St NcM~cte! t eMptoya- derco!o!m< v~nt Souvent de la pouffée de htw< <nfehtt)'~v€ ce qui exige que tes colonnes tarâtes foient butées par des maHtts, ou doublées c'eit rembarras qu'on éprouve (ur-fout tor~on <attdet pofchM !<blés & en faillie au devant d'un édifice, comme celui deSainte-Genevie~: les deux p!ate!*b3ndes, celle de la face & cette du côté, pouffent la colonne ou les colonnes d'angles de telle maniete qu~on beaucoup de peine a tes a<!ttfef &t t'ott eAm~meaMige d'y renoncer, fi l'on ne trouve pas des pierres a~ïez gtattdet pour pouvoir faite des architraves d'une feule piece d'une cobnnc à l'autre au moins dans les travées les plus voifines des angles.
On éviterait ces difficultés, fi l'on pouvoit faire desp!ates-bandes fans pouffée. Or c'eft ce que je ne crois point impo<SHe )€ croit mente avoir trouvé un mécaniffne propre à remplir cet objet. Je le donnerai quelque jour, torfque j'aurai pu en faire !'épreuve en petit. On me permettra de propofer en attendant le problème aux architectes mécan;ciens, &. je m'e<Hmerai heureux fi j'excite quelqu'un tt'ëax~ te recoudre.
PROBLÈME XtV.
~.M ~e /'e~<on dans /'<</< de ~Mt.P/< de Ao~, ~<KAï foytta~~Mf~~ftMWf~M, on ~e ~/<~<~oM~ <tM~~«~ qu'elle /? &~e~< 6' qu'elle ~ro& d~~ ~'<(r/'«rcoMn<e~ \~UOtQUE nous ayons annoncé au commencement de cette partie de notre ouvrage, que nous nous interdifions ce qui eft purement nm'