H 'xy; l -UNE AMBASS'APE Apr~s le déjeuner, patron Ruf. lassant M.'Honnprat et t'abb& d~cutpr chasse autour d'un bocal de liqueur aux baies de myrte – digestiye spe?!a)ite de Satadinë –;m'a appeJe confidentiellement dans un co;n.~ Je croyais .qu'i! voûtait, en bon për.e, se Mn~eigqer suf !a conduite de Gameaume t sur !a ~on dont ce!u!-ct se tire des foncions n~uMpks.qu!.sont censé l'attacher à ma personne.
Pas de tout! patron' Rut esf charge, 'pour moi, d'une' ambassade.