faitement au collège des jurfsconsultes(palestra) en Pologne. Les débats judiciaires furent toujours publics. Un corps de ~lQis_promuI~uéjën_i547 c~ revu en i5o6g ainsi qu'une organisation judiciaire instituée en i~aS à. la diète de Warta.-ser- vaient de base pour les tribunaux de Pologne. Un autre code de t45y et i~so, guidait les cours lithuaniennes. Un grand nombre deconstiPùtiôns particulières des différentes diètes formait le complément de la législation.
--Nous avons soùveTit entendu dire~que Fanar~hie ~n-PoI~gne, était un résultat de l'absence des lois effet nécessaire de son état~yavbare. ï~sufïitdejeterun coup-d'œH sur cette Jouïe d'institutions que je viens d'indiquer, pour en juger différemment. Aucune de celles que demande la civilisation actuelle ne manquait à la Pologne. Elle avait sa représentation, ses~nunicipes, l'indépendance des tribunaux, un jury dans ses cours électives et ses gardes -nationales dans la /)o~o~c.
_s Inis y offraient au citoyen toutes les garanties telles que liberté individuelle égalité civile et politique, sécurité –d? pr~p" fr~p:n:nn ~a~~t_en_~[latière politique qu'en matière religieuse (i5~5).
Mais il ne suffit point qu'il y ait des institutions il faut
l
~rcore'qu'eHes soicBt-appuyéc&par des–pouvoirs~ tutélairesw rap~M<~ dr' 1~ gnrnnttr f~t-nnntrf !isnrptit!on de la tyrannie et contre les licences de l'anarchie il faut qu'elles soient protégées efficacement par une sage répartition des pouvoirs politiques et de la souveraineté. C'était précisément ce qui manquait à la constitution polonaise. L'omnipotence renfermée dans une chambre unique devait immanquablement la rendre anarcbique. Sa tyrannie sans bornes détruisit le_ pouvoir exécutif, jeta la confusion dans les pouvoirs judiciaires, exclut du bienfait de la loi la plus forte partie de la- popu~lation. Anarchie et misère, voilà quels furent ~es résultats de cette organisation vicieuse; ils amenèrent d'abord l'inffucnce, et ensuite le joug étranger, etc. Néanmoins la même