moi après sept~jours dë~hemin mille Turcs-parcourentjcctte province, qui n'a j jamais pris les armes, puisqu'elle n'en a pas, -et–égorsent~touL ce qu'ilsTeircoutreuL~ Ces malheureux me font le rdpport le phis déchirant de leur état. Us e~ent dans les montagnes~, comme des troupeaux sans nourriture chassés par des bêtes féroces et leur dernier espoir, leur dernier asile, c'est l'abîme de la mer. a
Ainsi que nous l'avons dit, Suleimah-Pacha ignorait l'existence de ce rapport. Jamais -peut-être il ne l'aurait connu,. si en décembre te docteur Caporal ne l'avait lu à bord du Me~ où le commandant Maitland le lui montra.
_oic!a réâttatio~R qu'en~tt~e-Pach~.
Candie, ..janvier, ~829.
Monsieur ramiraT,
» Au milieu de la déplorable histoire de la Crète, dont je TOTns~donnais une &uble esquisse, latatë catastrophe de Candie du 2~ août dernier a dû aussi trouver place, et vous êtes témoin de la candeur~avec laquelle je l'ai citée. Ma plume n'a jamais eu recours aux excuses pour diminuer le tort des scélérats de cette journée. J'ai reconnu la vérité de l'événement dans un pays en désordre, comme l'est celui-ci depuis la révolution mais vous ne m'avez pas vu dépendre les coupables. ? Quelle a dû être mon Indignation, monsieurl'amiral, lorsque à propos de la catastrophe dont j'ai mis un religieux scrupule à. ne point cacher les horreurs, un anreux libelle revêtu du caractère sacré d'un rapport, vous a été présenté enimplorant votre secours 1 Je conçois bien que l'ambition puisse employer la ruse pour atteindre le but qu'elle se propose; mais. que, sous