échange de ses promusses, c'est la réponse ri^oureusty sinon acceptable, du calcul, lui offrir é([iijlâl)fëinoiit~|>his d'un centime.
Ce centime pourrait lui coûter cher. Les minorités, mémo beaucoup moindres, obtiennent quelques représentants. Les électeurs n'étant pas associés par le sort, les influences lacales triomphent tics luis du hasard. C'est avec grande dé.fiance qu'il faut, sur les traces de Coudorcet, éclairer les Sciences momies et politiques par le jhtinbeau de l'Algèbre. Les étoiles, sur la voûte céleste, semblent semées sans ordre et sans loi 3ooo environ, pour qui a la vue bonne, brillent au-dessus de notre horizon. Ptolémée, dans son Catalogue, n'en inscrivait que t 11 astronome dont le nom est reste obscur sans injustice, l'archevêque Mitchell, a fait d'une idée ingénieuse et juste une application trop hardie. Si le hasard distribuait sur lu voûte du ciel 3ooo points brillants, quelle serait la distance moyenne de chacun d'eux il son voisin le plus proche ? Le problème est intéressant Mitchell ne le résout pas mais, remarquant dans la constellation du Dragon deux étoiles situées il 3' l'une de l'autre, il trouve que contre un tel rapprochement on pourrait, « priori, parier 80 contre 1 dirigeant ensuite ses calculs sur le groupe des Pléiades, Mitchell condut à aoo 000 chances contre t pour qu'une cause, en dehors du hasard, ait rapproché les six étoiles.
Eu proposant la mesure précise d'assertions aussi vagues, on peut compromettre la Science. Si Mitchell, soupçonnant entre les étoiles un lien mécanique, avait tiré avantage de leur rapprochement singulier, s'il avait déclaré vraisemblable, très vraisemblable, presque certain, qu'une cause particulière a troublé pour elles les lois générales, il serait sans reproche, mais la précision du chiure ne peut