M.mHe& ~HHK~e~ de~eête~o~
M.m He& ËMHt~~fgtM' tte~eêten~ elle s'arrête toit la méridienne du tiea ce n*ett que la méridienne magnétique, parceque tout ~r allongé 8( bien (ufpendu ed une aiguille magnétique. Or la méridienne magnétique n'e(t que la direction du courant du fluide magnétique Se cette direction fait, comme tout le monde tqait, dansprefque tous les lieux de la terre, un angle plus ou moins grand avec le méridien agronomique. !t eft, par exempte, achteHementa à Paris de ï~ à 10°. D'ailleurs à moins de connoître déja le côté du nord & celui du fud, on ne pourroit, par ce moyen; les di~inguer l'un de l'autre. Le P. Kircher donne un moyen qu'il dit facile pour conno~re le midi & le (eptentrion. Il veut que l'on coupe horizontalement le tronc d'un arbre bien droit, qui foit au milieu d'une plaine, fans le voifinage d'aucune hauteur, ni d'aucun abri qui t'ait pu de ce coté garantir du vent ou du foleit. On verra dans la <ection de ce tronc plui!eurs lignes courbes autour du centre, qui feront plus ferrées d'un côté que de l'autre. Le côté le plus ferré fera celui du ieptentrion, parceque le froid venant de ce côte, re<!erre, & que le chaud qui vient du côté oppo<ë, raréfie les humeurs & la matière dont fe forment les couches de l'arbre. ït y a quelque chofe de vrai & de fondé en raifon dans ce moyen mais, outre que tous les bois ne préfentent pas ce phénomene, il n'efr pas vrai que par-tout le vent de nord foit le plus froid; c'eir <buvent, feton la pofition des lieux, le nordoue<t ou le nord-eO ce fera alors un de cas rhumbs de vent qu'on prendroit pour le nord.