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Titre : La Phalange : journal de la science sociale : politique, industrie, sciences, art et litterature / M. Considérant, directeur

Auteur : École sociétaire (Paris). Auteur du texte

Éditeur : la Phalange (Paris)

Date d'édition : 1842-07-01

Contributeur : Considerant, Victor (1808-1893). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328389482

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328389482/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 10501

Description : 01 juillet 1842

Description : 1842/07/01 (T1,VOL8)-1842/12/31.

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k94126r

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, R 8230-8238, 46482-46491

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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SMjiO, et mu) Mtito)) < Mte tenvoyef l'affaire 10(t ht dMpe) de Chtm'bbaont menti, eomme~eu* teptetendM.eutHeiontdHitni.C'ettMn débat pretjmhMtM 4ftdM) rexpticaHott relative < nemon m (Mut venir qu'a.ptta.N" &tc pente que te) damtt deChtmbht m ieathtnt, M)e croit; mah dtMtere M* Mac il y a des pafttM cM)m dont fa tontiction n n'axt peut-dire pMame) entière. !) tant enm* Mrtdeeetndte (smille MtMe)tanc,e du piedmtat ou otte preten-t t'etew. H yadwiere )'intef.Mnttcn de Mtte famMe HnepenmedeptotaMoqtte )< jt'tticecennettm pht8t<td.

M. le prcMMMt~enend a'eppota la Km'Mde t'aNaireAMneautre ~non t !) neuM que t'eheBM de* damea do Cbamblos est eempm~eptf t'apparition de nouveau MmeiM qutdApeMnt dea m<!)HM &hjt. < Om a parlé dt «MtMtte.dit M. la ptoe)tMttt-g~t<t)tM.M <t~ ntut <t'<n MdMM pas pett* diriger MM «emattett contre ttt <hmM dtChmtMtH) t'tt avait lsrita nom des met'ft <MBiMn)t pour t< ti)itt7Dtm ce cas, mtmieuM,<e<!<tHMgtn«MtteHit&eHeen p~enctde nos tei',N)p)'<MnM<te BMMpatttfMdt))te)tttt,q)ttpMeh)o<MgtMttd9 tous hoeitoyens devant la toi. Moh il ne o'ttgit pee de courage, il e'e~t dtjas.UM.

Ï.M damM deCt)tmbt« auraient dn comparattre, dans )ew intérêt perMnne),t)M pas que leur «bMMtdenM 4 personne le droit de les KHMMr Hnt qm h justice garde le titence.tet d«))« de Chamblas ipe Mntpa< Mondes do complicité, niais elles aumientdA a'o't le courage de cemptrtttto idj teurftbmnceMt un tort qu'elles ont moins envers t'aceuet qu'envera t))et m~mM. Je MM)'aiteqne met pttok) leur trt~eot dans la retraite tetitaire qn'e))e) ont memenum~ment choisie. Dans !tMt it)t~~tper)onnet,dM< "0 in~t~de morale pnMi<)ne,jt) les invite, je te!<anMM de franchie le Muit de bwttttMte et de venir aux pieds de la cour; là, nous leur pnxnettoM toute la protection que tM M< leur MtHMMt.

M le pMtMreur-~ndMt conclut a h continuation des debthet à la eond*n)nMiondeste<<)oin<tbjf:nt< & toefr. d'amonde.

N' i.ocAat'r. San< inmtter, je regrette que tei nobles patott) de M. le pwreMt-~néM) ne soient pas po~Muee plus 'tt aux damée de ChomMt)< e('MM eMftientp~Moteea devant la cau)',}'en ai la conviction; <nti< le Mmenit de) tristes débande )t eourd'aMitM deRten) peMittH~leur esprit, iattandatt leur «MteieaM, elles M tout pa* veMM. A midi, la cour ae retire peur délibérer sur t'incident.

A midi unquMt, la tout rend un arrêt qui condamne les dames de Chamblas et Anne-Mttie Bonden à xoo fr. d'amende, Jettne-Matie Ctam!nt A te fr., et wdenne qu'il sera pâme outre aux débats. L'intettoj~Mx de Beeson et les d~pMOieM des témoins entendu. dans l'audience du <~ n'apprennent rien de nouveau. Besson peniate dam son système de denegatio« ecmptete, et prétend n'étre pas sorti de toute h journée du <"<eptembre. « En deMt'e, lui dit le pteOdent, Tom teeuMt dnq ou six temeim de faux témoignage. o Betton répond am~matiYemtnt.

Au nombre dei temoim entendue dans cette première audience se trouve M. le baron Mechin.ptefet de )'AUi<r,qMi ett venu renouveler devant le jnry la déposition retetite aux preMentiment) de madame de 'htadet, parente de M. de Moteethnse déposition que M. MocMn avait faite dotant une commission rogatoire, )em det première débats. Et H cet homme simple se hamrdttitd'a~ncer que uns père. i) n'y aurait peut. etfe pas d'enfant, la MnM mienit à l'atrocité, a la folie. Et elle Mnut miM)), toujours t aimn car, après tout, ce monsieur, qui poMrrtit dire de ti belles choses eu jury, pour peu qu'il Mt amateur d'emetiom tragiques, pourrait sller tranquillement mir couper le cou de M mettrette, exécutée pour trime d'infanticide, crime dont il tit le temptice, diH))x mi):u)t. t'aute))! par xm horrible etMndon.

Celle charmante protection, accordée & la Bartie mmcutK)aûe)a tociete pourtoninm MponitMetpiMtenM reteMntdu petit dieu d'amour, ne mon<re.t.t))e pas qto le FfatxjMt maitie encore aux Gratet, et qu'il est Mjenift le peuple le plus galant de t'uniwt? ·

Ce dernier trait d'ironie est aMg)ant.

La CaMMe de ~~Mee s'exprime ainsi sur M. Ettg. Sue, sut' les CeAa/< et sur la Phalange.

Phalange, q") attaque le mariage et tont l'ordre McM fondé parte <hrtft)aai«m,ton)it)M a défendre contre nous les romans des Be~<< M. tSuecne Sue, dit le journal ht.ritri.tte. n'a j.<-nt.e)r. jamais n~rt les titfM de Fourier, tt b "cHa qui pose la qm))ionMtia)e comme l'avait posfen"treMa!tre.

~). Eugène Sua a une manière do comptMr le mrt des rhitM. aM sort des he'M dent t'effet est taitismot et ttrrib'e, et, juge impartial, il constate qne~w Mo<f<- j!MM< )e plus souMht, feot M< .wtt<- mMM A x faMMf~t ~M mAtMM </emM~mf. Cans te CM p) tten). romnaraimn » et )m conclusions .te )'tf)imu) mot )Mtt6 et Mm rtp))~. Que les <).)<M<) se recritut. <i bon leur <emh))-, sur la rudtMe dm qM<a)ion! mais qu ))< daignent y répondre..

b. Ainsi )M tOMtn'atMM des C<-AtM dedart-nt que dam notre société

Bmt t'Mdiettee du 4e, Ha< dfpMitiott de h plus haute imcottaMM t tu ti<o. C~Mt colle de N~uCtiM ttattfin. Mnte tMMM. Mja aa PtW, dette B)«tm. avait MM.M qw MX M'M hti .Mit <t. ht .M. mt.M~~o&hi&tMMtB<f~tMM~mp.~ettM. <bMtK)t. tmm. B)a avait M!M<tMbaMM<Mave«dM)<htmdiedt «m BMM, de h dMtne du chien de garde de Chembtaf appMttt chez elle par A~MC.EtteartnoMtM tous <Mt dttHh~MMt les Mmmdet.ycn.eiMi que )e rectt des tentatives MtM MpUt d'e'h par Nane Beoden pour obtenir d'ttte ton (ihnte et la femiM des baUet et de h chaiM du chien. La defeMea MM) afMonpMtMMat HmpotttiM deMte &tte aft. ~d< M ternie. NeMt))tp!rmtMM)a tMtte deMtmttnrpmtpi~M ~t~MttdttitehttMte. N.M~MM'.NM~. Je ne veux pas que te témoin tettepta) tM'a.MmjitMBtt'tmptM'itn dedeto~te~: MmH~t~t~)' h<MtenM. Lit justice 5'Mt livrée a de tn'nutteutet in~ttttgttient pour totttttte)' d'une manière certaine t'&M mental de cette femme UMt<<d(t t)))0)t témoin joutt <t< h pMniMde de «-< foeuttët tateMM~eOet. M le proeuteo~genM MpceMe Kt depetHh)m, et dit que t'ft y a des Mtttndicttetx, elles ne doivent pas être atttib~MAMttHne)tm; i mais A la totte que cène mtUMUtcum femme avait à soutenir eatte son devoir de tdmoin et la ttad~te qu'elle avait peur eon neveu. te tendeBMhdMtthMMMaCMmet MdtpetXtited'mte confidence terrible, eUe n'< pm dit toute ta vérité, elle ne la dit pas encore.

t't&nefM.MMMpMM) Non, je ne la dis pas. (meaTementdmt l'auditoire.) Je l'ai McMe jntqu'4 prévôt, M MM me dotniM la pet<t)iK)en,jth) dirais. (t.t témoin parait vitement em<t.)

N. le /<nx!««M~mn!<. Je fais la part de votre position, et je ne dôme?:)) que *oMtt)eteyett)nei'<Mt')ete femme. Je mit tom éclairer sur votre pMitien. Le témoin qui ne dit pM :< la justice touttequ'it Mit est eoNi coupable que celui qui trahit la vérité. Si vous nvuo ftim quelque chose sur ce qui <'t)t paué, vous vous comptotMttt* aux yeux de Dieu et des hommttt. Si donc vous Mvet quelque chose, parles, je vous en cettjme. Dhet(eq~YoeeM<Dtn)) n'avez rien à craindre. (Noute*M mouvement dtn<t'MdtteiM.)

Le témoin dit dmt son patois avec volubilité quelques mote qu'il e)f itxpemiMe de saisir. L'interprète, aptot têt lui avoir bit tepetet, têt tmduitmBti'; Quand BoKoneHoU tuer ..t. de M<tn:ethn~, il a jMM& dans le pare eu M trouvait AtMC) ii a mit ce dernier enjoué avec son fusil, et i'f) menacé de le tuer dit ne venait pat ft Cit<mbh' tenir te! chiens. 0. De qui tenez-wu! cette refehtien? K. De la bouche memede mot) M~eu Ame. Au tempe du Jttbiie on m'a fait un devoir de tout Uire Ua justice. C*Mt mon confesseur, auquel j'ai dit q<t'it y avait quet~ que thette que j'avaia gardé, qui m'a dit de tout dire.

n y a ici, ajoute le témoin, un hemme A qui AnM doit avoir mttt centH cela. Cet homme, c'est te témoin B~yet de Combriol. Arase lui à dit <t Me twteMHt toute la etteme, elle peatnit me hitt Mttt~fMf. B

Jaequoa Exbttytt est appelé. !) dit qu'Anne lui a dit que .i la j.tice écoutait sa marraine (th~uefiM thurin), on lui ee~.orait le cou. « Cependant, < m ajouté, je necrois pas qu'on ajoute Meut paroles de MargMHte MMtin.J'etpere qa'M nehetein pas. t

~efnxttmH~eneM~. Marguerite NtMtin, a q.x.t)e époque Arase vous t.t.it fait cette confidence ? T

aarr~r

rMM'age <) pour )et animmï, el M. Caitet M pose comme h dtrMtM digue de ('enAw «x:M/.

JLm fouriéristes, les [ommuoitte~, les JMbotNhtet, les conservateurs, sont dene égaiement les B~eHafre) de la meie)é chrétienne. Atent.Be)). t" raison d'être tes ennemis systématiques de ta secte dMtmmiref U~ seule those doit nous étonner, o'ett ta haine om'i)) ainfhemt pour les clubs ndifaM ). D

LaCaMMe a raison de constater la contradiction que prtsente MMdMhmtdewB~a~.etnetM avons nous-mimes maintes fois prouvé le désordre et )a etnfttsion inente de la feuille conservatnce.C'Mt poMt- nMts un amaMment de nous aeHrer.danstebareau de la rue des Pr<!tr<s, l'ébahissement grotesque et la mine. athmgte de M. J. Maurel, ce UraiMem- du parti borne, reculant devant la critique de M. Sue, cet éclaireur hardi du parti dt progrès. Les hommes d'Etat du JoMftM~ du D~<t<< ouNitM que je sort des hommes civilisés ne vaut pM cetMi des animaux à rétabfe, et ih déclarent pourtant, sotM tes inspirations de M. Go'zot, qu'il rallt conserver intacte la machine sociale qui net)arata)eau.deMO)tsdesbete9.La<:<Me«e<<eFfatm<!<,e)(e,M vent pas avouer t état misérable o& s'epnise l'homme dévoyé, et elle entend coMenerte qu'e))e nomme COt~e~eeM~, e'est-adire ce régime qui noM met au-dessous des animaux. La Ce~eest meilleure logicienne que les ~&<t~, sans dente j mais il est telle tegiqMe fnneste qtt! épouvante avec raison )'tute))igen<:e humaine. Le JoM~a~ ~M B~a<<, c'est une boutique onverte i) to))s lea voyageurs d'ici-bas. Sur ce navire marchand de haut bord, vers le gouvernail, les anciens de l'étatmajor (vieux types Marteittais), penches sur la lice dit (onronnement et contemplant le remotts du navire, s'oostment à cher-