Ce livre est moins un roman qu'une étude de physiologie passionnelle et de pathologie. Les personnes qui, d'après la donnée de l'ouvrage, croiraient trouver ici quelque scène scabreuse, de mesquines et vilaines grivoiseries, n'ont rien à espérer ou à redouter de semblable. L'auteur a tenu à dire tout ce qu'il avait à dire, sans réticences mais sans indécences, sérieusement, tristement, comme il convenait au sujet. Si on lui reproche d'avoir choisi ce sujet plutôt qu'un autre, il répondra que cela lui a plu ainsi, d'abord; ensuite, que « tout est sujet que