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Titre : Histoire naturelle générale et particulière : avec la description du Cabinet du Roy. T. 8 / [par Buffon, puis avec Daubenton]

Auteur : Buffon, Georges-Louis Leclerc comte de (1707-1788). Auteur du texte

Auteur : Daubenton, Louis-Jean-Marie (1716-1800). Auteur du texte

Éditeur : Impr. royaleImpr. royale (Paris)

Date d'édition : 1749-1789

Sujet : Sciences naturelles

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37263298r

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12507781r

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 258 microfiches ; 105*148 mm

Description : [Histoire naturelle, générale et particulière (français)]

Description : Ouvrages avant 1800

Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Microformes et reprints

Droits : restricted use

Identifiant : ark:/12148/bpt6k97497t

Source : Bibliothèque nationale de France, 5436/85-96

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Cette allure, quoique jpe(ànte, parce que le corps retombe fur la terre à chaque pas, les pieds rencontrent chacun un if arrive couvent que le pouce des corps qui c^dey alors les pieds fait qu'une vaine tentative-: fi l'un des fixe, i autre ne Soutenant il ne fait qu'un eft fort incertain, parce que les il n'y a que la plante du pied qui puiftè pour porter le lorsque la jambe s'étend pour pou fier le corps. chauve'Souris qui portaient en avant les pieds de devant &. ceux de derrière l'un après l'autre comme les autres animaux: quadrupèdes.

Lorfque la chauve-fôuris veut aller de côté, elle écarte de ce même côté l'un de fês pieds de devant en l'éloignant de l'autre & fe foûfève fur antérieure du corps fe polie de une difiance égale des deux pieds. Pour reculer, la commen ce par étendr en arrière les jambes de derrière, enfuite 'elle Soulevé ion coii>s liir les jambes de devant, tandis que les autres le tirent en arrière en fe, des pieds de derrière fûipendent en s accrochant. par ces doigts & préfèrent cette attitude pour e repofer je n'en ai vu que d'une ainfi fufpeadues, les autres reftent fur leurs quatre rafîemblent en grouppe fur-tout ÎprlcTu'elles font