Titre : La Revue des beaux-arts : peinture, sculpture, architecture, gravure, musique, renseignements artistiques, expositions, concours : gazette hebdomadaire fondée en 1830 / dir. Henri Revers
Auteur : Union provinciale des arts décoratifs (France). Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1914-02-01
Contributeur : Revers, Henry. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32858203k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2009 Nombre total de vues : 2009
Description : 01 février 1914 01 février 1914
Description : 1914/02/01 (SER3,N299)-1914/02/28 (SER3,N302). 1914/02/01 (SER3,N299)-1914/02/28 (SER3,N302).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k120122d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-50380
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/03/2008
N° 299 (3" Série) DIMANCHE 1" FEVRIER 1914 'S^ aT REDACTION 29, Rue de Paradis, PARIS
Ue H" 35 Centimes >^mBr^ Téléphone ̃a-s.3-eo
LA REVUE DES mk BEAUX-ARTS
geinture Sculpture (Architecture /SmvffM^ §enseigaements Artistiques
§ravure Musique ^S^^ Expositions Concours
ABONNEMENTS | Edition ordinaire 1O fr. II Sln S fafconiKiiieiir est renouvelé de plein droit, laute de pre-
wa 4 TVTPTi" I Edition de luxe 2O fr. «Sci 'h' tenir par lettre auant l'expiration. La règlements trunatritb
rjianv>i!i 'Bte^ ^V./ doivent être adresses en mandats à l'administration, au cal
L'èitilton de luxe contient chaque semaint /^VY^* contraire les frais de recouvrement 150 centimes) sont a_la la
des reproductions de maîtres, hors lextt charge de l'abonné. L'abonnement part invariablement du
ETRANGER 20 Ir et 30 tr (I(>11 n'est pas accepte d'abonnements pour une i~lle
durée moindre dune année, mais le paiement fiATpXTF LJ POnt^M AnAID p
peut être effectue trimestriellement. V3/ C I I C n C B VJ \J I VI r\ LJ AA I f^ C
BFKRY REVERS, T»it-o^ti>iir > RÉDACTION Jeudi et Samedi, 4 h. à 6 b. Geer&es DRACK, Secrétaire-Général
i^i>iv 1 MVtatJ, UlrgCteUr i SECRÉTAR[AT Lundi et Mercredi 2 à4 ).. j ( Ad^scr les mamUh à i'Adl,lmjstrateu,
GUIMARD ET LA LUMIERE
S il est eiKOH' possible de. discuter ci'
grand artiste qu'est Hector liuinmrd, il
dexient malséant de l'attaquer..le n'ai jamais
compris a vrai dire qu'on mena! bataille
contre un Ici homme car ses délnits mêmes,
quelque conlestablcs iju'ils aient été, quel-
qLie singuliers qu ils aient paru, dénotaient
Irop, pour qu'on s'y trompât, un tempérament
original mais sans excentricité, une probité
au-dessus de tout soupçon et un sens de
l'art véritable, à la lois large et net. Il pouvait
surprendre mais ne devait pas ameuter, car
sa volonté restait claire, parmi ses recher-
ches, d'une nouveauté viable sans cesse
repélrie aux exigences du bon goût et de la
saine raison. lin le défendant, dès l'heure
trop tardive et pourtant dé|à lointaine où
j'eus l'honneur de le connaître, je défendais
en même temps une formule que je tiens pour
la seule possible en art • créer de l'avenir
dans le respect intelligent, du passé.
Or, (iuimard comprend et respecte le passe,
et tout ce que la tradition contenait de clarté,
de mesure et d élégance, au début surtout de
chacun de ses renouvellements. Kl « l'art
nouveau », dont il fut un des courageux
pionniers, mais non un des fous furieux,* l'art
nouveau » qui lui valut tant de sarcasmes
alors qu'il passe aujourd'lun, près de certains,
pour un < pompier», jamais il ne le conçut
comme un reniement de la beauté d'hier, ni
une adhésion à l'esthétique échevelée de nos
jeunes burlesques génies à tous crins; jamais,
que je sache, il ne souscrivit à ces révolutions
(l'apparence audacieuse, et simples succéda-
nés d'un bluff sans danger et sans héroïsme,
à ces théories abracadabrantes qui suent
l'ignorance et le cabotinage, à ees explosions
de doctrines qui choisissent pour répondants
et pour maîtres, ou des déséquilibrés dont
le nom constitue une date et non un exemple,
ou des célébrités de bon aloi dans un de
leurs égarements. Inventer un art sous
l'égide de Van Gogh le fou, de Rousseau le
douanier-amateur ou du (ïreco dans sa pé-
riode maladive, c'est être dupe de soi ou
vouloir duper les autres. (iuimard ne fut pas
de ces négateurs, de ces exaspérés, de ces
blagueurs, de ces forçats de la réclame et de
l'extraordinaire. Il brisa, comme on sait, avec
PETITE ÉDITION – s
fondée en 1S3© BOREAUX A LONDRES l'icciidllIy-W
l'architecture, d'hier, mais dans la certitude
d'un besoin de renouvellement raisonné,
dans l'étude et l'admiration de l'autrel'ois,
dans le savoir des besoins modernes et des
qualités éternelles et fondamentales de l'art,
dans la réflexion honnête et palienle qui sait
se critiquer,, se retoucher, se perfectionner
soi-même.
Je sortirais de mon cadre en indiquant la
thèse de (iunnard, ses idées directrices,
l'évolution de son sUle un peu tourmenté
au début, depuis apaisé, clarifié, équilibré (n,
mais j'y reste en rappelant qu'il tient surtout,
dans tes maisons qu'il construit, à une har-
monie générale descendant des laites aux
soubassements, pénétrant dans les chambres,
accordant entre eux meubles, Nilraux, tapis-
series, s'inquiétant des plus infimes détails,
des anneaux de rideaux et des plaques de
propreté, donnant à tout un cachet d'art
personne) et pratique. Volonté d'unité, donc,
et conséqiiemmenl, direction unique d'une
construction, depuis l'appareillage des pierres
jusqu'à la pose des becs de cane des portes.
tel est le principe ih: l'architecture selon
(îunnard. ('e principe ne pouvait faillir en
abordant l'éclairage.
Un tel problème ne pouvait laisser indif-
férent noire architecte. Il inquiète d'ailleurs
nombre de gens et nnus vaut une intéres-
sante revue la Science et t'A ri de l' Eclai-
r/njr: que dirige un ancien polytechnicien,
M. Cliassériaud sous le patronage de
M. Hlondel, membre de l'Institut. On lit dans
cette publication des études approfondies,
dont celle de M. Séhat m'a plu particulière-
ment, vrai cours pratique ofi l'on passe en
revue tes questions de la sensibilité et de
l'acuité visuelles, des éclnirements excessifs
ou insuffisants, de l'hygiène, de la mesure
et de la puissance ries sources lumineuses,
des lois de la photométrie, quesais-jel' (lui-
mîinl, à coup sûr, examina lui aussi tous
ces points de vue, eu v ajoutant celui île'
l'esthétique.
Il s'est demande comment fournir l'éclai-
rage le meilleur à l'œil et le plus job. Bien
mieux, comment l'appareil, utile seulement à
la tombée de la nuit, pouvait, pendant le
jour même, rester ornemental et joie des
(i) v. Pages modernes novembre 1909 et mai îyiv
1 (v. ̃
regards. Et il a trouve ces lustres qu'on peut
admiier au coin de la place de l'Opéra (ij, et
qui combinent très heureusement pendeloques
et tiges métalliques. Os pendeloques, opa-
ques ou translucides, faites d'émail, de cris-
tal de roche ou de verre coulé, sont variées,
délicates, liées habilement aux armatures de
1er, de bronze et de cuivre; tt le jour avec
1rs filigranes des mélnux, la nui! avec les
l'o\ers lumineux, elles lorment des harmonies
de couleurs et de lignes, de reliefs et de
creux, inédites et délicieuses.
Ainsi, par vous, (iuimard, elle ne meurt
pas avec le soir, l'érnou\ aille lumière du so-
leil, mais renaît adoucie a vos lustres de
charme et de douceur, d'élégance et d'har-
monie. Elle reparaît pour notre enchantement,
la clarté divine qui nous poigne aux horizons
lointains d'orage ou de sérénité, aux fantas-
tiques chevauchées des nuages qui, parcils à
des troupeaux de cavales, caracolent et se
poursuivent, bondissent et se mordent, sur
l'arène du ciel, la clarté qui flotte comme un
esprit sur les ondes, qui danse comme des
lutins dans le lover, qui claironne à l'aube
ses riches teintes d'espoir et d'activité, qui
saigne aux pourpres du couchant las, qui
embrase les ardents midis et qui s'évanouit
parfois dans la splendeur d'un rêve. Elle re-
naît, ô magicien plus riche encore grâce à
vos ingénieux artifices, plus complexe et non
moins propre a nous susciter l'enthousiasme
ou la songerie. Kt vous qui nous aviez bâti
des homes de légende, voici que vous les
illuminez maintenant d'une lueur olympienne
qui nous les rend plus précieux, parachève
leur gloire et nous permet sur terre de nous
créer des paradis.
M.-C POIXSOT.
(1) 3-|. rue du 4-Septembic
Voir aux prochains Xuméros
Nos Comptes-rendus
du SALON D'HIVER
du SALON DE L'ÉCOLE FRANÇAISE
et des EXPOSITIONS
de CLICHY, PAU, ANGERS, etc.
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wa 4 TVTPTi" I Edition de luxe 2O fr. «Sci 'h' tenir par lettre auant l'expiration. La règlements trunatritb
rjianv>i!i 'Bte^ ^V./ doivent être adresses en mandats à l'administration, au cal
L'èitilton de luxe contient chaque semaint /^VY^* contraire les frais de recouvrement 150 centimes) sont a_la la
des reproductions de maîtres, hors lextt charge de l'abonné. L'abonnement part invariablement du
ETRANGER 20 Ir et 30 tr (I(>
durée moindre dune année, mais le paiement fiATpXTF LJ POnt^M AnAID p
peut être effectue trimestriellement. V3/ C I I C n C B VJ \J I VI r\ LJ AA I f^ C
BFKRY REVERS, T»it-o^ti>iir > RÉDACTION Jeudi et Samedi, 4 h. à 6 b. Geer&es DRACK, Secrétaire-Général
i^i>iv 1 MVtatJ, UlrgCteUr i SECRÉTAR[AT Lundi et Mercredi 2 à4 ).. j ( Ad^scr les mamUh à i'Adl,lmjstrateu,
GUIMARD ET LA LUMIERE
S il est eiKOH' possible de. discuter ci'
grand artiste qu'est Hector liuinmrd, il
dexient malséant de l'attaquer..le n'ai jamais
compris a vrai dire qu'on mena! bataille
contre un Ici homme car ses délnits mêmes,
quelque conlestablcs iju'ils aient été, quel-
qLie singuliers qu ils aient paru, dénotaient
Irop, pour qu'on s'y trompât, un tempérament
original mais sans excentricité, une probité
au-dessus de tout soupçon et un sens de
l'art véritable, à la lois large et net. Il pouvait
surprendre mais ne devait pas ameuter, car
sa volonté restait claire, parmi ses recher-
ches, d'une nouveauté viable sans cesse
repélrie aux exigences du bon goût et de la
saine raison. lin le défendant, dès l'heure
trop tardive et pourtant dé|à lointaine où
j'eus l'honneur de le connaître, je défendais
en même temps une formule que je tiens pour
la seule possible en art • créer de l'avenir
dans le respect intelligent, du passé.
Or, (iuimard comprend et respecte le passe,
et tout ce que la tradition contenait de clarté,
de mesure et d élégance, au début surtout de
chacun de ses renouvellements. Kl « l'art
nouveau », dont il fut un des courageux
pionniers, mais non un des fous furieux,* l'art
nouveau » qui lui valut tant de sarcasmes
alors qu'il passe aujourd'lun, près de certains,
pour un < pompier», jamais il ne le conçut
comme un reniement de la beauté d'hier, ni
une adhésion à l'esthétique échevelée de nos
jeunes burlesques génies à tous crins; jamais,
que je sache, il ne souscrivit à ces révolutions
(l'apparence audacieuse, et simples succéda-
nés d'un bluff sans danger et sans héroïsme,
à ces théories abracadabrantes qui suent
l'ignorance et le cabotinage, à ees explosions
de doctrines qui choisissent pour répondants
et pour maîtres, ou des déséquilibrés dont
le nom constitue une date et non un exemple,
ou des célébrités de bon aloi dans un de
leurs égarements. Inventer un art sous
l'égide de Van Gogh le fou, de Rousseau le
douanier-amateur ou du (ïreco dans sa pé-
riode maladive, c'est être dupe de soi ou
vouloir duper les autres. (iuimard ne fut pas
de ces négateurs, de ces exaspérés, de ces
blagueurs, de ces forçats de la réclame et de
l'extraordinaire. Il brisa, comme on sait, avec
PETITE ÉDITION – s
fondée en 1S3© BOREAUX A LONDRES l'icciidllIy-W
l'architecture, d'hier, mais dans la certitude
d'un besoin de renouvellement raisonné,
dans l'étude et l'admiration de l'autrel'ois,
dans le savoir des besoins modernes et des
qualités éternelles et fondamentales de l'art,
dans la réflexion honnête et palienle qui sait
se critiquer,, se retoucher, se perfectionner
soi-même.
Je sortirais de mon cadre en indiquant la
thèse de (iunnard, ses idées directrices,
l'évolution de son sUle un peu tourmenté
au début, depuis apaisé, clarifié, équilibré (n,
mais j'y reste en rappelant qu'il tient surtout,
dans tes maisons qu'il construit, à une har-
monie générale descendant des laites aux
soubassements, pénétrant dans les chambres,
accordant entre eux meubles, Nilraux, tapis-
series, s'inquiétant des plus infimes détails,
des anneaux de rideaux et des plaques de
propreté, donnant à tout un cachet d'art
personne) et pratique. Volonté d'unité, donc,
et conséqiiemmenl, direction unique d'une
construction, depuis l'appareillage des pierres
jusqu'à la pose des becs de cane des portes.
tel est le principe ih: l'architecture selon
(îunnard. ('e principe ne pouvait faillir en
abordant l'éclairage.
Un tel problème ne pouvait laisser indif-
férent noire architecte. Il inquiète d'ailleurs
nombre de gens et nnus vaut une intéres-
sante revue la Science et t'A ri de l' Eclai-
r/njr: que dirige un ancien polytechnicien,
M. Cliassériaud sous le patronage de
M. Hlondel, membre de l'Institut. On lit dans
cette publication des études approfondies,
dont celle de M. Séhat m'a plu particulière-
ment, vrai cours pratique ofi l'on passe en
revue tes questions de la sensibilité et de
l'acuité visuelles, des éclnirements excessifs
ou insuffisants, de l'hygiène, de la mesure
et de la puissance ries sources lumineuses,
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mîinl, à coup sûr, examina lui aussi tous
ces points de vue, eu v ajoutant celui île'
l'esthétique.
Il s'est demande comment fournir l'éclai-
rage le meilleur à l'œil et le plus job. Bien
mieux, comment l'appareil, utile seulement à
la tombée de la nuit, pouvait, pendant le
jour même, rester ornemental et joie des
(i) v. Pages modernes novembre 1909 et mai îyiv
1 (v. ̃
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admiier au coin de la place de l'Opéra (ij, et
qui combinent très heureusement pendeloques
et tiges métalliques. Os pendeloques, opa-
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tal de roche ou de verre coulé, sont variées,
délicates, liées habilement aux armatures de
1er, de bronze et de cuivre; tt le jour avec
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Ainsi, par vous, (iuimard, elle ne meurt
pas avec le soir, l'érnou\ aille lumière du so-
leil, mais renaît adoucie a vos lustres de
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