le 1". ~i~tre tir~ de pow à un point quelconque de hgne ttfcc de ecpofnr un pomt quetconque de l'horizon, e~ un méri- dien it n'y a donc plus ni eft ni (tueft. Or s'il n'y a ni ed ni oued, de quet coté fe diriger, comment reconrMttre partni tous les méridiens fen!blables, cetui qu'il faut prendre pour aller au !ie)t deCré?
Ce tt~ pas tout il €0 probable qne H t*oa parvenoit a un des pô)es, la bouHote deviendroic cntMretnentinnnte, ou, comme dirent les marins, abfotmhcnt folle. Il n'e~ pourtant que ces deux manieres de naviguer, ou par t'infpecUon des a<tres ou, pour tnieux dire, par t'une & l'autre combinée!.
Tel eK le proMeme qu'auroit eu à réfoudre t'aûronom~ embarque ~)r le vaiffeau ducapitainè Phipps chargé de tenter de nouveau un paCage à travers ('Océan glacial. Si les glaces ne s'y fuf. (ent pas oppofées, i! eut été jufqu'au oo** degré de ~ttitud' pour anivet pM te plus court chemin au détroit qui (~pare FAue de t'Amérique, détroit dont t'exi~nce ett au)ourd'hui con&atée par tes navigation! des Ru(Ïes, &c qui gît parle ty~e degré environ de longitude. Je me proposai c&prf~btëme, lortque j'eutendis parler de cette nouvelle tentative, qui devoir en France être exécutée par M. de Uot)g;ti)n.'tt!e. J'ai otn dire qu'on te prapo~t à un adrononte cétebre de l'Académie royaile des Sciences. J'ignore ce qu'il répondit quant à moi, voici ma (btmion.
Je (uppote que )'eune été le navigateur chargé de cène expédition. Je me (crois muni, pour n'être pas pris au dépourvu, de deux ou trois bonnes montres marines, montées enfembte au temps du port de départ, que nom iufpotbas BreA.