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Titre : L'évolution des mondes / par Svante Arrhenius ; traduction française de T. Seyrig

Auteur : Arrhenius, Svante (1859-1927). Auteur du texte

Éditeur : C. Béranger (Paris)

Date d'édition : 1910

Contributeur : Seyrig, Théophile (1843-19..). Traducteur

Sujet : Cosmologie

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb317340338

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (V-246 p.) : fig. ; in-8

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Description : Collection numérique : Originaux conservés à la Bibliothèque de l'École polytechnique

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k948093

Source : Bibliothèque de l'Ecole polytechnique, D407

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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dehors. Ces derniers se seront agglomères il en est résulte la formation de planètes obscures, qui circulent autour du corps central et qui ont probablement absorbé la majeure partie des gaz qui les entourent.

Si le corps central avait la masse de notre propre soleil, la matière qui constitue l'anneau aurait unedurée de révolution d'environ ~oou ans. Cette rotation est sufiisante pour effacer presque totalement la forme spiraloïde primitive. 11 en reste cependant encore assez pour qu'on puisse nettement voir que cette spirale avait deux branches. Le corps central de la nébuleuse donne un spectre continu, avec des bandes lumineuses, qui sont très développées du côté du bleu, Il semble donc être beaucoup plus jeune et beaucoup plus chaud que notre soleil à nous. Sa'puissancc de radiation doit être plusintense, et peutêtre la durée delà rotation de l'anneau doit-elle être estimée à une durée encore bien plus grande.

M. Kapteyn, l'éminent astronome hollandais, a calculé les parallaxes de ~)S nébuleuses diverses. Il a trouvé que leur distance moyenne de la terre est d'environ 700 années-lumière, c'est-à-dire a peu près celle des étoiles de dixième grandeur. Il ne semble donc pas que la vieille croyance, que les nébuleuses seraient incomparablement plus éloignées de nous que les plus faibles étoiles, soit exacte.

Les étoiles ~nouvelles forment un groupe a part parmi les ctoiles variables, si remarquables il cause des changements d'intensité de leur lumière. Nous allons faire mention de quelquesunes d'entre elles, qui sont typiques, i1 cause du très haut intérêt scientifique qu'elles présentent. Les destinées d'une étoile qui s'introduit dans l'intérieur d'une nébuleuse déjà remplie d'autres astres immigrés, nous sont révélées par une des étoiles variables les plus curieuses, l'étoile de la constellation d'Argus, une de celles de l'hémisphère méridional. Cette étoile brille dans une des plus grandes nébuleuses du ciel. A-t-elle une dépendance ou relation physique quelconque