Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 6 sur 6

Nombre de pages: 6

Notice complète:

Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1923-07-27

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 27 juillet 1923

Description : 1923/07/27 (Numéro 208).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k293654g

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 49%.


L'ÂNgteten~

ella thèse française La France et l'Angleterre se trouvent dans la situation dei deux hommes qui n'ayant pas causé, -ou presque, depuis quinze mois, ont maintenant à conduire' et à' faire aboutir une négociation' des plus compliquées, des plus délicates.Tout ce qu'on sait de la note anglaise indique que, en dépit des aménités de forme qui, d'ailleurs, ne sont point négligeables,- loin de là. le "gouvernement t (britannique, -touchant les points essentiels, demeure, sur ses positions. Les deux thèses ne se -sont pas, dans le fond, sensiblement rapprochées. Quand on essaie de les faire aller l'une, vers l'autre, c'est un peu comme une bande de caoutchouc, qui, ayant perdu son élasticité première, pourrait difficilement être étirée. Et, cependant, il y a, en Angleterre,, un désir très sincère et très net de ne pas rompre, de tout faire pour arriver à un accord. Pareil désir, à peine est-il besoin de le dire, existe de même en France. De là, l'impression d'optiaiiisnie. relatif qui s'est répandue ces jours derniers et qui repose non point 6Ùr, des apparences illusoires, mais sur quelque cnosc'de très réel, la volonté ré-

ciproque d'éviter ,1a rupture.

̃̃ t ̃̃̃"̃ ̃

Les Anglais c'est le Irait dominant de toute cette affaire s'y montrent terriblement pressés.. Il ne faut, pas s'en étorïner quand on sait que ceux qui la ̃mènent ne sont nullement. les diploma- tes -dont le seul rôle consiste à s'agiter sur le devant de la scène, mais des financiers, 'soucieux d'opérer à court-terme et dont les vues sont très souvent beaucoup plus courtes. encore que le terme.

.Notre occupation de la Ruhr a eu pour conséquence de donner un vigoureux coup de fouet à l'activité industrielle et commerciale de l'Angleterre. Jamais les ventes de charbons, par exemple, n'ont aussi bien, marché les textiles sont dans une situation très satisfaisante. Seulemient, les Anglais ont Je sentiment que celte activité' sera forcément éphémère. i\ cette période de « boom, » succédera une période de dépression. Ils désirent se prémunir contre celle menace et pour cela,, régler sans plus tarder la question- des .réparations..OrvU y.. a deux, lliaiuerus tle la- régler-: en faisant 1

pression' sur l' Allemagne, ce que les

Anglais regardent comme très difficile, très compliqué en faisant pression sur

la France,, ce qui apparaît à certains

d'entré eux comme une opération beau- 1 coup plus simple.

Le projet, d'une enquête à mener ac- I tuellement sur la capacité de paiement de l' Allemagne ne dérive pas d'un autre souci. Si cette enquête se fait aujour- d'hui en se bornant au présent, sans considérer,' le futur, aux faits sans étudier lés causes, elle risque d'aboutir à des conclusions désastreuses pour les créanciers, scandaleusement avantageuses pour le débiteur.

L'Allemagne, en effet, par un gigantesque tour de passe passe dont l'histoire n'offre pas de précédent, a liquéfié, pour ainsi dire, tout son avoir. C'est. un phénomène que les Allemands eux-mêmes ont étudié, qu'ils ont cyniquement appelé du nom de Verwiesserun. Le numéraire germanique ne consiste, plus eiï marks qui ne représentent rien, mais en livres et. on dollars, se trouvant pour la plupart à l'étranger. Depuis qu'on a proposé de saisir, pour l'affecter au paiement des réparations, une partie des bonnes valeurs industrielles, les Allemands n'ont pas été longs à appliquer à ces valeurs les mêmes, recettes liquéfiantes. Si l'on prend les valeurs de la Ruhr, par exemple, elles n'arrêtent pas, depuis quelques mois, de passer de main en main, comme le furet du, bois joli. Les sociétés se font et se défont sans cesse. On les entremêle à plaisir. Afin de rendre impossible la saisie, on y associe des neutres, qui ne sont le plus souvent

que des prête-noms..

Mais si, au lieu de s'en tenir aux conséquences apparentes, on étudie les causes, profondes, si l'on ne borne pas l'observation au présent, que constate-t-on? La. France, un pays de moins de quarante millions d'habitants dépense dans son budget 'normal d'environ 25 milliards de francs, 13 milliards, soit plus de la moitié pour sa, dette publique. 5 mil- liards pour les dépenses militaires. Elle trouve en plus le 'moyen d'emprunter chez elle pour la restauration des régions dévastées. L'Allemagne, qui compte plus de soixante millions d'habitants, n'a aucune région dévastée à reconstruire. Sa dette intérieure, par suite de l'avilissement du mark est pratiquement tombée à zéro- Ses dépenses pour son armée sont des plus faibles. Tandis que la France possède dix départements dont la .force contributive est extrêmement faible, pour ne pas dire nulle, l'Allemagne a toutes ses usines et toute sa force productives intactes.

Si donc l'Allemagne était administrée comme la France, c'est-à-dire si les Allemands payaient des impôts équivalents à ceux "que paient les Français, elle pourrait aisément disposer pour le service des réparations, de plusieurs milliards de marks-or -par an.:

Telle est la réalité profonde que toute enquête un peu impartiale devrait forcément mettre en lumière.

A. supposer que l'Allemagne soit dispensée ou presque de tout versement pour les réparations, dans cinq ans ou dix ans, sa situation économique et industrielle sera infiniment plus florissante que celle de l'Angleterre et do la

France. C'est une yéritjM]ui' crcvc }es !ye.us'<ïub beaucoup cTAïi glais. s'obsik nent .cependant à ne pas- voir. -Est-il juste dans ces conditions, est-il admissible de décharger F Allemagne- 'de toute obligation ?' Non, mille' lois non. C'est ce

qui rend juridiquement inattaquable la

thèse soutenue par la France. 'Elle a pour elle, non .seulement le droit, mais aussi, fort heureusement, la forcé,

a~.

Seulement surtout lorsqu'on discute avec les Anglais^ la solidité juridi- que d'une cause -n'est pas un argument ~I qui les impressionne beaucoup. .La plupart d'entre eux se flattent de considérer cette affaire uniquement en marciïands. Sans. renoncer a aucun de nos droits,, nous pouvons très bien ne pas refuser de les suivre sur le terrain des intérêts pratiques. 11 n'y a pour nous aucun inconvénient, tout au contraire, à,laisser la, discussion se poursuivre sur ce point.

1 l}u moment que le problème en luimême, étant donné la situation présen- te de l'Allemagne, est trop compliqué, trop vaste pour être résolu d'un seul coup, pourquoi ne pas l'aborder par tranches successives, en allant du simple au complexe, du, plus pressé au moins pressé ? ̃ .Que veulent lia. Franco et la, Belgique «n.ce mometit;.? Obtenir de l'Allemagne e de quoi continuer la restauration "de leurs provinces" dévastées. Elles n'ont pas besoin qu'on leur verse d'un coup toute la somme. Des annuités régulièrement payées, pendant les années qui vont suivre, leur suffiraient parfaitement. Avec le concours de l'Angleterre, il est possible d'obtenir de l'Allemiagne le paiement de ces annuités. Il suffirait à cette dernière de gager un certain nombre do ressources très considérables qu'elle possède en dehors du charbon et du coke, qui représentent pour nous de l'or, d'y affecter par exemple le produit des douanes, des chemins de fer, etc., etc.

Si dé pareils versements nous étaient assurés, il va de, soi que notre occupation de la Ruhr changerait nécessairement, de caractère. Les modalités en deviendrslienl tout. autres Elle perdrait du coup la forme aiguë, quasi belliqueuse, qu'elle a. prise, uniquement d'ailleurs par la faute des. Allemands. Tout cela, la France et la Belgique ont intérêt non seulement à le dire, mais même k le crier à la face de.l'univers. Ceux des Anglais çrui jjréterKleoj.. réglez, tout de'siiïf-tï, '"cliirfs" Tes jfïSIs' q'ui vont suivre, ralïaire de? réparations, eii nous faisant supporter, à. nous seuls .tout le poids des sacrifices,' s'efforcent naturellement d'obscurcir, d'embrouiller la, question, de représenter la France com-~ me demandant des choses impossibles, poursuivant, systématiquement la destruction de l'Allemagne.

Au cas les négociations actuellement engagées n'aboutiraient pas, c'est évidemment la thèse que la propagande britannique s'apprête à. répandre dans le monde.

II faut couper court à cette propagande. Pour cela, le meilleur moyen consiste à abattre notre jeu, à faire connaître, non seulement les fins ̃ que nous poursuivons, mais encore les moyens pratiques, aisément 'réalisables, grâoeauxquels ces lins peuvent être, obtenues. A l'heure actuelle, rien ne nous servira davantage que .de jouer cartes sur table. La suprême habileté pour nous, c'est de n'en pas avoir

Raymond Recouly.

AU JOUR LE JOUR

OMBRES Une pendule marque moins' que le cadran solaire. la rapidité des jours. L'ombre qui se déplace nous entraîne ou résiste aux aiguilles en ne les regardant pas, mais l'ombre, l'ombre/ vous comprenez, il faut bien qu'on la suive nous avons déjeuné, en cassant des rôties, sous le cerisier qui laissait passer un jeune courant d'air entre ses feuilles serrçes, mais à dix heures, nous étions sous le tilleul mais à midi, nous étions derrière les volets clos; mais à quatre heures, nous avons cherché un abri sous le marronnier; mais à sept heures, nous. étions au bord de la rivière, et le soleil s'en allait, en caressant les peupliers, dans un sillage d'or roux. Une .journée qui ne laisse rien, qu'une feuille grillée, une fleur flétrie et, comme souvenir, le cri de la cuisinière

Vlà eucore la chaleur qui a encore fait tourner le lait!

.• » •»-•-• ••• i

Maintenant je sais l'heure en regardant l'ombre se traîner sur les allées et sur la pelouse. L'Amjélus, selon le sonneur, peut réveiller le village à six heures ou à sept heures. Moi, depuis le jour, je compte les minutes aux feuilles du saule qui abritent mon bateau; elles sont collées le long du bord, puis leur ombre s'éloigne, s'écarte et s'allonge; à sept heures, le poisson, arraché du fond d'une eau tiède, est terne comme du zinc; à huit heures, c'est une lame d'argent; à neuf heures, une flamme d'or.

Quand le rosier fait une large tache ronde sur le sable de l'allée, je vais guetter le facteur sur la route; quand la marche blanche du perron ne se borde plus que d'une marge noire, j'entends la trompette du boulanger; quand la maison rapetisse son reflet'sous l'auvent de son toit, j'entends le train de midi vingt qui siffle et je te vois paraître, Madeleine, sur la route poudreuse, toute blanche, et mettant tes souliers jaunes dans l'ombre bleue de ton grand chapeau. Chaque fleur, dans le jardin, a son heure où le soleil la découpe sur la terre, et j'ai regretté qu'une rosé s'effeuillât puisqu'elle a marqué, trois jours, la minute d'un-repos charmant.

La nuit qui tombe ne peut pas se débarrasser de tant de lumière. Son étoffe est bleu

clair, et la lune n'est qu'une pariiie d'élec- .tacite.». Une gueuJc;derloup. sc livre a Ta 14inicre laclée .qui posë-sur, la^lv.un Seizième de soupir.. •;•̃̃̃ Ne parle 'pas, mon enfant tu déplacerais sur ton visage l'ombre de la clématite qui meurtrit* tes yeux; ne bouge, pas, nous écraserions sur le chemin. ies flèches-de' la folle avoine Dix "heures du soir. prends, garde! le coq du clocher tombe dans le massif de géraniums! La petite pendule b?fk d'inutiles minutes, la journée .est morte! Nous fermons son tombeau, nous > remontons du sépulcre où s'est abîmé un-jour d'été. Nous poursuit-il d'ombres vengeresses ? La lampe dessine sur le' mur tes cheveux, eu toile d'araignée, et, le. chien agité sépare nos ombres jumelles.

Vais-je vainement tenter de prolonger des minutes' qui se précipitent?. Lire?; Eteins! éteins vite! l'ombre effrayante d'un moustique vient de passer sur la page du livre. '̃̃

Les cinq,lames du. volet, sont une portée blanche dans l 'obscurité. Un rossignol s'égosille. On descend dans l'ombre d'une eau tiède, des pensées s'accrochent avant-ide se noyer.

La pendule prend sa revanche violemment, rageusement, elle sonne jniinnii pour m 'embêter.

Robert pieudenn& à

̃ 0\ ̃-•̃̃ '̃; '̃̃'

E",C,:a'O~.S. "'1

Le Diable de Volterra.

La population de Volterra est très alarmée. le Diable en personne se promène dans .la ville il apparaît à ta chute du jour. Ceux qui l'ont vu déclarent qu'il est nu, noir comme un nègre, et qu'il a la tête chargée de cornes. On le rencontre d'abord dans lès bois qui entourent la ville, puis on l'aperçoit sur les rochers et enfin, dans la nuit, c'est sûrles toits qu'il se promène. Ce Diable fait du journalisme-: c'està-dire qu'il envoie aux journaux des correspondances dans lesquelles il déclare qu'il n'est venu à Volterra. que pour se rendre compte de la corruption des habitants et dresser le compte de leurs péchés.

Ceux-ci, armés jusqu'aux dents, lui font vainement la chasse.

Vingt minutes d'entr'ucte.

.C'est le cri qui sera.. poussée assuret-on, par les huissiers du Palais-Bourbon lors de la rentrée prochaine. Le bureau. de Ja CJïam:bre..auçait., eu ef e. t., -décidé que, toutes les deux heures, les séances publiques seraient automatiquement suspendues pendant, vingt minutes, afin de permettre aux députés de prendre un repos salutaire à leur santé et profitable, à. la bonne expédition des affaires publiques.

Le travail, parlementaire s'en trouvera-t-il sensiblement, amélioré ? Ne serait-ce pas plutôt le cas de rappeler le mot de Mural, roi de Naples, qui, parlant '.de ses soldats dont on proposait de modilier l'uniforme, disait « Habillez-les en vert, en bleu ou en rouge, ils f.icheront toujours le camp! » » Donnez aux députés du repos ou ne leur en, donnez pas, "les choses n'en iront ni mieux ni plus. mal.

Les parasols de la Reine.

On sait que la reine d'Espagne, à laquelle des fleurs avaient été ofiertôsopar les marchandes de la Grand 'Place- vlor s de sa visite à l'Hôtel de Ville de Bruxelles, a eu l'intention charmante de faire don, en guise de remerciement, à chacune des dames' du marché d'un grand parasol aux couleurs espagnoles. Le marquis de. Villalober, ambassadeur d'Espagne, a remis personnellement aux' intéressées les parasols,' qui ajoutent une note de couleur -etjCde gaieté au pittoresque marchéwctfec'la Grand'Placc. n _p o ̃ .• ̃̃' 3 '̃"

-5o c

Pôle. Nord en avion.

Le projet- de traverser en aéroplane le Pôle, Nord, projet abandonné par Amundsen, a été repris par un consul norvégien, M. Iiaromer, qui prépare une expédition pour le mois de décembre prochain.

Les inconvénients de l'économie. Les comimunistes allemands et russes faisaient, depuis quelque 'temps aux communistes ;italiens, d'Emportants envois de journaux.

Et personne n'eût songé à s'en étonner, .personne ne se fût avisé que l'expédition de" ces publications pût cacher quelque chose de louche- si "ceux qui les. mettaient à. la poste ne des "avaient, par. économie 'sans doute, in:sui'flsaiini!nent_ affranchies": ̃' Un employé" des postes de Milan 'qui; pour ce fait, avait donné l'ordre qu'on les retînt, ouvrit un .de ces journaux. H s'en échappa des ba.nknotes. Chaque exemplaire en contenait plusieurs. Il y en avait, en tout, pour trois ou quatre cents'livres sterling.

Quand on dispose, /pour la (propagande, d'un crédit qu'il' est permis de supposer mal défini, sinon .illimité, on ne rend' pas service à son- parti en faisant des économies de 'bouts- de chandeille. Le Masque de Fer.

Notre Supplément littéraire DE DEMAIN

Claude Dazil. Une Chanson

(Nouedle)

Ernest Prévost Matinée

Ferdinand Boyer. La Mission de Stendhal s Ancône (mars 1832)

̃ B'aprcj Jca lettres inédites (Fin)

Noël Nouët Pour André Chcniet Binet-Valmer t Le Désordre

( Les Liâtes de demain)

Chroniques de Maurice Levaillant, François Monte], Lsdvocat, Jacques Patin, •; ¡

Les négociations

anglo franco 'belges

̃ ̃̃̃ ?-t~

La réponse française est rédigée g elle sera transmise à Londres à la fin de la semaine

Il n'y aura'pas une réponse commune franco-belge chacun des Cabinets répondra pour son compte. La. France et la Belgique ont estimé 'qu'elles .pouvaient sans inconvénient se réserver une certaine liberté d'action.

Le résultai.' des échanges de vues qui se sont poursuivis entre M. Poincaré et le baron de Gaiffier d'Ilestroy, ambassadeur de Belgique, a d'ailleurs confirmé l'accord existant "entre les gouvernements français et belge. Des divergences peuvent exister sur des questions de détail il semble que la Belgique serait disposée à étudier certaines modifications éventuelles à l'état des paiements de mai 1921. Mais 'l'accord semble complet sur toutes les questions fondamentales ou même importantes, notamment sur l'évacuation de ]a Ruhr et la cessation de la résistance passive. Les réponses de. la France et .-de la Belgique seront séparées mais identiques. Le texte de la réponse française est définitivement cu'reté. Usera transmis à Londres samedi ou dimanche. M. Theunis en recevra toutefois communication, aven t qu'expédition eh soit faite à Londres. Jl est probable que les réponses de hrTVànéc Et c! la Belgique provoqueront une réplique de la-part du gouvernement britannique. Sans doute les négociations .seront-elles eh.core assez longues.

M. Poiiicaré, quittera Paris aiijourd'liui pour se rendre" dans sa propriété de la y.Meuse, à Sampigny, où il va faire un court séjour. La semaine prochaine il doit se rencontrer avec .MM. Theunis et Jaspar à Paris, et peut-être avec lord Curzon, qui, se rendant en ̃ villégiature à Bagnoles-de;rOûïe, passera pur la capitale.

M. Bemelnuns, délégué belge à la C. D. R., démissionne M. illemclmans, déliîguc adjoint de la Belgique à la C. D. R., vient, de donner, sa démission. C'est M. Camillo Gutt, actuellement; chef du cabinet de M. Theunis, qui le remplacera l'hôtel Astoria.

M. -Bemelmans 'devient administrateur de la Banque d'Outre-Mer.

Le départ de -M.. Bemelmans ne laissera que des regrets. Par sa courtoisie, pur sa compétence, par l'empressement qu'il- rnet- lai à à rendre accessibles aux profanes les q.uesjions. les plus ardues,. il. s'était. attiré lu sympathie de foiis par'. son dévouement à la cause de. son' pays et par l'ardeur qu'il. apportait à la défense .des intérêts communs de la France et de la Belgique, il s'était I acquis l'amitié des journalistes parisiens familiers de l'hôtel Asforia. ̃̃Louis Ghevreuse.

Les Soviets et la liberté des Détroits

,Le Traité 'de Lausanne prévoit la liberté de .passage dans les Détroits. Mais il n'as- sure, aucun contrôle international de cette libetté la différence du traité de Sèvres il né contient pas de clauses restrictives touchant- le sort de Constantinople et- des Dardanelles. Cette convention des Détroits a été.signéè 'à Lausanne -par les principales puissances elle doit l'être à Coristantinopjù par le représentant des Soviets. Les ciàfises de cette convention et la signature .{lu Russie apparaissent comme deux évéuejrients' de la plus grande importance. Xa signature du représentant des Soviets ijilirque la rentrée de la Russie dans la vie

internationale.

-II. ne faut pas oublier que le règlement dcla question d'Orient vient de revêtir un aspect tout nouveau la Russie n'y a pas pris, une part active. Et cette absence ex- .pjique bien des choses. Si le réveil de la" Turquie, a été si prompt, c'est qu'elle ne se sentait plus menacée par la Russie. Durant tout le xix° siècle, JUnflucnce à Cbnslàntinople de la France, de l'Angleterre ou de l'Allemagne venait de la peur qu'inspirait la Russie Paris, ou Londres, ou Berlin paraissaient moins dangereux et moins menaçants aux T-ûrcs que Sciint-Pétersbourg. Une des causes de nos déceptions asiatiques, c'est l'effondrement de la Russie. En acceptant l'invitation, qui leur avait _éte faite officiellement de signer le statut ^desDélroits, les Soviets semblent vouloir reprendre place dans le concert diplomatique. Et cette rentrée coïncide avec la constitution û'-nn Etat russe unitaire « l'union des ré- publiques socialistes des Soviets o a été votée récemment par les républiques individuelles. Mais on aurait tort de croire que cette rentrée équivaut à la reconnaissance" dés. Soviets la protestation que- viennent de faire entendre les Etats-Unis contre une telle reconnaissance suffirait à nous aver-

vtir1. •"̃• ̃̃̃̃̃•̃̃̃

• Cette .convention des Détroits "met fin à l'une des questions les plus- complexes qui aient agité le dix-neuvième siècle. Un joli mot d'Alexandre Mavrocordato a peint la situation jusqu'à la guerre de 1914 « La Mer Noire porte chez les Russes le nom de >iergc chaste et pure, car personne n'a le droit à son accès et la navigation-' y est interdite tout navire étranger. »

Contre une telle situation la politique russe ne cessa de s'élever. Elle était définie en ces termes vers 1877, par l'un des hommes d'Etat -russes les plus avertis, M. de Nélidow « La libre communication avec la Méditerranée et, en même temps, le moyen d'empêcher, les flottes ennemies de menacer nos côtes de la Mer Noire, tel doit êtee et a toujours été le but principal de notrenpalitique maritime en Turquie. Il faut donc-, chercher des combinaisons qui nous -assurent a nous seuls la liberté de navigation dans les Détroits à l'exclusion de tous les autres pavillons de guerre. »

Pour obtenir satisfaction, la Russie fit de multiples efforts durant tout le dix-neuvième siècle. Elle usait tour à tour de' séductions "et de menaces. Elle prétendait veiller à l'intégrité de ,1'Empire turc et en obtenir ainsi la tutelle. Elle se tournait vers Berlin et cliércliaJt des complaisances.

.La « douche froide n'alternait, avec la *«'(Î0uche chaude ». La Russie se ruait à la conquête, des Détroits. Mais, chaque fois, elle'était arrêtée dans sa victoire uar tes in-

quiétudes des' autres puissances. Aussi, toute Oiiàtoirc diplomatique ..de., la question d'Orient au dix-neuvième siècle, présentet-elle un r'yillme constant à un premier traité, .qui ifnposo de dures conditions à"Ja Turquie, succède un second traité qui annuie ou adoucit le traité primitif. L'histoire se renouvelle au traité de Sèvres a succédé le traité de Lausanne.

En somme, durant tout Je dix-neuvième siècle, la Russie n'arriva, jamais à faire triompher ses prétentions. Au traité d'Unkiar Skelessi, les puissances s'étaient engagées à respecter île principe de la clôture des Détroits. Et ce principe fut maintenu par la conférence de Londres (1871) qui avait été convoquée pour déchirer de traité de Paris. Dans les préliminaires d'Andrinople, antérieurs au .traité de San-Stefano, la Russie avait .cru pouvoir demander le droit de libre passage, par le Bosphore et les Dardanelles, pour les bâtiments de guerre russes elle dut y .renoncer- avant même le congrès de Berlin (1878).

Le traité de Lausanne modifie donc complètement ,le statut des Détroits, admis jusqu'ù 'la guerre. Mais cette liberté de passage, à queUe puissance, en fait,.profiterat-elle .'? A l'Angleterre, cela est indiscutable. Depuis l'automne dernier, le gouvernement britannique a fait affluer subies deux ri.ves des Détroits, à. GaMipoli et à Tchanak, des cuirassés, des croiseurs, des transports. Il y à organisé une importante position militaire. Aurait-il l'intention de l'aire des Détroits « un nouveau Gibraltar »' ? 2 Alfred Mallet.

L'impossible propagande

On se rappelle ce roman qui, l'an dernier, fit scandale et dont le succès malsain eut pour son auteur des conséquences qu'il n'avait probablement point escomptées. Le roman ne suffisant pas, apparemment, à satisfaire aux curiosités de la clientèle, le cinéma se mit de la partie, et l'on'annonça qu'un film était en préparation.

De justes protestations accueillirent cette nouvelle. Sur quoi des avis lénifiants attestèrent que les metteurs en scène du film feraient en sorte de n'exposer aux yeux des spectateurs que des scènes d'une stricte convenance. L'on prit acte.

Or voici, nous assure-t-on, où en sont les choses.

Le travail des artistes du cinéma est achevé mais le film comporterait trois variantes.

Il y a un film pour la France, et celui-ci, soumis au visa de la censure, se tient à peu près dans les conditions annoncées. Il y en a un autre pour l'Amérique, et l'on sait que les spectateurs américains savent exercer eux-mêmes leur censure. Mais il y en a un troisième destiné à J'Al-

jQ,m.a4jafcvuît.eeUiirlà,. parait-il, renchérirait

sur le roman.,

Voila ce qui nous est affirmé par quelqu'un :qui est qualifié pour -connaître la vérité. Si ce n'est pas exact, qu'on nous 'le dise, et ce sera pour nous une vive satisfa:ction d'enregistrer un démenti, qui, bien entendu, n'aura de valeur qu'à la condition que la version réservée à l'Allemagne soit préalablement exposée devant les Parisiens. Mais si le démenti ne vient pas et si notre information est authentique, nous disons Non, cela ne sera pas. Il lie convient pus, il ne faut pas que, sous l'estampille française, des exhibitions pornographiques aillent alimenter la propagande de mensonge et de haine qui, par toutes'les voies, se poursuit sans répit en Allemagne contre tout ce qui est français.

S'il est un* moyen légal d'interdire la mauvaise action qui se préparerait, il faut en user sans retard. Et s'il n'en est point, qu'un désaveu formel, qu'une véhémente protestation émane de tout ce qui, en France, a qualité pour parler au nom de notre pays et de. l'opinion française.

Un renseigné.

M. Maginot passe en revue les troupes anglaises du Rhin DussELDor.F, 26 juillet. Après avoir déjeuné à Dortmund, M. Maginot, ministre de la guerre, est rentré en automobile à Dusseldorf.

Il en est reparti aussitôt, pour se rendre à l'invitation du général Godley, commandant l'armée britannique du Rhin, de venir assister à une revue des troupes anglaises au camp de la Somme de Wahn, près de Cologne.

M. Maginot. et le général Godley sont arrivés dans une automobile découverte appartenant à l'état-major britannique, sur le capot de laquelle avait été fixé un drapeau tricolore. Ils ont été salués à leur descente voiture, devant le front des troupes, par le colonel ̃ Kennedy, qui commandait les troupes de la revue, pendant que la musique du '•. 41° hussards britanniques attaquait la Marseillaise.

Après' avoir passé les troupes en revue, le ministre de la guerre et le général'Degoutte ont. pris place aux côtés 3u général Godley, sur une estrade devant laquelle les troupes ont défilé dans une tenue impeccaMe et un 'ordre remarquable.

M. Maginot a exprimé ses remerciements au général Godley pour le superbe spectacle auquel il avait été convié, et toutes ses .félicitations pour le tour de force réalisé en mettant sur pied à l'improviste une revue aussi supérieurement et impeccablement exécutée.

Le ministre de la guerre, après avoir dîné chez le général et Mme Godley, est reparti, à 11 heures, directement de Cologne pour Paris.

Le général Rucquoy abandonne son commandement dans la Ruhr

'̃̃ ̃ 1 éOI

BRUXELLES, 26 juillet. Le lieutenant-général. Rucquoy, atteint par la limite d'âge, abandonne le commandement de l'armée belge dans la Ruhr..

̃ 'I! sera remplacé par le général Baltia, gouverneur du territoire d'Eupen et Malmédy. Ses fonctions seront supprimées, le régime spécial des territoires rédimés devant prendre fin le 31 décembre prochain. D'autre part, le généra! Flybus, commandant d'une division de l'armée d'occupation,,sera nommé. inspecteur général de l'infanterie en remplacement du lieulenant-géi néral Bernbeim, également atteint par" la

limite d'Ciack,

Pasteur, Strasbourg et l'urbanisme

Strasbourg, juillet.

« Où est l'urbanisme? » Telle est la question que quelques centaines d'arohîtectes et d'ingénieurs sont venus, pour le centenaire de Pasteur, se poser les uns aux autres à Strasbourg, sur l'invitation' de MM. Auburtih, président de la Société française des Urbanistes Agache, secrétaire général Albert .Parenty, comniissai" re général du Congrès et Dervaux, rapporteur général. Une soixantaine de communications transcrites eh un gros volume in-octavo de 500 pages ont répondu et abouti à ces multiples voeux, qui terminent d'obligation tout congrès en fusées et feux d'artifices versicolores.'

Avec les ruines de ses régions dévastées, aucun pays n'a comme la France in-; térêt à se faire une idée nette de la question. Hélas cette idée nette, la plupart des gens, même la plupart des villes, ne l'ont pas. Ils ne songent guère à se demander « où l'on en est », alors qu'ils nq cherchent point à savoir « ce que c'est ».. Pour la majorité des. maires et conseillers municipaux, un plan de ville ne peut être qu'une œuvre d'occasion et fragmentaire vouloir l'établir d'ensemble pour une exécution continue à longue échéance est une dépense vaine. Pour les particuliers, c'est une manière de brimade nous empêchant d'utiliser terrains et constructions à notre guise ou une manière de spéculation à l'usage des administrateurs communaux' et de leurs amis. ̃

Cependant, lorsqu'ils sont détachés de leur intérêt personnel, tous.sojit bien obi h gés de convenir que sans (longue prévision, sans projet de grande étendue et mûrement étudié, aucune réserve d'air, de verdure,1 de lumière, d'eau-, aucun terrain de sport,- et aucune .circulation aisée, aucune perspective d'agrément, aucun emplacement d'éd.ifice public ne peuvent être assurés aux habitants de la ville la plus riche. Sans la garantie de ce plan, et ses équilibres d'espace et de beauté, n'importe1 quelle prospérité urbaine ne se décompose-t-dle pas sur place en moins d'un siècle ?

Mille exemples, souvent d'un passé proche, en sont sous nos yeux. Tous savent encore que de belles voies et des quartiers sains donnent aux propriétés une plus-value considérable. Enfin, ils n'ignorent point, par leur propre plaisir dans l'admiration du pittoresque, que là beauté ne doit pas nécessairement être tuée par l'hygiène,, que l'hygiène peut nous conserver la beauté la plus véf uste et que dans la vilile moderne elles sont sœurs, des sœurs inséparables, d'ailleurs jumelles. Ainsi, autant que l'art et la science, l'intérêt particulier et le général sont étroitement unis dans l'urbanisme.

® © a

Mais le Congrès qui vient de se terminer aura pu nous apprendre aussi que l'ignorance, l'inertie ou l'égoïsme mal entendu de chacun seraient facilement soutenus pàf le zèle des urbanistes eux-mêmes. Si certains sont réformistes, beaucoup sont révolutionnaires, et la plupart ont moins de méthode que de principes, moins d'expérience que de raison. Or, rien de plus ter-< rible, en art comme en science, que la raison toute seule et son intransigeante logique.

Par exemple, il y a les verticaux, ou par- tisans farouches de !la ville en hauteur, avec les gratte-ciel et les maisons-tours, et il y a les horizontaux ou tenants énergiques de la ville en surface, avec ses logis aux moindres étages. Il y a les rectiîignes, pour lesquels toute courbe est le chemin des sauvages ou des ânes et il Y, a les curvilignes que toute droite fait tomber en catalepsie comme la poule sur la raie blanche. Pour quelques-uns, les toits n'auraient pas plus de raison d'être que nos chapeaux, et les maisons devraient suivre la mode de nos jeunes gens ,qui s'en; vont" tête nue. Pour d'autres, aucune considération de souvenirs, de pittoresque, d'histoire ne devrait arrêter de raser, le centre des grandes villes afin d'y élever d'immenses cubes symétriques. Enfin,- la forme ne provoque pas moins de conflits entre les rationalistes purs, qui la veulent tirer de la seule utilité des ilignes et des plans, et les sensiialistes qui ne se passent d'ornementer tous les vides.

© © 8

A ces forcenés systématiques, Strasbourg répond victorieusement que la vie et l'expérience rendent vaine n'importe quelle théorie, qu'il n'y a de principes que des faits. Elle ne s'est refusée à aucun progrès moderne et elle' garde le souci de son 'plus vieux passé. Dans les anneaux .de ses rivières, elle a des coins de Bruges ou d'Amsterdam d'une poésie aussi attachante, plus archaïque même que chez l'une, et d'une vie colorée aussi active que chez l'autre. La géante cigogne de sa cathédrale, qui du long cou de sa flèche appelle le vol des grands oiseaux symboliques de l'Alsace, presse toujours autour d'elle mille toitures à pentes raides comme des coiffes du moyen âge. Entre lesmaisons, les rues ont les ondulations de l'eau.

Les grandes percées les plus récentes n'ont pas contrarié le vieux cœur de la ville. En y pénétrant, elles en ont épousé les courbes avec une délicatesse bien rare. On ne voit point de ces alignements forcés, qui témoignent si souvent à il'excès dans nos quartiers anciens de l'esprit géométrique.. Mais ce qu'il y a de plus parfait est la manière dont les palais et les places du dix-huitième siècle s'unissent aux voies et constructions antérieures, et comme on passe ensuite heureusement à la ville nouvelle, où, par bonheur, les édi.fices allemands, d'un faux style Renais- sance. ne commandent que fleurs perspectives. Du reste, le vaste espace entre l'Université et le parc de l'Orangerie, et l'allée de la Robertsau à la place de Kehl nous


offre un plan de viabilité .superbe. Seules, les grandes artères .de circulation on't.la rigidité qui convient.

9 © ©

Qu'est-ce qu'en effet avait découvert Pasteur? C'est que la dissymétrie est à ta base de la vie. Parti, à Strasbourg même, de l'étude des cristaux, il avait remarqué que tous les cristaux n'étaient pas symétriques, et la dissymétrie de certains avait toujours pour cause des germes vivants, les fameux microbes alors inconnus les minéraux seuls étaient symétriques, exactement superposables.

Ce fut un trait de lumière pour moi, lorsque le professeur Borrel, exposant aux congressistes les recherches pasteuriennes, nous arrêta sur cette constatation fondamentale, qui .engendra, en dehors de toute théorie, uniquement par la conséquence des faits, ila succession des découvertes bactériologiques.

Les cités nous montraient, comme dans toute vie, dans la science comme dans l'art, à quel point la symétrie continue était étrangère à toute existence naturelle, à tout mouvement ou rythme expressif. Les procédés rigoureusement géométriques des camps romains, qui donnèrent naissance à beaucoup de villes et qui tendent à être employés par l'automatisme moderne, ne furent" que des moyens rapides et militaires de s'en tirer. Si l'on est d'accord pour que la situation géographique commande avant tout les plans urbains, la dissymétrie vivante, naturelle est à leur base, Strasbourg nous montre qu'elle est la condition d'une fécondité harmonieuse et Pasteur, professeur à Strasbourg, ne se doutait pas qu'il y devait être salué un des pères de l'urbanisme,

Robert de Souza.

Nouvelles JJiverses La température

Probabilités pour la journée dd 27 juillet Région parisienne vents Nord-Ouest fai. blés. Moins chaud, nuageux, éclaircies, "oiiUes d'eau avec rares ondées. Môme temps région Nord, et région NordEst. Beau nuageux et frais région Ouest. Deau et chaud région Sud.

PARIS ET BANLIEUE

Mme Chignaud, 50 ans, demeurant rue Ba- ron au cours d'une discussion de jalousie, a tire trois coups de revolver sur son amant, Pierre Hruucaz Celui-ci, atteint de deux projectiles à la tête. a été transporte à l'hôpital Bichat bon état est très grave. La meurtrière est arrêtée. Place de Budapest, deux femmes se> sont la nuit dernière, prises de qu'erelle. L'une d'elles, Delphine Berthelot, a frappé de cinq coups de rouleau son adversaire, JJulio Hnjiaud, qui a été transportée à l'hôpital Lariboisière. La meur-

triére a été arl'Nép.'

U~- Un pickpocket dérobait hier, dans l'église de la Trinité, le sac a main, contenant 1.800 francs, de Mme Vivier, demeurant rue Caulamcourt. AÏxwu par un fidèle et poursuivi, dans la rue. par des passants, le malfaiteur roussit a les dépister et à disparaître.

M Fossé, industriel. rue de Bondy, a fait iirrôter hier un nommé Henri Houvier, qu'il il accuse de lui avoir escroque 37.000 francs. Une du Quatre-Septembre, à trois heures du soir, 'un autobus a tamponné un tramway. M. Nicolas Aplermann, demeurant li, rue Valeniin, à l'Hay, à été blessé.

Un jewne garçon d'une dizaine d années, dont l'identité n'a pu être établie, a été renversé, nuai des Célestins, par une automobile. On l'a transporté, mourant, à l'hôpital des Enfants ma-, lades. y DANS LES DÉPARTEMENTS La folie d'une mère

Au cours d'un accès de Jolie, Mme Lucot, <}«m,car.aat,à; Chalindrey (Haute-Marne), a lAfe^rtrès -'grièvement, à coups de couteau, ses deux fillettes, âgées de quatre et douze 'ans..

La maiheureusB s'est ensuite suicidée..

'Ot

Meurtre et suicide

Un charretier de Lille, nommé Bruyère, qui vivait avec une femme, Rosalie Cappon, iapprenait ,ccs jpurs-.ci que son amie -avait 'dédtt&ifc- lè-qùittai yliï^-iil:>âM3teaaeliarlà-- gorge d'un coup de rasoir, puis, au pied du M au qisait le corps ensanglanté de sa victime, 11 se ât"à:ila gorge, également, une blessure horrible; succombant presque aussitôt.

vLe drame a été découvert par la, fille de •ipi'uytTt!, qui -a' quinze ans, et qui- a trouvé les. doux -cadavres dans la, chambre où •elle entrait pour apporter, du cal'é ù son pore.. Contre l'impôt sur lés salaires

QiralVo cents 'ouvriers :iiiolallurgis.tes do M .Kondciii: de Danuiiariu-.les-'Lys, qui -se- sàjit .inis en .grevu -pour protester contre ï'impoi sur des salaires que la direction de l'usine avait retenu sur ta paye Ue quelqnes-uns d'entre eux,, sur réquisition du peuceipteur, ae sont" rendus hier après-midi en cortège >à- la préfecture de 8cine-çt-.Marjie. Ils portaient des pancartes avec ces mots « A has l'impôt sur les salaires » Après une entrevue avec M. Dupuy, sccrèlaire général do ila préfecture, les manifeslauts "se sont' disperses sans autre incidenk

Saint-Chély-d'Apches (Lozères), un câble sa. haute tension de l'usine de Firminy étant tombé sur un f il rtélégi'aphiqne de la voie ferrée que des ouvriers réparaient, deux d'entre eux ont etô éU'clrocutus. Le. diel cantonnier Prunier a. été tue sur le coup, et lo cantonnier Durand a ete très grièvement blessé. ̃ Un incendie' a détruit un hangar situe à environ 250 mètres da lu gare du P. L.'M., à Hycres. Les dégâts sont importants. t Pendant que ses enfants étaient U la lete chamuûtïc de Saint-Pons-les-Mures ,.(Var) Mme OlUvier, âgée de 75 ans, s'est pendue à Grimaud. A Compiègne, Mme Advienne Molay a été grièvement, brûlée par l'explosion du poêle qu'elle venait. d'allumer.. • Un coiffeur de Bourges, M. Lhopitault, ne ijouvant'se consoler du départ de sa femme, qui l'avait abandonne, ̃ emmenant leur unique enfant, s'est pendu dans -sa chambre.

–On a trouvé dans un champj-pres.de Rpcïie-1 a-Molière (Loire), le cadavre d'un inconnu oui a été, de toute évidence,- victime d'un prune. ̃ –On a découvert à Atidel (Côtes-du-Nord), le r.ada\re d'un cultivateur. M. Uryon,,gui aurait. été éirunglé. La justice intonne.

Une tannerie "de Roanne' a ete en partie détruite par un incendie.

l'n. soldat du y^1 d'artillerie, nommé Chastaiï, est tombé hier;tii'ès-cle*flod'ez;"stJus;-lés roues ,d:un wagon, et a eu la télé broyée.

1 Le vapeur anglais Cilu of Rangoon, en danger aii large d'Ques«:ml, a été secouru et remorû.ué-par'lo Haleur. du port ih: Brest.

V.n nommé Néant, employé chez un entrepreneur' da Chambon-Feugerolles (Loire), a tué hierd'-uxi coup de couteau, au cours d'une rixe, un de ses camarades. M. Boudet.

AL'IINSTRUCTION Le drame de l'Apollo

M. Cluzel, .juge. d'instruction, a. renvoyé devant ia Cour- d'assises,- pour- homicide volontaire, Mme. Eugénie. Christophe, née Launay, ouvreuse au' théâtre de l'Apollo, qui, hj -27 juin, h une heure du matin, devant le lii du boulevard Saint-Denis, apercevant s'o-n mari. 'accessoiriste au même théâtre, en compagnie de Mlle Paule Delacourt, figurante,- 'tira un -coup de revolver sur cette dernière. M. Christophe, ayant vu le geste, s'était, jelé devant son amie pour lu protéger. H fut» tué-̃̃ ÏJiV passant tenta de désarmer la meur-

trière, un coup partit et Mme Christophe fut blessée à il jambe gauche.

L'inculpée a dédlaré qu'elle avait pris le revolver de son mari parce que celui-ci lui avait annoncé que Mile Delacourt était armée et que, si elle était attaquée, elle se. défendrait.

a.

L'affaire des bons communaux

On sait aujourd'hui qui a introduit, en France, les bons communaux que Papazian et Dornergue ont essayé de négocier à da Caisse «Centrale des Finances. C'est M. Bot.con, consul du Luxembourg à Cologne. Comment s'est-il procuré les coupures ? On l'ignore mais il est établi que les bons ont bien été imprimés en France et ne sont pas l'œuvre. d'un faussaire. Us ont été saisis à Lille, Douai, Saint-Quentin, Valenciennes et autres villes du Nord par les autorités militaires allemandes et proviennent également de réquisitions et d'amendes infligées aux villes occupées.

M. Boucon vint a Paris avec Papazian et Domergue, avec un paquet d'un million il chargea les deux complices de les négocier, deur annonçant que s'ils réussissaient à les encaisser, il leur en apporterait pour 2.300.000 francs, Par télégramme, de consul leur fit savoir qu'il ne pouvait venir dui. même et qu'il chargeait un industriel allemand de les leur remettre.

La Sûreté générale ayant eu connaissance de ce .télégramme organisa une surveillance et découvrit, 6, rue de La Rochefoucault, M. Othon Schwiedessen, âgé de trente-six ans, né à Lennep (Allemagne), qui fut arrêté.

M. Munsch, juge d'instruction, a interrogé, hier, l'Allemand, qui a déclaré qu'il ignorait la provenance des, bons et qu'il n'était qu'un intermédiaire pour une opération financière qu'il croyait licite. M a été éci'oué à la prison de da Santé.

M s'agit maintenant d'établir le délit. Le mystère de la rue Richelieu

Lundi matin, la dactylo de M' Leonidas Basilioudis, avocat-conseil d'origine grecque, venant prendre son travail, 10, rue de Richelieu, ainsi que nous l'avons dil, trouvait son patron baignant dans une mare de sang. II portait ;'t la tempe droite une blessure faite avec une arme à feu et une autre à 'la main droite. Un revolver, dont un coup avait été tiré, se trouvait près du blessé qui expira salis avoir repris connaissance.

Le commissaire de police et les voisins crurent il un suicide. M. Basilioudis habitait à Conflans-Fm-d'Oise, et rien n'expli- quait sa présence à Paris dans la journée du dimanche. En. effet, le samedi, il avait quitté son bureau à niidi.

'Pourtant, le commissaire de police envoya le corps ù l'Institut médico-légal aux fins d'autopsie.

Hier, le docteur Paul a procédé à cette

opération.

« La mort, dit son rapport, a été déterminée par un coup de .feu à lia région temporale droite, par un projectile de 6 mm. 35 mais une autre balle, ou la même, a traversé de part en part la main droite. Cette constatation rend 'invraisemblable l'hypothèse d'un suicide. »

On peut expliquer cette dernière blessure par un geste de parade ou de défense. Le Parquet, informé, a aussitôt chargé M. Laroque, juge, d'ouvrir une instruction pour homicide contre X.

Acompagné de M. Farailicq, commissaire ù la police judiciaire, du docteur Paul et de son greffier, M.Foulât, M. Laroque s'est transporté, -a 5 heures du soir, rue de Richelieu, et a commencé' son enquête. Les voisins n'ont pu donner aucune indi-

cation, car 4& n'ïpnfc, rien entendu.

Les premi®es| investigations du niagis^

-4rat 4ui oi*te«jtf!|>rf! que M. Basiliffudis -af èiff* pendant vingt ans, une liaison et qu'il' est père d'un enfant issu de cette union illégitime. ̃̃ ̃O.i*r.avocat-<eonsèiil, qui avaita'Ofnpu avec sa 'maîtresse, devait .se marier 'sous- peu. avec une personne qu'il avait connue dans ses relations .mondaines'.

Le juge et M. Faralicq reviendront, au-,jourd'hui rue de Richelieu, avec le service

anthropométrique.

unt.lU'opoméll'ique, Argus.

LÉGION D'HONNEUR Sous-secrétariat d'Etat

1 .ri-v iidcvl-'enseigneméntv technique Sont proiiius.ou noinniés

'Officiers.- •• KLM. Bertrand de Fonlvio-

land, vice-président du conseil de l'Ecole

centrale Gaillard, vicc-p résident de la com-

mission de l'apprentissage de la Chambre

de commerce de Paris.-

Chevaliers. MM. Myard, directeur des écoles Schneider au Creusot Deseliaux, présidont de la Chambre syndicale des. en-

trepreneurs de fumisterie, président de Ja

conunission d'apprentissage du groupe dit

bàtimunt Çouibes, président de In Cliam-

..brc syndical des labricunls do oliuux ul'.d-i inenls du sud-csl, ].H;ésiclenl du groupe régional du Lyon des anciens élèves- des écoles d'arts et métiers (Iruet, induslriel Baillv, sous-diredeur de l'Ecole des hautes éludes commerciales Pons, directeur de l'école pratique de conunerce et d'industrie hôtelière de Nice.

Ministère du travail

Par décret dû président de la République en date du 22 juillet 1923. ont été promus ou nommés .dans l'ordre, de la Légion d'honneur

Officiers. MM. Paul Guerre-, directeur général des Mines de Courrières Charles Laubry, docteur en médecine, médecin des hôpitaux de Paris.; Paul, Pingault, industriel, ancien membre de la Chambre de commerce de Paris.

Chevaliers. MM. Jean .Bouché, ancien ouvrier typographe, imprimeur à SaintEtienne James Boucher, maître de verrerie h Cognacq Georges Bouchery, industriel à Paris Louis. Çambournac, ingénieur en chef de la Compagnie du Nord Valéry Collet, maire de La Varenne-Saint-Sauveur I (Saône-et-Loire) Eugène Collon, industriel à Nice Etienne Coste, maître de forges à Lacanche .(Côte-d'Or) Charles Damour,

maltre de flwges à Bayard (Haute-Màrne),

maître de forges à Bayard (Haute-Marne),

président- du tforis'eil ̃" 'dès mines" d'&lbi Emile Fleuryy 'industriel à Paris Léon Caillot, inspecteur départemental .du travail à.Belfort Charles Gilardi, entrepreneur, de .maçonnerie à Paris. Alexandre Guedon, vice-président du conseil de préfec.ture à Constantine Albert Israël, ingénieur des travaux publics à Nice; Joseph ILaJpiai,cojmniissaire contrôleur des 'Sociétés d'assurances au ministère, du travail Marie Laffont, maire de Tarascon Emile Larcher, ingénieur constructeur à Paris Jean Soudeilletle, présidentla 'Chambre des courtiers d'assurances terrestres à Paris Edouard Touzaa, directeur technique de l'Office départemental de placement- de la Seine., .,̃• .-•)-- Par décret du président de la République en date du 2G juillet 1923, ont été nommés dans l'Ordre de la Légion ^l'honneur. Chevaliers. MM;.Francis Carton, président de la Société des cuisiniers de Paris Cos.tille, chef de bureau de l'administration municipale de Lyon Robert Faure-B eaulieu, industriel à Paris Jean FournereauxPonthier, ancien inspecteur du travail à Paris Lucien Maillot, industriel à Lyon Auguste Monce, contrôleur au ministère du travail Elie Pujo, sous.chef de bureau au ministère du travail Gustave Singher, directeur général de Société d'assurances au -Mans, Lucien Viliers, vipe-président- du Conseil de préfecture de Seine-et-Marne,

LE MONDE & LA VILLE

DANS LES AMBASSADES

S. Exe. le ministre de la République Argentine en Belgique et Mme Alberto Blanco ont quitté, hier, Paris, se rendant à Buenos-Aires, en congé. Ils seront de retour au commencement d'octobre.

DANS LE MONDE OFFICIEL

M. Poincaré, président du Conseil, a reçu, hier matin, LL. Exe. le baron Romano Avezzana, ambassadeur d'Italie, et le baron de Gaiffier d'Hestroy, ambassadeur de Belgique.

RENSEIGNEMENTS MONDAINS

S. M. le roi d'Italie a rejoint la famille royale à Santa Anna dei Valdieri.

Accompagnée de la duchesse de Médiuaceli, S. M. la reine Victoria, venant de Saint-Sébastien en. automobile, a passé l'après-midi de lundi à Biarritz.

La Reine a été reçue par la duchesse de Fernan-Nuuez, entourée de ses enfants, le comte et la comtesse de La Maza et Mlle de La Mina, avec lesquels elle a pris le thé. De Londres

Un garden party offert par les souverains, dans les jardins du palais de Buekiugham, a réuni l'aristocratie et l'élite de la société anglaise. Les ministres et les di-jjlomates anglais, ainsi que le corps diplomatique, y assistaient. La (duchesse d'Uzès, née Mortemart, s'installe dans son domaine de l'île de Berder.

On nous prie d'annoncer que S A R. ` le prince Georges de Serbie a quitte Paris se rendant à Belgrade. La duchesse des Cars est arrivée au château de Souiches. Le marquis et la marquise del Fieno, qui sont en ce moment dans l'Engadinc, sont attendus à Venise où ils séjourna ont jub* qu'à la mi-octobre. < A Eviau et à Thouon, saison tomme jamais encore n'en a connu la ri\ e du 1 1.

man, pourtant si heureuse. Parmi 11-, dei^

nières arrivées v* •̃ Au « Royal » d'Eviau ) 1 S. A. la princesse Murât, génùial 1 di ni I 1 paia et madame, vicomte et vicomtesse \llu Utile, baron de Balz, comte et comtesse ] ili Castelbarco Albani, M. et Mme C. Musum \l Lazare Weiller, Mr et Mrs Blyth W. Bi dm h t 1 Au « Splendide » d'Evian

Comte et comtesse de Lu Guesle, lord et la I Batemarr, baronne de La Potterif, Mme R 1

de Osio, M. et Mine Léon Tissiei, lady Ni

cholson, M. et Mme Salvador Saus, etc. Au « Grand Hôtel du Parc », à Thouou M. Arthur Ryle, M. et Mme Iranaza\al, >! et ,\[me Jean Amie,, baron Suassuma, lieutenant de. vaisseau Bourgeois, Mme Lalanne, M. et unie Henry Coville, etc. '1

Mme Whitney-Hoff est à Aix-les-Baius. La comtesse de Saint-Roman a donné le '1 jour à un fils, Hubert.

La comtesse de Luppé, née Sally Beecher, nièce de l'ex-ambassadeur des Etats- Unis, M. Hugh C. Wallace, a donné le jour à une fille, Mildred.

M. Camille Borione et madame née Motte, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fils, Pierre. "A IERCLES ««.s r » Le deû^ïên%M'<rïillye de la saison, vient df'êtire .couru en forêt, de Fontainebleau, par un temps favorable.

A quatre heures de l'après-midi, au carrefour de l'Obélisque, cavaliers et cavaliètes se réunissaient.

A cheval Mmes Riou, Vignal; Vuz et Jemis, Mlles. C. Carisson, Mary Boasson, Hella Boasson' "J. A. Meyer, A. Monod et 0. Monod MM. Vignot, Paillard, Bousson, de Hartogh, Dupont,

Rheinardt, Portais, Dupoiron, lieulenunt Thié-

baut.

Suivaient en voilure la comtesse de Cossé-Brissue, le commandant René et le comte Jean de CosstVBiïs.-ae, Mmes Bouley, commandant et Mme dn Civrituix. M. f.ozouel, M. Uéi'ard de La Moite,- Mme et Mlle K. Gurrisson, Mine, Mlle et M. von llemcrl, M. Liébliiï,' Mme Bous? son, Mme Sntilz. M. cl Mme lttui-S Mme Mi-

vFiaud- -M.- X'M, ̃ Mme (j-iiichei)ul, -M., Mme2 et •̃

Mlle Martin, Mme Drinot, Mme et Mlles- de Courcel, M. Louis de Coulange, AI. Anthoino de -Ro- se, M..F. -M. l'onUiieu, l'upit.nine Petitnicolas, capitaine Joyeux, riVl'no Paillard, .Mme llerbei'.t,

etc., elè.. ,s"

A bonne allure, 1e trot fut lancé sur un parcours de 15 kilomètres environ, passant par les cantons suivants le Polygone, rochtjï Bouligny, rocher des Demoiselles, Mouton1, de Reclôses, les Erables et Déluges, la Cave aux Brigands, Croix de Sàînt-Héreni, Vëiï3tes. à la:Reinc, ét-sc.tenniuajit au carrefoui-;

abrité <lcs Forts de .Marlottc, emplacement

choisi pouf' le jeu final. 1.

–Ce jeu -fiual consistait à sauter une date; au galop, en- tenant en main une assiette contenant des œuls. Lutte chaude et reprises de luttes. Mlle Hella Boasson l'emporta. .sur Mme Jeans. Du côté des cavaliers le vainqueur fut M. Rheiuardt.

La présidence du rallye avait été offerte an commandant René de Cossé-Brissae, fils du comte Cossé-Brissac, fondateur de « l'E-

trier ».

MARIAGES

Le mariage de S. A. R. la princesse Isabelle d'Orléans, fille de LL. AA. RR. le duc et la duchesse de 'Guise, avec le comte Bruno d'Harcourt sera célébré, à Versailles, en la résidence de S. M. la reine Amélie, dans le courant de' septembre.

Récemment a été béni, à Layal, en la basilique Notre-Dame d'Avesnières, par Mgr de La Porte, évêque de Bérisa, le mariage de Mlle Geneviève de Perrinelle, fille du. capitaine de frégate, officier de la Légion d'honneur, décoré de la Croix de guerre, et de Mme de Perrinelle, avec le vicomte Frédéric de Richemont, enseigne de vaisseau, fils du vicomte. R_, d.e Richemon't, ancien secré-i taire d'ambassade, décoré de, la Médaille mi-i litaire, çt 4'e la vicomtesse -R. de-Richeinont.: S. A. R. Mgr le d.uc' d'Orléans était représenté par M. R. Lambelm.

<' "t'"f' a

DEUIL ̃̃ |f'.

,1 ,IJ'

;Les obsèques de -M. Charles Dupuy, se-1 nateur, ancien président du Conseil, ont eu lieu, hier matin, à Ille-sur-Têt.

Les cordons du poêle étaient tenus par MM. Périès, préfet de la Haute-Loire Vilar, sénateur des Pyrénées-Orientales Pagès-Ribeyre, président du Conseil général de la Haute-Loire; le docteur Murand, maire de la ville du Puy; Au tier et Victor Constant, "députés de la Haute-Loire.

Suivant la volonté formelle du défunt, il n'y avait ni fleurs, ni couronnes.

L'assistance était très nombreuse.

M. Laurent Eynac, sous-secrétaire d'Etat à l'aéronautique, a pris la parole au nom du gouvernement et rappelé les éminents services rendus au pays par l'ancien président du Conseil.

Les familles Caso, Colas de La Noue' et Dorado, dans l'impossibilité de répondre aux nombreuses marques de sympathie qu'ils ont reçues à l'occasion de la mort de M, Joaquin Caso, ministre plénipotentiaire de Bolivie près le Saint-Siège, prient leurs anîis de trouver ici leurs remerciements émus. M. Jules Quesnay de Beaurepaire, ancien procureur général près la Cour d'appel de Paris, commandeur de la Légion d'hon-

neur, est décédé à Vitray-sous-Laigle, dans l'Orne, à l'âge de quatre-vingt-cinq ans. Entré fort jeune dans la magistrature, M. Quesnay de Beaurepaire, fit la campagne de 70 et ne revint au Palais qu'en 1879. Il fut, tour à tour, avocat général près la Cour (de Paris, procureur général et soutint, en cette qualité, l'accusation devant la Haute-Cour, dans le procès du général Boulanger: En 1893, il fut nommé président de Chambre à la Cour de cassation.

Survint l'affaire Dreyfus, M. Quesnay de Beaurepaire, en désaccord avec la plupart ,de ses collègues sur la revision du procès, donna, avec éclat, sa démission, vers la în de 1898. f Depuis, le magistrat, qui fut mêlé ,aux jiffaires les plus importantes de notre époque, vivait retiré à la campagne. >:•' Sous les pseudonymes de Jules de Glouvet et de Lucie Herpin, M. Quesnay de Beau- repaire a publié de nombreux romans et des chroniques dans divers journaux.

On annonce la mort de M. Paul Souquet, proviseur honoraire.

Nous apprenons la mort de Mme Ernest Picot, née Simon, veuve de l'ancien députèdes Vosges, décédée dans sa soixaute-qùiii-? zième année. "±~ La marquise de Fontenillcs, née Gri-' moard-Beauvoir de Beaumont-Brisou, a suc-, combé hier, en son habitation de la .rue dtt •̃

Bac.

Nous apprenons la mort du chanoine Cosse, curé de Saint-Charles de Monceau, pieusement décédé, à Royat, le 26. juillet 1923. C

-t. Serigny.

PETIT O^^H3STET

Jeîotlie, 104, Faûbourg-Samt-Honoié,

solde aujouid'hui sa collection de tieb élcgaqtjglyàrfses û'Hl eii dçntetle blanche et en

a é&jggtÊgÊptty blanc à des pur ties a\anta-

r~c r ..1.'

I l^ 1 uimuii.'j é M Tv de l^iiK ̃^<ûl^ plient

i, nùtet I;OllÍ'.f, Ùrê'i;I~de,I,riS'5, 5' ,pf,'ie,"I,If."

(k»-3iotei T<tdre-e dt, leur. sH€ctu-i«e- d-'Aix-

lfi-Bauis chez Mlle Baguât, place <&iïla>t ^fes *y ti om ère/ Je meilleui accueil et ,tle jp^âsante^ ciuations poui toutes* les. heuies 'lu ]cnu tomme pouf le ioir. :1;

,'l'

l,a S\4n«tne fait sou\ent la rai été et la ntlasse d'une parure Vos bijoux dépareilles 1 tftouiv|eioufs-\ aleur et beauté grâce à Dusauso;Ë^ple\ard des Capucines. Ses stocks Hlj^^ra^TOenti les plus difficiles res^orti- me;mes -pn^ défiant toute coucuueiice.

'iCÍnéœàla:,9aç~s~

Le cinéma à la campagne

.g'> '.i- ;¡.

Pdiim les li.i\tnlt> du septième ait, il

'en est, croyons-nous,, bien peu o^ui se lendtnt un compte exact de te que, vaut le cmcnid comme moyen de propagande. Qu'ils^veuillent bien méditer ceci- Avant la revolutioir russe, des'cam'ibnnettes ̃ cinématographiques, équipées par les soins du, gouvernement, parcouraient l'Empire' et. donnaient, dans les villages,des séances auxquelles assistaient en-* foule les moujiks et leurs enfants. I-l'.fe'àgissalty.bien entendu; de propagande politique. Il y avait là un essai de: coiitr^-oi'fensive contre le bolchevisme naçs'^nt.^t si le cinéma tsariste n'a pas réès|§ à empêcher la chute de la dyjjastie, "iï-ne s'ensuit pas que l'influence qu'il pouvait avoir sur les masses ait paru négligeable: puisque, quand les révolutionnaires parvinrent au pouvoir, leur premier soin fut de mettre la main sur les postes et, télégraphes, les banques et le cinéma. Les camionnettes, réquisi- tionnées, continuent à parcourir leur itinéraire d'autrefois. Les mêmes équipages s'arrêtent dans les mêmes-'villages. El la même foule assiste au spectacle. Il- n'y a que le programme qui ait changé. Dieu nous garde do parler de politique. 'Ce n'est pas à propos de la prochaine campagne éleciorale que nous ventjns-ïairc'i^lo-ge'du cinéma," ôfg'a'rïè 'de" propagande,.

M%i4- on s'inquiète depuis si longteifps]du> rôle que peut jouer l'écran daifa ^éducation des populations rurale?,_oil..s!o.acuj)e depuis tant d'année& d'organiser dans les écoles, dans les mairies, «dans des salles privées, des re-; prc'seiilàiibns susceptibles de, faire connaître aux cultivateurs'dTîs choses qu'ils ignoreraien-t-foujouïs '.sang :lÇ" cinéma, qu'il nous apparu' utiltf d'nillftiùereu est une question à propos de laquelle on parle,et ,on écrit beaucoup, e.t;.qui pourtant est fort mal connue..

PeteoiBTC ne songe à nier que' le cinénia'îfôi!; a là- campagne, rendre Les'plus grân'crs!"serviçes, à de multiples points de VÛK Seulement, il faut. qu'il y aille. à la campagne. Et^pour qu'il y aille, peutêtre pourrait-on comprendre qu'il est nécessaire de l'aider. De -l'aider- de façon efficace, de ne pas -donner de coups d'épée dans Peau, de ne pas gaspiller de crédits, de-faire un bon usage de l'argent dont on dispose, et do ne rien faire du tout si l'on ne peut pas," avec ce qui vous est alloué, réaliser le programme" qu'on s'est tracé. On a parlé de doter chaque instituteur d'un poste, cinématographique. Pauvres instituteurs Le métier d'opérateur exige, qu'on s'en rende bien compte, un sérieux apprentissage. L'entretien de l'appareil, celui des films,- .demandent du temips. Les maîtres d'école ont-ils tant de loisir? `? 7'1 ""Vl Et combien cela coûteraU-îl ? On se' fait, dans le public, bien. des illusions sur le pris de revient/d'une^ séance" de cinéma. ̃̃

iQuand cette ̃ séance est donnée par un poste ambulant, un groupe électrogène, et capable, conséquemment de s'installêr-n'importè où, se fait-on une idée des dépenses qu'elle occasionne

Le hasard veut que. le signataire de ces lignes ait été, durant, plusieurs années, chargé de- dipigeF 'U«C£des.4o;uraées de l'oeuvre du Cinéma la Campagne, créée, avant l'armistice, par M. Paul Kestner, reconnue d'utilité publique, -et qui s'efforce, depuis sa fondation,- de « développer l'éducation professionnelle, morale et sociale des habitants des campagnes » aussi se trôuv'e-t-il à même d'avoir, sur la méthode1 employer pour atteindre le public' q'iîil s'agit de toucher; des données plus précises" que quiconque, s'est contenté d'examiner la question du fond d'un bureau, ce bureau fût-il le bureau d'un .ministre.

Quand, en décembre '1917, M. Kestner décida de créer, avec l'appui de la Conférence au village, l'œu-vre du Cinéma à la Campagne, tout permettait d'espérer que son initiative aurait les plus-heureux résulfâts^A. ce moment, en- effet-, desca-

mionnëtte'à"cont'enaût uii "poste c'hïéma-

togra.phique, analogue à ceux qûe,,nous I avions si souvent vus aux arniéfe, et parfois sur des points où les représentations, toujours données en plein air, étaient écourlées par une intervention inopportune de l'artillerie ennemie, parcouraient la France, en service comimandé, et donnaient des séances qui avaient le plus vif succès. Ces camionnettes, Iquiçées par le gouvernement, avaient .'dans' leurs coffres de fort beaux films, dont la projection, faite à l'aide d'un matériel impeccable, émerveillait les popujtlalipns qui avaient' été privées de ciné:maj: pendant des années.

pi. Kestner et les personnalités qui se joignirent à lui pour créer l'œuvre du ^(•$inéma la Campagne », M. Adolplé Carnot, le général Pau, M. de Vo:gùé, M. Victor Cambon, M. Georges Lecomte, M. J.-H. Ricard, etc., voulurent; en, poursuivant un autre but que la pré- "l' sidence du Conseil, qui cherchait on' était en guerre à raffermir le moral clés gens de l'arrière, employer le même, • moyen de propagande pour contribuer af'r'elenir le paysan à la terre. Ils ima- ginèrent de donner aux villageois des programmes cinématographiques, ingénieusement composés, dans lesquels l'u- tile se mêlait à l'agréable avec, et cela e'st nécessaire, beaucoup plus d'agréable que d'utile. Entre un Chariot et un Riga'din, on faisait passer un iilm reproduisant les méfaits de tel ou tel insecte nuisible, tel que la Piéride (oit chenille) du chou, ou Ue Hanneton, un film donnant de façon saisissante une idée des services que peuvent rendre les tracteurs agricoles, ou initiant les spectateurs aux mystères d'une culture nouvelle pour eux.

Le succès, comme on l'avait prévu, fut très giand Chef de tournée, chargé de piésenter les films au, public, j'avais à; expliquer, eir- quelques mots très sïrri-pîes, ee que nous voulions ::monfrerauxv Jubilants, des villages qu'unanatériel arn-:

bukmt tuui^paite a bord d'une minj.i'

:I,?,~Ün.nL' t.rL~ri":spf(rté,.ù automobile, e, Ín~ll}ls-,

ttiUw iamionfie\tC' automobile, pe*mf4-i-

tot^le donner'4*ns n'nnpoite $fy§fr lo-

;41,' '¿,tt,(,l, on, '¡,l~X!:(l"Ü~ IL~illi k~ 0 r u );

cal^en plein an* au. biSbia, uue&^fe^1.,

cipÉ'maioeiaphj4i'e ajift5S$«ii8|^K 4 i^P*'

pw^y^e- vue .itU^^neai&^S&pi^l't

wéréans uir « pawco^eôï" taire'. iemarqueif qu il < I ut nuli-le il m-

voquei paimi le^ Maison qui pou -sent

le campagnard à aller chercher toi'liine

a la \illc, i'allrâîl'qn'Lxer'ee le cincma faire enfin tonipièndie que lions ne son-1 'gions pas, nous, Pailsieris, à-uiJprendie 'leur métier aux ugriculUnus, que nous ne venions pas leur enseigner a planter leui s thduv, mais q-ue, devant un public titnal, nous nectOYions pas si lîdicûlë de; donner 'dés films d'un intérêt vrai dire passionnant, mais qui auraient pu n'être pas appréciés par des citadins, que les moyens de-défense à employer contre les ennemis des potagers risquaient de laisser -indifférents.

Avec le temps, la situation s'était' modifiée. Les tournées gouvernementa- les, qui coûtaient fort cher au budget, disparurent quelques mois après '['armistice. Des forains, impressionnés par l'accue,il favorable fait par le public aux séances de cinéma données, aux frais des contribuables, avec un matériel de premier ordre, imaginèrent d'acheter, aux marchés aux puces, des appareils de projection et des stocks de films en solde, pour pouvoir, sur leurs roulottes, faire peindre le mot magique cinéma. Des représentations pitoyables, déçurent bien des spectateurs. Et les délégués du Cinéma à la Campagne eurent parfois fort à faire pour convaincre des gens qui s'étaient juré de ne plus aller dans une salle de projection qu'ils n'auraient pas à regretter d'avoir assisté à notre séance.

Mais, une fois la représentation terminée, nous n'aurions plus à nous mettre en frais d'éloquence pour faire comprendre l'intérêt de notre œuvre. Nous in-'entendions-que.: des paroles de félicitations et d'encouragement.

Les instituteurs nous ont toujours prêté leur concours le plus dévoué et nombre d'entre eux ont écrit au Comité central pour dire le bien qu'ils pensaient de nos programmes. Thème pour eux de multiples leçons.

Du reste, l'œuvre du Cinéma à la Cam- pagne, créée'par des" gens qui, de gaieté de cœur,, sacrifiaient à, leur-amour de la terre dcvErauoe une. partie de leur fortune, ai Irbuvé partout des apjiuis cha!eul'eux, mais-qui ne lui' ont fourni,- ipal-: heureusement, 1, qu'un '801111611 moral.' Elle n'a jamais été subventionnée. Peut-elfe une fraction, une ifaibl'o fraction des 500,000 francs votés dernièrement pour renseignement cinémui''Lûgraphique dans les centres ruraux, viendra-t-ello lui apporter un peu d'ai- de. Mais, et c'est là 'le point sur lequel je crois utile d'insister, même si l\> gou- vernement verse quelques billets de mil- le à une œuvre dont j'ai pu apprécier mieux que personne l'utile influence, on ne. sera pas quitte envers ceux qui l'ont créée, qui ont réussi à ne jamais en .interrompre le fonctionnement, quelques obstacles qu'ils aient rencontrés, et qui,.aujourd'liui encore, poursuivent, sous la vigoureuse ,impulsion du secrétaire général, M. Achille Segard, une «campagne dont aucun Français n'a ledroit de se désintéresser.

Emile Darsy.

r;' -V l «JvXa/

L'impôt sur les cercles Le ministre des Finances vient de- prendre un décret réglementant l'imposition, des cercles privés. Cet -impôt se montera à: 20 0/0 sur le produit brut des jeux de hasard, jusqu'à un million 30 0/0, de un à deux millions 40 0/0, de deux à trois millions 50 0/0, de trois à quatre millions, et 60 0/0 au-dessus de quatre millions.

Les sommes perçues seront réparties de la façon suivante^: fO OJO à l'Etat, 20 0/0 aux "oeuvres d'assurance," de prévoyance ou d'hy•giène. (loi-de, 1.907). et/ 40 .0/0 aux dispensaires (de "çréserv.ation 'antituberculeuse et aux .'organisations de lutte anficancéreuse.

r-

ÇA ET

̃4- Un quartier-maitre infirmier de l'hôpital maritime de Cherbourg, nommé Guillou, s'est, spontanément offert pour une opération de transfusion du sang, qui a sauvé la vie d'un malade. Le service médical a démandé une récompense pour le brave Guillou, qui est originaire de Douarnenez. ̃+. Le navire-école italien Vespuccl a quitté Marseille hier pour poursuivre sa croisière .en Méditerranée.

.+̃ M. Scheffler, chef de cabinet de :M. Gaston Vidal, sous-seerétaire- d'Etat à l'efl-

seignement technique, a reçu, hier, rue de Grenelle,- Ies-100 contremaîtres et collaborateurs des principales' industries d'Alsace et de Lorraine, qui sont venus visiter Paris. -♦- La semaine de motoculture de 1923 aura lieu à Essonnes-Corbeil (Seine-el-Oise), du 22 au 30 septembre. Cette manifestation sera organisée par le comité intersyndical de la motoculture, sous le patronage du ministre de l'agriculture.

-♦- Une délégation de soixante élèves de: l'Institut supérieur de Gênes a été reçue a à la Chambre de com'merca de Lyon. Colonies de vacances Pitié ..pour les enfants pâles et chétifa que -volts croisez dans les villes P.itié powi'eu* Donnez-leur l'air pur et le soleil qui ramèneront dans leur âme Ja saine gaieté, et sur leurs joues les belles couleurs, tout ce que l'existence anémiante leur a, depuis longtemps, ravi. Pitié- pour eux Créez partout des colonies- .de vacances 1,: 7

Cet appel qui fut lancé avec tapât deforce,- il y a plus de trente-cinq Ans, ne pouvait,- surtout à Paris, ne pagâ&lre entendu. Un grand' nombre d'çéwres furent. -fondées- Nous citerons aujourd'hui •quelques-unes de celles qui «ont "nées à Paris. Les municipalités çtèM: vingt arrondissements y réponqpèht tout de suite et, chaque année, ^'partir de çe, moment, el les établissent^vac l'aide desi édiles, des colonies de" 'vacances en faveur' des enfants dontyles parents, eq raison de leur situa.tiog^difficilë, s'adressent, d'habitude, à>.fâ sollicitude des institutions de bieftfaisaiïce.

L'Œtmre MutuM'e des Colonies de Vacances vint ;sèc*onder l'œuvre municipale. Créée en.l&93, par l'Association des Instituteurs elle a aujourd'hui 'pour présidejife.Mme Y.-Henry Pâté et pour d'im'iiiibtiàteur M. Léon Mourre* dnecteius-aUr^colô 24, rue Saint-Sébastien. jtJ|MSS|&ni«c, tous les ans, des colonies E^Jfek enfants des familles que jlpup e(|ii|||rce ou leurs occupations i e« tièYm t)hf JjWans. Suivant la situation des 1 m n|s- J$j1' garçons et les filles peuvenf die jiou-.ji'iiiikures, demi-boursiers oii J j o 1 1 1 1 i Le nombre des bénéficiaire^ lifboui^e ou de demi-bourses est limi< te, bien entendu, -au\: ressources qui sont. loin mes a FORuvie par de généreux donateuis. (Mais» a quelque catégorie qu'ils appartiennent,5- les petits colons sont traite- sur kvrited de l'égalité la,

pl-us absolue. 3\{.:

Les colbnies de l'OEuvre Mutuelle sont installées, potfr trois semaines, à VermondoH,pi'ès Pont-de-Roide, dans l'un des sitesSIes plus pittoresques du' Jura a Saïrit-S'ervan el à Berck-Plage. Les enfants sont placés dans les ineiL, leures conditions hygiéniques possibles, logés dans des. bâtiments spéciale-* ment aménagés. Rien n'est négligé pour leur rendre le séjour profitable et agréa*

'ble,- .f-

•'̃>*•

M. Léon Bailby, directeur de VIritrari,* sigeant, écrivait,(il y a vingt ans exactement le 16j|iiuV 1903

« 'ieç; n'at jâ|i|a:i-s;;pu voir, sans un serrement' de; èéîiliyies gamins s'arrêter:' dans les faubourgs devant les grandes' affiches qui célébrant les beautés de la mer et de la c-ampagine. Ce n'est pas pour les enfants pauvret que ces placards aux couleurs vives chantent l'invitation air voyage. »

M. Léon Baiiby- créa donc V Œuvré des Quinze jours de Viacancfs. Un mois et demi plus tard, il envoya gratuitement à la campagne 20i deux cent quatre petits Parisiens dont la plus grande partie n'avaient vu d'autres ar. bres que ceux des boulevards et n'avaient peut-être même, jamais foulé du!

tions. '̃-•̃• -̃-•• Et depuis yingl ans, chaque luinçe ̃'+sauf .en;'l9i4^t en iOiS -radmirable fondation qui s'appelle aujourd'hui V Œuvre des Pupilles de l' «• Intransigeant.» a exercé :'so,n: action .bienfaisante, ce qu'un de nos confrères anglais: désigne d'une façon elKiirniant'e: sou» lo nom de «labeur d 11100111' »; Lps"ÎD€néiiciaires sbilt choisis dans .ïe.sMfaniill.ès ndi.irc!.i5es néce'sï-iteuses et frês-ultéîntes par la.guerreJls souj, habillés, Inarispni.tés, Dourris et logés gratuitëniëiiL Ils v'vfiutrpetad'iot trois semaines d'aa-a une très belle propriété que la.Buniiçipalité de Cancale a mise a leur diâposîlion et què VIntrdnsig'eant a" aménàgéo pour qu'ils trouvent^ dans cette iiiagM-'fique baie du Mont Saint-Michel, "conjcirt et agrément.. ;• Cette année, il y aura, non-plus deux,. comme- les années précédéntesi^vaHiads trois colonies. La première a;quit|.èi!Paris le 10 juillet, le% deux- autres partiront pour Cancale le lor èt;:le'23 août. Deux cent quarante enfants: auront ainsi de belles vacances. ̃̃ .•>

Beaucoup plus jeune très jèiuîe même, car elle est née seulement au' mois de juillet 1922 est V Association des Centres- de Vacances en Montagne. Mais elle a déjà, rendu de signalés services. C'est qu'elle a été créée par un homme ,vaux çojicep'tioris" hardies et g-tii;,m4.totat t ^èn œtivrepour les réàliserrM. Rey-Ôalliet, inspecteur principal de l'éducation ̃physique dans,- le dépàjFte'me.nt*iai Seine,

Le premier centre a été ouv:ert au mois d?août 1922 dans la caserne Saint^luthj'à €hambéry. 120 garçons et- 40;firièl'y;ïëçurent une éducation* ph'yliqjne .çotnpïe'te, dont le programme àyâiÈété éiablr^e'n laissant beaucoup de place .aux^tr^vaïlk manuels, aux jeux au grand air" !lUx, ÍÜ'9nienades et aux excursions-Ils .y furent entourés de soins éclairési Ils nestèrent àiChambéry jusqu'au 23 septembre. Au. moment de partir pour Paris, taus avaient' gagné en poids, beaucoup avaient grandi de plusieurs centimè.trés, et chez tous la capacité pulmonaire avait notablement augmenté. ,;? Cette année, il y aura trois centres' le' premier sera au château de -S|iiitLouis-du-Mont, à Chambéry le deuxième, à Annecy, et le troisième à Montmélian.

L'organisation des Centres de vacances en montagne est si ''parfaite, -là -.Savoie est ^si' belle et les spectacles- M 4a. nature y ont'un tel caractère d.e' gran-

deur, qu'il ne faut pas, se'. montrer: Sur-

pris en apprenant,, que" .Mi Réy^GQU|ét reçoit un très grand nembro de- deniaiides d'inscription." i ;• >v !v: -r ,:̃;̃•̃ Juleâ Laurent.


HGADEPEJWÇRISE 1 Six membres seulement à la séance d'hier 1(5 maréchal Jotlfre, MM. René Doumic, Maruel Prévost, Henri de Régnier, Ju- l les Cambqn et Pierre de Nolliac.

L'Acadé.tnie a déclaré la vacance du fau- teuil de PJ^rre Loti elle accueillera; donc dès aujourd'hui les candidatures à ce fauteuil.

̃ Le prix de 1,000 francs fondé par Mme Hélène Porgès, qui était destiné, pour la .première fois." h l'auteur du meilleur livre I racontant la grande guerre aux enfants dp. France », n'a pas été décarné en 1923, la commission chargée (l'examiner les ouvra-. ges présentés ayant estimé qu'aucun ne convenait bien aux. lecteurs auxquels lu fondatrice les avait, destines, c'est-à-dire « aux enfants » de France.

Le concours a été reporté à I'.t2-i. Les ouvrages devront être envoyés en plusieurs exemplaires au .secrétariat de l'Institut avant le 1" janvier prochain. Ils pourront être dactylographiés.

Le prix Monbinne de 3,000 francs a été décerné, ainsi que nous, l'avions indiqué précédemment, a boire excellent collaborateur et ami l'historien Paul Gaulot. La séance a été consacrée à la revision du Dictionnaire. On en a fini avec la lettre I, et l'on a abordé la lettre J avec les mots jabotage éi iacaiserié, fort discutés. .•'̃ Ch. Dauzats. Gazette des Tribunaux L'affaire Vaillant-Couturier-Cachin MM. Vaillant-Couturier et Cachin, députés, et M. Péri .avaient, pour des. articles parus dans le Conscrit et provoquant des militaires à la désobéissance, été condamnés à six mois de prison et 2,000 francs d'amende par défaut. Ils avaient soulevé maints incidents de. procédure récusation de M. le président Lemerciel-, incompétence du Mbulieflv.– tous avaient- échoué. Il leur fallait donc ou exécuter leur peine et aller en "prison, -ou faire opposition au jugement. -Naturellement, ils ont préféré ce second moyen. MM. Cachin et Péri ont donc frappé d'opposition le jugement dfi jléfaut M. VaillantCouturier ne. l'a pas encore fait.

MM. Cachin et Péri étaient. cités à l'audience d'hier devant la 11e Chambre mais pour que M. Vaillant-Couturier puisse être ̃ jugé en môme temps, le tribunal a remis l'affaire au 4 octobre.

"~l **••:̃

Accident d'auto

L'été, les vacances vont faire redoubler la folie de la vitesse des automobiles et par 'conséquent le. nombre des accidents. Les conducteurs feront bien d'être prudents, car tes tribunaux sont avec raison sévères, et donnenfde la prison sans sursis.

M. André Gilles revenait de la ̃ forêt de Sénard c'était la nuit et il traversai t. "en- automobile Maisons-Alfort. Soudain, il beur-

te une voiture ù bras que poussaient trois petits enfants dont l'ainé, Clément Duval, avait douze ans. La voilure à bras ne purtait pas de lanterne. C'était évidemment une imprudence mais par contre, M. André Gilles allait trop vite. Dans le choc, il blessa un des enfants et tua 'le petit Clément.. 11 ne s'arrêta point cependant et çonlinua sa route. Mais un brigadier de. gendarmerie monté à bicyclette '"l'avait aperçu. Il lui cria d'arrêter M. Gilles n'en fil, rien. Le gendarme se lança à sa poursuite, et trois cents mètres plus loin il put le rejoindre. Soiiant son revolver de sa gaine, il s'écria ii' Arrèlc ou je lire. »

L'auloniobilisle s'arrêta enfin. Il a comparu hier devant 'la l'A' Chambre1, et après plaidoirie dev M0 Tourey-Piallut cl de M" Yi'hé pour la partie civile, il a été condam- né à huit mois de prison, 1,200 francs de dumiiiages-inlércls envers l'enfant b'ssé, et 12,000 envers la famille de l'enfant lue.

L'affaire Caïtucoli

M.; Caittieoli. député, avait été condam- pur la 10e Chambre à une amende pour ̃hausse illicite sur les lards du ravital'lenienl. Hier, après plaidoirie de M" Leinéi'y,.sénnl,our,il a élé acquitte par la ̃ ̃')" Chambre .du la Cour que présidait M. Rouchardon. Georges Claretie.

Le voyage du bey de Tunis Le cuirassé Lorraine et les torpilleurs Burij, Casque, Cimeterre i'i Miuujçnj, ap- ) pareilleronl, de Toulon le 27 au matin et .mouilleront à Porl-Vendres dans l'aprèsmidi. *̃̃• ̃•.•̃' ̃ > ̃̃ Le bey de Tunis sera salué a. son arrivée à Port-Voudres par le contre-amiral du

Couedie de Kérékant. accompagné de son ai-

de de camp. Le transport du bev, delà ter-, ̃v* à la iMiruine, sera effectué par. le Chas-'seui'-il: qui défilera entre les deux lignés de torpilleurs. ̃ ̃̃̃

Le cuirassé Lorraine appareillera aussit«H et les quatre torpilleurs lui feront escorte pendant la traversée.

Encore une disparition mystérieuse

o

Les- polices anglaise et française s'inquic-tent, de la disparition d'un Américain d'origine irlandaise, M. Cash,- qui, très fréquem- ̃ ment, venait en France et eu Angleterre pour ses affaires, et était très connu à Boulogne. Le 2 juillet, on l'aperçut qui se promenait avec un inconnu, sur les rochers entre Bouloghe et Le Porlel. Depuis lors, on ne l'a pas revu.

Dans la chambre qu'il occupait dans- un grand liùiél.de 'Boulogne, tout est en ordre.. Ses bagages n'ont pas été enlevés. M. Cash est un homme d'une cinquantaine' d'années, de taille moyenne. Il est complètement rasé, a les joues creuses et les yeux enfoncés. il'parle anglais avec -un -lé- 1 ger accent américain.

LE GOUT CHEZ SOI r.; t- n|

VOUS MADAME. 0

MIROIRS

c Mon plus cruel ennemi est là, d'ans ma chambre. » Cruel ennemi, soit Pourtant te miroir reste le plus fidèle, le plus indispensable des confidents. Il n'est pas un événement heureux ou malheureux dont on ne soit tenté de regarder la répercussion sur le visage. A quel objet fait-on appe) àlors? Au miroir. Sont-ils assez éloquents ces miroirs devant lesquels, depuis le commencement du monde, la femme se contemple. Dans l'antiquité, le miroir de mêlai ne réfléchissait qu'une ombre.

Ce détail, en apparence insignifiant, a dû assurer aux hommes de ces époques lointaines une singulière tranquillité. Il est certain que le miroir, complice de nos fantaisies, reproduit avec une justesse implacable les moindres détails de nous-mêmes. C'est donc à cause de lui que nous avons désiré 1 la perfection de notre visage, ce qui multiplia les. crèmes de beauté. C est encore à cause de lui que nous sommes devenues exigeantes quant à la forme impeccable et la coupe irréprochable de nos robes. Cette recherche nous peussa naturellement chez le grand couturier.

Que ne revenons-nous aux miroirs de cuivre? Vues dans l'ensemble, nos silhouettes conserveraient la ligne désirable, l'illusion serait sauve, le bonheur aussi et nous ignorerions les rides prématurées qui nous désespèrent. Le miroir, par définition, est l'apanage de la femme. Pourtant il est utile de rappeler que Démosthène étudiait ses effets oratoires devant son miroir. De nos jours, s'inspirant évidemment de son illustré prédécesseur, un homme politique de haute envergure fut surpris, par des familiers inattendus,; debout devant sa glace, à la veille d'une joute- part-l lementaire. Silencieux et tapis dans l'ombre, les auditeurs extasiés attendaient la conclusion du discours qui se développa avec éloquence et gestes appropriés.» '1 L'orateur se complaisait dans son image lorsque les applaudissements éclatèrent de toutes parts à la con-< fusion du futur ministre.

Au couvent, on assure aux jeunes pensionnaires qu'elles verront tôt ou tard le diable si elles se regardent dans un miroir.

N'y a-.t-il pas dans cette observation un reste de la superstition de jadis, au temps où les astrologues lisaient il avenir dans les miroirs? Je ne sais. Mais ce que je sais bien, c'est que la glace est un élément essentiel de la décoration, un accessoire élégant dont la femme ne saurait se passer. Aussi haut que l'on remonte dans l'histoire, le miroir 'a particulièrement appelé l'attention des.ciseleurs et des orfèvres.

Enrichi de pierreries, la femme l'a désiré précieux parce qu'elle 'voulait un cadre adéquat à son image elle l'a,voulu aussi toujours auprès d'elle, et jusque dans la mort, puisque dans les sarcophages, que le progrès profane, le miroir est là, à portée de la main. •̃ ̃-̃ Mais, si beau que soit le miroir, quereflète-t-il? Le visage seulement, alors aue mieux; que le plus

'i

iieau des miroirs les yeux reflètent 1 âme dans 'toute sa pureté.

Georgette Varenne.

JF>IE1rll1r GOURMEE

l,o merveilleur Crochet X-u'aliùnc pas; les murs il remplace tes clous.Se fixe avec une aiguille i'l porte lit à ;'ù lui. Venle imiïouj et. Anglo-Frem/li-Tiail, 37, r. d'Kngliien. Méfiez-vous- des imitations.

N. T. Km réponse à votre lettre, je niViupresse de vous faire savoir que nul produit ne netloyera aussi bien vos glaces cl les cristaux de. vos lustres que, le Lavcnin.il AV.tild'ys.Yous vous procurerez ce produit vraiment incomparable :U>, rue de Madrid ;tél. W'agnmi iVM'i). !>$. Désire vendre quatre' .gravures xvm°, ̃giii'iiiilics anciennes, encadrées. Prix à. débattre. M. de V. Vendrais m. prix très intéressant ̃petite yluce Louis XV bois doré.. Donnes cohdi- tions.

̃ S. I). Désire me défaire d'une pendille- buis Directoire, motifs dotes. Personnages. 950 fr. Très pressé.

̃ M. A vendre trumeau Directoire bois sculpté vert et rosé. fruits sculptés. Occasion unique..

M. Désire me défaire table à thé laquée noir et or, style chinois.

Les accidents de tourisme Les victimes de l'Automobile Une automobile dans laquelle se trouvaient. M. Jean Laffile, chef d'entreprise à -Bayonvillc, et son chauffeur, M. Ramousset, a etc. tamponnée au passage à niveau de ̃Lay-8aint-Cl)ristQphe par un J.rain allant de Château-Salins à Nancy.

M. Laffile a été sérieusement blessé à la tête; .son chauffeur a le bassin fracturé et a été transporté à l'hôpital de Nancy. Près de Corbigny,: l'automobile de M. Paul Ginay, notaire à Saint-Sauveur (Yonne), est entrée en collision avec l'automobile de -M. Mingneau, de Saint-Revcrieu. Les deux conducteurs sont bless-és. Les voitures sont endommagées.

Des enfants du hameau de La Neuvillètte (Eure) revenaient de l'école quand ils virent arriver dans leur direction une automobile.

Une écolière, la petite Jeanne Boulard, s'étant réfugiée dans le fossé, sur la gauche de la-route, l'automobile, que conduisait- M.Debray. directeur 3'unbal parisien, revenant, de Rjva-Bella, avec deux ainis, obliqua tout à coup dans cette direction, blessa à la tête l'enfant qui fut tuée net, puis escalada le talus et a.. a heurte!" un pommier contre lequel s'écrasa l'avant, du .véhicule. Les trois ̃occupanjs sont indemnes^

1

Amérique Latine En Argentine

L'Argentine à l'exposition de Rio

Buenos-Aires, 25 juillet.

La République Argentine a tenu un rang rcniai'cjuable à l'exposition de Rio-de-Janeiro qui, comme l'on sait, vient de fermer ses portes.

Les produits argentins, en général, ont retenu t'attention des visiteurs. Le jury de 'l'exposition a, d'ailleurs, reconnu Jes efforts de l'Argentine et, dans les 108 prix qu'il a attribués à ce pays, figurent les plus liantes récompenses, notamment dans lu section des industries diverses.

En Colombie

(De noire correspondant particulier) La banque Lopez z

Bogota, 25 juillet.

La banque Lopez suspendu ses paionicnls, l'alarme se répandit dans le public ainsi qu'une méfiance injustifiée envers les .'iulr.es banques, qui jouissent d'un crédit solidement, établi..

Situation normale

La situation est devenue complètement î ormale, comme suite des mesures prises par le gouvernement.

Banco de la Republica

La nouvelle banque d'émission appelée Banco de la Republica », qui fonctionne cepuis quelques jours, a contribué dans une large mesure à cet heureux résultat. t. Lettre du Mexique

(De noire correspondant particulier) Les rapports entre l'Amérique du Nord 1. et !e Mexique

M. Eugexio Garzox,

Le délégué américain M. Charles R. Warrcn,. ajirès la séance d'hier ail soir, nous a déclaré que de toutes les affaires traitées dans les conférences, jusqu'à ce jour, ce sont celles d'hier, justement, qui ont le plus d'importance. Maintenant plus que jamais on a Téspolr d'arriver' à un résultat satisfaisant.

On a discuté, dans cette dernière séance, sur la forme qu'on adopterait pour faire connaître au public des deux nations le résultat des conférences Mexique-Etats-Unis. On affirme que celles-ci sont sur le point d'ètre terminées et que la déclaration de leur' clôture se fera savoir dans deux ou trois jours.

Entretien des délénués avec le Président Obregon

Les délégués Warren et Payne ont eu. dans la nuit de mercredi, un long entretien avec le Président de la République et avec M. de la Huerta, au château de Cliapuctepec.

On attribue à cet; entretien la plus grande importance. 11 commença a 9 heures du scir et, s'acheva à 1 heure du matin. Les délégués américains paraissaient très satisfaits. L

Malgré leurs déclarations optimistes, on

n'a pu savoir rien de concret au sujet de la manière de l'arrangement.

Réunion du Conseil des ministres

On nous a affirmé, hier, que le Président, de la République, avait convoqué ses m ici s-,très mais, bien qu'il ait circulé des rumeurs que dans ce conseil on ferait coiinaître les résultats, rien n'a été encore confirmé, j

Il y a plusieurs mois que le Conseil des ministres n'a pas été réuni. Cette coïncidence fait donc supposer que la îfiuniou d'aujourd'hui a pour but de traiter le grand

problème international. 1.

Dans les sphères officielles on a pleine, confiance en l'heureuse terminaison des conférences. On nous a même assuré, hier, que les points essentiels traités ont eu l'ap- probation des deux partis.

La question agraire et le pétrole

D'après les renseignements que nous avons pu recueillir dans les sphères gouvernementales, nous pouvons assurer que les points de vue sur lesquels l'accord, est fait sont la question agraire et celle des -pétroles. Forme de paiement de la dette

Le gouvernement des Etats-Uni?) est satisfait de l'arrangement. passé avec te Mexique, pour le paiement de la dette extérieure. Il, en est de même pour la solution, du problème agraire qui a l'approbutioiï; des Nord-.

Américains.

Paiement des bons agraires

On est convaincu que si le gouvernement mexicain parvient à remplir les engagements stipulés dans le contrat de la HuertaLamont et s'il solutionne 'd'une manière satisfaisante les divers problèmes nationaux on aura bientôt un crédit suffisant qui permettta de payer les bons agraires.

Déjà, par le fait ̃d'être reconnu par les Etats-Unis, le Mexique retrouvera son cré- y dit à l'extérieur et pourra, de cette manière, lancer un emprunt pour faire face à la question agraire qui est le problème le plus important du moment.

Réduction de la dette mexicaine

Il faut noter que le contrat de la Huerta* Lamont réduit la dette mexicaine de quatre cents millions à trois cents millions de pesos. Donc, notre pays pourra faire un emprunt pour cette somme qui sera employée entre autres à des travaux de reconstruction.

Obérer l'Etat avec trois ou quatre cents millions de plus, n'implique pas- un nouveau sacrifice pour le pays, puisque la dette de.meurera la même, selon le contrat de la Huerta-Lamont. Et avec cet énorme capi-. tal, notre situation économique s'améliorera.

Les déclarations des délénués

Comme les conférences sont sur le point d'être terminées, nous savons qu'on a commencé à formuler la déclaration officielle des délégués. Le peuple mexicain et le peuple nord-américain sauront ainsi à quoi s'en tenir.

Les délégués américains feront, de leur côté, des déclarations avant de retourner à


Washington. Ils mettront ainsi en évidence leur satisfaction des résultats obtenus. De cette manière, le président Harding aura entre les mains toutes les pièces pour pouvoir concéder la reconnaissance du gouvernement mexicain.

Et.il n'y a pas de doute que cela ait lieu, vu les bonnes impressions qu'emportent tes délégués Warren et Payne.

Des esprits pessimistes prétendent que la reconnaissance du Mexique dépend de la politique future des Etats-Unis mais il y a lieu de croire que cette reconnaissance sera le résultat final des conférences, résultat qui se connaîtra, nous le répétons, dans peu do jours, d'après les déclarations des délégués,

.Veuillez agréer, etc..

MOCTEZUMA.

i^w^pa.^r– t. ̃̃̃̃̃•S/N^yV" ̃iiiMi.ii. n

ïïû accident dans le parc de Versailles Hier après-midi, dans le parc de Versailles, "le jeune Roger des Courtis, âgé de six ans, dont les parents habitent 121, boulevard de la 'Reine, à Versailles, traversait la voie des Trianons, lorsqu'il fut renversé par un tramway.

Relevé par les passants, le jeune garçon avait les deux jambes sectionnées. Il a été transporté dans un état très grave à la clinique de la rue Massart.

L'instruction

de l'affaire Seznec Scznee avait refusé mercredi de dîner. Hier, il a. été autorisé à faire venir des aliments de ^'extérieur, mais il n'a pas usé de cette faveur il se contente de la maigre pitance servie à tous les détenus.

M.. Carnpion, juge d'instruction, qui avait passé sa matinée à classer les pièces de son dossier, a entendu, hier après-midi, Mlle Quéineneur, sœur du conseiller général disparu.: Cette dernière n'a pu que répéter ce qu'elle 'a déjà dit. Elle ne connaissait pas Scherdly, l'Américain qui avait proposé à •M. Quém'eneu'r l'affaire des autos Cadillac et n'a pu donner au juge aucun renseignement, sur cet énigmat'ique personnage. J/ai toujours eu l'impression, ajouta-telle, gue mon frère ne jouait pas un rôle de premier; plan dans cette affaire. Il apportait ,un concours financier, et c'est tout. "L'Américain" existe=t=H ?

On se demande aujourd'hui si ce n'est pas Seznec désireux de s'emparer de l'argent que pourrait se procurer M. Quemèneur qui a inventé de toutes pièces Schei'dly et l'histoire des autos à rassembler ̃«, Paris .pour des vendre au gouvernement des Soviets.

M. Quemeneur avait grande confiance en ..Seznec. il est fort possible qu'il se soit îaissô-duper par ilui. Semec aurait donc agi seul; et 'sans le concours de complices. ̃r. En pannes à Plouaret

Nous avons dit que M. Campion avait l'intention d'entendre quatre personnes de PkiuureL ..Sesaiee avait tout d'abord préteudu que, parti eu auto de Morlaix le 12 min. au isoir, il avait été arrêté par une i>a"rm-« au d.eià, do Plouaret. Or, l'enquête révéla. qucTincident s'était produit en t.eçà île cetle ville;, et l'on apprit, que la voiture s'étant iniinobilisée sur la route, l'industriel morlaisioiî avait fait appel au concours du liis Jacob -pour la garer sous un hangar" ce la ferme, distante de 150 mètres environ. Comrue 1uu« deux poussaient vainement. le vé(hicule, trop lourd, Seznec, d'un lourde ma.: nivelle. _'iujt en marche cette • automobile, qu'il' di.sait en panne, et, par un chemin creux, malgré de profondes ornières, il atIcignit la grange. Puis il partit a pied vers ,PI'ouitret,.aïih,' disaîl-il, de prendre le ira in pqur.: atteindre Saint-Brieue, il devait ̃ trouvai1 jdqs charbons de magnéto. Dans. la petite ville, place de l'Eglise, il .s'arrêtait .au.resliuiranl Nicolas où, tout en consommant, il priait la. jeune fille du pro-

POar ÙV\ f J^CRÈME SIMON être JWjJj #JL# MâAé Peaa encore raouillée.

peau encore Plouillée.

CHfiiR BONîT^Nord 0313 ^,M*IS0N DE CONFIANCE FONDÉE EN 1814 188, Entifaaw» §»-M«rtb. P.m.

Bf Y lUr^TT'raGi'C1 X^fcTT TT7TTTM ^>G± TXT XX X "M-jT-f"1 •€ Cà-f^*3fc

Jc~~L~JrTLSE~JcIt JLJ~<LJ ~JcIt~LJjL~JL ~St3 <J 'LJJLI!–<JL-~JElfJL jLo~~S<~

Il1 «M» T" •peoMtf Clôture Dernier I *w-kMr»– *«•̃̃. (i|4t«r6 fc"*1" ss*imev*-Aut- CUture Dernier Revenu Anurn-âÙT Clôture' Dernier Rewm rsrk–wx* Ami- O*ture Dernier Revem MARruÉ pM RANnriC cl5turt Der'll8''l«lAorHÉc ctciampcoc Clôture | ramier

I lÈtitt1 h TfciîtWIE prèoéd" cours! COMPTANT preoed" «ourt COMPTANT précéd" court brut COMPTANT prtcéd» cours brut COMPTANT oreoéd" court brut «AHunt E.N BAWyUb pr^i. mn |fl!AKbHcb t ThANUfcKb prérjéd'-l cours 311t8J\\3an<)U9 dèFranc». FONDS D*ETAT,$ Serbe S O/O 1913 5S K 75 M K. BANQUES 36 •• Dsnain-Anzin.- ;•• 2407 2425 TERME ̃tONDHES.-Se juillet I

22C38I de l'Algérie.. co Suéde 3 1/2 O/O 1895 •• •̃ LornaineMin"etMétall.35O'p. ̃•• •• •;••'•• e. 80/0 Fpançais, > 1/2 112

i SO'i Nat.doCrèdit,12S'p.(n.). {*" •̃ (iOi.. So/O .».» »̃> »'•* Suisse (Chemins de fer 1903) ••• Banque Privée'. ^i;1 ••. •• Mater, de Transport 31* 315. Mexique intérieurs O/O. S? 10 »* 0o 80/0 Français j 18 1/2 ,18 «2

~O' tlat.dGCrë>dit.,t25'p,(n.). ,60~ SOlO, iO A,tissa' 16 90 6..5 5uis.e(Cheminsde fer 1908}. 8anque Privée: -P- ;0: ,.6"° 35 Matér, de Tr.~sp()rt. 13~ 1315. Maxiqueintérieur5 0/0. os 33 0.> 80/0p1'anQals' ~81!~ .18.112,

42' t,p "• OIS •• 3 o/O Amortissable .̃•• te uu •• •• TurquieConsolidées •••̃• •;• -• 31 Créd.Fonc.c)'Algéri'Ti]ni5"t.p. <a»,i-i &f ̃̃ 8o Senelle-Maubeuge 1720 1214 3 0/0 34 05 « »U 60/0 22 1,* 27 l.'â

•'«S. tepaP,6 a Pnvs-Bas. '»«"-• 149H •• 3 1/20/0 Amortissable •• •• W 2tf Douanes 1902 l™ ̃̃ "0 •• «{̃• Société Marseillaise (t. p.). ^40 Balcou(Naphte de). J2oo X 00 4 O/O I9IT 201,221. 2tf Transatla^icuè »* ̃• 305 6 0/0 I9IS-1916 ?» 20 20 lo lu 10 Tribut d'Egypte •••• 135 | Banque de ClnSo-Chine 3B50 3800 ̃« Charbonnage, du Tonkin 5f2 S^S “•• Balia-KaraTdin 18i ..«2 40/0 191» .-21 l,a « 8;.ft. ;'5 H qe l'Union- '«arisienne.. «0» •• 0i0.. 4 0/0 1917 ii Priorité Tombac ••;•• ••• •• 5 50 _|nd. de l'Afrique du Nord ̃̃̃ ̃̃ ••-•• » •• Béthune (C" de), nouv. ^SS" Brakpan 23150 231 Consolidés ^,3/4 58 'Ji esT- cômoagnie Algfnenne.. U88 13»0 4 O/O 1918 « f 47 «Vu» Haïti S O/O 1910 •>l->- «î. |ndustrielle de Chine lat. .50.. 7o •• Dombrowa(Houillères).parts. U™ ̃• ajBO Caout-houcs (S'-Finanoiàrade) lW 169 •• Argentin 1886 n -09 ̃ SO-cÔmptnirNatior«ald-Er.oompte W03 1014 6 0/0 1920 Amortissable. «0 20 00 »0 Hollantte.1.896 8 2o Franoo-aaponaiss.- ?2? •• 831 2-92 Epinac(H = uillèresetCh.ferd'). |2^°. •• J«*" Chartered ,50.. « 25 Brésil 1889 42. 42. •»0 Crédit Commercial*» France. »>««.. a»* 6 0/0 1920 83 M e' a0 Mexique 4 O/O Or 1904 •• •• des Pays du Nor.H fTa tbW) Haute-Loirs (Houillères oe la) }^ 1770 CheminsOttomans (Lotstiirsa) 125 50 124.. Funding 711/ 11 1/2 an :•- –'Foncier <te Franco 18«o.. 1350.. Roumanie 4 O/O 1890 b7 •• 6B 11 Comptoir Central de Grédit. 180.. 173.. 50 ̃ Montrambert et Is Béraudiàr.e i"40 1040 5 sh.6 City Deep 208 50 *0u 50 Chine 4 1/2 79. 281/2 70.. Lyonnais, 1735 1720 Bons du Trésor 60/0 1922. <& 4ub Convertie.. •?« 42 60 Opédit Aigérien :••••• aU Saint-Etienne (Houillères de).. »;4 314 100 Ici. Calunjbia «ï 50 *;5 Egypte Unifiée. 7^ 73. ao\ Mobilier Français «•>•>-̃ i«2 •• 4923. *̃*> «s0 Convertie 1910- ̃•• *'•̃ *i •• •• •• Foncier Argentin i. p..• 250 2oj 40 Aniche(Mines d') ;Ho«.. 1154 Corocoro ord 36 50 ob 5U Extérieurs- 69. ()9 2260 j^riétéGénéraia.- "16.. 71U Oblig.Ch.ferEtat*°/OI9l2-14 •• «?•• Danemark 3 1/2 0.0 1901 ••; 40.. du Brésil ™0 ̃̃ 450.. «g •• -Anzin. l='6O 12U0 4 sh. Crown Mines 191 50 .f'Jl Italien 22 1/2 221/2

r001" 60/0I9I9-- 37b.. iio Santa-Fé 5 0/O ISI0 64i 650 deBuenos-ftires •• °f •• Blanzy, jouissance iiol 17.O De Beirs ordinaire l«38 i03» Japon 1899 GH. 081,2

omos'. 9180 U145 À(';queOccid.Frani;.30/OI9IO 325.. 325 uruguay Or 1905 150 Colonial 2220 2210 46 Carmaux nou». •• .13?.5 1325 20 eb. -préférence.- 1)23 -Ul» Portugais- 30: 30 43 'Vi "?. 8»8 •• 80B «nnnam-TonkSn 2 1/2 O/O 5U 90 S''C1# des Banque» deProvince 15 •• Carvin nouv 1070..1050 East Rarid 18 25 18 Russe 1908 8. a.. «5 'if" H22 1125 Congo Français 3 0/0 I909-. 3iO.. 348.OBLIGATIONS 45 S"G" Alsac" de BanqueSOO'. "70 15 CourHéres. «10 665 10 Estrelles '-31 50 130 50 1909 0 1/2 6 1,2

«S k(°.n 9fi6 Indo-Chine 3 10/0 1909 321.. J23.. 20-Dourges 230 1 D. Franco-Wyoming, ord- 214.. 214 Turc 4 O/O 22. 211/2

in- -SX; 1373.. 1373.. 3 1/21913 351.. 357.. |B65 4 O/O remb. à 500' 626.. 632.. ACTIONS INDUSTRIELLES 30 Graisfe5sao K5.. 250 3.1,. 6. Geduld :?: 235.. 235 50 Chartered- 12.7 w l2/7l 2 lût ÎP.t ̃ iOoO «045 Madagascar 1897 bl oO ;¡¡'7.. 1871 S O/O remb. à 400'. 342.. 340. «J– Grand'Combe. ,>. «J5 8iO Goldflelds Consolidated 71.. 7050EastRand 4/9.4'7!2 2 "o Çr'u ri/f-i' Fr Ch ferProv.). 2iti MO., 1903-1905 1875 4 O/O remb. â 500' 435.. 435.. 23 che m deferEstjouiss.•• 438 43t.6.. Lens npuv 396.. 305. Hartmann .262: 204 Goldfields M/1 U là, l 14

«» '̃' è*L noltoin dé'Paris 535.. 537 Mar0= 4 0/0 1914. 382.. mi.. <n |576 4 0 0 remb. à 500' 440.. 440.. 45 Lyôn/cuis».- 130.. 739.. 60.. u n ,ves.Air8s 1440 1440 50 Hotchkiss 94» .952 Jagersfontein 35,1^35/ltf

3(1' eW l'tao de Parts. ,,3u.. 0" Mar~z 4 0:0 1914. 8_ ,mo.. !!? IB76 4 remb. a 500 o~O.. ~W.. 40.. LyonjcuiSS. ,0.. 7,111. L,gny'le"Alees. 14(&Û I~,O.. 50.. Hotchk,ss.. 9,~9.. Jagerslonteln. 3 "/1(; 2 "ait,

«le^ropol,tain dedans ..s-50/0,BI8 437.. 443. œ lëgl 2 r/2 remb. à 400'. 220 219.. ^"j^iss ̃••••,• *45 «45.. ,«. Loir! (Mines de la)- 418.. 40i -1 sh. Huanchaca >.J.: 170' 178.50 Rand Mines 53 a 253/112 1* ̃ -Nord-Sud de rarw. Tunis 3 0/0 1892 267 50 207 « 1894-96 2 I /2 r. à 400' 219.. 217 75 75 51.. NordJ;ouiss.954 .964 1350 Marles 433.. 430.. 3 sh.6 Jagersfontein 259.. 255 Mexican Eagle 1UJ4 19/4 i «b'1-, TiiperaDhiaues 431.. 435.. Crédit National 60/0 1919. '»69 50 WO 1898 2 O/O remb. à 500' 262.. 260.. 46.. Oriéansjouiss. 664.. 679.. 40 Ostrïcourt 889.. 889 Kuala Lumpur 174.. 172 Royal Dutch 29 3,4 29. 40 r' S*> Parvienne d?ërectrlcitè. 210.. 701.. oblig. 500' S 0/0 1920. «0 MO g iegl 2 O/O Met. r. à 500' 246.. 245.. 2250 S™oiiss 319.. 324.. 18 vicoigne et Nœ« 622. 625 Lianosaff. J 48» 473 Shell 3 1,4 3 5/16 rtO .?, rrité(C" Générale d1). 1498 145!) Bons 6 0/0 1921 503 50 50175" |9042 M2 Met. r. à 500'. 256.. 258.. 30.. _Bone-6uelma «•«• 48j .486 Malacca. ord 159.. 158 Venezuelan Oil 1 1/4 1 t/4 1 H -É*0; viietGaiduNord. 429.. 429. 6 O/O IS22 i»».. i»9 »\ |gos 2 3/4 remb. à 400' 331.. 332.. 30.. Est-Algéi-ien l20 •• Algérie-Tunisie (Omnium). 4585 4700 MaltfofT. 359.. 359 Ttio Tinto 35. 35 5 8 '««:" ï1* ".nhiesaniFil. B70.872.. fi 0/0 1922 4892-5 41-9 50 ± |9|0 2 3/4 Métr. r.é400' 227.. 2835 ouest-Algérien 408.. «6.. •••• Boléo, parts 660.. 685.. 1 D.24 Mexican Eagle Oil. ord 8625 .85 25 De Beers 133/8 133/8 4K 12 g^Hoùstc.n. ̃̃• 842.. 848.. > 1910 3 0/0 remb. à 400'. 226.. 225.. i5 Parisiennelnd. Electrique. 300 31)2.. ••-• Bor (Mines de) ord JLJBO 1324 12 sh. Mexico Mines ofel Ora 343.. 3il Steel Common 98 98. w-TWimwnn ,|j|i|.(irtlEst 3B1 410 DéDartemlduNord6O/O 1921 472 50 ,9|2 3 o,'O remb. à 300'. 221.. 220.. 45 J L»aSins Généraux de Paris.. 831 839 140 ̃•• Mokta-el-Hadid. 5000.. 4875.. 4 sh.3 Modderfontein «B» 98.. 97 50 Anaconda 9/1172 9,1 1>> ôv"5rRei af C onsu ElecJeumont 482.. 4SI Ville d'Albert 6 0/0 452.. 453.. )Bi9 5 0/0 remb. à 500'. 3»4 393.. 40.. Eatfx CC" Gw) 1030 1025 151.. Montecatini 157 50 157 Marconi 23,3 2.8/8 8

l'Zr^ «34 622.. –de Reims 6 0/0 447.. 452.. |62I S 3/4 0/0 r. à 500'. 483 25 485.. 50 ïf ^-comprimé 1180 1165 •• Electro-Chimie Métal 701 MountElliott 53.. 54 25 NorthCaucasian «' 8/9

-j;y Boleo- 670 B(jç, de Verdun 6 O/O 447.. 445,. ,Q21 S Sl4010 r, j¡. 500'. ~63:;5 485.. 35.. riectricité de Paris 790.. 799.. 35 Natlon.t. Matières Colorantes- 664.. 655 Mozambique 40.. 39 Ï5 RussianOil il/3 |i'3 « podrnerei •- .395.. 395 Asturienne des Mines 519 75 515. Corn. 1379 2600/0r. 500 4ii 444.. 30.. p ^es Motrices du Rhôns- 830.. 822 •; Poulenc 895.. 925.8 Navigati" del'Afriquedu Nord 338 50 332 Malacca 2. 11(J 07 SO ^Ue>c's' '^L 1060 1056 Ateliers Construct. Jeumont.- 493.. 489.. Fonc. 1879 3 0/0 r. 500 467.. 467.. 46.. Téiéohones 1125.. 1149.. »7 «f Le Ripolin.Jouiss 2265 2269 NorthCaucasian 56.. 5650 Kuala 43/. 45/ \K ;Penarroi'a" 867.. 678 c1" d'Energie Electrique 464 75 w corn. 1880 3 0/0 r.â 500 467 25 4"72.. 60 MétaUx(C" Française). 1075 1075 2221 saint-Gobain.Chauny 3720 3810 .8 Padahg (Caoutchoucs) 326.. 332 ValparaiS3-(chang») 3vî 80 3(i 80 P.lâtine. 711.. 713.. Eglises dévastées •••• 453.. 455 -5 Fonc. 1883 3 0/0 r. à 500 272.. 2Ï3 22 50 Cuivre et Pyrites ••• 392.. 394.. «' al Soie Artificielle 3086 3985 1 Pékin Syndicate (Shansi) 5025 50 50 Rio 5 11,32 5 3/8 w. ?a?ro*î;ds,iPètrol«s 408.. 412 Q?csse Métallurgie 6 O/0- 449.. 445 ..< Fonc. 1885 2 60 0/0 r. 500 288.. 28525 45 .«mite (S" Central*).'»» 12 •• Usines du Rhône.. » 670 675.. 20 phosphates de Constantine- 42950 430 Buenos-Aire» 40 401/4 -• •.Financ.erB" 336.. 338.. 6 0/0 nouvelles 445.. 445.. F Corn. 1891 3 0/0 r. à 500 251.. 2M 2118 printemps ord.- ̃ »•*••«• 520 535.. 42 50 8alin3 du Midi 8iB 825 30 Phosphates Tunisiens 890.. 880.. S;Paris 77 70 77 175 jpetroles frerm 336 Cail Fives-Lille 6 O/O 475.. 47650 1892 2 60 0/0 r. 500 282 50 282 50 r. ~O Salins du Midi 8JO Randfontein 72 50 72 S/New-York. 4 5956 4 5975 on 077 «78 Nord, Pas-de-Calais 1922 470 50 470 -o Fsnc.1895 2 80 O/O r. 500 282. 292 14 p. Antiaious ̃•-< «. *°.. portdu Rosario • 5510 5575 5 sh.. Rand Mines 202 50 206 Argent(metal) 3o 7/8 30 7/8

ffi' iKuhlinann. 1016 10U Industrie Sucrièra Françaiss.- '<45 445 o: Com.1899 260 0/0 r. 500 27G 278 50 24.. Nor5 Espagne.•̃•• •̃• Chargeurs Réunis (parts) .702.. 712.. 4 sh. Robinson Deep A 133 50 Escompte hors hanque 3 5,32 3 '3/ 32

2'2.U~I.10.li..101~ 1 nd u strie is,A 1 sac i ans ~5. ffi,Com.18992600/0~,500 315 25 27~50 22.. Saragosse ~l .7 b1 Havraise~péninsulaire 7J2.. 712.. ~~Robinson Russian Oit. 47 75 ,lP50Escomptehorsbanqua. :2 "<1/3"2

-i .Gafsa. •-̃••̃ is.Froges 917.. 938 Industriels.Alsaciens 448 50 450 ïï Fonc. 19033 0/0 r.à 500 315 25 315.. 22..g goaae "•••• -2 -0 Havraise Péninsulaire » RussianQiU. 42 25 48 Prêts a.l/t 2 1/4"

produits umm. =.s 4K. 487 Maison Bréguet 6 O/O 476.. 479." Corn. 1906 3 0/0 r. à .600 302.. 300.. Sosntvvice >• 1401 1535 »2 50 Transports an Commun 660 25 TabaCB d'Orient* J'Outremei» 467 499 Cuivre (comptant) 6511/ifa 5 5,16

•• ;-• -Cnargeurs^ mesOrd. 204.. 208.. Mines de Lens 6 0/0 501.. 507 50 g Fonc. 1909 3 O/O r. à 250 135.. 186.. 25 Tabaes ottomans 3Î0 322.. 40 Tran5pt)rt3 Maritimes- 368.. 763- Tanganyika 109.. 10»..

••••.Messagerie* iop Saint-Gobain.Chaunji 515.. -514 50 u- Corn. 1912 3 0/0 r. à_250 160.. 160 25 85p. des Philippines- 2750 '5 sir.. Tharsis 30150 303.. NEW-YORK, 26 juillet

kit1" « -k erfo Paris ̃̃• 370.. 770 Usines sinistrées 6 1/2 O/O- • 495.. 494..»- Fonc.19133 l/20/0r.500 310 25 315.. 41) viQhy (Et. thermal) 1240 800.. Bénédictine- 18000.. 16100 TransvaaIConsolidated Land.. 5905 59 25

5,S' "nlbus da Paris, .730.. 1JiI.. Usines sinistrées 6 12 0/0.. 495.. ~94.; Fono.19133 Il?O O,r.5,OO :J15;~ 315;: ft~ ,v iChy (Et, therlr¡al), ",1:1;}: 12~0.. 800 .1 Benédietine: ~8~OO"1 !6;ùO. Transvaa,' Con.olidated ,Land.. 25 àO 25

omnibus ae r 167 169 Algérie 3 O/O 1902 q 19|3 4 0/6 r. à BOO a8?U5 387 25 25 g, -• 830.. 150 BistmBfiocùBemer. 5650 5650 Tubes et F. de Sosnowice- 255.. 264 Call Money, c. m 'S 3,4 5. ̃ •• TransaJanwi q prior. 6 0/0 1921.. 485.. 429 75' Empr-1917 5 1/2 r. à. 300 260 25-260 25 46B6 ^?rc..Motric"duRhone(p..rtJ 3050.. l»0 •• [Distilleries de I'lndo-Ohin3. 3870 3873 25 b. Tubize. p.-iv -549.. 555 Câblestransfers 4 5975*5975 •;j. V, -Paris-. 1235 1^5 Indo-Chine 1899-1905 283 50 279 50 5 Corn. 1920 5 1/2 r. à 500 425.. 425. 22.50 Havra-,3ed'EnergieElectriqu6. 440 440.. Grand-Hôtsl .1550.. 3 sh: Union Corporation 108.. 103 Change sur Paris, vue 5 92./ 5 O'i ou -• Voituresa >-« 32- ,902 259.. Empr. 1921 6 1/2 r. à 500 512 50 514 50 55 ndo,otvinoised'Electricité. 2750 2750 20 Granos-Moulin3 de Corbeil 263 2D. UtahCopper C 1026 1024 U. S. Liberty 3 1/2 O/O 1009/3'> 100. 1 '4

:"wïri'- ••• 124.. 174 Tunis 3 0/0 1902-1907 30: 302.. Corn. 1922 60/0, t. p 495.. 498 50 50 40 pùnéenne d'Energie Electr. 750.. 770.. 2o Sucrerjes Brésiliennes 635.. 640.Verminck ̃.••••> Jjo 170 50 Atchison Topeka OU 1/8 99 18

25- §r?h»-Cinétna ••̃• MO-- 224.. 25i- Radio-Electrique 334.. 335.. 25 88 t,Sucl,erîesP3Jl,3ijiale5. 459.. 465.. Baltimore S. Ortio 49.; »8 3'4

3'5 S fRnar^s* Sucreries Say. 3183 3241 Angleterre 2 1/20/0 180.. 1788ÛEst6 0/0 415 50 444. Radio-Franoe- ̃•- 555.. 554.. sucrer,~es Br, e.Ii"e,nnes. o.~a 6~2. "l" COMPTANT 120..1 îl) Canadian Pacific 145 3/4 »6 3;4 43 35 Q^rie3d?E*tèmiorient. 584.. 5fô Argentin 5 0/0 1907 -4 0/0 ..335.. 336.. 25' Radio-Maritime. 331.. 332.. 150 •• ciments Français .i. 6700 6800 Chespeake & Ohio 581259..

4rf-3o.Biïeries<(Ext8me-u oca B_ 6 0;0 1909 -3 0/0 .324-50 321 DO 15 Union d'Electrioité 330. 335.. 35-- du Boulonnai». 999 1000 25 Omnium-Pétroles 502.. 403 Chicago MilwaukoeC 18 3;8 t12 18 58

'R,zerles 5 O¡O 1909. 8 O¡'O. 32.,50 o"21 50 15.. Union"d'Electrioité. 330.. 335. ;)5.. du Boolonnals" 99a 1000. 2: Omnlum'Pétroles. 502 ~93.. CChhiiccaaggoo RMiolcw~aukae 0 lit 3!8 185',8

:Di,<;<=oConsolidé1"et2'série3 2195 21 70 Autriche A 0/0 32.. 3150 –2 1/2 0/0 293.. 293 ̃ 120.. de l'Indo-Chine 3170.. 324" 26 1/2 Royal Dutch 22800.. 2350.. Chicago Rock Island 24 3' 4 24 1/2

Russe^o 189M894 15 <x) 15 80 Belgique 1873 ̃ 51 Lyon 3 O/O 1855 306.. 306 70 4Cêtylëne& Electricité 1750 1825 K •• Poliet et Chausson 1700 1710 5sh6 Shell 265 I 261 ErieRailroaa1. U 3'.« l2

ao/0'1896 •••' 15 50 15 45 Brésil 4 0/0 1889 128.. 128.. 6 0/0 Bons déc. r. 500 500 50 502.. 1250 Aciépie5&F.orgesdeFirminy-- 2',ti 275. 2001. steaua Romana-. 479 475 Illinois Central 108. 108 1/2.

""̃ 3 112 0/0 1894 16 35 16JJ0 6 0/0 Funding 6 0/0 438.. 443 50 de France. •••- ôlli 565 «> .ftfrique Occidentale (C"). 1G37 1622 ». 125 ..iMonaco 250 '3249 .New-York Central .9334 9834 ik "i 60/01906- 24 95 95 25 15 1909 (Pernambuco). 324. 316.. 5 0/0 370 374.. 50-. detongwy |1U2.» 1116 1°° •• Agence Havas •̃•532.. Wt ̃ Pensylvania 43 3:4 43-3)4 1

41/20/01909 l«30 18 90 Bulgarie 5 0/0 1896 4 o/0 341.. 332.. 25.. cie'Micheville- .• 840 825.. looia Ajr Liquide (parts) 60OU 6300 CHINGESfe m) 77 ai Reading 753/4 771/2

V6Ï0«e7bie4O/Oamortissab'M895 « I/2 0/0, 1 90-7. 3 Fusion 305 50 305.. 250.. deSambre-et-Meuss.- ̃- 2220 2235 £» •• Bergougnan 1393 1S00 CHANbES ta m.| Southern Pacific 88 3/4 »B 12 ̃ ••̃) t,,Jc Unifie 61.. 59 Chine O|0Or 1895 256 25 260.. 2 I /2 O/O. 267 270. Arbel (Etablissements). •̃•̃•• 688.. 698.. 102 83 Bon Marché s- 1U30 1935 Londres. 22 81 77 42 UnionPacific '.28 5S 129 1 -4 ̃ ilurl£Oin .g|4 30 38 05 5 0(0 1902 A21 50 Midi Bons décennaux 6 O/O.. 52i.. 525.. 25 Atel. «.Chantiers de la Loire- 7B0 150 ichapsKEtablissements) 4875 4820 New-York 16 94 16 Ci AnaconaaCopper 4t. l ;>'»8 "vl" 60/0 1903- 422.. 412.. 6 0/0-. 439 50 446.. SO Constr. Nord de la France 1061 .010.. 6W •• [cirages Français Allemagne 0003 0 002 ChinoCopper l!j.,i 19 1/4 '• connue de Londres et Mexico 409.. 403.. 5 0/0 1908 958.. 950.. 6 OiO ̃ 380.. 380.. 25 chant. & Atal. de la Gironde. a40 3250 Compteurs à Gai Argentine RayCopper 11 i'.tt 10 1/2 T .:°C!q Nationale du Mexique.- 916.. 911 Egypte Unifiée 225 75 224 50 4 0/0 331.. 333.. 30.. deS^Nazaira .u6l 50 oidot-Bottin 1U0 1070 Belgique 82.. 82 UtahCopper 59 t/2 59 :f/3

lOsh imoé'^Ottom"* 25O'p. 258 759.. Privilégiée lot; 193 50 Nord 6 O/O, série F 441; 447 35.. châtillon-Commentry 2160. 35.. Le Figaro 495 Danemark 2o750. 298 75 American Téléphone .22 l,ti|!22 1/8

E"naEn°ï"Rio-de-l'a-PlaU 585 580' Espagne Extérieure 5 o/O, 3érie E 378.. 379.. commentry-Fcurchambault. 1364 .40 Gaveau et Cie 535.. 537 Espagne 2-il 50* 210 50 Amencan Car & F 158 157

1 13" rririit Foncier EevDtien. 1708 Ï302 Hellénique IBBI 675.. 709.. 40/0, série D 367.. 307.. 10 Decauville 200.. 201.. •* •• Hacur (Etablissements) 446.. 455 Finlende British American Tobacco 22 3/4 o'' :t/i I Nitrate Railwavs. 625.. 635 Italie 3 I /2 0/0 56 65 57 10 3 O/O. ancienne 340 339 75 Dyle et-8«saUn priv. 150.. Chaix 3000 Grèce Central Leather 20 1;4 20 34 îésir rentrai M inine- 690.. 888 Japon 4 O/O 1905 267.. 265 2 1/2 O/O. série C 296.. 295. orJ 206 5».. BecAuer 1170 1170 'Hollande 663 661 75 General Electric 174. 173 5/H

Wili' HinTinto '239 2745 5 0/0 1907 269 25 '268.. 6 0/0 1921, tran. A. 426.. 42S' 50. 35.. Electro-Cable (ordinaires) -.544.. M,, Librairie Hachette 1725.. 1090.. Italie. 7380 Bethlehem Steel 46 "8 4BI-8

14kr 40 »,r,tp(N'o'rvéeienna) 581.. 577 Maroc 5 0,0 190* 4il 450 OrléansBonsdéoennauxe^/O 500.. 503 US Ftves-Lilte >• 2261 2242 DO Lille-Bonniéres, ord ll«0 U47 Norvège 275.. 275 U. S. SteelC 90 5/8 90 1/2

Lautaro Nitrat» •••'• 667 aiil •' 60/01910. 868.. 862.. 60/0 4'.6.. 436 Forges* Ac;Huta-'9ankDw3 U30 l'29 <*> ̃̃ Maroc (C" Générale du) 410.. 435 Portugal." MexicanPetroleum 210 23ï >"

lS NaDhte (Société Ru-so) ••̃ 313 3''0 Portugal 8 0/0 60,'0 3B0 380.. SO.. For*t'i«AC'J'"MarinsSHo.ne;L 793. 60.. Pétroles (C1" Industrielle) 750.. 731. Prague 50 50 49 SO Royal Outch 4K 1

i. Oriental Caroet ''81.. 311 Tabacs du Portugal 1415 1.415 «O/O 335,. 336 4784 r>1**At.Con5tr.£l.(>eJ'n-ont)p. 1535 i528 Tabacs (C" Générale des) 338.. 359.. Roumanie 8 8 45 Shell. 2i) li S Ï3 3/4 8 lêitij ?,icrer1"&RafFneriëd'Eavot'> llOy H''4 Russie «0/0 1867-1869 12 25 12.. 30/Oan: ÏIS 317. BU Méditerranée(.Fori"iC;;Jnt). S39 560.. loi Tabaaa au Maroc 2900 2930 Suède 452 25 u.S:SteSIC"j ~O :8 If2 •» Tabac-Ottomans 370.. 37t.. « O/O iS94. u 1O'Ï5 Ouest 3 0/Oanc. au 25 Jl4 50 GO Forges et Fpnd'«'"Montutair3 1~35,. i528.. 50 uniûnCoin.»e«'Mnjo-CtMn3'" KIO 815 Suisse yO3 25 UOi APairss totales' 390.COO ~D:;l~ OWiË-Ch «rBusses4 1/20/0. 18 i) r «W0I90I.. 12.. u 80 1/2 0/0 t 2tii> 2(iU 50 ào ÏS. Matériel «eCh. «erier.-BelSe>|H55 HZ* 36 unionÉurapéenne jj» 7-33 v,»nn: (100 OOOcovr.) •••••• 21 ..j 23 50 50 titrî' J .1

':̃ ̃̃̃- ̃ >' /-̃- ̃̃̃•'̃ -• ̃ »- •-̃ '• ̃. '"•̃ -y, ;̃, .>v h'- 3f' '̃'̃3UBB&* '-•–̃" ̃̃ -••' ^«^.v. ̃ ̃ ̃- .̃. /'̃' '•> -$;

priétaire de remettre à la-poste mais, le lendemain seulement un télégramme pour sa femme et, chose étrange, il tendit une dépèche rédigée sur une formule imprimée de l'administration. Avait-il donc prévu cette panneviu départ de Morlaix?

Quand il revint à la ferme après un voyage dont le but, tout permet de le croire 'jjiujourd'hui, était Le IJayre, Mme Jacob remarqua qu'il portait sur l'épaule un paquet qu'il semblait désireux de dissimuler rapidement dans sa v.oituf-e. Puis, sans difficulté, 'il se mit en marche et disparut vers Morlaix. M. Campion se: propose d'inviter les inspecteurs de la Sûreté générale à refaire lc chemin parcouru par Seznec et QuemenèuY, espérant qu'ils pourront recueillir de nouvelles indications.

Quant à M. Vidal, commissaire à M> Sûreté générale, il a, hier, avec son secrétaire et M. Royôre, inspecteur, quiilé Morlalix pour Paris.. Les sabotages de signaux Un acte de sabotage, qui aurait pu entraîner une catastrophe, a été commis sur •la voie ferrée aux environs de Sérignan .(Hérault).

Un malfaiteur a forcé le cadenas fermant l'appareil bloqueur et, dans le but d'immobiliser le disque, en a coincé l'armature. Un employé découvrit l'acte criminel, évitant ainsi un accident.

POUR PARER AU CHOMAGE Travaux importants

aux docks de Londres Londres, 26 juillet. • Lord Devonport, président de l'administration du port de Londres, a annoncé aujourd'hui que d'importants travaux d'agrandissement des docks de Londres allaient être exécutés. On estime que les dépenses se monteront à environ 5 millions de livres sterling, et le gouvernement anglais a déjà accordé un emprunt de 4.500.000 livres sterling.

Le ministre du travail est optimiste Manchester, 26 juillet. Le ministre du travail, dans un discours prononcé ce soir, a dit notamment

» Nous sommes en face d'une perspective do temps difficile mais nous pourrons traverser la période du prochain hiver, grâce à notre système d'assurances contre le chômage et à d'autres mesures. On annonce dans le monde entier que les récoltes constitueront un record.

» C'est à la nature que nous devons en premier lieu toute noire prospérité les gouvernements ne peuvent pas grand'chose pour donner du travail. Ce qu'il faut dans le monde entier, c'est amélioré l'organisation, du travail et encourager la coopération. »

>>/vNyv/

Pour la béatification de Pie X Romk, 2(i juillet. Les 10 évoques français survivants des '11 consacrés par lo pape Pie X ont fait parvenir au Pape une adresse demandant la béatification de Pic X. Celte adresse dit notamment que Pic X, par son esprit de foi, au moment de la séparation, fut le, sauveur de l'Eglise de France. Le cardinal Mercier également, écrivant au cardinal Merry del Val, à propos de la récente inauguration du monument de J?ie X, souhaite que soit proche le moment .où ce Pape pourra être appelé suint avec la pleine signification que l'Eglise peut conférer à ce mot.

PETITES, NOUVELLES

New-York, 26 juillet. Le Championnat d'Amérique cycliste (vitesse) s'est terminé par la victoire d'Arthur Spencer, .avec 37 points, devant Wi.Uie Spencer, 30 points. •Bruxelles. Les quinze communistes qui viennent de .coniiparattre aux assises du Brabant ont été acquittés.

Varsovie, 26 juillet. Le 'vice-président de..la Chambre, M. Osiecki, a été nommé ministre de ila réforme agraire.

Melilla, '26 juillet. Le commandant de la place a décrété l'expulsion de trois. Français, d'un Italien et de leurs femmes comme suspects d'espionnage.

Bruxelles, 26 juillet. Mgr Micara, nonce du Pape, a été reçu ce matin en audience solennelle par le Roi. Après..la remise de ses lettres de créance, le' nonce a été reçu pur la, .Reine*

Courrier de y Bourse Paris, 26 juillet.-

On ne voit plus grand monde a la Bourse. Mais le courrier matinal continue, évidem- ment, à apporter-de.s ordres, car le courant d'affaires au comptant du Parquet ne se ra- lentit pas.

A terme,' ..ça dépend des jours, cependant l'inaction n'est jamais complète. Les banques et les chemins de 1er sont .calmes, aujpurd'hui. Ce sont îles sucres qui repartent de l'avant. M est h remarquer, en tout cas, que le terrain gagné, ici ou là, reste 'généralement acquis. Si l'on sort d'une valeur on est à peu près certain de la payer plus cher au moment où on voudra y rentrer. Ce phénomène, maintes fois .constaté, .explique l'a fermeté de la «oie. Chaque jour,, des disponibilïtés nouvelles prennent le chemin de !a Bourse et iceux qui veulent réaliser leur bénéfice trouvent donc aisément des amateurs pour reprendre la marchandise.

Le bilan de la Banque de France est satisfaisant. Grâce aux remboursements effectués pendant ces trois dernières semaines, le Trésor se trouvera en bonne posture pour faire face aux besoins qui se manifesteront inévitablement la semaine prochaine comme il chaque fin de mois. Les changes se sont étendus.

ISTos Rentes font quelques progrès. Fonds russes calmés.

Le Turc 'unifié abandonne deax points à 5'.K

Les établissements de crédit se bornent. à consolider leurs, progrès d'hier

Banque de Paris, 1198 Lyonnais, 1720 Comptoir d'Escompte, 1014 Union, Parisienne, 910 Mobilier, 987 Crédit Commerciat de France. 694 Banque Nationale de Crédit libérée, GIS.

Métallurgiques et charbonnages soutenus. Mines métalliques fermes.

Produits chimiques en, progrès Pécidneij, 938 Poulenc, 925 ̃ Sainl-Gobain, 3810 part Air Liquide, 0300 contre 6000. Vive avance des valeurs, sucrières Smj, ÎS241 Sucreries- d'Egypte, 1124 la part, 1710.

Industrielles russes mieux. Enregistrons en passant la nouvelle que le président du conseil supérieur économique des Soviets préconise la dénationalisa tipn de l'industrie' métallurgique. '< Pétroiifères, délaissées. Sud-Africaines, calmes.

Caoulchoutières, soutenues.. Au comptant tes Tramways de V IndoChine, gagnent 180 francs, à 2310 la. pari: Electricité de Paris, 165 à 4965 part Poliet et Chausson, 135 à 4990 Omnium d'Algériô-Tunisic, 120 à 4700, Eclairage et Force, 100 à 2150 part Forces motrices du. Rhône, 12'> à 3650.; Ciments Français, 6800 Longwij, 1116 Gésincourt, 117, etc..

A partir du 1" août, les Bons Mexicains 6 0/0 1913 série, B et les actions Houillères de Liévin, seront inscrits a'ia cote à terme du marché en banque.

INFORMATIONS FINANCIÈRES BILAN DE LA BANQUE DE FRANGE. Situation du 10 au S!G juillet 1923.

EN MILLIERS DE FRANCS

I:n caisse, '.G73,5~9 30

(Encaisse 3.073.529+ 30

Or A l'étrangcr. 3.67,3,529 + 30

Or j A l'étranger 1.864.314 »

Argent. 2M.741+ 50

Argent Disponibilités et avoir à 2ÏI3.741 + 50

l'étranger 50a. 278 308 Portefeuille 2.471.7-SO + W.820 Etlets prorogés ly>*£ ,*»6 Avances sur- titres 2.101.134 24.530. Avances permanentes à ̃ ;r

l'Etit «QQ.QCKj »

Avanoês'nôùVeïfeVkrKtat 23.000.00U 300.000' Bonsdu Trésor français es-

comptes pour avauces do

l'Etat à des gouverne-

ments etra,ngei>s 5.»™' Compte d'amortissement. aiB.'ub 36 Excédent affecté à l'amor-

tissemont des avances à

-l'Etat: 4C6.529 + 10.685 Compte annexe d'intérêts

du Compte amortissement 12.470 » Billets en circnlatton 30.~29.324 304.372 Compte courant duTrosor. 32.277 + 19.844 Comptes courants particu- 2.039.428 31.683

liers. 2.039.428– 3Í.683

Bénéfices bruis des es-

comptes et intérêts^ di-

vers de la semaine. 2. §28

» -V/V^N^N^

DERNIÈRE HEURE

La situation monétaire de l'Allemagne est sans issue l' rt!-r .»«««.••»« –m– ̃̃̃

'Beri.ix, 26 juillet.– La monnaie allemande est -perdue. »,- ainsi résùme-t-on en général la situation monétaire de l'Allemagne. Lc-Courrivr de la Bourse écrit à ce sujet

« L'Allemagne .n'a pas de mauvais ïaoyens de paiement, elle n'a pas de moyen .ilc, "paiement du.tout Le monde a perdu ieoiilïanee dans son papier monnaie, il ne s'agit donc plus pour elle de savoir comment elle réduira en dollars ou en monnaie ayant, de la valeur ses monceaux de marks papier, mais comment elle paiera. » Le Bcrliner Tagcblalt dit que les mesures du gouvernement- et, même le nouvel emprunt intérieur en marks-or n'amélioreront pas la situation. »

Ainsi, bien que la Reichsbank ait fixé jusqu'à présent le cours des devises à un mveau supérieur à celui des bourses étrangères, dans l'espoir illusoire d'amener les .détenteurs de devises à ca vendre une parlie, cette nouvelle tactique n'a pas eu plus. de succès que la tactique inverse de la semaine précédente.

L'état' d'esprit est tel que beaucoup a en- treprises préfèrent diminuer leur production plutôt que de se procurer des marks-papier en vendant des devises.

)Mns les milieux financiers, on déclare que l'Allemagne ne souffAe plus d'une crise des changes, mais qu'elle n'a plus de monnaic cîii iout

Un cri d'alarme

Berlin, 20 juillet. La Chambre de commeree-'êt: Hambourg a adressé au chancelier Cuno un télégramme demandant le retrait des ordonnances réglementant le commerce desrdcvises et la suppression du con. trôle du< Commerce-extérieur.

Le Comité hambqurgeois pour la liberté du commerce extérieur public un mann'-jste très, violent- '.où- le gouvernement CunoBecker est accusé d'avoir train les espoirs placés en lui et de n'avoir lias tenu sir pro-'jnes.se de ne stabiliser officiellement lo mark :qu'en libérant en même ternes le commerce -extérieur des entraves qui le gênent. « Un gouvernement dont le système financier ne repose que sut des émissions de pupier-ffipqnaie sans couverture, enterre le dernier crédit' de l'Allemagne. »

ïf ^bs denrées hors de prix

Berun,26 juillet. Les prix des denrées continuent à augmenter d'heure en heure dans des proportions effarantes, malgré la pénurie, toujours plus grande, du papiermonnaie. Cette pénurie est telle que ce matin la plupart des banques, ne donnaient que 500,000 marks en numéraire.

Pas de recettes budgétaires

Berlin1, 20 juillet. Le déficit de l'administration des chemins de fer s'élève à 1.700 milliards de marks environ pour- la première décade de juillet.

D'autre part, les recettes budgétaires du Reich n'ont atteint que 2 des dépenses au cours de la dernière décade .de juin et 4 au cours de la première décade de juillet.

Pénurie de marks=f apier dans la Ruhr DussELpoitF, 26. juillet. Le .manque, de numéraire continue a -se faire sentir -dans les territoires- occupée.' Aussi de nombreu-ses mines et établissements métallurgiques éprouvent-ils les plus grandes difficulté*' a réunir les soi '.unes nécessaires au paiement des salaires des ouvriers.

Les municipalités sont en bulle aux infimes difficultés. Elles y remédient en partie en imprimant des bons communaux. C'est ainsi que la ville 0<i. LHisse'ldorff vient d'émettre de nouveaux bil'.ef s de 100,000 marks. Les communistes

veulent manifester dimanche

Berlin, 26 juillet. Malgré l'interdiction prononcée par les gouvernements prussien et bavarois et par le Sénat de Hambourg, les milieux d'extrômie gauche continuent à préparer la manifestation antifasciste projetée pour le 29 juillet dans toute l'Allemagne.

La Hôte Fahne déclare que la manifestation de dimanche aura, lieu malgré l'interdiction.

Le ,ioiwernement multiplie les déclara-

lions rassurantes. C'est ainsi que le miniétre de la Reichswehr déclarait hier que le gouvernement du Reich était fermement dé,cidé à réprimer toute tentative detmubles, de quelque côté qu'elle vienne, et qu'il se portait uarant de l'attitude de la Reichi;vveiir, ï-/e n'ûrnsire de l'inférieur, M". O'èsèr, a fàif ressortir l'aide que pourrait prêter la police de sûreté.

Le Reichstag va être convoqué Berlin, 26 juillet. A la suite d'entretiens qui ont- eu lieu hier entre le président du Rcichslag, le gouvernement et les chefs de partis, il semble qu'on soit décidé à convoquer le Reichstag au cours de la prernièro quinzaine d'août, alin de lui permettre de voler des mesures urgentes d'ordre financier pour soutenir le mark.

L'avion, engin de fraude

Francfort, 26 juillet, Le bruit court que les autorités allemandes ont envoyé des sommes considérables en marks-papier de Berlin à Cologne en empruntant la voie des airs Amsterdam-Londres, afin d'échapper au contrôle des autorités franco-belges en Rhénanie.

Au cours de la dernière quinzaine les « fonds » auraient été chargés à bord d'un appareil de la Compagnie Fokker, à Amsterdam de nombreux paquets de billets de banque emballés dans des toiles imperméables, furent placés sur l'avion qui alla tout d'abord atterrir à Croydoii, d'où un autre avion a été affrété pour transporter les billets de banque à Cologne. De cette façon, les Allemands n'avaient pas à en redouter la confiscation.

«L'Angleterre commence à souffrir» déclare M. Baldiin

Glasgow, 26 juillet. Au cours djun banquet au Club conservateur, M. Baldwin a prononcé un discours dans lequel il a dit que la première mesure essentielle à prendre c'est de régler la question des réparations avec l'Allemagne, et il a ajouté « Le genre d'opération qui se fait maintenant dans la Ruhr, est au point de vue du commerce international, /exactement comme si ou introduisait un canif dans les ressorts d'une montre.

» Ce n'est pas tant que nous ayons souffcrt par suite de la confusion qui règne dans le centre de l'Europe, mais c'est que nous commençons à souffrir. Tant qu'une forme de stabilité financière quelconque, n'aura pas été établie en Allemagne, il n'y aura pas de réparation pour qui que ce soit. » La Fête nationale turque. Angora, 25 juillet. Le 24 juillet, jour de la signature de la paix, sera considéré dorénavant comme fête nationale. Pour la première fois, cette fête sera célébrée pendant six -jours. Dans toutes les villes et villages d'Analolie règne un grand enthousiasme. Le Meeting de Saint-Sébastien Le Grand Prix des cyclecars

Saint-Sébastien, 26 juillet. Le Grand Prix des cyclecars s'est disputé aujourd'hui •devant une assistance peu nombreuse et par u'n temps pluvieux.

En l'absence du Hoi, le prince Raniero ouvrit, le circuit, Dix concurrents prirent le départ ils avaient vingt-six tours de circuit ̃à.; boucler, soit une distance de 463 kil. 190. La course eut peu d'incidents. Au huiliôme tour, l'équipe française des trois Sahnsun restait seule en course pour la catégorie des 1.100 cane. Au dix-huitième tour, Desvaux, sur Salnison, abandonna.. Voici le classement de l'épreuve

1. Bueno, sur Salmson, pneus Englebert, en 5 h. 39' 14"

2. Benoist, sur Salmson, pneus Englebert, en 5 h. 39' 15"

;(. Palason, sur Sénéchal

4. Sierra, sur B.N.C.

̃ ^Angleterre erée

un service de dirigeables entre hondres et l'Inde Loches, 26 juillet. Sir Samuel Hoaret ministre de l'aéronautique' a, déclaré aux Communes, cet après-midi que, d'une part, le comité de défense impérial estime oue les dirigeables ont une valeur militaire et. que,, d'autre part, la commission impériale U(-;s- transports est d'avis que les dirigculiles qï- Irenl le moyen le plus économique/de trans- porter le courrier postal pour l'Inde et' l'Australie. En conséquence, lo gouvernement britannique a décidé de développer 'la construction des dirigeables et, si cela csb possible, d'établir un service commercial de préférence à un service gouvernemental' « Une maison anglaise, dit le ministre, a iaii; des propositions pour la création -de deux services hebdomadaires entre la Grande-Bretagne et l'Inde,- services qui sc-^ raient assurés par six dirigeables. Le gou- vernement accepte, en principe, ces propositions, quitte à l'administration du Trésor de régler les détails du contrut.à, signer avec cette maison. Une fois ces détails ré- glés, le projet serait soumis à la Chambre. JDe plus, on discutera cette affaire à la pro-' chaîne conférence impériale avec les doiiii. nions, en vue d'obtenir leur collaboration.' Il est entendu que les dirigeables en question serviraient a l'Etat en cas de guerre. • » On apprenait peu après que les proposi- lions dont avait parlé le ministre consistaient notamment dans la construction d'un dirigeable géant, de dimensions doubles do celles du /f.-33, celui-là même qui a fait la. traversée de l'Amérique. Ce dirigeable serait aussi grand que le paqucbot Maureta- nia. Il pourrait aller dans l'Inde en 71 heures, en passant par l'Egypte.

On créerait peu h peu une Hotte de ces dirigeables cubant 5 millions de. pieds cubes, ayant une vitesse de. 80 milles à l'heure, pouvant faire sans escale un vol de 2,150 & 3,100 milles ei. transporter de ï30"à 150 pas-" sagers avecj 10 tonnes de sacs postaux.. Le prix de la traversée sera d'environ RU livres sterling, c'est-a-dire mftins cher qim celui du paquebot, Si le service conduit jusqu'en Australie, le prix des places sera de 140 à 160 livres sterling. Plus tard, un service de ce genre sera, établi pour l'Australie, le Sud de l'Afrique et le Canada. Le gouvernement anglais fournira, une subvention de quatre cent mille livres sterling qui lui seront remboursées sur les bénéfices de la Compagnie, laquelle sera constituée au capital de 400,000 livres sterling, dont la moitié devra, être versée. La Compa- gnie recevra d'autres subventions au fur et à mesure de son développement.

u»i.hijiii)iii.i».ii u.,«->y^v^<^

Un service de dirigeables

de l'Amérique du Nord au Panama Nkw-York, 2(> juillet. La « Commercial Airvyay of Amorica et » m, l'intention- d'établir -un service de dirigeables Zeppelin entre New-Orleans et Boston par New-York, ainsi que de New-Oriean.s vers San-Diego, en Californie.

La première lijme aérienne ira de NewYork a .San-Françisco, par Chicago:- Elit', à, en outre, l'intention d'établir un service dé dirigeables vers les villes mexicaines, tiii&i que vers Cuba, l'Amérique centrale et le canal de Panama.

M, Deyèze, ministre belge de la guerre Ya donner sa démission

Bruxelles, 26 juillet.– -Lors do. la reconstitution du Cabinet Theunis, M. lyevèze, ministre de la Défeq se nationale, avait fait connaître son intei ition d'abandonné1" son portefeuille aussitôt après le vote, par: le Sénat, de la loi militaire.

On assure que M.; Devèze vn-meltrie ù exécution son projet d(';s la semaine prochaine et reprendra aussitôt sa place au bimeau de Bruxelles.

C'est M. Pierre 'orthomine, de.pute libéral de Verviers, qui serait le successoral1 de M. Devèze au poste de ministre de M Défense nationale.


L'ART et u Curiosité

La bibliophilie

;> LgS ÉDITIONS P^_L^XE I

EN SOUSàklPTlON

L4s émves çcomptèles. de Biaise 'Pascal.* Trois* vol: -Ïii-Hiae- 500 prfges énv. avec biographie; inteoduction, notes et, tables Pré; face 4èÎM. Pikrbe'de Nolhag. Tir. 15 ex; sur Hollande 396 fr.; 100 ex. sur velm pur fil 231 fr. L'édition originale tirée a l.uuu exempl 110 fr: Ces prix s'entendent en souscription, ils seront majores le 1er octobre. Le premier volume paraîtra en sep-

tembre.1 •' ''̃' i ̃'̃ ,T i

Romain PoLtiAXt?-: Coldè Breugnon. Un vol. 'de 320J pages e&virortv1 -4b torm.at in-4»; coti-

ronnè* Tira&W-éi'ifiioil* èf'to jouteur, -orn^ de-1

(70 dessins margiWâù'x'v d-un Colas/Breugnon en camaïeu- et de Jéttres ornées, dessinées et arasées sur le bois parÛABRiÉL DÉlot. 'iir. 10 ex. sur Japon impérial avec un dessin rehaussé ;d'aquarèlle 'signé par Tartiste d»o francs ;1Û ex.- sur Japon impérial avec un croquis encre de CWne signé de l'artisie au'îaux titre 275 4r.; 270 -ex, sur papier-dé Hollande- 220 fr. et 700 ex. sur velin 88 fr. Lés Romans complets illustrés, de Pierre Loti. Cinq volumes reliés. Impression sur papier couché,' gravures en couleurs, foruiat'ïri-i°, reliure spéciale, têtes dorées, fers Et médailles. les 5 vol. :;225 fr.

Maurice Maeterlinck y'Pellêas et Mell)ande'. Trente compositions en couleurs dont louze hors-texte de Carlos vSchawb,. pages incadrées, lettres ornées. Tir. :'25 ex. sur Japon contenant un état en couleurs sur Japon mince, un état en, noir sur vélin mmce et une aquarelle -originale de l'artiste 2.200 fr 125 ex. sur Japon avec un état en noir r-825 fr., et 725 ex. 'sur vélin 330 fr. Les derniers 125 exemplaires seront portés à MO fr.' ̃̃'̃'• Cantilène pour 'une Jeune Sainte La Bienheureuse Thérèse de T Enfant-Jésus. (Poèmes par Maurice Brillant. Illustrations de Maurice Dems et'de Mlle Faure. Un vol. in-i" avec un pi. 'en coul. d'après l'aquar. 'de M. Denis. 111. en-camaïeu, reproduites par DXfiiEL Jacojiet. 'Tirage limité ̃$ | 800! ex-.

25 exi'^s'ur Vergé .d'Arches lSo"'frahd§; 'èr-'

275 e.i' sut- pui^fil'Lafuma 100 francs. La:; isouâcrtpito }i .s e t-a •closb rlp ̃'̃ 3f; 'juillet' ̃ ̃ l

'T^mMllE^Rp&iAlkEMmT:

jActiufeS:P'<3ÙtENGÈR ;>le ̃ Saint Gr.aàï^la'Mort'yit'ârlus:^èS' Romans de- la Table -Ronde). Un ^ôlv-ïn-16'.lL'Mition'originïile sur papier de fil 10 fr. 'Raymond EscholieR la Nuit.- Un vol. in-16. Tir. 20 ex. sur papier du, Japon 60 ifràncs 50 ex. sur Hollande 40 fr.; 100 ex. sur Lâfuma: 20 fr.

Eugëne:- Marsan :• 'les Cannes de Monsieur ̃̃ Paul'Bourgct et"' le Bon choix' Philintc. Petit manuel de l'homme élégant suivi de porFraits de Barrés, Moréas, Bourget,' Al? phonse XIII, Barbey "d'Aurevilly, Taine, Baudelaire, Balzac; Stendhal. Ouvrage orné de quatre-vingts:idessiM par Henri Farce, gravés sut Je, Juflis pur^,G.EORGES, Auuert..Un vol. in-8. Tir 7 ex. sur Japon impérial avec les hors-texte, .une. suite des planches en couleurs et 2 dessins originaux de Farce 250 i'r.58<ex. sur Japon impérial,. contenant les 5 hors-texte et un dessin original de Farge 190 fr.; MO ex. sur papier de Montval, comportant en hors texte les 5 compositions de-FARGE 125 fr., et 100 ex. sur vergé de Montval .75 fr.' L'édition ordinaire sur .alfa 25 fr.i '-̃

PARUES

Robert de La VAissiÈftE Anthologie ppét.. tiqu& </«.jXXj<iMà 2 •V0lim-lJi}v.ili:U8lFéS; de; 8 pofitiiftjte hors texte, r.T-ir. :5O ex-, sur vergé. pur îiLLaftwaçi ;.&Q fr. Pascai; Bonetti La Marche au Soleil. Un vol. 12 x 19. Tir. 10 ex. sur Japon impérial 100 fr*; 40 ex. sur Hollande :• 50 fr.; 200 ex. sur vélin Lafuma 25 d'r.

MARûtilSE 'de' Noailles': le Comte Mole, 3781-1855, Sa vie, ses mémoires. Tome se«ond. Un vôl in-8 de 492 pag. avec trois photolym'es lïors texte 15 ïr. f ALBÉRIC CAHUET le MisSel d'Amour, préface. de-PAUL Bourget. Un vol. in-16. Tir. '-i 10 ex. sue papier de Hollande 30 fr. André .Suares Puissances de Pascal. Un' vol. -in-18-tiré à 1.500 ex. 10 fr. Tir. 10 ex. sur Japon impérial 60 fr., et 90 ex. sur Hollande 40 fr.

Lettres dx Albert- de- Glatigny à Théodore de -BmvUley publiées avec une préface de GUY Chastel. Un vol. in-8 écu. Tir. 605 ex. sur vergé d'Arches 20 fr., et 550 ex. sur Lafuma •. 12dr. ̃

Anatole-- France le Chanteur de Kymé. lllustiations eii couleurs de Maurice LAlau, un vol. in-12, imprimé par Lahitye. Tir.1- 200 ex. sur vélin d^Vfches., contenajit deux- ôtajs (iuïitrun en couleurs 55 fr.; i.200 ex. suit- vélin teinté d'Arches avec les illustrations en hors texte 25 fr.

Pourjçus Tensefgnomenls^, zeç}ierçhes~ét envois de cèrtaih's «buurâgê'i, êcrvtè au secrétariat du serviee-bièraiTie-el~Bibtiop1vilic du Figaro, 14, rond-point de$t,&b&ttips-Èliisées, qui se mettra à la disposition de nos abonnéëet lecteurs de France et de Vétran-r ger pour toute.s démarches utiles. Nous recommandons à nos abonnés' qui s'adressent à tïous pour leur procurer certains livres de ̃ûouloir bien ne pas tarder u nous adresser leurs demandes et souscriptions, étant ̃ donné le-lirage limité des œuvres annoncées r et foindrle à leur lettre le montant de ''leur I ardre d'achat, ainsi que les irais de port.

;v'V ̃ HH^fe– x,' 'LES'STAtlONSTOORISTIQUESH^y :̃-̃ r:\

~j~TMËRMALES_&BALNËA!R;E~

i LAÛ LEMAN ET ENVIRONS

A :L]~ Le Grand Hôtel d'Aigle. Alt. 500 ni; Gd ^̃•S^v parc et forêts. Arrangsm. 30 fr. iranç. /"̃ Caux-Palace et Grand Hôtel de Caux. V_-a,UX 600. lits. Station climatérique. 1,150 m. sur, mer. Orchestre. -̃̃

PU,- J'/TT,: Hôtel'Rosat. Maison de fa-, `

V^tl^teaU-a VHX mille. Situation splendide. Cuisine soignée. Tennis ̃ f]J' •'»'̃_ Alpes -Vaucioises V^nÇSiereS •̃ Altilude :.l,285:ni&tre> Hôtel duChamossaire. -Pens.-à part, de 88.-fp.fr. C an ra L'aspect du lao de' Genève èl de ViClieVc ses admirables côtes eut toujours à mes ,eu* un attrait particulier que je ne murais exprimer.Séjour charmanl auquel je n'ai trouvé drégal dans aucun pays du mondes » :r i.-l. Rousseau. Grand- Hôtel :Bellevue. Premier ordre. Tout « la conjfi Lu meilleure situation au bord du lac.

Kursaal de Genève ,t:-

'< Opérettes et Revuésl Jeux. Dancing Hôtel Beau Rivage. Situation incomparable lace lac'et Mont-Blaijc. Spiend. terrasse. Concerts enrétë. Eau'cour. Bains. Téléphone partcut. Les-.Bergues. Le nouvel hôtel. De premier ordre. Bout' ton, courtoisie, qualité. -•̃f Restaurant

Là Couronne. Le grand café français au bord du 'Lac. Restaurant; Nouvelle direction ^]: Grand Hôtel & Righi Vaudois. Tout VjllOn conf. Gdparc. Arrang. 'en francs fr. Hôi^l VJcJpria. Vue superbe. Grand parc. Dernier,. confort. Pension depuis 30 fr. français ï ï' ̃ -no. Vii'e cliannanle et -éUp.ante siLausanne \iuée. en (ace d'un des plus beaux panoramas du mande, réputée- par la douceur de son climat et l'excellence de ses établissements

scolaires. ̃ ̃

Hôtel Beau Séjour. Premier ordre. Familles, Central Tranquille. Parc. Tennis. .»:- Hôtel Cécil. Maison de famille. Proximité gare. Situation tranquille. Pris modérés -;̃̃

~nfr'J;Æ. 1 TU~1à h 3

f ̃ l '> »'« «"k*^ « J *J ^r ~M « .L1 1

MM I.IIIIIH »l ̃ ̃'̃ ̃

i»es prçemi^f ]

<.J. ~J

THEATRE MICHEL les Ballets Humoristiques de Terah .Guinoh..

Etabli suivant la formule que la « ChauvéSouris » a mise à la- mode,- 'ce spectacle. se compose de numéros très courts et de caractère dillu eut Un lien les unit le même désir, géneialcment îealrèe, de nous di-

vertir s

Mlle Tu ah Guinoh conçoit la danse à la .'niamèie gaie sa tactique, que nous avons ijpstemen^ appieaee^nç i,ui ke p^s le goût de l'hurrtotfi ,v} b

̃̃' On passe une agteable soirée en îegai- dant ce spectacle. Mlle Terah Guinoh, qui s'inspne des soendiios de M Clmmbdtd, en exprime la fantaiSie et lesput avec autant 'de gu\ce que d'ait E'Ip a auptèb d'elle de cliainiantfs altistes Aille Maud Buigane, qui a bisser l'une de ses danses et qui a .beaucoup de talent les jeunes » Irvin, ̃dont les dons heureux' promettent et- tiennent déjà.

Parmi les danseurs, je préfère M. Zoïga a. M. Horam. Mlle Daisy Deélys est un speaker ingénu et amusant. M/' fi:

COIÏMRlSTHiTRZS

-.oa~-

Aujourd'hui

Même spectacle qu'en soirée

Au Théâtre Michel (3 heures).

Ce soir,

A L'OPÉRA, à 8 heures, Fresques, Concerto (Mlles Delsaux, Y. Franck, Brana) Taglioni chez Musette (Mlle Zambelli, M. A. Aveline) la Péri (M. Léo Staats," Mlle J. Bourgat) Coppélia

(MllesvArirm Jqhnsson, Soutzo, M. P- Raymond).

(M, lIes;.A,' rin'JQhnsso~, ls'Jnliât-t- ,M, p. "Raymond),

.-Orch. :'W: PMliprSe GiluBet^ c •'

A LA COMÉDtt>FRAliIÇAISE, k&h.A!}, l'Abbé

A LA COMÉD~FRA~A~, à,8.h.5.r~6oe

Constantin (MM'>lîé';Rby, tafbn-â^Rocher, Drain, A. Reyval Mrrtsr ©Sorel, S. Devoyod, H Duflos.,0, Fonteney, S. Rouyer)..̃̃̃ ̃ -v A E' Opéra-Comique, à 8 heures, Manon- (Mlles J. Marchai, M. Païva MM. J. Marny, Sauvageot, F. Combe). Orch. M. M.' Frigara. A L'ODÉON, à 8 h. 30, le 'Petit Café (MM. Gabrio, G. Ciïsin, Fabry, Perdoux, Dervigny, A. Jacqùin Mmes B. Richard, Martal, Varenne) Le seul bandit du village (MM. Pasquah, Dervigny, Mlle Varenné).

Au GYMNASE, à 8 h. 45, les Vignes du Seigneur (MM. G. Cahuzac, Charlys, Tréville fils ;Mmes Flora Dehon, PauîeUe Noizeux, Daubray-Joli, Marthe Rienzi).

A LA Porte-Saint-Martin, à 8 h. 30, Mademoiselle Josette, ma femme, comédie en 3 actes de MM. Paul'Cavault et Robert Charvay (MM. Jean Côquelin, Clément, Bourde) Mmes Guéreau, 1 Chapelas, Nobis).

Au Théâtre SARAH-BERNHARDT, à 8 h. 45, I les Nouveaux Riches, pièce gaie (Decceur, Chameroy Mmes Delys, Alice Tissot, etc.). Dim. et fêtes, matinée. -•̃

A LA GAITÉ-1,YRIQUE, à 8 h. 25, le Voyage de Suzclte, opérette à grand spectacle (Mmes Le Dantec, Gilbert, Chabannes MM. Jysor, Dubosq, Frediani et M.Détours). Orch. P,. Letombe. Au NOUVEL-AMBICU, à 8, h. 45. le Maître de Forges. (MM. M. Lamy, Coizeau, Chanot, Bassep'l l_MSÎ?iJ!ii^P-2Pi;-Px'^î- C^erc- ̃" LI~Au Palais-Royal,( à 8 h. 30, Là-Haut •(MM. Boucçt.etfSerjîus. JJSuis, Blanche et- Gâbins; 'j Mines Marine' Duguet, Simone Montalet, Lirie Bady, miss Annic).

A L'ATHÉNÉE, à 8 h. 30. -/a Sonnette d'Alarme (Mmes A. Leriche, M. Soria, M. Praince. Florelle MM. L. Rozenberg, P. Stéphèn, G. i Galletî Bender, Tc^rn^yr, Capoul et Arnàudy) Au Théâtre MARIGNY, à h; 45, La Reoue de 1923 (Cassive, G.Milton, Palau, Gaflét, Gilbert Battaille, Noël Laut, Moskovinà, leirio Goriiez et Mlle France Martis).

Au THÉATRE MICHEL, à 9 heures, les Ballets Humoristiques de Tera Guinoh. Spectacle' gai. Matinée vendredi et dimanche.

Au Grand-Guignol, à 8h. 45, Figures de cire Miretie'a sei taisons Sut' la dalle Après vous, capitainé. Merc, sam.. dim. et fêtes, mat. Aux CAPUCINES, 9 heures, Epouse-la I avec MM. Géo Bury, Fred Pascal. William Burtey, Fernonjois, Courbel et Mmes-Rachel Lauwers, Paule Arna, Yvonne Yma, Pascaline, J. de Castella.

A LA POTINIÈRE, à 9 heures, Cent Blagues, revue de MM. Max Eddy et Henry Hallais (Alice Soulié, Larner, Missia, Steph. Wëber, G. Perier, Decayj^et Therval et Simone. Melïille). ̃ _i^;ux" .NCÛVEÀUTÉS; à~9 'hïùïes'. lès Linottes avec Mmes Cla£a. Tambpur, Natacha,5 Jenny' Racks»n et AndrêV-A4"v;kf- î:'»Mlvl-Barral, M^rcèr

.yailée,_sJean.Sifir!pfst..et..René Bujssy,

"rÂ^tA "Scala, à 8 h..45, Une poule de luxe l(M.EE!Qul^aî&Mné Germaine* Lix> >'

10PÉ,RA-Coh9IQUE :1 ,<

Opéra-Comique. i«- Mlle Jeanne Myf'tale vient

de reprendre le rôle de Rozernn, -du Roi d'Ys, avec un éclatant succès. La brillante cantatrice s'est affirmée comme une des meilleures interprètes dans le rôle où brillèrent tant d'illustres devancières. Bette représentation au résultat de laquelle il convient d'associer Mlle Pérelli, émouvante Margared, MM. Mamy, Sauvageot; Lafontlet Tubiana.

Mme Cesbron-Viseur chantera, dimanche soir,

"i"

Mme Cesbron-Viseur chantera, dimanche soir,

i- i ^LA SUISSE v-

Hôiel de Lausanne. Place "de la gare. Reconim. i aux voya| et tourisfesi' Chdrnb. depm's i fr. Lausanne-Ouchy

Beau Rivage fciàïacê ,•' i- Pare superbe. Au bord du- lac. Tennis.

Savoy Hôtel. Grand parc ombragé. 3 tennis.

Concerts. Garage.. -• -i-

\t)~- "']3°" ;jJÕt~¡s. i'al~ce~ 'Mur~vi,i~.

VMV«_ .D_- 'Hôtels. Salace, Murevan,

lllarSTSUr'KeX Bellevue. Golf. Orcbestre.

Garage. Juillet. Championnats' intern.: de tennis de la Suisse. Pension depuis].: Palace, 40 fr. français Murevan, ia B.ellwue, 23. -w Grand Hôtel du Parc. Hôtel de famille confortable. Tous sports Amusements. Prix modérés. Direction française. -:̃- -• -:̃ ̃:• -:• ̃ LE VALAIS

U* L 1-.» D ̃ St. Uierm. o!p.?M1l niO

ecne-leS-DainS Maison Blanche, Bellevue,' des Alpes. C..moci. Cuis. sbig. Teq; Orch. n Grand Hôtel du Parc. La plus belle iVlOntana situation. Forêts." Tennis. Golf. Garage. 10 m. funiculaire. Pas de malades. Antille. directeur. Sanatorium Stephani. Traitement affections 1 pulmonaires. Pens. depuis 45 -francs français. Zermatt

Hôtel Seiler. 1,000 lits. Premier c,rdrë.'(l;620 m.i. Arrangements avantag. oour séjour prolongé. HOTELS SUISSE, NATIONAL, BELLEVUE. Situation superbe. Tout confort.

Prix modérés.

Touristenhotel et Pension Perren. Pension et logement à 25 francs français par» jour ->LAC DES QUATRE-CANTONS T Hqtels des Balances, Bèllêvue. HàeolUCe-rneky, prop. Maison de famille de premier ordre. Ancienne renommée -•

i >-̃ ̃ ̃

la T'osca: Elle aura, pour principaux partenairesrMM. Max Bussy, Parmentier, Guénot, Tubiana. PdaTE-SAINT-MARTlN. C'est t à-' 'la PorteSajtjt-Martin que Aux Jardins de Murcie doivent passer -r- et cela au commencement de la saison prochaine. Les décors sont déjà brossés et (esdeux principaux rôles seront joués. par MUg-jB^rar^ :gère et par M. Grétillat. vi

̃«̃ ̃ i 'j

THÉATRE Cora-Laparcerie Mme Cora Laparcene vient de rentrer Paris, après un -séjour à Vichy Elle a pris aussitôt la direction des répéti- tions qui se poursuivent, en matinée et en soirée, tant au ftker que stir scèïiei '/1

On répète tte^à ef simultanément quatre des six.

ouvrages avec lesquels Mme Cora Laparcene inaugurera son théâtre 7 heodora, le Masque de jer, le Tigre el Coquelicot et l'Oiseau Bleu

i ">, '(

Mme Cora Laparcene vient d'engager M Chambreuil, l'excellent artiste de la Porte-Saint-Martin Elle a également engagé M Delphin, qui reprendra dans i! Oiseau Bleu le îôle qu'il a créé.

LA SAISON -PROCHAINE AUX NOUVEAUTÉS. Le Théâtre des'Nouveautés ouvrira sa saison d'hivenle 25 septembre avec la Maîtresse de bridge, de M. Louis Verneuil (MM. Albert Brasseur, Le Gallo, Galipaux, Vincent Hyspa, Jacques de .Féraudy, et Mmes^Regina-Camier, Marg. Templey, Davia). M. Benoit-Léon Deutsch a l'intention ;dc monter ensuite une comédie de MM. Rip et Alex Mady' (M. Albert Brasseur, Mmes Régina-Camier, Mardeleine Guitty MM. Gildès, Piérade) une comédie de MM.1 Henri Duvernois et Robert Dieudonné -/Mademoiselle Jockey; trois actes de M. René Fauchois (Mlle Régina-Camier MM. Albert Brasseur et Paul Capellani), et les Dames Chanteloup, comédie de M. Louis' BaHy.

Grand-Guignol. M. Seller vient àç 'flpf?ndre, avec un brillant succès, Un vrai costaud, Mirette a ses raisons et-j4près vous, capitaines;! l/jans s ces différents ouvrages, il a affirmé de nquv^au. ^es, remarquables qualités de comédien et >Uiï4ivgMité; de son talent. u,

̃̃'̃- ::••' '-il'ii.

THEATRE1 MiCHEt. AujOUTd hUMnatl- née à 3 'heures les Ballets humoristiques i ̃ Léger.un peu décolleté Jk. j< 'i^ .i. j:_ .C'.tst bien un. spectacle d'été. j. r >,}.{ .j Au programme r Une poule de laxe;1 e Parade de Cirque, Irrésistible Jazt-band, etc., Maxime ^(pffir'slttr. SPECTAaES & CÔNClibsAujourd'hui '] ')̃ "̃. A l'Olympia (2 h. 30), matinée avec le même' spectacle que le soir.

Ce soir

Aux i-OLlES-BERGtRE (Gut.02-59), à 8 h.30. la merveilleuse revue de M. L. Lemarchand En < pleine- 'bolïè, en 2 actes et 40 tableaux. AU CASINO DE Paris (Cent. 86-35), à 8 h.30. En douce (Dorville, Claudine Boria, Jack Edwards, W.-E.'Ritchie, Floriane et Revel et miss Grâce Cristi'e).

A L'OLYMPIA (Cent. 44-68), à 8 heures 30, Gala de la Chanson française Tré-Ki, Rose Temps, le ténor Géo Tristal, Luxor et Georgius attra,çtions les trois petits Fratellini le trio Ausohia'T'rWss 'f'etâtnifthe sisters Àbisons,' etc. E>è 5 à 7, dancing. (Pr.iîf d'entrée, :,3 francs).

|l^'jà^fSA^E^H"s.,(Elys'. 43-73),; ta gràn^ç;;

reviuè!J4r/i'5.tsflnsrteoY^4,4Û tatlçaux'. Les célèbre»

vedettes américaines les Dolly Sûlers, 300' artistes,

vedettt¡:5 amerICi,!I,ne:¡ les DollySlslers, 300 artistes,

900 costumes.

Au Palace, sut les boulevards, angle do faubourg Montmartre (tél. Berg..44-37i, à 8 h. 30, la revue Toutes les jemmes! (Harry Pilcer, Polaire/ Nina "Myràl, Dutard. Audiflred. 300 artistes) A Marigny (Elys. 01-89) à 8 h. 45, La Revue de 1923 (Cassive, Georges Milton MM. Palau, Gallet,. Gilbert Battaille, Noël Laut, Moskovina le trio Gomez et Mme France Martis). A LA CIGALE (Nord 07-60), à 8 h. 45, ExtraDry, revue de Battaille-Henri (Mérindol, Henry Jullien, Pizani, .-J-, Magnard, Maryse Tirville, A. Zim et S. Raymond).

A L'ALHAMBRA (Roq. 0-10), à 9 heures, Les Indes Romantiques, le plus beau film du monde, i présenté et raconté par M. Lowel' Thomas. A la Lune Rousse (Tfud 61 -92). a 9 h.-y les chansunriiérs Fursy, Vincent Hyspa ;J. Rieux, Cluny, de Soutter, Borin, Dumont. l'ice-Versa.illes revue de D. Bonnaud, L. Michel-Ctu- ny (Lucy Pezet, Y. Guillet, Nado Màilly).^» Aux Noctambules (Quartier. Latin, -T*. «* Champollion, téléph. Gob. 42-34). à 9 heures Hyspa, Cazol, Valier, Morelly, Deprfejoîv1 ^Bri^isP tPan(ins-Mpn^ains (Alice,. Méva et Liett,e^luerj|^). '•̃ 'A" MadeleÏne -Cinéma; L- cinq gcjrdle- ;<irien maudits, œu-iic de mystère et d'ango&e, et leyfifeirs- tfe'-fômriùr, %vec Mme Huguette Dtrflos, et les Film8parlants:GaumomT- ̃•̃-̃̃̃- :.̃̃̃ ^===^

]"j,A~[t'X'Cf~ '1 ,w $ ~1"i

Casino de PARis.-r-^ Parfois- le- ciel 4e^' .plus pur vous réserve désagréable sur-' prise d'averses subites. En louant pour la somptueuse revue- du Casino de Eârfs.ocâi; évite toute déception. Un plafond rriobib^ assure à la s!allë une. agréable fraîcheur fcjue renforce, la vue de- la splendide |pi4H-decnstal' "évôluentsde ravissantes naïades, ;e'tTon applaudit les acteurs les plus étourdissante Dorville, Claudine Boria, Jack Edwards, Thiss Gracë Cristie

/( ft^H pas de pays qui renferme, groupées sur une sur{ace.:aussi restreinte, autant de beaïilè"s naturelles que la" Suisse". Il n'^> est pjfs, non plus qui soit aussi merveilleuse- 7, men't organisé pour ̃ le voyage comme 'jjour' le 'séjour: "confouffibleà chemins' de ̃̃{er, ̃ et de belles rouies' la sillonnent 'êii touks-sens4us<iu'fiT,i,x.:p{MsJiauies altiludesi- assurant [: rïî, ainsi les comtrwnica.tip.ns faciles e(> la multiplicité des excur$\p,rïs,mdmttieihôtelière.dQnt ()ï;~ ̃ l'organisation de .'pièniier ordre..assure .tout le confoM :etrl'ag.réyie,tit:$our de longs séjours. > ̃ r– r– ̃ ««̃̃H»»'V» ̃̃ I. ,n ,'̃ V i p_

JH!<S)6@B ~~i~1~®~ ~4 ~q

;.Au bord du het'd: Premier ordre. ,•

.l, ,̃' '^olf links, QL_ Hausër,- propr.

¡; .r' ,^oif Imk~; oL,Haua2t; propl:

wSÊ HaffS^™^1*^ • Mn ^>U. '^è^a; ^_2ÎLa ^b^bi^^ I Ville élégante et agréable Centre de nombreuses excursions aux Jj environs, à Chamonix et le Mont-Blanc, et sur le Lac de Genève T LA JOURNÉE COMPLETE (Prix de pension) DANS Visa suisse Hôtels de premier rang, CA ™m \n»nk

supprimé ̃ à partir ?e «ÎBM U TOP*

Passeport seul HÔ|e|S de deuxième rang, A-f| fbûno bînm

nécessaire seul, HOte.s d~ deUXIAmeran, g, '4-0 J.tIHfr' aDPti,

nécessaire ~& «KW ifflUUd irOilÇfflÔ

Ni taxie de Petite Hôtels et~pog4ionsg.

JHuTniïxe «*•««• »*«•»* et Peifelons,: 25 IllÊS fTaÉiS

détaxé GOLF tlNKS ô PftXtlr de ttmù nW^*

I •'• :I -•' U: tM!«EP.Tiai««l«Bï FB*TIVAt MOZART. A'I.'OrtR* ̃

et EJoriane et Revel, ainsi que 20,clous;

sensationnels. Location^ Central,; 86|35.-|

~7!- rll

ÂLHAMBRA. Ce soir, à 9 heures, première représentation de gala du film t les Indes Romantiques, présenté et ̃raconté, par M. Lowell Thomas, le célèbre explorateur américain.

':o~

CONCERTS RADIOLA

A niidi 45.' -yi Radio-Concert par' l'Orchestre tzigane Radiola. V A 5 heures'. Radio-Dancing par 1 Orchestre spé-

)dal Radiolttî-'i » "•' ̃

A 9 heures. Radio-Concert avec le concours de' Mlle Madeleine Chollet. '̃̃ Cantabile (C. Franck) 2° Pastorale, solo.de. flûte Lucy Dragon (Lazare Lévy) 3° Invocation sur un Prélude de Bach, solo pouV violon, violoncelle <ét piano (Husson Morel) Air du MesSie, chafit !`! Mlle Madeleine CholWMHœnâelV. L'AngsW'dû ïOi< (F Andrieu) 6° Andante cantabila du Concerto en re, solo de violon Jermy Joly (Mozart) 7-° Poe-

fiie dite par Radiolo Lamento, solo de violoncelle

I~i.e ¡dite pa, r Ràdiolo: 8?,Lamento, '5010" Air, (,vi",olonce,l~e;'

Lucienne Radisse (P Gaubert) 9" Air de la Pas-

sion, chant Mlle Madeleine Chollet (Hœndel) (0° tic Sommeil de l'Enfant -Jésus <H Bùsser). ` 1 CONCERTÉ' DE LA TOUR EIFFEL Concert avec le concours de Mme de Florane, des Concerts classiques, accompagnée par Mlle Perola, M. Jean Vieuille, baryton du Conservatoire National, 'Mme Bachelier, accompagnatrice. Grand Air d Almerenq (Renaldo), de Heendel ^Pensées, J'ai perdu mon Eurydice, '•> de Gluck-; tes •Laçmes, de Werther, par 'Mme de Florane;.Gléopâtre ,(Aïr de la lettre), de Massenet Te souvient-il.J mé-> lodie de Auguste Holmès, M. Vieuille. L. de Crémone.

Le Bar de Foottit, rue Montaigne, ;est toujours ouvert. Mme veuve' Foottit donne des déjeuners, dîners et soupers excellents.-

–J"

lie rendement des, impôts

-oôiH"

En juin, les recouvrements budgétaires' se; sont élevés à 1,588,239,700 francs, chiffré qui accuse une augmentation "de 201 .millions 181,000 francs par rapport au'rendement du mois correspondant de 1922. tour le mois de juin la plus importante augmentation intéressé les produits "recou; vr|s par l'administration des postes (21 mil- lions 593,000 francs, s'oit 20 0/0). Les recet-*

,ie$ encaissées $>ar î'admiriîstr'atioïi, d'é^Pfe^

i'rei'istr'ement so;nt égale'rrierit ,'ttï ;pil'û',s-vaisiie

,(el,5#,000- fr'aribsrs'ôif '(ïslbpf 'aihsf qtfé1 ̃'•'$;

'.produit de la taxe sur le chiffre ''fl'ïi'ttairë^ ,(G,p00,000 francs, soit 3 0/0), et les impôts et' produits des monopoles recouvrés par ',1'a'drninistration des contributions indirectes ,(17,18-4,000 francs, soit 4 0/0). Ces..dlyer.ses .augmentations sont atténuées à. concurren- ce -de 34,661,000- francs (If ,0/0) par une moins-value que font apparaître les recettes douanières-- ̃ ••̃.]

La Vie Universitaire Ecole normale supérieure

Section des sciences

̃ Le;i,Hpmbre des élèves à admettre, -cette; annéi?, ""da'ris 'la." section "des sciences' de" l'Ecole normale supérieure- avait été fixé 'à vingt., Le jury a retenu quarante-huit can-' didafs,"dont voici les noms rangés dans for.drç de mérite

MM. 1. Dubreil, Saint-Louis 2. Dichelônne, Henri-IV 3. Cartan, Versailles ,4. Coadfiu, Rennes 5. Rèpiton-Prënéùf;' Gre-;1 ,nobje:. 6. Brunot, Saint-Louis; 7. Bp.ûtin, ^Nantes 8. Honnorat, Saint-Louis, -de, Posset,. iMaraeille. *blft W.yart, -Saint-IiBuissçi ill.l Blanc, Marseille %2.'5^1t5a*afâ3ui^^ Gr,an4'; 13. L'H-BJîifff, Samte--GenBviève:rtt1'' Goldet, Saint-Louis lo. Champion, Çâen, 16. Piedvache, Louis-le-Grand;17.,Rescher, Metz 18. Deluchat, Poitiers 19. Selzer, Marseille 20. Rey, Sorbonne 21: Reboul,Marseille 22. Mich'ot, Dijon 23, Dàrpas, .Saint-Louis 24. Mathiez, Dijon 25; Aidé-'ric L^co.mtc, Rennes 26. Chatelet,' Dijon* 27. Morisseau, Henri-IV ̃; 28. Plat, Saint-, Louis 29. Lévy, Cliaptal 30. Robba, Al-, .1 ger 31. Coulomb,: Mars'eille 32. Maurice Blçci- Janson-de-Sailly 33.' Renaud, Besançon 34. Morelle, Douai 35. 'MarviUét"/ Saini«Louis-; 36. Poncin, Poitiers 37. Bau- dot, Rennes 38. Chevalier, Çaeiï 39. Garin, Lyon 40. Busser, Sorbonne 41. Parker," Nancy 42. Guyen-Gellih, Grenoble ,43.. Mts'siér, Rouen 44. Rivière, Nantes 45., Martin,BuffoHu^46;L:eguilloclret;T6hap,tal; |7?– Debey,, Besancon- 48r-Sclî\Vob, CondSrcet. <_

Uesljycees.de/la '.Seine ei'de- la Seine-etQiée eempteht' donc 2radmisTle's lycées 'd-e prfjviijic.e, 27. ̃ ,t Voici, d'àïHeurs, la- reeaprlùto}on-.éesT ré-

sultats

s8~~Î1sc' sÙii'¡t-r;otiis; i àidont'lê"p}¡;i1ii;¡:~J~t

-Parîs-: .Saint-Louis, 8 dont le premier du."

ê^'tapment; HenrLLV, 2, dont le deuxième déclassement Louis-le-Grand, Sf-Clïaptar J.â^âa;)iQJa»f:u^Sain-te-Gei^^Jèvef-l: JâïK" soivde-Sfii!ly,l' ;.Buffoa,= -i eoiîd^^t,' 1. ^"MsaiileH, troisième xW: eJûSsement. ^Bwûàaica .^Marseille, ^-f-E>}fofi-Rennes~" 3 Caen, 2.; Grenoble, 2 Nantes, 2 f Besan'- con, S Poitiers, 2 Alger, 1 Douai,. 1 Rouen, 1 Met; !•;̃ Lyon, 1 Nancy, 1.

j; ,v ̃ ̃ ̃

;JF pute demande de changement d'adresse doit' être accompagnée de la sQii#ne de un franc en timbres-poste, pawr, couvrir une partie des frais de renouvellement de labanav,.

S; e Grand Hôtel. Hy~rothêr. r.,

Rïo»; V^hU^Àhe Grand Hôtel. Hydrothêr.

Igl IxaitDaa- Massage. Diète indiv. Orch.

Tennis. Graaçt^arçv sapins. JU >:̃ ,̃•

u c li SPO~R.T~S

îv ̃ 1 ̃̃

G0URSES:£GHANTILLY Aujourd'hui, à 2 heures,. Courses à Chantilly. rr Qagnarits du Figaro: `.

Prix Lasalle Gantelet, Camigard. ̃'

Prix de-Coije Jennie, Magieity. *> ̃ Prix.id'Ornjt: ;-Chant de GueiTe, Orrnuzdi Prix de Normaniiia' Gaurisaakar, Nlc'éas. •, Prix jd^s, Lions Tenny^pn,; Brusçambille. Prix de \lfi~Pplôyse .̃Forseti,>jNla'zeppa 11. ̃̃"]'

l\ç,Ql.$S~$:A':$:AlNl7CLoQU'D"

~.l ~~r,: .7f¡Pi,}~fl'f

L'après-midi s'e^t passé de façeuu-lrès'-

agtédble,. LJotdge ds^jâ^iTuli -a^xafmlclii .Ja-.

températuie, et sur, le plateau de la FouilIeus8,ij$- < (empet aMce M8iïï&v4l$yéit déli-l cieuse Le sport par exenipje n'a offert rien de saillant.

Voici quelques remarques Caudebdc a gène plusieurs reprises1 <-Buisson Ardent, qui aurait dû' gagner. Kmg Lear part mal .sans cette particu- lanté il> serait également très dangereux.1 Le 'petit- jockey dé Bramblë aurait été' plus adroit- enflant- moins prudént:La poulichë peut évidenamënt se 'ressentir' de la course de la- veille.

Double Luck a gagné. nettement son-prix à réclarner,

Incrdytible^'a'- enlevé -sans douleur- le. prix de 10,000 francs.

Au contraire Alba. III a trouvé chez, D'Alembert un ''concurrent "très tenace. Je crois que sur une distance-un. peu plus longue *lé5 chevaU de M. Cottevièilie aurait fini ipar t'avoir.

i. Hector II a une prédilection pour SaintQoud- Il y fournit ses meilleures courses le lot qui lui était opposé hier iV'était pas fameux;:

Prix d'Epinay: (à, réclamer. 4,000 francs, 900 ̃mètres). 1, Fiancé, à M. Hippolyte Randon (G. Thomas) 2, Caudebec, à M. Henri Rémy '(M. Mac Gee) 3, Laïs. V, à M.. Léon Houel (J, Jennings) (tête, courte fête).

Non placés 'Kirig Lear,- Gai Luron; Buisson

A_rdent, Astrolabe, Juanita III, Spotless.

̃'Ardent, Astrolabe, Jiianita III, SRotless.

Part' rtjulM'ei ,10 -francs'* .#sgn.a'at,5J3Mrmcs. ï

Placés Fiancé, 51 francs Caudebec, 66 fr.

~aj's~y,53~.r.&0~

-"(., f/it'Var feuïôn'- îèVobô ïran'ci^ :2,d0Ô. mètres);

~e Debardeur a M. !llichel Lazaod pi Sèm·'

,4. te Débardeur, à M. Michel Lazard (H. Sera-

'î>la't)'i'2v"Bramble,-à Mrife L Galtier (G' Vatard) 3,'Arrowhead, à M. Juan Toi'terolo (D. Englander) (3 "longueurs, 1 longueur).

Non- placés 'Pierre Buffière, The Pilgrim, Charançon, Vivace, Dame des Bois.

Pari mutuel ,a .10. francs Gagnant,- 31 francs; Placés Le Débardeur, 13 francs Bramble, 1-i francs Arrowhead, 12 fr. 50.

Prix de ÇrespièKS vendre aux enchères, 4,000 francs, 800, mètres). 1,, Double Luck, à M. C. W. Birlrin (M .Allemand) 2, Salomé VI, à'M. '.Georges Propper (j; AVinlifield) 3, Belle Bleue, à M. Henri:-Coulon tG.Bartholome\v)'(3/4 de'16-n-- gueur, 1/2- longueuE): ̃•

Non placés Saint George, Poule d'Eau. Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 18 francs. Placés Double "Luclf,13 francs Salomé VI,' 17 francs. ̃

Prix du Petit Triarion- (10,600 francs, 2,100 mètres). 1, Incroyable, au marquis de San Mi.feuel (F. Williams) 2, Pionnier, à M. Auguste Pellerin (E. Flockhart) 3, Rocking Chair, au baron E. de Rothschild (J. Clay) (1 longueur 1/2, 3 longueurs.

Non placés :Moonlight, Orican.

Pari mutuel à 10 francs- Gagnant, 13 fr. 50. Placés Incroyable, 11 francs; Pionnier, 13 fr. 50. {Prix de Jardy- ̃̃(han&teap, 15,000 francs; 3\100 mètres). -^1, Alba IH- au baron R. de Rothschild (M. MacGee).; 2, D'Alembert, à M. Henri Cottevieille (G. Garne/j 3, La Bougeotte, à Mme FoucrierjD^host. {L, Marie), (eng.olure,, 2 longueurs).

~~°~~8''T~ t Iqpr F~est-,

"îèss, '-t0ùrqg;;Le BaulL ̃Sylvie.,

Jè, s~, ~fJt¡r~ d Le B,aI, r, y,lvrc. 'G3

s Pari' W iMèn a- -lasfrands ^i Giîgriàiit; frah'és!

Placés Alba III, 29 francs .D'Alembert, 33 fr. 50 La. Bougeotte, 3t.francs.

Prix de GourleiU.es (6,000 francs, 1,500 mètres). 1, Hector II, âMmet. Galtier (F. Keogh) 2, Sésokhris, à Mme Marmatchefl (Ch. Childs) .3, Sévigné, à M. John Chubb (J. Qay) (1/2 longueur,, 3: longueurs).

Non placés :•' Melrose II, Fabago, Clodomir, Sundringham, Indépendance,- La Lesse, Geï Boï. Pari mutuel. à 10 francs Gagnant, 34 francs. Placés Hector II, 15fr. 50 Sésôkhris, 40 fr. 50 ̃ Sévigné, 15 fr. 50.

Lebasi

AUTOMOBILE

Le Meeting1 de ̃" Saint-Sébastien

i î4- r*U

Le Grand Prix des deux litres

Le .Grand Prix de Tourisme a -été î'aceasion d'une course 'exceptionneMeiïient dure, le cinouit de .Saint-Sébastien par ses! virages, $pn parcours sinueux a déterminé un déchet ̃énorme, puisque sur vingt et un concurrents huit seulement ^terminèrent. Un rci;ar,df;£lap.s., des ^îïajnsjïiisaions Mélégfffipliiques a àp'pbcté .qjuelque-ieonfusion u-ux résultats Sitô .Sua, ^Mjaj'tui M A.ndré Dubomiet: sont les seuls yainqueurs, les'deux catégories de. ^̃îrifreT-ériaû'FKtr.ës; .^QQ". riront- p"érsorihê~à' te|^mwâe -au dàls.Sm'ëïii :,géné.raî, «i; sur BignaM-'(pneus ËngleSert), est pred-riiér,"

TDit[nTirTrtmsM->amiïs"aTfflohcêr

S.<4\'L- Mphonse XIII ouvrit, cette fois -en-' ̃'ebre, le circmt,, servant de pilote et effectuant uii '.tour sur .son- Hispano à 88 de mayenne. •• Dès le;dé,pàr.t,And.re Dubonnet .prend la^ tête et passe .premier avec une moyenne de 104 àïl'heure il/précèâe Garnier, Boyriven, Boiilbt, Cabaillot, Duff, Aldemar, etc. André Bôi'ljot. réussit un tour à 117 à l'heure tandisique Dubonnet icônsei;ve Ja'tète, dans les petites cylindrées, ;la BugaUi de Sito Suil

JURA BERNOIS ET VAUDOIS Berne ̃ '̃> .,̃ ̃ l '•- h ̃ HôtehBristbl. Maison: neuve,' 2 min. de la gare. 'ChaHïBreS'avec eau çpurante. Prix 5'Irancs à- y^frapes,' Auto-Garage. Restaurant -̃«̃ ï -Hôtel Schweizerhof. 'Maisons de pi'èrriier ordre. i Toutes-'les chatribres :avec:'eau courante' ét 'të- l.éplionp. Grand Café-Restaurant. -> >

OBERLAND' BERNOIS i.Z. ̃̃̃'

/^ii–Vi'il Parc'.Hbtel. A 2 heures de Môntreux. VJblddU. Station 'climatérique premier, ordre. Ait. 1; 108 m-, -Hôtel de tara, disting., cuisine franç.v Conf. mod. Lift. Auto-gar. Forêts de sapins. Pêche Tennis. 'Pen's. dep. 12 fr. suisses. Dem. prospectus. Famitle, Reuteler,, Droprietaire. Inter-làken

̃Hôtel du Nord. Spéc. recommandé aux Français -qui 'Veulent ëtre"bien sans payer trop cher. E> ̃ t| Premier ordre. Eceilentë situa- (S)W^lJl tion" Arran?ements fi'anos fran-

~5L1 t`o51! çais. Garage

C_' Station climat'érique au bord du lac de' jpicZ fhoune. Centres ..magnifiques. Excursions. Paysages des plus vanàs, idylliques et

sauv'd'ges •:•

•Hôtel Kurhaus & Blumlisalp. Sit. magnifique. GQitforl. modernei ̃ Pens. 'depuis 11 fr. suisses.

1M!P'~À!r~A !PÂ!I Â(T'F ~(FW!~ à ADELBODEN (Hautes-Atpes bernoîses)

WE¥ÀISA PALACE HOTEL {. plus cossu. ^$S*?ïïSàt Heidsïeck & C MONOPOLE îkïïsïïhS

~E~( CHdI~PdGHE IRREPRGCHâBI~

H -e*i~ds#ieék CÔMOIÏOP du% L daua tom les Reatauraota vt HBte!·

domine, et Martin et Belben se (livrent à uri duel acharné, la Bignan battant finalement ïa Delage de 31 secondes. Au septième tour, iBoillot est mis hors'de coUrsepar la rup'tui''e d'un tuyau d'huile. Dubonnet active eiicore, 41 a accompli des dix premiers' tours' à 104 de moyenne, performance étourdissante vu les- conditions du parcours. Successivement, Daiwergne, Cabaillot, Carreras, 'Mdena, sont: éliminés ;le capitaine Duff, :sur Bentrley, qui, au 13° tour, était en tête du classe-̃ment. général, heurte,le parapet d'un pont et doit renoncer à la lutte. La Ford de Bas-

tera_Jc^_s^ulei.sjilisMa|kj^YÊC.les.^iMis^-«

grosses, Hispano, continué. Malgré son. gros .;r'etaT4iïte^r^deûx tours; glu^ tiojîi li'e-ùf'feljfi.t', poteatCTOvânt le's trifiûnes 'et casse sa'di-' section. Sur la fin de l'épreuve, tes pneus commencèrent à lâcher et de leader Dubon- net changeait huit' fois de bandages' ces, arrêts répétés retardèrent le: '-gentlemen po-" pu!aire qui courut 'finalement 'les 44-5- kiloin, imposés en i- h. 52' 50", soit à la moyenne' de 91 kil. 100, précédant de huit minutes'' Garnier et d'un quart d'heure Boyriven; Le' > classement générai donne la victoire à Mar< ̃ tin, mais avouons qu'il est difficile d'étaiblii?/ *"̃ un dassem-erit d'ensemble àvec des véJiii' cules parcourant -clés jdistances si différen»' tes, il entre à la Un d'une épreuve tant dd coefficients nauy.eaux en» /jeu, usure, fatigue, etc.

Quoi qu'il en soit, les pe,riforma;n:ces desl voitures, frangaises sont bonnes et déno-f' (tent la parfaite maniabilité de nos types deJ tourisme.

Aujourd'hui, se disputera, sur 700 kîlcf-i, mètres, le Grand Prix des deux litres. Sisjconcurrents seront au départ.

2 Rolland-Pilain (Guyot, Hemery) 2 B.i. gnan (Elgy, Martin) 1 Bugatti (de MargueJ, nat) 1 Ballot (Haimovici).

Les Rolland-Pilain sont les racers du ciiV cuit de Tours, onse rappelle la performanetii1., •remarquable de Guyot qui, sans une rup- •̃̃ ture du ressort de sa pompe à huile, aurait' vraisemblablement gagné les Bignan sont1' les modè"es du. Grand Prix d'endurance. Martinv le vainqueur d'hier, ci l'avantage de jiien poss^iler,,leiiCii;cuit lat;B.ugatti- est une-' quatre cylindres d'un type récent apparte-, pant»ït:ù-D elient^ "enfin", Ballot;- line^'dë»;! ̃̃"̃ 'deux, litres-classique, a ravagé récemment' le palmarès des meetings belges.

̃ Régulièrement, Guyot devrait triompher, sa machine est vite, résistante,' le conduc-" teur est un grand pilote de cette lignée su.perbe qui honore l'automobilisme français, depuis longtemps sur la brèche, victorieux un peu-partout, il doit ajouter à sa belle car-' ri.Ve, ce trophée nouveau. Rappelons que Ifc' pretiier gagnera 25^000 pesetas et une coupe de S. M. '.e Roi, le second 10.000, le troisièma^ 4.000 pesetas. Tous ceux qui termineront re' cevront une coupe et, une médaille. ̃̃Remise au point. Nous avons annoncé' que, dans la course de côte de Nancy-Bouf,11ers, le 22 juifiët, "le conducteur 'Moraine

ow_-

Carnet Immobiliei1 DEAUVILLE

DANS VOIE CALME; ET ELEGANTE

JOLIE VILLA MODERNE v

AVEC JARDIN ET GÀRÀGE

I Comprenant Hall d'entrée, salon, salle à marïj -igev, cuisine, office^- 5 chambres dé maîtres jâved i*siletts*ï salia"d'e b"àins,<'S"èha:mbi'feà;ide;'t)idnne5,1' '̃;̃; <3to.jCiiauffa'go.- EléèWcilë'. Eau éhàudeV rtiè^ ̃' bien meublée. Libre de suite. (

A louer pour la saison 15,000 francs.,

A vendre. 200,000 francs;

S'adresser à M. ESNAULT, 86, rue Désiré-Le-Hoo, Deauville (Téléphone 419).

Apport 300,000 francs est, recherché

pour intensifier fabrication `

SCIE MECANIQ. MOBILE "S6" pour le, débit des. pierres tendt^s,^ dures, granits; réalisant grosse 'économie main-d'œuvj:e' êt.àp*- pelée' à grand succès,' Pouh renseig. s'adress.J Banque PETIT JEANj 12," rue "Mon tmai'trei Paris, ,?

g LA MAGNÉTO convient à

LAVALETTEtOUS~IeS ~lOteul'~

Lavalette tous les Moteura

j r<iBR.A.mi'E''<

J ean Emile Delbrel

QÏNE

Histoire attachante d'une amoureuse;

pie, contée eh un style' de l'àtf

i V»r. ;.i;fcf/>/us US délicat}. s

> -TjQ-voly me in-18 Friâs-t-T-f r-i

ÉMILE-PAUL frères, éditeurs, PARIS

AVIS/DIVERS

1 n

T)LANCHEUR LUMINEUSE, FRAÎCHEUR, HCLA.Tt'.

y au TEINT par la .poudre FRSÏCH,EUR, ÉCLA.T,.

DU TEINT par la poudre ~CM! de Pëc/Mn

Parfume7·ie Exotique, 26, r. du 4-Septembre.

Schlosshotel Schonegg. Grand jardin. Apparu av.. bains. Garage. Pension depuis 12 francs. Strand Hôtel Belvédère. Premier ordre. Gd parc. Situation uniaue. Cuisine frans.-Tennis* LE TESSIN f

Lugano

Hôtel garni Walter. Maison d'ancienne renom- mée. Confortable pour familles et touristes. ̃ CaW-reslaurant..l. Cereda-Mamenisoh, -propriét; LES GRISONS ET L'ENpADINE

f-1 'T ̃̃ Près "̃ Saint • "Mqritz, 1,750 mtlrcS»

l'érinacresta-Palacë. 200,lit~5. Gi-aiid.coiiy*

Veienna Cresta-Palace. 200 .lits. Grand. coh»-

̃fort. ̃ Tous sports d'été. Orchestre.

C i. \A “̃, Hôtel Suisse. De 1er ordre. Re,?

aaint-iV10ni?c.ommaridé pur des l'amilles françaises. Dernier confort. Position centrale. Pension depuis 50 francs français r:- -:•

'S' ho, h '1 B. Soui,ce~ tiiei,i-nalaz:

Schinznach-les- Bains suilweuse lieà"piu$~

c mznac es- sulJureuse La plu8

(orle de l'Europe. Contré goutte, rhumatismes, maladies de la peau, catarrhes chroniques' b<-onchiles avec asthme, suite de varices, maladies, des os, maladies îles articulations et des glandes lymphatiques, scrofutose, ladies 'féminines. Cabinet de Bayons X. Station pour enfants. Garage, tennis, orch. Grands parcs. App.urlem. avec bains privés et eau courante. -:•

Pour tous renseignements et publicité, s'adresser en Suisse, à l'Agence du a Figaro » *• 1?, rue du Mont-Blanc, à .Genève. -;̃. '-(.


avait couvert le kilomètre, départ arrêté sur 7 chevaux D. F. P. en minute, 60 secondes. C'était 1 minute, 6 secondes qu'il fallait lire.

LAWN-TENNIS

LA COUPE DAVIS `

lOI

La finale de la Coupe Davis, pour la zoïie européenne, se jouera entre la. France et l'Espagne à-parlir de demain samedi sur les courts excellents, encadrés de fleurs et d<i massifs de verdure, du Lawn-Tenhis Club de Deauville.

Les. joueurs français et espagnols sont de,p'ui,s nier à Deauville où ils se livrent à un eiitçaliienioiit suivi.

Si la composition de l'équipe espagnol est 'd'ores et déjà connue, puisque de Goiner' et Flaquer seuls en font partie, nous ne saurons que le matin même du match ceux îles joueurs 'français qui participeront au simple ou au double, le capitaine de l'équipe de France. A. -II. Muhr, ne devant comïuuniquer son équipe au juge-arbitre, M. Gallay, que ce' soir vendredi en ce qui concerne les simples et demain soir samedi en ce qui concerné le double.

Cochet, Bianchy ou Lacoste, joueront en simple. Le double français sera probablement formée de Lacoste et Cochet. Les deux premiers « simple » se joueront samedi, le double dimanche et les deux autres a simple » lundi.

̃ Mlle Suzanne Lenglen, J. Borotra, Max Decugis, Hirsch, etc.. participeront dimanche à des malches exhibitions.

Presque toutes les places réservées ont 'déjà été retenues, ce qui fait présager un très grand succès. P. C.

Le Tournoi de Vichy. Le Tournoi International du Sporling Club de Vichy s'est terminé par la journée des finales qui avait attiré une très élégante assistance. L'organisation du tournoi, assurée par M. Chau- e'hat de Bemicville, qui fut un parfait jugearbitre, et M. Dournel, secrétaire sportif, lui: impeccable..

Mlle. Yvonne Bourgeois a remporté le (championnat simple de dames en 2 sets, battant Mme Caiiivet. Dans le simple, R. Da»et eût raison, de Lift', en sets. Nouvelle [Victoire de Mlle Y. Bourgeois en compagnie ris sa sœur Mme Pigueron dans le double de dames sur Mme Berbos et, Mme Canivet qui firent,. une très belle défense. En double ïuixte, Mme Pigueron et -Lift vainquirent Mlle Y. Bourgeois et Germol. En double, la ̃finale fut particulièrement disputée. Maurice (Jermol, le partenaire allilrç de Max Deeugis pendant de longues années, et Roger Dunel,. un jeune espoir 'français, triomphèrent des frères Goulteuoire, par 3 sets à 2, :a.pr,ès une lutte sévère. Voici les résultats .complets à partir des demi-finales Championnat simple, de dames. Deiiii-fina-

¡os: ;4111e Y. BOlll'g.:ois JI,\Jn1ü l\lonton, (j-3, ti-2

Jos- Mlle V. Hourf>(iJs }>. Mme Mouton, G-3, 0-2

Mine Canivot b. Mme Wgneron, 5-7, -M, aban-

donne. Filiale Mlle Y. Bourgeois b. Mme Canivcl, 6-2, Ci-4. Championnat simple. Demi-finales R. Daiicl b Ciiuivel, l>-2, 0-2 Lift, b. G. Gouttenoire, 5-7, G-4 0-0. Finale H. Danet b, Lift, 7-5, (5-1, ̃Championnat double de dames. Dcmi-Iinales Mme Pigueron cl Mlle Bourgeois b. Mlle Duhot et Mlle Guieluircl, 0-3,,G-2 Mme Barbas et Mme Cunivel. b. Mlle Pacheco et Mlle Lolan, U_0 (j.| Finale Mme Pigueron et Mlle Bourgeois b. Mme Barbas et Mme Canivet, 0-2, 8-0. Championnal double mixte. Demi-finales Mme Pigueron et, Lift 1). Mme Canivet et Canivet, '<)-;j. 0-2; Mlle V. Bourgeois et Germot b. Mme Mouton o.l Dmiol, ti-2. 0-2. Finale, Mme Pigue3-on et Lift b. Mlle Y, Bourgeois et Germot, G-l, 84i. :r- i. ,• ̃̃; Championnat double. Demi-finales H. et G. Gouttenoire b. Liït et Cauivet, 4-6, 0-2, 0-i Germoi cl Panel J). Pan et l>a Silvn, 0-2, 6-4.- Finale Germol et Danel b. H. et G. Gouttenoire, '3-0, (i-2, 7-5, 4-0, 0-1.

Handicap simple de daines. Demi-finales •Mlle Samouilliaii (15) 1). Mlle Lotan (4/0), 0-0,6-1 .Mlle Laussel (i-0) b. Mlle Belia (15), 4-0, 0-2, C-3. Finale Mlle Samouilhun b. Mlle Laussel (15), 0-1 G-3.

Handicap simple. Demi-finales Du Vivier (5-0) b. Pigueron (5-0\ 0-3, 4-1, abandonné Da JSilva (0) b. Allègre. (30), 0-5, 0-2. Finale Da tSilva k du Vivier, 5-0, (i-3, 0-1.

Handicap double. Demi-finales H. et G. Goutlenoiro (30-2) b. Barnerias et Mérite (2-0), G-5, 1 2-0. O-'t Figueron-Barbas (1-G) b. Ramillon et Barillet (il), (i-3, (i-'i. Finale Pigueron et Bar'bas b. M. et G. Goutleuoirc, w. o.

Handicap- double mixte. Demi-finales Mlle Rivière et lUmiillon b. Mme Duhot et Duhot (2-0), 6-1, 0-0 Mme Pigueron et Canivet (30-2) h. Mme liai-bas et F. Blanc (3-6). 0-1, 0-3. Finale Mme Pigueron et Canivet b. Mlle Rivière et Raliiillon, jO-S, G-3.

AÉRONAUTIQUE

La fête de Romainville. M. Laurent-Eymac inaugurera demain samedi le stade aérien de Roïnainviile, stade destiné à l'entrainernent au vol plané..

l.es aviateurs Sadi-Lecointo,- Barbot, Fron,Valj. lïossoutrot, de Marnier, Bajac, "La'bouchère, Maulet prêteront leur concours. Des1 .̃démonstrations de vol plané auront lieu, îles 'espadrilles du Bourget survoleront le stade, tandis que se disputera le prix Jean CasiTle, réservé aux planeurs.

LUTTE

Strangler Lewis à Paris. Le champion 'du monde de catch as catch can, Strangler Lewis, est arrivé à Paris, il compte séjourner en France quelque temps et ne se refuse pas de rencontrer nos meilleurs spécialistes. Robert Roth, champion olympique et mondial de lutte libre, Salvator Cheva-

euilleton du FIGARO du 27 Juillet 1823 f

LA PRINCESSE AUXJXOWNS n

(Suite)

II faut' dire que la GeoTgévié était, en fait, gouvernée parles ministres du Tsar et que Dobrowski, liaimme effacé, .presque aussi invisible que .son grand-duc, sôlKwiKHL-à promulguer les lois et décrets envoyés, p-ar SainUPél&r9bourg-. Au .début de l'été 1914, Olga AUe-xanWrowna était venue à son tour, a,ccoiinpagnée de ses ipare-nts, irendre visite à son liancé. 'Celui-ci, comune il convenait, avait tout d'abord «passé, en -comipagnie (du (grand-duc. Alexandre, une revue des cosaques de ,sa garde, et la jeune lille avait remarqué qu'il montait assez apa.l-â chevail et que son u-nifonm'e semblait le gêner affreusement. Aujourd'hui, tous ces détails revenaient à sa înâmoiro elle se soutenait imème n'avoir pas pu s'emipêcher de sourire en voyant Michel déplacé sur sa selle par un écart de sa monture.

.Buis, les concerts avaient, succédé.. iaux* concerts, à grande joie d'Olga, très éprise de musique, mais au grand énervement de l'ataman. Celui-ci eût infiniment préféré que son futur gendre topyrigth 1923 by Jeun-José Frappa^

lier, champion interallié de catch, ont lancé un défi au prodigieux athlète, américain. GOLF

Sporting Club de Vichy. Sur les links d3 Vichy 28 joueurs participèrent au concours-cinietière. joué récemment. RésulUils: 1. Capitaine Wardrup, -au 20° trou 2.- Ross, sur le 19° green 3. -Corington 4. Mme J .Bresse 5. N. Summers etc. AVIRON

Samois-Country-Club. Après le concours de natation et la, fête vénitienne qui eurent un succès si complet, des. régates en canoës indiens ù la pagaie et à' l'aviron viennent d'être ûprement disputées par les membres du Sumois Counlry Club 'cl leurs invités L'a, den.ièrc course qui consistait à pa- gaycr debout en' équilibre égaya fort lès" spectateurs par quelques plongeons forcés dont elle fut la cause. Dans l'élégante et nombreuse assista nce, nous avons pu, remarquer MM. Peixollo, de Hait, Braun, Chanlaire, Emden, comtesse de Turennë, docteur Collet, Mines Jacques Porée, Mullor, II 'Michiels, de la Meilleraie, J. Malafossc, Reimbold, A. Bertrand, Lambert, Moussard, Salinas, etc.. Voici les résultats Canadienne, 2 pagayeurs, a la pagaie indienne. 1. Docteur Roy et II. Alban 2, Heineman et doeleur, Orlion 3. Meyer-Oulif frères..

Canoës canadiens, 1 rariieun, J barreur. lr* manche 1. Pélissier, de l'Olympic de Billancourt 2. II. Alban 3. Rcmrquin ;i. Cliapellier 2' manelie I. M. de Puyfpntame 2. docteur Bov 3. Chui'lin A-. Beimbold. •̃– Filiale 1. M. 'de Puyfontaine ;-2. Plèssidr 3.- docteur Roy 4. Alban." Canadiens, double fagaie.- 1. Heineman 2. de la Maillerai'e 3. P/Mcycr 4. docteur Ortiil 5. Paule.

Canadiens, debout. 1. Heineman'; 2.'Haguc- net-; 3.' Youl-c* Moleux L- Chur-liii-; ». "doeteur- Ortion.

LES ARMES

Le Tournoi de Mers. Ce tournoi d'épée organisé par le maître Bourdon se tirera les 28 et. 2U juillet au Casino de Mers. 11 comprendra une épreuve par équipe de quatre tireurs, un niallre à volonté et une épreuve individuelle. Les engagements qui sont, d? 10 francs pour les équipes et de '51' francs" pour l'individuel, sont reçus par le. maître Bourdon, au Casino de Mers (Somme). ? [[ LES TIRS > 7 A Deauville. -Au ïic .fljux ^Rfeeoi)jC4(t- Deauvillele Prix Gourgaud (15,000 .frantfsf' h-andicap); a r.éuni'Tt tireurs. Résultats; 1 Tiavko Uiéhcpîn' et ''Makiiiio Lùfelj\re-Dcsjitaux, 15 sur 15 3, Bentivogno et.mai-([uis AnUnori, 14 sur 15 5. Guastalla et Piccioui, 12 sur

13.

Le Match des Nations a été gagné par l'équipe grecque. Résullals 1. Salvago.et docteur Halii (Grèce) 55 sur 00 2, Doi'mion et docteur R. Doyen (France) 54 sur 00 3. Guastalla et Marri (Italie), 53 sur 00. Les équipes espagnole, belge et de la République Argentine venaient ensuite. Déplacements et Villégiatures des Abonnés du «Figaro»

Mme d'Auby, à Sainl-Palais-sur-Mcr, Mine Léon Boulloclûî, au château d'Ambleville Mme Jean Bovet, à Seloncourt M. et Mme HobertBienaimé, à Marly-le-Roy M. le baron du Bluisel, au château de Parcnly Mme Isidore Braun, à La Baule Mme A. Barillet, à Sallanches M. Barjonet, a Digne M. Eugène Balut, à La Rochelle Mme II. Bécliet de Ballau, a Montliois; Mme Maurice Bernard, à Mont-BOus-Vaudroy M. Albert Boudousquie, au château du Marais Mme Théodore Boris, à Saint-Pierre-de-Chartreuse M, A. Berline, à Brides-les-Bains Mme N. Botussis, à Marienbad M. Jean Cliantagut, à Rothéfieur; Mjtie Ja coirileBse Henry des Corcles-, à bcuuviile M. Louis Carrière, à Vicliy Mme la comtesse B. Clauz'ei; a Ville-d'Avray Nillc Gabriello Certas, à, Eglelon Mme Albert Caillé, à Saiul-Jean-cle-Bouriiay Mme Jules Uanbé, à Royal Mme Drapier, à Vittel Mme Decrion, au Mont-Dore M. Adolphe Demangeul, aux Boucheries Mme JÏbiscli, à Lu Baule M. Léon Esculaïs, à Cuxac-d'Aude M. Adolphe Frank, à Saint-Jean-de-Luz Mme Jacques Fould, à Deauville M. P. l'"essou, à Vétheuil M. If. Firinenich, à -Genève M. des Forêts, Les Pluyes-StAmbroix M. A. Guuvain, à Chalon-sui-Snône Mme Guiilannoii, à Saint-Gervais-lcs-I- ns Mme E. (joupy, à Langrunie-sur-Mer M. le docteur F. Gilis, a Royun M. Grosclaude, a Exbury Soutliampton Mme de Guringaud, à Luxeuil; M. René Heimanu-, à Clnunonix M. E. -I-Iodcau, à Néris-Ies-Bains M. Charles Heuzey, à Deauville. M., Antoine Hanus, à' Cliarmes Mme Estienne Jacquemin, au Village des Comtes Mme Jules Jacquet, à Scrvance M. docteur Raoul Jay, à.Barbezieux ;,Mme B. Kplin, a Cabourg .M. le général Dominique Léandri, a Verneuilsur-Avrc Mme Jean Ly.on, à:l-loulgate Mme Louis Mercier, à Baliraeq M. Alphonse Lazard, à Houlgntc Mme de Laoutre, à.Osteude M. Louis Lefèvre, à Guéthary Mme Charles Lourde, au château de Fonguitard M. Fernand Lnudet, à- Barbotan Mme S. Lévy-I-laussmann, à Houlgaie Mme J. Lasnier, à Saint-Gervais-les-Bains; M. Michel Missoffe, au Conquet Mlle Th. Ma-

OPERA.COMIQUE OPÉ:RETTE COMED1E S ,0 N ,'0 ASI N 0 (1'\rouvell~ DE GAL6

CONCERT5 r~c~ 6~.TES ENFAN lN ES

GOUTTE ~1~T~ ';s" V' 'I,:UL:j,'E' GRAYELLE

C~l~`R: L~t~ 6AAVELLE

DIABÈTE "'i ARTHRITISIVI~

GURE9EDÉSINTOXICATIQN 0 -0- ~1~ ~0 CURE D'AIYIAI~aRISSEWIENT

SES GRANDS PARCS SES NOUVEAUX HOTELS SON GOLF ET SON RESTAUR4NTCHAMPETRE TENNJS CLUB C!')0 NOUVEAUX COURTS ATTRACTIONS DES VillES D'EAUX EX'CURSIONS DES VOSGES Vue splendide Jardin privé JE3EOT~E:J-t C3C~S]MEOJE='€~J-tJ:'r~9LU'<T Moderne et, de premier. ordreLe plus près des Tennis et du Colf PETIT PROPRIÉTAIRE En faée'du~Purc de /~«!6/.Memen(_~

organisàt pour lui une chasse à l'ours dans les montagnes. Aussi, dépité, grincheux, s'était-il arrangé pour ne pas prolonger son séjour en Georgévie, où il commençait à crever d'ennui au bout de huit jours, et avait-il pris prétexte des nuages qui, déjà, assombrissaient l'horizon politique pour regagner avec les siens la capitale de l'Empire. Avant de sortir, Olga, désireuse de flatter les goûts de Michel, avait exprimé à ce dernier le désir d'entendre une de ses œuvres, et, le jeune homme s'était, empressé de jouer un soir pour elle seule une mélodie qu'il venait, disait-il, d'écrire- en son honneur. Elle avait- et' infiniment touchée de cette iñteution', preuve évidente"; que âbn fiancé, malgré son apparente froideur, pen:sait à elle dans ses instants, de .solitude, si sa composition lui était apparue' comme la plus belle du monde, .encore qu'elle fût bien mélancolique et languissante' pour un hymne d'amour. Mais les petites princesses ont une sentimentalité facile à contenter. Comme leurs fiancés couronnés, ne leur donnent généralement, pour étancher leur soif d'idéal, exalter leur âme et faire battre leur cœur, qu'un brevet de coloii3l honoraire d'un régiment de hussards, Olga Alexandrowna. se trouvait être une privilégiée, elle qui pouvait emporter le manuscrit unique d'une mélodie, dont elle était l'inspiratrice. Elle comprenait cela et en éprouvait une .grande- fierté.Aussi pensai t-elle.v;ay.ec.. douceur au grand-duc de Georgévie clans le train spécial qui la ramenait chez elle à travers les- immenses plaines russes.

Certes, ce n'était pas encore de l'a-

̃ger, à Saint-Malré M. Mûroau, à La Qaule M. Mouchet, à Iitrclat M. Eugène Munheim, à Biarritz Mme M.. Moutclar, ù Deauville Mme Pierre de Monferrund, a Tounion-Saint-Marlin Mme Marins Omer-Dégugis, à l'Ioulgnmm M^. le comte P. d'Oiîltremont, à Gouville Mme Maurice.. Piot, à La Pipière M. d(^ 'Peyerinilioff, au château de Aiedavy M. Paul Peschel, n Ari :gers M. U: 'capitaine Poindron,. à Biarritz Mme Louis Picard, à Uriage M. 'Edouard Houx, au château de Charry Mme Jules Rlieims, au. Mont-Aigoual': M. Rau, au clutte.au 'de Monte, .reau Mme Alice de Hakoczy, à Deauyille -Mme :R6usseau-Liéiïiu-t, à Lu Bourboule" \ïme, Lucien Rolland-d'lvstape, à Uriugc Mme Henri Rochefort, à Font-Romeu Mme Roull, à Sahit-Laur.. rent-sur-Mer -Mme la comtesseSèriorine, a la VilIù-LaïnberUch-Plorec .Mme la vicomtesse de- Saint-Léon, au château de Bonnuban M. de Sorbier de .Poinrnndovessc. ;i .Riiluit M. David de Sauzéa, à Trébotiï Mme Miirie .Simon, au château de Challes M. le Comté O. de ToulouseLautrec, au. châtemj datUrHaïchnis rMnie la du- chesse flHJzes, à ril(!-du-Burdor Mme la coût-tçs-le Gilbert de Voisi'ns, à Cbiuiîonix Mlle de/ ̃ Vcrez, à Thufis-lcs-Bains Mme la iimrquise"der- Vislabella, ù Berne M. le vicomte de Westbe'i- mer-, à Villel Mme LOopold Weisweiller, ù-Ma-i- rienbàd..

̃ ̃ AnnivEES a PAius.

Mme Boissarie, M. R.-M. de Elizalde, M. Malzuda, Mme Seyrig.

A LA RELIGIEUSE -DEUIL IMMÉDIAT 32 Place de la Madeleine 2 Rue Tronohet. PARIS Petites Annonces Paraissent tous les jours et sont reçues 26, rue Drouot, de 9 h. à 19 heures

14, rond-ppint des Ch.-Elysées, de 9 h.30 à 12 h. >;» »» et de 14 h. à 13 h. 30 à la librairie-papeterie A. JWartip, 7, r. de l'AJbgiû AUTOMOBILES VOISIN 18 HP C 3 lg.torp.G pl.,cbâs.rte lux.Vis.:2-0,r .Durci PENSIONS BOURGEOISES 5 fr. la ligne. VTEUILLY. Familie du monde "prenâ pénsfëtr-1*' lunaires.. 7. rue Amiral-de-Joinville. Tél. 17-

MAISONS RECOMMANDÉES c: 5 fr. la lig-fië

̃^> .̃y.Jtw.M^tf.AHwgnl;atJ.°ttris ̃:̃ LA GRANDE) IJVÔKVH FRANÇAISE 'T M^BIOTINE Tfm liïl l S T r#- Robes et Manteaux

fkABFViAr Pour lés départs, robes r>

D[/1[lltiU evh~aordinanes dépàris, rOlJcsH'f',

IlUIlllilv extraordinaires ù partir de 200 fr. H

18, rue: Royale. Ouvert samedi apr.-midi, Soldes. HOTELS RECOMMANDES Paris MAISON DÎ^AMILLEsf père (Pare Monceau) (Wag. 47-73), appartements et chambres, tout confort, avec salles de bains particulières, téléphone dans chaq. chambre,' dans SPLENDIDE HOTEL PARTICULIER,

OCCASIONS Divers: 5 fr. la ligne TJT TATTY or> achat i- 15 f-lG SrM platine 50 f.; DIJULJ A vx dentiers j.20 f.la dent. Brillants, perles j.0,000 f. le carat. Viseur, 80, r. Si-Lazare. On demande orgue MUSTEL d'occasion. Ecr.: 2946, Bouly, 11, boulevard des Italiens. TRAVAUX A FAÇON 5 fr. la ligne

DJî'TATTrT'DFQ Plllâ bcaux trav.' Meill. prix.

P~I~rRRS-U;v~ ~t=~i~,l~.

rMdTt'U'it.U'S~ËpË~Yr~Jt?~

RENSEIGNEMENTS UTILES

Mariages 10 fr. la ligne.

Monsieur veuf, rentes dépassant vingt mille francs, désire épouser dume environ -15 ans, approchant le même revenu, personnalité, bon ̃caractère, éducation, de ̃préférence à loi-lune. Ecrire Royal, Figaro (Annonces). ̃̃

T\ k 1TP dist., excellent milieu, parlant angl., 1/li.luJ-i désire épouser Monsieur gai, fortuné, intelligent. Ecrire Yolande, Figaro (Annonces). MARIAGES RICHES et p. ttes s:l.:honor. Mme Hardouin,02,r.Mauteville. Apr.-mid.Fùnd.iSiil. M A T)T A PV^ GRANDES RELATIONS

1uAIV-1x1.VJIjO Mme Stell, 33, rue Pigalle.

Divers 5 fr. la ligne.

T\ A Tlf Tji soi'ieuse;: dist. parlant anglais,, déJL/illiilli sire entrer .relations avec perspnne fort., intellcc. Ecrire Liane, Figaro (Annonces). AT, ATTTQ ex-direct, gd Cab. et coin, police. JÙUU 10 Missions mondaines et autres. Surveil. Enq. Rech. Divor., par personnel spêciàlis0.22,pl.Mudeleine(T.:Cent.59-85,07-G5,O74Ci07'G7).

S O"[J" M:t nC1 E 7D'>CT .8'P.I L O N

Action combinée cORDR~inéctL\/DR~;hl1t~,t les reins -1 ÉlECTROTHÉRAP'1E

ÉTABLfSSEMENT THERMAL DE PREMIER ORDRE HYDROTHERAPIE MÈCdNOTHÈRAPIE ELECTROTHERAPtE

mour quelle éprouvait pour lui, ce sentiment étant banni, en principe, des unions que les femmes de son rang peuvent contracter, mais une délicate reconnaissance.

Elle lui savait gré de ne pas s'èl-rc abruti, comme beaucoup "de ̃prihéès qu'elle connaissait, en faisant la- noce avec des filles de théâtre 'ou, ce' qui est 'certainement plus dangereux, avec des femmes du monde, et de joindrc a une naissance illustre quelques aimables qualités de l'esprit. Oui, elle se sentait particulièrement t choyée par la Providence, puisque, contractant une union qui lui devait assurer dans le monde les honneurs réservés aux altesses régnarirtes, elle y devait encore trouver i'agré-

nip"t" rl'ùn mari rlélicat. et artiste.

Hélas,' cette Providence, dont les d.essei.ii'a soin impénétrables, s'apprêtait à frapper cruellement Olga Alexandrowna> au moment précis cette aimable princesse élevait son âme vers 'elle .dans un grand élan de gratitude. Elle en use souvent ainsi avec les puissants, afin défaire voir au monde, comme le dit excellemment Bossuet,.Jc iiiéantvde ses pompes et de ses grandeurs et, lui donner -d'éclatantes leçons dont il s'entête, d'ailleurs, ce monde léger, à ne point vouloir profiter.. Et nunc, cfudimini qui fudicatis terrarn.-

Une série de malheurs privés ou publics devait réduire à néant les beaux projets et les doux rêves de la petite ,princesse 0.1~a-e.t-lui-inr~porer des:ép;œuves si nombreuses; qu'elle allait bientôt pouvoir s'écrier avec l'auteur de limitation « C'est vraiment une grande misère que de vivre sur la terre. »

Eh effet, peu de jours après sa ren-

«codirection: i SqnÊkp|>i'tnflfesances spéciales à jeune homme dibiwsfeiw de •"125.000 francs. Garantie 1«, ordre. Situation 40,000 l'an.

jFMR.-FAX,- V. O. P., U, rue Pasquier,

J.

̃–TOURISTES– Un certain, nombre, d'hôtels en Europe nom versent /H une redevance annuelle pour vous fournir sratui- H tetnent des renseignements détaillés et des prospectus fl -> concernant leurs 'établissements H M Nos Bureaux sont donc à votre entiers disposition I AMERICAN INTERNATIONAL I t HOTEL BUREAU ` 1 20, Rue delà Paix, PARIS– ,P

TATiT1 DADTQ Annuaire de ta Société

~1-PlIRIS parisienne de la Société

lVs/iM-!l~riiIllO parisienne (39° année),

1923 et des théâtres.

rfi^T^rn -r. i T.Tii •50'000 Noms et Adresses.

TftT'lT-PA TîTiS Plims des arrondissem. 1Q3Q L'n fort volume relié 1.200 iy~i pages. Pris 25 francs.

5 fr. la ligne

trée à"Sa"int-Pétersbourg,le> grancl-duc Alexandre- Dimitriévitèh était' ftaudroyé par une ajtaque cependant qu'en eewipagnie d'un certain nombre, diamisjîtd'arlistes chorégraphiques" il cherchait- dans l'enivrement- de- l'an-i-our- et-du-éfo-a-mpa.gne'à. se'consoler des huit 'jours1 austère-

ment' musicaux passés à..la..cour-, .de.

Georgévie. î

Ramené .chcz.^IuT ràkiiiit- et s.err.a.nt dans s'a main- crispée xinVmMicfdoidhe- veux blonds, il môuraï L"( dans la nuit, sans -avoir repris connaissance. Â:peiue le malheureux alaman était-il couché dans sa dernière demeure 'que la guerre ëçlalai-t.- Michel lit, accouru pour assister aux obsèques- de son îutu'r'beaivpèiio,d.evai) reparlk' en hàle afin :dë- se; mettre a la tête dircorps d'armée dont le' commandement lui était dévolu- -par droit de naissance. ̃ L'événement le prenait' môme tellement au dépqjiçvu: qii'il se .voyait' contraint de perdre quarante-huit heures pour organiser le petit orchestre-dent H désirait ètre'suivi en campagne afin de charnier ses loisirs. Poui* être juste, empressons-nous de dire que ]_e;giand quartier général avait pris la précaution de lui donner un chef d'éta t-inajpr n'entendant, certes, .-a'ie.n-, àl'harmonie, mais possédant'-des 'talents militaires réels et que le jeune 'grand-; duc était assez .sage pour se rendre Compte qu'il serait plutôt une gêne pour cet officier de carrière, dans la période de -mise en route: <̃̃ -̃> Le -mariage d'Olga Alexandrowna, "ç>rimitivément fixé au mois de septembre 1914, se trouva donc remis ù une date indéterminée. Elle accepta vaillammentces premiers coups du sort et, laissant

CHEMIN DE FER DU NORD La Compagnie du Chemin de Fer du Nord a l'honneur d'informer le ])ublic que le dimanche 5 août prochain elle organisera un train, de plaisir à prix réduits (deuxième et troisième classes) aller et retour, dans la même journée, de Paris au Tréport. Paris (nuit du 4-au 5 août) dép. 0 h. 27 SaintDenis, rîép. 0 h. 37 Le Tréport-Mcrs arr. G heures 5.

Le Tréport-Mers, dép. 20 b. 10 Saint-Denis, arr. 23 h. 23 Paris, arr. 23 h. 33.

Prix des. billets aller et retour, de Paris ou Saint-Denis au Tréport

Deuxième classe 30 fr. 25 troisième classe 20 fr. 25.

OHM DE _FERD ORLEANS UN NOUViiAU BUHIUU-VOYAGEURS DE LA COMPAGNIE D'ORLEANS

121-, boulevard Raspail, Paris

Pour donner au public de nouvelles facilités en lui évitant de se rendre à une gare pour les formalités préalables aux départs, la Compagnie d'Orléans vient d'ouvrir un bureau spéciafëmerit affecté au Service, di-s Voyageurs, 121, boulevard Rùspail. Cl'élépbonc Ségui; 02-12). On trouve à ce Bureau les diverses catégories de billets au départ de Paris pour toutes garés du Réseau d'Orléans ou de ses au-delà, ainsi que des brochures et prospectus illustrés concernant les voyages à effectuer sur les Réseaux d'Orléuns et du Midi.'lTouraiiie, Bretagne, Auvergne, Pyrénées).

Il est possible d'v louer ses places dans les trains rapides et express, dans un délai commençant sept. jours avant la date fixée pour le départ et', jusqu'au 1er octobre, les bagages y seront acceptés à l'enrogistremenl comme ils le seraient dans une gare.

SAISON THERMALE

à La Bourboule et au Monl-Dore

'Train supplémentaire rapide de voyageurs lotîtes classes et wagon-restaurant entre Paris-Quai d'Orsay (départ 8 h. 47), La Bourboule (arrivée 17 h. 59) et Le Mont-Dore (arrivée 18 h. 20), les samedis, dimanches, veilles et jours'de ffite.au 2 septembre inclus, ainsi .que le ior août 1923. Ce train desservira les principales gares du parcours.

Pour plus amples renseignements, consulter les affiches placardées dans les gares.

!.à sa-mère le soin d_e;se-lamenler avec. ses. amies sur' les misères -du temps devant Un samovar fumant" et- d'innombrables" petits. gà.leaux,M elle rprit-du service comme-.irifinnière-màjpr dans-un hôpital de b'iésséSrLa guerre -se déroula lente, avec 1 es fortunes diverses' que l'on sait. Michel III,- à qui les talents de son chef d'état-nuijor avaient rapidement valu le

commandement' d';tin,e ̃ 'armée, fort abseiv.

be par-1 ses: devoirs militaires,- lie' f-it'-à Petrograd- (tel était lenouveau noni.de la' capitale) que trois rapides .apparitions' pour présenter ses devoirs à" sa fiancée. A ..chacune d'elles,: le Tsar, 'préoccupé "de

voir- indéfiniment reculé l'établissement-

^.de,sa, pelile-cous'itië; parla, bien de faire'' tjelébrer Je mariage do*:çèïîevçi avec le grand-duerdé Georgévie sans- attendre plus longtehips, mais Michel, se permit de faire observer à Sa'Majestéque, mal;gfé l'impatience extrême qu'il coheeyait de cette union, il ne lui semblait' pas:"deceht.de songer à sa félicité personnelle pendant que des soldats s'allaient tous fes -jours faire tuer sur des ordres signes' de lui.

L'Empereur, n'avait pas insisté,- d'autant plus que la princesse Olga.' s'était, rangée-' à. l'opinion de son futur époux .dont elle, avait apprécié, en la circonstance, la délicatesse de sentiments. Elle eût, en effet, éprouvé de la répugnance, à étaler son bonheur devant tant de misères, et elle sentait àussi, obscurément, que s'il y a quelque avantage à être u.ne souveraine, c'est à la condition d'être la soùvemine' d'un peuple heureux. -~r-. ̃ Ce bonheur, hélas ne lui semblait pas réservé. La Révolution était arrivée brusquement, brutale, violente. Coup sur coup, l'abdication du Tsar, l'arre-sla-

Programme des Spectacles ALBERT-l". 9 11. –'le veux un auc. ANTOINE. 8 b. 3/4. Je ne trompe pas mon

mari. C

APOLLO. Clôture.

ARTS. Relâche.

ATI-IENEE. 8 h. 1/2. La Sonnette d'alarme, AUX DEUX ANES. Clôture annuelle. BOUFFES-PARISIENS. Clôture.

CAPUCINES. 9 h. Epouse-la.

CHATELET. Clôture.

CLUNY. 8 h. 3/4. Bèvc de Valse.

CHIMERE (143, boulevard Saint-Germain). -• Clôture..

COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES. Clôture. COMEDIE-FRANÇAISE: –'8' h. 3/1. L'Abbé.

'Constantin.-

DEJAZET. 8 h. 1/2. Il est. le chef de gare. DEUX-MASQUES. 9 h. Pâques. jurées, Adultère.

EDOUARD-VIL Clôture.

ELDORADO. 8 h. 1/2. Le Crime du Bouif. FEMINA. Clôture.

GAITE. 8 h. 25. Le Voyage de Suzette. GRAND-GUIGNOL. 8 h. 3/4. Figures de cire, Miretle a ses raisons,' Sur la Dalle, Après vous, Capitaine.

GYMNASE. 8 h 3/4. Les Vignes du Sei-

gneur.

MARIGNY. 8 h. 3/î. La Iievue de Mort- gnu 1923. Clôture.

MATHURINS. Clôture.

MICHEL. 9 h. Ballets humoristiques; MOGADOR. Clôture.

MOULIN-BLEU. 9 h. Bigoudis.

NOUVEL-AMBIGU. 8 h. 374. Le MaUra de Forges.

ODEÔN. 8 h: 1/2. Le Petit Café, le Seul

IkindU'du village.

OPERA. 8 h. Fresques, Concerto, Taglioni chez Musette, La Péri, Coppélia.

OPERA-COMIQUE; 8 h. Mdnon.

NOUVEAUTES. ̃̃- 9 h. Les Linottes. NOUVEAU-THEATRE. Clôture.

ŒUVRE. Clôture annuelle.

PALAIS-ROYAL. 8 h. 1/2. Là-haut. PORTE-SAINT-MARTIN. 8 h..1/2. Mode*̃ moisclle Josette, ma femme.- ̃ POT1NIERE. 9 h. –-Cent blagues.

RENAISSANCE. Clôture.

SARAH-BERNHARDT. –8 h. 3/4. Les Nouveaux riches.

SCALA. 8 h. 3/ï. Une Poule de luxe. THEATRE BA-T A-CLAN. 8 h; 3/i. Ta bouche.

THEATRE MONTMARTRE. Relâche. THEATRE DES CHAMPS-ELYSEES. Clôture. TRETEAU FORTUNY. 9 h. Spectacle russe. DE PARIS, Clôture.

TIUANON-LYRIQUE. Clôture.-

VARIETES. Clôture. VAUDEVILLE. Clôture.. '•&*̃̃̃̃ ` VIEUX.COLOMB1ER. Clôture.

NOUVJiAU-ÇIRQUE._relâch'e. Réouvert,"»' août. AT TT A MPT) A 5(J- ™c de':Mfilté, à !) heures.

AL/ilAluprlA Les Indes Koiwnliqùcs.

PHARMACIE NORMALE 19, rue Drouot, 19

Au moment des départs pour la. Campagne, les Villes d'eaux, les Stations balnéaires, La Pharmacie Normale informe sa clientèle /ni'ello vioiit .d'augmenter et de perfectionner son Service' cte&fexpédi»tions en Province et à l'Etranger." ̃

tijon.de la .famille im,jiBriale,.la victoire des bolchevisles, jetaient à terre tout r'édilïce cle"lâ~mônarclïiè.'

-Michel 1LI, –voyanl -ses- -soldais se débander, regagnait précipitamment la Georgévie, dans l'espoir -d'enrayer par sa présencc'-le:mouvement";révo;lutionnaire, et la princesse Olga, entraînant sa mère, Marie Kicolaeviia, parvenait à fuir la ;capi laie, grâce à la complicité de plusieurs soldats ,reconnaisants des soins attentifs" qu'elle leur avait- donnés. •'̃Rejointes par la comtesse Orchapoff et/le .général .Kaméniski, les cTeux femmes, déguisées en paysannes, se dirigeaient ,,vers la Georgévie dans l'espoir d'y -t-reu.ver un refuge,' mais, en route, une effroyable nouvelle leur parvenait le -grand-duc Micfiel avait échoué dans soit entreprise, et des communistes venus çle.Moscou l'avaient assassiné, ainsi que son ministre Dobrowski, aux environs de Tcharkovyl.a, au moment où il tentait de s'embarquer. .'•̃Remontant 'alors .vers- le norcT, marchant la huit-, se cachante joui-, la petite troupe, aidée par dés paysans que le virus bolchevique n'avait-pas encore atteints, était: arrivée aniracu-leuseanent à gàghBria Suède."

e,i~ Y T* X

Tels étaient les souvenirs qui,, tour à tour, éclairaient,, assombrissaient le vi- sage de. la charmante princesse Olga Alexandrowna étendue isur. son iiMans sa chambre de la villa Saïdj sous l'icone ancienne dont les ors éteints brillaient seuls-à ̃••laJu.eur-tremblo-l.ante de_]a petite veilleuse dans l'ombre qui, maintenant, estompait les choses familières- Jean-José Frappa

(A suivre.l