Allard et Henry-Jullien). Ballets: Mlles Capry et Batcheff.

vS AU Théâtre ̃ àstoise, à 8 h. 45, La. Reine de Biarritz :(MM., L. Gauthier, Lagrenée, R. Marco, Gallet, Manger et Béliéres Mmes Augustine Leriche, H. Marion, J. Ronçeray: et ^Marcelle Praincè). Jt Au Th&Whe iw Paris, à 8 h. 30, Tji tféépousera& IMmes El vire ,Popesco, Paule Andral, A. Guize, Reine ressort MM. Ê'0uïS'lV9«'nÇùif1»'- G. Tré'wlle, P. Noyelle, J. Sky, Ch. Bernard et M. S. -Pàbre). ̃ i. ̃'

̃£̃ -A-' LA Renaissance, à 8 h. 30, Madame ne vent pas d'enfant (M. Tramel, Mme Cassive, Mlle Mireille Perrèy). S Au PALAis-RçyAL. à 8 h. 45, On ne roule pas Antoinette (MM. Albert Brasseur, Le Gallo, Dnvallès, Géo Lecleroq, Lluis Mmes Marg. Templey, Alice Cocéa, Marg: Peuget).

*JS Au Théâtre Marigny, à h. 30, 1U27 JMrafs Edmée Favart.-Thêrèfe Doreuy, Danielle-Brégis MM. André Baugé, Saint-Granier, Paulcy, Darthez et M.

Raimu).

Au GRAND-GurGNOt, à 8 h. 45, LaCeilnle i$; La Clémentine Piêfaroax; Les Nitits rottijés de'ta Tcktka; Les Bâu-

"~CmÈMAS~

lingrin. (Matinées mercredis, samedis et dimanches.)

JS Aux Bouffes-Parisiens, à 8 h. 4à, J'aime (MM. Koval, Lucien Baroux, Gabin, Géo Bury, Hemdey, Mmes Nina Myral, Sim Viva,Christiane Dor, Peggy Vere, Suz. Blanchet, Colette Roby). i5t Aux Capucines, relâche. Lundi, en soirée, répétition générale de Le Miroir qui fait rire. Mardi, première -représentation.

J* Au Théâtre des Nouveautés, à 8 h. 45, Un bon Garçon, opérette (Mmes Pierrette Madd, Davia et Reine Leblanc et MM. Milton, Urban, Gildes, Robert Ahcelin, Sergy, Champell, Numès fils.) Au THÉÂTRE ËDOUAHD-VH, à 8 Il. 35; Knock-oul, de MM. Jacques Natanson et Jacques Thèry (Mlle Spinelly et MM. Pierre Blanchar, Paul Amiot, Alcover). <£t Au Théâtre Fémi.na, à 8 h. 45, L'Eunuque (Mmes Jane Chevrel; Mady Berry,, Simone Sandré, Rozillc MM« André Berley,. Berthier, Burgère). Au Théâtre de la Madeleine* (Elys. 86-25), Pluie, d'après Rain de Somerset Maugham (Jane MarhUc, Vargast'ét Roger Tréville). ̃. -i& A'ir Théâtre nE LA MiCHobiÊRÉ, à 8 h. 45, Son mari (Mrnes Marthe Régnier, Marcelle Yrven, Renée Devillers MM. Victor Boucher, Alerme).

.S' Au Théathe MciOAnon, à 8 h. 30, No, No; Naneile (MM. F. Oudard, Dorval, A. Lamy, Conté Mlles Loulou Hegoburu,; Gabrielle Ristori. Marguerite Gilbert, J. Fusier, Flo. L. Stern). J* Au Théâtre Michel, à 9 heure3, Le Chasseur (M. Francen, Miles Renée, Corciade, Simone Dulac et Suzanne Dantès).

'<£ A LA ComÉDIE-CaUMARTIN, Û 9 hcures,'La Femme fatale OïL' Paul Bernard et Mlle Blanche Montel avec Marcel Vallée, Sarah-Raf aie et M; Pierre Etchepare).1 ̃̃.

.;£ A LA PoTiNiÊnE, à 9 beures, -Xig-Zag (MM. Arquillière, Roger Gaillard, Jean Gobet, Henry Trévoux Miles Germaine Baisse, Simone Deguyse, Suzanne U.ebelly, Nita Malber).

1 e*u THÉA-rnE DAUxou, 1) heures,' La Poupée Française, comédie Je V.-A. Jâger-Schiindt,' avec Mlle"Madclein% Carlier, M. PaulCapellani et.Robert. Hasti. à» Au Théâtre de l'Avenue, à 9:hcuïes,

Masque 'et, visage (Jacques. Baumer, BcXr:

ty Dausmond, Nadine Picard et André Dubosc. ̃̃•.̃.•

dt A la ScALA, à. 8 h. :30, La petite grue du cinquième (MUe Marcelle Parisys, Mmes G. Michel, G. Armand, C. Ver̃nades MM. Sinoël, Ch. Lorrain, P. Labry et Robert Bossis). '1'

JX Ayx'TVIÀTHUîUNS.'ÏÏ' 9 'BéWfcs'/Mcw cara (Jules -Berry, -Suzy Prim7"Hcrïf}r Ri-' cb,Svd, René W-orms' et Pierre J^vençt). J* Au Trianon-Lyhjqué^ A: '8 u. 30, Les Dragons de .V Mars (Mlles Fissore, ..Lemichel du Roy ;> MM. Cardon, Péraldi. Lenzi).

Aux Deux-Anes, Gabaroche. Jean Rieux, Georges Merry, Geo Charley, de Soutier et Trémolo La Revue de Rip, avec Marcelle Monthil, Dalio, Georgé (en représentation).

«£ Au Théâtre DE Dix-Heures, l'J57, revue de M. J. Rieux, jouée par l'auteur, CL Vidiane, H. Hetty, L. Henry et G. Gabaroehe ;Tes chansonniers P. Coiline, Balder, Marrot, J. Flot, P. Maye et Charles Fallot dans un numéro inédit.

Théâtre Albert-I", à 8 h. ï5, Easy Virlue; Arts, à 8 n. 30, La Grande Catherine, 7, rue de la Paroisse; Atelier, à 8 h. 45, Chacun sa vérité Châtelet, à 8 h. 30, La Course au bonheur Comédie des Champs-Elysées, Au grand large Dé.fazet, à o h. 30, Et moi j'te dis qu'elle t'a fait de l'œil Œuvre, à 8 h. 45, Un homme.en,or Studio des Champs-Elysées, à 9 heures, Maya.

NOTES ET TiÔRMATlÔNS Opéra. Mlle Fanny Heldy, qui vient de faire'sa rentrée avec le plus brillant succfes.' dans» Roméo et Juliette, chantera demain Thaïs et reparaîtra vendredi dans l'Heure espagnole, la comédie musicale de MM. Franc-Nohain et r-Maurice Ravel, ti 'charmante" 'et admirable artiste à., fait .daiis le principal rôle une de ses plus uierveilleuses créations, avec MM. Fabert, Huberty^'Scgj^.qt Maguènat dans les autres rô. les, achevant sous la direction de M. Ph. .Gaub'ert une interprétation incomparable.

~se~

\ComédiE-Frasçaise. Le service de seconde des Flambeaux de la Noce sera reçu lundi soir. M. Poincaré assistait à la première représentation de l'œuvre de M. SaintGeorges de Bouhélier, ainsi que MM. Painlevé et Sarraut.

Opéra-Comique. Pénélope, l'œuvre maitresse de M. René Fauchois et de Gabriel Faurê, qui a été reprise récemment à l'Opéra-Comique, sera affichée deux fois cette semaine mardi en soirée et jeudi en matinée.

Mme Suzanne Balguèrie interprétera Pénélope, rôle dans lequel ses admirables qualités de chanteuse et de musicienne trouvent une 'ample matière à s'exercer.

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M. Maurice Oger sera Urys*se, auquel if sait donner les accents variés qu'exige ce rôle important.

M. Vieuille, Eùmée,; MllcMathildc Calvet, Euryclée MM. Niel, Bourdin, D'Arjac, Morturier, Gilles Mlles Ducuing, Corney, Kamienska, Bernadet et Vàcchîno compléteront cette belle distribution Chacune des rcprcsentàiions de Pénélope sera précédée par le Festin de l'Araignée, ballet de M. Albert Rousse! interprété par Mlle Mado Minty. J' Variétls. Aujourd.'l|ui5 à i. h. 15, l'Habit vert, le triomphal- succès de M. Ror >- bert de Fiers et de G.rA. de Caillavet,.avcc Jeanne Granier, Galipaux, André Lefaur, Louvigny, Germaine .Baron, Lurville, Larquey, etc., et toute la grande interprétation du soir. (Téléph. Gut..09-92).,

̃ '.̃">y .;̃ .y

Porte-Saint-Martin. ,Jb-2 heures 15 et à 8 heures, 15, Pee.i\ Qçi<nt,jivec Mmes Suzanne Després," fNcllv^M^rtj, ,(de^ l'Opéra^Comjquc) Moiia Paii,'à: ,ul.e, l'Opéra-Gonji- que), M'M. Bburçl.çl et jô|frc. Musique de Grieg exécutée par rorctiistre des Concerts Piisdeloup, dirigé par. M. Rhcné-Êàton. l^atinées jeudi, samedi et 'dimanche, "f

..̃ *^3n" c',

Renaissance.– A 2 heu'res 30 et à 8 heûT•ris. 3°, Madame ne veut. fias, d'enfant, avec M. Tramel, Mlles Cassive et Mir. Perrcyi. Matinées jeudi, samedi et, dimanche.

T-^ –aTO-C–j–

Ambigu.– A ;a heures 45 et à 8 Heures 45,, /̃; Grillon du Foyer avec la. partie musicalede Massenet. Matinées jeudi, samedi et di- manche. •'

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Co.médïe-Cau«artin. ̃ Aujourd'hui, en matinée et en soirée, la Femme Fatale, la comédie ta plue gaie et' la plus a"tniiïante avec une éclatante distribution.

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Gbaxd-.Guig.noi, Aujourd!hui,. en matinée et en soirée, lès TViïtfs Rojigês"dc la .Tcbébqy..Irréyoçablemenfcmerçredi 30. mars, dernière représentation.

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GapucixeS; En roj^i' de l'état de san-, téSde M. Har,ry-Baur,: la rjégétitioni générale 'dliWÏMirrqui fait ri/«J!>lft*'piccêde'M;:Marcel Espiau, qui devait avp.:r lieu ce soir, est

tém9§e'^à^'rLeMnü s'oir iuudt 'licirdi rr; °lire=

rerrfis\r"à'^d'em"r;!h soir lufidi.Mardi sn'irf ftre-1

;mièré'képféselitatiôn. :r^i'. ̃̃ •. ̃; .•"

-.a~om-

Théatr6 FïMtSjVf ^Aujoyrâ'*hui, à 2 heures 45, matinée du plus grand- succès achuil^'f j$iitj}*quc, le. chc-X^d'ijeuvre1 ^èiMM.. Henri Duverjiois et. André Birabeauc i.r ̃>•̃

"I,J. -71~A"Uü -il *1 Irli~, ))-.1

PoTiNÏÊKÈ. Aujourd'hui," première ma-

tinée de Zig -Zag, a vie- ses- brillants créateurs. ̃' jj'

Rêpondant'a\l'v:u~t amrsde

Répondant au vœu nom amis de

M. Nozière, Comœdia, avec la collaboration de V Avenir, organise, m) «léjellher poUi?-!SeteF' la rosette de l'heureux kqtcuï du Mari d'A-

line.

Ce déjeuner aura lieu le mercredi 13 avril prochain, sous la présidence effective de M. Edouard Herriot, ministre de l'instruction publique et des: beaux-arts.

Les adhésions sont reçues' jusqu'au. 9 avril par M. Paul Grégorio, secrétaire général de Comœdia, '$1, rue Saint-Georges. Prix du déjeuner ;o francs. (Joindre mandat ou chèque).

–Sous la préBidenco de;S. Esc. l'ambsssa-'deur de Bëigique, M. Irénée Mauget donnera le lundi 4 avril, en; niàtinée, à 3 heures, au Théâtre Albert-I" 64, rue du Rocher (g"), une matinée de poésie^, de musique et de danses consacrée à l'art belge moderne. M. Albert Mockel fera une conférence. Mlle Denise Chainaye et 'son école de danses exécuteront la Symphonie Fantastique de Berlioz. On créera Ophélia^um pièce en vers, d'un auteur beige, Mlle Suzanne Chainaye.

«o-mj»^

Db Saint-Etienne :s

Une nouvelle opéretf|e en trois actes, de .In, pji)^ heureuse ,trc.c}imofi française, à été

crsee liier~ lc Ro;~url ~vetot, liv t d3,_°~M

̃créée hier -le Rmd'. rv'etot, livret ;;<1^ Mt

Loiiis1 Pâyen, musique (ici M. Camille* "Boucoiran. De longues acclarriatibas, oçt àccùeilr li cetje; œuvre pariiciilièromeht amusante et variée. L'interprétation j en tête -vie laquelle se trouve Fabert, de l'Opéra, inénarrable roi d!Y vetot, et -Mlle- Lucie Bachç-let, ainsi que tous leurs camarades, ont été parfaits et ont-conduit la pièce au succès..

-1"

OPÉRA DE Monte-Carlo; Le directeur de l'Opéra de Monte-Cajlo, M. Raoul Gunsbourg, tient à conserver'.™ juste équilibre entre lés écoles musicales différentes et les productions lyriques de tous les pays. En même temps qu'il nous donnait une très belle réalisation' de Madame Butterfly, J'oeuvre de Puccini, d'un exotisme savoureux,- il reprenait les. Contes., d'Hoffmann, d'Offenbach, où le maître de l'opérette nous montre qu'il aurait pu, si le desfin l'avait voulu, devenir te maître de rppéra. .-̃• La mise en scène' de' ces deux œuvres clc ̃ conception et d'exécution si dissemblables'

était dans la grande tradition de l'Opéra de Monte-.Càrlo, c'est-à-dire à la fois somptueuse, pittoresque et exacte quant à l'interprétation, elle était de celles qui paraissent inégalables. Madame Butterfly était chantée et jouée par Mme Pampanini d'une façon profondément émouvante, dans une note de simplicité et d'ardeur concentrée qui est la vraie, par le ténor Maison- à la voix xhaude et généreuse, et MM. Tilkin-' Servais et Dubois.

Dans les Contes d'Hoffmann on applaudit Mlle Gauley, dont la voix pure et so-'

SPECTACLES ET CONCERTS

LES PREMIERES

̃ ̃ i-i_t.i- "J-.

CIRQUE tD'HlVÊft ,Les Jeux romains ¡

t,e;

/$pectaf;Jç,.diyers.

.C'est uni-' bj'iïl'dnt SpecWcle1' que vient de monter hvCkquc d'Hiver' en nous offrant cette reconstitution des jeux, romqins que présente M. i Jean Xouguès. Les bas-reliefs qui courent le long des murs rappellent Pafttique décor d'un amphithéâtre et 'la loge l'Im.perator, vêtu de pourpre,- va .prendre- place, domine les premiers gradins. Autour de l'arène, des: torches brûlent en haut des, colonnes de marbre rouge. Une musique all-ègre retentit, les trompettes sonnent et voici s'avancer, portées sur des pavois, les statues d'or des Dieux capitolins; chargés de fruits et de fleurs en guirlandes, les danseuses du Ballet de Cérès décrivent d'harmonieuses évolutions et les jeux athlétiques commencent. Les porteurs de glaive engagent Je. coniba!; les pugilistes gantes de cestes en viennent aux mains; le r-étiaire et le îuirmillon s'affrontent. Un nouvel içtermède chorégraphicfue'et c'est le cï^yié des chars romains' conduits. pft#M. et Mme Jean Houcke-Rancy,. livis les exercices équestres exéciK tés par les cochers. Un nombreux 'baftet' les bacchantes se mêlent rauxr bergers, les bergères aux côrybantes et aux amours terminent le speèlaclc qui fait alterner la force et la. grâce. >

ill"!?'5*S.J?:peï1^i*rr'c:: P'aftie,iC ".jôii-

gleuiusôiiiîqué Loyal, dont: l'adresse, > li-agilitè-iet la souplesse vont div pair, '& été'jnst^ni'èht "'aCclaiiié par; un pu- blic en joie; joli sucëès aussi- pour- Pepino dçiiit les anïmauxf. dn%sés fout .merveille; tripmphe, enfin, des Fratellini qui n'ont jamais montre b'iiis d'ingéniosité et d'amusante drô-

lerie.

Jacques Patin.

Aujourd'hui:

Même spectacle que le soir

Aux Folies-Bergère (2 h. 30), au Casino de Paris (2 h. 30), à l'Olympia (2 h. 30), à l'Empire (2 h. 30), au Palace (2 h. 30), au Moulin-Rouge (2 h. 30), au Concert Mayol (2 h. 30), à la Cigale (2 h. 30), à la Lune Rousse (3 heures), Chez Fursy et Mauricet (2 h. 30), au Cirque d'Hiver (2 h. 30), au Cirque de Paris (2 h. 30), au Cirque Medrano (2 h. 30), à Madeleine-Cinéma (2 h. 30), à Marivaux (2 heures).

Ce soir

S Adx Folies-Bergère, à 8 h. 30, Un Vent'dé Folie, hyper-revue de M. L. Lemarehand, avec Joséphine Baker, Fow,}er et Tamara, etc. (matinée samedi et dimanche).

a* Au Casino DE Pabis, à S.ih. 30»- ta grande revue Paris (Maurice'itëhieviiiieii',

Pas^uali, DevilderiLUy Scott; Pîtelli,

.Uargyl. les ,|16]'La\YA-.enç.é'Trjrér~grFir"ëF e~ iify/mfifl Vofl^cijol'Ies Lorraines, -Sistecs).

'$ ÂU'MôutUN-HoUGH MUStC-BACt.

à"8 h. 30, la|;grande; revue Ça,sj.c'<jf£

Paris (Mistingâett, Randall, K((Rr4,esJl»e, Cebron-Norbens, Marthe Bcrthy,-Yvorme Legeay, le, Spark's ballet, les 40 Jackson Girls et' les Lancashirc lads de J. W. Jackson et Dandy.

«St "Aux Champs-Elysées Music-Hall (Elys. 72-42), Yvonne George dans son iipûveaxt répertoire l'illusionniste Horat'e Goldin et 10 attractions de premier ordre.

I isï Au PALACE (tél.: Berg. 44-37), à .8 h. 30, la revue Palace aux Femmes, en deux actes, 45 tableaux (Dranem, Harry Pilcer, Jenny Golder, Spav'.aro, Sûzette O'Nil et Gamsakourdia, et Demidoff).

<$t A l'Empire Music-tHall Cirque. Pour là première fois en Europe, la plus formidable troupe du monde entier, ̃Singer's Midgets, revue. ̃

A LA Luxe Rousse, à. 9 heures, (Trud. 61-92), Ho-Ksé-Fou revue (Nane Carty, Valneri) les chansonniers :V, Hyspa, Léon-Michel,; Secretan, Spark,

nore conduite avec maîtrise, rallia tous les suffrages le ténor 'Maison,' dont la voix souple exprime aussi bien-J'amour et. la tristesse d'Hoffmann que de Pinkerton Lafont, remarquable, -d'intelligence et de composition dans les trois rôles, Maury et Huberdeau..

L'exécution, orchestrale des deux opéras ne pouvait qu'être excellente, puisque M. Léon Jehin dirigeait celle des Contes d'Hoffmann, et M. Victor de Sabata celle de Madame Butterfly.'

Maxime Girard.

P. Dec, H. Cor, E.' VVyl, Monelly, Heintz. S CiiÈz Fursy et Mauihcet"(43, bout. de Clichy, tél. Trud. 69-67), à 9 heures,' Tout: va bien revue de P. Briquet, avec Marguerite Deval,i Fursy et Mauricet. q .̃̃• i;

Au Perchoi.h, ,(43, faub. Montmar-.

tte. Toi. Provence,' 37-82)'. à ,9 heures} La Coi des Fiituchés, revue nouvel! e de Rip (Marguerite PieUry, Ginâ'-Rèlly,' Vil" da Duplcssy, Flandre,; Badès, Corne).. Les cluOisonniers Mar-tinU Victor Vallier, Maugier, Noël-Noël, Dorin, Pierre Pradier, Mmes Kaphane et Germaine Dernv.

V*"Au Chique D'HïvEn (Roq. 12-25), à 8 h. 30, les Jeux' romains, présentés par M. Xouguès la cavalerie de Jean Houckc Idès et Wlaster. 20 attractions et les Fratcllini. Matinée, jeudi, dipinnchc.

̃t-a-m

Folies-Bergère. Aujourd'hui dimanche 27 mars, Un Venl de Folie. Le nouveau triomphe des Folies-Bergère sera donné en matinée à -2 h. 30 et en soirée à 8 h. 30. Principaux tableaux Premier acte L'horloge des Fêtes.; Le mariage d'Amour -Un pompier qui prend feu La galère de Cléopâtre La gondole du Doge Le combat naval'; La plus belle frégate du monde. ̃ Deuxième, acte.. 'Les rosés de Grenade Une hostcllerie sous Louis XIII Le temple •égfiyptièn La mosquée La pagode So.us 'li tente d'Ali-Baba Paris en Folie. Chez Fursy et Mauricet. Aujourd'hui, à 3 heures, première matinée du nouveau et triomphal spectacle dont toute la presse- a 'constate le" succès; avec' naturellement Marguerite Deval,en tête du program-

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`COUR~~ER ~J~~

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,i~OBËR-T-A'5-Âtn;s:gg:

Le célèbre pianiste français' fut ao-, clamé à la fin de son récital Beethoven de vendredi dernier. Il est vrai que sa musicalité et l'émouvante simplicité d'expression dont il enveloppe une technique magnifique font de lui l'un des premiers pianistes de l'époque. Le deuxième et dernier concert de Robert Casadesus aura lieu vendredi prochain, avec un programme comportant des œuvres de Debussy, Ravel, etc., maîtres dont il est l'idéal interprète.' Location chez Durand et à la salle du Conservatoire.

Aujourd'hui `

̃»'

Aux Concerts Colonne, au Châtelet, centenaire de la mort de Beethoven (en raison de l'importance du programme, le concert commencera très exactement à 2 h. 15) avec le concours de Mmes Campredou, de' l'Opéra, Lina Falk, et MM. Weynandt et H. Dufranne; de l'Opéra-Comique Coriolan, ouverture Cinquième Symphonie en ut- mineur Neuvième Symphonie, avec choeurs. Soli, choeurs et orchestre, 250 exécutants sous la direction de M. Gabriel Pierné.̃ Aux Concerts Lamoureux (Salle Gaveau). ̃ A 3. heures, concert supplémentaire avec le concours do- M. Mar,'cel Dupré 1. Symphonie en mineur (Ccsar Franck) 2. Légende de saint François de Paule marchant sur les flots (Liszt), 1 transcrit pour orchestre et orgue par Marcel pupré à l'orgue, M. Marcel Dupré 3.

67, Faubourg- Saint -Honoré, 67

Ouverture de Léonore (»°:-3) (Beethovçri) ï- 4. Symphonie avec orgice (Saint-Saëns) ̃}̃̃ A l'orgue, M. Marcel Dupré au piano, Mlle L. Mercier et M. Petitjean.

Le concert sera dirigé par M. Paul Pâray. Aux Concerts Pasdcloup (Théâtre Mogador). A 17 heures 15, Festival' >' Beethoven. Solistes Mme Campredon*, de- l'Opéra M. J. Hervé, de la Comédie-Fran- çaise M. Szigeti, violoniste Quatrième- Syntphonie en si bémol; Concerto rjoùr vio-. Ion et orchestre Egmont a) Ouverture b) Deux lieds de Claire c) La mort dé Claire. Finale. Chef d'orchestre, M. Rhené- Batcn. •̃•̃ ̃'•'̃

Ce soir ̃̃ 'î; A la Salle Gaveau, Marcel Ciampi1 -a veCw j'orchestre Lamoureux dirigé par M. Pa-- ray. La location sera ouverte aujourd'hui' dimanche. ̃

"là Salle des Agriculteurs,' sjxi,èriie! séance de l'audition intégrale des quj{ù6rs", de Beethoven1 (ï^-iii 'il"), pat le; ,tjtàia tuor Capet. Places' d'estrade 20 francs '£Îfl'entréc^ ̃•:̃••̃̃ ̃̃ ..̃ -••"̃-

~saar^y;,

Geneviève» Dehelly, la remarquable pia-» niste, se fera entendre en un unique récitai} !e mardi 29 mars, à 9 heures, Salle Erard; Billets à la Salle, chez Durand et à Musica.

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M. Horszowski donnera un récital Cho- pin à la Salle des Agriculteurs, mardi so.fr' 20 mars; Billets à la Salle, chez M. Durand et M. Dandelot.

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Alfred Cortot, l'éminent pianiste, est en'; Italie depuis le début du mois. Il s'est fait! entendre à Naples, Gênes, Palerme, Milan,t' Florence, Rome et, partout, il a reçu un accueil triomphal auquel se trouve ̃ étroitïi- ment associé notre pays, car par delà les Alpes, Cortot est considéré comme le plus, grand'et le plus noble représentant de l'art, pianistique français. s. Redemandé partout^j

Cortot à ces

•'Cortot' rTSTgu "donner" satistàïtion à ces éé-

sirs, devant se^ rendre en Suisse où il est àt*^

"nous .~eval1~ ~ereridre, triomphes ?,Ù ,il eSf~t:.c,

'tendu avec non moins dïmpatience.. Nous':

nous réjouissons des triomphes que jîeiïjçojte e

notre illustre compatriote dans tous les1 pays'' qu'il visite. L. de Crémone.


La situation des marchés agricoles ii iiiiiiniii ̃̃̃) .1

Céréales'. La baisse des blés inïligè, nés s'est encore accentuée sur tops- les marches et même dans le Centre.. Au marché libre de Paris, les blés de-Beauce sont tombés à 155, 156..fr, les 100 kilos départ; ceux de l'Ouest et du Centre à 156-159 (Allier, Nièvre, Puy-de-Dôme, 162 à 163) ceux du Nord, Pas-dé-Calâis, Somme à 151-153 de l'Est et du Centre-Est à 153-155.

Baisse trop forte, qui. n'est pas justifiée- par les prix des blés exotiques, qui reviennent à 165-168 rendus moulins pour les blés d'Argentine, les moins chers. On traite en effet aux" suivants caf nos ports blés Barusso 79 kilos, 138,60 sur avril; 139,50 mai Rosafé, 141.50 avril; 142 mai; Australie, 148,85 à 16&80 Manitpha n" 1,. avril 166,70 ngf,:f63;65; juin 162,60Vn° 2,1.62,90 syr kvrif 3, ,156,50- Coûte que coûte, quelles que soient ses appréhensions, la culture doit restreindre- ses livraisons devant une tellÊ- baisse, jusqu'à ce que les blés indigènes remontent au niveau des exotiques, car la situation actuelle .indique nettement qu'il y a des offres supérieures aux besoins de la meunerie. Dans ces, conditions, il nous paraît également impossible que le prix, limite des farines continue d'être: fixé en se basant, dans certains dépa,rtements, comme la Seine, sur des pourcentages de 60 pour 100 et même, davantage de blés exotiques. Con-, sommateurs et agriculteurs se trouvent" de ce fait également lésés, les

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premiers ne profitant pas de la baisse que supportent les seconds.

La baisse va-t-elle continuer? Il est paradoxal de voir en année déficitaire les' blés indigènes au-dessous du cours des exotiques. Si la culture se reprend, ils doivent se mettre de niveau, car nous avons encore besoin de quelques millions de quintaux jusqu'à la soudure. Mais les cours mondiaux ne baisseront-ils pas encore sous l'influence des grosses expéditions des pays exportateurs et des bonnes nouvelles des récoltes 1 Et puis, crainte de. disette, n'a-t-on pas trop importé ,'? Les producteurs de blé trouvent/ dans la situation actuelle du marché français, une nouvelle raison de réclamerune: protection douanière plus efficace. Le goiivejftieinënl, qui prétend1 se réserver lé droit de supprimer les droits1 de douane quand les prix des produits agricoles montent à un taux qu'il juge, Je plus souvent de façon arbitraire, trop élevé, ne fera-t-il rien pour protéger la culture quand la concur.rence étrangère fait baisser les prix de façon exagérée ?

En France, la situation des céréales en terre est bonne, mais il y a du retard dans les semis de printemps, et plus on sème tard on risque de voir le rendement réduit.

Malgré que les seigles disponibles s'épuisent en culture, la tendance est plus calme, car là aussi on s'approvisionne facilement en marchandise étrangère, 0.n. cote .les seigles de Bretagne 135 à, 136;. autres provenances,

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Effet des premiers beaux jours, la demande d'orges pour la malterie a été plus suivie la meunerie spéciale poursuit, de son côté, une bonne demande et les prix des orges et cscourgeons sont fermes orges de brasserie, 123 à 127; de mouture, 123. à 125 escourgeons, 120 à 123. Les sarrasins, de plus en plus rares, sont passés à 163-166. En niais, la tendance est calme. On trouve en revente du maïs Plata jaune disponible à 101 fr., tandis cjuel-'importation tient 102 à 104 acquitté bunkerque ou le Havre maïs d'Indochine, 98 à 99 fr. Les arrivages en Europe sont très importants et vont faire pression sur le disponible'; par contre, tes exportations d'Argentine vont être plus modérées.

Vins et alcools. Bien que les transactions aient été peu 'nombreuses dans le Midi, les cours restent aussi élevés et la hausse est plus probable que la baisse, car la consommation taxée reste très forte, du moins si les statistiques officielles sont exactes, ce que conteste les milieux viticoles. La campagne en faveur de la suppression des droits de douane sur les vins étrangers est menée avec vigueur. Nous avons dit à plusieurs reprises ce que nous en pensons. Nous ne voyons en faveur de cette suppression qu'un avantage douteux pour des inconvénients certains. Avantage en. ce sens que le prix .du vin devrait baisser un peu,

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mais rien n'est moins, sûr, car la suppression du droit dé douane n'aura pour effet que de faire monter les prix, à l'étranger les pays où nous pourrions nous approvisionner, c'est-à-dire l'Espagne presque uniquement, ayant une récolte déficitaire. En outre, en admettant que les prix baissent un peu dans les centres viticoles, en sera-t-il de même dans le commerce qui, il ne faut pas l'oublier; détient, déjà une grande partie de la récolte achetée a un taux inférieur au prix actuel. Aussi, les commerçants n'envisagent pas tous la question sous le même angle suivant l'importance de leurs réserves. En revanche, les inconvénients sont multiples. D'abord, on prive le trésor, peut-être sans utilité, d'une ressource qu'il faudra trouver ailleurs. Ensuite, on crée un précédent dangereux au moment où va se discuter le tarif douanier. Répétons-le, ce n'est pas la disette accidentelle de vin $(jï risque de compi'omettre la riches^, d'une partie de la France, mais l'abondance des années pléthoriques.^ Puisqu'il y a mauvaise récolte, résignons-nous à paver le vin plus cher. C'est justice. Nous ne saurions trop nous élevr contré cette politique de dupe qu'on tend à mettre en pratique vis à vis de, l'agriculture établir un droit protecteur qu'on supprime quand il est plus nécessaire que jamais. Qu'il s'agisse de blé, de vin ou de toute autre denrée, on' est conduit constamment à dénoncer, les mêmes errements. Qu'importe que les agriculteurs bataillent pour relever les droits sur les produits agricoles dans le projet de tarif, douanier, si on laisse au gouvernement la faculté de

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110 francs (60 â 160); ceux du .Midi,

à 375 francs JftAi? jf èyipte .350 le 1"

mars, sont à ïOOafld }k W>) 4 sur les qualités de consommation courante" la bàiské est èWcore plus 'sensible; ceux 'de Barfleur et de Cherbourg sont à 1 Oi) francs' (50 à 150). La baisse a "été du même ordre de grandeur sur les salades en particulier, dont les qualités ordinaires passèrent de 100-120 francs le 100, à GQ-75 francs. Ainsi la réduction du droit de douane n'a pas provoqué de hausse, elle a permis seulement l'exportation de l'excédent de la -prpduction. On voit, en outre, que tpus les maraîchers de France sont, intéressés au maintien de la liberté des exporta-

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Nous vous .avisons' qu'une 'Assemblée générale extraordinaire de la Société aura. lieu le 29 mars 1927 à 12 h. 45 de l'aprèsmidi, au 76,'Finsbury"Pavcnierit,Lbr|"dres E/C: 2, au cours de laquelle la réstj-r' lution suivante sera proposée comme résolution extraordinaire* ̃ ;v Résolution- <

Que les statuts et articles de ,Ia Société soient modifiés de la manière suivante, soit '̃'̃ "'••̃'• _•

Article 92. (a) En insérant après mots « Chacun; des Directeurs »̃ à la pre- mière ligne'de cet article lai phrase sui-, vante

« jusqu'au 31 décembre 1926 »., (b) En insérant à fin mêrrje article la phrase suivante = w « A partir du 1er janvier 1927,

chacun des Directeurs a,ura droit If une rémunération pour Services spéciaux, somme ,qui lui sera payée -sur les fonds de la Société' et ..qui sera déterminée par la Société dans s ses Assemblées générales. »! Si cette résolution est acceptée à, la ma-. jorité statutaire, elle sera;, présentée à nouveau, dans la forme ci-dessus ou rectifiée, à une nouvelle Assemblée générale, extraordinaire de la Société, qui sera réunie,, sans- autre avis, au n°-76 Fihsbury, Pavement E. C. 2, le mercredi 20 avril 1927, à 12 .h. 4| de l'après-midi. i ¡,

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(Société Générale Naphtifère Russ^); Ltd Nous vous avisons ;quë l'Assemblée générale ordinaire annuelle de la Société aura lieu aux Bureaux de la Société, FJrjis'bury Chambers, 76 Finsbùrjr Pâvernent, Londres E. C."2, le mardi "29 mars 1^7,

à 12 h. 3Q. -1" :Si.

Ordre du jour ) Ekarnen et< approbation de la Balance des.çoniptés au 31 décembre 1926:et Rapport-des Directeurs et du Conseil d'administration.

Election par roulement des, -Dijrecjbeursi dont le mandat arrive à expiration.. Election des Administrateurs et exa-r men des affaires courantes de. la Société, Par ordre, ;>,

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