tuellement donné par l'abdication de ne pas s'interposer du Brésil ou II règne, dans le gouvernement: intérieur du Portugal, et, finalement, que la nomination de l'infant don MIgûel en qualité de régent, iurent~toùs des actes émanés spontanément de l'empeur don Pédro lui-- même, qui ne vinrent nullement du roi son maître, et que, par conséquent. Sa "esté~TitaDmque Tte~eut~~en-arrcime maitière~être responsable~de leurs résultats.
Le soussigné ne terminera pas sans exprimer de nouveau son regret que les conseils de la Grande-Bretagne, lorsqu'elle les offrit, aient été reçus avec aussi peu deconnance et d'ardeur. Ces conseils ne furent jamais adoptés par Sa Majesté Impériale, jusqu'à ce que le cours des événemens eût rendu impraticable le choix d'une alternative quelconque, et que, d'après cette répugnance et ce déM, Il~ëussent .~en~rande partie, perdu leur influence bienfaisante. On peut donc affirmer, avec vérité, que les maux qui ont récemment amigé le Portugal, loin devoir été produits par la Grande-Bretagne, doivent être principalement attribués au manque de franchise, de consistance et de droiture dont fut empreint le système politique suivi par le gouvernement brésilien lui-même. Le soussigné. etc~
ÀB~RDEEN.
Au marquis de Barbacéna.