PROBLEME XXXH.
C?mm«!(/'o/<: < ~?y& ~e~ rétrograder fur un
cadran /0~~ fans W<Mt7<
r E phénomène, qui préfente d'abord une Im*
pOMtbi!ité phyfique n'a néanmoins rien que de
trcs-natutet, comme on va le voir. On en doit la
remarque au géomètre Portugais Nonius ou Nu-
gnez, qui vivoit iur la nn du teizteme fiecle. n eA
fondé fur le théorème fuivant.
7?<!M~OHy les pays dont le ~<~ ~~ec/?W /<f;«M- 6- le ~~M, tant ~K< /<'y~M~ < dit ~WWA </if< côté ~M ~J/C <yW/'M~ </<t/fe t
~ff/A fvis <rf<tW midi arr même vertical, 6'p<tr<:<e
<'A(~/< ~f~ <y/t /H~.
P!. 0~. Soit dans la j~ Z le zénith d'un lieu "g- 34. ntue entre le point E de réquateur, & T le point < où paue le foleil te jour du tbtttice d'été; que le
cerc!eHAQCKH repréfente 'horizon, KEQ
une moitié de !'équateur, TF la portion orientate
du tropique extantc fur l'horizon, & GTta portion
occidentale. Ït e(r évident que du zénith Z on E
peut mener un vertical comme ZI qui touchera le tropique en un point 0, par exempte. & qui tombera fur t'horizon en un point î, ntué entre les points Q §t F, qui font ceux où l'horizon eft t coupé par t'équateur & le tropique &c, par la même raifon, on peut mener aum un autre ver-
tical comme Z H, qui touchera en o l'autre
portion du tropique.
Suppofons prétentement !e foleil dans le tro-
pique, & fe levant conféquemment au point F,
& foit un Hyle vertijcat d'une longueur indeHnie