champ force de loi, malgré les pruden&avi~ du ~âge-chancelier Ocleski. Plus tard, Zampyski, dirige par les mêmes principes mais vainement cette fois, voulut établir la légalité du~erMMt ~o, comme une conséquence de la fameuse concession royale dé i5o~, KtA~ ~<?M co?M~M~ <<. Héritier de sa popularité,. mais non de ses vertus et de son génie, André Zebrzydowski appuya~pa r~ le~glaive~ ee-fùneste~rincipc~– et ce fut la première rébellion dite légale (1606), et le type de celles que Ion connut d~ss~rsurtensous~c nom de-con~e-– dérations. Un demi-siècle âpres (i 65 2), le nonce d'Upita, SycinskI, usa pour la première fois de cette prérogative; le principe en avait été déj~ si bien nxé dans les esprits que maisré les clameurs et les imprécations de toute la di~te, Ïe veto de Sycinski fut maintenu. Il s'Introduisit parce que les assemblées nationales n'avaient point une poIIce~bieiLréglée.~ Enénet, une loi de 1600, rendue sur la réclanjatnnrdB~a diète, et qui garantissait aux nonces la libre défense des lois et des franchises nationales, ferait croire qu'on tâchait dës-Iors "ti~étouner la voix"des citoyen~ Ton se-persua~F~aciIemcnt– qu'en donnant plus d'autorité à un seul nonce ."la~iberté serait plus entière~ et la dignité de l'assemblée nationale plus rp<:p~t~ 1\~nmmn<: ce ne fut que la diète MM~~ de iyi8 qui donna force de loi à ce principe; rinnuence~trangère~'insçrivit, eB~i y 68, parmi les lois cardinales de l'état, et l'anarchie, qui atteignit dës-Iors son dernier période, ne fut désormais interrompue qu'un moment pour illustrer les derniers Instans de l'existence du royaume.
II é~ait nécessaire de retracer ces principales phases de l'histoire de la législation de la Pologne pour indiquer au lecteur les dlllerens ch~ngemens~ue-subit la constitution de~ ~etjétat dans les quatrenlermers stëde~desa durée. Son~rgamsation~~oMë~ue~étant ~arsej~~ jmllier~ idej~tatuts Ïondee en grande partie, counne~~celle d~Angleterre, sur des usages et des précédens adoptés par lès diHerentes diètes et