Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 8 sur 8

Nombre de pages: 8

Notice complète:

Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1926-06-09

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 09 juin 1926

Description : 1926/06/09 (Numéro 160).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2947966

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 45%.


Remaniement,

'̃' élargissement ou renouvellement ?

Une fois de plus la hausse des devises semble devoir provoquer un changement ministé-

riel. M. Briand, qui revient ce mann ae Genève, se donnera sans doute le loisir 'd'examitier le jeu. Mais les difficultés de la situation et l'état d'esprit du monde parlementaire ne laissent qu'une faible marge pour le maintien du statu, quo politique.

Ce n'est plus guère un secret que M. Raoul Péret se trouve mal à l'aise au ministère des finances. Pour l'accomplissement de sa tâche technique il avait demandé certaines garanties d'ordre général. Il n'a pu encore les obtenir. Sa position est ainsi' devenue celle d'un martyr

aàns la foi. ,>

M. Briand voùdrait-il prendre., al es- sai un quatrième ministre des finances, après M. Loucheur, après M. Doumer, après M. Raoul Péret ? On hésite à le croire. Rien n'a plus donné aux Français et aux étrangers le sentiment de l'instabilité que ces désaveux successifs de ministres. dont chacun représentait un système financier que le président du Conseil avait commencé par défendre la main sur le cœur, puis jetait aux orties avec indifférence. Pour rendre un peu de yigueur au crédit de l'Etat, il faut aujourd'hui que le gouvernement tout entier et dans une solidarité absolue, s'attache à la 'conception financière qu'il aura choisie. Si, par hasard, nous devions connaîjtre un quatrième ministre des finances du même cabinet Briand, on pourrait lui préeBre un échec plus rapide encore que celui jdé ses devanciers. ̃̃̃.

D!autré part,-quelques personnes pro- posent un élargissement politique du cabinet. On ferait entrer, dans la combinaison élargie, un ou deux -membres notables 'éd Cartel d'extrême-gauche et un ou Ùèux modérés. Ce serait un çabinef jdNinion najrtoitiàiè à bas ptk.* Ott^'Usefatt

iiœe ,idée de plus, pour j-ien. UMpion-Mât^

a~r "w~~n,{P,'1a, ~1

jâbnalê, ains^ pr.atîqupe, n donnerait' ,1es^

mêmes déèeptions qu'ont irdoi?i3ées. les jau, tjes solutions appliquées de travers, vi(cïèes ou édulcoréés. On h'obtiendrait pas jriême, de cette manière, la stabilité parlementaire, attendu que les ministres, empruntés au Cartel ou aux groupes modérés, 'choisis pour des raisons personnelles, ne tarderaient pas à perdre toute autorité sur leurs amis politiques.

A notre avis, avant de nouer des combinaisons de personnes, il faut consulter les chefs dûment mandatés des principales fractions du monde politique sur les bases minima d'un accord de principe à réaliser entre eux pour l'effort à entreprendre. L'accord impliquerait des garanties pour chacun en échange d'une limitation de la liberté de critique réciproque. Si un tel accord peut être réalisé, il sera temps, ensuite,- d'ordonner la représentation politique au sein du cabinet, étant entendu que l'organisation technique du ministère des finances aurait fait, au préalable, l'objet d'une entente spéciale, permettant d'en

confia- la. gestion à un pu à plusieurs

confi. ~ori,à un ,ou à plusieurs

hommes indépendants. Lucien Romier.

^»^.

'BeHÕ,~ Un grand financier qui habite le magnifique hôtel qui fut celui dé Tallêy- jrand, donnait l'autre soir une fête. Dans les salons où l'on fit, sous l'Empire, tant de diplomatie, se pressait ïa foule des invités.

Un maître d'hôtel fort grave, soudain annonça de toute sa voix

Les ambassadeurs.

Il y%ut un vif mouvement de curio-

Sïté.

Et par la porte ouverte à deux battants par le maître d'hôtel respectueux pn vit entrer trois nègres.

Lucien Romier vient de publier, chez ';Bernard Grasset, son premier roman: L'Homme blessé.

Notre directeur, rédacteur en chef politique, qui étudie au jour le jour avec tant de pénétration les problèmes de l'heure présente, a voulu déjjëindre le malaise qui continue de tour•ïnenter l'âme de toute une génération Sacrifiée.. f "̃̃ ̃• L'Homme blessé, illusti-atjon, roma:*nesque â® ^Explication, de notre temps, '/passionnera tous ceux que meurtrit la Joi d'airaîa de l'après-guerre.

Le Masque de Ferl

^^̃^̃ -1

Demain Jeudi 10 Juin

LE HCARO ARTISTIQUE Léon Gosset Les Champs-Elysées. rÂfsène Alexandre]: La collection Pierre Decourcelle. Maurice Feuillet: Une femme peintre américaine Mrs Henry Mottet. Les Grandes ventes. Treize tableaux par Corot. Ciiriosa Revue des ventes. Calendrier des ventes. Expositions. i– Vingt-neuf illustrations.

WIR EN QUATRIEME PAGE LE MOUVEMPT INTELLECTUEL

M SITttÂ/rtQN^ POLITIQUE

.̃̃ ii.

M. Raoul Péret saisirait le Conseil des ministres d'importantes suggestions Ya-t-on à un grand ministère d'union pour le franc ?,

JI

Un conseil de cabinet aura lieu ce ma- tin, aussitôt après le retour de M. Aristide Briand qui est attendu à Paris à 9 h,. 15. Un conseil des ministres doit avoir lieu ensuite. Ces deux réunions gouvernemen- tales auront sans doute une importance exceptionnelle.

Le bruit a couru, en effet, hier, à la- Chambre et en Bourse, de la démission imminente de M. Raoul Péret qui, disaiton, se serait trouvé en dissentiments, dimanche, avec la majorité de ses collègues du cabinet, à propos du rôle de la Banque de France.

Mais cette nouvelle a été démentie dans la soirée et ainsi présentée elle paraît, en effet, ne pas correspondre exactement à la réalité.

Un certain nombre de députés qui se disaient bien informés annonçaient hier que l'intention du ministre des finances serait de montrer à ses collègues la néces-. sité de s'assurer du concours de tous les groupes politiques pour réaliser l'œuvre de redressement de la situation financière. Il proposerait donc un élargissement de la représentation politique au sein même du gouvernement et, par conséquent, la constitution d'un ministère d'union nationale. ̃̃.̃••-̃

Si cette suggestion venait à être adoptée, disaient-ils et en .dehors de M. Raoul Péret elle paraissait avoir un certain nombre de partisans parmi. les ministres en fonctions elle entraînerait la .démission collective^du cabinet.

Quelques-uns des portefeuilles changeraient sans doute de titulaires et plusieurs hautes personnalités politiques seraient invitées a entrer dans la combinaison comme ministres d'Etat, on citait même les noms d'anciens, présidents du Conseil comme MM. tlerriot, Poincaré, Barthou, etc.

Si, au contraire, la proposition de M, Raoul Péret ne recevait pas un accueil favorable,, le ministre dès finances, persistant dans son opinion, serait alors dans le cas de résigner ses fonctions. 11

Il est possible encore qu'un remaniement du ministère apparaisse comme

inopportun dans 1 circonstances pré-

'~n,gp"pqrtlp~ ~!lQ~. lW,.s,;cir~c¡>anc~. s' P.l'é."

iïntfe etTqué M'Râpl PlreVsfc rangèsiai

alors, à l'avis de ses collègues, aJQjJFUV

'pBuf'ttlfélqTil fêftip î^féaTîsafiën'ÎW^W*

idée 'd un^élàrgissetaeilt jdè la-TpÇrèsèliith-'

'tÛMt'' •polltîàufc ait séitt1 âu-; Conseil;

Un démenti officiel

L'Agence Radio a publié dans la soirée la note -suivante

Nous avons enregistré Te bruit qui a couru, cet après-midi, avec persistance, à, la Bourse, à la Chambre, et. à Genève, de la démission' imminente de M. Raoul Péret.

Au ministère des finances, où, dans la soirée, nous nous sommes présentés pour connaître ce.que l'on pensait de cette rumeur, on nous a fait cette brève réponse «'Le bruit dont vous parlez ne repose sur aucun fondement ».

On verra bien. •̃<?&̃

L'AFFAIRE STAWISKI

L'escroc doit se cacher dans la'banlieue parisienne

'̃• ̃'

Trois plaintes visant Alèxandre Sacha Stawiski sont, depuis le mois de mars, entre les mains de'M.' Décanté, juge d'inStrUction. Elles émanent de-:

1° M. Labbé, agent dtf change/ pour une StSîilmë a'iiH million. Stawiski avait, auparavant, remboursé 800.000 francs à l'agent

éKiOhajigc m^u<:n- ̃?̃ 8 7'J

L'a Banque Nationale de 'Crédit pour un million 560.000 francs

3° La Banque Spéciale de' Crédit pour le Commerce qui réclame un million. M. Décante avait convoqué" Stawiski â son cabinet, afin de lui demander des explications mais le banquier fut pris d'un malaise et disparut en se, rendant d'un cabinet à l'autre. Il ne resta au juge que la ressource d'inculper le démarcheur du fugitif, M. Zweifel, sujet roumain; âgé de vingt-huit ans, demeurant rue Saussure. Stawiski avait envoyé Zweifel à Marseille et lui avait fait ouvrir, dans une grande banque locale, un compte au nom -de M. Peroti, industriel, Grâce à ce nom et à ce compte, Stawiski put émettre des chèques sans provision, capter la confiance des, banquiers parisiens, qui croyaient ferme que Peroti était un gros industriel marseillais.

Le fugitif, qui doit se cacher dans la banlieue de Paris, a, envoyé des émissaires aux parties civiles pour arrêter les poursuites. Il est fort probable que si les faits délictueux n'avaient pas été ébruités, Stawiski serait à Paris et son père encore vivant. Dans le coffre-fort de ce .dernier, on a découvert pour 600.000 francs de titres provenant des opérations du fils.

M. Israël, expert, va examiner, là comptajjilité. de. l'inculpé

1 Ajoutons 'qu'ahjô'Ur'd'hui doit' venir, de-> ̃vant les appels correctionnels, une action intentée »par SacM Stawiskî, «n détourij-BT ment de 400 titres d'une valeur de près d'un million, contre les banquiers Zeiher, et Godet. Raphaël Adad défendra les banquiers M6S René Renoult et Marcel Caen plaideront pour Stawiski; •M*' Campinchi, Thévenot, Guillemin, Dorville et Chaulin-Servinière figurent dans les différentes affaires Stawiski.

71 ne reste plus que quelques places de souper pour la Grande Nuit de Paris organisée demain soir au Claridge, parle Figaro et Femina. Dépêchez-vous de retenir Votre table au Claridge même.

^-m JBW JSEm^iFfNlT" Mit U EMPORTER Les 42$00ï sont repousses Les députés partisans de l'augmentation avaient multiplié les marchand ~s'candcïl~ux

Aunejieure un quartde scrutin est clos et quelques instants plus tard, le président en proclame le résultat

Pour les 42.000, 128, voix.

Contre, 150 voix,

Les 42.000 sont repoussés. v

o,

Impressions de séance

La séance fut to ut. lg, temps pénible.' Elle s'achève, cette nuit, dans le scandide d'un marchandage affreux. Le banc des ministres était vide, mais la salle était pleine comme s'il s'était agi de quelque- grand .événement national. T'outés ïe& pï.éoLfnpaHons du pays s'crHtalent au seuil du Palais. On y oubliait le prix de la livre et du dollar. Seul le relèvement de l'indemnité parlementaire occupait les esprits. Ceux qui la réclamaient se croyaient sûrs de la victoire, escomptant que tous ceux qui, selon une expression délicieuse de M. l'abbé Lemire ont l'honneur des privations » voteraient le relèvement, tandis que beaucoup de ceux- qui pouvaient s'en passer n'oseraient pas commettre, en ne le votant pas, un acte de mauvaise camaraderie. Le rapporteur de cette augmentation xle traitement apportait plus [de s'olennitè il la défendre que Viviaiii, le 4 ao«M9l4, o lire le message du Président de la République: II pensqil, sans doute, proposer p}us[ grande réforme du siècle; i.vef la plt^s^ populaire. [«Certains journaux, Àit-il^ep .ep.. terminant, ont écrit ce matin -ils noteront pas. Osez!» « C'est le' Danton des 42x000 » dit quelqu'un à droite, tandis que le Cartel applaudissait le rapporteur. Des orateurs, de .talent vinrent ensuite, qui firent ^glisser la question. Ils parlèrent peu de la majoration, niais défendirent le' principe même de l'indemnité" parlementaire, qai n'est -pas- contestable et quîja'étyit pas contesté.

Quinze ftttfte f ffiftesi étë plu$f ilotjf 4e owf:

1àd21ttaSQnlln~ esl forle et ~e »~oment s~u-

$4» jQiSonune e$J forte el le moment sia-

'gtiîièstemént mal' nhvisiï fioae seiliatMbperàSpi-'ntènve: M. Birè le fit-remanquefi M4'

,FqYtr~ 4~~éc~i~l~ ~a~'d <e~e~W~

la, bataillé p'ôur le franc, est douteuse* 4*

l'heure des restrictions préparer Ipar une, mesure personnelle une augmentation générale des fonctionnaires et des salariés 'lui paraissait une faute contre le pays et- contre, le régime. Ces arguments de bon sens faillirent l'emporter. Ce ne fut qu'à trois, voix de majorité que Chambre refusa l'ajourne^ ment du débat. Elle ne se rappelait plù$ tant de serments de ne voter des dépenses nouvelles qu'après avoir créé des ressources correspondantes.•'̃' Un moment on crut que l'àç'çord allait se faire entre de respectables' difficultés et dés âpretés trop exigeantes. M. Bàlhnant déposa un amendement de sage conciliation maintien des 27,000 francs avëà indemnités supplémentaires1 de 5,000 'jfir. au député marié et de 3,000 fï. par enfant mineur. l*" On faillit voter d'enfhou'siasme. Cette motion remplaçait par l'aide xaux familles nombreuses un acte de large égoïsnii. Lés célibataires pauvres faisaient preuve de désintéressement, la Chambre semblait reprendre quelque souci de T état dés% finajices et quelque souvenir de tant èe pensionnes; rèfraïtes et mutïles'qài ne touchent ni 27,000, ni 15,000 francs par M, niên}t (#'rêifès.KS9Mi' la'eêMtûtssion^- mqnda à réfléchir elle repoussa l'dmeÈQement Balanant, n'offrit qu'un petit Irabais aux contribuables 36.000 plus '3'JtJVb aux mariés et 1.200 par enfant. La Chambre, par'12 voi£, .rejeta le"'Pàbais. Les ministres s'étaient abstenus. Nouveaux marchandages. On proposa 27.000. francs par tête d'élu plus 5.000 en cas de mariage et 1.200 francs par enfant. Jusqu'après minuit les enchères continuent. Aucun amendement 'ne trouve preneur. A la fin, écœurés, un'grand nombre de députés ont quitté la Chambre.Alors, manœuvre incroyable,' les acharnes décident, en leur absence, d'empoigner les 42.000 n la tribune « Osez q dit M.

Rognon. i ,C "x

Mais l'audace n'a pas réussi. Et les regrets seront vifs de n'avoir pas voté l'amendement Balanand. Qui trop embrasse. Henri Vonoven. Le débat

Í.: ,l'¡' ,(

Les députés étaient venus en grand nombre à la séance d'hier. Allait-on arrpter les mesures nécessaires au relèvement

du franc ?-Nori.Onaliaît shnpleme'nt çns-

cuter- 'le relèvement de l'indemnité 'parle-,

~;t~eut~e~a; wcs qpi~stïbi~~ ~utr~ip.cuttduj

inventaire ̃ ce qui œst .bien autreipenbùn-i

téressant pour les députés. M. Biré demande l'ajournement Le débat fut amorcé par M. Biré, de la droite, qui, l'autre jour déjà, avait réclamé l'ajournement. Il revint, hier, à son idée, répétant que s'il est une réforme que l'opinion publique ne réclame' pas, c'est bien celle dont on s'occupe aucun programme électoral n'en a parlé et les comités directeurs des partis l'ont repoussée. Selon M. Biré; le Parlement doit être mis en garde contre « la suprême faute qu'orç veut lui faire commettre ». Assurément, certains .parlementaires se trouvent dans une situation difficile, mais on pourrait •fonder un comité de secours, géré par un certain nombre de collègues, ou bien encore accorder une majoration d'indemnité aux membres du Parlement chargés de fa-

mille,

L'augmentation de l'indemnité parlementaire est- pput-être désirable, mais le noment est mal choisi pour la décider, L'heure des restrictions a sonné pourIuoi les députés y échapperaient-ils ? R L'orateur termine ainsi « L'autre jour, quand la motion d'ajournement fut repoussée, une voix autorisée a crié «Vive a République! » Pour moi, je ne ferai pas 'injure à la' République de l'incarner dans la dotation parlementaire. » M. Rognon défend sa proposition

t' ";̃ ̃̃ ̃

Tout de noir vêtu, le rapporteur, M. Rognon, monta alors gravement à la tribune ît, après avoir étalé devant lui un volumineux dossier, il commença son exposé avec une solennité quasi funèbre p.t légèrement comique, en un langage redondant et d'ailleurs broussailleux. On eût dit que l'intérêt supérieur de la Patrie était en jeu. Le rapporteur affirma avec force son sentiment des responsabilités et les mots liberté, devoir, démocratie, indépendance, revenaient à tout instant sur ses lèvres. D'abord, les socialistes approuvèrent seuls, ir.c::s les applaudissements gagnèrent d'autres bancs, quand M. Rognon stigmatisa les calomnies répandues par les journaux sur le Parlement. Et même, .1 ne fut pas très éloigné de réaliser contre la presse l'accord unanime on tolère mal la critique au Palais-Bourbon.

Notons les principaux, arguments du rapporteur

Le rapport de la commission a été déposé en janvier 1926 et tous les députés ont pu en prendre connaissance. La presse a parlé alors d'un vote à enlever clandestinement à la faveur du'budget et a' lancé la npuvelle d'une augmentation de l'indemnité non plus à 42.000 fr., mais à 48.000 francs.

Une voix. C'est le « Quotidien qui l'a lancée. (Exclamations et rires à droite.) M. le rapporteur. La commission n'a jamais consenti à une telle procédure et elle a toujours voulu un débat public.

Il ne dépendait pas d'elle seule d'en obtenir là1 mise ;S' l'ordre du jour. Elle a patiemment attendu, courbée sous l'injustice, l'ironie et, la calomnie. Aujourd'hui, justice est faite de toutes les manœuvres dont on a parlé, et c'est une/ïwoÇfls ito» #s «uesteujl .«fe, la commis§iM rflppoMe devant rÀssemblêe.' .•Xe .n'est,, pas jjh débat ,polit,iaue. c'çst un

t s k~i~d6#kl~lt~Crt.Sj St~gtt`Ije:$aY9~ra

idétiaf sWUX ^MsestitoUwrt.rJJ s?agit,de imy.ftir, indépendance ^tt^seuleraent .sous Ja, twt^Jé de

l)Uissanc,e| f îiîànfciêresi' (ft^plâuaissèmeiits

eauene.)' :<'

Eni.terminant, M. Rognon .reooussa le principe ,d'un secours parlementaire suggéré oar M. Biré il ne saurait être question d'aumones. Saint-Selve.

Saint-Selve.

̃S1'' (hoir la suite en troisième page),

i_> _i- ^̃^̃

AU JOUR LE JOUR

'Ir

Comme au temps de Molière

n' ̃ ̃'•̃

Le ministre moyen. Monsieur le Financier éclairé j'aimerais avoir un renseignement. Mon, collègue des finances vient de déclarer que le mouvement des changes lui échappait.. Je voudrais que vous me disiez pourquoi le franc baisse de la, sorte.

Le Financier éclairé. –'Il n'est rien de plus aisé. Cela vient de ce que les devises étrangères montent.

Le ministre moyen. Mais encorè, quel est votre sentiment sur cette ascension des devises étrangères ?

tcLe FbiQpçier êçîairè. glle est due à la loi de l'offre et de la demande. 'X)a offre du franc tandis qu'on demande de la livre et du dollar. C'EST ce q^'feSplîquè 'que les tins valent cher et que l'autre est pour rien.

Le ministre moyen. J'entends bien. Mais pourquoi veut-on acheter des livres et des dollars.? ̃ Le Financier éclairé. Parce qu'ils sont cotés très haut.

Le ministre moyen. Parfait Et l'on vend le franc parce qu'il est déprécié. Le Financier ^éclairé. C'est cela même. Le ministre moyen. Je vous remercie. Il n'y a rien comme de connaître le fond dès choses pour pouvoir en raisonner. Mais voici que j'aperçois mon ami l'éminent météorologiste que j'ai également besoin de consulter. Monsieur ̃ l'éttiment météorologiste, voulez-vous me dire à' quoi il faut attribuer ce mauvais temps ?

L'éminent météorologiste. Cela à une baisse générale de la température.

Le ministre moyen. Cela se conçoit. Mais pourquoi la température baisse-t-elle et pourquoi pleut-il de la sorte au mois de juin? L'éminent météorologiste. Cela tient de ce que la vapeur d'eau contenue dans l'atmosphère' se condense en .gouttelettes par refroidissement ouest. En un mot, il pleut par,ce ,que l'air est chargé d'humidité. ,,Ze Vfinis/re moyen. Je le sais bien, par-bîeu !lletcapù'djSi"ide- mon •Hygromètre m'avait renseigné là-dessus. Ce que je veux sax*oir, c-^est' pourquoi «l'air, est humide «quand il 'devrait être sec. `

L'éminent météorologiste. Cette humidité résulte de dépressions affectant les mers qui baignent notre continent. Le ministre moyen. Voilà qui est parler clair Comme je vous envie, Monsieur l'éminent météorologiste, et vous, Monsieur le Financier éclairé, de savoir démêler ainsi leg causes premières de tous les phénomènes incompréhensibles pour un ministre moyen Maintenant que je suis instruit par vous, je vais pouvoir rassurer le pays et lui dire que le franc remontera.

Le Financier éclairé. .si son coefficient monétaire diminue.

Le ministre moyen. Et qu'il fera beau. L'éminent météorologiste. .si le cier redevient limpide et si le soleil se met à briller. James de Coquet.

~C~E~

II CONSEIL DE LA S. D.N. a décidé de cesser son contrôle sur les finances- de l'Autriche 11 a procédé à l'examen

de la situation financière hongroise Le retrait éventuel da Brésil et de l'Espagne

a fait l'objet d'une étude spéciale Genève, 8 juin. Le comité de la S. D. N. chargé du contrôle de la Hongrie s'est réuni ce matin. Le comte Bethlen, au nom du gouvernement hongrois, a annoncé qu'il acceptait le rapport du comité financier- sur l'état actuel de la restauration financière de la Hongrie et il a souhaité que ce comité examine maintenant la cessation des fonctions d.u cpmnjissaire général,

M.-Siniih.

Au ijohi du gouvernement" français, M. Briand & répondu qu'il était d'accord pour le renvoi au comité financier des questions s techniques concernant la cessation des fonctions du commissaire général, et il a fait remarquer que ceci ne préjugeait en aucune manière de l'examen des questions politiques.

Cet examen par le conseil aurait lieu au cours de la présenta session.

En ce qui concerne le reliquat de l'emprunt resté disponible et se montant à 82 millions de couronnes or, il restera sous contrôle, contrairement aux désirs du comte Bethlen. Ce dernier aurait voulu que cette somme fût mise à la disposition de la Hongrie. Il en sera de même des revenus gagés de l'emprunt.

Parallèlement a l'examen des finances hongroises,- le comité du conseil chargé du contrôle de l'Autriche a procédé à l'examen de sa situation financière. Cette situation étant maintenant rétablie, des félicitations ont été adressées à ce pays pour la façon dont il s'est acquitté de ses devoirs.

Le contrôle sur les finances autrichiennes sera supprimé à la fin du mois. A cette date, le haut commissaire de l'a S; D. N. à Vienne, M. Zimmermann, abandonnera son poste.

Le chancelier d'Autriche, M. Ramek, a exprimé au comité ses remerciements et la profonde 'l'econriaissance dti .fiQutérne»ment, ainsi que du peuple autrichien, pour ï'ttde.w'ilspn.t jeçae'de ia &,&&' .«-Cette aiqe, em-iI dit, lfeùcji permit t de sortir de fcuvlS^ 'M-

ro.uvalen. 'a`

La question de l'élargissement du Conseil. La crise ouverte en mars dernier au sein du conseil, et aggravée depuis par l'attitude de l'Espagne1 et du Brésil, a retenu l'attention de M. Briand pendant son court séjour Genève.

Un long et minutieux entretien de M. Chamberlain et de M. Briand ^a- eu lieu dans la journée d'aujourd'hui. Ensemble, les deux hommes d'Etat ont examiné, toutes les données du problème, et il leur est apparu que ces données, non seulement sont extrêmement compliquées, mais qu'elles évoluent presque quotidien- nement. Dans ces conditions, la plus gran- de prudence s'impose, et il importe de laisser aux pays intéressés,: à l'Espagne et au Brésil, le soin de préciser d'abord leur attitude définitive.

L'Espagne, après avoir décidé de ne point se faire représenter au présent conseil de Genève, a cédé finalement aux sollicitations d'une puissance amie, et un chargé d'affaires espagnol joue un rôle muet dans le conseil exécutif de la S. D. N.; nul ne sait ce qu'il fera demain. ° Le Brésil ne paraît pas avoir adopté une ligne dfii (Conduite aussi absolue qu'on l'avait pensé tout d'abord. Il était absent; hier, du tpnseil il laisse dire, ce soir,

gu'ily siégera demaj*.»atin« Çn iottl*c»s,

ses experts siègent cet après-midi dans les comnjjssions techniques de la S. D, N. (voir la, suite en troisiéme page)

e OP

L'avion dans la guerre navale de demain ,• '.̃ ,1 immum 1 j ̃ \i

Par l'AMIRAL RATYB

'̃' I ',̃'̃ ̃

L'aviation accomplit chaque jour de si remarquables prouesses que on peut tenir pour peu le récent voyage de trois Goliaths de la marine, traversant en quelques heures la Méditerranée de CuersPierrefeu à Bizerte. Et, cependant, la façon dont fut accompli ce court raid mérite de retenir l'attention.

A bord de l'un de ces Goliaths se trouvait l'amiral Dumesnil, commandant en chef désigné pour le temps de guerre de toutes les forces maritimes de la Méditerranée. Départ de Cue.rs-Pierrefeu vers, six heures du matin, passage au-dessus des Bouches de Bonifacio vers neuf heures, arrivée à, Bizer^. vers midi. JVÎarçhç;. régulière, traversée sans incidents. Commu^^W^^fÂ^g^iEW saijf $ W, CQlirs ae la traversée.

Voici donc cette Méditerranée occidentale réduite à un simple lac qu'on franchit en trois cent soixante minutes. Avant la guerre, nos croiseurs les plus puissants, chauffant à outrance, vomissaut des torrents de fumée, parvenaient à peine avec leurs trois cents chauffeurs et mécaniciens à couvrir la distance TôulonBizerte dans les vingt-quatre heures d'une belle, journée.

Aujourd'hui, pendant durée d'un quart à la mer, on saute de notre Côte d'Azur aux rives où s'élevait l'ancienne Carthage.

Dominant tout le théâtre d'opérations comme jadis le général dominait d'une éminence son champ de bataille peu éten-

,y.r.;5fïffl ASSISES

HANS BOSSARE» EST ACQUITTE] Le verdict n'a soulevé aucun incident

ni

M. Hans, Bossard est acquitté. 'Ainsi se termine la,dernière affaire d'intelligences avec l'ennemi.

Cet acquittement était prévu. Comment eût-il été raisonnablement possible de condamner M. Bossard après l'acquittement de M. Judet et le non-lieu de M. Paul'Meunier et de Mme Bernain de Ravisi ? L'audience dernière s'est déroulée sans le moindre incident. ̃

Plaidoirie de Me Paul-Boncour Ce fut une fort remarquable plaidoirie que prononça M" Paul-Bon cour. Elle dura près de cinq heures sans la moindre fatigue apparente. Plaidoirie de discussion, ne voulant rien laisser dans l'ombre, étudiant tous les témoignages.

,Le procès Juaet, nous dit laminent avocat, et le procès Hans Bossard sont indivisibles. On ne peut cqndaitinèr M..ïf<îgi- sard pour avoir favoHsé les entrevues de M. Judet ou de M. Paul Meunier avec des agents de l'Allemagne, alors,que tous deux sont hors de cause par un acquittement et par un non-lieu. C'est donc une accusa- tiori paradoxale.

Son point de départ est la haine de Mme Bossard pour son mari, et l'accusation d'espionnage est un des griefs qu'elle a invoqués pour son procès en divorce qui dure depuis 1918 et n'est pas encore terminé, mais qui, jusqu'ici, en Suisse, lui a valu une condamnation pour faux témoignage. Et M0 Paul-Boncour discute les accusations de Mnie Bossard. Celle-ci a déclaré que son mari avait reçu de PÀllemagn'e, en deux fois,; un millio.n neuf cent quatrevingt-dix mille francs. Elle indique, les dates, et celles où son mari et elles seraient allés placer cet argent à la banque, or l'es dates ne correspondent pas, ni les sommes, avec les versements que l'expert D/oyen.; a relevés. On ne saurait donc s'attarder, dit M* Paul-Bonco*ur, à' l'accusation de Mnlsi Bpssa,rd, qui est la seule b'ase de ce pr.îocès. «Il serait vraiment monstrueux, «JitPaul-Bon cour, que deux Français, un journaliste et un' député, aient été misv Boïs de cause,'et qu'un Suisse fût condamnée. Mais je suis angoissé, car si cet homme çst là, sur ces bancs, c'est parce que je lui ai conseillé de revenir pdur.se faire jugçr, ayant confiance dan^ la justice française»» » Hans BoSSàrd n'ajoute pas un mot, et,

iine *4^nit-he ,#l>rès, ),çs jurés rappqif

',0, nerQ,~J,t1t'7.~I!"f.lj~après,J.,E;.S. j,u. r.éS. 'rap. 'p(jr~

tent" un '•VQraiéf d'acquït'temejiif. j"

l La Cour, rend, un an-jet décidant que Bos.- sard, ,*« .yS^l'ah^ laissé voïoiitair.eiiieijjti^cQnV;. damner par co'ntdmfece^ïés frais de'ceite contumace seront laissés à sa charge. Ce ne sont pas les frais nécessités par- l'instruction, mais' les simples frais de la cbn-. tuinace, assignation à son de trompe, été. Une centaine de francs tout au plus. Georges Clàretie.

+-++^- L-,

Des révélations de Meszaros

au sujet de la falsification des monnaies

Des 1920, le comte Bethlen 'était au courant des projets VIENNE, 8 juin. Selon Der Abeiid, Meszaros a fait à Cohstantinople des révélations dans lesquelles il accuse le conitè Bethlen d'avoir été au courant, dès 1920, des projets de falsification des monnaies. Son élargissement d'Autriche a été obtenu au; moyen d'une caution dont comte Bethlen a versé une partie par l'intermédiaire du baron Perenyi. En 1923, les sociétés secrètes hongroises avaient envisagé é la falsification des livres sterling, puis avaient commencé la falsification des francs.

En juin 1924, le comte BëtKlen1, pour -ne

pas 'contrecarrer son-programme d'assaii

nissement, avait ctièfthe*^ ajourner Te plan de falsification jùs^u^u moment où il aurait .tèrpiiné l'assâtefssement. Selon lé mime journal, %| racistes hon- grois auraient rintentitihuide' demander la grâce des faussaires, en alléguant les révé- latioris de Meszaros.

du, le chef plane au-dessus de la plaine liquide où se meuvent ses escadres. Il'traverse d'un coup d'aile l'immense étendue tout en demeurant en communication par l'intermédiaire des postes de télégraphie sans fil avec toutes les forces qu'il doit animer.

Quelques ondes, émises, et Bizerte, Toulon, l'armée navale, les lignes de croisière, les convois en route pour la France, les flottilles de torpilleurs en chasse, les sousmarins à l'affût, répondent et obéissent. Possibilités nouvelles, possibilités puissantes, qui brisent le cadre étroit des anciennes méthodes de conduite et d'exécution des opérations de guerre navale..

:li'hpmme se, plaît à chercher des lois et à les supposer ïmmuàbïes.Il y met quelque orgueil sinon quelque ayeugleriient. •L'art .militaire, a, plus qu'aucun, souffert des vaines espérances de trouver des principes éternels. Principes fixes, application variable, furent '.obligés d'avouer nos maîtres les plus avertis en stratégie quand ils échappèrent à l'emprise des dogmes scolaires. Il leur fallut bien, en fin de compte, reconnaître qu'il n'y avait qu'une loi qui demeure constante c'est que tout évolue, que rien ne stagne. S'il n'est point douteux que la technique doit nécessairement s'orienter pour l'immédiat suivant quelques évidences qui dominent la stratégie, il est encore moins douteux que la technique vient rajeunir la1 stratégie.l'obliger à marcher sur les routes nouvelles ouvertes par la science. 1 Le sous-marin a assez fait parler de lui au cours de la dernière guerre pour qu'il `


ne soit; plus- nécessaire de le vanter. En partie aveugle, lent à la surface, se traînant péniblement sous <P.eau, à peine; dégrossi, jeté sans- préparation et -presque à l'aventure dans la bataille, il a cependant fait trembler le m,aître de .la mer. L'avion marin, lui, venait à peine de naître. Que se fût-il passé -s'il avait atteint à ce moment, non pas le degré de pérfectionnement qu'on peut. escompter dans une dizaine d'années, mais simplei ment celui qu'il a positivement réalisé .de nos jours ? C'est ce que nous voudrions évoquer dans un prochain article. Car, sans aller aussi loin;que certains amir.aux

de- l'école anglaissevi.dont île .plus-.©sé-.fut

icfi©eBcy'iScott?'ète[îipâ^ s*?à?>â8ÉîÛ?0le"1W

|êfei§&,i'è-ipaîl4^iB^inicW^ >i'àr*d#

rie- de- :bdrd, àvkn&âç" âèvënixiïe1": chlffii

558^.10^ af^fif^s ̃ f Klfés f HeuS^lçJ

,ncrUs' sonimèS "cep'erid'anr^e "ceux qui pé^a-! cent que, la guerre navale! de demain si vn :i§prt fatal en impose une nouvelle à l'îiumanité -serait- plus différente de la guerre de 191-4-1918 que le fut la bataille du Jutlandde la bataille de Salamipe. Toute réduite qu'elle soit par l'actuelle .sécheresse financière, la marine française peut encore beaucoup si elle sait, sans exagération systématique, mais avec une froide résolution" s'avancer hardie ment dans le monde évolué de, la stratégie navale. Qu'elle CofiserVe d&^Son passé ̃les, saines traditions, les. vigoureuses dis- ciplines, qui firent la valeur et la force de ses équipages* lesquels, bien formés à la 'rud"e école des campagnes et du large!, valurent jadis plus que les meilleurs. IVÎais qu'elle se sépare délibérément des vieux pistolets, des tactiques archaïques et des Stratégies surannées. ̃ '̃̃̃̃̃ !A arapes nouvelles, marine nouvelle 1. Amiral Ratyé. 6ÂZEI1Ï» TRIBUNAUX

.i. [In 0 '~i t~f~O·J AI .!j .( 7 y.

Lœbnie Josephj; qui tu^ «ne femme

i;§jtî c f%})^n|-isg^b.pVîàé''fatt?|», n'est condamnée qu'à quatre mots *l de prison avec sursis

̃' ̃ ̃

(Xést une idée diabolique qui, à deux héuees du matin, traversa la cervelle de Mlle Léoiiie Joseph. Il est vrai qu'elle avait bu passablement dans les restaurants de ïMpBrimartre, lorsque, rue Victpr-Massé, elle ap(prçjiit une automobile qui appartenait à u'ntde ses amis. II. n'y, avait p,as de chauf-

feur. •'̃ ̃̃-̃̃̃-

!«lors Mlle Joseph se /dit '« Je vais faire iuife \bônne farce. Cacher cette voiture. » Çfc elle sauta, sur le siège et se?mit au mdlap^. Jamais elle n'avait conduit de voitufe automobile et elle ignorait absolu1mènt\ ce qu'il fallait faire. Mais, chose cu] rleus'g, elle réussit tout de ,pême à mettre Ja yôiwure en mqrché. Çellé-ci alla jusqu'à ia^ rue Pigalle. Mais, là, il y avait un carreïoiirj ^et des voilures. Mlle Joseph youlut 'ralentir'; et,, à tout hasard, elle appuya sur, raie pé*feje. Hélas ce .n'était pas le frein,

Rsîéiait Accélérateur,, et la voiture bondit.

I: a' il ,1'ac, ~é,lé,r,ateur,. et ,l, a' vOi,ture bon, d, it.

SîEïïe reœversa uii chauffeqr sur la çhaus-

sée, puis sauta sur le trottoir, écrasa une [•malheureuse femme qui se trouvait là, puis j continTjian| sa courseb alla briser, la .devan'Itifç d'an restaurant russe.

.psë~ij~De~f~

t.i%/38.eX- *¥&$*$• «^ksj .fleuArpntfi&fcn! ;va1p

~j~pr~s' ~r,0~!u ~sr, jaih}

jmi^e?.; ^rÇ(çe,.f a|ou^r<. ce; q^el|e ){^t

^ilàa^c^artf4^r Bk--iïoilcéf.çmT^

iftjonneHe, pour, homicide par inipriiaence, pesant la 11° Chambre, présidée par M. jGorse. Après plaidoirie de M° Maurice iBlum,' elle iut condamnée à quatre mois dé "prison avec sursis. Ce n'est pas cher. KA Le proprisétaire de l'automobile avait ité

fecommé civilémèhtTèsponsable. Il a été

àjcquitté. On ne pouvai^ vraiment rien lui

jrJgBEDcher, il ne pouvait pas prévoir- que s^ voiture serait dérobée par, une femme

'iyjse. '•

La condamnation de Le Flaoutter tribunal ne s'est pas, montré très sê[,vère envers: Le Flaoutter, poursuivi,' coni- jme nous l'aydns dit, pour avoir envoyé Ip^ayis des livres obscènes. Lg 11" Chambre plfti a inflige deux mois de prison avec sur[sis et 2.000 francs d'amende. Guérin a, eju f;6 îûois avec sursis et Mlle Moisson deux (mois, toujours avec sipçis.

-̃'̃ Georges Claretie, la condamnation de raméricain Dorty

̃̃̃ <s. ̃

'Aucune démarche n?a encore été faite au Quai d'Orsay par 'M. Myron T. IJerrick, çn faveur du déserteur américain Dorly, ^'condamné fi mort par le .conseil

de guerre 'eyiouth, pour avoir, fait

4, g,ucrre H:1j,(}3~1;tPut4, .,J,Jo,,ur:;¡voir, faU,

fèài sgr lesj^sQjiflafs changes, je ile-.csptu^

yer, après s,p}}j jvagion de la ]Légioa étran^

géré. ̃>•̃ •̃̃ ̃̃ ^riun; .?.(ICr'J 1" -<.̃. '̃•?' •̃̃; -•

.Kftc" e

,j, ̃ -jiîfMî: k y ̃ ••

L'épiïogue de l'accident de Ferrières v: .Lp -tribunal correctionnel d'Amiens a |ugé, hier après-midi, Marcel Mourier, trente-trois ans, entrepreneur à Corbie, qui, le 27 février 1926, à Ferrières, fut la :cause de l'accident de Fore, tombée ̃^pai-; la portière de.son automobile.: 1 ~l, Motirier comparaissait comme prévenu 'simplement! de. blessures par imprudence; mais le tribunal, jugeant que son délit avait été aggravé par son attitude après la chute de son amie, -l'a condamaé à un mois de prison, 100 francs d'amende et 12,000 '.fr.

dom'inages-irstérêts.

Encore une requête de Mme Seznec

Morlaix, 8^juin. Et Mine Marie-Jeanne $ez'hee écrit toujours. Ce matin encore, elle a composé une requête' qu'elle a en,v4yée au ministre de la justice. Son texte, [d'ailleurs, ne change guère et sa méthode jçst toujours la même. Mme Sezn.ec découvre des témoins. C'est le quatrièmes oij le cinquième, peut-être le dixième qu'elle jteoffive. La collection, d'ailleurs, est çu:rieœe.,0n.j, tEOiu',e e 1 y, -9 etc ,ÇI ttÍÜs' j^tÈ'iAa^WfelÔffWd 5t'une%n>W* |n:,n^,fe .bfâteuXf .# .-• m bejrsiMfe-lVèici aujoura hûi un témoin qui désire gawlÈè 'l'incognito, et un sosie. Pour faciliter .les -explications, Mme Sèznec appelle ce témoin M, H. En mathématiquej on remplacerait H. par X. Maïs n'oublions pas qu'il y a trois ans Mme Seznec était illettrée et. que, si elle apprit à écrire depuis, elle ,'n'a pas forcément appris l'arithjnétigue. -L écrit donc Mme ren-

M. IL. écrit donc Mme Seznec, ren-

;coritra à Cacn un homme qu'il avait connu à Brest' et qui opéra beaucoup dans les camps américains. Cet homme était accompagné par un personnage de haute taille, bien mis, portant un chapeau mon. M. H. fit un rapprochement immédiat entre cette rencontre et la valise du Havre. fl en fait part aujourd'hui l'intéressée. » Enfin, il y a un'sosie de Seznec, vu dans jun • tramway, ou dkns un train, à Paris, dans la nuit du 20 au 21 juin, par Mme h. femme d'un honorable industriel 'brestois, ce 'qui a été signalé notamment à Mme

;§ezi|ee. -j

NOUVELLES DIVERSES

_r~

<: La température V,. ̃•'Probabilités pour aujourd'hui Région parisienne Vent Sud-Ouest à Ouest faible ou modéré, assez doux, nuageux, éclaireies,- ondées. Même temps moitié Nord et région centrale. Beau temps région Sud.

Pour Mme Ruelle et sa fille

-T~

~J~~&~ 1 bt ~j¡fft~ Mm~

i~~s °ad`rë~see~ ~'uil~~ lr~~$gYt ~T~sp.Wt

tt&$ adressées au îward..pojijc,Mma,Stne}le

e~~ ~3~~5~' tt ~4$,i'x~ iz 3~c! inea ,¡¡¡U

.»!>, ). ^lafflp.f ,ij((*JJ!ÇJ'la-fiJ, .40':?:

Une explosion fait cinq victimes ,,V/ïe'fajn|ile d'Italiens, dont on.ignore l'identité et. composée du père, de Ja mèrq et' de trois enfants, passait près des fours à coke de Roche-LarMolière, lorsqu'une explosion, provoquée, croit-on, par une fuite de gaz provenant des conduites des fours et qui avait pris feu au contact d'uii bout de cigare non éteint, s'est produite, Les cinq Italiens, grièvement brûlés, ont été transportés dans un état inquiétant à l'hôpital. T

II.

Un fabricant de lettres anonymes .<̃̃ trouvé mort •̃

Depuis longtemps, des habitants de Vil liers-sur-Loif (Loir-et-Cher) recevaient de? lettres anonymes où,, notamment, en les menaçant ct'incendiér leurs, biens, on cherchait à leur extorquer des fonds. Plusieurs se résolurent à porter plainte. La gendarmerie découvrit l'auteur des lettres, un nommé Eugène Oury. Il futinculpé. Or, on vient de le trouver mort chez lui. L'autopsie a conclu à une mort naturelle, mais l'opinion publique ne le croit pas.

,8;,0

̃̃̃-f- L'affaire Laricejl '•̃' ..̃

°lJ1111 ~t.t.j fw.t, Y ~t~

,.A .,n~~>°a>t~u;a~~ls,d~~iall~'et.. :.>.

jn«;àVï.e.n.«ra> a** moi«i.d«>;|Miliet •:̃

'•'BS jChâTtifeipe^des' misés énHkc,ttâs'at,ïpn' a rfëçtf feïèr-lb'^ôssièr ae^ârfàïr^ibert Lan-

eel: :Í~'I;) ,Y,:i1IJ[

Le maroquinier ,est renvoyé clevant' la a Cour d'assises pour' homicide Volontaire sans préméditation, commis. le 21; janvier, rue de Chazelles,. sur la personne de\M. Robert Marge.. L'affaire viendra le 18 juillet. M, Philippon,- avocat général, soutiendra l'accusation. 'M* Paul-Bonçour, assisté de.MJle Suzanne Blum, présentera la défense,

h vi

L'assassinat de i'hetman M.'Peyre, juge d'instruction, a chargé les docteurs Marie, Claude et Truelle d'examiner, au point de vue mental, l'Ukranien Samuel Scîrwartzbù, qui tua I'hetman PetlioUra.

Une famille empoisonnée

"•. /̃̃.̃

Le ^seryice de la répression des fraudes a ouvert une enquête à la suite d'un commencement d'empoisonnement.

La* famille Claude-Pierre, composée du père, de la mère et de trois enfants, âgés respectivement de 10, 12 et 8 ans, domiciliée1 135,, rue du Château-des-Rentifers, avait, dimanche soir, au cours du dinet, mangé. du:jainl)on; >

}f>Btes>vp»61â¥eH8;itt& ^i*fJ3léy<èffevê¥bés W

a©mït'i!ô'^e^î8/fa}ÀM%'1CfëuTlfel'PieMi^î

t~f,èë l~.`.Yf6l~f'Ltu'Plèttri~ûè`Fa ''éii~r~ titf~f~l`ts'~é

«9*1? Ife fWHàteu«feil.'iBiiéJ'»> Jo^rB^lhâKsfé

pour la ~XiJiârt!u'fÍè¡1jC~hH!¡¡ pW\\d\~b l'is1é

pour la çon§ofiV^Ro«!8feÈÏ<faS®oW nS "^fè

saisie,et des prélèvements d'eau o,nt été faits dans les canalisations de l'immeuble. Une analyse du laboratoire, de toxicologie déterminera sans doute J'ôr^gine de

eettd intoxication alimentaire..

!i M. Claude Pierre, qui est Je plus gravement atteint, pourra/ cependant, se lever dans quelques jours. On J'espère du

moins.

>?" Un y rame à Antibes Il'y à quelques .jours, la fille aînée de M. Simôm, propriétaire d'un café de la placé.Nationale, quittait le domicile paternel. M, Simoni, supposant qu'un radiotélégraphiste de la station aéro-navale, 'M. Desprez, n'était pas étranger à la fugue de sa fille, se. rendit aujourd'hui au port aérien, çpur demander des explications au radiotélégraphiste.

ne violente discussion éclata.- Puis, soudain, cinq «oups de feu retentirent. M. Desprez venait de tirer trois coups de revolver sur M. Simoni, puis de se loger deux balles dans la tête. Le cafetier est mort, le télégraphiste dans un état extrêmement grave. Un violent. Au cours d'une discussion,- place cîu JVlarcJié.-Saint-Honoré, M. Jean Loselier, 49 ans, employé d'hôtel, 21, rue Sainl-Honpré,

a été frappé ,et Hessé par Maûïiecj..Poelman,

'e,' frli~ ,e"t,p.Jel1f,s,: épa!'Mau, tic, ¡poelman,

80, avenue W&rat-$andé, qui 'pris la fuite.

M. Loselitjr' a été transporté. £ '•}% •Char.ité.

Les suîéidcs. Neurasthénicjàél" M:' Won

Barbarôlle;>'2.Tâns,r S'est pendu ^H'domicile,

rue des Blâfa-ières, à Drancy. '• Le feu. Un commencement d'incendie s'est déclaré chez Mme veuve Didieiy 201, ïboulevard Voltaire. Il a été éteint rapidement. Agression nocturne. Hue Lyon, M. Georges Berthelot, 21 ans, 5, rue Saint-Gilles, a été attaqué par trois rôdeurs qui lui ont porté deux coups de couteau et lui ont dérobé son portefeuille contenant 115 francs. Le blessé a été transporté à l'hôpital de la Pitié. ̃ Les accidents de la rue. Rue de Romainville, le cycliste' Léon Jouvet, 19 ans, 5,'rue Saint-Denis, à Montreuil-sous-Bois, tombe de bicyclette et se blesse. A Saint-Antoine. Avenue de Clichy, un camion-auto a renversé une femme d'une soixantaine d'années qui a été transportée k l'hôpital Biehat. Boulevard Sébastopoj, le cycliste Jean Michelet, 22, ans, 71, rue du Bac, dérape et se fracture la jambe. A l'Hôtel Dieu1.

On cambriole. Rue du 29-Juillet, on enlève sur une voiture de blanchisseur un ballot de linge d'une valeur de S00 francs. Des cambrioleurs pénètrent, en passant par une fenêtre, au sixième étage, chez Mme Marcelle AIsont, 5, rue du Mont-Thabor, et lui enlèvent toutes ses économies et sa gardé-robe. Collision d'autos. Rue Royale, l'automobile" de M. Sophocle Vénizâlos, attaché militaire à la légation de Grèce, est entrée en collision avec un taxi. M. et Mine Veriizeîos n'ont pas été blessés.

Argus.

> -^i?**p-

les 'ôfy&qws de Mgr Gùiltihevt `; .»jiM<yiÉi'eà HetîMer matin ̃ `.I:a

· r

Fkéius, 8 juin. Les funérailles de Mgr Guillibert, évêque de Fréjus et de Toulon, ont eu lieu ce matin, à 10 heures, devant une très nombreuse assistance. Le cleraé du diocèse était présent, presque au complet, et l'on remarquait de nombreuses délégations du cierge des départements voisips.

Le deuil était conduit par SJgr Rivière, archevêque d'Aix-en-Proyence autour de lui se trouvaient Mgr Ricard, évêque de Nice Mgr Clément, évêque de Monaco Mgr Jorcin, évêque de Digne Mgr Blanc, évêque titulaire de Tliibon Mgr Simeoni, évêque d'Âjaccio Mgr Penon, évêque de Moulins Mgr Castellan, archevêque de Chambérj' Dom Leone, Reverendissime des îles de Lerins Mgr Revel, vicaire général de la marine nationale Mgr Chaillan, Mgr Bruneau et Mgr Ardoin, préîats du Pape,

.'fuiAhiiiCf

TP~~7'-P4~

IN

INAUGURAS JDWPOp

SURLÀCAfPi 4 LE TouqDe't, 7 juin. (De notre ei\- voyé spécial). Le Touquét-Pâ'ris-Plage jouit du privilège de n'avoir pas de gare de chemin de fer pour déYer^eir -dans ses avenues, sous ses ombrggèsj et Aé'< long de sa grève, la -fpule des touristes dominicaux.

Les habitués de cette f aristdc'ràtiqUe.

station, un peu anglicisée 'tjàr'îa' firïévé'-

'êkn%\iii^m^omv& #4pïimeBifjëg

ptoçhe^ TlëKcjgnaètflf'a-lliKtoïe^WSfiu'a^^

jfiurîfMn"' plônt:i'<udimentaife'!jietêi sur Fës-'

t«a*Fe«Tdfe .M JBa-n-ehiéBiWtfiiiséjiâï-élîà^tê^efe-1

pèchèurs'ô(îfe:>celle"1de>"foiSifs7'sUffMrt! |[

assurer «le trafic tout eii'àoniiaht uii'J)6u! d'inquiétude aux conducteurs aes"luxneli- ses- limousines. Grâce à un emprunt des deux yilleg, servi par des subventions de compagnies et de ̃syndicats locaux > et surtour par le concours jie Un Compagnie des Grands Etablissements de' Paris-Plage Un pont^ magnifique de- ICfi mètres de long sur 15 de large, lout en «iment armé, a été construit. 1

M. de-Monzie, ministre des^travayj!; publics, devait l'inaugurer dimanche. Retenu par un conseil des ministres,' il déLé- gua à sa place M. Wattier, directeur clé la navigation à son ministère. `

Réception officielle a'Étaplcs, par le maire, qiï. Vassal, entouré de son conseil, récepïïon officielle à .Paris-Plage, celteci plus importante puisqu'elle- compoVtait Un banquet, c'est-à-dire une oçcasioi) de discours. Ce banquet, servi au Casino "de la P*orêt remarquablement, ce qui n'est pas surprenant puisque c'était Hiimbért qui en" dirigeait l'ordonnance, rémiit plus de 300" convives. Aux côtés de M. Wattier avaient pris plac"e M. Peytral.ïb distingué; préfet du Pàs-de-Gaiaîs, M; Sbucarct, maire, M, .Colraf:, âncieii"' ministre. M. Moutier; ingénieur en chef cïès ;éhe- mins de fer du Nord, M..BcSutet, 'iliiè- riieurJ--çp "fcTïëF dtV.' tJéjWài-ttiijiëAïr qui lit

cpuveTèMe'ïlèurs ^l' tes or.atcjiir's, ïe§ #<£»

'Cf!, U,ert-M'e'fJè,u, '1:,5, J1¡l1¡Jç~ O,rA,J:PnfS, ;le~

nIateitfs«et'déttité| %d%atWment ù$$l

qu'un bWnlÍ"'l1bnfBi'(;Ddti" pérs6nna!ité~~

Avant le banquet, M. Wattier eut. l'h'ptfc reuse jldée de visiter Paris-Pjàge^ Ce qui nous permit d'admirer le nouvel liipricj-: drojnéi le golf; où les hauts-de-f orme des officiels surprirent les Anglais qui '"fînfnaient au bar, lé tennis, et Surtout l'jadmjrable voirie de la ville et la tenue élégante des agents, nous aurions envie de dire « des policemen », qui assuraient le service du sens unique mieux que ne l'a •jamais rêvé- M. Mo'rain. ̃•'• Paris-Plage -ne saurait être indifférente au Figaro, puisque c'est- ¥illemessant qui, en octobre 1874, suggéra l'idée de sa construction et la baptisa^ Malgré son intuition il ne prévoyait eertairiemënt pas le .développement admirable de cette station dexenup une des /toutes* premières,' des plus fiches et des plus élégantes de

la cote française. •• -M

̃̃ ;;̃- ̃̃̃ r L.D.ik 2

L'EPEE D'ALBERT BESNARB

'> '~t

Une émouvante cérémonie a téuni, hiery les amis et les admirateurs du grand peintre, que l'Académie française va recevpir denjain.i '| ̃̃ v Pnsait que, sur l'initiative de MS Eiet're

d'JJsçézel, un comité &!est'rformé wauri.;aM

frir à l'ancien directeur de la Villa Môflw eis isojis^pée A'acMdém'ioieni' Iic>sculplèur

8^uç4é41*?.! a}®Wii <Vjcîulttiï&&Sfthiài<ger 3ae,Qgi&{

deler la poignée d«jecttD,-épê(£.reJt;,c%âï ï* maque_tt.e_4e,.j^fi^hgi^4;atiipxisilion qui-a été remise hier, à & heures, à M. Albert Besnard? en l'hôtel fle la fondatiln RôtKsbHild. "• "'̃ r Après la remise du Livre d'Or des souscripteurs, M. Georges Lecomto, ,de l'Aca- démie française, a pris la parole. Il a di.t, sa jpip. d'être auprès de celui qu'il con- naît et aime depuis plus de trente ans,' l'interprète ému de tous 'ses amis. Il a évoqué l'artiste; l'écrivain; Phomme toujours généreux, serviable, ;a'ccessible aux; jeunes. «--Là cérémonie- ;d' aujourd'hui/ a-t-il dit, est un acte de gratitude et d'ad^ miration». ̃̃̃ M. Amaç-Jean lui a suceédéirEn une alf locution dont la grâce nuancée rappelle, sa manière de peintre, il a glorifié et commenté l'œuvre de Bourdelle. i"

Puis*. le sculpteur. Bourdelle a ex-pliqu^

le symbole de son oeuvre. La garde de l'épee est formée d'une Çve enracinée dans le sol de .l'E^en, portant les branchés, les verdures, les fruits do l'arbre de; la science. Sous la coquille de cette gardév s'enroule le serpent, et, plus bas, près de la. gaine, s'envolent des colombes. Que votre jnain de grand ouvrier, a-t-il dit en finissant, accueille avec bonté ce petit 'bouquet de travail; » v Enfin M. Albert Besnard, dissimulant sous un sourire l'émotion que lui causaient. tous cëç témoignages, de syjnpathie, a remercié ses* adniir.àteurs* et, ses. amis. h II ^•ëstnéx|)¥{tti>è àîn^ir«u1 >!̃ 'ic Sûr la lame cettë"ëpe'e que~qus m'.offrez aujourd'hui, a.-1-ijt, dit en terminant, je'vous ai demandé de faire gravçr cette devise «\adsum », pour signifier qu'aujourd'hui, comme un peu plu? Jard! je l'espère, elle demeurera entre më'smâins

le symbole d'une lutte que je n'abandont;

nerai que sur l'ordre, de Celle, à qui on ne résiste pas.» n ̃ '̃; Une 'réunion, groupant l'élite du montje des lettres et des arts, a terminé cette fête à laquelle les "témoignages de l'admiration et ceux de l'amjtîé, spontanément unis pour fêter un de nos grands «iaîtres, ont' donné un caractère particuïièrenient émouvant,

Paul Fuchs.

Les idées de Mo Edward Fâène

é, r: ,t"

Pour l'organisation scientifique du travail On connaît dans le monde entier le nom dç- M. Edward Filène,, ce puissant industriel américain qui, iï-y a deux ans, créa le Grand Prix de la Paix européenne. Directeur, à Bôston,'d'une des'plus importantes maisons de confection du monde, organisateur infatigable de';fongi;ès, créateur de clubs, li. Edward Fîlène.X rêvé de jcpnJiir|buer au relèvement fiijîinprer

et ;écpnpJ¡l)'~Qa\e¡l}.'1j:'rlIjOijÇ!JA ~)4, ~ï5~ t

`nl: ~t~Ge e t aclue`I~eyeE~ a aris.~ts

"7II.<'F)l'è}}c est actuetfejnenf.a t'ans ,fit"

hier, m-uce à l'obligeance cte Slnie Suzànpe

Rotitrt-Sihr^«e¥,îf^'duï{fts'}Wrf;fee|ti:ft

ses .salons a sa disposition, le grandpibn^-r mes d'afi'aires. américain exposa aux iiienir; bres de la presse ses idées sur ,1a créa-îîion d'un Institut international ;d'organisa« tion scientifique du travail.

L'objet de cette institution serait d'abord d'établir une liaisop entre les institutions de tous pays qui se préoccupent des; questions d'organisation méthodique dit travail (institutions de recherches, d'application, de propagande; d'informations d'enseignement, etc.) de recueillir et distribuer }es informations sur tous les problèmes d'organisation scientifique du travail pour les industriels, les gouverne- ments et administrations publiques, les organisations professionnelles, etc.; de faciliter le travail de recherches et enquêter des institution^ nationales et privées, dans le plan, international de favoriser çnfin le ti'svail de propagande avec des méthodes appropriées suivant les différents milieux»

W "> <, J

l& rGraiwie Nuit 4e 3 Parii

j ^̃v;ia#;tlandg<&- :̃̃ ̃̃•

Ile jeudi 10 juin à 23 heures

ï ̃ ̃•

Demain. Ne parlons, plus des loges que •poiir mémoire il n'en reste plus une. ;DevanJ le nombre considérable des de'ma,rides de places de souper j lé comité id'organisatîpn a cru devoir dépasser légèrement la limitp qu'il s'était primitivement flkée. Très l'egèrjernent. Ci légèrement qu'il :ii]ïj ït, pas une 'minute à perdre pour qui ̃ïfia pas" encobe retenu sa table. Il reste, léfl'ouîfë, quelques billets à 100 francs don'nant droit au spectacle, maisypbùr ces bH-

!l^iljBn¥ébsuî(S ttkVgé ta^«Wtft¥"eât :rës,-

tvïântaAfàiliuhi'ïi^-d'àùD^d&tiiMetyîd!;

location ne se fait pltte.iiiqufmi tÛlaridge' même. Inutil/e de s'adpésser au FiOA.no ni à FEMiNAri^itf >a:e dftiposTeïit.plu&ttt'aucun

billet.,

"Lâ'is'oirSe commencera à 23 heures par

un bal, àtison -de quatre des meilleurs jazz et' orchestrès'dë Paris. Puis viendront les tdbïeauk animés de dànsës, intitulés Minuit à travers le monde. ̃̃̃ i. L'un.' d^eux, Minuit à Paris, permettra d'associer à la présentation des chefs^ !d'œuvre de la; couture un groupe de jeunes femmes' de la soci&é. C'est la première fois, à iParis, qu'un pareil spectacle est j offert eut public. Il fallait; pour le réalir seu-, un^i^çcasïoïi charitable comme celle qui se présente. !̃̃•' Ensuite, quatre défilés de robes, châles, fourrures, ^pyjamas des grandes maisons de couture et d'élégance parisiennes, Ces défilés sepont commandés par les plus télèbres. xeiïçttes Mmes Cécile Sorel, Huguette Duflos, Marie Bell, M. Servières, de i la Comédie-Française Édméje Favart, de rOpéra-Çpinique,Àrgei)tina, Ali.ee Cocéa, Betty Daii.çsmond, Simoiie Frévalles, Mar, guérite Gilb.tîrt, S^soutra, Maria Ley, Jane Marnac, Florence Mills, Nikitina, Nina Payne, Nita'Nàldi, Raima, Jane Renouardt, Rosyl, Irène Wells MM. Alibert, Raiidall et Saint-Gfànier.. Et ron verra, en outre, danser dix de ces étoiles.

Collaboreront au spectacle mondain, aux' "défilés ou participeront au succès de la ^b;ira?^ntc)ïr?^ntllÉ,s ^ÔDesraiaieaux;

[ îQWiùres', etct.iy^ tous' lofs qu^ seront dis-, i

Wtinésaii: coings dtf'sou^ei1 -l,fe's nuisons 4 ÏAKn«s, -AttoSî* :Biâ1nchini;'iJ:* BïàjichÔt, Callot, Chanel, Goudurier'-Friictus, Doucet; ̃ Dœuillet, Drecoll, Ducharne, Nicole Groult, i lenn.Vj Jeanne Lfinvin, Le Monnjer, Lucien |Lçloi}g, Le\yis, Martial et Armand, Max, | %\lyneux,- Jean Patou, Philippe et Gastop, Çreniet, Reboux, Redfern,t Renée, Mad,

Vionnet, etc. ̃

.D'autres présents seront offerts par les maisons Judith Barbier, Barclay, au Bébé R.ose, Boissier, Bouvier, Byron, David, Del• vaux, Duv.elleroy, Faucon, Gélot, Greco, Hëiif'y, la Marquise de Sévigné, Hipckel, I^riegck, Italique, Lerithéric, Léda, Leféï>\}re, Leirièn P'euch, Léspiaut, Les Mérveil^Ij6us.es, Pmigia, Risler et Carré, Simalpu, ;ari Va'sé Etrusque,' Vuitton, etc.

Deux tableaux sont dus à la générosité de M. J.psv^Iessel.et de. Mme Druet. Les spectacles se dérouleront simulta- peinent sar deux scènes. Chaque spectacle sçra renouvelé sur chaque' scène. Et la j fête se terminera comme elle am-a corn- mencé par la danjse,

•' Prix 'dés billets entrée 100 /ranc~ c/ j trèc avec souper, 200 francs: On ne loue plus qu'au Claridge, 74, avéiiùë des dhamps'Eiiisées.

-̃̃̃ > /vVe o' dock du a figaro xi Hier, lé Figaro a reçu leç memhres dit co-

~x~d~ marquise

i de Ganay, les chefs aes granaes maisbjrçs ffe

le uanay, es çne s es gran es ¡nals.oJ~. 'If,:

çeutofecfjp SM^ï^lliffWrrilWyihîrf'^jrindas-

~#~ Wei gÁ11ÆrAqJ(~s~¡ f¡¡tel

~5i~~m~n>r:3tG~ ~1a17a~: ~1~é~si~s~l.ug_

#;t#ro«{l^;Jîy -CiêridBej; qijfoT&tfsijtgi.îIes.vplu^

1 iJp¡i~~i:p~Ú"ffiI 'hJ~rÍ!jwq; ljl}~f~siti(bP:ptU~f

brillantes.

M.^P.-B. Gheusi a souhaite h bienvenue aux | hôtes dii- F»jar3; que la marquise de'-Ganay a i remerciés au nom dos œuvres qu'elle préside et qui seront les bénéficiaires de la recette d\i io juin. «fer. Ochs s'est joint- à eux, au nom de

Petnina. ̃ ̃

Un lunch a été servi aux invités, par la Maison Poiré & Blanche (vins de Heidsieçk Monopole «tSaraos-Hélios)î Citons dans l'élégante assistance ̃ '• Marquée de Ganay, Mme Pierre Baudin, comfdsse' Se'nîard de Ganay, Mme Pierre Goujon, i bitrohne d'Huart, Mme René Lariî, A. la priiicesse. Murât, vicomtesse d'Origny,. raaiTiuiso de [ Polignact princesse de Polignac; Mme j^ucrari, Mme Jules Porgès, comtesse de llohnnCliabci, i Mme :de Saint-Affrique, Mme- Skousès» Mlle Wesveler.s ̃

-'TkIM. Andréide Fouquières, Guy Arnqur, Dreyfus. Feydeau, Pierre Lafitte, Ochs. iVL et Mme Geïber (Maison Callot), Mlle |Qhanel,.M. Sandroii (Maiso»Coudurier Fructus), M. Doucet, M. Dœuillet, M. Ducharne, Besari-

çon de Wagner (Maison Drecoll), Mme Jenny,

j Mme Jeanne Lanvin, Mme Vallet (Maison Mai1-tîai' et Armand), Mme Leroy (Maison Max), i M. Laruncet (Maison Molyneux), Mme Nicole Gtoult, M.'iWintcr' (Maison Premet), Mme Renée. "̃̃ ̃ ̃̃̃̃' MM. Batmana, Barclay, David, Larsin, Lus,. (j'Rpssen, Perugia, Voisin, Vuitton, Wjeckvej.

Mmes Argentina, Marie Bell, Alice Cocéa, Mlle t

,;r.lmes Argej1tinll, Nafie..B..el!, .Aliee çQcéa,. AU Le

Madge Bérny, les' Dolly SisteVs, Edmée* Favàrt,

Simone Frévalles, Loulou "ttegioburu", Maria Leyi Jàne • MaVnac, Florence MiMs, KiliitiilJ, Nina. Pùyne, R^hnas Jane! Renouardts Mv Sèrvicres,

Oécile Sorêl, Irène Welis. r

MM. Alibert, Ràndall, Saint-Granieri

̃Pour la Fête de àarité à Claxidge -Demain soir, toutes nos artistes et élég^utes iront voir l'audacieux magasin créé dans ce somptueux palace par le ̃ Joaillier à la mode Lucien teist. A l'occasion de cette fête unique, l'exposition de ses dernières créations, parmi lesquelles

on" admirera notamment merveilleux

brace~ets irera.. notamment dure ra, toute la

bracelets ;ên diamants, durera toute la

nuit.. ';̃ •̃' -i ̃•̃•̃̃̃ '̃'̃ ̃

Lg BAL COSTUMÉ Rappelons que, pour éviter la coïncidence avec le gala du Claridge, le Bal cos1 tmné, organisé: par le marquis de Gastel-

lane au profit de «la Demeure histori-

que »; à été reporté au mercredi re. t.6 juin et aura lieu à' l'hôtel de la fondation Rothschild, rue B.erryer.

-T~ ''<<

Pour les écrivains combattants L Mme Ma EuMastein IJasieEâ a l)aiE« aHX.Cainiias »

t f ~~2 'ttt2 ï~ "w l7ftf rl.1)

ai. le Président t e la. Re,pJub:nqHP;a aç-s

1 col R8t~ %P-

tïf|rp,n (Te .gala, qui ,sei-a tlonRee»'. demain, 's'oii", l'Oçléon, au profit de la caisse de îrftti;aitBs. de l'Association des écrivains 'combattants. On sait que Mme Ida Rubinstein y dô$t jouer La Dame aux camélias, ce qui ne Saurait manquer d'attirer tous les, fervents admirateurs de notre grande' tragédienne.

.Cette ^pirée d'art et de bienfaisance réservera aussi la surprise d'une sensationnelle vente aux enchères au cours de laquelle Mv José Germain, président de l'Association dés écrivains combattants, offririit\ aux aihatèur^^e dernier exemplaire tiré

jd'u.ne édition ̃f'àVîssûnç d'une autre pièce

célèbre d'Alexandre Dumas fils l'Ami des femmes, l'ua des triomphés de la Comédie-

,Erançaise.

Ainsi Paris qui, demain, aura, on le sait, sa Grande Nuit, aura aussi sa belle soirée. Et ces deux manifestations de bienfaisance se 'Suivront sans se gêner puisque les portes. de l'Odépn se fermeront au moment où celles du Glanage s'entr'ouvriront.

ËE MDIfBE Et LA VILUE

.'L' -M.L.u.<)it~M~.«.)<

Xes Çrands Jtfariages

Le mariage de Mlle Yvonne Mahot de LaQuérantonnais, fjIJe de 5|'me:âfept îde %p Quérantonnais, aveç le comte de plers, adjoint à l'Inspection Générale des Finances, petit-fils de la marquise de Fiers douairière, fils de notre directeur littéraire et de la marquise de Flers, née- Sardpu', a été. célébré hier, à' midi," en l'église .Saîni-Pierre de Chaillot devant une' assistance consïderatie et extfêmetrtdnf bril'lante.< •<r,r,f4j'l'l'l. -a*- .?- :v. La bénédiction nuptiale a été donnée par

~'rW' ,MgJ.[ 11l~~p,.i..v~fl1ttî r q:Afmt¡¡OO~r.P¡'o-

̃noRcç^nft.ftPpqu^piiidiBfeientteeBl té^ éJftYÇi)

pressant .un .diéacati*tytamchant;bûmœBagâiaux'-i. deux familles. ,̃̃"̃̃̃'̃'̃'̃"̃ '̃̃•(:̃' k-ti; -i S. A. R. Mme la princesse Sixte de Boû'rbohJ Parme assistait, dans'ie chœur, à' la' cén§çi<înie.f Le Président de la République avait tenu à faire présenter ses vceux aux jèuiie^ époux par le colonel Deriain, de sa maison militaire. Les témoins étaient, pour la marrée, M. Jean Mahot de La Quérantonnais et M- Surmohtj ses oncles pour le marié, M. Laurent du Btiii; et le colonel Soulié, ses oncles,

Le service d'honneur était fait par Mlles Thion de La Chaume, du Buit, Cbrbjn, du Rostu et IJèurtèau dont les toilettes de k( même tonalité cyclamen formaient le plus gra-> cieux ensemble. ̃•̃

A la sortie de l'église, le cortège, ne compre- nant que les parents proches des deux familles) était ainsi composé

Comte et comtesse de' Fiers, M. Jacques 5 Mahot de La Quérantonnais et marquise de •Fiers, Mme, Mahot de La .Quérantonnais et marquis de Fiers, marquise douairière de Fiers et M. Jean Mahot de La Quérânlonnais, Mme Thion de La Chaume et M. du Buit, Mme Auboyneauet' M: Surmont; Mme du Buit et M. Thion de La Chaume. Après le' défilé à la sacristie, qui dura près.,

,di 4eux. heUr.es,,Jé5,biny1^s)(jSç, rijï/ou'jtè^ftt

cti: <Jeux, 'hctJres, ,Ael?-,I:>, jn¥. ~H n;C¡,OJJ, MèJ:A~t

dans 'les salohsi,df.£î^ej^hpt;4e/ijl<a,-i3u4ïaiî^'1

j tonnais, un lunch fut ser Nous serions dans Timpossibilit'ë "ffé**ch"6îsïr des noms dans une assjstance:'de plusieurs milliers dë'peripn^ nalités,, "où l'on reconnaissait tonte l'élite de h société parisienne, des membres de l'Institut, de l'aristocratie, du monde des lettjus, des arts et du théâtre. RENSEIGNEMENTS MQNPAINS

Goûter chez la comtesse; Gabriel de I4 Rochefoucauld, aujourd'hui mercredi, de cinq heures à sept heures. C'est le vendredi 18 j,uin que Mme Cau^ vain-Singer donnera une soirée danBante. ̃ Goûter, aujourd'hui mercredi, chez la vi-comtesse de Ppmereu, .nçe Clermpnt-Tpnperre, La baronne de Villiers du Tcrrage donnera," Je vendredi 1 8- juin, la' soirée musicale qui devait avoir lieu che? elle le mardi 15 juin, Bal costumé au. profit de La'IDemeure. Historique ». Les plus grands noms de l'arisr tocratie et de la haute société française .et étrangère figurent parmi, les souspriptçurs ai} Bal costumé organisé par le marquis de C.ast tellane, le mercredi 1^ juin, i< Vhât.d de M Fondation Rothschild..i '<:̃̃̃ Rappelons que le programme d',i Bal est

» l'Histoire 'du- Cbstuttï* ̃ dettuis- 'le Mbyen Aj»à

Il~ bü~di~l~tcf`'1~`~~tin~~y'~J`a'lif,±

Il p'JÎl~ 1t~~h~tv~1M~~dg~5~~I

'~1?~ l~,h ~JF~~ ~t ~'t rrnertc asb 3~,trsiàl~

̃ fjîK £ Tuaflouoa ,ffi .«allai? jumnavànd

NAÎSSANCESi ,t0 ̃, àfA if ^-fiirm fi <<h "•• jf

M- !Pe,tit, commissaire-priseur,' éï,. madame r-ée Véron sont, heuxeux d'annoncer,, la naissance de leur fils, Michel. ̃

__1

BIENFAISANCE [ ]

.1..7

On prépare avec activité les sensationnelles attractions qui seront offertes le vendredi 11 juin, à l'hôtel de l'.Union Interalliée au cours du « Bal des Pages ». Rappelons que l'on verra à la tête du programma Mme Cécile Sorel, Mlle Jane Renouardt, les B^UéU russes de Serge de -piaghilew, Mme Vava Jakowleya, & l'Opéra de Monte-Carla;; M-M>G. Kaïdanaïf, de l'Opéra de Petrograd. Au souper on applaudira le prince des chansonniers, Xavier Privas Mlle Olga Soutzq, de l'Opéra, dans ses danses, inédites avec le célèbre danseur russç _M. Moyseenico Mmes Adprel, Brazine, des Folie^Bergère; J. Nisarenkojfeto- Le prix du biljet est dé cent francs, donnait droit à toutes les attractions et sans aucun supplément: Le souper coûtera soixante francs il est prudent de. retenir ses tables.,

CBRÇLbè ̃̃/ .-̃̃ ̃̃

f%i^ raison \^jm^'éssÊkSMiM

Pre-Catelan, qui avait ete organisée p4r..ifo Cercle Militaire p©jir,ie::iOi0iiiri»'<:estijîenyoyée à une date qui ^era uJtérieùrenîenlrî45îèe. "'•

DEUIL ̃ '̃̃•̃̃̃'̃"• ̃

Hier ont été célébrées; en l'église SaintHonoré d'Eylau, les obsèques de Mlle de Lp Vàulx, fille-; du comte .Roger :de La Vayl/c, an*» cièn zouave ;,ppnt jeai, et df 1^, comtesse .née Dillon. ̃ '"̃ ̃ y Le deuil était conduit par le comte de La Vaulx et le comte de Cathelineau, ses cousins germains. Ehi côté des dames, par Mlle de La Vaulx, sa sœur Mlles Dillon-.et la vicomtesse de Génnes, ses cousines germaines. L'inhumation a. eu lieu au cimetière du PèreV Lachaise, dans la sépulture de famiUçv .1 La levée du corps a été faite par le çha'1-noine Labourt, curé; de la paroisse, et l'absoutg a été donnée par î'abbé Châmpley, Supérieur des Missionnaires diocésains.

Nous apprenons la mort de M.. Nicolas 4'Arcangues, ancien officier de cavalerie, anciep conseiller général des BassesrPy rénées, décédé,* l'âge de soixante-huit ans, :'i Villefranque, près Bayonnç,

Avant Hier ont été célébrées, en, l'église Saint-Philippe du Roule, les obsèques du comte Cardin- L,e*\Bteti'i\ »-• ..j- c.^h-.l.^j

Lë''eMnN~e~'6m~J~â~ 01

la,. pjoçe,dé,a ïk.Mff mie?®5iet-^«Mas. vm)h (~

|sôttè&Â -V! .il .K iil ab oHib<î 'J'fnr ub sio">,i«

Le deuil était' conduit par le baron de La Bpuillerie, ,M. GonçaJ\;es da Cunha, ses beaux- ,y frères; M.. Santiago; Pidal, le baron Ç- de- La Bouillerie, le baron Robert de -La Bouillerie, le baron Hubert de La Bouillerie et M. de La Bouillerie, ses neveux. Du côté des dames, par la comtesse Le Bret, sa veuve la comtesse de Foucault, sa .sçeur, Mlle Gonçalves da Cunha, sa belle-sœur Mme Santiago Pidal, la baronne E. de La Bouillerie, Ja baronne Robert de La Bouilleriè, la baronne Hubert de ta' Bouillerie, ses nièces. Après la cérémonie, le corps a été déposé dans les caveaux de- l'église. ̃

On annonce la mort de notre confrère M. Gustave. Coquiot, artiste peintre, écrivain,' ` critique d'art et auteur dramatique, auteur d'étlides intéressantes sur Rodin, Cfzanne, Renoir et Toulouse-Lautrec. Hier ont été célébrées, en l'églis.e Saint.

François-Xavier, les- obsèques de la, marquise, d'Agrain, née Gestas de Lespéroux.

La messe, a _été dite par,- J'abhé.. Sauv.estre, ami dé la famille, et l'absoute a été donnée parle chanoine Pierret, curé de là paroisse. Le deuil'; était -conduit- -par- "le .màrqujs d'Agrain.le comte Jean d'Agrain et le vicomte Henri d'Agrain, ses fils le vicomte André de 'Bélizai, son pétit-gehdre MM. CWles, Arthur.. Louisj Fernande et1 Robert d'Agrain, s^s* •petits-fils; M. L,puis de Béliziuy.son arrièrepetit-ffi, ét'M. de'^J^UejGùërii, son beaufrère, jDu côté des dames, par .,1a marquise

d'A§r~Sc6m~~?ëan-a,~rait~~

fcor IMS,' 1.'t.~aH.[I¡.j~, 'J.f'.i~J. Q~I~~lje,les~l3

1 "J.I,¡fJjil, ~n~ze~'c~e,l3eliz~, u ?f1 "'J.,J.J:<¡¡f-n

iVJcom^esse.Anfîre^iBeli^al, JSSrâe:^Xif^-i!i%;f-,

̃ rèjre 4'A"grain, "Petite Speur 'dès-pauses ;Mn^^ 'Cjh'ristiane d'Agrain, Petite Sœur, de l'Assompc; tion Mlles Françoise et Elisabeth d'Agrain, ses petites-filles, et Mme de La Ville Guérit; 'sa soeur. Le corps a été déposé dans les caveaux. de l'église, l'inhumation devant avoir lieu antérieu- rement à Dijon. hSamedi ont été célébrées, dans l'intirtlfe, les- obsèques de Mme Henri Iscovesco, femme du docteur Henri Iscôyesco. L'inhumation a eu lieu au. cimetière .Montparnasse. 'ï. :Nous apprenons la mort, survenue à Pâ- risj le 8 juin courant, de .M. Charles Mayer,' père de M." Carlos, Mayér, 4, rue, de ChanaleU-^ les, Paris. Le,service funèbre aura Jieu leveç-, dredi.ïi courant, à onze heures, ireijte txès précises, en la cathédrale américaine. 23, avgnue George-V. Prière de considérer- le présent avis comme une invitation.

Nous apprenons la mort de M. PierreMarie Mainguet, imprimeur-éditeur de lason .Plon-Nourrit & C'°, officier de la Légion1

d'honneur, ancien élève de i'Ecale" polytechn|-

d'honne~r" ésident' :d.,e 'ilElC, C. 'ole', po, 1.y.te~1-

que, ancien président du^é^çîl^dè. la'.Xibraî'rJè, décédé le^S'^tïM^dàns sa soixante tt onzième anné'e,pre"s:-une fqtfrtç mâla-die: "̃"̃ *r *Ms %*sèquès! auHnt1 HeiJ:féièudi; ïô lùî^i" mié^̃W¥éilfse•SâînïSulpKè^oùl'oñse":rewma:̃' De la part de Mine ^grraJ^aingueL, sa veuve de MM: et Mmes Tlenri Mainguet, Robert Mainguet, Pierre Halmagrand et' Robert Delarpche'Vernet, ses enfants.; des 'milles Mainguet, .Dailly, Nourrjt etBourdel, et du personnel de la Maison Plon-Nouirit & Ç! '̃$, La..comtesse Xavier de Masin, le. commandant et la comtesse. 0»§tpn de Masin ont JiV douleur de faire part du décès de Jeur, époux ec.fils, Je:cpmte Xavier, de Màfi», pilote avia'

icur^ xbeyaiier de la Légion d'honneur, tombé;

en mer à bord de son avion le 31 mai .i-g; Un -service! aura, lieu à -VersailleSi-en l'église Notre-Dame,, .le jeudi 10 juin, à, onze heures. L'inhumâfiQir àuira Jfçu a Fontainebleau. H Serigny.

.Í: T'

Nous rappelons que les insertions concernant la riibrique « le Monda et la Ville sont reçues à nos bureaux et qpe des conditions spéciales sont faites fa nos abonnés.

1^-Lh-j

piETïT ~Rh(E'1'

̃*>i -̃̃ ï^a'v'v. >̃̃̃̃•••̃•• ̃&

Les plus beaux meubles, s'ils ne spht (9riJf^i)ni'8b%(f c^2.isis shW .<S°ût4.itief4ent d*ëioïfe; "®&b#f.°Wl}ll& dfese"Vf!RîYaatoij»4

~ë!°~ ~~)~o'~?fatz ~le~u~8tl~i~st1

Wiêef}? %^R^WS,4b muMmisexxhi 4eâi$metJi

bh, Ifi-iôdiî îit6g^i5?>'»*r-sb ih'yy t;e ss

S. Dans la cpB&BȔnajO3 ??fc avJjzis:? s:

Pqul Poiret soldera ge$ r^santR modèles 1 partir de Frs 300, les 10 et 11 juin tourte l$;niatinée et le ïijuin toute la" journée. **̃ Vente au comptant.' ̃ '̃̃

'a.i~

Malgré la hausse générale, les tissus de Caroline, s, ayenije Victor-Hugo, Spnt rfgtés bon marché crêpe Brumette tîntes mpda pure soie 34 frâiics, tpije de soie imprimée dessins exclusifs 35 francs, Jijion fjj veritabje. toutes teintés 16 fr. 90/ Au lac d'Annecy:. •" ̃ [ Sur' les rives ravissantes etenBoleilJées de ce }hc merveilleux, tous les hôtels sont ouverts. A- l'ayant et à J'arrièr^saigpn,, çonditipna .très avantageuses. .̃'̃̃ ̃• Air .pur, douce température, spprts mujtk

ples: Rebseignements au Syndicat d'Initiative

d'Annecy. V ̃̃ Tçute :femme élégante, soucieuse; de goabudget, se doit à elle-même de voir toutes leé. ?çmaines, 7, rue Rçyah, les créations ificesn; santés de Bérengère, car ses chapeaux sqii{ à h fois. charmants et d'un.prix,abordable.. f L,a. Maison George i&Mem'm] 25, rue La [ftpétieB«uJïJeraf»ses modèles de printemps à des prix -tout ̃ à' fait ^eJcceptioBaeia les jeudi 1 ci, ven- ;dr-6di--iï;f samedi- :ii?,' de neuf heures trente à" 'midi et de deux' heures "â~'six;h'eures. Vente au

comptant. "1j.,n -V- '-i ï

James, 26, Champs-Elysées, ''• solde sa, très belle collection de printemps très fraîche, du 8 au 13 juin. Costumes de gille et de sports a partir de '3^0 franco T|slles 4O^2-44.:Vènté, strictement iu"comptanSf Une série de très jolies boîtes de dragées, reproductions de dessins de Boucher, telle est, la dernière création que présente en exclusivité, pour les baptêmes élégants, la Mai§onda Baptême, « A^Béôé Rpse », 49,bpûlevâïi Haussnjann. •"

zrrtr-- •, -itt* -a^

La Compagnie de la Chine et des Indes présente actuellement dans sa nouvelle ins- tallation, 39» avenue de Friedland (près -de l'Etoile), un choix Emportant d'objets d'aït anciens chinois, porcelaines, pierres du-* tes, meubles en laque, ensembles décopatifs, céramiques archaïques et objets de collection. ̃̃

'SA~A~~P- i:`;.

,,(-HO' 'IÍ:~lnNn'UA"m1f1J)

j arflq «uostis-sd iMioâp^utt -r. ,ét-.i.- ̃̃ ;:n :r-î

Il!II! iTL~J Cf&.C!17~,m,t ~an. E 'd'

-îaiîîcinMiîlhit6»*'<a»sftr«Vâ<ixî^tolî^ ̃-•h--s«,

j|S ii'u'jj ij o:<r.>ï:tiiq ,j e-yjii3! ̃

.Est élevé à la dignité de grand-officier M. Séjourné, inspecteur général des ponts, et chaussées, sous-directeur de la Compagnie P. L. M., membre do l'Institut.

-Est nommé commandeur M. Pierre Delâmarehe, inspecteur général du Ctédit au ministère du commerce et de l'Industrie. ̃ ̃ ̃ ,̃̃̃. Est nommé officier, M. Gustave îïeraïer, administrateur délégué de l'Union hydro»lîec-

trique.

Sont nommés chevaliers

MM. Alexandre de Dumas de Gardié, difecteur du port Rambaiid, -à Lyon, directeur de l'Office des transports des Chambres de commerce du Sud-Est André Pélissier, directeur technique de Ja Société anonyme des mlm& dp

Pecjjelbronn.

j-y~. ̃^̃^̃S^Jf- __<

Le crucifix dans !es universités italiennes Rome, 8 juin. Le ministre de l'instruction, publique a* décidé qu'un cruci- fix serait place dans les locaux des uniyersités et des .instituts supérieurs.


1 obb

DERNIÈRE HEURE

Le conflit' charbonnier en Gt~~le = 8reta~ne Les négociations d'hier t

entre patrons et ouvriers mineurs n'ont donné aucun résultat .`

nïi 115~~t~

•"•̃'̃ji ̃• !n"yii ̃'̃'•̃̃"h "'4) 'Vô> jiOL »w>il

Londkes,: § juin. –.Ceux qu; .attendaient). un heureux résultat de. l'entre 55UÇ, d'aujoûï^ d'hui entre ^atrcijis. et' ouvriers" 'mineurç' ont été' déçus. En effet, à ftsâue de cet ehtretien, l'Association des propriétaires ,de mines a publié un communiqué déclarait que les représentants des mineurs avaient tettement dit qu'ils n'étaient pas dis,pos'is à se départir de leur attitude et que, dans ces conditions, les propriétaires de mines en ont conclu qu'il ne semble pas y avoir d'espoir' immédiat de pouvoir poursuivre plus loin les négociations.

De son côté, le. comité exécutif de la Fédération des mineurs publie un communiqué dans lequel il est dit que tous les chefs de file, dans les bassins miniers, ont fait connaître que les mineurs et leurs femmes étaient bien décidés à continuer la lutte jusqu'à ce que les puits soient rouverts dans lés conditions existant avant le lock out. Etant donné cette attitude des mineurs, il ne peut pas être question de réduction des salaires ni d'augmentation du nombre d'heures de travail, ni d'accords locaux.

Une telle décision -a d'ailleurs été prise aujourd'hui à l'unanimité par le comité exécutif de la Fédération des mineurs. Le communiqué ajoute que les propriétaires de mines restent sur leur position antérieure, c'est-àjdJirfi .qu'ils préconisent une augmentations, d#. nombre d'heures de travail et une réduction des^saMr^s.s! «.ili La situation peste diinç JwcJiaiîgèeJ.çt, aucune ^disposition n'a, été, pi;isp,en ,yue d*uri'è nouvelle réunion avec, lés •patrpns.

v A la ,"(1 communes'

A la Chartibrë des communes

A la Chambre des Communes, cet aprèsmidi, le secrétaire d'Etat aux Mines a été amené à déclarer que, depuis le 1" maij environ 87.000 tonnes de charbon français, belge, hollandais, allemand et polonais avaient été importées en Grande-Bretagne. Le secrétaire d'Etat dit ensuite que les mineurs russes travaillent de huit à dix heures par jour et reçoivent seulement un salaire variant entre 25 et 27 shillings 6 par semaine.

r~i.i.

M. Baldwin est souffrant Londhes 8 juin. On annonce que M. Stanley Baldwin, qui se trouve actuellement à Edimbourg, et qui devait rentrer à Londres aujourd'hui, souffre d'un refroidissement.

On espère que le premier ministre pourra rentrer à Londres demain soir.

̃–

M. Lloyd George reste chef du parti libéral LotoREs;' 8-juïh. v' "^P Lé^p'àfcti ;;ïitferait;

parlementaire "S'est*- réuHruWujdÏÏrd>nur:è>t;-

par 20; voix contre l'2,àdopté ulfiiëynHJ^'

tion pour leamaintien! M." tiïoyd Geôr'J1

ge au poste de chef du parti libéral de la Chambre des commaoesj. •>' '^O *# L'indemnisation des anciennes maisons régnantes en Allemagne

1 ni

L'intervention du président Hindenburg provoque de vifs débats

̃ai

Berlin, 8 juin. Toute la presse de droite publie la lettre privée de von Hindenburg au baron von Loebell dans laquelle il se prononce contre l'expropriation totale 'des anciennes maisons régnantes allemandes.

Les commentaires des organes de droite font bien ressortir l'intention de ces partis d'exploiter la personnalité et la popularité de von Hindénburg au cours de la prochaine campagne.

Le gouvernement du Reich estime de son côté que cette lettre est l'expression de l'opinion personnelle du Président et qu'il n'a pas à prendre position à son égard.

Le chancelier s'est entretenu avec les re" présentants des partis de coalition gouvernementale dù"pFoJét<de loi. Un accord dé- finitif à ce sujet n'a pas :été réalisé?' lin-

nouvel entretien entre le gouvernement et

les représentants des partisan,, qijestjon,* aura lieu demain^ sur le "désir dû gouvernement, le nouveau 'projet de loi figurerait à l'ordre du jour de la séance de de- main mercredi au Reichstag.

L'OPINION DES AUTRES

»mm»iii-

Une crise à la Société des nations

.L

Une crise constitutionnelle. vient d'éclater à la Société des nations. Elle est grave* II serait vain de le nier. Elle constitue, dit le TEMPS, un sérieux avertissement. Notre confrère ajoute :• ̃̃ La prétention de l'Allemagne d'être seule admise en qualité de grande puissance a déterminé ainsi une crise profonde dont on rie peut encore entrevoir toutes les conséquences, et l'on reconnaît ici quelle fut l'erreur de ceux qui soutenaient que les candidatures de l'Espagne, du Brésil et de la Pologne à des sièges permanents avaient été inventées à seule fin de faire contrepoids à l'inflùence allemande. La vérité est-que le problème de la réorganisation du CôriJeil, qùf se 'pose depuis longtemps déjà, a une 'portée beaucoup plus grande que. celle jd'«neïinj£inie»M.Ctttnbihàison des influences en présence et qu'il est nécessaire, si l'on veut créer la possibilité pour la Société des Nations d'agir utilement en cas de péril international, d'assurer la représentation au sein de son comité exécutif de-toutes les puissances qui, par leur situation particulière ou par leur influence générale, sont directement intéressées à la bonne solution des grands problèmes politiques". II est assez naturel que l'Espagne, étant donné les tendances qui prévalent actuellement à Madrid, ne veuille pas être traitée en puissance secondaire et que, de son côté, le: Brésil prétende, en l'absence des Etats-Unis, re* présenter en -permanence l'Amérique au sein du Conseil..

La question est de savoir comment ces revendications de l'Espagne et" du Brésil sans oublier la Pologne, qui, contrairement e ce qu'il fut dit, n'a nullement renoncé à poser sa candidature à un siège permanent peuvent être conciliées avec la situation de fait créées par la prétention de 'l'Allemagne de n'entrefr-dans la Société des Nations que s'il

Le règlement de notre dette envers f Amérique

Les débats sur l'accord du 29 avril commencent aujourd'hui

au Sénat de Washington

~0 :'9j[ih(':ù M't'J ~XtJf;) J1{}[},}~IV:);T,X! ,It.i

WashiNgt oie, ?& \^&tù <à~. Le "Trésor confirme que la^commissibrt^des finances du

SénataîomménceràiJKererédpiïa discussion

de l'accord franco-américain. Elle entendra MM. Mellon, Kellogg et Hoover, les trois principaux membres de la commis-'sion des dettes.

Les séances qui seront privées prendront un certain temps en raison de l'opposition connue de plusieurs membres de la commission des finances. En tout cas, M. Smoot ne présentera pas son rapport au Sénat avant le vote du Parlement français.

Les milieux du Trésor, .d'après des renseignements reçus, déclarent que la Chambre française commencerait les débats de. la dette avant toute autre, question financière et espèrent qu'ils auront lieu aux environs du milieu du mois de juin. Ils considèrent que les événements se déroulent comme on le prévoyait et sont confiants dans la possibilité de ratification, par.le Sénat américain avant son ajourne-

ment. j J

Les recettes budgétaires

des Etats-Unis

Washington, 8 juin. Les recettes budgétaires sont tellement supérieures, aux prévisions, qu'il sera possible de faire face à toutes les dépenses courantes et de réduire de 334 millions de dollars, soit de plus de 10 milliards de .francs au cours" actuel, la dette à: court terme.

.f ;L ,>'}f;4:i"L ..f".

Au Conseil de la S. D. N.

"r

[SUITE de- la première page]' v

.Quoi qu'il en soit, il semble que MM. Briand et Chamberlain aient estimé que la réunion qui devait avoir lieu le 28 juin, de la commission chargée de la réorganisation du conseil, sera utilement ajournée. Mais, d'autre part, le conseil dé la Société des nations tiendrait une session spéciale au mois d'août, afin de dénouer la crise avant que ne se pose à nouveau, en septembre, là question de l'admission de l'Allemagne.

Négociations franco-beiges

pour la défense dû franc

Le bruit a couru, ce soir, à Genève, qu'au cours d'un déjeuner auquel avaient assisté aujourd'hui MM. Briand, Loucheur, Vandervelde et Georges Theunis un accord franco-belge aurait été conclu en vue d'une défense commune des monnaies belge et française. On ajoutait même que l'Italie serait pressentie, en vue de s'associer à cette défense.

M.. Loucheur a précisé ce soir qu'au cours jd'une çon.versatjpn lavec.-i.MM^.yàn-:

dèrveldéët'l'pelJ,i\ls,'Jl a' 'IÓtt" en,~e'tJ ,tt"I;s'7,

tion'des changé^' belge et français, et aue

VmW dé"înésurès"p.àpïëlés" ëtt'yûe™àm(fc ` défense des monnaies in8itiohaiës!'avâ4r$têr brièvement agitée. "M. Loucheur a nié qu'aucun accord ait été conclu à ce sûiét; En ce qui concerne l'Italie, M. Loucheur a déclaré qu'au cours d'une conversation qu'il avait eue il -y_ a plusieurs semaines avec M. Mussolini il avait exprimé l'avis que des mesures parallèles prises à la suite d'un accord entre les deux pays pourraient rendre service aux devises nationales.. M^ Mussolini avait vivement approuvé cette idée..

Le retour de M. Briand

M. Briand, président du conseil, a quitté Genève ce soir, à 9 h. 30, pour Paris. 1 A la Commission des mandats ` Genève, 8 juin. La commission des mandats a tenu, aujourd'hui, la première séance de sa neuvième session.

La commission a tout d'abord procédé à l'élection de son président et de son viceprésident^ Le marquis Teodoli et M. Van Ross ont été r.éélus à leurs postes rèspectifs. 'La commission a ensuite établi son ordre du jour.

Elle a décidé d'ajourner à sa session du mois d'octobre l'examen des rapports s sur l'Irak et sur la Syrie, à la demande du gouvernement britannique pour le premier eïudtt^gcMvétriemént'lMnçais pour le second; ''i[' '̃'•" :̃' •̃̃ • ̃; •- '•̃̃ '•̃̃" M. Henri -de Jo.uvenel, haftt commissaire.de la République française en: Syrie, viendra la semaine prochaine devant la commission pour y faire un exposé de la situation actuelle.

n'est pas attribué d'autre siège permanent au Conseil qu'à elle-même. Aujourd'hui, comme il y a trois mois, dn' se trouve placé devant le même dilemme ou courir le risque de voir l'Allemagne retirer sa demande d'admission, ce qui aurait pour conséquence de rendre caduc le traité de Locarno,' ou courir le risque de voir se disloquer peu à peu l'institution de Genève par le départ, de l'Espagne et du Brésil, alors que déjà l'Argentine s'en est éloignée et que les Etats-Unis, la Russie soviétique et la Turquie n'en font point partie. M. Auguste Gauvain (JOURNAL DES DEBATS) ne désespère pas de la solution finale. Il rappelle le dernier alinéa du pacte: « Tout membre de la Société peut, après un préavis de deux ans, se retirer de la So.ciété, la condition d'avoir rempli à ce moment "tdûtes ses obligations internationales, y compris celles du présent, iPaote, ,v. Oonc, à

|sup9Ser?,que .lg Bfçsili^çtr)[,'fispagne,,ii,oyfient

iprçChairiement le décision de se retirer, ces jdeux- Etàt&'contirittëraierit pendant' deux âiis' lencore de faire partie de la S. D. N. Pendant1 deux ans on a le temps de réfléchir. D'autre part, comme la grève des deux Etats récalcitrants 'leur ferait perdre leur siège temporaire au mois de septembre, ils se'trouveraient dans une situation diminuée, sans aucun avantage correspondant. Pour l'Espagne, le résultât serait fâcheux. Pour le Brésil, il le serait moins cependant, il ne peut être indifférent à cette grande puissance de l'Amérique du Sud de perdre l'influence que son mandat actuel lui donne. En tout cas nous constatons que le développement de la situation tourne contre l'universalisme, si cher aux idéologues, et qu'il tend de plus en plus à la formation d'unions restreintes dans le cadre général du Pacte.

M. Jacques Bainville (.LIBERTE) voit dans la crise [«les beaux effets » qu'a déjà produits la simple annonce d'une prochaine entrée de l'AUemagne dans la S. D. N. « Que sera-ce, quelles intrigues et quels heurts ne verra-t-on pas lorsqu'elle siégera

effectivement ? s.

LA CHAMBRÉ

ET LES 42.000

̃ ̃ (.: If

1 [SUITE DE IiA WŒMIÈBiÈi-^AdEli <T Puis il lança ces mots

Je fais appel au courage de mes collègues. L'abstention, est facile. Certains journaux ài-\ saient ce matin « Ils n'oseront pas. » Osez vous accomplirez votre devoir civique et republicain 1

Après ce morceau de résistance de/ résistance à la volonté certaine du. corps électoral on assista à un long défilé, la tribune, d'orateurs désireux d'exprimer leur état d'âme.• ,.J: i, i. Les communistes, pars, la bouche>:âê l'un d'eux, repoussèrent, leprésent que leur of-' fraient -les socialistes, i: >- ;*̃> .̃<'

V- i.wl :v.. -,̃>̃>:•̃£̃.̃> *'̃̃̃ «JiMn! .-v,,v

Beaucoup de paroles.

Selon le socialiste Barabant, les députés riches, devraient être les; remiers à voter l'augmentation. Un député est tenu de distraire, chaque mois, de son traitement, 750 francs, ce qui lui. laisse 1.500 francs pour vivre Or, riches ou pauvres, tous les élus doivent avoir la même indépendance. M. Léon Blum reconnaît que le moment est défavorable. Mais quel sera le bon ? On ne peut nier que l'indemnité soit insuffisante pour assurer à l'élu une existence libre et décente. On rend inéligible l'ouvrier, le fonctionnaire et le médecin de campagne 1 En principe, peut-être, mais pas dans la pratique. ̃

M. Piétri dit « On nous reproche de commencer par nous. Non. Nous finissons par nous. »

Pour M. Balanant l'ajournement n'est pas souhaitable. Un débat complet s'impose. Il préconise une indemnité proportionnelle aux charges de famille. M. Ferdinand Bougère est' partisan de l'ajournement' oui permettra à la Cham-, bre de réfléchir à ceci que les occupations des députés au Parlement sont, au fond, « d'une immoralité abominable » et qu'il serait plus moral à celui qui exerce une profession, de pouvoir (s'y r.etremper. L^ ja^iça^soçiansjte Pauthy. a trouvé,' lui; une, solution hérpïque il s*atisiiendrau ̃Une voix, lui crie, s .Vous abstiendrezvous aussi de passer à la, caisse ? r M. Jean Fabry estime inopportun d'a- border actuellement le problème posé. La France, qui passe avant le Parlement, est engagée dans une bataille dont on ne peut savoir si" elle |brtira victorieuse. En tout cas, tant qu'il n'aura pas la conviction dit succès, il se refusera à engager des dépenses nouvelles.

La question ne pourra être tranchée, suivant M. Rillard de Verneuil, que lorsque, la Chambre aura voté la loi électorale. Enfin, au nom de la commission de comptabilité; M. Auguste Girard déclare repousser toutes les motipns d'ajournement. •' L'ajournement est repoussé On passe au vote sur l'ajournement proposé par M. Biré et le pointage ayant été ordonné, la séance est suspendue. ~i A la reprise, les députés regagnent leurs places et ne manifestent aucun sentiment apparent. Cependant, ils savent déjà 'que, l'ajournement est repoussé et, intérieure-, ment, ils se réjouissent. Ceux qui ont voté l'ajournement ne sont pas les moins satisfaits ils toucheront, sans encourir de responsabilités devant leurs électeurs. Enfin, le président proclame les résultats pour l'ajourirëraertt, 243 voix contre, 247. ••̃•-̃ «ïïw\ w- -MV- •>ii\v. ̃'̃̃ ̃» Silençtf ^glticlali»;I'n .différence ^complète? liés députés-éntendéttt nïôMfer 'qii'Us rempli leur devoir, tout leur .devoir. Rien de plus. ̃?̃̃ <̃' ̃ .Et le débat commence D'ailleurs, on ne se trouve pas en présence d'un résultat définitif. Ce n'est qu'un prélude, favorable sans doute, mais qui peut réserver de fâcheuses surprises, d'autant que cette majorité de quatre voix-est un peu précaire. Il va falloir encore lutter, car le vrai débat va seulement commencer de nombreuses motions;ont été déposées.

On aborde d'abord celle des communistes, qui tend a examiner le relèvement de l'indemnité parlementaire après seulement l'établissement de l'échelle mobile des salaires.

Cette nouvelle demande indirecte d'ajournement est écartée comme l'autre, mais celle-ci à une très forte majorité. On arrive à l'article unique du projet prévoyant la fixation à 42.000 francs de l'indemnité parlementaire.

Un contre-projet de M. Balanant M. Balanant dépose alors un contreprojet maintenant l'indemnité à 27.000 francs, et en l'augmentant de 5.000 francs pour les parlementaires mariés et, de 3.000' francs par enfant de moins de vingt ans ou personne a charge. > En quelques .mots pressants et émusj! l'abbé ,Leniiire,lH.i *.pélibata|re!.p,ar pro-i fession », dit-il, appuie ce principe dune indemnité familiale.

L'abbé Bergey apporte à son collègue « son approbation fraternelle »,

ljestfiGtioû et éGOiiOuiieS

Beaucoup de nos confrères confirmaient, hier matin, les réserves précédemment exprimées sur l'efficacité du programme de restrictions élaboré par le gou« vernement. Dans la JOURNEE MDUSTRIELLE, M. C.-J. Gignoux écrivait! Si toute l'action' consiste à raréfier le marché de certaines marchandises, et si, pendant ce temps, on continue à fournir le consommateur de papier, c?est-à-dire de moyens d'achat, la sagesse des nations enseigne qu'il en résùli-1 tera à peu près sûrement une hausse des prix. Ainsi retombons-nous dans le problème fon-' damental, celui de la déflation généralisée, que l'on n'évitera pas en le prenant par les petits côtés.

Et, puisque nous parlons de circonspection, serait-il excessif de la recommander aux personnalités de tous grades qui, par des déclarations ̃ inutiles, des démentis -conûis ou des controverses à côté, ajoutent à la nervosité créée par le retard des grandes choses attendues ? C'est l'a une. «restriction » qui profiterait au franc au moins autant que les autres. M. 'René. Lara IGA.ULOISÏ donne l& ̃̃mèï me note quand, s'exprimant sur.ee dernier point, il déclare: Nous' s'ommes' ,en "pleine; ihcpljérence. Les. doctrines s'affrontent. Les tlièoritilëns' se pren- nent aux cheveux. Les techniciens interviennent au hasard. Les politiciens s'affolent. Les influences parlementaires et financières exercent leurs pressions occultes sur les ministres responsables, Les uns tirent à hue, les autres à dia. Celui-ci dit blanc un jour. Le lendemain, celui-là dit noir. Et la livre monte.

C'est incompréhensible gémissent les augures officiels.

Cela- ne se comprend que trop bien, hélas I Depuis un mois, on trouble, on déconcerte l'opinion par L'annonce de mesures dont on ne prend même pas la peine de définir le sens exact. On parle de fouds, Morgan jeté' dans la bataille des changes d'or de la. Banque de France pour soutenir le fonds Morgan ̃̃ de projets de réforme qu'on n'explique pas de mesures pour encourager le rapa- triement des capitaux,,qu'on n'applique pas de confiance, que l'on contrarie de toutes facons et, finalement, de restrictions qui porteront sur on ne sait quoi, on ne sait quand, ni comment I ̃ 11 faut que la' France ait une rude santé

Et les deux prêtres se serrent cordiaiemerit les mains, aux applaudissements de la Chambre.

Diable se dit le président de la commission. Est-ce que l'accord 'va se faire sur notre dos et à notre détriment ? 7 Bien vite, il propose le renvoi de la discussion à neuf heures et demie afin. que, d'ici là, on ait le temps de parer le coup et de préserver les 42.000 francs du danger qui les menace.

SEANCE DE NUIT

(lLe soir, en effet, quand les députés se trouvent de nouveau réunis, on ne tarde pas à ajjplrje»dr1e qu'un .terrain), idfenjente a, été trouve. La commission a pris Je^uste raijieu entre le projet officiel et ceiui de M, iBalana,pt, Elle; aaceptei -m- et M. Rognon, le rapporteur, en informe aussitôt ses collègues le chiffre de 36.000 francs com̃ me indemnité fixe, laquelle serait majorée de 3.000 francs pour les députés mariés, avec supplément de 1,200 francs par/ enfant ou personne à charge.

Evidemment cela ne vaut pas les '42.000 surtout pour les célibataires mais c'est tout de même meilleur que-les 27I00Ô de M. Balanant.

La Commission est battue On vote sur ce nouveau texte il y 'a pointage.

Bientôt le bruit se répand que la commission est battue..Vive sensation. Les députés sont consternés.

Le président proclame ces chjfïres ̃ pour l'adoption, 234 voix contre, 246. Le président de la commission, M. Girard, se lève et déclare que sa mission est terminée.

Le rapporteur, M. Rognon, quitte la salle des séances.

La confusion est grande. Que faire ? 7 M. Herriot constate que la Chambre Va plus aucun texte à discuter.

Si pourtant M. Girard consentait à reprendre le premier texte de, la cdmniission, celui des 42.000 ? Plusieurs amis lui soufflent cette idée.

I Et M., Girard, quj, avait déclaré -sa mission terminée, consent à reprendre son i texte. Du même coup, les contre-pjoojets de MM. Angoulvant et Bouny demeurent vala-

bles. .'̃'

M. Angoulvant défend le sien, qui consiste à conserver aux députés leurs 27.000 francs, en ajoutant 6.000 francs pour les députés mariés et 2.000 francs par enfant. La proposition Angoulvant est repoussée par 230 voix contre 43.

A quelle branche la Chambre va-t-elle se raccrocher ? 7

A vrai dire, elle est en plein gâchis. L'âpreté qu'elle déploie dans la lutte pour le, relèvement de 1 indemnité, paraît décidément excessive.

Cela devient écoeurant, s'écrie quelqu'un au centre.

On continue quand même.

Un contre-projet Boully n'a pas un meilleur sort que celui de M. Angoulvant. Alors ? Alors on revient au texte primitif de la commission, aux 42.000. Mais un scrutin public à la tribune est demandé par les socialistes.

Ils ont" constaté qu'à droite et à gauche, beaucoup de députés avaient quitté leurs bancs, alors qu'eux sont restés fidèles au poste, et ils espèrent tirer parti de cette circonstance.

Leur manœuvre réussira-t-elle ?

Quoi qu'il en soit, on procède à l'appel nominal; des députés qui défilent à la tribune où ils, déposent successivement leur vote.. ;V b! ;»") •isj:i!jiito ii'.noui. j ̃ Ajnsi queT nous > :1e- disons eu première

page,, ie-jvoieu donnait 150 i*v©ix<: contre nies

| 42.000, et 123' tfoi* pour» >:

"f, 'II;'

Les baux à longue durée

•i'

Au cours d'une séance du matin, la Chambre à commencé hier l'examen du projet de loi autorisant la révision des prix des baux à longue durée.

Ce projet qui revient du Sénat modifie la loi du 6 juillet 1925 il n'a pas, on se le rappelle, obtenu la faveur des intéressés.

M. Lefas reconnaît que « le plafond unique est un système rigide qui ne tient pas compte d'une foule d'éléments que le juge, dans les termes souples de la loi de 1925, peut équitablement apprécier. M. Henry Paté voudrait qu'on limitât la majoration à 100 0/0.

M. Rollin exprime l'espoir que la Chambre saura concilier'les droits et les intérêts contradictoires, mais également légitimes.

M. Brunet accepte, en principe, le nouveau texte, mais souhaite qu'il soit amendé sur divers points.

On continuera ce matin. i' s..s:

S.-S.

̃*̃+̃*+̃*̃̃

Du 15 au 30 juin, à la Galerie, Brunner, cent portraits damés et jeunes filles de la Société Française, par 6. L. Manuel Frères.' V(, Exposition faite au profit de l'Œuvre des dispensaires antituberculeux ruraux, organisés par la comtesse de Mortemart.

et que le franc, en dépit des attaques de la spéculation étrangère, ait un cran fabuleux pour résister aux effets du régime qu'on lui inflige.

Procédé de Gribouille que celui des restrictions, s'écrie M. Jacques Arthuys dans le NOUVEAU SIECLE

Allons. Tout cela n'est pas sérieux. Restriction ? Oui, dans les fonctions et les dépenses de l'Etat. Mais qu'on n'imagine pas un instant sauver le franc en gênant la production des particuliers. C'est une plaisanterie, et une plaisanterie un peu forte,

A moins qu'on ne veuille simplement, pendant quelques jours, interdire d acheter de la marchandise au dehors (c'ést-à-dire de vendre dit franc) pour amener un mouvement de rémission sur le marché du change. Vous voulez dites-vous sauver le franc. Commencez donc par ne pas faire tout pour qu'il s'effondre définitivement. Commencez donc par le commencement. Diminuez les dépenses accumulées de l'Etat, déchargez l'Etat de ses fonctions usurpées, et favorisez la production, qui est la part des agriculteurs, industriels et commerçants (patrons, techniciens et ouvriers).

Non de l'Etat, tenu par les politiciens. M. Emile Buré (ÂVÈNiR) réclamé, lui aussi, des économies

Le, gouvernement s'embarrasse-nlL nfosera jamais demander au Parlement de « désétatiser les services publics qui ruinent le Trésor, alors qu'ils pourraient l'enrichir, de réduire le nombre des fonctionnaires, dont un tiers, au moins sont inutiles, sinon nuisibles au bon fonctionnement des rouages de l'Etat. L'exemple est ce qui touche le plus. Qui prêche le dévouement à la chose publique doit se distinguer par un absolu désintéressement. li y a, à l'heure actuelle, des ministres et des sous-secrétaires d'Etat dont la besogne pourrait être assurée par un directeur, voire par un simple chef de bureau ? Qu'ils fassent hara-kiri. II n'y a point de petites économies. Et puis n'est-ce pas surtout parce que ces reformes créeraient une autre atmosphère qu'elles sont souhaitables? Ne s'aperçoit-on pas actuellement, dans les rapports' entre l'Etat et l'opinion, que l'ambiance n'est pas favorable à certains sacrifices volontaires. Le sentiment que l'ordre et l'économie régnent dans l'Etat aurait, à lui seul, créé cette ambiance. Pierre .YMIeWe.

Quatre ministres délibèrent

,i.

Le « Comité des restrictipns »

Le comité dit '« des restrictions > est composé, comme l'on sait, de quatre ministres celui qui assure l'ordre à l'intérieur, M. Jean Durand celui qui préside aux transports, M. de Monzie celui qui préside aux échanges, M. Daniel-Vincent celui dont le département comprend et l'étable et le champ, tous les fruits de la terre, M. François Binet.

Ce comité des quatre a délibéré hier, le matin, dans l'après-midi et dans la soirée. II s'était adjoint quelques conseillers M. Guillauinej qui dirige les mines MM^ Serruys' et ̃̃Fîghièra:, pour qui les choses du commerce, très embrouillées pour lé Commun, sont fort simples et familières M. Chiappe, directeur de la Sûreté générale, jçju'il n'est pas question, croyons^nous, de 'réduire M. Machefeld, qui sait tout de l'agriculture, et M. Pineau, lequel est parfaitement renseigné sur les essences, les huiles lourdes et tous leurs dérivés. Ministres et experts ont, le matin, travaillé durant deux longues heures dans les locaux silencieux de la place Beauvau. M. Daniélou, qui était tout seul à la présidence du Conseil et n'avait pas grand'chose à faire, vint assister à leur débat, en amateur et en curieux.

Il faut dire que ce débat était propre à intéresser les membres du gouvernement, car son objet, était les restrictions d'Etat. Les Quatre et leurs conseillers convinrent, 'en etfet, qu'avant le plus humble particulier, l'Etat devait montrer le goût de la sagesse et de l'économie. On retrouve d'ailleurs un reflet de ces intentions excellentes dans le premier alinéa d'une note qu'ils rédigèrent avant que d'aller déjeuner, et où on lit en propres termes

« Les premières délibérations et résolutions du comité ont porté sur les mesures de compression applicables à l'Etat lui-même, qui doit donner l'exemple avant de faire la leçon. »

Quelles saines paroles Et de quel cœur nous les applaudissons 1

Avant de faire la leçon, et pour donner l'exemple, l'Etat commencera par s'interdire de créer dé nouveaux postes dans l'administration. Il n'est pas question, pour l'instant, de supprimer les postes inutiles, mais on ne les doublera point, et c'est déjà une victoire.

Les Quatre ont parlé ensuite des aliments de luxe, puis de fer et de bois, de charbon et d'essence. On devine sans peine que des sujets si importants et vastes ont été seulement effleurés. C'est cependant à eux et aux matières qu'ils concernent que le second alinéa du « communiqué fait allusion sous cette forme

« Dès maintenant, il a été précisé qu'aucune des recommandations envisagées ne toucherait à la politique de nos traités commerciaux et ne serait de nature à justifier des actes de rétorsion de l'étranger. » A la fin de cette première séance, déjà si bien remplie, le comité des restrictions s'est occupé de l'importation du papier journal et a superficiellement examtne un rapport où ce problème d'importance est longuement examiné.

A leur sortie du ministère, les quatre membres du comité, leurs aides et leur observateur se disaient satisfaits. On les interrogea, tout naturellement. A ces questions, ils répondirent

On à parlé du rétablissement de la carte de pain. C'est une fantaisie. Rien, par ailleurs, ne peut faire prévoir la fermeture hebdomadaire des boucheries et des boulangeries. Ces bruits sont répandus par des personnes à l'âme noire qui en attendent, (ifnejhausse dui quasi» deciveaui et du ble. Qu?on se méfie Notre dessein est

Aftfl&rrien,, faire qui, soit- de -nature tron-

IJ. ~êfrieJJ.,f.a.ir. qui, soit;,de,.nature trou-

bf«r|a v4fi. économique du pays.'

Le comité tint sa deuxième réunion hier après-midi, à 4 heures. Ses délibérations durèrent, ce coup-ci, non plus deux heures, mais trois heures un quart. Elles furent fécondes.

Au témoignage du « communiqué, », les quatre membres du gouvernement continuèrent d'examiner les multiples questions que contient leur programme. Ils s'appliquèrent à exclure, ainsi qu'ils se l'étaient promis, toute prohibition nouvelle d'entrée et de sortie, et se défendirent surtout d'avoir recours à des rationnements pareils à ceux que l'on imposa au pays du temps que l'Allemand descendait le Chemin-des-Dames.

Ayant pris ces résolutions, le- comité se mit rédiger une série de propositions qu'il juge propres à comprimer efficacement les, dépenses d'Etat pour ce qui est de son domaine, de l'accroissement de ses biens immobiliers et mobiliers.

Mais le comité, de surcroît, aménagea les importations

Les importations, déclarèrent les quatre, approuvés par leurs conseillers, doivent épouser les besoins de la consommation et, plus directement qu'elles ne le sont, être réparties au consommateur. Serait-ce là le glas de l'Intermédiaire ? Tout en s'apprêtant à dîner, les ministres de -la restriction déclarèrent Les conclusions de notre comité seront ampleïaept détaillées et motivées de même. Nous nous efforcerons de les rendre applicables dans le plus bref délai. Ils ajoutèrent

Cette tâche, nous l'entreprendrons dès ce soir, à' 10 heures.

La réunion que tint, dans là soirée, le comité des restrictions, fut dans sa plus grande partie consacrée à la rédaction d'un procès-verbal dans lequel les quatre ministres résumaient leurs projets Le comité, ont-ils écrit, a reconnu, dès l'abord, que son programme, motivé par les nécessités de la situation monétaire, devait correspondre, dans tous ses éléments, au système de redressement financier adopté par le gouvernement. Il a, en conséquence, procédé à l'étude

1° Des mesures qui sont de nature à comprimer les dépenses de l'Etat ou à alléger ses charges > 2° Des mesures qui, par un emploi plus parcimonieux des produits importés de l'étranger ou par une consommation plus méthodique des produits _nationaux,, permettront de réduire certains achats de denrées alimentaires ou de matières .premières d'où résultent les transferts les plus importants de devises françaises n l'étranger.

Ces mesures ont été recherchées et formulées avec le souci de ne pas amoindrir, d'une part, par une intervention brutale, l'action efficace des services de l'Etat ainsi que l'améuagemçnit. indispensable de Fout,iÛage, national; ''AU'' d'autre part, de ne pas altérer l'économie de là nation par une ingérence taquine dans, les condition» de^ laSproduçtion ou dans le libre jeu des échanges.

Mais quelque ménager qu'il veuille demeurer d'une certaine continuité ou d'habitude collective ou individuelle, le comité n'en a pas moins estimé que ses propositions devaient comporter des applications immédiates et des résultats qui, bien que limités, seraient effectifs en eux-mêmes et, par l'indication d'un plan de politique générale dans lequel ils doivent se situer, il s'agit aujourd'hui d'une première addition de mesures réalisables sans débat, auxquelles doivent succéder d'autres mesures inspirées du même esprit. ` Le programme ci-dessus, le comité s'est efforcé de l'appliquer pratiquement aux différents produits naturels, dont il a fait un examen analytique. Cet examen a, jusqu'ici, porté sur les blés, les viandes, le café, le sucre, le tabac, les essences et, Répétons, toutefois, qu'il n'a pas été et n'est pas question de rétablir « les cartes que roh connut pendant la guerre, qu'il s'agisse de pain, de sucre.ou de char- bon.

Le Sénat liquide d'anciens projets Parmi les divers projets que le Sénat a adoptés hier, l'un déjà voté par la Chambre, attendait depuis sept ans l'homologation de la Haute Assemblée, l'autre avait été déposé sur le bureau pré- ¡ sidentiel, il y a onze ans, par M. Dominique Delahaye. Tout vient à point à qui i sait attendre.

Le premier, dont était rapporteur M. Noël, avait trait à l'admission temporaire qui est, comme on le sait, la faculté accordée aux importateurs de faire entrer en franchise de droits certains pro-' duits étrangers afin de leur faire sabir. une transformation ou un complément. de 'j main-d'œuvre, à charge, de les réex- porter ou de les mettre en entrepôt dans, un certain délai. i Le nouveau (?) texte décide que cette admission pourra être accordée provisoi- rement par décret, rendu sur l'avis favorable du comité des arts et manufactures, à condition que le décret soit sou- mis à la ratification des Chambres avant, la fin de la session en cours ou à la ses- sion prochaine.

Le second projet avait pour but de simplifier la procédure en cas de refus pour cause de manquants, avarie, etc. etc., des objets transportés.

Ce texte étend également le champ d'application de cette procédure au cas de difficultés nées au moment de la for- mation du contrat de transport, enfin de donner aux parties intéressées de nou- velles garanties pour l'expertise instituée en cas de contestation entre ces mêmes parties.

Toujours sans débats, la Haute Assemblée a approuvé aussi deux autres projets, moins vénérables, l'un institue une médaille commémorative- des Dardanelles et de la campagne d'Orient, l'autre, qui devra revenir en deuxième lecture, enlève le droit d'extradition à l'autorité administrative pour le confier à l'autorité judiciaire, en l'espèce aux chambres de mises en accusation, statuant en séan- ce publique.

L inculpé pourra se; faire «assister d'uri

interprète et d'un avocat.

Sighalbns, en terminant, l%ie M. Morand a déposé son rapport fait au nom de la commission de législation sur la proposition de loi concernant les rapports entre locataires et bailleurs en ma.tière de locations commerciales (propriété commerciale). E. E. Gascpin.

ci' M. RAOUL PERET <

à la Commission sénatoriale des finances M. Raoul Péret sera entendu aujourd'hui par la commission des finances sur, la crise des changes et la situation financière. j' Au groupe agricole du Sénat *t*

Le groupe agricole du Sénat a entendu hier une communication de M. Tournan au sujet de l'extension des opérations à! court terme du crédit agricole, par utilisation des dépôts en compte courant effectués par les cultivateurs.

Après discussion, le groupe a donné' son approbation au texte de la proposition de loi déposée par M. Tournan,, et a' également 'donné, un avis favorable à la proposition de; loi de M. Cassez, permettant -aux communes de -bénéficie! dtr Créait agricole à long ternie pour l'exécution de travaux de boisement et de re< boisement.

•– «-y>y^ _.<" <

Il faudrait en finir

avec les accidents d'autos Voitures qui capotent sans raison apparente à la suite d'un brusque coup dé frein, ou qui se jettent dans un arbre en' écrasant leurs occupants, nos journaux -ne sont remplis, certains jours, que du récit» de multiples accidents attribues, neuf foisg, sur dix, à l'éclatement d'un pneu. En réa-ï lité, le pneu n'éclate pas, ou, du moins,; son éclatement est consécutif au déjan-\ tage de l'enveloppe qui, sous un brusque effort, sort de la jante. Or cet accident,, toujours le même, peut être évité aujour-i i d'hui c'est ce qu'il faut répéter sans së:. lasser, si l'on veut supprimer, ou tout air! moins rendre exceptionnels, des accidents^ dont la répétition devient à la longue in-^ supportable.

Nous avons aujourd'hui près de six cenït mille automobiles en circulation, alors que! nous n'en comptions guère plus de cent mille en 1920 la question est donc d'in-' térêt public, et l'on peut s'étonner que nos" dirigeants ne se soient point encore avisés de la question. Notre rôle n'est pas ici de préconiser tel ou tel mode d'attache du pneumatique sur la jante ces modes d'attache sont, du reste, fort nombreux, et les' Américains, depuis longtemps, nous ont donné l'exemple en ces matières. Qu'il nous suffise de rappeler que certains modèles de jantes, que certaines enveloppes à tringles à bords inextensibles, adoptés aujourd'hui dans le monde entier, assurent l'automobiliste contre toute possibilité de déjantage, et, par conséquent, d'éclatement accidentel du pneu. Il est criminel, à notre époque, de ne point recourir à ces modes de montage modernes et perfectionnés du pneu sur la jante, en attendant que ce mode de montage soit imposé à tous les automobilistes, ce qui serait autrement urgent, pour éviter des catastrophes, que d'imposer les pare-boue.

UN BON PLACEMENT #f

t*

La réputation des vins de Bordeaux n'est plus à faire. Leur valeur s'accroît de jour en jour.

En acheter, c'est réaliser une excellente ppêration. Elle est à votre portée

Contre un mandat ou chèque de quatre cents francs établi et adressé au nom de M. Maurice Commenge, « Figaro-Annonces », 14, Rond-Point des Champs-Elysées, Paris, vous recevrez franco à domicile

Une caisse composée de

4 bouteilles Château Croizet-Toucliant-La'» tour Pauillac 1911 · il 10 bouteilles Château Morih-Saint-Estèptici

zyio

11 bouteilles Château Morin-Saint-Estêphq'

1919.1

Bronzes et Objets d'art ni

C'est le dernier mois pendant lequel les amateurs pourront encore profiter, chez Siot Decauville, 63, avenue Victor-Emmanuel-111 (Téléphone Elysées 07-34), des gros rabais qui sont consentis sur la collection de statuettes et objets d'art «rt bronze. ̃'̃ CHEZ MARTHE LERIE Avant le commencement des travaux que nécessiteront les importants agrandissements de son magasin du 4, avenue VictorEmmanuel (Rond-Point des Champs-Elysées), Marthe Lerie se voit obligée de liquider les nombreux modèles de haute mode de sa çoUe_ction à' '̃̃̃y~m


PROPOS .PBMININS imi k* « «

Fabienne Ricard à Philippe d'EstrangesComment avez-vous pu vous imaginer, Philippe, qu'un ciel gris et pluvieux ait pu m'empêcher d'aller voir courir le Prix de Diane, à Chantilly C'est mal me connaître. Les éléments, fussent-ils déchaînés, ne peuvent pas davantage contre ma fantaisie que les objurgations de mon mari et vos radotages de vieux garçon. Il faut croire que beaucoup de personnes sont dans mon cas malgré les menaces d'une matinée nuageuse et indécise ne présageant rien de bon, la route était sillonnée d'autos torpédos ^uperj^.dont les occupants portaient casquettes, "lunettes, vo*"'̃lettes et autres choses qui les rendaient méconnaissablcîs comme des bandits de "grand- chemin ;60 HP, loûgues étvérnis;sées telles des yachts, livrant au passant la jolie et fugitive vision de jeunes femmes divinement chapeautées, dérobant sous le mattteâu de lainage* ou de fourrure la robe de mousseline et de crêpe prête à faire sensation au pesage.

En fait de mode, Chantilly nous a surtout montré des fourrures et des chapeaux. Ceux«.ci mettaient dans la tribune du Jockey un parterre de fleurs animées et vivantes.'Nos grandes modistes s'étaient surpassées tout particulièrement. Armande Maguy, qui coiffait les plus charmantes femmes de l'aristocratie, dans laquelle je vous sommé désormais de me comptée, malgré ma roture, si vous voulez que nous restions bons amis, Armande Maguy,, contrariée de voir avec quelle facilite on copie la mode et la vulgarise aussitôt, a changé brusquement son esthétique. Elle s'attache à nous doniler cette saison le goût des capelines en bengale noir ou naturel, ou en une paille de fantaisie très nouvelle donnant l'impression du givre sous la lumière, ou bien encore en. velours de coloris clairs et frais comme certain vert tilleul que la jeune artiste se, plaît à fleurir de grosses fleurs de digitale en velours aussi, mais exemptes de leurs redoutables propriétés. '̃*̃

;Ce que j'admire chez Armande Maguy,; c'est que ses petits. chapeaux,, feutre chamois ou gro&grswj, témoignent. dans, leU^ forme de son grand désir d'medit, 1,1s sont t autres que ceux que l'on voit partout aillours. Par une Recherche subtile, elle harmonise les sacs1 a main, qui sont de même ,tissu et de même couleur. Sans doute vous rappelez-vo,us Julie Tompson, cette délicieuse Anglaise dont je fus jalouse tout un soir, tant vous la trouviez idéale. Je l'ai revue chez Armande Maguy, et aussi misses Coatz et Cladys Cooper, du Saint-James Theater, celle-ci si fine, si blonde que vous la comparez à un bibelot d'étagère. Je ne me souviens pas de ma vie avoir va plus ravissants manteaux qu'à t,nan-

tilly. Us ont succuue à la tradition qui voulait chaque femme en toilette légère de garden-party. La légende du muguet, du vi cher petit muguet t dont nos mères parlent avec attendrissement n'existe pas davantage. Chantilly substitue une mode printanière une autre plus hivernale. C'est la faute du temps qui perd la boule, si tant est qu'il ait Une boule. Vous ne le croiriez pasj mais les manteaux de fou r fi-u «!"̃ étaient nombreux,.» JVÎ-adoue de Cerclas est descendue de sa D'> lage enveloppée dans, les, iiiaHtefiu î'dont fc^ joint le dessin, afin que vous jugiez mieux du genre. Un chic, cette Madoue, à croire que son mari a converti sa fortune en dollars Il est en poulain, pas le mari, mais

le manteau, en poulain d'un joli' ton mordoré, col et parements en blaireau, mais si joli, si profond, si flou que je l'aurais pris pour du lynx si Madoue ne s'était chargée de me détromper. Avec la même bonne foi, elle m'a livré le nom du créateur il est vrai qu'il est de. ceux dont on tire quelque vanité, qu'on avoue volontiers le seul nom de Grunwaldt ne confère-t-il pas, en effet, un brevet de chic ? La maison Grunwaldt possède en ce moment pour les villégiatures en vogue de Dinard, Le Touquet, Brides et Pougues, un grand choix de manteaux et paletots d'une adorable fantaisie hermine d'été, agneau rasé, chat sauvage, et c'est encore chez Grunwaldt que l'on trouve, croyezmoi, la plus remarquable, la plus belle collection de renards de toutes sortes, argentés, croisés, blancs et bleus. Je ne puis y entraîner tous les jours mon mari, et c'est dommage. >

J'ai noté aussi à Chantilly la mode des gants rosés;'asisoEtis à nos bas, gants de Saxe ou chevreau, de fantaisie, en> tout point semblâhJçs, aux différents rosés dont s'éclairent nos jaïnbes. Ces gants et ces bas lancés par Alexandrine s'harmonisent avec

LE MOUVEMENT INTELLECTUEL ̃ ̃ iiiiinmi! i

Nouvelles études sur Oftdpin

,i.i.. –«tmttt):)(–

l.es travaux se multiplient sur la vie et sur l'œuvré de Frédéric Chopin tout concourt à rappeler à notre esprit son souyenir tendre, magnifique et secret. La politique s'en mêle. La résurrection de la Pologne, spectacle si propre à animer l'imagination historique et qui devrait rendre à notre temps le sens égaré de la grandeur, donne une nouvelle vie à ses gloires nationales. La critique slave réclame la part de sa race dans l'histoire de la musique, et engage la querelle des territoires musicaux contestés, sur les Irontières du germanisme.

Seconde occasion le retour de dates centenaires va nous incliner à « repasser notre romantisme », comme disent les potaches qui en ce moment même s'entrainent pour le bachot. Nous attendons seiilëment de savoir où placer ce centenaire. Des sociétés de beaux esprits en disputent Or, il y a entre le romantisme, la, Pologne et Chopin des affinités plus intimes et subtiles encore que des rapprochements' fie dates.

Et peut-être est-il une raison plus profonde pour que Chopin soit à la mode. Frédéric Chopin est un génie instinctif, qui suivait en musique la règle de sa fantaisie et non pas celle du développement, à qui la critique, quasi unanime en ce point, reproche ses « sonates mal corstruites ». Il méprisait le « développement et écrivait sa musique comme il l'entendait chanter en son esprit par les. anges de l'inspiration, qui ignorent les transitions et l'analyse Quel art plus moderne ?

Parmi les commentateurs récents, les uns, comme M. Edouard Ganche, sont spécialisés, voués au culte, et habitent, si l'on peut dire, dans le temple même. Les Polonais, comme M. Zygmunt Zaleski ou M. Henri Opienski, sont naturellement pugnaces, résolus à revendiquer Chopin

toutes le* toilettes et sont particulièrement heureux avec les robes noires avivées d'une toutche de rôse que j&fus lfune des premières à porter cet hiver, vous vous en souvenez,. Rhilioîse, et dont l'été consacre à nouveau ^la w-ode. Puisque l'on décore tant de créai teurs de frivolités, ne trouvezvous pas, iruon cher Philippe, qu'il serait juste de penser à Alexandrine, dont l'imagination et lo goût donnent à nos jambes tant d'attraits;, à nos petites mains tant de grâces- séduisantes que c'est peut-être une des raisons -qiîi vous les fait garder longtemps, si longtemps dans vos grosses pat- tes d'Jhpmn^e. t. a. > n

ïijfmwpq&i SFppeihne, ytftaççfpim. ceci,

commènl" etiez-'z-éus liàbilléë ? me de-

mandez-vous. i "«s s simplemenf; ciïér, ce qui ne m'a pas empêchée d'obtenir, comme toujours, un certain petit succès. J'avais mis sur une robe de taffetas de Bernard un mantean en crêpe de Chine noir de Bernard. C'est,vous dire en quelle estime je tiens cette maison. Voici le dessin du manteau. Ce que vous allez prendre pour de' la broderie, ce sont de simples piqûres qui l'agrémentent fort joliment et de façon iitrès nouvelle. Le col ̃et les parements sont eh renardeau g t i s, fourrure accessible aux femmes obligées de compter, et aussi belle que tes plus belles. » ̃ getnard avait, réi pandu, d'ailleurs, au pesage, d e r o b e s charmantes, les! unes «n laitaage, en char-

melaine, en épingle les autres en crêpe, mousseliïne et taffetas^ J^en. ai: ̃vuiet compté suffisamiUeut pour me rendre compte du suc'èès. tï'ès- vif de ees 'couturiers, lesquels habillent jeune, très" jeune, infiniment jeune. Vous aivez voulu, Philippe, mes impressions sur Chantilly, les voilà. Je ne puis malheureusement vous citer, et quel qu'en soit votre désir, toistes les toilettes qui le mériteraient. Inutile d'ajouter que les mânes du grand Gondé.ont.dû frémir d'hor* reur devant certaines aberrations étran* gèi'es, d'une excentricité si osée et d'un tel .mau'vsiis' goût que nos aînées n'en auraient pu supporter la vue dans ce riant décor de Chantilly où jadis s'harmonisaient et le paysage ejt les élégances. Affectueusement ;à%aus, mon cher Phi*

lippe.. FnH~seue..

lippe- >'̃̃̃ Fabienne.

P. c. c. Rosine.

ENTRE NOUS

.)) .u_

Arpandé Maguy, modiste, 2, rue de la. Paix,

rGnurswaldt, fourreur, 6, rue de la Paix.

C'O. '̃-̃.>̃<̃

Alexandrine, bas et gants,, 10, rue Àuber.

cBéfnacd, çpa-iwxeii 35. etaSI^aye-aue de

•jl'Opéra. ,< “-»̃ ̃<̃• -n .-(T; ]

La grànd& g^iri^aiji.e, d'Aijtfen^ïiôiig-' champ, Chantilly, sera, 'comme chaque an'néë^ïe "sigHal'dè'à;:|^ihds .dépfts'àla mer

et la monta ttè'é'esi pourquoi toutes

et à la montagne. t c'est pourquoi toutes

les f émanes qui n'ont rien à se mettre pour ces villégiatures courent chez Malborough, 59, rue S' aint-Lazare, qui solde les collections de l'été provenant des meilleures maisons de couture. Robes, tailleurs, ensembles, manteaux, on trouve tout ce que l'on peut désirer.ches Malborough,

forme des robes et des manteaux,

aperçus au pesage de Chantilly, tandis que le Prix de Diane se courait devant une assistance des plus élégantes, accase une fois de plus le souci de la ligne dans' 9 nos toilettes, quelle que soit la mode du joun. Aussi ce fut un vrai triomphe pour la gaine Parabère, que toutes les femmes vraiment chié ont depuis longtemps adoptée, et dont la souplesse élastique laisse toute liberté dé mouvements ̃ en assurant une sveltesse si appréciée de

chacune de nous, tant il est trâi-cfue grossir, c'est vieillir1.1 Et "les salons* 12, rue I ïronchet^ ne désemplissent pas, la maison Parabèr&'Connaît tous les succès.

v- -v-r ••- ^v,-> :v.: -R.

contre l'univers avec âpre té, contre la Franée avec une affectueuse courtoisie. De tous ces travaux enfin le plus important et le' plus agréable à la fois est naturellément la monographie que M. Henri » Bidou vient de consacrer à Chopin (1). Que notre personne soit diverse et multiple, que nous soyons lés uns et les autres composés d'une série d'êtres mal raccordés, iious en sommes maintenant assez instruits par la science, par la philosophie, par la littérature et par la comédie de notre temps. Nous sommes fragmentaires et discontinus. Mais la personnalité la plus menacée, au moins dans l'avenir, me semble celle de M. Henri Bidou. Jamais la postérité ne voudra croire qu'un même homme a réuni des dons si divers, écrit des ouvrages si différents, de la stratégie ,à la musique, et rempli,. comme dij: Pascal, tout i'eriîrè-deux. Elle Se méfiera-^ Elle croira qu'on a voulu, l'abuser. Si la biogra-

phie -/(Çjg j M. ? »Bi,dpu n'est pas solidement

écrite ou si par malheur elle vient à so perdre, l'érudit futur aura trop beaujen a démontrer victorieusement à l'Académie que l'hypothèse qui réunit en un seul homme des écrits puisés à des connaissances si diverses est insoutenable.

Que M. Henri Bidou répande sur des sujets si lointains un égal agrément, on ea tl est déjà surpris le diable c'est que, nous transportant ainsi d'un bout à l'autre des connaissances ou de l'art, il transporte avec lui une imperturbable technicité. Vous qui ouvrez ce livre sur Chopin, qui êtes-vous ? et que cherchez-vous ? Les connaissances de l'honnête homme une biographie, une revue des oeuvres, quelques peintures du tempSj, un jugement exact et fin, la qualité juste de l'émotion poétique (1) Henri Bidon. Chopin, dans la collec- tion des Maîtres de la Musique, librairie Félix Alean. ̃ ̃ ̃

Babette compose un filtré Jean, que tu le veuilles ou non, tu se- ras obligé de~m'aimçr toujours. ·

,-r-r- Babette, ne parle pas de malheur. ̃ ̃– Créature insensible, tu peux bien rire. C'est moi qui rirai la dernière. J'ai découvert un vieux recueil de magie, la recette d'un philtre merveilleux qui garantit un amour éternel. Ce philtre je vais le préparer, tu le boiras.

Dis-moi, d^abçwrd. en quoi ça consiste,

ta tisane mtagique.,

Eh bien, voilà. Je prends une racine de mandragore du Pérou, une dent de rat

blanc, un poil de Foreillé d'une mangouste

adtflte tuée une nuit de pleine lune avec une balte d'argent, une ôncfe.djyusauîame,,

une j, laitance de carpe millénaire et 'là-'

pierne qu'on trouve dans la tête de ççr-^ tains- crapauds.' u ̃̃•v«. v ..rdîn'j o- ̃̃ ?'

Babfe'fter<5hérie, ne té' dontre pas tant

de mal, et si tu veux que je t'aime toujours, prends simplement ta voiture et Va chez Bourjois, rue de la Paix* Là, tu' et: mir. anci erasure boîte de fards pastels, de la poudre « Mon Parfum », sans omettre quelques flacons de « Mon Parfum' dont l'arôme si doux est le plus sûr enchantement du monde Le secret de l'amour éternel n'est plus dans les vieux livres, il est chez Bo'-rjois, maintenant.

-vw^w-

.CJ-A- est ;a6^

Vsî Là prochaine fête des R,osati aura lieu àjFontenay-aux-Roses le dimanche 13 juin, sous la présidence de SI. Jules Herbaux, conseiller à la Coui" de cassa- tion. Les honneurs de la rosé y, seront rendus à MM. Jules-Louis Breton, membre de l'Acadéniic des, sciences.

+-t>~

<' i,d:(~'} '{J

H ri.¡! I !"̃ r .i ̃

Au fil de l'eau a, 'r- -j

On prend!' le tlié et on soupe guicment à JiQrd., df^Ja p.énù^e La. Tamise, amarrée au pied du pont Alexandre-HL, Jeudi» dîner de gala, attractions; ça-% deaux, èolicours de tiânseë. Roof "cou-s

-rt' '̃<̃'̃> '̃̃'• ̃̃̃̃̃•'̃̃̃̃̃ ̃'̃

i"7ï~. `~~

i- .• ''r "> ̃ "̃<̃«/̃-̃̃ ̃'•̃ ̃̃̃̃

Le bureau de la. Chambre syndicale. patroûale des imprimeurs lithographes de Paris, vient d'être ainsi constitué Président, M. Jules Simon vice-présidents! MM. Henri BoUquet et Roger Hénon secrétaire, M. Henri Chachoin secrétaire adjointj M. Edouard de Bast trésorier^ M. Buisson. A cause'du-mauvais temps, la fête de plein air qui devait être' donnée demain par leCercle militaire est renvoyée à une date ultérieure. ̃••

Jean de Paris.

̃\>l{Mi ï.i'H *«*i'f •'̃'̃•

ti,j-t; *.t •̃• ;»-rf^s^–

R$îlye automobile féminin

invite Ses gracieuses et anciennes élèves à prendre part au Rallye de -l'A.CJ.F^- qui aura lieu. sur Paris-Corn piègne le dimanche 13 juin. i

Outre des objets d'art et des prix offerts par plusieurs grandes maisons parisiennes; VERSIGNY met en compétition un bon de •1.000 fr. ptun bon de 5.00 fr. ù prendre*auî£

Galerieb^Xafay^ite. '*h> ̃

Pour tous Tenseignéments'et engage-^ ments, s'adresser chez Vepsigny^87 avenue

de la Grandc-Arméeiou. ^L^Autonobile CloB

de France, S, plaeefiei iij 4<^ncorde, Pi«-is. 1

~3~~ 4I_

La. voiture Oaldand J5 CV 6 cylindres1 carrossée en « Roadster dé série, finie au Duco, qiii gagna le Grand Prix d'ttohntur,} du- Concours d'Elégance Automobile de i'Auto, catégorie véitures ouvertes. ,], «

Au volant, M, Malienne, administrâtes jlélèguç de, Compagnie Maryland, 13, ibou-,

levard, Gbiwioii-Saint-Çgr (Porte Ckapiperret), Paris, aaçnt de Iq, marque Qqliland pour région. -parisienne' .»,̃•-̃̃̃•• ;•••.• ,,1

et musicale ? Vous trouverez tout cela. dans un orèire parfait, dans l'ouvrage de M. Bidon. Sjais ètes-vous admirateur du Chopin, pratiquant et exécutant ?' Vous y trouverez aussi l'analyse la plus rigoureusement technique des œuvres principales. l'énumération des motifs, les modulations harmoniques, les indications .les '.plus précises de mouvements, de rythme, ou de tonalité souvent l'analyse est couronnée par une traduction littéraire qui est une hypothèse toujours charmante, proposée pour l'interprétation. Voici, par exemple, le neuvième prélude ce « n'est qu'une phrase de quatre mesures, répétée trois fois, la première en mi majeur, les deux autres fois én. modelant imaginez une branche de fleurs. d'abord immobile, puis que la brise fait frémir deux fois »»

̃ •• r**i

̃• ̃•

Frédéric Chopin apprit l'insurrection polonaise' de 1830 à Vienne, où il était déjà appelé par sa jeune renommée de pianiste et de compositeur. Il avait quitte la Pologne quelques semaines auparavant. Il n'y revint jamais. Il avait alors vingt ans. Sa vie, qui dura moins de quarante années,- «sf donc divisée en '>.déux' parties presque égales les vingt premières en

Pologne, 'les vingt dernières- en 'France,

sauf les voyages des deux périodes. Ici, la critique polonaise commence à réclamer, Au moment où il quitta sa patrie, l'éducation musicale de Frédéric Chopin était parfaite elle était unique. ment polonaise..Les années de sa jeunesse sont justement celles de la fondation des institutions musicales officielles de la Pologne le Conservatoire de Varsovie date de, 1821.

Un Conservatoire, c'est une école, c'est-» à-dire une tradition, une doctrine, une pédagogie, une inspiration. On y instruisait les élèves à s'inspirer de la.musique populaire pour créer la musique nationale ». (Zaleski).

Moment décisif de la germination entre les espoirs radieux de l'époque napoléonienne où elle fut la sœur cadette de la gloire française et l'insurrection prochaine, la Pologne se jette dans les bras du romantisme. Au 'moment même où Cho-

~hC'1~i~

Union des syndicats patronaux des industries textiles de France

5», s '"̃̃̃̃-?*. "•– i ̃"̃"

Les industriels textiles ont tenu, hier, leur assemblée générale annuelle. ? Tous lés grands centres textiles Lille, Roubaix, Tourcoing, Armentières, Dunkergue, Calais, Fourmies, Caudry, Bolbec, 'îîouefl', Elheuf, Louyiers, Angers, Cholet, Laval, Reims, Epinal, Remiremont, Belfort, Nancy, Mulhouse, Sainte-Marie-auxMines, Saint-Etienne, Trpyes, Lyon, Tarare, Valence, Privas, Vienne, Castres, Mazamet, Labastide, Lavelanet, Roanne, Thi-. ty, étaient représentés.

Après une allocution du président, M.

!F.i.Rbyvlunvéfcïio&é--a'è iai!Mtuatidn "ifinan-

fifiière paît' M." Bàlsan, vice-président, triéso-. rier de l'Union, et le compte rendu, des tra vaux -iâO' l'année»' lés vœux ottt été soumis jà, l'assemblée.

Le premier voeu relatif aux garanties nécessaires à la production, les industriels textiles ont demandé que les- questions intéressant l'avenir économique du pays soient placées auclessus de toute autre préoccupation qu'au- 1 cune Mesure directe ou indirecte ne vienne en1 oore réduire une production textile, plutôt in^ferieure à celle d'avant-guerre.

Un, autre vœu présenté par plusieurs membres de l'Assemblée, au sujet des restrictions, rappelle les mauvais résultats que de telles mesijres -celles notamment qui concernent les matières premières ont donné en France pendant la guerre, et à l'étranger. L'Assemblée a 'demandé tni'ànciine décision n'Intervienne à, cet égard sans consultation préalable des groupements.

Taxe d'apprentissage. Situation faite aux ré^ gions sinistrées en ce qui touche l'application de la loi 17 avril 1919 sur les dommages de guerre retouches à l'impôt cédulaire sur les bénéfices industriels et commerciaux Modification au régime de l'impôt général sur le revenu au point de vue de la discrimination des diverses sources de revenus Application de l'impôt sur le chiffre d'affaires de 2,60 0/0 à certaines catégories de contribuables Taxe a l'exportation Développement économique des colonies au point de vue de la production des matières premières, Mesures propres à enrayer l'alcoolisme.

-Ljfc soir a eu lieu, au Palais d'Orsay, un banque^ j. présidé pa,v.ie min|stce du comi merce et de l'industrie.

y',i,Le ministre avait, à ses côtés [: .Jr-

>:̃ MM. R6y,;j>réSidèlit 3Vlath6n; Vïce-président

le colonel Denain, officier d'ordonnance du ,Président de la République MM. Laederich, Balsaii, Kempf, Donon, Jacquemin, Lemire, Astier, Bonbon, Piquenard, Ader, Lemarchand, Chocat-ne, Farnier, Cavillon, Curmichaël, Pralon, Denais, A. H1. S. Yeames, Picard, de Margerie, Nicolle, Gharmeil, Fltoierat Bec, De* camps, Deligne, Muzet, de Lhvergne, Lambert, Ribot, Coignet, David'» Green, Silvestre, Dt'ouets, Damez, du Parc, Guinard, BiosseDuplan, le colonel Schneider, MM. de La Bau'hielle, Lîdutey, Rague, Fleury, Boivin-Champeaux, Marais, Mermillod, Pichon.

M. F. Roy, président de l'Union M. H. Donon, secrétaire général, et M. le ministre du commerce et de 'l'industrie ont pris successivement la parole.

_f f jp t

Une mjssioB d'ingénieurs italiens à Chambéry

Chambéry, 7 juin. Une mission italienne d'ingénieurs électriciens est arrivée à" Chambéry.

Les ingénieurs, au nombre de 200, ont

été reçus par MM. Bergeret, ingénieur de

le Compagnie dés chemins de fer P.-L.-1VL ii Paris1; Cbppiér, président du comité franco-italien Da'flni, yicé-Consul d'Italie tit G^itmuller, Vice-président de la Société

des éle^riç^eris françaijg. -.̃̃•'

'Alprè's Un déjeuner, une a été'faito. >.l"« sttitîoTi'Êlectriqule! du P^E.-M. Les dé'"lfègués ?étf rît éiisuitè partta !^ur; Aix par

train spécial. ii,. a. -i.

pin étudiait à Varsovie, Mickiewicz publiait ses ^premières poésies à Kovno. Capricieuse destinée de ce peuple Le grand siècle de la Pologne est celui où la patrie était au tombeau. Les génies qui atteignent les sommets, de sa pensée et de son art, c'est en France qu'ils composent et qu'ils écrivent

Autre observation des critiques polonais au moment du réveil national, la musique polonaise est toute prête Depuis longtemps formée, il ne reste qu'à lui donner son style. Nous autres, Français moyens, nous entendrions volontiers par musique polonaise deux choses de célébrité bien distincte et presque égale la musique de Chopin et La -Prière d'une Vierge. Celle-ci, œuvre d'une dame polonaise au cœur pur, marque le terme de la virtuosité musicale pour les jeunes filles de la bourgeoisie provinciale qu'un sort inévitable enchaîne au labeur du piano. Mais la Pologne musicale est plus riche encore elle avait déjà, au xvi° siècle, son graiid musicien Gomoulka elle a eu son génie dramatique avec Moniusko, quasi contemporain de Chopin.

L'indice musical d'un peuple, l'un des cléments de son génïé artistique, c'est la richesse; de ses mélodies et la variété de ses rythmes populaires. C'est ce que nous avons dcociiYiTl do nos jours pour l'Espagne, 'qui a un rythme dessiné avec tant de grâce nerveuse pour chacune de ses provinces l'Aragonaise, l'Asturienne, la Sévillane, etc.. Il n'en allait pas autrement en Pologne. Elle a la danse rustique de Mazovie, qui est la plaine centrale du pays avec Varsovie, une autre en Cujavie, une autre fort différente pour la province de Craco viô, et encore la polka, qui porte proprement le nom de Pologne, mais qui est; un-territoire musical. contesté entre Tchèques et Polonais, comme naguère Teschen. Enfin: il y a tant de variétés de rythmes qu'il y a même des dansés de classes » la polonaise est une danse de'nobles, une patricienne parmi, tant de: plé-

béiennes.,

La musique polonaise n'attendait donc qu'un génie pour la lancer dans le rythme de l'harmonie universelle ce géniev elle l'a fourni elle-même et chez elle, et l'on voit ;b|efl ,<en. fluel sens r-: et dans quelle. q~

JLa Vie artistique

e

Expositions

> -Le Paris d'il y a trente ans, sans autos, sans radios, avec un boulevard où l'on entendait parler principalement le français, paraît aux générations nouvelles extrêmement lointain, et même un peu mythique. Ainsi, nous apparaissait le Paris dont Constantin Guys croquait la physionomie et les types, pour renseigner le" public à défaut des • instantanés qu'on ne pouvait encore prévoir. Mais avec quel art celui sur qui Baudelaire à/ écrit de si belles- pages semait-il 'ces- prestes, et colorées pages de carnet On en verra iin choix imr portant' 'exposé ̃ 'à' là' -'Galerie p,rùét, et entre- autres, beaucoup de la série dos rittelaget qui est' rare,, et: qui.:éB:ti'païnii;;les.Ipius;:càrac!téris. tiques du temps.

A la Galerie Georges Petit, M., Marcel Prudhomme expose des vues à la .détrempe de la Provence, des. Alpes et des Cêvennes. Le métier et est très souple' et par des tons en apparence effacés, l'artiste obtient des effets d'une grande vigueur. Le sentiment est très « prenant de ces vieux ponts, de ces rives du Tarn et de ces solitudes montagneuses. M. René Karbowski, fils de l'éminent décorateur, débute à la même galerie avec des études de fleurs d'un arrangement original, en les groupant par masses comme les, parterres que M. Forestier a appliqués naguère à ,'la décora- tion de nos parcs. Mlle Irène Codreano. au « Sacre du Prin*temps », expose des sculptures et des dessins. Cette jeune artiste roumaine gagnera à éviter les tftgp grandes simplifications qui appartiennent a une école déjà périmée.

M. Emile Lettré, qui expose chez BernheimJeune, est un orfèvre élève de Tiffahy, mais il doit à son maître son savoir technique et non son invention personnelle. Cet artiste demande au; métal -tout ce qu'il peut donner et il se contente de faire parler l'éclat ravissant. dé- l'argent, sansffmême recourir à la patine et aux oxydations.. Un léger dessin en creu» court sur les surfaces .«nies, et sur les, formes simples ,<et logiques. L'effet est. très séduisant et conforme aux ressources de la matière. Il y a aussi un heureux emploi de la pierre précieuse dans certains bijoux. -'̃ > Arsène Alexandre » LA DEFENSE

de la propriété forestière Le Comité des forêts, groupement syndical des propriétaires forestiers français, a tenu hier son assemblée générale, en l'hôtel de la Société des Agriculteurs de France, 8, rue d'Athènes, sous la présidence du comte Jean de Nicolay, président du Comité.

On remarquait parmi les membres présents MM. le comte de Boisgelin, baron de Cahrbray, marquis d'Espeuilles, comte de DurSort, comte de Guènyveau, Lafosse, ancien inspecteur général des forêts; marquis de Saint-Saèns, marquis de Talhouët, comte de Vibraye, etc., etc. M. de Nicolay a prononcé un substantiel discours, qui a été très apprécié par l'as-

semblée,

ïl a.rwpelé qu^jsette.iasSôniMée se- tient)

aajjpn&nt Wifloivgii^yeny; vén- digerossian

au Parlement de^x,Jnr,qjets;dje l<?i,,ayBnt-,

trait, l'uri au régime' des Bois; des particuliers, qui a fait l'objet d'uiie lettré publique de M. Jean deiNicolaiyque'le' Figarti ` a publiée,, l'autre au défrichement. Si nousjtfifotêstons contre ces deux projets, a dit M. dy.Nicolay, ce n'est, certes, pas par principe. Nous sommes plus qu'aucune autre collectivité intéressés au développement de l'Etat boisé et à l'enrichissement des massifs forestiers. Mais nous,n'avons cessé de répéter que des mesures coercitives, qui ne s'adressent t qu'aux seuls propriétaires avec un caractère vexatoire, sont pratiquement inefficientes. L'Etat a besoin de la collaboration'du proprié-' taire. Il faut qu'il l'intéresse à son domaine,! Su'il l'y attache, qu'il lui donne toutes faci-i tés pour développer, lè désir inné qu'il a toujours de. l'améliorer, i

Déjà la propriété foncière n'est que trop atteinte par les partages et les droits suc-; cessoraux. Il est essentiel d'établir un au- trè régime qui permette aux nouveaux propriétaires de conserver leurs arbres. L'assemblée a entendu ensuite le rapport de M. Rpulleau de la Roussière, secrétaire général, sur l'activité du Comité -au cours. de l'année écoulée. Des comniuniçâ- lions ont été présentées par M. de Boisge- lin, membre du Comité des houillères de "France, qui annonce qu'une entente entre ce Comité et le Comité des forêts est ébauchée en vue de l'approvisionnement des, houillères en bois de mines chez les pro- priétaires français de M. Lafosse, sur les travaux du Congrès international dé sylviculture de Rome, où il représentait le Co- mité de M.' Robert Cézanne, sur un nouveau modèle de gazogène à bois.

mesure on peut parler du caractère proprement polonais de Chopin. Non pas du tout parce qu'il aurait porté à travers toutes ses œuvres le deuil de la patrie captive comme le manteau noir qui traîne dès épaules d'Hamlet, mais parce qu'il a été préparé par une longue tradition nationale. ̃-

C'est-à-dire que la musique polonaise s'est réveillée, la première parmi les musiques slaves, d'un long sommeil bercé par les mélodies populaires. Le même mouvement a suivi quelques années plus tard chez les Tchèques avec Smetana, <et presque aussitôt chez les Russes, qui, du premier coup, découvrirent parmi eux là constellation musicale des « Cinq ». Partout les mêmes phénomènes amour de l'indépendance nationale, recherches dans le passé national,' la musique faisant sa partie, comme la poésie, comme l'histoire, dans ce mouvement de résurrection. Les nations, au dix-neuvième siècle, sont nées, dit-on, de l'esprit de la Révolution française. Mais le romantisme n'a-t-il pas eu dans ces mouvements d'idées autant de part au moins que l'esprit révolutionnaire ? Le romantisme, par un de ses côtés, c'était le go^t historique de chaque peuple substitue au goût commun de l'histoirp an- tiquev l'histoire nationale. remplagant ï'ani tiquité obligatoire. Daiis la musique comme e 'dalls là politique, fa 'forme seule était ré-' volutioiinaire, 4e fond traditionnel et conservateur. On le verra mieux, je pense, quand nous aurons licence de mediter sur le romantisme, je veux dire quand les hérauts officiels auront ouvert le ban du centenaire, et peut-être même plus tôt, quand l'Opéra-Comique, au mois d'octobre. je crois, mettra à son répertoire l'œuvre du Txîhèque Smetana la Fiancée vendue. Mais d'où vient que ce mouvement de résurrection musicale, parallèle chez plusieurs peuples, soit moins sensible chez les Polonais et que l'on doive ici nous expliquer par de fort bonnes raisons ce qui ailleurs va de soi et saute aux yeux? Alors que la Pologne est partie la première et que 'le génie qu'elle donné à l'humanité surpasse assurément les autres initiateurs des nations voisines ? C'est ici peut-être qu'il faut revenir à considérer le génie intime de Frédéric Chopin.

Il avait la passion nationale, mais il

U VIE UNIVERSITAIRE Prolongation de l'Exposition

de « La Vie des Etudiants »

L'exposition relative -au « Quartier Universitaire » et à « 7a Vie dès Etudiants à travers les âges », ouverte à la Bibliothèque Sainte-Genevièye, est prolongée jusqu'au 20 juin.

A cette occasion, le docteur Cabanes fera, le'17 juin, à 20 heures 45, au grand amphithéâtre de la Faculté de médecine, une conférence sur L'étudiant en médecine du moyen âge à nos' jours,

le Un nouveau prix s v

pour le concours général des lycées J^ous avons, dit que l'Association amiÇEfle aes. 'àttc!èns;ï<5pmbàttantsjde l'enseignëôïerit Supérieur et àéi Penseignêment feeço'nïlâire -avait décidétdehdoter le:çon*

cours"- 'général' 'defr lycées :et' collèges, ;d'un

nouveau prix, « destiné .à.; récompenser, chaque année, le pupille de la nation qui, proclamé lauréat, prix ou'accessit, aura obtenu le meilleur classement ». Ce prix cohsistera, au moins pour cette année, dans l'anthologie des écrivains morts à la guerre.

Le ministre de l'instruction publique vient d'adresser à ce sujet à M. DedrojU professeur au lycée Condorcet, président de l'Association, une lettre dans laquelle, après avoir ratifié les conditions indiquées pour l'attribution du nouveau prix, il dé» clare approuver entièrement la généreuse initiative de l'Association des anciens combattants de l'enseignement.

Jules Laurent.

RA8PAIL-ÂUT0S iStl'ècôlo de la Bonne Sooiétè BREVET GARANTI 87, Boulevard Raspail t'ieurus S8-6S

OUVERT LE DIMANCHE:

Voici les vacances

c'eist '• lè"niôment d'ap»

y^pireciêr'lè contùri ùé

J la nouvelle

̃ Le véritable

̃ ''Salon sur la route

Four essai, écrire a

MORR1S-LÉON.BOLLÈE, Le Mans ou 131, Aven, de Mala&off, Farls46*

̃ il

.Mono-: vbméîUewtè" .v:

X<ë pccr'fuïiï "èiiuîtd' <sf lct)tptk)anf'

d'an opulent sotvôtrain oriental.

avait ses passions propres. La tristesse, l'amour et 1 espoir, il les a chantés pour luimême comme pour sa patrie. Mais surtout, il n'était ni doctrinaire, ni chef d'école, et son génie n'était point oratoire, mais pudique.

D'autres sont entrés dans la musique, à Ja. tête .de leur peuple, toutes bannières déployées. Mais cela ne va pas sans doctrines, sans discours, sans combats sur la place c'est affaire à des génies masculins, robustes, raisonneurs et par quelque côté populaires. Qu'il est, lui raffiné, complexe et discret, discret merveilleusement comme la nuit étoilée

Il ne peut rien écrire qui ne passe par son être intime et ne s'y enrichisse a miracle. Même les sentiments les plus généraux, et celui de la patrie, que tous les hommes ressentent et chérissent, n'a plus rien de populaire, dès qu'il l'a paré de sa grâce propre nul ne fut moins que lui musicien du forum.

S'il exprime les sentiments de sa patrie florieuse ou perdue, ce n'est ni en trauisant ni en transposant. Ne cherchez pas chez lui une image commune ou exacte l'élément individuel, la part de sa g^râce est trop forte il a en ce sens Cet éloisneinapt. pour l'exactitude, qui 'est un trait si ,;cojistaiit ..et si .marqué, du .caractère, féminin. Trop universel et, divin pour être souleméîit natioh'al

Les plus illustres commentateurs reviennent toujours à ce mot de liberté qui est dans l'art le nom vulgaire de Psyché « C'était, dit Debussy dans les quelques mots qu'il a placés en tête de la belle édition de la maison Durand, c'était un délicieux conteur de légendes amoureuses et guerrières qui souvent s'échappe vers cette forêt de Comme il vous plaira, où les, fées sont seules maîtresses de l'esprit. Ce sentiment est si fort,qu'il pénètre même la critique, la critique qui n'a pas d'ailes, la critique « aptère ». On a scrupule à approcher de cette œuvre les idées elles-mêmes qui, formulées, se condensent et s'alourdissent on ne saurait parler seulement de Chopin sans un mouvement de repentir pour avoir attaché bien bas au-dessous de sa musique des remarques pédestres, raisonnables et pauvres, en un mot, masculines. •-

^tienne FournoL


€~M<~Ï~JE SPECTACLES

> it | ̃ •̃* *•̃̃̃ ̃'̃̃*̃̃ !y.. ̃ ̃ i ̃ ̃

AVANT-PREMIÈRE

1$1

-'̃̃ '• '•. A l' athénée ̃̃

̃ reprise DE LA FOLLE NUIT

Ir

Là Folle nuit, ce «conte galant en trois actes, mêlés de couplets, de MM. Félix flandéfa et Mouézy-Eon», et précieusement «olorés d'airs pimpants et aimables dus au talent du compositeur Marcel Priollet, fit, depuis neuf années, courir tout Paris, sa banlieue, et ses provinces, La Folle nuit, s lut créée' teasJiflWs' J>ar,:Ma|?guer/te.,iD.eval, fi. Markenfet Ha!rry Ea#r, sur la ^fient da~ ̃ théâtre Edouard- VII, et 4';on i ,p.eut, Ait é ̃̃'̃> 'qu'elle fit Infortuné de cetréjégant théâtre; que M. Alphonse Franck venait d'offrir au public. <~

On se rappelle, peut-être, le petit scanclaie" parisien des premières représentations. Comme la pièce faisait sensation, certains esprits chatouilleux lui reprochèrent son audace, son libertinage, et les auteur? furent contraints d'inscrire à l'affiche que La Folle nuit n'était pas une pièce pour jeunes filles. Cela fit beaucoup rare, beaucoup jaser. La chronique évoqua Jamémôire du sombre Bérenger, et le conte galant de MM. Gandéra et Moùézy-Eon conquit tous les publics et commença allègrement une carrière triomphale unique. Mais, depuis, le publie parisien en a vu Jet entendu bien d'autres. La Folle nuit que M. Lucien Rosenberg installe à l'Athénée demeure cet album ravissant d'estampes dix-huitième Siècle dont le publie, chaque soir, tournera les joyeuses pages. Dans un cadre somptueux, un admirable décor ̃"Vfe Bertih, Mlle Marguerite Pierry, MM. Marcel Vallée et Anceliri et Mlle Mony,.que MM. Gémier et Abram ont bien voulu prêter à M. Rosenberg, rivaliseront de grâce, de gaieté, d'enjouement, de talent.

Nous avons pu joindre MM. Gandéra et Mouézy-Eon, les spirituels auteurs de La Folle nuifïiNîous avons tenté de leur poser les quelques questions .d'usage, 4e leur demander leurs impressions. Ce fut en vain.

CBiiâtER t)ES THÉÂTRES

UN NOUVEL ÔRPHÊÈ A L'OPÉRA VOrphée de M. Roger Ducasse, dont l'Opéra donnera vendredi soir la première représentation, est une couvre considérable, dont la conception originale fait appel h toutes les ressources d'expression musicale et scénique dont peut diaoser notre première scène lyri-

que. •̃̃ ••̃ •̃̃

Elle a pour sujet la légende antique d'Orphéé, telle qu'elle est contée notamment par Virgile au quatrième livre des Géorgiques. Ce sont d'abord les noces d'Orphée et d'Eurydice, devant t'autel du dieu Hymen, dans une allégresse bientôt interrompue'par la mort de la jeune épousée, piquée par un serpent, ravie par Thanatos, dieu de la mort impitoyable. Puis le retour des Enfers, et la tendre faiblesse 'd'Orphée qui pour un regard perd de nouveau celle qu'il vient de, sauver. Enfin Orphée, inconsolable, est déchiré par les Bacchan-

tes.

Les /quatre personnages d'Orphée, d'Eurydi,ce, des dieux Hymen et Thanatos trouveïôtit dans le geste, l'expression de leurs sentĩ' ments. 'AàttflifJPdJ&MiBMJJiiti du peuple,j| jdes prêtres, des Bacchantes seront traduits a la !j ï fôïs'-paf lesfmouvçàpeirts ?déf \st, dtas.éf & par ij les thaàt^dÛ-^Mif -àMè kf coryphées1 qui, comme dans la,. |ra,gédi£ antique,. comniefateipnt les événements. Cette mise en scène complexe demandait de longues études et le réglâge en était particulièrement délicat. MM. Léo Staats, maître de ballet, et Pierre Chéxeaù, régisseur général, y. ont concerté Isurs efforts et uni leurs talents. L'orchestre sera dirigé par M. Ph. Gaubert, le chef éminent qui a présidé aux études musicales de cette partition où un jeune maître de la musique française contemporaine a mis ses plus Hautes pensées.

Le rôle d'Orfthée sera interprété par Mme Ida RubinStein qui y 'montrera ses dons incpmpârâbles de beauté pathétique. et de style dans le: rythme visible. C'est aussi la célèbre artiste, qui a voulu illustrer une musique qu'el̃le. admire ^entre.Wutes par les décors que le grand peintre Golovine a conçus, et que M. jÛlegri a su traduire pour la scène les costumes sont de M. Alexandre Benois. Auprès de Mme Ida Rubinstein, Mme Didion, MM. Ryaux et Denizart dans les rôles d*Eurydice et des deux divinités Mlles Lorcia et Dàmàzio dans l'entrée des 3àdchanfesVMhies Maril»liet™Lalande, MM. Madlen, Cambon, qui Seront les coryphées les artistes de la danse, rdes çhœurs,<(.ieuy; aussi de l^ôrchestre, dont le i' rôle ft?est pas nioiftS important; donneront à, l'œuvre nouvelle une interprétation digne d'ej̃; le dans ̃sd* 'ènsèffible -aussi bien qt|e dans ''chacun -de ̃ ses ̃ détails. j«W(*tt»i»èi»iifc.«A- Répétitfôft générale s

» A l'Opéra, à 2 h. 30, répétition -générale de*Orpft^ç,,mimodràiae lyrique en trois actes, de, M. Roger t)ucasse.. ̃̃ première représentatiott `

S Au TnÉATfiB AlbeRt-I", à 8 h. 30,

première représentation de A hill of divorcement (Une loi de divorce), comédie en trois actes, de Mma Clémence.Dane.

Aujourd'hui:

Même spectacle que le soir t

i An Q^gg^Qg^j^j^jjîo^^vT^Tj^ Ce soir ̃̃ •• '̃.

s 'jt A L'Opéra, à 8 h. 15, Salomè (Mlle G. Vix, M. C. Fontaine, Mlle G. Caro MM. Rouard, Rambaud Mme Y. Courso MM. G. Dubois, 'Soria, Régis, Moïini, Nâr^on, Guyard, Madlen, Carbelly, Ernst, Lubin, Delrieu, Tisserand). L'Heure espagnole (Mlle F. Heldy MM. H. Fabert, G. Dubois, R. Couzinou, Huberty). Orch.: 'M. Ph. Gaubert. Les Abeilles (Mlle Spessivtzeva, Mlles de Craponne, Rousseau, Lorcia, M. Peretti). Orch. M. Fr. Rublmann.

Jl A LA Comèdil-Fbançaise, à 8 fa. 45, Mobert et Marianne (MM. Alexandre, A., Luguet Mmes M.-Th. Piérat, B. Cerny).

S A l'Opéka-Cojiique, à 8 h. 30, JLe Roi <PYs Gaines Marthe Chenal, Emtnk Lilart' ̃;MM/Rtt-V >'2avet< iT.Bècknians, Dupré, Guénot, Roasseau). ̃>iOrcbi i-M. Mi Frigara^ -̃̃̃̃ 1 J! A L'ODÉON, à 8 h. 30, La Reouè de. l'Odéon avec toute la troupe du second Théâtre Français. Orchestre du Théâtre National de l'Odéon, sons la direction de M. André Cadou.

̃ -Jtt 'Aux Variétés, à 9 heures, Monsieur de Saint-Obin (Jules Berry, Suzy Prim, MM. Pierre Juvenet et Bélières).

je Au Gtmnasb, à 9 heures, Félix- (Mmes Gaby Morlay, Mady Berry MM. Jacqnes Baumer, Alcover, Bértnîei1, Rogr1 Tréville, MarcelAndré)..

S A LA Porte Saint-Martiçt, à 8 h. 15, L'Aiglon (MM. Arquiilière et Paul Bernard). Au Théâtre Sahah-Bebnhahdt, à 8 h. 30, -Mon curé chez les Riches, avec Vilbert. jt Au Nouvbl-Ambiou, à 8 h. 30, Petite Peste.

^t Au Théâtre Antoine, à 8 b. 45,Pas sur la bouche, la célèbre opérette de MM. Maurice. Yvaià et André Barde (Henry-Laverne, MaryHett, Simone Cerdan). 1

;'̃ *8* A l' Athénée, ?. 8 h. SO, La Rose de sèp̃̃̃̃ tembre (Mme Madeleine Sorià et M. Lucien Rosenberg Mmes Carletta Conti, A. Prieur, Ç3x. DelVal MM. Çallamand, Lucien Dayle,

Ils assistaient en riant à la dernière répétition de mise en scène, aux ultimes conseils que le maître de céans donnait aux artistes costumés.

Lucien est content, me dirent-ils, nous aussi 1

R. Cardinne-Petit.

-o,r~·-

AU THEATRE PES MATHURINS le Mariage de Mlle Beulemans, comédie «en irçÎB actes

'eMM,Fo~n~\Y~er. ab ~<vay I

Le Théâtre,idcs:Ma!t|iurinsajIait;Unje.,brjil-"

ïante reprise de ^ette jièçe triomphale

do.t>t la aàîté.rie.^nCèdfi en lien, à l'esprit,

JtfontJ le pittoréStfûë e aux situations imprévues, dont les personnages sont finement dessinés et sertis, comme des joyaux rares, dans le métal étincelartt d'une trame et d'un dialogue étourdissants de drôlerie et d'humour.

Le Martaqe de Mademoiselle Beulemans, qui fit, en passant par la Belgique, lé tour du monde, vient donc' de nous revenir mais, cette fois, encadré d'une excellente troupe belge. Mlle Beulemans a l'accent des faubourgs de Bruxelles, et cela ajoute à la pièce un réel intérêt.

Un des auteurs, M. Fernand Wicheler, joue, lui-même, le principal rôle. Il le joue simplement, plus en auteur qu'en artiste, c'est-à-dire avec une rare conviction. Mlle Gilbert Legrand est une jolie et saine Mlle Beulemans. Elle a de l'émotion, de la verve, du brio. Elle incarne à la perrfection ce rôle fait d'ingénuité, de coquetterie et d'intelligence. C'est une artiste remarquable.

A ses côtés, Willy Maury, Marcel Banr ken, Graudet, Jeanny, Robert Fleury, René Vermandelle et Dernauville rivalisèrent de talent et furent très applaudis.

Le Mariage de Mademoiselle Beulemans, présenté sous les meilleurs auspices par la direction du théâtre des^Mathurins, fera, une fois de plus, la conquête des Parisiens. Par intérim,

R, Çardinnfe-Petft.

.r i

A la Société des Auteurs et Compositeurs de Musique

̃'

M. ANDRÉ RIVO1RE RÉÉLU PRÉSIDENT

.t..

L'assemblée générale de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques s'est tenue,. hier, Salle des Ingénieurs civils, 19, rue Blanche.

En terminant la lecture de son rapport, M. Jacques Bousquet a payé un juste tribut d'éloges au président André Rivoire, pour le cou*rage, l'équité, l'exactitude, la belle humeur et la modestie qu'il déploie chaque jour dans l'exercice de ses fonctions, et à M. André Messager qui vient d'être nommé membre de rînstitut:'

Ce rapport a été approuvé à l'unanimité, Il a été ensuite procédé aux élections de la commission en remplacement de MM.. Lucien Besnard, ,Hènry de Gorsse, René Peter, auteurs sortants André Messa*̃feer; cdiAt5OSiteuf»lten» Ç'-Mafi^ce 'Desval' Mères (auteur ydédêaë'1 f'^cqUés-ËÔtramiét- (au- ^teuf)- déniSîaîflnfiréî1'?- ^^1™* r/« j •̃

̃ ̃ ;• vV<< «au -Jiia:ia-' = 'i KIJ (ltB-n .••

'-<)'W, d G:¡JJ~),jll'j~" ,"i HU'f.,fIW'j

O^iPte,eJus.. :)4,i.j'. Uni a »»j..»̃̃-̃

'MM.Brieuîl,'SKchè Carré, ïuefen- Gleize, H.-R. Lenormand, Charles Méré, auteurs M. Henri Râbaudj compositeur. Aussitôt après le scrutin, il a été procédé à la constitution du bureau.

MM. André Rivoire et Edmond Guiraud ont été réélus à l'unanimité président et viceprésident.

Ont été élus à l'unanimité

MM. Charles Mérê, Henri Duvernois, Georges Hiiej vice-présidents Lucien Gleize et Henri Hirchmann, trésoriers Michel Carré, H.-R. Lenormand, secrétaires Adrien Vély, archiviste.

Jean Capoul avec Marcel Vallée et Arnnudy). i!l A LA Renaissance, à 8 h. 45, Quand on est trois. avec Urban, Flore Mally, Christiafie Doî1, Georges Marey et Marthe Derminy. ^t Au THÉATRE DÉ PARIS, à 8 h. 30, La Riposte (Mmes Véra Sergine, N. Picard, Ch. Dix, Yzelle, Ribe MM. Harry Baur, R* Mnurel, Chi.Bernard, et M. Henri Rollan).

iSt Au PALAIS-RoYAL, à 8 Ji. 45, Au premier dt ces Messieurs (MM. Albert Brasseur, Du»Vallès, Geo Leclercq, P. Afcselin, de Llvry et Victor Boucher Mmes Blanche Bilbao, Marg.1 Templey, Alide Bdylat, L. Dauville); 1 <£.Ay Théâtre Edouasp-VII (Louvre 32-60),' à B..heures, Mozart, qui ne sera plus joue que six fois (MM. Sacha Guitry, René Maupré, Maurice Debry Mmes Yvorine Printemps, Nadia Chàrlane, Georgetïè Delniarès, etc.). Dimanche pVôcliai ri, dÊl'iîTèrë tnàtinéè'.

Au GRAND-GUIGNOL, à 8 h. 46, Un drame â bord. (M. Pàulais) Le Chevalier Cane pin La Fosse aux Filles (Mlle Maxa) Lucette et sa tante (Mme Madeleine Guitty). Matinées mercredi, samedi, dimanche et fêtes. <$! Aux BOuITE^PaRisièns, à 8 h. 45, Ttois

jeunes filles. nues (MM. Dranêm, Ed. Roze,

Gabin, A. Lamy, Henjdey, Nellson Mmes Allems, Suz. O'Nil, Sim Viva, de Creus, R. Varville, Etcherry, Colette Roby).. Jl Au THÉATRE DE la Msdelèinb, à 9 heures, Le Docteur Miracle (André Brûlé, A. Leriche, Joffre, BéùVë,' avec Saturnin Fabre et Jeanne Provqst). ̃̃.̃̃"̃̃̃

& ̃ A la» Comédie-Caumartin, à 9 Jjèureâ, Le Mage du Carlton (Le Gallo, ABlettyi Henry ;BaserRoaniie, Gobet et P. Etchepare). S Au Théâtre Da.unou, felâbhè pour répétitîSns' d'ensemble de Hélène, opérette-bouffe en trois actes, de Fernand Noziè're, musique de F. Raphaël, mise en scène d'Ed. Roze. i3* Au Théâtre des Nouveautés, à heures, Ld Noce (Jeanne Cheirel avec Raginfi-Camier et Charles Boyer, Gildès, Pauline Carton, Lâurette Fleury, Renée Divrac, Chàmpell, Numès fils et le célèbre comique Germain).

Au Théatbb MarignV, à 8 h, 30, Vive la

République 1 (Geneviève Vix, Mitty et Tillio, BoHcot, Alerme, etc., et Raimu).

^i Au Théâtre FémisA, â 8 h.; 45, La Prisonnière (Mmes Sylvie et Suzanne Dantès MM.. Pierre Blanchar, Atvel et Jean Wornïs). ̃At A LA Potinière, à 9 heures, Un chien qui rapporte (Mmes Marguerite Deval, Janine Merrey, Suzanne Dehellj et Madeleine Linval; MM. Debticpurt, Açliîle^ I)efréMnb et Pierre ̃.Dàltotir)'. '•̃ ̃̃'̃'••̃> .)'••' ̃̃••\ '•-i-n. i S A v Théatrej Mogador, 8' h. 1 5, No, No, A'anei^ (Félix Onda!rit,R.. jCarieljC Adrien JLa»y Mmes Loulou HegobiîruV Gabfrielle'Ristoti, Fernande Albany, Paule Morly). Au Théâtre des Mathubins, à 8 b. 45, Le Mariage de Mlle Beutemans (Gilberte Legrand, Fernand Wicheler et la célèbre troupe Belge).

Au Théatbe de la Michodière, à 8 h. 45, Passionnément (Mlles Rachel Lauwers, Davia, Renée Duler MM. George Tréville, Géo Bury, Lucien Baroux, Ch. Lorrain).

^8 Au Théâtre de l'Avenue, à 8 h. 45, La Revne de l'Avenue, avec M. Jean Périer, Raîina, Irène Wells, J. Devalde, Esmée Davis, Maria Ley et Alice Soulié et Girier.

S Au Trunon-Lïrique, à 9 heures, La Dernière Valse (Mlles Revel, Jane Ferny MM. Rudeau, Jouberty Sainprey, Monval, Palbon). Jt Au Théâtre de wx-Heurës (direction K. Ferréol), à 10 heures, Blum-Bada-bloum, revue jouée. p»r de Soutter, les chansonniers et Mlle. Cloé Vidiane. Matinées dimanches et fêtes k 4 heures.

# Ab THÉATRE DES Fomes-Dhamatiques, h 8 h. 30, Souris blonde, opérette en trois actes,, musique de F. de Brêtéuil (Rosé Carday, Mo-I; riss). Jlatjn.ée.le dimanche à. 14 h, 30.

LES PREMIERES

NOTES ET INFORMATIONS ]

7*

Au Conservatoire. \*oici les résultats du premier concours d'harmonie <femmes).i Le jury, présidé par M. Henri Rabaud, et composé de MM. Georges Hue, Max d'Ollône,, Paul Hillemacher, Charles Levadé, Cbi Kcechlin, P. Fauchèi?, H. Libert, Expert, a décerné, les récompenses, suif vantes .•'̃ -isv 1" Prix Mlle Rossignol, élève ,de Mi Ghapuis. ̃ •); ,u j-.Vii, .fa-te'u'sMllefe Rogetj(éièvBïde,MsîJ,'Gkt- Ion),: et.Mourize^élèw dfe M," Samuel iRoôs-; seausl. /i.jaitc -A !ft ,:iociiJ'i ••(> •v/vi 1er iAccessit: -Miles aDos'paAês- (élèSiè dç. M. J. Gallon), et Ibels (élève de M.-Dâîlier).

2° Concours de vocalises-

Le jury, présidé par M. Hèrfri Rabaud'et composé de Mme Rosé Caron, de MM. Georges Hue, Alfred Bruneau, Jean Mouliérat, Duvernoy, Delmàs, André Baugé, a décerné les récompenses suivantes a) Hommes Pas dé première' médaille. Médaille ÀIM. Brcnet (élève de M. Léon Davi,d) Hontarrède télève dei H- Gresse) Roque (élève de M. Engel). Médaille MM. Vahé (élève de M. Engel) Buffoli (élève de M. Hettich). b) Femmes V Médaille Mlle Bugnot (élève de M. Hettîch).

Médaille Mlles Dubois (élève de Mlle' Grandjean) Prévost (élève de M. Grésse^ De Méo (élève de M. Hetticli)'; Lecocq (élève de M. Berton).

3" Médaille Mlles Vignes (élève dé M. Hettich) Texier (élève de M. L. David) ¡ Joly (élève de Mlle Grandjean).

Aujourd'hui, à 9 h. 30, concours de solfège pour lès chanteurs (dictée et- théorie).

–«~ (, t

OPÉRA. Orphée, de M. Roger Ducasse, dont' là première représentation aura lieU vendredi prochain, est, ainsi que nûus l'avons annoncé, un -mimodrame lyrique,' c'est-à41ife">iln"ôu'vi*agë les personiia-s; ges du drame jéspriipont.^ui^. sentiments par le. geste, le chant étant' -réservé: au chœiir et à ses coryphées. Mme Ida 'Rubinstein a trouvé dans lé rôle principal une des créations qui mettent le mieux en valeur ses dons incomparables de beauté pathétique et de style en action.

w^ B-a-o-

Comédie-Française. -Demain, en inatinée et en soirée, Mlle Nizan jouera. pour la première fois le rôle de Claire dans le Kldphte. ̃_ ̃ ̃ ̃ ̃̃ Opérà-Cômiquè. Ce soir, l'Opéra-Co1mique affiche la 400° représentation du Roi, d'Ys< Le chef-d'œuvre de Lalo sera chartté par Mlle Marthe Chenal, qui interprétera le rôle de Margared Mlle Luart, MM. Razavet, José Beckmans, Dupré, Çiùéliot et Rousseau. C'est M. Maurice Frigaira,. qui dirigera l'orchestre. ̃. ̃ i

Afin de permettre au public des mati» nées d'entendre Peïléas et MèUsande, avec l'admirable distribution que l'Opéra-Cômique vient de réunir, MM. Louis Masson et Georges Ricou ont décidé d'afficher le chef-d'œuvre 'de Claude Debussy^ dimanche prochain 13 juin.. ` Cette matinée, la seule, sera donnée avec,

Mlle Mary Garp^n, :unj(juc .dans le. rôle dé"

MéHsaiud,e .;3~.P~r~n,n. ~QgeB

dinj- ^éiiplp.^DuM&MIgs^aJhilçtç i Cal-;

vèt/fit^Ci^ulo^i ^joixfbgs^e, ;sous landjr4c-j.

tion de SI; André'Mëssàgert^.oiq^ ;j/r,j ,-c

–<&<~&

Odeon. A partir de cette 'sênrâineries matinées du, jeudi et du samedi sont sup-

primées. ••

–«MHKBB–

ATHÉNÉE. Rappelons que c'est irrévo?cablement; demain jeudi, à 9 heures, que sera donnée au- bénéfice de la Caisse d'âniortjssement, la "̃• répétition générale de gala a bureaux ouverts, de La Folle Nuit, pièce extrêmement gaie qui sera présentée par M. Rozenbçrg avec tout le luxe et l'éclat dont il est coutumier et interprétée, par Une troupe de tout premier ordre, fen tête dé laquelle la brillante fantaisiste Marguerite Pierry, Danièle Mony, MM, Robert Ancelin et Marcel Vallée;

_<

Grand-Guignol. Aujourd'hui en ma- tinée et en soirée, La Fosse aux Filles, Le Chevalier Canepih. Dans quelques .jours,

150"j •• ̃-

Théâtre DES Arts, .Là répétition -générale du nouveau spectacle aura lieu; irrévocablement mardi 15 juin,: à 2 h. 30. Au programme Orphée, de Jean Coc^teàu Dzim la la. de Marcel Achard, et Sêqùëïiée, de Paul Chaumière.

Lés critiques qui n'ont pu assister à la répétition générale du Secret d'Arvers,~de Jean-Jacques Bernard et du Comte Ory, de Rossini, seront reçus sur la présentation 3e' ledr cartfe 'la Petite Scène, '15, aveàue Hoche, aux représentations dès jeudi 10, samedi 12, mardi 15 et mercredi 16 juin, éttsoirééç à 8 h.;30 et dimanche 13 juin, en matinée, 2 2 h, 30. Le Théâtre ARTISTIQUE DÉ Moscou (Groupe de Prague), donnera demain jeu-

di, une représentation populaire du Ma-

riage, .de Gogol, à 8"h. 30, au Théâtre de l'Atelier. Les critiques sont reçus sur la .présentation de leur carte..

i m~

DE Bêzieks. Les représentations annuelles que donne M. CasteLbon de Beauxhostes aux Arènes de Béziers auront lieu samedi et. dimanche prochains. On rejouera Zorriga, pièce en quatre actes de MM. Camp et Védert, musique de Francis Bousquet, grand prix de Rome, qui fut çr.ée l'été dernier, sur. cette même scène. L'interprétation dramatique comprendra Mmes Madeleine Roch, de la Comédie-Française; Robiane et H. Moret, de l'Odéon MM. Vidalin, Cusin, de l'Odéon Henri Valbel, Philippe Rolla. et Enthéric. La partie lyrique aura pour interprètes Mmes Madeleine Caron, Renée Berger, M. Yché et Tindel. Les masses chorales groupeni.3|iO personnes, et l'orchestre 250 exécutants, devant le splendide décor d'Alexandre Bailly, dans lequel cvoluçra un ballet réglé par M. Bel-

loni. ,i. ,fI) < 'Hi'.)

loni. Maxime ̃' Girard.

..L~ ̃c e y ,9,

Théâtre îistia! de lion i JEUDI 10 o JUIN i m% la Haut Patronage de II. Président de la République î Représentation Extraordinaire de i II OiE 1 ttltil

>"av¿b <' l

Mie Ida Rubinstein i Ai! bénéfice de la Caisse île Retraite» lies Ecrivains Mariants Décor* et costumes de M. Alcx-BenoU

SPECTACLES S CONCERTS

̃

Aujourd'hui

Même spectacle que le soir,

A l'Olympia (2 h. 30).

Ce B011'

Jt Aux Folies-Bergèhe, à;8 h. 30, La Folie du, :Jour, hyper-revùe de M. L. Lemarchand,

avec Roryilîe. Alibert, ,,Pepâ Bon^fé ,«t Jpsé-

'^Uiné'Bdiiéi'; >-II° 'lJ>i •••" '-rili "R< '• '̃̃̃>

J* ÀU:'GÀsiW> iië V/LRis,'k 8 h. SO,1 Parti en

F/eUrs (Maiiricd' 'Chevalier» les ©olly Sisters, Yvonne Vallée, Dora Durby^/iipasoutrài! les 16; Lawrence Tiller Girh, Lily Monnet, Pizella, îLiîy Scott), etc.

3f Al'Oj-ympu, (Central 44-69), Gala de la Chàpsôn, avec Alibert, Dufleuve, Hélène fiaudry, R. Dedax. Gala de la danse avec le, ballet russe de G. Deminé et la Roussanova, 'les Ray sisters, N. Delfa. Attract. Ch. Kurgston, ? Onêsime ? Johnie and Black, etc. ^t Au Palace (Tél. Ber?. 44-37), & 8 h. 30, Paris Voyeur, la formidable revue avec Grock, Dora Stroeva et Nina Paynè.

i5t Aux Nouveaux-Ambassadeurs (ThéâtreRestaurant). Pendant le dîner; Florence Mills dans La Revue américaine Black Birds, de Lew Leslîe, avec Jollnny Hudgins, Jones et Jones, Edith Wilson et l'orchestre du Piantation avec Shrimp Jones et Johnny Dunn. <it Au Moulin-Rouoe-Musio-HaLl, â 8 h. 30, La Revue. Mistinguett, de Jacques Chaules, Mistinguett, Randal, Earl Leslie, les célèbres danseurs américains Frank Bernard et Màrioù Rick, Marthe Berthy, Ruth Zackey; les KerVâ, Yvette Doria, les'60 Jackson girls et Dréflii. ^8. A l'Empire (Tél. Wagram 60-58). Lft. terreur des Peaux-Rouges Martini Szeny,. Franco Pipper, Ouvrard, Perchicot. 20 attractions de Music-Hall-Cirquë.

^t Au CoNCBnt'MAyoL (Tél. Gut. 68-07), à 8 h. 30, la Grande Revue de l'année, avec' Parysis 45 tableaux, 1.200 costumes. &t Aux CHAMPS-ELTSÉES-Musrc-HAt,t. à fl 8 h. 30, La Revue de Paris, de Rip, avec Jane; Marnac, Signoret, Thérèse Dorny, Georgé, Marion Forde, Yvonne Legeay, R. Darthez, Florencie. Saint-Granier dan.s son tour de chant. iSt.A LA LUNE Rousse (Trud, Cl-92), à Ô heures, les' chansonniers" ;D;-Bonnnud, VV Hyspa,' •Léon-Michel, Sëcwtari, Spark, Cor, Wyl.Cam-:para et Helntz. Ya Bon. on, tr renie (Mlles

Suzy Luca.t,Mail)y, iNovakova,i«iraud et M.

Tani)." 'i-'J- ̃ "J'^aj';

^t Au Ciné-Carillon, 30, bd Bonne-Nouyelle. Rêves et Hallucinations! grand filmd'épou-i vante avec Cour. Veydt et Bern. Goëtzke. Tousi les jours matinée perman. â partir de 2 h. 80.. Le soir, une seule grande représentation h, 8 h. 40. Loe. de 1 h. 30 à 10 heures du soir. it Au Cirque d'Hiver. Les Derviches, Tourneurs avec leurs musiciens turcs et la ce-'lèbre danseuse Senié ,Hancam ont un triomphe. Le nouveau programme de vingt attrac-. tions sensationnelles est unique avec les Fra- tellini.

Folies-Bèrgèhe. On annonce que tous les Parisiens qui n'ont pas encore vu l'Hyper-Revue des Foliés-Bergère sont impatients de la voir. Et comme on les comprend l

̃̃ C"»

UŒih DE Paris (4, rue de l'Etoile, avenue de ^Vagram, le cabaret de l'élité). Betove, Noël-Noël, la revue de Fauchois et Dorin, jouée par René Fauchais. Téléph. Carnot 30-82.

COi!RR!F.R MUSICAL Ce soiir » ̃ -̃; '̃,̃̃ .'̃'̃' ̃. ̃ A la salle Êi-ard, concert; ïlicar do Vinès. Billets à la salie, chez MM. Durand et Dan«delot'' ̃̃̃̃̃•"• ̃

A la salle des Agriculteurs, concert Maria Sofonoff et Giulia Mery GillL JACQUES THxbaud A l'Opéra.. Demain soir jeudi, premier concert (Concertos Mozart, Lalo, Mendeissohn). Orchestre- dirige par Gaubert. Billets à l'Opéra;, chez MM, Durand et Dandelpt..

Rappelons que le concert donné par Janine-Weilï et la Société Taffanel (Instruments à vent de Paris) aura lieu vendredi soir, 11 juin, à la salle Gaveau. Billets chez Gaveau, MM. Durand et de .Valmalète. (Elys. Q6-72,) ,movm;

LoyonnKt donnera uft récital consacré à

Chopin, samedi soir, 12 juin, à la salle Guveau, où la location est ouverte.

Salle des Agriculteurs, samedi soir, Ï2' juin, la grande divette américaine, Edna Thomasr Location; à. Id sallerchez Mai. Durand et Dandelot.

ttm

Le célèbre pianiste Jan Smeterlin donnera son dernier récitai de la saison mardi soir, 15 juin, à la salle Gaveau, où la location est ouverte.

Yvette Guilbert et Mme Dussane donneront/ à la demande générale, une soirée vendredi 18 juin, salle GaVeau. Location ouverte. u..

Le Prince Igor, soli, chœurs, orchestre, cent artistes, les 22 et 24 juin, salle Gaveau.

Myra Hess," la célèbre pianiste interna1 tionale, donnera jin unique récital, salle Gaveau, le mercredi 23 juin, 9 heures. Location ouvert à la salle, chez MM, Durand et de yalmalètè (Elys. 06-72). L. de Crémone.

-«^^<»^^

Un théâtre de Liège

détruit par un incendie

̃̃>̃

̃ Liège, 8 juin. Le théâtre wallon Trocadéro, situé au centre de la ville, vient d'être détruit par un incendie dû à

la malveillance,, i. .>> fia

Les dtigâts soiit: évalués h l;-millioo de francs. r 1 On ,ii, arrçjé^un, ou^rÂfr^leçti'ieiçn ;qui a déclaré qu'il avait mis le feu pour, se venger de la direction. Celle-ci» a-t-il dit, l'avait chargé d'un travail qui lu} àyaît occasionné des pertes.

EN POLOGNE

1%»

Varsovie, 8 juin. A la suite des plùies torrentielles, le faubourg de la ville de Plock et les villages environnants se trouvant sur la Vistule, ont été inondés. Les orages ont arraché des toitures, démoli plusieurs maisons et endommagé quelques ponts.

*p>

Toute demande de changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc fin timbres-poste, pour couvrir une partie des /rais de re-

nouvellement de ta hgnde.

T~ CI~<o~Ê€j[~UL<e ~~®~°~

'111111111111; i ̃

sport; 'HIPPIQUE COURSES AU TOEMBLAY

̃

Aujourd'hui à 2 Iiejures, courses au Tremblay. -'Gagnants du'i ÏFigaro

Prix d'Avon. Èri" Dofcice, Phranxya.' Prix de Franchard. Catalpa, Rigolote. Prix du Biéau. V^im mi Nina, Panoplie. Prix de Chartrettes.' Suzerain, Nostra- damus.

Prix Onésime-Aguado Abrék, L'Incertain. Prix de Marlotte. Lb Vestige, Ivaiu.

"•;• ^t-4

r ~nrs6$ M~ t

Éjtix'd'é1 Ja^Grflix'de J4oaOlèti/Xà réclamer, 6.0M'ancs, 3.-f6C'hêtres)). 1. Oronte, à M. François qhipault (R. Bristhès). 2. Roi Salo-

mon, â M. Henri Le Genre (C. Andrews)

3. Lohengrin, à M; Jameis Hennessy (J. Jennings) (2 longueurs 1/2, 3 longueurs). Pari mutuel à 10 francs i; Gagnant; 135. francs. Placés Oronte, 35 fr. 50 Roi Salpmon, 80 francs Lohengrin, 21 fr,. 5p.. Prix d'Essai des Poulidhes (15.000 francs, 1.000 mètres). 1. Green .Flor,. à M. Eugène Antoine (F. O'Neill) 2. Huguette de Savoie, à M. James Schwoh (R. Ferijé) 3. Malvoisine, à M. Gustave Beauvois (C Herbert) (2 longueurs "1/2, courte encolure).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 49 fr. 50. Placés Green Flor, 23 fr. 50, Huguette de Savoie, 54 fr. 50 Malvoisine, 39 ;fr. 50. Prix d'Èragny (à vendre, ^>:t)pO francs, 1.200 mètres). 1. Fougueuse, à M. Roger Majuchauffée (M. Allemand) 2. Plaza.de Toros, à Mme L. Segant (C. Bouillon) 3. Royal Da'âseur, à Mme L. Ga1tier (F. Keogh) (courte etteolure, encolure).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 96|jfrancs< Placés Fougueuse, 37 francs Plaza, de Toros, 86 francs Royal Danseur,, 171 francs. Prix de ,Saint-Martin-du-Chêne (^handicap, 10.000 franés, 2.000 mètres). 1. Don ICoursan, à M. H. Saintagne (R. Ferré) 2. Alcazar III, à M-. Thibault Cahn (W. Lister) 3., Bangor, au vicomte O. de Rivaud (F. Harris) (1/2 longueur, 2 longueurs).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 64 francs. Placés Don Goursan, 25 fr. 50 Alcazar III, 64 fr.,50,;(Bangor, 73 francs. ,• Prix d'Essai des;P.oulâItis (15^000 ifràncs.ïiObo'' mètres). -TT- 1, Fandango, à M, J[ean St.erin. (A.

Shai-pe). ji Oudry .11, f; M,, R.. Friboui«:; (l\:>

Wallon) 3,,Triduunx, au comte de Rivaud (F. O'Neîll) (fête, 1 longueur 1/2). ,]' Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 52 fr. 50. Placés Fandango, 21 fr. 50 Oudry II, 21 fr. 50 Triduum, 15 fr. 50.

Prix Nubienne (12.500 francs, 2.100 mètres). 1. Chochotte, au marquis de Llano (C. Mez); 2.' Chanterelle, à M. Paul Peschet (M. Bonàveñture) 3. Gerboise, à M. Michel Lazard (M. Brethès) (3 longueurs, 1 longueur). Pari mutuel â 10 francs Gagnaint, ,63 francs. Placés Chochotte, 22 fr. 50 Chanterelle, 27 fr. 50 Gerboise, 28 fr. 50.

Prix Général Brldbux (steeple-chase, crosscountry militaire, 10.000 francs, 5.500 mètres). » 1, Popaul, à M. Parent (G: G.assiat) 2. Prœterlatus, à M. Borrelly (M. de Bibrac). 3. Ouragan IV, à M. du Breuil (M. du:Breuil) (3/4 de longueur, 4 longueurs).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 44 fr. 50. Placés Popaul, 21 fr. 50; Prœtfcrlatus, 22'fr.50; Ouragan IV, 30 fr. 50.

̃m Mt^ r

Le Concours hippique de Vichy (Du 25 juin au 7 juillet)

Lé Concours Hippique que la Société Hippique Française organise sur son hippodrome du Sichon, comporte un magnifique programme doté de plus do 273.000 francs de prix. Il réunira de très nomreux engagements dans les classes de chevauKvdei'sfellèi et<- d'attelage M>. 'dans Jesi épreuves d'obstacles civiles etjiailifa'ireSiïi Aux présentatiptys de chevaux de sellejefe xltettftLagj;, /aux épreuves d'extérjôur sur le' chai$lf Se, .èdûrE'e^et àM éipréû^ès d'obsta- cïeë,)saiévtéïPhte£fcn*WH^ àlnr)9,g,des~: matchës' d'IndÔor-Pdlo. Les différentes opérations et présenta- tions seront ainsi reparties |lDans la matinée présentation dé chevaux, attelés seuls et en paire î présentation de chevaux de selle de, 3 4, 5 et. 6' ans épreuves'd'extérieur pour chevaux de selle de 4, 5 et 6 ans, sur le champ., de courses, les 5 et 6 juillet,

2° Dans l'après-midi épreuves d'obstacles: épreuves réservées aux chevaux français et épreuves pour,chevaux de toutes nationalités montés par des amazones et des gentlemen épreuves pour chevaux d'armes montés par des officiers et par des sous-ôfficiers. Les lundi 5, mardi 6 et mercredi 7 juillet matches d'indoor-polo.

3? Le soir, après, les épreuves .d'obstacles et l'indoar-polo présentation de chevaux pour la vente.

Le samedi 3 juillet, courses pour chevaux de demi-sang, organisées par la Société des Courses de Vichy, sur son hippodrome..

Le Salon nautique international (Paris du 7 au 17 octobre)

L'ambassade d'Italie vient d'assurer le Comité d'organisation du Salon Nautique International de la participation de son pays ^.ïieKpositiion-jquiiisei^enelra, rappel lons-le, ,à- Paris, .du Cours4a-Heihe- et"' sur les ber^égjde la Seihe.du 7:aAi. 17. octobre, « La Ligue Navale aérienne a elle-même décidé de faire une grande propagande parmi les milieux maritimes italiens pour le Salon Nautique International.

A propos de ce Salon, on se rendra compte de l'importance des industries nautiques en Allemagne à la lecture des chiffres suivants t Il y a en Allemagne 742 constructeurs de bateaux 192 fabriques d'accessoires et de matériel pour bateaux 55 fabriques de canots à moteur 144 constructeurs de navires 360 ingénieurs des constructions navales.

A l'occasion dit Salon, sous les. auspices de la Fédération Française de Navigation Automobile, se tiendra un Congrès de la navigation automobile et du tourisme nautique. Un comité d'études s'est constitué, sous la présidence de M. Victor Houet, président de l'Hélice Club de France. Cette commission à arrêté le règlement du Congrès qui sera publié d'ici peu.

Trois sections ont été constituées Première section Tourisme Nautique,. président M. Albert Glandaz vice-président M. Robinot de la Pichardais Deuxième section Technique, président, M. l'ingénieur général Maurice viceprésidents comte de La Vallette, M. Lumet secrétaire, M..iDelpeyroijx Troisième section Administrative et

Ecdnbaifri«él,apréaâenr, M. ClérKRanïpâl

Vic#-W^raertft,,itf. Llvaà'drèr:Se!nepuc(

̃ secrétaire, M.' No|i*ot.' •̃ j< /̃; 1 PdH^toU8îre8seîgnfeméiits feu sujet flé ce* Congrès s'àdrêsséf au siège social dii Salon Nautique International, 21, avenue des Champs-Elysées.

AUTOMOBILE

La Course de côte de Sézanne Dimanche dernier a eu lieu la course de côte de Sans-Souci, à Sézanne, sur un kilomètre de distance, avec une pente de 8 0/0.

Les meilleurs temps ont été faits par Doyen, sur moto Terrot 350 eme, à la moyenne de 74 kil., et Perrot, sur Salmson 400 cmc., à 93 Ml. 624 (meilleur, temps de la journée).

En catégorie tourisme, La Licorne a réalisé deux belles, performances, en 1.500 et 2 litres conduites par Bourgeois et Vissu-

zaine,

Le dimanche de Salmson La 7 CV Salmson a remporté dimanche de nouveaux succès à Sézanne, elle gagne avec Perrot et Ismalun les deux catégories 1.100 cmc. sport et 'course, Perrot réalisant le meilleur temps de la journée en battant par conséquent les véhicules de toutes cylindrées. Cette magnifique performance a été réalisée avec un Salmson type Grand Sport. Il est remarquable d'ailleurs de voir confirmer l'excellence de la construction Salmson par la victoire dans la course de côte de Poix de 'M. Aubert dans lâ.èat'égorîè 1.100 erne". amateurs dans un temps' qui bat' iibmbre 'de catégories supérieures. Les propriétaires des" T -CV iSalpason dénipntrent ai,nsi que dep voitures de série peuvent être imb'àttabrés.i/ si elles portent'la marque Salmspn'.

-j,

Rallye automobile féminin L'Automobile-Club de l'Ile-de-France organise dimanche prochain, 13 juin, un Rallye automobile exclusivement réservé aux dames.

Cette épreuve de régularité se disputera Sur le parcours Paris-Compiègne (déjeuner)-L'Isle-Adam, soit une distance de 139 kilomètres.

Le classement sera établi suivant la moyenne effectuée sur une portion secrète du parcours, les concurrentes ayant <déclaré avant le départ à quelle moyenne elles désiraient marcher.

Ce Rallye-Dames, le premier disputé dans la région parisienne, réunira certainement de nombreuses concurrentes, à qui il permettra d'effectuer une. randonnée dans les plus pittoresques régions de l'Ile-de-France, tout en participant à une manifestation élégante et richement dotée. De nombreuses récompenses, dont quelques-unes de grande valeur, seront attribuées aux concurrentes les mieux iclassées. Les droits d'engagement (assurance comprise) sont fixés à 60 francs. Les engage-' ments sont reçus à l'Automobile Club de rile-de-Fran-cey !8, place» de Ja Concorde,, et chez Vei'signyy 87, avenije^de laj GrafldeArmée. ̃' •'• ̃ '̃̃-•• >-a u .'̃̃ ̃̃̃̃̃:̃:

̃ '̃'̃ ̃ '•'̃"•' I' ?.ijt.. ̃;̃

Critérium de la I?t«(?sfl! Sportive. :) La presse sportive a disputê.liiersonCritérium automobile organisé par l'Echo des sports à

l'Isle-Adam.

Ce Critérium comportait trois épreuves un parcours de régularité en côte, un cirouit à boucler à 40 de moyenne, la dernière épreuve étant tout à fait fantaisiste.

C'est M. Deliruelle, de l'Echo des sports, qui a pris la première place du classement général, devant M. Rousselet, du Spqrting, et M. Serge Weber, de la Presse.

Le ineeting de l'A. C. F. Le tirage au sort de l'ordre du départ des vdîturettes et çyclecars, qui prendront part au Grand Prix de l'A. C. F., a eu lieu hier à l'Automobile Club de France.

Voici quel sera l'ordre des départs i

Classe G. 1.100 cmc 2. Salmson I, 4. Amilcar I, 6. Dufour et ;Giraud, 8. B.N.C. L, 10. Salmson II; 12, Amilcar II, 14. -B.N.C. H, 16. Salmson III, 18. Amilcar III, 20j Salmson (Bac)..

Classe H. 750 cmc 22. Austid (Xubiaga), 24. Sima-Violet I, 26. Octo (Bérthe). Classe 1. 500 cmc: 28. Sima-Violet II. 30. Sima-Violet III. ̃

̃'̃- y

AVIATION

Pelletier Doisy a ajourné son dé]Jart:pour Jokio. En raison des conditions atmospbériques peu favorables, Pelletier d'Oisy, qui comptait partir hier matin pour la première étape de son raid vers Tokio, a dii ajourner soit dé-

!$ià«' o i ,). A f T.

̃ '̃̃iûii vu'" .i ti t •̃ t j i -n& j,, i

,u; ;~`E~IVXS

̃-̃̃TENNIS- r.

,"tà .Quinzaine internationale ` Malgré saint Médard î

Saint Médard n'a pas été, 'de toute évidence, un ami du tennis. Il à abondamment manifesté son indifférence pour le noble jeu de la raquette et de la balle en arrosant sans arrêt Paris et le bois de Boulogne jusqu'à 13 h. 30. Reconnaissons qu'il aurait pu se montrer plus hostile. La pluie qu'il a déversée était fine, légère, suffisante pour tenir éloignés de la Croix-Catelan le plus grand nombre des amateurs insuffisante pour détremper les courts et les rendre « injouables ̃».

Les faits saillants de la journée ont été la défaite de Kozeluh par Washer, joueur au jeu. simple mais foudroyant la facile victoire do Mlle Suzanne Lengleri (bandeau et veste boutons d'or) sur Mme Mathieu, qui, après un début courageux, énergique au cours duquel elle réussit quelques fort jolies balles, très applaudies, se démoralisa la facile et flegmatique victoire de l'Américain Vincent Richards sur le Britannique Gregory, qui fut, hier, au-dessous des espérances qu'il avait données ces jours derniers le succès de J«an Borotra sur Paul Féret «t la défaite de Landry par de Kehrling.

Au demeurant, et maigre la pluie, le tournoi se déroule normalement. Son calendrier a tout de memte'^tibi un rétard, qui oblige le RaçingiCiayi«e France et le Stade Français, à quïiw Fédération â 'confié ̃ ^organisation du mmiiîng, de le prolonger d'un jour. La quinzaine aura donc seize jours, et prendra fin lundi 14 juin, du moins jusqu'à nouvel ordre.

Les joueurs superstitieux n'en seront pas fâchés.– F, R. ̃

l ~a fach

Les Championnats internationaux de France

̃̃!<

Washer élimine Kozeluh et Mrs Browne triomphe de Mrs Godfree

Le tournoi des Championnats internationaux de France s'est, hier, continué au mieux sur les courts du Racing Club de Frapce, au bois de Boulogne. Dans le Championnat simple, on en est au quart de finale. Les matches du quatrième tour

ont. été l'occasion d'une grande surprise. Le champion belge Washer a battu le champion tchéco-slovaque Kozeluh en cinq sets, après une lutte extrêmement serrée, faisant preuve d'une endurance qu'on n'es-

comptait guère. J.

Bbrotra à jô'uô ëoti^ -tre Féret et l'a battu, après un dernier isfet iôué "cointtWî- il:

sait le faire lorsqu'il est au mieux de sal forme.

Un autre événement qui va faire sensation est la défaite de Mrs, Godfree, qui a été obligée de s'incliner, en' deux sets, de* vant miss Browne. Les drives croisées de l'Américaine, ses smashes au filet, ses lobs précis lorsque Mrs Godfree y venait, lui valurent une victoire pénible en première manche, extraordinairement aisée dans la seconde. Les confrères américains télégraphièrent longuement l'exploit inattendu de leur gracieuse compatriote.

Notons aussi, parmi les événements inattendus, le beau succès de M. et Mme Canivet sur miss Fry et Sharpe. La paire anglaise fit une faible réaction, miss Fry semblait fatiguée par sa sévère explication de la.veille avec miss Ryan. Voici les résultats

Championnat simple, t^ 4' |our (fin)J


Lacoste b. Robson, 6-2, 6-1, 3-6, 6-1 Mishu b. Aéschlimànn, 6-4, 6-1, 2-6, 6-3 Kinsey b. Aslangul, 6-4^ 6-0, 6-3 Borotra b. Féret, 4-6, 6-4, 4-6, 6-3, 6-1 Washer b. Kozeluh, 3-6, 6-2, 10-8, 6-2 Cochet b. Tejeda, 6-4, 6-3, 3-6, 6-1 de Kehrling b. Landry, 6-3, 1-6, 10-8, 6-4 Richards b. Gregory, 7-5, 6-3, 6-2.

Championnat simple dames. Quarts finale (fin) :̃ Mlle; Lenglen b. Mme R. Mathieu, 6-0, 6-0 miss Browne b. Mn, Godfree, 7-5, 6-0 Mlle Bouman b. Mlle Contostavlos, 6-2, 7-9, 8-6.

'Championnat double. Quarts finale (suite) Cochet et Brugnon b. Aslangul et Washer, 6-1, 7-5, 6-2 ̃ Macenauer et Kozeluh b. Aeschlimann et Poulin, 6-4, 10-8, 9-7. 'Championnat double mixte. 2° tour (suite) M. et Mme Canivet b. miss Fry et Sharpe* .6-2, 3-6, 6-0 miss Colyer et Turnbull b.. Mlle Des Landes de Danoet et JKlèinadel,

6-2, .6-1. .t

̃ 9" tour (suit,ê)r*: ibïss" "flyaii et -"Kinsey «b,1. Mlle Desclercs 'et' Hirs'ch," 6-3, '«-1." Championnat double dames. tour Mlfô Leaglim et Mlle Vlasto b. Mme Mathieu et Mlle Grasset, 6-3, 6-0.

La journée d'aujourd'hui mercredi s'annonce d'autant plus intéressante que nous touchons, dans la plupart des épreuves, aux demi-finales. A partir de 2 heures nous aurons entre autres rencontres sensationnelles Washer c. Cochet, Lacoste c. Mishu, miss Browne c. Mlle de Bouman, Mlle S. Lenglen c. miss Fry, Vincent Richards c. de Kehriing, Kinsey c. Borotra. Rien que ces matches valent le déplacement de la Cr.oix-Catelan. Paul Champ.

ESCRIME,

La Grande Semaine d'escrime

Du 5 au 13 juin, à Magic City

̃- Troisième journée

du Championnat de France

Les premières demi-finales du Championnat de France d'épée ont été disputées hier à Magie City. Sur trente tireurs restant qualifiés, cinq viennent de province. Ce sont Dequidt (Calais), Trombert (Lyon), L. -Aubède (Montluçon) et le lieutenant'Léon (Tours).

Résultats techniques

l" poule 1..Barthélémy (Bourdon) 2. M. Boucher (Mignot) 3. ex tequo Fischer (Flacher), cap. de La Tour du Pin (Bouché), et, Grare- ^kutfcSi0l¥l ̃; 2"- poule l.JIénardifflautain) 2. ex.œquo

J. Lacroix (Lattrtril) et Goedorj} (Bouché)

4. R. Flacher (Flacîijsr^ et Deo/uidt (Calais). 3" poule ll'i'x^'èéqiio Cornie (A.C.F.) et Garboua (Bautain) 3. après barrage Trombert (Lyon). et,Deléage (Mignot) 5. après barrage Hostallier (Sporting).

poule l.'Piot (Police) 2. ex eequo de Nabat (A;G.F.), Raffali (Bautain), Rabiuovitch (Laurent), L. Aubède (Montluçon).

5' poaJie.l.'d'Aubigny (Hoche) 2. exœquo: 'Adet (Bouché) et Degouve (A.C.F.) 4. après barrage Crosnier (Gardère) 5. Prat (Monaco).

6e poule 1. ex tequo Croquez (Mignot) et Haas (Lunéville) ;> 3. Schmetz (Bouché), Conrozier (Cercle Militaire) et lieut. Léon (Tours).

Aujourd'hui mercredi 9 juin, à Magic City inàtia'-et après-midi, deuxièmes, demiTHnales, et à ,4 heures, dernières du Championnat de France d'épée.

Simon remporte le Challenge GuHiaumé

,i.

Le gala annuel de l'Association Sportive • de la Préfecture de police, donné aux Ingénieurs civils, avait réuni une nom-. breuse assistance. •̃̃••

Le Challenge Guillaume, qui se disputa en' un match entre/ Adam et Simon, se termina par ttà'5'à l'avantage, de ce dernier ?ui conserve "le challenge pour l'année

9"2j6 ̃ '̃̃̃ ̃'

Vépé"é,: égâliifeèii 4f ^évkë IGoèdgrpf

f %de juateejwstipgu.é çpnf ^rèrç ^du Temps,

battit Alcalay par 10 à 6.

Dans d'autres exhibitions, on put applaudir au sabré Garagnani et Bàrere au fleuret, les belles 4>^«es*%e Lucien Gaudin et du maître Bordes, de la garde républicaine de Riotrop et de Flacher, à l'épée de Coutr,ot et du, professeur Vannier, ainsi qu'un assaut entre Piot et le professeur Bourdon fils.

Le clou de la soirée fut la présentation par le maître Lacaze d'une, gracieuse leçon d'escrime; à la dague et, a rapière, par deux jeunes enfants. Ces virtuoses en Joerbe obtinrent un gros succès.

;M^ GOLF, ̃ Snr le parcours de Saint-Germain. Sur le parcours de Saint-Germain, les médailles de juin ont réuni de très nombreux concurrents. Résultats:

Médaille réservée aux dames. 1. Mlle C. Carré (26) 70 2. Mme R. Simon (19) 81 Mme R. Silva (23) 81, et Mlle Domezon (26) SIU 5. Mlle E. Durand (11) 82, et Mme R.

>.

̃' "VZt-C^TTTZ* CSTP T^TTT ÇSt TTTTTV -I €3fc^>*3' '̃'̃̃̃̃̃ .̃:̃-•̃ ̃ '•

1 ̃ JC3\^M ̃\mJ JCrf.C^JCLi JLJ %-J ..255 «J U -1– L^l ̃ J- %7^S-fC> ̃ ̃̃ ̃̃ ̃ ̃

Revenu' TERME! Clôture Dernier COMPTANT Clôture Dernier ^nMDTiMT clôlure Dernier Revenu pnMDTiuT :> Clôture Dernier Revenu pamdtïmt Clôture ;Dernier Revenu mirpué eu Dtunut Clôture Dernier HRRruÊC- (TRINRPR^ Clôture Dernier

Druf ̃.ySKWS précéd» cours COMPTANT j^céd | coora COMPTANT jprécidi. 0,1^ 1 COMPTANT,, cours brut COMPTANT prfcéd,. cours trut enu J MARCHE EN BANQUE U'E jpré|.ed.. nm' "«"gS cTHftHBgHS |prtoju mr-

353 79p«w»"»«l«F'nc. MTOO.. Î155O.. FONDS D'ÉTATS M.roc 5% 1904.. 450 440. "brut BANQUES 'précéd" cours 150 Béthun. CC" d.). nouv. 3755 3794 brut TERME cours 1 LONDRES. B juin,.

353,(anq¿;a ~"¡'n:e: }f:>iI550,: FONDS D'ÉT, A, TS' 3' M.ro"5% 19,04. 4SO.. <HO, t l'indo-Qhine.-4.4à25 4?w 150 Séthune (~I'de~, a 37,55,3,794, TE~ME '57 go 58 LONDRES, é .114 10

2A50 •- Tr«n..tlaotiqu M- g" •• 3 1/2% AmortW.abl* S6 50 -°d 4% 1896 83.. 83.. 6. ^t LTfr luN^a. ?Q? >w Ephî«c CHluiMircs a, Ch f "r"*>. «?» V- 1345 fcV- |g^<»'-af <•.•"̃•̃•• ••'• 249.. 253 4% •»- 1917.••••. 9 1/4 .9.. ^rfec^|: ,|g|Sg. §S SSëaS^iSs:1^» I09:: ̃Sato3Srï:S::S:S- ̃̃ S^5: «S" i«S :o rf*: §gïï^ï=.^î^ s: 34i:ilS3:v::«;:|ii|!f

'45", d~~Y,nj'l?,f'"rls'a. 50?' 1915.1916. ,54 la 53 "5 -4% 1898. ,77.. 79.. 7.. Industrielle de Chifl!t'" 138'" 137 79 7954Hau!a'Loir,,(Houillèroo'dela),969.9 ,ry. 674., 682.. 4?-o 1916.91/8.,91.4

h, i IIt2 '1134- 4 1917. 41 44 ,50 R"aoie 4 1867,1669 ,1 23M 1 .Japona'u" 5m 6t9Q 1,6 95.. O/1trpmb~rtot Ser~f:\dièr., 1200 Caoutchoucs (S Financière de> 458.. 46Q'~ t'on.olidè., 55 TtZ, "16

6S', ~?lJIpag,nn;A!gér'ian,na. 900 898 ~918 411 75' 4195 ~nta'F~ 5 1910. zz!8" J5,¡: HtP25 ~¡I~êYO'dU N~rèi. :334 333 ~int'Eti';nl;~ (HÓ~il1orÓs de).. 100. 100.. 6 p. c4w*d ,.?34:" 233 ¡(~tli'l!1866;¡." 100 100",1,

60 .om'?tD,"Notio,Ic;j,E15oompt.. 590 590 6r5 1920 Amortlssable. 7330 72 85 $.rb. 5% 1!%13, 10550 lOB.. 20, Sanqu. privée non cu" 55.. Ani"he (M,s d').II05.. 1100 C~em,"eOttomanl!(Lotstur"a) Breall 188,9. ,55 ,~2 551/4

45 .ré<htComlJl.rclsl de France. 14115 1455 h 6%1920, 6290 62 50 Suède 3 1/2Vo 1895. 1250 Banque privés non ')1{ 'éOO "179t)' 55 Anzin 1068 1100.. la ah, C.ty-CoI.p. 335.. 342.. Funding. ,00'1:2 81

80 1658 1657 4 %1925 Trésor GF 9345 .9330 Sui. 1903. 75.. C~éd~f"n:¡~¡;:T~i;¡P: 445 100:: Slanz; .6é2.: ,685:, Colombi~ ,519.. 515" Chine 41/2 )6 .(. "76 .1.

00.. Lyon~ala. ~436 t430" Sona du Tréoor 1922. 492 50 492 25 Turquie Consolidées 1890 285.. 292.. 33.. C"édit FOn<>i.r Argontin 178" 55. Carmaux nouv. 1400 .385. Coiicordie. 306 50 303., Egypte 81 8jl12

35.. ::7. Mobilier F~a~ls. 838 Ê430 839 !cfév!1923.485~ 4650., CDuane.1902. 249. 244 CréditFçincier du Argentin 13~.iàil. 709 178 Zô9" 30.. Carvin 969.. 990.. 5'" Cor.ooro..rd. .7 Extérieure 67 1~2 6 1(2

iiôs^r:?: ^z'Ç:fe «• -.Çàsî»: ".??- 2^ «"T^SSP^ 1:: i:: ^r: "S:: 88:: -J-fSïïî 5«i:| :•: J: MJ.Îf

M~r:4~ ..446.. ,Priorité Tombac. 1251) 302.. 50.. Soc.aanques,d¡' Province, 45.. Graissea..c.430 ,430 2() eh D. Be re grdinaire 2755 2750 Japon 1699. 1)6'+ 66,

327 Su. J. 19000" 19200' Obhg. Ch. for Etat4601912-14. 50 ,lOI Tabacs du Portuga! 1259 124O~, Soc G" Alsacienne de Banque. S6S S6S '5 40 Gr.and'Combos" .725 .725 20 -b prefé~en"a. 25Q6 2585 Portùgala: ,32 32,

629 S,u.z ,vIIO>¡. 5%1919 225.224.. Uruguay Or 1905. 382. 45.. Sociiti Mars.illais. 444:: 444 ::30 Lignrlos'Aires.725.. /1. d 20 Franco-Wyoming. ord. 643, 641 RuesoI906.6112 27

:,47:E«t. gi •• ë: •• Afriqu. Occid. Franc. 3%s. 240 OBLIGATIONS ACTIONS .NDUSTR.ELLES 2Z » mZ'?^ ti: j«0 '̃'̃ .<&'̃'• 2 *•« Goldsfi.W. Con.otidrted 245 246 Turc 4% '5 ••• l5 il4- 70 l-yon S?" tt55 ̃ Ann.m-Tonkin 2 1/2 47 OBLIGATIONS ACTIONS INDUSTRIELLES M Ostrioourt 1290 .299 -Hartmann 225 223 Turc -4"% li 1,4. 15 114. 55..Midi. .^•Ja; -lndo.Chin.3%1909. 240.. 244.. I86S 4% r.mb.i SOO1. |Î5 719 22 °foo gnï et N»u* I ;f'°. » Hotchki«. 1025 1022 chartar.d »A 6. 28 75\N«rd 1110.. 1106.. 3,/2 ,9I3 ï>* 272 187J 3% ramb. è 400 300.. 298.. 27 Chami.! da far E.t, Joula. 295 295 ̃“ 225 Algeria-Tunmi. (Omnium). 5225 5300 •• Huanchaea.. 340.. 327 East R.nd 8/4.1 2 S .4. 2 60 Orléans Madaflaacar 1897 •̃ « 187S 4%remb. i SOO1. 349.. 344.. 33.. Est-Algérien r;v 325 324, Boléo. parts. 326 325 5 .h. JagersWe.n 670 650 Go,dfie|d, 30 29/ 4./i 2

,™ 19O3-19OS 49 p |876 4%ramb èSOO1. 3*6- 340.. 50.. Lyon; joui. 480.. 48Ô 81 Bor (Minea da> ord 2475 2495 L.eno.off. 558.. 557 Rand Mines 5i'S;!i ïS'2

75..Sant..r-«C'-Fr.Ch.ferF.r0O. 1739.. 1742 M8r0e 4«; ^f..1.™ 275.. 275.. lUàiV/Z^bi^o' Ig •̃ 50 30 Midi.ioMÎy, 360.. 374-^ 22 50 cXre at Pyrit« J30 .330 2 ah. Malacc» ord 592.. 549 D, B,ers 16.7 16 17 \32 ..Métropolitain de Paris. 476 •• «* •• S%1918. 310.. 306.. O.1 1894-96 2l/2r. à 4OO1.. « 59.. 59. Nord, jouis.. 740.. 730.. Mokta-el-Hedib. act. de 500 fr. 6400 o495 "sfp°iîka Ï9Î fïï Jagarsfontein ••̃ 4- ̃• 4. 1/16

̃*•««•« Tuni.3%1892 ••; 213 ,1898 2% ramb. à SOO' 90 25 92 1450– Nord-Sùdda Paris, 2H 29 45- Llll.-Bonni.res. ord •••• "S? Maltroff 341 345 Rio Tinto 37 /8. 3. 1..

6a.. gistr. Parisienne d-Élactrioité. ,*f •̃6|- -Crédit National S% 1919. 331 •• |M g 189S) 2% Met. r. a SOO1.. 85 82 45.. Orléans, jouis 420 410. pétrole. <C" Industrielle) 695 .700 ,-•••• c,n-Ea8le 0,1. ord 238 227 50 Moxican Eag|e 23 JO/4 22/3.

TOi-ÉleetHoitéCC-eénéraled-).1^?».. oblig.5001 5%192O.. 346 34i i.. û 1904 2 1/2 Met. r. è SOO, i* 185 24. Oue.t, joui 207. 75 Dynamite (S" Centrale).1. ̃•• »50, -7-A. Mexico_Min.ofQ.IOro. 241 50 244 Royal r^^h 333,4 33 5 8 .Thomson Houston 330 325.. Bons 6% 1921 415.. 4U lu 190S 2 3/4r.mb. a4OO'. f '5 3 12 73 28 75 Ouest-Algérjan. 316- 32! >• 40 Electro-Chimie Métal. > •• .§§g ••• 5|ÏÏ.- 5- Medderfontam (B) *V 50 177 Sn,(l..4 23 32 4 23/32 Thomaon Houston, ivn 6%1922déc.n.. «J;n 491 50 J l91o2 3/4Mét.r.à430'. « •; 60 30.. Tunisiens ..349 32. 50 Poulenc. j735 •. 729 15 L. Montec.t.m 278 .280 North Cauca.ian 4/.3/4. 5/

SriAcii;^NVrd.ii. ^8 'S! ̃ z .= %p% §!? g.- î -SS Jfesfci^- f *f » it;; ^^$^X^ç. .j» SS&Ssi&Sâu: g'g->: »̃̃ «'0^: f i| M^»^. S

1475" =~~7923:: ~~§.2. 1,57,160.. 30;. Magasins Généraux, de Paris,. 175j 1770 102 Poul.n"735.. ,729.. 15L. Mome"at' ,278.280.. North Caucaslan. 41314. 51.

130.: currys. !«.. 643 z S. 1^!? %&&%&{%& «::«:: ̃8::5X<&^?"ft^b-i:ia:ffi- ^r^ktin9. »::pÇnfc7^7|^ 76 WWk%

~C~ 643.. = .2'4' 367~ 402: 400 S: 4.. 1239 1226 ~~S:Rwt. 36:< 91 31 91.112.

9 Ut» 342.. 339.. j ̃ 45 Salins du Midi -890 '•• -W •• •••• Pekm Syndicats CShansi) 80 50 50 82 .25 stB8| Common. i o}4S î lii

9..Le\ 259 2S6 ,45..SalinsduMidi,890,9,, .P.k,nSyndlcat.(Shansl). ,8050 82,25Sta.ICommo"13I,132..1

.Boféo .k 259.. g6. -Dé part.m'du Nord6% 1921 367. -|g Com.1879 260%r.SOO 415.- 415 80 Air Comprimé. 2100 2055 Sa"ns .*mA f h" *h°'%™°? de, Constantin. 516 520 M 1.8/32 1.1/4-

55 Penvrroya ^J •• 25J •• Villa d'Albert 6% ••• •• 355-. g Fonc. 1879 3% r. i SOO*. 454 450; 2671 Câbles Télégraphiqu ,y. 560 570; 200 Port du Rosario 1*750.. 14900.. 3 ,h. Randfont.in. .131.. 135. Malaoca. •"•̃•gS"&

2O'Plàttne 'Of? 1076 de Reim. 6% |7i « Com. 1880 3% r. a SOO*. 435.- «2.. 35 Edison. .%v. 811 ï charsèurs Réunis (parts). -§61 -850 6 A. Rand Mine. 469.. 439 Kual. 82/6.82 6/.

20 Plat~e. 515 S06 d.R~lma 6~ 3Z195 57 :z Com, 18803% r, à 500" 435.. 432.. 35"" Eplaon 27 .2 3 Chargeurs Réunis (parts) .861 ,850.. 6 6 Ran~ M,ln. 469.. 439," Escompte hors bu' 62!6, 1..82i6l.

40' Dabrpwa (Pétroles)., 5 5.. 506.. .d. Verdun 6% •- •• 357.. $ Fon< 18833% r. è SOO1. 200 195 24 Elactrioit.. et Gaz du Nord,»,! 272 262 35 Havraîse péninsulaire (B). 290 •• 302 Il «h. 6 Robmson Deep A 70.. 74 Escompte hors banque 4.5/» 4 .«16 Pétroles Premier 410.. 410 Atturienne des Mine. 448 445- S Fonc. 1885 260% r.5OO'. ?05 205.. «, Electricité de Paris .fi, 1330 1324. '45 Transports en commun |&S .5K •• Roumano Belge de Pétrol 170., 163 50 p sts "•l U'ir, uj'â,- Ateliers Con.truct. J.umont.. |64 363.. U. Com. 1891 3% r. 4001. «86.- 'ff ..37 50 Force. Motrices du Rhône •-• •̃ 665 39 76 Transports Maritimes. 820 820 Russian O.l. 64 .62 S/Pari i.fc.anae) '61 X 160 ^50. 30j,Wn^n" 507.. 514..c..d.E l9E,8ctri u, 349 346 iS92 26O%r.5OO 'US'" ?U Ù, "6 <* Forc"Motrie-?duRh6ne(part^. 5594 5900 a~ Ste.ua française. 598 Î84 s/Now.York. ..̃•. ,& i4 .fŒ> 36.Gafsa^ ;|70 .957 E liM5 d,Vastée. 348 336 ̃̃"̃ Forte. 1895 28O%r.SOO'. %? ?< 50 50 45 Havraise d'Energie Eleotriqda. 615 615 Bénédictine •̃ ?^ •• M Jabacs d'Orrant et d'Outremer. 233 2|l..Rio- 7*17m 7 I7«2

.40..f'-cdui~ch.ni.d'A).is,Fr.gM.'359 -'359 .t. ,.6% 340 K Com.)899260%r.500'. 203 20).. t23.ndc-Chinci=.d'E).<=tr,cité.2925.. 400 ..bisti)).ri.Cua.n!.r.2S50..2900.T.~any.ka. 422.. 433..v.)p.r,i,o. ~.S" 7 171

40..KProdui^ehim.d-Alais,Frog<M. l3» 1359 •• ©rosse, Métall ur8ie 6% 340. K Com. 1899 260% r.SOO1. 1?| 201.. |23 IndoTChinois. d'Electricité. 2925 400 Oistilleria Cusenier. 2f5O 2900 Tanaany.ka 422.. 433 Va,parait0. 39.80 39 80.

V.C-hargeura Réuni. ?90 600.. 6% nouvelles. M •• 1- S Fonc. 1903 3% r. è 5OO1. ?J» 2»f •- 72 91 Pyrénéenne d'Energie.Electr.. 709 709 v. Distilleries de l'Indo-Chine. 4300 4250 4 th. Thar.1. 479 465 Buan0,.Aire8 •_ 4 ,MA M 1?» 9 Transatbniiqua or^ •• •̃ Csil. Fiveè-Ote 6%. 360 356 O càm. 1906 3% r. à SOO*. $è f?f •• 15 Radio.Electriqu» !74 172 80 Grand Hôtel >?°6 ̃• '749 I A. 9. Transya.li ponspl.dat.d_L.nd.. 410 413. Argent métal Comptant). 30.| 6 3Q.I/6, ~8~

';50 Voltures'4 Paris1. -896 •• ̃886 •• t4brd. Pas-de-Calais 1922 360.. 355-. Fonc.1909 3%r.i 2SO1, •»̃•• JJÎ 25 Radio-Franee 4+8. 441. 20 Grands Moulinade Corbeil. ord. 2<» 202- Tubes et F.de Sbsnowie. 193.. 190 Cuivra (eOmptan0 S6.3/I6 5«.5fie

..••̃̃ ,0. Industrie Sucrièrë Français. 356 v. •; g Com. 1912 3% r.è 2SO1,' \\£ 1W '• 22 Radio-Maritime. 230 230 25 Sucreries BrésinennesV. -j; fJO 35 b. Tobii«f,priv. uL avi (romptenu

"22 Air Liquide 402 399 |nduetri(1|. Alsaciens 1922.=.h Fon= T9!3 3i/2^r.5OO, J29 229 45 Ti|ég»?Wfcfan. Flt.4. 70Q 44,09 Sucreries Coloniales.A. 535 535 4ih. 6. Union Corporation. 446 450 NEW-YORK/8 juW

22 Cacut4c!0# '40- 25r. Ind:,str'ela"AI~s"ena'1922. "37.. '¡. '1913 4% r,50q.229 _1' 50 'J T.é!w'¡fana FII.7OQ. 16~O ~2mi 44'09 S."ucr~r¡és. F~an C016ml*ales > 535. 535. 4,sb. '6" Union. C.orpo.r. ~t'.on.. 446.. 4.50. ,NEW'Y,. O.K,' 8'. ,JU,

40 4. CaoUtebou#,»(,40rCfcin9«..w.. »»»»• 2? •• M.iio* Brigùèt .€[?( ..< 50 fc •. '1913 4% r. à 500 ?'f •• '?£ V. M .• fèmm^. r«»il M Ï&QX. J2001 ..Cîmints Français' •».. »» ..3950.. aa«.v Werminek. H5 I45 50 •'̃ > f..

Oro*drB«kS.V-«». '}"̃ t "8 •• Mines de Lens 6% 1922 2??*" ^91 S Ertip. 19)75 1/2r.a300 ]75 .75.. 17 50 Union d'Electnc.té. .*».. m 810 40. du Boutonnais. 6^0 •< .(COMPTANT Cail Mon.y, «.-m. J'rt-

25 ..P~.C.J.u~ 52. ~T~ 192051/2r .S~ ~< ~.i 140 ;:P~ iB~.S~- '905 '905'" ~i

6vo 1921 212 210 365 Est 6% ,5::ASi: Firmlii~ 235 2775 --2820 Atchieon » Topeka 135 1.12 13413!1

̃* H ̃ lndo.Chinet899-1905. 212 210 Est 6% 282 286 de Francs. 228 235.. 100 Agence Hava 1350 1325 17.50 Omnium-Pétroles 480 470 -• Baltimore et Ohio i^ 1|2 ?L',?;

•' Rassa-Consotidér* 2' sérias. » 60 23 85 i52.!° ̃̃- •• •• «.36 de Michevili. 600 585 ,70 Bldrf-Brt«" Î525 1320. 230 6. Royal Dutoh 55500.. 55W0.. c.nadian Pacific |9 58 1 2

Rusa",C~nsohdel &2 aÓr.es. 23 60 2385. 3 1902. ij, -,41% 2~ 30.. de M."hev,l!o. ,600.. 585.. 70.. Cidot'SoUin. 1525.. \320. ,230 Il. Royal 555W 5SOOO.. Penadien Pa"lf,e. 1,9 .156/1

I. 3%t89H894 14 75 14 90 Tunis 3% ,902-1907 228 •• 23! 3%.nci.nne 231.. 230.. 9046 d. Sambra-et-Meuse. 1135 1105 10 Le Figaro 355 4.h,6. s hell. 758 787 fahesapeake S, Ohio 13 3/4 130- 5%1906. 2025 2070 70 -21/2% 200 Arbai (Etablissements). !91 201 200 Chaix «50 4475 100 I. Steaua Roman. 465 473 Chioago Milwaukee C. ] Ç 12 ./̃ A 1/2%19O9, I5 25 B 90 AHemaaneI924(Dawes)tO0 I. lf|75.. 17200., Lyon 3% 1855. 215 213 25 Atel,& Chantiers delaLoireU 401 401 80 Librairie Hachette. ll« I.I4S <&>̃̃ Mon»» 14100.. 13600.. 0hicaBo Rock Island '51 14 •̃_̃ Angleterre 21/2% 385.. 395.. 6 Bon. déc. r. è 500 470 464 .50 Const. Nord de la France. 525' 4 D. Utah Copper 3550 grie Radroad iTS » tiS ̃ *0/0Serbia4%amorti«sabl.!S95. »<•» 115 75 Ar|.ntin S 19O7 3230 3390 6%. 286.. 280 Chant. i'At.l. de la Gironde 70 70 50 75 Afrique Occid.ntèlMC-)- 3015 3075 ̃̃ == Illinois Central. U? 4 i 27 4 Turc Unifié .94 25.93 20 B_ sfe 1909 3300 3440 S%: 255 1* 30., de St-Naraira.. 415 414 23 02 Air Liquida (parts)* ^"•70? CHANGES Naw-York Central 1|7 7j8 27 4/8 <£jd:?£^«^: & î: J^^tu: « •' « z âd:F^ § f ̃ chatimn.comm.ntry. ,», m»- $;; !harar(nEatab,i;;VmVnu): wf «à L6ndrM 10 ig « ^X!?!8; ga m g-w

Son ue de Lendres et ~ex,o.. 215 12ù9 Belgique 1873 43.. 43.. 3% Fusion anc, 204.. 206.. ,75.. Cl1àtl!~n-Comm.ntry. 150[ ~489.. 200' Chapel (Etablissements) 3870.. 3825 Londres 160 10 .162.45 R.adlng. I:¡:; i:4 87'3t4

Nationale rdu Mexique. f!5 •• \W> ̃̃ Brésil 4% 1889. 36450 382.. 2 i/2% 202.. 206.. 12 Deçauville 85 85 70. CiragK Francaia 1000 1000 New. York .32 97 33 39 Southern Pacific. 3/4 43-I/4 OttomW^5o'p U92 1200 5%Funding. -•:•̃ Midi Bona décennaux 6% 468 469 Dyle a, Baçalan, pnv. 145 17 50 Continentale Compteurs à Gaz. 219.. 220 Allemagne /8+50 793 Union pa!f,o 48 1/8 45 3/4 1810 Crédit Foncier Egyption 4675 4695 J909 (Pernâmbuco). 810.. 820.. 6% 267 50 265. > ord 90.90.: 52 50 Gaveau & C" 580.. 570 Argentine •••̃• Anaoonda Copper 48 8 ïn (.01810 Crédit Foncier Egyptien 4675 4695 Bulgarie 5% 1896 669 •• 679 j- 5% 245 230 40 Electro.Cabla (ordinaire&l Haour (Etablissements) ̃;̃ •• Belgique. 10| 95 102 25 chino Copper. -• J| <* "> •;> 10 Congo au Grands Lac ,605 605 i 2i/2%19o7. '590 610 4%v 211 21150 85 F'ves-Ulle. 4295 1270 55 ..BecAuer 710 685 ..Danemark 8ÎS Ray Copp.r î 0 MB .V

.L. 1. Nitrate Railwsys 1800 1794 China 4% Or 1895 560 Nord 6%. série F 325 50 325 50 50 Forge.* A^"Huta-Bankowa_860 .860. 30 Maroc (C" Générale du) .••.» E.pagne 497 50 504 utah Copper. «j -ji «

"L.I.. Nitrat~Rsilways. 1800.. 1794., China 4~0r.I,695. 560.; Nord6~ s~r1,a F.325 50 325,50, 40~ Forg:o~A~"Hu.ta.Banko.[. .B(¡().. :B60~ '30 Maroc'(C""Géné~al. du). 396 e~pagna.u" ,497 50 UtahCop~er. 149,¡h 143 i/.f.

5%1962.. «g 1315 •• .5%! séria E 287.. 236.. 43 ForB"4 Ao""MarmeaHoméc. 463 «P.20 Tabacs (C» Générale des). 245 K40 Fin|ande. •• •• American Téléphona 97 5/8 '» 7»

80 b. Wagons-Lits ord 1495 1475 5% 1903. 685 655. 4%éri. D 272.. 272.. 15 Jeumont 260.. 255.. 200 Tabacs au Maroc 3680 3699 Srèe0 •. Amencan Car «i F. 5{ « •«

L. I. Central. Minina 2710 2715 4 i/2%-1908 2000 1993 3%. ancienn 490.. 16 25 .<p.rO. »., 1030 1015 .45 Union Comm.ro" Indo-Chino' 6M 653 Hollande 1315 50 1348 50 British American Bi Tobacco– 30 1 29 3M AI' 50A; Rîo-Tinto 6075 ..6105 Egypte Unifiée. 527 536 2i/2%.sérieC 229 30 Méditerranée (ForB^ïrChanU. 322 325 £0.15.3 Land Bank Egypt 2035 ,talia 'f| •• 123 50 central Leather. 319 319 V ,50th, RIo T.nto, 6075 H 6105 » Privilégiée 458^ 6%. 1921 tran. A 278.. 275 50 20 Forges fi. Fonde1"* Montataire. 445 440 250 CréditfoncierFranco.Canadien 9500 9560 Norvi,ge 718 General Eleetrlo il'i/i «])<

L.t.2.4Aiole (Norvégienne). 1610.. 580 Espagne extérieure 425 Orléana Bons décennaux 6% 464.. 464.. 28p. 50 Nord Espagne.1. ̃•- ••• Pologne <1OO zloty) Bathlehem Steel.. *> I22V8 t3T 1/4

15 ah. Lautaro Nitrate 741 742 Haïti 5% 1910 .780.. 780.. 6% 285 ^79 35 Danâîn-Amin 157? 1560 22 p. Saragosse.. 2180 .•••̃• Portugal ̃• •• U.S. Steel Common. •" || »' <J

1610 Hellénique 1881 1750 s% 248 50 279., 33 72 Lorrain. Min" 4 Métal). 35O p. 980 35 f. b. Rouina (Algérie) 800 8!0 pragu 100 70 Royal Dutch.. •••• « f 8 53 46

ÏA. Oriental Carpet. i. 605;. 610 Hollande 1896 •• i- •• 4% 22 50 220.. 100 Matériel de Ch. d. fer (Cf FrJ.; 690 700 SosnowicB 1070 1070 Roumania 13 10 13 60 Shell. «> ''» « «« 4'

HeU.niqua1881. 1 750 ,5% 248 50 279.. 3371. Lorrain. Min" 8< Méto:lI.350p. ,980.. ~5 f. b. Rouina (Algérie).800.810, Praguo. 100 70 RoyaIDI.\tc:h. 45 51'8 53 4!

60 b. Pétrofin. 1260 1263 Italie 3 1/2% »? 95 88.. 3% «ne. 22125 220. Mater, de Transport, -.120. Suc Raf. d'Egypte (parts). 2000 2001 SuM, 873 50 897 50 t.t.,M., 1,600.000 LA5.isM6r.r*etR»ffineried'E8ypte. 1069 !060 Japon 4% 1905 587 55 605 Oue.t 3% anc 204 20/ 75 ». Métaux (C" Française). 1410 1415 85 p. Tabacs de. Philippine. 6400 6410 Suisse. 637. 645 A«»jr«a totale» j j i 25 iflTibsc, Ottoman». 674 690 S%19O7 550 50 565., r- 2 1/2%' 181.. 193 V. 50 Sonm.ftàubtvat ..». 029 010 56p.25 Tabacs des Phili°B. (parts). 4200 4125 Vi«nn«a0O.»hi!linfl«). »..• •:••̃• '• > ̃->̃'̃ ̃̃, ̃ ̃ ̃̃

Gillette (22) 82 7. Mme J. Aubert (20) 83 8. Mlle J. Olivier (18) 84.

Ces joueuses sont qualifiées pour disputer (match play) la Coupe Pasteur. Les meilleures cartes score brut sont qualifiées pour le Championnat de Saint-Germain.

Médaille de première série. 1 J. AugusteDormeuil (12) 67 2. F. Goudard (14) 74 3. W. Parsons (9) 74 R. de Knyff (16) 74 et J. Weinbach (14) 74 6. R. Goldschmid (8) 76,- et V. d'Ornellas (16) 76 8. M. Auguste-Dormeuil (14) 77. Ces huit joueurs sont qualifiés pour la Coupe Halbers. Les meilleurs scores bruts sont qualifiés pour le Championnat de SaintGermain.

Médaille de deuxième série. 1. A. de Viefvillë (24) 81, et H. C. Welman (23) 81; 3. M. Oslet (27) 83, et J. Nouel (23) 83 5. E. Maechler (28) 84, J. Lévy-Haussmann (26) ,84, et M. Siot-Decauville (23) 84 8. J. Sevestre ;(2l) '85.(.i-> .)i <i;U:ih vm: ,'il'iiqi.iin:) a< ̃ Ces joueurs sont qualifiés pour Coupé' Franco-Américaine.; ̃

jl>a, Cowpe ;du> Ppisidenti aL.été>igagnép ipaP

W.- Becci, battant d'Ornellas, au. 22" trou. Sur le parcours d'Ormesson. Au Golf d'Ormessôn, les joueurs sont de plus en plus nombreux. Voici les résultats des médailles de juin

Médailles de juin. 1. Max Desouches, 78 2. Sarrade, 79, et Luchaire, 79.; 4. docteur Ed. Gros, 81 5. Ettlinger, 83 6. Maréchal, 85; etc.- Médaille réservée aux dames. 1. Miss Sutter, 84 2. Mlle M. Sarrade, 85 3. Mme Lartigue, 90, etc.

BOXE PROFESSIONNELLE Gipsy Daniels contre Marcel Nilles. La réunion de -la i salle Wagram, ce soir mercredi, comporte à son programme un combat Gipsy Damels contre Marcel Nilles. L'Anglais Gipsy Daniels, qui battait récemment Francis Charles, devrait remporter, semble-t-il, sur notre compatriote, une assez nette victoire.

.̃̃ V "< tir ̃/ Cercle du Bois de Boulogne. Hier, au Tir aux Pigeons du Cercle du Bois de Boulogne, le Grand Prix du Bois-de-Boulogne, 1 pigeon, série, a réuni 76 tireurs. Résultats 1. André Dubonnet, 14 sur "14; 2. duc d'Ayen, 13 sur 14; 3. docteur Ralli, 12 sur 13; 4. comte J. de Breteuil, 9 sur 10 5. comte de Waldner et Eugène Labiche, 8 sur 9. La poule suivante a été gagnée narïL. de

iLunden,S. ,MA,MouJay Hafid" et Lagnier.

Aujourd'hui méixredi. Grand Prix.' 'de France, 10:000 francs et une médaille de vermeil: Entrée, 250 francs. Un pigeon,* handicap.. '• ̃.Faisceau. "Voicf'lés r'ésultatsvâê'siitirs de la Société Le Faisceau (seniors),' au stand Gastinne-Renette

Poules au pistolet, au commandement. Première poule 1. R. Lefranc, 2. A. Garros-; deuxième poule 1. comte de Vibraye, 2. R. ̃ Canet.

•Poule à la carabine sur pigeon mobile: 1. Ch. Colonna de, Giovellina, 2. E. Lefranc., Le Challenge Devillers. Le Challenge Devillers, tiré au cours de la Grande Semaine civile, à Magic-City, a donné ces résultats 1. P. d'Ariste, 2. colonel, Ferrus, 3. Morineau, 4. P. Girardville, 5. Georges Galand, 6. Ch. Léonard, etc., etc.

L'Assaut au Pistolet. Voici les résultats de la dernière réunion

Poules au pistolet gagnées par P. LucasGirardville, P. Najean, P. d'Ariste.

,Poule au revolver 1. Najean, 2. général Lepelletier, 3. Carteret. •̃ La prochaine réunion- aura lieu le vendredi 11 juin, à 20 h. 30, au Golfer's Club (ChampsElysées). r

EDUCATION PHYSIQUE Une démonstration d'éducation physique -La démonstration d'éducation physique que doit donner Mlle Andrée Joly aura lieu ce soir, mercredi 9 juin, à 18 heures, 69, rue de Douai. 1r.

j"" ttu ~~c~i ,i,=;

",i:'j

POIDS ET HALTERE®»» « La soirée de Fhaltérdphile Glubr de Paris

L'Hit.terophile Club de Paris organise pour après-demain, vendredi 11 juin, à 20 heures 15, au Gymnase Voltaire, rue Japy', une soirée dont voici le programme ̃

Match de force entre. Vibert, champion de France 1926, et Legrand (HIC.P.). Assaut de boxe française et de canne entre MM. Saurin et Guelpa, de la salle Charlemont. Matches de force franco-allemands entre Survigny, champion de France 1926, et Mulberger, enampion d'Allemagne 1926, et entre Dannoux, champion de France 1926, et Strassberger, champion d'Allemagne 1926.

Assaut d'épée entre Lucien Gaudin et.l'adudaht Pinson, maitre d'armes au "1Ô2* d'artillerie lourde.

Tentative^ de record, par Charles Rigoulot. Frantz-Reichel.

Salm'G"bain..Cnauny< 475.: '165 Corr Zl35,>. 285..1. "r," "1.40 .1" d.:I',h,do"Chlna, 1955, '9~ Cibitis transfert 40056 41Y->S6,

Le Courrier de la Bourse

̃'̃•'̃ ̃"̃:̃•• juin

La tension des changes s'est encore aggravée aujourd'hui et il est manifeste que la pression exercée par le gouvernement sur la Banque de France pour l'amener à engager une partie de son encaisse, n'est » pas étrangère à cette crise. Les démentis diplomatiques de M; Raoul Péret n'ont; en effet, nullement- effacé -l'impression que le gouvernement médite un attentat contre l'indépendance de la Banque de France. ̃

Nous avons rarement la satisfaction de nous trouver d'accord avec' M. Vincent*

AûribT. Raison dé"BIiiSupo;éfF'^pTàiid'i!r"'à-'

son discours "d'hier à'Troyës «: Quand1

on demande M-t-il .dit,' d'utilist*. «près là"

.on dem.' ari.de/'a:.t¡W d. it.l' d'tltilis~. 'TRprès.lâl'

massé de m£lno31uvi-è',îl'ùti"ae"laJ Banque" pour faire un simple jeu de contre-spéculatiôn, sans but déterminé, ce serait pure folie. Et si le gouvernement faisait cela, nous serions avec la Banque de France, dont l'or doit servir un plan de restau-' ratinti monétaire, contre un gouvernement qui voudrait le gaspiller pour des coups de Bourse sans résultat. » Le député socialiste a raison. Si l'on en doutait, il suf- firait de parcourir la presse étrangère. Ce conflit interminable entre le gouvernement mal conseillé et la Banque de.Fran-.ce, qui défend l'intérêt national en même temps que ses libertés statutaires, est pour beaucoup dans le décri dont notre monnaie souffre sur les places étrangères; II faut en finir au plus, tôt avec cette irri-.tante controverse.

Le marché des changes a été fiévreux toute la journée. La livre, qut nous avions laissée hier à 160 fr. 10, a fait jusqu'à 165 fr. 85 pendant la matinée. La clôture, s'est effectuée, en Bourse, à 162 fr. 45' (+2 fr. 35) après 164 fr. 90. Le dollar a terminé à 33 fr. 39 (+42 centimes). Une certaine détente s'est produite dans l'aprèsmidi et les derniers cours étaient pluss calmes. ̃ ;>

Sur le marché des valeurs, l'activité était moins grande qu'hier. Des réalisations "de bénéfices ont pesé sUr les cours de certaines-valeurs jnternationalesl Le1 bFuit ac- couru que 'l'intervention Sur le- marché; des changes était abandonnée,, mais qu'on' allait agir sur' les valeurs, comme éri, l'avait fait dans d'autres circonstances. Il n'en a pas fallu plus pour rappeler les professionnels à la prudence. On n'a pas. cherché, à forcer les cours et on a plutôt fait de la consolidation, ce 'dont il faut se féliciter. Valeurs françaises irrégulières et peu animées^

Nos Rentes sont franchement lourdes. Fonds russes et mexicains soutenus. Les ottomans reperdent leur avance d'hier. Le Chinois-or 1925 gagne 62 francs, à. 1.242. Etablissements de crédit irréguliers' Banque de France, 11.550 Banque de Paris, 1.236;; Lyonnais, 1.657 Union'Pœrisienne, 839 Comptoir d'Escompté,' 899 Foncier Egyptien, 4.695 Foncier de l'Indochine, 550» .'••̃"̃̃'

Le Suez reperd 125 francs, à 13.925. Groupe électrique délaissé. Mines métalliques soutenues Rio, 6.105; Utah Copper, 3.550 Penarroya, 1.242 Balia, 254. Les métaux sont en légère avance à Londres.. ̃ ̃' Phosphates et produits chimiques tirré-: guliers Ruhlmann, 514 Péchiney, 1.359 Gafsa, 957 Azote Norvégienne, 1.580. Sucrières calmes. ̃• 'V^fM Pétrolifères bien tenues aux environs d%s leurs cours ;«ié4 SA#:ÎTO4^SJSnfeÉ

'FraMeo-Améncainef,'JA5m%^«^tju ̃•«

Sùd-AfrïcËiûêï et Caoàlenétktîré&x&ns

grande modification sur, leurs coars précédents. .• ̃̃ r:ùJ ̃ ̃ Au comptant,' Banque .WMionale d'Egypte gagne 225 francs, à 6.250 la part Electricité de Paris 100, à 6i-325 ;? Guergour 150, à 11.150 part Minière du' Congo 250, à 7.750 Port du Rosario 150, à 14.900 part Haut-Ogooué 155, à 8.625 Télégraphes du Nord 200, à 4.500 Djebel-* Djerissa 180, à 4.175; part Franco-Javanaise 250, à 8.200 Sumatra dividende 275,. à 5.200 Suzannah 250, à 6.400 part Thanh-Tuy-Ha 350, à 10.600. Hévéas de Cochinchine, 340 Ouest Africain, 1.615. Gaveau, 570. "L'Information croit savoir que les résultats du dernier exercice sont particulièrement brillants. Les bénéfices s'élèvent, en effet, à plus de 4 millions,. chiffre que' la Société n'avait encore jamais atteint. C'est une progression de 45 0/0 sur l'année précédente. On voit que l'impulsion' donnée aux affaires sociales commence à porter ses fruits.

niiiiiiini

INFORMATIONS FINANCIERES EMISSION DU CRÉDIT FONCIER DE FRANCE. L'émission d'obligations 7 0/0 foncières et communales, du ̃*̃̃ Crédit Foncier de France se poursuit avec le succès auquel on devait s'attendre en raison du crédit de notre grand Etablissement de prêts, de la nature même de ses opérations qui consistent en placements en première hypothèque ou en prêts communaux des fonds qui lui sont confiés, enfin en raison des avantages exceptionnels attachés aux obligatio'ns' offertes à l'épargne. SF les obligations anciennes ont subi'une dépréciation quil,provient du renchérissement àa l'argqntrfet au/iieis.t.ilftnopns|queiw^du'. Ijaux ipoins élevé de l'intérêt a la da,te e leur émission'! Qes titres" aetùènëm'â'nt'i&ini&offrèiït des avantages1; njDUtfekusdxet nconsidéraWes quit les ^arantisjsentljconti;eilesi é.VienfcuaUtés(.ïle .baisse et,leur assurent, au. contraire, une hausse correspondante à portion de prime annuellement acquise. Prix d'émission 480 francs, payables ̃ 250 francs en souscrivant.

230^ francs la délivrance^des titres du 1er. au 15 aqût ;i£>26.. ̃

Intérêt dé 35 francs par an payable par semestre.

Remboursenoeiitipar voie» de; tirage au sort annuel à 1.000 francs par obligation en 50 ans. Goupons et prime de remboursement payés net de l'impôt, actuel sûr le revenu des valeurs mobilières.

Les épargnants soucieux de faire de leurs disponibilités un emploi qui leur présente, en même temps qu'un rendement très rémunérateur, une garantie complète pour l'avenir, doivent seliâterfle réaliser leur souscription sans plus attendre, l'émission devant être close le 12 juin.

CRÉDIT NATIONAL pour faciliter la réparation des dommages causés par la guerre. Assemblée générale ordinaire du 8 juin 1926.L'assemblée générale ordinaire des actionnaires du Crédit NatiQnal a été. réunie le 8 juin 1926, à Paris, sous là présidence de M. Louis Martin, directeur général, président du Conseil d'administration, assisté de MM. René Chasseriau et Charles Letondot, scrutateurs, et de M. Roger- Ribièrc, secrétaire général, désigné comme secrétaire.

Les bénéfices nets de l'exercice 1925 se sont éleVés à 12.826.157 fr. 29, auxquels il y a lieu d'ajouter les bénéfices reportés de l'exercice

précédent, s«>it'au,;totall4a97.627,.fr. 09.

Pl'é. cos e. nt, .t..raU,;1otal, 14!}97,6~7.f.r. ,.Q9, ¡

|»r,;ces bëftéfiqç.s,'5.681.él'8;ff: I8,sb,nt tjffeç-

jés, impôts compris, à la libération partielle ë aë!jf ''Sciions' dé' 'Société, raison de 25 fr. p^#itre. •̃ '̃- '̃'̃̃ "••̃ ̃ <•̃ 'î- ̃̃ inexécution de l'article 64 des statuts. un versement d'un montant égalsera fait à l'Etat. La réserve légale a été dotée de 641.307 fr. 86, ét492.682 fr. 87 ont été reportés à nouveau. Le dividende, payable à partir du 9 juin I;flâ6s a été Uxé'h 6 0/0. brut, soit 6.60 net par 'action. La Société., prend à. sa charge lés" imjïôVs àdditionnels-établis par la loi du 4 décemfire 1925.

ÏTM. Lucien Bbrdet, Gabriel' Cordier, Henry iDaïcy, René LaedQrich. ont été réélus administrateurs pour une durée de six ans. M. Albert Delatour, memhce. 4e- l'Institut,, ancien conseille^ jd'Kat.adrpinlstra.teur du Crédit Çomn^erpiaJt'^Te France, 'a' été' élu pour une. durée de cin^Vàns, en remplacement de M. Francisque lAynàrd, démissionnaire, et M. Léopold Pralon, président de l'Association Centrale pour la reprise de l'activité industrielle dans les- régions; envahies, vice-président de la Société des hauts fourneaux, forges et aciéries de Denain et d'Anzin, a été élu pour une durée d'un an, en remplacement de M. Robert Pinot, décédé. Les pouvoirs de MM. Machart et Rendu, censeurs, ont été renouvelés. M. Rebuffel, président de la Société des Grands travaux de Marseille, a été nommé censeur, en remplacement de M. Despagnat, décédé.

i– ̃^«^s»..

La tempête s'abat de nouveau ̃ 1.: sur Ig. Bretagne "̃̃

'jt,'r!a u1U .fi~ -t~'m,.) .<.

S'gjle tfenipête.dusud-Quest-s'.est, abattue suc

les cotes bretonnes où' elle déjà causé desérieux dégâts. 'Í'"

~rl~r.). irG~~lil)~i"À~t~~I A.! MfM a~ j

Un orage sur le Charolais Un orage d'une grande violence s'est abattu lundi-soir, de cinq à sept heures, sur la région charolàise.

Un jeune homme de..quinze ans, nommé Georges Bornarel, domestique chez M. Paul Lougefay, aux Plaines, qui conduisait. un; chariot sur la route des Echarmeaux, fut tué net par la foudre.

'j& Saint-Bpnnet-de-Joux, le jeune Michalefj âgé de 16 ans,.a été renversé et brûlé par le fluide à côté de ses parents. La foudre a communiqué le feu à un immeuble, à Matbur. Le vent qui soufflait en tempête, a renversé le mur du cimetière et brisé plusieurs monuments funéraires. •La, grêle est tombée sur plusieurs com-. mûnes, saccagant les récoltes.

^Mr^fei^a^nîle^Pfena^;

Académie de Médecine

Guerre à l'alcoolisme

Une série de vœux

à l'adresse des pouvoirs publics

Après une discussion du rapport présenté par M. Marcel Labbé au nom de la commission de l'alcoolisme, discussion à laquelle ont pris part notamment MM. Lapicque, Letulle, Carnot, Siredey, Pouchet et Coutière, l'Académie de; médecine, en-séance d'hier, a voté à l'unanimité la motion que voici,

L'Aèiiëtètiifè, ~'xqidP a-i<tfn'jëûr1s)étë'i'lâ!'têtëde'

la croisade antialcoolique et qui, déjà le 10 mars 1903? avait fô'rmuîd'"des viiéiii, encore d'actualiîëj!'1'"11"»'1 3iisr>(-: /.••̃n^uin •̃,b 3 Considérant que la recrudescence de> l'alcoolisme constitue un danger pour notre pays, Croit urgent' de reprendre la lutte 'contre le fléau national,

Et émet les vœux suivants

1° Les lois promulguées contre l'alcoolisme pendant la guerre devront rester en vigueur et devront être appliquées rigoureusement 2° Le règlement sur les succédanés de l'absinthe devra être revisé, précisé et rigoureusement appliqué

3° Le nombre des débits de boissons 'alcooliques, fermentées ou distillées, devra être limité

4° L'utilisation alimentaire du raisin non fermenté et du jus de raisin non fermenté, l'utilisation industrielle de l'alcool devront être facilitées

5° L'éducation antialcoolique sera organisée dans toutes les classes de la société. La propagande antialcoolique par les, individus, par les ligues et groupements sociaux divers, par l'Etat, sera développée.

Trois autres articles ont été réservés et renvoyés à la commission pour complément d'étude.

Ils sont ainsi conçus

Le privilège des bouilleurs de cru sera sup- primé (ou sérieusement limité). Les droits sur là consommation des boissons alcooliques devront être relevés. La limitation du nombre des débits de boissons alcooliques devra être accompagnée de mesures dîhygiène sociale comportant la construction de logements ouvriers sains et, la.

çr^atjpn.d^vllejix^ç, r^unjions populaires, où ne;

Seront cohs.piningès j^uë des boissons. non al-

cooliques. -••̃̃̃ ̃̃n ̃̃'̃ ~ùl- L'Académie a, d'autre part, discuté le rapport de M. Renault sur le Livret de la mère, entendu un rapport de M. Siredey sur les eaux minérales et une communica- tion de MM. Sergent et Bordet sur les abcès gangrénéux du poumo.n, 'd'origine bucco-pharyngée. Dauzata,'

Ch. Dauzats.

LA SAISON

D'ANNEC\

L'Impérial Palace, à Annecy, qui vient de faite une' brillante réouverture, est. sans contredit le rendez-vous des gens sélects.1 Magnifique vue sur le lac. ̃ "Parc séculaire. Tous sports; Dernier, confort. Prix spé-,ciaux. Cuisine très soignée.

DE CHATELrQUVQN

La saison s'annonce -très brillante nombreùses arrivées1 au Carlton Hôtel Continental. Une situation incomparable sur le £arc, une vue merveilleuse, ces avantages joints à un grand ga^i or,t >çt à,Jne cuisine rer blement^héé^ fosPl'h^W^e pluS l^aW de la clientèk élégante. M.. ')

jliii~t~â:r" ~Ji~l~'r~~ ~S9

*̃̃"̃ » ̃ ̃̃̃ "V^V^l ̃ ̃ ̃'̃– !̃̃!̃̃̃ l–

M,ARIN~`~I~`~1

Bordeaux, 8 juin. Vingt-huit honimes de l'équipage du vapeur Kentacky sont arrivés aujourd'hui à Bordeaux,' bord du paquebot La-Bourdonnais, venant de New-

Jork. 1 00'

Pendant la nuit du 24.au 25 février, le Kentucky, faisant route de Dunkerque à New-York, fut soudainement bloqué par les glaces, à 1Ç0 milles environ de TerreNeuveV •̃

Le 'navire, prisonnier, attendit des secours pendant plusieurs jours. Les glaces desserrant enfin leur étreinte, le vapeur Sylvia put porter secours au Kentuckij, gravement avarié, et le remorquer à SaintJean-de-Terrë-Neuve.

Le reste^de l'équipage sera prochainement rapatrié.

LES GRANDES VENTES PARISIENNES Beaux manuscrits, tableaux et objets d'arts

in

MI Edouard Giard et, M.. Georges Andrieux terminaient hier, à la Salle 9 de l'Hôtel Drouot, une vente importante de livres et d'autographes curieux, qui 1i absorba deux séances. Parmi les livres, citons l'édition originale, sur japon, de l'Anneau d'améthyste, d'Anatole France, qui fit 2.000 francs celle, sur hollande, d'En Ménage, d'Huysmans, à laquelle on .avait joint une lettre autographe elle fut adjugée 2.650 francs. On vendit des autographes de Mme là comtesse de Noailles, de Guy de Maupassant, de • Camille Mauclair, etc.; dès' lettres de Mallarmé, de Verlaine, do

Paoïi!XraléBy,r"ebij:ï(!iaiipasseportl<îui,.fut MM-

vrél)&Rimbau$ p0.Url,jion,VOiy!age;,4ull Caire, $,<

BeyjjOjn}^ (&ept^hre ,.1,88,7,), ,,à .enfin des mar (

h ey"l. w1lh (lWt~rl'b.re.M¡¡'1¡).«;t, '~ç n.. 4esma,

I/.U o~ t 7' de Tlljl,ar. J,'au m;and" Ra".

childe t de notre éminenf collaborateur Abel

Hermant ceux-ci atteignirent !dés prix ihté-iressants. Celui de Nathalie Madoré, avec une lettre de Banville, fit 2.500 francs celui de M. Rambosson, avec trois lettres d'Alph. Daudet, d'Edmond de Goncourt et de Zola, 5.000 francs celui des Mémoires pour servir à l'histoire de la Société, 6.200 francs ceux de Confession d'un enfant d'hier et d'un homme' d'aujourd'hui, 8.800 francs, et enfin, celui de Train de luxe, 10.000 francs. Tous ces manuscrits étaient reliés en maroquin plein par Canapé..

Hier a pris fin également, à la salle 6 de l'HOtel Drouot, la vente, des objets d'art 'et d'ameublement ayant appartenu à M. R. et garnissant le pavillon Sud de l'ancien hôtel de Noailles, à Saint-Germain-en-Laye. M" Henri Baudoin et MM. Mannheim dirigeaient la vente.

Citons quelques enchères Trois grands cadres en bois sculpté, xvn° siècle, furent ad"jugés 4.900 francs deux panneaux en 'bois sculpté, d'époque Louis XV, 4.700 francs une pendule en marbre blanc, genre Louis XVlj 4.700 fraïics un grand lustre en bronze, garni de pièces d'enfilage, pendeloques, etc., 8.000 francs un lit en bois sculpté et peint gris, avec baldaquin et rideaux, 8.500 francs; un piano demi-queue, de Pleyel, 8.800 francs un piano à queue, de Gabriel Gaveau, 12.500 francs, et enfln, quatre rideaux en velours rouge, avec bandeaux brodés à armoiries et fleurs, 9.000 francs. La collection de M. V. dèfT "dofct la vente est dirigée par M° F. Larr-Dubreuil et M. Georges, Guillaume -e^ se terminera aujourd'hui, a doririé lieu avant-hier et hier, à des, enchères surprenantes la Statue improvisée; toile de l'école de'Taunay, a atteint 11.150 fr., sur demande do '5.000 Bacchantes et satyres au pied d'une statue, toilç i& ̃. lannanière de Vallin, 12.000 francs sur demta'ndej.çie 3.000 fr^ et Personnages autour d'une piece d'eau entourée de ruines et de constructions, panneau métallique de l'école italienne, 21.000 francs, sur un départ de 500 francs.

Maurice Monda.

Chronique militaire L'augmentation des soldes dans l'armée On sait qu'une commissipira été récemment instituée en vue d'examiner les augmentations de traitements: civils et5militair res que nécessite la constante poussée .des changes.

En 'attendant le travail définitif de cette ^conxmi.ssion,- il a été admis qu'une alldcâtion d'attente serait allouée. Oh croit; "qu'elle' serait; calculée sur le taux, de 12 p. 100 des traitements et soldes actuels et serait applicable à partir du 1" mai.. Indemnités d'absence et de déplacement A des relèvements de soldes notoirement insuffisants correspondaient des indemni- tés d'absence ou de déplacement qui ren»daient tout à fait onéreux pour les 'militaires de carrière le moindre changement de ,gari}isiqn, ou toute a}lée ,et venue à des Jéaamf Stâàss oâ-'hi^îiœuVisds/r'i X Une série de décrets publiés au Journal

:rYf.fiit:i"¡.VjJ:1v.ept/ f>fI 1~WI:v.CU1ents

ffiÊÈf W&ÊM |n^^ecï

feSntJf ii«^ll9Sïi,¥emni.té jour-

#p~w,éntr~ a~j~t~lemnité jonr·

nalière de déplacement, les taux ci-après 44 francs pour un colonel ou lieutenant-" colonel, 40 fr. pour un commandant» 36 fr. pour un capitaine, 32 fr. pour un lieutenant ou sous-lieutenant,r 27 fr. pour unw adjudant et 22 fr. pour les autres militaires." Ces chiffres qui se rapportent aux. chefs s de famille, sont très légèrement réduits pour les célibataires.

Etat-major général

Par décret en date du 7 juin 1926, renV du sur la proposition du ministre de lar guerre et du ministre des colonies, M. le' général de brigade Jaquèt, cbmrnàndànt l'artillerie du corps d'armée colonial, n' été nommé au commandement supérieur, des troupes du groupe de l'Afrique orientale française, à Tananarive, en- remplacement du général de division Dhers, ra-, patriable. ,? i


NOUVELLES RELIGIEUSES

L'Oral des Frièr«auPrêche>frs en 1925 La Dççi/meiitation catholique vient de publier une statistique généralel'Ordre des Frères Prêcheurs en 1925'. On y 't trouve un .état des missions dominical/ nés 'dans les pays sans hiérarchie ccclé»siastique complètement constituée et dans les pays pourvus d'une hiérarchie ecclésiastjiquè Complètement constituée. Un troisième tableau donne le nombre de; dominicains et dominicaines. t>es<. religieux de l'Ordre de. Saint-Do- minique -sont au norabeé-. de, 427 chez les

infiô4lefe):efi4>147a«»3e(ÎJpiÉppia«s,vtta&Anlé*<

ri4uë'I'6èn%ki{ë<B(ffi'fawoChiO)l H"y»ai>fi.4O2?

religieuses r:a6fo%c'afn%âeVë'f;J1i& .îHffîîè>!

il, ')1) '(\)' ,1(

J,qpajeiy,,PQEpu,Chjli, ,,r'.

lies ^"ré^es'^Mîn'eurg Capucin^' danç îës" '• pays de missions La Maison généralice des Frères :Minëiy's CapuCjns, vient publier les sta; tistiqûes générales dés missions' de l'Or- dre pour 1925. Dans les pays strictement dits de .missions, c'est-à-dire ceux dont l'éyangélisation dépend de îa S..Congrégation de la Propagande ou de la S. Congrégation pour les églises orientales, on compte 44'4' capucins missionnaires prêtres, 31 capucins iridi^ène^ prêtr.es,' 117

prêtres séculiers indigènes, 145 sémina-

p.r~tr,cs. sc:cl!licrs, lI1dl~çl~e~, ,H5 S~hl!na.:

ristes, indigènes, 745, religieuses mission-

naires, religieuses indigènes.

La population totale des régions con-

fiées a 1 apostolat de l'Ordre est estimée

à 1 02 millions d'habitants dont 149.334 catholiques européens, 381.624 catholiquèç indigènes et 34,038 catéchumènes. Communisme -et Religion

̃Les Dossiers de l'Action Populaire publient une série d'études intéressantes sur le socialisme et le communisme français en lace de la question. r$ljgi,eiise.. "<

Le VIP Centenaire de saint François

!e ,V!IO~tn~tr.e esise ,saint François,'

̃ «J^^fe-d» ̃ ̃

:A l'occasion 'dû VU' ^miHVhiiïêkm;;

's&ytt-. FràflSoï.iàl'ê^sé'^i ^ÀWw^Mi-

m^ie?- réunit, ,,d,aii§ J^^g^uft, dç-iMpiei-fo

qu&Jatine quelques, .notas sud «raf origine::

~e.,la..légeudo.=fiauéiscaipe «"J!I.o.gini1:

detla •légende.! fÉanfciscaine ?> en les^-pre*.

pahï tan<; 4&tib'i®«I>Jêgende dorée du bien-

ILJE~M ri¿I-U- -1" E'lF})H' -l\\Ar/r\B-IHL' '][.E".

l^EHIÏ^ 'IMMvQ &l\)'Jl~R

;p )f~'F~G~~1~~ 1VIIN~7f'2~1~3

'r–t?-<H«tttt'

Vënie an Pàlai3; de Justke,à' Paris, Jte_7JuïUet 1926, à 14 he~res

.GBANDtMM£URLEIDE:'RAPPORT

COMPOSÉ 'P~9'U",9" CORPS DE SADMENTS

;R~.O

IIUE DU,LOtl¥~E, J.5.,a .JSbis

Et Ru > ~m' ss~,ra~o ~$

'<!10L !J],znm8t1'rÕnhîOtUfttte. ~,t1tB tr ~d~-d,t~7f,flâ'b ~Lr~l~tâR~ï~~ il

8~,¡q;¡O Zlf¡;t'r;Trr9m~)~.r. f'nf'1t d' ~JJ'MII¡r:TA'" -,r.VlIHA}V:,

,{M1SE. ,Ii..P,RJ'X:' '6"J)"OQ.Oro.OOE~FR',JAiNCS

~âdxesser a JII` ~TI~:BE;RGO~!Z, auoaé, ~3~ô; .rue~ Sain~-Hor~oré, ~é:/JÍl>ç~9l-f.~p,o~"erGr,ôlous: 'av,(>\t~?'~ ~i" de Ridder, Dubost et Ferrand, notaires. et M. David, ad~ninlstçateur judiciaire à Paris.

Uaison à Paris, R. St-FLORENTIN, 6.' Prêt C. ^.F. à 4,50 0/0..Coni.: 347'm. env. R. br. 70.343 f. M. i p.: 1.100.000-ï. Adi. Ch. n; 15 juin. S'ad.: M" PERONNE,18, rrdé la Pépinière; Père, R. More} d'Arleux, Laverne, Faroux, Ptoix, ja.pt. à "Paris, et Xâuveroç, notaire 4 grunoy,

;A adjuger s.'l ençb. Chambre notaîre$ 22 juifl

MAISON DE RAPPORT A PARIS (17e ARR.). RUE NOUET, 68 Cent.: 630 m. R. br.: 59.887 f. M. à p.: 820*.0ÔÔ f. [SVd.: M" Reyel, n., 28, av. Opéra, dépos. ench.; ̃ MM.Auzoux et Hervé,gérants,165,Bd ftaussmann IMMEUBLE A il^LLWS jà«B.,b.: 55.955 f. M.à p.: 650.000 f. Adj.Ch.n.Paris, •le 15 juin 1986. S'ad.au n.: M" Chauveau et A." jDAUCHEZ, 12% rue La Boétie," déposit. ench.

° -?.

V-V-X-jri3i3B'x>3ES. îP'A.Itl.SS.

L~1?`~S~i~N1' `',

DU (PÂMP DIeMftRS

ADJ"s' ieJ8^Ç;h/iïesNot.1iiiar4i22 Juin,13h.cC

I 5T#raïns Sangle r AVENUE EMILE DESCHANEL RUE SAVORGNAN DE BRAZZA AtU£ ADRÎENNE-LECOUVREUR

VOtE NOUVELLE

ET AVENUE DE LA BOURDONNAIS ) (V'Iot, ilollO) S" 6*7m 50.M.A p.1 .1OOS. le mètre ̃ C/"tof,i7o«iï;S"77)m10.M.àp.1.1OOf.lemàtra ,i (lltlot,ilott2/S"iQ0m.U.à.f.i.4OOfl.lemétra r; S'_aii.5Qt.:M"B0NNELctBE2iN,i4>r.iics"P^raniidM V^nte Palais Paris, lfi juin 1926,' à ,2 'heures IMMEUBLE R. JGUFFftOY, 6547

'A¥» MILLIERS fifiCont;: 1;275 m- envir.

~b ~s~8~ (.ont:: 1.2î5 'm: envir::

bf. a P 1.500-000 f. Rev..br.. 48.T~0 francs,t

M. à p.: 1.500.000 f. S'ad. p, rens.: M"' Léveillé-

KizeroIIc, av., el A. Lefcbvrc, not, Greffe criées et sur lieux avec permis visiter. .Vente au Palais, le 26 juin 1926, à 2 heures GRAND TERRAIN U eanten. 6 hect. 2 a res

2~ .cent, env., commune de f"

W. DE POMTOISE ^a3chltsc^imte": ̃ MQNT Ï«SI|V-LSS-CORMEILLES, arrondis.

de VERSÂ1LLES: Entree en

(JûLissamie immédiate >i..À-n,; 5J.0.000 francs.

I' S'adresser, Paris" AÏ'1 "André DlïV»L,

CârnieiS .avoues,, .B-\RASHOΫfc.,s»r«lJçi faill.,1

1*' «jÇ- a.e^lracji} .DeUsire, itoiiafSw Sfwïiiillard.i

apaà^clè; jM rue -d'A^.siir «,-i etBàjtifeiîilib^

notaire a "Frrtnconville CSeine-ct-Oise).- Et

&ur place.

MAISON du XVH° s. à Ste-Berbe-sur-Gaillon, boiseries, cheminées sculptées Louis XV. Adjud. 26 juin 1920. Mise à'prix: 15.000 francs. S'adress.: .Aï1- Simoncau, not. Gaiiloi; lEurc).

~c-

BRUNOY: 2 terrains. Cnnt.: 2.110 m., 47 1 m. Libres M. à p.: 20.000 fr.; 9.000 fr. Adjucl. Ch. not. Paris 29 juin. S'ad. nr:i.: Desforges, et Breuillaud, 323, r. Sainl-M::riin, dtpos. ench.

Adj. Chambre not. Paris 29 juin, 13 h. 30, de

UN HOITIËIË pg Z «EUILË3

sis à Paris (3° artondissement) ̃

1 1 bîs et 1 3 Bouf. HÂUSSMANN

Si'R LA 1-ERCEE DU 'Bd IIACSSMAXX Mise à prix: 1.000.00C de trinc^

S'ad.: MM. liari:ch-Léry, 13, i-. de Phiilsbourg: M, Gardy, 74, rue de Mirnincsni) à Paris; 11° Chardiny, nol. à Lyon, et à Mc DE MAKNHAC, not, 3, rue Laffitte, Paris, dépositaire eucli.

heureux Jacques.de Voragine, que dans Jfoergensen, Théodore de Wyzewa et Chesterton. ̃•• ̃̃ ̃ ̃<̃' ̃ Chrétiennes et païennes

Le prôblèni'él'éducation des jeunes filles se pose à notre époque avec' une assez1 grande intensité. M. le chanoine Dutoit le présente sous forme d'un dilemme, dans Chrétiennes ou païenne^11 montre 'la richesse de l'idéal chrétien et inVitè 'à se défier 'dé brillantes théories modernes qui développent'- surtout !dan$

11l$J~}1Ç¡i l¡¡tm9l1Fcl!réf¡BfCn qhpl'~M1! ',1 r

Il;'1\ s¿Jm.l,r,~P k>t!lJik1o!i~IIJii:fiÆ¡"i(YJ' Ii

des religieux anciens combattants “:̃̃ j -ffè'^apHr^&ft âiira"lleji"Fra -ba^ii ïi^l^ê T»buihiartre"; a^'h^ùres.une niesse' pour les' religieux morts au champ d'honneur, célébrée par S. fi. Mgr Crépjn, auxiliaire de Paris. M, l'abbé BeFgey prononcera une allocution. A 10 heures *e tiendra, (31, boulevard du -Temple); Rassemblée gé-* nérale de la "Ligue des religieux 'anciens combattants qui, à 18 heures, .se rassemblera à l'Arc de Triomphe, auprès de la tombe du Soldat inconnu.

Le VII° centenaire

de saint Francis d'Assise Le comité exécutif pour l'èreziion àiî monjujuent.de saint François sur le mont Subasio, dans l'Ombrie, a lancé un manifeste' invitant à participer à la souscription. ••'̃̃* Le manifeste est signé par les personnalités italiennes Jes plps éminentes, M. Mussolini, les ministres,, les maréchaux piaz et Cadorna, Je grand amiral de Bérvel, de très nombreux sénateurs et dépu-" lég, les Pères généraux des ordres religieux et p,ar dèaombreuses notabilités catholiques. ;;v< La croix du Oolisée •̃

On n,e,,va pas tarder à inaugurer solennelkmentila erpix qui v®. être érigée- dans leîCoMséroiM, AjitoHMS1 Mtaiez, suriBiendtot des moMîmenjs animues? aélièVe'de'niettfiiv la 5 den/tèFé'' riiMn auX^iràVâû^^Wb^alpf' k-es. ̃ -• h ̃ < JLes* cérémonies de> i'iflauguratipn sejont à la fois religieuses' et civiles. '̃̃.•̃

COMMISSAIRES PRISEURS

VENTE aux enchères publiques

TABLEAUX ANCIENS ET MOCP par ou attribués à Calmelet, Cals, Clairin, Clésinger, Domingo, Georges Legodard, Garat, Jules Noël, Netter, Roqueplan, Stëvêris, Thornley, Vallet-Bisson, Wencker, etc.* Eventails, argent., porcelaines, armes.MEUBLES ANCIENS ET MODERNES Hôtel Drouot, salle 3, le 11 juin ^926, à 2 h. Raymond OUDÀRB, c.-pr., 48, rue Richelieu. M. Damidot, expert, 10, rue Jlpssini. Exposition publ. 10 juin 1926, de 2 £ 6 heures. C t~t- A 7-1;c~.« i LJ x

'j,-i-h:, :i:~<'U!

̃ nSiîjuB?; -Magnlf; •.•pe^'TClagïE^U.. fenslsisnfce

t.; construit en 1527, ent. remis à:neuf-av. tous conforts mo,dernes. Pare splend. 3 hect. Résid. d'été idéale, 15 pièces. Chasse, pêche. Notice historique sur demande. À- Vendre; Ecrire et visiter Mayeur, à "Brantôme ÇDôrdognc)."

y _*i."

ghâteau ou b. villa ij'é.lég..«rchtf joli pairç, tèr-rass., eau-dëia v., iélcct. vue adm. s. la Loire. 150.000 fr.'Morais,- 24, BdHeurteloup, Tours,

ï OIR-ET-CHER: Château, gd conf, et chasse 650 h; plaine, bois étangs, beaux tableaux. 2.000.000 fr. CKâteEiis de 'France, 9, r. B.ayard. -'VIL- P~ I I

COfHP8Eai8E, PBES LA GARE BILLP VELIA avec bclIe distribution. Ufekbb WlibbH Jardin et garage. r Libre de location. Prix 150.000 francs. S'adr. M. Deguingue, 97, rue Réaumur, Paris. L'ETUDE DE CHATEAUDUN

vous propose

2 DOQUÊTTES ¥IULJS FonS)lcau

Q5nf. înod. Jyr4i«s. 75J0D9 îr. et 130.000 francs.

Nt )<.<(.B«SfHt(t<).«9th'Uj.C.3:-t. f"

&P_!î!l¥-ftS^TPl:t^l«-n<>rman^ ̃iialiUeuo

rft'JBï W^|Çv»ji3gstj i2kiloniètres..Tout'

'a' 7¡~ joseraM. Prtxj 25f~e0~~an6iS' i

Qrt. Jardiq, i,!j: 25 OO'n«t

~.ré-~ë-'CKM~e ~~a~g~

~s~ 20 km..BiarrMz, a louer à l'an-

née, une VILLA vide, 9.000.et

pour saison, ung meublée 12.500, silons, s. à manger, 5 chambres, !>al. b.iiiis, chamb. bonne, eau courante; électricité, tonnù, canot, rivière, océan, foi'£t.

S'adresser pour renseignements:

ALHAMBRA, rue d'Alzon, J3ordeaux. Visit.: Ag. DURAND,

Capbreion (.Landes).

aMUIT COTTAGE meulière 5 pièces,

CO«UET ÛOTTAÛI ™* M5, tct .iartlin, garage, poulailler, 2 minutes gaiv Haidrïeourt à vendre aux enrhè.-cs, le 20 courant. S'adresser pour visiter ;'i Mine Brière, 3, rus du Port, Hardricourl (Seine-et-Oise). 8SAMÛË ¥11 aVSC «««t-abri Vour

K"H!5WB W1H.H yacht. Gare. Jardin 5(K).

inctrcs. fa'iidr. ASTO1X, architecte à Cannes.

RappeJ«j[j|* à .ce propos qu'lutiiefoisVvi l'époque de la Rome papale, orï' avait èah-" tume de faire, dans le Colisée, tes stations*

du Cb^em^a^de^la Croix, ei^ souvenir ,,des«,

du.e~i~ç,de~ ]a Çro~x~ e~,spgvenir ~~g$~,

cHrêuens qnl siïbirenriè«JmâE£y.Fa'ifflïiH

cette enceinte.

̃̃•- :•' :-P*,0l;.I#SlO»ç4<?f.

LE CATHOLICISME A ÉTRANGER

y,= 'fb'"

';̃; AU Mexique ;̃.̃

Le Président de la Républicjuo mexidflt- ne, M. Gallbs, dans; une. Jettrë adressée a l'archevêque de Mexicoj .Mgr Ji^'ç. M^ça.. répondant aux plaintes quef.;eelui^i cayaji élevées au sujet de la persécution ir.eiigièHt';

se;atf,Mëxi»H<.«,i1dltIl6nti5cJ&ïitt<<îs thôsosJie'l »

-F'" ?" 'Jf.r.fi l: t'}'PJJI1~tr 'jb ~fJf"1, zu:t)~

,^|Sache?i. nnpTtois .p.o.ui't,outes,qu'aucuiift

agitation iait^BialiiPe'rou jextémeinœ: aaj$>ayB7

n&^feifk ^uiè*ilè5"^otïveiinéraêh1<>;ichanige'S'ii

politigiie 'de stricte- app1icatjô|i' "diiS" 'lô*«

du pays. » "'fJ ''̃ sJl?"r%

pays: »" ,q, )V"·A [~ Fi/v .~1

'i"t!

LÂ,VIE WW&^Â

· ~4

Travaux publics à Madagascar ̃ Le gouvernement généraLde. Madagascar va mettre en adjudication sursérrê'de priï' les travaux d'une voie ferrée de 160 à 170 kilomètres, entre Fianarahtsoa'^et '}à côte. Est. -Ces' travaux sontéy'aluës, â'iOO Hiiï': lions de irancç envirpn.' 'i',t '{ Les personnes. ou sociétés désireuses de- prendre part à l'adjudication devront en: faire la déclaration avant le 15 juillet 192G au gouverneur général ,4e M^fj^gascar, 4.Q, rue du Général-Foy, àiParis.

-M. ^»>f>r^rv. '̃̃il .i1 ;i.'i.'4'

te Championnat^ autQpiobile ;f". des artistes ;],

~j,, J r

Une des pjus bejles inanîfëistatipii^ d^i* Parc des Princes sera le Championnat Âjif

tomobile; des artistes, qui se dispjiterà venjj

dcedill juin, à .2 "h. 30, dans ce vilodroni)çsi'i Cette •%r1etuV# Wf'g^gHëé"1!^ defnîef'

paiv'^[; G'éqr^s 'iMilïon èï par ^Jle. Yt^nïi^

Cuçtïï ïfte fiéijait çelieusumé® d,ç; très, nçn^'i breux engagements. n sait qu'il s'agit plutôt d'une course de vitesse, en un nwSt d'une épreuve d'adresse et d'élégance;1 ̃̃

̃ ̃ ̃ .•! ̃' ii.l

.!r p '.1 v.r

.>. ;r 'r

PROPBIETES A VENDRE,; rappbïtrigrémënt

HEBERT Bel' fermes Pleine vaUééd'Augf. "Wf*6i place Victoire.' ?IiISIEUX.'i; "<̃̃

t-» ̃̃̃ ̃ i'

LOUER MANOIR 12 pièfces, confortiahlX&l jment meublé,' situation exéeptionneiiç Bagses-Eyrériëes, pêçlie, châsse, palombières, jardin potager et agrément. "Ecrire: BourdcuDiguerre, 8, rue des Cordeliels.PAU, -is: TOURAINE: Prop. #gr., ,çonf., jard. Vue sur vallée. L. Berthault, Ç, place Palais, Tours.

.̃•'̃̃•̃? -?̃ "'̃&*)

VERNON Jolie Petite PROPRIETE 10.000 m., séduisante manifestation de l'art des jardins, sans grand* frais, pour amateur

ûr£jstè aimant Je beau. ~e cajtne, e~p1u~ d

oie

,V~~ 1 ,I ~~4,~#°th9dt 2~1 4 !n'

¡VIU;s' n ,r~ ~~n ^an,l ;n '1 bv

')~ p!'t«o f:~h 'JO x~nnohi~ -M.

~i..ü~]~ ,gpji1:~

|Jl V#NDRE, près LA FERTE-Sôili^rOUARiRE' BELtl PROPRIETE fi

Jolie .vjlla meulière, jard. agrém., yejcger, pj-

Jo.ll. ,vm~ ~eUlièr~j~r4. agf',c.m.YIj): 1/

tsAer, terrain ioisé.. Sûjp. i hectare l/£^-

Vue splendide sur vallée dé la Marne. Ch. Noël et G. Belfond, 1, iuc RoSslni, Paris. ° 40 km- Ouesti site çhairm., jpr. fpn PROP. 1 hect. cl. de murS, mais, aiic: ;••̃̃ Sal., sal. à mang., bill., buri 5 ch. de» maît. Comm., gai- potage Prix vente.: meub.: 860.000 francs. (25U7) MM, MATER et JACQUAULT Frères, 18, rue ̃ ïlçyàle, Parft.

FORET DAI' L-,i): ":J.H",

FORET D'AVENIR DA^S LE "CENTRE 250 hectares de. chênes à vendre. f Prix intéressant.

Vincent, 16, rue d'OrJéans, Néuilly^sûr-Seinéi1

_J 'ciT

vendre, S.-et-M., proximité MVret, FERME 129 hect. dont 26 bois. Libre :r mars. 1927. S'adr.. pour, jensi et traita à MM^ Emile BEER-; ET' FILS, 77, boulevard Màlésherbes, Parts. ̃

"i~

» vendre FERME Carriettes, à .W-UMA'RTïN.EN-SERVES (S.-et-O.), 13 km. Mantes. Boas. bâtinj..et 15û.hecUdont 90 en labour et 68h;erlj. Louée- jusq. 1er- oct. 1928. S'adPi. pour rerts. à M* Guyon, not. Mantes, et pr trait.. à ,MM«1-mile BEER ET FILS, 77, Bd Malesherbes.Paris

KORMAND1Ë cnlrc Evreux el Louviers

w*l™i!!f HXKOBgG1»! «T£&v^oi|P5 hecta^;

o,RQJŒ'e: d ~v~5 he.cflll!j!fb,

Taillis de<14.ans.. Bellts-'ch^se .vendre à '.Bas*

'L'a il. lis de "a,'ans. ,Bene. '~h<t~se ndr«.,à :.HII<>

mratolwS'àd! 'M.- AvrB^Krilîinn, 1% rue F^ra»

dftK;,là>?arisv -.félé^h:: %'4gra« 14^54. SCUDEfi A vendre -'>clle maison- histotiqus, grandes pièces de style Louis XIV, libres, sur 1.400 mètres, 2QO'.OJ0) fr. Renseign.: Iniprimeric, 6, rue Papillon (Provence ,47-79'>. 0OTE.0OR au~.`

Superbe PROPRIETE de ;^S hect., vignes, cultures légumineuses et prés. Gentilhommière datant de la Révolution, de 14 pièces principales, nombreuses dépendance?, garage; "remise, éc, etc. Prix: 135.000. S'ad. Office tllg Prpfiriétés, 56, Faubourg-Saint-Honoré (Elyïées 91-90).'

Normandie. Vcndr., Calvados, belle ferme, 'ïr. b. sit., env. -24 hect. Bât. et. nf.'Ûb. 29 sept. 1926. Renseign. M. Champrosay, Argentan. CATIGNOLLES: Très bon imm. 6 et., 2 bout., pas Rcv.: :«.000, fera. 45.000. P.: 525.000. F.à cons.R.-L.Bersot, 1, pl. Pal:iis-Boui'j)Oi](I''J.26-44)'

I EVALLOIS-PERRET '(CeittW vi'hcj U- yeiiV fc dre, libre de suite: Beî IMMEUBLE industriel, rez-de-ciiaus&re et premier tris clairs, avec sous-sol et combles ar:cnhg'*iÀ, lerr-iiii 1.560 mq, étages 1.000 nifj, ^our,- garage, «juai de chargement, montc-churiii1: iii;iï;\l.ii!.s, bureaux, etc.. S. A. C. K. Cl iK.ulcva.-d Haiisbinann, Paris, lui i'absier..

A VENDRE, 18" ARRONDISSEMENT BEL IMMEUBLE PIERRE DE TAI^ •Rapport: 45.00(1 franc;; environ. 1

S'adiesacr M g $<MMM <. vY HOCHE

gyrcsscr H.-L. SI^ON ^g

n, Ÿ.3~RI9 -r- ~r_

Rorte Versailles: Imm. rapp., Confort. Rcv. r 90.000. Hyp. 530.000. Prix 1.108.000 fr. MESNIL ,et Cir, 49 bis, a\cnue ÏIoclic. ^f^lSï P (à 200 m. àù ia Plact): Be! in<mcu!/lc fcBtifllUfa p de tj app. 4 p t| i_ de h j,ev 52.000. I' 785.000 dont 120.000 au Foncier à 4,4'S 0/0. M. GA.NET, 22, rue d.. Pont-Neuf.

BÊbM~phlU~

EDITIONS RARES ET EPUISEES

QUELQUES CAHIERS VERTS

it Aurobb Sa?jd' Encarnaçion, W 36, un ex. sur vergé bouffaqti avec un hommage de l'auteur .u. 20 fr. J& Claude Anèt Veuilles persanes, n" 32, un exempt, numéroté sur vergé bouffaiït.' 20 fr. <}f Piebup Dominique Notre-Dame- de la Sa?esse, n" 37» exempl. numéroté &ur. vergé boufc ant; 20 fr. ^B.Rbnç; Jûhannbt E\age. du ppiffgeçi^i français, n* 39. Un exempl. numéroté sur verfié bo.uffiuU '20 fr. >. ftj^Hôjip bï. Jf&frSHAMyteJilJnç, relève. ,Un ̃ r i^^MSfqffif^mf'f «méf °lî>- -(tofj.^fi $mm

~-J~h~s (~ApE~6~-<af,rrDrpa~e<Mt.em-

3~i~)~. ~~J~~MHB~L

1¡f.P.l'l188'.H, HF.I,{G;,ilj'lf,~ ~'L é~e~~fo~~t ~~p 60 -li,

«>t,.J.ÙLè? P^ABETiÈ pu\}j.oli, vix) vpl. fort irtTj6 br., fton'cbup. Edit. orjg. sur pap. de Hollao-. de,' très grandes 'marges, Paris, 1890. 60 fr'. Lés 'tf eux volumes ensemble 110 francs. Jt Choipc des .lettres de Mirabeau A Sophie. Ouvrage. c,o.ijiBlet ,eji quatre tom.es jn-12, les topes I et. s II .sont ornés, en frontispice des:

poytr. de, Mirabeau et de, Sophie graves à

f.m;tr. dc:J\!irlibeau hroclr. Sophi!) Il!}YÓS

l'eau-forte; ^xempl. broch. ,sous' couv. neutre

d'époque, impr; sur papier -y orge à la forme, grandes marges. Paris, 1811. Exempl. en bon état..> ..i 6Q- fr. v?5 Louis Bertrand, de l'Académie française Flq.abett a Paris du le Mort ̃ vïùanH. Un vol. in-16r 7 de. la Çoîlect. des'Cahiers Verts.

Paris, 1921, br., non. coupé. Edit.^qrig. 35 fr.

Jt MaodeLbin^e MÀnx ("est Iq lutte finale

(Six mois en russie soviétique). Un exompl.

3 sur grand papie'r'de ïloflandè. ̃ 70 fiJ. 0* PAUL Champagub Titulaire de lit Rosé au Tournoi des Rosati-, Rêves et réqlitési poésies. “•̃••̃ •̃ ••* lQfr. COLLECTION « L'INVITATION » JtWl. G. Goouiot La Terre frottée d'ail, 77 ^dessins :de Raoul Dufy. 20 fr. JIN" 2. -r- Pieitoe Bonardi Les rois du maquis, '74 devins de, H. Ep.s'tein'30 fr,; POUJJ PARAITRE

i?t ..J>A> Rossy jeune La Forêt landaise. G. CoQUioï Au pays des tulipes. G. Reuili.aud Grasse Normandie. (On peut souscrire à notre service de librairie.)

i/ïVE|is 'pU^RAgES^É CQLLECTI^Si ^8 IsA^Eiji.E.ÉBEjv^pp^^iraarâ le.fqrçat, |néT ait,rÇo,Uei;tù>?i «;,Le& Am.is d'Edouard,», nf 5.4, trè*'ffre-. (•w-.TOTrfioHfrW'-trëivr": ^yAN^Tows Eiiançe Skt.- la. pierre blanche, avec bois de J. TTéfalinos, tiré sûr Rives à 1.000 ex., Cgllecùon les Çhefs-d"<Euvre. 90 fr.

5 et.: .1 app, p. et., 5 p., eau, gaz, él., t.-à-ï'ég. 'Sup.: 441 mq. R.: ^.SOO. Tr. b. état de constr. P.: 390.000. Denis, 76, r. Strl^âzare (Cent.54-07). Sain t Augustin BEL IMMEUBLE D'ANQLË 6 belles pièces principale^ -par éta-

ge dont un- libre à la vente. Loca-

̃ tions commerciales. Ascenseur. Re- ̃ venu actuel; 112.000 francs très à

̃̃• augmenter. ̃ Prix demandé 1.950.000 franco.

BANQUE IMMOBlUtRE DE PARIS 34,;BOULEVABB MALESHEBBES.

..ij'il. v,e t ̃

~Mm~~M~

l JOLI'OaOTE!0,7jlefté!; d8 -taaM~WAGANT. ii salons, bureau, 4 chamb., bains. 67âJ)OQ. fr. ^ïBAKSpSy, afl^vîS«B M la,lf»}^Rdefie.«/-

A4veiïdâe ~3 gâk hptels, séparémént ou com-

A;, vendre: 3 gdà hOtels, séparément ou cqin-

muniq*. tr. b. récept., t. dern. cf. Sit. except.à Ne»jny,5fer.-Edouard-Nortier. Vis. de 3 à .5 h. « louer à bail hôtel part. 15% 10 p., jard., tout cfi, ss'i-ep* loy. 25.000 possib. garage, r-. Ecrire: RAVUT, Ç, passage Dombasle. UEUILLY, dev. Bois, lux. h6t. part., sup. réc" tÔ. ch. gd cf. Px exc.: 1.800.000 francs. N^VÈU, 41, rue Poussin (Téléph,: Aut. 09-32).

SAÏNf -AUGUSTIN: Hôtel particulier pouvant convenir pour bureaux d'une dizaine de .pièc. dont plusieurs grandes. Libre. Prix: 1 million. (1577)

S'adresser: MATER et JACQUAULT Frères, 18,. rue Royale.

A VENDRE, LA MUETTE

HpTEL PARTICULIER, très grande façade, 4> grâhcfs sa! verrière, sàllc? de musique, galerie, 6 très belles ch. de ni,, 12 de domestiques. S.000.000 ie f rawes. -̃* TIFPEN,'22, rue des Capucines, Paris. PÏTiVAVENilE FRIEOLAND HOTEL PARTICULIER libre: Sup. 500 mq. Prix: 1.600.000 francs, facilités.

^ÉRaifiaosiE ?̃ %«r:rnn: ̃ ̃ ̃' ̃ ̃ ̃ v: > ̃ 'f =

A venaï^^lusréuriTHOTËL^ivéARSlCULIERS

^de 200 à 500.00*» francs. -™ CHÂTAIN, 18, r. d^l'Àrcadc (Central 27-93).

fe '.tendte, Paris, 16" arr.: Joli HOTEL partie. libre, tout conf., garage, 500.000. Jardin. Voir LEFEBVRE, arch., 15, rue Madame (Fleurps 14-46.) Reçoit de'10 à 12 h. DOIS DE POIJLOÇNE (Près): A vendre joli petit HOTEL particulier libre, tout confort, garage, 225.000 fr. Facilités paiement. Voir LEFEBVRE, architecte, 15, rue Madame- Reçoit de 10 à 12 h. (Flëurus 14-46). Babylone, hôtel par|», 7 p. princ, loy. 12.000, lib. de.suite, sans rep. Cliquet, 5 r. Laborde.

NOTRE SERVICE DE RECHERCHES est à votre disposition pour vons procurer! L'APPARTEMENT v%Eg OESIREZ Tous quartiers Toutes conditions. CONSORTIUM IMMOBILIER, 20, rue de Liése.i Europe, ,7 p, ef.r .M.OilO; Anvers, 6 bel. p., fc 8.OO0. Etoile, 7 p., cf., 12.000; Dauphine, garç. lux., 2 p., bains, 4.000; Çh.-Elysées, 9p., 'confort, 30.000..Echanges et. meublés.

,̃• 'TBgyjjjj); fo ^e|fiL|ft. r-ç: ̃.

APPARTEMENTS 4 VENp)tI~ ~r,~Z',JAs~n7n,tr''

.APPARTÈMEXTS A VENORil pr.vM°jrijilini:

~t~u~~l~~t~opi~~ti'°~il 7 R,l~'P4~MF8 .;raSl!1,'i~b,

Mg.$ J^ntf."S;'«rtifSè <féll;irt.ï^)«aysgD4 -Boâi^iç»

B(HiI.. Poîi't 'Mïraïiëau, 8, 7, -4" et 'S p. logem.

chamb., cf.nl.,sa1.,b.lsc"cq.c.Eç, :Chantraud,O,P J. 2O1,B<1 Muîesherbes ou s'y adr.le jeudi 14h.30àl7 Âppartertiepts GRAND CONFORT, 4 VENDRE RUE DE LA FAISANDERIE, >T0 35

Disponibles pour novembre 1926.

Rez-de-chaussée 6 p., et 1" et, 6 p., av. garage. Pouvant former bel hôtel particulier. SERVICE IMMOBILIER, 55, rue de LYON, 3" étage. t Téléphona Diderot 33-08. Le matin ou sur rendez-vous.

Bppartements non meublés à louer, lib. de s. ci pour juillet. Bertrand, 95, rue St-Lazare. BEAUX APP. A¥. SALÛ^ITiiS A V"E\DRE, îTouv. imin., sup. vue, sal., studio spacieux, 3 gdes pièces, gd hall, s. de bains, toileltp, tout dernier confort. Sté SACEHM, 14, rue Nouvelle (9« arrondis.)

~,) {'.E\ ,rIAt;

Jt Standhal Lettres il Pauline, annotées par R. de La Tour,et L. Roy«r, avec trois portraits originaux, un des tirages sur Arches, hors commerce, Collection « Les Textes,».. 40. fr.. Les petites fleurs de Saint François d'Assise, Collection « Le Livre catholique s, bojs de Reyre .[. 33 fr. £ MoNïPAucoîf pas VitLAiv Le Comte de Gabalis on Entretiens sur ̃ ̃ s sciences secrètes, édition compléta avec (ioux études littéraires sur les origines' de la Rôtisserie de la Reine Ppdçiuque. Gollectipn « Les Documents ésoté.^ riques ». Epuisé. Rare, Un des 50 holl. 70 fr, H. PB Régnier Les Jeux rustiques et di- vins, pprtrait par P, Gandon. ̃ 50, fr. PRIX DE LA RENAISSAN.Cp Jt Emile Zavie La Maison des trois fiancées,. 102B. yh des :100 ex.; réimposés sur Làfujna, rare y. :150> fr.ï f5diCiiA.uaE.a"iw^aR •Mpn.vnfle.. Benjamitt, jédjf tion complète, avec dessins de L. MétivetéS ff£)

)~ idsalr RAVHfn<t.:S3''nE~6'uatH'<t~E:L;e{tu~aM&

|j| (JaiV BtAVHKXKS?,iiïsisii6uêill<eçttesje(iijpaBàËr,

avec illustrations de Steinlen .d .s'1?. fiv-60v jj* riBEsSngEàlioTiEM'Etaa&'iEniîMteff Maïi{J«»ï <««tc des sU0es7%iMnmhÏF;v;?..l"3.e.rf. /£> frî^ >St PiEftRB! Ljqu-: rPHme jelmasse, îfsjiite-.iàu jRqnian, d'un enfant, 'originale: .c.̃ 12 ifo..

̃. '̃. mi.ii^i^ ̃̃)̃:̃̃ _/̃

Ecrire ou s'adresser à la Librairie du Figaro, 14, rond-point des Champs-Elysées.. Notre. service se charge de toute expertise de livres moyennant la somme de-2 jfr, 50 par ouurctge.̃ f F^rire offres de volumes très intéressants* Joindre un timbre pour la réponse.

m ,n gjf- JÊf- JJt [^ ]t ).

En Roumanie, les inondations causent de graves dégâts

Bucarest, 8 juin. -–Lés inondations; ont cause <£cs .dégâts matériels sérieux., Le pont de chemin de fer sur le Milcov, près de Focsanïi s'est effondré. La circulation locale s'effectue par transbordement. Sur toutes les autres routes, la circulation a été rétablie.

Il y a; quelques victimes.

Un vapeur en feu à Anvers Anvers, 8 juin. Un violent incendie s'est dêélftré à'-bor^d du 'vap'pur anglais

Pa~n~~a~arr~~p.ar~ ;qüt,p 6's

p.m:t. :V¡:'C}'IÜI1. '.¡¡I1!'j.'i1'tJ.s

pomp^çr^^i^ poçt,ieï<,ée4ixl.u,eila2v4'&r çom-.

battirent .JeoSiHistr.&o^q u:; .;»afI,j:i .(, .3ii Une,1assgz>)gvand> quantité de, uaa^-çhq^-

djses oijt. été perdues cf. les dçgâïs sgnt,

très élevés. ̃

APPART. A VENDRE R. LA F°^INE Immeuble d'avant-guerre, salpn, salle à mang., 2 chamhres à coucher. Libre'jànvier. 27. P. vis. et traiter: COMITE FONCIER, H, pi. Madeleine RECHERCHONS Appartements meublés, nbwnEnunund tt coiif., beaux quartierB LLOYD'S, 5, rue Boudreau.

on demande à louer appartement avec bail, loy. ne dépass. pas 40.000, sans reprise, si possible quart, tranq. et distingué, terme çctob. ou juillet. Ecrire: William, Figaro (Annonces). BTOIUE: Bel APPART. de 11 p.; conf<»t, loy. K 35.000.indicateur Commercial, 65,Ch.-Élysées A. F. A. •8, rue Edouard-VII i-JL FjA; IMMOBILIER

trouva,1 lça appartements que vous désirez..

.Ifcijuvl ait 'tui MC

APPARTEMENTS vendre, 16° «m,

3,

k, 5 ou ^|;<f rjf|^t^u|^6^i|fy|P%Heine

t~IIdJJfi)1 ~9~~

composition et quartier. H. GRQS$AKfî,

archit. expert, 20, rue Boissière. Y

APPAKTsEMENT non meublé, sans reprise, vue sur -le Bois, 9 pièces princ, 3 bains, loyer 60.000 francs. Mater et Jacquault Frères, 18, rue Royale.

PLACEMENT HP0|, BE ORD. REVENU NET 9 Q/0.

dans l'acquisit. beaux appartements, tout confort, 4,'5 p., loués 7.150, 8.250 et 12.000 fr. A vendre: 66.500 et 75.000 francs.

BIGAND-COQUET, 82, r. d'Amsterdam, 4 à 6 h.

MARieNAN-EiHANti .*&&££

mMmMn~n'E~n~MS~ offre à louer:

Etoile, 9 pièces, tout confort 40.000 Henri-Martin, 6 pièces, tout confort 18.000 Trocadéro, 5 pièces, tout confort. 10.000 DEUX âPPiRtEÉËNTS LIBRES Dans BEL IMMEUBLE à la PLAINE MONCEAU, d 8 pièces principales, confort, construction pierre de taille. Surface: 385 jnètres. J)ei|x .bputiques libres. rapport à, doubler; Prix de l'immeuble; '2.400.000 francs. S'adresser '6, OFFICE DES PROPRIETES,

56f Fauboujrg-Sainf-Honofc (Elysées 91- 90).

IS~MAKNN-MSSï

§gpéRflMENT| ̃

Oaieriej sâloiv sjû manger, 3 ch., etc. >,

̃ Grand confort.; A vendre .'̃ 300.000 francs. BANQUE IMPBiLIERi DE PARIS 34, BOULEVARD MALESHERBE8.

a IfjjjICp non meublés, libres de suite et « kMVKn pour juiljet) 16» et 17* arrohd., APPARTEMENTS 5 et 6 pièces, tout confort.. Barré, 11, rue' Tronchet (Madeleine). », céder. bel app. sit. Ch.-Elysées, 8 fepêtf.es sur avenue,, et comp.: Entrée, .pet- salon,, gd ^salon, salle à m., 6 ch. à coucher, salle de bains, lingerie, grand garage et tout dernier confsrt. S'adres. MARIGNAK-ECHANGE, 19, r. Marignnn, qui .fixera rendez-vous et fera visiter.

IIYOUS7'RIÀELSI:'

-MADELEINE = BELLE BOUTIQUE A CEDER

POUR LUXE. KEIM, 7, rue Castiglione.

Da'rrHptel %t immeubte;Bd St-Gçjma!r.18.iïo",

<• :.>*K^H>'iÔ|Q,kvÂiK|»00O^ WH.'«sic«îh,ft»sftW/Hs»intî

;l.«^)0,*ec. P<|?^§K ï-çi,«i|.lïî,-av..566,080f:*a!ejc

Hôtï'balni ay{ T4w.rî|ii •%• t,Stïî tiéhiï-nitti:

«̃13»:S0ft-ï"«nffi jet 5ffi.i'it\SÀW8'O<W,H«t;sï''êst'fiW*'3

•àKf.'fla!1??, M |ro a?f i'jjpop,- 31" ^kimiffi?'

av. "2OO;0"O0. Hô'tef-rest. vi'Ué maritiiné; E*î8"a:

1. 16.000, rec. 1.300,: 48 rios, t. conf., avec .450.000. BRUN, 15,. rue du Louvre,

./̃'̃ juÂN-iis-piiis •̃̃̃̃ Superbe terrain à lotir de 20.909 m. sur gde rte, à 600 m. de.la plage. Belle villa, eau, électricité.

CAPITAL A- DOUBLER EN UN AN. Facilités.

Ec: René, 67 bis, rue G.-CJeinenceau, â Cannes.

L*ART ET LA CURIOSITE E~'

Expositions

et ventes d'àujourià'imi

EXPOgiTio]sr:v

HOTEL DROUOT, Salle. n" 8.' -r- Expoââon publique, i-r. Tableaux ajideris et ju'odernes, Objebi id'Art. et d'Ameublement, Sièges, et Meubl.es, ijtot.. ;fes et Tapisseries, appartenant: à Monsieur -*̃ Instruments de. Musique des d}K-hpitièm.e et' dix-neuvième siècles, appartenant à "Madame jfi.j. MLI-Henri Babdoik, commissaire-ptiseur pi^uie^âa^fei^y^

'M"j'm;a~ 'b NTE

\.UsidirM srnM A oi?fi!V slIM ia r.^tfty.ffîg;^

HOTEL DROUOT. /$aUè'ii'> 'Ù– ':f enté' 'CciÏÏëctid'n de M\'V. de T:J. Première véiîté: Tableaux 'anciens, ̃ArgenteWe'Bronzes,JVIeuBles 'et' Sièges anciens, Tapisseries, Etoffes. Lair-1!1 breuii,, commissliire-priseur Guilla,umei exp.ert;' HOTEL DROUOT.– Salle m Vente. Objets d'Art' du Japon et de la (iiiine, provenant -des collections Raymond- Kœchlin,-Ednionde et Êarcel Gitérin et Ch: Salom'on. Lair-DubrEuii, et Baudoin, commisskires-priseurs-; Vignier et Portier, experts.- ̃

Curiosa.

PIGNATELL.l.^f-Montpensief.Expe.rtises.Vente publïq.Achat>nïjq..F alêiioes.^apisser.MeubV.ano. eto Réunions, Cours et Conférences Aujourd'hui .̃̃̃̃ i. Tribune Libre des Femmes, 6, rue Dr.ouot, 20 h. 30:: « La Tuberculose. »,dé.b.a| par-Mme de Grandprey et -M. Albert Udry. Les « Douze Sonnets » de Jacques Trêve, présentés par Paul Blanchard. Et ,:t Qitvsi le franc .? » .par M," Gu^b.ou4-Ribaud.

t,;)'J"?rr0tl) !ft- J'l., r 1t~t'.1~ J~b~ ,1 l' 1 .q}:,l"

TRÈS BEAU EPIei~l.ibBtGIV v W

i A.4Mg|, Ôaj^.)depâirt^i,l^9i. ,Louis_X^Î.

h' ¡ rr .m, "'1,,1;\111

Bibïîâth"èflue;i,j5mpjre, a'5iM,r4ivres' fedatf»-

chands ̃ s'abstenir). S'à^rçsser 105, rtie Jouffroy (17"). Visible de 10 à -12- heures* »

Si-MANDE, DEMI-LUNE BEAU TERRAIN A VENDRE

FACE AU BOIS DE VINCENNES

Service, Immobilier, 55, r, de Lyon (3" étage).

ENTREPRISES recommandées

1 •-̃ ̃• ,< ji yf- W. ;3^.i

-Zs -> PORTÉE 'AMERICAINES ""̃'

-mï! rraiouJ «>.tWî¥lll<f|'«^ ̃ >"y 'fi

v' '̃>̃ Garanties contée î'b.umidité ̃ s et le chauffage central -< ureaux et exposition: .->'̃' E. J. VAN DE VEN,

55, rue de Rivoli, Patlfc

ARCHITECTES, ENTREPRENEURS, etç^. ( employez pour vos V

DALLASES ET PAVAGES

LES PRODUITS REPUTES DE LA

G. G. Ci B>

Cie Générale de ta Céramique du Bâtiment, 46-48, rue de Dunkorque, Parjs.

CHAUFFAGE CENTRAL

Chauffage par le fourneau de cuisine

Electricité Services sanitaires i L.GUINET et Ch.SEGUIN, ingénieurs, 41, rue Hippolyte-Maindrçn, Paris. ̃̃

PAPIERS PEINTS

Etablissements PEACOCK et Cie,

16, rue Pavée, Paris ("4* air.)

PAPIERS PEINTS

̃ •' HAZEEER/ V •' •' .64, rue Hambuteau, ParlSi^«^r|pndissemeui').'|; i~

;]: ̃̃'FAITES RÈP^ifel^ r'

S|< 'VOS-1 ?TOrRÇ-BES EN ZWQi&a. VJT-RAiPEÇ. f

d'une façon écononilçfjifTytM durable '̃ put ̃.>•

Enduit hyàxufuge .spécial C Prix à forfait sur demande

14, boulevard Edgar-Quinet^ Pariç

ELECTRICITE APPLICATIONS GENERALES `, Lumière Force Chauffage Entretje^ et installation de colonnes montantes *j MAURICE FRITSCH, 7, rue Solférino, PAIÙS. PEINTURE VITRERIE RAVALEMENTS,: Devis sur demande

h. VANELLA et Cie, Ï9, rue Mjlton, PARIS, TAPIS SPECIAUX POUR IMMEUBLES Tapis- et tringles. pour escaliers >"̃̃' Passages toile et chanvre ̃- POSE.DEPOSE, NETTOYAGE ET GARDE Echantillons et devis sur demande •: Prix de gros

ALBERT ÇHANEE, 4 x

20, rue de la Michodièrp, Paris.- -̃.

–COMPTEURS D'EAU– ASTER ECONOMISEURS D'EAU «wlSifl

Vente Location-Vente Entretien forfaitaire Relevé de Consommation

JM) Anonyme -L'ASTER, et 8, r. Gandon, Pajris

:b.q "¡' 7'('" 'f,

|B i1:^iiiiiaiiEîiÊ "p | t~

;f?i >'̃ !.9,-»JaSe de la ..EftUçSJ-V Ea!;i?- J.<- '&

,,̃4! -S^|6l^iiegH''ff;ôn^iÇi#p; âratuitès' ̃9 Ses services" généraux bien installés ̃̃ >

•- Nombreuses références. ;• i.v I8, RUE DU VIEUX-COLOMBIER LES PAPSiRS PEINTS

de la MANUFACTURE BRICARD fHgaî»é < Dernières nouveautés en toiles peintes, imprimées, modèles exclusifs.

« FRISES DECORATIVES BON MARCHE ABSOLU

·

Couverture, plomberie, installations sanitaires P, HARTMANN

57, rue Sedâine, Paris (11° arrondissement).

Paris, Imprimerie du Figaro ̃ 14, Rond-Point des Champs-Elysée^. L'imprimeur-gérant Detot.


feoggamme des Spectacles

ÀIbertfJel".v– 8 h. 45. A bill of divorcement.

Antoine, -18 h..45. Pas sur la bouche. ApcJ^o. tfrh. 45. Les Bleus de l'Amour. Arts. Mb. Comane ci, comme ça. Atelier. 8 8 h. 30. Théâtre artistique de Moscou.

Athénée. ,8 h. 30. La Rose de septembre. Bouffes-Parisiens. 8 h. 30: Trois jeunes filles. nue/s.

Capucines. 'Clôture annuelle.'

Châtelet. 8 h. 30. Capoulade de Marseille. Cluny. 8 h.- 4^5. J'ai perdu ma femme. Comcdie-des-Chi.Wîis-Elysées. 8 h. 30. ̃Bava l'Africain;.

Comédie-F-xançaisé. "8 h. 45. Robert et Marianne. p

C die-Ca 9 b L nu

'Cat1ton. J[i')r;¡¡oll. >¡¡IU" 1" Le~Mage .!TIT-

I^ajiniou;– ^qiâche/i, -,Ql Déjazet. 8 h. 30rrr?T^nras.B4s?lsa-;fflèur.waj

Deux-Anes. 8 %l^Zut$ttàt>JiUi/u wsi-

Edouard-VH. 9 h. ,Mozaiiti Folies-DramatîfBues. 8h. 30. Souris Blonde.' Fémina. 8 b. 45. La Prisonnière (Sylvie). Gaîté-Lyrique. 8 h. 30. Le Voyage en Chine.

Grand-GuigrnoL 8 b. 45. Un drame à bord, Je Chevalier Cariepin, la Fosse aux Filles, Lucette et sa tante.

Gymnase. 9 h. Félix.

Marigny. 8 b. 30. Vive la République l Madeleine. 9 h. –vLe" Docteur Miracle. Mathurins, 8 h. 4K Le Mariage de Made- moiselle Beulemans.

Michel. Relâche.

Mfchodière. 8 h. 45. Passionnément. Mbgador. 8 h. 15. No,ino, Nanette. NouVéautés. 8 h. 45. La Noce.

Nouvel-Ambigu: 8 h. 30. Petite Peste. Opéra. 8 h. 15. Salomé, l'Heure espagnole, les Abeilles.

Opéra-Comique. 8 h. 30. Le Roi d'Ys. Odéon. 8 h. 30. La.Revue.de l'Odédni Œuvre. 8 h. 30. La Dupe.

Palais-Koyal. 8 th. 45. Au premier de ces messieurs.

Porte-Saint-Martin.. 8 h. 15. L'Aiglon. Potinière. 9 h. Un chien qui rapporte. Renaissance. 8 h. 30. Quand on est trois. Sarah-Bernhardt. 8 h. 30. Mon curé chez les riches. 1 Studio des Chansips^Elysées. 8 h. 45. Têtes de rechange, tjne visite.

Théâtre de Pari». –r.& h. 30. La Riposte. Trianon-Lyriquc. tffr 9h. La Dernière valse. Variétés. 9 -Jâ. F^- SÏonsieur fle'Saint-Obin. Théfitté de l'ÀVie*iré.\1-4U8Jhn:80i^î.ài<R«3VÙ'e de l'Avenue.: -OPE ?! '•' .i, i. Théâtre du Joûïiiél. 8 b. 30. L'Apprenti don Juan. n?!.lTîe .'•' •̃•' Théâtre de Dix-Héurès. 10 h. Blum-BadaBloum.

MOULINaROUGE-irg<^LM^^

= VU la Pevue Mistinguett

Champs-Elysées-Music-Hall. Le Revue de Paris iWedrano. 8 h. 30. l"rudaine 23-78. Ma•tinées jeudi, dimajnche et fêtes, à 2 h. 30. MABIVAHY La Croisière Noire,

JYIAKIVAUA de 2 h. & 7 h. et à 20 h. 45. ÀUBËRT-PALACE. r- Les Ombres du pas'sT., Madeleine-Cinéma. Les Ennemis de la Femmel CHRONIQUE DE Te S. F.

,|.

PROGRAMME

10 h. 40 RADIO-PARIS (1.750 m.), Informations à 12 h. 30, Radio-concert Lucien

Paris

Paris Statfortiter, marche; 2. Premier ,soir d'amour, valse; 3. Cavatine, violon; 4. Oh! vicomte, gavotte; 5. Rosa, mélodie; 6. Bagatelle. violoncelle; 7. Paradis de rêve; 8. La Navaraise, trio; 9. Une larme, un sourire; 10. Canzonètta, violon 11. Mima .rêvée 12. Troisième, menuet; 13. Rigaudon; violoncelle; 14. Berceuse; 15. Little Dolly, intermezzo; 16. Romance;. 17. Perruque poudrée et falbalas, sui-

te de.danses ancwnneg. ,;• 1,X'

16 h. 45,,Ra4iQrcoi}cert'X)r4aiiase'pa.TirA's^B-

oiation -des. mdi<h£ti(i$èvfê W«nç3Jff: ̃-«'̃

20 h., Résultats des cours, Gours co-Mmerciaux. Informations. ,Ha,v«s. a

h. h. 30,RadiPoép^erf t^e^a oriap^ Par

le journal « l'JEtebp.^e PariF *̃, aVefr- le 'édti- r cours des artistes des grands théâtres et de la Maîtrise de Sainte-Clotilde

1. Ave Verum; 2. Ecce fidelis servus; 3. Le batelier dans la nuit; La Damnation de Faust (Sérénade de Méphisto) 4. Concerto en la mineur; 5. Mélodies; 6. Regina cœli {chœur a capella); 7. Grand air de Mireille; Air de Robinson Crusoé Causerie 8. Alléluia 9. Ballet de Faust; 10. Trio final de Faust.

22 h. Chronique littéraire par M. Jean Fannius.

16 h. Londres (365 m.), Causerie « Hors des portes », Concert du New Gallery Kinema; à 17 h. 15, Emission pour les, enfants; à 19 h., Causerie « Anciens commerces et science nouvelle»; à 19 h. 25, Récital Haydn; à 21 h., Discours du Prince de Galles au dîner de l'African Society; à" 22 h., "Concert.

18 h. 30 à 19 h. 45 TOUR EIFFEL (2.650 m.), Le Journal parlé par T.S.F. Propos en l'air; Reportage parisien; La situation politique; La situation internationale La journée judiciaire La journée financière; Les dernières nouvelles.

21 h. 10'à 23 h., Radio-concert avec le concours de l'Orchestre des Amis de la Tour Trio, de Mendelsohnn Trois chants polonais Souhaits d'une jeune fille; Mélancolie; Nocturne; Mélodies; Ephémérides; Actualités; Fantaisie; Rondino sur un thème de Beethoven; Ballet de Rosemonde; Ouverture de Phèdre;" Trois mélodies populaires; Scènes pittoresques.

19 h. Barcelone (325 m.) Concert.

20 h. Radio-Belgique (265 m.), Séance consacrée à la musique et à la littérature norvégiennes et coifiSîrtr ̃' > a* î, 20 h. 30 ECOLE SUPERIEURE DES P.T.T. <458'm;), CausWfW^à-20 h. 45jOCcrars ae-littêrature, et à 2îh.7 Sv'nèe- de gàl*»- :-u.- a 1. Ouverture* de- §<xszi fan tutte; Avril au bois; 2. Sélection «ûr -les Dragons de Villars; 3. Frasquita (tarentelle); Sur les pointes; Par les buissons.

20 h. 45 Radio-Toulouse (450 m.), Concert avec le concours de l'Orchestre-jazz du Select Dancing.

21 h. Rome (425 m.), Concert.

Déplacements et villégiatures des Abonnés du «Figaro»

M. Georges, Adam, à Versailles; M. Pierre 'Auzv, à Marseille; Mme Paul Brunon, à Marseilfe; M. Georges Berlam, à La Varenne-SaintHilaire Mme Hippolyte Boulenger, à Thononles-Bains M. Laurent Benquet, à Biarritz; Mine Louis Bréguet, à La Bourboule; M. de Bataille de Sévignac, au château de Couët; Mine la baronne Camille Baude, à Cannes; Mme Marcel Caron, au château du Pavillon; M. Henri Cordier, à Aubusson; Mme Maurice Cailloux, à Ustaritz; Mme Cassagnade, à Coutinard Mme Duchon-Doris, à Vevey; Mme H. Dupuis-Mallet, à Vittel; M. David, à Bordeaux Mme Pierré-J. Dubos, au château de Cantemerle'; Mme Ch. Fort, à Fontainebleau; M. Henri Fredet, à Brignoud; M. Marc Ferraud, à Royan-Pontaillac Mme Garnaud, à Continvoir; M. Blaise Granier,' à Sainte-Cécile; M. Bertrand- Glaenzer, à Hauteville; Mme S. George Holland, à Lourdes; Mme Geores Hummel, à Stra.sbaurg;?Mnîe .Léger, à Mar-;

̃Jptte; M. ,Marcër{,Lecointe,,au".yjésinetj.M,,Mar-;

,<;el,Lévy-Boris, «t,Survilliers;'M. Charles Mar-! re, La Tronche;' M. Amédée Meynier, à Saint-! Etïenne-de-Foijtbellon; Mme la c.o,mtess.e, H^-i «ielin d'Oultreriioht, au châïéaû d'A'najs; Si. Jilles Phîlippson, à Saint-Nectaire; Mme A. Pasteur, à Challes-les-Eaux; M. E, Poidebard, 'à La Bourboule; M. Octave Roumet, à Suresnes;' Mie R. Racine, à Biarritz; M. Lucien Rolland-d'Estape, à Bagnoles-de-1'Orne M. Uguccione di Sorbello, à Perugia; Mme Jacques Tripier, à Paris-Plage; Mme Thirion, à Vittel M. le baron de Vassart, au château de Namps-au-Mont; Alfred Vincens, au château de Tranquebise; Mme la comtesse de Valigrigneuse, au château Durieux.

AURIVEES A PARIS

Jî. le lieutenant Astié, Mme F. de Croisset, M. E. Decrion, Mme José Ferreccio, Mme la comtesse Elie de Ganay, M. de La Sudrie, Mme Louis Morin, M. le comte B. de Noblet d'Anglure, Mme de Sinçay, Mme la comtesse de Villers-Grignoncourt.

A LA RELiGIEUSE-MUIL IMMÉDIAT 32 place de la Madeleine S Rue Tronohet,PABI3

Marchés Commerciaux Métaux précieux.. Paris, 8 juin. Cours d'achat au kil. Or 21.950 Argent 700 v, Platine 113.000.

Métaux bruts. Londres, 7 juin. Par tonne de 1.016 kil. En liv., shill. et pence. Cuivre cpt. 56 3/9 à 3 mois, 57 1/3 électro, 64 à 64 10/ Etain cpt. 261 7/6 à 3 mois, 260 Plomb cpt. 29 éloigné, 29 6/3 anglais, 30 10/ Zinc cpt. 32 12/6 éloigné, 33 Antimoine Régulus, 84 10/ à 85 Mercure 15 7/6 par bout. de 75 lbs.

Blés. Paris, 8 juin.. Base de liquid., 189 75 cour. 191 50 juill. ,192 75 A juill.- aoùt, 194 25 A sept.-oct. 187 25 A 4 dern.

188,

New- York, '7 juin. Blés roux d'hiver durs, disp. 175 1/2 cents par .îjushel.. Chicago, 7 juin. En cents par bl. Juill.

1 ~18.~ 5g~~ jdd`éetn~hô 2~~ ~"t

'~n~ÈB.Ba~~s~a .ju~ Noires. Cour, ·

sept.-pct. ÎÎ9 N '4 derri, 120 'N/ ̃'̃"

oçt4 ,J'Mn. JA~ ;/lUnt;' 12959, tses.

oçt< ~4'~4"dérn,*T?4'2~~ 1't4, va' 'Q.jj~, :tses,

édjÏr :1122'i N 'J; J'liUI:'11l¡fÍM¡r:f N

sept.-oct. 1MN ;'4dern,ÏZON,'

̃ Chicago, '7 Juin. En éents'îJar' bushel. Juill. 41t/2 sept. 41 1/2 déc. 44, ̃' Seigles. Paris, 8 juin.' Cour. 133 N. ·, juill. 130 N juill.-août, 125 A sept.-oct. 125'N 4 dern. 126 N.

Farines. Païis, 8 juin. Cour. 230 N juill. 230 N juill.-août, 230 N sept.-oct. 223 N 4 dern. 223 N. Farines de consommation 239.

Sacres. Paris, 8 juin. Cour. 280 et 281 50;.juiil. 285 août, 288 et 288 50 sept. 286 *50 3 d'oct. 276 50 3 de nov. 276' 50. Cote officielle 283 et 281.

New-York, 7 juin. En cents par 100 lbs. Juill. 244 sept. 257 déc. 271 janv. 275-; mars, 274 mai, 282.

Cafés. Le Havre, 8 juin. Cour. 832 75 juill. 831 25 août 825 25 sept. 825 cet. 812 nov. 809 50 déc. 804 janv. 796 50 févr. 785 mars, 782 avril, 780 mai, 766. Ventes 4.500 sacs.

New-York, 7 juin. En cêhts par Ib. Disp. 19 13/16 juill. 17 95 sept. 17 20 déc. 16 40 janv. 16- mars, 15 80; mai, 15 44.

Cotons. Le Havre, 8 juin. Cour. 790 juill. 792 août, 794" sept. 797 oct.-nov. 799 déc. 800 janv. 804 ;fév. 808' mars, 810 avril, 814 mai, 816. Ventes 8.400 balles.

New-York; 7 juin. En cents par lb,. Disp. 18 75 cour. 18 10 juin. 18 25 sept. 17 55 oct. 17 42 à 17 44 déc. 17 37 à 17 38 janv. 17 30 mars, 17 48 à 17. 49 mai, 17 55. Laines. Le Havre, 8 juinr Cour. 2.000- juill.-août, 2.000 sept.-oct. 1.990 a Mires ter-

riiésHhcotésil ;».< i/m-Mr'1? M<< .uavKcu.: on-

.Alcools Jittrés/– Parité, 8 juin. Gôur* 900 ><- juiU.'915 V j août; 920 V sept. ôeOA'vç-S d'oct.

7S0: »-' '̃:̃ s ̃̃̃. ̃̃̃ii- »••: -̃••, ̃ aicoij;

Huiles de lin. Paris, 8 juin. «-Cour. 545 N juill. 540 .N juill.-août, -540 V;, 4 dern. 530 N.

Chemin de fer de Paris à Orléans Amélioration des Relations de

PARIS avec BOURGES, LIMOGES

et MONTLUÇON

Rétablissement du, train express 57 (toutes classes) sur Limoges et extension de sa période de circulation.

Le train 57 sera mis en marche tous les jours entre Paris-Quai d'Orsay et Limoges du 1" juillet au 4 septembre inclus, lès samedis et veilles de fête, jusqu'au 26 juin inclus et du 11 septembre au 2 octobre inclus, les 30 oc,tpbre, 24 et 31 décembre ainsi que les samedis p veilles de Pâques et de Pentecôte.

Paris-Quai d'Orsay, départ 13 h.

Vierzon, arrivée 15 h. 57.

Limoges, arriyée 19 h. 24.

Principales correspondances assurées A Vierzon, sur Tours, Rqmofantin par VilIefranche-sur-Cher, Bourges, Montluçon, Cdsne, Saincaize et Argent, ainsi que pour toutes les gares comprises entre Vierzon et Limoges; A Châteauroux, sur Montluçon et Tours ,Ji. Ar'gentpn, sur La, Châtre

À Saint.-Sulpiee-Laurière, sur Busseau-surCreuse et Le Dorât. ̃̃

< '°.. T

CvHpJatlons râpjdsft entrfr Pw!te»Qaa»(!4'Orsay

;"> ̃ i arpàrffft*ï ftîiiin I92ê .'••̃ ̃̃̃̃̃ .:̃-̃" Pendant la saison d'été iâ§8', 'des relations rai pides entre »Paifi*|Quai 'â''Orsay: jet Ja station

MjegmalridS'iarflakiu^e-Bain^y vjai'Monhtuban-

Castresji sontsétabKes par -vai*urfes«diîeatfes de première et deuxième classes avec lits-toilette et compartiments-couchettes en première classe. Aller Cdu 5 juin au 3 octobre inclus). Dé^part de Paris-Quai d'Orsay à 17 h., arrivée à Lamalou à 8 h. 14.

Retour (du 6 juin au 4 octobre inclus) Départ Lamaloù à 19 'h. 12, arrivée à Paris-

Quai d'Orsay à 10 h. 55.

Wagon-restaurant de Paris à Châteauroux et vice versa.

Wagons-lits, de Paris h. Montauban et vice versa.

Report de Paris-Quai d'Orsay à Paris-Austerlitz de certains trains express

La gare de Paris-Quai d'Orsay dont il n'est pas possible d'étëndr>e les installations souterraines devient insuffisante pour assurer, dans les meilleures conditions, un mouvement rapidement croissant de voyageurs de banlieue et de grandes lignes.

En vue de pallier à cette situation, la Compagnie d'Orléans avait été déjà, dans l'obligation de reporter à sa gare d'Austerlitz le départ de deux trains express se dirigeant l'un sur l'Auvergne (train 89 partant à 19 h.'47), l'autre sur Bordeaux (train 25 partant à 21 heures). Cette année, à dater du 15 mai courant, il en sera de même du train express 51 qui assure lesrelations'de Paris avec^ les lignes.de Toulouse par Capdenac et de Limoges à Périgueux et Agen. Ce train partira de la/gare d'Austerlitz à h. 42.

Pour permettre à celte -gare de; suffire aux charges nouvelles et probablement appelées à Augmenter encore, qui vont lui incomber, des travaux très importants sont en- CQUrs. Il est boit tfâilîéars'dV remarquer que; <sî"la gare W&tseiy' était très appréciée des voyageurs pour sa' proximitëfdu. centre de Paris, la gârê' d'Austerlitz n'en est pas plus éloignée que la gare P. L. M. qui lui fait face de l'autre côté de la

Seine.

VENTE DE CARTES POSTALES

Reproductions d'affiches illustrées

La Compagnie d'Orléans vient de rééditer les deux séries de cartes postales reproduisant certaines de ses affiches illustrées qui ont obtenu tant de succès auprès du public. Ces cartes sont mises en vente dans ses principales gares et bureaux'de ville au prix de 2 francs la pochette de 10 sujets chacune Première série Les Châteaux de la Loire. Deuxième série Sites et Monuments célèbres du réseau d'Orléans.-

Ces pochettes sont également adressées franco contre l'envoi de la somme de 2 fr. 15 par série au Bureau de la publicité de la Compagnie d'Orléans, 1. place Valhubert, à Paris (13° arrondissement).

CHEMINS DE FER, DE L'ETAT EXCURSIONS PAR SERVICES D'AUTOCARS La route de Bretagne

Merveilleux voyage en cinq jours aux pays des pardons, des menhirs, des calvaires et des landes mystérieuses.

En- raison du succès toujours croissant de leurs services, d'autocars de grand tourisme, à travers la Bretagne, les Chemins de fer de

rçtat, .d'accord, ayee Ja, Compagnie d'Oriéan s,

font dèèfdé- de SPre^sMre If 4uPPl9M

~o~t ~èltlé- B~ 11

l5CiLeï*déparf fIui4Wnl W iw« les'

'luadis.a î^uis atf 13%s|ptëmWe,gt.fle Vannes; es'

~5~~ '.q¥.st", P.9R:.

1^|j|||ji^||r septhl&e|

Le prix du circuit complet Dinàrd-Vannes ou réciproquement est de 450 francs, repas et hôtels non compris. `

Les nombreux touristes qui, pendant la saison estivale, visiteront la Bretagne, la plus origi.nale et la plus curieuse des provinces françaises, voudront certainement, avant de la quitter, accomplir ce merveilleux voyage. Pour renseignements et billets s adresser à Paris aux gares Saint-Lazare, Montparnasse et Invalides aux grandes agences de voyages; à Dinan, aux Etablissements Beaudre.

1 1 1

Excursions dans la Forêt de Rambouillet par services d'autocars

En vue de faciliter aux touristes la visite de cette superbe forêt, qui peut rivaliser avec les plus belles des environs de Paris, les Chemins de fer de l'Etat organiseront chaque dimanche, jusqu'au 10 octobre 1926, deux excursions en autocars, l'une dans la matinée, J'autre dans l'après-midi, qui emprunteront les parcours les plus pittoresques. Les autocars partiront de la, gare de Ram-

LE FIGARO– MERCREDI 9 JUIN 1926

bouillet à 10 heures pour le premier. circuit (retour vers 12 heures) et à 14 h. 30 pour le deuxième circuit (retour vers 18 heures). Les prix en sont respectivement fixés à 10 francs et à 20 francs. > Les billets seront délivrés au bureau de ren-, seignements des gares de Païis-Saînt-Lazare, Paris-Montparnasse et Paris-Invalides et à là gare de Rambouillet. CHEMINS DE FER DU NORD Temporairement, malgré la suspension du service de bateaux entre Boulogne et Folkes-r tone, la Compagnie du Nord maintiendra, à titre d'essai, dès le 2 juin, ta circulation de ses 2 trains rapides 7 (départ 16 heures) 72 (arri^ vëe 16 h. 5) entre Paris et Boulogne-Ville et vice versa.. •: COURSES VDE CHANTILLY il ̃ Ce" jeudi '1*0 juin 1926 · i\

f' ~t~

A -^cEiiajiM P§i corses de '^jbiwitilly" U, 1

~pmpà~rïtd $~i~d p'énîlfa''Ièee~3~s"~rosuion$~ 1

)|0mpâïnîè**tf*ïfilrti pënWa* •le/ ««'positroni |

suivantes :.o< *t.̃̃' v

Aller. En dehors des trains du service réJ 1 gulier ordinaire, des trains spéciaux de courts i sec effectuant le parcours en 36 minutes seront expédiés de Paris de 11 h: à-13;h. -30. Le nombre de ces trains étant limité, MM-. les voyageurs sont invités à se présenter le plus tôt possible pour' s'éviter J.'encofnbfemerit des derniers trains.

II sera notamment mis en ,marche un traiaj spécial, première, deuxième et troisième classes, partant de Paris-Nord à 11 h. 15 et permettant aux voyageurs de déjeuner à Chantilly. ̃ •̃ •̃ ̃ .,Retour. A partir de 17 heures, c'est-a-dise aussitôt après les courses, il ser^î ,exp*édïé.de gare des courses des trains spéciaux de toutes classes, suivant les besoins.

Pour faciliter les relations du Nord de la France et de la Belgique avec Chantilly, certains trains rapides et express y feront, arrêt exceptionnellement, tant à l'aller qu'au retour. Prix. Billets d'aller et retour 20 francs, 15 francs, 10 francs, selon la classe (droit de quittancer compris), valables pour tous, trains spéciaux. "•:

Pour renseignements précis et détaillés et les modifications apportées exceptionnellement à l'horaire de quelques trains du service régu- lier, consulter les affiches spéciales dans les gares.̃ 4 CHEMINS DE FER P.-L-M. Train spécial prix réduit pour Fontainebleau, Thomery-efe-Moret

Pour faÇwjser'îès 'excflfsi«n8 à?»F la région de Fontainebleau, la, Çpmnagnie des Chemins de !f ér Paris-LyonvMéditérraïiée kheuva en liigjfche, tous les dimanches, du 6. juin au 19 ièP- tembre 1926, un train spécial à prix réduits, deuxième et troisième classes, de Paris à Fontainebleau, Thomery et Moret.

Aller. Paris dép. 7 h. 30, Fontainebleau arr. 8 h. 31, Thomery arr. 8. h. 42, Moret arr. 8 h. 49. ̃ Retour. Par tous |LeS trains du même jour, dans les conditions prévues pour les voyageurs ordinaires. `

Prix des billets (aller, et retour).:

Paris-Fontainebleau, deuxième classe J.6 fty troisième classe 10 fr. 5,0.-

Paris-Thomery-Moret, deuxième classe 18 fr., troisième classe 11 fr. 50..

Le nombre des places est limité.

Le'train spécial donnera, à la gare de Fontainebleau, la correspondance avec le Service automobile P. L. M. d'excursions en forêt. STATION THERMALE DE SAINT-NECTAIRE Services automobiles P; L. M.

au départ de Clermont-Ferrand et d'Issoire Les services automobiles qùe'Jf Compagnie P. L. M. org?*\>se pour la desserte' de la station thermale de «raint-Nectaire fonctionneront cette année, du 22 mai au 30 septembre, au départ de Clermont-Ferrand, et du 1" juin au 25 septembre, au départ d'Issoire. ̃,

Us comporteront, chaque jour, un voyage aller et retour, entre

Clermont-Ferrand, Saint-Nectaire, Mijfpls «t Le Mont-Doip, d^une part. CÇftrresfipndance à

CJfirniont pifechaes taaJBScfleo Ma M"^ Pa«s

v»»t«»res directes, litS7aa;l^Si ciraahettes, pre*

mière, de\jxiètoe'et troisième classes entre Paris et1 eiernjçnt) ;;j.j.(.x:. ,.»,:>•? < ^5

Isso SaWît-Nectairer Murols et ,I<e Mon

Dprq,,<p'*ut»a:[j)aït. ,<;ewEesnondaBÇ^,tà Issofrë avecies trains de et pour Paris, Nîmes, Montpellier, .Cette, Marseille voitures dfréetes; e couchettes, première, deuxième et troisième classes entre Paris et Issoire).

Des billets directs (chemin de fer et autocar) permettant l'enregistrement direct des bagages, seront délivrés par les gares, de ParisP. L. M. pour Saint-Nectaire et. Murols dé Lyon-Perrache, Marseille-Saint-Cnarles, Nîmes Saint-Etienne et Vichy pour Saint-Nectaire, Murols et Le Mont-Dore.

CHEMINS DE FER DE UEST -Maison d'ete i»26

Nouveau rapide temporaire de jour entre Paris, tes Vosges' et Gërardmèr

Pour faciliter les déplacements d'été dans les Vosges, la Compagnie de l'Est met en iriarche, du 1er juin au 30 septembre, une nouveau rapide de jour de chaque sens, le Suisse et VosgesrRapide » qui comprendra, à partir du 1er juillet, une branche directe première et deuxième classes circulan| entre Paris et Gérardmer. ·

A l'aller départ de, Paris 10 h. 45, arrivée à Bains-les-Bains 16 h. 23, à Epinal 16 h. 58, à Gérardmer 18 h. 28, à Bussang 18 h. 58. Au retour départ de Gérardmer 13 h. 25, de Bussang 12 h. 13, d'Epinal 14 h..44,. dé Bains-les-Bains 15 h. 15, arrivée à Paris 26 h. 35. Wagons-restaurants entre Paris et Pprt^d'Ater

lier. ̃ ̃̃̃ ̃

lier.

If.lu

CHEMINS ©EiFEI^P^LSAÇE

'Et' DE- LORRAINE-

.( ttmM~t-").<t*0!.6f

L'administration des Chemins' fëf <fAl- sace et de Lorraine a l'honneur de porter à la connaissance du public que la nouvelle, édition"1926 de" son Guide officiel iillustrTâisparaî- tra le l*r juin prochain.

A partir de cette date, cette brochure de poche élégante et nécessaire à tout voyageur ou touriste sera mise en vente an prix de 2 fr.. 25. 'l'exemplaire au Bureau des renseignements des Chemins de;fer d'Alsace et de Lorraine, à Paris, 5, rue de Florence, ainsi qu'aux bibliothèques de toutes les gares du Réseau d'Alsace et de Lorraine.

En outre de sa partie descriptive agrémentée de photographies, gravures, dessins, cartes et plans, le, Guide officiel illustré comprendra liçs horaires du service d'été sur le réseau d'Alsace et de Lorraine, ainsi que les horaires itinéraires et indications utiles des services automo,biles de la Route.-des Vosges. N. B. Pour toutes commandes faites par poste, joindre une somme de 2 ir. 80 représentant le prix du Guide augmenté des frais d'expédition.

vendre TRES Bx MEUBL. DE STYLE et stock acajou Cuba

S'adt Harou et Chartier, 3, rue Saiât-Georgès.

AUJOURD'HUI 3 faites parvenir vos s

PËTÏTËS '~i~tl~ES"

~AYANZ~1T~I~~ÛI~tu F~9F

Au FIGARO, 14, Rond-Point des Champs-Elysées AVAN7 MIDI •̃•̃"•̃-• -j;

Garde-Meubles DELAGRANGE, 30,' rue Drouot AUX LIBRAIRIES |;

MAUGER 14 rue de Bellechasse (7-) Mme LIONNET, 51, r. de Grenelle (Bd Raspail) (7-) J. MARTIN, 7, Bd de la Tour-Maubourg (T)\ CORNUAT, 11, boulevard de Gourcelles (8-)- PERRODOT, 59, Bd Malesherbes (8-) (St-Augustin) WALTER, 14, rue Vintimille <9') A. MARTIN, 7, rue de l'Albonl (16-) CHEVILLET, 114, rue Ufonlaine (16-) PELLIGRY, 2; avenue Bugeaud J16-) DEPAIX, 35, avenue de la Grandè-Armêe (16-) Mme PRAYEZ, 2, rue Dufrénoy (16') -•. s. DOURDAN. 16, rue de Chartres. Neuilly-sur-Seine. Et au

CORDON BLEU, 71, rue de la Pompe <16-> «J! Elles seront insérées dans', le FIGARO de demain

la ̃' ̃ j1.

BIARRITZ

•" HOTEL DE FRANCE

Gohidrtàiïle. Cuisine renommée ̃ -tHOTEL VICTORIA Entièrement venové*. Xrèa rccoiumandé. Face. mer CAMYj administrateur

tE CROÏSIG

HOTEL MASSON. Fondé en 1Ô4O. Vue splendide aur^iit-er. Cuisine et cave répétées. DIE-PPE'

GRAND HOTEL. Sur la Plage. Prix spéciaux en Juin. Cuisine et cave réputées. r PINARD Le GRAND «QTEL, 1" ori»e»-Sit««tion 0– unique sur la baie de la Rance; 'û*

_jPJU]£ SÇ£CIAZQt-&aZlR -JUILLET

K?: "̃" />; 'r'"toTBARY- Le GRAND HOTEL ITSASOAN, ^«r la Tout chambres avec bains et télepkoae. g- POKTAIILAG HOTEL MIRAMAR, sur la plage. La plage sélecte de Royan.-

Stte- .fcUnt. ̃– Tout confort. \l r LE P0ULI6UEM LA RETRAITE FLEURIE. Tdutconfoit. ̃ Preà du Golf. i ̃•"̃" ̃ ROYAM 5Ê6YÀN PALACE HOTEL Bord de mer. Avril-Octobre. 1OO ctaœbres,30 s. de bains L;ES AUTANS HOTEL Vue splendide sur mer. Ouyerttoute l'année. Confort mod. Garage S.4INT-JEAN 17, avenue do Pohtaillac. Sery. par petites tables; Proxim. Garden, Tennis r LE TOUQUET j ̃•" HQ^EL REGINA

~1~ ~i siuo~t~p~ éônfo~t,

ptVrieè d autba gratuit pour i* pl»g» et jçoli

'lirri~itMiiE-

îfôfEL §ÉL^ËYteJ^g»i%m"4'»^i^

"Tiifl SOM KaRfïflpE Restaurant de premier ordre. Place du, Casino; HQTEL.DE PARIS oOO chambres. Tout confort. Sous~la même "direction que l'Hôtel Cfrèmborâ de Paris. et sa CAI>fCANlÈRE ̃ > à l'heure, du porto. VILLERYILLE G*kANÏ) HOTEL BELLEVUE. Ouvert. Retenir sur place ou, 14, r. Monge. Gktztieiy Pp™ 2 tennis.. Ti4âtre de verdure. S. à m. face mer.

1LM. COTE D'âZCR

;4* •̃-̃̃,̃ •- •• >' AOAY

HOTEL DÈS ROCHES ROUGES Ouvert toute l'année. Sa ploge. 'Sa forêt. Cuisine et Cave réputées. Tennis.- Golf 6 k,

T" '-V- '̃̃' CANNES

HOTEL DES ANGLAIS. Situation idéale. Très grand-jardin. -Ouvert-toute l'année. Le plus récent. Grand confort. Pjix tttodér^s. £ LE NEGRESCO

Le p|us 'somptueux des Palaces ̃̃

AIX-Ies-BAINS

EUROPE et VILLA VICTORIA A côté Càsyios.: Premier ordre. Prix modérés.

CANNE ? PARAPLUIE ?

Honmmm Un Burberry car élégant, toiifortaWerM8er «tc^aifd,~c'8st te MflNTEflU DE DEMI-SAISON IDEAL Parfaitement imperméable et cependant po*

cace contre le vent sans chaleur malsaine, ce qui permet de de porter par les temps

Catalogue et éohantlllons franco sur demande BURBERRY S 8 et 10, Boul. Malesherbes, Paris

?? B~MS~M~~È

RESTAURANT de* A.MBA^SADEURiS Toutes enambreî avec toilette ou Kains. Pension depuis 60 fr. en Mai-Juiii. J.A.xCiaOîer, Dir.général., •v–.3ïtt)eri Hôtel Mont-Boron, .Wk*; GRAND HOTEL MERCEDES; fout confort. moderne. Prix mod. Ouvert toute'l'annee HOTEL NORD et GRANDE-BRETA- GNE. Face Casino. Jardin. Eau cour. Bains priv. SPENDIDE- ROYAL: Situation unique. Réputation mondiale.

AMPHION-Ies-BAINS

Près d'Évian Gd HOTEL BEAU-SÉJOUR Tout confort. La plus>- belle situation du bord du" lac "Léman *t Juin-Séptèmbré, ^pension complète 3O a 3 Ô'ït. T-îïéptone 4 Beccketti. Avec la même Direction, ouverture du GRAND RESTAVJRANT DE ZJA'< RÉSERVE "D'AMPlîION/ im~ cliicun peut pêçter sa truite. Cuisine et cave renommées.

é "̃̃̃ BRIDESbIesrBAÎN& (Savoie). tfrwd&sà ièptlèHir'e? Trains directs aiZFdrts. Maladies "du foie' et de îrinfê's}ffi^ îj)itx~ iète, OUsiU. Cure d'air (Alt. eao- Wifre^J. ̃• €asino –~Tenhis"–lGéff. HOTEL DES THERMES communiquant avec l'Etablissement Thermal.

Tous les; perfectionnements; du confort moderne. ROYAL HOTEL Premier ordre! Séjour idéal. Tout le confort moderne. Parc. Garage. GRAND HOTEL Entièrement remis à neuf Confort moderne. Prix modérés. CHATEL-BPYON

(Puy-de-Dôme), ts Ma.i*-to -Septemire. Maladtes .de l'intestin. Casino. Théâtr.e.

CARLTON HOTEL CONTINENTAL Admirablement situé sur le, Parc et prda.dea Thermes. Tt conf. Cuis.. soign. Régimes. J. Martin, d* GRAND HOTEL. Situation centrale, face Thermes et Casino. l'dre^Réginie. Prix mod. INTERNATIONAL HOTEL

m Tout confort, •• Cuisine renommée^ .,u.> «'«*"?!* 'i: ^M!i:a^-V':) Ef IAN .~» itPlOKD HOXEC OuveyffirJ t juiii. ^fpàrféjnenis et. chambrés av. eau courante, s. de bains et tel. H. fel|r^¥, p" LE GîQVj^P/HOTEL A* M^' t«ç ̃ ̃̃̃" ̃̃̃̃̃̃ i '̃"̃» .̃'̃̃̃̃ Grand Parc POPGPEMes-EAOX

(Nièvre). S40 i,m. de Paris. Route Nationale 7. Cure d'air et de repos. Station idéale des enfants. Traitement des dyspeptiques, des diabétiques, des Apathiques et des surmenés. Culture physique. Sports. Traitement de l'obésité. Electrothérapie. Renseignements à, la Cie,St, rue Chaptal, Puris. SPLENDIDE HOTEL, 1 ordre, dans un délicieux cadre de verdure.– Grand confort. HOTEL DU PARC

Recommandé aux famiUei.. Prix modérés. LUCHON z

m rMe des wî{é|ïées Son Golfv: Son Casino –s- Ses sites merveilleux Gorge. Btonokes. -w Peau. –> RJiumàtïsmes t~– .i.)'1 ̃

'g~~ A~CÛRIL=.

Confort. Régimes. Ouvert toute'l'ânééç. T. li2O HOTEL MÉTROPOLE

Toi^t confort. En face l'Etablissement tLermal. THpNON-les-BAINS

HOTEL BELLE-RIVE. Bord du Lac. Confort moderne. Restaurant renommé. TRIANON & LÉMAW. Hôtel-Restaurant réputé. :«i– Etablissement 'l de bains au Lac. Plage et débarcadère pour yacnts de plaisance. Tennis. Terrasse; Cure d'air.

¥IC-SUr-CÈRE (Cantal).

"LE MANOIR" Hôtel-Restaurant de premier ordre. Grand parc– Tennis.

reux à l'air, il assure une protection effi-

froids et secs, aussi bien que par les pluies

torrentielles

^Vt*1*' (•«̃-̃.»«»• *ti,l>ii,l#i. 4.«. .̃̃

Éroûty ?~;t;? un~4~ y <ma' p<H~ tjttït~

c. § s !T ~K.t~hj!

frïOTEL de L'EIJROPE Grand confort. 1 OO ebambres. Parc;prlvé. GLOBE et CONTINENTAL. Sur le Parc 1SÔ ebambres. Golf 5OO m. Afternoon Tea American Bar. Blackberries and Seones.. ^j ̃ vichy Juin est l'une des périodes les plus favorables à. la cure de Vichy. Aussi oîser%)e^f-on une augmentation constante du nombre des baigneurs qui, de tous les pays,' mime les plus éloignés, affluent actuellement' dans la première 'station thermale du monde, La Variété des, indications du traitement, la perfection technique d'un Etablissement thermalont été réalisés les derniers perfectionnements des moyens de la thérapeutique hydrominérale, expliquent cetfs progression continue du nombre des baigneurs Toutes les. affections consécutives au surmenage de la Vie moderne sont tributaires des sources et du traitement da^vtchy. J^a mode n'a rien <t Voir dans réputation universelle de la grande station thermal^ ̃ française.

V.. IXHTCOfr- '̃̃• ;r HOTEL ^D'AMÉRIQUE "v. Sur Parc., Dernier confort». Salle.de bains.

-.̃ a *r i- s.. <

HOTEL DE L'AMIRAUTÉ. Le premier qui, en Europe, a installe le frigorifique central. HOTEL FLORÏDA; Entièrement neuf. Sur le, Parc. Goritigu. a la source de l'Hôpital. Pension a partir de 4d> fr. HOTEL MÉTROPOLE, sur Parc. Construit en:193ô. Ouv. l"- Juin. Ttconf. Dep.40f.

CHANTILLY

LE QKAND CONMÉ xTotel et Restaurant de premier ordre. compiègne;

̃«•̃̃EÀLAÇE'HOT^L,

^SUrniet confort. ~fy£jjfftèïfa j^sy^.

r_ FONTAINEBLEAU,,

HOTEL' 1>E-'L>MGL'E NOIR

«p– ,Tout confort. Près du cnâteau i <oàw BOPELIN pare).

CHATEAU XIII*. Sa pension Je famille. Confort mod. Eau ch. et fr. 2Ô-3S fr. par jour. GOURNAYHHi-BRAf

NÔiiVEL HOTEL, sur route Paris-Dieppe.

2O ctambires. Cuisine soignée. Gave^ renommée. f: "LÏÏYNES (Indre.et.I*ire) fltikrprie du Quinzième sfêle

îo ANNECY

Premier ordre, yn ^Cuisine et cave renommées.

ü~tJ~= 1

CHAM0NIX4tONT>BLANC

Gd HOTEL ASTORIA et de LA POSTE Hôtel de famille de 1" ordre. Tout à neuf. Garage. P. Simond, .propriétaire.' LE CARLTON. Tout 1" ordre. Appartements complets avec bains et w.-c. privés: Garage d' P.'Simond, propriétaire.

GRAND HOTEL COÛTTET et du PÀR6 Tout le confort. ;̃̃̃̃̃ y" .̃̃̃ ,-ss

DABO

Cure d'air. 664 m. d'altitude, près Saverne. HOTEL BELLE-VU£, site merweilleux, lisitre immenses forêts sapins. Eau cour. ch. etfr.

E N T 1 E R

DENTIER 1^

MAXIME DROSSNER, Clintfiil-BtîlilliFMDP Bnchure gratis et f, 72, Boni* Haussmann. DEMANDONS Agents actifs 30 à 45 ans, bonne éàncaHon, capables traiter affaires financières. Pouvant vojaçair, fiirn rémunérés. Ecrire avec références qui convoquera: Perrier, 77, r. de Prosny, Paris.

•̃««-̃̃ *pf Apf Api S «m* •̃"̃

fôurh Santé

de vos Fillettes L. Surveillez leur Croissance.. Evitez la Scoliose Toute dé»i«tiom, m«nvaii<* altttudn. fûbletses de fa colonne vertébrale tout immédiatement et radicalement com- battues par les SPECIAuX.

CORSETS SPECIAUX

(Réformateurs et dissimulants) Légen, éléganti, agréablct à porter EtabKss^ ft CLAVEHIË 234; Faubourg Saint-M*rtia, PARIS ̃ (Angle fa rue La Fayette) Métro: Louis-Blanc.

g«:iig»eMit!tmikJ iras d«9».i7l>. par Dur 'ipéclillstes. t

DemirnjK Notice n'IS envoy«sr«tui("iur demande.