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Titre : La Phalange : journal de la science sociale : politique, industrie, sciences, art et litterature / M. Considérant, directeur

Auteur : École sociétaire (Paris). Auteur du texte

Éditeur : la Phalange (Paris)

Date d'édition : 1842-07-01

Contributeur : Considerant, Victor (1808-1893). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328389482

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328389482/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 10501

Description : 01 juillet 1842

Description : 1842/07/01 (T1,VOL8)-1842/12/31.

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k94126r

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, R 8230-8238, 46482-46491

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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e<)d(m)M' aMM<)Mt)to~«Mft, oittfntm~vem, Mem&MM:~ afor)V<tu< t t <mnt ) t'ottt le pfMMeox* tt'MMtiefo'mmfw bien otttre qoe eetht dte voit ti~t meM)e"teM)L mittiem de tente. Vont mrtt, en etfet, etouomitt <M !KM mittmtx, je M )M plus te ehitfM, <n tmnamiMttt nM ann«t (tt t ptttceptetin, de teweort, de douo))i<!ft, e'Ct Vf' «ont g.tpm en MHM t *0t) mittitHMet) wve~nt tutttee j.enottttet m/MO~«t<i/, au H-avoit~- ) <tm!ti/dent)),ttMMie<K!<det'<'e'0' j Qo~nd h M~e Mt:t itt)))OMe, te qut ttweM, MtVtt-m t4f, t'tteth.n t BOt~MtrMt tt modem fiée <te< ChonbnM et t.euverotmoot, )<'n<ttMt t tmpoMr p)M< quand la reote fneotera, 4 imposer )Mi"< <p'an'i ette baiMB)~, ttm'titHitMdra <)<t)t du )i")t)« peu ecarteft. suit par MMe inttttctue directa, sait par )'it)<)"eMt tooMtte <)t(i r~t'tW!) de t'<n'Miet du cette MtioH me~Mtrice, de t<it)<i mnti (tu" celle cause ~tMutMU 'omet celles que notu a*<t)tt nt!!mM< )t fMdtt <!<tt)ttiH)<t th'x M <MtA. sera taoMit u~ deo* sa plus SMttde solidité. dtmt M plui parfaite t'egutati~! de ()t)t<t !mte etKMHtt(n)t(eA))f,m<tn~'<i)'M'<M<t'tH'M ttfWM,«!Mta d'&tMt)*'H!t* texr. et th~M-xdM M 'it dMit~'t~ tut élément M" t <!tém':at ~tn tour. tt!Ht tOttj(<K)H tMt' ta )')Me osiez de Mpim')): pour q'te les proprietaifet de fe!)tttqut toudrotttmrtirdeh rcme~Meot taujQUttet'f.ttitementeu tenir. fVoi)A f<t<-aM te reo)e'te a h thn'Mr de('~i<)t!)Re tt 4 te) estom immnraM)i! 'uit!( t')!" M)ne!!e a MX fête cen'enMbie, bttt, ht-ureux. et ta JtttMmh'atio~ dt! t'utiLtM du jcM 'taM te ~'tcme da t!' rente rt~ntam' e par )'impet. t)M pe") ajouter r<! xm))at ttmtfMM a 'Mut )M auue!. Motts t)e tOMtens wint Mer ait ~h'<wo< )e mérite de cette idée. Dans te champ de t'mYoUtOK, il est Haturet de se teoeomtM, c'est m<me )t t)ttt indicalion que t'un a trouvé la vérité. Nous engagMnsteJV~Ma~ànet'ti~ter.atetfnir Mquemmeitt sur la justice et t'apportonité d'imposer la Rente, qui est aujottt'd'hoi tt un taux si étevé.

En )'t'tnci))e, na impAt est bien assis lorsqu'il est prélevé sm' le rc*t)u net, et queea perception est peu coûteuse. Ces deux conditions se rencontrent danst'hni'ôtSMrta Rente D'une )'art, oit a afTait'e avec des vateurs déterminées, et l'on n'a pas besoin d'a*Mr recours a fautes ces évaluations qui ont tassé naguère tant de tt'ottbtM et de mecontentemott! D'une aotre part, la Rente t'ept'esentaxtte capitatMM', il est juste «n'ette contribue denréféreneean Travail, ou au captât en voie de formation. Soit tui'H s'agisse de pourvoir à la scan'ite et t) hl défense du pays, suit (m'H s'agisse des travaux d'utitité publique, t'Etat doit prendre d'abord t'impot là où t'emj'runt est possible. 0; les rentea sont le re'enu de capitaux prêtes a t'Etat. Donc, les rentiers étaient, et sont encore, pins (lue tons autres citoyens, en posision de payer t'impet. toute rente, tout revenu, tout produit d'un capital caw', étant de sa nature (!)) pt'etéy'meut sur 1 ensemMedPsb''Mfieessociaux,en) porte t'oMigationte paye)'t'mtpot. C'est ta le principe de la taxe sur te revenu (</<cowe <a.f) pro<isoirement retabue jar sir Robo t t'ee), et nuti le JottfMNY des ~&a~ considère comme devant devenir définitive et pet'manente.

Déclarer tonte créance sur l'Etat in'cmuoorMbte, inconversible; supprimer le fonds d'amortissement, qui ne sert qu'~ l'agiotage frapper tes reutes d'une taxe proportionnette a leur taux, et qui ferait t'équivateat des frais de placement sur hypothèque tet!M seut'tes mesures linancières que j'ou jtot'rrait adopter daus t'intéret des capitalistes sérieux, dans t'iutét'ét du Trésor, nous dirons même dans t'intM et df la morale pubtiq~ne. C<'ta<:ntt'atnerait,totou )ard,achetcherpoM)' la proprtété fonctére et industrielle un mode de constitution plus favorable. Et ce mode de constitution, nous l'avons dit souvent consiste il passer du Mercenement à t'Association, en fondant de grandes exptoitatiMM agricoles et manufacturières, dont la capitai serait tiifisé en actions.

t,e Souverain, représenté liar tes trois t'ouvoirs't), a le droit d'imposer la Rente. Cela est clairement démontré dans la hrochxre citée plus haMt.

tt faut distinguer t'adminktration, du Souverain. L'administration, en vertu des fois qui l'y autorisent, peut traiter, s'engager, coutracterjdes obligations. Le Souveraiu ne peut ni traiter ni 'engager avec personne; il ne pent aliéner son libre arbitre, sa souveraineté. Le Souverain n'est pas infaillible, et c'est ponr ''eta même qu'il peut changer de volonté. S'il liait son avenir, il se déclarerait infaillible, il se suiciderait.

Le Souverain est l'expression de la convenance el de t'ntitité puMique; it fégte tes rapports de l'Etat et de ses créanciers; car il plane au-deteus d'eux dans nue région supérieure. Si donc le Souverain, écho de l'opinion nationale, estime anJoMrd'htti d'utitité pnbtiqne de déctarerta ncnte ineouvcr.'iihte et de ta frapper d'un impût progressif, le Sonterain peut et doit 'oter ttar une toi ce nouveau règlement Rnmcier.Si le Souverain manquait à sa mission, en se croyant faussement iié pat' une loi antéf<) A roceation de )i)qMefUon de Rc(;e"ce, prMCHtee der))!ercm«)t am ~.hKmbrc!, )9 Ma/e~e fs) cn))M d.)M< de tanj;t dcvutopptmcn~ aur CM tjn'it hut encadre )M)' )e Sottteraif) daus un EM, MM* une (otme petiti~Kcqneiconqxe et mr le Omit atMo!t) t't ittaiitMabtedM Seuferain. \ait' notre numéro dn ~t jttit'etttt'rn~r.

fh~e, ttanpettera<t contre tn: munattwmeat ftwhtttomnat)~ Cette theorfe est déveteppeephts as (oug dans la brochure la CoMP~tw, e'M< <m~. foas les ava)Mage< de t'impot sur ta Kento y MM également ptMta en revue, etteotea ieaeMeetient contre cette mesure tuntfeMees. NmM eroyona <Mre ptaMtfBux éerivahttdu ~~M<t/e)tteut'en~yantM))eMm- ptatre de cette bmehnre. Nous les enaageotM a ta tiMavee auct'ttM attention. !ts y trenveront de uembreMx argument en~euf de t t<Me qo'ita ont propesee, et <h)'!)s doivent maintenant de~eto))per, stttttentr, propager et faire admettre.

Si la Presse tout entieM-pteuait aemur cette idée et la repandan dans le pays (t'ici a ta reprise de la M~ion, nMMne wyem t~ pourquoi le SoHMmin, M!tiei<6 par )'MMftioa puMt<)Me, wtMttdmtt poten ~MtMeMMKhKn~on tmemtMM daneMhaMtennt'ortanoe.

M. le ministre des travaux publics est parti htM- pour la MMi. )) a le ))mjet de descendre le KMae et de visiter tee t)-a"aM)[ exécutes et proposés pour t'enferme)' le neuve dam son tit. M veut examiner aussi ta question des docks de MaMeiMe.

ÏOMte décision s)))' la question de t'Cn:ea doMHiere sera suspendue, dit-on, jusqu'au retour de M. Teste, qui n'aura lieu que YeMteteu)e7))OMmbre.

.<tte<

La eo'tr royale de Rennes, statuant en matière électorale, a de nouveau consacré le prinei)'e')me)oMt citoyen a le droit de transférer son domicile politiqne dons t'arrettdtSMment ef) il paie Utte <0)thibMtian, ~M~Me KttMtme ~)t'fMf <tM</et faisant apptieatien de ce principe, elle a referf))6 un at't'e~ du préfet de la a Leire-tnferieMte, qui avait rejeté la demande d'un électeur de l'arrondissement de Paintbœut. sous prétexte qne t'achat d'one parcelle de terrain pMn' guette il ne payait que te centimes de tcntritmtioo n'était pas sérieux. (~M.fMt'aM'e Bfe<OM). Cygiène des Ateliers.

Un fitateHr de Saint-Vandri))e fSeine-tnfët'ieure,,M.Pot)yer, a introduit dans ses ateliers nn appareil dont it est t'inventenr, et qui a pour effet de renouveler et de puriner l'air rendu si me. phitique dans tes t))atnres par la réunion d'an grand nombre de personnes, par l'échauffement des h))iiM qui servent a graisser les métiers et les machines, par la fumée des qninquets, ta pe)MsMre et le du"et des taines, etc. tes effets hygitniqnes de ce wnti!atenrse sont fait itnmediatententMntir, dit le N<mon'a< </<~e«Mt/ icson'riersont repris les forces et les couleurs de la :!ant6. </a))pé)it, le sommeil sont rcvennsanx )))ns souffrants, et MM qui étaient atteints de ta tenx fatale ()m pronostique trop souvent l'issue tapius funeste, ont cessé de tousser.

Celle machine n'emploie, di' ie mente journal, que le dixième de la force d'un eheva).

Voilà certes nne invention preeiense, et il ne reste plus qu'à t'umiset-. Uans une circonstance semi'iabte, le Gonvernementne devrait-il pas prendre l'initiative, et contraindre tous iestitateurs, <oHs tes chefs d'usines qui renferment des atetiers malsains, a apptitpter immédiatement cette découverte ï Aujourd'hui on tomn)cnee à rccennaUre que le prineipa) objet de la politique intérieure doit eue d'assurer l'existence des classes ouvrières, et de veiller it ce qu'eties ne soient point inhumainement sacrifiées a )a soif de lucre dea inditidus qui tes ofpieitent. Tout ce qui a rapport a ta santé et an bien-être des ouvriers intéresse au p)<M haut degré la Société tout entière, et & ce titre rentre dans les attributions dn Gouvernement qui M doit pas se bornera des MU. haits.âdes vecujfsteritesetàdesencouragementsqui ne produisent que peu d'effets, parce que les améliorations de ce genre rencontrent souvent Sur leur chemin l'intérêt egotste on t'inditféreoce cou~abie descttefs d'établissement.

M. Po)tyer,dit )e ~eM)e)'MMe/!oM<Mjen prenant un brevet ponrMn invention, n'a pas entendu faire une spéculation; il n'a en réellement en vue qnK d'empêcher les specntateursde s'approprier son invention pour en tirer un parti qui pourrait, en exigeant des frais trop considérables, détourner des chers d'eUtbHssemcot d'adopter le vcntitateur. Cela est très bien, et nous Mticitons sincèrement M. Ponyer de sa sollicitude pour tes classes ouvrières; mais it eût été bien mieux encore que le Gouvernement se chargeât de récompenser dignement M. Feuyer, après expérience faite de l'efficacité de son système, et, livrant immédiatemeut au public cette précieuse invention, en rendit t'nsage obtigatoire uanstous tes ateliers de France. Qui donc oserait arguer de la liberté de l'industrie peur s'élever contre une mesure semblable? Une Société doit-elle soxffrirqu'au profit de quelques intérêts privés, des populations entières d'ouvriers soient condamnées a l'action délétére d'une atmosphère empestée, du moment t)Me les moyens de purincation et d'assainissement sont connus? Qu'on laisse subsister les professions insalubres, telles que l'industrie de la verrerie, les préparations du cuivre, etc., etc., dent