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M~/M~t des voûtes en arcs. de cloître 6- fW<M d'aretc.
i L arrive fouvent que, fur un emplacement quarté, ou quarré-tong, ou polygone on éieve une voûte formée de ptuReurs berceaux, qui~ prenant leur nai~nce des cotes de la bafe, vtennent réunir à un point commun comme en un fbmmet & forment en dedans autant d'angles ren* trants qu'il y a d'angles dans la figure qui fert de P). bâte. Ces voûtes font appelées a~e~ de <o< On fig. 17, t8.en voit la représentation dans la fig pl. Mais fi un emplacement quarré par exemple
eft voûté par deux berceaux comme dans ta~. < qut <<:mMent <e pénétrer, &c qui forment deux arêtes ou angtes rentrants, qui <e coupent au plus ,haut de la voûte, on appelle cette voûte, voûte <<'<
Or voici ce qu'il y a de remarquable fur ces
voûtes.
To~/e voûte à arc de C/O~M <t plein CM/t~
~Hf M~te ~<~ ~M~Coa~Ke quarrée ou y~m/M ~r~He/z~ joi~/t: en y~y~ la ~< de //«'?<: ~M'K/te fc/~e AAs~Atrt~Mt, ou cul-de-four en plein fw! eji double M~r~eet/e y~ bafe c<~K/~< En effet on peut dire qu'une voûte hémitphé-
nque n'ef~ qu'une voûte à are de ctohre, (ttr un potygone d'une infinité de cotes.
Lors donc qu'on voudra mefurer la furface d'une
voUte femblable, il tunrra de doubler la furface de la bafe bien entendu que les berceaux fu<!ent en plein ceintre car s'ils étoient iurhauCésou furbai~ïcs its auroient à la bafe le même rapport