Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 8 sur 8

Nombre de pages: 8

Notice complète:

Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1925-03-26

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 26 mars 1925

Description : 1925/03/26 (Numéro 85).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k294314f

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 63%.


LàeDiscours

de M. Chamberlain Oy Lu dans son texte complet, le discours qu'a prononcé M. Chamberlain devant les Communes, mérite la plus grande attention.

Nous sommes à une heure où nos interlocuteurs parlent pour dire quelque chose. Sachons écouter et, puisque la discussion est ouverte, discuter avec un réalisme salutaire. D'abord écartons les propositions de l'Allemagne en tant qu'elles viennent de l'Allemagne. Pour le moment, nous avons à assurer l'exécution du traité de Versailles. S'il y a lieu de le compléter ou de le modifier, c'est une affaire qui doit se régler, au préalable, entre les Alliés. Le débat sur la sécurité ne peut commencer que par un dialogue entre la France et l'Angleterre, principales garantes de la paix européenne. Ensuite,'on verra comment l'Allemagne s'agrégerait au système.

Or, que dit l'Angleterre ? L'Angleterre, par l'organe de M. Chamberlain, vient de faire deux déclarations de principes, qui sont, à notre "âvïs/tres 'importantes. Première déclaration l'Angleterre constate que, sans son concours, une paix stable est impossible en Europe. Deuxième déclaration l'Angleterre confesse explicitement qu'elle a contracté une dette morale vis-à-vis de la France quant à la sécurité.

L'Angleterre trouve sans doute une satisfacticn d'orgueil national à proclamer qu'elle tient en ses mains la paix de J'Europe. Laissons le sentiment. Est-il vrai que la maîtrise de la mer pèse d'un poids décisif dans la balance de la guerre ? Oui, sans doute. Mais, en sens inverse, il est aussi vrai que la sécurité de l'Angleterre, non pas seulement en Europe, mais dans le monde, dépend de la paix continentale. Cela, l'Angleterre l'admet. Elle se reconnaît donc à la fois responsable de la paix européenne et intéressée vitalement à sa garantie. Voilà, tout dé même, quelque chose de sérieux.

Autre chose de sérieux la dette morale de l'Angleterre envers la France pour la sécurité, dette proclamée. Pour s'acquitter de sa dette, l'Angleterre accepte de garantir les frontières occidentefeà.-fces- frontières occidentales seulexrtént > Voilà où il faut invoquer le jair play. Quand on paie une dette, on la paie intérêts compris. Or, par suite de la défaillance de l'Angleterre touchant le pacte de sécurité, depuis cinq ans, des arrangements continentaux furent conclus pour protéger la paix, arrangements qui englobent les frontières orientales. Cela constitue les intérêts de la dette. L'Angleterre loyale ne peut pas l'ignorer elle ne peut pas se dire quitte sans l'avoir réglé.

Les questions de base étant ainsi posées, que nous offre l'Allemagne, par rilleurs, que nous ne tenions déjà du traité ? Elle nous offre son consentement aux frontières occidentales que le traite lui a imposées. Avantage moral de portée considérable, disent les Anglais. Peut-être, mais avantage compensé par un désavantage très grave, qui est précisément de remettre en cause la valeur morale du traité. Or, si l'on entre dans cette voie, on accepte implicitement la revision. Contre quelles garanties nouvelles de-la part de l'Allemagne ? Car, enfin, il y a une confusion essentielle. L'Angleterre, loyalement, s'offre à payer sa dette morale quant à notre sécurité elle ne peut la payer que par'une garantie anglaise. Si, par surcroît, 1 Allemagne nous demande d',introduire dans les traités le principe du libre consentement, il faut que l'avantage politique et moral qu'elle en tirera, soitpayé par une garantie allemande: L'Angleterre ne saurait acquitter envers nous avec une monnaie de sécurité qui serait simplement la bonne foi de l'Allemagne. En attendant que tout cela s'éclaircisse, appliquons les clauses du désarmement. Lucien Romier.

~<

L'élaboration de l'accord commercial franco allemand Une enquête dans la Sarre M Serruvs, directeur des accords commerciaux au ministère du commerce, accompagné d'un représentant de la direction Générale des douanes, a passé deux jours à Sarrebrûek pour y recueillir les dernières m-écîsionsà à apporter aux dispositions spéciales du traité de commerce tranco-allerniand qui concerne la Sarre. H a reçu les suggestions dJ tous les groupements de producteurs, commerçants, consommateurs et ouvriers du territoire, dont l'union douanière avec la France est complète depuis le 10 janvier 1925. ̃-

^s^ss^^s*"

L'accident, d'aviation de Tiflis ̃ Le commissaire Miasnikov était l'assassin du grand-duc Michel Riga, 25 mars. On signale que le conamissaire Miasnikov, qui vient de trouver la mort dans l'accident d'avion, près de Tiflis, fut l'auteur responsable du meurtre du grand-duc Michel, en 1918. ·

Le grand-duc, avec son secrétaire, l'Anglais Johnson, était incarcéré à Perm. Mias-, nikov simula d'abord l'enlèvement de ses prisonniers, sous le prétexte de les mettre en sécurité mais, en cours de route, il inventa une histoire pour les obliger à prendre la fuite et les tua lui-même alore, à coups'de revolver:

Deux des bandits de Gormeilles

sont arrêtés à Marseille

Mais Pierson, leur complice, qu'ils accusent d'avoir joué le rôle principal, reste introuvable

Vannier et Bierre sont arrêtés. Ils se sont fait prendre, bêtement, à Marseille, par des agents qui se promenaient sans penser à eux et que leurs allures ont intrigués Y a-t-il longtemps que tu as quitté Cormeilles ? a demandé brusquement un brigadier à un des deux jeunes gens qu'il voyait, assis sur un banc, près de la gare Saint-Charles, lisant, les yeux inquiets, un journal qui parlait du coup de main.. Et l'interpellé,' tout tremblant, répondit Non ça fait cinq jours.

Les agents, à Marseille, ont l'habitude de faire vite. La .manœuvre du cabriolet leur est familière. Cinq minutes après le moment où cette conversation s'était engagée, Vannier et Bierre, menottes aux poignets, faisaient leur entrée au poste. Cette entrée fut, d'ailleurs, piteuse..

Nous n'avons rien fait, pleurniohèrëntils. Nous n'aurions jamais pensé à attaquer un bureau de poste. C'est 'Pierson qui a tout décidé. On l'a suivi, -mais on. n'a rien fait. C'est lui qui a tué, c'est 'lui qui a pris l'argent. J'avais bien une matraque, dit Vannier, mais je ne m'en suis pas servi.

Quant à moi, assura Bierre, j'ai bien tiré 'un coup de revolver pour faire peur au facteur. Mais j'ai tiré en l'air. Ça, j'en suis sûr. C'est Pierson qui a. tout fait. Il vous le dira bien, allez, quand vous l'arrêterez^ Les deux gamins criminels savaient, par les journaux, que Pierson avait réussi à rentrer à Paria sans être reconnu. Ils savaient aussi que, s'il. faut en croire Juliette Robaud, leur complice avait dit qu'il se tuerait plutôt que de tomber entre les mains de la police. Ne se sont-ils pas donné le mot pour accuser celui qui n'est pas là ?

.Le juge d'instruction, 'M. Fougery, a envoyé, par télégramme, les; mandata d'amener. Vannier et Bierre- vont être transférés à Versailles. Juliette .Robaud, que le magistrat a, de nouveau, entendue hier, a été écrouée sous l'inculpation de complicité par recel. Elle affirme toujours que, quand elle est partie pour Marseille avec les trois bandits, elle ignorait que son ami et les deux autres fussent les auteurs de l'attentat. Les parents de la jeune fille ont reçu, hier soir, une lettre expédiée de Marseille par Pierson, à leur adresse et dans laquelle le meurtrier du facteur de Cormeilles, en demandant pardon au père et à la mère de celle qu'il appelait sa fiancée, affirme qu'elle ignorait ses projets et qu'elle est partie ayec^Jui sans savoir qu'il était uii "criminel. Dans cette .lettre, datée de Marseille, 23 mars, sept heures du matin, Pierson parle une fois de plus de son intention de se suicider. Si la confrontation qui, d'ici quelques heures, va mettre en présence Juliette et les deux complices de son ami semble prouver que la jeune fille n'est pour rien dans le crime, M. Fougery lui rendra sa liberté. Mais il s'agit, surtout, pour l'instant, de trouver Pierson.

L'Association des comptables des P.T.T., qui réclame depuis longtemps un dispositif permettant de donner l'alarme immédiatemlent, en cas d'agression, proteste, au lendemain du crime de Cormeilles, contre le peu d'empressement qu'on met, en haut lieu, à examiner son projet.

ECHOS

Une cargaison précieuse et pressée.. Hier, trois avions français ont transporté de Londres à Bâle, en passant par Paris, et cela en sept heures, une cargaison 'èxtrêmement précieuse et tout à fait pressée. Car, en même temps que ces avions étaient chargés de 1,200 kilos d'or représentant une valeur de 12 millions de francs, ils transportaient des oeufs à couver que le moindre retard aurait stérilisés. Aussi, malgré la brumie épaisse qui couvrait l'atmosphère, les pilotes se sont-ils hâtés.

Partis de Londres à 9 heures du matin, 'ils étaient à Bàle à 4 heures de l'après-midi et le soir même, tandis que l'or était enfermé dans les «caves des banques, les œufs étaient sous les couveuses.

Trois mille cinq cent vingt-cinq ans avant le docteur Voronoff. r

Un égyptologue notoire, le professeur Breasted, de Chicago, est parvenu à déchiffrer un document écrit mtille six cents ans avant l'ère chrétienne, et qui n'est autre qu'un traité médical intitulé: «Comment transformer un vieillard en un jeune homme de vingt ans ».

Ce traité était écrit au dos du papyrus d'Edwin Smith, qui appartient à la NewYork Historical Society.

C'est, déclare le professeur Breastéd, le plus important document connu sur la science médicale des anciens Egyptiens.

oo--

L'art de plier les lettres.

On croyait que depuis l'inveùlioû ,des enveloppes cet art s'était perdu.. Il n'en est rien, et il suffit d'être convoqué par un commissaire de police au sujet de quelque accident de la rue pour recevoir une feuille de papier privée d'enveloppe, mais si artistement pliée qu'on ne pourrait, sans de longues études, y parvenir.

Il est certain que les fonctionnaires qui savent plier une convocation aussi bien doivent réussir admirablement les cocottes ou les petits bateaux de papier.

Un livre de Charles Maurras.

C'est demain que parait en librairie le nouveau livre de Charles Maurras La, Musique intérieure, qu'un public impatient attend depuis plus de deux ans.

Charles Maurras est peut-être la personnalité la plus intéressante de notre époque. On peut s'attendre à ce que son livre constitue un véritable événement littéraire. Le Masque de Fer.

Une lettre inédite du maréchal Lyautey 'M. Francis de Croisset, qui vient de passer plusieurs jours à la, Résidence générale du Maroc, a eu le privilège de lire quelques-unes des lettres' que le maréchal Lyautey, lors de sa seconde campagne à Madagascar, adressa à Eugène-Melchiqr de Vogüé. L'auteur des Nouveaux Messieurs a bien voulu demander au maréchal, qui la lui a accordée, la faveur de donner au Figaro la primeur de la lettre si belle et si vivante qu'on va lire. Oit sait que le maréchal Lyautey a déjà public deux admirables volumes de correspondance le troisième paraîtra d'ici quelques mois.

Behara, le 8 juillet 1901.

Partis de Fort-Dauphin le 6 juillet, nous .sommes entrés hier dans l'Androy, le plateau bas qui forme toute la pointe sud de Madagascar. J'y venais, très. disposé à remettre au point les descriptions extravagantes de cette étrange région, telles que je les avais lues duns tant de rapports. Je suis forcé de me rendre à l'évidence: Sitôt qu'on a franchi les derniers chaînons de la grande arête qui se termine à l'ouest de Fort-Dauphin, oh entre dans une région ou la nature. semble avoir accumulé les con-

Irû-sens. Une 'végétiâtion que notre..compa

gnon, le « naturaliste » Grândidle'r, dit être unique au monde. Je le crois.

Il faut évoquer les plus fantaisistes compositions d'un Gustave Doré illustrant des histoires de sorcières, ou d'un Riou créant pour Jules Verne des mondes imaginaires, si l'on veut se faire fine idée 'de ceci. C'est de l'irréel. Pas une plante, pas un arbre qui aient un aspect familier.

On marche en pleine forêt, mais une forêt de rêve sous-marin, -une forêt d'arbres sans feuilles, de grands euphorbes qu'on nomme Fantiholosse, qui- dressent de grands moignons sinistres.. A, leurs pieds, un lit de cactus, et puis, sous cette fuiaie, un faillis d'arbustes fantastiques le Rahondra ou l'arbre à' saucisses, ..le Famata où chaque feuille est remplacée par quelque chose comme un cornichon. Parfois, un baobab monstrueux et difforme. C'est horrifiant. Toutes ces branches vous entourent, vous menacent comme des tentacules. Cette nature est hostile. Pas une plante sans épine. Une belle fleur rouge s'épanouit, engageante. Vous la touchez, elle vous blesse. Un arbre hypocrite vous repose l'œil, avec un air bénin de saule pleureur cette fois, c'est bien une feuille, de ce pâle argent que reflètent les étangs de chez nous n'y touchez pas, elle est hérissée d'épines.

Il n'y a pas d'eau, il ne pleut presque ja-' mais. Granâjdjer.. nous fait une théorie de iœhis tà3izê'sr qui explique tout cela. Mais Sinidbal ïe Marin 'n'eût pas cherche si .loin i et eût «ompris tout simplement qu'il avait été porté par des génies dans un pays maudit où, des arbres hantés ferment sur le voyageur leurs bras meurtriers. Et le comble, c'est que ce cauchemar de forêt est une des régions les plus peuplées de Madagascar. On évalue à une centaine de mille les Antbndroys qui y pullulent Aux clairières, à nos haltes, on les voit sortir des cactus, nus, hurlant, brandissant les sagaies, dansant, enlacés, sur dix rangs de profondeur, une danse violente et farouche devant laquelle, instinctivement, on regarde du côté de l'escorte. De quoi vivent-ils ? De quoi vivent leurs troupeaux ? ces immenses troupeaux de l'Androy dont des centaines de bœufs, par chaque bateau partent de Fort-Dauphin pour Lourënço-Marquès. Que boivent-ils, puisqu'il nous faut emporter avec nous l'eau de notre prochain bivouac? Là encore, les légendes courent les indigènes, les rapports, nos officiers, affirment que ces bœufs restent, des mois sans boire et se contentent « :de la rosée du matin et .du suc des cactus ». Ma foi, parmi tant d'invraisemblance, parmi ces arbres sans feuilles, ces fleurs qui blessent, cet « à rebours » de toute la nature, je suis prêt à croire tout ce qu'on me dira, si absurde que cela semble.

Le technicien Grandidier trouve moyen de coller un nom latin sur toutes ces horreurs •et.* brusquement, tout cet irréel rentre sa-1 gèment dans le rang, dans des familles, des sous-familles numérotées, dont les cadres l'attendent. Mais quelle lumière ceci projette sur les récits fabuleux d'autrefois. Comme l'on conçoit que, jetés sur de tels' rivages, les navigateurs de l'antiquité ou du moyen âge, dont les Hérodote et les MarcoPolo enregistrent les récits, aient conservé de leurs 'odyssées les visions fantastiques qui. ont fait rêver notre enfance.

'̃̃̃̃̃ •••̃ ̃

Au bord de la Tarasy, nous avons. oampév La forêt maudite s'était ouverte pour laisser place à une vaste dune de sable mouchetés de mimosas, et d'aloès en fleurs.

Nous avons levé le camp vers cinq heures du matin, en pleine nuit, une nuit lumineuse d'Algérie ou d'Egypte, d'un bleu profond. Quand notre caravane s'est mise en route, .c'était, vraiment, la.» marche à l'étoile ». Sur l'horizon, les silhouettes inégales des chefs et du peuple, des officiers sur leurs mulets ou leur. filanzane, des tirailleurs sénégalais la .tête haute, des porteurs nus trottinant sous la charge, tout l'appareil d'une tribu qui se déplace. L'Orierït s'éclaire, un fer de sagaie flamboie, le jour parait, le rêve s'évanouit. h

̃

.,• », 10, .11, 12 'juillet..

•Toujours l'Â-ndroy, toujours l'obsédante forêt, où des dunes de sables, des sauvages qui dansent, des, sagaies qui s'entrêchoquent, des bivouacs formés en carré les sentinelles observent les cactus. Le repas du soir, joyeux et cordial, devant la tente, sous la merveilleuse nuit. Et c'est vraiment, oui: je vous assure, c'est une vie délicieuse. Lyautey.

LES ABONNES DU FIGARO TROUVERONT, CE MATIN,

ENCARTÉ DANS LEUR JOURNAL

Les acheteurs au numéro pourront se le procurer dans tous les kiosques et librairies au prix de unfran-c.

Le iért d'être fou Si c'est en manière de réponse à la lettre des cardinaux condamnant le divorce que MM. André liesse et Palmade ont déposé une proposition extensive de la loi qui l'institua, il n'y a rien à dire. Nous nous garderons d'intei-venir dans cette polémique. Mais ces deux députes sont, l'un professeur de droit, l'autre président de la commission de législation. On doit donc prendre leur texte en considération très sérieuse et penser qu'ils entendent faire œuvre législative, c'est-à-dire mener jusqu'à YOtiiciel leur projet, qui fait de l'aliénation mentale une cause de divorce. Regrettons-le.

Le divorce est dans nos lois, dans les mœurs. C'est un moyen qui devait être exceptionnel de rompre un lien que, pour la solidité de l'édifice fondé sur la famille, il eût mieux valu maintenir indissoluble. Il ne devait être qu'un remède au mal du 'mauvais mariage on en a, abusé, comme d'une morphine. Le divorce ne devait libérer que les malheureux, enfermés dans un enfer ou dans la honte pa.r rinconduite; la. méchanceté ou l'infamie de leurs conjoints. Notre temps d'indiscipline l'a transformé en un procédé commode pour ouvrir les anneaux brisés de la chaîne conjugale. Ainsi, le divorce a permis le mariage à temps, le mariage où l'on se reprend quand on a cessé de se plaire. Ce n'est plus, sauf le cas de résistance 'd'un des époux, et hors la. question d'argent et de garde d'enfants, qu'une formalité judiciaire.

Les difficultés commencent quand les conjoints ne sont pas d'accord pour la disjonction (comme on dit au Sénat). Le divorce est,notamment,refusé au demandeur qui allègue la folie de son époux. Ce n'est pas un oubli de la loi. Non seulement des législations admettent ce 'cas de rupture, mais la loi de 1792 ne l'avait pas repoussé. En 1882, lors des travaux préparatoires d& la loi qui nous régit, la question fut examinée même trois éminents savants, trois aliénistes experts, donnèrent au Parlement une consultation. Les docteurs Blanche, Charcot, Magnan firent observer que, si la folie était héréditaire, la cause de di-

vorce tirée de la démence était anté-,

Vieure au maria'ge et. pouvait être reconnue avant les noces; s'il s'agit de paralysie générale, la mort est proche du ̃moment où Tincurabilité est, certaine: deux à cinq ans, disaient-ils. (Ce n'est plus que patience à prendre pour le conjoint rêvant de convoler en d'autres noces.) Quant à la folie accidentelle, qui peut la dire inguérissabile?. Eclairée par cet avis, le Sénat et la Chambre furent d'accord (je parle de longtemps) poûj repousser un tel cas de divorce « L'a société, écrivit M. de Marcère dans son rapport, n'a pas le droit d'intervenir pour délier un nœud sacré, ni pour dégager l'époux des devoirs qui subsistent et que le malheur même a rendus plus étroits. »

Sans doute mais cet inamovible était bien de son temps. Ces devoirs, obscurs, ingrats, douloureux, qu'on accomplit dans la. simplicité d'un altruisme sans phrase, ne sont plus à la mode législative. Il nous faut, dans les exposés de motifs, de la solidarité sociale, des devoirs d'humanité, de philanthropie, de pitié pour les humbles. C'est sur sa classe entière, et 'sur les voisines, qu'on veut répandre la bonté de son cœur. Mais l'obligation secrète, pénible èi quotidienne, le sacrifice intime, maternel ou conjugal, que bien des gens encore savent élever à la. hauteur d'une. vertu, la loi ne «e soucie plus de l'enseigner. Il faut que l'électeur des deux sexes vive sa vie et la refasse de temps à autre. Tant pis pour les malades, et tant pis pour les fous. Ils ont tort. La proposition ne le leur cache pas. Le divorce, nous dit le résumé du texte, sera toujours réputé prononcé « aux torts des deux époux ». Jusqu'ici, la. faute supposait responsabilité et toute cause de divorce impliquait une volonté dommageable de la part de l'époux privé de quelque avantage. Tout cela est d'ancien régime.

*•*

Ôli sans doute, MM. Palmade et André Hesse, juristes avertis, ont pris de£ précautions. Ils exigent que la maladM ait duré trois ans et qu'un expert l'ait déclarée incurable Possèdent-ils donc une équipé, d'aliénisle-s infaillibles ? Et it*ont-ils pas lu récemment que la. malheureuse impératrice Charlotte, dont la, folie dur© tragiquement depuis plus d''un demi-siècle, a des instants encore de lucidité?

t Au démenty ;divorcé sur dire d'expert et qui, dans un moment de raison, réclamera sa femme, que répondra-t-on ? 1 ̃ «Vous n'en avez plus elle est remariée après divorce prononcé aux torts et griefs communs. » « Et qu'ai-je donc fait? » « Vous avez été 'malade. » Ce dialogue, il est vrai, a de quoi faire perdre la tête au plus sage. Et comme il re.plongera. dans la, plus sombre vésanie le' pauvre divorcé malgré lui, on 'peut dire que pour supprimer ces pénibles entr 'actes raisonnables, le remède est près du mal.

Mais pourquoi réserver ce privilège à la démence? Et pourquoi n'avoir pas mis avec elle, sur ce,pied d'égalité cher à notre époque, l'épilepsie, la sénilité

précoce, la. tuberculose et tant d'autres

maladies incurables apanages de notre espèce ? 11 y a là matière à quelques jolis amendements. Henrî Vonoven.

Henri Vonoven.

Le Rapide Bordeaux-Paris a déraillé près de Poitiers ̃̃̃̃̃̃̃̃̃i– ̃

CINQ MORTS QUARANTE BLESSES

̃̃̃̃̃

Le rapide 34, parti de Bordeaux à 10 h. 10 'dû' soir, avant-hier, et qui devait arriver hier matin à 8 h. 11 à. la gare d'Orsay, a déraillé, en pleine nuit, vers 2 heures du matin, à trois kilomètres de Poitiers, à l'entrée d'un pont au-dessous duquel coule le Clain. Sept wagons ont été renversés. Une voiture de première classe est tombée dans la rivière. On en a retiré cinq morts. Les blessés, dont quelques-uns sont très grièvement atteints, sont au nombre d'une quarantaine. M. Pédebidou, sénateur des Hautes-Pyrénées, est parmi les morts. Comment s'est produit

le déraillement

On n'avait pas encore reçu, hier soir, à la Compagnie d'Orléans, de renseignements détaillés sur les causes de l'accident. Dos qu'il a été connu à Paris,' le ministre des travaux publics, M. Peytral, et .M. Mange, directeur de la Compagnie, sont partis pour Poitiers par le sud-express. Ils n'ont pu être sur les;, lieux que vers trois heures .àù raprès-midt les résultats de L'enquête, faite sous leur direction, ne seront sans doute connus qu'aujourd'hui.

Il parait d'ores et déjà à peu près certain que la cause première de l'accident est une rupture de rail. Les techniciens, qui connaissent bien cette partie de la ligne ParisBordeaux, ne peuvent l'expliquer autrement.

C'est entre la gare" de Saint-Benoît et la halte des Sables que, d'après les récits des voyageurs indemnes", parmi lesquels se trouvaient l'abbé Brémond, de l'Académie française, et M. Merle, directeur de Paris-Soir, s'est produit un choc formidable. La locomotive et le tender venaient de se séparer brusquement du fourgon à bagages, et, après avoir franchi le pont du

Clain, s'arrêtaient à six ou sept cents mè-

tres. Mais une. autre rupture d'attelage séparait le fourgon du wagon de première qui le suivait. Le fourgon restait au bord du remiblai, tandis que la voiture de voyageurs, franchissant ce remblai, s'abîmait dans la rivière. Ce type de wagon pèse quarante tonnes. Une pareille masse, tombant de dix mètres de haut, devait entraîner dans sa chute le wagon suivant, un wagon de troisième classe qui vint s'écraser sur la première voiture, suivi à son tour par un wagon mixte, de première et, deuxième, dont la chute fut, en quelque sorte, amortie par l'obstacle que représentait le wagon de troisième. Derrière venait un sleeping, qui, ^e.ureusemeiii, s'enlisa dans la terre 4étrempée par- les pluies il pleuvait à verso au moment de l'accident et arrêta derrière lui le resfe du convoi.

Dans F obscurité, sous la pluie glaciale, les secours s'organisèrent. Il y avait dans ie train un certain nombre de « joyeux » libérés, qu'un officier des bataillons d'Afrique ramenait à' Paris. Rivalisant de dévouement avec d'autres soldats, ceux-là, au nombre d'une trentaine, faisant partie du 37? régiment d'aviation, les libérés se jetèrent maintes fois dans le Clain, plongeant pour ramener les voyageurs du wagon submergé. n

Bientôt, une grue puissante arrivait de Poitiers, ce qui permettait d'activer le déblaiement des décombres, et de commencer à relever les voitures renversées.

Cependant, la proximité de Poitiers avait permis d'y transporter rapidement les blessés. dont huit, sur l'ordre du médecin, furent immédiatement hospitalisés. Les autres ont été pour la .plupart dirigés sur Paris, où les ont amenés des trains spéciaux qui sont arrivés dans la matinée à la gare d'Austerlitz.

Les victimes

Voici la liste des victimes, telle quelle nous a été communiquée, hier, au secrétariat général de la Compagnie d'Orléans Morts

M. Pédebidou, sénateur des Hautes-Pyrénées le jeune Gal, âgé de i ans, dont les parents' qui sont sains et saufs, demeurent 154, avenue de Wagram, à Paris iM. Serge Singher, étudiant, ftls du président de l'Automobile Club de l'Ouest, rue de la Manette, au Mans M. Loew, commissionnaire en perles fines, rue de Châteaudun, ayant son domicile 7, cité Malesherbes à Paris.

Un cinquième corps n'a. pu être identifié. C'est celui d'un homme portant un chandail et un béret basque..

Blessés soignes primitivement à Poitiers (MAI. Leuilhac, employé au Cirque Rancy de Fontange,.de Paris de Labarre, 12, rue Labouret, à Charenton Bordelabe, à Caudias, par Lesparre (Gironde) Albert Bernet, 1G, boulevard Saint-Michel, à Paris Fontaine, il, rue Baudin/à Paris, et un ménage de Luxembourgeois habitant Paris, qui ont demandé que leur nom ne fût pas cité.

iMLM. de Fontange, de Labarre et Fontaine ont pu, dans le cours de la journée, être ramenés à Paris.)

Blessés transportés à Paris par les Lrat~ls spé-

oiaux .-̃̃•̃̃

W: Job Emile Châtelain. 67, rue du CardinalL'ôflioine. employé des P. T. T. Mme Wenberg, 14, rue Lahire, femme de ménage au P. 0. iM. et Mme Jacques, 7, rue des Chalets, à Cenon (Gironde), agent technique de la traction à Bordeaux .M. Withley Collinston Clifford, 16, Westbounie-Square, Caddington-Londres (à Paris, Hôtel Bradford) Mme Fossat, femme du directeur des douanes de Bayonne, rue Vincet, à Bayonne; 'M. David Arnaud, notaire a Cognac, 1 52. rue Saint-Martin Aime Andrade, 68, rue Pierrc-GharrpH, à Paris 'M. Albert Berger, chapelier, 20. rue Sarrette, à Paris M. Justin Valmer, artiste du Cirque Hancy, '!3, rue Louis, à Lyon Mme 'Bellamy, Noivlland Hôtel, â Londres -M. Paul' Valeniin 58, rue Jacob, ii Paris M. Clément Savary, il. rue Chabuly, à Bordeaux M. Jean Petry, 8. rue des Chanoines, k Nancy M. et Mme Traverse, 34, rue de Loos, à Paris M. Michel Max, soldat au 503° régiment, au camp de Sator.v M. Louis Hasmier, 146, rue de Nanterre, à Colombes.

L'enquête du Parquet

Le procureur général et le procureur de la République; arrivés à la première heure sur les lieux, ont commencé aussitôt leur en- quête, concurremment avec M. Julien, ingénieur de la Compagnie, qui se trouvait dans le train 34.

Le convoi marchait, au moment où s'est produit l'accident, à une vitesse de 80 kilomètres à l'heure, ce qui est normal, affirment les employés, quand on a. encore devant soi trois kilomètres pour ralentir progressivement avant de stopper. IM-ais il faut ajouter que le mécanicien assure qu'il n'avait pas été prévenu que des travaux de

réfection de la voie étaient en cours près de Saint-Benoît, et qu'aucune lanterne, spéciale ne le signalait.

Au siège de la Compagnie

Au secrétariat. général de la. Compagnie, on ne croit pas qu'il puisse y avoir d'autres victimes que les cinq dont les corps ont été retrouvés. Toute la journée, on a cu à répondre, au siège de la Compagnie, à des demandes de renseignements provenant do parents des voyageurs, et on pu, nous assuro-t-on, donner des nouvelles de toutes les personnes du sort desquelles s'inquiétaient leurs proches, à une seule exception près. Encore, n'est-on pas certain que ic voyageur dont il s'agit se trouvait dans le, train M. ̃

Le sénateur Pédebidou

M. Adolphe Pédebidou était né à Tournay, près de Tarbos, le, 16 décerilbve 185-i-. Docteur en médecine, il avait représenté la première circonscription de Tarbes à la Chambre pendant-plusieurs législatures. Elu sénateur le 28 janvier 1900 et réélu le 3 janvier 1909 et le 11 janvier 1920, il était membre du groupe de la gauche démocratique et président du Conseil général des Haulea-Pyrénées.

Une interpellation

M. Trandiand, député de la Vienne, ff déposé une demande d'interpellation au ministre des travaux publics sur « les causes de la. grave 'catastrophe de chemin de fer qui s'est produite près de Poitiers et' sur les mesures à prendre pour assurer la sécurité des voyageurs dans les trains ».

A LA QUATRIEME PAGE

EN MARGE DU BUDGET Par HENRY VIDAL

Violente explosion

dans le port de Hambourg Onze morts Deux disparus

Hambourg, 25 mars. Une explosion s'est produite, ce matin, sur un bateau-réservoir ancré dans le port de Hambourg. Ce bateau, long de plus de quatre-vingts mètres, a été complètement démoli. On compte 11- morte et 2 disparus. L'explosion a été si violente que l'un des cadavres a été projeté sur le> toit d'une maison voisine.

Demain

L<§ Figaro ©eu ÂFgdiniÊiiifiKi

De nouvelles salles vont être inaugurées au musée Carnavalet De Saint.Aubin à l'hôtel de Fersen de Robespierre à Victorien Sardou Les vieilles pierres de Carnavalet disparaissent presque aujourd'hui sous le poids de glorieux souvenirs. Boiseries de nos hôtels historiques, peintures et gravures d'autrefois, pieux oripeaux échappés à la Révolution viennent chaque jour augmenter les précieuses collections dont l'ancien hôtel de Mme de Sévigné est le merveilleux et pur reliquaire.

Trop petit pour contenir tant de gloire, Carnavalet s'est agrandi maçons et mienuisiers ont taillé dans les murs, percé des galeries, ouvert des fenêtres sur les perspectives de Mansart et, samedi prochain, la visite présidentielle consacrera, le nouveau Carnavalet qu'un conservateur intelligent et actif fait briller aujourd'hui d'un nouvel et émouvant éclat.

Depuis 1920 que ces travaux sont comWmencés, M. Jean Robiquet a su réaliser un ensemble évocateur digne en tous points de cette demeure historique. Nous avons- eu, hier, la bonne fortune de flâner un instant dans ces grands salons où tant- de richesses et de chefs-d'œuvre ont été amoureusement rassemblés; Si les anciennes col.leclions se sont toutes enrichies, de nouvelles salles ouvrent leurs portes au public: .les salles des boiseries. Entièrement composées de boiseries sauvées de la hache ou de la vente publique, elles offrent de curieux décors où meubles et tableaux sont en conir plète harmonie.' En voici quelques exemples. Quatre pièces doivent leur heureuse transformation aux boiseries, venues de la,, maison de retraite des archevêques de Connans-Charenton, de la plus pure époque' Louis XVI. Sur les murs, des dessins do Saint-Aubin alternent avec des peintures de, Demachy et d'Hubert-Robert. Plus loin, quelques salons ont hérité des boiseries aux fines. nervures d'un hôtel situé 12, rue Laffitte, démoli l'an dernier en vue du percement du boulevard Haussmann. M. Jean Robiquet passait heureusement pur là et pensa justement que ces bois précieux conviendraient à merveille à Carnavalet. Le fameux hôtel de Breteuil dit do Fersen, do la rue Matignon, revit en partie dans deux petits boudoirs auxquels il prèle ses lambris sculptés dont les motifs ont la délicatesse du biscuit. Des meubles en bois do rose et une curieuse statue de Chinard y, trouvent un asile digne d'eax.

Avec les reliques de l'hôtel Brulard de-, Genlis, 13, quai Conti, nous retrouverons le beau chêne blond du xvir3 siècle. Le souvenir de Voltaire hante ces lieux où Largnliè-i re l'a fixé sur la toile à l'âge de vingt-quatre ans. Voici son masque, et le fauteuil où il- est mort, voisinant avec l'herbier et l'encrier de Jean-Jacques Rousseau.

Avec l'hôtel Stuart, jadis rue Gay-Lussac, nous entrons dans un salon de musique Louis XV orné de portraits d'Antoine Pesne. En suivant ces grands salons, nous arrivons au musée révolutionnaire, qui est le fonds même de Carnavalet. De précieux souvenirs nouveaux y ont pris place, entre autres l'acte d'accusation de Louis XVI, un


devoir d'écriture signé Louis Dauphin, un autographe de la princesse de Lamballe, ..une- .lettre de Mirabeau. Une pièce est entièrement .consacrée aux meubles venus du Temple, le lit de Mme Elisabeth, le loto du Dauphin, • la chemise du roi et le petit miroir de Marie-Antoinette.

Un véritable musée du Costume évoque '.fous les âges, et l'habit de Béranger, son chapeau et sa, calotte y figurent en bonne place.

Rapidement, traversons la salle du Premier Empire où, à côté du nécessaire de ,campagne de Napoléon, sont venus se ̃grouper l'épée de La Tour d'Auvergne et la bolte de 'dragées du baptême du duc de Bordeaux. Un Talleijrand, par Prud'hon, isemble dominer les lourdes vitrines. Un ̃Corot, représentant la- Seine devant le quai d'Orfèvre, relient, à lui tout seul, l'attention dans la salle..du..Second Empire, où le berceau du prince impérial, est environné de dessins de Constantin Guys. Nous arrivons à. la salle de la Victoire, où ont pris place de grandes- compositions de- Lucien Sîmon et- de Gillot évoquant le faste de ces jours enfiévrés.

Nous ne saurions, oublier la salle Hoff•bauer et la- curieuse maquette de Paris à la fin du quinzième siècle. C'est là qu'on trouvera un troublant portrait de Marie Duplcssis, par Roqueplan; et la Malibran, d'Isabey.

Enfin, M. Jacques Robiquet a pensé à consacrer -un coin de Carnavalet. à la mé'moire d'un de nos auteurs le plus aimé du public, parisien et dont le souvenir est encore si près de nous, à Victorien Sardou. Grâce à M. Pierre Sardou, dont on connaît le dévouement filial, l'illustre demeure s'est- enrichi de la table de travail du maltre, de son buste, par Fraaisceschi, et de son portrait, par Lévy-Dhurmer. Le légendaire petit béret et le foulard blanc que .Sardou affectionnait semblent assez bien s'accommoder du voisinage du solennel habit vert. Et si l'ombre de Robespierre, venue de la salle Révolutionnaire, s'égare quelque nuit de ce côté du Musée, elle ne verra pas, sans frémir, le manuscrit origirial de Thermidor- mais au doux souvenir ̃dé Mme de Sévigné, les ombres ennemies se réconcilieront.

Et c'est peut-être une chose à laquelle M. Jacques Robiquet n'avait pas songé. Simon Arbèllot.

Informations politiques

lie monopole des blés

La commission (Je l'agriculture a adopté le rap- port de M., Huguet, député du Puy-de-Dôme, con- çluanj. au rejet de la proposition de M. Compere1 Moreï et du groupe socialiste concernant le mo- nopole du Me.

La propriété commerciale

̃Là.' commission de législation civile a entendu i lecture de l'avis de M. Cautru sur le texte adop- té.;pfar la commission du commerce en ce qui epndérne la propriété commerciale. Après une Jongrte discussion, la commission, tout en adoptant, ïa proposition actuelle de la commission du comnierce, a é'té d'avis qu'en cas d'offres excessives faites par un nouveau locataire, celui-ci devrait payer l'indemnité d'éviction prévue, au bénéfice du locataire sortant. D'autre part, ctie ̃a-estimô que la décision fixant les conditions du nouveau- bail -et confiée au juge unique serait susceptible -d'appel a. bref délai.

Sous.ces deux réserves. M. Cautru a .été, en conséquence, autorisé à déposer un avis favo-

rable.

L'accord commercial avec le Portugal M. Maupoil, député de Saône-et-Loire, a. dé- posé' une demande d'interpellation sur la conclusion dé l'accord commercial franco-por- tugais et sur les mesures que compte prendre le gouvernement pour défendre la production fran<\aisa contre l'importation des vins exotigues.

a9 t ~r ~-r:-=.?atu "h'"

U~i$0f^tâM daas îarSeme 'Ltf Chambre, dans sa séance d'hier matin, a adopté la réforme électorale pour l'é- lection des conseillers généraux dans le dé- partement de la Seine. Le nombre de ces 'conseillers, actuellement de 22, a été" porté à 40 pour assurer une proportionnalité exac- te entre la population de Paris et celle de la Seine Paris, avec ses 2.800, habitants, ̃'continuera h" élire '80 représentants, et la banlieue, ayecî.400.000, habitants, soit la moitié en élira 40.

Un canton, celui de Pantin, élira 3 con- seillers 2 conseillers sont attribués à Asnières Aubervilliers, Boulogne, Colombes, Levallois-Perret, Noisy-le-Sec, Puteaux, Saint-Denis, Saint-Ouen. Charenton, Ivry, Saint-Maur, Sceaux, Vanves, Villejuif et Virîcénnes'; 1 seul conseiller est attribué à Olichy, Courbevoie, Neuilly-sur-Seine, Mont, reûîl et Nogent-sur-Marne.

Dans les cantons élisant plusieurs conseillers, l'élection aura lieu au scrutin umnominal les cantons seront divisés en autant de circonscriptions qu'ils auront de conseillers à élire.

En ce qui concerne le régime électoral à Paris, M. Le Corbeiller proposa la division .de Paris et des communes suburbaines en cinq grandes communes distinctes. A la demande du ministre de l'intérieur, cette suggestion fut disjointe.

Aujourd'hui, à Ja séance du matin, la Chambre s'efforcera de trouver un terrain d'entente pour effectuer la réforme électorale â Paris.

A rHôteTd^e Ville Les traitements

du personnel départemental Le Conseil général a- voté, hier, sur le rapport de M. Lemarchand, le relèvement des traitements et des salaires du personnel départemental, dans les conditions qui ont -été admises par le Conseil municipal pour le personnel de la Ville de Paris. Le musée d'hygiène

Le rapporteur du musée d'hygiène, M. PiOéland,.a fait connaître à ses collègues que le nombre des visiteurs de ce musée augmente chaque année. Le rapporteur félicite MM. Leroux et Véran, les conservateurs du •musée, pour l'organisation de conférences instructives qui sont suivies très régulièrement chaque dimanche, d'octobre à février. Le métro en banlieue

M> Çmile Mas-saxd a demandé qu'on faci- ̃lite'à'^la population l'accès ~tlu cimetière de Pantin en prolongeant jusqu'à 1,' entrée de (;e.ife"néeropolc, sur une longueur .d'environ 1,500 rinètres, la ligne métropolitaine n°-7 7

Mi'.

Janvîlle»

--»'. y j- .0*»– ̃

Un ouvrier congédié

tue son contremaître

et est abattu par le comptable

Un journalier, Paul Bradi, 27 ans, travaillant sur un chantier de Saint-Marcel, à ••Marseille, s'était vu congédier, hier, à la suite d'un refus d'obéissance. Furieux, l'individu se' vengea sur le- contremaître, M. Charwiot, lui tira trois balles de revolvcr à bout portant et prit la fuite.

.Poursuivi, aussitôt par-, un témoin, du.drawê, le" comptable M..Ferrari, il ne, tardait pas h être' rejoint. Comme il esquissait une défense' -kl comptable, tirant à 'son tour un i-f'volvei". l'abattit de trois balles dans la

tète.

Les artisans de l'expansion commerciale à l'honneur

La remise des distinctions décernées par le Comité national du Commerce extérieur

Hier soir, dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, l'élite de nos commerçants et de nos industriels a salué de ses applaudissements les bons ouvriers de notre expansion commerciale, auxquels le Comité national des conseillers du commerce extérieur remettait, en une séance, solennelle, à, laquelle assistaient le président do la Ré-,publique et le président du Conseil, la juste. récompense de leur activité. ̃̃ ̃ •< ̃' Discours de M. Glémentel

Prenant le, premier la parole, .M. Gléméntel saluu. tout d'abord M. Doumergue et M. Herriot puis, soulignant fortement la nécessité nous sommes de les rnârchés extérieurs, pour donner à 'notre commerce l'extension nécessaire, il indiqua le rôle considérable joué dans cette ceuvi-e tant par le ministère du commerce que par le comité des conseillers du commercé' ex^t'é-;

rieuj-. "-jV:

IL rendit ensuite hommage à la ville qè; Lyon et à son maire pour avoir, au milieu" même des hostilités, accompli cette oeuvre de foi admirable dans les destinées de la France, qui a été le rétablissement de la Foire de Lyon. Cela seul suffit à justifier la haute récompense attribuée à la ville qui a, ainsi, ravi à l'Altemagne le monopole « des grandes manifestations internationales »• II salua ensuite le titulaire de la grande médaille d'or de l'expansion commerciale, le maréchal Lyautey, « collaborateur du maréchal Galliéni au Tonkin et à Madagascar, pacificateur du Sud Oranais et de l'Amalat d'Oudjda, organisateur du Maroc, cet admirable fleuron de notre empire d'outremer.

Il remercia enfin les généreux donateurs et en particulier M. Nouvion, « qui a compris l'importance du rôle joué par la presse dans l'effort d'expansion du pays et qui nous a permis de décerner uno de nos récompenses à un homme populaii-e parmi vous et que nous remercions de mettre au service de la production française -le fruit" d'ùçe.: vie laborieuse d'homme d'action, d'historien et, de philosophe, j'ai nommé Lucien Romier. » Il dit en terminant l'œuvre entreprise par nos conseillers du commerce extérieur qu'il faudrait, pour être juste, pouvoir tous récompenser il conclut en ces termes « Nous ferons notre mot d'ordre de la devise de notre Comité, devise qui doit être celle de la France de 1925 Produire et exporter. »

Cet. excellent discours fut vivement applaudi.

Ce fut ensuite l'appel des lauréats, dont le secrétaire général du comité résuma excellemmé*nt les mérites.

Discours du général Gouraud

M. le maréchal Lyautey, retenu à Rabat, avait eu la délicate pens'ce de charger son frère d'armes, le général Gouraud, de recevoir en son nom la grande médaille d'or, de l'expansion commerciale. Le gouverneur de Paris en profita -pour rendre un bel hommage à l'homme qui à transformé le Maroc après l'avoir pacifié. Discours de M. Raynaldy

Le ministre du commerce s'attache à développer les grandes lignes de notre politique;,eQmiijercialc. IJ. montra cornniern\ depuis. Krgiiàrro ,no,u's avions, par la, ci'éation d'offices 'spéciaux et de banques, pourvu à ces trois grands "besoins du commerce extérieur l'exportation, la vente et le crédit. Il montra. le Parlement appliqué à. nous donner enfin une législation douanière complète, libérale, en accord avec les nécessités de 1 '.heure.

Il défendit enfin avec force la politique des accords commerciaux et il conclut par un appel à la .confiance en la France, qui fut unanimement applaudi. Discours de M. Herriot 5 Le président du Conseil se défendit tout d'abord de retenir pour lui les éloges que venaient de formuler ses collaborateurs du ministère, il en fil hommage aux Lyonnais qui, en essayant de lutter avec la foire de Leipzig, ont eu en vue plutôt l'intérêt de la France que le leur propre.

M. Herriot parla ensuite de notre situation économique et financière.

« La France, dit-il, ne connaît pas le chômage, sa balance commerciale augmente. Elle possède un empire, colonial à peine exploité, une solide agriculture. Au fond, sa situation est peut-être plus favorable que celle d'autres pays qui, actuellement, semblent plus prospères.

» Nous obtiendrons la paix dans la sécurité et dans l'honneur, poursuit M. Herriot, mais la paix n'est qu'un cadre que le travail doit enrichir. Travaillons. Ainsi nous étendrons l'influence de la France. » Cet appel fut chaudement applaudi. Et sur le discours du président du Conseil, cette belle réunion prit fin.

Un banquet

Le comité national des conseillers du commerce extérieur avait donné, à midi, un banquet,, réunissant plus de cinq cents convives, sous la présidence de M. Raynaldy.

M. Clémentel, ministre des finances, y assistait également, ainsi que MM. Painlevé, Meeglé, Gèo-Gérald, Mascuraud, Prevet Lederlin, Robineau, Dal Piaz et notre rédacteur en chef, M. Lucien Romier.

Au Conseil supérieur

de la Mutualité

Le conseil supérieur de la mulualilé s'est réuni, hier, au ministère du travail, sous'ta présidence de M. Justin Goâart. oci Le ministre du travail a prononcé un dis'cours et a assuré i congressistes de la sollicitude du gouvernement, qui saura veiller il ce H qu'aucune mesure aux répercussions imprévues ne vienne troubler l'har- monie et la simplicité traditionnelles de la pratique mutualiste ».

.t~L' J

NOUVELLES RELIGIEUSES Le cardinal Van Rossum a ouvert, avanthier, la session annuelle du conseil supérieur de la Propagation de la fof pour la répartition des subsides aux missions..11 fit. j ressortir la nécessité de faire progresser l'assistance aux missions par la prière et l'organisalion. Il signala une augmentation de 50000 dollars parmi les recettes provenant des Etals-Unis. Cette, année, ïa somme globale à répartir sera -de 40 millions de livres, contre 3i miil'.ions l'année dernière. _o_ Une session spéciale de formation civique et sociale adaptée aux nouvelles préoccupations féminines sera donnée, en.) mai, par l'Ecole normale sociale, 56, rue, du Docteur-Blanche.

_^0_ Sous les auspices de la Ligue pour la vie et de la Ligue française pour le relèvement de la moralité publique, Mgr Rossignol, inspecteur d'académie, donnera,, le 29 mars. h Colniar, une conférence irComment repeupler et moraliser la .France ».. Paul Lesotmt.

LE MÔNDÈ1& bA VILLE

11 «»»«it»«i»i«r. 1 m.

DANS LÈS AMBASSADES

S. Exc. M. de Castro, ministre du Por-^ tugal près le Saint-Siège, est parti pour Lisbonne, en congé. ̃ RENSEIGNEMENTS MONDAINS

S. M. le roi des Belges fait uu séjour au château de Ciergnon. La marquise d'Armaillé a donné ces Jours derniers, à l'Interallié, un élégant dîner en l'honneur de LL. A A. RRt le prince et la princesse Pierre d'Orléaiis-Bragance. ̃̃ M. Imbart de La Tour, do l*Académie des sciences morales et politiques, a 'donne j 1 avant-hier, en sa résidence de, l'avenue Mar-j ceau, une réception. en l'honneur, de S, ExC- le uquee anostoliquéi. De nombreuses personnalités du monde académique, religieux" et politique, se pressaient autour de S. Exc. Mgr Cerretti. Citons parmi les assistants

MM. Jonnart, Ronc Bazin, Georges Goyau,. de

l'Acadéniie française Widor, secrétaire perpé-

̃luel de l'Académie des beaux-arts Rebelliau, IJébrard de Villeneuve, Chardon, Jacques Bar-

l'ca(léiiiie des scieilues

doux,, de l'Acadéinic des sciences Morales "isjlôiîàrd Trogan. André Chaimieix, Mgr Batif-

fol, -16 chanoine Sicard, les abbés Debeldos, Fc-

:liïc Klein, Vincent, etc..

Le comte et la comtesse de Rohah-Chabot, accompagnés de la marquise de Maillé, sont arrivés nier, à Marseille, d'où ils' embarqueront pour le Maroc.

-r- Matinée dansante, dimanche dernier, chez la marquise d'Oncieu de Chaffardon. Thé, avant-hier, chez la comtesse Louis de Montesquiou.

Intéressante matinée, musicale, ces jours derniers, chez le comte Philipon. On' a beaucoup applaudi le comte A'rnàud de Gontaut-Biron dans diverses œuvres de Chopin et de Ravel, et particulièrement dans la remarquable présentation qu'il ât eu première audition du Thème et variations en ut mineur, du marquis François de-. Breteuil. Elégants déjeuners cette semaine, ïchez Mme Louis pesehainps, à -Capo di Monte. Parmi les invités :"̃ ̃-

fi. A. R. le prince 'Philippe, de Bourbon, gêné-' rai et lady Pitcairn Campbell," T|(lyMeux, lady de Traiîoi'd, ^irs Bâche, Kfrs ?voi:ton, Mr et Mrs Vy'jlcox, Hon. Victor Bethel, baron de Zuylen de Nyevelt, M. Paul Alexander Mellor, vicomje de Jessaint, capt-ain Jeramet.

NAISSANCES

La comtesse de< Maupas, née Lévesque, a heureusement mis au monde un fils, Antoine.

BIENFAISANCE

Sous le haut patronage de Mme Raymond Poincaré, une matinée est organisée le jeudi 2 avril, à trois heures, salle Gaveau, au profit de «' l'Œuvre Nouvelle des Crèclié-s l'arisiennes », présidée par Mme Paul Thorel. Au programme l'Orchestre des Jeunes, sous la direction de M. 'Siohan- danses de caractère, réglées par Mlle Meunier, de l'ppéra, et la Future Maman, film.de puériçUl|ti/e instructif et .amusant, .du doçtcU'r Dç!.v;i:aigne. Billets, à. la salle Gavea,U.

.81!'1

̃ ̃ CERCLES ̃̃ M. A. de Montuel, présenté par le marquis de Wignacourt et le vicomte Henry de Filorian, à été reçu, hier, membre permanent du Cercle de l'Uiiion Artistique.. .Aujourd'hui, au .même Cercle, à -neu.^ heu- res, soïrée musicale avec le' concours 4'e"S-t- Antoui Sala, de Mlle Pignari, de Mme Iakov- 1 leff et de Mlle Ellanskaïa.. ( Le Cercle de l'Union Artistique offrira aux dames une matinée musicale 3e mardi 31 mars, à trois heures trente. v

--·

DEUIL

–y. Hier matin, à dix heures, en l'église S.àiilt-Pierre du Gros-Caillou, avaient lieu JésVô'bsèques de M. Henri Calmette, victime de 3 'accident d'automobile de Saint-Cyrl'Ecolc.

Le corbillard disparaissait sous un amoncellement de fleurs blanches ou roses. De belles couronnes étaient adressées par les officiers, sous-officiers, caporaux et soldats de la compagnie de météorologie, l'Association amicale des anciens élèves du lycée Carnot, etc.

Le colonel du centre de Sajnt-Cyr et une députatiou de la compagnie de météorologie suivaient le char funèbre.

Le deuil était conduit par M. Edouard Calmette, son frère; Qe professeur Albert Cal-.» mette et le médecin inspecteur général de l'année Emile Calmette, ses oncles, et par les autres membres de la famille. Dans l'assistance Duchesse de Caylus, née Rougé .\f. et..Mme Paul Strauss, M. L.-L. Klôtz, docteur Roux, doc- teur Delaunay, Mme Waldeck-Rousscau, capi- taine âe Beau m ont, docteur Paiil Richer, comtes- se Gilbert de Nalèche, M. J. de Paniagua, général et Mme Duval, médecin inspecteur général Pouy 4 Mme Paul Brouardel, M. et Mme Gaston Thomson, général et Mme Targe, M. Mirrnan, M. A. de Parville, M. H. Vonoven, M. Victor Beau, et le Comité de l'Association des journalistes parisiens colonel et Mme Cochin, M. Louis Schneider, M. Emile Lagrange, M. Pierre Soulaine, M. André Doderet, M. René Vcrken, M. Georges Huillard, M. Léopold Stevens, Mlle Pi-.rion, baron Maire d'Avigneau, générale Morel, docteur Raymond Letulle, M. Amaury de l'Epine, M. Jean de Freycinet, M. Fernand Rouvray-, marquise de Gabriac douairière. M. et Mme Louis Tetreau, comtesse de Larbre, MM. Robert et Gaston Calmann-Léyy, comte H. du Pavillon, docteur Vallery-Rudot, comte E. de Gabrtac, M. J. Fëydeau. -M. Emmanuel Glaser, lieutenant-co- lonel et Mme Laugery, MM. Henry et Maurice Pereire, M. et Mme Ch. Emmanuel Brousse, docteur, Mme et Mlle Ray Durand-Farde), colonel Delcanihre, M. A. Oudin, Mme Kermorgant, M. Manonviller, M. André Camoin, docteur Maurice Jouaust, les membres du Cercle Jeanne d'Arc, etc., etc.

•îisfinhumatiou a eu lieu au Père-Laehaise. ̃ ;Ou annonce; de Nice, la mort de M. H. Bàbti de Surany, consul général de Perse à Paris.

On annonce la mort de Georges Gaillard, président honoraire* du tribunal civil de Beauvais.

Il'était le père de S. Gr. Mgr Gaillard,; évêque de Meaux, et de M. Jean Gaillard, avocat à la Cour d'appel de Paris. On annonce la mort du comte de Là) Ruée, décédé dans sa soixante-douzième année. ̃' M. Alexandre Oneguihe, une persôa-" nàlité en vue de la colonie russe et littérateur distingué, officier de la Légion d'honneur, a succombé en son domicile de la rue, '1 Marignau.. Mardi dernier, en l'église du Piu-ey- Mauges (Maine-et-Loire), a eu lieu, au mi. lieu d'une nombreuse assistance, le service anniversaire de la vicomtesse Louis d'Andigné. =

Américaine de naissance, elle était Française de cœur. De 1914 à 1918, elle fit partie de toutes les œuvres de guerre, payant de sa personne et de son argent pour 'es malades et les blessés, si,heureuse de voirses deux Patries marcher ensemble. ̃•̃ S. Gr. Mgr Runieau, entouré d'un nom-: breux, clergé, avait tenu à .présider Je ser-. vice; et, avant de donner l'absoute, a rappelé en quelques mots, d'une délicatesseexquise, les mérites et les bienfaits de celle dont on célébrait l'anniversaire. M. Esteban Màrti, comppsiteur de mu-

sique réputé, -est -décédé, hier, lue Heini-

Monnier.

Les obsèques du comte du Puget ont ̃été célébrées, hier, en .l'église Saint-Pierre Chaillot.

-ïia levée Idù-- corps a été faite et-1'âbsoutc I donnée par le chanoine Sicard, curé de la

•paroisse.' •' ̃̃'̃

Le deuil était conduit par le comte de Songeons, son neveu le comte de Ribes, le comte de Bourbon-Chalus, le vicomte de Saint-Trivier, ses petits-neveux; la comtesse de Ribês douairière, la comtesse de v.Son- j geons,; ses nièces la vicomtesse de Saint̃Trïvicr, la comtesse de Ribes, ses petites-

̃hièces. '̃' '-• ̃' '̃•̃̃̃'̃̃ ̃•-̃̃"̃ ̃• '-• ̃ -••'

.'̃̃•Le cercueil été déposé dans îles caveaufc ¡ de l'église. -• = ̃ .'̃ Nous apprenons avec regret lamdft.de Mme. de P&riimaymc, veuve du colonel de Poîninayraç,' commandeur de la Légion d'iourièur. Elle était la mère de Mme Dellys et de Mme Armand- Guido. Les obsèques auront lieu vendredi 27 courant, en l'église Saint-Pierre du Gros-Caillou, où on se réunira, à dix heures précises. Le présent ,faire-part tient lieu d'invitation.

On annonce la mort du comte de.ToulgoëtrT réanna pieusement décédé le 24 mars 1925, au château de Rozay, dans sa quatre-

vingt-onzième année.

Les obsèques auront lieu aujourd'hui jeudi 26 mars,à à onze heures, en l'église paroissiale de Saint-Georges-sur-la-Prée (Cher), où l'on, se réunira.

.Mi1 .fleurs ni couronnes. t,e présent avis tient lieu d'invitation.

Nous rappelons que les obsèques de la marquise de" Jaucourt douairière, auront lieu aujourd'hui jeudi, à midi trente très précis, en l'église anglicane, 5, rue d'Aguessëâù. Mlle Lax et toute la famille, dans l'iinpossibilité de répondre à toutes les personnes qui leur ont témoigné leur sympathie, lors de leur deuil, les prient de trouver ici l'expression de leurs sincères remerciements. M. Louis Muller et ses enfants, dans l'impossibilité de répondre; aux. nombreuses marques, de sympathie qui leur .ont été té-' poignées à l'occasion de leur grand deuil, 'prient leurs amis de trouver ici l'expression; de- leurs sincères remerciements. Nous apprenons la mort; à Rouen, de .M. Georges Lormicr, conseiller général de la Seine-ïniérieure, maire de Roncherollessur-le-Vivier, et directeur du Musée céramique de Rouen.

On annonce, de Bruxelles, la mort du statuaire Thomas Vincottc. Le défunt était membre correspondant de l'Institut de France.

Serigny.

PETIT CAENET

–Nous, apprenons que les magasins do .chaussures « Aux Capuciiws de .Paris '.»., 35, boulevard des Capucines (angle rite Daunou), inaugurent de nouveaux salons de vente, où vous seront présentées, dans un décor digne de votre élégance, les toutes dernières et originales créations de. Daily, bottier.

'Cf

L'exode delà couture vers l'Etoile s'accentue. M^arianne, dont les salons sont 'ouverts depuis peu, 16, avenue de Wagrafn, connaît déjà le grand succès grâce à ses exquises créations et ses prix modérés..

for

La femme chic, de Paris gardera un .charme spécial ,,gxâçe a^x/bas; «. ̃Jalj" ^i-.eu.

.l'vVajllc" véritable, dans. jiùr§,colcins ;âif..prïn-

temps, ^"otrç.(juyiz^ïnè; de.. récIaniQ sel ,'f eç-

miné 'ïrrévocablemèrit le 31 mars. Jah;:i, rue d'Alger (face aux Tuileries).

fOt

Un coup de téléphone à Central 29-46, ou une visite au 54, rue d'Anjou, et vous voilà embarrassé devant la plus importante et la mieux sélectionnée des collections de papiers peints et de toiles imprimées que Desagnat vous propose pour votre château.

« C'est un dessein très dangereux d'entreprendre de plaire. », à moins d'être habillé par le tailleur Gueudet, 4, rue Rougcmont (boulevard Poissonnière). « Chacun a ses défauts, ses costumes n'en ont pas! » Pour choisir le papier peint dont vous rêvez., vous devez aller chez Virgdna, 11, rue "Bleue," Paris (IXe). Vous y trouverez des collections originales, des tissus assortis et tout ce qui peut intéresser l'esthétique de votre maison. Des artistes décorateurs vous donneront tous conseils utiles.

t~<<

-r :,NICE

Le plus beau des cadeaux de-Pâques î un séjour à l'Hôtel Majestic, à. Nice. Repos et distractions mondaines. Grand confort, vastes jardins,, thés-dansants. Sous la direction personnelle de J. Aletti, des Hôtels giu Parc et Majestie,- à Vichy.

h r' *S~'

LA SAISON DE NICE

Sont arrivés.

Comtesse L. Magnaguti, général K. Vozenilek, M. L. de Vaulx, 'M. et .Mme de Ibarra, M. et Mme Corbin, M. J. Rawlinson.

En l'honneur du maharadjah et du prince héritier de Kapurthala, un thé a été offert, samedi, par iM. et Mme de Witte. Y avaient été conviés également Baron Zuylen de Nyevelt, Mrs Corey, comtesse Starzinska, M. et Mme Opstelten, le prince de Mysor-e, M. Jean de Bonnefon, M. et Mme A. Zanelli, Mme Escardo, baron de Gissac, M. A. Das. M. Formani Dass, MHe Fillion, baron Milon de Veraillon, M. et Mme de Kuyper. ÇA ^^TÂ

-♦- Un concours central d'animaux reproducteurs des espèces chevaline et asine aura lieu à Paris, Parc des Expositions (porte de -Versailles), du mardi 16 juin au dimanche 21 juin 1925. Les engagements devront parvenir au ministère de l'agriculture (direction des haras, 2. bur.eau) avant le samedi 25 avril, à 6 heures,, terme

;de rigueur. ̃_

L'exportation des. œufs ;va ètro réta-s b'ië'â partir du 1er avril. Le syndicat'de fa" crém'efia française, prévoyant qu'elle va provoquer immédiatement une hausse d'au moins dix centimes par œuf, proteste énergiquement contre cette mesure, tant en son nom qu'au nom des consommateurs parisiens.

•*̃ Le prix moyen à appliquer à la récolte de tabac de 1925 vient d'être fixé à i&> francs les 100 kilos, soit une majoration de 40 francs par 100 kilos par rapport à l'an dernier.

̃*̃ Le statuaire Jean Boucher n'est pas l'auteur de l'affiche des Arts décoratifs. Il était bon de iedire pour éviter à l'auteur du monument Gallieni' d'être contihuellé.^ ment assailli de demandes qui. se trompent d'adresse, h cause d'une tomonymib toute fortuff-ë." ̃ ̃ li»,:I> Jôuiiial officiel promulgue !a loi relative à l'expropriation des propriétés .non. bâties en vue de l'établissement de terrains sportifs.

:Dne tragédie à Saint -fflaur-Créteil i"'TJt\.i énergumène tue un agent 11. et en blesse deux

Vers cinq heures; ^hier-soir, -devant la gare de Saint-Maur-Créteil, un Algérien en état d'ivresse causait un scandale tel que le brigadier chef Damy et le brigadier Lejeune durent intervenir. Ils tentèrent de mettre l'ivrogne en état d'arrestation. Ce ne fut point €11080 facile, et l'individu, ameutant les spectateurs, élevait de véhémentes protestations. Prévenu aussitôt de l'incident, et. devinant que les choses allaient se gâter, le commissaire de police Pineau envoya sur les l'agent Mourlon, en bourgeois, auquel ne tardait pas à se joindre ragcnl.Bfflùygon. A ce moment arrivait, place de la gare, un cycliste qui mit aussitôt "pied à. 'terre-ct se mêla à la "discussion avec Une visible nervosité. Ce fut le début de la bagarre. L'ivrogne -criait toujours et la foule prenait parti pour lui.

Enfin, niaitrisé, il se laissait conduire par la rue Alsace-Lorraine, vers le corimiissariat, lorsque le cycliste". qui suivait adressa quelques paroles vives aux agents. Excédé, ïe brigadier Danvy dit à l'agent Lejeune Demandez-lui donc ses papiers. A ces mots, l'inconnu sortit de sa poche un revolver, mais l'agent Lejeune lui avait d'un bond saisi le bras. De sa main restée libre, le bandit tira de son veston un second revolver. Un coup partit, l'agent Lejeune atteint au ventre s'affaissait. L'agresseur avait pris la, fuite. Une poursuite s'engagea a aussitôt tout au long de la rue AlsaceLorraine. Des coups de feu furent échangés de part et d'autre, et successivement les agents Bourgon et Mourlon étaient touchés. Le brigadier Danvy tenta de poursuivre le bandit,, mais son arme s'étant enrayée, il ne put continuer. On vit l'individu enfourcher une bicyclette et disparaître par la rue. Rabelais, dans la direction de Joinville. Immédiatement prévenu, M. Lacambre envoya sur les lieux le commissaire divisionnaire Barthelemy et les inspecteurs Bethuel et Riboulet, tandis que MM. Morain et Guichard se rendaient égalerneent à Saint-Maur-Crétéil.

L'Algérien, cause indirecte de ce drame, a été emprisonné. II se nomme Saïd Messaoun Ben Ali, et est âgé de 25, .ans. 1 Ajoutons que l'a'gent Môurion est père de quatre enfants. L'état de ses deux collègues est alarmant.. ̃̃

CONSEIL DE CABINETL'étude du budget

Comme, suite au conseil de cabinet qui s'esE.tenu mardi dernier, au Quai d'Orsay, sous la présidence dé M. Herriot, les ministres et sous-secrétaires d'Etat se sont réunis, hier matin, au ministère des finances, pour continuer J'élude des différents chapitres du budget, tels qu'ils ont été arrêtés par la commission sénatoriale des finances. Assistaient seulement à la séance, de laquelle M. Herriot était absent, les ministres dont les budgets n'avaient pas été étudiés la veille.

Le conseil a continué l'examen des modalités d'application du rapport de la commission présidée par M. Sauvalle, inspecteur général des finances, chargé par le gouvernement, de rechercher la .suppression de vingt mille fonctionnaires.

La commission a remis au. président du Conseil un premier rapport, voici déjà deux mois, concluant à la suppression de plus de 9,000 emplois, les titulaires actuels ayant cependant leur situation sauvegardée, si leur mise à la retraite ne peut être pronon-

cée.

.M..Sauvalle et ses deux collaborateurs, MM ti -Char.ey 1% «t.: Vaèqufer- .̃reeherchéïit,"

riteure •aet^MlCb <miïiinï&nt ii? sei-ânV-pos-stole

<le supprimer encore. lî,000 fonctionnaires.

Eh outre, les ministres ont étudié quelles Compressions de dépenses et quelles suppressions de personnel seraient possibles sans nuire à la bonne marche des affaires. Ils ont examiné, enfin, les redressements de crédit à. demander au Sénat lors de la discussion budgétaire. ·

Disons en terminant que pour ce qui est du budget lui-même, le gouvernement fera tous ses efforts pour arriver à un vote définitif du Parlement avant ia clôture de la présente session parlementaire.

L'inauguration

ixi Musée de la Légion d'honneur Le président de la République, entouré de MM. Herriot, René Renoult, le général Nollet, Dumesnil, Bovier-Lapierre, do Selves et Painlevé, du général Dubail, grand chancelier do la Légion d'honneur des. maréchaux de France Foch, Pétain, irayollc, Françhet d'Esperey, des généraux Gouraud, Hirschauer, Stuhl, Debeney, Mangin, Bmkmlat, Weygand. Destiker, du grand conseil de l'Ordre de la Légion d'honneur, a officiellement inauguré, hier, le Musée de la. Légion d'honneur. Parmi les personnalités qui assistaient à .celte cérémonie se trouvaient également MM, Myron T. Herrick, ambassadeur des Etats-Unis lord Ctewe, ambassadeur de Grande-Bretagne le baron Gaiffier d'Hestroy, ambassadeur do Belgique le baron Avezzana, ambassadeur d'Italie les ministres de Portugal, de Serbie, de Roumanie 'et do'toutes les nations âinies et alliées MM. Naudin, préfet de la Seine 'Morain, préfet de police, etc. Le général Dubail, grand chancelier de la Légion d'ihonneur, a prononcé un discours qu'il terminait ainsi

Chaque œuvre a peut, être son étoile, sous l'influence de laquelle se développe sa destinée. Ce sera, en tout cas, un grand privilège pour le Musée d'être né sous le regard du grand maître de l'Ordre, des membres du gouvernement de la République et des illustrations de notre pays et des puissances alliées.

Le président de la République, prenant la parole, dit que ce reliquaire, où tout orientera la pensée des visiteurs vers les génies qui ont illustré la France, vers les héros qui l'ont défendue, fortifiée -ou agrandie, vers les grands esprits qui ont fait rayonner sur toute la surface du monde sa culture et son haut idéal de liberté et de justice, vers les travailleurs de tous ordres qui, pour la bien servir, n'ont ménage ni leur dévouement, ni leurs efforts, vers les amis zélés qu'elle a comptés et compte toujours au dehors; vers la mémoire, des légionnaires n}orts pour notre pays au cours de la -grande guerre, vivra très pure et très 'honorée.

Et. M- Dournergue termina en souhaitant que J'<àe nombreux visiteurs, rebueillis et émus, viennent voir à leur tour les salles que nous allons parcourir et qu'ils se pénètrent des hautes leçons. qui se dégagent de ces glorieux souvenirs. Us se diront alors que ce musée, selon une autre expression de M. le général Dubail, est un véritable temple, le temple de l'honneur, du devoir et des fortes vertus qui font les grands peuples.

A l'arrivée du président de la République et de M..Herriot., les honneurs militaires} furent rendus par des "détachements de l'a garde à pied et à cheval en grande tenue. La cérébro-spinale

fait des victimes à Marseille MARseaLE, 2a mars.. 7- Plusieurs élèves de l'école militaire de Saint-Hippolyte duFort sont morts de la méningite cérébrospinale. Une infirmière, Mme Nègre, a succombée, victime de son dévouement.

La, ratification

du Protocole de Genève

Le rapport de Mi Paul-Boncaur M. Paul-Boncour a donné lecture, hier, à la commission des affaires étrangères** de son rapport sur le projet de loi' tendant 1i la ratification du protocole de Genève pour le règlement pacifique des différends -internationaux; ̃

Le rapport de M. Paul-Boncour établit d'abord avec force qu'il n'y a rien dans le protocole qui ne soit déjà dans le pacte de la Société des nations et à quoi ne se soient déjà engagés tous les Etats signataires.. Le protocole a. seulement :• pour but de rendre applicable..le.s dispositions du, pacte,, < notamment celles de ràrtieïë Ttr concernant les sanctions contre "l'Etat agresseur, de préciser la procédure d'arbitrage et de -sécurité et, dissipait ainsi toute incertitude sur le concours que l'Etat victime de l'agression peut attendre des' Etats membres de: la Société des nations, de permettre à tous d'établir le programme d'une réduction des armements. ̃ Reprenant une expression qu'il avait déjà employée devant l'assemblée de Genève et qui est devenue de style, M. Paul-Boncour dit que le protocole est au pacte ce que le règlement d'administration publique est à la loi.

Après un historique des tentatives faites depuis la fondation de la Société des nations pour préciser la portée du pacte, le rapport de M. Paul-Boncour comporte une sorte de compte rendu de mandat de la délégation française à la dernière assemblée de septembre 1924. Il précise les efforts et les négociations par lesquels la délégation française est arrivée à faire insérer dans le protocole les lignes essentielles du dispositif soumis aux gouvernements par la commission d'études du conseil supérieur de laidéfense nationale et l'interdépendance des trois termes arbitrage, sécurité, désarmement. LI

Après une analyse juridique très serrée' du protocole lui-même, montrant comment? il constitue dans la phase historique présen-i te l'effort- ta fois le plus complet et' le' plus précis qui ait 'été fait en faveur de. la .paix, M. Paul-Boncour conclut à sa ratification par le Parlement français.

Il estime que, soit qu'on l'adopté dans son. intégralité, avec les amendements et les modifications que la France est toute prête à examiner, soit qu'il constitue le cadre général d'accords particuliers régionaux, précisant les mesures d'entente et de sécurité à prendre, sur des points déterminés, le protocole doit être. examiné dans ses principes généraux qu'aucun accord parficliliei- ne saurait être accepté que dans les termes posés par le protocole lui->aème et; avec des Etals qui aient, d'à!1 or cl. donné ce gage de leur volonté de paix aèire membre de la Société des nations et d'accepter sans condition ni réserves les engagements du pacte.

La commission a décidé de faire impriiïier provisoirement sur épreuves, le rapport do M. Paul-Boncour, afin de pouvoir en discu* ter mercredi prochain, texte en mains.; Il est probable que, lors de cette séance, elle en proposera le dépôt immédiat aîiivfie bien marquer sa volonté et celle du Parlement, de ratifier le protocole, à bref-délai. Toutefois, il est vraisemblable que l'état des travaux parlementaires ne permettra pas à la Chambre de voter cette ratification avant les vacances de Pâques.

̃ »*̃

A LA SOCIÉTÉ DES CONFÉRENCES

M. BoSlessort évoque l'apothéose

et la mort de Voltaire

Lorsque, le 3 février 1778, Voltaire se décida à quitter Ferney pour rentrer àParis, il y avait plus de trente ans qu'il n'a- vait revu la capitale où, depuis sa sortie du collège, il n'était jamais resté plus dé trois années. Le prétexte de ce séjour qui devait durer six semaines fut la prochaine représentation d'Irène, tragédie qu'il avait écrite à quatre-vingt-trois ans et que la ComédieFrançaise avait reçue à l'unanimité. Le voyage fut riompha. Aux étapes, la foule l'acclamait. A Paris, sou arrivée fit passer au second plan tous les intérêts publics et privés. Seule, la Cour le bouda. A Versaitles, on adopta la pire dçs politiques orï feignit de l'ignorer. On peut dire que la Révolution française a commencé le 10 février 1778, jour de la rentrée de Voltaire £' Paris. La première d'Irène fut pour le vieillard, à bout de souffle et déjà guetté par la mort, une apothéose qui dépassa de beaucoup un triomphe personnel. L'en-i thousiasme qu'il soulevait s'adressait autant aux idées qu'il avait répandues qu'àt lui-même.

Après avoir évoqué fin <3ù gtàriâ homme, les intrigues religieuses qui se de* roulèrent à son chevet, et son inhumation à l'abbaye de Boiiiilly. M. Bellcssort, lout.cn rendant une fois de plus hommage à variété de ses dons, à l'universalité de ses connaissances et à ses élans de générosité, se demande quels furent les résultats de sa lutte contre l'Eglise. Ils ont été nuls, conclut-il. « Au reste, son œuvre nous suffit, replacée dans son siècle. personne, même parmi nos très grand écrivains, .n'a porté aussi loin le charme et l'empire de la langue française. »

Une longue ovation a salué cette dernière conférence.

Les Alguazils.

La conférence de M. Bellessorf, sur l'apothéose et la mort de Voltaire, dont il est rendu' compte ci-dessus, paraît in extens^ dans la Revue Hebdomadaire, organe officiel de la Société des Conférences. Une Journée française en Yougoslavie Aujourd'hui, 26 mars, ont. lieu, dans tout' le'royaume des Serbes, Croates et Slovènes, des manifestations de reconnaissance en.vers la1 France et de l'amitié inébranlable franco-yougoslave. Daiïs les écoles primaires et secondaires, .des conférences' sont fai-> tes aux élèves rappelant les circonstances dans lesquelles la 'France ctait accourue au secours de la Serbie en 1915» le sauvetage sur la côte Adriatique des réfug'és et de ce qui restait Ge l'armée serbe, l'hospitalité reçue en France par les milliers de réfugiés serbes et, enfin, la fraternité d'armes sur lefront de Salonique.

Les Fédérations nationales des anciens combattants et des invalides de guerre, les Universités et sociétés patriotiques et, de e bienfaisance organisent des manifestations publiques dans toutes tés villes du royaume, des quêtes sont faites dans toutes les écoles et parmi la population, pour le monument de reconnaissance que la nation unie du royaume des Serbes, Croates et Slovènes se propose -de faire ériger à Paris.

Toute demande de changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc en timbres-poste, pour couvrir une partie des frais de renouvellement de la bande., "̃'̃̃'


DERNIERE HEURE

Comment le discours de M. Chamberlain

a été accueilli à Berlin Les Allemands savent gré au, Foreign Office de n'avoir pas mis en doute leur bonne foi Berlin, 25. mars.– Dans les milieux officiels allemands, le discours de M. Chamberlain a été, en général, accueilli avec sympathie, bien que l'on incline, ici, à garder une certaine réserve, tant que le texte complet du discours du ministre des affaires étrangères britannique ne sera pas parvenu à la Wilhelmstrasse.

Les Allemands savent gré à M. Chamberlain de n'avoir pas mis en doute la bonne foi du Reich au sujet du pacte de garantie. Ils ont éprouvé, en particulier, la plus vive satisfaction en apprenant que le Foreign Office n'était pas disposé à conclure avec la France et la Belgique un accord tri- partite dont serait exclue l'Allemagne. L'entrée du Reich dans la S. D. N. Dans les milieux officiels, on assure, que bien que M. Chamberlain ait invité l'Allemagne à entrer sans conditions dans la Société des nations, le cabinet du Reich ne changera pas son point de vue dans cette question, et qu'étant donné le désarmement complet de l'Allemagne, il ne saurait adhérer aux clauses prévues par le covenant en cas d'agression non justifiée.

On ajoute que le gouvernement allemand soutient toujours que la question de l'évacuation de Cologne doit être résolue indépendamment de tout autre problème, et même de celui de la sécurité.

Commentaires de presse

•Les journaux consacrent de longues colonnes sur les débats d'hier au Parlement britannique, mais se bornent presque uniquement à les relater et à donner des extraits de la presse anglaise et française. La Deutsche Tages Zeitung. organe de droite, écrit que les déclarations de M. Chamberlain, particulièrement en ce qui concerne la frontière orientale de l'Allemagne, sont peu satisfaisantes pour celle-ci. Le Journal de Huit Heures du Soir écrit que les milieux politiques allemands portent une grande attention au discours de M. Chamberlain, mais attendent, avant de 'e juger d'avoir pris connaissance de la totalité de son discours.

Les journaux disent, en définitive, que ces déclarations ont été accueillies avec sympathie en Allemagne.

–<<

M.Skrzynski et les projets allemands de pacte de garantie

r'

Varsovie, 24 mars. Parlant devant la commission des affaires étrangères des dernières propositions du Reich, relatives au pacte de garantie, M. Skrzynski a déclaré que la Pologne désire que les garan-

diçsiaçeoràées à»^ Franc£,ur^t;. denni-

Hiverfi'eat'ses 'frontières/ Liësiidfiroières, pro-

positions pouvaient dissimuler un danger, aussi bien pour la France que pour la Pologne, puisque, dans la question de la sécurité, les deux Etats sont solidaires. La Pologne n'admettra jamais qu'une conversation soit engagée sur la révision de ses frontières.

Après s'être déclaré d'accord avec le gouvernement français, M. Skrzynski a poursuivi

« Les conversations que j'ai eues avec M. Chamberlain m'ont assuré que le gouvernement britannique ne nourrit aucun projet de revision des traités et approuve avec sympathie la consolidation intérieure et l'assainissement financier de la Pologne. » L'attitude la Pologne est claire. Sa sécurité est basée sur la force de son armée et renforcée par ses alliances. La Pologne a est sûre de son alliée la France elle est consciente de ses droits et de la volonté inébranlable de son peuple de vivre sur son sol, dans ses frontières actuelles. »

UOPINION DES AUTRES înniriiinniima- » ..r 1 1. ̃ ̃

LA SECURITE

Le problème de la sécurité ne s'est point éclairci depuis le discours ,de M. Chamberlain. M. René Lara (Gaulois) se plaint que la irévé'ation solennelle, du point de vue anglais, avant toute négociation, place la France en état d'infériorité en face d'une Allemagne « devenue de ce fait de, vaincue qu'elle était Tarbitr-e de la paix européenne »': N'est-ce point, comme nous l'avions prévu, la carte forcée.

M. Chamberlain a-t-il songé à l'impossibilité matérielle et morale d'imposer à une Allemagne « amie et alliée le contrôle militaire de la Société des nations et la démilitarisai ion du Rhin, prévus par le traité ? L'Angleterre ne voit-elle.pas que, passée la période de moratoire, qui ne J'incommode -point, le gouvernement, allemand aura toute liberté d'arguer de sou incapacité à exécuter le plan Dawes ? `.'

Et notre confrère de poser ensuite la question des sanctions. Que devientelle ?

LA POLITIQUE

Quelle attitude les groupes de la majorité Vont-ils garder à l'égard du Sénat ? Les divergences d'appréciation jusqu'ici fort discrètement exprimées et que nous notions ces jours derniers à titre d'indication, sont aujourd'hui nettement •accusées. D'un coté il y a les « eartellistes. » intransigeants qui cherchent, 'ou tout au moins paraissent chercher à porter la question sur le terrain électoral sans se soucier de l'avis et de l'intérêt que le gouvernement peut avoir en la circonstance d'autre côté il y a les « cartellistes » conciliants que le sort du ministère préoccupe et qui ne se soucient point surtout de faire plébisciter en quelque sorte la politique jusqu'ici plutôt négative de la nouvelle majorité.

Au premier groupe appartient le Quotidien, organe non seulement de M. Pierre Bertrand, mais de M. Renaudel, dont on sait l'activité, la ténacité et l'influence au sein du groupe socialiste. Or voici ce qu'on pouvait lire hier, dans ce journal, sous la plume de M. Pierre Bertrand

La question est trop claire pour que l'on puisse bourrer les crânes.

Le Sénat a repoussé toutes les proposifortune et toutes celles qui prévenaient ou réprimaient les dissimulations.

Le "Père delà Constitution de Weiraar"

au secours de M. Hellpach M. Hugo Preuss met en garde la nation allemande contre le danger monarchiste Berlin, 25 mars. Dans un 'discours qu'il a prononcé aujourd'hui devant une assemblée organisée par le parti démocratique, à la Maison des Seigneurs, Hugo Preuss, le « père de la Constitution de Weinta.r », a soutenu la candidature du professeur Hellpach. >

L'orateur a d'abord défendu contre les calomnies nationalistes la mémoire d'Ebert, qu'il a représenté comme le « modèle des vertus républicaines ».

Signalant t les grands pouvoirs supérieurs à ceux de la plupart des monarques que la Constitution de Weimar accorde au président du ReiclT, Hugo Preuss a déclaré que la nation allemande devait prendre garde à ne pas introduire le loup dans la bergerie que, par une tactique astucieuse, la droite, qui ne croit pas à l'efficacité des putsch, voulait hisser à la tète du Reich un monarchiste qui aurait pour mission de miner la République, et que les partis démocratiques allemands ne pouvaient parer à ce grave péril qu'en votant avec ensemble pour le candidat démocratique Hellpach. Les obsèques de lord Curzon à l'abbaye de Westminster

_o

Londres, 25 mars. La nation britannique a rendu ce matin son ultime hommage à lord Curzon. ̃ A midi, le cortège, précédé de quatre policemen à cheval, arriva à Westminster. Les décorations du défunt, épinglées sur trois coussins pourpres, étaient portées derrière la bière. De superbes couronnes offertes par le roi d'Espagne, le cabinet britannique, l'Inde et les ambassades à Londres, avaient été posées à l'entrée du chœur. Les représentants du Roi, de la famille royale, le cabinet, le corps diplomatique avaient pris place dans le chœur.

M. Thierry, premier secrétaire d'ambassade, représentait l'ambassadeur de France en l'absence de M. de Fleuriau.

Après un court service, célébré par l'évêque de Canterbury, la Marche Funèbre de Chopin a terminé la, cérémonie.

Accompagnée de la famille et des, amis du défunt, la dépouille mortelle a été ensuite transportée à la gare où un train spécial attendait.

L'inhumation aura, lieu demain à Kedles-

ton, à cinq milles de Derby.

» 1

Le projet de Conférence du désarmement

Les Etats-Unis éviteraient toute convocation prématurée

Washington, 25 mars. Dans certains milieux politiques,» on assure qu'en raison des difficultés rencontrées à Paris et' a' Tokio, en ce qui concerne le projet d'une conférence sur -le désarmement, le gouvernement américain est résolu à adopter une attitude extrêmement prudente, et à éviter toute convocation prématurée.

11 est donc vraisemblable que plusieurs mois s'écouleront avant que des démarches formelles soient faites auprès des gouvernements intéressés par le président Coolidge. 'II 1, '1 t,

D'ailleurs, l'une des questions les plus importantes, celle de savoir si la conférence sera limitée aux cinq grandes puissances, ou étendue à des Etats d'importance secondaire, n'est, pas encore réglée définitivement.

M. Rakowski vient à Paris

~b~

Moscou, 25 mars. M. Rakowski, chargé d'affaires russes à Londres, a quitté aujourd'hui Moscou pour Paris.

Les unes et les autres doivent être maintenues.

Les unes et les autres seront maintenues. Le conflit est donc inévitable. Prétendre qu'on le résoudra par des 'concessions mutuelles, c'est se moquer du monde. Le Cartel ne fera" pas de concessions, en effet, et n'en peut faire sur"' ces points essentiels parce que toute concession serait trahison.

M. Pierre Bertrand répèto qu'il ne craint pas il dissolution et nous indique même quelle serait dans ce cas la plateforme électorale du Cartel. On demandera aux électeurs

Faut-il prélever l'impôt sur le superflu, comme nous le soutenons, ou sur le nécessaire, comme nos adversaires le soutiennent? .?

Est-il permis de se dérober l'impôt par l'évasion ou le mensonge ? ̃

Tout Je débat est là.

It faut reconnaître que ce raccourci sommaire de la politique financière est habile dans le fond comme dans la forme. Il a plus de chances, en tout cas, d'impressionner les masses populaires que l'anticléricalisme démodé condamné sans appel, par le sourire des jeunes générations. Mais que ce soit à la suite d'une dissolution ou plus normalement que ce soit à l'occasion des élections municipales, il semble bien que le Cartel, ou tout au moins une certaine partie du Carte), soit décidé à une oensive de principe contre le Sénat. Les fonctionnaires syndiqués- y paraissent égaler ment résolus. Dans le dernier numéro de la Tribune des Fonctionnaires (organe de la Fédération nationale des Syndicats de fonctionnaires), M. Neumeyer écrit .Ce qu'il y a malheureusement de certain, c'est que le Sénat témoigne une fois de plus d'un véritable esprit de conservatisme social.

Et tôt ou tard, que certains d'entre nous le veuillent ou ne le veuillent pas, nous serons fatalement amenés à combattre le Sénat sur le terrain électoral pour marquer à ces réacteurs sociaux que nous ne sommes pas disposés à nous laisser faire. A notre avis, le plus tôt sera le mieux. Les prochaines élections municipales, celles du Conseil général qui vont avoir lieu cette année seront pour nous une première occasion de faire sentir aux sénateurs « ta pointe de nos armes ».

Dans le camp des « conciliants »,. nous trouvons l'Œuvre, le Radical, le Rappel, l'Honune Libre et aussi l'Ere

RÉPÉTITIOpj_ÉNËRALES THEATRE EDOUARD- VII On ne joue pas pour s'amuser, comédie en cinq actes de M. Sacha Guitry. •; M. Sacha Guitry avait écrit Le Comédien. L'ouvrage qu'il nous donne aujourd'hui est dédié, sans doute, aux jeunes femmles qui font du théâtre pour des raisons étrangères à l'art dramatique: aux comédiennes, fan-, taisie comme on dit des liqueurs qui- ne,' sont pas d'origine. •; Maggy Gérard est jeune, jolie. Elle a un ami riche. Elle 'imagine un "jour d'être artiste. Rien ne l'y a préparée elle juge inutile toute préparation. Elle admet cependant de débuter cii province, avant de se: révélerau Tent-Paris. Elle organise donc, avec la coirJplicité d'un imprésario, une tournée dont elle assume tous les frais. Ses partenaires seront le vieux comédien Beauvalet, qui avoue quatre-vingts ans Armand «Raymond, jeune premier comique, et son ancienne camarade d'atelier, Jasmine, qui a appartenu à la troupe de l'Odéon. Le premier acte nous les présente. L'auteur, avec sa verve et son humour, a marqué d'un trait précis leur côté caricatural. Au deuxième acte, débuts. Nous sommes doublement le public. C'est la pièce de M. Sacha Guitry qu'on joue devant nous- et, dans le même temps, Mlle Maggy_ Gérard, -yti jouer devant nous. Après avoir ri des traditions, des trucs de métier de Beauvalet et d'Armfemd Raymond, nous allons rire du désarroi de l'infortunée Maggy, que- le «trac paralyse et qui ne- peut proférer qu'une phrase « Je namanche un diquis », ce qui, dans le texte, voulait dire «Je naquis un dimanche ». C'est un désastre. Au troisième acte, nous la voyons dans sa- loge, désespérée. Armand Raymond, dont elle a coupé tous les effets, est sans pitié pour elle. 11 lui reproche, en termes directs, son amateurisme de femme entretenue. Seul le vieux Beauvalet se montrera, indulgent. Après la représentation,, il la fçra répéter, mettant son expérience à' l'usa-, ge de sa jeune camarade.

Progrès marqués au quatrième acte. Maggy joue. Une mise en scène, fort amusante, nous montre "la scène à l'envers. Nous assistons des coulisses, à la représentation. Nous constatons comment on se bat « au lointain dans un ferraillement d'épées tenues par un seul adversaire. Au cinquième acte, Maggy a donné des gages de talent. Beauvalet croit en elle.x\rmand Raymond confond ses sentiments pour la femme avec son estime naissante pour la camarade.Le désir qu'il avait d'elle au premier acte se transforme en amour. Et nous avons la scène d'amour que M. Sacha Guitry excelle à écrire, et qui se terminera par cette phrase délicieuse de Maggy qui lui demande » Si j'avais plus de lalent que toi, un jour, qu'est-ce que tu ferais ? »

Armand Raymond répond

J'aurais l'impression que tu me trompes r

Ces cinq actes, satire et, parfois parodie, des milieux de théâtre, nous ont infiniment amusés. M. Lucien Guitry a. composé un personnage à la Delobelle, d'un comique savoureux et d'un haut relief. Mlle Yvonne Printemps est exquise d'inexpérience affectée. M. Sacha Guitry est des plus plaisants en jeune premier du répertoire. M. Villa est drôle en imprésario, M. Kerly'.est un. ami eqrnique,1 .éternellement écondûif. IVJl.le' Yvette Pierryl est la camarade envieuse.. Maxime Girard.

_,n.~

Après la dissolution

du Parlement égyptien

'QI

Un comité élaborerait une nouvelle loi électorale

LE Caire, 25 mars. Suivant les journaux, un comité de cabinet a été nommé pour élaborer- une nouvelle toi électorale établissant une forme de suffrage restreint. D'après cette nouvelle loi, les électeurs et les candidats devraient remplir certaines conditions d'éducation et de situation financière. Il faudra, en conséquence, établir de nouvelles listes électorales.

Il est probable que le nouveau parlement ne pourra pas se réunir avant novembre prochain. Entre temps, le Sénat sera aussi probablement dissous.

Nouvelle, qui détend MM. Bérenger et 'Milliès-Lacroix et qui désavoue « les extrémistes » qui deim-an-dent que la, Chamlire siège eu permanence et déclare officiellement la .guerre au Sénat, Si la commission sénatoriale des finances s'est trompée.il convient de Je lui prouver par des arguments et non de tenter de l'intimider par des menaces.

La Constitution veut, sinon dans son texte, tout au moins dans son esprit, qu'une loi soit le résultat d'une transaction entre les deux assemblées. Si on fausse cette règle, on affaiblit la Constitution. elle-même.

Paris-Soir relève avec humeur l'article -do M. Pierre Bertrand

On continue à jeter feu et flamme, On repousse toute idée de mutuelles concessions en déclarant superbement que de telles tentatives aboutissent à se moquer du monde et « it bourrer les crânes ». Nous n'en persisterons pas moins à réclamer un peu de sang-froid de part et d'autre: Pour notre confrè~re;: ce qui domine toute cette vaine querelle, c'est la nécessité absolue où se trouvent placées les deux assemblées d'assurer le vote 'du budget avant les élections municipales. Une conçoit pas que « les républicains puissent se présentetr les mains vides devaut l'opinion ». Et il conclut «• Tout le reste est littérature. » ::i. Le Journal des Débats se demande,1 a son tour, s'il n'y a pas dans tout le bruit fait par M. Renaudel et spn entourage,, une manœuvre d'intimidation plutôt qu'un plan de combat dont le-budget ne serait que le prétexte

Les socialistes sont très exigeants en paroles; et le système leur a réussi ils ont beaucoup obtenu. Mais ils ne sont pas du tout prêts à rentrer dans l'opposition. Si M. Herriot a quelquefois la crainte d'être abandonné par eux, ils n'éprouvent pas •moins vivement la crainte de le voir se passer d'eux.

L'attitude du gouvernement sera in»téressante à observer Il lui faudra beaucoup d'adresse dans son rôle de concilialeur et de pacificateur. Et l'opposition, elle-même, verra son sens politique .mis à l'épreuve. Le jeu des partis autoùir dès questions fiscales (loundes elles-mêmes de tant de problèmes si divers) sera certainement très sanré. Il fixera le sort de la législature.

Pierre Villette.

Les mystères

de l'océan aérien L'aéronautique est l'arme que l'on doit développer pour la sauvegarde de la France, ainsi que le démontre la série d'articles en cours de publication dans le Figaro. Mais son efficacité dépend en grande partic de la connaissance qu'elle a du m: où elle évolue. Notre riposte à une brusque attaque aérienne ne sera efficace que' si les *s bombardiers connaissent l'état de l'Océan aérien, au moment de leur départ; vitesse du courant à l'altitude de leur vol, nébulosité des régions à survoler, etc..

Or, coirrme toute science qui naît et iiisufsam-tneut connue, la ̃ jnétéorologie est trop critiquée. Cette critique' est injuste rien "nvést plus difficile à analyser que l'Océan aérien, dans sa mobilité et son immensité; rien ne réagit plus différemment, suivant chaque localité, qu'un certain état atmosphérique, et chacune ne peut avoir son bulletin météorologique spécial.

Malgré ces difficultés, les résultats acquis sont considérables. Qu'on en juge. Il n'est de science que du général, disait Aristote. De fait, la météorologie n'est devenue une science que, du jour encore proche, où l'homme a pu généraliser c'est-à-dire faire rayonner, instantanément, dans l'espace, son fesprit d'observation, grâce à la T.S.ï. La multiplicité des postes radiotélégraphiques crée un énorme réseau de renseignements qui embrasse des portions immenses du globe terrestre et permet la concentration immédiate, en un centre donné, de toutes les observations recueillies à la même heure aux endroits les plus divers.

Si, sur une carte géographique, on réunit alors toutes les stations qui ont même pression barométrique par exemple, on voit se dessiner des courbes capricieuses. Les plus intéressantes sont celles qui se ferment, concentriquement, autour d'un centre de pression plus basse ou plus haute que dans les environs. On a alors affaire à un cyclone (dépression) ou à un anticyclone (fig. i). La

.FIG.l.

Beprésentation fictive d'un cyclone et il'un anticijclone

surface qui réunit ces courbes apparaît comme une surface mouvante, cabossée, sur les flancs de laquelle roulent les molécules d'air, comme des billes pesantes, du haut des sommets (anticyclones) jusqu'au fond des vallées (dépressions). Ce déplacement d'air, c'est le vent.

Mais la mécanique démontre que tout mouvement à la surface terrestre (air, obus, corps qui tombe.) est, du fait de la rotation de la terre, dévié à droite de la trajectoire initiale, dans l'hémisphère nord; à gauche, dans l'hémisphère sud. Par conséquent, dans nos régions, en s'éloignant des sommets des hautes pressions, l'air, au lieu d'aller directement vers les creux, déviera à droite, c'està-dire décrira des spirales divergentes dans le sens des aiguilles d'une montre (fig i) et en abordant les, creux-, ait- lieu d 'alîér droit au fond', déviera à droite fout 'en se rapprochant dit fond, c'est-à-dire" décrira des 'spirales .convergentes en sens inverse des aiguilles d'une montre.

En réalité, ce tournoiement convergent gigantesque, puisqu'il embrasse parfois un diamètre de 4.000 kilomètres comprendra des vents froids de l'Est et du Nord et des vents chauds du Sud (fig. 2). La convergence produira, entre ces deux masses .d'air très différent, un heurt suivant deux lignes de pluie, OA et OB. ,Un observateur placé

à droite de la marche OS du phénomène Verra d'abord, par un vent de Sud-Est, apparaître des nuages très élevés, les cirrostratus, puis des nuages de plus en plus bas, suivis de pluie, en même temps qu'en hiver la température s'adoucira et que le vent tournera au Sud et au Sud-Ouest. Ces pluies seront Intermittentes, entrecoupées d'éclaircies jusqu'au « grain » final suivi d'un brusque refroidissement du temps et d'une remontée du baromètre.

La prévision revient donc, à celle du trajet du centre 0 du cyclone. Or, celui-ci ira des régions où le baromètre monte vers celles où il descend. Par conséquent on tracera sur une autre carte géographique les courbes d'égales tendances barométriques (entre les stations où la variation de pression est la même dans les trois heures qui précèdent la prévision). Ce tracé fera ressortir des noyaux de baisse ou de hausse qui ont un déplacement plus régulier que celui des zones elles-mêmes de basse ou haute pression. La prévision s'en dégagera avec plus de certitude par la superposition des deux cartes et par la connaissance récemment acquise des systèmes nuageux et des phénomènes optiques de l'atmosphère (coloration céleste,

halos.).

On s'aperçoit alors, en faisant circuler les cartes dans l'ordre chronologique comme un film lent se déroule que la marche des dépressions se fait généralement de'gauche à droite (fig 2), de l'Ouest à l'Est. ••C'est que les.masses d'air de l'Equateur, surchauffées par le soleil, s'élèvent et vont, après leur refroidissement, se déverser vers les régions plus froides de nos pays tempe-, réj,. Hu descendant vers la terre, elles sont déviées à droite de leur trajectoire par sa rotation jusqu'à devenir près du sol des vents d'ouest. I,a circulation qui en résulte autour du globe, au nord du quarantième parallèle, et sur une largeur de l'ordre de 5.000 kilomètres, non seulement emporte ces cyclones vers l'Est, mais aussi contribue à leur formation. Etant plus rapide que la rotation terrestre, elle tend, en effet, par la force centrifuge, à écarter l'air de la terre et à produire un vide partiel, favorable, en certaines régions, à la production de grands tourbillons. De fait apparaissent constamment sur les cartes, aux mêmes endroits, des foyers de cyclones, des lieux d'élection de tempêtes comme celui de l'Atlantique nord, près de 0 'Islande. C'est un centre d'action,- suivant l'expression de Teisserenc de Bort..

Voilà pourquoi le mauvais temps vient généralement de l'Atlantique. Voilà pourquoi la France, placée sur le bord de ce

LÇS GRANDES VENTES PARISIENNES On a vendu hier

la Collection de Mme Viel Une fort belle réunion de dessins et aquarelles de l'école française du dix-huitième siècle et des écoles étrangères du quinzième au dix-huitième siècle, cornposajit la collection de Mme Viel, a été dispersée hier, à l'Hôtel Urouol.

Si certaines pièces choisies ont été acquises par quelques amateurs français, la plus grande partie l'a été une fois de plus pour le compte de -collectionneurs américains. Parmi' les personnalités présentes à cette vente citons MM. Pierre Decourcelle, Rodrigues, Mathey, Scymour de Ricci, etc. Voici les enchères les: plus importantes Un dessin au crayon de Boucher représentant, une tête d'enfant, 9,000 francs le portrait à la sanguine, par Fragonard, d'une fille de l'artiste morte à vingt ans, 40,000 fr.; un autre dessin à la. sanguine par Fragonard, 15,500 francs un important dessin à la plume et au lavis d'encre de Chine représentant les Réjouissances du peuple près de la, pyramide d'illumination, élevée sur L'esplanade de la Porte de Afars, à Reims, le 27 août 1765, par Moreau le jeune, 34,400 fr., acquis par M. Pierre Decourcelle une étude à la sanguine de Pater, représentant deux femmes, 24,000 francs un Paysage et ses ruines dans la campagne de Rome, par Hubert Robert, 30,000 francs un dessin au trait, à la sépia et rehaussé de gouache représentant la Perspective de l'illumination du cours Le Pelletier et de la salle de bal, à l'occasion de l'inauguration de la statue du Roy, à Reims, te 28 août 1765, par Van Blai-enberglie, 35,000 francs.

Les 123 numéros composant cette collec. tion ont atteint la somme de 438,330 francs. Maurice Monda.

On a des nouvelles

de la mission Tranin-Duverne

Le ministère des colonies vient de recevoir un télégramme du gouverneur de la côte française des Somalis, l'avisant que la mission Tranin-Duverne est attendue à Assab, le 25 mars, c'est-à-dire hier.

Depuis le 2 mars, on était sans nouvelles officielles des deux explorateurs qui, rappelons-le, avaient quitté Konakry (ville du littoral de l'Atlantique en Guinée-Française-), le 8 décembre 1924 puis avaient atteint Fort-Lamy le 13 janvier dernier, étaient arrivés le 21 février en Erythrée, d'où ils avaient gagné le 23 février Massouab, sur le littoral de la Mer Rouge, terme de leur expédition proprement dite. Assab est situé sur le littoral de la Mer Rouge entre Massouab et Djibouti, à environ 200 kilomètres de cette dernière ville.

t! ~S~"S~ l

LA BONTÉ EN ACTION

Une belle œuvre qui meurt Faute de ressources pour continuer sa tâche, une œuvre, utile entre toutes, va disparaître. Avant-hier, sous la présidence de sa fondatrice, Mme Lemaire-Crémieux, l'Union des Frères et Sœurs de guerre tenait, pour la dernière fois, son assemblée générale.

On sait sur quelle idée noble et touchante était basée cette oeuvre un enfant riche devait adopter un petit orphelin pauvre-. Cette idée, reprise'par :la -Fraternité Américaine, valut aux petits de nos héros les dons magnifiques qui se chiffrent par centaines de millions et qui sauvèrent de la mis&re tant de nos familles françaises D'autres centres d'action, conçus dans le même esprit de générosité et de désintéressement, se créaient sur l'initiative de Mme Lemaire-Crémieux et de ses collaboratrices. C'est, en décembre 1914, l'Institution des marraines qui procurait aux soldats sans familles un peu de joie et de bienêtre puis l'Accueil aux veuves qui aidait matériellement et moralement les familles des soldats et officiers morts au, champ d'honneur la Fondation franco-brésilienne qui envoie chaque mois un secours à un orphelin de la guerre. Et combien de sauvetages ignorés, de souffrances atténuées parmi toutes ces victimes innocentes qui venaient frapper à la porte de l'œuvre Plus de deux millions ont été distribués 22.000 veuves et 15.000 orphelins ont été secourus, protégés pendant des années. « Et maintenant, nous dit Mme LemaireCrémieux, tout cela va finir. Nous n'avons plus d'argent, nous avons tout donné. Mes appels au gouvernement sont restés vains. Il faut, abandonner ces femmes et ces enfants qui ne peuvent pas vivre avec la pension qu'on leur sert et dont nous étions le soutien. Avec 100.000 francs par an, nous pourrions tenir encore, aider les plus malheureux. Mais nous ne les avons pas. Et à celles qui se présenteront, nous serons obligés de répondre on ne donne plus rien pour vous. »

Conclusion lamentable. Est-il vrai, qu'on ne sache plus, en France, acquitter la dette contractée envers les enfants de nos morts et qu'on ait si vile oublié ?.

Marie-Louise. Lédé.

̃mu m «̃̃̃̃il in .ii.i. m ̃̃i.yiyy*"i_j ii ̃

AVANTPAQUES, VOUS IREZ! voir la fameuse vente des superbes bracelets, diamants du réputé joaillier à la mode Lucien Feist, qui attend votre visite 25, avenue Niel.

Le Ve Congrès international de la route

̃Le cinquième Congrès international de la route se réunira à Milan, du 6 au 13 septenlbre 1926, sur l'invitation du gouvernement italien. 0

Il fera suite aux quatre grands congrès déjà organisés par l'Association internationale permanente des congrès de la route, et qui se sont tenus à Paris (1908), Bruxelles (1910), Londres (1913) et SéviKe (1923). A l'occasion du congrès aura lieu une Exposition internationale, ouverte aux constructeurs et producteurs de matériaux et d'outillage .concernant la construction et l'entretien des voies publiques, ainsi qu'aux constructeurs de véhicules et d'accessoires intéressant la circulation sur route.

grand espace vide où elle ne dispose que de deux observatoires permanents Reykjawick, eu Islande, et Valentia, en Irlande, se trouve dans une position si défavorable par rapport au reste du continent. Voilà pourquoi est indispensable une liaison entre la Météorologie et la Navigation Maritime, grâce aux navires munis de postes de T.S.F. assez puissants.

Cette liaison est d'autant plus nécessaire que la communication radiotélégraphique entre le Centre météorologique et l'Océan i doit pouvoir devenir instantanément secrète, en cas d'agression aérienne venant de l'Est, sous peine de continuer à renseigner l'ennemi hypothétique qui a l'avantage d'être sous le -vent de .F m)! ce. Cet avantage pourrait alors se retourner contre lui, en faveur de notre riposte qui pourrait profiter du temps qui va passer et qui vient de passer sur notre pays.

Edgar de Geoffroy.

Nouvelles Diverses Escroquerie au radium

Deux prétendus courtiers, détenteurs do trois milligrammes de radium, s'étaient présentés dernièrement à Florence, au laboratoire do .radiotihcrap&utique. Commande leur fut passée pour 100.000 HYuncs de radium, soit 10 centigrammes, et la moitié de la somme leur fut versée à l'avance. Le précieux produit se trouvait, dirent les courtiers, dans une malle en dépôt en gare do Lyon-Perrache, dont ils remirent lu bulletin de consigne.

Hier, le docteur Fariani, venu de Florence, se présentait à la gare où, on le devine, il n'y avait point trace de valise ni de radium.

A la sortie du bal musette

Les violons s'étaient tus au bal-musette du 18 du faubourg Saint-iMartin et les danseurs se. pressaient vers la sortie, lorsque les deux frères Lucien et Maurice Schmitt se prirent de querelle avec un Algérien, Maurice Bakio, qui n'hésita pas à sortir son revolver. Sept coups de feu retentirent dans cet endroit aimable, où, mi instant auparavant, on dansait la « java. ». Lucien Schmitt s'effondra, touché à la poitrine. Son frère, s'armant d'un couteau, se précipita sur l'Algérien mais une danseuse, Mme Paricot, s'étant interposée, reçut la lame dans l'avant-bras.

La police eut.le dernier mot, qui fit conduire les blessés à Lariboisière et les deux agresseurs valides au Dépôt.

En face du n° 41, boulevard de Clichy, un passant, M. Alexis Benabe, est assailli, la nuit, par des individus qui le rouent de coups et tentent de le dévaliser.

̃ A Toulon, un marchand forain noiranê Pravina, tue sa femme au cours d'une discussion et tente de se suicider. A l'hôpital.

Le Parquet de Nîmes, qui recherchait le banquier Naval, accusé d'escroquerie, est avisé de son arrestation à Barcelone.

Un malfaiteur, Paul Abagrac, qui tentait do piller un hangar à la station d'Arèno, près Marest surpris par un gardien qui le blesse d'un coup de revolver.

A Cressonsacq. près Beauvais, on découvre dans un champ le cadavre d'une dame Guinelin, âgée de 55 ans. On croit à un meurtre. Argus.

La fête nationale grecque à la légation de Paris C'était, hier, la fête nationale grecque. A1 cette occasion une cérémonie religieuse fut célébrée le matin, à Paris, en présence du ministre de Grèce, M. Politis, et de nombreuses personnalités de la colonie grecque à Paris. Une réception eut lieu ensuite en l'hôtel de la légation.

L'après-midi M. et Mme Politis recevaient dans l'intimité quelques personnalités françaises, dont le gouvernement de la République hellénique avait tenu à reconnaltre les services rendus à lu. cause de la Grèce. Les nouveaux promus dans l'ordre national, MM. Aulard, Ferdinand Buisson, Bascli, Guernut, le sénateur Martin et le docteur, Guttmann furent reçus à la légation par M. et Politis entourés de tout. le personnel diplomatique. On remarquait MM. Papalexopoulo, Mêlas, Marchetti, Economos, Maccas, Photopoulos, Cavadias, Constantin Bello, etc.

M. Politis en remettant les insignes aux nouveaux promus eut pour la France des paroles d'amitié et d'attachement.

Des. trains immobilisés j»ar la neige dans les Pyrénées-Orientales Perpignan1, 25 mars. A la suite de chutes de neige très abondantes, la circulation des trains est interrompue sur la ligne Montlouis-Bourg-Madamc. Entre Estavar.

et Odeillo, un train a été bloqué, et les

voyageurs ont été évacués par transbordement dans un convoi de secours.

Une manifestation de l'Union des f orces nationales

L'Union des forces nationales a convoqué pour le samedi 28 mars, à deux heures et demie, Salle Wagram, les délégués de ses groupements de Paris et de province en une grande manifestation d'union nationale pour la défense des principes d'entente sociale, de propriété individuelle, d'ordre et de patrie. On trouve des invitations, 12, rue Sédillot, Paris.

-<

Lord Bal four à Jérusalem

JO'

La situation serait calme

Jérusalem, 25 mars. Lord Balfour est arrivé au Palais du Gouvernement, où il est l'hôte de sir Herbert Samuel. Dans In. cité, les magasins juifs des quartiers mixtes restent fernïcs, tandis que dans les quartiers juifs les. boutiques sont micloses.

Quelques 'Arabes portent des rubans noirs.

Le siège du comité arrbe est tendu de noir.

Les élèves de l'Ecole normale avant décidé de se mettre en grève en mesure do' protestation. les autorités locales leur ont fait savoir qu'aucune manifestation hustile ne serait tolérée. Comme suite à la grève, J' Ecole normale a été temporairement' fermée et les étudiants renvoyés chez eux. La situation est calme.

Abd el Krim développe sa propagande

Rabat, 25 mars. Abd-el-Krim cherche à développer la propagande en sa faveur dans les tribus Beni-Zoral soumises à l'autorité de notre allié, le clicrif Derkaoui. Cependant, les emissai-! res du chef riffain rencontrent actuellement peu d'enthousiasme. On signale même que plusieurs dg leurs partisans les ont abandonnés.

VIENT DE PARAITRE Dans Le Corrupteur, le nouveau romarî d'Adrieune Laùtère, de nombreux personnages s'agitent autour d'un drame intime et donnent au lecteur l'impression saisis'sante de la réalité. (Fasquelle, éditeur.)

InîoF(natïom>

Chez nos grands couturiers

La si jolie collection de Francis sa distingue par son importance et son* choix de d'obes ravissantes à partir do 800 francs, 5, avenue Matignon (rond-1 point Champs-Elysées).

Jean de Paris..

pPÂCKARD'. Barbezat~seu! agent-. 15, Quai de Boulogne [ Boulogne V^eine Tel: Aur. 04-04 ef 12-24


EN MARGE DU BUDGET

il s'agit de tromperies, de fourberies.

A renlteudre, l'administration des contributions directes serait la seule cible que vise le fraudeur. C'est une :a,mbition contre quoi s'élèvent l'administration des contributions indirectes et l'administration des douanes.

Tenez votre orgueil dans une juste Tflesuie, lui conseillent-eries.'Vo-us vous Tes3er,vi3i?' ̃\q< monopole de la fraude. Holà ·

Et l'administration des contributions indirectes do revendiquer les fabriques clandestines de .cartes à jouer et die poudra de chasse

Si ce n'était encore que cela, soupire-t-elîi?, tout irait pour 4e mieux Voyez, j'ai dressé une liste des misères que l'on me fait.

Ce catalogue de tromperies, falsifications, altérations, trucs et contitefaçons, l'administration des contributions indi.rectes se défend, bien de l'ouvrir au profan^EUo est prudente. Elle a gardé le souvenir d'une aventure singulière où s'illustra un de ses agents

Cet itomiTie intègre était venu aux contributions indirectes, on ne sait trop pourquoi, par l'EcojLe des Arts et Mé- tiers. Un matin qu'il avait du loisir, il ̃examina longufement le compteur à gaz de son cabinet. On l'entendit soudain qui s'éeriaifc

Ma. parole cet instrument est imparfait. Il ne donne, aucune garantie à la compagnie qui le loue.

Et, tiraat son carnet il consigna fébrilement les diverses manières qu'il avait découvertes de « truquer'» un compteur à gaz. Elles sont innombrables. Ce fonctionnaire eut à la fois la probité «tla fâcheuse idée de publier en un ^pustule le résultat de sfes observations. On se disputait sou ouvrage à l'étalage des libraires. Tout d'abord, il s'étonna <ei> fut flatté "de ce succès et, enfln. en comprit Ja cause. Le remords l'a tué. "C'est pour ne point tomber dans de telles erreurs que l'administration des contributions indireefes s'est promis de rester discrète.

L'administration de la douane, qui est sa sœur de lait, l'imite. Eîle ne peut cependant pas cacher que les vieilles fraudies classiques sur le taba,ç, sur l'alcool et sur les dentelles et une foule d'autres objets continuent comme par le passé:. Ce qui l'inquiète, c'est que les traditions se perdent

Le contrebandier d'après- guerre n'oserait .pas, sans se donner un ridicule, utiliser dles chiens porteurs ou sauter la frontière en se chargeant d'un ballot de cigares. Il emploie des autos blindées. C'est le progrès La douane jette sur sa route quelques chevaux de frise et accepte la lutte. Mais ses yeux, fort souvent, se lèvent vers 'a nue. Elle considère en rêvant l'avion rapide qui passe

Que sais-je ? songie-t-elle.

La douane a des soucis divers et, peutfcm dire, contradictoires. Elle doit' s*'op-:pûSér' an « passage »̃ dé ces sâcliets "dé poudre blanche destinés à des fous qui les paient à prix d'or les sachets de « coco » que nous expédie l'Allemagne. Elle doit s'opposer à l'entrée d'ustensiJes qu;e nous envoie en masse le même importateur, dans le dessein trop évident de diminuer, si possible, notre faible natalité. Elle doit réprimer, par contre, des tentatives de sorties. Et cette affaire-là est. bien sa grande affaire. Si l'on en croit les bruits qui courent, ̃il.esL.de très mauvais Français- qui exportent leurs capitaux et parmi eux de bonnes gens candides n'ont trouvé qu'un moyen « d'évasion » bourrer leur portefeuille- et gagner l'étranger. La douane les arrête. Elle les blâme et confisque leurs titres. On déshabille couramanent les voyageurs dans les postes frontières. La tâche est délicate.

Mais l'Administration a des consolations le cours du change la seconde à -merveille en bien des points où. autrefois, la, fraude se montrait active. Et puis elle a, ses « secteurs calmes », elle <a' 'même son paradis qui contient sept Son paradis est situé entre Etaples et Boulogne. Six douaniers et un brigadier, sjy reposent car le dernier procèsiverba.1 que Ton y ait dressé date de l'an 1836: C'est de la préhistoire.

̃. v

̃i

La douane a un frère mineur qui

te'appelle l'Octroi.

Ah les belles histoires que racontait naguère l'administration de l'octroi î SMais l'unification des droits sur les alcools a tari cette, source de joie qui jaillissait aux portes de Paris. Plus de coua'onneS'. mortuaires pieusement portées par quelque veuf inconsolable et qui n'étaient pas autre chose que des récipients à trois-six. L'obèse a disparu, cet obèse -martyr qui circulait sans cesse entre Paris et la banlieue et dont le ventre, un ventre faux, on ]e sut un beau jour, était une outre à tord-boyaux. Le pittoresque a tout perdu au régime nouveau. Tant pis L'octroi ne constats plus guère que des fraudes d'essence C'est bien simple, dit-il. J'ai calculé que toute voiture franchissant la barrière me dissimulait', en moyenne, deux litres de carburant. Trente millions d'automobiles en douze mois, sortent de Paris et y rentrent. Soixante millions de litres d'essence ne paient donc pas la taxe et à vingt centimes par litre cela fait tout d-e même douzt millions de francs

»

Et nous pourrions poursuivre notre •petit voyage au pays de la fraude et aussi de l'impôt, car la fraude et l'impôt fleurissent sous les mêmes cieux. liais il faut s'arrêter et des notes "prises en route tirer renseignement. Nous le ferons et sans difficulté en nous aidant des relations de voyageurs célèbres qui foulèrent les mêmes chemins et qui ont parle de l'impôt, et qui ont parlé de la fraude en termes tels -qu'il n'est- plus que de, les citer

Suivant Stuarl Miîl, « une des quali-

tés essentielles de l'impôt– qualité hors 1 de quoi il ne saurait être question de justice c'est d'être établi de telle façon que ceux qui le doivent ne puissent y échapper par la fraude ». Quelques années plus tard, Léon Say développait cette pensée que les impôts qui, par leur inspiration ou leur nature propre, sollicitent la fraude, ne peuvent fonctionner qu'avec un cortège de. miesures haïssables, soit à cause des investigations qui en sont la, suite, sort à. cause de% marge laissée au caprice-, au zëteou mémo à lacupidité dégageâtes. Bien avant eux Montesquieu écrivait «Pour arrêter la fraude il faut donner au traitant des moyens de vexation extraordinaires. » ». Il ajoutait sans plus tarder

« .et tout est perdu. » <

Henry Vidal.

A travers les Soulhs d'IslaM" F CHOSES VUES

Si le FrauçaLs au tempérament peu voyageur se considère comme « un coureur de planète D, parce qu'il passe l'hiver en Suisse, le carnaval à Nice, l'été à Deauville et l'automne à Biarritz, l'Européen ou l 'AngloSaxon promène sa nostalgie exaspérée dans les régions qu'un snobisme récent met à la mode, c'est-à-dire de Mogador à Bagdad. Il est de bon ton d'avoir vu les danseurs cholenhs à Marrakech, de prendre le thé à Figuig, de se faire photographier à Beyrouth ou Alep.

Dans ces pays au charme dangereux comme celui d'une femme trop belle etindifiérente, le soleil noie couleurs et passions dans sa blancheur éblouissante. Si calmes sont les maisons carrées aux toits plats, les longues ombres des palmiers, les 'pas, balancés des chameaux. Depuis des siècles, l'Islam dort dans la lumière et la contemplation du' ses paysages de rêve.

Toute 1a vie du pays semble réfugiée dans les soukhs.

Caravanes venant du Sud viennent y chercher les nouvelles récentes des civilisations nordiques. Les femmes enfermées dans le harem y envoient leurs négresses à la recherche" d'une étoffe rare, d'un bijou précieux. Les indigènes du pays y grouillent avec leurs ânes et leurs mules, se frayant un passage parmi la foule trop drapée ou dépenaillée. Des enfants roulent dans la poussière, des mendiants étalent leurs plaies dans les coins ensoleillés, des aveugles innombrables promènent leurs yeux crevés dévorés de mouches. Les porteurs, d'eau offrent le liquide gluant contenu dans une peau de brebis, et les esclaves précèdent leur maître en hurlant des e balek (î) » retentissants. Impassibles, les vendeurs, accroupis dans leur échoppe surélevée, marchandent pen=-. dant des heures avec le client problématj-,que pour lui vendre une paire de babouches,, Parfois, la discussion s'anime, le ton devient aigre. Avec de grands gestes, les discuteurs. prennent le ciel à témoin de leur bonne foi, puis, brusquement, l'affaire se conclut, l'un des interlocuteurs emporte son achat et l'autre reprend son immobilité nonchalante. Les touristes passent la plus grande partie de leur temps dans les soukhs. Amusement ,j sans cessée renouvelé 'devant le spectacle ka* ̃̃ léidoscopique, découverte d'objets hétéroclir tes inconnus en Europe, et surtout désir de trouver la pièce rare, l'objet de collection acheté pour un morceau de pain et que l'on rapportera triomphalement à Paris où l'on ne saura qu'en faire.

L'on a dû vous conter, à Constantinople, l'histoire de cet Anglais dont le voyage, organisé à l'avance, avait prévu « Pour le bazar, deux heures. » Il y resta l'après-midij.; revint le lendemain, le surlendemain, les- jours qui suivirent. Successivement, il sujjprima la visite des mosquées, les promenades sur le Bosphore, l'étude des environs. Finalement, il ne mit pas les pieds à Brousse ou à Srnyrne. Il repartit sans connaître de l'Orient autre chose que le bazar de Stamboul, mais cela lui suffisait, il était enchanté de sou voyage.

«**

Hélas les soukhs se commercialisent envahis par les produits de nos grands magasins. Les vendeurs savent le cours du change. Il faut aller loin dans le Sud pour éviter la camelote de Manchester ou de Prusse. A Tunis, les boutiques, encombrées de tapis à 1 la machine, éclairées par des lanternes de i couleurs, semblent une vision d'un Orient importé des Batignolles. Le marchand de parfums vous arrête au passage

Tu veux, madame, bonne essence de jasmin, véritable jasmin de Sfax?

Ne mens pas. J'ai eu le même à Grasse. Si tu trouves li même en France, je te donne cent litres Rigarde li jolis flacons 1 Je les connais. Ils viennent de Carlovi- I vary.

L'arabe baisse la voix.

-Tu connais tout, madame! Alors tu sais que j'y vends pas cher! Qu'est-ce que ti veux Jasmin? Rosé? Ambre?

Je m'échappe. Quelques mètres plus loin, un bras obséquieux me barre la route. Ti n'eHtres pas? Pas pour acheter, pour voir seulement! Assieds-toi. Qu'est-ce que tu prends cahoua? thé? chocolat? 1 Combien vends-tu cette soie?

Tout à l'heure ji ti dirai. Ji veux pas faire affaire avec toi Ti bois ton. thé? j Merci. Il est très bon, mais je suis pressée. Combien ta soie?

Ecoute; pour toi, parce que je ti counais, je ti vends, pour ti faire plaisir kif-kif ji l'ai achetée cent cinquante francs Adieu. Tu es un voleur.

Combien ti voulais mettre?

Nous sommes loin de compte je tjeii.. offre dix francs. ̃̃<: L'arabe sourit avec résignation.

Ti veux ma mort Pour toi cent vingt-

cinq

¡ clllq!

Au revoir

Ecoute cent vingt.

Une heure de palabres. Finalement, épuisée par la discussion, vous emportez votre soîe pour douze francs, très fière de vous. Un voisin vous suit, puis un plus loin, à Voix basse- Combien ti as payé cette 'Soie?

Douze francs. ̃̃̃-̃̃ j Ji t'en donne tant que tu; veux à huit francs. Ahmed est un voleur! 1

.«* '"̃

Tout le plaisir est dans ce marchandage; excessif.' Un Tunisien de ma connaissance à qui l'ou offrait de tenir boutique, à Paris, en lui recommandant « Tu sais, là-bas, prix fixe! s eut une moue dégoûtée je n'y Vais pas. Le plaisir, il'est? Plus tard, en vdne de confidences, il me confiait

Ti sais, ji ai vendu gandourah à un Américain trois cent cinquante francs. Ji l'avais payé vingt-cinq francs.

Oui? Eh bien! moi, je ne t'en aurais pas donné quinze francs!

Il eut un air d'infini mépris

Toi? Ji ii « roulerai » aussi, si je veux! ̃̃

̃• .̃'

Soukhs d'Islam Un peu. chaque jour, ,) lîu i Islain d, février 25.

vous rejoignez sans bruit la beauté morte des choses disparues. J'emporte votre vision comme un trésor, elle vivra intacte dans mon souvenir.

Hélas Déjà, par les rues de Fez, des gamins vous harcèlent en criant

Ti viens voir jolies choses d'Orient, pas prix touristes, pas change américain. Si tu veux, pour garantie, on ti donne facture.! l, Titayna.

N -<

A propos de la danse La danse n'est plus seulement un amusement, c'est mi exercice physique excellent pour la santé, c'est mi véritable sport, très propice à la. conservation, de la sveltesse si ardemment souhaitée. On danse* purïc-ui, ans-si bien à Paris, qu'à (Londres

et New-York, on danse par plaisir d'abord et ensuite par hygiè:ne. Au rythme d'un fox-trof, les dmiseurs renouvellent, sans s'en douter, les mouvements .et les gestes de l'aoticriiité, dont, les bas-reliefs grecs et

égyptiens perpétuent

lfl beauté! Pour faciJifjr l'aisance des s Mouvements de Ja danse, Georges a créé la: plus caervei]leuso ceinture qu t soit. Ellt> soutient sans jamais, eomipri-. mer, laissant au corps toute son oiidoyantu souplesse.. C'est trois fois rien que cette ceinture, mais encore-

fallait-il Y songer. 1 Georges

K^lesrobesSÎ: ̃!«*- '• «-•" Jetées, très décolletées dans le dos, elle s'éehanore de telle manière qu'elle est invisible. Si celte ceinture a un si vif succès parmi les danseuses, qui, l'ayant essayée, n'en veulent plus. d'autres. cela tient uniquement à- ce qu'elle es], la mieux romprise et la plus pratique aussi bien, d'ailleurs,, que pour .tous, les .sports: ̃ ̃> Rappelons, en ces premiers jours do printemps, l'es: costumes d.e"sport dont Gcdr.g«# nous offre la' plus jolie sélection. Ses <cos< lûmes tailleur et ses manteau^ de demi-- saison sont tout aussi nouveaux et. aussi adorables que ses chapeaux, qui les complètent à ravir. Georges a. le sens inné des l'harmonie chaque chose, chez lui, est étudiée de manière a faire valoir toutes les grâces de la femme. e2*& Rosine. 11

**• Rosine,

F. Georges, 35 et 37, boulevard des Capucines.

La sécurité par notre armée C'est à l'armée qu'en dernière analyse nous devrons recourir pour résoudre ce délicat problème de sécurité que discutent' aujourd'hui à l'envi journalistes et diplomates. Non pas au'il faille dédaigner le zële qu'y déploient ceux-ci les guerres heureuses sont toujours précédées, accompagnées et suivies d'une 1 bonne diplomatie. Mais ni l'opinion pu- L blique, nil les chancelleries ne peuvent apporter des solutions complètes. La force militaire s'impose, dans l'harmonie nations comme la police dans l'hàrinoriie des villes.

Ce lieu commun une fois de plus admis, nous voudrions imaginer les dispositifs de force militaire nous permettant de garantir la. stabilité des frontières fixées par le traité de Versailles. Frontières orientales celles de la Pologne et de la Tchéco-Slovaquie frontières occidentales celle du Rhin, pour ne nous placer ici qu'au point de vue de l'Allemagne. Leur examen stratégique semble être le plus urgent de l'heure présente et l'on peut être assuré qu'il a depuis longtemps fait l'objet des 'méditations de notre haut commandement ̃militaire.

Commençons par les frontières orientales.

Non sans raison, nos amis de Varsovie s'émeuvent des conditions dans lesquelles ils seraient secourus dans le cas d'une agression germano-russe. La Pologne ressuscitée n'ignore rien de son long passé. Il y a deux siècles, le roi Stanislas Leczinski venait, d'être élu par les patriotes de son pays. Aussitôt, Russes et Autrichiens de se liguer contre lui. La France se devait alors de soute- nir le beau-père de son souverain. Mais comment ? Envoyer une armée à travers l'Allemagne n'était pas possible. Une grande expédition par les mers du Nord se heurtait aux susceptibilités de l'Angleterre. Tout secours efficace direct paraissant impratique, on décida d'attaquer l'Autriche sur le Rhin et en Italie. La guerre maussade bien que victorieuse qui en résulta n'empêcha point le parti national d'être vaincu en Pologne un pas de plus était fait vers les prochains partages, Certes l'histoire ne se leeonwnenee jamais et anoins qu'à des prédictions d'avenir, elle sert, utilisant le présent, à nous mieux faire comprendre le passé. Quoi, qu'il en soit, au point de vue stratégique, la situation actuelle- n'est pas tellement différente de ce qu'elle était en 1735. Aujourd'hui comme alors, nous devrions choisir entre l'appui direct et l'appui indirect.

Faudrait-il attaquer l'Allemagne sur le Rhin ? Cela empêcherait-il Varsovie d'être prise ? Et la France rendue ex- sangue par la grande guerre pourrait- elle jeter tout le poids de son'épée dans le plateau occidental de la balance ? Grave, grave question dont la réponse n'appartient pas à nos seules autorités mi- litaires. Il reste l'appui direct quelque chose; d'analogue au secours de cet ambassadeur qui, héroïquement, alla se fairetuer devant Dantzig au dix-huitième siècle, mais que les conditions modernes de la guerre rendraient plus efficace. D'abord, par une intimité permanento- entre états-majors polonais .et français ce qu'a réalisé on 1920 le général Weygand n'est-il pas une preuve décisi- ve do la part que peut avoir un seul hom- me dans les destinées d'une armée ? Nous devons ensuite veiller à ce que l'armée polonaise soit en permanence maintenue à la hauteur des tâches futures pourvoyons-la, à cet effet, de cadres et de niatériel. Pourquoi enfin n'envisagerions-nous pas le transport d'un corps expéditionnaire français en Pologne ou en Tchéco-Slovaquie pour agir de concert avec les armées mobilisées de ces deux puissances sur \ù théâtre oriental de l'Europe centrale ? Les conventions de la Petite Entente nous permettraient sans aucun doute cl'emprun^

ter lès réseaux ferrés de la' Yougoslavie pour- exécuter les transports. C'est là

~urië ·~ collë ü'd'état-mâ,jar qu~i sembla.un

une colle » d' état-major qiri semble un

jeu pour le quatrième bureau du général Deheney. En résumé, attitude expectante sur le Rhin, collaboration active aux opérations du front oriental, telle semble, devoir être en ce moment, pour nous, la meilleure façon d'envisager la sécurité militaire de ce front. Que nos amis de Pologne ne s'abandonnêuif pas. !Si le ciel reste bien haut, la France ne sera plus trop loin, comme ils disaient ja-

dis.

tlis, C. Périolaz.

TT* 'F'~

Résistance de grille

Voici un petit accessoire d'une grande importance que certains amateurs semblent méconnaître et que beaucoup délaissent.

Cet état dé chose est dû souvent au fait que si l'on retire la résistance de grille de la lampe détectrice sur une émission locale la réception ne s'ent trouve pas modifiée.

Si nous étudions de plus près le but que cette résistance doit remplir, nous verrons qu'elle est indispensable dans un poste bien construit dont on désire obtenir le meilleur rendement.

Naturellement la résistance de grille n'est utilisée que si l'on emploie un condensateur de grille. Ce petit condensateur isole absolument la grille de la lampe de toute autre partie du circuit excepté en ce qui concerne les courants de haute fréquence qui viennent de l'antenne, soit directement, soit après amplification.

Ces courants de haute fréquence produisent des variations de potentiel qui rendent la grille tantôt positive, tantôt négative. Quand elle est positive, elle agit comme la plaque de la lampe et attire les électrons. Mais alors que ceux qui viennent sur la plaque trouvent un trajet facile d'écoulement, ceux qui ont été à la grille se trouvent bloqués par le petit condensateur. Qu'arrive-t-il alors> L'accumulation des électrons sur la grille rend celle-ci tellement négative qu'elle provoque une diminution continuelle et constante du courant de plaque dont elle arrive à bloquer le passage et de ce fait la lampe se trouve comme paralysée.

Cette position de bioqûage dans laquelle peut se trouver une lampe est facilement remédiée en plaçant le doigt sur la borne-grille de cette lampe. Le doigt permettant aux électrons de s'échapper, la grille retrouve alors son potentiel primitif et le courant plaque remonte à sa valeur initiale, la lampe fonctionnera donc de nouveau normalement. Pour éviter cet inconvénient et permettre un écoulement 'lent mais suffisant des électrons, l'on place une résistance très élevée de l'ordre de 1 à 5 mégomhs, soit en dérivation aux bornes du condensateur, soit reliant directement la grille au pôle négatif de la batterie de chauffage du filament. Afin d'obtenir le meilleur résultat, la résistance ne doit être ni trop élevée ni trop faible. Si elle est trop forte, la charge d'électrons qui se porte sur la grille sera Irop grande si elle est trop faible, cette charge sera' insuffisante car les électrons s'écouleront trop facilement.

Lorsqu'une résistance est trop faible, l'on peut s'en rendre compte facilement, car la réception n'est pas claire. Par contre, si elle est d'une trop grande valeur le poste fait entendre de temps à autre des crachements ressemblant à des décharges; bruits qu'il ne faut pas confondre avec les décharges atmosphériques. En général, des signaux faibles comme ceux que l'on reçoit d'une station très éloignée exigent une résistance plus forte que celle qui est nécessaire pour l'écoute des postes locaux. Par tâtonnement, il est facile de déterminer quelle sera la résistance qui donnera le meilleur rendement, mais avant de procéder de lai sorte il 1 est bon de s'assurer que les résistances dont on veut faire l'essai ont été rigoureusement étalonnées.

'PROGHAMME'

12 h. 30 RADIO-PARIS (1.750 m.): Concert pat l'orchestre tzigane Radio-Paris.

14 h. P.T.T. (458 m.): Diffusion du cours public fait à la Sorbonne par le doyen de la Faculté'des Lettres, M. Brunot, sur <c La Langue française et la Révolution La rupture avec les patois. »

15 h. Zurich (515 m.) Concert donné par l'orchestre de l'Hôtel Baur au Lac.

15 h. Rome (425 m.) Tableaux de la vie romaine des cinquième et sixième siècles, conférence par A.

Munoz.

i5°h. 30 Francfort-sur-Mein (470 m.) et Cassel (288 mètres) Festival Rossini.

16 h. Stuttgart (443 m.) Concert par l'orchestre de la Radio.

16 h. 45 RADIO-PARIS (1.750 m.): Radio-concert I. Premier mouvement de la Sonate appassionato (Beethoven) 2. Concerto, flûte (Reinecke), allegro. moderato, lento moderato, piu mosso; 3. Le portier et le rentier (M. Donnay), monologue dit par Radiolo; 4. Chansons sans paroles. piano (E. Desportes); p. Variations, flûte (Schubert) 6. a) Les vieilles de chez nous (Ch. Levadé); b) Florentine (L. Gregh): c) Vieille chanson (Bizet), chant: Mme Madeleine Rivière; 7. Le Héron de Seine-et-Oise (A. Alexandre), poésie dite par Radiolo; 7. Aria et Gigua, flûte (Zipoli) 9. Les Cloches du soir, piano (Liszt).

17 h. Bruxelles (265 m.): Matinée pour les enfants. 17 h. Francfort-sur-Mein (470 m.): Conférence sur « La vie des Esquimaux, de Nansen ».

18 h. Prague-Strasnice (570 m.): « Othello », opéra émis du Théâtre National de Prague.

18 h. TOUR EIFFEL (2.600 m.): Radio.concert: Festival J. Jemain: Œuvres lyriques et instrumentales. Sonate en la pour violon et piano, allegro con fuoco; Andante. allegro, moderato; a) Canzone, b) Amou«uses Pâques, par Mme Hélène Btessac-Mattei a) Pavane, b) Nuit de Printemps, c) Humoresque a) Fleurs d'hiver (Armand Silvestre), b) Les deux Ménétriers (Jean Richepin), c) Par le sentier des roses: M. Jean Pernot, de l'Opéra-Comique a) Christiane, romance pour violon, b) Berceuse, c) Allegro appassionato a) Sur un album (Armand Silvestre). b) Rencontre, par Mme Btessac-Mattei. Pièces de piano: a) Romance sans paroles, b) Mazurka. Séléné: trio pour 3 voix de femmes. La semaine radiotélephonique et courrier des Amis de la Tour, par M. J. Quinet, secrétaire général du Radio-Club de France. 18 h. Komarov (1.800 m.) Soirée des solistes. 1 h.' 05 Barcelone (325 m.): Matinée enfantine avec le Quintette Nice, et à 18 h. 10: M. Toresky fera une causerie enfantine.

18 h. 30 Stuttgart (443 m.): Sur l'Histoire des en.treprises allemandes, par le prof. Künzel, et à 19 h.: Musique de chambre.

18 h. 40 Barcelone (325 m.) Première grande retransmission d'opéra inaugurée par le professeur Jaime Pahissa, avec son opéra en trois actes, « Marianela ». 19 h. Stuttgart (443 met.) La Pucelle d Orléans, dans les oeuvres de Shakespeare, Schiller et Shaw. 19 h. 15 Zurich (515 m.): Jeune et vieux, conférence par M. Schmid. et à 19 h. 30: Concert.

19 h. 30 Rome (425 m.) Soirée de musique popu-

laire.

19 h. 30 Chelmsford (1.600 m.): Musique de

19 h. 30 Manchester (375 m.) Orchestre Halle sous la direction de Hamilton Harty. transmis par toutes les stations, sauf Chelmsford, Cardiff, Aberdeen. 19 h. 35 Aberdeen (495 m.): Musique et drame. 19 h. 35 Cardiff (351 m.): Musique de Beethoven et musique légère.

20 h. Bruxelles (265 m.): Histoire de la Littérature spagnole, par M. Azoar de Casanova, et à 20 h; 15:

Musique légère. `

20 h. Hilversum (1.050 m.): Concert symphonique par l'orchestre d'Amsterdam.

20 h. P.T.T. (458 m.): Cours d'espéranto par M. Cart, professeur agrégé de l'Université, professeur à l'Ecole des Sciences politiques. A 20 h. 30: Chronique du .cinéma, par M. Harlé. A 20 h. 45: « Les beautés et les chroniques des châteaux de la Loire », causerie par NI Jean Fourgous. Au cours de la causerie, poésies d'Edmond Rocher, Jules Lemaître, Théodore de Banville, Marc Leclerc, pages de Mme Lucie Faure-Goyau. Balzac et Rabelais, lues par M. Alec Barthus et Mlle Robianc, de l'Odéon.

20 h. 15 Stutgart (443 m.) Concert.

20 h. 15 RADIO-PARIS (1.650 m.): Radio-communiqué de l'écran à 20 h. 45: Radio-concert par Mario Cazes et son orchestre.

21 h. Bruxelles (265 m.): Chronique de l'actualité, et à 21 h. 10: soirée de danses.

21 h. Barcelone (325 m.): Conférence critique de l'opéra Marianela, et à 21 h. 20: interprétation de l'opéra jusqu'à 23 heures.

21 h. 30 PETIT PARISIEN (345 m.): Festival de musique russe, avec le concours de Mlle J. Weit, de l'Opéra-Comique, et le quatuor Jane Réol Premier mouvement du trio en la mineur (Tschaïkows y) Danse des Bouffons de Snezourotchka (Rimsky-Korsakow) Quatuor à cordes (Borodine) Anta (Rimsky-Korsakow) Sérénade espagnole, violoncelle (Glazounosv) Romance en fa mineur (Tschaïkowsky) Sérénade, violon (Arenski) Danses du Prince Igor (Borodine). 21. h. 30 Rome <425 m.)t Musique de bal,

1~~1~ Tr~ 0 ~mT3)TE?

G

COURRIERMTHÉJVFRES AU THEATRE DE LA MADELEINE

LE VERTIGE

Une des plus brillantes créations de M. André Brûlé est, incontestablement, le rôle d'Henri de Cassel dans le Vertige, la pièce passionnante de Charles Méré, qu'il interprète chaque soir au Théâtre de la Madeleine, avec Jean Toulout, G. Séverin et :Suzy ̃̃-Prim. C'est le succès de la saison. Dimanclie, matinée à 2 li.;3Q. On: peut retenir "ses. places par téléphone

Ivlys. S6-J5..

Premières représentations

Au Théâtre EDOUARD-VII, à 8 h. 45 précises, première représentation de On ne joue pas pour s'amuser, comédie en cinq actes de M. Sacha Guitry.

Distribution

MM. Lucien Guitry, Clément Bcauvalent Sacha Guitry, Armand Raymond Villa, Léon Weissmann; Kerly, Un Négociant: Valbret, Un Machiniste G. Lemaire, Un Régisseur

Mlles Yvonne Printemps, Jasmine Demay Luce Fabiolc, Julie Daucourt, et Yvette Picrryl, Maggy Gérard.

A LA SCALA, à 8 h. 45, première à bureaux ouverts Le Coup de Jarnac, vaudeville en trois actes de Henry de Gorsse et Maurice de Marsan. Distribution

M. Marcel Simon, dans le rôle de Brétillon MM. Géo Despaux, Le Commandant Bonnafous Fred Marche, M. de La Crémone Paul Monteil, Farjotte Raymond Gardanne, Le Vicomte lrma Bouzique, Prune Clavaret, Floche Lhuillier, Fir-

min

Mmes Timmy, Bobinette Marguerite Ninove, Madame Bonafous Madeleine Brosy, Hildegonde Yvonne Leduc, Madame Prune Paulette Férial, MaI dame Floche

Mlles Brous, Dorothée Mireille Jouin, Gertrude Bardons, Evelyne Madeleine Jouin, Suzanne et Marise Massare, Raymonde Brétillon.

Au deuxième acte « Le Petit Frère à Fernand », chanté par Mlle Timmy et toute la troupe. Les critiques et courriéristes seront reçus au contrôle sur la présentation de leur carte.

Aujourd'hui

A LA Comédie-Française, à 1 h. 30, quinzaines classiques (première quinzaine, billets blancs), Esther, la Joie fait peur.

A l'Opéra-Comique, à 1 h. 30 (13e représ. de l'abon. série rose), Werther, Dame Libellule. A L'ODÉON, à 1 h. 30 (abon. série rose), les Fausses Confidences, le Voyage à Dieppe. Au TRIANON-LYRIQUE, à 2 h. 30, la Fille de Mme Angot.

Au Théâtre DU PETIT-MONDE (Femina), à 2 h. 30, le Cirque Piccolo, avec les clowns de Petit-Monde.

*•«

Même spectacle que !e soir

A la Porte-Saint-Martin (2 h. 30), à la GaîtéLyrique (2 h. 30), au Nouvel-Ambigu (2 h. 30), au Théâtre de Paris (2 h. 30). au Palais-Roya! (2 h. 30), au Théâtre Antoine (2 h. 30). aux Bouffes-Parisiens (2 h. 30), au Châtelet (2 h. 30). Ce soir

A L'OPÉRA, relâche.

A LA COMÉDIE-FRANÇAISE, à 8 h. 30, le Flibustier (MM. D. d'Inès, R. Monteaux, Escande, Falconnier Mmes Leconte, E. Dux, Lherbay) la Joie jait peur (MM. de Féraudy, Dehelly, J. Guilhène Mines J. Rëmy.' Nizan, J. Thomseif)rla Victoire de Ronsard (M: Escarrée–Mlle M.- Marquet).

A l'Opéra-Comique, à 8 heures (134 représ. de l'abon. série A), Graziella (Mlles Yvonne Brothier, Perelli, Monna Païva MM. Maarcelin. Vieuille, Sauvageot, Génin). Orch. M. M. Frigara.

A L'ODÉON, à 8 h. 30, le Chemineau (MM. de Rigoult, G. Adet, Balpêtré, Lame, L. Raymond Mmes M. Duret, V. France). Orch. M. A. Cadou.

Aux VARIÉTÉS, à 8 h, 45, le Fruit vert (M. Jules Berry, Mlle Maud Loly. M. Pauley, MHes Jeanne Loury, Suz. Dantès, Marg. Ducouret, etc., et M. André Lefaur).

Au VAUDEVILLE, à 8 h. 45, la Tendresse (Mlle Yvonne de Bray MM. Francen, Bour. Jolfre, jean Silvestre, P. Juvenet, Fernal Mlles L. de Mornand, Dancourt, Nyssor et M. Mauloy). Au GYMNASE, à 9 heures, la Galerie des Glaces (Mlles Madeleine Lély, Sylvie, Mady Berry MM. Ch. Boyer, J. Baumer et M. J. Wcrms). Mat, jeudi, dim. et fêtes à 2 h. 45.

A LA PORTE-SAINT-MARTIN, à 8 h. 40, Madelon (Mme Marthe Régnier, M. Jean Sarment et M. Grétillat).

Au NOUVEL-AMBIGU, à 8 h. 30, la Douloureuse (Mme Bérangère, M. Pierre Magnier. en représentations).

Au Théâtre ANTOINE, à 8 h. 30, Pile on (ace, comédie nouvelle de M. Louis Verneuil, avec Mme Elvire Popesco et M. Louis Verneuil. Au THEATRE DE LA RENAISSANCE, à 8 h. 30, Chéri,, avec Mme Colette en représentation. A l'Athénée, à 8 h. 30, lcs Nouveaux Messieurs (Victor Boucher, Gaby Morlay MM. Berthier, Cousin, L. Dayle et André Dubosc). Au PALAIS-ROYAL, à 8 h. 45, le Monsieur de cinq heures (MM. Albert Brasseur, Le Gallo, Du.vallès. Charles Lonam: Mmes Marguerite Templey, Denise Grey, Andrsf Guize).

Au THÉATRE SARAH-BERNHAnot, à 8 h. 45, l'Archange, trois actes de M. Maurice Rostand (Mme Marcelle Servière MM. Paul Bernard, H. Monteux Mmes Delys, Cahuzac, Thomas. Alice Fresnel. Violaine et M. Maxime-Léry). Tous les soirs et dimanche matinée.

A LA GaitÉ-Lyrique, à 8 h. 40, la Hussarde (Mmes Georgette Simon, Dhamarys, Epicaste, Yma, R. Leblanc MM. Henry juilien, jysor, Darmant, Allard, Dullac, Détours. Ballet {: Mlle Capry).

Au Théâtre DE Paris, à 8 K. 45. fc Tentotion, avec Mme Veta Setgine MM. H. RoUan, Ch. Bernard, Clarins, Amiot Mmes P. Lorcy, Clarel. Jeudi et dim., matinée.

Aux Bouffes-Parisiens, à 8 h. 45, Tra». blez-moi (MM. Dranem, Gabin, J. Poc, Michel, Sablon, Harry Wills Mmes Alice Beylat, Y.Noriat, Chr. Dor, Suz. O'Nil et Mad. Lebergy). Au Théâtre DE L'ETOILE, à 9 heures, Un Homme léger (Charlotte Lysès et Signoret, Yolande Laffon. Marthe Derminy. Henry-Bosc, Made.leine Lambert et Marfa Dhervilly Bever, Scott Renée Divrac, Laurette Fleury).

Au Grand-Guignol, a 8 h. 30 1 Sur la Lande 2° Chabichou; L'Amant de la Mort le Renard. Matinées merc., sam., dim. et fêtes. Au THÉATRE DE LA Madeî eine (Elys,86-25). à h. 45, le Vertige (MM. André. Brulé, J. Tou-

Concert pat

piAlA LJ CDCAI I CD ROBES SPORT, et CHEMISIER

rMvlV nbDbVvlâll Sa nouvelle collection 3. AVENUE IDE X/OrPIÉR-A. 3

<~3~9~Li~S2–

ffxxnB peau veÉaruJb&e et un. yyù. éAcaUshé, essetueg

LA CRENE 'RI N

eLerrcLàx-^ cr*&etiLor». dLe ¥Z^J~r\mje£

<5[jjx a. toutes Ses q-ma£tias cTurije crème peu-fniJbe

et WjaacRii ùx peeux sans tcuiAer theJèrd eu. danseur. FZIMME-L S, Boulevard des Capucines f&ris

lout, G. Séverin Mmes M. Fabry, J. Dumond et Suzy Prim).

Au THÉATRE DAUNOU, à 8 h. 45, J'adore ça l (MM. Baron fils, Koval, Alertne, L. Baroux, L. Blanche Mmes Gerhi. Gallois, L. Mareil, S. Sandre et Davia).

Au THÉATRE MICHEL, à 8 h. 45, le G reluthon délical (M. Harry Baur, Mme Madeleine Carlier; MM. Paul Bernard, Carrette, Emm. Clôt; Mme Yvonne Fuisey).

A LA PoTiNIÈRE, à 9 heures, le Coup de deux (Mmes Betty Daussmond, avec Madeleine Linval, Willeme, J. Merrey Ketty Kelly MM. Pierre

Etchepare, Lyris. des Mazes, avec Marcel Vallée

et Béiières).

Au THÉATRE Femina, à 8 h. 45, Une Femme (Mmes Gilda Darthy, Germaine de France. Fillacier, Bouchetaf, Betiy MM. Jean Yonnel, Ver| meil, Géo Laby et Polin).

Au Théâtre DES MATHURINS, à 8 h..45, On demande un amant (Mlles Th. Dorny, J. Darcourt, A. Rive!, Th. Pieily MM. Michel Simon, Pradier, Corby).

Aux CAPUCINES (Tél. Gut. 56-40), à 9 heu- res, Où allons-nous revue (MM. Charles Lamy, H. Trévoux, Balder, Fenonjois, de Boncour et Louvigny Mlles Marg.Pierry, Arletty, Lily Scott, H. Andral, Pascaline et Loulou Hégoburu, etc.). Au Théâtre DE L'AVENUE, relâche.

Au THÉATRE DES Nouveautés, à 8 h. 45, Pas sur la bouche (Mmes Régine Flory et Jeanne Cheirel, Pauline Carton MM. Berval, Adrien Lamy, G. Champell avec Robert Darthez et Pierriette Madd).

A LA COMÉDIE-CAUMARTIN, S 9 heures, l'A mant rêvé (Mme* Aug. Leriche, F. Samy et Blanche Monte! MM. S. Fabre, Armand Morins, F. Pascal, Gobet et Maurice Varny).

A L'ŒUVRE, à 8 h. 45, la Femme de Feu, avec Mlle Renée Corciade, MM. Fernand Fabre et Ravenne.

Au TRIANON-LYRIQUE, à 8 h. 30, la Béarnaise (Mlles S. Alny, Huchet, Engel, Marey MM.Gilbert-Moryn, Lenzi, Cadet-Grégoire, Derroja, Cardon).

A Ba-Ta-ClaN, à 8 h. 30, Chou-Chou (Charlotte Wiché, Georges Flateau, Simone Deguyse, Mars Moncey, F. Barré).

A LA Gaité-Rochechouart, à 8 h. 30, Dédé (MM. R. Ancelin, J. Deiss, Rausard Mmes M. Strassel, M. Firville, L. Rapha). Aux DEUX-ANES, à 9 heures, Présentez. -4r.es revue, avec Gaby Bendà, Dalio, Deyrlotd, chansonniers Marc-Hély, Merry, Colline, Dorin et le dessinateur H. -P. Gassier.

Opéra. C'est M. Franz, l'admirable ténor, qui chantera lundi le rôle de Bhadamès à la représentation d'Aïda où doit paraître Mme Claudia Muzio dans les autres rôles principaux Mlle Georgette Caro MM. Grosse, Bordon compléteront, sous la direction de M. Ph. Gaubert, une interprétation des plus remarquables.

Demain, Flérodiade aura pour interprètes, dans les principaux rôles Mlle Mireille Rerlhon, M. Perret, Mme Lyse Charny MM. Duclos, A. Gresse, Carbelly Mlle Rex, sous la direction de M. Ph. Gaubert.

»**

Comédie-Fbaïvçaise. Voici le programme de la matinée poétique de samedi prochain

MM. Georges Berr (G. Nadaud), Jacques Fenoux (Jean Richepin), Fresnay (Lucien F^bre), Dorival (Jules de Marthold),André Bacqué (Emile Veyrin) Mmes Madeleine Roch (Jehan Rictus), Emilienne Dux (Victor Hugo), Andrée de Chativeron (Eugène Morel), Madeleine Renaud (Hélèle Séguin), Marg. Marquet '(comtesse de Nouilles). En outre,M. Jacques Guilhène et Mlle Co.loona JRomano_jojieient.ifl .NuiLiLosiobre, d'Alfred 'e Musset.

Notices de Mme Isabelle dé Maithold et de MM. Jacques-Noir. Alphonse Séché, Edmond Teulet, J. Valmy-Baysse, lues par M. Paul Gerbault.

Opéra-Comiquk. Demain soir, l'OpéraComique donnera une représentation des

Les plus beaux feutres Il'

LA SANTÉ c est TOUT buvez donc SUZE'CASSIS

[ou SUZE-CITROJNT

SIX CYLINDRES 14 & 18 XV

•̃̃̃i> 12 •••m Boalevardde Verdun NEUILLY.PARIS-

Lorsqu'on pourra construire de meilleures automobiles, BUICK les construira


'Contes d'Hoffmann, interprétés par Mlles Roger, Jeanne Weit, Ducuing MM. Frai-! km, Dupré, Morturier, Tubiana.

♦̃

ODÉON. L'Odéon reprendra le Vray Mystère de la Passion, le jeudi 2 avril, en soirée.

̃

Renaissance. Demain vendredi ouvrira la location pour les représentations de Romance, que joueront à partir dû 3 avril, Mme Madeleine Soria M. Lucien Rozenberg Mmcs Mady Berry, Stella Rho et M. Roger Gaillard'.

>>•

Àthémîe. En matinée et en soirép, M. Victor Boucher, Mlle Gaby Morlay et M. 'André Dubosc, dans la comédie etineelante de MM. Robert de Fiers et Francis deGroisget les Nouveaux Messieurs.

:>>

MatuùbinS. Vôiçî la distribution complète' dcBoudit sauve des -eaux et; ûc Nocturne, comédies de M. René Fauchois dont la iépélitioii générale est fixée irrévocablement au lundi, 3a mars, en soirée Boudu sauvé des eaux, comédie en trois actes, de M. René Fauchois

MM. Henry Burguet. M. Lestingois Michel Simon, Boudu Régiane, M- Vigout Gaston Mauger, M. Godin Serge Nadaud, Un jeune étudiant Notsag, Un camelot.

Nocturne, comédie en i acte do M. René Fauchois

Mlle Marcelle Montclar, Wanda Mlle Thélèse Peirly, Louise M. Marcel de Garcin, L'homme M. Gaston Mauger, baron Hertz M. Rodet, Un sommelier.

Mise en. scène de M. Henry Burguet.

Maison DE 1/ « Oëuvhe », 55, rue de Clichy. La Femme de Feu n'aura plus que cinq représentations (les 26, 29 mars et 2, 3, 4 avril) Mlle Renée Corciade étant retenue par les répétitions de l'Orage, pièce en trois actes de M. Charles Ridgway. Mme Marcelle Génial l'éminenlc artiste, et M. Jean Worms seront les autres protagonistes de cette pièce.

Porte-Saint-Martin. A 2 heures 3o et à 8 heures 3o, Madelon, avec Mme Marthe Régnier. Matinée, jeudi, samedi et dimanche.

Ambigu. A 2 heures 3o et à 8 h. 3o, 'ïçt Doulourcuse, avec Mlle Bérangère et M. Pierre Magnier (en représentations).

Théâtre Dauxou. Aujourd'hui, à a heures 3o, matinée de J'adore ça, la plus belle opérette actuelle.

i '1

TRENTE Ans DE THEATRE. Ce soir, à heures 45, au Théâtre des Gobelins, 44 1° Gala Populaire.

Au programme Tartuffe (MM. Silvain, Siblot, Dessonnes, Granval, Gerbault, Dorival, Pierre Bcrtin Mmcs Dussanne, Colonna Romano, Jeanne Even et Marie Bell, de la Comédie-Française) Manon (fragments) (Mlle Olympe Garcia et M. Niel, de l'Opéra-Comique) Mlle Rosalia Lambrecht, de la Gaîté Lyrique, dans ses chan-

sons.

'Assemblée générale annuelle DU « cqn-

i-lj.^ ̃ (; ̃ ̃̃̃̃̃»-. ̃ ̃ -Ù-. •' f>

tj%iJA -'̃"̃" ̃̃ ̃- "'̃• ̃̃»--•

Aujourd'hui

Même spectacle que le soir 'i

A l'Olympia (2 h. 30).

Ce soir

AUX l-OUES-BERGESE RSiB. 02-57), à 8 h. 80) Cœun en Foiie.supei-revue en 2 actes et 40 tafcleaux de M. L. Lemarçhand. jouée par les plus grandes vedettes de Paris Londres. Nc-.v-York. Au Casino DE PARIS, à 6 h. 30, la grands tevue d'hiver, Bonjour Paris, pour la rentrée de Mistinguett. avec Raimu, Boucot, Earl Leslie, dojis Kniaseff, Dutard et Saint-Gramer.

A l'Olympia (Cent. 44-68}, à d h. Vj. Kaxinska et Dolinoff Bonifacio, de l Opéra Lola de Haro et Alba de Montij et Ariman Banu Alibert Foumiér et 12 attract, Vend., sam., dim. De 5 à 7, Dancing. Entrée 3 francs.

AU PALACE (Tél. TSerg. 44-57). à 8 h. 30, la «vue Vice b Femme! (Maurice Chevalier); 45 tafaîeàus, 700 artistes, 1.500 costumes. La revue la plus belle de Paris.

Au MOULIN-ROUGE Music:hall (Marcadei 15-27), à 8 h. 30. la Grande Revue (Marcelle Yrven, Milton, Cariel, Oy-Ra, Baldini, Hégoburu et les 18 Gertude Hoffmann girls).

A l'Empire (Tél. Wagram 60-58). MusicHall^Cirque. Le célèbre chanteur Mayol les 15 Eltzoff les. ballets russes. 20 .attracttons, Au CONCERT MAYOL (Tél. Gut. 68-07). La nouvelle revue à grand spectacle Très excitante, )45 tableaux avec; Isabeilita Ruiï. 250 artistes, 11.200 costumes.

A L'ALHAMBRA (Roquette 0-10). à 8 h. 30, f$U Wonder Kids (Les Gosses Merveilleux) d E- va Bames, avec Doreen Hayes et Nora Saint-John, ffhe Zanettis et les Dormondes, etc., etc. Chez FURSY ET Mauricet, 43, bout. Clichy (Tnid. 69-67), à 9 heures, Chacun son tour (Nina Myral. Mauricet. Goupil. Ch. Delyne, Luce Darlyj, Carol), etc. Au Temps du Chat Noir (Mlle Lucy Vauthrin et G. Chepfer).

Feuilleton du FIGARO du 26 mars 1925 ̃•'̃̃ (5>

La nouvelle aventure du "Coffpe#t vivant :ïh'- .̃:

.? (Sviuy .'•̃̃ ̃' ̃̃'̃] `

Jo buis de passage à Paris. Il m'a été on ne peut plus facile de. vous yeitrouver.Ah J'ai lu, autrefois, le récit que vous avezpublié de vos aventures. Vous y parlez,' à la fin. de cette petite- villa de Çôurbevoie où vous goùtiez, sur le bord de la Seine, un repos bien gagné. J'ai été à Courbevoie. J'y ai appris que vous aviez maintenant une pupille. et ̃que des revers de fortune vous avaient obligé à quitter' votre -.charmai! to retraite. Au lieu do dire ces derniers Tacts cl un air consisté, mon sosie les prononça avec uiï redoublement de satisfaction. Le locataire qui vous a remplacé m'a donne votre nouvelle adresse. Et me voici

Et voilà Et ana voici Cet homîne cinglait ses phrases comme des coups de cravache- II -n'était, mon sosie quo physiquement, il n'y avait qu'à l'entenCopyri'jht by Frédéric M a uze n s, 1935.

TROLE ». L'assemblée générale annuelle du « Contrôle » a eu lieu le dimanche 23 a mars au Théâtre de la Gaîté-Lyriqûe. Le Comité a constitué son bureau pour la saison 1925-1926 président M. Petitjean vice-président M. Bajolet secrétaire M. Louis Hébert trésorier M. Vittecoq secrétaire adjoint M. Chamard trésorier adjoint M. Hugcl administrateur M. Perret-Gentil censeur M. Bardou* Maxime Girard.

PIAUSCALAH |7mT SOIR PREMIÈRE |OCi à à bureaux ouverts: MARCEL SIMON dans

LE COUP DE JARNAC vaudeville en 3 actes de

HENRY DE GORSSE et MAURICE DE MARSAN Au 2e acte LE PETIT FRÈRE A FERNAKD chante par Mlle TIMMY et tonte la troupe |

1 pa Hâtez-vous 8111

Il ce sont tes dernières 1 ON DEMANDE UN AMANT Lactés hilarants de M- M. DEKOBRA H B au Théâtre |

des Mathurins H

Au CIRQUE DE Paris (Ec. Milit. Sé?.ur 31-90)^ à 8 h. 30. (Matinée jeudis et dimanches). 15 attractions de premier ordre. Le plus beau spectacle des cirques parisiens.le moins cher (1 fr.50 à 12 fr.). Au NOUVEAU-CIRQUE, 25 i ,rue Saint-Honoré, à 8 h. 30. Le saut périlleux en auto Les lions indomptables et 15 attr. nouv. Jeudi, samedi et dimanche, matinée et soirée. ,if

Au Madeleine-Cinéma, à 8 h. 30, Le Fantôme du Moulin-Rouge. Trois séances par jour. Au CINÉ CARILLON. 30. boulevard BonneNouvelle. En exclusivité pour toute la France Le Trésor, grand film. Séances à 2 h. 15, 4 h., 6 h., 8 h. 15 et 10 heures du soir.

Au CINÉMA Dti ta-Palace, 17 bis. Bd Rochechouart Soirée mondaine, avec André Luguet La Grande Marnière, d'après Georges Ohnet Le dernier voyasic du Nancy B (Thomas Meighan et Lila Lee). L'orchestre Pickaert. Courrier Musical

Aujourd'hui

A 3 heures, à la Salle Cuvcau, concert par les chanteurs de la Sainte-Chapelle, avec le concours de M. André Marchai, organiste de Saint-Germain-des-Prés, et sous la direction de l'abbé II. Delépine. Au programme des œuvres de Bacli!, Practorius, Gabriel Pierné. César Franck, Haendel, Schumann, Wagner, Gounod, etc. On aura le plaisir d'entendre aussi des chansons d'aujourd'hui, parmi lesquelles une berceuse corse de Lazaroili, Manu, interprétée par l'excellente soliste, Mme Hazart.

Ce soir

A la Salle Erard; à q heures, concert

dre parler pour être lix-é là-dessus. Il* est vrai qu'il avait de l'argent (et beaucoup, sa mise le disait) et rien ne vous remonte le moral comme do se sentir le gousset bien garni. Et quand même J'ai été riche, ou tout au moins très à l'aise, et jamais je n'ai parlé avec la moitié de cette assurance 1

Il me fallait pourtant débiter quelques phrases aimables à un homme qui avait pris tant de peine pour me retrouver. Aussi bien, avec cette ressemblance, me faisait-il l'eflet d'une sorte de parent, bien que nous n'eussions pas dans les veines une seule goutte du même sang. J'avais l'air d'un cousin recevant un cousin qu'il n'a jamais vu et ne .sachant que lui dire. Je tâchai de secouer mon hébétement, comme un plongeur, -qui. s'ébroue en sortant de l'eau, et je 'déclarai

Monsieur Salabert. -'̃:

Philibert rectifia. mon sosie. Elzéar Philibert Excusez-moi. J'avais mal entendu voire, nom, tout à. l'heure. le s ali g bourdonnait dans mes oreilles. Oui, j'ai bien vu que la tête vous tournait un peu.

Un peu beaucoup Monsieur Philibert, je suis extrêmement heureux de faire votre connaissance. Croyez bien

que.

Mon sosie regardait une montre qu'il avait au poignet. Il nie coupa'.ia parole Dix heures vingt constata-t-il. Je vois que vous êtes maintenant complètement dans votre assiette. Venons au

fait!

Au fait'? •'

Cher monsieur, croyez bien que, por aussi, je suis charmé do faire yojre

Marthe Petit, pianiste, avec M. William i Cantrelle. v A la Salle Gàveau, à 9 heures, '"récital Nina Kochitz.' •'̃̃

A la Salle des Agriculteurs, à 9 -h:, Quatuor Capet, 4e séance de l'Intégrale des Quatuors de Beethoven, 00 places d'estrade à i5 francs seront mises en vente au contrôle.

»*•

M. de Gontaut-Biron, dont le brillant récitai du 16 mars a recueilli le succès le plus I flatteur, jouera le 27 mars à Bruxelles. J Charles Lesueur ne donnera qu'un seul récital de piano, samedi soir 28 mars, Salle Erard.

f

Aux Concerts .Colonne j: y

Samedi 28 mars, à 5 heures précises, au Chàtelet, 20" concert avec le concours de Mme Malnory-Marseillac, et de MM. R. Lorfat et J. Prurtner

Première Symphonie (Beethoven) Suite pour contrebasse, première audition en France (J.-A. Birbenstock) M. J. Prunner Nouveaux chants d'Auvergne (J. Canteloube) Mme Malnory-Mar- I seillac Quatrième concerto, pour piano (C. Saint- i Saëns) M. R. Lortat Pecr Cynt (Ed. Grieg). Dimanche 29, à 2 heures 36 précises, ^3° concert, avec le concours de M. AV. Cantrelle et MM. Coulomb, Dubosc, V. Roycr, Maurice Fauré, Jean Doyen Ouverture d'Egmont (Beethoven) Concerto pour violon (Beethoven) M. W.Cantrelle L'Humour en musique Plaisanterie musicale (Mozart); I l'rio des Frileux (Isis) (J.-B. Lulli): MM. Coulomb, Dubosq, V. Royer Lc-Camaval des Animaux (Saint-Saëns) Symphonie du. Départ, Final (Haydn).

Concerts sous la direction de M. Gabriel Picrné.

•»̃

Aux Concerts Pasdeloup à Mogador Samedi 28 mars, à 4 heures 45, et dimanche 29 mars, à 2 heures 3o Ouverture du Vaisseau Fantôme (R. Wagner) Prélude de Lohengrin (R. Wagner) Quatrième Concerto, pour piano et orchestre (Saint-Saëns) Mlle Hélène Léon Chanson indoue (RimskyKprsakorf) M. Roubitzky a) Complaine du Villageois b) Chanson- de la Puce c) Hopak (Moussorgsky) M. Roubitzky Symphonie en ut mineur n" 5 (Beethoven).

Concerts dirigés par M. Rhené-Baton.

Aux Concerts Lamoureux Salle Gaveau, dimanche à 3 heures, 24° concert, Séri.; B, avec le concours de Mine Suzanne Balguerie et de M. Lucien Wurmser

1. Huitième Symphonie en }a (Beethoven) 2. Fantaisie pour piano et orchestre (Louis Aubert): M. Lucien Wurmser 3. Quatre poèmes, première audition pour chant et orchestre (G.-M. Wilrkovoski). Extraits du Cœur innombrable de Mme de Noailles l. 0 lumineux matin 1 II. La journée heureuse III. Le jardin et la maison IV. Le, Pays Mme Suzanne Balguerie 4. Concertstuck pour piano et orchestre (Schumann) M. Lucien Wurmser; 5. Le Crépuscule des Dieux (Wagner): a) Marche funèbre b) Scène finale Mme Suzanne Balguerie.

Le concert sera dirigé par M. Paul Paray.

,r

Le mardi 3i mars, Salle Pleyel, cn soirée, Catherine Urner interprétera des œuvres vocales de sa composition, aux côtés de Germaine Leroux, du Quatuor Krettly et de Gaston Blanquart, qui compléteront le programme.

1111

Le baryton Georges Petit donne un ré-

Le l;arytOl.l G~9J~ "Yttt~¡.çJ?nne un ré-

cital Salle Gaveau, "mârdV'soir 3i mars avec le concours de Mme Léda Ginclly, M. Albert Doyen et de la Chorale des Fêles du Peuple. Œuvres de J.-S. Bach, Schubert, Schumann, Florent Schmitt, Duparc, Debussv, Honegger, Milhaud, Stravinsky, etc.

"Billets Salle et Durand.

l' f

Rose Arrnaiidie, l'éminente cantatrice, de retour d'Amérique, donnera un concert, mardi prochain, 3r mars, a la Salle des Agriculteurs, avec le concours de Marcel Ciampi.

Le pianiste Michel Barjausky donnera un dernier récital de piano Salle Plcvel,- mercredi soir rer avril il jouera Toccata et ̃Fantaisie, de Schumann Sonore op. 58 de Chopin Islamey de Balakirew et des œuvres de sa composition.

Billets de io à 20 francs, à* la Salle et chez Kiesgen et Delaet.

Mardi prochain, 2 avril, à 9 heures, RoI bert et Marius Casadesus interpréteront, à lia Salle des Agriculteurs, des sonates de i Schumann, Brahms, Franck et Debussy.

»*•

| Marie-Louise Le Grand et M. A. Tracol joueront les sonates pour piano et violon-de, j: Brahms,- en ré mineur, Grieg en sol mineur, et Franck, jeudi soir 3 avril, Salle de h l'Hôtel Majestic. Billets de 5 à 2o francs, à !la Salle et chez Durand.

«. n ̃̃

i Le Slub-al Maler de Rossini sera exécuté | le vendredi 3 avril, à 4 heures, en l'Eglise Saint- Roch. pur des artistes de l'Opéra, âes | Concerts Colonne, Lamoureux et de la

connaissance. Mais ce n'est pas dans ce dessein que je suis venu- Pas plus que ce n'est pour mon plaisir que-, je- me trouve de passage à Paris. Cher monsieur, vous avez devant vous un homme en train de fuir, de se 'sauver à travers le monde, avec deux chenapans à ses trousses. Vous .savez ce que cela veut dire, hein ? Vous l'avez joué, ce rôle de lièvre ? Allons, bon Voilà que vous arrondissez de nouveau les yeux. Tâchez de garder tout votre sang-froid. Vous allez en avoir besoin. Et écoutezmoi bien.

• Jo vous écoule, monsieur, balbu-

liai-j-e.

Si je suis troublé, il suflil qu-'on fasse appel à mon sang-froid pour qu'immédiatement je perde le peu qui m'en restait. La recommandation. d'Elzéar Phi" libert acheva de m'étourdir. Mais, aussi, celte confidence suivait de si tôt une entrée fantasmagorique. Il y avait de quoi tourner une tète plus solide que la mienne.! Je me remettais à peine du premier choc qu'il m'assénait un autre coup,

Mon sosie continuait

Voici la chose les deux hommes qui me poursuivent sont des Américains, des Yankees. Go qu'ils veulent ? S'emparer de moi. Pourquoi ? Pour. me

rançonner. Je suis riche, monsieur Ber-

nard. S'ils mettent la main sur;ma personne, cela coûtera cher, car j'ai do. quoi payer.

-Mais la police ? murmurai-j.e. La police ? interrompit Elzéar Philibert. Quelle police ? Celle des Etats-. Unis ? .Celle du Canada ? Celle, de la France ? Est-ce que vous y avez eu recours, vous,, à ces polices-là,, lorsque vous i'uyiez devait P.almer et Diuley ?.

Schola. On peut retenir ses places à l'église et chez Durand.

Le vendredi 3 avril, à g heures, Salle Gaveau, Mme E. Dragulinesco donnera un concert dont une partie sera consacrée à la musique roumaine.

On télégraphie de Budapest et de Vienne « Succès retentissant fait aux récitals du célèbre pianiste français Marcel Ciampr, et notamment pour les œuvres des grands compositeurs Fauré, Debussy, Ravel. » M. Léon Karlun a été l'objet de plusieurs rappels, samedi et dimanche dernier aux Concerts Pasdeloup après sa brillante exécution du 5° Concerto de Saint-Saëns. M. Karhm jouait, comme d'habitude, un piaiio Gavcau.

ti. de Crémone.

AURIEZ -VOUS 100 ANS D'AGE

Vous n'aiix-iez rien vu

si vous u/aviez vu

LES 18 GERTRUDE HOFFMANN GIRLS

AU MTJSIC-HALL DU MOU LIN -ROUGE

Cinémas

Un grand succès français aux Etats-Unis

L'art cinématographique français, vient d'obtenir aux Etats-Unis un triomphe qui se répercute sur notre pays et devient un succès national français.

On mit, en effet, que M. Raymond Barrutrd était allé, voici quelques mois, à NewYork, -i demande:dTi' Comité américain, présente.- lui-même à l'écran, le film splendide ̃qu'il a tiré du beau roman de M. Henry Dupuy-Mazuel.

Le résultat de cette propagande. a été remarquable et le Miracle des Loups a triomphé aux Etats-Unis comme il Io fit avec tant d'aisance dans l'Europe entière. Les commentaires que nous pourrions donner ne vaudront pas la simple traduetion littérale des journaux américains,, dont voici d'ailleurs un extrait y.

Moming Telegraph (1-3-25)

« Par son exécution et ses situations, aussi Lion que par les éléments « spectacle » très déve-

loppés, le Miracle des Loups est un prodigieux

chef-d'œuvre. »

Brooklyn Daibj Earjlc (21-2-25)

« Si une «ompanuson est possible, je dirai que le Miracle des Ij)ups est, supérieur il l'Intolérance, de David Mark Griffith.

» C'est, d'un bout à d'autre, une prodigieuse réalisation artistique, un film qui, vraisemblablement, prendra place parmi les efforts ciné- matographiques contemporains les plus élevés. » A'ew; York Sun (24-2-25)

« Comme il fallait s'y attendre, ce film contient des scènes de la "plus magnifique beauté et des plus saisissantes qui aient jamais été enregistrées par il 'œil mouvant d'un appareil cinématographique. »

1 New -York Evening Posl (24-3-25 ) '«̃ En tant que spectacle, le Miracle des Loups est un travail remarquable, qui surpasse de beaucoup tous les efforts américains. »

Ncia York Times (1-3-25)

Le grand journal américain salue la valeur de la mise en scène du Miracle des Loups et celle des batailles de ces dernières, il d;t « L'action est soutenue et vivante.

» Elle crée un immense intérêt et un grand d enthousiasme, »

Evening World (2i-2-25)

a 0u y retrouve partout la main adroite de Raymond Bernard, le D. M. GriffUh français. »

Non, n'est-ce pas Vous saviez que leur protection vous aurait été plus nuisible qu'utile ?. La police privée, ça, c'est autre, chose. C'est à elle que je me suis adressé. Mais les deux gredins en question en ont d'ailleurs fait autant de leur côte Oui, cher monsieur, ils se font, aider dans leur entreprise par cette même maison Pinkerton qui avait assuré votre .sécurité lors de votre tournée de conférences aux Eta,ts-Uiiis. Moi, j'ai chargede ma défense une firme du même genre qui, comme la première, a des correspondants dans le monde entier. Mais la police officielle Ah cher monsieur, ne m'en parlez pas Un service dirigé par l'Etat Comment voulez-vous que ça, marche bien ? Aussi les gens qui en,.ont les moyens contient-ifs de plus en plus leurs intérêts à des détectives particuliers. Vous le savez d'ailleurs. S Si je le savais Mais Loustau' et moi pensions à associer mes capitaux et son expérience pour fonder une sorte d'agence PinkcrtiOn française, lorsque. la mort était venue faucher notre pro-

jet.

Le Canadien poursuivait en hâtant son débit, après avoir de nouveau consulté sa montre

Cette chasse a l'homme dans laquelle je tiens le peu agiréable emploi de gibier m'a cond.uit à Paris. en passant par New- York et Londres. Il y a quinze jours .que j'y suis arrivé. J'étais fatigué. découragé. Je me suis arrêté. J'ai loué une villa meublée à Neuilly, boulevard Bineau, et là, je repirends haleine, tout en me tenant sur mes gardes ipour ne pas me laisser prendre par ceux qui me guettent. Hier soir, une idée ̃m'est venue. J'étais dans la patrie de mon sosie, dix, minutes de cette petite

New York-Pieture Play Magazine (1-3-25) « C'est le pinacle de la production française. >• Il n'y a rien à ajouter à ces appréciations de la grande presse américaine. On pour rait citer également ici les extraits de tous les journaux anglais qui saluèrent le Miracle des Loups, comme étant le super-film

français. ·

Tous, en effet, furent élogieux, comme rarement on d'est lorsqu'il s'agit d'une production étrangère, tant pour M. Bernard, le génial fîlmeur, que pour M. Rabaucl', dont la partition, en Angleterre comme ;en Amérique et partout ailleurs, fit merveille.

La. Société des Romans Historiques Filmés a le droit d'être fière d'avoir ainsi porté haut à l'étranger l'art français. ̃̃̃̃̃ A. de G;

MADELEINE © CINÉMA Dernières représentations

du film étrange

jLm& 3BVmtô:m©

du Moulin Rouge Demain "VenclrecLi 27

VISAGES D'ENFANTS de Jacques Feyder

l V- A partir du

JVENDREDI 27 MARS: ijADEIiEIflfe GIflÉp 1 :Visages d'Enfants= il de

= Jacques FEYDER [

Réunions, Gours et Gonîérenees

.♦̃

L'Union fraternelle dos -ffinmes donnera 8, rue Danton, 1g 27 mars, à 8' h. 30 précises, une grande réunion présidée par M. Ft'ànçois. Albert, assibtè de M. Lapic, directeur de l'enseignement primaire « h'Ecole unique )>.

Devant un élégant et nombreux public, M. Francis de Croisset eut la. cruauté de rendre avant-hier à l'Université des Annales, ce verdict impitoyable « L'âge d'amour, c'est vingt ans vingt ans, c'est un programme, un signalement, un passeport pour les amoureux, vingt ans ce sont les héros de Molière, de Marivaux et de Regnard. Nos temps modernes apportent avec les artifices et la coquetterie d'aimables adoucissements. La jeunesse n'est plus une question d'âge, mais d'entraincment. » M. Francis de Croisset, dont Conferencia publiera l'analyse si finement subtile offrit à son auditoire en guise de conclusion cette formule réconfortante « On conserve toujours la jeunesse avec l'amour de l'être aimé. »

D'ANS LAJiiARtNE A l'Académie de marine

Dans sa dernière séance, tenue sous la présidence de M. Laubeuf, l'Académie de marine a entendu une très intéressante communication relative au port de Cherbourg et la navigation traijgatjai^tigue. Les escales à Cherbourg ont..pris un' développe. ment extraordinaire 840 ̃ paquebots. et 130,700 passagers débarqués en 1923,' contre 557 paquebots et 68,700 passagers en 1913. Certaines compagnies étrangères y envisagent aujourd'hui l'installation de leur tête de ligne en Europe et comme conséquence s'impose la création d'un port en eau profonde qui, accessible aux plus grands navires, nous permettrait de participer au trafic de l'Europe avec les Amériques, trajh'e-*ue«iparé de tout temps par les ports létRinsers, à grandes profondeurs naturelles, qui font défaut suW les côtes de nos mers à marée.

Cette création, à Cherbourg, pourrait être réalisée dans des conditions d'économie véritablement exceptionnelles et parlant, aussi profitables que possible à l'intérêt général.

--r..rv--

Chronique militaire Sursis d'incorporation

Le nombre des jeunes gens qui bénéficient actuellement de sursis d'incorporation par application de ia loi de recrutement du 1er avril 1923 s'élève à 18,234.

Sûr ce nombre, 16,757 ont, obtenu leur sursis dans l'intérêt de leurs études et 1,477 en qualité de soutiens indispensables de famille; Ces derniers se répartissent ainsi qu'il suit 54i agriculteurs et 933 professions différentes..

Une proposition de loi

M. Adolphe G irod, député, vient de déposer sur le bureau de la Chambre une proposition de loi dont voici le paragraphe principal

« Les officiers o,n non-activité pour infirmités' -temporaires à la suite de blessures reçues ou de maladies contractées aux armées ou aux colonies, entre le 2 août 191 i et le 11 novembre 1918, ou des suites de la

,maison qu'il avait si compdaisamment décrite dans l'épilogue de son récit t Mais- vivait-il toujours ? Notre extraor-

dinaire ressemblance s'étaH-elle mainte-

nue au cours de ces dernières années ? `' J'ai fait 'la petite enquête qu© vous savez. J'ai appris que vous étiez ruiné. Ce fut encore avec un air de profonde satisfaction qu'Eizéar Philibert nota, en passant, ma déconfiture.

1 Je suis accouru, con:tinua-t-il, et je constate que nous sommes bien toujours .pareils l'un à l'autre. Vous n'avez guère changé et moi non plus. Nous sommes tous deux du même bois sec, un bois qui ne joue pas.

Il allongeait et repiliait ses bras et ses jambôs que n'ankylosait aucune de ces douleurs dont gémissent tant de gens plus jeunes que nous. Vous vous portez comme un pont neuf, n'est-ce pas ? ajouta-t-iL,

Je n'ai pas à me plaindre, en ce qui concerne la santé, dis-je.

AU rkjhl Voulez-vous prendre ma plaice pendant quelques semaines ? Prendra votre place pendant quelques semaines ? dis-je.

Encore une secousse, la troisième en une dorainheure. Oh ma pauvre tète Quelques semaines. Quelques mois.dit mon sosie. Enfin, le temps nécessaire pour que je puisse dépister mes adversaires d'une façon définitive. Vous .comprenez ? Rien déplus simple.Vous n'avez .qu'à, mettre mon costume et sortir de cet immeuble. « Ils.» » m'attendent, en bas, en faisant les cent pas ou attablés à la porte d'un bar. Ils vous emboîteront le pas. et moi, quelques instants après, je m'en irai a mon tour, et je n'aurai plus personne sur mes talons. Ah c'est ça qui sera bon Où

guerre après le 11 novembre 1918; avec un, diagnostic analogue à celui de leur évacuation de la zone des armées, et rappelés à l'activité, auront le temps passé par eux en non activité compté comme service effectif pour les droits h l'avancement, au commandement, à la réforme et à la retraite. » D'après la loi du 19 mai 183*, encore en vigueur, le temps passe en non-activité est compté comme service effectif pour la retraite seulement. 1! en résulte, à l'égard des officiers blessés pendant la dernière guerre, un préjudice dont la réparation serait bien accueillie.

L'ART etjj Curiosité

Expositions

et Ventes d'aujourd'hui

EXPOSITION S

HOTEL DROUOT. Salle n° S. Ex» position publique. Collection Pinto d'A.guiar, Anciennes porcelaines tendres de Chantilly, porcelaines de la Chine et du Japon. M0' F. Lair-Duureuil, connu. -pris. M. Edouard Pape, expert. 'i

VENTES

GALERIE GEORGES PETIT. S, rut de Sizc. Objets d'art et d'ameublement principalement du dix-huitièruc siècle, dessins, gouaches, pastels, tableaux, orfèvrerie, sièges et meubles anciens, mobilier dc sa-lon, tapisseries des seizième, dix-septième et dix-huitième siècles, d'Aubussou, des Flandres,. etc., appartenant à divers amaiews. JM° F. Lair-Dubrkuii., comm-pris. 3NIM. ilarius Pauline et G. B. Lasquin, experts. HQTEL DROUOT. Salle io. Vente. Livres anciens et modernes, almanachs, reliures, livres illustrés, classiques du dix-septième siècle, romantiques pro-Jcnant de la bibliothèque dit. baron de X. Me EDOUARD GIARD, comm.-pris.; M. Maurice Escoffier, expert. Curiosa.

ADOLPHE LION» ST.B<de Couroelles.Tous beaux Okiats d'Art et d'Ameublement du XVHI1 siècle. -ur^

I utile et. l'agréa ble_* DÉJEUNERS ztBÎNERS

JtfLenJXA

©4jeunjer

(Eu/s pochés sur purée d'oseille

Pain de veau sauce tomate

Pommes de terre Macaire

Compote d'oranges

Potage crème de lentilles aux croûtons

Turbot à la Provençale

Quartier d'agneau rôti

Fonds d'artichauts à la Monglas

Glace Montmorency (des Délices)

Recette du turbot à la procençah Lever les filets d'un turbot, les panner et les {aire frire au beurre. Cuire du riz à la créole, y joindre une poignée de champignons hachés. Dresser les ̃filets de turbot sur le riz et l'entourer de..tornatesr- entières tombées au beurre. Avec le fumet du poisson, taire une sauce Colbert, que l'on sert en sau- cière.

Vatelle.

rtr

Comment prendre un Campari??? Le « CAMPARI » n'est ni un vermouth, ni un amer quelconque, c'est un apéritif très fin à base d'herbes aromatiques et hygiéniques, imprégnées du parfum subtil de l'écorce d'orange. Le « CAMPARI » possède des propriétés digestives. Il stimule l'appétit et provoque une bonne digestion.. Le « CAMPARI » se consomme sec comme une liqueur ou de préférence avec de l'eau de Seltz à la dose de 3 à 5 centilitres. LTeau de Seltz doit être versée avec une forte pression. de façon à produire un mélange bien mousseux et très homogène. Le déguster, c'est l'adopter.

ww /& m /u Expédie. livre à domicile Vil $A MAREE, SES POISSONS VIVANTS I U U 3 SES SAUMONS DE LA LOIRE 4-î,rue de Longchanip. -Passy 8-4-51

I LE! I P remplace la BEURRE f

fiOUTTE, GRA.VELLE, RHUMATISMES \J Guérison immédiate assurée par LA

LISERONINE DAVYSONN (Envoi franco do la brochure)

I Pha.um.acie NORMALE, 19, rue Drjuot, Paris

? vous vous rendrez en sortant d'ici '? K

J vous vous rendrez en sot'taI1 d'ic. 1

Neuilly, chez moi. C'est-à-uire. cJie:

I vous Vous y trouverez, des ir.aHiï,- x;iù.

vous Vous J'. trouverez des "c.

.gapde-rob.e. Tout ce qu'elles corilicn-

nent vous appartiendra. Les tlàmost:̃qties, quû j'ai engagés la, seraaino dernière, seront a votre service. Cu quo vous au;rez à faire ? Ne pas -vo\is laisser' iprendre. Mais je suis bien trasiquille làdessus Vos aventures de Coffre-fort vivant ont montré comment vous saviez glisser entre les doigts des gens. Alrl ,par exemple, il ne "faudra pas profiter ide cette habileté ,pou;r vous esquiver définitivement Vous devez tenir mes poursuivants en haleine, fixer ,leur atten* lion jusqu'à ce que j'aie pu disparaître sans. laisser de traces et depuis assez longtemps pour qu'il soit à jamais im- possible de les retrouver. Mais cela est. de votre part, une question d'honnêteté. et. à ce point de vue aussi, jo suis tranquille. Votre passé répond de vous. Et je sais également -que vous me garderez le secret. Allons ? Est-ce une affaine conclue ? Vous -aurez vingt ̃mille francs par mois.

Elzéar Philibert tirait .un gros porte* feuille et, en extrayait une' liasse de bitlets de banque.

Chaque mois payé d'avance. Voici le montant du premier. Pour toucher le montant des autres, vous n'aurez qu'à vous présenter chez MO Plumeau, np* taire, 17, rue Royale, qui a mes instructions. Et quand la substitution prendra fin, vous toucherez cinquante mille

francs. Ça va-t-il ?

Frédéric M^uzeris.

$uiyf.e.\


Courrier DE LA Bourse Paris, 25 mars.

Etant donné la lourdeur des places?étrangères et le léger recul' des changes pendant la matinée, on pouvait s'attendro à une Bourse assez médiocre.. Et, en effet, de nouveaux dégagements ont' pesé sur le début de la séance. Mais, peu après, on apprenait que le Biô augmentait 'son dividende et que le "ministère public, qui donnait aujourd'hui ses conclusions dans le procès intenté par les obligataires du Suez contre la. Compagnie, s'était prononcé en faveur de la So-

ciété..

Cette double nouvelle a déterminé des rachats de vendeurs et, comme le Rio et le Suez sont les deux grandes valeurs' dirigéantes de notre marché, l'ensemble, dé la cote s'en est trouvé raffermi. Inutile d'ajou-, ter que les affaires étaient toujours aussi, réduites.

Nos Rentes, sont de plus en plus calmes. ̃_ Fonds russes et ottomans bien tenus. Fermeté des établissements de crédit Il .Lyonnais, 1.494 ex-coupon de 35 francs

̃bruts Union Parisienne., 863 Comptoir

d'Escompte, 945 Mobilier, 502 Fonder •Egyptien, 2.595 contre 2.57Ï.

Banque de Paris, 1.405. Nous avons donné, hier, en information financière, l'allocution prononcée- par le. président Griolet, à l'assemblée générale des actionnaires. On trouvera plus loin le texte du rapport du conseil. Notre première Banque d'affaires peut, à bon droit, s'enorgueillir des résultat» matériels obtenus pendant l'exercice 1921 aussi bien que du rôle exceptionnel joué 'par son brillant état-major dans toutes les grandes opérations auxquelles la Trésorerie de l'Etat était intéressée.

Au cours de la discussion qui a suivi la lecture du rapport, un actionnaire, l'honorable M. Sarchi, a constaté que les réserves de la Banque se montent à 166 millions et le report à nouveau à 25 millions. Et, partant de là, il a exprimé le regret que le dividende n'ait été augmenté que de 5 francs. En tenant compte de la dévalorisation du franc et des impôts, diaprés guerre, les 75 francs d'aujourd'hui ne représentent, 'évidemment, qu'un bien faible pouvoir .d'achat par rapport aux 75 francs d'antan. Mais M. Sarchi est trop avisé pour que la réponse du président lui ait causé la moin'dre déception. M. Griolet a observé, en souriant, que les circonstances présentes font un devoir aux conseils, d'administration d'être excessivement prudents dans les. ré- partitions. « Les émissions sont arrêtées pour l'instant et bien des questions restent i en suspens, a-t-il ajouté. La Banque ne doit pas distribuer ses réserves, non seulement t parce qu'elles lui servent à, travailler, mais s aussi parce qu'.elles,ljii, permettent de faire ,face, par ses propres, moyens, aux difficultés qui peuvent se présenter.- •» n ¡

Et tout cela est 'si- sage 'que. personne n'oserait y contredire, .M. Sarchi moins que 'quiconque. Bornons-nous à ajouter que le

Baip de PayseUes Pays-Bas Rapport présenté par le Conseil d'Administration à l'Assemblée générale "ordinaire des Actionnaires du 24 mars 1925

Messieurs, "Nous avons -l'honneur de .soumettre à-, votre! approbation le compte rendu des opérations, de votre Société- au cours de, l'esereice. 1924 et. son' bilan arrêté au- âl décembre, dernier.

Les comptes font ressortir un bénéfice net de fc.36.73Si.5ii9#, sup^jeur de fr. J.981.|IBJ8 •celui de -I? exercice -pi-écâdënt. ̃" Ils nous jfeïiriteUeat>Hid..vou&.v4»opeser la répartition d'un •dividende fr. "75.

Ces. résultats témoignent suffisamment --par eiix-mêmesides efforts constants ,et de la grande activité déployés par tous les services de la banque.

Lorsque l'an dernier, à pareille époque, vous vous êtes réunis pour tenir, votre assemblée généi-cic, la crise des changes provoquée par la spéculation étrangère n'était pas encore complètement enrayée. Vous savez comment cette crise, d'une gravité exceptionnelle, a pu être .surmoruéi grâce à la fermeté des pouvoirs publics et à Inaction énergique entreprise sur le 'marche des .changes par la Banque de France Avec le concours de quelques établissements de W'tilriCB tu nombre desquels nous avons eu la sciif faction de pouvoir nous -ranger.1

Depuis lors.- vous n'ignorez, pas ce, qui a été fait pour renefre définitifs les résultats obtenus. C'est ainsi que le projet de budget pour l'année 192o, marquant un nouveau progrés sur les budgets précédents, a. pu être présenté au Parlement dans des conditions dMnité et d'équilibre dont nous n'avons cessé- de: nous .'rapprocher par étapes, mais qui se; trouvent- réalisées pour la première fois depuis''la guerre.

̃'fr:Vi" ̃ ̃-̃ ^BOURSE I3TLJ_35 3V£A3E^tB JLg25>

~=~ COMPTANT"~ ~TANT' Fi-,i"u Clôture Der ejenu MARCHE EU B~E ~CHÉS ÉTRANGERS

Revenu T"-I, RME. COMPTANT Glôture cours COMPTANT p GIÕt~re Il Otrn'erllk"nu CO-PTANT 1 C,I,MUN! tours brut COMPTANT ?~i cour Revenu MARCHÉ EN BANQUE Glôt~re Otrnfff MARCHÉS ÉTRAN' GERS' i 4dt,l 1 Olll'nier

1 1 brut l ,rp~cè\j~ 'f ¡ ,CDU~ l'l, :pr~éd'~ cours préced", CQU,CS br"t: 1'1 ,'j "1 ,!preced" l' ¡ cours brut! l, 1,'1 prOCé1J"! cours brut 1." "r; pméd'- cours pN:~d"l cnrs'

^CZTwv» .6700. FONDS D'ÉTATS |erbe |^9- .j £ A ° (-, ^ANQ^ |5 ^p-ào^ '»0 i}]'^ il mt^s% = 30 50 3% ^T^ ̃̃ » « 13 UZ

'6}28 28 de'IAI!I!rlè. ,1645"" Suède 31,201895. 348..¡. l" 'c l" 24 50 Lor-aln Mm&,MetalJ.~50p,I"5O 'M' é' 5°: '3D 50 LONDRES, 25 mars

4250 =' ~~S~ 670.,1670.. 3°. 46 95\ 46 e~'SU'9GO 190,3" 293,'1 3r: 251 ~45 50 i -ffl4 115 :1'qu~:ln~u,: 30/ ':22 2 3% Frsnçais,¡13Jt2 131(2

70.. AariS,&,pays.sae.,¡1407 .11.j()5 3 3% Amortisesbl. 5470 8t 2J TurQuioConsolidÓ., 1890. l~ 17 lz9 '31 .Créd,'fonc,d'AlgérieT,mis,t,p,' 445"45.. 50 "Senelie-Meubeu'ge.W4"e,'I9. .¡'O Ii '(N de) ,°"855 '18'S" 5% 187,81187,8

40.. de l'Union Parisienne 862 863.5061915,1916, 56 701 56 70 TrtDUt d'i;gypte, .1. 155 Banque de l'Ind,o.Chir.e.341O ..13510.. 2rE 69'Charbonnal1e',du Ton.kin.18160 ~8155 :¡"f'!Se 1:, erel ln. 175 5~ 333' 4% 1918. 16 V4, 163,'4

65' Compagnie a Atgérifflne "1'1020.025.. 4'1Ó 1917. 4740, 4740 10 Prior,té Tombec. 150 80 i @579 5') 6. PSY$ Euro?,. Cent.ord,1 63..1 140 ..ISÓthvne(C"de), nouv.3430 .3498.. oCre ps~ ière de) lt)2 1 160 Consolidés.157 1/8,,57 .1..

25 –te "C o^i-:l Wo §0 S-i lî§ ^| = = tS^ | l ::i^;=^ | ̃̃^g^SSi^ & ::i,S5 ^^̃̃̃̃̃̃̃̃̃̃ %9. i t

40.. Crédit Commercial de France. 1709 710 5 1920 Amcrt,ssable. ï ff9 50, 69 SO Hollande 1896 1 ,.56 lndusi. 1 d. Chine. ',81. 190, 30..1 Eptnec(HotJilleres & Ch, fer d ), !J 51 ,1200 1sh-;Chartered. ) 1 9- 2>1 1 M- 50 Bréeil 1889,1 44 ",1 44

60 Foncier 4ie France. 1338 .1330.. 6%'1920. 6c) ()5~ 69 05 Roumanie 4% 1890.1.7515:']3 60 1125! Franco;Japonaise .1 494..¡ 490. 79 54[Hsute-Loire.(Houilléres de le) 1525 ..115~5' .,Chemins tomane ,ote turcs) 275 50' .96 50- Funding. 74 !:2, 74

75.. 50 LYOnnai"¡'1525 ..¡t49~ 502 Bons du Trèsor,6"ÓI922. 497 2S; ,83 19 In 0 Amortissable 342SI 3~ 70 75' -Crédit Algérien du Nord, 345"1" 1925 ',55 .Montrsmbertet la Be:sudière'iI32~ .13;f1:' .C~I~bei'1 295 ,.1293 Chine 4112,83 83 83,1

3250, i été Générale Français. 762 50_ sept. 1923"487. 487:, 1910 Amortlssable"l 33.. 1 75 "iCred,tAIge~,er\¡1875 .1¡2~" 14 .Sa~~t.Etle,nne(~oullieresde). 1 IOW 1',4.1Concordia.155 "1,156,, Egypto Un,f,ee.¡ 83 64

^^i^s:p:?œk: 5^9-- "| zm Xœ^lîS^-oo,.»» ..m, :S:,&œ & ̃ .•|^B«sr:T| :tô| 2? gi^.w^^ d: f '™=- 1 !i2 ? lil

> Ln- m Afrique Occid. Franc 3 A "2> in Jn in nui irsTinus 'pi '• C Banques. d~ Province.' "1' 30.DourgOs ̃ •! •• 5 sh. 6. iGeduid 286 289 Tur. 4o7 u* |7 3'6 17 |/4

43 ,.¡Est. 69~ "1670. Annem-Tonkin212% 4.50 4250 OBLIGATIONS 30 .Dourges, ,90 "1 795.. 5.h,6,IGeduid. 286. 289 Turc 10909.5 3,'8. 17 114

55 ..IMidi"1.6?0 Indo.Chine 31,,1909. ,,24.220.. 18654 b rer.b. a 500 ,6_1 ',615 50 ~ACT:ONS 38- .Gr.nd Combee" ,895 .89~ 2 'H t Consolidated 19350'187 50 Chertered 22/ 9. 21,'9. 1

67 .Nord .10)0.1060 31/21913. 271..1266" 1871 3% remb, à 400' 306 "308.. 23 .Ch' d f E oui 332.33050 50 .Ligny.les'Aire.1045"1"Q7~ 60.. "'Hetr mhkenn"111'3 3, ~3 Eut Rsnd.111(10/2'lI:7./2 2

60 :Orléans '938' i 8'7 Madagascar 1897 45 '45 Co 1875 4% remb. 5 0, '363 'l70 45 emln s er s 525 20 'L' (M' d 1) 414 '15 0 c 'GS. G Idf' Id 23 4 "1231'6!

60, ..¡Sant..Fé(C'CFr,Ch,~erProv.).1015 ..[1014 1903-1905. "i ,4720 ¡¡: 18764 %remb, à 500' 369 ..¡ ~9 5:; 30 J¡~7.~ fb~i' 334.. ~4O, 22 SO'M.rles, 500 ..¡5GO.. 6'.h:J~sf~i~ 290 ':i 296 Rsnd M¡nes~r58/1.!2158: 2

!i- 2~i 50': 263 50 892 2 li2 rernb. 400r.. i168 50 174 Midi. J'OUI-S 6oh.ljagersfontein 290 296 Ranci Mines 58,'1.12581;1./2

31 .,¡Métropoliteln de psros, 433. si, 1914. 26150" -6350 «\18922112 2 1 ~2 r. à 400"1 1/:850i 175 51 N d j u ,790.. ,1)0. 50 ~Ostricoùrt .'Vi.6igne .1030 .1,035 IL,' ff l'54" 545 De Seers.¡11.7/Ioll,7/16

50 871 870 0.' 1 0: o', r, ans, je j. .1-175 475- 582 581 BeceS,or- "0 Jagersfontein 3 .3 i 1 3 .114

50 .DIstr, –< 871 870.. Tunis 3:tI892.j 202 202 UJ ,199820° re,mb, à,500 ;200 195.. 24.. S€ ~l 24> 242#50 50 -Tr"" «' l, .s: 190 -.1 190 RIO Tlnto"ï4O..1..¡40,1 2,

60 ,.1 Electricité (C' Générale d ), 1460 ,101460 Crédit Natlonal5"ô 1919" 328 330 ~'1899 2,b Met, r, a 500 195 .98.. 30 E t AI n 1 3)5 137 5O,Algérle- Tun,sl. (Omnium) J490 ..3490.. 16 .b M 'M' f 1 0 33' '33' Mexlcsn Esgle, 1. 18.9, l,

45 1 407 403 .ig. 6, Sq,~ 338 ffl 5Llj1r. 904 2 M, à r ~201 '~02 28 8. ger1c 1- 16 ah. Mexico Mines of el ro. Royal Dut.h 1 31 1,12~ 31 1

~1!S~~ à 500.. _01.202.. 28 75' 0 t AI 315 '331, .¡60leo,perts'1 480..¡48ú 'M 'E 1 0'1 ord 1 95' 1 9~ 25 Royal Dutch.)1 1,2, 31 1,4

70 -1' (- 165 30- Tunisiens 370 de) ord 2045 1 n. 6. 0 uo on etn *5 50 North 5/ -.1.

70 .Dives:1074 ..1104,5.. 6% 1922 décen.. "5375,451 451 .J 1910 2 3/4 Met,r,r"èf>30 '1,163 .165,, 14 'N d S de d Paris 175., 200 ..Mokta,el,Hed'b"¡'4805 .83O.. 15L 'M in (S "7 "22 North Cauc..len. 51.1.:11.

.¡FOrg, B< Aciéries du Nord etE.t,' 280.. 278.. 6'Ó 1922, 498. 377 -> 19103% remb.,¡,'400' 162 ..¡'I64' 16 ":por,' u, e, daErllsc't'r"q'u' 239 ..1237.. ¡ orgd 86.1 l .9 flilu. or _63- 2~' '63 7'5' Russian Oil. 2 Wl 2 ~-1/2.

.jPétroles Premier 186 183 Ate,^ Const t. j.^ont.. 3^0 353 7, £. Fcnc. 885 26O r.SOO ̃ M ..££ 50 T.Ujpbon.». 305 45 ..|Min.'duMidi. ;.••̃̃•• ,|-8ZU .812 9 |Rus6ian Oi! d 48 50j 47 75 l'iï.TT. T. '.[.V.YJ.i 19/325 .9/16

2O..Courrterae. 605"1.605.. 6..0 Ju,n 1923, 382",38050 1 19195.0 rombj¡"'SOO' 335 385 '50 'E (C'G'C), '875..1,880.. 65..Petroles(C mdustrtelle).44.. 74Q.. 'N thC 200i i23* i~ .2JI22.1/2

.Soléo. 497.. 485.. du Nord 6% 3-;3 25! 3-~O '2495Càbl T'I'- ph'q"ueG '365.. 355.. 35 ..IElectro.C.hlmleMetal.¡ 600.. 600.. ',p k' (Caoutchoucs) ') 74501 .1 767')'Marcon'111/16,121/32

40 :Platine "115S1 .))70.. Viii. d'Albert6:n,¡349 25~ 338 'Com 187926010r,500.142J ..1427" 50 24 '1 t, et Gaz du Nord '340 1340 ",50 .Poulenc.680.. 675.. 20 'Ph h't de Comten'ine 1398 1398 Malaçc,a.¡41/10/2,41/3.

1750.Platine,o. deReim.6ib. '1 3825¡,¡ Fonc,18793A,r,è500'14,24, 20 50 .EI, t 'c'"de Paris, 1293"1,2,65, ,LO, Ripolin, JOllIS, s, "i," 2,.b!R' d' t' '8025',81' U.S' ..141/3.

,Financière des Pétroles 283.. Asturienne des Mines 427.434" « Fonc,1883 3,t r, à 500. tWa 19) 40 Térégraphie son FI'I 1 025 ~,L6!9.. 223 10Sole Art,flclelle,63UO ",6350.. 10.b Rand Mines A '07 1 106 Prêt 3, ,3,4, J 1.2,

1 Premier '186 183 Ateliers Corstruct. Jeu F.M~« 188f> 0" r. 500'. 214 ¡ gra 18 ~Usine du :l 124 43J 0 ¡"son eep 107-106 (change) 91 475 91 425

.p<troles prem,or.¡I86 ..1,189.. Atell'ers Construct, Jeumont' 350 353 7~ N\Fonc 1885260 iJ r,500, ~I.f 213," 50 Jeumont 970 ',970 18 .Us,ne du RhÓne.142"f 612 43J.<n l 'R S'l' d P't 67 50", 66 25 s,parts,(chenge),191 47J, 91425

30 .Kulmann. ,4,36.. 43:1.. Eglises dév..t.es. 329 330 1892 260Y~ 500,,203 "2082, 7() Métaux (C'* Française) 1320 irusriari f "s '475 1481 75 R i. 5 19/325 .9/16

32 ..iGaf~a.II,805,i.800 Grosso Métsllurgie 6%133350' 335 Fonc 1895 280%r, 500',¡ 211 21475 225ÓC Srue'e' (5 ,Centrale) ,1357t352 170 .Port du Rosario"55OO '1580J.. 30.. "'T eb.us d~Oenrçeanltee't'd':O"u't"e," 316"¡ 315" Vslpsrai.o" .14) 40'141 90

.ChargeursRéuni. 1~4. 380.. Cail. Fives.Lille6~). 3~7 338.. Fonc. 1903 3~o r, il 50C',¡ 22~" 229 15 ¿:¡A~lo~s.I840. 35 péninsulaire (B). 420.. 475 'ï.h:iT~ 356 ..1348 Argent (métel)(comptsnt). 31.9i 16 31.9j'16

.Msssageriw Maritimes ord. î9 || •• Nord. P.s-d.-Caïa.s 1922. 3>i 3Û| J60 1 Corn. 906 3,0 r..a 000 /ii iii « p. Nord Espa8n. 1955. 39 38;Transports M.ntiiDM. 860 ..1860 R<j. Sosnowic8 175..[170. NEWYORK *5map8

16" [157' '330' z r"" 127 Z2 or. 39 38' =< 860 V' ransvsa et ons 1 en 175 170

-,7 5jJITra'n.tle!"tique ord, 7 5Industriels Aiseciens 1922 "l, ..l 325 0 Fono, P'SaregosÓ,e,i 2S5 ..i ,Transports Ms"t,mes. U\IV ITubeS et F.<Je Sosnowice. i75 170 25 mars

»̃• Raffinerie- *=>ucrorio .733 73~ |ndo-Chin8 1899-19OS iO5 2l3 u. 70 'indo-Chmoiae d Electricité. |«(W iUU ̃̃ 150 :;j~c.~ '24500 12400 ium.PMro)es 399 401 Canadien Pacific 143 I/2H3 3, 4

22.. Air liquide, ,,3?8..¡ 395.. Mines da Le¡: 6?0 1922.1 371, ,,373 Õ' 191'3 5 300~. 324.: 327,; 75 85:p," "dt>sPhilips1'ne¡;¡3330 .328D.. 150 11i 1 Il 4 D.IUt.h,Copper. 1685 ..1166Í.. Caa Money, c, m. '.31,'2 3112'

22 Caoutchoucs ')', rhn. 750 ..740 Sa.nt-Gobain, Chauny. 469 73, 473 < Empr. )g)75''2r.&3p0~. 40, Vichy (Etab'.thorma.). ~5 ~~nd-Wtt~ 2~69 ..3!M VermincK .v. ju ehang. eur Paris, vue. 24..5 25.

̃M STn'^uroptnnT:. '°?* 1 73 i: IIU 1902 !85 m Est 6% m 50 324 40 ..|Pyr*n,.nn. d'Energie Etoetr-.j 645 649 112755' n de 3%0 ^y.. £v2%Z™Su™ °. 28950.. 28850.. Ch.sepeak. & Ohio 92 1,8 93 34

40" Psthé-Cinéms (JOUIS:)" 319 ..1317 Aigerte 3,° 1902.1 3,tO "i 25) 0' Empr, 19216;2r.1>500'1 3~7. 344 93 32"ForcOO Motiic)"du Rhône (pet 0 ..14850.. 20 "GrSnd':Moull~s,de Carboil ord,¡199 ..1, '1 COMPTANT U, 8: Liberty 3112%11018,116¡1011312

55 SS T~ 1567 ~:J Electrique ~=: ~S.0 34'.

Rizeries d'Extrême-Orient .105 1,580.. 6/0 1921.1 205 3ÓÜ.. ¡Com, 19226. t. p. 3~0 "I¡ 3,,0.. 37 50 Havraise d'Energie E, lectrique" (3) ..1 630.. 60 Sucreries Bres".lenne'I!:80 "1.07-8. 64 .,Brosse (Le) .à4û 840 Atchison Baltimore Topeks. 117 1 4118 li2 a

50.. Union Européenne 1173 ..1'1180.. ~r 6,o" 328 501 5. 40 ,,¡PY,rén.e,nne, d'Eri"ergie, Ele,ctr..¡ 645 ..1649" 150 l, ,,1.3%0 ~0:50:: 143 3:;4

*J Umon Européenne Tunis 3% 1902-1907 ,204 50j 203 A% 240 ̃• 248.- 15 ..(Radio-Electr.que. 205.. du Boulonnais | ̃-• -i ̃ 5 sh. Ishell. 402 50) 397 50 Chicago Milwaukee C .578.6.

Russe Consolidé il*& 2' séries. 1515 1.5 10 3q" ancienne 237..1236 .¡Redio.France '370.. 120" = du,Soulon~a's'Iz3¡Ó "~4}5 5 5m.IShell. 40250139750 Chicsgo Milwaukee C. ,57:6 .6

-39~ i-j-i"*9e«*ria« 35 15 Î5 10 Ar ~!14 50' 3% ancienne. 237 236 Radio-France jin nn 120.. do l'Indochine i23(O ..242> m I. Steaua Rorriana 351 ..i 351 Chicago Rock loland. 441,4453,4.

̃RUS"^IÎ891 1894 ̃̃- .'̃'̃ 0 50 0 40 Angleterro 2l/2% 214 50 21,2% 2u4 50 8 .Radio-Marit.ma | 250 2^0 .Po|iet el chausson.- 1355 ..1360 400.. Monaco 6100 .6135 Ene Railroad 28 5,8 30 •• ̃• f 4- iss'ê 9 65 -9 60 Argentin 5% 19O7 585 ..̃••̃ Lyon 3% 1855 •• 22Î ..| ^4 .J6 2i Union dElectricté. .-j *HJ 68 44| Bon Marché 890 .889 7. Tuileries de l'Aisne (priv.) 70 ..| Illinois Centra! 2 2 I 2

3A1896. ? <" s% 1QO9 535..1540.. 6% Bons déc. r. à 5OO' 442 448 150 -Alsacienne Industrielle Textile, tiiti .•̃••••.•̃ I 70 New-York Central 115 4.8116 5/8-

••••Sii :•: 2 50 z ^ol" | «9". -.hh%r?.i: &»h»; 150 AfaT<Ett^nt^-Mou"27?-- 2^ ^KYfS.™ ::$4 ^?:rv: ihu.ïï h ^^c£PB; =: vutâm

Serbie 4~'t) amortissable 189-5- Il 15 Il B SelgrQue 1873'ï 53;0 ,5325 5%1272 1-43 273., 15 .Aciéries de Forges de Firminy,! 244 ,.1 67 50 Agence Occidentale (C'').¡20?5 .2C~5 Ponsylvania, 4S 1:145 1:4 1.2

Turc 5%1914 Unifié 572) 57.. 5,) Fund,ng, 318.. 3>0 Fusion anc. 220..¡ _2375 30..1 de Mlcheville. 512..1515.. 203 64!Air L,qu,d.(p.rts)'8000 .}6fJO.. Southern PaClflC. 100 5,8100 ~:4

2 50 f9c~r~b~ 309:: -i.~r. ~.50 2~ «il 4iGO ..I4l24 N.York :3. ?9.'ÏA~~C~r: 7.;4~76

Banque de Lon,drese,tMexico.. 213..12)2.. 8U!gSrie,5, 'i 1~96" 279, Midi 6~nsdefenn.ux 6~q"'H'1 305 SOi 44,?" 25 Atoi. (Etsb'is,~ement')"1 563 "271.. 200 ..1Chep,al(Etsblissements).¡410> '141~4.. New.YOrk" n 13.' '191,1 An,aéond,a,copper "1371(413711.8

1 Nstlona!e du'Mexlque. 517., 5,2.. 41.2,01907. 207. 6,,), 305 ..¡31. 75 2) ..¡Ate" & Chsntlers de la France. 563 701. 60 .C,ragesFrs"ça,s"2'0 .9)6 A,g..tine .1. Ray Copper, 20 IIi21

L. 1. 4',Crédit Foncier Egypt,.n.¡2~74 ..12~95.. 5 n 1~03.14!5 ',1411 Nord 6",1," s~rte 32~3 320 ~O "1 de St-Naz."e.-¡ 600 ..1590.. 20 La -1garo 273 ..1.7~ Dsnemsrk. Ame"can Téléphone 133 1,4¡133 318 8

10 Congo aux Grands Laos ,586 ..1.:>87.. 41, 2. 1908.13)9 5 série E.i27~ 2-1~g 7j ..¡Chatillon-Commentry. ,1450 .1441 5.50 e..esu & C 6~0 65, Espagne 2,2 25, .72 American Car & F. 201 '1203 1,

L. 1.!Nitrate Ra.ilways. ;993..1,985.. Egypte Un.ifi~ ~?7 ~'i}°3" 4~.série D, 2% 294.. 45 .comme,ntry-Fourchemb>iuit"'I,8Q2 ..1,1:156.H~pur(Etab~i'&emonts)"f'170 ,,1 180.. F'r;lande, British American Tobecco. 275,'8, 271\2

L. 1. Centrsl Mining.¡1260 1271 Espsgne extérieure, 241 ..1 2112';u, serie C'1221. "1:224, .Dyle B< Beçslan. priv.¡ Z4 '.1 9850 55,¡aec Auer. 11320 .930.. Hollende:7Ó3 50176250 eeneral Electric.265 .1,2671:4

2Okr,¡Azote (Norvégienme). 1000 ,,¡'992 Italie 31é~,u"I'' 63.:1 627 75 Oriéans Bons décennaux 6'~o.. 435 5044~j() Eloctro-Câble (ordlnolres). ,441 ,446.. 30.. Maroc (C Générale du) 330.. 330.. Norvège 300 298 50 u~ S, Steel com, mon" 117 ",6!1J8 7(6

L.M.0 Sucrer" et Raffinerie d'Esypte. 1107 Il 5 Portugal 3% « 251,285, m m 20 Forges a, Fonde"" Montataire. 450 460 2.3.11 Suc. Raf. d'Egypte (parts) 12306 .280 Suisse. 369 25 368.. Shell"1 j 3') 5ie

L,1.4,O:Sucrer" et Raffineried'Egypte, 1107.1115.. p or t3 jgel 1" 6S..¡ 30 .Méditerrené.(For'&Chant.>,1 1 465 460.. 3Of:b.¡Rouins (Algérie), 660.; 670.. 8Ùède. ài! SI5 50 titres-

.Tab^Oltoman^ 415 »| 415 Taba« du P»^ ^53 ̃;9 5JOurt2 1/2% ::l I9O:: ISO.- luO..MrtlitldtCh.d.f«-(C''FrJ.!IOW .X,f.^TabeSàeaPMiP.(S>arU) law.»* ..V..nn«a0Ofh.ll.ng«> I .I •• l

ObI, Ch, de fer Ruue 4112%985 10.. RU~6io 4% 1867-1869. ,955 .955 i.i2% 190 190 100.. matériel de Ch, de fer (C"Fr.). 1 IQ10 56¡¡¡.2's'Tabac des Philip, (¡¡oarb),IZ03O .~2049 Vienne <100.hillinr;o),

jour la Bourse se réveillera, elle ne manquera pas de faire entrer en ligne de compte les réserves et le potentiel de rendement d'une entreprise plutôt que son dividende. lît les cours actuels de la Banque de Paris paraitront singulièrement dépréciés. Union Européenne, 1.180.

Le Su.cz regagne 200 francs à 9.180 en raison des conclusions du ministère public dans le procès intenté par certains obligataires du Suez à leur Compagnie et dont vuiei un court extrait

« Nous n'avons pas à examiner, conclut le substitut, si la loi du cours forcé s'oppose ou non au paiement en franc-or puisque ce ne sont pas dès francs-or qui sont dus, niais des francs sans autre précision. » Comment, me dira-t-on, pouvez-vous dans ce débat, soutenant les prétentions d'une Compagnie étrangère contre des porteurs français d'obligations, défendre une thèse qui va à rencontre des intérêts de la France ? ?.

Voici ma réponse Ce qui fait la richesse d'un pays, ce n'est pïs tant le vulume de son encaisse métallique que la siireté de son crédit, sa loyauté, sa probité, l'esprit de justice et d'impartialité de ses juges. Le droit ne s'interprète pas différemment selon que les Français sont créahçiecs ou débiteurs. Mes conclusions s'inspiifent uniquement de cet esprit, pour qu'on ne'jl|s.e pas demain « La France ne veut recevoir qu'en or les paiements de ses débiteurs, mais elle ne veut payer ses dettes qu'en papier. »

̃ Le tribunal rendra son jugement à "huitaine. ̃̃

Le groupe électrique est calme. Ilavraîsc d'Energie Electrique, 636. Le droit de souscription est demandé à 69 ir. 50 part Jeibviont, 1.400 contre 1.321.-

Mines métalliques irrégulières vive reprise du Rio à 3.751 contre 3.680, sur l'annonce de la distribution d'un dividende final de -i-0 shillings, soit 2 livres 112 pour l'année contre 35 shillings pour l'exercice précédent, litah Copper, 1.661 Pen-a-rroya, 1.570. Les métaux étaient plus soutenus à Londres.

Phosphates, produits chimiques et nitralières hésitants.

Fermeté des sucrières Say, 1.580. Su-

creries (V Egypte, 1.113.

Lourdeur des pétro-lifères en, sympathie avec la tenue de Wall Street d'hier Royal1 Dutch, 28.850 Shell, 396. On remarque la fermeté de Malopotsha- à 202.

Pétrole-Trust, l-i-3.

Sud-Africaines et Caoutchoutières, fer-

mes.

Au comptant, Gaveau s'avance à 657 VAulodrome à 132.

Le Secteur Place Clichy gagne 65 francs à 2.340 l'Industrie Linière, 135 à 1.1-15 CHU. 79 à 2.180 Alsacienne de Constructions, 50 à 2.525 Béthune, 68 à 3.498 Ripolin, 91- à 3; 184 Soie d'Iziem:. 90 à 2.280 ̃Distilleries de l'Indochine, 65 à 3.320 Ciments de l'Indochine, 115 à 2.425 part Põliet et Chausson, 6.400 La Brosse. 840. Le Port du Rosario passe de 5.500 à 5.800,

D'autre part, il y a lieu d'espérer que la mise en application du plan Davves apportera, maigre les sacrifices qu'il nous impose, In. solution de* problème des réparations, qui pèse toujours1 "Sf" lourdement-sur nos Finances publiques, eLcrée,v= ra .une atmosphère plus favorable au dévelopjsçs-v ment dès rapports internationaux. Les circonstances exceptionnelles que nous traversons font à toutes les collectivités un de- ̃voir: de mettre au service de l'intérêt -général les moyens d'action d°nt ;elles. disposent ..chaque fois que l'occasion peut s'-eh présenter et qu'il y est fait appel. Nous n'y avons pas manqué' `II en ce qui nous concerne, depuis l'armistice et plue partiÊulièfeTnent ces dernières années,; nous conformant en cela aux traditions suivies de- puis l'origine de la- banque. Qu'il s'agisse d'em- pêcher ie retour d'une action offensive contre le franc, de dégager le marché. de nos fonds na- tionaux à la veille d'un nouvel emprunt ou de participer la propagande en faveur d'une émis- sion au succès de laquelle était liée l'améliora- tion de la trésorerie de l'Etat, nous avons toujours répondu avec empressement ,-i l'appel des pouvoirs publics de la Banque de France: A plusieurs reprises: nous nous sommes ainsi trouses en mesure" de jouer un rôle dont nous aupns( le droit d'èlre- légitimement fiers, certains- S'a-f vance de votre plus entière approbation et '-fpnsS nue notre intervention ait dérogé aux habitudes», de prudence qui sont de' règle' dans votre établissement.

Le développement de l'activité économique de la France s'est heureusement accentué pendant t'année 1024. Dans presque tous les domaines ̃mines, métallurgie, textile, industrie chimique, les statistiques accusent une-production en 'augmentation sensible sur les chiffres des années précédentes. Le mouvement des transports par voie de terre ou d'eau enregistre les résultats parallèles et, pour la seconde fois depuis 1875. notre balance du commerce se solde par un excédent des exportations sur nos importations.

¡ 0\>itg,Ch,ferEta\4;1912,14" ,1228.. se ~te-Fé 5% 1910. 15.915.. 45"1 du Brésil ri! 5 (j2O 50 .Anzin. 1145 .'l 135 6 b 9C' ord 254 i 24 75 17, 17".

1 Afri~ueOccid.Fr8nç,3% 23~ ..12.j() OBDGATtONS 45 ..ISoc, G" Alsacienne de E;lsnq~e"I' 560.. 552.. 22,5OICervin nouv"¡2<b ",1004.. 1 b:¡Fr.nco.oem~d: 326 ::1' 323 Rusee 1906. ,,81\2 )7)/4

0' '378 5i)' 377 '0' '30" 164 1 161 1.5 48 Magasins Généraux de 105 IL' S.. d DL' '865 oum Ique de l'A ~01 1 0, 2 911"'2 1/2

tandis que ses obligations sont offertes, comme celles du. Suez, et pur ricochet, en raison des conclusions dans le procès dont nous parlons plus haut. Le cas des obligataires du Port de Rosario est cependant très différent de celui du Suez.

Chaussures Dressoir, 890. La Société annonce la distribution d'un acompte de 10 fr. sur le dividende de Tcxcrcice en cours. MARCHES^oiiËRGIAUX Métaux précieux. Paris. 25 mars. Cours d'achat au kil. Or 12.G5Û (13.750). Argent 395 (405) Platine 71.000 (72.000);

Métaux bruts, Londres, 2i mars. Par tonne de "1.016 kii: Cukre-: comptant, £62.8.9 a .trois mois, £ 63.1-1.3 électro, £ 67.10, a "68. li'lcFii comptant, i; 245.2.6 à 3 mois, £ 248.?.lSf Plomb comptant £ 36.10 éloigné, £ 35 aiy glais, £ 38. ̃ 7Anc comptant, 35.15. ^éloigné, £ 31.10. Mercure £ 14 à lî. 5. par bouteille. Blés. Paris. mars Base de liquidation, 131,75 courant, 127.50 P avril, 129,50 à 129,75 mai-juin, 130 P de mai. 126 P.

̃Marche" libre. Ton très calme. On cote aux 100 kil. départ BeaUce, 132 Loiret. 133 Loir-et-Cher, 134 Touraine, Indre, 135/136 Menue, 135 Allier. 137'138 Cher. 136 Nièvre; 136/137 Vendée, 135 Anjou, 134 Loire-Inféj'ieure, 132 Oise, 124/127 Somme. 133/124- Aisne. 124/127 Nord, 123/124 Pas-de-Calais, 123/124- Aube, Marne, 130 Yonne, 131. ° .\ew-York, 24 mars. Blés roux d'hiver dur, disp. 170 3/4 cents par bushel.

Chicago, 24 mars. Mai, 165 3/8 juillet, 195 3/8; septembre, 13i 1/4 cents par bushel.

Avoines. Paris, 25 mars. Noires. Cour:, 00,75 P avril, 93 P mai-juin, 94 P 4 de mai, 90,25 P. Diverses. Cour., 88 N avril, 89,75 N mai-juin, 88 N de mai, 86 N.

Marche libre grises de Beauce, Eure, Brie, 9001 grises d'hiver, 90-91 noires du Centre, 9091,'5O noires et grises de Bretagne, 90-01 bigarrées. 86-88 jaunes et blanches, 86-87 Ligowo, 89,50-90,50.

Chicago, 24 mars. Mai, 44 1/2 juillet, 46 3/8 septembre, 46 3/4 cents' par bushel.

Seigles. Paris. 25 mars. Cour., 114 NT avril, 11 ï N mai-juin. 113,50 N 4 de mai, 105 N. Marche libre 106.

Orges. Paris. 25 "mars. Maiv.litf libre Beauce, 110 ••Sai-lhe-Mayenn.i', 108 Champagne, 101; Berri, 110. :,Gàtinais. 111.

Maïs..Paris, 25 mars. Marché libre. Disp. Dimkercfùe., 100 Bordeaux, 101.

Chicago: 2-1 mars. Disp., incoté mai, 110.3/SÏ; juillet, 113 3/4 septembre, îli een'is par hushel. Sarrasins. Paris, 25 mars. Marche libre normands, 93 bretons, 92 limousins. 9-i. Farines. Paris. 25 mars. Cour., 167 N avril, 165 N .mai-juin, 168 N 4 de mai, 168 N. Farines de consommation, 175.

iMarché libre supérieures, 160 à 165. Sucres. Paris, 25 mars. Cour.. 201.50 à 202 P avril. 201 P mai. 207 P 3 d'avril, 206,50 P 3 de mai, 209 et 200.50 P 3 de juin, 212 P- 3 d'octobre, 212.50 P 3 de novomb-e. 212 P. Cote officielle (courtiers assermentés),' 201,50 à 202. New-York, 24 mars. Cour.; incoté mai, 302 juillet, 317 septembre. 332 décembre, 338 cents. Centrifuge 96° droit payé Cuba, 471 cents par lb. Calés. Le Hav,/e, 25 mars. 50 kilogs. Cour., 480.50 avril, 172,25 mai, 458,25 juin, 452,75

Cette fictivilé s'est Iraduite par d'intéressantes plus-values fiscales qui se sont encore accrues à Fj,§»|iuite de l'établissement de nouvelles taxe.s au ;titots de mars 192! L'équilibre de. nos financés .publiques, s'en est trouvé grandement facilité et ««a-ns doutg pouvons-nous espérer une améliora- tion continue du prûduit des impôts, à condi- tion quelle juste mesure ne soit pas dépa.ssee .dans' la lîxation des taux qui ne sauraient- être excessifs sans décourager l'épargne et nuire ain- si à leur, rendement.

Dp telles constatations eu.nslitue.nt autant.- de:- s.vmptomes favorables qui nous permettent d'en. visager l'avenir'. avec confiance, en dépit des éif– flctiltés -inévitables que comporte tout pfjprt de redfes'sement financier ̃̃ Comme les années précédentes, votre banque' n'a rien négligé pour donner à sa clientèle iii-: dustrjelle et, commerciale toutes les facilités qu'il était en son pouvoir de lui procurer. Le, développement des opérations de crédit, -:t d'esconiple est à cet égard particulièrement significatif. Il vous suffira de relever parmi les chiffres du .bi- lan, les postes des comptes courants débiteurs ̃et1 créditeurs "et de 'les -comparer à. ceux des pré-côdents exercices- pour, mesurer. las progrès réaïftiès dans ce seul, compartiment dont rimpor||5ï|e ne cesse de. croître chaque année. ptiXi ce qui concerne les affaires financières, la "simple émmiératiorr des opérations auxquelles nous avons participe marque l'étendue des con- cours que nous avons été amenés à donner. Nous mentionnerons en premier lieu le placement, des Bons du Trésor 5 0/0 :192i, eu le nemlire des souscriptions îw-ueiilif-s a- permis ù. votre Etablissement de maintenir le rang auquel il s'était classé lors des précédentes opérations de même ordre.

Nous avons également prêté nos guichets, aux émissions du Crédit National, du Gouvernement de l'Afrique Occidentale Française et du Gouvernentent de l'Afrique Equatorialc Française, au placement des Bons décennaux 6 0/0 de la Ville

juillet, 443,50 août, 436,75 septembre, 427

octobre. i21-,50 • novembre, 416^50 déceirib.re, 1

410'; janvier, 401 février, incoté. Ventes, 4.000 I sacs ̃ ̃ New-York. 2-i.mars. Uisp.. 21-1/8 mars, 20,30 juillet, 18.20 octobre, 17,10 décembre, 16,63 par lb.

Cotons. Le Havre. 25 mars. 50 kilogs. Cour., 623 avril, 624 mai, 633 juin, 610 juillet, 64! août, 646 septembre, 61-8 octobre-novembre, 637 décembre-février, 636. Ventes, 3.550 balles. Liverpool, 25 mars. En pence par lb. Américains. Cour.. 1.375 avril, 1.370 juillet, 1.380 octobre. 1.352 décembre, 1.3J0.

New-York, 24 mars. Disp., 25,50 mars, 2o,17 mai. 25,30 à 25,34 juillet; 25.57 à 25,60 octobre, 24,90 décembre, 2-4,73, par lb.

Laines. Le Havre, 25 mars. 100 kilogs. Cour., 1.550 avril, 1.530 mai, 1.520 juin, 1.510 juillet-septembre, 1.500. Reste incôté.

Huiles de Un. Paris, 25 mars. Cour, 470 N avril-juin, ;'46O V 4 de mai, 460 V. j Huiles de colza. Paris, 25 mars. Cour., 470 N avril, 475 N mai-juin, 470 N 4 de mai, 470V. Alcools libres. Paris, 25 mars. Cour., 540 A avril, 545 à 560 mai-juin, 550 à 570 juillet- août. 560 à 580.

Caoutchoucs. Paris, 25 mars. Cour., 17,60 A; avril, 17,55 A mai, 17,80 P août, 17,40 a 17,85 3 d'octobre, 17.40 P novembre, 17,40 V.

lia Vie Sportive COURSESJMIUTEUIL Aujourd'hui, à 2 heures,.courses à Auteuil. Gagnants du Figaro

̃̃-Prix Twco Ormy, Income Ta.x.

P'rij; Canard Maître Gautier. Cresne.

Prix Kerym Emailleur, Périclès.

Prix de Billancourt Crindal, Le Vallon. Prix du Chine-Capitaine Varaville, Paillasse. Pi-fa* de la Gibauderie -Réséda- V, Uruguay II. ̃cofjrs^âîTtbêmblay- Dark Diamond fait une rentrée magistrale dans le Prix Bend Or Il est regrettable que le temps n'ait pas consenti à être tout à fait à la hauteur des circonstances, car la Société de Sport, de France nous offra.it,-Viier,avec-le prix Bend •Or, une al tract ion 'sensationnelle..Deux des poulains les plus en vue de l'année, Dark Diamond et Redoutable, faisaient simultanément leur rentrée, et, si Redoutable avait pour lui le fait acquis, ayant battu son rival dans leur unique rencontre lors de leur commun début, Dark Diamond se réclamait de l'im pression extrêmement favorable de ses victoires subséquentes, et aussi, faut bien le dire,.de sa merveilleuse apparence, qui en fait un des plus jolis chevaux qu'on puisse voir. Complétaient le champ la sérieuse Aquatinte, Saint. Patrick et Bethléem, récents gagnants, et Fair Heller, compagne d'écurie de- Dark Diamond. On le voit, la société était restreinte, mais de choix, et la curiosité était vive. Hàtons-nous d'ajou-

de Paris et des Emprunts 6 1/2 0/0 de la Me de Paris et du Département de la Semé. Nous vous avions indique, dans notre précèdent Rapport; qu'à Sa demande des Pouvoirs publics un Groupement national s était constitué en vue de recueillir, les apports de concessions ̃pétrolifêres suscéptibfésrde --revenir à: làl'i'ance, à la' suite de conventions diplomatiques. ^Ce groupement qui comprend, outre les producteurs et raffineiii-s français de pétrole, un certain nombre d'Etablissements de !a p'.ace, s'est translor-îrné en Société- qui a pris le nom de Compagnie Française des Pétroles, à la création de laquelle nous avons ainsi participe.

Parmi les autres affaires industrielles à la rea- "̃Jjsatiçn. ides^Ues, nous -avons -s c(pnco«rjji:v»qii,s dêvôtfe éftèr: '̃i- •̃1'A

TronaDûrls et industries annexe:? piacem-ems

Tr~J(s et i, e ons &n, r ereirT~ Cbmpl~'

d'om^imW^f^W^1^

«nies de Chemins de fer français, de la Coftipar

g nie Générale TransaUantiqve et du Chemin de

ter électrique souterrain Nord-Sud de Paris. augmentation, de capital de la Société Parisienne pour l'Industrie des Chemins de fer et Tramways ïîleetriqite&. Industrie métallurgique Emprunt de la Compagnie des Forges et Aciéries delà Marine et dliomécourt. ` .Industrie chimique Augmentations de capital des Etablissements Kuhlmann, des Etablissements Poulenc, cl de la» CompaQrité.des Produits Chimiques ,et Electro-métallurgiques i d'Aliiis, Frogcs et Camargue..

Eaux. Gfi'z,- Electricité Travaux urbains Augmentations de capital de la Compagnie des Eaux de la Banlieue de Paris, de la Compagnie d'Electricité de l'Ouest Parisien (Ouest-Lumière), ide la Société.. Electricité et Gûz du- Nord, de la ̃fidçiëté'- d'Eclairage, Chauffage et Force Motrice. Emprunte de VlJnion ^Electricité, de la Compagnie- Parisienne de .Distribution d'Electriciiti et de la Régie Immobilière de la Ville de Paris. Eli ce qui concerne tes opérations' diverses, nous signalerons spécialement l'augmentation de capital de la Société Saint Frères, réalisée par

ter qu'au point, de vue du sport, la course a tenu toutes .ses promesses. FaiT Heller a judicieusement. assuré un train soutenu et, a l'entrée de la ligne droite, a, non. moins judicieusement, cédé sa place à la corde à son grand camarade. Ferré immédiatement détachait celui-ci, qui, en quelques foulées aussi puissantes que souples, se mettait hors d'atteinte. Redoutable esquissait l'attaque prévue, mais, -outre qu'il était visiblement moins avancé de condition, il n'a certainement pas tout à fait la classe de Dark Diamon'd, et •cette attaque était dès son principe vouée à l'insuccès. Le favori gagnait. en dedans de son action. C'est sans nul doute un cheval. D'un tempérament froid, nous le verrons avec le travail accuser encore d'importants progrès. Tenons-le, d'ores et déjà, pour un candidat autorisé aux plus hautes destinées.

Prix Martagon. réclamer,' 5.000 francs, 2.3UO mètres). 1. "Viettc, à M'. E.-J. Walker \G. Vatard) 2. Le Del.Iys, à M. Louis Alric (A. Rabin-) (2 longueurs 1/2, -"J longueur 1/2).

Non placés Molirange, Miarka.

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 19 francs. Placés ̃Vie'tte, 12 francs Le Dellys, 15 francs. Prix Kendal (6.000 francs, 2.000 mètres). 1. Gaudissart, à M. Dikran- Kelekian jR. Dubus) 2. Winner, à Mme L. Doucet (E. Mire) 3. Bricoleur, à M. Alexis Deleau (J. Thomas) (Courte encolure, 2 longueurs).

Non placés Exalté, Don Celestino, Basoche, Carpette, Sabinette, Nougat, Le Veilleur. Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 34 fr. 50. Placés Gaudissart, 15 fr. 50 Winner, 16 francs; Bricoleur, 19 fr. 50.

Prix Rouge-Rose (7.000 francs, 1.600 mètres). 1. Hétaïre, à M. Ernest. Ballero (H. Semblat) 2. Take a Pull, à M. James Hennessy (M. Cor̃dior) (2 longueurs 1/2).

Non placés Clysilim, Mlle Fidèle, L'Ardente. Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 22 francs. Placés Hétaïre, 14 francs Take à Pull, 17 fr. Prix Bend Or (20.000 francs, 2.150 mètres). 1.. Dark Diamond, au baron Baeyens (R. Ferré) 2. Redoutable, à M. Edward Esmond (G. Garner) (3 longueurs 1/2). <•

Non placés Bethléem, Fair Ileller, Saint-Patrick, Aquatinte IL

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, Ecurie Baeyens, 15 francs. Placés Dark Diamond, 11 ir. 50 Redoutable, 18 francs.

Prix Escarboucle (handicap, 6.000 francs, 2.000 mètres). 1. Saint Domingue, à M. Louis Gauquelirr (A. Ogfiz) 2. Pçrfurap, à. M.. S.AV..Béer (E Gnrdner) 3. Lowe, à M. E.-J. Walker (R. Ros-

si«nol)-(3 longueurs. 1 longueur 1/2).

Non placés.: Ronde Champêtre, Dominateur, Tlie Osprey, Marquesita, Queen of Queens, Saint

Ayit.

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 41 fr. 50. Placés Saint Domingue, 19 francs Perfume, 2-i.fr. 50 Lowe, 47 francs.

Prix Dohcaster (7.000 francs, 1.600 mètres). 1. Sous Bois à M. H. de. Rothschild .(M Mac Gee) ̃ Houlfate, au duc Decazes (J. Winkfield) 3. Bostocl<; àM. Albert Weill (C. Hobbs) il lon-

gueur, 1 longueur 1 /2)

Non placés Ôld Uko, Marco II, Panurge, Gaidar, Ecusson.

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 53 fr. o0. Placés Sous Bois, 18 francs Houlgate, 14 fr. Bostoc-k. 13 fr. 50.

voie de souscription publique, ainsi que celle, de ^Société pour le Commerce avec la tance et es Pays d'Outremer (anciennement Fould et Ut). du Bon Marché, des Grands Magasins Au Pnntemps et de l'Agence tlavas, r-mnne Enfin nous avons coopéré, avec un Gioupe anglais spécialiste- des questions d'assurçnçe^ crédit et la Compagnie l'Urbaine, a. la.conbtitumti-teYUrba-aJ-Chdit, Société ayant pour objet d'assurer les industriels et commerçants- contre- les rsques d'insolvabilité de leur clientèle. Nous avons continué .de prêter une attention toute particulière aux affaires coloniales, «aisis- sant cliaque occasion qui. nous était ofte te de contribuer à la mise en valeur ou. au developpe-ment. économique. 4çs poasesyons françaises d'ou&emer. ""• ,"• ̃ •: ̃ ̃- '"̃ C'-esV ainsi que nous àv'ûiis 'donne Jptre cpn"côùrs aux aiigm"eflratiofls"(>le'c'ap1tardfr la Banque' Française de VAlrique, dU Crédit torider Colonial et de Banque, de la Société Commerciale de l'Ouest Africain- et de ia Société Indochinoise Forestière et des Allumettes, ninsi ou'aux Emprunts de la Compagnie Franco-bspaqnolc da Chemin de (er de Tanger à Fez, du Chemin de fer Franco-Ethiopien de Diibouli a idais-Abcba et de V Energie Electrique du Maroc. ,Nos différentes Succursales ont poursuivi leur progression normale au cours de l'année 193 et nous avons lieu d'être satisfaits des résultats obtenus qui se chiffrent par un total de Fr. 8 mUlions 709.302,35, un peu supérieur à celui du précédent, exercice.

I e développement, .de l'activité de la Banque qui" a entraîné une nouvelle augmentation de nos effectifs, et d'autre part la. hausse générale des prix ont occasionné une majoration assez sensible de nos frais généraux.

Nous nous sommes efforcés, dans- toute ra mesure possible, de tenir compte de l'élévation du coût de la vie dans le calcul des traitements de notre personnel, au travail et au dévouement duquel nous sommes heureux de pouvoir rendre hommage. Ainsi que nous vous lavons indique en tête

RUGBY

Paris contre Londres Le match Paris-Londres, qui se disputera dimanche prochain au Stade Olympique de Colombes, s'annonce d'autant plus intéressant, que l'équipe de Paris comprendra les meilleurs joueurs des clubs parisiens qu'il soit possible de réunir à l'heure présente Cet heureux résultat est dû à la suppression du match Racing-Club de FranceStade Toulousain, qui devait, précéder la partie franco-anglaise. Il a donc été possible de disposer des radngmen, et c'est heureux, étant donné la fonce véritablement- extraordinaire que Londres a mise sur pied, L'équipe de Paris sera la sui. vante

̃Pcmr \rriere Dubic \P. L C.) troisquuiV Bessoa (C. A. S G:), de Labordena -H. C. K. lierait! (R. C.. F. Hpudet (S. K demis Baàvr s. F.), du Manon- (R C. t.) avants première ligne Penkala (C. 0. B.), Gonnet (R. C. F.), Hutin (C. A. S. G.) ou Limonmer (OU deuxième ligne Herzovitch (ta. F.), l.evassrm- ,S. F.) troisième ligne Gérintes [r S G. Piquiral (R. C. F.), Oman (R. CF.). Rcmpiarants Drapé (0. P..), Lousteau (G. A.

C '\Iairoux (C <\ S. G., Verger (S. r.),

GinesliuVT C. Y.),' Maugai» (OU) Thiercelin (S. F.), Crassac (S. Bobo (01.).

Sauf Jauréguv, qui a lui-même, en excellent sportif qu'il est, demandé à ne pas être sélectionné, n'étant pas en forme par suite d'un « .-gnon » récent, il était impossible de mettre en ligne un quinze qui fut supérieur à celui choisi. Dubic s est en maintes occasions signalé comme un arrière de grande classe. Aux ailes de la liene de trois-quarts Besson, un ailier qui a fait faute récemment dans l'équipe de F» lance, et Houdel, qui au b. I*. fut très en évidence. Au centre, de Laborderie et Gérald un choix excellent. En demis, du Manoir l'international que les Anglais ont déclaré être le meilleur qui ai opère sur un champ de rugby anglais, cette saison et Bader, qui s'est signale au S. K Le paquet des avants est formé de huit gars solides, énergiques, connaissant bien toute la tactique et aussi les ficelles. de leur jeu spécia.l. Ils doivent s'opposer fort bien aux de Londres,

Il est à souhaiter que la recette soit belle, ̃car ie comité de Paris de la K i- R- n'est rias riche. et les bénéfices du match sont destinés à aider les petits clubs parisiens dans Aménagement de leurs terrains la location est ouverte, de 9 heures à 7 heures samedi y compris, à la Société Généraîè, 5 rue Edouard-VII. Paul Champ. Les demi-finales du Championnat de France. Le bureau de la F- i. R-, appliquant le règlement voté par le congrès de Bavônne disant que les' deux demi- finales du Championnat de France (division excellence) devraient se jouer sur le terrain dun comité neutre, a décidé que la demi-finale opposant le Stade '1 oulousain et l'A. S Carcassonnaise aurait lieu Je 5 avril à Bordeaux

̃mini– «

de ce RapDort. le- Compte de Profits et Pertes se

traduit par un solde créditeur de H;. Sb.oiO.b*

Nous vous proposons de le repdi- N

tir de la manière suivante _1

Il v a lieu de prélever cl «do. a

1>A.:??Z. FflWff^.

BoiL. Fi- 1.836.771,18

Le 'dividende de Fr. 73 paractionsurles 400.000

actions constituant le

capital' social ^j^

liera 30.000.006

auxquels-.V faut ajouter 2.223.322,22

représentant, la part, de

10 0/0 revenant au Con-

sell d'Administration,

conformément à l'ar- ̃ •̃̃. tieie M des Statuts. -ly.^

Api-fiï'.ce's-divej's-pre- /̃̃>'>??•̃̃

lèyements auxquels nous "> .*̃̃ vous demandons de .•:• joindre une provision de 36.058.999,70 pour constructions nouvelles, il res- tera une somme de o/o.a*«M* que nous vous proposons de reporter

a nouveau, en addition à celle de £4.289.883,03 montant des reports antérieurs.

Le solde, à reporter à nouveau au

crédit du Compte de Profits et Pertes, sera donc de ̃̃h,9G6.U.,W

Aucun changement n'est, intervenu au cours de l'année 1921 dans le Personnel de la Direction du

Siège.

L'Assemblée Générale a vote à l'unanimité toutes les résolutions.

MM S Dervillé et R. Delaunay-Belleville ont été réélus Administrateurs, M. A. Saint censeur. MM. R. Sautter et le comte de Lyrot ont été nommés à nouveau commissaires des comptes.

̃ EU.


(Parc des Sports), qui est le terrain du B. E. C.

Cetteh. rencontre devait primitivement se jouer à à Narbonne, mais cette ville-fait partie du Comité du Languedoc qui, au point de.>.vue réglementaire, n'est pas comité neu.tre. ̃̃ Autre- changement de dates cette fois. Les matches;de barrage Biarritz contre Cognac 'e etK-S.-C. U. F. contre Agen,. qui devaient se fjouec le 29 mars, sont- reportés au 26 avril, r-Cognac et le- S.. C* U. F. ayant des sélectionnés militaires jouant à Londres'Samedi prochain;; ̃

Année Française contre Armée Anglaise^ -rr r§amedi' prochain, se jouera,- à Twickenliani. le match annuel entre les Armées Française et Anglaise. Notre équipe quitte-

l'à Paris vendredi, à 10 heures, par la gare

du Nord. Le polytechnicien du Manoir, qui joue-demi, reviendra dit-on de Londres par afercm: pour.' .pouvoir .tenir. sa place dans le match' Pàlis-'Lôndres..̃ jr -̃Football '̃̃ Après là défaite de Milan. A propos de lït victoire écra.sarîte etc l'Italie sur la France/ par 7 buta 0, dimanche, dernier, à. Milan. nous avons. dit que l'équipe française étâit-Iatiguée par. les. deux matches qu'elle avait disputés au :coûrs de la semaine dernière. Voici ce que dit là-dessus M. Gautiej-Chaumet, envoyé spécial nie Auto » à

Milan .-J-. ̃-•

'Plusieurs joueurs ne reproduisirent pas leur forme de jeudi 'dernier pour n'avoir pa«:été assez modérés- -dans la fête qui. suivit le demitriomphé sur l'Uruguay.

Il aurait .fallu -partir, dès le jeudi soir..Le repos eût alors été complet à'.Turin et il n'y aurait eu auç.un'éjccès à Paris.'

Le mieux eût été" de' ne pas jouer un match aussi dur que celui contre les champions du mondé .trois jours- avant de rencontrer l'Italie, dbnl-'o'n connaissait la valeur. •̃

Pour bien' organiser, il faut savoir préVô|rr,et il semble bien qu'en l'occurrence les. dirigeants de la'F. F. F. A. furent peu avisés. Lesfmàtches internationaux, 'en dehors 'du, seul point de vue sportif, ont maintenant

~/ïmor~A~c_

Pus

̃ '*y.èiï$rir\sszïJPi' àTRéàs Mûd-lPLÉs' Le plus grand perfectionnement apporté à la suspension automobile. Trois articulations- a'c'iK-es, friction- spéciale sur niétallofibrine axes caoutchoutés; Le plus efficace. le plus solide, aucun entretien. A partir de 150 francs la paire.

H. & P, Petermari.-UO.Bd Voltaire, Paris.Roa,t5-ÏO

Uti~e~ x

ministériels

Fonds de corn-. d'Hôtel-.Restaur. connu .s. le nom CHATEAU deMAORlû Neuilly-s.-SeinetSeine), Bd Hichard-\Va]]ace,31, av. droit au bail et prom.. de vte.M.à p.: 400.000.1. Cons. 200.000' f., -mat. et marchand. en/ sys.;Adj. .Et. Bonnel, not:, lt, r. Aiiber,' te 4-avr- 14 11'. 30, ̃ S'ad. à MM. Beauvais et Dussault, 9, Bd'St-Denis:. ''M'.BeHenger, ad.iprov.,3,r.fids-Augustins.et aud.n. Vente 3 avril' 1925, à: 11 h., en la fiiairie, d'AblainSt-Nazàire (P.<le-G.},- par le mirtist. de Masse, net. à Arras.. adm. de l'ét. PETIT, notaire à

Neuville-Saint- "Sf- A. TÇJ AAT à -usage ..d'tebita-

Vaast, d~une irIAISV1V' à tion à

Vaast, d'une lUxlluV/iY tion à

A 15 T A T-MSt-NAZAIRE, Grande-Rue. Mise à JxD JuilJLIl prix ̃ 10.000 francs. S'adress. ̃ pour renseignem., Petit, n: tvBûville-St-Vaast ̃ (Nfe>-€irolousi-av., et M6; de Marnhac, not. Paris.-

FfeSie négociant: en "VlNS' à 'Paris (HàïleaUX-

Vins), r. Bordeaux, 22. Adj. et. Brunel, not., ̃4, r. de la. Paix, 3 avril, à 15 h. M. à p. 60.000 J. Jouiss. imm. Cons, 10.000 fr. S'ad.: M. Regnard, 'synd. 16, r. l'Abbé^de-rEpée, et au notaire.

,v

̃ Adjudication ûtude M?. Roger Piquais, notaire ̃Lbuviers (Eure), mardi avril 1025, à 2 heures IJOLIE PROPRIETE 1 WJJ^Z pçpiiipi'. :aj"son 'd'habitation,' grands,- çpmm. et jardin. Libre location 25 juin ij9<!5. :-̃

'li' î. '̃'̃

:V! A LOUER

APPARTEMENTS LIBRES de suite et courant aniiée ;ET0ILE: MONCEAU PASSY de 3 à, 9' pièces, de 7.000 à M.000. francs. r L'ECHANGE iMMOBIUER, 27, rue Cambaeérès,

A VENDRE

APPARTEMENTS ïStoîle^ Passy, Bd St-Germain, Square Vintimille < *de-fcà 7 pièces, avec confort moderne. Prix 70 à 250.000 frâncâ: `,. ̃\ .'̃;̃' -,•- libres de suite et en,192Ç»., >̃̃̃

Société t.'ImmobiUèré, 9, 1-, de Liège [G.ut. 36-59).

APPARTEMENTS m ^A^lf1 ''dans bel -inrôeuble d'angle, contp. Çhàuf. o.m\ 1 ̃eau'éh.' cîoar.i' boîte pOstalé4,nettoy,!pâr le ;'videv ascenseur,. -téléphone. G'aragés. 3 et 4 eh-, 2 bains, s.- à manger, boudoir, lingerie. 240 à 300.000 fr. SAJNT-QUEN'nN & TOTAL, 12, rue Lincoln. -FOUR LOUER MEUBLEPENDANT LA PROCHAINE SAISON

IMITlir APPARTEMENT DE PARIS

Vil I Kl" -PROPRIETE DE CAMPAGNE

:PROPRIETE DE CAMPAGNE;

IU I lit VILLA AU BORD DE LA MER i. ̃ adressez-vous dès maintenant à la BANQUE IMMOBILIERE P&- 34, BOULEVARD MALESHERBES. Aherehe appartement 8« ou 17" arr., 5 à 6 pièc. V ̃ 'Off.res:'à Mm.e.Sjrouy, 27, rue paru. ^APPAMEMENTF A VENDRE .Citnstniits avant guerre, urand confort niod. Libces de suite et courant 1925 et' 1926. De 100 à 250.000.

Passy, Monceau, Muette, Clichy, Observatoire -S'adr. le matin 2, av. Colonel-Bonnet '(16«).

un retentissement considérable. Vous pouvez être certain que la propagande allemande qui utilise tout pour dénigrer la Franôe' et les Français né soufflera pas inot'dë la brillante performance de notre « onze'"» contre 'l'Uruguay,' mais 'tamboùfinera lar- gement'sà défaite- de Milan. P. G. •'̃" AtHLETISBaE

Le trenten^ire de l'A. S. F. II y aura trente ans ce mois-ci que quelques élèves des collèges Rollin et Chaptal, ayant à: leur tête André Espir et Henri Marshal; formèrent l'Association Sportive Française, .dont, à Uépoque, l'unique. terrain d'athlétisme -était la terrasse des ̃Tuileries, et le stade de foot- bail, une pelouse triangulaire plantée d'ar- bres à, Vincennes. •̃'• Les. membres de l'A: S. H ont décidéde fêter dignement, samedi prochain -̃$& soir. le trentenaire de.Jçur. club !x la SaUê, des

Ingénienra Civils; ,19.' rue Blanche." *•

La partie. concert réunit quejques--uns -kJc nos meilleurs •"artistes-, de café-concert, par- mi lesquels nous: ̃citerons Mmes ̃ Turcy "(la Cigale), Suzanne- Desgraves (Alhambra), Lucy, Fouchais (la Lune Rousse) ;MM. Milton (Ambassadeurs), Ouvrard (Olympi^), Mériel (la Cigale); Tollii'ac, Dallys (Concert: Mayol) Michel Herbert (Perroquet), 'etc.. -Mme -Irène Popart fera avec une vingtaine de ses élèves, des démonstrations de sa méthode de danses rythmiques, Le concert sera suivi d'un bal :'̃•" •• MM. Henry-Patô, Jeari dé Castollanè.; Jevain, J;. Genêt; Mathieu, 'Ballutau, Marcel Delarbre, Aurez, Frantz-Relchel', etc. ont promis à MM. Gaston Vidal -et André Glarner. président d'honneur et président, d'assister' cette fête. LAWN-TENNIS

Les Championnats de Londres. Deux joueurs français de bonne classe, MM. Aron et Landry, sont engagés' dans les Championnats, de Londres sur courts couverts, qui commencent aujourd'hui sur les courts dû Queen's Club de Londres.

La Coupe Davis. Dans la zone européenne de la Coupe Davis, les résultats- des matches du premier: tour -éliminatoire devront être connus le 10 mai, ceux du second tour le 23 juin, la finale devant" se jouer le 28 juillet. ̃̃: ^uçis bat Coiistàp.tine. Le match Tunis' contre 'Censîantine!, qui vient de :sé: jouer à: Tîunisv'fest -revenu.: aux- -Tunisiens, :par 7; victoires -à.'l aux..Constantinois. Les frères. Gouttenoire furent particulièrement itrîllants. Résultats .•'̃̃ Simples de dames. Mlle Gallet (C.) b'. XBIe S. Pietra(T.),6-4,6-î.

Double mixte. Comtesse Raffo et G. Gouttenoire. (T.) baille GaBet et Janimy (C..), 6-3-6-1. {Simple- G. Giuttenpire {T.) b.. Jammy-îC.-),1 '6-a,"6-9'6-l H. :Goiitteh6îre (T.) b. Dalâise (C.) 6-2, 6-2, 6-0 F. Hignard (T.) b. Février 1C.), 6-1, 7r5, 6-1 Pevrin (T.) b. Bonnefoy (C,),' 6-2,2-6, 6-2. 6-1. '̃:̃'̃ Double. G. et H. Gouttenoire (T.) b. Jammy et Dalaise (C), 6-1, 6-3, 6-0 F.. Hignard et Perrin (T.)'b. Février et Borïneîois, 6r3, 7-5, 12-10. Un- beau match. Au Tennis Club de Paris, un jeune joueur, M. J.-L. Tixier, le neveu -Qu- conïmissairè-priseur bien. connu,, s'est rencontré, ces jours derniers," contre" M. Fitz-Patric'k, uïï vétéran du' Queén's Ctob de Londres, et l'a battu -par 3- sets '2,

"Pdite récohtpenSB-' à qui proci»«sa àRi)art«iHï«*kt' t,

;.R modeçne. 3 m i pièces, ç. de b., préféîV^'èuï

ï^xCniit^ toip;is^ë^ai|^i#M"p0t- retiîsp.J

;j -!̃ jEçrive-?kï-Lâcroi3E', Figaro f4ïjrion'ces), On dém., Stnai-S oct., AtP. privé meub., 1er et., ̃ascens.3 ebamb. coucher% eàu chaiidè nuit et jour, de.préf. Luxemb. ~1eub,. etlag. s'obsten. Ecrire Fabre, P.O. P., 50, rue de Passy,. riHERCHE pour mes clients étrangers à Paris des TERRAINS, APP ART. ou BUREAUX louer' (Su vendre. Si vous voulez bâtir ou amélio.̃ 'rer .venez- -mè 'voir M. Brown, 3, rue Taitbout. i' PP. ARTEMENTS à vendre, tout confort, 7-, 8 A pièces, Auteuil, coin rues Molitor et -MichelAnge.' J.fin 1025. Aïberdem, B7,Bd Beaumarchais. PTIATT Tf! Bup. garçonnière, tout confort; liEtl VJJj£j vrablc octobre. Service immobilier, -22, Çliaussée^dl\ntm (Çentral:i76-10).

"McuiHy '-•: App, -7'p' 4" s., de b. Tout c'ort'f. 1' Garage. Loy. 15:000. Berto,' 28, r. Montmartre. Etoile, Ch.EI., Bois, tr. b. app. et hôt. part.' à 1~ Iouer.de s., ].; 15 à 25.000.Ogé,114, Ch.-Elysées.

,t.n. ,-i:I_ ..°:0

À T ÀTT1?Ï) de suite bel app. meub., 144, rue AJUuUJull Courcelles, 3 ch. àj côuch., sj, s. à m., s. bains, 1 chamb. bon., chffuffâge^

APPARTEMENTS SSSWS;Jiî?î; 5' pièces, s. de b.; 'cuisine, eau chaude etenSïïH". central. ,,De 30 à 135.000 francs. ,t M. GUIMARÏ), arçllitcçte^ .122, avenue Mozart.

GOTE D'AZUR

,'A VENDRE :*MerveUleuse PROPRIETE coin,'prenant Villa très confortable avec. très Beau «parc de,2 2 hectares donnant directement surXla. 'mer. Port et petite plage dans la'propriété. Vue splendide.

'M. E. CAILLET, 68, Champs-Elysées .(8° nrr.). Belle propriété à-Charentonneau, 27, r. de Bretn.gne.comp.de 8 p., s. de b., 2 c. de b.,65Om. j..ent.murs, 5 prises, d'éau.' Garage. Ecurie, buan'derie, clap.. pig., ch.. C-Libx.e. 125.000 f, 1/2 cpt. Terrain ôlO m. av. p.-à-i. anuns. face au marché de Oiarentouneau., ^-45.-000 francs, .facilités. ^Terrain p. indust- 25 m.- faç., murs,- -2 portes fcharret., environ, '2.Q0Ô m., facil. S'ad. Agence "Jeanne-d'Arc,iS,rue Cécile, à Charentonneau,de 2 li. à 5 h, Dimanche sur rendez-vous. ̃X[ allée de Chevreuse (25 k. de Paris):. Belle proV priété d'agrément, 2 h. 1/2, parc entretenu, tennis, garage, pavill. garde, habitation avec "•gaz, électricité, chauffage central, fumojr,- salon, '̃sal. à -manger, cuisine, bureau. 8 ch.de mail., 'gde s. de bains mod.6'cb. de dom., bail 6 a. a. -14.000. St-Quentia-Total, i'Lihcoln(EJys.8?«77). 55 km. Paris (Oise) Gentilh'oinmièr>e norm. 17° s. Communs. Gd'conf! 2 heçt. Oivpeuf adj. 3 h. 'ait. Bx arb. A déb. "18ptiori: PATTE, 91, Bd Sêbastopol 1 Achète plus haut prix propriétés boisées, irriinim. 1.000 mq. Références premier ordre'. Ecrire PUECHt 3,. rue Laffitte, Paris. ':̃{ VENDRE Belle PROPRIETE S.-et-M., 50 k. ̃il- Paris, 5 km. gare, 4 héct. beau parc, potãger, verger, écurie, garage, eau; él., tél., ch.' c., 7 ch.,5 c.toil.,s.de b.Bonhomme, 107,r.de Flandre, AIX-LES BAINS Jolie propriété. Nombreuses pièces. Jardin. Conviendrait à .pension de famille. A vendre 450.000 francs. L. SILVAIN, 11, rue Boissy-d'Anglas.

Sur l'Eure, moulin ôlect. rap.et agr.. 2 ha 110 k. Paris, à dôb. 60.000. Patte, 91. M Srbn.to}>ol. HYERESivÂR)

Ravissante PROBRIETE. Vue magnifique-. Tout le confort. l'arc. Communs.

LIBRE

A vendre 3b0.0Q0 francs.

L. SILVAIN, 11, rue Boissy-d'Anglas. =

après une partie qui a duré plus de deux heu'r'es.* Voici .le scovë '.̃c^ '̃:̃'•" j;;L. Tbûer fT^-t-' P.) i':fFitz-Patr&r.(ûueMj:sClub), 0-6, 1-6, 6-4, 7-5, S-6.. < Le Prix du Printemps au Stade Français. Le Stade Français organise dans le parc de Saint-Cloud, sur ses courts de la Faisanderie, un tournoi réservé aux joueurs âgés de 18 ans au plus, au.12 avril. Ce tournoi se déroulera pendant, la deuxième semaine des vacances de Pâques,'du 14.au 19' avril: L'.épreuve est divisée 'èlï.deùx catégories pour les jeunes gens.̃̃ Catégorie A,. de 16 à 18 ans catégorie -B, au-dessous de 16 ans simples et doubles dans chaque catégorie. Une épreuve est ouverte aux jeunes filles de moins de 18 ans. Les droits d'engagements,- 10- francs pour les simples, et de 15 francs, par équipet:.pôur Je double. Inscriptions reçues, au Stade Français, 3, rue ̃yolney, .juksvqu,'a.à S'flVriL, à 6 heures du soir. Jiige-arbitre, M.' André Charrlou. ̃ ̃ =- Le Tournoi de Cannes^ Le Tournoi du Bea-u Site. L. T. C. de Cannes p'a pas. de, chance. Les premières journées ont été conrarièes par la pluie, et les résultats acquis spnt minces.

'• ̃ -LES TIRS :f' ̃̃ La Saint-Georges. Comrhe toujours, >a dernière réunion de la Saint-Georges, suivie d'un dîner au Jockey Club^fut très brillante.

Voici. les résultats :.VV

Poule au pistolet. -1. Comte Tony de Vibraye. Poule au revolver. –'T. Marquis Le Gouëslier d'Argence, ..Prix, Ûaslelbajac. (revolver Clcnu des deux mains), 1. M. Pierre Perrier.

̃' ̃' ̃" bôxb. .̃̃̃l^

Les galas du Sporting Club de France. Le Sporting Club de France 'désireux de donner l'occasion de se révéler. à nos:. jeunes espoirs n pugilistiques, donnera dans sa salle, .des- sports, 2, -rue de l'Elysée, le mardi '21 avril prochain, un gala de boxe en privé, au cours duquel sera disputé le Tournoi international de huit poids .i.mi-lourdr-, doté de prix importants et réservé aux boxeurs, professionnels français et étran- gers âgés? de moins de 25 ans"

Le Congrès de l'International Boxing Union.' –.Conformément à la décision prise par le -Comité, permanent, ̃ ,lè prochain iCengrfiSi de l'International Boxing Union ;i>; ̃tiendra à Paris lu -dimanche 7. juin 1925. véi délai, pour- l'envoi .par les 'fédérations .ffiliée.s des questions devant figurer a Tor.- du jourest fixé au 7 avril 1925. .AERONAUTIQUE ̃]

Le budget aérien allemand. Par ,i .presse allemande, nous apprenons que « .te gouvernement du Reich a pu mettre cette année des moyens accrus au service do l'aviation' «.C'est ainsi que l'on relèvi! 1;O5O.ÛOÛ. marks pour lès laboratoires, {-millions de marks pour 'primés à la -sécurité, -1.500.000 comme subventions '&̃ l'a navi^ntibn aérienne, 750.000 pour le-dévéloppêmcat du vol à voile. A noter que ce' sont là ̃<? marks-or^ ̃ A noter aussi que ces spmnies doivent et' c accrues 'de celtes que versent les divers Etats du Reich sur leur budget parliculi >r. On doit. en retenir que l'Allemagne fait wi

AFFAIRE EXCEPTïONNEfe^

LE TOUQUET PARIS PLAGE A VENDRE JOI/6 PROPRIETE ̃jJïès CASINO forêt, salon, s.-à-«fc,-13 -ch., 2 s.) de b., 5 .cabin. toi'. Garage. Tennis..Tardia." Ecurie. Sup.: 2.160 mq.' AGENCE CLARISSE," 71, rue de'Paris, Le Touquet-Paris-Plage.' ̃̃••

Près Brienne-le-Château •: PROP. agr., 8 ch. dp, m., sal. de b., gde récept., comm., garage.' 2 liecl.'Prix r 87.000. Pontoise Jolie propriété,belle réc, 5 ch. dp. m., 5 toil., s. de b., nombr. -•egarim., loge gardien. 1, liéct. 30. Prix 145.000. Loiret, lpfi.fe.' .r^a ris, Prop. agr., 8 ch. de m., gds comm.i sup\2 ̃ Jiect. Prix 115.000 francs. JIEL, 5, rue Pétel, (15e arrondissement).

T^FATnJTTTF 3kaomètres. CURBEUX

"D' EA' 'UV' 'ILLE, '-à 3kilomètres, CURIEUX

DejAv VI L/Jjrj manoir xvne siècle.

Beaux meub. anc. Conf. fin. Parf. état.- Dépend. Ferme 15 h. 700. 000 f. S'ad.:Jean,dom.de l'Abbaye, 'Hennequeville-Treuvil}e,et.TANCELIN, n.Meaux. A vendre Sup. PROPR. à Grandçamp-les-Bains (Calvados), av: mais. 4*hab. de; 3 ét. Vue,sur la mer. 1.200 m. S'adresser Vatency, notaire,- à La Çambe (Galvados).

vendre, à St-Pierre-du-Vauvray (Eure) i PROPRIETE sur la- Seine. Vue magnifique. Comprenant Maison d'habitation. Confort moderne. Garage. S'adresser à Me Roger PiquoiS, notaire à Louviers (Eure).

INARD, ROYÀN, ETRETAT, PERROS. Choix de belles propriétés â' vendre. UNION, 30. rue des Petitea-Ecuriès, Paris.

jj\ I- QtJAiS.(jiëiii'midi). Vue splendide. Bel "jSSj,. IWM. ancie.p.fpp.. de toute beauté de «toi 2 sal., s. à ni., 5 çb. m. s. bains, gde. ^JOsLJ ̃ haut, plafond. Garages. Un app. libre. Tr. jolies boiseries atte. gup.: 800 mq: Prix

r:otiO.OOO. Boisgîjës 200.000. (774) :S'adr;. Mater

& Jaequault trèrps, 18,; rue Royale,, Paris. MAATfF A TT Belle voie calme 1 Tr. bel IMM. lUVJlMUJliAU p. de t., const,Ï906. Gd conf,' Bx appart.. 7 pièc. dont un libr Av. 1.600.000. F. LOONEN, ?, rue des Italiens (Central 17-15). 1 Oe ARRONDISSEMENT. Revenu 30.000 à aug._ In nienler. Construction 'parfait état.. Oc-' casion exceptionnelle. Prix 280.000 francs. 6R0SIEAN, 62, boulevard Magenta. Paris. Due LA FAYETTE même Sup. IMM. p. de t. 4 bout., beaux appartements conf. Prix 2 millions moins 5Ep.0O0 Foncier à 4,48. i- GANEÏ, 22^.rufi du Pont-Neuf. ech. im., Sentier, Poissionnjèrer Réaumur, av. loc. çontm. ,Di5p. prod.i. l million "Comptant, MO0.5NE,' gérant, ~7t rué. d'AlèxandÉif., Pari$,. P>ARG 'MONCEAU (Près): Immeuble moderne. ̃T ^Appartements' i' ch., 2 sal. Gd.' confort. Prix 1.300.Ô00 francs. Leuliier.i 42, fue de Trévise.

I T.T

grand effort pour développer son aviation civile,'tant au point de vue technique que commercial.

YACHTING A VOILE

Les Régates Internationales de Cannes. La journée, de lundi des Régates Internationales de Cannes vit. un incident malencontreux marquer le départ de la première course, celle des 8 mètres. Aucun des concurrents n'ayant, pris garde au sens de départ, tous partirent dans le sens inverse. Ne sfe rendant compte de leur erreur 'qu'une fols là ligne coupée, ils durerïV revenir prendre le départ, et ceux par trop handicapés par le retard ainsi acquis, se virent dans l'obligation d'abandonner. Voici les résultats

Coupé et Prix Arthur Pagel (yachts de 8: mètres. 12 milles). 1. Cheta, à M. Givanelli, en S'h.. 35 ;m: 41 sec-/ g; Aile-IV, à Mme Virginie Hôridt; en?' H: 37' m." 31 sec. -3. Namoussa, à ̃\i." de La Bruyère.. Enchcmlemenb-IV Coq-Gaulaîs et Aslréa ^Kandonnent au premier tour, Vèga au deuxième, Enchanteur et Lial'a au troi-

sième-

Yacjits de.6 6 mètres (18 milles). 1. Bilitis-11, à M. J. Riqueur, en 2 h. 55 m. 11 sec. 2. Linda, à M. II. L. Wessel, en 2 Iv. 56. m. 13 sec. Z. Lèo-Y. a. MM. Serra et Ibertoli ,1. Nereida, à M. J. Llaudet '». l'ara, ù Mme V. Hériot '6- Cameo, à M, R. Fora. Enigma abandonne au deuxième tour. •̃' '̃ Coupe Circf1 (deuxième épreuve, cruisers e't.'£xràcers,12 milles).– 1. Pauleité, a M. D. Clbuet des Pesruchés, en 2 -h. 12 m. 14 sec. 2. -WM' naretta, à M.V. Olivier, en 2 h. 50 m..55 séc." ̃• Cruisers cl ex-racers de 6 50 tonneaux' (14 milles). 1. Pénitent, à -M. Sartiaux, en 2 h. 7 to "16 sec. 2 Yolande à M. P. Morillon, en 2 h. 15 m. 18 sec. 3. Brovnie, -à -M. Legras 4: Circé, à -M. P. Rouff 5. Dandé, à M. F. rtouff.

Chemin de fer de Paris à Orléans VOYAGES AU MAROC VIA ALGESIRAS ET TANGER

OU VIA GIBRALTAR

ET CASABLANCA

La plus tourte traversée maritime

Par suite de nouveaux accords intervenus entre les Compagnies intéressées de Chemins de fer et de Navigation. les relations entre la France et le Maroc 'par l'Espagne profitent d'importantes améliorations au point de' vue de la, rapidité- fit du confort, "Un voyageur partant, de Paris-Quai. d'Orsay a 16 heures par le train de luxe « SudTËxpress-u 'trouve 4 Madrid un train rapide quoliaieii (Service de luxe trihebdomadaïre)' à deslitiktion d'Algi'siras qui arrive dans ce port à 12"-h; 5 'le-tnatin du lendpmfiin. Il peut s'embarquer: immédiatement pour Tanger (Service quotidien) où il -arrive le soir à 16 b., soit 8 jours après son départ de Paris ou pour Casablanca (Service hebdomadaire, le mardi) Qu'il atteint le matin à 7 h. 30, moins de 3 jours .api es" avoir quitte Paris et avec '14 heures de traversée seulement.

l'n train rapide de toutes classes partant de Pam-Quai d'Orsay à 21 11. 50 permet d'effectuer le même parcours avec un allongement de 12 heures environ.

Les voyageurs craignant la mer peuvent également emprunter le service automobile de Tanger Casablanca par Rabat quatre fois par semaine, trajet dans la même journée.

Billets directs et enregistrement direct des bagages de Paris-Quai d'Orsay pour Algésiras. Pour tous renseignements et délivrance des billets, s'adresser à l'Agence de la. Compagnie .̃d'Orléans, 16,. boulevard des Capucines, à .Paris.

%v. de -MesBii}e-S»pV M**s6hid?angi,-Aîiîe.: P. de taille. Bx app/<&Mr-6a¥iïSi*;fô0i;rBq.;

\Px iexci, _ï;550J)00- Jammes, il, ruK, La i-.»5.«"e.

;p c, ",°'

:-K vend: 2 imto;ii£s, 6 'et., Paris hâ?). 2 ap: lib., ;il75Ô.000ifac.paiem.Aléx,P.O.P.a76,b;,St-Genna-în

Gare Saint-Lazare Très bel H. part. p. taille, pm-f. étal, entrée cochere, vingt pièces dont plus, très grandes. Gd escalier et esc. de service, communs, gara-

ge pour 3 voit,, chamb. personnel. Lonvient^au parf. pr gde société, bureaux, .elc. Libre. Prix. 1.000.000. (1031) S'adress.: MATER ,'•' & JACQUAULT Frères, 18, rue Royale, Paris, ` PARC MONCEAU

Très bel HOTEL, belle corist. Superf.: 1.400 m. Gd jardin. Conviendrait à ambassade; 5 salons, salie à m 12 ch. avec dépendances, garage, pas de seryitudo. PHx. 2.600.000 francs: F. LOÔNEN, 2, rue des- Italiens (Central 17-l.aj. ia BOIS DE BOULOGNE '» Vue' sur le Bois, Coteaux Saint-Cloud »

"TTST T UAT^FT Grand- confort- moderne.

'PLI. -1101 lt~L GAr v-çn'drwe 1.700.000 ir,

dVLl UX) 1 A vendre 1.700.000 fr.

SORDEBOURCQ, 6, place de lu Madeleine.-

I.

Urgent Suis ach. château anc., 100 à 200 km. Paris. Gd style. Tr. conf. B. sit. Gd parc. Max. 2.500.000. HUET, 43, rue Meslay, Paris. rvTJVfPTrès joli château Renaissance, tout yltlMliconf. mod., 116 hect.ter.,j.chas.. 150 k. Paris. Cond. avant. A.de Magnin, ll.r.Boccador.

"Tjqùtiques, vastes locaux commerciaux, grands D apparteï)rienl3 à vendre, Ternes. S'adresser à M. RAIMBERT, 6,-rue Castellane, lundi, mer"'̃̃̃. cfedi, vendredi, de 3 à 6 heures.

ENVIRONS DE CHANTILLY « 2 km. du GOLF et AUTODROME projeté »

Dîl?T T T? \7TT T A ^y16 anglo-normand,

$LLE, 'VILLA r-~ ~gl°normaeid,

DlEjhbLl VlJjJuA 8.000 mq. Conf. mo.

derne..Éau, gaz, électricité, chauffage central, ̃téléphone. Communs. Remise autos. Pavillon jardinier. Prix 325.000 francs. S'ad. à Vidy, notaire à Chantilly, ou à M. Hùrdebo.urcq, 6, pl. de la Madeleine, Paris.

PASSEZ vos VACANCES de PAQUES à ̃: DEAUVILLE

A lttuèr: Magnif. VILLA à 300 rn; du CASINO, ,2..salons., 8 chambres, luxueusement meublée. Jardin 1.000 mq bien ombragé.

̃ Prix de la location Avril 3.000 francs. Avril, mai 5.000 francs.

Avril, mai, juin 8.500 francs.

•̃ Voir le propriétaire

•• Artus", "84, rue de Liégë (3» ét,\ L. 11-21.

Programme des Spectacles ALÉERT-1W h. 30. La Mégère apprivoisée. ARTS. 8 h. 45., Henri IV.

ATHENEE. 8 h. 30. Les Nouveaux Messicart. ANTOINE. 8 ii..45. Pile ou face. ATELIER (Théâtre Montmartre). 8 h. 45. Le Veau gras.

AVENUE. Relâche.

BA-TÂ-CLAN. 8 h. 30. ChovChoa. BOUFFES-PARISIENS 8 h. 30 Troublez-moi. CAPUCINES. 9 h. Où allons-nous! COMEDIE-GAUMART1N. 9 h. L'Oman*

rêoé.

CHATELET. 8 h. 30. A qui le milliard? COMEDIE 'DES CHAMPS-ELYSEES. 8 h. 30. Krioch, la Scintillante.

COMEDIE-FRANÇAISE. 8 h. 30. Le FM- bustier, la Joie fait peur, la Victoire de Ronsard. CLUNY. 8 h. 45. Un petit nez retroussé. DAUNOU. 8 h. 45. J'adore ça.-

DEUX-ANESi 9 h. Présentez. Anes 1 ̃DEJÀZET. 8 b- 45v •- Cinq femmes sut U dos. EDOUARD-VII. 8 h. 45. On ne joue pas pour s amuser.

ELDORADO. 8 h. 30. est Virginie? FEMINA. 8 h. 45. Une Femme.

FOLIES-DRAMATIQUES. 8 h. 30. Le Ro. fier.

GAITE-LYRIQUË. 8 h. 20. La Hussarde. GAITE-ROCHECHOUART. 8 h. 30. Quand on a jait ça une fois.

GR'AND-GUIGNOL. 8 h. 30. Sur la lande; jÇiabichou; l'Amant de la Mort; le Renard.

`Gÿ~NASE: 9 h. La Galcde dés glacé4.

GYMNASE. 9 h. La Gâterie des glaces.

MADELEINE. 8 h. 45. Le Vertige. MATHURINS, 8 h. 45. On demande un amdm.

MICHEL. 8 h. 45. Le Greluchon délicat. NOUVEL-AMBIGU. 8 h. 30. La Douloureuse. NOUVEAUTES. 8 h. 45. Pas sur la bouche. ŒUVRE. 8 h. 45. La Femme de feu. OPERA. Relâche.

OPERA-COMIQUE. 8 h. Graziella. ODEON. 8 h. 30. Le Chemineau.

PALAIS-ROYAL. 8 h. 30. Le Monsieur de cinq heures,

PORTÈ-SAINT-MARTIN. 8 h. 40, Mode- Ion (Mme Marthe Régnier).

POTIN1ERE. 9 h. Le Coup de deux. RENAISSANCE. 8 h. 30. Chéri. SARAH-BERNHARDT. 8 h. 45. L'Archange STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES. 9 h. L'Etrange épouse du professeur Sioerbecke. SCALA. 8 h. 45. Le Coup de Jarnac. THEATRE DE PARIS 8 h. 30 La Tentation. THEATRE DE L'ETOILE. 8\h. 45. Un Homme léger. < 1 TRIANON-LYRIQUE. 8h. 30.' La Béarnaise. VAUDEVILLE. 8 h. 45. Va Tcndrent. VARIETES. 8 h. 45. Le Fiait Vert. MOULIN-ROUGE-MUSIC-HALL. 8 h. 30. La Grande Revue New -York-Montmartre. NOUVEAU-CIRQUE. 8 h. 30. Spec d'attr.

A T II A M DD A 8 h. 30 (Roq. 0-ÏO).

ALHAMpIIA Wonder Kid». The Dormonde. GAITY-THEATRE. En plein dans le nu.

\lfVT\T> K ATA 8 h. 30. Trud. 23-78. Mat. jeudi.

MEDRAN' 0 8h. :3P,Trud, 23:78. Mat. jeudi,

MjJjDKAJNU samedi, 8 dim. et iêua à 2 h? 30.

f<IRQUE D'HIVER 8 h. 20. Max Françesco,

saut périlleux avec automobile.Les FratelliniM.j.s^. riAUMONT-PALACE 8 h. 15 Pêcheur d'Islande \j d'après P. Loti. Le Stigmate, 2e chapitre.

M A D"nr A TTV La Mort de Siegried.

VAUX La Mort dl; Siegried.

JlilJlLV AU À Musique de Richard Wagner. r.

~~l~f~t~I`q~~e,lle8 v1~~8, ~f iorét`1`iv~

`~enéz, 5 r. 'terrnerlt~" Coim~pi~a~ r {~"D=7`a):

"̃Bedtez.i 5,' .e.' ^eiroént^ 'ÇbînDiëgne. ^T.' -Oïp)i

ENTREPRISES

DE CONSTRUCTIONS

AVANT DE CONSTRUIRE adressez-vous aux Etablissements WEBER & Cie 49 pis, av. //oc/ie,àPa;-(5{TéI..Elysées 3,4-21) MA TERIA UXde COJNSTRVCTl ON procédés nouveaux Rapidité Economie Hygiène Entreprises générales A FORFAIT de toutes ̃ .Constructions

Pavillons, Villas. Maisons de Rapport, Hôtels* Bâtiments Industriels <ctBura\iXï FONDS DE COMMERCE A VENDRE A VALENCIENNES

WCAFE DE PARIS Le plus grand et le plus beau dé toute ]a ville, en plein, centre,- plac« d- Armes, fraîchement remis- à neuf et très -décoré, parfaitement. tenu. Il existe une entrée posftrieure sur rue adjacente. Il y a possibilité de nombreuses sous-locations existant déjà. S'adresser BOURGEOIS, 3, boulevard Eisen, 3, Valenciennes. 1 VENDRE

PLAGE BRETAGNE

GRAND HOTEL

genre Palace, 200 chambres et salons. Immeuble et Fonds. • •

DESMOULINS, Deauville (Calvados).

BF-TJ-t: et SIMPLE AFFAIRE en appartement à 13 céder ap. fortune. Mise au courant facile. Bénéf. 50.000, tr. fac. à doubl., parce que négligée. Avec 5O;000. Frais minimes. Très sérieux. Martin & ;.C?», 130, Fg-Saint-Denis (Gare Est.)

AGENCES IMMOBILIÈRES MAISONS RECOMMANDÉES

PARIS

SOCIETE IMMOBILIÈRE CENTRALE S. A au c. do 1.50.0.000fr. ont. versés Achat, Vente et Gérance d'Immeubles Propriétés, Terrains, Usines

Reg. n,1 203.072.

1, rue Blanche Tél.Tr^d.X)3r82;

F| AAMrM 2, RUE DES^tAtlEffS

LOONEN (Central 17-15) Propriétés Immeubles Hôtels, particuliers. PLAGES J>V NOItn

X.S TOUQUETFAniSPLAGi:

1PFUPC 01 ftDIOCC 71, rue de Paris

Abkllbt LLAnlOût (Téléphone 8 et .67) Ventes Locations de Villas Propriétés ̃ Terrains. Renseignements gratuits. I E TQUQUET-PARIS-.PLAGE. Aff. PARÉ L (Fondée eli isa3j. Locations, Ventes, Villas, Terrains. 68, rue de Paris (Téléphone 0-13). LE TOUQUEriAtdlWh^fe-Fa^i VILLAS. TXPPARTEMENTS, TERRAINS COTE WAM.OVII

LA baule A?-m$Jim*

-0- VENTES LOCATIONS -0HÉGIOn DV CENTRE

W I f* LJ V VENTES Fonds de Comm", VILLAS.

VI\#H T LOCATIONS Meubl. ou non- Magas. Rens«iSn. grat. -VICHY AGENCE. «f dçPanS.

OépiaRfimëûts et yltiejlaîyres

x des ÂhQnaés_dQ « Fiaari* Mrs Bosvile-Boshell, au château d'Arondeau M. Jules Bruneau, à Biarritz M. le lieutenant Dutailly, à Makhlouf Mme Th.-J.Dubos, à Bordeaux Mlle Elisabeth Durand, à Rouvrou Mme Richard Jonemann-Rau, au Vésinet Mlle Marcelle ÉCorn, à Grasse Mme Pierre Lespérut, à Orléans Mme Yvonne Luze, à Rome M. e comte et Mme la comtesse Ivan de Maigret^ a la Maison-Dieu -1 Mme Louis Mante-Rostand, au château -de Valmante M. le comte Robert de Marisy, à Arcachon M. Rodocanachi, à MonteCarlo Mme la baronne Thenard, à Cap-d Antlbes M. Louis de Vilmorin, à Juan-les-Pins. M. le commandant du Bourg, à Besançon î Mme Etienne Bernard, à Lille Mlle D. Çoronio, à Trieste M. Raymond Chaumel, au château de Lucques M. Luis P. Canas, à Nice M. et Mme Deschamps-Brignon, à Hendaye M. Van Hissenhoven/ à Beaulieu-sur-Mer Mme Jacques Lévy-Haussmann, à Saint-Jean-de-Luz^; M. le commandant de Lacoste, à Grimaud M. Guillermo de Landa y Escandon, à Rome. Mme la comtesse J.+B. d'Ornano, à Lyon Mme Plotina-Nicolescu, à Bucarest Mlle Turbert, à Hendaye. ,L_ ARRIVEES A PARIS.

Mme J. Chimène, Mme Aurelia S. de GonzalezMoreno, M. Gindre, Mlle Honoré, M. le marquis de la Ville-Baugé, Mme la comtesse des Monstiers-Mérinville, Mme Noetzlin, Mme Ramon-Fernandez, M. Sanchez-Abreu, Mme la comtesse Gilbert de Voisins.

Mme Vve Le Carpentier, M. le docteur RochuMéry. Mlle de Larnage, M. Ernest Leblanc.

A LA RELIGIEUSE -OEUIUIAMÉD! AT S3 Place du» la Msdeleln» 3 Xkna Tronohet. PARI»

LABORATOIRE RAWEY&r?See de Beauté idéale qui contient du Radium.Sf. 60 le pot

JAMBON POUR PAQUES O .i_i;t 13 A-

11, rue'Drouot Paris Se trouve dans les houttes^ maisons

TERRAINS INDUSTRIELS pour garages ou entrepôts raccordable Seine ou chemin de fer, l-4« ait., 2.700 m. couverts, 13" arr., 3.000 Saint-Denis, 30.000. Condit. très avantag. Grosjean, 62, boulevard Magenta, Paris. Je RECHERGHE pour l'installation d'une ŒUVRE PHILANTHROPIQUE, environ 10 à 12.000 mq de terrain dans quartier central de Paris. Disponibilités :17 à 20.000.000 comptant. DESNOYERS, 18, rue Paris (8" arr.). A vendre TERRAIN près Trocadéro. ConU 1.100 m.env. Convicndrait'pour garago; S'ad.: Société Immobilière Centrale, 1, rue Blanche.

AGENCES IMMOBILIÈRES P A\T\TirÇ! Propriétés Commerces Hôtels vAi^l'XÎJij Facilités pour Transactions BANQUE de CANNES. 14. r, Venizelos (Près gare) Qt-Raphaël-Valescure. Les plus belles villas. O \7ent« Location. Agence W.-F. KLNG. VILLAS ET PAVILLONS A VENDRE meublée ou non La SUPERBE

VTT T A MF TA avec son ma9«if- par-

VILLA MEJA avec son magnif, pae^

V LLtLlA. HlïhdJx (13.000 mq), sise à NICE.

f*TMTT?7 hauteur Hôtel Régina, vue sup. sar UllTllJjZj Nice, la mer, les Alpes, compren. r.-de-ch. et 2 ét., dispon. de suite. Une partie du parc peut se lotir.P.vis.,s'ad.au gard.P.rens.,au régis.M.Martin,38,r.Pastorelli,Nice,ôu à la Banque Hypothécaire et Immobilière de France, «1, avenue de l'Opéra, Paris.

NORMANDIE

AGENCE COUYÈRE

LOCATIONS VILLAS, CHAT-, VENTES de PROPRIÉTÉS 1, -rue de la MCr, à Trouville- Téléphone 37.. DÊAUVÏLLE-TROUVILLE.Lwstjpas, Ventes .AGENCE ACCARD, fondée en 1862.

"Téléphones Trouville 2-17 Deauville 2-76.

CÏBÔURG «^gff&a CAVË^

C_NDGUfIG tond éEén 1873 CA~ TéZ~ph.

HOULGATE AOENmS^TRJi LOCATION ET VENTE DE VILLAS

Uni II TA TE ACEMCE c- VIHARO. Ldca-

HOULGATE AGII1\1'CE Villas.~AéÎphLÜ~2 2

nUULUH I L. tions, Ventes, Villas. Téléph. 2

PROPRIETES à VENDRE, rapport et agrément. TJT?T)T?P'T'Bel. fermes pleine vallée d'Auge. IIJJJJJjHI 5, pl. Victoire, Lisieux (Calvados). COTE D'ARGENT

AGENCE AMANIEU i^Llov»UiFi Cours Lamarque, ARCAOHON (Gironde).

PYRÉNËES

PAU AGENCE PYRÉNÉENNE tr M W IMMOBILIERE et COMMERCIALE! .0– 6, place Clemenceau '(Téléphone 4-56) Or-

PCNTDAI nCCIPC 2, rue (Samietta, PAU.

Util I liAL Ul I ILE, Location de "Villas, e^ Ap-

,y. Loeatronde i lias c A

partein". Vente d îmmeuoles et de Fonds de Commerça


ANNONCES G I^LS SBE S Paraissant les MARDIS, JEUDIS &; DIMANCHES m ̃ 1 1 1 1 1 ̃ ̃ ̃ ̃ ̃ ̃ 1 ̃ ̃ ̃ 1 1 (̃̃•̃̃̃̃̃•̃•« ••̃•̃̃̃̃•̃̃̃••̃̃•̃••̃•̃̃̃•̃••̃̃••̃•iiii ••̃̃̃̃ ̃ « a ̃ ̃ ̃ ii 1 1 1 ̃ •̃̃••̃̃iiic.iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ̃ 1 ̃ ̃ ̃ 1 1 T Les ANNONCES CLASSÉES sont reçues au FIGARO, 26, rue Drouot et 14, Rond-Point des Champs-Elysées

«tdans Ics LIBRAIRIES et PAPETERIES BOFFY, 14, rue de Bellechasse (y) Mme LIONNET, 51, r.deGrenelle (BdRaspail fj'J J. MARTIN,72,Boulevard4ela Tour-Maubourg (y*) CORNUAT, ii, Boulevard de Courcelles (S")

TiniP t Demandes d'Emploi La ligne 4 fr. I Anll 1 au-dessus de 4 lignes 3 frAutres rubriques:' .• La ligue 5fr-

LES BONNES FAISONS

ALIMENTATION La Grande Liqueur Française BMÉDICTiM TONI%VëESTivE .Vente directe du fermier au consommateur FRUITS des Pyrénées, POIRES et POMMES Canada' extra et de conlerve, 1 fr. 50 le kilo en vrac ou en cageot de 5 à 25 kiî. S'adt.: 105, rue de La Chapelle (Tél.: Nord 23-32), AMEUBLEMENT

M~ FPtRtT)nH S!EGES CUIRS

Nt LrRnH tUH de salles à manger

RrpARATMU SIEGES CUIRS

trftnHIlUN de salles à manger

ÂlfeOTft MALLET 1r SPECIALISTE FABRICANT 47, Faubourg-Saint-Antoine, 47

&.

A NEUF

REMISE A pnaeruf F

PROCEDE NOUVEAU DES S

SIEGES EN MAROQUIN

Maison de confiance f ondée en 1899 BAS MEDICAUX

ELEGANTES,

Ne redoutez plus le port du bas varices: le « Bas Chambet »•, le seul sans caout,chouc, invisible, lavable, garde l'esthétique de la jambe (br. S. G. D. G.). Recommandé par le Corps médical. 2 bis, villa Niel-(av. Niel), tél.; putenberg 16-91. Bagnoles-de-1'Orne, en saison. MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION CLOTURES EN TOUS GENRES, sur pieux en ciment armé ou en fer. Pour clôturer vos propriétés, haras, paddocks le plus économiquement, avec les matériaux les plus solides et les mieux appropriés, adressez-vous au service créé par Y a UNION DES INTERETS SPORTIFS », 14. rond-point des .Champs-Elysées (Tél.: Elysées 02-65).

OCCASIONS

AMEUBLEMENT

WARRANTS, Rive Gauche. 107, Bd 11 Saint-Germain (Métro: Odéon). Occas. en mobiliers, bronzes, marbres, tapis, lustres. Expéditions monde entier. Saisies-Warrants,4,r.de la Douane (10e). Ameub.comp. ,obj .âne. et rust. ,marb. bronzes,lust.,bureaux, à moitié val. (56e ann.) ACHAT TRES CHER meubles «mciens, gravures anciennes, tapisseries, tableaux. Y. DE BREMOND D'ARS, 20, Faub.-Saint.Honoré. (L'acheteur se rend partout gratuitement à domicile, même en province.)

A vendre Comptoirs démontés en acaioü, dessus glaces. Belle caisse grillagée. Boiseries. Occasion intéressante pour insrtallation de Banque ou Agence. S'adr. concierge, 14, rond-point des Ch. -Elysées CAUSE DEPART

A VENDRE D'URGENCE

BEAUX TAPIS PERSANS

̃ petits et grands, rapportés d'Orient Prix exceptionnels

22, rue de Douai (1er à droite. 2 à 6 h.). 'A vend. meubles anciens, 2 armoires norm., 1 comm. et 1 coif. Vis. de Il h. à midi: 14, rue Chalgrin (16°) (Etoile). Marzin, 60, r. Chapon, achète meubles. objets divers. Se rend à domicile. -ISv à m. acai. marq. bronzes. 9 chaises, :buf.,dess.,t.,7.500,6,sq.Alboni(Pas.3l-60)

Mme DESBULLEUX, 3, r. Théodoredè-BanvilIe, PARIS, et 8, av. Gambetta, St-GERMAIN-EN-LAYE; reçoit pensionnaires, accepte aussi pour repas. Dame, dipl. inf., ex-dir. poup. officielle, donn. soins maternels à quelq. enfants dans villa sur la plage de Pornichet-lesPins (Loire-Inf.), 15 à 18 fr. p. j. selon âge. S'ad. :Mme Prado, 165, r. Rennes. Paris ̃Vàc. Pâques et tte Tannée, fam. camp. prend penè. Conf. mod. 20 fr, par j. Motheré, Maligny (Yonne).

14, r. Lentonnet. Pension complète 26 f. par jour, chamb. seule 12 fr., av. s. de bains pnv. 26 f. Ascenseur, eau cour. Hôtel Villa Marceau, 37, av. Marceau, confort moderne, cuisine soignée. Téléphone Passy 46-13. Pension 30 à 35 fr. PENSION, 37, rue de la Tour, Paris (16e). Téléph.: Passy 81-58. Hôtel particulier, confort moderne. Cuisine soignée. jardin, à -proximité du Bois. Près Vittel, Mson de REPOS et CURE D'AIR en pleins bois, belles excursions. Cuisine 'soignée. Prix modérés. Prend enf.' 6 12 ans. Ecrire: Mme Bachelier, 103, Bd National, Clichy-sur-Seine. 9 Villa Bel-Air, av. St-Mandé. Pens. J., dern. conf. Jard. Px m. T.:Diderot 14-34 Villa Marie-Thérèse, tout conf., Jardin, 3g, Bd Argenson, Neuilly-s.-S. T. 111. ENVIRONS

Pr Pâques, tel., ch. et table aux Acacias, pens.fam.près gare.parc.pêche.for., cuis. bourgeoise. 21, r.du Pont, Ris-Orangis, Mats, du Dr Picard. Tavernv (S.-et-0.). Tous" malad., conval. Parc Dep. 25 fr. VÎUiaiATURÈS

'̃x- ). Jf; -••'

Pans MAISON FAMILIALE située à la campagne; joli pays, prés et bois, très sain, centre de la France, ON PRENu PENSIONNAIRES toute l'année, famille avec enfants ou personnes seules, nourriture soignée. Prix modérés. Ecrire Propriétaire Château SaintMexant (Corrèze).

LE PETIT PARADIS, Juan-les-Pim (Alp.-Mar.). Repos en famille. Notice. Vdc. Pâques. Pens. ds fam. Loire. Parc, tennis. leç. fr, étrangers. 25 p. jour. St-Dyé-sur-Loire (L.-Ch.), Mme Roger.

GARÇONNIERE avec salle bains, meublée.

A louer 1.500 francs par mois. 8, rue des Capucines.

A louer dans appartement privé, ensemble ou séparément, 2 chambres, salon, salles bains, tout confort. Ecrire; Rasre, ab. POP, 195, t. Grenelle.

M.COLLOT.59, BdMaleskerbes (8-) (St-Augustin) WALTER, 14, rue Vintimille (9") A. MARTIN, 7, rue. de l'Alboni (16°) CHEVILLET, 114, rue Lafontaine (16°) PELLIGRY, 2, Avenue Bugeaud (i6e)

HYGIÈNE

BAIGNOIRES av. chauf.-bains au gaz garanti et lavabo dep. 900 fr. Menuiseries, cheminées, grilles clôture, agencements magasins, meubles de bureaux. Chantier Mirabeau, 71, r. Convention. MODE ET COUTURE

Rotes gde couture à façon dep. 150 fr. Charlotte, 15, rue Mont-Dore (17e ar.). Robes, manteaux par cx-prem., trav. soign. Prix mod. Se rend. à domicile. Mme Daumas, 77, boulev. de Grenelle. COITIRIÈRE A FAÇO.\ Grand Chic Prix modérés. Flou, tail., transform. Eugénie ANTOINE, 7,r.Lapeyrère(18=) VÊTEMENTS

ftTTTUTIflN ]]A prix très avantageux ATTENTION soldons ne! laissés pour compte: Complets veston, pardessus haute mode et pardessus raglan, et faisons retouches gratuitement et dans la perfection.

NEUMEISTER, 10, rue la Condamine (Marcadet 25-52)

L'HABIT NE FAIT PAS'LE MOINE MAIS IL FAIT

L'HOMME DU MONDE

M. ADAMANDIDES, ex-coupeur des grands tailleurs, vous habillera bien. C'est un artiste qui adapte non pas votre personne à la mode, mais la mode à votre personne. Prix tout à fait raisonna6les. 6. rue des Morillons (15e), Nord-Sud Convention. Ce n'est pas central, mais vous ne regretterez pas le dérangement. Ouvert dimanches et fêtes jusqu'à midi, (Téléphone Vaugirard 04-31.) FOURREURS

FOURREUR Jack, ex-chef gde maison, se charge des rép. et transf., travail soig. 33, r. Vivienne, Bourse (T. Gut.66-75).

ACHETE et VENUS Vêtements hommes et dames, fourrures. soldes, laissés pour compte.

Vais à domicile. NEUMEISTER, 10. rue La Condamine (Marcadet 25-52).

f^ifi^L.

Baignoire Porcfter.ch. -bains, lavabo 685 f. Viant, 4, rue Armand-Moisant (15° ar.) ARMi.a

3. Bd St-Miche:7 Paris, achète ARMES D'OCCASION. FUSILS. etc. BIJO IX

J'achèterais bon-prix beau diamant ou bi? /oa.Ec.p.r.-v. Basset, 6 l.Bd Victor (|5e) QTTORT? ACHETE très CHER OLLDDlh BIJOUX or, platine. perles, brillants, vieux dentiers, dégagem. 80, R. ST-LAZARE m J'ACHETE Bijoux or j. 20 fr. gr.; platine j. 75 fr. vx dentiers j. 45 fr. la dent; bril., perles j.6.000 f.car. Garbous, 41, r. Pasquier (face gare Saint-Lazare). DIVERS

A l'occasion de son centenaire la Maison BROT met en vente 1.000 miroirs BROT à 1 .000 francs, conditions exceptionnelles de paiement. 8. rue Boissy-d'Anglas, Paris. A vendre b. AUTO ckyff, 0.95 c. de long, état neuf, ainsi que 2 chaises laqué blanc Louis XVI. Mme Haas, 12, rue des Wallons, Paris (5e). Ch.Elysées, 34, rue Montaigne. Chambres, salons, tout confort. P.-à-t. lux. dans hdt. particulier, sur jardin. 26, rue Ballu.

Pied-à-terre, tout confort, à louer de suite. 34, rue Desrenaudes (17. ar.). CHIENS

Chienne bull-dog franc., 18 mois, à vend. immédiatement, 8, passage Lepic, le matin, joli sujet.

Très b. Setter anglais, pur race, à vend., Visiblè, 3, rue Cuvier, Montreuil (Seine).

INSTITUTRICES

Française, 28 a., religion protest., brev. super., 10 a. séjour en Angleterre, ayant fait de l'enseignement libre, cherche situation dans famille ou institution en France ou à l'étranger. Ecrire: Mlle Yvonne Philippe, 82, avenue Wa^ram. COURS ET LEÇONS

Anglais, déb. ou convers. Miss Chadwick, 123, rue de la Tout (16e arrond.). Violon et accompagnement par élève de Lucien Capet. Jean Ma/f/iej(,15,r.Clauzel 1,4 IU\SEen six leç. part., forf- 60 f. LA V.\KSiïMorënai |7- av. Opéra. BRIDGE. Cours, tec. part. Mme Billet, 17 a. prof. 28, r. Printemps (17° arr.). TRADUCTIONS

Angl., bien franç., portug., ass. ail. et esp., fer. traduct. Hamil, 18, r. Milan. TRAVAUX A FAÇON

Tapissier dem. trav. à faç. ou forf., anc., mod., px mod. Simonin, 42, rue NoUet. JOURNÉES BOURGEOISES

̃̃•> ;̃; -r ̃ ;̃̃; -y;

Ling. dem. journ. bourg. p. l'entretien, raccom. Yvonne, 20, quai du Louvre. Couturière, dem. jour. bourg., neuf et rép. Mlle Marcelle, 3, rue Verdy, 16e Cout.-ling., f. neuf, transform., dem. j. bourg. Mme Borelly, 28, rue Salneuve. Jeune personne, demande journées bour- geoises, pour couture et raccommodage. JANË, 4, rue de la Bienfaisance.

Demande monsieur, expert affaires immobilières, pour créer et diriger service cette branche dans importante nouvelle maison. Voir M. Brown, 3, r. Taitbout, de 10 à 12 heures.

Recherche hom. monde ayant relations clientèle étrangère gds hôtels pr affaires import. Ecr.: José, 62, Bd de Clichy. On dem. agent cap., con. très bien la partie immobilière et Paris. Ecrire avec référ.: Boissier, 110,, Fg Poissonnière,

Agences de Placement .• •• •• -• •• La ligne 8 fr> Capitaux ̃• 1:0 fTARIF SPÉCIAL POUR LE FIGARO MARITIME

Jeune fille demande place début, commis d'architecte. 9e, 10°, 18° ar., exc.réf. Chàbrier, 10, rue Ch.-Hibërt, _ls|e-Àdam (Seîne-et-Oise). Licencié philos., connaissant italien, cherche secrétariat, recru bibliograprf., traduct., donnerait leçons particulières. Ec.: G.Marie, 42,r.Monsieur-le-Prince.

JSTÉNÛJIÂCTYLOS

Jeune fille, sténo-dattylo", connaissant l'espagnol, est demandêeT^-rMr André, 55 rue de Châteaudiin.

DONNERAI gratuitement à ménage retraité maison non meublée avec jardin, située en Touraine, mari ayant loisir pour s'occuper auto et rendre quelques services au besoin, références exigées. Ecrire: Ybare, ft'gato (Annonces).

VALETS DE CHAMBRE MAITRES D'HOTEL On demande valet de chambre connaissant bien service, excellentes référ. exig. Se présenter: 27, av. Champs-Elysées. Mme Pottier, 6, rue Férou (6°), dem. un sec. v. de ch. de 18 à 25 a.. recom. au cour.serv.Se p. 10 à 1 et de 2 à 3 h. On demande valet de ch. ou femme dé chambre pour service valet, ayant bonnes référencés, verbales., Se présenter, le matin: 55 boulevard Lannes (161?). Oh demande VALET-MAITRE D'HOTEL sérieux. Très bonnes référ. exig. S'adr.: M. André, 61, rue Scheffer.. FEMMES DE CHAMBRE

011 demande une femme de chambre faisant ménage, service table et couture, références exigées. Se présenter à Mme D., 8, square La Tour-Maubourg. On d. f. de ch., serv. tab., ménage, argenterie, référ. exigées. Se pres. matin 9 à 12, chez concierge, 12, rue Galilée. Dem. de ch.,mén.,co;it.,repas.,s.t.,jne, act., b.gag.,réf.ex. 14, rue de Provence. F. de ch., 25 à 35 a., mén., coût., s. t., sér. réf.,t.b.app. Se prés, le mat. ou jusqu'à 3 h. Froissart, 90, avenue Niel. On d. f. ch., réf. exig., serv. tab., mén., argent., chez Mme 1., 40, r. françois-l«. Se prés, de! 9 kj et de 6 7 h. On demande femme de chambre; très oon. couturière, service table^, .Présenter matin: Berthon, 4,,ri)^ïétroigrSd. On dem. pr Paris et Jura fem. de ch. très sérieuse, bonne couturière, repasf., réf. Mounier, 18, r. d Ar,i.aillé, faiis. F. de ch., b. réf., sachant couture, lav., repass., couchant appartement. Se prés, entre 9 et l h. D, r. Laiirent-ficnat. Dem. fem. de ch., fais. serv. enf,,couch., appart. Se présenter, 12 h, à Z il. et 6 à y. Maggiar, Ç£, Bd de Courceiles^ Ç>n dem. f. de chl, bon. coût., serv. t., peu men., sér. réf. exig. Se prés. jusqu à 3 h.: Weill Simon, i, av: Alphand, 16e. On d. f. de ch. sér., mén., cout., serv. tab. Pessancier, 23, rue du four, Paris. MÉNAGES

Dem. mén., très sér., v.-m. d'h., cuis.,

f.ch., réf. v. ex., pi. douce. Z.rn.Se p.

h. repas: H. G., 21 'rue" Çjénétal-Foy. On dem. mén.ou sépç vaK^maît^jd'h. et bon. cuis., fais. mén., réf. exig. et f. ch., sér. réf. ,f. mén., coût. -ling. Hôtel part. Fans et camp.Se pr.,de L à 6,7l,r.d Amsterdam Cherche mén., tr. b. cuisinière et v. ch. stylé pr Gaches. B. réf. Se prés.: Carassale, /5, r. Lafayette, Paris, 15 à !b h. On demande CHÀÛFFËÛR-MECANICIEN, CUISINIERE faisant un peu de ménage. Sérieuses références exigées. Ecrire: Camille, Figaro (Annonces). On dem. ménage domestiques, fem. cuisinière, et valet. Se présenter vendredi entre S (et 1 1 heures 32, av. Montaigne. CUISINIÈRES

Cuisinière, sérieuse, excellentes référ., bon. cuis. bourgeoise, salle à m., 4 mois Paris, 8 mois Saint-Cloud. Se présenter Mme H. Lehman,

45, rue Cambon.

Vicomtesse de St-Roman, 19, r. du Colisée, d. cuis. fais. mén.jreu Iay.,réf,ex. On d. cuis, jne, fais. méri.v 2 m. Se-pr. mat. av. Il h.: Vaux, 19, av. Eylan. On d. cuis. Jais. mén. ,2 maît.,réf.exig.Se prés. :2,R.Sontay,le mat.ou 18 h. à 20 h. VALETS DE PIED GROOMS

On demande jeune valet de pied. 38, avenue Marceau.

NOURRICES, BONNES D'ENFANTS On dem. NURSE ANGLAISE OU ETRANGERE, pariant français ou bonne enf. franc., pour deux anfants, expérience et b. référ. exig., bons gages, 3 mois camp. pend. l'été. Ecrire ou se se prés. '!e ma_t. Villa Georges, av.AndréGuillaume, Garches fS-O.). Tél. 2-60. Nurse-gouvernante pi 10 avril, camp. Normandie, 2 enf., 4 et 3 a. ex. réf. Se prés. 10 h.-et 1 h. 30: Hauteclocque, Il, avenue Elisée-Reclus (7e)

Pers. très sûre, excëfc cettif., pour nouv.né 5 et 7 ans. Panhard, 7,r .François-Ier BO^gOJLOtrT FAIRE

On dem. bonne à tout fifre, sérieuse, catholique, référ. exigées. Se présent, mat. Normand, -61, -rue' d Anfou..

On demande bonne à tout, faire connaissant cuisine pour 2 maîtres. Se présenter de 10 h. 30 à 2 h. 30: concierge, 26, rue Marbeuf.

On d.b.à t. f., genre f.de ch.,3 ra.,et f. de mén., repas. -cuis. ,b. gages, stable, excel.réf. 10, tue Dùpont-des-Oogès, de 9 à 4". h.; On d. b.k f.et f.de ch.ou débutantes. Gros gages. Mailfer," 37,r.du X>ragbn, 6e. WATTMEN.CHAUFFEURS

Dem. chauffeur mais. bourg., 40 ans env., expérimenté, prudent, stylé, exe. référ. exig. Se prés.: 36, rue Ampère, de 18 à 19 heures, avec certificats. On dem. chauff.-méc., excell. réf. exig. Ecrire: Patrick, Figaro (Annonces). CONCIERGES

On demande ménage concierges, mari et femme occupés, pour immeuble avenue du Bois-de-Boulogne, S'adresser à M. Havage, Société Foncière Lyonnaise, 53, rue de Châteaudun.

AVIS

Nous prions nos clients de mettre un nom dans leur adresse, la poste ne distribuant pas les lettres adressées à des initiales.

VETEMENTS

FLAGEOLET, 7, rue Bastien-Lepage (16*) -.v DEPAIX, 35> Avenue de la Grande-Armée (16°) Et au

CORDON BLEU, 129, r.duFaubg-St-HonorélS*) CORDON BLEU, 71, rue de la Pompe (16')

DAMES DE COMPAGNIE v- •̃̃ vGOUVERNANTES D'INTÉRIEUR

Jeune femme 'sérieuse, instruite,. musj-_ cienne, libre après-midi, demande place* dame de cie.- Vincent. Figaro (Ann.), Dame, très sérieuse, bonnes références; dirigerait intérieur, personne seule. *-rr Ec.: Mme Foy, 39, Bd de la Chapelle! DAME certain âge, économe Aet propre; cherche, situation gouvernante, fait cuisine, garde-malade ou bébé. Bonnes références. Ecrire: Danoise Figaro. Demoiselle, bonne fam., 24 a., partant allemand et français, music., cout., ch. situation comme dame de compag. aupr: dame âgée ou souffrante, bonnes référ. Ecrire: Jeanne, Figaro (Annonces). J. f., prés, bien, sér., exe. cuis., au cour. éd. d'enf:, d. t. int. pers. dist. slè ou av. enf. Ecr.: Veit, 9, rue Oudinot. GOUVERNANTES D'ENFANTS

Gouv.-inst., très expérim., catholique, parf. éduc., dés. pi. bonne famille pour 1 ou 2 enf., prem. instr., piano, sérieuses référ. Libre de suite. S'ad.: Mlle Bazin,167, rue de Charenton, Paris-()2e ai\). Jeune dlle, Allemande, Hambourgeoisè, bonne éduc., b. fam., sach. anglaIs; ch. pl.comrse gouv. d'enf. ou dame de comp. aussi erf Amér. Marthe, Figaro (An.). Française, exc. éducat., hautes référencés, bon anglais (10 ans Angl.), aime enf., s'occuperait jeun..filles, enf part de la journée. Séréza, 21, avenue NieK Suissesse, gouvernante, dem. pi. auprès:enfants. Walder, 91, av. Henri-Martin; SECRÉTAIRES.

Mr, 40 a.. dispos. loisirs ch. empl. tecrér taire conf. Manetsche, 195, r. Grenelle. STÉNO-DACTYLOS

DACTYLO INSTRUITE ET EXPERIMENTEE prend travaux chez elle. Ecrire: Dumet, Figaro (Annonces). EMPLOIS DIVERS

Excell. musicienne (gre léger) s'offre pr soirées. Claire, 18, rue de Milan.

DIVERS

VALETS DE CHAMBRE MAITRES D'HOTEL Suisse, gd, ft, ch. pl. valet de chambre déb. Rodolphe, Figaro (Annonces). J. hme tchécp-slov., 38 a., conn. 3 lang., ch. pi. val.ch.-m.d'hôt, place stable. Adr. Jean Cukr, 16, rJWagdèbourg (|6°). Ane. val. ch. -m. d'h. ch. à f.mén, argent.. ou dîners. Ecr. Jean, Figaro (Annonces). J. homme, 27 a., conn. franç., angl., ali., tchèque, exe. réf., d. pi. val. de ch., gardon, etc. Ecr. Léon, Figaro (Artn;). M. d'hôtel, référ. 5 ans; cherche place. Michelx /9, avenue Marceau. ValTch. dem. pl. av. Mi si, fais. cuis., tr. b. réf. Louis, Figaro (Annoncés^- M. d'hôtel-valet, actif, tr. soig., b. réf., d. place. Jules, 46, rue des Batignolles. Valet de chambre, 19 ans, d. place, référ. Méda, 3, rue de Duras. Mtre d'h.-val., soig., b. arg., dem. pi., b. réf. Albert, 3, rue de Courcelies. Valet-maître d'hôtel, 40 a., d. pi. cu extra. hourcade, lc-4, boulev. Haussmann. M. d'h., cél., sobre, gd, repr. bien, exc. référ. Bezolles, 23, rue Brey. J. hom., 16 ans, prés, par par., dem. pi. déb^Lch. Vallot,82,r. de la Fédération. M7^TnTT célib., I 80, Itafien,' actif, d pi. stab. Louis, 40, rue Courcelles. Val.-m. d'h. ou val. part., bon arg. b. référ. Charles, 136, Fg-Saint-Honoré. FEMMES i)£ CHAMBRE

Femme de chambre, 38 ans, sérieuse, repassage, lingerie, voyagerait, longues références, dem. place famille étrangère. Jeanne B., Figaro (Annonces).

F. de ch., 39 ans, très au courant serv., conn. cout., robes, aussi petite cuis, soignée, prendrait place chez pers. seule ds le 17e arr., b. réf., touj. placée, Ecr.: Clémentine, Il bis, rue Margueritte. Fem. ch. libre cause décès, gre kàjàe, d. pi. près pers. âg. ou int. à.ilaris. ~j~e

voyagerait pas. Réf. verb. s. Gagesmo-

voyagerait pas. Ré£. ,verb,s.G, ~¡¡~'mo.

dérés. Catherine, 34, avenue KlébetPersonne t. confiance, dév., t. b. réf., ch. pi. f.ch., tiendrait intérieur chez pers. seule, âgée ou mal. Ecrire Mme Debonneville, avenue Mozart, 114 (|6°) Femme de ch. dem. place stable., pas service de table, excellentes référ. Ec. Joséphine, 10, rue Keppler.

F: de ch.,con. serv., ayant référ., libre ler av., cherche place stable dans 16e. Madeleine,51, r.du Cardinal-Lemoine,5e. Fem. de ch., dem. pl., quartier Etoile, bnes réf. Marguerite, 21, rue Marbeau. F.ch.,36 a., serv. dame, coût. mén., eut. robe, linge, b. r. Cécile, 60,av.Malakoff. Fme de chambre, longues référ., très au courant service dame, donn. même quelq. soins, d. pi. st. Mme Suzanne, 40, r. Galilée lr0 f. ch., tr. sér., b". cout., d.pl.st.,serv. dame. Ecr. Marie^jS^jBd^Malesherbes F. de ch., 48 ans, d. place chez dame seule ou pers. âgée, donn. soins, couch. appart.^ b. réf. La Bourdète, 6,r.Lincoln Fme ch. d. pl., s. dame, coût., coif.d. soins, pjqûres, b. r. Mercjér,56,r. Boétie. F. ch., 28 a., courant serv., d. pl. avec valet. Andrée, 104, rue de l'Université. F. ch. dem. pl., s'occup. d'une -îtite fille, b. r.- Jeanne, 17, Bd Delessert. MÉNAGES

Ménage, chauffeur, femme de chambrecouturière, demande place, ensemble ou séparément, bonnes références.

Filliâtre, 137, rue;Caidinet (If^a Mén., chauf. -mécan. et fme de^ch. place mais. "bourg., sér,* réf. S'adrëssaïià Paul J., 7. rue Laurent-Pichat. ">.

Ménage, valet-maître d'hôt.; cuis., 40 a., très b. référ. de 4 et 5 ans, dem. place chez 1 ou 2 maîtres. Aucante, Figaro (Annonces), 14, rond-pt Champs-Elysées. Mén., val.-m.h. cuisinière capable, réf., dem. place. André, 10, avenue Hoche.1 Mén., m. d'h. et f. de ch., cout., d. pi. réf.v. Pierre, 4,pas.St-Philippe-du-Roule. Mén., dem. pi., val. -cuis., fem. de ch. Ec. Joseph D., 63, avenue de Villiers. V.-m.b., cuis., 50-45 a., d.pl. 1 ou 2 m., ou plconc.. b.r. Ec.: Judel, 4,r. Piccini CUISINIÈRES

Cuisinière, 30 ans, ayant appris cuisine, demande place, de préférence avec aide, références verbales. Mlle Henriette, 9, rue Waldcck.Rousseau (17e).. Cuisinière, 36 a., sér., dem. place stab., 1 ou 2 maîtres. Bonnes références. Marie, 2, tue Tronchet (8').

Cuisinière capable. Alsacienne, dem. pl., irait préférence à la mer, bonne référence. MARTHE, 65. rue de Rome.

TrèlT bonne" cûfsînîêre-pâtissîërë, 42 ans, dem. pi Berthe,- .-33," rue" de CRazeiles. Fine cuis, sér., 33 à., 1. réf., d.pltr.st. Ecr. ts détails: Sylvie, Figaro (Ann.). Cuisinière dés. pl. ou extra, b. référ. Ecr^ conditions: Maria, 226, r.Vaugirard. Cuis. dem. pi. stable, préfér..16° arr. Thérèse, 170,' Faubourg-Saint-Honoré. Forte cuis, chef, réf. 1er ordre, avec aide. Joséphine, 23, rue Villejust. Cuis.-pât., tr. sér., d. pl., référ. Mlle Le Mpustarder, .4, rue de la Renaissance Bonne cuisinière, demande extra. Ecrire: Mme. JANE,/ 26, rùe.-Jouffroy.

Cuis, sans ménage demande place ou extra. Flora, 87, rue da Bac. Cuisinière," capable et sérieuse,, libre pre.mière quinzaine d'avril* dem. extra pour la saison. Jeanne, 7, quai Voltaire. ̃ Cuisinière-pâtissière demande extra. Anna, 1 1 R, rue de la Faisanderie. Cuis. f. p. mén. ch: pi., T>. réf., hôt? part. s'abstenir. Louise, 17, "BdDelessért~ Cuisin. -pâtissière, dem. pi.' s. mén., bon. réf. Jeanne, '79, rue Chardon-Lagache. Cuis. s. mén., 40 a., d.pl.3 ou 4 m..Paris camp., s. réf. Louise, JKjj Magdebourg. CÛISlNlERË7^emande""7lace. Ecrire MARIE; 44, rue 1" Annonciation. NOURRICES, BONNES D'ENFANTS Nourrice sèche, bonnes références, dem. place -près nouv.-né", libre 1er avril: S'adresser: Mme Jusserand,

37, rue de la Bienfaisance' (8e)

Je cherche, pr Suissesse, bon. éducat. part. allemand, notions .français, place bonne d'enfant. Ecrire: Méli, 35, rue du Banquier.

Excell. nurse, rec. par maît., ch. pi. av. nduv.-né. Pyle, 2, Octave-Gréard (7e). Suissesse-Fr,, sér., ch. pl. pr. enf.,exp., exc. référ. y. Jane, 9, rue Washington. Nurse franc., dipl., recom. par m., ch. pl. n.-né. Ec.: Jarraud, 148,av.Wag:am. BONNES ATOUT FAIRE

Veuve, 33 ans, bonnes références, désire place chez personne seule. Ecrire: Mme Henri, 77, rue de Montreuil,

à. Versailles.

Bonne à tout faire dés. trouver place chez dame sle,_sach_> cuis.i.mén. rep., linge fin. Ecr, Camus, 1, avenue Marceau. VALETS DE PIED, GROOMS

Val. de pied d. pi. chez Mr seul, voyag., bnes réf. Bronislas, Figaro (Annonces). FEMMES DE MÉNAGE

Jeune fille, toutes mains, 30 ans, sér.. excell. et longues références, fais. bien cuis. courante, dem. mén. de 9 à 5 h. Ecr.: 'Madeleine, Figaro (Annonces). Fem. ttes mains dem. heure de mén. ou cuisine. S'adresser 19, rue Phalsbourg.

WATTMEN-CHAUFFEURS Chauffeur-mécanicien, Italien, 36 ans 16 ans pr. -très capable, réf. premier ordre, cherche place maison bourgeoise Ecrire Fiorentino, Figaro (Annonces,. Chauf.-méc., 38 a., 1. prat. d. pi. Paris ou prov., ex. réf. Pittet, 11, quai Bourbon.

AMÉRIQUE DU NORD

LE HAVRE (Départs)

De Grasse, 1er avril Sufjren, 4 avril l, Compagnie Générale Transatlantique. 6i nieE/Aûber, Paris. 89, bçiuleyçrd de Sjrafboufg, Le Havre -:• 1 CHERBOURG (Départs)

Orbita, 3 avril Royal Mail, C°, 12, boulevard des Capucines, Paris America, 29 mars United States Lmes, 1, rue Auber • BOULOGNE (Départs) Cleûeland, 28 mars United American Lines, 1 r r Scribe EXTRÊME-ORIENT

MARSEILLE (Départs;

Chantilly, 9 avril Compagnie des Messageries Maritimes. 8. rue Vignon /Amiral-Gonty, 15 avril i v. Çliargeura Réunis, 3, Bd Malesherbes Kaisar-I-Hind, 27 mars Peninsular Oriental Steam Nav. C°, 41, boulevard des Capucines, Paris ÉGYPTE ET SYRIE

MARSEILLE (Départs)

Sphinx, 31 mars Compagnie des Messageries Maritimes, 8, rue Vignon ALGÉRIE-TUNISIE

MARSEILLE (Départs)

Alger, tous les mardis, jeudis, samedis

jTanh, tous les mercredis

Compagnie -Générale Transatiàntiqae,

6. rue, Auber -:•

Pour passages, transport ci enregistrement bagagesi fret et tous renseignas' adr à MARSEILLE, A G.-A. SCHNEIDERfî.!SL5G8Efe

CieSUD-ATLANTIQUE CHARGEURS RÉUNIS

DEPARTS JE dd^DEÀUX, LE HAVRE ET LA PALLICE sur la BRESIL et LA PLATA

MASSILIA, À avril. LUTETIA, 2 mai. Malte, 7 avrtL Aurigny, 17 avril.

Desirade, 28 avril. Lip^ri, 7 mai.

3, BOULEVARD ̃ MALESHERBES PARIS Téléphone Elysées C9-29 à 69-35.

LLOYD ROYAL HOLLANDAIS

SERVICE POSTAL RAPIDE via Southampton-Cherbourg LE BRÉSIL et l'ARGSNriNE ORANIA, 26 mars. GELRIA, 9 avril. FLANDRIA, 23 avril.

Agents DES BOIS & A. CABAUD 5, rue Edouard-VII, Paris

SlLLE A MANGER

Louis XVÎ, très belle fabric, 2 buffets, 1 ârgenl., 1 tab.,12 pliais., 2 faut. Occ. except. 5, r. Bellefond

Mécanicien-chauffeur, 28 ans, connaissant Paris, avec meill. référ.. demande extra de 14 à 24 heures dans garage ou mais. du 1er avril au 10 juillet-- Eçrire VIDART, 104, r. du Bac, Paris. Ghairfi-méev, 35 a., très sérieux, .recom. par maître, cherche place stable, parle anglais. Etienne. -Libre le I". avril. 38, rue Damrémont» Paris.

Chauff. -mécanicien, 12 ans pratique, demande place maison bourgeoise, sérieuses références, marié.. Ecrire: M. Jean Durandel, 93, rue Vercingétorix (14° ai.) Chauffeur-mécan., 26 ans, 9 ans prat,, b. réf., dem. pi. mais, petit service -lans .16°.' Gardin, 4, rue Exelmans. Chauf. prem. ord., 35 a., d. pi., réf.p.m. Ec. Daguenet, 9, rue Jean-Marie-Jégo. Chauf.-méc, 39 a., d. pi., tr. bon. réf. Nicolas, 34, rue Charles-Baudelaire. Chauff. -mécan., marié, demande place. B. K. Orselli, 63, rue Monge, Paris. Chauffeur-mécanicien, célib., demande place, b. réf. Charles, 7, r. Las-Cases. Chauf. début, dem-pL_ rnajs._jbpurg.J bA réf. Ec.: Corbel, 42, 'rue Jeân-Goujon. Chauf., référ. premier ordre, lïb. suite, ,dem. pi. Dauffy, "2, villa Croix-Nivert. Chauf., 40 a., d. p|. Paris ou camp.,fme occup. de préf. Dubois, 55, Bd Pereire. Mécan. suisse, 25 a., ch. pl. com. chauf.méc. ds prov. Adolphe, Figaro (An.). Chauff. -mécan. dem. place, bon. réf. Calbry, 17, rue de la Bienfaisance. Ch.-méc.,25 a.,cél.,b.réf.,d.pl.m.b. préf. Joy.Çasemajor,51 Bd Pereire(Galv.54_-82). Valet-chauffeur, célibataire, bon. référ., dem. place. Albert, 46, rue Spontini. CONCIERGES

MENAGE, anciens domestiques, demande place de concierge.

Péron, 16, avenue de la Gare,

Argenteuil (Seine-et-Oise).

Ménage, déjà concierge, dem. place femme seule, mari empl. administ., sérieuses références. Ecrire: Emile,

9, rue Georges-Berger (17e).

Mén. d. pi. concierge ou gard. propriété ds dép.Sein. Ec. Labarre,! av. Marceau. -Mén. ayant déjà- été conc. d. pl., bon. réf. S'adr. conc, 81, rue La Boctiè. Agences de placement Agence Ste-GeRsviève

155, .Faubourg-Saint-Honoré, Maison Chalot, Tél. Elysées 35-42. La plus sérieuse et la plus importante. Place et procure de suite excellents domestiques munis de référ. contrôlées par l'Agence.

ÛdPnPP Sfl!îîff!P|i6'' boul. St-Germain

fUjeill-H OUIIIIIitil (Gobdins 07-77). Aussi SERIEUSE qu'IMPORTANTE Place et procure jour même: bon. à t. f., cuisin.. f. de ch., mén. et t. les début. Grande Agence Monceau 24 bis, Bd de COURCELLES (Tél.: Wagram 47-86). Très connue pour son excellent ,personnel. Procure de suite les meill.places dans sa client.nombr.et chois.

t~ KttRFtt) principal de la Plaint:

Monceau, 36. rue if Lévîs, nombreuses places pour maison, bourgeoises. Ne pas écrire, se présenter de 9 heures à 6 heures (Wagram 84-23).

AMÉRIQUE DU SUD

BORDEAUX (Départs)

Massilia, 4 avril

Compagnie Sud Atlantique. Char-

geurs Réunis. 3, Bd Malesherbes, CHERBOURG (Départs)

AXmànzora, 3 avril Rovai* Mail Steam Packet C», 12, Bd des CanMcines. -• Orania, 26 mars Lloyd Royal Hollandais, 5, rue Edouard-VII •:• •'• LA ROCHELLE-PALLICE

Oropesa, 11 avril Pacific-Line, 12, boulevard des Capucines, Paris GÊNES (Départs)

Duca-Aosta, 1er avril Navigazione Générale Italiana, 10, Bd des Capucines, Paris AFRIQUE-MADAGASCAR

LA RÉUNION

BORDEAUX (Départs)

Dakar, Conakry, Grand Bassam, Fort Gentil, Borna, Matadi

Tchad, 18 avril Compagnie des Chargeurs Réunis, 3, Bd Malesherbes. Paris. MARSEILLE (Départs)

Djibouti, Aden, Zanzibar,

Mayotte, Nossi-Bé, Tanjatave, la Réunion, Ile Maurice

Général-Voyron, 2 avril Messageries Maritimes, 8, r. Vsgnon CUBA-MEXIQUE

SAIKT-N AZAIRE (Départs)

Cuba, 5 avril -> -;+ Compagnie Générale Transatlantique. 6, rue Auber -:̃ -:•

Départs pour:

RIO JANEIRO, SANTOS,

DUCA AOSTA, 31 mars,,de Naples 1er avril, de Gènes.

PSSA MAFALDA, 16 avril, de Gènes 17, de Naples.

10, boulevard des Capucines Paris

AnC5 Qte QnlanrîO nouvelle direction

pnCe Ste.Sola'-n- D,a 6,r.Robert-~stienri,

Ag 0 -OOIallge ô.r.Robert-Estiem.

(Elys. 73-84), donne aux -naît, les'meill. letvit., aux b. servit, tes meilleures places Agence GARNIER, 4,pass.St-Philippedu-Roule(El.18-30).On y trouve les '.neil. servit.av.b.réf.Les b.serv.trouv.de b.pl.st CHAUFFEURS Ier ord. proc. arat. p. Société des Chauffeurs, 6, r. FrédéricBastiat (Téléphone: Elysées 39-53). AGENCE SAINT-CHARLES, 16. av. Villiers (Wagr. 87-23), .place de suite domestiques deux sexes avec références, Le Syndicat des gens de maison, 6, rue Larribe, pl. vite et bien les b. serviteurs A L'ASSOMPTION. 37, Cb.-d'Antin, place suite personnel avec gros gages. Agence SCHMIDT. placement domest. de conf. 6, av. Carnot. Wagr. 34-98. Açence de l'Etoile, lO.r.du Dôme (168). Placem. Personnel sér. T.:Passy 60-89.

I FMPFRPIIR 12.r,lÈperon. Fleurus

LEMPEREUR, ,12,rn;:per~n.Fleu~ul

LtlnrCntUn, 143.75. Servit.de choix.

Cabinet Gerson, 6,r. du Havre.Enq.,missions, recherch.Mais.l" ord.Cent. 09-80.

LES OCCASIONS

CABRIOLETS

Voisin 18 HP C3, riche cabriolet Baehr, comme neuf. Binier, 45, rue Vineuse. Cabriolet Panhard "l 6~H pTslî. 1921, entièrement remis à neuf, occasion except. Ecrire: Beauvillain, 9 bis, rue Bugeaud. CONDUITES INTERIEURES A vendre, occasion, cond. int. Citroën très bon état. S'adresser: Société Moteurs Salmson, service commercial, 102, rue du Point-du-Jour, Billancnurt.

Hotchkiss 12 HP, cond. int. Weymann luxe, nve, contrat à céd. pr cse dép. disp. imm. Px int. Ec.: A. T., 6, r.Col.-Moll. Américain, quittant Pans, désire vendre 18 CV Voisin conduite intérieure de luxe, REELLE OCCASION, parfait état de marche. Tellam, Figaro (Annonces). Cond. int. Renault 12 HP, éd., dém. élect., 2 r. sec., bien entret. Prix mod. Roussel, avoué, à Dreux.

Suis acheteur conduite intérieure 10 CV et camionnette poids utile 600 kgs, ttes deux av. éclairage et démarrage électr. Ermitage de l'Hautil, par Triel (S.-et-0.) COUPES-LIMOUSINES

Coupé LIM 1 8 CV VOISIN 1922 .parf.ét.Px int. Lutctia, 29,r.Duret. LIMOUSINES

Limousine 16 Panhard, parfait état de marche, carros. Felber. Eclair. dém. élect. S'adr. de 9 h. à midi, 63, av. de Villiers. DIVERS

Echang.torp.Chenard 10-12 CV,4 pl.1922 ou achèt.voit.sport,3 3 pi. vite.fr. AV,réc, b. et. bon. occas. Hild, Nyons (Drôme).

Pour -tonte commande de livres annoncés ci-dessous, écrire an Secrétariat de la Librairie du FIGARO, 14, Rond-Point des Champs-Elysée?. JPrière d'ajouter les frais de port au montant tfèS-li*s-aés£ré*S*i-* PugÈNE MULLÈR: La Mionette. Un vol. in-16 broché en partie non coupé, orné de 28 compositions de CORTAZZO gravées à l'eau forte par ABOT et ClapÈs. Paris, 1885. Edtiion Conquet sur vélin teinté. Ex. très frais de cette œuvre charmante: 48 francs.

HENRI BÉRAUD: Lazare, roman. Un volume in-16 br., non coupé. Paris, 1924. Edition originale sur alfa: 40 fr. HONORE. DE BALZAC: Les Chouans. Un vol. in-4 oblon orné de nomb. comp. dans le texte de Julien Le Blant, grav. sur bois par Léveiflé. Ex. à l'état de neuf avec lequel on joint une suite dé huit eaux-fortes pour illustrer le volume, présentées dans un cartonnage .séparé et un exemplaire en feuilles de la préface de Jules Simon. Tel que: 130 francs. EMILE Zola La Débâcle. Un volume in-16. Demi-rel. à la bradel percale gris perle avec coins, non rogn., tête jasp., couv. et dos cons. Paris, 1892. Edition originale, très rare, état de neuf 65 fr. EMILE Zola: Travail. Ouv. compl. en deux tomes gr. in-8. Ex. broch., non coup. Etat de neuf. Paris, 1901. Edit. orig. Ex. sur grand papier de Hollande: 150 francs.

ALBERT ROBINAT: Le Vingtième Siècle, texte et dessins. Un vol. in-4° contenant 48 pl. en sanguine, bistre, vert foncé, bleu, noir, etc. Nouv. édit. Paris, 1884. Ex. en feuilles, la couverture est jointe. Ouv. rare: 90 francs.

A BEL HERMANT. La Dame de la Gaerre. Paris, 1923. Un vol. in-16 broché, bon état.. Edition originale 1 francs. T AURENT TailHADE. Discours civiques (4 nivôse an 109-19 brumaire an 110). Un vol. in-16 orné en frontispice d'un portrait de FÉLIX VALLOTON, br., non coupé. Paris, sans date. Edition originale 18 francs.

L'ART, la Religion et la Renaissance. Essai sur le dogme et la piété dans l'art religieux de la Renaissance italienne,

MONTEVIDEO, BUENOS -AIRES

RHUMES

GRIPPES

et tous malaises d'un caractère fiévreux sont soulagés par quelques comprimés d' ASPIRINE "USINESduRHÔNE" LE Tobe DE 20 Comprimés 2 (r.

Réclamez la marque "USINES du RHONE" (étui vert) garantie d'une préparation parfaite et d'un dosage rigoureux.

PnlîOO nnîUPP L. Guillaume, ex-im»

Polios Privée L' Cuillaumé, es-ina.

rOllljS pPlïBB peCt. Sûr. Rensejgn. Enq. av. mariage. Survéill. Miss. Rech. Divorce.58 bis,Chaus.-d"Antin(Tr.l4,G2)«

nnDnU ancien chef de la Sûreté de

CORON ancien chef de la Sûreté de

IlSj K Uni Par's- Enquêtes, renseigne» ̃ ments. surveillance,

8. rué de Berri. PARIS.

Uannîc 34, r.St-Marc,rens. s. tout, partout, littlIlO enq.,surv.,div.Cent.8I-5i. 49-15

Sans connaissance spéciale, un homme tant soit peu travailleur, disposant de 12.500 francs, peut établir chez soi, avec ou sans personnel, une petite industrie d'un bénéfice net garanti réalisa- ble de 1.500 à 2.500 francs par mois. Ecrire: Bertrand, chimiste industriel, 225, rue Mandron, Bordeaux." Sit. agr. pour pers. disp. de 75.000 gar.» hyp. Ec.: Lam, 101, rue La Boétie; L'lrnt»imeur-G étant DETOT. Imprimerie du Fisato, 26, r. Drouot,Patii

Très joli cab, 3 places, sur 6 CV RçJ nault, état neuf, t. les j., midi à 2 h.: Marcel 32, av. Pierre-Ier-de-Serbie. ̃ 12 HP Panhard 1923, coupé Kellner, état neuf, 25.000 francs. Visible: Garage, 48,av.Malakoff. Téléphoner Passy 64-75., A vendre BUGATTI état neuf 1924, type 2 1. 8 cylindres, spéciale, carrosserie Lavocat et Marceau, 4 places, 6 roues, éclair. sélect. Marchal. S'adr. FigaroJ TORPEDOS

PflNHftRn sans soup. 16 CV. Mo-

PANHARD dèle !921, 16 CV. par-

rHnnanU dèle !921, torpédo, par

fait état de marche et tous accessoires.' S'ad. M.Mandeler, 3,r.Lentonnet, Paris,

'RE~E~T ~0 CV 19~~

Torpedo 4 places série luxe sur conforts, très peu roulé. Outhenin-Chalandre,' 4, r. Chartres, Neuilly (Porte Maillot)..

AMTTfUT? touriste 1924, état

AMILCAR abi. nf., éompt., 'état;

AlUlijVjAll abs. nf., compt., fil-

tre. Cause double emploi. Vis. 98, r.' Gide, Levallois-Perret (Wagram 43-31), Torp Citroën 4 places, série luxe, mon- tre, compteur, kiakson électrique, très peu roulé, 12.000 fr., Maurs.

A céder 16 CV PANHARD 1923, tor* pedo grand luxe, état neuf, S'adresser: î MAGER, 45, Faub. Saint-Antoine. LOCATIONS D'AUTOS

Superbe landaulet RENAULT rentrant à Paris 1er avril prendrait voyageur à 1.50 le kil. Chaudron, 27, av.Cesambrois,Nice. A louer au mois, landaulet de Dion neuf. Vogt, 5, r. Yvon-Villarceau, Passy 52-38. Voitures à chevaux, coupés, à louer 1 .200 fr. p. mois. Chevalier, 27, Bd Pereire.

par J.-C. BROUSOLLE. Un vol. in-8 orné de 139 gravures, broché, non coupé. Edition orig.: 15 francs.

CH. SIMOND et M. C. PoINSOT. La vie galante aux Tuileries sous le Second Empire. Un volume grand in-8 orné de 12 planches hors texte, portraits, estampes et dessins, vigpettes .d'après les tableaux dé- coratits cju Palais des Tuileries. -Ex. bf. non coupé, état de neuf. Paris, sans date. Edit. orig. 25 francs.

Le amer des oingt beautés. Eugénie. La princesse Mathilde. Noblesse d'Eni' pire, de Monarchie. Les lundis de l'Impératrice. Les Trois Grâces. Les Trois Blondes. Les Trois Brunes, etc.

HENRY BATAILLE. La Quadrature de l'Amour. Un volume in-8 carré, sous couverture rempliée. Paris, 1920. Ex. broché, non coup., de la même année de l'édit. orig.: 20 francs. Yp Les Cayenne de Rio. Un volume in-16, broché. Paris, 1899. Edition orig.: 16 francs.

TSABELLE EBERHARDT. Trimardeur. Roman. Terminé et publié avec une préface par VICTOR BARRUCAND. Ex. br.; non coupé. Paris, 1922. Edit. originale: 16 francs.

ADOLPHE BELOT. La Fièvre de l'Inconnu. Un volume in-16 br., dos légèrement réparé. Paris, 1878. Edition originale 15 francs.

ADRIEN LE Corbeau. L'Heure finale. Un volume in-16', br., non coupé. Paris, 1924. Edition originale: 20 francs. ADRIEN LE CORBEAU. Le Gigantesque, Roman d'un arbre. Un volume in-16, br., non coupé. Paris, 1922. Edition originale 22 francs.

GEORGES LECOMTE. La Lumière retrou\-X vée. Roman. Un vol. in-16, br., non coupé. Paris, 1923. Edit. orig.: 22 fr. Diamants. La fête des Calebasses, etc. CORA LAPARCERIE. J'aime. Poèmes. Un volume irir 16 carré, broché, non coupé. Paris, .1924. Edition orig. 15. flancs. JEAN RICHEPIN. Madame André. Un volume petit in-16, broché, en bon état. Paris 1887. Edition originale: 25' h ANDRÉ BEAUNIER. L' Assassinée. Un «̃> in-16, broché, en parfait état. Paris,, 1922. Edition originale 1 francs. NDRÉ BEAUNIER. La Folle Jeune Fille* Un volume in-16 broché. Paris, sans date (1922). Edition originale: 15 francs.

PARIS-MONOAfN 1925 Vient de paraître

Edité luxueusement. Renseignements pratiques. Chez les libraires et chez l'éditeur, 2, rue de la Pépinière. Paris (8e). Wagr. 05-91. Franco: 30 fr. PAPIERS PEINTS André Bouclier at -1 105, r. St-LAZARE (en face gare;. Central 25-25 et 31, r.,DE TOCQUEVILLE'ïm) JClysées 90-oti Peinture à l'huile préparée r fr. f)T (2-i nuances) le Jdlo 41 £$}̃ < et tout ce qui concerne la décoration intérieure ANNUAIRE DESÔHATEAUX Prix 40 francs

La Far» fld* Chsmssée-iTAntin. 53. Tel .Tru'î 08-31

DOULEURS