tlon, nous sommes trop attachés à nos écoles, à nos Institu- teurs chrétiens nos fermes aux rivières~aux montagnes de notre patrie~ pour jamais nous en séparer. ? »
Les Géorgiens poussërent ~ibrs~l'injus~Rcë'~qu~a~oïfK~~ aux Indigènes c'est-à-dire aux propriétaires naturels du sol, la faculté de conclure des traités, et déclarerent'a ce titre nulles- et invalides toutes les consentions passées avec eux. Un Chéroké&, nommé Socrates, réfute victorieusement cette ab
–surde allégation. <t S'il en était ainsi, dit-il, pourquoi n'a-1 on––
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pas fait ressortir plus tôt cette incompétence en refusant de traiter avec eux? Le temps le plus opportun, ce me semble, > eût été quand ils vivaient-encore dans l'état sauvage. Ce n'est pas après s'être laissé leurrer par le langage d'une amitié hypocrite, et par la promesse de les civiliser et de les instruire dans la religion, qu'Tls pouvaient s'attendre à voirétouuer leurs droits et leur liberté dans la froide étreinte d'une puissance de fer. Consultez l'histoire des différens états de l'Union et vous y verrez que le territoire en a été acquis sans violence, a moins que des actes~ragressiolTde la part des possesseurs du sol n'en -aient nécessité et légitimé en quelque sorte la conquête. Je parle ici deJ'AmérIqùe~îti Nbrd~ car loin de moi la pensée d'assimiler à des~ êtres humains des tigres altérés de sang tels que Cortez et Pizarre.
» Quand l'olivier de paix Sourit aux portes de toutes les chaumières; quand une ère nouvelle va commencer, et que le monde tente le sublime effort de tirer les nations de l'Ignorance ou elles gémissent, pour faire briller leurs yeux l'éclat du" bonheur de celles qui jouissent .des bienfaits de la religion et de la liberté, ne doit-on pas s'étonner d'entendre proclamer cette lâche doctrine, que ~rce M~~c~yc~, par un peuple,qu'on nous dit_avorr un tel principe en horreur? Est-Il possible-
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que des citoyens des États-Unis soient déchus de la haute .vertu de leurs ancêtres au point de croire réellement, en 1828~
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