~ï RÉCRÉATÏOKS MATKÉMAt!QUKS. Matr ec tt*e~ pa? ~a* cet a<jM~ noat ~n- .a-
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Matt ce t~e~ pa? ~a* cet a<jM~ ~c ncat ~nCdérerons ici cet art nous nous barnetcn~ & qu'il a de dépendant de ta géométrie 8f"t!e la ntécanique, ce qui ne laiffe.pas de préfenter plu.~ieMM que<Hons curieufes &c ut!!es, que nous attons parcourir x mefure qu'cUes s'oifruont à notre e~rit. PROBLÈME 1.
PROBLEME ï.
Tirer <M arbre /« /'o<~rt' f~: la ~/<M ~M~~ r~t~cc.
CE probt~me appartient proprement à la me-*canique mais fon ufage dans Parchite~urc notts a portés à lui donner pttttôt place ici, & à le dif. cmer, foit comme géomètre, fbitcotnme phy<t" cien. Notts allons d'abord le traiter fous ce premier afpc~t.
Galilée, qui le premier a entrepris de foumettre à la géométrie la rénitance des folides a établi fur tin raifonnement fort ingénieux, qu'un corps arrété horizontalement par une de {es extrémités comme une poutre quadrangulaire engagée dans un mur, qu'on tendroit à rompre par des poids ~Utpendtts à <bn autre extrémité, y oppote une réHdance qui eft en raifon composée de cette du quarré de la dimentton verticale, & de celle de la dimenfion horizontale. Cela feroit exactement vrai, fi la matière de ce corps étoit d'une contexture homogene c< inflexible.
On démontre aun! que, fi une poutre e!t foutenue par Ces deux extrémités, & qu'on <u(pende à fon milieu un poids tendant à la rompre, la rénftance qu'ette y oppofe e& en raifon du produit du quarré de la hauteur par la largeur, divifé par la moitié de la longueur.