Chronologie

1767

Naissance de Benjamin Constant de Rebecque, à Lausanne, le 27 octobre. La mère meurt des suites de ses couches

1782

Inscription à l’université d’Erlangen

1783 - 1785

Séjour d’étude à l’université d’Edimbourg

1787

Rencontre avec Isabelle de Charrière à Paris

1789

Premier mariage avec Wilhelmine von Cramm

1794

Début de sa liaison avec Germaine de Staël. Suivront de nombreux séjours à Coppet chez Jacques Necker

1796

Parution de De la force du gouvernement actuel de la France et de la nécessité de s’y rallier

1799 - 1802

Membre du Tribunat. Nombreux discours politiques. Rapprochements avec les Idéologues

1803 - 1807

Premiers Journaux intimes parmi lesquels Amélie et Germaine

1803

Voyage avec Germaine de Staël en Allemagne. Rencontres avec Goethe, Schiller, les frères Schlegel et Schelling

1804

Benjamin Constant emploie pour la première fois l’expression « l’art pour l’art » à la suite d’une conversation à Weimar avec un élève de Schelling

1804 - 1816

Journal et Journal abrégé

1806

Rédaction d’Adolphe et des Principes de politique

1807

Fréquentation d’une secte piétiste

1809

Wallstein, adaptation de la trilogie de Wallenstein de Schiller, précédée d’une importante Préface. Second mariage avec Charlotte de Hardenberg

1811 - 1816

Fin de la relation avec Germaine de Staël et reprise du Journal

1811 - 1812

Rédaction de Ma vie (Le Cahier rouge)

1814

De l’esprit de conquête et de l’usurpation. Début d’une passion de quelques mois, non payée de retour, pour Juliette Récamier

1815

Ralliement à Napoléon durant les Cent-Jours et rédaction de l’Acte additionnel aux Constitutions de l’Empire. Après Waterloo, rédaction d’une Apologie présentée à Louis XVIII

1816

Parution d’Adolphe

1818

Cours de politique constitutionnelle

1819

Élu député de la Sarthe. Conférence sur La Liberté des Anciens et des Modernes

1824

Élu député de Paris. Début de la parution du traité De la religion considérée dans sa source, sa forme et ses développements (1824-1831)

1830

Après son soutien à Louis-Philippe d’Orléans lors des événements de juillet, mort de Benjamin Constant à Paris