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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1925-02-24

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 24 février 1925

Description : 1925/02/24 (Numéro 55).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2942801

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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*'AD LIMÏNA.

<lj< Nous publions, ci-après, des déclã^ rations dé M. de Monzie qui revient de Rome. Nous lès publions pour leur intérêt et aussi, un peu, pour le plaisir d'en faire la critique.

D'abord, comme on le verra, le sénateur du Lot ne garde qu'un regret de son voyage c'est qu'il l'ait empêché d'entendre le discours de M. Caillaux. Nous avons ici des raisons particulières et générales de ne pas nous associer, fût-ce de loin, à la louange des « papiers de Florence ».-

Nous eussions préféré ne pas reproduire l'éloge que fait M. de Monzie de l'éloquence de M. Caillaux., si cet éloge ne prenait une saveur curieuse, intervenant dans un plaidoyer pour le maintien de l'ambassade au Vatican. On se rappelle qu'à Magic-City, M. Caillaux s'abstint de toute allusion anticléricale et même d'approuver le vote concernant l'ambassade. Laissons aux esprits doués de finesse le soin d'iïiterpréter.

Un autre point curieux des déclarations de M. de Monzie, c'est qu'elles tendent à séparer l'affaire? du Vatican de l'attitude ou de la cause des catholiques français. Le tour paraît fort ingénieux et, d'ailleurs, traditionnel. On revient ainsi à la formule « L'anticléricalisme n'est pas un article d'exportation ». Un ajticle qu'il ne faudrait pas exporter même à Rome.

La thèse se tient très bien in abstracto. Nous hésitons à croire qu'on puisse la faire admettre à Rome. En tout cas, on aura beaucoup de peine à l'adapter aux réflexes de la politique française réflexes catholiques et réflexes anticléricaux. Il ne faut pas oublier que c'est précisément l'annonce, par la déclaration ministérielle, d'une rupture avec le Vatican qui fit sortir les catholiques de leur état d' « apaisement )). Quant au Cartel des gauches, nous le fréquentons peu il nous semble, toutefois, que ses membres ont encore moins le goût de plaire au Vatican, que de contenter les électeurs catholiques. M. Herriot, qui connaît ses troupes, fit, tout au long de la discussion sur l'ambassade, le procès et le seul procès de la curie romaine.

Négocions des compromis avec Rome. si nous devons, .vraiment, en être réduits aux compromis. Pourtant gardons-nous de l'excès de finesse nous y serions toujours inférieurs aux Romains. La « politique de la présence » est une trouvaille ingénieuse.Mais les grands diplomates savent que la « représentation » surpasse de beaucoup, en efficacité, la simple « présence ». Quant à la politique religieuse des démocraties, un homme qui fut révolutionnaire, André Chénier, en a donné la vraie formule laïque « Les prêtres ne troublent les Etats que" lorsqu'on s'occupe d'eux. » Lucien Romier.

ECHOS

La neige et.le mardi gras.

De peur que le mardi gras ne soit trop gai, la neige s'est mise à tomber dès hier. Si elle tombe aujourd'hui encore, les costumes de pierrots seront à bon marché 1 Mais, dernière manifestation des joies populaires, les midinettes descendront-elles dans la rue, et les faubourgs se jetterontils dans les boulevards ? 9

Dickens a imaginé un personnage délicieux, Mark Tapley, qui met son orgueil à rester jovial dans les plus désagréables circonstances.

Si vous voyez cet après-midi, sous la neige, un déguisé qui a l'air de s'amuser pour de bon, n'hésitez pas a le reconnaître. C'est Mark Tapley en personne.

-<>-<><:>-

Les nouveaux autobus.

La Compagnie des Transports en Commun a mis en service sur la ligne ClichyPalais-Royal, des autobus rapides ©t légers dont les roues jumelées sont montées sur pneumatiques.

Ces nouvelles voitures, dont la seule entrée est en avant, derrière la place réservée au machiniste, sont bien closes et ne se prétent pas facilement à l'installation des courants.d'air..

Employées d'abord aux services spéciaux tels que les transports aux différents champs de courses, elles ont eu tout de suite la faveur du public.

Si leur emploi se généralise, le problème 4e la -circulation en sera amélioré.

oOC 0

?., Tous contrebandiers. ̃̃'

En Amérique, tous ceux qui ne sont pas des prohibitionnistes militants sont des contrebandiers.

Le- dernier arrêté n'est autre que le concierge de la Chambre des représentants, à Washington.

Cet honorable fonctionnaire ravitaillait en alcool nombre de sénateurs et de députés. Dénoncé par M. Cooper, député de 1 Etat de l'Ohio, le concierge fut mis en prison avec un dentiste et trois « contrebandières» qui étaient ses complices.

Il a été- destitué, mais son successeur reprendra sans doute sa clientèle clandes-

tipe. _<>x:><

Un arrivage très Important de Beaux Mah-Jongs Chinois est exposé à la Maison des Bambous, Perret-Vibert, 170, boulevard Hauesmann,' à l'angle de la rue de Cout-celles, en menue temps qu'une sélection unique à Paris de porcelaines, bronzes, ctoizonnés, broderies et Jaques anciens d'Extïême-9rient, des prix tics intéressants. Le Masque de Fer.

M. de Monzie est de retour de Rome nous donne ses impressions, qui concernent aussi. M. Caillaux

Entra deux Voyages à Moscou et à Rome, M. de Monzie reste égal à luimême. L'ingénieuse sollicitude qui guide ses pas, dans le dédale des diplomalies les plus compliquées, participe de l'équilibre intellectuel auquel se plaît, sous un inséparable béret basque, ce cerveau bouillonnant.

,Je.l'ai retrouvé hier matin uevant un beau feu qui le consolait .d'avoir perdu le soleil de Rome. Sa demeure, d'habitude si pleine de turbulentes activités, était au cran d'arrêt. Si l'on savait que M. de .Monzie avait quitté l'Italie, on ignorait encore qu'il fût arrivé à Paris. Auss' le téléphone faisait trêve un calme relatif pesait sur les choses notre hôte en était comme dépaysé. Dans son visage très nu, très rond, pétri de vivacité, les feux mouvants du regard cherchaient l'objet familier, tandis que les mains, nerveuses, agiles, fouillaient,les correspondances accumulées su™ sa table.- -̃'̃ Vous ne me croiriez pas, me dit-il, si je vous disais que je suis allé prendre l'air à Rome. Mais, en vérité, j'ai été prendre l'air de Rome.

Pour compte de qui de droit ? Non, certes, M. Herriot ne m'avait pas plus mandaté pour aller au Vatican que .M. Poincaré, en 1923, ne m'avait prié d'aller au Kremlin.

N'avez-vous pas parlé quelque jour de diplomatie oblique ?

Mais poui 'a répudier. Quant à l'autre, la vraie, la seu'e, M. Herriot m'a fait le grand honneur de m'offrir le poste qu'occupa si bien mon ami Jean Herbette. J'ai décliné l'offre comme j'avais fait en janvier 1920, quand M. Paul Deschanel, nouverement élu, songea à m'envoyer en ambassade au Vatican. Il me suffit de collaborer à la reprise des relations avec la Russie je tiens à ce que la France soit représentée, mais pas spécialement par moi.

De façon ou d'autre, vous avez tenu à approcher le Saint-Siège ?

C'est un sentiment assez naturel pour qui a mené campagne en faveur du rétablissement des rapports avec le Saint-Siège, sans asroir jamais eu con^ tact ni avec la Curie romaine ni avec l'épiscopat français.

Est-il permis de vous demander si,' t à ce contact tardif, votre thèse sur la politique de la présence s'est modifiée ou renforcée ?

Je me rappelle avoir, il y a vingt ans, visité Sainte-Sophie avec grand universitaire et cet homme de cœur qu'était M. Bayet. Il était radieux de constater que le chef-d'œuvre de l'art byzantin était tout pareil à la descrip.tion par lui faite sur la foi des plus exactes recherches livresques. « Elle est comme je l'ai décrite », s'écriait-il avec une jode ingénue: de savant.. Excusezmoi, j'ai eu la surprise heureuse de M. Bayet la question posée, in abstracto, dans mon livre Rome sans Canossa, qui date de 1918, est bien telle qu'elle se pose au vu des réalités romaines. Il faut être là-bas.

N'a-t-on pas annoncé que certaines nations représentées à Rome se disposaient à suivre notre exemple et à supprimer leurs légations ? 9

J'ai entendu parler de plusieurs arrivées prochaines, mais je n'ai entendu parler d'aucun départ probable, en dépit de certaines démarches assez cu- rieuses. Il règne, à la secrétairie d'Etat, une activité concordataire qui n'est ou ̃m .saurait être indifférente aux hommes d'Etat français.

Ne vous êtes-vous pas entretenu avec .le cardinal Gasparri ?

Aussi vrai que Tchitchérine a conversé naguère avec l'archevêque de Gênes. Serait-ce.donc interdit à un politique français Ma laïcité n'a rien de la vertu des Tartuffe. Au surplus, je n'avais rien à proposer au cardinal, et lui n'avait rien à m'offrir.

Votre impression sur l'homme, s'il vous plaît ?

̃ Un bien grand juriste, monsieur, un Tude juriste connu pour tel par ^es meilleurs de cette Italie, qui n'a pas oublié les traditions du droit romain. Vous avez donc reçu une leçon de droit ?

Dites plutôt une leçon de sérénité. La sérénité est l'optimisme des forts. Qu'entendez-vous par là ? Voulezvous signifier que la Curie romaine at-'tend les événements avec une indifférence quelque peu hautaine, ou bien .qu'elle espère, escompte. souhaite!, le, dénouement favorable de la crise ? J'ai recueilli une impression de confiance dans les solutions de bon sens, qui sont à l'ordinaire solutions françaises. Je l'ai recueillie d'autant plus volontiers qu'elle, correspondait à mes vœux personnels. Je n'ai pas fait le voyage de Rome pour chercher des armes contre le gouvernement dont je suis l'a», mi ni contre la majorité à laquelle j'ap, partiens. Ce qui m'importe, c'est l'œiP vre, c'est le lien à ne pas rompre si tant est qu'il faille le détendre.

Ne pensez-vous pas que le mouvement déchaîné parmi les catholiques va rendre bien difficile une transaction, quelle qu'elle soit ?

-Cela, c'estautre chose. L'attitude des évêques n'a rien de commun avec l'affaire romaine. Je n'ai pas travaillé avec l'épiscopat en 1918 et en 1919, quand j'ai réclamé l'envoi d'un ambassadeur français, à l'instar du ministre de Grande-Bretagne. Sur ce point, j'ai mon idée. r– Pourrait-on la connaître ?

Je pense avec Herriofc que le moment est venu « de sa contraindre et de se restreindre » de se contraindre d'abord. Les manifestations dans la, rue sont le luxe' des pays qui n'ont pas de soucis avec leurs. finances. Que chacun reste ou rentre chez soi, bon gré mal gré Pas de poings tendus, mais des mains qui s'ouvrent» .pour payer En somme, malgré votre discrétion forcenée, vous êtes satisfait de~vo^ tre randonnée ad limina apostolorum"! Je> regrette seulement de n'avoir pas entendu le discours de M. Caillaux que j'ai lu un beau discours expurgé de rancœurs et de démagogie ? A propos de Caillaux.

Je sais, les papiers de Florence. Eh bien la différence entre le temps de guerre et le temps de paix, c'est que plusieurs des suggestions inscrites sur ces calepins seraient aujourd'hui publiées avec honneur. Mais finissons-en, Monsieur, avec tout ce eontentieux. Vous jugez que la querelle des radicaux avec le Saint-Siège relève aussi de ce contentieux ?

Peut-être. En tout cas le vieil axiome est plus utile que jamais « Mieux vaut une transaction. » Arran£rez-voais pour adapter l'axiome je tâcherai de mon côté

A la. prochaine, Monsieur le sénateur, à la prochaine1 reprise de relations ̃ •" ̃̃ <:•̃.̃ ̃̃; Que non pas Ie~, Vatican,' la ~i:ussie J'ai mon compte. '.Pourtant-la paix, c'est cela causer avec tous ceux qu'on ne fréquentait plus. »

Georges Suarez.

Un expédient qui pourrait bien notre pas expédient

Le Saint Siège recevra 1 il un commissaire d'Alsace -Lorraine ? '.P

Quelle «personnalité*» française

souhaiterait «m pareil poste ?

'̃̃Ni à la nonciature, ni dans les mi-' lieux officiels français on n'a reçu confirmation de la dépêche publiée hier et d'après laquelle'on chargerait des affaires d'Alsace-Lorraine une personnalité dont le- choix, en qualité de commissaire extraordinaire, conférerait à ce commissariat une importance et un relief exceptionnels. Cette nouvelle paraît peu vraisemblable. D'abord, parce que choisir une « personnalité », si importante soit-elle et si « larges et élastiques que soient les pouvoirs qui lui seraient conférés pour toutes l'es fins utiles », ne résoudrait nullement la question des relations entre la France et le Vatican. Avant, en effet, de parler du choix .du' « commissaire »,il serait peut-être bon dé savoir si le :Papé. acceptera le principe -dé; oe modus vivendi. Or, rien n'est moins certain, surtout étant donné les procédés dont use, à son égard, le gouvernement français. Le Saint-Siège n'a encore rien laissé. soupçonner de ses intentions, et il en sera vraisemblablement ainsi jusqu'à ce que le Sénat se soit prononcé sur la question de l'ambassade. Mais il est très possible que le Pape, prétextant qu'il n'avait accepté la reprise des relations avec la France qu'à condition que celle-ci serait représentée par un ambassadeur, refuse de recevoir le commissaire d'Alsace-Lorraine. Dès lors, l'expédient imaginé par M. Herriot pour ne pas supprimer l'ambassade tout en la supprimant, serait réduit à néant, et ce serait la rupture avec toutes ses conséquences. Il eût peut-être été sage, sinon convenable, de consulter le Saint-Siège avant de proposer aux Chambres la création de ce commissariat.

Enfin, ce qui rend encore très peu vraisemblable la, nouvelle c'est qu'il semble difficile qu'une personnalité assez importante pour donner du relief à ce commissariat puisse accepter d'être chassée, de ce dernier, étant donné la situation .̃faussé, ridicule à certains mpniéhti,, toujours humiliante, qu'elle aurait ;au f^âticaîi. %oïa,- par exemple, de la prochaine, canonisation 'du curé d'Ars, dans. la tribune du corps diplomatique où se presseront les ambassadeurs d'Espagne, de Belgique, d'Allemagne, de Pologne; etc., les ministres de Grande-Bretagne, d'Argentine, de Nicaragua, de Monaco, etc. le commissaire d'AÏsace-Lorraine sera le dernier du dernier rang! Et cela,pour une cérémonie en l'honneur d'un saint français Si peu soucieux que l'on soit du protocole, si peu de respect que l'on ait pour la tradition je doute qu'il se trouve beaucoup de véritables « personnalités » pour accepter de voir infliger, en leur personne, cette humiliation à la France qui fit tant autrefois pour occuper, toujours, dans la même tribune, la seconde, sinon la première place." Paul Lesourd.

Le roi George V

va se rendre à Cannes

-•Londres, 23 février. Selon toutes pro/èabilités, le roi George quittera l'Angleterre jfc semaine prochaine pour faire, sur le conseil de ses médecins, un voyage de convalescence dans le Sudde l'Europe. Il se pourrait qu'il soit accompagné par la Reine. L'état du royal malade s'améliore et il n'a pas été publié de bulletin de santé ce matin. Lord Stamfordham, secrétaire particulier du souverain, a eu ce matin, à Downing street, un entretien avec M. Baldwin, entretien au cours duquel il a été question de la nomination d'une commission d.utëertseil privé qui fonctionnera pendant l'absence du roi George V. L'Eveniiig Standard ;assure que, contrairement à ce qui avait été annoncé, le roi se rendra à Cannes paivvoic de terre, et non à bord de son yacht.

Les « Fierais du Mal » place Vendôme

-01+-

Dans une chronique, en date du 25 décembre 1924, le Figaro demandait la révision du jugement, en date du 20 août 1857, condamnant Baudelaire à 300 francs d'amende et à la suppression de six pièces de son recueil, les Fleurs du Mal. Hier, 23 février 1925, agissant au nom de M. Victor-Emile Michelet, président de la Société Baudelaire. Louis Tétreau, l'éminent avocat à la Cour de Cassation, a transmis à M. le Garde des Sceaux lune demande régulière en vue d'obtenir la révision du jugement précité. 1 Comme, à peine déposée, cette instance a déjà donné lieu à des commentaires plus ou moins exacts, spécifions les faits de la cause. Le 20 août 1S57, la sixième Chambre correctionnelle prononce la condamnation i- ci-dessus énoncée. De 1857 à 191 (sauf deux tirages clandestins également poursuivis et condamnés), nul éditeur n'ose y rééditer les pièces, supprimées. Et lors- qu'en 1867. la librairie Michel-Lévy acquiert pour cinquante ans et pour la modique somme de 1.750 francs la propriété totale de l'œuvre de Baudelaire, il est sous-entendu que les pièces supprimées demeurent en dehors du marché comme impubliables.

En 1911, un éditeur débutant, M. Geor- > ges Crès, s'avise, néanmoins, de publier une édition des Fleurs du Mal renfermant les pièces condamnées. Le Parquet ne bouge pas.

En 1917, l'œuvre de Baudelaire tombe dans le domaine public. Et de 1917 à novembre 1924, vingt éditeurs oublient des éditions nouvelles des Fleurs du Mal, contenant, toutes, les pièces supprimées. Le Parquet continue à ne pas bouger. Mais le 29 novembre 1924, à la vente I publique des livres du distingué dessinaI teur Daragnès, trois exemplaires, conte nant les pièces condamnées, sont retirés des enchères. On croit d'abord (et l'on a,

depuis, répété à tort, que ce retrait a ete opéré en raison des dessins scabreux qui accompagnaient les dits exemplaires. Il n'en est rien. Si le Parquet a fait retirer les volumes en cause, c'est qu'ils étaient signalés au catalogue comme renfermant les pièces condamnées par arrêt de justice. '%[ uninob plus tard, le .18 -décembre 1924, à la vente des livres de M. A., cette doctrine va s'affirmer plus nettement. Dans cette vente figurent deux exem- plaires des Fleurs du Mal qui, tous deux, renferment les Heces condamnées. Le premier est un exemplaire de l'édition de 1857 le second, un exemplaire d'une réédition parue en 189g. Logiquement, tous deux étant en contravention avec l'arrêt de 1857, tous deux devraient être retirés. Cependant, on ne retire çùë le premier. Pourquoi ? Parce que le premier portait, au catalogue la mention « Renfermant les pièces condamnées », tandis que l'autre ne oortait pas cette mention.

Cette fois, nous tenons au complet et en pleine clarté la doctrine du Parquet. i° En possession d'un jugement exécutoire qui lui permet et même lui commande de saisir les exemplaires des Fleurs dit Mal renfermant les nièces condamnées, le Parquet ne met pas ce jugement à exécution. Mais il l'invoque pour obtenir, à l'amiable, de la Chambre des commissaires-priseurs, le retrait des exemplaires contrevenant à l'arrêt du 20 août 1857 ;i:2° Pourtant, parmi ces exemplaires incriminables, il distingue. Il ferme les $œux sur les exemplaires renfermant les pièces condamnées, mais ne les affichant pas sur leur titre ou dans les catalogues de vente. Par contre^ il exerce une pression secrète pour obtenir le retrait des exemplaires signalés comme contenant les dites pièces.

Avinain avait déjà dit « N'avouez jamais » Le Parquet fait sien ce précepte. Il pardonne aux exemplaires qui dissimulent leur délit. Il tient ses foudres suspendues sur les exemplaires qui se reconnaissent coupables.

Procédure unique, croyons-nous, dans les annales judiciaires, puisque, de même qu'une porte doit être ouverte ou fermée, un jugement doit être exécuté ou aboli. Mais en user clandestinement, comme instrument de pression, ce n'est pas que le comble de la fantaisie juridique joint au comble de l'arbitraire c'est, en outre, s'engager dans une voie où l'on risque les s pires complications.

Supposez notamment que, demain, tel possesseur d'un exemplaire incriminé des Fleurs dit Mal résiste aux instances du Parquet et maintienne en vente le volume. Aussitôt des poursuites s'imposent :qiii, d'office, en entraîneraient d'autres. Et quelles autres 1 ̃- •̃̃̃̃

î m Mettre fin à cette situation instable fautant qu'illégale, soustraire l'œuvre et la. renommée -du grand poète aux aléas de ;tes menaces et de ces diminutions, premier et grand résultat qu'obtiendrait la révision du procès de 1857.

Mais il en est un second que poursuit la Société Baudelaire et d'un intérêt autrement vaste, autrement général c'est de servir la morale même, en interdisant désormais l'abus constant qui se fait, devant les tribunaux, du nom et de l'oeuvre de Baudelaire pour disculper les plus ignominieuses publications.

Voyez plutôt les comptes rendus des procès intentés à certains auteurs cour outrage au mœurs. Quel est le nom, quel est l'exemple qu'invoquent toujours les avocats des accusés? Toujours le nom de Baudelaire. Toujours l'exemple des Fleurs du Mal et de la lourde erreur -judiciaire dont elles .furent victimes. Quoi va-t-on commettre la même iniquité

Le Comité scientifique du carburant national

a tenu hier sa dernière séance a récompensé les auteurs des meilleurs travaux qui lui ont été soumis

Dans la salle des séances de l'Académie des sciences s'est réuni hier, pour la dennière fois, le Comité scientifique du carburant national, présidé par M. Daniel Berthelot, et dont faisaient partie, avec plusieurs de ses confrères de l'Institut, MM. Georges Baume, secrétaire général Maurice Sarraut, Barthe, de Vogué, Pattard, Guillet, Pinaud, Sabatier, Godchot, Pasquet et un grand nombre de parlementaires, de savants, d'administrateurs. L'œuvre du Comité étant terminée, on a entendu M. Daniel Berthelot sur les travaux accomplis et les résultats de ces travaux. Constitué le 17 octobre 1921, le Comité scientifique du carburant national rechercha l'utilisation pratique de l'alcool-moteur, actionnant des automobiles poids légers et poids lourds, des tanks, des avions, etc., etc.

On examina trois séries de mélanges à base d'alcool, dans les proportions de 10 à 20 o/b d'alcool, de 20 à 5o 0/0, de 5o 0/0 et au-dessus.

Un concours, organisé à Béziers, mit en évidence 1° la possibilité d'employer des tiers- solvants, agents de liaison entre l'alcool et l'essence, dont trois assurèrent la stabilité de mélange 2° la possibilité de préparer industriellement l'alcool absolu, qui n'avait été, jusqu'alors, qu'une curiosité de laboratoire.

Après ce concours de Béziers, on rechercha si l'une des solutions pouvait être réalisée en quelques mois, et l'on obtint une réalisation avec le carburant alcool-absolu. On procéda alors à des essais de stabilité, et l'on constata que des mélanges de 5o 0/0 d'alcool et de 5o 0/0 d'essence assuraient pratiquement une stabilité suffisante. Ayant applaudi le rapport de M. Daniel Berthelot sur ces faits acquis, le Comité scientifique du carburant national a voté les récompenses suivantes

Trois grandes médailles et trois premiers prix à M. Loriette, promoteur de la production industrielle de l'alcool absolu à M. Guinot, pour la déshydratation de l'alcool à M. Delemar, ancien directeur des distilleries de'Nesle. pour la 'distillation de l'alcool absolu.

Trois grandes médailles à M. Schwers, pour ses études sur le régime de combustion des carburants à la Faculté des sciences de Montpellier et à M. Gaujal, président du Comité agricole de Béziers, pour leur collaboration aux recherches sur le carburant national.

Ch. Dauzats.

En route pour Bruxelles M. Painlevé

est arrêté par la neige M. Paul Painlevé devait assister hier soir à un dîner offert par l'ambassadeur de France à Bruxelles et s'y rencontrer avec S. M. le roi des Belges,

Le président de la Chambre n'ayant pas pu prendre un tram qui l'eût conduit assez tôt à destination décida, au milieu de l'après-midi, de partir en automobile pour la capitale belge.

Mais sur tout le parcours il neigeait. La route devenait difficile et dangereuse et la voiture, dont la vitesse avait dû être r.ëdmle, n'atteignit Soissons que vers 6 h. 30 du soir. Il avait encore 2oO kilomètres à parcourir et M. Painlevé était attendu une lijjurè. 'après à Bruxelles. Ce fut un jeu pour lé' président de la Chambre de calculer qu'il n'arriverait pas à l'heure. Il préféra renoncer à son voyage plutôt que d'être en retard.

Par téléphone, il pria l'ambassadeur de Belgique à Paris de transmettre ses regrets à S. M. Albert Ier, fit demi-tour et rentra, vers 9 heures, à Paris.

Les Grands Raids Aériens Thieffry est arrivé à Gao

III

Gag, 22 février. La, mission aérienne dirigée par .le lieutenant belge Thieffry, après avoir été retardée à Ouallen par la fempête, est arrivée à Gao cet après-

traversée du Sahara à. été très pénible L'équipage prendra quelque repos à Gao avant de poursuivre son raid. envers leur client, puis s'exposer ensuite aux mêmes griefs de la postérité? 'f Et ainsi journellemeent, l'œuvre la pius idéaliste, la plus spirituelle de notre poésie se trouve servir de caution et d'excuse aux plus basses productions de la plus basse pornographie

N'est-il pas grand temps que cette odieuse contusion cesse, et qu'en accordant.la révision à Baudelaire, la justice recouvre toute liberté d'action contre les misérables qui se réclament ce lui? Maintenant, quel sera le sort réservé à l'instance en révision déposée par la Société Baudelaire? Diverses hypothèses se présentent.

Ou bien le garde des sceaux transmet la requête à la Cour Suprême qui casse ie jugement de 1857. Et la So:iété Baudelaire obtient gain de cause.

Ou bien le garde des sceaux ne juge pas à propos de transmettre;. Ou bien la Cour suprême refuse la révision. Et ce serait, dans ces deux cas. l'échec. Mais, alors, pour obteir.r satisfaction, il subsisterait d'autres moyens juridiques dont il sera fait usage.

Fernand Vandérem.

L'entrevue

Herriot- Chamberlain

L'Angleterre veut agir

en plein accord avec la France Au Quai d'Orsay, on déclare que rien n'est encore fixé au sujet de l'entrevue de M. Chamberlain avec M. Herriot, le 7 mars, à Paris.

Par contre, les Evcning News assurent que la rencontre est définilivement décidée. Et le journal britannique ajoute même ̃ M. Cliaimbeiïaiii a été autorisé par' le ca-.binet anglais à donner à M. Hcrrîot l'assurance que, quoi qu'il puisse arriver, l'entente avec la France doit être renforcée et ̃non affaiblie. C'est sur cette base que devront se conclurè tous les accords futurs.

Le rapport de la commission de contrôle

La France est favorable à sa publication On croit que le comité de Versailles pourra communiquer à la fin de la semaine à. la Conférence des Ambassadeurs son avis sur le rapport de la commission de contrôle militaire concernant le désarmement de l'Allemagne.

Les Daily News ont prétendu, hier matin, que la France se déclarait maintenant adversaire de la publication du rapport. Le gouvernement français est au contraire favorable à la publication et à la diffusion de ce document, qui prouvera une fois de plus les manquements du Reich et la légitimité de l'occupation de Cologne.

L'Allemagne sera-t-elle entendue à la Conférence interalliée ?

Dans les milieux officiels français, on n'est pas hostile au projet d'une réunion interalliée. Mais on assure que l'idée d'admettre les Allemands à discuter les manquements relevée par le rapport de la com- t mission de contrôle, ni le principe des décisions jugées nécessaires ne sauraient même être pris en considération.

Un autre point, actuellement, est en discussion. La Conférence, ayant virtuellement clos sa session, recevra-t-elle les délégués du Reich pour discuter les modalités d'exécution des mesures arrêtées au préalable, d'un commun accord, par les gouvernement alliés ? On sera vraisemblablement fixé d'une façon définitive dans deux ou trois jours.

On -pense que la conférence jnteriltiéâ r8ô réunira à Bruxelles.

Que fait, à Paris,

l'ambassade des Soviets ? .DES AFFAIRES

Au premier coup de sonnette, la lourde porte de l'ambassade de Russie s'est ouverte devant nous, elle se referme aussitôt au nez des policiers de la rue de Grenelle que la vue d'une visage nouveau devant l'hôtel de M. Krassine stimule jusqu'à l'indiscrétion.

Dans la place, la garde est moins fébrile et d'ailleurs le « camarade » concierge, un Français, sait que le premier secrétaire de l'ambassade de l'U.R.S.S. reçoit ce matin un représentant du Figaro,

Dans la grande cour carrée, sous le signe du marteau et de la faucille, des maçons travaillent tandis que le ramage des machines à écrire venu des bureaux sur la droite dénonce la présence derrière les rideaux d'une armée de dactylos.

On ne. chôme pas dans cette demeure historique et distinguée.

Sur le seuil de son petit bureau, M. Yoline nous accueille et ce révolutionnaire qui fut mêlé, dit-on, de près aux événements de son pays, est un homme calme et courtois. Et comme nous nous promettons de ne pas faire intervenir la politique au cours de notre entretien, nous bavardons sous l'effigio photographique de Lénine qui sem/blé nous écouter.

Depuis la. reprise des relations diplomatiques entre nos deux pays, avez-vous constaté, lui demandons-nous, une activité nouvelle dans les affaires ? 1

Certes oui, nous rép*ond-il, il y a peu de temps que nous sommes ici et déjà nous avons entrepris d'importantes négociations. Mais avant de parler de nos relations économiques, pour mieux comprendre ce qu'elles peuvent et doivent être il faut détruire bien des légendes. En un mot il faut que la France connaisse exactement la situation actuelle de la Russie.

La situation économique de la Russie Là n'est point notre sujet mais M. Voline semble néanmoins vouloir insister sur ce point qu'il juge capital. Une politesse en vg.ut une autre et nous écoutons le diplomate nous parler des ressources de son pays.

On a écrit bien des inexactitudes sur nous, me dit-il, et puisque la France a le désir de travailler avec nous, il faut, qu'elle sache que notre situation économique est dans un état de croissance continue.

M. Voline a saisi un dossier, il nous montré des statistiques.

L'agriculture a marqué en un an un progrès surprenant. En 1923, la production se chiffrait par 3.720 millions de roubles d'or en 1924, nous atteignions 5.890 millions. En finances, nous avions, en octobre 1922, 132 millions de roubles en circulation en 1924, nous accusons 675 millions. Les chemins de fer se sont développés avec une égale rapidité. En 1923 7.941 locomotives sillonnaient la Russie en 1924, il y en avait 8.531. Nous possédions 403.907 wagons commerciaux en 1923, aujourd'hui nous en avons 418.734. Voyons l'industrie. En neuf m'ois, elle a progressé de 29 0/0, la production en 1923 atteignait 88i millions de roubles or en 1924, nous comptons 1.098 millions et partout les prix ont baissé. Les exportations soviétiques

Docilement M. Voline se laisse ramener à la question

Quelles sont les principales affaires envisagées par les organisations soviétiques de Paris 7 En premier lieu il faut citer le contrat conclu dans la mi-janvier avec le consortium de grandes sociétés; d'importation françaises, ayant à sa tête la Société anonyme Petrofind, pour la livraisou, pendant, deux ans, de 80.000 tonnes d'essence et de 46.^60 tonnes d'huiles liibre'iantes pour la somme annuelle d'environ 200 millions

de francs. En dehors du droit de vente exclu:


ve accordé au consortium sus-indiqué pour les produits de pétrole de l'U.R.S.S. pend la période convenue, les organisations soviétiques se sont réservé le droit de vente directe de produits de naphte au gouvernement français. Une convention a ce sujet est déjà sur le point d'être signée, étant dictée par l'intérêt mutuel'des deux pays. dans, cette question. Ensuite, on peut citer

encore le contrat pour la livraison immédiate de

grandes quantités d'huile de gaz et de pétrole paraffiné pour la Belgique qui vient d'être approuvé par la Représentation Commerciale.

Parmi les autres marchandises d'exportation de l'U.S.R.R., la Représentation Commerciale a traité pendant le mois écoulé des cocons de soie, des cmeraudes, des fourrures, des bois merrains. de la paille d'allumettes, du lin, des haricots, île l'asbeste des quantités importantes de ces marchandises étant disponibles. ̃• Achats et commandes russes en France De votre côté, que pensez-vous demander a l'a- France ? ̃̃ Il

Pour l'importation de la France dans l'U.R. S.S., l'activité de la Représentation Commerciale consistait pendant le dernier mois aussi bien en une étude détaillée dû-marché français par rapport aux articles d'importation intéressant l'U.R. S.S., qu'en achats de diverses marchandises. Malgré la complexité des questions entrant dans cette matière et le fait que les relations avec les organisations indutrielles et commerciales françaises sont actuellement encore en train de s'établir, la Représentation Commerciale et les organisations subordonnées ont déjà fait des achats et des commandes considérables en France, dont :e montant atteint plusieurs dizadnes de miltipns de francs, concernant principalement des automobiles les différentes marques, des motocyclettes, des machines diverses, des tours; des instruments, des métaux. Des négociations sont également menées pour l'achat de grandes parties de tissus, d'articles de mercerie, de cuirs apprêtés, de matières colorantes et d'autres marchandises. Relations douanières et financières Les mesures prises par les deux gouvernements facilitent-elles ces importants échanges et que pensez-vous, en particulier, des relations douanières et financières ?

Tout cela n'est évidemment pas encore au point et le chiffre d'affaires s'en ressent. Ainsi, par exemple, le bois et les matériaux de bois russe sont soumis aux droits d'entrée du tarif général -des douanes; -tandis que d'autres pays exportateurs de ces. marchandises bénéficient des taux du tarif minimum, de qu-itre' fois moins élevés. L'importation de toutes sortes de viandes. offertes de l'U. R S.S. en quantités considérables et pour des prix convenants, n'est pas encore réalisable par suite de la défense d'importation de viande de l'U.R. S. S. conditionnée par l'absence d'un règlement des relations d'ordre hygiénique et vétérinaire entre les deux pays, etc. Il faut espérer que ces questions, dont l'incertitude cause des domma(les économiques évidents à la France, trouveront incessamment la solution nécessaire. Les questions concernant le crédit, l'introduction de la cote de la monnaie de chaque pays à la bourse de l'autre pays, ainsi que d'autres questions financières doivent, également être réglées au plus tôt i car sans.leur solution les relations commerciales entre l'U.R.S.S. et la France souffrent dé frais généraux excessifs. L'abolition de toutes ces difficultés et' le développement du chiffre d'affaires atteignent les dimensions normale- ment nécessaires forment la t4che;de l'avenir le: plus proche. La Question des garanties vl Ainsi parla M. Vomie. Mais nous avions encore une question à lui poser et celle-ci plus délicate. Tant pis

Vous n'ignorez pas que la question des ga-, nintiçs a souvent ému les milieux industriels français'; et vos adversaires ne se gênent pu pour dire que la parole de M. Krassine se trouve' à" la* merci -de la troisième Internationale; Le doux homme a sursauté, sous son lor. gnon qui tremble. M. Voline s'anime Nous offrons les mêmes garanties que n'importe quel autre pays. Voilà sept ans que nous avons le pouvoir et notre gouvernement est celui de toute, la Russie.

'EJt. voilà le secrétaire d'ambassade lancé dans la politique, déjà il me-parle d'un récent discours de M. Spinasse- à la Çhamire. Sujet tiéfenduy!'8uyona-le. = Sur le trottoir de k* -l'aie de Grenelle les policiers .sont, toujours là. ̃ Simon Arbellot.

te rendement du plan Dawes

x

j' M. Gilbert, l'agent des payements de réparations, vient de communiquer l'état des recettes et des payements, à la date du 31 janvier, du compte de la première an-riuité Dawes.. •̃̃'̃̃, H ̃;L'es recettes globales pour les cinq premiers mois (de septembre 1924 à janvier 1925) ont été de 394.561.255 marks-or. Pour le mois de janvier, les recettes, ont été de 108.317.807 marks-or, dont 104.087.937 marks-or 33 provenant d'espèces prélevées sur le, produit de l'emprunt extérieur .allemand de 800 millions de marks-otvLes payements effectués se sont 'élevés: à 381 millions 396:148 marks-or 29 rpQÛr les ̃cinq premiers mois de > première aanuijté et à 103 millions 575.348 marks-or 33 pour janvier.- Il restait donc au 31 janvier, à la Beichsbank, un solde en espèces de 13 mil- lions 581.255 marks-or.

Sur les payements faits aux-puissances alliées, la France â reçu 161.434:031 marks- or pour les cinq mois dont 47.275.636 pour

janvier.

Les pourpiers fran60.'allemauds' H. f rendéienburg apporterait

jeudi la réponse du Reich On sait que,les négociations franco-allemandes ont été 'suspendues pendant quelques jours. M. Trendelcnburg vient de faire connaître qu'il 'apporterait jeudi prochain, à ïtrois- -heures, la réponse du Reich sur les grandes lignes des traités commerciaux tant provisoire que définitif.

Le départ de M. Alessandri M. Alessandri, Président de la République du Chili, avant de quitter la France, a fait parvenir à M. Gaston Doumergue le télégramme suivant Monsieur le Président de la République, Paris.

'Au moment où j'abandonne la noble terre c]e France, j'ai l'honneur de présenter à Votre Excellence l'expression de la sin-, cère et inoubliable gratitude que j'emporte au plus profond de mon cçeur pour la cordialité dont j'ai été l'objet pendant mon séjoui* dans votre merveilleux pays. Veuille?: accepter, Monsieur le Président, les vœux que je formule pour la grandeur toujours croissante de la France et pour le succès du gouvernement que vous dirigez avec un si beau prestige.

ARTURO Alessandri.

̃ M. Gaston Doumergue lui a répondu en ces ternies, par T, S. F.

JSon ÏSseellenee Monsieur Alessandri, Président de la République du Chili,

à bord de Y Antorùo-Dellino.

Je remercie vivement Votre B?çe}lence de son aimable message.

Très heureux du souvenir "W v°us voulez bien emporter de votre sâjdur à Paria. de tiens à vous dire combien, de mon côté, il m'a été agréable de vous recevoir- En vous adressant mes meilleurs vœux de bon voyage, je vous prie de présenter mes respectueux hommages à Mme Alessandri et de recevoir l'assurance de mes sentiments les plus amicaux pour votre

»Pau

beau pays.. .Gaston Doumergue.

LA LOI DE FINANCES. A LA CHAMBRE

On débat de cinq heures 1 pour voter un seul article La séance 'd'hier n'aura pas fait beaucoup avancer la discussion de la loi de finances. Durant .plus de cinq heures, on discuta autour, d'un certain article 24, réservé, dont voici les dispositions essentielles

Toute personne ou société exerçant une profession industrielle ou commerciale, -m se livrant à l'exploitation minière est as- sujéttie à une taxé pqiir le développement j de t'enseignement technique et de 1 apprentissage.

Cette taxe, dont le produit est rattaché au budget de l'Etat est fixée à un demi pour cent du montant total des appointements ou salaires.

On était d'accord sur le principe dê cette disposition, mais on. reprochait, au ̃gouvernement de J'avoir introduit dans le budget au lieu d'en faire l'objet d'un projet de loi mûrement étudié par les commissions compétentes. C'est ce que déclara M. About, qui protesta surtout contre la prétention de l'Etat de s'attribuer le produit de la taxe, au lieu d'en réserver l'emploi aux Chambre de .commet ce et aux groupements professionnels.

Le sous-setorétaira d'Etat de l'enseignement technique eut beau déclarer que le gouvernement ne poursuivait aucun dessein étatiste, qu'on ne pouvait laisser à des organismes, privés te, soin de parcevoir et d'employer la taxe, que le taux de cette taxe était modéré puis- qu'un patron payant un million de sa- llaires annuels à 125 employés ne paie- rait que 3.500 francs, il ne parvint quand même pas: convaincre ses contradic- teurs. M. Walter 'démontra que rien, dans. les.-déclacations du sous-secrétaire é'Etat ne permettait d'envisager un dévejqppe| ment, de r«ippr.ent;.ssage et qu'aux sufe i plus le proie ministériel s'écarte eom? plètement des principes adoptés en 1921' par .le Congrès d'apprentissage de Lyon. ,Il conclut en deman "ant la disionction qui, mise aux voix, ne "ut pas prononcée. Mais te vote, loin de 'résoudre le débat, attisa le feu de la; discussion, et les amendements succédèrent aux amencte:ments.̃

M. René Lafaxge voudraït'qu'on précisât l'emploi de la taxe d'apprentissage, M. Emile Borel souhaiterait qu'on consacrât à la recherche scientifique une partie du revenu de cette taxe. M. Verlôt serait d'avis dé réduire à a 0,25 centimes pour cent le ^montant la taxe (au lieu de 0,35 centtmes )> Toutes ces propositions 'furent suecessivement repoussées ou retirées. Nouvelle bataille sur le principe des dérogations, c'est-à-dire sur l'exonération partielle ou totale des industriels qui subventionnent déjà une organisation tendant au développement de l'apprentissage. M. Verlot, sur ce point, pbtint satisfactio<n,^eU'ens.emb,le. de l>ftir.

ï eje tut adopté?" ,-̃' i. ,•

̃ L'aj'tiûle 24 bis 'portique, sur-lef'pro-s dTûit de la taxe*, un prélèvement 'de 5 -cen-" times pour cent sera opéré au profit de la recherche scientifique.

M. de Monicault combattit cette, disposition.

Personne, dit-il, ne peut m'accuser d'être hostile à la recherche scienunque, mais je ne comprends pas qu'en séance, au dernier moment, on décide de faire un prélèvement sur les ressources de renseignement technique en faveur de l'instruction publique ni qu'on prenne dans la poehe des seuls commerçants et industriels des sommes destinées à cet usage. C'est le budget général qui doit venir en aide aux laboratoires. (Très bien très bien l'sur divers bancs.)

En dépit de la justesse de ces obser- vations, l'article fut voté.

Séance ce matin.

1. Pas-Perdus.

Nous publierons demain

LA VIE LITTERAIRE de notre éminent collaborateur HENRI DE REGNIER

de l'Académie française 1^.

LEGION D'HONNEtiR, Sous-secrétariat de l'enseignement technique

Est promu et sont nommés

Officier. M. Lopès-Diaz, inspecteur régional' de l'enseignement technique à Bordeaux. Chevaliers. MM. Delage, président de la Société des anciens élèves des écoles nationales d'arts et métiers, à Paris Barreiros, président de la Chambre syndicale du corset, Paris Mayer trésorier du comité départemental de l'enseignement technique de la Haute-Marne Bonnehon, agent comptable de l'école .natipnale e d'arts et métiers de Lille Barbe, directeur de l'école pratique du commerce et d'industrie -le Roanne Foucard, chef de l'atelier des forges à l'école nationale des arts et métiers de Parts Fesquet, adjoint au maire de Dunkerque Cormouls-Houles, inspecteur départemental de renseignement technique, à Mazamet Dhoin,mee, inspecteur général de .l'enseignement technique, à Bordeaux Cuchet-Chéruzel, membre du conseil- de perfectionnement de l'école pratique de commerce et d'industrie de Pont-de-Beauvoism .(Isè- re) r Sartorio, membre du comité départemental de l'enseignement technique des Alpes-Manhmos; Streletskie fondateur de cours populaires et gratuits à l'Association polytechnique de Paris Dupland, professeur adjoint d école primaire supérieure en retraite, à Aubenas (Ardeche) Westercàmp, directeur d'établissement industriel, h Paris Lipman, inspecteur départemental de renseignement technique, a Besançon. Ministère de la guerre

Est promu officier M., Jean Oradis, explora-

teur..

esont nominpB1 chevaliers- M.; Louis Rkaud, journaliste à Paris; ̃ .••̃̃

M Jost (Jean), adjudant chef à la Commiswon.. militaire interalliée de contrôle en Allemagne, Ministère des pensions

Est promu officier M. Pierre Laurenc/, chef de bureau à l'administration centrale des pon-

SlOnS.

S1Smit nommés chevaliers M. Victor Baat'isfiî, juge au tribunal des pensions des Hair.es Al- pes ̃ M François Berrier, président de l'Association des anciens combattants de Bourgqin et de la région M. Fernand Bûche, seu-ét&ii-e aénéral ne la Fodératton départementale des associations de mutilés du Pas de-Çalais le docteur Edouard Cornu médecin chef de ln&ile d'aliénés de Bassen (Savoie) M. Maurice iSwève, membre du conseil d'administration de l'Union nationale des mutilés et reformés de la

guerre

8Tcelle promotion correspond à un reliquat du 'contingent de 1924. La promotion normale du ministère des pensions pour le semestre 1925 paraîtra prochainement.

Ministère des travaux publics

Son nommés chevaliers MM. Jules Basset. entrepreneur de travaux publics à Gap André Borie, entrepreneur de travaux publics à Paris.

La lutte contre la vie chè^e

i-

Une Commission discute-

au ministère de l'Intérieur

III

Une commission de « la vie chère » s'est réunie hier matin au ministère de l'intérieur, sous la présidence de M.- Jean Bouat, député du Lot. Cette commission était composée' de M. Naudin, préfet de la Seine M. Morain, préfet de police, et de' représentants du ministre des finances, du ministre de l'intérieur et du ministre dé commerce. Au cours de cette conférence, qui a duré près de deux heures, on a passé en revue lès divers moyens qui paraissent propre^ a faire baisser le prix de la vie et on a décidé de proposer d'abaisser à 35 pour 100, au lieu de 50, le taux de la taxe d'apprentis- Sage. ̃̃ '̃-̃̃ ;̃.

̃• i ^^r*r*r

Les lamas ont déjeuné sur la Tour Eiffel

Nos hôtes, les lamas du Thibet, ont conti- rué hier leur visite de Paris en allant déjeuner sur la tour Eiffel. Malheureusement, le jour était mal choisi pour contempler le panorama de la capitale. Demain, les la- Inîâs assisteront, à la Sorbonnè, à une, ce- i rémonie organisée par la Société de géographje et le Club Alpin.

Ieadémie_des^ Sciences

En séance ordinaire de l'Académie des sciences, le docteur Roux, directeur de l'Institut Pasteur, a analysé une note de M. Marchoux, relative à l'action de l'arsenic sur le paludisme. Dépôts d'ouvrages et communications techniques par MM. fiaillaud, Bigôurdan, Terrin, Hadamard, Bouvier, Tenmier, Cotton, Lindet, Moureu qui, avec le concours de M. Landrieu, a construit une bombe calorimétrique donnant toute sécurité Le Chatelier, Guignàrd, Desgrez. Ch. D.

A L'ACADEMIE DES S"IENCES COLONIALES

111

L'alimentation des indigènes 'Dans sa dernière séance, tenue sous la présidence de M. Lévy-Brubl, l'Académie des sciences coloniales a abordé la discussion des conclusions de sa commission technique, présidée par le docteur Calmette, sur l'alimentation des indigènes. Elles envisagent les grandes mesures à prendre pour assurer l'alimentation normale des indigènes de nos colonies généralement sous-alimentés, en développant systématiquement les cultures vivrieres, la pêche, l'élevage domestique, en réduisant les méfaits sur la natalité de l'avarie, de l'alcoolisme, en poursuivant une politique de reconstitution ethnique.

En particulier, la situation de l'A. E. F. préoccupe l'Académie qui déclare cette colonie en « danger » et invite le Parlement à 'consentir sans délai, pour, la sauver, tous iles sacrifices budgétaires indispensables. I Après y avoir introduit quelques précisions et additions, l'Académie a voté les conclusions de sa commission technique.

A la recherche du pétrole. en Limagne

•" ••»-

̃'Wl.K 'Guillaume,- directeur des .niineâ, at

iMî- Pineau, directeur des essences, vien>' nent -de-se1 -rfendrff 'en Limagne,- pour"" avrêter, d'accord avec avec le professeur Clangeaud, de Clermont-Ferrand, et la municipalité de Riom, le plan de recherches nouvelles de pétrole dans la région. A l'occasion de ce voyage a été donne le premier coup de trépan du sondage de Mirabel, effectué pour le compte de l'Etat. Le sondage de Beaulieu est, d'autre part, activement poursuivi et atteint maintenant une profondeur de six cents metres il rencontre de nombreuses imprégnations de pétrole, mais non encore en quantités exploitables.

L'Anniversaire de George Washington L'ambassadeur des Etats-Unis .a offert. hier matin, à l'occasion de l'anniversaire de la naissance de George Washington, un déjeuner aux membres du corps diplomatique de 1 rnnérique latine. Au dessert, M. JViyron T. Herrick a prononcé un discours, où il a dit .N'oublions pas qu'en célébrant l'anniversaire de la naissance de George \Vashington, 'nous fêtons aussi la 149e année de la « grande expérience ». d'un gouvernement .basé sur > la-, ̃ règle de l' « ordre et du droit que Washington croyait être. la mission spéciale du peuple amérî-; 'c'ain. Quand il exprimait ces hauts sentiment^ il. ne pensait qu'au gouvernement dont jl vejriaîfc de devenir le premier président. A la lu?: i mi,èïe des années, cependant, la déclaration JX% 'Washington semble avoir été une déclaration inspirée. Car nulle théorie politique ne fut jaLrinais destinée à plus exacte réalisation. Cette, « règle de l'ordre et du droit » qui guida l'en' fance de notre pays et pénétra notre, existence matérielle, devint aussi une inspiration pour les' autres Républiques^ C'est pourquoi, au cours de :Ces 149 années, les uns après les autres, vous- êtes devenus les associés du gouvernement des Etats-Unis dans cette « grande expérience ». Nous sentons se resserrer Constamment les liens qui nous unissent, nous voyons les signes le notre amitié grandir sans cesse dans la résolution mutuelle de préserver ce qui fut appelé une « expérience », non pas seulement pour fournit", un lieu de refuge et de sécurité, mais pour que l'humanité devienne meilleure. C'est là. je crois, la mission des Amériques d'aujourd'hui.

NOUVELLES RELIGIEUSES

_o– On confirme la nouvelle que la canonisation du bienheureux curé d'Ars aura, lieu le 31 mai, jour do la Pentecôte. -o- Samedi prochain, 28 février, il 15 h.- 45, aura lieu, à l'Institut catholique de Paris, l'inauguration d'une plaque do bronze offerte par les établissements argentins d'enseignement. A cette occasion,. Iç R. P. Sisson fera, après un discours de Mgr Baudriljart, une conféi'ejice'sur,-te génie latin. P. L. ̃

1% CATHOLICISME A L'ETRANGER

.r..» :<

Aujourd'hui, en l'église Noire-Dame, "S Anvers, le R. P. de Cleonc, des Missions de>* Scheut, nommé récemment vicaire apostolique à Loopoldville, sera solennellement sacré évêque par S. Em. le cardinal Mercier. o– Sous Je patronage de S. Em. lpj cardinal Mercier il vient dq se. fqnder, à Bruxelles, une gilde catholique d'artistes de théâtre.

0–- Les évoques belges publient une lettre collective consacrée aux grand problèmes internationaux et dans laquelle ils félicitent le gouvernement belge de n'avoir pas reconnu le gouvernement des Soviets, et font appel à la fraternité entre Flamands et Wallons. P. l-

Toute demande de changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc en timbres-^ostê, pour couvrir une partie des (raïs de renouvellement de la bande.

` LA VI~1.4i..Idji~j

LBMQNDfô^ LA VILLE

c 4,

DANS LES AMBASSADES

S. Exe. l'ambassadeur des Etats-Unis à Bruxelles et Mme Philipps ont reçu,, -dimanche, les membres :de la colome. anreraçaiiie à l'occasion de l'anniversaire de Washington.

Samedi soir, M. et Mme Philipps ontdppt né un dîner que- S. A- R. le prince L^Çjiûld honorait de sa présence. Ce dîner a ete^UAvi d'un bal, auquel assistait S. A. R. la prin-

cesse Marie- José. ,c'

Réception demain mercredi, de quatre heures trente à sept, chez Mme Miroslav Sp,ala*ikoviteh, femme de S. Exc. le ministre des Serbes, Croates et Slovènes.. c'

i ̃ M. Maurice Chayet, secrétaire d'ambassade, venant de Tofeio, est arrivé à Paris. DANS LE MONDE OFFICIEL

M. François-Marsal, député, ancien ministre, est parti, hier après-midi, pour Londres.

REXSE'CÏWEMENTS MONDAINS S. M. la reine Amélie de Portugal est arrivée à Naples.

S. A. R. l'infant don Jaime est .rentré à Madrid, venant de Bordeaux.

Réception, aujourd'hui, chez la comtesse Maurice d'Andigné.

Le maharadjah dé Pudukota est arrivé à. Cannes.

Dimanche dernier, chez Mme André Scliwob' d'îïéricburf, thé, au «ours duquel des danses japonaises ont été applaudies. Musique de la comtesse Armande de Polignac, interprétée par l'auteur.

Matiné dansante, avant-hier, chez la baronne d'Huart.

La comtesse de Castilléja a donné, hier, une matinée dansante pour les amies de sa fille.

La baronne Gaston Peers de Nieuwburgh est arrivée à Cannes après un séjour

à Rome. ̃̃̃̃

NAISSANCES

M. André Peugeot et madame née Ponnier sont heureux de faire part de la naissance de leur fille, Muriel.

BIENFAISANCE

L'Œuvre si importante du « Vestiaire des Hôpitaux de Paris » a pour objet de donner des vêtements aux malades qui sortent des hôpitaux (hommes, femmes, enfants), pour leur permettre ainsi de trouver plus facilement du travail ou une situation convenable.

Elle vient aussi en aide aux femmes qui viennent, d'aoçoucher et complète la layette du nouveau-né..

Cette œuvre compte parmi ses principalesressources un bal qui est donné tous les deux ans à son profit. Cette fête, toujours très brillante, aura lieu cette année le samedi 21 mars 1925, à dix heures, en l'hôtel « Fondation Salomon de Rothschild », h, rue Berryer, VIII"

En raison de l'extension de l'œuvre, le comité donnera un éclat tout particulier à ce bal. On peut se procurer des billets, au prix de trente francs, chez Mme Pierre Duval, 119, rue de Lille; Mme Guillain, 215, boulevard Saint-Germain; Mme Panas, 90, avenue Malakoff.

'CÈRCiÉS ? •!>̃»: ̃(' '^i :'uiCil!

^im 9f ̃̃«;>! .̃̃•>( «ufà -i .r. n f 1 ); i?p*:ir;rj

̃̃ Le dîner- delà Saint-Georges a eu lieu au Jockey-Club sous la présidence du comte d'Andigné. Y ont pris part

Prince d'Essling, M. G. Off, marquis de GréqiiiMontfort, comte du Cor de Damrémont, M. Par.dailhé-Galabnm, marquis Le Gouëslier d'Argence, comte H. de La Vaulx, M. François Pietri, M. J. de Trincaud Là Tour, comte Charles de Saint-Léon, baron R. d'Aiguy.

MARIAGES

Nous apprenons le prochain mariage de Mlle Marie Neveu-Lemaire, fille de M. Gabriel Neveu-Lemaire, ancien sous-préfet du gouvernement du Seize-Mai, décédé, avec notre confrère de l'Echo de Paris, M. René de Planhol, fils du capitaine René de Planhol, mort au Soudan au cours de la campagne de 1891.

Récemment a été célébré, en l'église Notre-Dame-de-Grâce -de Passy, le mariage du comte François de Nazelle, lieutenant au 1178 d'infanterie, décoré de la Croix de guerre, avec Mlle Elisabeth Didelot. La bénédiction nuptiale a été donnée par l'abbé Hennebicque, curé -de la paroisse. Les témoins étaient, pour le marié, le comte René de Nazelle, chevalier de la Légion d'honneur, son 'oncle, et le colonel. baron Lagarde, commandeur de la Légion d'honneur, décoré de la Croix de guerre, commandant le 117e d'infanterie; pour la mariée, le vice-amiral baron Didelot, commandeur de la Légion d'honneur, et le comte Emmanuel de Froissard de Broissia, ses oncles.

La quête était faite par Mlle Marie de Nazelle et le lieutenant R. Didelot, Mlle Odile de Nazelle et M. G. Didelot, élève à l'Ecole spéciale militaire; Mlle de Bouvet et M. J. ;de Nazelle, Mlle Claude de Saint-Seiue et ,1e lieutenant A. de Nazelle.

On annonce, de Toulouse, les fiançailles de Mlle Berthe de Vassal-Montviel, fille du

S marquis de Vasssal -Montviel et de la rnai;-

iqtiise née d'Espârbès, avec le lieutenant dt JMasïrand.du 7" hussards, décoré de la Croix |de guerre.'

i QEUJk

m. Georges Helleputte, le ministre d'Etat belge, dont nous avons annoncé la mort, était un architecte réputé, à qui la Belgique doit de nombreuses églises et monuments publics, eu style flamand. A l'Uniiversité de Louvain, ou il professait depuis ;plus d'un demi-siècle, il était chargé des I cours de constructions du génie civil et d'architecture.

II avait été élu, en 1889, député catholique ;de l'arrondissement de Maeserick, et nommé ;ministre d'Etat en 1923.

.O11 annonce, de Versailles, la mort du- ibaven Michel Pater, ancien agent de change. Mme Braïlowsky, ses enfants et toute' lia famille nous prient d'adresser à tous leurs [amis leurs remerciements émus pour toute lia sympathie témoignée à l'occasion de leur [grand deuil. Nous apprenons la mort de- M. André Pillot, artiste. peintre, membre de la Société. des Artistes Français, décédé subitement }&\ 18 février en son domicile à Paris, 12, ayjsj. nue Victor-Emmanuel-III. Les obsèques dïir eu lieu dans la plus stricte intimité. Le présent avis tient lieu de faire-part.

On annonce la mort de M. Gilbert Bou1 tèron, fils du docteur et de Mme, René Bou;teron, décédé, à Paris, à l'âge de seize ans et demi. L'enterrement aura lieu mercredi, dix heures trente,. l'église Saint-Fran- çois-de»Sales,

-h- On nous annonce la mort de M. Pierre Vïgrwh artiste, peintre, chevalier de la Légion d'honneur. Les obsèques auront lieu mercredi 25 février, à midi, en l'église éaintThomas-d'Aquin, où l'on se réunira. Le pré sent avis tiendra lieu d'invitation.

Ou annonce la mort du général de division Putz, décédé à Metz, sa ville natale, où

il s'était retiré après la guerre et où ses obsèques seront célébrées demain.

Le général Putz, né en 1859, était sorti de l'Ecole polytechnique en 1S79 et avait fait sa carrière dans l'artillerie. Il venait d'être nommé général de division quand la guerre éclata, et fut blessé le 25 août 1914, «5r* ..commandant du. groupe des Vosges. M Çotrirnanda ensuite le 34e corps d'armée, le détachement d'armée de Belgique, le 40 corps, et, finalement, la région du Nord de la France. Il était grand-officier de la Légion d'honneur et décoré de la Croix de guerre.

M. Paul Sainte-Marie, receveur des finances honoraire/ s'est éteint, tgé de soixante-quatorze ans,, en son domicile du boulevard de Courcelles,.

̃r .Le • lieutenant-colonel d'infanterie de marine en retraite Morand de La Parrclle, officier de la Légion d'honneur, est décédé, i dans sa quatre-vingt-cinquième année, à Pa- i ris. Il était le père de M. Henri de La Perrelle, contrôleur de l'armée.

1 ̃–

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Horak, Hon. miss S. Portman, Mr et Mrs Stead, M et Mme Emanuel Sabsay, M. et Mme Henry Deitz Mr et Mrs William Roscoe et fils, miss Béatrice Spencer, Mr et Mrs P. Robertson, M. et f\lme e ~aklès et_ leur famille, baronne

dé"VCIingspoi, ~h9~'ét Mrs"Jâmes HarOld C;ay,

de'Klingspdr, Mr -et Mrs James' Harold C.ay,

Mr et Mrs Thomas Fuge, Mr et Mrs Henry

Church miss C. Tyacke, Mme Keinchowstran, Mr John Richard Towers, M. et Mme L. Alcàn. Viennent d'arriver

̃ Comte L. de Sant'Eléa, baron et baronne Weill de Lainate, Mme de Bassoro de Tueba, M. Ernest Montteuillard, M. G. Cook de Torrès, Mme Reisig de Duprat, M. Fuchs de Robettin. Marquis Alph. Dragonetti, comte F. Piscicelli, comte H. de Pencelvez, baron Melville, M. C. Roche de La Rigodière, Mlle F. d'Abren-Chermont, comte C. Kwilecki, M. Joyeux de Lançon, M. et Mme J. Duprat, M. E. Fenwick. DE CANNES

Un dîner, suivi de bal, a été donné, à la villa Isola-Bella, par lady Michelham cl' Hellingly.

Etaient invités

S. A. R. le prince Nicolas de Grèce et la princesse Elisabeth de Grèce, marquise de Milford Haven, prince et princesse Radziwill, baron et baronne de Rothschild, baron van Zuylen de Nyevelt, M. BeynaWo Hahn, baron Maurice 'e Rothschild, comtesse de la Méjorava, M. de Alvao, miss Capel, Mrs Clews, M. et Mlle de Landa y Escandon.

DE MONACO

Sont arrivés

Prince et princesse Emilio Savelli di Cerenzia, prince Lucé Koudacheîf prince G, Serra Geracc, baronne Inza Dickson, comte S.: Ko-

Baràlùv-oolonol Hoj-old GiseeatiMwoUAtoft-J^ftw^do

'Gidds.

La chronique des indésirables', Les criminels étrangers

sortent de France aussi tacitement qu'ils y rentrent

Le Figaro, qui a des amis dans les cinq parties du monde, et qui en est justemenl, fier, ne saurait être suspect de xénophobie. Nous croyons, au contraire, en nous associant à la campagne que les indésirables obligent à mener contre eux, rendre service à tous les étrangers honnêtes qui habitent, résident, ou séjournent dans notre pays, qui s'y plaisent, en respectent les lois et les coutumes, et que tous les Francais traitent avec les égards que méritent des hôtes. Les membres des diverses colonies étrangères sont les premiers, en effet, à regretter la facilité avec laquelle on laisse pénétrer en France des gens tarés, dont on ne veut plus dans leurs pays, et qui viennent former, à Montmartre, le troupeau des brebis galeuses.

Les deux principaux coupables

de la bande des Polonais

sont en Allemagne

Les deux chefs de la bande des Polonais ont réussi à dépister la police. On sait'aujourd'hui qu'ils ont franchi la frontière. '̃̃ Leur présence a été signalée à Munich. On 'retrouve les traces de leur passage à Metz, ;où ils ont failli être arrêtés.

Avant de quitter Metz, les deux bandits, qui s'étaient débarrassés de leurs revolvers, ont été, en effet, interpellés par un agent. Mais celui-ci. ignorant à qui il avait affaire, se contenta de leur demander leurs papiers d'identité et les laissa filer après les avoir invités à revenir un peu plus tard au poste de police pour vérification de leurs passeports. Inutile de dire qu'on ne les revit

pas.

Celui des bandits que Ton connaissait sous le nom de Urhaniak, a pu être identifié. Il s'agit d'un nommé Ludwik Brozda, né à Posen en 1899, qui, après s'être évadé d'une forteresse polonaise, s'était réfugié en Allemagne. Quelque temps, à la frontière franco-allemande, il se livra à la contrebande du tabac. Il vint à Paris voici dix-huit mois, et fut condamné à diverses reprises pour vol et infractions à la police des chemins de fer.

On a arrêté à Paris un nommé Ladislas Lascavieck,faisant partie de l'association,et qui, avec deux autres complices, avait cambriolé une ferme dans ta. région de Meaux. Lascavieck est cet individu qui, dans un .café de Paris, se serait vanté d'avoir, avec Valerian. commis un « coup dur dans un train de labanlieue parisienne,

Les rafles de Marseille

Marseille, 28 février. Au cours des raOes qui se sont poursuivies cette nuit et jusqu'à ce matin, S.315 individus, dont 1.057 étrangers, ont été interpellés par la police, 450 ont été amenés à la Sûreté pour examen de situation, 17 arrestations pour jphrt d'armes prohibées et une pour manjdaf. d'arrêt ont été maintenues.

jîn outré, 119 infractions à la police des 'étrangers ont été relevées..

Le Comité de l'Association des Nouvellistes parisiens L'Association générale des Nouvellistes Parisiens vient de tenir son assemblée générale à la mairie du 9e arrondissement.

Après lecture et approbation des rapports, le Comité de l'association a été ainsi constitué Président, M. Armand Villette vice-présidents, MM. Frantz Reichel et Louis Latzarus secrétaire général, M. Paul Bersonnet trésorier, M. Frédéric Javary; secrétaire, M. Adrien Vély syndic, M. Benjamin Vayssettes administraleurs. MM. Vazeillcs, Maisne, Tabaraud, Duportal, Massoulard et Suttler.

Gazette des Tribunaux L'ancien inspecteur de police et son trafic d'influence

« II y a, disait hier à la 11° Chambre, dans un très éloquent réquisitoire, M. 'le substitut Siramy, des hommes qui vont partout lisant que dans nos administrations publi- ques tout est à. vendre. Si. l'on croit que l'argent qui est déja le maître des satisfactions légitimes, permet de tout acheter, m le doit à des hommes comme ceux que vous avez à juger. » ̃,̃"̃•

C'est, en effet, une réunion d'hommes bien curieux qui comparaissait devant le tribunal correctionnel pour escroquerie, trafic d'influence et violation de secret pro-. Eessïonnel. On y voit de tout 'parmi eux, un garçon coiffeur, un ancien inspecteur de police, des commerçants. Et l'affaire donne sur les mœurs actuelles un aperçu singulier des dossiers sortent du, palais et de la préfecture, des « clients » sortant d'une Chambre correctionnelle qui vient de les condamner, sont happés par des rabatteurs, qui les conduisent à un ancien agent de police qui leur dit que pour de l'argent il fera disparaître leur dossier, et qui les conduit aussi chez leur « correspondant », un avocat qui leur demande des 'honoraires fantastiques pour faire rapporter un arrêté d'expulsion rendu contre eux. Quelles mœurs Mais aussi quelle crédulité chez ces gens qui .croient que tout s'achète et que tout est comme dit Hamlet « pourri dans le royaume de Danemark. »

Au mois de juin dernier, la 12" Chambre correctionnelle venait de condamner pour paris aux courses un nommé. Duclos. Celuici sortait de l'audience, lorsque dans le couloir il rencontre quelqu'un qui venait d'assister à l'audience, un coiffeur nommé Lemercier. Que faisait au Palais ce coiffeur ? Y chercher des clients à tondre. Lemercier, tout à coup familier, met. la main sur l'épaule de Duclos, très affecté par sa condamnation.

Vous êtes condamné à de la prison.Faut pas vous en faire Pour huit mille francs, on vous tirera de là.

Comment '?

Oh c'est bien simple, on fera disparaître votre dossier du Parquet. Venez avec

moi. z 1

On s'en va à la taverne Wëpier, on boit des bocks en compagnie d'un, .oramô Jausserand et d'un nommé Lacour qui se trouvent là.

Votre affaire est toute simple, dit le bon Jausserand tout en buvant 'son demi blonde. Cela regarde mon ami Abadie. Il §, été à la préfecture et il en a blanchi bien d'autres que vous. Tout va passer à l'as. Il fera disparaître votre dossier, vos fiches, tout.

Et on va voir Abadie. Celui-ci, qui, aujourd'hui, avec son teint rouge brique, sa grosse moustache grise, a l'air d'un mar.chand de vins, avait bien été inspecteur de la police judiciaire, avait pris sa retraite après 24 ans de service, a retraite imposée », parait-il.

J'ai naturellement gardé de hautes relations, dit-il à Duclos. Pour 15,000 francs? on peut faire l'affaire et vous blanchir. Et Duclos signe un chèque de 15,000 tr., que touchent Lemercier et Jausserand, maie qui n'en donnent pas un sou à Abadie Alors celui-ci, qui veut sa part du client, va trouver Duclos et lui dit ̃ Il y a un dossier contre vous à la 4e section du Parquet. Une plainte d'un nommé Carrière.

La plainte existait bien, en effet, mais elle avait été classée par le substitut, comme « sans fondement sérieux »» Et pour montrer ses hautes relations,

Abadio-tntaiè fifiielos & -la s&iStiotl'î'il-.leL

présente à un employé qu'il connaît. « Voua voyez, dit-il, je suis bien avec les grosses têtes. » Abadie se fait montrer la plainte par l'employé, et l'emporte (à son insu, a dit l'employé à l'instruction). Puis il va trouver, à la préfecture, un de ses anciens collègues, l'inspecteur Bonnin. 11 se fait remettre par lui le portrait anthropométrique de Duclos et une pièce importante, la •?< fiche de dépôt» qui, en cas de disparition ne permet pas de savoir si Duclos, dans le passé, a été l'objet d'enquêtes. Bonnin, imprudemment, les confie, et on le poursuit pour violation du secret professionnel.

Ayant ces documents, Abadie donne rendez-vous à Duclos à la taverne Wepler, lui montre les papiers et lui demande 10,000 francs pour les déchirer. Mais Duclos a prévenu la police, et on arrête Abadie à la ̃ sortie du café.

Duclos n'avait pas été un client Isolé à Abadie. L'ancien inspecteur vendait aussi pour 200 francs, pour 500 francs, des coupefiles de la préfecture à des rentiers, à des banquiers qui en désiraient. Il faisait davantage encore. Si Duclos, malade, n'a pu venir à l'audience, voici, par contre, un nommé Borel qui vient conter sa mésaventure.

Il est Suisse, et ayant été condamné, il a été expulsé. Etant à Genève, il a reçu de Lacomv (l'ami d'Abadie) une lettre lui disant qu'il pourrait faire rapporter l'arrêté d'expulsion rendu contre lui. Borel vient à Paris, on l'arrête et il est condamné à huit jours de prison, pour infraction à l'arrêté d' expulsion. À sa libération, il voit Lacour, qui le présente à Abadie, qui le mène chez un avocat dont il serait le correspondant, d'après le réquisitoire. Et pour faire rapporter l'arrêté d'expulsion on demande à Borel 20,000 francs. « Pour arroser de côtés et d'autres », disait Abadie.

C'est Abadie qui me les a demandés, dit Borel.

C'est l'avocat qui les demandait commis honoraires, réplique Abadie.

L'avocat, interrogé à l'instruction, a dit qu'il n'avait rien demandé. Trafic d'influence, tel sera le délit reproché à Abadie. En tout cas, si 20,000 francs avaient été demandés par un avocat pour essayer de faire rapporter un arrêté d'expulsion, ce se. rait vraiment là des honoraires bien «xa-> gérés.

Ce qui est grave, disait. M. le substi.tut Siramy, c'est d'avoir fait croire qu'on, pouvait, pour de l'argent, pour arroser de droite et de gauche, faire rapporter un'arrêté d'expulsion.

M08 Laval, Dronchet, de Saint-Génois,' Bônnery, Delmont et Combeau plaident pour les inculpés. Les débats, qui ne sont pas termiinês, se continueront mercredi. Georges Claretie.

NOUVELLES JUDICIAIRES M" Alexandre Millerand, ancien président de la République, et de Monzie, plaideront aujourd'hui, à Lorient, dans une importante affaire de contrefaçon de filet employé sur les chalutiers à vupeur, touchant un dispositif inventé par MM. Vigneron et Dahl, ar* mateurs à La Rochelle.

Me Millerand a pris en mains la cause de§ inventeurs, avec Me Cariéson, du barreau de Paris.

De l'autre côté de la barre seront. M6" de Monzie et Maillard, du barreau de Paris Le Moyne, député du Morbihan, et Martin, du barreau de Lorient.

Serigny.

CA ET LA

+. « Les Coloniaux », Amicale des coloniaux et anciens coloniaux, tiendront leur réunion mensuelle aujourd'hui mardi, 24 février, à 8 h. 30, au siège, 15 bis, boulevard Saint-Denis.


DERNIERE HEURE?

NOTRE SITUATION FINANCIÈRE Une opinion américaine sur la baisse du franc « Les rumeurs à ce propos ne sont pas justices », disent des banquiers de New-York

3Stéw-Ygrk,h 23 -lévrier. On mande à la Chicago Tribune que les bruits exagérés en .ce qui concerne les difficultés' financières actuelles '-de 'la France, ont leur répercussion dans le monde financier américain où ils apportent un certain trouble. Les plus grands banquiers de New- York s'en plaignent. Ils estiment, d'autre part, que la prétendue dépression du franc n'existe pas et que les rumeurs à ce propos ne sont nullement justifiées par les faits.

On souligne le fait que de nombreux indices démontrent un relèvement de la situation économique de la France. A ce propos, les dernières statistiques commerciales sont fort suggestives, puisqu'elles démontrent que la balance du commerce extérieur de,la. France est favorable. La dette française

On ne manque pas de s'occuper dans les mêmes milieux de la question du remboursement de la dette française envers les Etats-Unis. On estime faux les bruits d'après lesquels la France préparerait des propositions définitives en. vue du règlement de cette dette. ZD

Les milieux financiers bien informés savent fort bien que des offres de ce genre ne seront guère faites avant quelque temps et, dans, tous les cas, pas avant que Londreset Paris n'aient discuté cette question. Et la question d'un emprunt ? ̃Quant à la question d'un emprunt extérieur dont a parlé récemment à la Chambre le ministre des finances français, il n'y a jusqu'à présent rien de précis à ce sujet. En tous cas, dit la Chicago Tribune, les banquiers américains -ne prendront aucune initiative sans avoir pris conseil et l'avis de M. Coolidge.

M. Coolidge espère la réalisation d'une entente internationale

Washington, 23 février. M. Coolidge, prenant la parole devant la Convention nationale féminine et parlant de la défense nationale, a déclaré

« Les Etats-Unis ont le ferme espoir ie voir se réaliser une entente générale entre tes peuples. Ils espèrent, en outre, assister à une limitation des armements sur une base., raisonnable, tenant compte de la sécurité des nations.

« Les Etats-Unis désirent donner l'exemple, de la modération et inviteront les autres nations à les imiter.

LaTurquie se conformera-t-eUe à lavis de. la Cour La Haye 1

:r..o.

Athènes, 23 février. Dans tous les milieux grecs, on manifeste la vive satisfaction que cause l'avis émis par la Cour Internationale de La Haye qui confirme, faiton remarquer, le point de vue grec au sujet de l'interprétation du terme « établis » dans la convention d'échange des populations grecque et turque.

On exprime la conviction que la Turquie se conformera à cet avis puisque, lors de la réunion du Conseil de-la Société des nations à Bruxelles, le délégué turc a déclaré que le gouvernement d'Angora prenait l'engagement d'accepter le jugement de la Cour Internationale.

Le président Ebert

a été opéré la nuit dernière

10'

BERLIN, 23 février. Le président Ebert vient d'avoir une crise d'appendicite. Il doit être opéré cette nuit.

L'OPINION DES AUTRES

'fi r; ̃ •• LA PAÏX

Une nouvelle opinion sur le problème et combien importante celle de M. Henry de Jouvénei (Matin). On a d;t déjà que -cette opinion était pessimiste. C'est inexact. C'est un froid raisonnement, ce qui ne veut pas dire que ce soit un raisonnement froid. Ce ne sarait pas français.

Pour le. dés-armement, demandez au général Waîch, qui revient d'Allemagne, à M. Paul-'Boncour, qui revient de Genève. Lo premier vous' répondra que l'Allemagne arme et a reconstitue un système militaire sur lequel, un de ces prochains jours, le général Nollet nous proposera sans doute de calquer le nôtre.

Et, poursuivant toujours sans ironie, notre «minent confrère nous rappelle que M. Paul-Boncour ayant réclamé le contrôle de la fabrication privée des armes, a vu les porte-parole de l'Italie, du Japon, de l'Angleterre disposés à régler l'attitude de leurs pays sur celle des Etats-Unis, qui déclarent ce contrôle 'nterdit par leur Constitution. En ce qui concerne le désarmement, le nouveau gouvernement britannique ayant .ïeîuV sé de ratifier le protocole, tous les efforts antérieurs sont annulés

Total rien, rien et rien. Pas plus de sécurité, que de désarmement la Société des Nations n'ayant pas mieux réussi que les conférences ou la diplomatie traditicnnelle. Six ans passés. Tout à recommencer.

Sua" ce sombre tableau un jet d'es-

poir

Au naufrage actuel des méthodes inter-

nationales a du moins survécu le droit -au

pacte de garantie particulier que nous avons longtemps défendu à Genève contre l'Angleterre et que l'Angleterre semble, heureusement, vouloir invoquer aujourd'hui. Souhaitons qu'un pacte de ce genre. précède toute évacuation, de même que la garantie de sécurité doit précéder tout ésarmement, pourvu qu'il ne puisse, à aucun titre, apparaître comme une sorte de permission de guerre délivrée pour les frontières qui n'y seraient pas visées. •. C'est également icette idée décidément générale de la nécessité d'un accord franco-britannique qu'exprime M. René La.ra (Gaulois),

A LA CHAMBRE DES COMMUNES Les relations de TAngletep avec les Soviets î-

M. Chamberlain ne juge pas utile d'envoyer un ambassadeur à Moscou

LONDRES, 23 février. Au cours de là séance tenue cet après-midi par la Chambre des communes, le commandeur Kenworthy a posé une question au gouvernement sur les rapports actuels entre la Grande-Bretagne et les Soviets.

M. Austen Chamberlain a répondu « II n'est nullement dans l'intention du gouvernement de Sa Majesté, étant donné les circonstances actuelles, de nommer un ambassadeur à Moscou. Dans un de mes récents discours, j'ai d'ailleurs fait savoir que pour l'instant, le gouvernement anglais n'épas disposé à prendre une initiative quelconque à ce sujet. Nous surveillons simplement la situation et notre décision ultérieure sera guidée par les événements. » La prochaine conférence

sur la limitation des armements Le commandeur Kenworthy demanda alors si l'on se proposait d'inscrire dans le programme de la prochaine conférence sur la limitation des armements navals, une discussion sur. les armements terrestres et aériens.

Le secrétaire au Foreign Office répondit que la question avait été officieusement abordée au cours de conversations tenues à Londres avec M. Kellogg, mais ajouta que tout s'était borné là, et qu'aucune négociation n'était en cours à ce sujet entre Londres et Washington.

Un dîner à l'Ambassade de France à Bruxelles

BRUXELLES, 23 février. M. Herbette, ambassadeur de France, a offert ce soir un dîner en l'honneur du roi et de la reine des Belges, ainsi que du prince Léopold. Il avait réuni, en cette circonstance, un grand nombre de personnalités françaises appartenant aux milieux littéraires, scientifiques et artistiques de Paris.

On notait parmi les invités MM. HenriRobert, Joseph Bédier et A. Besnard, de l'Académie française Richet, général Ferrier, Georges Claude, de l'Académie des sciences Charles Duhesme, de l'Académie des inscriptions et belles-lettres Calmette et Regand, de l'Académie de médecine le docteur Rivière, MM. Maurice Denis, Albert Faivre, Revel, Pierre Mille, Grosclaude, etc.

EN QUELQUES MOTS

_.o._

Marseille, 23 février. Le comité d'action et d'entente républicaine laïque, sociale et syndicale a décidé d'organiser un grand meeting de protestation, dimanche prochain,' jour du banquet Millerand.

M. Flaissières, maire de Marseille, a accepté de |>résidçr., ce, meeting.;

.-WasrMngion?p-23:{âwjQt; «i^iLiS pnésidon^Goa-.

lidge a soumis aujourd'hui à l'approbation -du Sénat la nomination de M. Houghton, ambassadeur des Etats-Unis à Berlin, au poste d'ambassadeur à Londres.

Le Caire, 23 •février. Nokrashi Vey, soussecrétaire de l'intérieur dans le cabinet Zafloul pacha, qui avait été détenu à la suite de 'enquête ouverte sur le meurtre du sirdai;, a ctà remis en liberté aujourd'hui.

Stockholm, 23 février. Aucun changement ne s'est produit dans l'état de M. Branting, qui reste critique.

Rome, 23 février. Le Pape a reçu le cardinal Dubois, archevêque de Paris.

Rome, 23 février. Le Pape a reçu ce matin, en audience privée. M. Graffin,' directeur général do la Société française contre lesciavage.

Varsovie, 23 février. M. Justin Godai' accompagne du ministre du travail polonais Sakal, a assisté pendant son séjour à Cracovie aux délibérations du Congrès des architectes, où il a été chaleureusement salué.

Alger, 23 février. La division navale anglaise mouillée en rade d'Alger depuis une dizaine de jours a repris la mer dans la matinée pour continuer à effectuer ses manœuvres.

Bref, sous une forme ou sous une autre, que ce soit sous la plume de nos plus brillants confrères parisiens ou dans les plus modestes organes de province, interprètes directs des masses rurales et où se rencontrent également tant de talents, toujours on retrouve cette double préoccupation, idée sommaire mais par là même commune à tout le « fonds » français la paix, c'està-dire la tranquillité dans la sécurité. L,'ASIE NOUVELLE

Le Journal publie d'intéressantes impressions d'Orient, dues à son collaborateur André Tudesq, décédé, comme on sait, au cours de son voyage. M. André Tudesq en thèse générale s'élève contre l'idée que se font beaucoup de nos concitoyens d'une Asie et, en .particulier, d'une Chine « figée dans sa millénaire sagesse », n'évoluant qu'en trompe-l'osil et ne changeant qu'à fleur de peau.

Néfaste préjugé, s'écrie notre regretté confrère, qui pourrait nous coûter de bien amers réveils Huit cent m'illions de jaunes, au contraire les deux tiers de l'humanité se trouvent en pleine effervescence, en pleine crise de croissance. Dans le bien comme dans le mal, en affaires comme en politique, ils progressent à pas de géants. Avides de dépasser leurs initialeurs, Ja plupart se ruent aux idées extrêmes le bolchevismie trouve ainsi en eux des recrues toutes prêtes. D'ailleurs, fut-il jamais rien d'aussi asiatique que les doctrines des Soviets ? La guerre, d'autre part, en leur donnant le goût de la liberté, leur a surtout créé des besoins, des instincts, M'- furieux appétits. Ce qui, politiquement, sfe" traduit par un nationalisme exaspéré à fond de cupidité et de superstition dont la première forme est la xénophobie.

M. André Tudesq note que l'Angle- terre a, depuis longtemps, .pris ses pré- cautions contre une explosion de ces sentiments nouveaux. Il nous la montre à Port-Saïd, à Suez, à Pernn et Aden, pour la garde de la mer Rouge, Trincomalee pour la route des Indes. Penang et Singapour (qui, avant cinq ans, sera le Gibraltar des mers extrême-orientales) et, •« au bout de la chaîne, bien embusque, face au Pacifique, Hong-Kong ». Et conclusion « La vieille Albion n'est

RÉPÉTITIONS GÉNÉRALES THEATRE DES ARTS Henri IV, pièce en feôis actes, de M. Luigi Pirandello, traduc"^ion de M. Benjamin Crémieux.

Ne nous laissons pas égarer par le titrer il ne s'agit pas d'une pièce, historique. Henri IV est une tragi-comédie. CEuvre inégale qui, à côté de passages d'une grande beauté, en contient d'autres, conventionnels, où l'intérêt languit. ̃ Le sujet ? Un fou qui a ee§s<é' de Tètre et qui continue à jouer la folie pour niysti-;fier son entourage et peut-être aussi parce que la condition de dément- lui apparaît toute pleine d'avantages.

Celui qu'on appelle Henri IV, aujourd'hui (ne se croit-il pas en effet Henri IV. d'Allemagne, celui qui s'humilia devant le Pape, à Canossa ?), a -été victime, jadis, d'un accident. C'était un jour où ses amis et lui avaient organisé une cavalcade, en costumes d'époque.. La jeune fille dont il -était amoureux avait imaginé de revêtir les apparences de Mathilde de Toscane qui offrit l'hospitalité à Grégoire VII il résolut de se présenter à elle sous les traits de l'Empereur qui fit amende honorable devant son hôte.

Un accident le priva de la raison. Depuis, il vit dans une villa aménagée de façon il entretenir son illusion. Il a des gardes, -dés conseillers qui flattent sa manie.. Or, la marquise Mathilde Spina (celle, précisément, qu'il aima), sa fille' Frida, fiancée au neveu d'u Henri IV », le marquis Carlo di Nolli, viennent le/ visiter avec un médecin. Mais Henri IV ne reçoit que des personnages de <sa cour, ou de son temps, tout au moins. Les voici donc obligés d'emprunteii des vêtements au magasin» de la villa, où tout, d'ailleurs, est prévu. Henri IV les accueille. C'est bien un fou qui a réalisé cette comtposifrbn carnavalesque c'est bien un fou qui parle et agit au milieu d'eux. Certaines phrases, cependant, certains mots sa manière de regarder la marquise. Si nous ne doutons pas encore qu'il ne soit fou, des indices .nous permettent de penser qu'il a encore quelques lueurs de lucidité.

La marquise et ses compagnons ont décidé sur le conseil du médecin de tenter une épreuve d'où Henri IV peut sortir guéri lui présenter l'image de celle qu'il a aimée la petite Frida, vêtue de la robe que portait sa mère jadis, tiendra ce rôle et simultanément l'image de la marquise elle-même. Mais déjà, ils ne sont plus d'accord sur la réalité de sa. démence. La. marquise est troublée et admet la simulation: Henri IV survient avant qu'ils n'aient 'l1*glé leur mise en scène.* Il est plus .fou1 que jamais. Mais ils partent et il cirié à!ses- conseillers son mensonge. Non, il ri est pas fou il ne l'est plus. Mais il a voulu, en simulant la folie, railler tous ces bouffons, s'amuser à leurs dépens. La folie, quelle existence délectable S'éveiller, sauter de son lit, non pour sortir de son rêve, mais pour y entrer. Rien d'autre à faire ici-bas que de vivre de rêve Contempler' huit siècles plus bas des hommes qui se débattent dans l'anxiété pour savoir ce qui va advenir d'eux et être déjà bien tranquille dans l'histoire. Henri IV, après d'autres, célèbre l'éloge de la folie.

Mais les préparatifs sont terminés. Frida, dans la robe de sa mère a pris place. Elle tremble de peur. Cependant les confidents d'Henri IV ont parlé. L'épreuve, est inutile, puisqu'il n'est plus fou. Henri IV n. 'voulu être fou ?• Oui. Il- le proclame. Douze ans s'étaient écoulés. Sa place était prise, au banquet. On eût prétendu encore qu'il était fou. Il a préféré le rester. Pourquoi l'avoir démasqué ?

Il s'exalte, en évoquant le passé La marquise a vécu les vingt ans qu'il avait désiré vivre avec elle. Frida est là, maintenant i Il veut la prendre, l'emporter. L'amant de la marquise son rival d'autrefois s'élance sur lui, en lui criant

Laisse-la., voyons. Laisse-la Tu n'es pas fou

Il se révolte

Je ne suis pas fou ?

Et, pour le convaincre, il le traverse de son épée. Fou ?. Maintenant si Par. forée Telle est cette oeuvre, singulière, puissante et désordonnée. ̃

M. Pitoeff est Henri IV. Il est tour à four dramatique et burlesque. Mme Ludmilia, Pitoeff. Frida minaude par instants. Elle si charmante, dans le naturel. Maxime Girard.

pas prête â ..laisser tomber en quelque sorte son sceptre des mers. Mais surtout, je vous prie, ne 1 -allez pas dire impérialiste. »

EN PROVINCE

En général, la presse de province est surprise et inquiète de la-rentrée de M. J. Caillaux. Elle ne comprend pas bien le revirement de certains milieux .politiques parisiens. Elle s'étonne également que les feuilles de gauche, en exal- tant l'orateur de Magic-City, se donnent l'apparence de condamner M. Herriot. Une de ces feuilles- ayant écrit notamment que « la fournaise parlementaire brûle les hommeis comme des torches, et qu'il en faut de réserve, M. Paul Baza-rt (Progrès de la Côte-d'Or) écrit M. Herriot n'a pu lire sans mélancolie ces commentaires de la « triomphale » manifestation de Magic-City. La bruyante rentrée de M. Cai:laux, flanqué de son ami Malvv, sur la scène politique, a tout lieu de nous "apparaître comme une cause nouvelle de discordes et de batailles et dans notre conception des intérêts du pays nous devons jious en attrister.

C'est également l'opinion d'autres ré-gionaux, comme la Petite Gironde, ,1'Oufâst-Eclair (M. Pagès), le Télégramme du Nord, le Journal de Rouen. Ce dernier s.'élèvè, d'autre part, contre les me-sures dont M. Colson pourrait être frap-. pé, et tout en souhaitant l'union et l'apaisement de tous les Français, il regrette qu'après son appel à la, tenue du .franc, M. Herriot ait cru devoir ajouter 8(:Attàqtions-nous sur d'autres su-

!Ms?.i)'

j Comme si la confiance dans un gouvernement pouvait être « localisée » oh tronquée l'union nationale Mais obtenir la thèse du franc, c'était paralyser pour nn temps indéfini l'activité de l'opposition nu Pa'rlement et dans toute la France tandis que le cartel aurait librement continué sa néfaste besogne au bénéfice de l'extrêmegauche. •̃•-̃>̃ ~c -̃̃.•> 3 Le journal normand, qui reflète les opinions républicaines modiérées de' sa région, ne croit pas que, dans ces conditions, l'opposition puisse se prêter à ce qu'il considère comme une- manœuvre, ̃

Pierre Viilette.

Nouvelles Diverses La température

•Probabilités pour aujourd'hui

` Région parisienne vents nord-ouest ou nord modérés, faiblissant. Plus doux. Temps nuageux avec ̃ éelaircics et quel* ques giboulees. Môme temps sur toute la France. Pluie et neige moitié Est, pluie îu LI Sud-Est. -_̃ Elle aimait trop le bal.

Suzanne Louzeau aïmie ]a danse et le dancing. Mais les gages que lui donnent les maîtres qui l'emploient comme bonne à: tout faire ne lui permettent pas de mener la grande vie. Aussi, pour satisfaire ses goûts, s'est-elle mise à voler. Dans les diverses places qu'elle a occupées1 depuis sept ou huit mois, elle a dérobé, en tout, pour une cinquantaine de Mlle frâiïcsde "bijoux, d'argenterie et de billets de banque. Elle s'est fait arrêter hier. Elle est au Dépôt.

r :a

Un marchand de vins de Jolnville, M. Dupeyrat, et un bouquiniste parisien, M. Terrier, font une promenade en barque sur la Marne La barque chavire. M. Terrier se noie. M Dupeyrat est sauve par des mariniers.

1920 MADELEINE VIONNET présentera la collection complète de ses créations nouvelles pour l'été 1925, le mardi 3 mars, il quatorze heures trente, avenue Montaigne, aux Champs-Elysées.

Le 10 mars, à quatorze heures trente, ouverture de la succursale de 13iai-t-ilz. Rotonde du Casino Bellevue, entrée par la plage.

FMARO~THEATRE

COURRIERMSJHÉATRES Premières représentations t t~ Au Théâtre des ARTS, à 8 h. 45, première' représentation de Henri IV, pièce en trois actes de M. Lûigi Pirandello, traduction française de» Mi Benjamin Crémieux.

Aux FOLIES-DRAMATIQUES, à 8 h. 30. première représentation de le Rosier, opéra-bouffe en 3 actes de M. Maurice Devilliers, musique de M. Henri Casadesus.

Mercredi, à 8 h. 30, réception du service de première.

Aujourd'hui ·

A LA -Comédie-Française, à 1 h. 30, l'Abbé Constantin, l'Anglais tel qu'on le parle; A l'Opéra-Comique, à 1 h. 30, Madame Butterfly, le Mariage aux lanternes.

A L'ODÉON, à 2 heures, Un chapeau de paille d'Italie.

Au NOUVEL-AMBIGU, à 2 h. 30, Marie-Gazelle.

Au Trianon-Lyrique, à 2 h. 30, Rêve de Valse.

Au Music-Hall DU PETIT-MONDE, à 3 heures (8, rue Jean-Goujon), grand bal travesti des Jouets. Attractions.

,»»

Même spectacle que le soir

Aux Variétés (2 h. 30), à la Porte-Saint-Marlin (2 h. 30), au Vaudeville (2 h. 30), au Gymnase (2 h. 45), à la Renaissance (2 h. 30), à la Gaîté- Lyrique (2 h. 30), au Théâtre Antoine (2 h. 45), au Théâtre de Paris (2 h. 30), au Châtelet (2 h. 30), au Palais-RoyaL (2 heures 30), à l'Athénée (2 heures 45), au Théâtre Sarah.Bernhardt (2 heures 15), aux Bouffes-Parisiens (2 h. 30), au Grand-Guignol (2 heures 45), au Théâtre Michel (2 heures 30), aux Capucines (3 heures), au Théâtre Daunou (2 h. 30), à la Madeleine (2 h. 30), aux Mathurins (2 h. 30), au Châtelet (5 heures), à la Scala (2 h. 45), aux Nouveautés (2 h. 45), à Femina (2 h. 45), à la Comédie-Caumartin (3 heures), aux Deux-Anes (3 h.), aux Folies-Dramatiques (2 h. 30), aux Deux-Masques (3 heures), au Théâtre Albert-ler (2 h. 30), à Déjazet (2 h. 30).

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Ce soir A L'OPÉRA, relâche. A LA COMÉDIE-FRANÇAISE, à 8 h. 30, Œdipe à Colone (MM. Albert Lambert fils, Henry Mayer, Freshay, Paul Gerbault, Dorival, Escande (première fois), Albert Rcyval, Ledoux, Dufresne Mmes Jeanne Rémy, Calixte Guintini, Madeleine Barjac, Marie Bell, Suzanne Rouyer) l'Epreuve (MM. Dehelly, Croué, Paul Numa Mmes Dussane, Jeanne Even, Nizan).

A l'Opéra-Comique, à 8 heures (IIe représ. de l'abon. série A), le Huila (Mlles Yvonne Brothier, Mona Païva MM. Ch. Friant, Audoin, Azéma, Guénot, Hérent) Le Pelit Elfe-Fermel'Œil (Miles Sonia Pavloff, Rosne, Goldflam, Fer-

rat).

A L'ODÉON, à 8 h. 30, le Mariage de Mlle Beulemans (MM.F Fabry, Adet, Arnoux, Pasquali, Oettly, Cusin Mmes Charlotte Clasis, Devillers. Parizet) le Poète et l'Echo (Mlle Robiane y M. M. Cavenne).

Aux Variétés, à 8 h. 45, r? rmli Vert (M. Jules Berry, Mlle Maud Loty, M. Pauléy, Mlles Jeanne Loury, Suz. Dantès, Marg. Ducou.ret, etc., et M. André Lefaur).

Au VAUDEVILLE, à 8 h. 45, la Tendresse (Mlle Yvonne de Bray MM. F'rancen, Bour, joffre, Jean Silvestre, P. Juvenet, Fernal Mlles L. de Mornand, Dancourt, Nyssor et M. Mauloy). Au GYMNASE, à i heures. la Galerie des Glaces (Miles Madeleine Lély, Sylvie, Mady Berry MM. Ch. Boyer. J. Baumer et M. J. Worms). Mat. jeudi, dim. et fêtes à 2 h. 45.

A LA Porte-Saint- MARTIN, à 8 h. 15, Peet Gynt, orchestre Pasdeloup (Nelly Martyl et Monna Païva M. Joubé, Mme Boyer MM. Chabert, Fabre et Grétillat).

Au NOUVEL- AMBIGU, à 8 h. 30, Reine d'Amour, avec Mlle Simone Frévalles et M. Jean Coquelin, en représentations.

Au THÉATRE Antoine, à 8 h. 30, Pile ou (ace, comédie nouvelle de M. Louis Verneuil, avec Mme Elvire Popesco et M. Louis Verneuil. Au THÉATRE SARAH-BERNHARDT, à 8 h. 15, l'Aiglor, avec Mlles Servière, Alice Tissot MM. Monteux, Chameroy et M. Maxime-Léry. Dim. el fêtes, matinée à 2 h. 15.

Au Théâtre DE LA RENAISSANCE, à 8 h. 30, .Vêtir ceux qui sont nus (Mmes.Simone, J. Grunbach, Martal MM. Vargas, Yonnel, Pally et M. Alcover). On commence par Diplôme.

A L'ATHÉNÉE, à 8 h. 30, les Nouveaux Messieurs (Victor Boucher, Gaby Morlay MM. Berthier, Cousin, L. Dayle et André Dubosc). AU Pala,S-Royal, à 8 h. 45, U Monsieur de cinq heures (MM. Albert Brasseur, Le Gallo; Duvallès, Charles Lorrain; Mmes Marguerite Templey, Denise-Grey, Andrée Guize). A LA GAITÉ-LYRIQUE, à 8 h. 40; la Hussarde [Mmes Georgette Simon, Dhamarys, Epicaste, Yma, R. Leblanc MM. Henry Jullien, Jysor, Darmant, Allard, Dullac, Détours. Ballet :'Mlle Capry).

Au Théâtre DE PARIS, à 8 h. 45. fc Tentation, avec Mme Veta Sergine MM. H. Rollan, G. Severin, Ch. Bcnard, Clarins Mmes P. Lor.ty, Clarel et Alermn. Jeudi et dim.. matinée. AUX Bouffes-Parisiens, à 8 h. 45, Trou. blez-moi (MM. Dranem, L. Baroux, Ad. Lamy, Harry Wills et Gabin Mmes Davia, Y. Noria, Chr. Dor, Sujette O'Nil et Aiice Beyiat). Au Théâtre DE L'ETOILE (Elysée 41-13), à i h. 45, Pouchct opérette en 3 actes, musique de M. Henri Hirchmann (MM. H. Defreyn, Gabaro- :he, Pizani et Mlles Viorica, Yo Maurêl, Eva Reynal). Au THÉATRE Edouard-VII, à 9 heures, le Tribun, pour les représentations de M. Lucien Gui- iry.

t– Au THÉATRE FEMINA, à 8 h. 45, le Bel amour MM. Louis Gauthier, Chambreuil Mmes Ger- naine Dermoz. Bouchetal, Suzanne Paris). Au Théâtre Daunou, à 8 h. 30, Chéri Mme, Colette) l'Affaire Juliette (Tramel).

Le professeur Broca ` meurt dans un train

Hier, à la fin de l'après-midi, à l'arrivée d'un train venant de Versailles, des employés de la gare Montparnasse découvraient, dans un wagon de première, un voyageur inanimé. Ils le transportèrent aussitôt. à l'hôpital Necker, où l'on constata qu'il était imoii. Le corps fut alors ramené à la gare Montparnasse et déposé dans la chambre mortuaire.

En recherchant l'identité de ce voyageur on s'aperçut qu'on était en présence du professeur Broca, membre de l'Académie de médecine et frère du grand chirurgien récemment décédé.

Le docteur Brocà était âgé de 72 ans. Porteur d'un nom iUustre dans les annales médicales, il jouissait personnellement d'une grande réputation.

Ce n'est pas sans .un douloureux étonnernent que l'on apprendra une fin aussi soudaine.

La suppression du bordereau de coupons

Ainsi que nous l'avons annoncé,, le Journal officiel publie ce matin le décret suspendant l'application du décret du 16 septembre 1924, qui fixait les conditions d'application des articles 61 à 67 de la loi du 22 mars 1924- instituant diverses mesures de coni l'ôle- fiscal en ce qui concerne les valeurs moDineres.

Au THÉATRE DE LA MADELEINE (Elys.86-25), à 8 h. 45, Spinelly, Roger Gaillard, Valmond, Bélières et Alcover dans la Beauté du Diable et Chocotte.

Au GRAND-GUIGNOL, à 8 h. 30 1 Sur la Cunde 2° Chabichou 3° L'Amant de la llrlorf 1* t*- le Renard. Matinées merc, sam., dim. et fêtes. ,Au Théâtre MICHEL, à 8 h. 45, le GrelucTion- délicat (M. Hariy Baur, Mme Madeleine Cârher; MM. Paul Bernard, Carrette, Emm. Clot; Mme Yvonne Fursey).

Aux CAPUCINES (Tél. Gut. 56-40), à 9 heures, Où allons-nous revue (MM: Charles Lamy, H.,Trévoux, Balder, Fenonjois, de Boncour et Louvigny Mlles Marg.Pierry, Arletty, Lily Scott, H. Andral. Pascaline et Loulou Hégoburu, etc.). Au THÉATRE DE L'AVENUE, à 8 h. 45. PéPete (Mlle Edmée Favart Mlles Lyse Bertie, M. Moussy et Maud Gypsy MM. Félix Oudart, Piérade, etc., et M. Robert Bumier).

Au Théâtre DES Nouveautés, à 8 n 45, Pas sur la bouche (Mmes Régine Flory, Jeanne Cheirel, Plerrettf. Madd, Pauline Carton MM. Noval, Robert Darthez, Champell et Berval). Aux MATHURINS. à 8 h.30. Natchalo (Mmes Eve Francis, Inbe.Delcroix; MM.P.Renoir, Louis Rouyer, H. Krimer, Seize, A. Combes, Régiane et Michel Simon.

A LA Comédie-Caumartin, à 9 heures, VAmant rêvé (Mmes Aug. Leriche, F. Samy et Blanche Montel MM. S. Fabre, Armand Morins. F. Pascal, Gobet et René Rocher).

A l'Œuvre, à 8 h. 45, le Baptême, pièce en 3 actes de MM. Savoir et Nozière, avec MM. Lugné Poe, Mihalesco, Jean Wall, Prévot Mmes Jany Cazeneuve, Gisèle Picard, Save, Gine Avril. Au TRIANON-LYRIQUE, à 8 h. 30, Monsieur de La Palisse (Mlles de Pouzols, Faroche, Ferny, Clément, Huchet MM. Cardon, Cadet-Grégoire, Rudeau, Derroja, Lenzi, Hussenet) ̃ ̃ A LA SCALA, à 8 h. 45. Marcef Simon dans Une grosse. af faire iMM.' Despaùx, -Roquevert, Monteil Mmes M. Dhervilly, Watier). Au ?} acte, ballet avec Violette Cauchois et. Marcel Simorr.

A LA Gaité-Rochechouart, à 8 h 30 Quand on a fait ça une fois (M. Serjius, Mlle Darbelle, etc.). ).

Aux DEUX-ANES, à 9 heures, Présentez. Anes 1 revue, avec Gabv Benda, Dalio. Deyrlord, Marrot. Nicolle, Léon Henry et Roger Ferréol, les chansonniers Marc-Hély, Merry, Colline, Dorin et le dessinateur H.-P. Gassier.

i `^M..N.

Opéra. Continuant la série des matinées du dimanche, qui offrent au public les chefs-d'œuvre de l'art lyrique ancien et moderne, dans les mêmes conditions d'interprétation qu'aux soirées, l'Opéra annonce, pour dimanche prochain, ue représentation de la Flûte enchantée, récemment remise à la scène et, depuis lors, un des plus grands succès de la saison.

Comkdie-Fkançaise. C'est samedi prochain, au cours de la dixième matinée poétique, que la Comédie-Française donnera la première représentation de la pièce en un acte et en vers de M. Atiguste ViJIeroy, le Retour. à la Terre, qui sera interprétée par Mme Weber et m'

'Ifcryi,

jLprji^ON. Par la force, dont toute la presse vient de constater Je succès/préfente un cas assez rare dans les annales de l'art dramatique. L'action se passe entre 9 et n heures du matin, c'est-à-dire exactement pendant les deux heures que dure la pièce Le drame se déroule sur la scène, niissi rapidement que dans la réalité.

*•*

Le service de seconde pour Par la ferre sera reçu le samedi 38 février, en foiréc. Voici ensuite les dates auxquelles sera donnée la pièce de MM. Charles Méré et Henri de Weindel, dans les premiers jours de mars mardi 3 mars, en soirée mercredi Il mars, en soirée samedi 1 mars, en matinée.

(_ Porte-Sai.nt-Martin. A a heures iô et 8 heures i5, Peer Gynt, avec l'orchestre Pasdeloup Mlles Nelly Martyl et Monna Païva MM. Joubé et Grétillat. Matinée jeudi, samedi et dimanche.

AMBIGU. A a heures 45, Marie-Gazelle, avec Polaire (en représentations). A 8 heures i5, Reine d'Amour, avec Mlle Simone Frévalles et M. Jean Coquelin (en représentations).

Athénée. Aujourd'hui, matinée supplémentaire de les Nouveaux Messieurs, le plus éclatant des succès, inlerprété par M. Victor Boucher, Mlle Gaby Morlay MM. Berthier, Cousin, L. Dayle, etc., et André Dubosc.

Thiîatbe Antoine. Aujourd'hui mardi gras, à 2 heures 3o, matinée de Pile ou face, la triomphale comédie de Louis Verneuil, avec Elvire Popesco, Louis Verneuil, Leuville et Gaston Dubosc, ainsi que tous les autres créateurs.

Théâtre Daunou. Aujourd'hui mardi gras, à 2 heures 3o, Mlle Colette M. 7 agrenée Mmes Marguerite Moreno, Madeleine Guitty, avec Ellen André et Gernaine de France MM. Marcel Carpentier, Lucien Callamand, Vermeil joueront Chéri, en matinée.

Grand-Guignol. Aujourd'hui mardi gras et demain mercredi, en matinée et en soirée, 'V Amant de ta Mort, Chabichou, le Renard, qui font courir Tout Paris.:

Mathubiks.- La direction du Théâtre des Mathurins nous avise que la répétition générale de On demande un amant, comédie en trois actes, de M. Maurice Dekobra, reste fixée au mercredi a5 février, mais que la répétition des couturières, que devait avoir lieu la veille, c'est-à-dire aujourd'hui, mardi 24, est supprimée et sera sLviciement privée.'

La direction s'excuse auprès des personnes qui auraient reçu les invitations d'être dans l'impossibilité de les recevoir. >;

--».

Nouveautés. Aujourdhui, r.ïatiaéc de Pas sur la bouche! l'opérette triomphale de MM. André Barré et Maurice Y vain.

Deux-A?jes. Aujourd'hui, matinée et soirée du nouveau spectacle qui est -un triomphe Louez Marcadet, 10-36. •'Théâtre Rôse (Mathurins). Jeudi, à a heures 45, matinée pour la jeunesse i Un bon petit diable (avant-dernière).

Théatbe DE 'l'Etoile. M. Alphonse Franck nous écrit

Surmené par de trop nombreuses occupations ) ai cédé.comme vous l'avez annoncé depuis longtemps, la direction du Théâtre de l'Etoile à mes confrères MM. Camille Choisy et Jack Jouvin.

En directeurs prudents, ces messieurs ont commencé, dès maintenant, de répéter la comédie de M. Maurice Donnay qui doit inaugurer officiellement leur direction.

La carrière de 1 opérette que j'ai tirée de la comédie de MM. René Peter et Henri Falk et pour laquelle M. Henri Hirchmann a écrit, de l'avis général, sa meilleure partition, risquant de retarder l'apparition de la comédie de M. Maurice Donnay, j'ai entamé des pourparlers avec un de mes confrères dans le théâtre duquel il me sera possible de transporter Pouche, avec troupe et bagages. Les exploitations théâtrales sont habituées, vous le savez, à l'imprévu et à des complications inconnues des autres entreprises commerciales. Mais au théâtre on ne se contente pas de boire l'obstacle, on le dévore. Il suffit pour cela d'avoir de l'estomac.

ALPHONSE FRANCK.

Scai.a. M. Marcel Simon vient d'engager Mlle Marise Massare, qui jouera l'un des rôles principaux du Coup de Jarnac, dont les représentations succéderont à celles de Une grosse affaire, dans un avenir encore éloigné.

Maxime Girard.-

ri VAUDEVILLE m œuvre d'Henry BATAILLE I LA TENDRESSE poursuit sa magnifique carrière

AVEC '̃̃•

YVONNE DE BRAY VICTOR FRANCEN m Matinée dimanche _S_9

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CAPUCI N ES Aujourd'hui MARDI GRAS

Matinée et Soirée ̃

OU ALLONS-NOUS! Revue

de RIP et BRIQUET

Charles LAMY Marg. PIERRY • ̃̃-̃̃̃ avec Loulou HEftOBURU et X.OUVIGN'Ï

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à partir de JEUDI 26

s'adresser tous les soirs à 21 h. AU

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HARDI GRAS L'Amant Rêvé f

Comédie-Caumartin ï w

atinée et soirée ff

GAITÉ- ROCHECHOUART QUAND ON A FAIT ÇA UNE FOIS.

L'OPÉRETTE QUI DÉCHAÎNE LE FOU RIRE IIMCMEHSTSE StrCCBS

Aujourd'hui MARDI matinée et soirée L'ATELIER (Théâtre Montmartre)

joue, ce soir

B <!C~ ÈmB

Pour la £ois r CHACUN SA VÉRITÉ de Luigi Pirandello

UNE GRIFFE NOUVELLE

DANS LA HAUTE COUTURE Eiiglish Warchouse qui, depuis 3/4 de-'siè- cle, donne le ton à l'élégance enfantine, Bennctl, également très apprécié depuis de nombreuses années dans la Haute Couture pour Dames, -formeront désormais une maison unique, portant le seul nom de son pro- priétaire vM: H.

M. H. GROS

Une. complète transformation do-ses.snlons vient d'être terminée.- goittle pltirv averti'et le plus délicat" a présidé à -cette rénovation. (Et dans ce cadre luxueux M. H. Gros présente, à partir du mercredi 25 février, ses collections d'Eté pour Dames, Jeunes Filles et Enfants, 241, rue de Rivoli, et 2, rue Cambon.

Infopcpatïond

Actuellement

Le couturier Francis présente sa nouvelle collection. Ses nombreuses clientes sont cette année exceptionnellement favorisées car elles trouvent chez lui de ravissantes robes à 800 francs. 5, avenue Matignon (Champs-Elysées),

Réunion mensuelle des Anciens de la 1.7° division, le mercredi 25 février, à 21 heures, au Zirnmcr de la place du Châtelet. Jean de Paris.


dietine 690, à 22.490 Choix 65, à 3.S70 Tabacs du Maroc 150,- à 2.600 part belge de Chemins de fer Munis 105, à 6.330 Viscose Suisse 350, à 9.425.

La part Soie artificielle abandonne 150 fr., à 3.260 Cusenier 200, à 5.600 part Ciments de l'Indochine 215, à 13.575 part Air Liquide 450, à 7.850 part Héracléei23, à 22.102, etc.

ni1 ^S^S^- m m"

Propos d'élégance a et de mode masculine

Courrier peu Bourse Paris, 23 lévrier.

Les changes restent tendus. La livr° a progressé de 58 centimes à 91 47 et le dollar de 14 centimes à 19 23. Quelques valeurs internationales, telles que Suez, Wagons, Lautaro, ont obéi à la poussée des devises et se sont portées en avant, mais le mouvement n'a pas été général. Quant aux titres français, ils sont toujours aussi délaissés. Du reste, le marché manquait complètement d'animation. pn se serait cru a une séance de samedi.

C'est demain que sera publié le décret abrogeant le bordereau de coupons, et on aime à espérer qu'il en résultera un peu plus d'actiyité dans la circulation des ca- pitaux, mais il ne faut pas se dissimuler que certains articles de la loi de finance, bâclés* par la Chambre au cours de la séance dé nuit de samedi, ont produit la plus pénible impression dans le monde des affaires. La non-déduction du montant de l'impôt général sur le revenu pavé l'année précédente équivaut à l'institution d'un impôt sur l'impôt. L'injustice est criante lorsque le revenu annuel du contribuable varie largement d'une année à l'autre. Or, o'est le cas général lorsqu'il s'agit de bénéfices commerciaux, industriels ou agricoles. Il arrive, en effet, trop fréquemmeent que le bénéfice d'une année soit transformé eu une perte l'année suivante.

On a, d'autre part, voté une série de niesures qui procèdent nettement d'un esprit d'hostilité à l'égard des Sociétés. Les actions d'apport vont être soumises à un régime qui entravera la transformation des affaires privées en sociétés par actions, alors qu'on devrait, au contraire, l'encourager. Enfin, le doublement des droits sur les parts de fondateurs et autres titres créés sans expression de capital, est une iniquité et une absurdité sans nom. Si le Sénat votait cet article, un grSnd nombre de porteurs de parts, au lieu de toucher des dividendes, devraient encore payer quelque, chose au fisc

Comment veut-on que la confiance se rétablisse et que les affaires reprennent dans •Ces conditions '?

flUa peu de lourdeur au groupe des Rentes françaises. Fonds -Russes, mieux, bien que les nôuvéjlgs déclarations de M. Krassme ne clian-, •géftt rien ë la situation des porteurs de titres. Les ottomans reperdent une partie de leurs progrès précédents.

établissements de Crédit, irréguliers. On n'arrive pas à comprendre l'attitude du

marché h l'égard de ce compartiment et,

particulièrement, des Banques d'affaires. 81, La Banque de Paris est délaissée à 1.365 et cependant personne n'ignore qu'elle possède un portefeuille important de ces mêmes titres internationaux que le public recherche et ne cesse de pousser en avant. Le Santa-Fé, l'Azote, la Banque ottomane, le chemin de fer de Rosario à Puerto Belgrano, le Foncier Franco-Canadien, etc., évoluent dans l'orbite de la Banque de Paris. On sait, en outre, que son dernier exercice a été des plus brillants. Nous ne sommes plus qu'à quelques semaines de son assemblée générale et il est bien étrange que la valeur soit aussi négligée. zD

Lyonnais, 1.491 Union Parisienne, 850 Société Générale, 753.

Le Sue: accentue ses progrès de samedi, à 9.360. Les Wagons-Lits passent à 2.079 Railways Electricité, 812.

Le groupe électrique est bien tenu mais toujours aussi calme. Toutefois, on remarque de gros achats en Tramways et Electricité de Shanghaï, qui gagnent 120 francs à 2.670.

Fermeté, des mines métalliques le Rio progresse encore de 63 francs, à 3,990, après avoir touché 4.010 au plus haut. Penarroya, 1.819. Peu de changement au Metal-Exchange.

Phosphates et produits chimiques, soutenus. Le Lautaro regagne plus que le coupon détaché, aujourd'hui à 807. L'Azote norvégienne s'avance à 968 sur de bons achats. Sucrières, calmes.

Les pétrolifères reproduisent leurs cours de samedi. Introduite au marché à terme au cours de 148, da Malopolska reste demandée à 150 avec un marché animé. Lourdeur des sud-africaines. Le projet de loi déposé au Parlement sud-africain et proposant le contrôle de la vente des diamants par l'Etat, indispose un peu tout ce groupe De Bcers, 1.093. Les mines d'or,d'autre part, sont légèrement influencées par la nouvelle question des salaires. Parcontre. les territoriales sont fermes Charlered, 110 Mozambique, 68 fr. 75. Cao ulcho wlières, calmes.

Au comptant, la part Electricité et "Gaz du Nord gagne 300 francs, à 9.000 B'érié-

ceinture, parements et.larges revers de satin noir, porté sur chemise de sote claire, col souple et cravate noire. L'ensemble est d'un 'effet très heureux. Dans cette pièce légère et charmante, mais de bon ton, ou même en une garçonnière, il n'y a pas de lit sur la scène, le pyjama n'est plus un déshabillé, mais un complet dlintérièur aussi correct qu'élégant.

André de Fouqùièttes.

j Dans Les Nouveaux Messieurs, Cjuand 'M'.1 André Dubosc paraît en scène, eîfest un jniiirmure d'admiration qui va à son talent, 'à son allure et aussi à son chic traditionnel. et il en est ainsi jusqu'à la fin de lapièce, car* rien ne dément la bonne impression du début, tant la coupe de ses vêtements est sobre et impeccable et le choix des coloris remarquable. Au fait, c'est tout dire, puisque les vêtements d'André Dubcsc sont signés de Georges Elina, 23, rtie de la Pépinière. Applaudissons donc égalepaent cet autre artiste de l'élégaiice,

«». ̃

Le programme des Nouveautés révfele que le pyjama porté par M. Robert Darthe? est de chez Lèinen Peuch. Peut.être l'axirait-on, sans cela, deviné, car, par la nouveauté de la forme, par la richesse et la beauté du tissu, par la conception de rénseqôhte, une telle création porte d'elle-même la signature d'un artiste, qui ne peut être que le chemisier bien connu du boulevard de la Madeleine. j

̃ ̃ •*» ̃̃'• 1

L'habit, le smoking, les deux coniplets de, ville qui s'harmonisent si bien avec m. silhouette de Don Jua:n adolescent, camnee avec tant de talent et d'entrain par Robert Darthez, sortent des mains de Crouzffvialle, l'excellent tailleur qui s'est récemment installé 18, rue de la Chaussée-d'Antin, et dont la réputation s'est aussitôt imposée.

François-^Qup.

lecturês^SngèrW La débâcle austro.allemande

L'effondrement des puissances centrales en 1918 a déjà provoqué et provoquera encore bien des commentaires. Ceux de l'historien autrichien K.-F. Nfowa'k ont er/ un retentissement particuJiènemeni grand en Autriche et en Allemagne) ils éveilïeront sans doute aussi la curiosité des lecteurs français qui peuvent maintenant, les lire dans la traduction que l'éditeur- r*ayot vient d'en publier sous le vtre tes difsspus de la défaite. C'est un travail d'Jvùstoire exécuté d'après les documents officiels, aidés des souvenirs personnels d'un houjme qui a été en contact avec les principaux personnages du drame, qui les a jugés non sans partialité peut-être et qîn en donne des portraits singulièrement vh.-ants Deux ligures, dans cet ouvrage, domi- nent toutes les autres.

L'une est celle du colonel-général Conrad von Hoetzendorf, chef d 'état-major- de l'ar- mee. austro-hongroise a« début de 3a «uér-

de, qui fLayda ces foyetions jusqu'au -début

de 1917. ^a-rd1 ces a pnur lui la pius profonde admiration c'était, dit-il, l'égVj.3 ,de Bismarck comme politique, et de Mcdtfce comme capitaine. Conrad semble en effet avoir vu plus clair que la plupart des Autrichiens, et môme des Allemands, dans la situation militaire créée par l'insuccès du plan, primitif de l'état-major de. Berlin II Jl aurait voulu que l'Autriche concentrât contre Illtalic de plus grands efforts, persuade que la victoire sur le front julien auîaat eu des conséquences aéfcisives pour l'issue de la mtte. Une cabale de'cour le 1

renversa, peu après l'avènement du ïeunc

SS Ï$$?S ravènement Jw-ne

De celui-eî,; Von N&wàk'fait. ub.pûpt»iil `~ ̃dont -les "trâTlé -ffiîtefent 'sènsiBléBSent^té ̃ ceux auxquels nous sommes habitués. Le nouvel empereur avait pour lui le charme dune fraiche jeunesse, mais il lu* manquait' a i avis de l'auteur toutes les qualités né- cessaires à l'exercice du pouvoir au moment terrible où il le prenait. C'était un officier do cavalerie, affable mais médiocre, nullement préparé au rôle crue lui valait la dis- parition subite de l'archiduc Fraoçois-Ferdinand. Pourtant, il voulait faire de gran- des choses, et son premier acte fut de se- couer la tutelle militaire dos Allemands qu il ne pouvait pas souffrir. Et, presque tout. de suite, il commença -d'ouvrir des pourparlers pour la paix. 'Mais il négocia sans franchise, et tomba sans grandeur. A vrai dire, la sévérité de von N'owak ,pa-, ra.it excessive1 il était probablement .impossible de remplacer François-Joseph et l'unité de l'Empire 'austro-hongrois ne pouvait pas 'survivre à la défait^. Cependant, le témoigiiâae.rle ce livre restera sans doute un des éléments du jugement d$. l'Histoire.;

"Un disque du Gramophone est un miroir ftVèfe"

qui conserve aux marteaux reproduits leur caractère artistique parce m*

il ne gratte pas. La listé qui suit, extraite de notre supplément de Réotter, montre la qualité et ta Variété de notre Répertoire. '̃•:

CHANT

M. VANNl-MARCOUX. *«w .*» «O»rf»

( Doe Quichotte, LfEtolU L# mort 4c

ni txi ) Don Quichotte Mwteoct *> *>31 5 \tm Quiebotte. Quand ^Umralaïutl ( KioH». Sc»-oiitlo. Maswoot M. CAMPÀGNOLA. jténM dft HOpér. V Kl S JostOh. Champ' Paierait. Méhul T °" i U Wslkyrie. O Claias, W«ro« M. VEZZANI. lénoi de l'Opéu-Comiaue

t Manon UtauUAnîc^-uttine ou femme.

) Hua itteant. Ah t m m'japf roche-,

t178 ,Po¡rpni

t eu Piisd/u

M. PANZÊRA.b|«jti»deI<Oi>ir*:C«!«m4u«

) Asumu. Mélodie Gabhel Faur*

P S1> » Poime4'*iio*r:^Aeo GfabnolFàuté Mllo Yvonne BROTHIER. eoprano

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f Itetart UDi«Me.^o/ dit-ellt. ta mon

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ORCHESTRE

OrchMlro Synphoniqae du Ûrmapphane

( Ctrwral i P«ri«. Op. 9. <î" wirtwi.

tn vn J Svendira 7 'W > Çumnl iP«ii.,Qp. 9. 12» (Wlie) DISQUES DE DANSÉ O«fa»tre GREEN ARDEN

( Hndicta. Va|K. V SchojUinrei

K 2682 S Opeheitro ROMAINE < t isiient IFoi-liot Hjrry Wanco

Orchestre SENSON

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SAOQNS DE VENTE DE LA

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l'incomparable tragédien suédois Victor Sjostrom. Séances à 2 h. 15, 4 h., 6 h., 8 h. 15, 9 h. 50. Au Cinéma Delta-Pauce. 17 bis, Bd Rochechouart (2 h. 40 et 8 h. 40). Le Signe de Zorro (Douglas Fairbanks) La Gueuse les filma en relief, etc. Orchestre Pickaert.

Casino DE Pabis. C'est par des applaudissements frénétiques qu'a été accueillie, au Casino de Paris, la rentrée de Mlle Mistinguett qui, légèrement souffrante, n'avait pu, dimanche, paraître en scène. Pendant sa courte absence, Mlle Mïslin- guett avait été remplacée par Mlles Lily Mouhet et Lina Tyber, qui tinrent ses rôles de façon parfaite et repurent, du public, un chaleureux accueil.

Aujourd'hui

Même spectacle que le soir

Aux Folies-Bergère (2 h. 30). au Casino de Patis (2 h. 30), à l'Olympia (2 h. 30). au MoulinRouge (2 heures 30), au Coacer» Mayol (2 h. 30). au Palace (2 h. 30), à l'Empire (2 h. 30), à la Cigale (2 h. 30), à TAlhambra (2 h.30), au NouveauCirque (2 h. 30). au Moulin de la Chanson (3 heures), au Gaîty-Théàtre (2 h. 30), au Gaurnont-Palace (2 b. 15). au Cirque d'Hiver (2 h. 30), au Cirque de Paris <2 h. 30), au Cirque Médrano (2 h. 30). à Madeleine-Cinéma (2 h. 30), au Peichoir,(2 h. 30), au Delta-Palace (2 h. 40), au CinéCarillon (2 h. 30), à la Salle Marivaux (2 h. 30). Ce soir

AUX Folies-Bergère «sut. 02-591. à h h 30) Ccurs en Foite.supef-ievue en 2 actes et 40 ta- bïeaux de M. L. Lemaichand. jouée par te* plui gjandes vedettes de Palis. Londres. New-York. AU Casino DE Paris, à 8 h. 30, la grande revue d'hiver, Bonjour Paris, pour la rentrée de Mistinguett. avec Raimu, Boucot, Earl Leshe, tk>ris KniasefT, Dutard et Saint-Granjei.

A l'Olympia (Cent. 44-68). à P h. b. Mat. et soir. Joë Jackson l'agent ténor Vors les Vagabonds de Moscou Claudine Bona Ues Andos le trio Mazzto. etc. Vend., sam. dim, de 5 à 7 heures. Dancing. Entrée 3 francs.

AU PALACE (Tél. Berg. 44-37). à 8 h. 30. la tevûe Vive la Femme/ (Maurice Chevalier); 45 tafeieaus, 700 artistes, 1,500 costumes. La revue la plus belle de Paris..

Au Moulin-Rouge Music-hall (Marcadet 15-27). à 8 h. 30, la Grande Reoue (Marcelle Yrven, Milton, Cariel, Oy-Ra, Baldini. Hégoburu et les 18 Gertude Hoffmann girls).

A L'EMPIRE (Tél. Wagram 60-58). Musichall-cirque. Le célèbre comique Tramel dans une Aventure du Bout}. La danseuse espagnole Ama-

tantina.

raiinA.u Concert MAYOL (Tél. Gut. 68-07). La nouvelle revue à grand spectacle Très excitante, 45 tableaux avec Isabellita Ruiz 250 artistes J.20& costumes. A- LA CIGALE, !e music-hall des étoiles. 1 ous les soirs, à 8 h. 30, Femmes et Fleurs d'Espagne (Mujeïes y flores de Espana), fantaisie musicale et chorégraphique en 2 actes, jouée, chantée et dansée par les 100 meilleurs artistes espagnols. Same- di et dimanche matinée. ̃̃̃̃̃̃-•- -• A l'Alhambra (Roquette 0-10), à 8,h. 30, The Topsy Turvy Five (danses h l'envers) Les inimitables Mendez Paul Vandy Suzanne Desgraves et Missmarsuett. etc.. etc.

CHEZ FURSY et Maurîcet, 43, boul. Clichy (Trud. 69-67), à 9 heures. Lucy Vauthrin et G: Chepfer Au temps du Chat Noir. Noël-Noël, Ëm. piétons revue Mina My'al et Caiol. Au Cirque de Paris (Ec. Milit. Ségur 31-90). à 8 h. 30 (matinée mardi gras. jeudi et dimanche). Le Tobogan humain, le célèbre Pichel, les chevaux, les clowns et 15 attract. (1 fr. 50 à 12 fr.) Au Nouveau-Cirque, 251, rue Saint-Honorô, à B h. 30, Les titres sauvages et 5 5 attractions inédites. Mat. des Jours Gras du samedi 21 au jeudi 26 février.

Au Madeleine-Cinéma, à 8 h. 30, La Légende de Saoitri, avec Lina deLiguro. La princesse Hasoutra dans ses danses hindoues. 3 séances par jour.

Au Ciné Carillon, 30, boulevard BonneNouvelle (Spectacle permanent). Le plus grand succès du moment La charrette janiôme, avec

Plusieurs de mes lecteurs me font l'honneur de me demander, sous pli confidentiel d'ailleurs, quelle doit être la composition de leur gatyie-robe voun un séjour d'une quinzaine de jours sur la Riviéra qui va de Cannes et Nice jusqu'à Monte-Carie, ce pays de France où tout vous incite à la douceur de vivre, dans une nature baignée de soleil et de lumière, où les senteurs des mimosas ee mêlent au parfum des roses.

Consultez auparavant votre miroir, détaillez scrupuleusement chaque partie de votre toilette; assurez-vous ainsi qu'aucune n'est en contradiction avec votre âge et l'extérieur que vous avez reçu de la nature.

Certes, tous les hommes ne peuvent être beaux comme des Adonis il faut au moins par les soins que l'on apporte dans l'arrangement de son physique, tâcher de paraître le moins laid possible.

Claude de Morsange, en vue de son déplacement, a commandé, à son fidèle Justin, de mettre dans sa malle « Innovation » des chemises de soie, de fil ou de batiste à rayons multicolores, dont les teintes vives s?harmonisent avec le ciel bleu, pour le matin, du tissu exotique pour l'auto et des chemises blanches nettes pour le soir, voire même, dans les réunions d'intimité, de la soie très blanche, à plastron net sans aucune piqûre, convenant fort bien au smo-

king.

On ne peut nier que la soie prend de jour en jour plus d'importance dans la toilette masculine. On ne saurait trop encourager cette tendance, car la soie est une industrie très française, et Lyon a créé une variété infinie de tissus lavables qui correspondent à toutes les exigences, depuis le broché pour les pyjamas jusqu'à la soie pour les accessoires du vêtement, en passant par la toile de soie rayée de couleurs et le crêpe de Chine pour les chemises de jour. Claude ne saurait oublier son smoking, et ses gilets bancs ses vestons d'étoffe légère et vaporeuse et ses costumes de sport caractérises par une audacieuse fantaisie, dont les damiers et les ramages cadrent avec la nature.

Il est prudent de se munir également d'un pardessus clair et chaud, à l'heure on le soleil se couche et disparait, dans l'infini. Et mardi prochain nous étudierons tous les autres détails qui complètent l'élégance de Claude de Morsange, en séjour sur la

•̃Riviéra.' '• .̃̃̃

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Jean d'Arvers a convié au club quelques amis à dlner. On parle, bien entendu, de la nouvelle comédie Les Nouveaux Messieurs, représentée au Théâtre de l'Athénée, où MM. Robert de Flers et Francis de Croisset ont semé à plaisir de l'esprit le plus pétillant et le plus satirique. M. Victor Boucher a, par ses mises diverses, marqué les rapides étapes de sa vie sociale, depuis la cotle bleue à la redingote du bourgeois. M. André Dubosc a bon air de gentilhomme dans son complet à carreaux, son, paletot noir à taille et son smoking. M. Jean Capoul porte bien son costume bleu foncé.

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L' amusante 'comédie 'musicale de^B'afcTe'-

e1"Yvàin"qui triomphe 'aux" Nouveautés* of-" fre une page brillante à l'histoire de la mode masculine. Pas sur la bouche a, sur bien des opérettes, l'avantage de se passer de nos jours et ses personnages sont des gens du monde dont chacun est un caractère. Leur élégance est un plaisir pour les yeux. Koval, irrésistible en Américain, Robert Darthez, Berval, Chempell portent d'impeccables habits ou smokings avec la cravate à coques assez larges, la vogue du moment. Robert Darthez, sympathique jeune premier dé vingt ans, fait valoir, en outre, deux complets, l'un cerise foncé à légères rayures jaunes-; l'autre bleu., pointillé de blanc et dans la garçonnière où le hasard et l'ingéniosité, de l'auteur réunissent tout Te monde'- au troisième acte, il danse avec Régine Flory une java entraînante, vêtu d'uto pyjama .qui fait sensation pantalon de satin noir à Bandes discrètes rappelant le tissu d.u veston, veston d'une admirable soie' brochée à fond crème et cerise couvert d'arabesques de dessin ancien, avec

LA Cigale. Aujourd'hui, matinée S2 heures 3o, et soirée Femmes et Fleurs d'Espagne.

Courrier Musical

Ce soir

A Ja Salle des Agriculteurs, récital de violoncelle, de E. Lanza Ma?zarino. Société des Concerts du Conservatoire," dimanche icr mars, à 3 heures, dix- huitième concert

1° Symphonie pastorale (Beethoven)' 2° Concerto, piano (Prokofieff) M. Prokofieff 3° Les Eolides (Franck) 4° Daphnis ci Chloé (Ravel). Chef d'orchestre, M. Philippe Gaubert. Jeudi soir, 26 février, Salle Erard, Concert de Clémence Delbouille et Marcelle Joviaux de Scheemacker.

Jeudi soir, 26 février, Salle Pleyel, le violoncelliste Kirchberger et le pianiste Fanti. Lundi, 2 mars, Salle de l'Hôtel Majéstic, concert donné par Mlle Ehvell et M. Royal avec Mlle A. Veluard. ;j;(

C. JiJ!

Salle Gaveau, lundi 2 mars,' à 9 îféaïés, concert Berthe Gaury, cantatrice, a^ee! le. concours de Trio de Paris Madeleine de' Valmalète, Yvonne Astruc, Marguerite Caponsacchi et Mme Saga Reuter. Œuvres de Saga Reuta accompagnées par l'auteur Schumann, Debussy, Brahms et Ravel. Billets Salle et Durand.

La pianiste Nathalie -Radisse, professeur au Conservatoire de Strasbourg, donnera un récital, mardi soir, 3 mars, Salle Erard. Au programme Sonate Op. 110, Beethoven, Davidsbundler, Schumann Œuvres de Bach, Mozart, Chopin, Ravel, Blanchet et M. Infante. Billets 5 à 20 francs Salle, Durand, Kiesgen et Delaet.

La séance que Mme Pauline Donalda con-' sacrait samedi dernier à l'audition de -ses. élèves, en confirmant une fois de plus la valeur exceptionnellc de son enseignement vocal, la qualité rare de sa musicalité et de son style fut, pour l'admirable professeur, l'occasion du plus vif succès. Toutes les jeunes chanteuses que fit entendre Mme Donalda ont de belles voix, parfaitement conduites plusieurs sont de véritables artistes. Citons Mlle Ella Frank, très remarguj$3^Or.phée\; Mljë -d'Argyi'ibHHante clans l'ak des Clochettes, de Lakmé MIe~.de. Jk ̃GirodlayLquL intérpr.&te,,Jchumann avec chaleur et sobriété Mlle de Radwan, dont la voix est exquise Mme Kosminska, qui témoigne d'un beau tempérament dramatique Mlle de Scrmeville, charmante dans du Grétry.

Sous la direction de M. Albert Bertelin, on entendit également, le Ruisseau, de Gabriel Fauré, chanté par les chœurs de Mme Donalda le Trio, de Loeillet la Berceifse et l'Elégie, de Gabriel Fauré, qu'interprété^ renl, en musiciennes et en virtuoses accomplies, Mlles Mireille, Violette et Paillette d'Ambrosio.

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Aujourd'hui Il1

Aujourd'hui, Mardi Gras, l'Université des Annales ferme ses portes.

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65 ..Compagnie Algirteine 10(0 I0M 4% 1917 4975! 75! 49 55 Priorité Tombac 174.. 6.. Pays Europe Cent, ord.l 61 65 40 ..Bithun. CC1 de) -nou. 3415 3370 n Caou?ôhoucs S"^nSiiW.d; 158 50 IK Consolides --» 1 ,'4. 58 1/4? 55 ..IComptoir National <rEscompt«. ?25 915 4% 1918 48 80 48 80 Haïti S% 1910 593.. 589 6 Indust.derAfr.duNord. 280 280 110 ..Dombrowa CHou.lleres). parts. 825 835 fc ^ti".™ I.T..O. < 07 50 lin Ar9«ntin 1886S. .4ÔÛ 'JlOO

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60.- Foncierde France. 1270 126! ..6% 1920. 70 55 70 55 Roumanie 4% 189O 75.. 74 50 1125 25 Franco-Japonaise 499.. 499.. 79 54|Heute.Lo,re (Hou.l^re* de la). 1480 489 g1^. C!ty-D.èp\!7.T.V.. i!" J71 U71 -< Fundin». 73 .h •'

75 Vj Lyonnais. 1501 149! Bons du Trésor 6% 1922. 4o4 75 *84 50 Convertie 4% 34 75 3405 des Pays du Nord 345 55 Montrambert et la Beraud.ere. 1410 1460 Jm co,on7b*11. m lin Chine 4 ''2. •̃ « ̃••̃4. 83 U VI

32 5Ô> Mobitter Français 501.. 501.. fivr. 1923 474 25 475 75 1910 Amortissable.. 35 75 36 50 75 Crédit Algérien l?H-m" J< •• Saint.Etienne CHou.lleres de).. 227 ..228 g^X fS f f9 |9ypte Unifié^ 85.. 6$/f

32 ? ~.bi~r Priais.50)..50).. -Mvr. 1923. 474 25 475 75 l9)oAm.rti~.M. 3575 3650 75 Cr.dit A)a~r).r. '4..S..int.Et,.nne(W.u~r..d.)..227..226.. :E9~t. :1 83

25 SoV-iété Général» 753.. 753.. -sept.1.923 464 464 50 919 ..1.919 Foncier Argentin 189 .J 190 50 An.eh. (M,n.« dO 067 ..| 063 cÔrocoro? ord.. » 27 27 50 È»«-'ieure 64.JSJ.

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493-71 Suez. .9260 ..9360.. -9 S»ii919. 264-. 264 Uruguay Or 1905 ..299.. 200.. Colonial 794 770 50 jSlanzy, anc .920 915 »£ *tf gr «>w« «>"« jfôô ,09] J'PO" '899. .'«^B

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.ISqliilO 546.. 542.. Dépsrtam' du Nord 6% 1921.. 345..1343.. 24 95 A~b~:m~mre~'hi~ 347 ''1340'' 35.. Electro.Chimie Métsl. 612.. 615.. 20 1P:d8ng (C&Outrhcucs~ 4025, 399 Marconi 129,I.il30.

40 ..jPenaV-roya 1810 ..1819 villo d-Albert 6%. 336 50 345 •• Corn. 1879 26p% r. 500 411 J15 •• 24 Electricité et Gai du Nord. 350 350 50 ii|P°"'««- "•"• j^J "• }%d 20 ..Phosphates de Constantine. 409 405 u S'?- U^/6.

I750piatinB 662.. 660 de Reims e% 340.. 46 U Fonc.1879 3% r. i 500 428-. 424 50 Electricité de Paris 1283 1256 « a|L«.R;P«''n-.Jo" 4755 "«MO" 2 »h. R.ndfontein 83 81 25 ïu8ia V" 'I6 i; 2»7/6./

40 .o.bro~<Pétr.).s),565.. 569.. ~V.rdur. 6% 348.. Co-r..)8803%r.à500. 4-7_427.. 35..F.r.~Motric.sduR<,6n. 737.. 745.. 'S'S°.ChBuny.4/M.4/40.. 6.h.RandMin.6. 264 .256 ~°~63.3/4.

.¡o ..1 Dàbr, o~a (Pétrolls). 315 315 Asturienne,des Mines 348'. ;1"" jf Fomo' 883 r. r. à 500'. ~27 421 35: :I~~ercel' èJ~trices, du R, .¿~ 737 ..1 745 101 1Soi. Artificielle Chauny.¡4755 ..J474O.. tl~on~f~te'n. "1 83. 81 25 Esce"t~ '¿'" rH) i2 DM. 1

Financière '206 ..l' 202 446 « Fonc;1883 3~0 r, à 500'. '9750 199.. 40 Télégraphie sans Fil' :960 ,223 10¡,So!e f-rtificlelle. 6350 417 10$h Robin~D.epA. 108 50 108 :3'4.

croies P^ier., -206.. 202 A^rs^struçt^mon, 342 ̃» g g^JgSgÇ^.JOOj. » 208.. 50 Té^on.s. gj -%0 » •• U.nedu ^ne. 4.7 4,7 40 Rom^no Belg.d^êtrol. 25 p-ge, 9,^5

"¡PétrOles C'"d-En.rgi.E~triqu.330..325..u, Coni.)89)3~r,.400.)68_)68.. 50 :Te'IÓpho~es 97,' 1,.960 45 Salins du Midi .834 .835 R~n0i). 108 501',08 "I,pu"s', ( -4763t.4-75~

i:srn:|lro^S^ Vâ:\ S: ,7J^%l^.tl%: 1 IS*fg:: .JSiôg^ir^sr!1^1?:: m. :»# *«4a!" Jô"te:îSS^d«^K Srg- VIôS: V^ 47

32 Gafsa 796 .797 (Drosse Métallurgie 6% .333 334. For.c.)895280~r.500'. 2!2.. 2)2 .22Mcù)vre.tPyritM. 346.. 346 )70..P.ftduR.6er.o.t<j6))0.. 3Õ" ~t~aus ~~Ôt'lç,a'~1'd:Ô' ï" 480, 335 Volparaiso.. = 54 'oaï5, 4290

35.. ProdurtSdhim.d-A!aiS,FrO9es..828,825.. r_ 6% nouvelles 328.. 335 g Com. 189Ô 26C% r. 500;. 2C0 1% 50 .-Dynamite (S" Ûent^W l|95,. 1295 Ch.rseurs Reun.e (paru), 660 .660. T ,nyik8. 50 ̃' Bu.nos-A,^ 4 518 4 gf., ̃̃̃ CnaraeursHêuriï* 405.. 4Û3 Cail Fivos.Uille 6% 328 -ÏÏ Fonc.1903 3% r- à 8O3r- 225 .̃. -220 15 p.iAndalous.l.U- Ô4Û -• «• ̃ 35 ..iHavraise penmsula.re <B).• •••• 4 A. Tbarsis. M 50 îr8«nt /taet»t>^«'«f>t?inO. 32.1/4 32.5/16 ..iMeàSîërie. Maritimes erd. 161.. 161 fjord. Pas-de-Calais 1922. 355 354 O Com. ,906 3% r. à 500;. 222.. 2l| 24 p. SÔrd Espagne.x, I0IÇ SOxï'TVÎlM.riîïhSÏ*" 875 ̃"873 -9 '*̃ Tran.va.l Consolidated Lend- 180 '} Ws 50 Cuivre fcomP*^>- '•• 64 3 14

.1 50 Transatlantique ord 158 b8 |noustrie Sucrière Française.. 346 50 ̃̃̃̃̃% Fonc.1909 3% r. a 260!- 28.. 129 M 22 p. Ssraaosse. 38 Tran»porUMar,t.m«. B7> 870 Tubes et F.de Scfenôwïoe. 198 .j 96

'50.. Voitures à Paris.. 635 646 ,nau8triels Alsaciens 1922. 345 •• 337 50 £ Com. 1912 3% r. h 2SO 25 •- 125 s«n6wice » ?0 ̃• 1078 Maritimes. 2J800 2249Ô 3 35 b. TUbiz».priv 572 566 SQ NEWYORK, 23 ..février ?4'3/16 <.50,IVqit.ures s Par1s.8, .841> Maison Brêguet 6% 354 360, H Fone. 1913 31/2%. r.SOoJ. 224 220 25 tabacs Ottoman 430 437 1Ç0O Bertédictme.. |.800. ̃ig490.. 4 ,h. Union Corporation 21650215 W'YO"'K'Z'J" f'" 22 :!Air liquide 400 399 Mines de Lens 6% 1922 397 393 t 1913 4% r. à SOO^. 32| ..1 324 85 p. 1 des Philippines 3619 3615 50 D.st. er.e Ouej.n.er. 5800 ..06OO 4 D. UMh Cop6er 1763 1775 Csil Money, e. m. «. n 50iêLroutcnou« Indo-Ch^e. 700 699 Saint-Gobain. Chauny ̃ 480 Q Empr '9'7 11 2r.à|O0;. 192 192 25 40 Vichy CÈtabl.thermaa. 1152 .161 » ;• D,s^,l r,es de ndo C h «2> |329, #- ># v^minok., l42 1 V. «blés traders 4 «M n™o/Ji-Raek .96-» .t .95 Usines stni stress 6 1/2 /o J>9 •• 30/ & Com. 1920 5 VZr.àDOO _*xyi ij Zt» • 30 .Je** sorv •̃ •(* ̃ ^a xr j U- •. j iû-ï i iq-ï er.mfnc '42.. Ch«na« sur Pai" s vu»». S 21

46::païhtcinfmaijouis.> 344 ,340 AlS.rie 3^6 1902 247.. 252 g Empr 192. 6 1/2 r. a 500' 349 îfi » 32 fore" Motrio"du Rh|n. (parts). J275 5250 g |r«jd. Mogin. dj Cjrb.,1 ord. 19 ..197.. COMPTANT U, S.Vib.Hy 3 i/àf! W\ M

55..R.Mn=ries&Su6rerie9Say..)895..t888.. 6% 192). 353.. .1152, \Cem.)9226°f)t.p. 33).. 330 3750)W.vfaiaed'Ener9.eE)tctr.qut. 6~9.. 642 60 Sucreries Brésiliennes, 631 611 COMPTANT AtthistnTop.to.)2))/2

::R~X?ExM~-Ori.nt. ))2.tndo.Chin.)899.)905. 2)7.. 2)7.. Com. 19226, t, p. 331 70 ..tnao.&hin.i.. d-Et.etn.it4-3260 ..3249 51 09 Sucreries Coloniales 403..402.. 64 1 COMPTA T ..8M..a.ttim.r..tOhi. 101. 4i B

50..Ur.ionEurep4.nne.nt9..)n0.. t902. t84.. '64 ..e~g~ 3))50306.. 40..pyrénè<nn.d'Er.~9'aE)9Ctr.. 670.. 665 .~an ~00 25 ._Omnium-P.tre)M. 4)0. 4)2..C.nad.anP.eific.)}0t;j S

50 ..Union Européenne «».••"» •j 8^= & 207 ll– 5i'î? 1S :Z^^ Si.' 220 » •• ^nts Français^ J3490 3490 ^ZlZ&i&i&S: |

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Nlltl~~le du ~~xlquei" 54S.. 5~ oL< 1, 2 1907. 207. 6 J" 300" 300.. 25.. Atel, & Chsntlers da la Lo..è" 495. .495.. 60, ,¡CIrages Frencs,s.976 ..560..Arg.nti~R~C=pp~ )5~8 1"1

EEpasn°l'Rie-de-a-Plata. 133.. 135 5% 1902 433.. 433.. 4% 22i 25 Chant. & Atel. de la Gironde.. 150 ̃ 65 .jp.dot-Bottm. 1465 1460 Belgique 96 37 96 62 Utah Copper. 89 1.2 n" L'i 4 Crédit Fonoîêr Esyptien". T. f 2785 278! S% 1SO3 389.. 388 Nord 6%, série F. 305.. 307.. 30.. de St-Na*ajre.. 632 640 :>20 Jls Fia.ro. 273 Danemark Î42 50 Am6ric.n Téléphone 134. «

10 C«So éuVGreJd. L«» .646 .649.. 41/2% I9O8 .•̃ ..1380.. 5%, série E 276.. 279.. 75 Chatillon-Commentry 1360 1400 52 50jGaveau&C 677.. 676 Espagne. t 271 5tt 273 ̃ Armriean Car a, F 204. h

L V NitSteftaihJw". 1057 1070 Egypte Unifiée 30730 311.. 4%, série D 290.. 45 Commentry-Fourehambault.865 .889 .Haour (Etablissements) Finlande Bnt.sh American Tobacco. 26 1/8 H 57»b Walons-L uord 2064 2079 Privilégiée 270 274 3%.«nci.nne 470 468 10 Decauville.. 22» 175 Chaix 3805 ..3870 Grèce. Central Leather 19 3 4 Q

L 1 CentralMintag. 1278 1268 Espagne extérieure. 233 10 234 50 212%. série C. 274 Dyle & Basalan, prlv •••̃̃•. '03 •• |5 Beo Au.r |I2 .912 Hollande .764 75)771 General Electric 234 12 Z.

35.b 'StrT?nto? 3927 3990 Hellénique 1881 1120..1115.. 6%. 1921 tran. A 300.. 303 & or*̃ 60.. 80.. 80 Librairie Hachette. I3Ô0 1285 Us)i, 78 20 .78 35 B.thlehem Steel 47 12 fl) MblAiowSorVegiinn.) 960 968 Kai 3^2% 62 05 64 Orléans Bons décennaux 6% 428 50 430.- 40 Eleetro-Câble (ordinaires). 480 44S 30 Maroo (C1- Générale du) 325. Hùrvhge 291 25 U. S. Steel Camnon 124.. t1l

20 Azote (Norvégienn 960. Italie 3112. 51' 64 Orléans Bons ennaux 611>"142850' 430 40.. Electro.Câble (ordlnalrs.), 480.. 44S.¡'Maroc (C'- Générala du). 35" "rv'gs '91 2S S St C "124

lffSt.TôNifaX 800 807.. Japon 4% 19OS 312.. 316 50 "6% 303.. 304 120 Fives-Ulle 1630 63Ô Pologne (1OO ïloty) 370 50 Royal Dutoh 55 7/8

ÎLe^Sphte4ociéVi Russe) 220 219 S6t 907 304.. 303.. 5% 274.. 273.. 50 Foraesfi, Aç" Huta-Bankowa 12lf 1234 Tabacs (C" Générale d8s) 249 Portugal Shell 43 I 2

Oriental CaToet |374 378 Maroc S'A 19O4 325.. 322 50 4% 230.. 225 50 30 For' Ac""Marine&Homéc. 528 .540 175' Tabacs au Maroc. 12450 2600 Pr«3ue 56 30 56 70 u 0 43 1121

.Oriental Carpet 374 378 ~aro. 1904 32~l 50 ÓI 23() 225 50 30 ,;r; i-75, au Marbo. ~>450 o. o. "j ..f" f.

60 b' P4 rof'rs 1077 1080 5% 19IO 1051 1036 3»èfio.l 228 75 224.. 48 F"*& At"C"™Et.<Jeumortt)p. 1395 1370 40 Union Commerc» Irtdo-Chino' 5?8 ..Roumanie .9 40 .9 40 Affaires lolii.Oï 930.000 4312

66bP~t~e :077' )080.. 5%)9)ù.)05)..)036.. 3~aM.t. 22873224.. 48..F'"&At"C"E).<Jeu~o~t)p.t395..)370 40..Uh)6nCemm.r="Mo.Chi~j5?8. ..RoumMia.940 .940A~Mteti,s. 930.000

l_^Suerêr-1t'R^fn.riéd'Ëàypte 2M .1080.. Portugal 65.* 75 30 Méditerranée (Forc" A ChinO. 465 453 i 30 (. b. Rouins CA!9.rie> I 666 680 Suède ,513 25 518 75 titres t l' 9'3" 0001" ?aba« Ottoman ..?. ̃ 432 'j 440 TabaTdu Portugal. 880 Ouest 3 %ahc .207 50 202-. 20 Forges & Fonde"" Montatair*. 506 ..498 £2.3.11 Suc. Raf, d'Egypte (part.) ;2625 2595 Sui«e.36950 7$ a'-a. 0 es 1 t "OW TCh R«V« *i/à% i 10 25 10 40 RÛss^ 4% 1867-1860 10.9 55 2i/2?é 186 188 .• (00 ..Matériel de Ch. de f.rÇC'Tr.J 11065 56 P. iSTàbac des Philip, (parts) !2275 .2155 Vienne 000.000 «Ur.>. 27.. ,¿

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̃̃}> ">Pains de Mecque

gâtons au fromage

f Marrons déguisés

Recette du Bishoff anglais Prendre,, un, Jjtfe, <J? vin de Porto et une orange garnie de" clous •ffe'gitpftë. Faites' rôtir l'orange au feuifet, lereqti^ëlle est devenue saffisaintrtent bâine, la çbupeê«iV4uaitîeiK. -'< .:>i ̃; Chauffer le ,yijj ^e,a^orto- et ,1e' «ucrer plu* ou raoiris, suivant son goût. Y jeter les quartiers d'orange. Laisser le mélange -une demi-heure spt un feu dou*, avant de servir. ̃̃•̃̃•

̃̃' "•" .'̃ 'IiisebeUe.

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Letihé Màra villa, ainsi' que le? meilleurs thés dgCeylan, les-plus fins, les pius appréciés des véritables amateurs, se trouvent aux Thés des trois Marques, 14. rue de Rope, Cent.. 39-40 (lace gare St-Lazare). Le Fot Tea, cake aux fruits, et au beurre frais:, se conserve plusieurs semaines et reste toujours frais, Grandchamp, 10, r. de Strasbour^Paris,, 10*. Nord, 58-21. (Liv. à domic.)

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'l'yvU SES SADMORSDE LA LOIRE "̃̃̃̃" 44, ruede Longchàmp. -PassyS4-51

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̃• PROGRAMME

\2 h. 30 RAPIO-PARIS (1.780 m.) Concert pat l'orcheitté taigane Radio-Paris. ̃ ̃ ̃̃ 15 h..Zurich (S)S*.):.eoncet«.,w y

B k'-iO Vienne (530 m.T: Concert. ̃-̃- v- i\ 15 K,39.Fr'aricfort^ur-Meîn- (470-'rn.): CondSrt de

l'après-miSï.

16 h. Lausanne (850 Heure de» enfants: «Mon.sieur Roland », pièce.

16 h. 45 RADIO-PARIS CI .780 m.): Radio-concert avec le concours de M. Hermann Sandoy, violoncelliste virtuose danois, et de Mlle Dorsannes: 1. Carnaval (Schumann). piano 2. Malborough (J. Hermann), Le Carnaval de Paris, flûte; 3. Chanson,danoise (H.,Sandby), violoncelle 4. La Jolie Bohémienne (Clymsen), chant; 5. Sérénade à Colombine (G. Pierné), piano; 6. Le marchand de marrons de la rue Sainte-Placide (P. Arène), monologue dit par Radiolo 7. a) Sérénade pour une 'marquise. (P. Hermaht) b) Aubade pour la même (P. Hennant), flûte; 8. Valse triste (Sibellius), violon.celle; 9. Pierrette'(C. Chaminade), piano; -10. Variations sur le Carnaval de Venise (J. I^etmann), flûte; II. Mélodie O-. Hermann), chant: 12. Valse Weber), violoncelle 13, Arlequin et Cojombine (F. Thome). 16 h. 45 Rome (425 m.): Orchestre, de l'Hôtel de Russie.

Il h. Bruxelles (265 m.) :-Coricext.

18 h. TOUR EIFFEL (2.600 m.): Radio-concert: Les cyclopes (Rameau, piano; Dédicace (Scnurnann), chant; Andante et finale de la Sonate pour violoncelle et piano (Boellmann) Pièces dans le style ancien: a) Prélude, b) Sarabande, c) Air, d) Fughette (Alexis de Castillon) Invocation aux Morts; Berceuse des Morts (André Clément-Marot), chant; Au Jardin de France (Henry Woollett), piano; Andante sur des Airs serbes (André Clément-Marot), pour violoncelle et piano; Nègre endimanché (Swan Hennessy). 18. h..Françfort-sur-Mein (470 m.) Conçort de l'après-midi.

18 à 22 h. Barcelone (325 m.) Concert.

«^tej/iame (530 in.); Opérette Cirnamsl

ffîhrSbïêèi$ËiÈ!ït 'CaB^le-P^Jice M ^tuttgaçt, efe*ï3W' W45!: Concert du- iwr. 19 h. 15 Zurich (515 r».); Concert de l'Hôtel Baiw

̃JStJ lac.̃••

̃•> 19 h. 30 Chelmsford (1.600 m.): Musique popu-

"|air«.- ̃ ̃ ̃ ̃"•

W ,hi 30 Toutes les stations anglaises, sauf Chelms-

ford, joueront de la vieille musique anglaise.

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opéra.

20 h. 30 RADIO-PARIS (1,780 m.): Cours, chan* ges, informations, et à 20 h. 45: Concert avec Te" concours de Mme Comélis, soliste de la Société Mi' Concerts de Bruxelles: 1. Le secret de polichinelle (F.^ Fourdrain) 2. Le carnaval populaire (J. Hermann). flûte; a) Le mardi gras, vieille chanson normande b) Villanelle (Del Aqua), chant; 4. Colombirie (M. Infante) 5. Variatioris sur le Carnaval de Venise (Th. Gaiitier), poésie dite par Radiolo 6. Arlequin (Pcrpper), violoncelle; 7. Les Fantoccini (Lécocq) 8. Polichinelle (Kreissler), vîolon- 3. Le Carnaval de. Venise (Luigi Bordes?), chant: 130. Mascarade (Lacome), Cortège^ Arlequin et Colomtyne, -La famille Polichinelle, Les Mandblmîstes, Polàcça, .21 h. Francfort-sur-Mem (470 m.) Musique dé car- naval, orchestre et mandoline.

21 h. Bruxelles (265 m.) -CKronioue .»» actualité. 21 b.. 30. PETIT PARISIEN (345 m.): Concert donné par 1 Association des radio-amateurs français ,22 h,- 34 Barcelone (325 m.): « Le Cjrcpuscule des Dieux », de Wagner.

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Deux équipes galloises à Paris Le Racing contre Newport La célèbre équipe galloise le Newport ;A^ C._qui, dépuis plusieurs années, est à la" itête des meilleures équipes anglaises, vienidra jouer aujourd'hui mardi gras contre l'équipé du Racing-Club de France, sur le jtea|4|d.u Stade Bergeyre. Coup d'envoi à !3«Se-iA%I.Arbitre M. Brut-us. "i.

Chaque année, Newport ajoute à sa gloire u-n nouveau titre et le grand club gallois s'en o.rgueilUt cette saison' d'être l'équipe, qui eut le meilleur score' contre lés' célèbres Zélandais. Newport fut, en 'effet," battu. pa.r 13 points à 10 (2 essais ̃ trarisfor̃més4,l. but. sur. coup franc, à 2 essais transformés).: D'ai leurs, cinq minutes avant la. fia, Newport menait. par 10: points à ;•'§; et; jamais les Zélandais, au cours de leur, yistorieuse tournée européenne, ne virent ia défaite de si près. Fidèle à sa tradition, Newport déplacera sa meilleure équipe, qui compte dans ses rangs des internationaux .des quatre pays britanniques et qui est. jcommaindée par l'excellent international anglais .R. £Mwards. 0

Quant au Racing, on connait l'excellent jeu qu'il fournit chaque-fois qu'il est opp.o-. sé à des équipes anglaises, et il voudra, à l'occasion de ce matcli, justifier de l'excellente forme que tiennent ses, lignes arrière. Les équipes seront les suivantes Newport A.C. Arrière G. Andrews (Monmouth County) trois-quajils W. =Qones tMon^' mouth County), H. Davies (Monmoùth- Courity- et Int. Gallois), A. Stock (Monmouth County et i Int. Gallois), G. Wetter ̃̃ (Moninouth. Gounty $1. Int. Gallois) demis V.- Griffiths (Monmouth County et Int. Ecossais), R. Edwards (cap., Int. Anglais) avants M. •M'acpherson (Monmouth County et Int. Gallois), J. Roberts (Montmouth County et Int. Gallois), G. Hathway Monmouth County et Int. Gallois), Dr. Roche (Int. Irlandais), G. Colins (Monmouth County), H. Philips, ..W. Friend, W. Casey.

Racing-Club de France. 'Arrière Gaurant trois-quarts Pelissier, de Laborderie, Géi-ald, Laurent Demis Ginestous, Du .Manoir avants Dulac, Chambon, Loury. Pagnard, vil'lenseger, Piquiral (cap.), Duran, Tandeau, .LamberjaoU.. ̃ i Ce match, véritablement 'très. intérésaht,à'^ quatre jours de l'International France-Gai- les, doit nous donner une idée de la chance de notre équipe de France.

Le Stade contre Mountain Ash

Le Stade Français recevra, à 3 h. 30, au Parc des Princes, la visite du -Mountain Ash F. C., une équipe galloise qui n'a été battue que quatre fois cette saison et qui compte des succès sur Cross-Keys, Aberavon, Pontypool, etc. Elle compte dans ses rangs cinq joueurs sélectionnés et deux internationaux.- :̃ Les équipes seront les suivantes:: i- Mountain Ash. AiTière P. V. ïîugliès;. ti-ois-quarts S. W. Lewis, T. Parry, G. Morgan, J. Rees Demis (o.) S. Gongdon, (m.) A. Hobbs; avants 0. Davies (cap.), J. Hellings, T. Shepperd, R. Tryer, J. Tryer, A. Set-t, G. Oiani'berlain, T. Griffith.

Stade Français. Arrière Calisti troisquarts Houdet, Etcheveri,y, Chapuy, Jauréguy demis :(o.) Rœderer, (m.) Bader avants Piron, Levasseur, Hertzovitz. Thiercelin, Audoire; Gorton, Crassac, de Gaillon.

Mountain Ash, un des plus puissants clubs du Pays de Galles, n'est pas tout à fait un inconnu pour le public français. Il infligea des défaites mémorables à" l'Aviron Bayonnais, lors de sa meilleure forme, en 1913; puis à la Section Paloise, quelques jours plus tard. Plus près de nous, en 1922,. ,Mountain Ash disposatrès facilement d'une sélection du PérigordrAgenais. Dans ces conditions, -il- est facile de prévoir avec quelle âpreté courtoise le Stade Français aura à défendre sa chance.

Il est grand dommage que les sportsmen parisiens soient obligés de choisir soit entre le Racing contre Newport ou le Stade contre Mountain Ash, car les deux rencontres sont également fort attrayantes. PAUL Champ.

L'Angleterre se refuse à rencontrer les Allemands. La Rugby Union d'Angleterre vient d'interdire les matches qu'une équipe d'Oxonians, les Oxford Greyhounds, se

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proposait de jouer en Allemagne en ..avril prochain. Des matches avaient été conclus à Heidleberg, Cologne et Berlin.

~Lé, Ft: IL A. n'autorise pas les rencontres avec -les clubs..allemands tant que l'AilemaT- gne ne sera pas admise dans la Societé des nations.

LAWN-TENNIS

Lë Tournoi des Critériums. Les Critériums de France (joueurs de deuxième série), les Prix de l'Espérance (joueurs de troisième série) et l'Omnium (joueurs non classés), se sont commencés, hier, sur les courts couverts du Sporting Club de Paris, rue Saussure.; Près de 800 engagements ont été reçus, et, dans ces conditions, il faut prévoir que le Tournoi aura une quinzaine de jours de durée. Voici tes résultats d'hier dans tes Critériums

..Critérium simple. Un tour. J. Deriiau b. Dr Moriier, w;-o. ̃Fournier b. J. Benoit. 6-1, j6zl Seguto b, P.Versini, 6-3, 2-6, 6-4 J.-Gh. :d| Buzelet b. Chevereau, 6-2, 6-8, 6-2 Chesin^àïï.x ~b. 'du.Peloûx, 10-8, 6-4 R. Deniau b. J; de:.Màcedo., 6^3, G-2 Ed. Borotra' b. Pillois.

w.-o. -̃̃̃̃.

Critérium double mixte. un tour. Mlle R6ger-Sevé et de Jessey b. Vivet et Mme Vivet, 6-3, 64 Mme Poupinel et AUain Bernard b. Mlle Faure-Beaulieu et Signier, tj-2. 6-4 Mlle Barbier et Charnelet b. Mme Olivieri et Olivieri,. 6-3, 6-4 Mlle V. Gallay et Barrelet de Ricou b. Mme Seitert et Polat, 6-1, 4-6, 6-3.

Criterium double de dames. Un tour. Mme Seitert b. Mme Eymcoud, 6-2, 6-4 MHe- Vérken b..Mlle Amaury; 66-2, 7-5 Mlle Barbier b> Mlle Vossel, 6-4, 6-2.

Le Tournoi de Beaulieu. Les finales du: Tournoi du Beaulieu L. T. C. attirèrent une"foule élégante. Dans le simple, la lutte entre de Morpurgo et Gordon-Lowe a duré deux heures vingt minutes Au huitième jeu, du cinquième set, de Morpurgo corn-' plétement épuisé fut obligé d'abandonner. Résultats

Championnat simple de. dames. Finale. Miss Ryan b. Mrs Beamish, 6-0, 6-1.

Ciiqmpionnat double. Finale. H. de Morpurgo et R. Lycett b. Cumming et Cham-. pin, 6-2, 5-7, 6-2, 6-0.

Championnat double mixte. Finale. Miss Ryan et colonel Mayes b. Mrs Beamish et F.R.. Scovel, 6-1, 6-3.

Championnat simple. Finale. Gordon Lowe b. H.-L. de Moiipurgo, 6-2, 6-1, Û-6, 5-7, 4-3, abandonné.

Les Championnats de la Côte d'Azur. C'est sur les courts du L. T. C. de Menton que se joueront, à partir du 2 mars, les Championnats de la Côte d'Azur. Mlle Su- zanne Lenglen jouera le Championnat sjtif-' pie de dames, le double mixte avec H. Cochet et lé double de dames avec miss Elizabeth Ryan. Toutes deux ont gagné deux fois le Challenge affecté à cette dernière compétition, et si elles sont encore victorieuses cette année, comme tout le fait prévoir, elles auront ainsi acquis la propriété des deux objets d'art offerts par le club..

AUTOMOBILE

Le Grand Prix de Rome. Les dépèches reçues dimanche ne nous ont permis de donner dans notre précédent numéro que des résultats incomplets du premier Grand Prix de Rome, organisé par l'Automobile Club de Rome.

L'ambassadeur de France assistait au départ, qui fut donné à 35 concurrents par S. A. R. la princesse Mafalda. Voici les résultats /•̃ .Première catégorie (1.100 cmc). A. Cierici.(Salmson), en 5 h. 30 m. 47 s. 1/5 (moyenne à l'heure 76 kil. 907 m.).

Deuxième catégorie '(1.500 cmc.). 1. Croce (Bugatti), en 5 h. 7 m. (moyenne à l'heure 82 kil. 866) 2. Platé (Chiribiri), en 5 h. 13 m. 13 s. 3. Mazzotti (Bugatti), en 5 h. 27 m. 19 s. Troisième catégorie (2.000 cmc.). -r- 1. Carlo Masetti (Bugatti), en 4. 11. 21 m. 29 s. 3/5 (moy. a l'heure 97 kil. 287 m.). Quatrième catégorie. (3.000 cmc.y. i.ÇÏ- n.àfdi (Alfa. ©0111601 eu 4 h. 56 m. 30 s. (mov.

à'îheui-e -85 Wl. 801 m.). ̃ -•- "̃̃;

Cinquième càtérlorie (au-dessus de 3.000 cmc.}. 1. Materassi (Itala), en 4 h. 48 m. 53 s. (moy. à l'heure 88 kil. 063 m.).

Classement général. 1. Masetti (Bugatti), en 4 h. 21 m. 29 s. 3/5 2. Materassi (Itala), en 4 h. 48 m. 53 s. 3. Ginaldi (Alfa Romeo), en 4 h. 56 m. 30 s. 4. Croce (Bugatti), en 5 h. 7 m. 5. Platé (Chiribiri), en 5 h. 27 m. 19 s. G. Mazotti (Bugatti), en 5 h. 27 m. 19 s, 7: «̃ Nino » (Chiribiri), en 5 h. 30 m. 32 s. S. Clerici (Salmson), en 5 h. 30 m. 47 s. 1/5. C'est donc un triple succès français que nous avons le plaisir d'enregistrer.. Le fait. que huit concurrents seulement terminèrent

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La tentative de record des vingt-quatre heures. A Montlhéry, hier, la voiture qui était partie pour battre le record des 24 heures, s'est arrêtée au bout de 4 heures 35 minutes 26 secondes, ayant couvert 738 kilomètres 989 à la vitesse horaire moyenne de 160 kilomètres 700.

HOCKEY

L'Angleterre bat la France. A Londres, une équipe qui était annoncée comme étant l'équipe de France de hockey féminin, rencontrait, samedi, une équipe d'étudiantes anglaises. Nos joueuses, lamentablement inférieures, fuij.nt battues par 18 buts à zéro, ce qui constitue presque le record de la nullité sportive.

Un match Stade-Racing. Sur le terrain Agi B/*gatelIe% Je,s .équipes de hockey féminin du Stade Français et du Racing Club de France' -firent match nul, rien n'étant marqué.'

LES ARMES

Une soirée de gala. Le grand assaut de gala de la Société de secours mutuels des maîtres d'armes se déroulera le 26 février, à 9 heures, à la Salle des Ingénieurs Civits, sous la présidence du ^crieial Lagrue.

Programme. Match de fleuret BonhûinmoLaévi match d'épée Heftler-'d'E&pàrbès match d'épée Cornic-Folacci match de ijeuret Caltiau-R. Andrieux assauts d'épée Del porte (champion olympique d'épée), Henri Laurent (champion de France d'épée 1921-1923); match de saure Spinosi-J. Lacroix match d'épée Bourdon-capitaine Perrodon assaut d'ëpée ̃̃: E. Samlac (champion de 1924), Félix

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LES TIRS `

L'Assaut au Pistolet. Lors de la dernière réunion de l'Assaut au Pistolet les poules furent l'apgnage de MM. L. Louis (4), et P. d'Ariste (2).

Prochaine réunion. le 1er mars, à neuf heures et demie, à Luna-Park.

Au Tir aux Pigeons de Monte-Carlo. Les -réunions du Tir aux Pigeons de Monte-Carlo pont de plus en plus suivies. Hier on a tiré ie Prix de Ja Côte d'Azur (série), avec ces résultats

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