? étoient comme des guipes, qui rcex pircnt le parfum des fleurs mais qui n'en tirent point de mict ils s'attachoient non aux choses ni Ma subs. tance, ains auoient requérant que te » langage f&t rond, pur et attique. » Ces erreurs, ajoute Plutarque, sont cause qu'il se trouve grande indigence » de sens et de bon entendement, et à t'apposite grande abondance de larbil et de caquet, es jeunes gens par les f ecotes, pour autant qu'ils n'observent la vie, ni les actions, ni le déporte. ment des philosophes en l'administra.tion et gouvernement de la chose publique ains donnent toute louange Maux beaux termes, paroles élégantes, Il et au beau dire, sans savoir si ce qu'ils disent est utile ou inutile nécessaire » ou bien superflu (t). «
On n'estima plus dans les philosophes que les graces du style une expression triviale rendoit un homme ridicule et taisoit échouer les meilleurs raisonne-
(') Plutarq. Ccn!))t<f)t</ ~)n< etti'r. .f ~t