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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1927-03-24

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 24 mars 1927

Description : 1927/03/24 (Numéro 83).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2950846

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CHRONIQUE DU "FIGARO» ,te ffl#fnité£ spMMM < Monsieur, c'est une dame qui t Tient de la part de M. Et l'on me cite le nom d'un auteur dramatique de mes

r amis.

Mais je ne reçois pas.

Ella, insiste pour être reçue.

Enfin, faites entrer.

Soyons sincère la courtoisie et l'amitié ne sont pas les seules causes de ma rapide capitulation. Il s'y mêle un élément de curiosité. Une dame qui vient de la part d'un auteur dramatique '.doit être vraisemblablement une actrice en renom. Peutrêtre une étoile de cin'éma qui vient m'apporter la fortune. Sait-on jamais ?

Or je vois entrer une petite dame en noir, menue et simplement vêtue, pareille à une ombre qui se glisse. Mais •elle a l'habitude de vaincre sa timidité ̃ naturelle. Elle a peut-être l'habitude de demander. Elle garde dans son attitude un peu effarouchée mais résolue de quêteuse, un air de dame. Et ses yeux, clairs et illuminés, ont une éton^nante douceur.

Voilà, me dit-elle après m'avoir .confirmé l'étrange envoi de mon confrère, de mon ami, j'ai quatorze en"fants..̃••'̃:• ̃ Encore un futur prix Cognacq Nous en souffrons beaucoup à l'Académie. Certes, notre zèle est grand pour honorer les familles nombreuses, mais les familles nombreuses sont innombrables, contrairement à un préjugé bien établi. Notre dépopulation nous vient uniquement du trop grand nombre de ménages sans enfants, ou avec un enfant unique. Je promets mon appui v quatorze enfants, c'est un chiffre respectable, tout de même rarement atteint. Comme je m'informe de l'âge de l'aîné^ la situation se complique Je n'ai que des filles. L'aînée a, quatre ans,et demi. Les autres s'échelonnent entre trois ans et quelques mois. Il y en a plusieurs de quelques mois. Et l'on doit m'en apporter deux autres ces jours-ci. Seize, c'est beaucoup. Je n'ai pas de ressources. Mais je ne puis pas refuser.

Seize enfants dont l'aînée a quatre 4ns et demi seulement, et dont les dernières à venir seront apportées demain, quelle est cetïe famille bizarre? Quelle est cette maternité singulière ? Il y a donc des maternités qui ne sont pas de là chair, mais de l'es^,|>rït. Cette fois, ma curiosité s'éveille passionnément et je. pose des questions qui vont m'apprendre des choses dont on ne se doute guère à Paris. Dans quels bas-fonds vais-je descendre, comme aux pires cercles de l'Enfer, pour

remonter d'un coup au Paradis des

âmes lumineuses et des tendres charités? Je suis en présence d'une vocation une vocation maternelle, une vocation de sainteté. Il y en a donc? Heuïeusement, et, par ces justes, nous durons. Mlle Allard était une jeune fille différente de la plupart des jeunes filles qui s'attendent au mariage elle aimait, elle, surtout les enfants. Elle avait joué sérieusement à la poupée. Elle désirait de bercer des poupées vivantes. J'ai connu une jeune fille dont me rapprochaient d'étroits liens de parenté et qui est morte en Chine où, fille de la Charité, elle s'occupait des petites Chinoises. Les enfants étaient son bonheur. Un jour, comme elle avait écarté un projet de mariage, elle me demanda en toute pureté Ne peuton avoir des enfants sans se marier? Mais non, voyons. Alors, pourquoi parle-t-on de filles-mères?. Mlle Allard voulait avoir beaucoup d'enfants sans se marier elle se contenterait dès enfants des autresj elle ramasserait ceux dont les autres ne veulent pas. Et ceux dont les autres ne veulent pas, ceux qui sont jetés à la rue ou à l'Assistance publique, sont < vous en doutez-vous? au nombre de quarante mille par année, pour Paris et son immense banlieue! Sur ces quarante mille, une douzaine de mille sont recueillis par des œuvres ou par des familles qui les adoptent. Il y a de braves gens qui souffrent de n'avoir pas de petits êtres auprès d'eux pour les continuer et qui cherchent a en adopter. Mais les autres, que vont-ils devenir? Seront-ils des numéros à l'Assistance publique qui, d'ailleurs, fait de son mieux, mais qui, tout de même, ne peut pas offrir des familles à ces déshérités? Songez à ce que sera la vie de ces petits êtres qui n'avaient pas demandé à naître et qui ne connaîtront jamais ni père ni mère. Un magistrat renommé pour ses études criminalistes disait Cherchez dans la vie des grands criminels vous y trouverez toujours une enfance malheureuse. C'est alors, au cours de ces premières années où. l'on prend contact, avec la vie que s'oriente déjà notre destinée vers l'acceptation ou vers la révolte. L'enfant quî n'est pas attendu vient contrarier tant de combinaisons, se jeter en travers de l'avenir. Il y a des femmes qui n'acceptent pas d'être mères. Franchissons cet autre cercle de tristesse et d'horreur où l'on met obstacle à la vie menaçante. Après des couches clandestines, l'enfant est venu au monde. Et le premier souci, l'unique souci de la mère est de s'en débarrasser. Elle n'a ni sourire ni attendrissement. Elle est impitoyable. L'arrêt est prononcé ce sera du gibier d'Assistance publique. Mais une infirmière du Secours social, une de ces bienfaisantes visiteuses qui fréquentent les Maternités, offre le nouveau-,

né à Mlle Allard. Donnez, accepte celle-ci qui en reçoit d'autres directement, comme cette petite qui lui est amenée en taxi avec cette histoire Voilà, madame, je passais sur le pont- de Javel qui* à cette heUre-làv était désert. Cette dame que je -ne con-: nais pas avait empoigné son enfant et j'ai compris qu'elle voulait le jeter pardessus le parapet et qu'elle hésitait, "m'ayant aperçu. Je marchais sa hauteur Vous n'allez pas faire ça. Pourquoi pas? Vous ne voulez pas garder cette petite? Jamais. Alors je lui ai dit Je connais quelqu'un qui les prend. La lui remettrez-vous? Oui. J'ai pris une voiture, je savais votre adresse et nous sommes ve-

nues.

La mère était une jeune fille de dixsept ans, une bûcheronne des Ardennes, venue à Paris pour accoucher. Elle n'entendait pas rentrer dans son pays avec cette charge. Mlle Allard essaya de l'attendrir. Mais l'autre s'en alla sans avoir embrassé ni même regardé l'enfant. Mlle Allard regarda et embrassa l'abandonnée elle devenait mère pour la dixième ou quinzième fois, à la place des déserteuses.

Voilà comment naissent les plus belles œuvres, sans dessein prémédité, rien que par un élan de charité, par cette audace dans le bien qui ne veut pas voir les obstacles. MUe Allard n'avait .pas beaucoup de fortune.' Elle ,n'.av.|û$ que deux bras.. H \i fallait trouver un local, des aides, des ressources. Elle osa. Elle acheta, à Ivry, une petite maison qui, d'ailleurs, n'est pas encore toute payée il reste une hypothèque de 25,000 francs. Cette maison, il fallut la surélever d'un étage, pour y installer une salle de bains et une petite infirmerie. L'aide, elle n'en a qu'une, une jeune fille aussi dévouée qu'elle, et comme elle bien pâle. Sans doute, il y a deux femmes de ménage pour la cuisine et le lavage. Sans doute, il y a les allées et venues de quelques dames et jeunes filles du monde qui viennent pomponner les petits. Mais, pour l'essentiel, elles ne sont que deux. Elles ne sont que deux, la nuit, pour veiller sur tous ces berceaux. Quand dormentelles? Elles mourront à la peine, si l'on ne vient à leur secours. Quant aux ressources, elles consistent dans les cotisations des membres de l'association, une dizaine de mille francs par an, plus une vente de charité qui produit une quinzaine de mille francs. Au total 25,000 francs, quand les dépenses atteignent 60,000 françâ. Le reste vient au jour le jour, providentiellement, quand on croit que tout est perdu.

Mais non, Mlle Allard. ne cr% jamais que toûf est perdu. Elle à <38nfidncë. De son petit pas menu, elle trotte dans Paris quand elle n'a plus rien dans son porte-monnaie": Ce qui l'agite dans ses courses, c'est de laisser toute seule sa compagne avec tant d'enfants. Et quand elle rentre au logis, on lui fait fête. Toutes ces petites qui savent parler le chœur des plus grandes l'appellent maman.

Cependant, elle est aussi une organisatrice. Son œuvre est déclarée conformément à la loi, sous ce nom Association de Notre-Dame-de-Béthanie, 10, rue Pasteur, à Ivry. Elle-même est tutrice légale de ses enfants. Le juge Rollet, qui s'occupe des tribunaux d'enfants avec tant de dévouement et d'intelligence, l'encourage. Elle, a composé un petit règlement «'Les associées sont leurs mères, écrit-elle après avoir expliqué le recrutement des enfants, dans toute l'intimité que comporte ce mot, sont avec elles jour et nuit, suivent peu à peu leur développement intellectuel et moral. » Elles les élèvent, leur apprennent un métier, les conduisent jusqu'au mariage, s'occuperont même, plus tard, de leur foyer. Les petites abandonnées ont trouvé un foyer. Ëï MHe Âîlàrd à de grandes îambP tions. Elle voudrait en recueillir davantage,1 acheter' un terrain avec un jardin elle bâtirait des pavillons selon les différents âges. Il faut l'aider. Il faut absolument la secourir. Je suis allé voir la petite maison d'Ivry. En plein centre communiste, cette cage d'enfants est aimée et respectée de tous. Et ces petits, dans la cour où ils s'ébattent avec les poules, ouvrent sur vous ces yeux clairs, confiants, joyeux, des enfants heureux. Comparez-les à ceux qui ne connaîtront jamais les joies de la famille.

Ah mon cher ami, vous m'avez envoyé une sainte. Mais il faut maintenant que le Figaro lui prête assistance. C'est pourquoi je répète ici l'adresse de Mlle Allard 10, rue Pasteur, à Ivry (Seine).

Henry Bordeaux.

de l'Académie française.

LES ABONNES DU FIGARO«̃ -• TROUVERONT. CE MATIN, LE. FIGA10 ÂWISIIPIE ENCARTÉ DANS LEUR JOURNAL

I,es 4 rlu~laéro pourront se de

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LE FIGARO

Fondé le 14 Janvier i826-

Anciens Directeurs H. DE VILLEMESSANT, F. MAGNAR G. CALMETTE, A. CAPUS. ADMINISTRATION RÉDACTION PUBLICITÉ ANNONCES -14, ROND-POINT DES CHAMPS-ELYSÉES. PARIS Tàéphone Elysées 12-58, 12-61, 02-65

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La leçon de Changhaï

Les communistes célèbrent avec, fracas l'entrée des troupes rouges à Changhaï. '.La victoire de

l'armée du Sud est leur victoire. Moscou 1^ salue et les bolchevistes du monde entieij sont invités à fraterniser avec' la révolution; chinoise, présentée comme une étape, décisive de la révolution universelle. L'Europe assiste, troublée, à ces manifestations qu'elle n'a su ni prévoir, ni empêcher elle borne ses prétentions à protéger la vie et les biens des nationaux qui sont proches du foyer de guerre et d'insurrection. ̃

II y a plusieurs années que Moscou travaille à la révolte de la Chine. L'Europe était occupée à ses querelles d'après guerre, à ses combinaisons économiques, à ses jeux d'équilibre et de prestige, à ses rivalités qu'elle croyait prévoyantes. Elle était pressée de relever l'Allemagne. Elle poussait en même temps l'insouciance "jusqu'à négocier avec les Soviets et à leur donner le crédit moral qu'ils devaient tirer de leur reconnaissance officielle. Divisée, ellé'oubliait qu'elle tenait une très petite place sur la carte du monde, et que la prééminence de la race blanche, assurée par la. stipériprité de la culture et des moyens de la civilisation TOatériétte,-etait ineriacée par le bouleversé- ment qui a suivi le conflit universel de 1914. Les Soviets, eux, ont mis le temps à profit. Après avoir essayé d'atteindre successivement l'Angleterre, l'Italie et la France, ils ont senti que les nations occidentales avaient de nombreux éléments de stabilité sociale et qu'elles résistaient encore à l'entreprise moscovite. Ils ont cherché ailleurs une champ d'expérience. Ils ont exploité, en Orient et en Extrême-Orient, toute une population immense, facile à fanatiser parce qu'elle est crédule et qu'elle a la haine de l'étranger. L'histoire éclaircira peut-être un jour bien des points obscurs de cette aventure sanglante et incohérente elle nous fixera sur les relations difficilement compréhensibles des généraux du Nord et du Sud, et sur le vaste pillage dont la riche cité de Changhaï vient d'être la victime. Un fait demeure c'est que les succès de l'ar- mée rouge sont interprétés aujourd'hui par les Soviets et seront présentés demain par eux, au monde entier, comme un succès considérable du bolchevisme, Si l'Europe ne veut pas laisser grandir Je péril, si elle a ) enfin senti la menace universelle que fait; peser sur elle l'action àc Moscou, le .mo^i ment est1 vem^pour elle" de préndrç'îâ me- suie exacte des événements, de comprendre l'appel tardif mais net de l'Angleterre, et de constituer ce que le Figaro a nommé, d'un mot que l'expérience chaque jour justifie, un front unique contre le communisme.

+*̃*̃*̃-

LA POLITIQUE 1-

Le Sénat gardien de nos institutions..

On se demandait hier, à la Chambre, si 1 les députés-sénateurs, renonçant à leurbicéphalisme, n'allaient pas comprendre la mise en demeure de la veille et, y déférant, démissionner.- Tout le monde, en effet, est d'accord ils le savent maintenant sur l'inconvenance politique de leur cumul. M. Mallarmé, qui a fait voter la question préalable, partage, sur le fond, il l'a dit, l'opinion de MM. Barthélemy et Bonnefous. Et M. Blum, dans la proposition de loi qu'il a déposée, en fixant à un mois le délai d'option entre les deux man^ dats, indique assez qu'ai ses yeux la démission des -élus. du 9 janvier devrait être un fait acquis depuis février dernier. Ce blâme général laisse insensibles nos doubles parlementaires. Mais au Sénat on commence à s'inquiéter

« Ils faussent les scrutins ici et làbas, nous disait hier, au Luxembourg, un sénateur radical, qui a du bon sens quand même.. Ils augmentent le nombre des votants du Palais-Bourbon et diminuent d'autant le chiffre des scrutins sénatoriaux. Comme ils sont tous du Bloc des gauches, et comme ceux de leurs collègues qui ont correctement donné leur démission dans la semaine de leur validation sont tous modérés, il s'ensuit que le scandale retentit sur tous les scrutins sénatoriaux, augmentant la majorité conservatrice au détriment de la gauche contre-partie de ce. qu'ils entendent faire à la Chambre. Quel que soit, d'autre part, le résultat des élections partielles, on ne peut admettre que la date en dépende de la seule volonté d'un parlementaire. » On sait à quoi ces paroles font allusion. Certains députés visés par la.propositipn Bonnefous, pour justifier leur conduite, prétendent qu'en restant à là Chambre ils montent la garde devant leurs sièges,, guettés et gagnés d'avance par le parti de Moscou. Singulier aveu du respect qu'ijs s professent pour la libre expression des volontés du suffrage universel Et corii- bien troublante cette conviction des notiJ veaux pères conscrits, que leur politique; depuis le 11 mai, a conduit leurs électeurs au bolchevisme C'est en vue, disent les arrondissementiers, de sauver le pays du communisme par le scrutin uninominal qu'ils souffrent ce cumul dont ils sont choqués. Ils travaillent, en attendant, pour les révolutionnaires en se montrant complaisants au scandale actuel. Ce scandale intéresse le Sénat Ce sont des sénateurs validés qui en sont les auteurs. A la Haute Assemblée, donc, de réprimer cet injurieux mépris des principes

du régime.

du régime. Henri Vonove-ri,

LETTRE D'AMERIQUE

Unis,

ejt fMérique eentfale

Les, Etats-Unis s'ennuient. La prospé- rité est incroyable et ne fait que croître on annonce que pour cette année le revenu total de la nation est de quatre-vingtdix milliards de dollars (2.250 milliards de francs!) Aucune crise, aucune difficulté sérieuse d'aucun genre ne menace le pays industrie prospère, peuple satisfait en somme, politique stagnante, la. prohibition même est de mieux en mieux et de plus en plus paisiblement violée. Pas de guerre en Europe, de tremblement de terre au Japon, de famine en Russie. Do quoi parlerait-on si on ne parlait de l'Amérique Centrale? On s'en donne.

rirn1

D'ordinaire, on blâme le président. En effet, sa tâche est difficile il se trouve en. face de deux problèmes celui du Mexique et celui de l'Amérique Centrale. Au Mexique un- président (Callës) et un gouvernement socialiste, à tendances communistes, ont. fait voter des lois sur la propriété des terres telles qu'elles semblent léser gravement les compagnies étrangères possédant des exploitations agricoles, industrielles ou minières. Plusieurs Compagnies pétrplifères américainés ont refusé de se plier à ces lois et risquent de voir leurs çq».çessioiTS~ confisquées. Or, M. Mellon, ministre des finances, possède, dit-on, de gros intérêts dans ces compagnies, ainsi que certains bâilleurs de fonds influents du parti républicain. En conséquence, tout un groupe de capitalistes puissants voudrait voir le gouvernement intervenir au Mexique. M. Coolidge, qui est un défenseur convaincu de la propriété privée, ne peut se désintéresser du problème. D'autres raisons, personnelles, l'y poussent. Le président Calles est en conflit aigu avec l'Eglise catholique. Il la traite brutalement. Les catholiques américains sont frémissants d'indignation, et M. Coolidge, qui.craint pour les prochaines élections une candidature catholique et démocrate, et qui connaît la force extraordinaire des comités électoraux irlandais (catholiques) ne peut manquer d'en être impressionné. Mais en face de lui se dresse le Ku Klux Klan, organisation très puissante aussi et délibérément anticatholique. La masse du pays, soucieuse avant tout de prospérité, discute, mais ne veut pas de guerre. Le président^ le sent. Il a dû être frappé récemment par le vote unanime du Sénat le priant d'accepter un arbitrage entre les Etats-Unis et le Mexique et d'éviter un conflit violent. Certes, les Etats du Sud, (le Texas surtout) seraient heureux de voir donner une bonne leçon aux Mexicains, mais ces Etats sont démocrates, et •lé 'gouvernement; ïépublicaïni, •nSfc'xtuean* motif de se préoccuper de leurs désirs, du reste assez, peu précis. (U,ne faut jamais oublier en pareille matière que les EtatsUnis n'ont point de politique étrangère, mais seulement une politique intérieure, qui, de temps en temps, déborde au de-hors). >

̃̃̃̃ -W

Toutes les traditions nationales poussent les Etats-Unis à empiéter et à faire pression sur le Mexique, mais la politique intérieure rend impossible une intervention directe. C'est pourquoi l'affaire du Nicaragua est si importante. Cette petite République s'offre une révolution, comme elle le fait à intervalles réguliers. (En Amérique Centrale les révolutions seules, diton, assurent le bon fonctionnement du régime parlementaire;' dans les élections, ce sont les élus qui choisissent les électeurs et les font marcher, mais dans les révolutions, ce sont les électeurs qui choisissent les' élus et les font marcher.), Le conservateur Diaz, qui tient le pouvoir, est donc menacé d'une révolution par le libéral Sacaza, qui en a envie. Diaz s'appuie sur les Etats-Unis qui ont reconnu son régime, Sacaza sur le Mexique. Ils se livrent 't de grandes batailles où Diaz est toujours battu. Ainsi, rapidement, Sacaza serait devenu 'le maître de la situation et le chef légitime de la République de Nicaragua, si les Etats-Unis n'y' avaient mis le holà, arrêtant les. armes, qui lui étaient destinées, envoyant dés navires de guerre, des marins et des troupes d'infanterie de marine pour « protéger les étrangers et « assurer la liberté des communications » et aussi pour sauvegarder lès droits acquis des Etats-Unis qui, naguère, ont acheté, à un prix modéré du reste, le droit de construire un grand canal reliant le Pacifique à l'Atlantique à travers le Nicaragua. Grâce à ce traité, et à l'appel que leur a adressé le président légitime Diaz, les Etats-Unis ont une « situation morale » assez bonne pour intervenir dans ce petit pays. De plus, comme il suffit d'y envoyer quelques milliers de soldats (5.000 au total, dit-on) et que cela ne coûte pas cher, l'opération est avantageuse. Il semble qu'elle doive se liquider par un nouveau traité grâce auquel les Etats-Unis accorderont au Nicaragua.une sérieuse protection contre tous les troubles venus du dehors et du dedans ^contrôle financier, contrôle des chemins de fer, contrôle militaire). Ainsi le Mexique se trouvera pris à revers et encerclé, et l'on évitera le reproche d'impérialisme.

r*i

Ce mot hante l'esprit des Américains, et même pour leurs propres actes et leurs propres intérêts les trouble profondément. Les Etats-Unis ne veulent pas suivre eïî Amérique Centrale une politique impérialiste. Pourtant, ils méprisent ptofondément et unanimement les, Mexicains et le destin les pousse à déborder sur eux. Ils ont d'énormes intérêts dans tout le Mexique et surtout dans les provinces du Nord de ce pays. Il faut s'attendre à une évolution' lente et irrésistible de leur politique que les événements, la logique des choses et la logique (irréfléchie, inconsciente) des hommes dirigera encerclement graduel du Mexique par les Etats-Unis pour sauvegarder les Républiques sud-américaines et empêcher les infiltrations bolcheviques, venues du Mexique, lentes et formidables accumulations de difficultés non résolues ou mal résolues entre le Mexique et les Etats-Unis et que ceux-ci étudieront avec une bonne volonté, inlassable apparemment, et une mauvaise humeur croissante, jusqu'au jour où une

explosion quelconque de leur politique ̃intérieure les,amènera à agir directement. -L'explosion peut venir plus vite si les troubles -intérieurs du Mexique s'accen-,tuent, si un parti fait appel aux EtatssUais ou surtout si les provinces du.Nord (le pétrole suinte partout) font geste de vouy loir se séparer du Mexique. Tout cela ne viendra que lentement et d'une façon ex'traordinairement confuse. C'est seulement après s'être complètement embrouillés que les Américains oublieront leurs scrupules et suivront leur destin inflexible. Celui-ci est net. On ne peut s'y méprendre. Bernard Fay.

La Température

Probabilités pour aujourd'hui r

Ciel très nuageux, avec quelques pluies. Vents modérés, température stationnaire. La science et les tricheurs.

Sur un hippodrome australien, les concurrents rentraient, après la course, quand on surprit le jockey de l'un d'eux passer furtivement à un lad un petit objet que les commissaires confisquèrent.

C'était un très petit appareil. électrique que le jockey appliquait sur la nuque de son cheval au moment de l'effort et qui devait lui transmettre une énergie artificielle.

Le jockey a été privé de sa licence, ainsi que l'entraîneur et le propriétaire, et c'est d'autant plus cruel que le cheval n'avait pas gagné.

Pour supprimer le cumul des mandats.

Un député, logique, va proposer la loi suivante

Article premier. –A partir de la promulgation de la présente loi, les sénateurs siégeront au Palais-Bourbon, les députés voteront au Luxembourg.

Art. 2. L'indemnité parlementaire est portée à 90,000 francs.

Cette loi semble devoir être votée à une grande majorité.

Le centenaire du romantisme.

C'est pour lé célébrer sans doute qu'un café qui vient de s'ouvrir a vêtu ses garçons de vestons noirs et de gilets rouges.

Si cette tenue n'était -pas destinée à évoquer la bataille d'Hernani et le rutilant gilet qui est resté légendaire, elle sefâ|t inutilement bizarre.

i'L .rst-- "OH.

̃Isa plupart des journaux parisiens ont protesté énergiquement, ces temps derniers, contre l'abus des palissades de publicité qui déshonorent Paris, et des interpellations ont même été annoncées sur ce sujet au Conseil municipal. Est-ce un premier effet de cette utile campagne, mais on a plaisir à signaler, dans l'élégant quartier du ParcMonceau, l'ingénieuse et très artistique façon dont la Société Dunlop a su masquer, rue de ^Lisbonne, ses gigantesques travaux d'agrandissement par une toile décorative représentant tout simplement une immense forêt d'arbres à caoutchouc. C'est comme un parc oasis d'un effet décoratif surprenant, à côté du Parc Monceau, cachant d'immenses travaux devenus invisibles. w

Félicitons la Société Dunlop, qui a su montrer qu'avec un peu d'intelligence artistique on pouvait respecter l'esthétique de Paris.

Henri Vergne continue, avec un remarquable succès, la vente de ses renards argentés, qu'il garantit sur facture de provenance française. Pourquoi. en effet, aller chercher à l'étranger ce que nous trouvons en France en plus belle qualité et à meilleur compte? Il suffit d'aller rue Royale. de regarder et de comparer pour en être persuadé. En créant son nouveau rayon de vêtements pour garçonnets et jeunes gens,

la Grande D9aisoâ de Blanc, place de

la Grande Maison de Blanc, place de

l'Opéra, a, enfin réalisé le désir de toutes les mères, toujours ravies de voir leurs fils porter avec distinction des vêtements coupés avec chic.

A l'heure du thé, nos plus élégantes Parisiennes prennent rendez-vous au Salon de Thé Saint-Augustin, 43, boulevard Malesherbes, où elles peuvent faire un exquis goûter et savourer les délicieux chocolats et les excellentes brioches mousseline, dont la réputation se propage chaque jour.

La Belle Jardinière met en vente, jusqu'au 26 courant, une magnifique série de modèles de haute couture établis à des prix défiant toute concurrence. On trouve dans ses rayons un choix de ravissantes robes depuis 135 francs et d'admirables manteaux de demi-saison depuis 245 francs.

Belle Jardinière, 2, rue du Pont-Neuf. Succursales Paris, 1, place Clichy., Province Lyon, Marseille, Bordeaux, Nantes, Angers, Nanijj»;.

Le Masque de Fer. j

TABLEAU DES CHANGES A*PARIS;'

à 18 heures

Le Dollar vaut 25,53 La Livre vaut. 124,02 La Lire vaut M 1,17

Parité New-York,. 3,S>tyB

VOIR LE COURRIER DE LA BOURSE ET LA COTE DES VALEURS A PARIS, LONDRES El NEW-YORK PAGE 4

HXJ «JOUM LE JOUR

I-.3ES R.:E¡]:r:rES

Jamais une mi-carême ne vit une telle élec* tion de Reines. La République a voulu, démo- cratiser Ce titre de l'ancien régime à tel poin,t qu'il n'y aura plus dans les cavalcades que des Reines. Le monde, désormais, ne sera plus qu'une ruche où les abeilles seront des beautés; souveraines et éphémères.. II n'est pas une province, pas un arrondissement, pas un métier qui n'éprouve le besoin d'élire une reine cela est devenu aussi indispensable que d'esquisser un charleston, ,d'avoir une auto ou de jouer à la belote, On ne discute pas avec ces nécessités, impératives sans lesquelles une époque ne serait pas ce qu'elle est. Mais on peut discuter sur le choix banal des jurys chargés de ces élections. Toutes ces Reines sont belles, éternellement belles, mais voilà qui manque de pittoresque. Il faudrait que ces souveraines symboliques aient dans leur physionomie, dans leurs attitudes, un trait caractéristique ou un geste fa.milier qui les distinguent nettement de'leurs concurrentes en royauté.

La Reine de l'électricité devrait être agitée, brusque, énervante comme un éclair celle du métro pourrait être voûtée celle des Halles, comme Mme Angot, ne serait pas bégueule; celle du printemps aurait la fraîcheur d'une rose, celle des. poupées aurait de grands yeux insignifiants, et celle des 'sports des .biceps puissants. Puisque tant de Reines doivent symboliser toutes les corporations, toutes les régions, toutes les saisons, enfin tout ce qui porte- un nom dans le dictionnaire de l'alimentation, de l'industrie ou des arts, il faudrait que celles-ci représentent, au moins, le côté amusant ou curieux du royaume qu'elles gouvernent peut un jour. Les cavalcades y perdraient peut-être eii beauté, elles y gagneraient beaucoup eh.pittôV

resque. ..{:'̃

resque. D. tciifef.

Le docteur, Bougras devant les jurés Âix-EN-P(ROVENCE, 23 mars (De" notre envoyé spécial). Le docteur Bougras est bien l'homme le plus curieux qu'on ait vu en .Cour d'assises. Lorsqu'il gravit les marches qui conduisent à la place qu'il occupe derrière un balcon de fer, sa face ronde, au teint jaunâtre, à l'aspect chinpis, s'éclaire d'un sourire qui découvre des dents aiguës. Puis il écoute, impassible, les dépositions des témoins. Mais lorsqu'on se met à parler de médecine» d'injections infra-veineuses,' d'àrseaosbenfzol ou de cyanure, ses yeux lancent d'étranges lueurs, il approuve ou critique d!ua signe de tête. ̃•'• ̃̃:> La veille, avec un art parfait, il-avait cherché à voiler tout ce qu'il y a d'horri» ble dans sa conduite. D'après sa version, un cadavre dans un placard cela finissait par sembler tout simple, presque normal, chez un médecin. Aujourd'hui, avec les lémoins, nous avons vécu dans l'horreur. Nous sommes comme entrés dans la maison en écoutant les domestiques. Ce fut le drame vécu, en quelque sorte, par l'intérieur et entrevu. par la cuisine et par l'office un chapitre de -Pot-Bouille auquel semblent se mêler des odeurs de cadavre. Quoi! Cet homme gui est là, devant nous, et qui écoute sans un geste ces récits d'horreurs, a pu vivre chez lui avec ses domestiques, sa maîtresse, aux côtés d'un cadavre qui se décomposait, infectait l'appartement et les étages supérieurs.- Il a pu, là, recevoir des clients et des clientes élégants, les ausculter, les soigner •; alors que. des mouches voraces. et nçcrpphages (on nous l'a dit) tourbillonnaient déjà dans son cabinet. Il semblait, en écoutant les témoins, que des odeurs de pestilence se répandaient dans la salle. Je n'ai jamais eu, en Cour d'assises, d'jnipression plus macabre. Et l'on songe au mot de cette petite Espagnole disant à Théophile Qau> tier qui voulait aller voir. un tableau de Valdès Leal-: « N'allez pas regarder ça'. Cela vous donnerait envie de vomir. L'a cuisinière; Mme Pruvost, et le valet de chambre Bovo, nous, parlent de lèufis gages mal payés, des emprunts que leur faisait Bougras et de cette journée du 14 mars qui leur a laissé tant de souvenirs. Ni l'un ni l'autre n'ont vu Rumèbe entrer, chez le docteur, mais, dans la matinée, Bougras envoya Bovb acheter du cyanure, puis, après déjeuner, il dit à ses domestiques « Sous aucun prétexte, n'entrez dans mon bureau. ». II sortit un quart d'heure et rentra. Curieux, le valet de chambre crut qu'une femme était dans le cabinet du docteur il regarda par le trou de la serrure, vit un pied sur le ca- napé et dit à la cuisinière' « Non! ce n'est pas une femme, c'est un homme! » Le temps passa. Bougras, en avryil, annonça un voyage en Italie avec sa maîtresse et il ne partit point. Mais une odeur effroyable envahissait l'immeuble; les 16» cataires se plaignaient « Ce doit être, disait Bougras, un rat crevé dans l'égoût ou dans une plinthe. »

Comme il devait trembler, Bougras, en sentant monter l'odeur sinistre! Pas d'argent pour fuir en Italie le bijoutier Arietti s'était méfié et n'avait pu être dépouillé. .• Bougras continuait à vivre cependant là, côte à côte avec le cadavre et sa ma}-»* tresse.•̃

Une curieuse" 'petite femme, cette maîtresse, Mlle Andréa Audibert! Elle est vente; bravement* le défendre, mais1 avec* des nervosités, des sécheresses de petite fem- me fort peu commode et qui a une haute idée d'elle-même. Elle s'avance vers "la barre d'un pas ferme; elle est tout en noir avec un col de petit gris, un collier de' grosses perles fausses autour du cou. Elle a vingt-six ans mais paraît davantage; les traits sont durs; peu jolie, sèche, insignifiante, mais des yeux gris implacables. Oh! comme elle saura tenir tête au président, le doigt tendu en avant, frappant du pied, lui disant « Permettez. écoutez-moi. Comme elle remisera vertement l'avocat général qui confondra la fourrure de vison et l'astrakan en lui disant avec mépris « Mais voyons, c'est bien plus cher, le vison. » Elle a, sur la vie actuelle, des aperçus bien modernes et bien féminins. Bougras lui donnait


3.0.00 francs par mois. « C'est beaucoup, lui dit M. Bringuier. Avec un délicieux petit haussement d'épaules, Mlle Andréa,, d'une voix musicale, exquise, lui répond ,'« Oh! écoutez 3.000 francs, à l'heure actuelle! V Et un gentil petit sourire éclaire lés -lèvres minces.

7- Tout le monde, cependant, n'a pas ça, répond un' peu tristement le magis- trat.

Elle devint, en 1924, la maîtresse 'de 1l Bougïas, *le 19 août exactement, précise Mlle Andréa, qui a le souvenir fidèle. Mais, en janvier 25, elle le quitta.

Pourquoi? demande le prési-

dent.

fe Ohi pour des futilités '.• premièrement le ménage n'allait pas très bien, seV condemént Bougras dépensait trop, troisièmement on disait que c'était à cause de moi,

Quelle petite femme précise dans ses cnbmérations, et énergique aussi. A l'argent que lui. donnait Bougras 4l, fawt ajouter des* cadeaux. .••; u

.-irHi.OMl .:une .nïontro, >en platine à ma?

fête»4in brillant à NoéJ, un saphir au jouri de J'ani, un nigrite'au/; -une étole. ̃ ̃ Et Upie petite moue de dédain se devine' sur les lèvres de Mlle Andréa qui trouve! que, sans doute, elle méritait mieux. Cependant, M. l'avocat général Siame fait *«marquer que la montre coûta 2.500 francs, le brillant 800, le saphir 6,000, le Eaanteaur d'astrakan 4,000 -et le vison 6.000. Quand elle eut quitté Bougras, celui-ci déposa contre elle une plainte en vol parce qu'elle avait emporté des serviettes valant trente-cinq francs. C'était fort mal de sa part, mais elle r e veut pas s'en souvenir et elle n'abandonne pas Bougras parce que, dit-elle, «il a été bien gentil ». Fin Mars, alors que le malheureux» Buinèbe était dans son placard, elle se réconcilia avec son amant. Bougras lui offrit pour 900 fr, « deux toilettes la parisienne » et elle revint rue Senac. Bougras semblait avoir plus d'argent que d'hâbijtudé, !« J'ai, disait-il, hérité de nia mère. » JJt'la' vie amoureuse reprit avec le cadavre qui pourrissait là-haut. Ce n'était pas précisément, nous dit' M. Bringuier, dans une armoire, mais dans une soupente, au-dessus du placard, si bien qu'on pouvait ouvrir celui-ci sans apercevoir le corps. Bougras, d'ailleurs, avait collé des

bandes de papier au début de mai; l'o-

deur se répandait dans la maison. '& Vous avez ouvert le plaçardi, vous

i'avte nettoyé? :'mV" "J?n <

$&&ffî àrce m? 'lèB°$liri^ti^èr¥^ 1)

lifââ$& -z •̃ '•'•̃' jIî?vr;î- Mj,

Et qu'avez-vous vu 2

i^ Rien, .(̃••>'̃ ̃ '̃'̃'

>™ jSi! vous l'avez dit à l'instruction. ^ÂWoMi! des mouches mortes, du foro\ol, un ventilateur, une lampe électrique allumée.

Pourquoi n'avodr pas prévenu la poJice^ bar vous saviez qu'on cherchait l'enCaisseur Rumèbe ?

Et, frappant- du pied, la petite femme brune répond 1..

**i<ïe .n'ai pas l'esprit méchant, je ne Suis pas vicieuse, moi. .1

^Allons! disparaissez, et vite, lui crie txn "tfèu brutalement l'avocat général. Et liîlle Andréa s'en va, lance un sourire aimable au banc de la presse, un autre' sSurïre au public et disparaît, l'air heureux, comme si elle avait remporté' une victoire.

Bougras l'a regardée sans émotion et ne lui à' rien dit. II l'a aimée pourtant et ne devait'il pas, en avril, partir avec elle pour l'Italie, laissant le mort dans sa sou-

pente,t,

ÎVous' ne deviez pas ,être très tranquille,! avec ce que vous laissiez dansrïo placard, lui demande le président. «,N,on! Je n'étais p^s- tranquille.. Et rien, ne peut rendre, le calme qette Réponse. ,r ̃ ̃ Geihommc a *raiment des fertreités.Slhistreîsi'ÏJorsqu'après la disparition! do; Wi'

mèbes <M. Garet,' un ami- do l'eucaisseurf

alla le voiravèc MmeRuiHèbe, il lui dit Je vous offre mon concours avec les médecins légistes si votre mari a é|é assassiné. Js tiens à participer -a l'autop-

¡¡ie.; ~}, 1

SeL*ll a dit cela, je le jure, s'écrie M.

.Geret.1"

^m-On m'a mal compris, réplique Bougras..4'ai dit si ou. retrouve le .corps, je meiscliWrge de toutes les formftlitésv Pour quelle maladie Bougras soignait-il son ami Rumèbe? Celui-ci avaiti du paludisme, nous dit M. Garet, directeur d'une clinique où allait Rumèbe. jadis, se faire soigner. La, on ne lui faisait que des injections intra-musculaires, car trois réactions de >Vassermann étaient restées négatives. Un jour, Rumèbe quitta la cliniqfle poup se faire faire, chez Bougras, des injections intraveineuses. Quand Rumèbç disparut, Garet alla chez Bougras et1 lui1 dit « N'aurait-il pas eu, dans la XWÏ-vM- étourdissement dû à une piqûre? » Non, non, répondit Bougras, il les Supporte très bien.

Et ce jour-là, le formol était dé]a mis à c^tédW; cadavre pour essayer d'arrêter

l'odeur".

Ah! c'est un beau procès pour les amateurs de choses macabres. Il y a pourtant des moments de détente ce sont les suspensiQris d'audience r,oçt yoU^es ,sok data coloniaux, noirs soudanais, ou; ie.tt.nes annamites, maintenir la; fotric, et des av«K. cats se promener en costumes pittores* ques. Les uns n'ont pas de rabat, les autres portent une robe tout ouverte, et déboutonnée, négligemment jetée sur les épaules, découvrant' des gilets multicolores avec un large rabat flottant, pour ressembler sans doute à la statue qui orne la salle des pas-perdus celle de Mirabeau; la gloire d'Aix, offrant sa poitrine aux Wïofinettes de M. de Dreux Brézé. D*àutrés' portent sur leurs rabats, une verdovante cravate de commandeur du Nicham Iftikar, de l'effet.le plus joyeux. On est" loin de Paris;- le ciel est bleu; il -fait soleil, Ah! pn est bien dans le' Midi 1 Georges Claretie.

IA CHARITE

Po«r les sœurs Michaud

Nous avons encore reçu les sommes suivantes.pour les deux malheureuses aveugles que nos lecteurs aident à vivre depuis plus de trente ans ~l

Mme J.-L. ••• IPO fr,

M. Edmond d'HerbèVille 100

:i Marquis de Trabadëlo 50 Total 250

.-Liste précédente- 3.ddO

^jotal 'génial;. ̃••̃ '3-5^ '̃̃ r

( Le départ de la délégation polonaise

̃

Mi Kinioski," président de la délégation «les parlementaires polonais en France, au moment de quitter notre pays, a adressé à MiFernand Bouisson, président de la Chambre un télégramme de remerciements po'dfla réception dont la délégation a été

Folbjefc .̃,̃

M.,Fernahd Bouisson a repondu par le télégramme suivant '̃' « Je me félicite hautement d'avoir pu accueillir à la Chambre des députés les délégués parlementaires de la Pologne amie. Des liens étroits noueront désormais les '«parlementaires de nos deux pays. Je forme pour vous et vos collègues les voeux les plus cordiaux. ».

POLITIQUE ECONOMIQUE

î ̃* *••

Quelques voix contre la France Dans l'abondante littérature ihinistérielle ou privée; que fait épanouir depuis quelques jours la politique économique française telle que la dessine le projet de nouvelle loi douanière et telle qu on la deviné à travers lés éternelles négociations franco-allemandes, il faut faire une place de choix à là presse étrangère.

Le Giornale d'Italia n'est pas content de nous' et affirme que nous allons désormais vivre égoïstement repliés sur nous-mêmes la Libre Belgique nous avertit que nous représentons un cas exceptionnel de persévérancedans' l'erreur et regrette que les « sphères dirigeantes de la France ne songent'pas à quitter le Sillon protectionnis-te », ce qui donné une assez curieuse ima^ ge reconnaissons qu'en Belgique, cé- peridarity le- Uànitéuf déé Intérêt» Maté- riéWékt' plus' *é(ïiïitabie pour nous. Le Manchester Guardian '.nous «accuse 'd'ajou- ter à îaiotre miur-'urté nouvelle rangée de briques, et* 'de pousser ainsi à la -course aux armements douaniers. La Gazette. d-e Cologne sa prétend surprise, oui, par notre nouveau tar-if, lequel, contrairement au ta.rif allemand, si modéré vraiment, n'offrirait, d'après elle, aucune possibilité d'exportations réciproques de branches d'industrie, correspondantes, et limiterait le trafic -h- des domaines partiels et complémentaires. Enfin, le .rédacteur en chef de la Gazette de Voss portant l'offensive sur le territoire 4e l'adversaire a .poussé un cri d'alarme. contre les dangers de la politique- douanière, étant bien entendu que ces dangers ne proviennent que de notre nationalisme économique.

D'après Georg Bernhard, MM. Stresemann, et Curtius auraient fait entendre raison aux puissants intérêts agrariens re-,présentés par le. parti populiste nationalallemand et à. la viticulture germanique défendue par l.!aile droite du Centre dans le combat .s'affrontaient l'agriculture protectionniste et l'industrie désireuse d'expapsion, le ministère du ravitaillement aurait été .primé par celui de l'économie politiqijie, et les instructions remises aux négociateurs, qui regagnaient Paris sous la conduite du docteur Posse, seraient donc des plus libérales.

Et c'est ce moment que la France a c,h£isi> JWU& JÇ^Uf^Ja ..table un tarifuà

f eux :c^(onnIefc,do,nt 4ç8,.di'Oits les plus ré^

duiisj, .çoknys d'^ançe, ,inàrquent la limite"

q6Xb~'l~mp¡-n,C!1 \l(jf\l ~1q¡¡I,IWUJ,Qbntl', çtr~,

ôbtbmiç^IiarTAlleiaa© 1 Un Rouble ta-'

l'if, affirme Georg Bernhard, mais c'est n'instrunient le moins approprié qu'on, puisse imaginer pour faire aboutir une négociation

Il a raison, cent fois raison, mais pas du tout comme, il le croit 1 Notre système dévoile, en effet, le degré de protection mi.nimum que nous voulons absolument con-,server, mais cet aveu loyal et candide ne, gêne' que nous et n'embarrasse que nos négociateurs dont les adversaires, par contre, garderont secret, jusqu'à la dernière extrémité, le dernier point auquel leurs instructions leur permettent de reculer. Les Français disent je taxe actuellement a cent francs telle marchandise, mais je puis réduire le 'droit à trente si vous me donnez une contre-partie convenable; mais de l'autre'côté du tapis vert, le négociateur arrêtera ses concessions dès qu'il sentira que nous allons être satisfaits Berlin a peut:être permis qu'il descende à trente aussi, au Heu de cent, mais nous n'en savons rien' d'avance, et dans la descente de l'échelle, bous renoncerons après avoir obtenu cinquante. Qui donc est favorisé dans ce marchandage, sinon celui qui traite avec nous et à qui sont permis tous les bluffs; çpjpbfter ? AloFSi:n?est-de pas, les regrets apitoyés du journaliste allemand sur notre « psychose de guerre », il faut

Içs connaître, mais^e pas s'en exagérer la

signifteatien;- ̃̃̃/ ,?:=;. Ce qui.'est plus sérieusement diÀéiMûffé,' 1 à'é $SsértidVde%^ laquelle toute notre organisation défensive profiterait à quelques groupements indus- triels, parmi lesquels il cite la construction des machines et la chimie. Il ne faudrait pas que notre gouvernement donne à l'étranger, comme au Parlement, l'impression qu'en effet sa politique économique est 'influencée par des intérêts particuliers. Nous examinerons une autre fois comment il peut sè garantir contre un reproche de ce genre dont le bien-fondé risquerait de compromettre la valeur des mesures qu'il a proposées.

Seigny Joan.

LES GRANDES VENTES PARISIENNES

̃

La collection de Madame J. a produit environ 1.700.000 francs

m.t

Hier pris fin la deuxième vente de la collection de Mme J. Cette dernière vacation, la sixième, comprenait les objets variés, les sculptures, les pendules, les bronzes et les meubles. Ceux-ci, quoique modernes, réu- nissaient ces deux qualités essentielles, mais rares, le août et la qualité, M" Henri Baudoin et MM. Mannbeim occupaient

leur.». BpMêSS çespefitifs-

On adjugea -.d'abord quelques éventails, puis on' Hiit'en "Vente k;i vase en spath-fluor* ^uï'ïut-'fi^WO ffttnës'J un rhinocéros et un éléphant en serpentine, portant chacun un obélisque en albâtre, i.1.100. fr.; deux v'dses, l'im en marbre de couleur, l'autre en spath-fluor montures eh bronze, 6.100 francs.

Parmi les sièges et les meubles un grand guéridon rond en bois de placage, dessus orné de plaques en Sèvres, fit 5.000 francs un bureau en marqueterie à fleurs, garni de bronzes, 8.000 francs une tablebureau en marqueterie à fleurs, garnie de bronzes, 11.800 francs une grande tablebureau en marqueterie à cubes, 8.350 fr.; deux vitrines murales en cuivre et glace, 12.000 francs un piano à queue d'Eràrd, 6.300 francs un piano a queue en bois de placage de Steinway, 11.900 francs, et enfin deux meubles a hauteur d'appui, en bois de placage, ornés de panneaux de laque à décor et personnages chinois, 13.100 francs.

A la salle n° 1, Me Lair-Dubreuil et M. Edouard Pape mettaient" en vente des meubles et des sièges appartenant à M. C. un bureau plat d'époque Régence, appartenant à M. X. et des objets d'art et des tapisseries appartenant à Mme E. Une table 'en bois de placage, époque Louis XVI, fut adjugée 4.400 francs «ne commode eft bois de placage avec marqueterie de filets à grecques, époq. Louis XVI, 7.000 francs. mei coumiode,.en,.bms de placage, époque fin Louis: XV, G.-7Û0 fr.' i Le bureau plat, de forme mouvementée, â pieds (jàlbéè "en bois noir oràé dp'fïleis, ceinturé, chutes, mascarons, sabots en bronze i' ciselé, épôqus Régence, atteignit 30,500 francs, Enfin les tapisseries de Mme Ë. obtinrent les prix suivants une tapisserie présentant ifn renard au pied d'un arbre l'on aperçoit des oiseaux, db-.huitrème siècle (2 m. 60 sur 1. m. 36), fut payée 10.200 francs une tapisserie présentant \de$ oi$eaux,et dans le fond un, château et un paysage montagneux, dixhuitième siècle.(2mt 65 sur 2 m: 80),16.600 francs une tapisserie présentant un -chien et des canûMs, dix-huitième siècle (2 mètres 75- sûr 3 m. 94), 20.600 francs, et une tapisserie présentant des oiseaux devant vue cascade, nn château et jardin a la Française, dix-huitième siècle (2 in. 65 sur 4 m. 60), 34.100 francs. :M:a.l!r¡ç~ Monda.

Maurice Monda.

LE GALA DU 30 MARS 51

't-

Gala C'est un gala. Et, comme la plupart des galas, il rehausse l'éclat de son> programme par une pensée de bienfaisance. Il est donné au profit de la Caisse de retraites de J'Açsociatipn des journalistes parlementaires. Ce sont là des, gens à plaindre d'un bout de l'année à l;au^ tre, ils entendent tous les discours des. députés et sénateurs; ils voient tout ce qui pâ'ss|e,vtout ce qui se prépare Jans les couloirs. MM?, ils ne se plaignent'de l'existence que lorsq^ej, « la bise étant venue », Jeurs oreilles cessent d'entendre et leurs yeux de voir. C'est pour alimenter leur pauvre caisse de. retraites, et pour seconder aussi la belle oeuvre de la Mate; 50n.de§ journalistes, que se|a donnée, mercredi prochain, au Théâtre SaraK-Bernhardt, la ma- tinée' à laquelle les meilleurs, tes plus' grands artistes de 'Paris prêteront leur -généreux concours et qu'honoreront de leur présence les*' présidents 'des: tfe^ ÇhambfesV ? !î- lkic Au prôgrarhmé Tcoté des hommes, MM. pà-' leraiit,' Silvajn, G^ipaU5Ç,;GeQ,rge.s,Berre,aiptj'; Grenier, Harry Baury Mauricet; Rozenberg, Noël,' Maurice Chevalier; côté -des^ dames,

Mlles Mary'Marquet, Wly'Las.quihe,' Madeleine,

Carlier, Marie Leconte, Regina. 'Caroier, "V. Val- lée, Joséphine Baker. Ce n'est pas tout il y a Mme ,Ida Rubinstçjn datis la: Pâma, aux Camélias (4°, acte), avec des .intermèdes de l'époque par Mlles Lucy- Vautrin, Olga .Sout?,Q, Nikitina, MM. G, Çb^pfer, E. Rkaux, Moyscehko. Ce n'est pas tout, il y a Y Impromptu de la nue de Grenelle, fantaisie de. M. Nozière, qui mettra en scène maintes- personnalités' parisiennes. Il y a un intermède 'de danses et de chansons par Mme Marg. Deval et G. Chepfer. Enfin, après l'art dramatique et lyrique, un peu d'art oratoire « Quelques mots de M/ dei Moro-Giafferri ponctués de couplets par MM.. Fursy et Maupoméj- chansonniers parlementaires », annonce le programme, un programme rare et comme 'on n'en reverra point souvent.

..G- P.

i^t>^i.

Le colonel Macia a quitté la France

JI

Le colonel Macia, .gn exécution, de l'arrété d'expulsion pris contre lui,, a quitté,. l, Paris hier à 2 heures 25. Il était aqcompa7 gné de sa femme, de ses deux fiJJé.s e| de son fij^s, i,-v! ",t t:ii--n U .yn^'Vui', ir- ̃:̃

Re. #<?mlireux,.Amifi.,étwe.ntit,Yienus:>ia<fe.l w;

gane du N^rd saluer le, cjief .(les conjuras,

Sarp du, ~1~fd "il"" 1,c"cbef.,{I,e,~ CO~~l'

catalan^. ^^pp^rs turent p/fért'es; i

Mine Maçia, et îê traïn s'ébranla parrni oe chaleureuses acclamations. .J ..ti, J^e- colonel Macia, avant son départ, .;&̃;] fait aux représentants de la presse, la d^j çJaration suivante > ,i {i « Je m'en vais avec ma famille à..Bruxelles oii je compte séjourner deux mois. Je, quitte la France avec peine, mais tout ,6.$ conservant le meilleur' S.ouvenir de! ses hâvir tes qualités dé justice. » J'ai fait, en ce qui concerne la cause, de mes frères catalans ce que je pensais être mon devoir et je n'abandonne pas la lutte. Je compte même, après mon séjour; en Belgique, partir pour l'Argentine et, ï»,

continuer ja propagande en faveur de.

continuer! er la prop0.gatide en f~veur ~e

l'idée chère à tous les Catalans. »

Le gala jPougaud Celpi qui, pendant de longues années*» fut, au théâtre du Châtelet, l'idole joyeuse.'

des, enfants, Pougaud,. le légendaire Pas-

separtout du Tour du Monde en 80 jours, 1 a paru hier, en scène, pour la dernier»» fois. Et pour cette ultime représentation le roi du rire, a pleuré. >n.; •; «. Un nombreux public son public d'au** trefois qui a grandi, qui est devenu un public de grandes et, rgisp^irtable^ personnes t- avait téîiu à répondre ai l'appel" dés organisflteïîi's,i dft;fiergal«i au :bénéfioe,.de cfitt excellent artiste car au moment.de prendre sa retraite, de songer à se retirer; au>4 près de ses petits-enfants, en Daup'liinë; Pougaud, qui- consacra^ toute sa vie à notis' divertir, s'aperçut qu'il n'avait pas eu'lç. ¡ temps de s'enrichir. ̃'̃ Dans la salle, peu ou pas d'enfants rien que des hommes et des femmes qui font, devant l'acteur'inoubliable, le pèlerinage des' jours enfuis et, avec Un peu d'amertume, le doux inventaire de leurs souvenirs d'enfance.

Tous les comédiens do Paris sont là, J!&> ont offert à leur, aîné, avec'cette magni-i tique solidarité qui règne au sein de lft! grande famine des artistes, leur concours' et leur talent. M. JeanDumont et Mlle Su*1 zanne Verney, du Châtelet, jouent La, demande en mariage) de Loïsa Puget Mlle Mary Marquet et MM. Léon Bernard, De-j nis d'Inès, Dehelly, Doriyal, Bertin, de< la Comédie-Française, récitent, chantent-' et enchantent l'auditoire. M. Qalipaux dé- chaîne les rires MM. Louis Gauthier etAndré Berley déclament j les inimitables Fratellilii exécutent quelques-uns de leurs numéros clownesques M, Robert Casa détaille quelques couplets d'autrefois et M. Geo Bury et Mlle Sim Viva interprètent deux scènes de Véronique. Tout est improvisé, partant fort répss^ Les '« Union Girls», présentées .par ,M$q Marcelle Prajnce, groupgnj:. tPHtes nosjwt lies premières, côquattesyK>faat«isistes Mi gommeuscs- ïBiscot ̃ lan ce- -son ̃ refrain poi pulaire, Cécile, accompagné par le coati positeur Chantrier, puis repris par toute la salle. M. André Baugé, dans le grand air de Figarq, du Barbier, est acclamé ;c M. Maurice Chevalier et Mlle Yvonne Vallée, M. Dranem et Mlle Suzette O'Niî interprètent deux sketches charmants les pe-r, tits artistes, du théâtre du Petit-Monde, di-; rigés par M. Pierre Humble, font à Pougaud de touchants adieux; M. Robert Dar-, thez et Mlle Dan-ielle Brégys, Mlles Thérèse Dorny, Diane, MM. Pauley, et Saint- Granier jouent avec toute leur fantaisie une scène de la revue de Marigny Le sexe faible ou la volonté de la femme; Mlle Marie Leconte, de la Comédie-Fran- çaise, MM. Paul Ville et Georges Chepfçi- se font également acclamer dans un acte délicieux et bouffon, de M. Guillot de Sajx, Leurs Majestés. Enfin, dans le tableau de la Taverne, du Tour du Monde, Pougaud, entouré de MM. Koval (Philéas Fogg), Jacques Baumer (Fix), Rairou (Arehibald Corsican), Tramel (le cabaretier), jdue en maître ce rôlecélèbre qu'il interpréta plus de deux mille fois devant des salles eh délire.,

Il est ému. Il remercie l'assistance. Les', mots lui manquent, mais son cœur parle; A Paris il a fait ses adieux, et Paris,- -re*connaissant, lui' a permis de partir, dès demain, pouf sa ville natale, lui. laissant, par. coquetterie, de toute sa bèïlfi Carfiè, re, le Jjlus: noble, le plvis Vibrant, le piÙR, tendre des souvenirs. ̃< ` R. Cardinne-Petit.

ÇÀET JUJk.

~i" ̃̃. ~v.

'v?s Mlle Yvonne de Bray veut bien faire profiter dé son talent si grand et s}, émouvant la cause des aveugles et des sourds-muets, au cours d'une réception que donne Voix et Lumière, le samedi 26 mars, à 15 h., 35, Fauhourg-Saint-Hono. ré, «ous la présidence du général Balfourier et de M- Alfred Pereîre^ organisateurs de Voix et Lumière, présidents, des deux. grandes œuvres touchant les ;aveugles et sourds-muets, ̃ ̃^ L'exposition du meilleur artisan $| France ouvrira ses portes le 25 mai, à 15 heures, au -Grand Palais, rue Jean-Gou^ ion. '̃•'̃'̃••! •" ?•• '• '̃̃'

LA SAISON i' .'t "\< ï PB "CANNES. Encore un-lrès j3rillan.t gala au Majestic, les danseurs 'Ginos et Colette. furent très applaudis par l'élégante assistance l'on notait parmi les convives k M. et Mme Pauquin, comtesse Dohna, comte et comtesse d'Arro, comtesse Bensdorff, M. H. Bujard, M. et Mme By|er-^fi<3àl,lady..Beauçhamp, Mme Q. Car-,

perit'ier,' 'etc.

On signale au même hôtel les dernières arrivées' de :'M>. José' de Castellanos, M. et Mme Çh.'Pésjantines, Mme J. Dubois, M" Gautrat, M, ^tuguet, comte et comtesse H: de Poùrtal^s, comte P. de Viel-Castel, M, Ybarnegaray,

etc.

| Ljei '.jj^ners de gala du Carlton obtienôent un suçcè,i;^o,ujo;urs renouvelé.. Danseurs mondains et ..jazsHcojibribuent très .heureHeement à. l'éclat (Jes, soirées. La somptueuse salle 'du Restaurant Put uRB.fois.de plu$;)Crà;soirB derniersy'le cadre; d'une ttès belle réunion l'on reconnaissait parmi là ïrès sélecte assemblée; qui s'y était' réunie co'mte et comtesse de L^ Rochçfbùcault, baron Goïdamer, baron de Hatpvany, vi-| comte et vicomtesse Claij^élj lady Wilspn, M. if. Ruhl, eerate et comtesse de Miropella, etc.. ̃••«. ̃̃

F*T..

Le.eolonêret >irs Edward House ont donné ces jours, -derniers un lunch extrêmement bril- lant, à> l'Hôtel des Anglais, auquel assistaient 1 M.'Judge Dickinson, ex-secrétaire d'Etat à la Guerre, M. le colonel tindsay,- ancien chef de la Légion américaihe, S, Exe. the, hon.' Brand

WhiOoçk, ancien' ambassadeur Bruxelles et

Whitlock, '̃' ancien' "ambassadeur à Bruxelles et

Mrs Brand Whitlock Mrs Albert Bigelon Puin, Jtf.. Archin Hugh ^rozier, ancien ministre Athènes et à Vienne et Mme Frozier. Le colonel, et Mrs House ont retenu un somptueux appartement à J'Hôtbl'des Anglais, qu'ils viendront occuper a.u retour, d'un court voyage.

IJ.n déjeuner a été donné, jeudi dernier, à l'Hôtel,. 4e .Provence, par M, Georges Henri Manuel. Ses invités étaient :,Mr Brand Whitlock, .ancien ambassadeur d'Amérique en Bel-:gique, et Mrs Whitlock Mrs! ''Henry Çlews,

Mf'et' Mt^'Riîbert^WPIà'Mniièf, ̃.Ms'^hit-

éoiiibV' ̃cortite;tKouèèiis^ï;!iauç'l'eti-dWhe^ç 'iK^

40mb, 'tco, ¡\1"t~ouH¡ds"C#t/!}:h!(:"et, L~\lt, he~,e 'dl, ¿;

|a- 'Force;;jte^to fflto&^WÀmt,-

M. etMme1 Pierre' ïaïitte. 8.

•' DE MENTON

A l'Hôtel 'Impérial, sUr "lès ''dernières listes (^'arrivées ..••

̃ Sir Robert et lady Hudson, M. et Mme Herring, Mr et Mrs James Davenport, M. J. Unliarowsky, Mr .Roy H. Sambourne, Mr Cunriings, Mr, et Mrs Brunley, Mr et Mrs Bagot, Mrs Augier, M. et Mme Van Dusseldorp, Mr Kirkham, Mme Olga Hogenaner, Mr Henri. Stanford Mountain, £'. Julius Petschek, Mr R. W. c;'A}lom,:é.tç. DE NIG$

1 ;•̃' de nwb

Concours hippique international militaire. On annonce que l'armée britannique sera représentée au Concours hippique international militaire de Nice par une équipe de sept offj̃ ciers concurrents, plus un officier de rempla1 cernent. Ce sont captain E. B. de Fonblanque, Royal Horse Aitillèry captain S- A, H. Botten, Royal Engineers captain W. H. •, ^Tùir, Ist King's Dragoon G?uards captain A. L. CameroriiJb. S. 0., Mi C., Royal Horse 'Artillery -wi captain Hon. A. M.- A, Baillis, 'tife/ îGuards-; > captain D, A. Stirling,

'ivih/iS th Hussards lieutenant J. B,

ferribjgrto», ,14/30 tn jHjjjBsargs. ;r, capta.jn,

yembertoû, Y4/!o tn Hussargs captam,

Jf.'H.ÛQgéonj.KI'. Ç., p'Drag^hs.. i' T i. La désignation de cette équipe constitue un ̃t événement très important, car, jusqu'ici, l'arrhée .britariniflue n'a participé, aux tournois [ sportifs du .continent que dans de très rares circonstances.

i

Itff Train Bleu, permanent entre Calais et la Côte d'Azur

Le eonseil d'administration du P.-L.-M. vient de décider que le "Train Bleu, si apprécié, des voyageurs, circulera désormais toute l'année j entre Calais et VintimilJe. Cette mesure ap-; i paraît comme particulièrement opportune au moment ou l'on élabore, à Nice un intéressant programme de ïêtes d'été.

'*<' ~<

Parmi les dernières arrivée; i

Vicomtesse de :Lçscure, Mohamed Hurchid pacha, comtesse de Malherbe, M. R. de Lapré, comte de Fugger, M.A; Bancharel d'Aoust, [. M. et Mme de, Vieillefoptaine, M. et Mme de Paladines, M. R. de Rhain, baron L. de

gçhrenk, M/D«orirSanes,

DE SAINT-RAPHABL

II semble que, au fur et à mesure que la saison avance, Saint-Raphaël connaisse un succes croissant à a Bon incomparable situation, •ta son' amblatae-' 'd'itiiîmîié "êt^^d'bon ;tprt, ainsï:qu'à ragretMnt''c[ë son'coqaet Casino. l,

C' C 10\1, ü~ ~~)\1)I\'t'" ,u¡;£l!S:t'n,'L> "t d,

Ce Casino, si pimpant, si artistiquement décoré, devient de plus en plus je lieu de réujriioh de la société mondaine de, la Côte. On y vient en auto, des autres stations privilégiées, -déjeuner ou diner, attiré par la réputation de sa cuisine et par son cadre.

Chaque après-midi, les thés y attirent une clientèle choisie, et les beaux galas, et les spectacles, d'art qui s'y sont, déroulés, le soir, depuis l'ouverture de .la saison sous la direction artistique de M. Dupont, ont montré qu'il pouvait rivaliser avec les établissements mon-, dains les plus célèbres, ,de la Riviera. Galas et spectacles, entrecoupés d'attractions de premier ordre, continueront jusqu'au delà de l'été à animer la vie élégante de cette jolie station.

1 ̃>. ̃ ̃• -<.<<»-, ^™

A UHOTEL DE VILLE

.d~

L'électricité trop chèrç

En ce qui ;corjcerne le prix futur de l'électricité, M. Joseph Denais, rapporteur de la question, fait remarquer qu'une seule chose est dès maintenant certaine c'est que personne n'envisagé de majorer le 'prix actuélleiiient payé.

Si la taxoHe 15 p. 100'est votée, elle ne le sera qu'avec un dégrèvement- de même ïiinportanee ̃sur']»' fonds detravaux. i Quant à abaisser davantage le ̃prix de l'électricité (qui est ati" coefficient 3,(30- sur le prix de 1914), Cela peut êtro envisagé, après, le fr juillet, si la dotation du fonds de' travaux efet réduite: Mais cette réduction ne sera possible 1 que dans ïa- mesure où l'emprunt destiné à renforcer la production i de "l'électricité sera augmenté, M 1

(S'est très probablement la solution la,quelle s'arrêtera le Conseil- municipal, afin i que soit tenue la promesse qui a été faite 'aux consommateurs, ces temps derniers, •que là baisse de l'index charbon amènerait la diminution dû prix actuel de l'électricité.

f • La question de l'essence Une enquête est ouverte sur le prix de l'essence, qui était descendu à 240 francs, puis à 185 'francs;- et qui, récemment, est remonté à 200, puis â 220 francs.

LE MONDE ET LA MLLE

RENSEIGNEMENTS MONDAINS

S. A. R. le prince héritier de Danemark, est attendu à Cannes.

Le baron et la baronne Gburgaud, de passage à Paris, ont offert un déjeuner en l'honneur de S. A. I. le grand-duc Dimitri et de la princesse de'Ilinsky/aihyque, dëJ* du-, chesse d'Albe. /( 1< Le,comte Guyj du;Bp.urg:;(|e5Bo,^s "Vient de rentrer Paris, venant de Rome et de Prague, où il a fait une série de conférences. S. M. le roi de Suède arrivera à," Madrid le 18 avril. Il sera l'hôte officiel g., M. le roi d'Espagne pendant trois jours, les-18, içet 20 a.vrH, puis visitera l'Espagne incognito. ̃ pn annonce que S. ,Â.Ri,:le^prii}ç^.ifJe. Galts, à> l'ocpafion-jdefja/semainç iSftjnfe viery drait en Espagne incognito et'- -se. yendr^it i; ,Séville. avec:iqu«lqueSK*mëmbjresr4e la. -.famille! •royale espagnole pendant'la >la durée* de^Ja fèite. ̃̃

C$It~G~3

CERCLES ̃ ̃" ̃ '.̃ ;•'̃̃

M. Louis Bonneau, présenté par MM.' Brice et Roume, a été reçu membre permanent du Cercle 'de l'Union artistique 'au -MI6ttà|ë d'hier. 'V' ..̃ ̃' Elégante assistance, dimanche dernier, au diner mensuel du Golf er's Club, qui fut suivi d'une soirée dansante. ̃•• ̃/ Reconnu autour dès tables Marquis de Castellano, duc ^-Montmorency, vicomte et vicomtesse Bejioist d'Azy; M. et Mme Georges Vésier, Mi. et Mme Sanchez Abreu, M. et Mme Pierre Munier, M- et Mme Patenôtre, M. et Mme Jean Cliavez, M. et Mme Herz, M. et Mme Manuel' AceVedo, M. et Mme Hector Farini, comte et' comtesse Antonetti, comte et comtesse de Pontcharra,' miss Nash, M- et Mme Hayem,' etc. La prochaine soirée aura lieui le rhercredi' 27 avril. -'•̃ 'l' ;{\ v A la dernière réunion de'la isaînt-Geor* ges, les poules au pistolet ont été gagnées par' le comte de Gramroont-Lesparre, au revolver; par le "comte Roger, '̃' ;| Assistaient au diner présidé par M. Pierre Perrier:,1'. ̃ ̃», »»' ̃' "»^ ;«; ••- Marquis de Créqm-Sfdrit'iftrt, comte de 0rammont-ï<esparre, joçnifte te devW»»sli£y,M&K

Kra~s ~j4~R?ftard~Ubé.f.nq.\ l1Jitfq\~A~

Le Gouëslier a Argenes, ?te ..fywpfa. de,,

Launay. .;i..v

MARIAGES

Hier a été célébré, dans rintimité', le mariage de notre confrère Yves Krier, rédacteur au Matin et .'à' Paris-Midi, fils du.fçmpositeur r Georges I^rièr, avec Mllé. Germaine, Dup'ré, fille du docteur Charles-Gaétan Dupré, décédé. Mardi, 22. mars, a été célébré, ,erV l'église Saint-Pierre de Chaillot, le mariage du commandant Jean de Lattre de Tassigny, officier de la Légion d'honneur, Croix de guerre, avec Mlle Simonne Calary de Lamazière,' -fille de M. Raoul Calary de Lamazière, ancien député de la Seine, 'et de madame née Lerhaire. Les témoins étaient, pour le marié, le vicomte de Marcé et le colonel Caput pour la mariée, le comte de Tinguy du Poiiet, député^ eï/e baron Marcel Calary de Lamazière. i On nous prie d'annoncer les fiançailles de Mlle Thérèse Gueugriier'ayeç 'M. Michel $aillard.

Avant-hier a .çté'.çélébré, en l!église -Saint- François-.de-Sales; le 'mariage de sMUe Denise Genvrain avec M.' -Robert Joret. Le :Saiht-Père avait; d.ai|ijé ^yo^er-s^bé^jcHon ^ux Jçungs,,

deuil r-r ,s; ;>̃̃ y.

Dg~Y-

Un service anniversaire pour le' repos de l'âme 'de Monseigneur l'e'^wç d'Orléans sera célébré, en la chapelle royale de Dreux, lundi 28 courant, à dix heures et demie.

Le même jour, à dix heures, en la chapelle de la Compassion, boulevard de Verdun, à Neuilly, une messe anniversaire sera dite à la même intention. Les obsèques du général de division comte de Gantier des Carets, du, cadre de réserve, ancien membre du-Conseil supérieur de la guerre, président de la Saint-Cyrienne, grand officier de la Légion d'honneur, ont .eu lieu, hier, en l'église Saint-Louis des Invalides. Sur, un coussin étaient disposées les décotation du défunt. ̃ ̃̃ La levée du corps a été faite et l'absoute a été donnée par le chanoine Verdrie, curé de la basilique Sainte-Clotilde. Le deuil était représenté. par le cor/itq Jean, des Garets et le vicomte' Louis des Garets, fils du défunt le comte de Linage, son gendre MM, François, Bernard; Aimery et .Oliyier des Garets, et M. Jacques VaHois, ses petits-fils le capitaine G. de Talancé, le lieutenant A, de Talancé, M. Charles de Talancé, le. capitaine _<^uesnel, le commandant de Talode du. Grail, j .le comte de Gaillard*d»--SraH,iM'.bR««éiI<arav :le -CDrffW&; deCosséPBrrssa'c»1lè;'comtelJ."idE Cosâë-Brissac, le câmt?è«Jékih des'Qarët^îiî., Qéc Devise, M, Robert de La Porte, M. de Lagûionie, le baron Plieux de DiUss.e. ̃; Du côté des dames, par Mme VaHois, Mlle des Garets et la comtesse de Linage, ses filles la comtesse Jean des Garets, sa belle-fille; Mles Colette, Simone et Héièhe des Garets,; Mlles Jeanne, .Rosé-Marie, Claude et Madeleine' Vallois, et Mlle Béatrice de Linage, ses petitesfilles Mme de Mallmann et ses. enfants, ses nièce et petites-nièces, la comtesse des Garets, née des Nétumières Mlle 0. des Garets, Mme Margot, Mme G. de Talancé, Mite de Toytot, Mme Quesnel, Mme de Talode du Grail, la comtesse de Gaillard du Grail; • la comtesse R. de Cossé-Brissac, la comtesse de Rochefort d'Ailly, la comtesse de Vaux SaintCyr, Mme Miron d'Aussy, Mlle B. des Garets, Mme G. de Devise, Mme Robert de La Porte, Mlles de Laguionie, la baronne Plieux de Diusse et Mlle Mad. de Larminat, ses cousines. Les honneurs militaires ont été rendus par le sf. d'infanterie, des détachements, de cavalerie et d'artillerie, troupes placées. sous les. ordres du général BouHaire, commandant le 2e groupe de cavalerie.

Le Président de la République était représenté par le lieutenant-colonel Philippe; le président du Conseil par M. Jean du Buit ;ie ministre de' la" giifert-e- 'p^r' lé' côlonijl' jarhet Parmi J% pombreuse, j.systance jôn lemar- quait '• "•̃•' ̃ •" ••' t: ̃ ̃'• Les maréchaux Pétain et Lyautaj', len représentants des.'niaréchaux F!ayQlle,ét Françlict d'Esperey, les gépéràjuç. 4e Çaçfjçrrjau, Gournud, gouverneur roijijjaire de Pavis Dubajl, grand chancelier de la Légion d'Jioni>eur De, beney, «hef do l'état-major général de l'armée;. Niessel, vdirecteur de l'aéronautique; Duport, Pau, Wéygand, Graziani, Féraud, le représentant du général Dégoutte, .les généraux Berdoulat, ancien gouverneuï flijjitaire de Paris Duparge-Lacapelle, commandant le 1" corps d'armée Ragueneau, commandant le 9° corps Serrigny, comte Desstiffy, Ma- riaux, commandant l'Hôtel des Invalides, et de nombreux officiers généraux et supérieurs, une délégation de dames d'Action, française du 15° arrondissement, dont Mlle des Garets est présidente, etc. A l'issue de la cérémonie, le générât Balf ou* rier a-pronpnçé ua discours au nom de la Saint-

Cyrienne, dont.il est le premier, vice-fèrésiden'k L'inhumation* a eu lieu au cimetièï&.Mont< martre. .x: H Nous apprenons la mort de Mme 'd$ Breuil de Saint-Germain, née Truttert. Elle était la mère de M. Jean du Breuil de .'̃ Saint-Germain, tué à l'ennemi, et de M.ierr^. du Breuil.de Saint-Germain. 'i\P'r- f. Une messe pour le repos de l'âme M. de Lavrignais, sénateur et conseiller général- de la Vendée, a eu lieu, hier, en la1' chapelle.' Saint-Louis de l'église Saint-Thomas-d'Âquin. L'absoute a" été donnée par l'abbé 'Rivière^ curé" de la paroisse.' ] ..) il,e deuil était représenté pàr.M..Maûricerde. J Gazeau, gendre du défunt le comte de Bour* bouloji et le comte de Lyrotjj ses- cousins, ger-c ` mairiS; -•• ̃̃i|' -"•î i*»;5 >vi al -i- (u >i "'̃̃ i I>ik''côtë des 'dames, par'Mttie'de tavrighaisi-' sa veUve kmë'Màùficë ae.Gaïéau,. Sâ";ftlte^: tf côffitessë :de Bpurbpuloh; 'et la Cdratëfee/iè ;-̃ Lyrô't, iés' cousines germaines.- l!: T L'inhumation avait eu lieu précédemment ér( 'Vendée, daps la sépulture de- famille. '̃ Nous apprenons la mort de Mmëvëùve;' Georgçs/ Ferry, décédée subitement. Ses obsè- '•• ques 'auront lieu samedi matin, â dix heufeSj en l'église Saint-Philippe du Roule. On annonce la mort de M. Victor du Bled, homme de lettres, chevalier de la.Légion- d'honneur. 1 Les obsèques' auront lieu demain yeni; dredj, 25, à dix heures, en l'église .Saint-P'ierre.,?î du Gros-Cailloq. t, >•< Le présent avis tient lieu de faire-part. -• Â;Mme veuve Maurice Guesnjer, M. > Mme Ahdré Guesnier et leurs enfants, M. et Mme Pierre Lefebvre et leurs enfants, M. et Mme Charles Hamot et leurs enfants, M.- et' Mme Robert Guesnier, Mme veuve Martin- Métairie, dans l'impossibilité de remercier in- ¡ dividuellement toutes les personnes qui Jeuf ont témoigné leur sympathie à l'occasion, de Ja< mort de M, Maurice Guesnier, sénateur, maire. s de Magny-en-Vexin, les prient de trouver ici- l'expression de leur profonde et douloureuse. gratitude. ̃̃•,1 ̃̃'j> ^gn;.nous.p^japçe que le corps 'de M-Rô- E bpt^ifeic'M, 'ingénieur. fiyil, des' ffljn'|tfJ;éEj, i pra4néie;-|é:u^l.em,fifejnkUAéjdan5jfeiC^veflSter, 'df smHémMle,/dam>ia. piusi stricte: intimité. Bée?, la part de Mme GMcki, sa rnèrej. el, jde M. René Gilnicki, son fils. ,,( ~r "•' ̃ .Çerignà'

PPTIT OARNBT .['A-- ̃̃"̃'̃

̃ Pour vous, Madame, qui poussez le soucî ̃ de l'élégance jusqu'en ses plus petits détail?, '(' Fémina-Daunou a réuni une merveilleuse col- lection de bas de '.soie, les plus fins, lés plus solides, et, ce qui ne gâte rien, les moins chers ;de Paris. Voyez aussi leur exposition de,. sacs, de gants si originaux, et les derniers modèles 1 de leur collection de printemps, dans-.les salona du 4, rUe Daunou. (Louvre 50-84O '• <'

WiHterPalace-Nice-Ciiniez. H<'£gid a l'honneur d'informer ses clients que .l'Hôtel restera ouvert jusqu'en mai et que des prix spécialement réduits seront faits pour.lçs f-êjes..s de Pâques et Farrière-saison.: j '̃̃

La Maison Brot, 8, rue Boissy-d-Anglas, ̃ informe sa clientèle qu'elle a repris la vente â" .crédit du Miroir-Brot-Pour-Tous,, au prix'de 1.000. fr., payable 200 fr, à Ta, '.commande, le;. gold« 3oo- fr. par mois. r

H;,nu;

VICHJ

~;t°` w"il'~`v fu'

L'Établissement thermal ouvrira' W

4 avril. L'Hôtel du Parc et « Chanteclerc '1 sont ouverts ainsi que le Sporting-Club, Une cure à Vichy pendant tes vacances, M .Pâques est. ainsi facile à réaliser. ,«, 1

La vie artistique <

'*• 1

Mainssieux, Walter Beck._ Divers

-&- t u. "l"

Le moins qu'on puisse dire, et ce n'est .pas peu de chose, de l'exposition Lucien Mainssieux qui vient de s'ouvrir chez' Druet, c'est qu'on peut là regarder avec grand plaisir et en goûter la séduction*, après celle de Jules Flandrin.

Depuis quelques années déjà, il était- impossible de ne pas remarquer ce peintre si bien doué, d'une belle sincérité, sans ̃̃̃ta<: page et de qui l'émotion marche de pair. avec la modestie. Oh nous a dit que' M. Mainssieux était un excellent musicien. Cela ne nous surprend pas, car il a le sens le plus sûr et le plus fin des harmonies. Son écriture: est nette, forte; et simple, mais sans aller jusqu'au trop sommaire. Il r possède l'art assez peu commun .chez les peintres d'aujourd'hui qui cherchent des motifs, dans les régions étrangères, de va- rier c^iMpîèteVrreïït ses tonalités, -et de ne

'p|as' p*élrio*fé,' p'ifr exemple, la Tunisiccoir^

44e:%ï*Itaïièl,1'<3ette:ceolistatation qui décuple le plaisir, vous frappera quand vous pas* serez, par exemple, du Marché aux chC' vaux de Tunis avec ses blancheurs crues, à telle basilique de Rome, par exemple Santa' Francesca, ou à quelque reste anti- que de la Ville éternelle, qui sont chaude- ment dorés. Quelques figures, de Jefnrrtes arabes, remarquées à divers salons, comr plètent cette exposition d'un véritable ar-T tiste, ̃

Un très curieux visionnaire américain, qui fait penser à Edgar Poe, à William Blake, à notre Odilon Redon, sans tenir positivement de l'un ni de l'autre, M. Wal- ter Beck, montre, en l'hôtel Germain Selig- mann, de bien curieuses et .attachantes conceptions. 1 Il est difficile de trouver un terme uni» que pour les définir. Ce n'est pas du fan? tastique, car le fantastique est l'exagéra- tion ou le renversement du naturel. Ce n'est pas non plus du fantaisiste, 'car c'est longuement calculé bien que rendu çsahs longueurs.' Encore moins du .spiritisme', car cela résulte de lectures multiples, dé méditations très variées. Et pourtant ce n'est pas non plus exclusivement cérébral, ,` puisque l'effet.est produit par une très savante richesse de couleur. En réalité, si l'on va jusqu'au fond de cette sorte d'art; on .en. arrive à^ conclure. qu'il procède surtoutùde c,ej, élém,ènt qui jolie ua si grand ̃ rôle idans J'art extrême-oriental, l'allusion. C'estt-ainsi- que, des, vibrations colorées ou

des ondes 'Circtilairet; diversement iiuah-

cées; mêlées à dps rappels de la figure huj maille évoqueront vaguement pour la.pfen- sec, mais très somptueusement par le co- loris, les questions obscures que nous nous posons, dans les heures de repos ou- de rêve sur nos destinées. Entre autres petites expositions, M1. < Zingg vient d'en terminer une très solide et d'un beau sentiment rustiaue, chez Mart. cel Bernheim. M. Thibésart, chei! Georges* Petit, en a une agréable d'arbres enfleiirS' et de jeunes filles au soleil. ̃• ̃>• ̃' Enfin un ensiemble des charmants cia«priées que l'on sait; de Fujita, est en cours à la Galerie Granoff. Mais on nous dit que notre Japonais favori nous réserve un© prochaine et peu mince surprise. ̃<

Arsène Alexarndre.


DERNIÈRE HEURE

A' Ç H AN G H AI

k manifeste des Cantonais L'onobjes; 23 mars. On mande de Changhaï à. l'Agence Reuter

Le général Pao Shing Hsi, commandant .des forces sudistes à Changhaï et chef 'd'état-major du général Chang Kai Shek, commandant en chef des troupes sudistes, a adresse au peuple chinois un manifeste dans lequel il est dit

<t Pendant quatre-vingts années, les impérialistes, sous la protection de traités,

inégaux;, ont rabaissé la Chine à un. ;état

de vassale. Après la révplution de l'jil, les impérialistes, étrangers, ont fourni cpptinùelleiùerit aux impérialistes chinois des can,ons et des fusils grâce auxquels ces dentiers ont maintenu un état de guerre pendant ces quinze dernières années. ̃» D'une part, les impérialistes étrangers ont enrayé le développement de l'éducation, çt de l'industrie chinoise d'autre part, ils se sont assuré,des privilèges spéciaux.

» Mais, l'âme chinoise s'est réveillée, et Changhaï, le plus grand centre commercial de "l'Extrême-Orient, deviendra une bpse puissante, non seulement pour le nationalisme chinois, mais pour la révolution mondiale. Toutefois, le peuple doit faire une distinctioai entre battre en Ureche l'impérialisme et attaquer les étrangers. Il ne doit pas insulter les étrangers fii détruire leurs biens. »

Les Sudistes et les autorités françaises Ghanghaï, 23, mars. Les consuls généraux français et anglais ont. réussi ce ma,tin à se juiettre en contact avec le commandant cantonais Pao Ching Hsi, qui a affirmé son intention de maintenir l'ordre. Lé général Pao s'est étendu- sur le désir 'des nationalistes de rester en bons termes iavec la -France en. raison de ses principes ide libéralisme et aussi des relations des autorités françaises avec le parti Kuomintang.de Changhaï.

Il semble que ces mariîrMfifiÔHS'so'ifent isincères, îiiais il lui- sera difficile- de- se-: rendre nlaîtréstles'élëments ouvriers- et d&- Késis'ter. k: la surenchère des:iéxteéiBislQS> -̃Lés combats de rues continuent Changhaï, 23 mars. Après une accalmie de douze heures, des combats isolés ont repris cet après-midi, dans le district indigène de Tehapei. Les soldats cantomais s'efforcent de réduire à l'impuissance de petits détachements de troupes nordistes qui tiennent encore quelques positions •dans, les faubourgs au nord de la ville. Environ une cinquantaine de Chinois 'ont été tués et plus d'une centaine d'autres ̃ont été blessés au cours des combats d'aujourd'hui. ̃

D'une façon générale, les Cantonais se rendent graduellement maîtres de la situa-

tion.

üon. Une nouvelle échauffourée

dans la concession '.internationale

!̃' Plusieurs milliers de Chinois ont essayé cet après-midi de pénétrer de' force ù l'intérieur du settlemeoit; international. Ils en ont été empêchés :grâce à l'arrivée sur les lieux de deux compagnies de la fameuse garde anglaise Coldstream et,d'un détachement de fusiliers américains. Les soldats anglais et américains ont refoulé les envahisseurs à coups de crosse de fusil. Au cours de cette échauffourée, plusieurs Américains ont été légèrement tolessésj ̃ ai-n si- q«-i«»e<4*eïUain<s de-Chi nais. Laigtève? j ̃•?'

La grève gén'éralè~X*ÇlîîHghaï n'est pas fenepre terminée et des douaniers chinois se sont joints au mouvement. Des agitateurs communistes distribuent Mes tracts aux soidats étrangers. Sur l'un de ces tracts on peut lire l'appel- suivant Joignez-vous à la révolution mondiale [Vous ..menez une vie dure alors que vos

efficier^ vivent .dans l'âisançe

Le dévouement d'ùn Père jésuite

'Le Père jésuite Jacquihot qui, au péril: îde sa vie, a réussi à assurer l'évacuation 'de plusieurs centaines de sœurs de charité et de jeunes filles d'un couvent anglofrançais situé au nord de Changhaï, a dé-'clar.é qu'à son arrivée dans le couvent, dont les bâtiments principaux avaient été détruits par un incendie. provoqué par des civils, chinois, il avait trouvé les sœurs et les jeunes filles dans l'état le plus lamentable. Pendant l'évacuation, deux jeunes filles ont été blessées par des balles perdties. v Nankin serait tombée aux mains des troupes de Canton

Changhaï (via Londres), 23 mars. Sùi-, Tant un message la British United Press, les.Cantonais auraient occupé Nankin sans que les troupes de Chang Sun Chang aient opposé de résistance. Les résidents améri- Icams et britanniques aunaieiit 'évacué^ la .ville sous, la; protection de plusieurs bâtiments de guerre. Les évaçués^uraiejnstj.pr^Sj,, place à bord des navires marchands allant vers Changhaï et d'autres se seraient réfugiés à bord des navires américains.

L'OPINION DES AUTRES

̃̃ Détente

La pressé parisienne enregistre avec fane unanime satisfaction les symptômes 'de détente qui se manifestent dans les rapports italo-ypugoslaves. M. René1 Lara {GAULOIS) se félicite d'avoir vu les gou.vernémenls 'britannique et français transmettre à Rome la demande d'enquête spontanément formulée par la Yougoslavie pour démontrer l'inanité des inquiétudes "italiennes. Jusqu'à présent, M. Mussolini n'a pas répondu, mais on croit que le gouvernement italien, en accord avec les grandes puissances signataires de Locarnp, recherche une procédure d'invéstiga;tioh à la fois convenable et efficace. Notre confrère ajoute

1} ne sera pas difficile, la bonne volonté" a}-'daiit, d'arrivé!- à un compromis -temporaire.' Mais' il 'faudrait, si l'on veut réellement faire œu'Erp de papificatioprdui'able, saisir l;occasion qui s'offre d'élucidep la question .albanaise, et de préciser, une fois popr toutes, le caractère et la portée des « intérets"spéciàux » reconnus au gouvernement italien en Albanie.

Pour M. Henri Barde (ŒUVRE) il faut Î amender le'pacte de Tirana, régler le problème adriatique, inciter la Yougoslavie et l'Italie à se. mettre d'accord sur le principe de la non-intervention dans les affaires intérieures de l'Albanie. « C'est pourquoi, ajoute-t-il, les ministres des affaires étrangères de France et de GrandeBretagne essaient d'amener Rome et Belgrade à des négociations directes. »M. Pierre Bertrand (QUOTIDIEN) répète qu'il n'a pas confiance dans les négociations directes. •« II- n'est nul besoin d'être prophète, dit-il, pour annoncer qu'elles n'aboutiront pas., »

M. Auguste Gauvain (JOURNAL DES

LE CONFLIT ITALO-YOUGOSLAVE On envisage la constitution d'une Commission d'enquête

–.14

Les conversations se poursuivent entre Paris e,f Londres sur procédure à adopter pour permettre à des experts de se prononcer1' sur- les accusations italiennes' contre la Yougoslavie. ̃̃̃ L'entretien qu'ont eu, hier après-midi,

M. Bri'ahd et le'màrquis' de Crewe a per-

mis de constater 'les progrès faits dans la voie d'une entente. ̃ -•' Ilsemblô qu'avec l'assentiment-de. Berlin, "les' gouvernements de- Paris et de Londres soient d'accord sur l'opportunité de confier à une commission d'enquête largement constituée, le soin de procéder, d'accord avec Belgrade, aux investigàtions jugées nécessaires. M. Briand a également reçu, '-dans l'après-midi d'hier, le baron Romano Ayèzzana, ambassadeur d'Italie, et M. Spalaïkovitch, ministre de Yougoslavie. LONDRES, 23 mars, r- Dans les milieux, politiques* britanniques, on ne cache pas la satisfaction qu'on éprouve à voir la crise italo-yougoslave évoluer vers sa fin. On envisage qu'une commission internationale dlenquête sera' désignée pour examiner ce qui s'est réellement passé à la frontière albanaise.

Ce ne sera ,pas une commission désignée par la S. D. N., mais sans doute nommera-t-on une commission de militaires qui visiteront eux-mêmes la frontière et feront ensuite un rapport.

Le Daily Telegraph dit qu'on envisage-, rait avec faveur la participation à la commission d'enquête des officiers suédois qui,, en 1925, se sont occupés des agissements des comitadjis à la frontière grécobulgare. Leur expérience de la question serait un appoint sérieux.

L'Italie acceptera-t-elle la procédure nia

r,- ;en,visagée, .?

'c.. envisagée. ? 'l,

RûïlE, 23"mMs. Dans les milidux«ita^

{liïW'omK F^p^mè;^iiërtVïhciSeM italo-"

̃yougoslave' ;s'est"ecïàire£':i II faut s'attendre à présent à ce que l'œùvre de clarification se poursuive efficacement, et qu'elle s'étende à la manière *de garantir les Balkans et l'Europe des agitations qui, si elles étaient tolérées plus longtemps par les pays, européens, fini-' raient par engendrer la responsabilité de ces pays eux-mêmes- dans le maintien de la paix. ̃ ,:̃

Dc différents côtés, à l'étranger, on, fait grand cas d'une enquête sur place pour se. rendre compte si réellement des préparatifs militaires ont été faits sur la frontière d'Albanie. •̃ ̃

La question est assez difficile. Outre que les traces. mêmes de ces préparatifs peuvent être disparues à l'heure actuelle, il ne faut pas oublier ce qui s'est passé en Allemagne où, malgré toutes lés commissions militaires de contrôle, on a pu faire tous les préparatifs qu'on a voulu. (Transalpine.) ̃_•̃̃• _;r Le. discours de Si. Briand

a été favorablement accueilli Rôme Rome, 23 mars. Les journaux mettent en relief les-'déclaratidns faites hier par M. Briand, à la Chambre et observent, avec une évidente, satisfaction^ que M. Briand a reconnu loyalement la droiture et la mo-,

-d^râtïbii "hïânïfêsïees' pà"r l'Ifalîë "daifs" les

événements^ ^liplpniatiques en cours. -iv!tul.J `j Au surplus^ les déclaratîbns du* ministre J français des affaires étrangères ont pro- duit. une excellente impression dans les milieux politiques italiens, où l'oq appré- cie,tôut particulièrement la sérénité et l'esprit ̃•d'équité'' et de' conciliation dont M;

Briand a fait preuve.

A, la Chambre des*commune$

LONDRES, 23 mars. A la Chambre des communes, cet après-midi, un député travailliste, M. Ponsonby, a demandé au gou'Vernement quelle était la situation actuelle entre la Yougoslavie et l'Italie.

Sir Austen Chamberlain répondit qu'il avait reçu du ministre britannique à Belgrade un rapport concernant les mesures prises pour augmenter l'efficacité militaire de la Yougoslavie et que le représentant britannique à Belgrade exprimait l'opinion que ces mesures ne représentaient rien d'autre que le cours ordinaire d'une réforme de l'armée yougoslave. Par ailleurs, toute idée d'hostilité a été écartée par le ministre des affaires étrangères de ^Yougoslavie.

-^v^»^

Le comte Betlhem à Rome

.Vienne, 23 mars. Le Neuves Wiener Tageblatt reçoit la dépêche suivante de Budapest •• \& président liai Corfeeil hongrois,c6mte Bethienij quittera a-ujourd'hui Madapest PPW .Bpnj^sÇÀaîf. j}.ffll|S#Jffifncontrer avJêSo, M. Mussplini. « Le comte Bethlem sera accompagné par le ministre d'Italie.»

IIIIUIIIII

DEBATS) n'insiste plus, lui, pour qu'on saisisse la Société des nations. Il se rallie à la Conférence- des Ambassadeurs, '« dont on ne saurait contester la compétence' pour interpréter sa. décision de 1921. ». Notre confrère s'élève contre la- prétention de certains journaux italiens qui soutiennent que cette décision leur a conféré des droits et reconnu des intérêts spé-

ciaux". ,'J

La voie de l'apaisement Le TEMPS demeure toujours partisan des conversations directes. Il estime que l'intervention sous quelque forme que ce soit ne ferait' que compliquer les choses On ne peut se dissimuler qu'il y aurait de sérieux inconvénients pour l'institution d'e Genève elle-même à voir s'élargir en ce moment 11 controverse internationale qui s'est instituée à ce sujet) d'autaiit plus que l'on se heurterait probablement à de vives résistances de la part •de l'Italie Û touie-'probédwè- de -ee 'genre.î'Hiteret bien compris de la paix est d'aller au plus pressé, de, parer à toute menace immédiate et de préparer utilement un apaisement durable des esprits, devant permettre de régler par la suite la situàtion'de fait par des coriversations normales entre Rome et Belgrade dans' une atmosphère de confiance réciproque. Si la diplomatie réussit à engager définitivement les choses dans cette voie, elle aura rendu le plus grand service à la cause de la paix et elle aura efficacement prévenu le pire à uiie heure particulièrement critique.

'«^Monsieur.. dé: La Salisse » (PETIT JOURNAL) est persuadé que l'affaire s'arrangera. << La Yougoslavie le souhaite, Mussolini également, car son offensive, estcertainement de'grand style, mais de style diplomatique. » Que resterà-t-il. de l'incident '•? Une leçon assez amère pour les illusipnnés, II leur montrera, espérons-le, que les traités sont des actes d'enregis-

A GENEVE

~J+.- #

Les débats sûr le désarmement

i_^t ̃

Genève, 23 mars. M. Paul-Boncour ,a exposé et commenté cet après-midi, devant. la Commission préparatoire de la Confié-, rence du désarmement, le projet français' de convention sur la limitation des armements. Ce discours a vivement impressionné la Commission par sa force éloquente et persuasive.

Le délégué français, examinant, d'abord le préambule du projet'- français, a rappelé1 que 'ce projet est- basé sur "l'article &vdu pacte qui fait aux Etats membres de la Société.des nations uneobligatiqn de réduire leurs armements dans une mesure cpmpa? tible avec la sécurité. nationale. Ainsi, la France, fidèle à sa tradûaoh, affirme à itouveau le lien indissoluble qui 'doit exister entre le désarmement' et 1W sécurité. Elle a tenu compté en déposant son projet des garanties de Sécurité déjà- obtenues, soit par le pacte, soit par les accords internationaux tels que celui de Locarno. Ce sont ces garanties qui permettront peutêtre de franchir une première étape dans la voie du désarmement et de mettre 'd'abord Uniterme à,la course. aux:armements éfape limitée certes, -parce qce,: au passif de la sécurité figurent les échecs du traité d'assistance mutuelle et du protôcple de Genève qui devaient apposer "aux promesses contenues dans l'article 16 du pacte les. précisions nécessaires. ̃•' A' défaut des secours organisés par la Société des nations, il faut que chaque' Etat prenne soin de sa; propre défense et évalue .lui-même les besoins de sa sécurité. Puis, M. Paul-Boncour, prenant, iin;.à un les chapitres essentiels du projet français (effectifs, matériel, dépenses militaires, contrôle), expliqué sur chacun d'eux le point de vue de la France. Il a montré comment la limitation des armements ne peut porter que sur les ressources permanentes du temps de paix on ne voit pas par quel procédé on pourrait éyaluer, et donc imiter, les armements éventuels d'un

BW .en^r^n^de, .mohiTiijer.. Ici, M- Paul-

Bon,ouy ~~8a~ <t8MSS~o" fran-

çaise se heUftè^Fia ^ncepli^ britanni- que. -A '-̃' n ̃'̃•̃ -1

Les débats du Reichstag

sur la politique extérieure allemande

-)-f-

Berlin, 23 mars. Au cours des débats'^ qui se sont poursuivis cet après-midi aûReichstag sur la politique extérieure, M. Stresemann a pris de nouveau la parole pour répondre à divers orateurs qui ont critiqué la politique suivie à Genève. Il s'élève contre l'affirmation des communistes que l'Allemagne s'est laissé en- traîner dans le front unique contre les Soviets.

En ce qui concerne les résultats de la dernière session du Conseil, M. Stresemann. est loin de les considérer cpmme absolument satisfaisants, mais il faut se-' demander si une solution absolument satisfaisante était possible. « Vous trouverez difficilement, dit-il, un ministre des affaires étrangères qui reviendra toujours de Genève à Berlin avec, des résultats satisfaisants. Au cours de la session de décembre, les désirs allemands ont triomphé -dans une large mesure. C'est peut-être pour cela que la contre-partie s'est montrée plus réservée cettp fois-ci. Toute -solution trouvée par le Conseil de," S. D. N." sera^to^jôurs, un çp,njp'r.pjnis, ` conf ormément^a-la' nature înêitie du Xon-

seil. » "̃•̃ N-iiuiVî .iu:i> ̃>;̃ n.>n6n ̃̃ ̃

Puis, parlant de la question du "désarm'éi y ment, M. Stresemann- a dit que Locarno serait une absurdité si, tout On :se^ procla- mant partisan de la paix, on > accumule^ autour de l'AUmegane baïonnettes sur baïonnettes, sans un désarmement général. Après avoir entendu les orateurs d'extrême droite et adopté le budget du ministère de l'intérieur, le Reichstag a repoussé, contre les voix des communistes et des. racistes, la motion défiance déposée contre M. Stresemann et a approuvé' îe budget du ministère" des affaires étrân- gères. ̃u^^âa&r

.J ~.v.

La Hongrie et les Soviets

Budapest, 23 mars. Le leader raciste Jules Gomboos, député', parlant au cours des débats sur le budget, a déclaré que laHongrie devait s'orienter vers les pays balkaniques, tout en conservant son en-tièr'e indépendance.

M. Gomboos s'est déclaré partisan "du refus d'admettre une légation soviétique à Budapest, car cette- légation ne serait qu'un centre de propagande bolchevique en Hongrie.

«Le bolchevisme, dit-il, est un péril1 menaçant pour, .tout l'Univers.vLa <Hpngrie est un avant-poste d«. l'Ôceidentr;p'our lutter contre ce péril. fl faudrait créer une alliance^' européenne, cçfitr^He$_ Soviets, et le 'ministre" des affaires étrangères hongrois s'honorerait en prenant une initiative dans ce sens. y

trement bien plus que des pactes de garantie. Un traité entérine l'Histoire, il ne l'arrête pas. » L'Europe est peuplée de nations déjà mûres et donations encore jeunes. Les nations mûres aspirent au calme de la retraite et craignent des changements à quoi elles n'ont rien à gagner. Elles prêchent le « statu quo qui leur permet la paisible jouissance de ce que, jadis, elles ont réalisé.. Les nations, jeunes, au con-; traire, voulant accroître leur domaine, leur place au soleil, ne tiennent pas pour valables les hypothèques prises par les anciennes. Elles sont ambitieuses, elles sont pressées de succéder aux vieilles. Lfeur présent c'est notre passé. M: Gustave Hervé (y/erO/Zîfi) 's'indigne' en voyant les socialistes attaquer l'Italie et son gouvernement. « "C'est vouloir jeter de l'huile sur le feu. » Suit. un plaidoyer chaleureux en faveur de l'Italie régénérée, Dans le même temps, M. Léon ,Blum (PO- PULAIRE) regrette que M. Briand ait préféré flatter le prestige de M. Mussolini quecelui de la Société des nations. Mais de toutes façons, dit Pertinax XEGHODE PAIllS), « .l'alerte- est dissipée. L'incident s'éloigne; quelque peu dans le passé. »; No-i tre confrère veut .en tirer deux enseignements. D'abord,, )'ébranleinent de la Petite Entente « la Roumanie -gagnée par la ratification du traité bessarabien, ayant à une heure critique faussé compagnie à ses associés. » Ensuite, au point de. vue français « '.Conduite assez troublante de l'Angleterre qui prend de plus en plus l'habitude de mettre Paris en présence de ses, libres Jnitiatives note. à la Chine du 18 décembre approbation plus ou moins passive du Traité de Tirana projet de désarmement Cecil -à Genève. L'Entente -cordiale et sa pratique, de consultation préalable s'effacent de plus en plus. Itg péril eommtiûiste

La Chine est en pleine effervescence. Le journal publié par Moscou à Paris arbore, des manchettes triomphales. «Depuis hier, dit l'HUMANITE, une page est

jlM MI^CÀR&ME 1

-N

? ̃'• Le cortège des chars

Le cortège de la mi-carême, qui comprendra environ soixante-quinze chars et voitures et six musiques, partira à 1 heure de la. place de la Nation. Il passera à la Bastille, sur les grands boulevards, à la Madeleine. Après un arrpj, place de la Concordé, les reines reprendront la rue de Rivoli, la rué de Càstiglionè, la rue de la Pjaix'"et se i rendront à l'Opéra pour assister i la répétition générale de 'pièce qui sera donnée Je soir avant le bal de nuit mas-

qué; ̃

Le programme du Comité des Fêtes Le Comité général des fêtes a arrêté ain- si qu'il, suit le programme, de la jour-

née

De midi 30 à 1 heure,. les Mines. des arro,n7, a dis.sements se trouvant dans lès diverses hiâiJnes, des auto-cars de luxe de la Compagnie e des Grands Voyages viendront les prendre pour les conduire à la place d'Iéna.'où se forriiera.rJe se rendant au Palais, du Trocadéro. A } li. 30, la reine des" reines de Paris, Mlle Aline Lesage, quittera la mairie du seizième arrondissement pour se trouver, à 14 heures, place du Trocadéro, où l'attendront les reines des arrondissements de Paris. A 'â h. 15, réception au 'Palais du Trocadéro avec prises .vues.1 A 2 h. 45, couronnement de la x-eine des reines sur la scène du Théâtre National Populaire. A 3 heures, représentation de Véronique, opérette de Duval et Vahloo et d'André Messager, avec le concours de la troupe du Trianûn-L'yrique. A 4 heures, visite au Vélodrome d'Hiver, où aura, lieu une matinée de bienfaisance au profit de l'CEuvre d'asissi lance aux anciens coureurs cyclistes. A 7 heures, banquet de la Mi-Carême.'

Une soirée de gala au Théâtre des Champs-Elysées et un bal à l'Opéra clôtuturerontla fête.

Les détournements du remisier Lef ebvre

i M. Décante, juge d'instruction, a procédé, hier, en présence de M° Marthe Huet, au premier interrogatoire de Georges Lefebvre, remisier, employé chez M. Paul Aubry, agent de change.

Lefebvre a avoué avoir détourné de douze à treize millions., II avait persomi'élle-

WèAt une nombreuse-clientèle et faisait des

op'iSfatS^ns avec deux autres niaisons (de és Coulissé. 'Séis 'clients ^ièVsojïnefls avaient'' ̃ une confiance absolue en lui et mettaient leur argent et leurs titres à son entière disposition. Il fit d'abord des opérations heureuses, mais la fluctuation des changes lui fit perdre de l'argent.

Il y a quatre ans, il commença à détournei1 une vingtaine de mille francs, puis, n'osant pas avouer qu'il perdait, il se fit remettre par les deux caisses l'agent de change de l'argent et des' titres, enimitant les signatures des clients ces virements lui permirent de rembourser, par deux fois, les prêts forcés qu'il avait faits aux caisses de son patron.

Mais les opérations continuèrent à;être malheureuses et, en septembre dernier, son déficit dépassait cinq millions. Alors, il s'engagea plus fortement encore.

Lefebvre gagnait personnellement huit cent mille francs i par an.- Il affirme qu'il n'a profité en aucune façon des détournements qu'il a commis, et que s'il a acheté Une auto et une villa à Paris-Plage, ce fut sur ses fonds' personnels.

Par contre, l'enquête prétend qu'il avait un train de maison dépassant ses ressources.

Lefebvre ?est finalement inculpé d'abus de confiance, faux et usage de faux il i passera donc devant la Cour d'assises.

e

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̃tournée au grand livre de l'Histoire. La victoire cantbnaise, l'entrée des rouges àj Changhaï, comme autrefois les succès des armées de la Révolution française, sbrifdes' événements par lesquels quelque chose est changé dans la face du monde. » C'est aussi notre sentiment. Nous tomprenons l'enthousiasme des communistes. ° Nous comprenons moins l'aveuglement de tant de citoyens de l'Europe' occidentale, directement menacés pourtant par le pé-' rîl révolutionnaire.. L'organe bolcheviste s'enhardit de cet aveuglement. Se félicitant, hier, du succès d'un meeting tenu la veille en l'honneur de !la Jeune Chiné », "il écrivait t; '̃̃•̃̃̃'

La classe ouvrière française veut la. paix, la paix avec les trayailleui>de Chine et de l'Union soviétique.

Au-dessus des agitations malsaines, génératrices de conflit sanglant, elle faisait entendre,' hier soir, sa 'grande voix.

Et cette voix exigeait le rappel immédiat de Kescadre française d'Extrême-Orient, l'immédiat retrait des forces militaires et navales. Elle indiquait aux travailleurs, français que, le. capitalisme a trayest.i e'n soldats et en ̃ liiarfns leur grftn^, .leur impj.-ëscrîptfl)ïe devotf''V ha frdternisatibn avec Ia Révolution

chinoise '.•̃•)

r) ̃< Une nécessité impérieuse ,et prochaine » M. C-J'-Gighoux (JOURNEE INBUSTRJELLE) relève avec ^mesure et précision ce qu'il y d'artificiel dans ce délire et ces provpcations

i Faisons la part, disait-il, de l'exagération et du besoin de stimuler la fcljentèle quand passe à portée une aussi "belle occasion. Il n'en reste pas, inoins à. examiner l'événement sous cet angle. Nous pouvons. nous trouver en présence d'un vaste essai de mobilisation de l'Asie P;8r le bolchevisme russe, destiné à préparer ensuite la grande offensive contre la vieille Europe. C'est un dessein traditionnel qui a hante des générations, qui amorça au cours de l'histoire des réalisations barbares et qui est à coup sûr susceptible d'animer à la moderne lé ferment communiste. Il ne faut pas hausser les épaules, s'en remettre au bon sens des peuples et des individus ou tenir dé telles hy-

La Convention avec la Banque ."• IV. ̃ "Audition de: M.' Ppincaré [' ` à la commission des finances

La commission des finances a entendu hier M. Poincaré sur le projet de loi portant approbation de la convention passée entre l'Etat, et la Banque de France en vue, de mettre fin au régime actuel concernant les « Bons du Trésor français escomptés pour avances de l'Etat à des gouvernements étrangers N, c'est-à-dire à la Russie.

M. Poincaré a insisté sur l'inconvénient que présente l'augmentation, incessante et automatique, à l'actif du bilan: de la Banque, de ce «poste»..

II a indiqué que l'augmentation de la charge budgétaire résultant de l'application/de la nouvelle convention, soit ô(i niil7lions, était de faible, importance et, qu'elle présentait par contre un avantage réel l'arrêt de l'accroissement, d'un article 'de notre dotte envers -la Banque < de Franeev:- Le .président du Conseil a .fait observer, en outre, que la moitié' de cette \sonlme, soit 2% -millions, irait au compte d'amortissement. ̃ En réponse à une observation formulée à la précédente séance, en ce qui touche l'accroissement pour la Trésorerie d'une charge de 300 millions environ, du fait de la substitution d'un amortissement réel à un amortissement fictif, M. Poincaré a déclaré que la question ne se posait pas exactement de cette façon. Il n'y aurait de surcharge certaine pour la Trésorerie que si l'Etat appliquait intégralement en fin d'année la convention François-Marsal relative au remboursement annuel dè 2 milliards à la Banque, mais il n'y a là qu'une hypothèse on ne peut préjuger, quant à présent, de sa réalisation ou de sa nonréalisation. Les gouvernements apprécieront, le moment venu, et eu égard à la Trésorerie, quel pourra être le montant du remboursement en fin d'année. Une autre1 question s'était ̃ posée, celle de savoir s'il ne conviendrait pas' de régler le problème actuellement soumis à la commission au moment "où se poserait le problème de la stabilisation légale. M. Poincaré a déclaré qu'il était 'd'un sentiment contraire et a indiqué l'es raisons d'ordre technique qui motivaient- son' opinion.

Il a ajouté qu'il importait d'apurer dès à -présent tes comptes, de ;la Banque de. France et" d'introduil'ë >;Je '"• plus possiJjSb, (l'élëménts do stabilité' dans 'soii bilan.' afin de réaliser proijfe'àéidç'ixtetit. 'àbiiâth'i^ des conditions indtipèïisabtes a ta stabïW1 satioii monétaire légale qui devra être effectuée en quelques heures, le jour ôù les circonsfances seront reconnues entièrement favorables à l'accomplissement de cette opération.

La convention, a-t-il dit pour conclure, n'apporte aucune modification au régime des avances proprement dites de la Banque à l'Etat. Elle a un objet limité elle arrête la progression automatique et critiquable d'un des postes du bilan il y a un intérêt certain à né, pas en refuser la ratification.

Après un débat assez long et confus, au cours duquel a été évoquée à nouveau l'éventualité d'un arrangement beaucoup plus vaste que la convention en discussion et qui aurait à intervenir entre l'Etat et la Banque de France en vue de,! la solution'du problème monétaire, les socialistes ont proposé à la commission d'ajourner sa décision. Mais cette proposition, a été repoussée par 14 voix contre 11, et, le projet du gouvernement, adopté à la même majorité.

Informations politiques

"ï.

~'ua~ i f. CI" 'H

M. AIDcrt Sarraut a reçu hier h\, .dcJéSaUpH

"l'fitiïfil-'ft veU'e, PW l£s dirigeants; cles.'gro'ii-

pes'flë'^lmiHie pour s'cnteiVdre. avec ljii sur les-

peSJ.'d~ 1ft'iB1c pour apporter à son projet de les'

inbaîfiéâuoiis a apporter a son projet de ré-

tablissement du scrutin d'arrondissement et 1 époque de la discussion.

Le.ministre de l'intérieur ne voit pas d'objection de principe à substituer le montant de la population totale au chiffre de la population française comme base de la répartition, des sièges, mais à condition que cette mesure n'augmente pas trop sensiblement le nombre des députés. II fait établir des statistiques pour s'en rendre compte et en référera au Conseil de Cabinet de ce matin.

M. Albert Sarraut estime qu'il' serait possible de consacrer des séances du matin, à partir du mois de juin, à la discussion de la-réforme électorale tandis que l'après-midi se poursuivrait le débat sur les lois militaires qui ne seront certainement pas toutes votées à cette

époque.

Enfin le ministre a renouvelé à la délégation l'assurance que le gouvernement ne veut pas clore la session, parlementaire avant que la question de la réforme électorale soit définitivement tranchée.. L.

Les réformes dans lés P. T. T. La commission du commerce a entendu M. Bokanowski sur la suppression des .directions départementales des postes. Le ministre du commerce a indiqué que la mesure prise, loin d'éloigner l'administration d,e. l'usager, permettra une solution plus rapide des projets et une instruction plus rapide des plaintes de nouveaux pouvoirs de décision sont donnés aux receveurs des postes, et les directeurs régionaux ont vu augmenter très 'largement leurs attributions. En outré, ;des inspecteurs seront placés dans tous !«' centres' importants1, de façon à assurer le contact permanent, des services postaux aveçr,l££ iîeprésoA%ts..il6sli, corps élus. ̃ Lé ministre s'est montré d'ailleurs disposé à examiner toute correction pouvant apparaître comme nécessaire à l'usage. 1 1

pothèses et les faits qui les provoquent comme trop éloignés dans le temps ou l'espace pour mériter examen: A l'intérieur comme à l'extérieur, le front unique des individus- et des nations, dont parlaient récemment des voix plus autorisées que la notre, contre les infiltrations multiformes du communisme 'révolutionnaire et contre ceux qui lui préparent la Voie apparaît comme une néèessité impérieuse et prochaine. Telle est la conclusion pratique d'un homme que n'égare point l'esprit de parti, mais dont le sens réaliste s'émeut des périls,qui, directement et immédiatement, menacent la civilisation occidentale. Par ailleurs, M. C.-J. Gignoux avait noté que, d'après, les dépêches, les Cantonais avaient occupé la ville sans coup férir, «.aidés par des complicités intérieures dont l'entrée en jeu a surpris tous les Européens, "sauf les représentants des

Soviets ».

Sobiets w Le front unique

Dans la LIBERTE, M. Jacques Bàihville insistait, hier soir, sur une forme de la propagande Tévohitionn-aire qui, pour être moins saisissante que l'autre, est pour le moins aussi pernicieuse Là séance d'hier, à la Chambre, a montré avec une grande force que les révolutionnaires, même quand ils sont d'apparence modérée comme M. Léon Blùiri, ne sont pacifistes quepar démagogie électorale. Au -fond, ils aspirent à toutes les formes'de ;;uerre parce que la guerre, selon la formule allemande, « est une révolution ». C'est au moins un vaste grabuge dans lequel les démagogues socialistes font leurs affaires.

La diplomatie s'est efforcée d'apaiser, le différend italo-yougoslave. Et ses efforts ne sont pas restés infructueux parce que les moyens qu'elle a employés sont les procédés traditionnels, éprouvés, recommandés par une longue expérience et qui réussissent parce qu'ils sont discrets. Porter l'histoire albanaise devant la Société des nationc eût été gros de rjsques, parce que l'Allemagne y eût été mêlée 2" parce que les membres du Conseil eussent été exposés à se diviser 31 parce ffu'il n'est pas sûr que ta partie perdante se fût inclinée devant le verdict, ou si elle s'était inclinée qu'elle eût consenti à se faire ju-

Les explications échangées ont eu pour ré* sultat de dissiper certaines craintes que la: seule lecture du décret, avant sa mise èn-pra* tique, avait pu inspirer. '• Les prélèvement!; sur le pari mutuel ',`

La commission de l'agriculture, présidée par, M. Joseph Capus, après avoir entendu M. ` Queuille, ministre de l'agriculture, a décidé, a l'unanimité, sur.le rapport du duc d'Audififret- Pasquier, de donner un avis défavorable à la proposition de loi tendant à augmenter le prélèvement sur le pari mutuel au' profit de la > caisse d'avances aux communes, considérant que · ce prélèvement supplémentaire aurait pour conséquence de diminuer les recettes du pari mutuel et les attributions aux diverses affectations agricoles qui en bénéficient.

Elle a, par contre, approuvé l'institution du pari mutuel sur les courses de levriers comporTtant un prélèvement au profit de la caisse d'à- vances aux communes. ̃ Les loyers ("

La commission de législation a entendu hier le garde des sceaux sur les modifications qu'elfe avait décidé d'apporter à la loi du 1" avril 1926 Sur -lés bauku loyer. /l

M. Louis Barthcu, tout en ^estimant qu'il' eût; mieux valu ne pas trop. sltrchargerJa ldi-nou»yellp^ a déclaré qu!il n'y -aurait pas^ de désao- cord de fond entre. le .gouvernement et la coin-».. mission sur les diverses dispositions adoptées par elle se rattachant directement à la, loi du 1" avril.

NOUVELLES DIVERSES Une chemiserie est pillée avenue des Champs-Elysées r Un agent cycliste effectuant une rpnde.v hier matin, vers cinq heures, remarquait que les grilles de sûreté d'une chemiserie, située 50, avenue des Champs-Elysées, étaient forcées et la glace de, la. porte d'entrée brisée. 11 n'était pas douteux que. des malfaiteurs n'eussent opéré là. "• Le magasin était bouleversé cartons éventrés, tiroirs béants, tous les meubles fracturés. Le propriétaire de la chemiserie, M. Boisson, aussitôt prévenu, fit, soii" bilan il était. victime d'un vol de plus de 150,000 francs, et cette somme sôus les esi- pèces.de cravates somptueuses,' de chaus- settes de soie et d'autres articles de haut' luxe. On suppose que les malfaiteurs, pour": opérer rapidement et emporter leur bû- tin, ont* usé' d'une automobile. Quelques empreintes .qu'ils ontJaissées s{ir 'Fé$'jniieu-V' blés aideront "là" police dans ses kï^ÇÎièr* èhes. r 'i:

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Un scandale au cimetière ~` du Père-Lachàise

On nous signale un incident véritable-' ment scandaleux qui indigna, hier après- midi,- les visiteurs du Père-Lachaise-, Un cercueil déposé à terre, abandonné sous la pluie, attendit, durant trente-cinq minutes d'introuvables fossoyeurs. Le convoi de Mme D..<, arrivé au cïniè-' tière à deux heures, se dirigea-vers la tombe où, pas plus qu'à la porte d'entrée, ne sç trouvait le moindre représentant de l'administration. Les fossoyeurs, cràighant sans doute la pluie, n'étaient pas à leur poste. '̃' ̃ Le cercueil, descendu du corbillard, fuf placé dans une allée, et la famille, ne voulant pas retenir sous l'ondée lès amis venus présenter leurs condoléances, le défilé conlmenca.

Durant ce temps, le directeur du convoi s'était rendu chez le conservateur du '-Pert'Lachaise, pour le mettre au courant de lai situation. C'est seulement après trente-cinq minutes d'une pénible attente qu'on put trouver les fossoyeurs.

Gomto'ent, prévenue ..régulièrement deèuis'lurtdi matin deis obsèqaesde Mme Di. -•>

l'adiniaistration, du. cimetière rrte "prépara^

t-elle pas la réception du convoi et donna-t-elle le spectacle d'une aussi lamentable incurie ?

C'est la question que nous posons aux ̃ services compétents de la Préfecture de la

Seine.

Seine.. S. A.;

̃ ""̃' «^^«o^;»

DERNIERE HEURE SPORTIVE

W, Tilden, virtuose du Iawn=tennis ` ̃ V en '• Europe ̃ ̃v.'V

William iTilden, le.. célèbre joueur. amé« ricain de. lawn-tennis, et F. Htinter,. s'embarqueront le 27 avril pour l'Europe,, pour participer à de grands tournois internai" tionaux. W. Tilden jouera en Allemagne, en, If pi- lande, en Belgique, en France et à Winxbledon en Angleterre.

Le circuit aérien de l'Atlantique par de Pinedo Ç-,

|>i

Une dépêche de Rio-de-Janeiro aptfr'enct que le colonel aviateur italien de PinedV îL^uitté. Parâ'niEï'credi 23 mars, à-7 -hv 5&i. (heure Jocale)^;paun Georgetown (Guyane;' anglaise);" –;rv •• ̃ ̃- De Pinedo a accompli la dernière étapoi Manaos-Para à une vitesse- movenne de- 1/p kil. à l'heure.

ger une autre fois. C'est parce qu'elle avait perdu son procès devant'la Conférence d'Algésiras que, neuf ans plus tard, l'Allemagne Il refusé de comparaître devant un tribunal uni-! versel et a déclaré la guerre la Serbie étaht, comme aujourd'hui, en cause. '• Lorsque les socialistes et les communistes blâment la méthode des conversations dipld-i magiques, c'est pour l'aggravation du conflit quUs travaillent tout en protestant fem* amour de la paix. Ils font à dessein la politique du pire.

L'attitude des socialistes ne s'explique" pas seulement par leur hostilité foncière à l'égard de l'Italie fasciste,' « hostilité telle que s'ils étaient, les maîtres ils iraient, pour renverser Mussolini, jusqu'à la guerre de doctrine et de prppag'ande», sœuf de la guerre de magnificence et de conquête: Sans qu'ils s'en rendent tous .nettement compte, les socialistes, autant que les. communistes, regardent avec un immense espoir les progrès des nationalistes bolchevistes, en Chine. Ils s'en réjouissent. Il'leur parait; que le triomphe de la révolution asiatique-sur l Europe serait encore plus facile, plus grand et plus beau si l'Europe se déchirait. C'est leur traduction dui motiMneu» i.çCrèye, soejété! » Car on ne.doit pas reculer devant la réédition du poncif d'après lequel leq.spcialistes, même bien habillés, méhié normaliens étr^'Iettres sont les ennemis de la société.

M. Jacques Bainville se plaît doncà sou- ligner le dépit qu'ils ont dû éprouver- en voyant l'affaire albanaise s'arranger par, voie diplomatique.

Cette fois-ci, au moins, le, socialisme Bellii queux est mal tombé. La bouche de ftf, iStifesemann £lle-même a renoncé, à, souffler sur il© lieu. Le ministre allemand a déclaré que l'intérêt de l'Allemagne se confondait (pour le moment du moins) avec la pacification de l turope. Il est bien clair que cette pacifica- tion exige que les éléments subversifs soient' réduits au silence.

Conclusion: «Une provocation comme celle de M. Léon Blum, hier, est un argument de plus, en faveur de Wdée de M. François Coty front commun contre le

communisme. »'

Pierre Villette


Réunions, Cours et Conférences Aujourd'hui

Société des Conférences, 184, boulevard St-Germain Aujourd'hui, à bj 30, cours de M. André Bellessort sur Sainte-Beuve Sainte-Beuve et la littérature du second Empire. A 20 h. 30, au Club du Faubourg, Se ciétés Savantes, 8, rue-Danton, débat sur l'Affaire Chavagnes.

Montmartre au temps du premier Chat Noir, par M. Riotor, 20 h. 30, à la mairie, du. 4" arrondissement.

L'hygiène, par le docteur Queyrat, 1? h. 30, rue de la Sorbonne, 16. Ethnographie, par le R.P. Tastevin, 16 h. 15, rue d'Assas, 19.

Institut grégorien, par Dom Chauvin, 14 heures, rue d'Assas, 19.

Les Accords de la Foi et de la Raison, par le R. P. Dieux, 20 h. 45, église de la Trinité.

Pages mystiques, par M. Copeau, 20 h. 45, boulev. Saint-Germain, 18C

"<5* M. Francis de Croisset, donnait hier, à l'Université des Annales, la première des deux conférences qu'il doit faire sur « les Marionnettes dans là vie et au théâtre ». Cette première leçon traitant de l'amour, de l'amitié et de la jalousie, eut un si vif succès, M. Francis de Croisset y dépensa tant d'esprit et une si fine psychologie qu'à la demande générale, cette éblouissante conférence sera répétée mardi, à 5 heures elle sera d'ailleurs, par la suite, publiée dans Confèrencià.

•A l'Université des Annales, Colisée, 38, Champs-Elysées. Demain, •vendredi, 3 h. « Les enquêtes modernes Comment un pays perd ses traditions ». Conférence par M. André Chevrillon, de l'Académie française. `

A 5 h. « Les enquêtes modernes Comment partir ». Conférence par M. Roland Dorgelès. Auditions de Mme Hania Routchine (conférence redemandée).

Bans une courageuse, claire et limpide conférence, M. Paul Reynàud, l'éminent avocat, montra, avant-hier, à l'Université des Annales, à la fois la beauté du fascisme et 'ses dangers; l'admirable travail du Duce, et la brume sUrM'hqriîibh, l'ordre miraculeux, qui règne sur un pays où tout est valorisé, ^omiçess et choses, mais aussi l*extehsiôn prise par une Italie en activité, en explosion, pourrait-on dire, ses besoins nouveaux et le devoir impérieux qu'elle a de s'étendre. Il faudra lire dans Conferencia cette leçon du plus haut intérêt qui est d'un philosophe et d'un voyant.

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7à., CompaBnie Algérienne. ,580 ..»83 ..4% 9 7. 57 6U SB 1U Russie 47o 1867 1863. ^J « g •̃ rranc? <|f^ 494 Saint-Etienne (Houillères de) ..94,50 .95. s.3 Chartered 184' 184 Argentin 1386 J. KXT1/2 1001/2

il; Compag,nla A!gé!enna. 1580 1583 4~0 1917 57 60 58 10 Russie 4;% 1867-1869. 15.. 14,5515. Franc- P? el ,se. 600: 585.. 65.. MO!'tram.bert et la ,~eraud,ere. 1570.. 25 b, ,Çâoutcho.ucs (S"F~i~incièr6de) ,527 [, }26 Consolidés 54 318, 5 Il ~3le.

60. Comptoir National décompte. 250.. 265 4^1916 U,».». .-51.70 58 40 |«nt«-F^S%^9 1O ,,g 1W», ,n_~ ëanqua°er?vraYnSonaUcu^.° 259 259 IÈ5! Aniche CMines d').V..>X 1365 35ff 3 ,h.'6 67ty!6eep..Y.VlV. '101 ..• m ferLil 1889 59 59 ,50 Crédit Commercial de Frahce. lu» ̃• *tS v. f^J92O Amortissable. ••••••• Sj 2 r m | ÏÏ a iwi Crédit Alaérien IÏS An*»iw.i.».••«' !210 1210 tï'oiombia.4.i.V 375 381. Funding 80. 80.

20. Foncierd"I,'h)R~hll)8 7, ")8-4 '1Ó,192,s,(ChBngu!~r.a"tl): .9!t45. %su'ss.1903. 410 n4tO~l. 4f!l 'j1;;C.~0"c.d"'»'¡g!I~ntS"5l?"c'L" .35,9Z81anzYépc. 899.894.. .ç,oj:!cordcia, 2],,7: ;7Z5. Chinl:,4.JL+" 57.1.58112

,80 Lyonnsis.2 $.. ,47!! 60ns,du -févr. 1922. 52+ 52450 Douan 1I!1'9d.¡ "ou 41() IJ, Cred,t Fcncler Argentm ~50 5006 Carmaux !4tO 1406. è'dfb\,bro ¡'rd,h,>,A 47i~Ù ,7 ~5 Egypte Unifiéa. 82 '314 82314

40%- Mobilier Français. 507.. 508.. févr.1923. 500.. 500.. Ç>0~ane',1902. 393,. 395.. 52 50 dl!8r,ésH. ~71 780.. 50.. Carvin"i250.. :249.. 6 .h. Cro,~ Mines. 4e27 427.. E~t 79.1, 79.1.

40% Mobilier Françai 507 508 fevr. 923 500 50U pouane* 19°2" ïf> m.. M3U -^jO" 740 69-1 50..Dourges 1490 1492 30 jh. De Beers ordinair 2027.. 2010 italien ?. 15 15

-215'>\Sociité Générale. 1044.. 1045.. sept, 1923 498.. 499 75 Tr!bu~ d EgYPta" 50 Cqlcnlsl. ~4O.. 694.. 50.. Dou,rges. 1490.,1492.. 30 eh. De Boera ordinaire .1. t027.: 2010., Italien 15.1. J5.1.

,F.~r: .611 543:: r ~,9~ 5~ ~75 P ~ba'c: 325:: "s==.C-'B~~ov'~ ,72.. 7250 20..Gra.~ac.447.. 447 20,h. pr.f6r.nc. !580.550.399. 69 (63/4

118..ISociété Générale FoncIère.611 1543.. Etat 1924. 570.. 56975 Tabacs Pr,or,té Tombao. ,,325, soc; CI. Alsacienne d~IRrovmce. 775 72 50 20.. Gra,ss,essac. .447.. 447.. 20 sb. pr,of~renca. ,580. 1550.. Japon 1':199 69 .1, (8314

118 Société Générale Foncière. -on •• "V •• -to«i»^»- J]5 279 Tabacs du PorWqal Ï422 1426 50 Soc. G1' Alsacienne,*}» Banque. 775.- 770 40 Grand'Combes .761 .762 | d. Francc-Wyb'mmg. ord 749 754 Portu8ais 37 3/4 37 3 4

,<, ̃ S 13000 12973 0Ul^ChjtrEl'lttsK* 3g" J, uîlwOr ?05 40 Société Marseillai4e,f. 600 600 30 Uany-les-Aires 7 sh. 6. Geduld %0 .547 Russ0 ,9p6. 6 3 6..

42498suez.. ;••"»̃•» mn' inoo" o«7-rf«r.7n«l.i<»i«» 29 W « 92 90 Uru8uay ^r lso& l'" ̃̃ 30 Immobilière des Voitures 777 21 50 Loire (Mines de la). -523 523 2 A. 6 Goldfields. Consolidated 256.. 257.. |9O9 4/2 4/2

464 77 Suez ^art de fondateur). 11».. ITO.. Obi- décennales 1919-29 «» «W OBLIGATIONS 28 50 Maries 374.. 575 Hartmann ,254 253 Tur0 4% k 3 1/4..23.3/8.

824% Suez Ccmle) M?' 9T" Case Tlonomé 526 527.;? OBLIGATIONS ACTIONS INDUSTRIELLES '50 Qsfricourt 1370 1368 60 Hotchkiss .W.; 1}7I l 75' Ï

48 50 Est .945,948 Ai autonomé. 5Z6.. 527, )ol. 814 810 ACTIONS INDUSTRIELLES 50. QMi-icourt. i3ÏO 1368.. 60.. liotchkiss. 1171 ~175

4850Est. ,V4i;0 .-Caisse «utonomé. "A/A «7 295 1RR<; A% r.mb i SOO1 814 810.. 25 Vicoigne et Nœux 618 É05 Huanchaca '.30.. 135 chartered 28/3. 28/

70 y Lyoi» ?4 ̃• 8J •• ft1^ Owd.rt t^T Y. V. âlf.M remb! à'ÎSSCÎ 342 350 28 50 Chemin d. fer Est. jeu, «5 43Q 175 Algérie-Tunisie (Omnium) 5800 ,795 5.h. 6 Jagerefontein. «2 .460 East Rand. 26/6./ 27/ j

WSOMidi 655 l6M"^dô?£l^r3oroi9O9 278 300 m 875 1% remb. èSOb' 40O 402.. 15.. Est-Algérien 441.. 449 50 Bolé'o. parts 375 _37! LiahOscff «7 -580 Go|dfie|ds 40 7./2 40 J. 2

80.. Nord. !655.. 1630 3 112 1!¡109. 278.. 300.. !!1 18754(.'0 remb.~500, 400.. 402.. '35.. E,t.AI~er~en, 441.. 44 5, 102 Boleo, ~srts, ~75., 2840 Õ" 7 h, L, ,anosoff. ,57? -580.. Goldfields. 4017.240/1.1,2 2

80.- Nord ^•o44* lOra' If/2Ô?O1913'" 294 50 î 876 4% remb à 5O01. 407 50 408.. 50 Lyon, jouis. 713.. 102 Bcr (Mines de) ord 2720 2840 7 A. Malacca, ord 50j.. 506 Rand Mines ?l'l;{: ?i ?)

60.. Orléans M.d.n..r»r 1897 SOI 5 892 2 1/2 remb. à 4OO1. 189 50 190.. 32 50 Midi, jouis 676.. 6Ba». 27 50 Cuivre et Pyrites .352. Malopolska .624.622. De Beere J6 5 6 16/116 M ̃̃• u 'D M831 1875 iloLaoS 62-' a. llïtaè 2 f/Tr. 1 4OO1. 190 50 195 64.. Nord, jouis. 1216 1200 225 225 Mokta.el-Hadib, act. de SOO fr. ^J 6555 Maltzoff 383. 380 j ersfontein Ia'.U S!i;f 100 ,.Santa.Fé(C!efr.ch. fer ProvJ 1»31 18» 19O3-19OS °| • £- 0. °|^|bYsoO^. 22550 221 50 15 50 Nordlsud de Paris. ••; •• 238.. 45 Lille-Bonnieres, ord •£! -£7 Mexican-Eagle Oil. ord 24 22 Hio Tinto 39.7/8 39 5/16

35 Métropolitain de Pans 726.. lïl Maroc 4 1914., *> >f- J||§ 2g Met r SOO1. 219 50 220,. 45.. > Orléans, jouis 610 55 Pétroles (C" Industrielle) $£,'•£&•- 4 .k. Mexico Mines of e Oro.. Mexican Eagle 18/ 17/9

65 Dletr Parisienne d'Élactrlclttl.1391 1440 Tunis Crédit 5% 1692. 228 75 22650 19042 1/2 Mot, r..a 500.. 225. 225, 24.. Ouest, JOUIS. 450~ f' 100,. Dynam,te CS Centrale). 2~?8 2à&s 3 .h. 9. Moddcrfonte,n (B). 249 ..133 50 Royal Dutch 31.314. 31.8116

65..D~r.P.r~n.d-É).=tn.iU.'39~40..T~ National 5010 1919. 405 405 50 1~05 2 314 "mb, à 400,' 375 368 ~2875 ,0ua~t:Alg~ri,an. 4 450 45.,E~ro.Chim.eM4t.).j~O.. 9&5. 18 L. Monteca~ini 24950.2M5Ûsh.th.4p/32423/32

Thèmson Houeton. 502 515.. oblig, 500 f. 5 1920. 412 412 9io~3/'4M~rÎ430'. 01 188.. i9)' 30.. Tunisiens 483 293': 60 ..poutenc.035.00).Mozambique. 8750 ~;50NorthCauoasien.26.Z,'6.

.Th.m.onHou.t.n. 502.. 5)5.. ob).g500f.50/0l920. 4~ 9~23/~t.O )92.. i9)75 75 )6..Parisienne tnd.E)Mtr.q~260.. 293.. )54 ..LeR!po)in,jo~2905 .9..N.vigati"d.rAfriqu.duNord. r~. 29) 50 296 R~o.t.5. /.5.

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)5..F.r,Ac..r.duN.rd.tE.t. 348.. 6 ~00~~923:: 446 446 ~t~ 444.h-.445:. M::v~yœt.b..th.rma'D:640..)625.. 24 .Us.n.duRhcne.694.. 6~p~n~d.cat.(Shans.). ,6250.62. .9,8/)69/)/2.

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Pétroles Premier. 363.. 375.. V,lle d' ev, e,r,dlln, 6" 0/0. 440," 443.. u. C, om.18,91 260% 400" 228 50 ,7,50 Forc:M, otrl',o"es 'd, U, R"hôna, 1~~ 7~, ,,48 12 Transports Mar't'lTfoe. 1270 127, Tabacs cl'Orient et d'Outremer 182," 145 s/Par,s. <cha,nge>124.025 124005

ao^KuH, jS |i^: «i^ g– ni! ||gfc|§§;: 1IB I4| ,S -î^fef: f ^gf^];1:: »i5 ïeP^ g ^Pv^ = :5ff 5^gé

,41 Gafsa. 1125.. 1 148 Ci. d'Energie Elactriqua- 432 50 425.. UJ, Com.1899260%r,500f. 239.. 745 ,!Z5.. Indo.C~'no'so,d Ele,~trlc'te. 1840 IM 120.. D~st~lIer!e Cuse~ler. 2315.. 23,5.. J25.. T~rrs~.R;¡>uges'r' U41, !152, Valparaiso. ,3966,39168

lo: 693 Eglises dévasté es tfo-tïl- S sbî2SlS?îf# 3 -S -'S ^^ÊZ^±^ "S ::= | ::• 'g;?^^?! ^V^i^x g:: l:miS(con^ano:2t77^

25 Chargeurs Réunis >™> .-• Grosse Métallurgie 6.0/0. 43U 43Z Com 1|o| |A r. 6 |OOf. 30 Radlp-Frlneé'.V. «9 58? 20 Grands Moulins de Corbeil.crd. g2 222 Tub,. ,t F. de Sosnowice 305 318 Cufvre fcomptent). 56,3/16 56.3/16

9 Transatlantique ord 282 283 6.0/ 0 nouvelles «» ̃ ^g 2 C°m 912 3% r a ÎSO1. 13' »2 ^Radio-Maritime. 280 ..»; Sucreries Brésiliennes. 549.. 546 35 b. Tubize priv. 456 465

.50 ..Voitures à Paris Nwd P«%^cVL 1922 449 449 t Fow- « 3 3 W/o r.sSà1. 270 266 .45 Télégraphie sans Fil. 672 672 4345 4. h. 6. Union Corporation. 43! 426 NEW-YORK, 23 mars 47 73. 47,4.3. 22 ..Air Liquide •• “« •• « •̃ K^ 'tZ^^ ̃̃ | «» 4^*500 |55 355.. 50 Té.ph^s ^^j»»; <&" W V. « ^^2^ f Y. g 1 :rran, COMPTANT 36,7 ,38!J Qai, Money, c. m 4 ,4 .5,8

'IZO'Ciooutchoucslndo-Chine.2130..2124.,lnd!,strielftoolsaciens1922- 419.. 4,9.. oI1J Emp,191751/2r.à300r' 220.. 228 2O..Un,ond'Electl'lc,tê. 429:. 429.. 40. du';3oulonna.'s.650"1~~Ó" (. Çait Money, c. m .4 4.1: ,4,5,,8'

)20'Ca&utohoucs indo-Chine.2)30.. 410 Maison Bréguet 6 433 432 C~m)9205~2rÎ500' 360.. 35550 90 45 de Ilndo.Chlne. !43J.. 420.Bak6u(NapMe.d.).t660.J&5~cabtestransf.rs.<! 4 8151621 ~2 6562.

Cultures Tropicales .4,1 ,169.. M,nes da L9ns 6 010 448 443 t.1: ,Emp.1921,6~/2r.à500', 385 36) )60 Als.scisnna Industrielle,Textile. 18 .95 poniet~ ~nausson.13~g.. "00 7) 25 Brosse (La-).672 ..67? Change sur Paris vu. 3911123915/8

Or*»di-*<âti..> .»*•, ?,.«-l69. v Mmes da Ljns 6 0/0j|22. « 5*922 eXt. 360 356 25, Acétylène & Electrx,-Mêtal.5. ''te .1110 62 50 Grande Maison de Blanc ̃?£ •• $1 ̃̃ ̃̃ ̃̃ Malopplak* (part).. ». *55.2680 u. S. Liberty. 3 1/2% 013/32 10031.2 2 .̃-•̃ ̃ f,3\nUGoÏV"- Bh™ofn' 4b5 467 467 20' AciéHes & Forgésde Firminy. 292\. 292 50 Nouvelles Galeries ..576 5É4 578 I7.50,!bmnium-Pétroles 383 ,388 AtohjSOI1 Topeka.4. T ̃ l?5.5* 76 3;£

25..Pathé.Cinêma.UoulD). «3 756., Usmes smisVeeS_6 1/2 O/O. f> 3?5 FraBnc- f. 239 2 8 10Q ir Agencé Hav,as. »72 «174 '.V 230fl.jRoya(,qutc^ 3v750. 39toQ. Baltimore et Ohio.̃ Ii2>1/5| 12 3,'4*

(00 Raffineries.* Sucreries Say.. 2333 23!0 Algérie 3 0/0 1902 440 V. 440 4%. .T.i.i 310- 302 65 d* l_.orfgwV:U.i;. -590.Wj ̃ 72 Did#Bottïn ..i. '425 > t420to m H. F. de Saulnes.̃̃ -'080.. Canadian paoific 82 ;2 183

59 09 Sucreries eolcniales, 768. rTBO. rw xlàî%oB 238 235 3% ànc ienno 301 300.. 3750 de Michèle •• iB 10 •• Le Figaro. .460 4 .h^ 6. Shell. 607 «o08 chesapeake a Ohio 159 1/2 161 1,4Union Européenne 1385 1392 ndo-ÇJ,,ne |||9-19OS. 220.. 2 i/2»I 263 265 61 40 de Sambre-et-Meuse. -9oO .9/5 200 Chaix 3?25 ..5275 100 I Steaua Romana. 369 3o8 Chicago Milwaukee C. 13 13 Russe -i ̃ 7Q95 M65Ïd°-Clî;nnln^o2i9oV 260 260 Lyon 3% 855 275.. 275 Arbel (Etablissements) 195 .T 80 Librajr» rlacJwite.».•.>. l285 1290., 725 Monaco 1^0. Ib50.. chio'ago' Rodk Island .Y.^64 1/2 «i/8 ». Russe Consolidé \"& 2' séries. 29 95 29 65 jun.s 3, 00 19O2-19O7 |% Bo"dVc r.Tsoo' 490 489 Atél.&fchaMtiersde la Loire.. 535 521 3615 30 5 D/ Utah Coppsr 2875 Erie Railroad 42 3 4 43 1/2 S%1906 '680 2665 m xmb .3,49. ̃̃̃ ;v. '375 380.. 25.. Const. Nordde'' la France. -5I0 85 Afrique Occidentale (C") &I5 •̃ ff|O ̃̃ ===== Illinois Central 125 l 2 I25 5/8 :4 010 Serbie 4% amortissablo 1895 ̃«on TM ,,A'lBma9no19 af[Pntn J 269 50 272 50 S% Y. 327.. 320. de-St-Nazaire.. 478.. 483.. 29 Air Liquide (parts) 1480 1450 CHANGES New-tprk Central 1411 /6 141 î 4

= 4 0/0 Serbie4% amortissable 1895. «80 65 75 Angleterra 2 1/2 0/0 JW 50 m -S% 294 294 50 Bergougnan. TJO .710 CHANGES 4 Pen.ylvania 58-3/4 583/4

̃•T-urc Unifié. -'6 50 114 90 Argentin 6% 9O7. 23M 2320 I 3% on'âne 279 75 28! 75 Châtil'on.Commentry 2060 200 Chapal (Etablissements) $0 4240 Londres. 124 04 124 02 Raading 05 105-1/2

5% 1914 7890 7810 s% 1909.1 uml aei aw husion anc. .5 Decauvil|e 165 164.. 70 Cirages Français 1074 1075 New.York 2554 25 53 Southern Pacific J 10. 3/8 IU 1/2

8anqueda LondresatMexico.. 257.. 256.. Aytricha 4% 21/2,°'0.250.. 247 o' .5.. DecauvIlle. 164.. 70.. Cirages Français 1074.. 285 New,York. 25 54 25 53 Southorn P"cific. JIO,318 ILl 112

;Banque de Londres et Mexico.. 2H.. 256 Autriche +A",».V;j; 42 [ 42 75 Midi Bons déce'nnaLx6% 486., 486,. Dyle S. Baçalan. priv •; •' .-̃ •• J? 50 Continentale gompteurs h Gaz. 288.. 2J5 All ̃ 605 75 .605 75 Union pac!fio 16| 1/4 166 3/4

Nationale du Mexique. •*« •• JîïA ™l9.'u,i/,i.;i 289 290 75– 6% 347.. 347, ord 71.71,. 52 50 Gaveau & C 555.. «'•••Argentine •̃ •• Ancconda Çqpper .461/2.46.3/,

Ottomane 25O1 p 1480 148U Brésil 4 A 1889. •••̃ •' °{S 321:. 324' 50 Electro-Câbie (ordinaires) 684 678 Haour.(Etablissements).••; v- Belgique <1ÛO Belga) 354 50 354 75 chine Copper 26. 26.

-•̃̃-̃ 6% Funding. •- •• 1^ •̃ *>% 288 293 85 Fives-Lille .Â. 14* -1470. 55 Bec Auer 820.. 824 Danemark .••••̃ Ray Copper 14 7/8 14 7/8

fi. 1.2.7 Crédit Foncier Egyptien 3970 3950 1909 (Pernambuco), 580 Jg. *fl ^–V»^ $J 375 I. 50 For9esTAc»"Huta-Bankowa. 1105 1095 30. Maroc «".Générale du) 599.Espagne 451 455 50 y Jh CoPpPper 112 (. H2

10 Crédit au Grande Lac. 75, 837.. Bulgarie 5%'896. 655.. 655.. Nord 6to série F. 39_. 55" 50.. Forges A,T" H~ta-8ankowa, 1105 1095 30.. Maroc (C j.Ge~e~ale du), 5 i¡'¡" E~pagna. 451 4;550 Utah Copper, 112 1-12 1'12 .1.

10 Congo au Grand. Lacs. 75:, 837 Bulgarie 5^896^ ^d 6^0 s|r F 354 355 >; For««.&Ao«« Marine 6, Homéc ••̃ •̃ ••̃ •̃ Tabacs (C" Générale des). 160 16j ..n^^ American Téléphone 6 3 4 62

'te ord i.. .o'i; ,oiS 373 1% «iris D 330,. 330,. 2Q..Jeumont 320.325., 225 Tabacs au Maroc 5510 »JJ{ Grèce American Car & F 101 1/2 102

,40b Wagon-Lit, ord 1658 ..16* Chine 4% Or 1895 373 4A ^n°;["y_ 297 31 90 part). l. 1081 -• 1095 45 Union Ccmmerc"lndo-Chino' 599 600 HollamJe 1022 1022 25 British American Tobacco .24 3'6 24 5>$

1- 1: Ce~~ral" Mining 2210, 2230.. 5% 1902, 480. 3% ancienne. 298.: ,297.. 31,90 (part) "ï" 108 1095 45". Union Commeré" Indo.Chino' 599. 600 Hollande 1022 1022 25 British American T~b~ ,24 3,'8 2.4 51

Ll. Central- MininB SJS"?"loi" 382 375 2 l/2% ïérii C 302. 300.. 30 Méditerranée (For,»,* Chant.). 4M .439 £0.15.3 Land Bank Egypt 1665.. ̃-̃̃̃ Italie 116 50 117 50 CentHal Leather ,9 |72 .93^ 50A. Rio-Tinto 4984..4952.. |% 1903 045 1020 6% 1921 tran A 338.. 340.. 25 Forges & Fond" Wontataire. 52s .524 360 Crédit foncier Franco-Canadien .9800.9835.. Norvège. General Electric 62;i55;- 1.: .2.7. Azota <Norv6glenne) 1165 /•«> A, ̃?̃{ 411 50 412 OrU.ns Rnns dicenno.» 6% 488 490 28 p. 50 Nord Espagne.. '• •• Pologne (1OO zloty). Bethlehem Steel 49/8 49 5/8 UÛ.7. A,ote (Norvégienne .o..i.. «J» H68 Egypte Umftjie.». «* 412 Orléans |ons décennaux 67 _• Denain-An.in .̃. 1729 ..11705 28 p,Sar,9oBse. ̃ •• --y. ̃̃ Portuga»! -• U. S. Steel Common. Ï62 M 160-7/8

15tb. Lautaro Nîtrat .••– 435-- 427.. Prwlegié 5% 1 338 341.. 52 50 Lorraine Min" &Métall.35O p. •.̃̃ 1270 35 f. b. Rouina (Algérie) 630 .6» pra9ue .7,80 .75 50 Roya| Duteh 501/4 5ftW4

|n 5?Çf.fl2Vïqin 753 775 294,. 290.. 55 Matériel de Ch.de fer (C" Fr!)..925 .924 Sosnowice. 2" •̃ 2!5 Roumanie.. v.V. '15 25 Shell 45 1,2 44 1/2

5:m.jOriental Carpet.u. 570.. 575.. H~1ti 5% 1~1a.u. .7,3 .77~ 4%u~ 23Q9i 2~ ~5.. Mat~rlel de Ch.defer(C Fr;)..925 .924~cjISosnowJce. 121~ 8W Suède,. ~15 25 6 4 Shell 45112 44 1/2

5 Oriental Carpet 570 575 HaTt, 5 A '|1Cf. "l 0 73 20 3% ané 302 305 Mater, de Transport •• ̃-•• L.2.6. 9 Suc. Raf. d'Egypte (parts). 1660 .8fr0 •̃ Suéde SSf 50 "$§,1 In o,c «^

60 f b. Pétrofi.na 236 236 lUI.e 3 l/2/o. £ ™ » 3% an™ 304 305 100 Métaux (C Française). (655 1658 85 p. Tabacs des Philippines. 5450 54W Suisse 491 490 50 Affaires tota|eS. 2.275.000 ¡ L.0.5. 6 Sucrer" etRaffinerïe d-Egypte. 1029 1030 ..Japon 4/4 1905. ™? 2 1/2 LMil. 247 '245 60 Senellé Maubeuse.t. 1425 .1440, 85 p. Tabacs des Philipp. (parts). 5300 ..15300. Vienne (1OO shillings) 359 75 -titres.

25 Tabac» Ottomans v/u °'3 »/» ,wu/ «.»• ç

lOURRIER DE LA BOURSE

̃•̃•̃̃̃̃̃ 23 mars.

Le marché est décousu et 'sans entrain. II sue l'ennui. On ne peut guère signaler que le groupe électrique et quelques spécialités, comme les Congo-Grands Lacs, demandés par Bruxelles, ou la Pathé. Encore ce peu d'activité est-il probablement 'œuvre de l'étranger. La clientèle française ne s'intéresse qu'aux rentes et titres à revenu fixe ou à des séries à court terme. Tout ce qui touche aux valeurs à revenu variable la laisse complètement indifférente et on n'imagine pas ce qu'il faudrait lui offrir pour la tirer de sa torpeur. Curieux état d'esprit.

»

M. Octave Homberg a eu raison de dire, hier, aux actionnaires de la Sotiété, financière française et' cdloniale, ,que la séance récente la Chambre a discuté', la concession. Mailhot-Vcreeeken a laissé une impression des plus pénibles chez tous ceux qui s'intéressent au développement et à l'avenir de nos territoires d'outre-mer. On s'attendait aux imputations calomnieuses des communistes. Pour eux; toute entreprise coloniale repose, bien entendu, sur l'exploitation féroce de l'indigène et n'a d'autre but que de détrousser- l'épargne de la métropole. Mais comment le gouvernement a-t-il pu laisser développ'ër ,sans protester ce thème de guerre sociale ? Comment n'at-il pas proclamé aussitôt que l'immense majorité de nos entreprises coloniales défient toute critique ? « Ce qui m'a été sensible, a dit M. Homberg, c'est de voir que ceux qui président aux destinées de notre pays, qui souvent f ont appel à la bonne volonté des citoyens pour la mise en valeur des ressources, coloniales, alors que se présentait l'occasion de rendre justice aux bons ouvriers de cette cause, ne l'ont pas saisie.

» Nous avons fait ici, dans notre groupe d'affaires, a-t-il ajouté, beaucoup pour mettre à la mode l'Indochine. Nous avons fait en quelque

sorte comme le commerçant, (fui lan-

ce 'une1 bonne marque naturelle-

ce ¡'linë' bonne, marque naturelle-

ment quand la mar.que est bonne, il sé'frbuve' des. aigrefins; des gens sans scrupule qui en abusent, qui la contrefont et qui lancent des marques cherchant à provoquer la confusion chez le public. C'est exactement ce qui se fait en ce moment sur le marché financier à la faveur du succès légitime obtenu par les bonnes, solides et profitables affaires que nous avons créées, sans cesse de mauvaises affaires et souvent même des escroqueries sont lancées. Qui a le plus à" se plaindre de ces pratiques, si ce n'est nous-mêmes 7.

s> Et contre ces abus, contre cette concurrence déloyale, contre cette escroquerie même, nous sommes désarmés. La loi ne nous offre aucun moyen de nous protéger, de nous dé-

fendre.

» ̃ Un seul nipïjen existerait, c'est celui de là protection morale, et celte protection morale, je regrette d'avoir à constater devant uous qu'elle nous a fait, défaut. > (Applaudissements.) Il suffit 'de parcourir la liste des valeurs du marché hors cote pour constater, en effet, que beaucoup de lanceurs d'affaires nouvelles s'efforcent de pasticher les noms de sociétés anciennes' et respectables, dans le dessein évident de créer une confusion avec leurs propres entreprises. Encore une fois; la liste des membres;

du. ^conseil M.4e ,APm> ,,<Ju bawmier,

émetteur fournissent une première indication à ne pas négliger dans les cas douteux.

Nos Rentes gagnent près d'un point en moyenne.- ̃

Le Serbe 0/0. r.éçupère encore 2 fr. 95 à 16pj75. Ottomans et russes lourds.

Etablissements de. crédit bien tenus Banque de l'Algérie,. 10-350 Banque de Paris, 1.775 Lyonnais, 2.475 Union Parisienne, 1.278 Gomptoir d'Escompte, 1.255 Mobilier, 508 Financière Française et Coloniale, 2.780 Banque des Pays du Nord, 4M.1

Union Européenne, 1.392,

Chemins de fer en progrès Lyon,

.m. ~m ë~7M75NA~n ° Snî?)/9M-tr'500' 225. 2N 24 OuMt cuis. 286.. 266,. )OO..Dynamite(S"Centra)e).2!80..2!eO 3.h.9.Modderfontein(B). '34 .33_~ya!Dutch.3!.3/4.3!.6/)6

1.185 Midi, 1.185 Grands Lacs 837, contre 755.

Fermeté du groupe électrique Distribution, 1.440 Générale d'Electricité, 2.1,95 Thomson, 515 RadioFrance, 589.

Mines métalliques irrégulières ». Rio, 4.952 Penarroya, 1.270 Balia, 247.

Charbonnages hésitants.

Phosphates et produits chimiques en légers progrès Gafsa, 1.148 Kuhlmann, 741 Péchiney, 1.693. Sucrières calmes..

Pétrolifères hésitantes Wyoming ferme À 754..

Sud-africaines irrégulières De Beers, 2.015 Transvaal Land, 380 Central Mining, 2.230.

Les caoutchoutières ont piétiné surplace. Au comptant, fermeté de l'Industrie Textile à 1.148.'

La Banque de l'Indochine gagne 125 fr. à 4.925 Eaux de l'Indochine 140,. à 3,815 Générale des Eaux 55, à 1.875; part Forces Motrices du Rhône 200, à 7.700 part Pyrénéenne d'Energie 115, à 3.900 part Minière du Congo 150, à 11.350 Guergour 300, à il.200 part Haut-Ogooué autant, à 12.850 part Belge de chemins de fer réunis 2.075, à 10.050 Franco-Néerlandaise 120, à 3.925 Cairo-Héliopolis dividende 125, à 7.500 Moulins du Maghreb, 127. La Bénédictine jouissance abandonne 300 fr. à 11.400 Est-Asiatique Danois 75; à 6.825, etc.

Madrid, Tolède, Séville, Grenade L'Espagne, qui fut le théâtre de la lutte'de deux civilisations, dont chaque ville çst pleine de souvenirs et où les anciennes traditions n'ont point encore été effacées par la vie moderne, est un des 'pays d'Europe les plus curieux à visiter. Non seulement on peut y revivre toute l'histoire de l'art, depuis, l'époque primitive jusqu'à nos jours en passant par la domination romaine et musulmane, l'art juif et mudejar et la grande, période catholique, mais chaque site1? :chaqufe"lp^ysiygfr«j'cMiqiiei J mouvement de* foule, constitue '«h-' çore de nos jours une. vision. sUsceprj 1 tible de tenter un artiste.™ Madrid et son P,r_ad0.où sont Velasquez et Goya l'Escoriaî avec son monastère royal Tolède, sa cathédrale, son Alcazar, au centre d'un site grandiose sur une colline âpre que ceint le Tage Séville, au cœur de l'Ajidalousie, dont les fêtes de la Semaine Sainte évoquent toute l'Espagne mystique et passionnée Grenade, enfin, au pied de la Sierra Nevada, dont l'admirable palais de l'Alhambra est un des joyaux du monde, autant d'étapes magnifiques au cours d'un des plus beaux circuits touristiques qu'il soit permis de faire.

Ce voyage est possible à des conditions très avantageuses. Le départ aura lieu de Paris le 7 avril. Le retour, le 23 avril. Pour tout renseignements, s'adresser Service tourisme, 14, rond-point des Champs-Elysées. Les adhésions devront être reçues avant le 30 mars.

L'ART ET LA CURIOSITE Expositions

et Ventes d'aujourd'hui HOŒfflj DROUOT. ~'èalten° 10.– 'Expçsi^qjiupublique. Objets d'Art de l'Exti^mç-lÛrient, Laques, Pierres dures* Bronzes, Tapis chinois, Meubles. M' Henri Baudoin, commissaire-priseur M. André Portier, expert.

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BOURSE X>XJ :;S3 MARS 1927 7'^

COURIER DES THEATRES

4a Femme fatale » à la Comédie-Cauîïiartin

La ravissante comédie de M. André Birabeau, un nouveau succès pour ce coquet théâtre, triomphe chaque soir avec son .éclatante distribution. Aujourd'hui, mi-carême, matinée. ̃̃.̃

Répétition gé.jiéral.e ̃ dt A LA Potinière,, à 9 heures, répétition générale de Zig-Zag, comédie en trois.actes, de MM., Claude Géyel et Raoul Praxy. ̃: l' ̃̃/̃ j Distribution

MM. Arquillière^Lê Curé), Roger Gaillard (Max Le ,Hirpis), Jean Gohet (M. Aulier), Henry'<frev'oux (M. 'Valrey) Mlles Germaine Rissp (Blanche Valrey), Simone Deguyse '(Simone Aulier), Suzahnb Dehelly (dë"Tersant)v Nita Mal-, ber (Marie). '•̃'

Demain vendredi, en soirée^ réception du service de. première.

Premières représentations t J& Au Théâtre Michel, à 9 heures, première re-présentaticoi de Le Chasseur, comédie en quatre actes et cinq tableaux, de M. Pierre Mortier.

Distribution 1.

MM. Francen (Henri Tergis), Arvel (Bourgain), Maurice Bénard, (Fourcade), Emm. Clot (Le Facteur), le petit Guy Faurens (Le Petit Jean), et Robert Clermont (Le Docteur Soubès).

Miles Renée Corciade (Thérèse Bourgain), Suzanne D'antes (Marthe), Simons Dulac (Lucie), Yvonne Fursèy (Augùstine), Despernay (Marie), Renée Fournier (Une paysanne), Rosa (Mathilde), la petite Joué (La Petite Monette). Au Théâtre Albert-I" à 8'li. 45, première représentation (en anglais) de Easy Virtue.

Les critiques et les. courriéristes sont reçus sur la présentation de leur carte.

Aujourd'hui

,.<Jt A LA Comédib-Fbançaïse, à 1 h. 45, (abonn. billets blancs), Les Burgraves. ^t A l'Opéra-Comiqub, à 1 h. 30, Pénélope Le Festirt'dei l'Araignée. & A l'Odëon, à 2 h. 30 (abonn, série

'verte), L'A vare. ./̃̃?; '•

i!* Ap.TatAJïOtilLïnïeVB, -h 2 h. 30,

L,§&i§nJtimhaJnÇ/UQSv-j. ̃ i.i.i »nni- t.

Jt Au Théâtre bu PÈTiT-Mct^pKr(Fié>- '1 mina),, à 2 h. 3,0,<((£es Mémoires d'un

Ane. r.

ne.

•£ ThéXtrè DE& Sociétés Savantes, à 2 Il. 30, Le Malade imaginaire; Les Fourberies de Scapiri,

̃ -i!»- r-

Même spectacle qlie le soir.

Au Gymnase (2 'li. 30), à la PorteSaint-Martin (2 h. 30), au Nouvel-Ambigu (2 h. 30), à la Gaîté-Lyrique (2 )i. 30), à la Renaissance (2 h'. 45), au Théâtre Sarah-Bernhardt (2 h. 30), à l'Athénée (2 h. 30); au Théâtre Antoine (2 h. 45), au Palais-Royal (2 h. 30), au Théâtre Edouard-VII (2 'h. 45), aux NotiVèautés (2 h. 46), au Théâtre Marigny (2 h, 30), au Théâtre' de, la Michodière (2 h. 45), à la Scala (2 h; 45), à la Co'méàieCaumartin (2 h. 45), au Châtelet (2 h. 30), aux Deux-Anes (3 heures), à Déjazet (2 h. 30).

Ce soir ,i/ £ A l'Opéra, ,q. 8^ h. 30, Bal masqué. «J5.A LA Comédie-Fbançaise, à 8 h. 30, (abonn. série A)j, Les Affaires sont les affaires (MM. de Féraudy, J. Fenoux, P. Numa, Lafon, Dorival, Ledoux, P. Bertin, de Rigoult Mmes M.. Bell, M. Samary, J. Thoriiséh).

»=* A. l'Opéra-Comique, à 8 heures, (12e représ, dc.|jabpnn. serje' A), La Tosca (aille Yv. Ghjl, en représ. MM. ï)y ,Maz«ej, Audoin, Payeï^' 'A'iërha)'. Orch. M. G.%wM'eïyn!k.,Cavàlerià Rusi ticana (Mlles HôTÎey, Lehard MM. Rar̃ zltvèk'b. VillieiO^Orch. M. C'dlVén1.' ^t A L'ODÉON, à 8 h. 30, La Marche indienne' (M. F. Gémier,. MM. Fahry, G. Cusin, iR. Girard iMmes Ch. Clasis, V. Korène, G. Cave). Un client sérieux (MM. Darras, .Cailloux; iBaconnet, Portbrat, R. Got, L. Hector, CI. Lehmann).

Aux Variétés, à 8 h. 30, L'Habit vert, (Mme Jeanne Granier, MM. Lefaur, Loûvigny, -Mlle G. Baron, M. Lurville, etc.. et M. Galipaux). «* Au Gymnase, à 8 h. 45, Le Ve,nin (Mmes Yvonne de Bray, Gaby Morlay, Yojande Laffon j MM. Charles Boyer et

Marcel. André) ̃ • •

"<ât'A LA PoRTÊ-SAINT-MARTrN, à 8 h. 15, Peer Gynt (Mmes'Suzanne Després, Nell[ ly Marthyll, MQBa Païva MM. Bourdel, Joffre). i & Au Théâtre Sarah-Bernhardt,. 11 £ 8 h. 30, Mon curé chez les riches (MM.

Robert Casa, Maxime-Lcry, H. Monteux; Mmes Jeanne Delys, Jehanno et Marguerite Ducouret). Dim. et fêtes, matinées à 2 heures.

àt A L'ATHÉNÉE, à 8 h. 45, Maître Bolbec et son mari (Mlle Madeleine Soria et M.' Lucien Rozeaberg Mlles Renée Rysor, Louisa de Mornand,' avec MM. Pierre Stéphen et Arnaudy).'

jt Au Gaité-Lybïqub (Arch. 29-20), à 8 h. 30, Ali-Baba (Mmes Louise Dhâmarys et Hélène Gérard MM. Nabos ou Pernot, Detours, Castin, Schlegel, avec Robert Allard et Henry-Jullien). Ballets: Mlles Capry et Batcheff.

•St Au Théâtre Antoine, à 8 h. 45, La Reine 4e Biarritz (MM. L. Gauthier, Lagrenée, R. Marco, Gallet, Maufier et Bélières Mmes Augùstine Leriche, H. Mari on, J. Rbncerày et Marcelle Praince). & Au Théâtre de ..P.Anjs, à 8 hi 30, T,u m'épouseras (Mmes Elvire Popesco, Paule Andral, A. Guize, Reine Dessort MM. Lotiis Verneuil, G. Trévillè, P. Noyêllë, J". Sky, Ch. Bernard et M. S.

Eabre). c

^J A 'la-' RENAISSANCE, à' 8 h. 30, Madame ne veut pas d'enfant (M. Traniel, Mme Cassive, MUe Mireille Perrey). at Au Palais-Royal, à 8 h. 45, On ne roule pas Antoinette (MM. Albert Brasseur, Le Gallo; Duvallès, Géo Leclercq, Lluis Mmes Marg. Templey, Alice Cocéa, Marg. Peuget).

JH Ad Théâtre MARIGNY, à 8 h. 30, Ib27 (Mmes Edmée Favart, Thérèse Dorny, Danielle Brégis MM. André Baugé, Saint-Granier, Pauley, Darthez et M. Raimu).

<i5 Au Grand-Guignol, à 8 h. 45, Là Cellule 13; La Clémentine Piéfaroux; Les Nuits rouges de la Tchéka; Les Boulingrin. (Matinées mercredis, samedis et dimanches.)

Aux Bouffes-Parisiens, à 8 h. 4à, J'aime (MM. Koval, Lucien Baroux, Ga- bin,' Géo Bury, Hemdey Mmes Nina Myral, Sim Viva.Christiane Dor, Peggy Vere, Suz. Blanchet, Colette Roby). Jt Aux CAPUCINES (Tél. Gut. 56-40), relâche. Samedi, première de Le Miroir qui fait rire, de Ai. Marcel Espiau, avec Mlle Falconetti et M. Harry Baur, Mlle Rose Grane, M. Hiéronimus, etc., et M. Charles Dechamps,

JS Au Théâtre .DES Nouveautés, à 8 h. 45. Un bon Garçon, opérette (Mmes Pierrette Madd, Davia et Reine Leblanc et MM. Milton, Urban, Gildes, Robert Ancelin, Sei'gy, Chàmpell, Numès fils.) ,2* Au Théâtre Edouard-VII, à 8 h. 35, Knoc!out, de MM. Jacques Natanson et Jacques Théry (Mlle SpineHy et -MM. Pierre Blanchar, Paul Amiot, Alcover).

Jt Au-^THeATirg* 'FftMNAr'H" h. 45,

Â'Éumiqiut' l'iMiùes' uSàna Ghçvrel, Mâdy Berry,SimQne Sandre, Rozille. MM. André Berley, Berthier, Burgère). Jl Au Théâtre DE LA "NIadeleine (Elys,. 86-25), Pluie, d'après Rain de Somerset Maugham (Jane Marriac, Vargas et Roger Tréville).

S Au Théâtre de Michodière, à 8 h. 45, Son mari (Mmes Marthe Régnier, Marcelle Yrven, Renée Devillers MM. Victor Boucher, Alerme).

«5t Au Théâtre Mocador, à 8 h. 30, No, No, Nanette (MM. F. Oudard, Dorval, A. Lamy, Conté Mlles Loulou Hegoburu, Gabrielle Ristori, Marguerite Gilbert, J, Fùsier, Flo. L. Stern).

Jl A LA Comédie-Caumartin, à 9 heures, La Femme fatale (M. Paul Bernard et Mlle Blanche Montel avec Marcel Vallée, Sarah-Rafale et M. Pierre'Etchepare).

^t Au Théâtre DAUNOU, il 9 heures, La Poupée Française, comédie de V.-A. Jager-Schmidt, avec Mlle Madeleine Carlier, Al. Paul Capellani et Robert Hasti. ^8 Au Théâtre DE l'Avenue, à 9 heures, Masque et visage (Jacques Baumer, Betty Dausmond, Nadine Picard et André Dubosc.

A la SçALA.à 8. h. 30, La petite grue :dù. cinquième (Mlle Marcelle Pàrisys, Mmes G. Michel, G. Armand, C. Vernades MM. Sinoël, Ch. Lorrain, P. Labry et Robert Bossis).

Jt Aux Mathurins, à 9 heures, Baccara (Jules Bçwy, Suzy Prirn, Henry RiçJwAnBenft ^Y,9r,rlJs Let Pierre, .Juveuetij.

^8 AU.. TniANON,-LYRÏQUE, à ,8 il. 30,

Rêoe db Valse (Mlles Bàtazy, -taryiïl,

Ferny 'MM' Marchand, '6ard'o1n^rJJou-

bert, Derroja). Jt Aux Deux-Anes, Gabaroche, Jean Rieux, Georges Merry, Geo Charley, de Soutter et Trémolo La Revue de Rip, avec Marcelle Monthil, Dalio, Georgé (en

représentation).

t}t Au THÉATRE DE Dix-Heures, 1957, revue de M. J. Rieux, jouée par l'auteur, CI. Vidiàne, H. Hetty, L. Henry et G. Gabaroche les chansonniers P. Colline, Balder, Marrot, J. Flot, P. Maye et Charles Fallot.dans un numéro inédit.

Arts, à 8 h. 30, La Grande Catherine, 7, rue de la Paroisse Atelier, à 8 h. 45, Hara Kiri, Pas encore; Châtelet à 8 h. 30, La Course au bonheur Comédie des Ghamps-Elyséés, Au grand large Déjazet, à 8 h. 30, Et moi j'te dis qu'elle t'a

fait de l'œil Œuvre, à 8 h. 45, Un homme en or Studio des Champs-Elysées, à 9 heures, \laija. <

HOTES ET INFORMATIONS Comédie-Française. C'est M. Chambrcuil qui jouera le rôle de Frédéric Barberousse, dans les Burgraves, à la matinée d'aujourd'hui. M. Drain jouera pour la première fois également le rôle de Kunz. Opêra-Comiquë. Samedi soir, le Cloître, mis en musique par M. Michel-Maurice Lévy, sera représenté avec l'admirable distribution qui réunit. MM. Dufranne, José Beckmans, Legrand, Audoin, Azéma et Tubiana. L'orchestre' sera dirigé par l'auteur. On commencera par: Quand la cloche sonnera, l'œuvre puissante et pathétique de M. Alfred Bachelet, qui aura pour interprètes Mme Suzanne Balgjûerie, MMvOger et Du-

nré' ]

pre.

,d* ,i f:

L'OpérarCoinique tfA^ Ppur, Je mercredi 30 mars la Vie de baherne, Paillasse'; p,ou,r le jeudi 31, en'ma.tinêe,;Pénéldp'eJ'lé. Festin de l'Araignée en soirée, la.. Lépreuse, et pour le vendredi 1" avril, le Joueur de viole. __̃

"181 iii 411..

Odéon. Rappelons que M. Gémier jouera le Marchand de Venise dimanche, en mutinée.

Gymnase. A 2 h. 30,' deuxième matinée du Venin, avec tous lés créateurs Mmes Yvonne de Bray, Gaby Morlay, Yolande LaSon MM. Charles Boyer, Marcel André. ̃ ̃

Portë-Saint-Marïin. 'A 2 'heures 15 et à 8 heures 15, Peer Gynt, avec Mmes Suzanne Després, Nëlly Martyl (de l'OpéraComique), Mona Païva (de l'Opéra-Comique), MM. Bourdel et Joffre. Musique de Grieg exécutée pa'r l'orchestre des Concerts Pasdeloup, dirigé par M. Rhené-Baton. Matinée jeudi, samedi et dimanche,

•m « ea.

Théâtre Sarah-Bernhardt. Aujourd'hui Mi-Carême, en matinée et en soirée, le grand succès comique, Mon Curé chez les Riches, sera donne avec M. Robert Casa. Ambigu. A 2 heures, 45 et à 8 heures 45, le Grillon dit Foyer avec la partie musicale de J^asssnejt.; Matiné^ud^ samedi. $ dj-

manche.1' ̃

Renaissance.– A" 2' heures 30 et&S Beii-- res 3o,Mâûuttie itè' veut pài d'eitfant, avec M. Tramel.'Mmes Cassive et Mir. Perrey. Matinée jeudi, samedi et dimanche. Théâtre Fëmina. Ce soir, à 8 h. 45, le plus grand succès actuel l'Munuque.

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>. SPECTACLES ET ,-CONCEEtS;

̃' .À.

LES PREM~ERES

CHEZ FURSY ET MAURICET Tout va bien revue de,M. Paul Briquçt. La nouvelle revue de M. Paul Briquet ne ment pas à un titre qui lui va comme un' gant. Elle est pleine d'optimisme, de banne humeur et si elle se presse de rire de tout, ce n'est pas de peur d'être obligée d'en pleurer, mais parce qu'il lui faut bien une heure d'horloge pour faire en chantant le tour des actualités et jeter à l'occasion un coup d'œil anticipé sur l'avenir.

Rassurons-nous donc sur le sort de ces aristocrates qui, en attendant la décision du tribunal révolutionnaire, s'apprêtent à monter dans la fatale charettg ce ne sont que les pensionnaires' de la Comédie-Française que TVÏ. Emile Fabre se tésigne e à « démissionner, »; ne craignons rien non plus pour le « petit navire ». que guettent, sur l'océan agité de la politique, les sirènes, et les monstres sous-marins M. Poincaré, son .pilote, le fera rentrer tout droit au port. Ne plaignons pas trop la midinette que l'abbé Bethléem prive d'pne lecture peu, édifiante, ni le municipal que les rigueurs du service empêchent de se marier, mais ne privent pas d'amour; ni même la pauvre Marianne qui assiste au marchandage de ses décorations, mais qui trouve des accents vengeurs pour flétrir les courtiers marrons du ruban rouge.

LA SANTÉ de Mme CORA Laparcërië. On nous communique le bulletin que. voici « Mme Cora Laparcerie est depuis hier entrée en convalescence. Aucun bulletin de santé ne sera plus publié. D` MoursaN.

D' MquïSon. »

Mme Cora Laparcerie doit bientôt quitte*" Paris pour achever sa convalescence dans Midi. Théâtre MOGADOR. Mlle Ccecillia Na-\ varre vient d'être engagée au Théâtre Mogador pour créer le rôle de miss Jane dans, Rase-Marie. ;̃̃ Dëtoc-AnëS. Aujourd'hui, Mi-Carême, à 3 heures, grande matinée de gala, avec Gabaroche, Jean Rieux, Georges Mërry, Géo Charley, de Soutter, le compositeur Trémolo dans leurs œuvres. 'La Revue de Rip, jouée par Marcelle Monthil, Dallo, Josylla, Maugier, Clairjane, Brédy, Suzy Criquet, Vincent et Georgé (en représentations) .On loue ses placep au Marcadet 10-26,

-M: 'Roger Debrenne, 'administrateur génf. r;il du Théâtre de la Michodiëre, nous pries de dire 'qu'il n'a jamais été dans: ses' inten-, tiens de prendre la direction'- du Théâtre des* Folies-Dramatiques, ainsi que l'ont annoncé plusieurs journaux.

MAISON de i' « Œuvre »V M.: Lugnê» Poe, qui avait retardé la première du Di-, lemme du Docteur, en raison du succès de l'Homme en Or, sera forcé d'interrompre cette pièce qu'il reprendra, plusieurs' artistes dont Mlle Madeleine' Lâwbert et M. AIlairi-Dhurtal étant depuis longtemps' retenus pour la célèbre pièce de M! Bernard Shaw, L'Homme en Or ne sera donc donné que jusqu'au 3 avril inclusivement le 4, répétition générale du Dilemme du Docteur.

•t»-»» ̃̃

C'est une comédie gaie en trois actes 'de M, Maurice Champagne Mon p'lit" cawr, qui succédera sur la scène du Théâtre Coi mœdia aux Maris de N,icole. V

L « Le Loup Blanc qui, sous la- -'idiféctioS artistique de M. A. René Sti, a présenté} pour son premier spectacle Mathusalem; l'œuvre curieuse as M. Ivan Goll, a donn| samedi sa dernière représentation; .?.<. Mais la carrière de Mathtisàîem n'est qu'interrompue.Dans une quinzaine de. jours, « Le Loup Blanc en reprendra les repré. sentations, cette fois en soirée et dans des décors remaniés.

!~6ff-aTm0rrerla prochaine ïeprésentatlori,r â!

fari| jen ""iÇ111^ temps QU.'à., Buenos^Ayrësi

'u99 ~n -rn.im(¡, Su;raqs ps qll,'i1.Bue~osfj\,yres~

à'un| icpa|j|e èur]3çs 'vPJceàts ide'i-]i patnpa*

|ne argentine, pièce en. trois actes de MM; Jacques Larcher et Carlos Keller^SarmientOj' intitulée Vidalita, avec arrangements 'de musique populaire locale et musique nouvelle du compositeur argentin Ghirlanda. Maxime Girard.

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Cette scène yaut d'ailleurs qu'or^ s'y arrête, car elle est fort ingénieur sèment, présentée- et, ,pour la premier re fois, Mlle Marguerite Deval y fait une apparition. partielle. La délicieuse artiste prête son visage à un buste si l'on peut dire de la République dont le marbre s'anime et frémit d'indignation. Voilà, une Marianne qui, ne ferait ;pas mal à Ja Chambre. La scène suivante nous vaut 'la surprise d'un Fursy en chapeau melon promu, en sa qualité de délégué à la S. D. N., commandeur de la Légion d'honneur, et cela non plus n'est pas pour nous déplaire. Nous bénissons même le temps présent en apercevant ce que sera le mariage loraque l'auront réglementé les exigences de l'asepsie ou ce <ju'il aurait pu' Être si les théories de M. LSÎjïi BWpié avaMnt ^êfiê" appliquées àïla lettre. Enfin, la baisse elle-même, bien qufencore illusoire, a déjà d'heureux effets, et si elle tarde,1; il en est plus d'un qui trouve' que tout est pour le mieux dans le mei.Ii> leur des mondes possibles. ̃> 'Cette souriante révuè est jouée avec un joyeux entrain. Mlle Mariguérite Deval est, comme à son, ordinaire, étourdissante de verve et de fantaisie, de vivacité èt d'enjouement Fursy a de la rondeur en "politicien et dans le fantôme de Fraiv- çbis I" une majesté bien vivante; Mauricet est un marié virginal d'une impayable candeur; M. Max Réjeaii joint à une fort: jolie voix de téii'ov


n'excellentes qualités de comédien; sa silhouette du Municipal, au gras accent de terroir, est très réussie et il nous a donné d'une belle-maman attentive et prudente^ une réjouisrsante caricature. Mlle Suzanne Feyrou, spirituelle et gracieuse, chante aussi ravir; enfin, Mlle Lucienne Boyer est, dans le cadre du Moulin de la Chanson, tout à fait charmante; jeune mariée, elle tenterait le diable, et pierreuse, elle ferait damner un saint, à moins que ce ne soit- le contraire.

Jacques Patin.

Aujourd'hui

Même spectacle que le soir

Au Casino de Paris (2 h. 30), & l'Olympia (2 h. 30), ii l'Empire (2 h. 30),. au Palace (2 h. 30), au Moulin-Rouge (2 h. 30), au Concert Mayol (2 h. 30), à la Cigale (2 h. 30), à la tune Rousse (3 heure?), Chez Fursy et1 Maurieet (2 h. 30), au» Cirque d'Hiver (2 h. 30), au Cirque de Paris (2, h.' 30), au Cirque Médrano (2 h.- 80), à. Madeleine-Cinéma (2 h. 30),. h Marivaux (2 heures).

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Chef-d'œuvre d'esprit satirique ( -;r Ayjourd'hgi matinée ~l

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Ce soir:

<ât Aux Folies-Bergèiie, relâche. Demain vendredi, première représentation, de Uji vent de folie, hyper-revue de M. Louis Lemarchand,

<jt Au CASINO DE Paris, à 8 h. 30, la grande revue Paris (Maurice Chevalier, Jeanne Saint-Bonnet, Pasquali, Devilder, Lily Scott, Pizella, Dargyl, les 16 Lawrence Tiller girls et Yvonne Vallée, et les Lorraines Sisters).

<£C Au Moulin-Rouge music-hall à 8 h.'30, la grande revue Ça. c'est Paris (Mistinguett, Randall, Earl Leslie, Cebron-Norbcns, Marthe Berthy, Yvonne Legeay, le Spark's ballet, les 40 Jackson Girls et les Lancashire lads de J, W. Jackson e' Dandy.

<J* Aux Champs-Elysées Music-Hali, (Elys, 72-42), Yvonne George dans son nouveau répertoire l'illusionniste Horace Goldin et 10 attractions de;premier ordrd,

J* Au PALACE (tél.: Berg. 44-37), à 8 h. 30, la revue Palace uux Femmes, en deux actes, 45 tableaux (Dranem, Harry Pilcer, Jenny Golder, SpaCaro, Suzette O'Nil et Gaaisakourdia, et Demi- doff).

«M A L'^mpmB Music-Hall Cirque. Pour, la première fois en Europe, la plus formidable troupe du monde entier, Singer's Midgets, revue.

sft A' la LUNE Rousse, k 9 heures, (Trud. 61-92), Ho-Ksé-Fou revue (Nane Carty, Valneri) les chansonniers V, Hyspa, Léon-Mtchel, Secretan, Spark, P. DaP, H. Cor, E. Wyl, Monelly, Heintz. jf Chez Funsv ET Mauricet (43, boul. de Clichy, tél. Trud. 69-67), à 9 heures, Tout va bien revue de P. Briquet, avec Marguerite Deval, Fursy et Mauricet..

<Sî Au -Perchoir (43, taub. Montmartre. Tél. Provence 37-82), à 9 heures, La Cote des Fauches, revue nouvelle de Rip (Marguerite Pîerry, Gina Relly, Vilda Duplessy, Flandre, Badès, Corne). Les chansonniers Martini, Victor Vallier, Maugier, Noël-Noël, Dorin, Pierre Pradier, Mmes Raphane et Germaine Derny.

S Au Cirque d'Hiver (Roq. 12-25), à 8 h. 30, les Jeux romains présentés par M. Nouguès la cavalerie de Jean Houcke Idès et Walter. 20 attractions et les Fratellini. Matinées, jeudi, samedi, di* manche.

<*fm»

FoliES'Bergèrë. Irrévocablement demain vendredi, première représentation de l'hyper-revue, Un Vent de Folie, de M. L. Lemarehand.

Perchoir (43, Faubourg Montmartre).

"Xufd'urrtiiltffMf-eéhrêmërà'j hèùrt%j"ifende

matinée d£.ga(a..aV£i;4ilart.ioL Victor Vâllier, Je^n. fttaugter,,ayeo, No_ël-J»îo,ëljet; enfin îjorin, dans leurs chansons nouvelles. L'a Cote des Fauchés, la nouvelle revue de Rip jouée par Marguerite Pierry, Noël-Noël, Gina Relly, Badès, Flandre, Corne, Rapha- ne et Nilda Duplessy, avec Germaine Derny et Pierre Pradier. Louez vos places au Provence 37-82.

LA Mi-Carêmë A LA Cigaxe. Matinée à 3 heures. En soirée, le Jeudi de la çhanson. Au programme': Maud Loty, Jane Stick,' G. Secretan, R. de Buxeuil, Lemonnier, Rossolato, Chocolat Dalny, Ralph, Charpini, etc., avec Suzanne Valroger, et Kay-Whitt.

COURRIER MUSICAL MESSE PU. CENTENAIRE

DE BEETHOVEN

Rappelons que c'est après-demain samedi, à dix heures, que sera célébré, à la Madeleine, le centenaire de Beethoven, sous la présidence effective de S.. Em, le cardinal Dubois. Pendant l'office, 1a Missa Solemnis sera exécutée par la Société des Concerts sous la direction de Philippe Gaubert, avec le concours de Mlles Bunlet et Débonte, MM. Alexan'drovitch et Naïçon, et le Chteiir Mi^tè dé Paris (Dir. Marc de Rarise); ]; Aujourd'hui

A la Salle Gaveau, à 2 h. 30, concert, or- t chestre et chœurs de l'Association des Conccrts de la Sorbonne. Au programme Ou- vtrturc des Maîtres Chanteurs (Wagner) t Concerto (Mendelssohn) violon, M. Vil- t lain Symphonie, orgue et orchestre (Sainte t Saëns) Prélude et Un du premier acte de 1 Parsi/al (Wagner), Ce soir t

A la Salle Gaveau, à 9 heures, neuvième Concert Walther Straram. Programme t Ouverture de Rosemonde (Schubert) Sym- 1 phonie j r (Beethoven) Poème pour cor et orchestre, première audition (Koechlin) 1

VPNTPau Palais à Paris, le 6 avril YL,mt, lfl27> k 2 heures. En six lots

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M. Edouard Vuillermoz- Procession nocturne (Liszt) Méphisto-Valse (Liszt). Demain soir, à la Philharmonique, Salle Gaveau, première séance de l'audition intégrale des sonates de Beethoven, Eugène Ysaye et Clara Haskil deuxième séance mardi 29 mars.

Pietro Mazzini, le pianiste prodige âgé de neuf ans, donne un récital, Salle Gaveau, samedi 26 mars, à 2 h. 30. Billets à la Salle, chez M. Durand et M. Dandelot,

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Festival Djabadaiw. •– Tout Paris attend avec impatience le Festival du Prince H. Djabadary, compositeur classique à la musique infiniment mélodieuse et séduisante. Le compositeur est un virtuose' accompli du piano dont la technique formidable est uni? que. Location au Théâtre des Champs-Elysées et chez Durand, 4, place de la Madeleine, de 8 à 100 francs.

Marcel Ciampi exécutera les concertos de Beethoven, ut mineur, sol, mi bémol, dimanche 27 mars, en soirée) Salle Gaveau, Orchestre Lamoureux dirigé par Paul Paray. Il reste quelques places à la Salle et chez Durand. ~a~

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Rappelons que Enesco donne un dernier récital le 28 mars, à la Salle Gaveau.

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Horszowski donnera un récital Chopin mardi 29 mars, Salle des Agriculteurs. Billets à la Salle, chez M, Durand et M. Dandelot.

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Marcelle Meyer donnera un récital de piano mercredi soir 30 mars, Salle Gaveau. Œuvres de Mozart, Schubert, Liszt, Debussy, Stravinsky, Infante.

Concerts Lamoureux au Trocapérq. ,r Dimanche 3 avril, 8 8 heures 15, unique audition de Sadko,h célèbre opéra de Rimsky-'Korsakoff avec l'Opéra Russe de Paris (Soli, choeurs et orchestre Lamoureux), 200 exécutants. La location ouvrira au Trocadéro dimanche 27 mars.

Le célèbre pianiste José Iturbi donnera un unique récital, lundi soir 4 avril, Salle Oaveaui où la location est ouverte. L. de Crémone.

CINÉMAS

Studio ^des IjRSutiNES. Aujourd'hui; matinée àvj 'heures J'<fe>. 't>ij r »o:imi.:J

Lfcs spectjcles réellement 6ipou«aats>ptorvoquent, chez leurs témoins, des impressions d'où le lyrisme n'est pas'exclu. Voici, à titre d'exemple, quelques phrases extraites des comptes rendus de Ben-Hur, parus dans la presse d'outre-Atlantique

« Manquer Ben-Hur serait une source de regrets pour la vie entière. » « Les spec- tateurs crient comme le public à Belmont Park (le grand hippodrome américain) lors- qu'ils voient Ben-Hur gagnant certain de la grande course de chars. » « C'est la bouche ouverte et les yeux écarquillés que l'on s'extasie devant Ben-Hur, le plus prodigieux spectacle qui ait jamais paru à l'écran. » « Passez-vous de dîner, mais allez voir Be~a-Hur. « Le combat naval, dans Ben-Hur est rendu de façon si parfaite que nombre de spectateurs réclament les bouées de sauvetage. »

Attendons la sortie très prochaine du film à Paris, pour juger s'il y a dans ces appréciations excès d'enthousiasme ou si elles ne sont, au contraire, que l'expression de la réalité,

XA VIE UNIVERSITAIRE

Statistique intellectuelle

La commission de statistique intellectuelle s'est -réunie à l'Institut internatip^l de coopération intellec|uëye^r,jSQÙs la présïdÎQnce 'de M.

Mareh.

Assistaient à la séance MM. Delatour et Methorat, président et secrétaire de l'Institut international de statistique; les présidents des Instituts de statistique d'Italie, M. Gini; d'Angleterre, sir Bernard Mallet; d'Allemagne, M. Zahn; M. Prezzolini et Mlle Beresowski-Chestov, de l'Institut de coopération; M. Pribram, délégué du bureau international du travail.

La commission a pris connaissance des réponses qui lui ont été adressées par vingt Etats. Elle rédigera un rapport qui sera présenté au Congrès international de statistique qui va se tenir au mois de décembre prochain, au Caire.

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Prix du Lude Adulte, Vas y Voir II.

Courses au Tremblay Nostradamus se promène dans le Pri* Bend*Or

II n'a pas fait beau du tout, hier, au Tçemblay, et nous n'avons pu retirer de la journée d'enseignements bien profitables. Le terrain, excessivement lourd, n'a certainement pas permis à quelques concurrents intéressants de fournir toute leur mesure. L'épreuve importante, le Prix Bend-Or, qui n'avait attiré que cinq compétiteurs, s'est réduite à un cavalier seul de Nostradamus, qu'aucun de ses adversaires n'a jamais pu approcher. Victoire très tape-à-1'œiî, mais peut-être un peu trompeuse. 11 nous étonnerait que Nostradamus fût tout à fait un/jbon cheval. C'est plutôt ceux qu'il a battus qui ne doivent pas valoir grand'chose.

Parmi les inédits, femelles et mâles, que contenaient les lots des Prix Rouge'Rose et Poncaster, nous avons remarqué la pouliche Evening Star et le poulain Dark Marvel. Celui-ci, plus particulièrement, est un beau cheval, encore très à court d'ouvrage, mais qui pourrait bien avoir un certain avenir. J. Trarieux. Prix Martagon réclamer; 7.000 fr., 1.400 mètres). 1. Menulda, à M. Marc Gugenheim (H. Bontemps) 2. Brian Buru, à M. James Hennesisy (J; Jennings) 3. Marion Delorme, h M, Mathurin Pantall (C.-H. Semblât) (4 longueurs, 2 Iongueurs),- ̃- Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 39 francs. Placés Menulda, 16 (v. 80 Brian Buru, 24 francs'î'Mariôn Dc-lorméj i

lSfrôiïc'B* ''̃•̃̃̃ />,

Prix Kendal (8.000 francs, 2.300 mètres). 1. Trie la, Ville, au comte de Rlvaud (A. Paris) 2. Walkyne II, à M. Jules Fribourg (A. ËjsensoKn) 3. Armée du Rhin, à M. Dikran Kelekian (R. Sirvain) (courte encolure, 2 longueurs). Pari mutuel ù 10 francs Gagnant, 20 fr. 50. Placés Trie la Ville, 12 fr. Walkyrie II, 17 fr, 50 Armée du Rhin, 144 fr. 50.

Prix Rouge-Rose (8.000 francs, 1.600 mètres). 1. Patache, il AI. Octave Homberg (M. Bellier) 2. La Ferrana, à M. Michel P. Salvago (.F, Bellhouse) 3. Aventurine, ù M. Jean Stern (W. Lister) (3 longueurs, 3 longueurs).

Pari mutuel a 10 francs Gagnant, 75 francs. Placés Patache, 28 fr 50 La Ferrana, 21 francs Aventurine, 43 francs,

Prix Bend Or (25.000 francs, 2.150. mètres). -r-, 1. Nostradamus, Il la baronne de Forest (M. Mac Gee) 2. Zoro, à M. Stéphane Vlasto (M. Allemand) 3. Frère Yves. à M. R. B. Strassburger (R. Brethès) (3 longueurs: 2 longueurs) Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 35 francs. Placés Nostradamus, 17 fr. Zoro, 13 fr. 50.

Prix Escarboucle (handicap, 10.000 fr., < 2,000 mètres). 1. Sourcier, à M. Alexis Deleau (M. Brethès) 2. Rhadamante, à M. Henri Gelée (R. 'firethès) 3. Chaiv meur, à M. Arthur Jcwell (H. Marsh)

(1 langueur, 1 longu.Qiuf;).

mutuel a 10 fi'ancs Clignant,

111 francs. Placés Sjércier, 37, f r. 50 Rhadnmftnfe, 32 frpjics Chartfigu,r, i: 18 fr. 50.. 1 r> 1 Prix Doncaster (8.000 -francs, 1.600 mètres). 1. Grimouchou, il M. Michel La.zard (C.-H. Semblât) 2. Bahr el Ga- zal, à M. R. B. Strassburger (il. J3rethès) 3. Dark Marvel, au prince Aga Khan (D. Deroy) (2 longueurs, 2 longueurs 1/2), Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 41 francs. Placés Grittiouchou, 20 tr. 50 Bahr el Gazal, 16 fr. 50. Dark Marvel, 29 francs.

COURSES ANGLAISES

Lincolnshire Handicap (£ 1.700, 1.609 mètres). 1. Priory Park, à M. J. B. Joël (F. Fox) '20/1 2. Orbindos, à M. B..Coulson (A. Burns) '100/6 3. Asérug, à M. Marcel Boussac (C. Elliott)

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Au Comité natienal des sports et au Comité olympique français Le Comité national et le Comité olympique français ont tenu hier leurs assemblées générales statutai-,

res.. >•; ̃

Après l'allocution présidentiellt; l'adopiion des rapports du secrétaire généFal, du trésorier et des. commissaires aux comptes, et de l'approbation du budget, il a été procédé aux élections des bureaux des deux Comités,

Ont été élus': '̃̃

Au Comité national 'des Sports. Président M. Gaston Vidal; viceprésidents MM. Comte Clary, Jules Rimet, Léon Breton, Charles Cazalet, G. Brun, Jean de Castellane; secrétaire général M. Frantz-Reichel; secrétaire adjoint M. R. d'Arnaud; trésorier M, L. Desnues; membres MM, Ybarnegaray, P. Rousseau, J. Carnot, J. Genet.

Au Comité olympique français. ̃ Président Comte Clary; vice-présidents MM. Gaston Vidal, J. Rimet, L. Breton, J. Genet; secrétaire général M, Frantz-Reichel; trésorier M. L. Desnues; membres MM. R. Lacroix, >P. Rousseau, de Castellane, Hector, G. Brun, Ch. Cazalet, J, Rosset, .Faucourt, Çuenot, Laverne. Vingt-cinq fédérations étaient présentes, représentant l'athlétisme, le football, l'escrime, la lutte, les poids, la boxe, la gymnastique, la natation, l'aviron, le hockey, le base-ball, le ityv<tes spcujtsnéquestres, la v^ile, la longue, rPaunifi. l3..Relote fea^gue, ,1e,

.patiaage, ,1e isfci.etp.

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AUTOMOBILE `

L'essence en baisse

La Chambre syndicale des importateurs de pétrole vient d'aviser le ministre du commerce de la décision des principaux impotateurs d'effectuer une baisse de 10 francs par hectolitre pour l'essence de tourisme et de 5 francs pour l'essence poids lourds. ·

Il faut se féliciter de cette baisse, alors qu'on nous avait laissé entrevoir, il y a quelque temps, une nouvelle hausse.

Le Rallye des carburants nationaux La neuvième étape du rallye s'est déroulée sur le parcours Marseille-ArlesNîmes, représentant 127 kilomètres. Tous les concurrents ont effectué l'étape à une moyenne intéressante. Ils ont été reçus par le Moto Club du Gard, qui leur a offert un vin d'honneur. La marche de la conduite intérieure Chenard et Walcker continue dans d'excellentes conditions. Son alimentation, à base de 50 0/0 de kétol et de 50 0/0 d'alcool hydraté à 80°, lui permet, en effet, des taux de compression élevés, en raison du pourvoir antidétonant du kétol.

Hier, la caravane ^est partie de Nlmes après déjeuner, pour Montpellier. Ce fut une courte étape de 49 kilomètres. Le Grand ,Prix de Provei}ia6OH C'est dimanche' prochain 27 nftirV^gê' se courra' à" Miramas le Grand Prix1 "tic Provence, doté de la Coupe Hartforîl. Cinq courses sont inscrites au pro-

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gramme, une pour chacune des quatre catégories et une pour ft finale, qui servira à désigner le vainqueur de la Coupe Hartford.

Les courses se disputeront sur 50 et 100 kilomètres, et la finale sur 300 kilomètres, en utilisant le lacet installé en face des tribunes.

En 1.100 cmc, on trouvera quatre Amilcar, cinq B.N.G. et une Giraud. En 1.500 cmc. une Delage, trois Talbot, deux Bue et deux Bugatti. En deux litres, quatre Bugatti. En trois litres, une Georges Irat et une Bugatti, et en cinq itres, une Lorraine-Di^trich.

Salmson, qui devait courir en' 1.100 cmc, ne prendra pas le départ. Quant à Talbot, on donne sa présence comme peu probable.

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Les concours d'élégance de laRiviéra

Cette année encore, à Cannes, à Nice, à Monte-Carlo, les plus belles, carrosseries étaient équipées avec les projecteurs Marchai, En .particulier, ;Jes nouveaux superphares «Trilùx» chromés garnissaient, à deux urtilés près, toutes les voitures ayant obtenu les « Grands Prix ». Citons parmi les voitures primées l'Hispnno par Hooper, les Minerva par HibArd et Darin et Van den Plas, les Peugeot ipar. Million-Gui et, la Panhard par Binder, la Rochet-Schneider •par Kellner, la Talbot et la Cottin-Desgouttes par Ottin, les Bugatti par Lavocat et Marsaud et par Bergeon et Descoin, les Ballot par Taffc et Temberg, etc. La vogue consacrée des projecteurs Marchai est justifiée par leur puissance d'éclairage et leur solidité de construction prouvée par plus,de 20 courses de grand tourisme. D'autre part, la pureté, la légèreté et la parfaite proportion de leurs lignes constituent un bel ensemble ̃mécanique qui donne une suprême note d'élégance aux carrosseries modernes. Nous avons remarqué aussi le succès croissant du monocle « Code », qui rend tant de services sur les routes si dlfficiles et si parcourues de la Rivera.

1. C

TENNIS :^r

L'ouverture de la saison

au Racing Club de France

D'importants travaux ont été entrepris pendant l'hiver sur Je terrain de la Croix-Catelan, au Bojs-dc-Boulogne. En ramenant Ja piste de courses à pied à 460 mètres, il a été possible de trouver la place pour installer trois courts de tennis et un terrain de balle au panier. Le .nofflJ/S.JS^jfiWrt.S ^e, tenjajs^es.t,

maintenant de 19. Trois" so.nl; respoctir-

vement' réservés .a.ijix' joueurs de' preT mière, seconde, et'trèisième séries, çlas-

sês par W.'F'^F. vAi ^cMi'Çont Mtk-;

bés aux joueurs et joueuses de moins de seize ans et un au professeur. Trois courts seront prêts dimanche prochain, sept le seront le 10 avril, et les neuf restants le jour de Pâques. Ainsi, les courts du Racing seront, cette année encore, les premiers prêts pour la saison d'été. L'aspect général du terrain a été heureusement' conçu. Les dégagements entre les courts, permettront une circulation aisée. Des plantations d'arbustes ont été faites, notamment pour empêcher la vue sur les courts proches de la clôture. Les plantations florales, si jolies l'année dernière, ont été multipliées et vont faire de la CroixCatelan une véritable oasis fleurie qui sera une des parures du bois de Boulogne, les coins délicieux sont déjà si nombreux. P. C.

CARNET DU SPORTIF, Rugby. A 15 heures, au stade Jean.boum, Paris c. Année française. Championnat de l'Académie de Paris ̃ finaje à 14 h. 30, à Colombes, Lycée de Bourges c. Collège Stanislas.

Football. A 14 h. 15, à Pershing, Armée française c. Armée belge, et à 15 h. 45, France c. Isthmian League. Championnat de France scolaire demi-finale: à 14 h. 30, à la Porte Dorée ^ycée de Saint-Brieuq. c. Collège de

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Société anonyme des Bains de Mer, et du Cercle des Etrangers à Monaco] Avis

MM. les actionnaires de la Société anonyme des Bains de Mer et du Cercle des Etrangers à Monaco sont convoqués, en assemblée générale ordinaire le mardi 19 avril 1927, à 10 h. 30 du matin, au siège social, à Monaco.

L'assemblée générale7 se composa dé tous les propriétaires ou porteurs de cent actions ou de l'équivalent en cinquièmes, ayant déposé leurs titres au siège social au moins huit jours avant la réunion de l'assemblée générale. 'La production des récépissés ou contrats de nantissement énoncés à l'article 35 des statuts équivaut à celle fies. titres eux-mêmes.

Ordre du jour

1° Approbation du procès-verbal d<5 l'assemblée générale du 17 avril 1926 2° Rapport du' conseil d'administration

Rapport de MM. les commissaires aux Comptes •. •.Approbation' des comptes, s'il y. a lieu quitus, à donner à des administrateurs

5° Situation des affaires sociales exi tensions en cours et en projet

Application des bénéfices fixation] dû dividende 7° Ratifiçation de nominations d'ad-4 ministrateurs

8° Nomination de trois administras teurs,en remplacement de trois adminisi trateurs sortants et rééligibles

Ratification de choix fait par Iq conseil d'administration pour trois exer.cices, de l'administrateur délégué 10° Ratification de convention^ (achat de cession de droits et propriétés)

Il Autorisation à donner par l'assemblée générale aux membres du conseil d'administration de traiter personnellement ou ès qualité avec la Société dans les conditions de l'article 24 des sta* tuts

12° Nomination, des commissaires aux comptes et fixation de leurs émolu-* ments.

Le Conseil d'administration.

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