réc, à sa réception en Portugal, ainsi que l'avait ordonné SaMajesté Impériale, et l'alliance du mariage fut complétée a Vienne le 29 octobre 1826.
Le soussigné peut maintenant avoir la permission de demander si les promesses de l'abdication, et de la transmission dé la couronne à l'infante' reine de Portugal, furent remplies~ JSa ––Majesté Impéri aie ne cnntmna-t-~H~ pas h s'Ipt~~n~f~Lj~JO~ toutes les mesures de détail du gouvernement_portugais? Ne créa-t~~e~as des~airs~~e~iomnin~t-elle~~s-des–o&crers–dans l'armée et dans la marine ? ne choisit-elle pas et ne désigna-t-elle pas des ministres? ne se mêla-t-elle poînt~e~ous les arrangemens intérieurs du royaume ? La nation portugaise fut trompée dans son espoir et son attente d'une séparation finale d'avec le Brésil. Ce désappointement fut encore confirmé plus tard, lorqu'on vit la jeune reine retenue à Rio-Janeiro. En même temps, la désaffection et le mécontentement produits par la constitution transmise du Brésil s'augmentaient de jour en jour, et ils éclatèrent enfin en actes de violence et de rebellion ouverte. Dans cet état de choses, Sa Majesté Impériale ayant d'abord ordonné à son frère, l'infant don Miguel, de se rendre de Vienne à Rio-Janeiro, et ayant envoyé un vaisseau de ligne à Brest pour l'y transporter, contremanda soudainement ces ordres, et, sans~qu'elle en fût sollicitée ~r~Sa~~esté Britannique, nomma Son Altesse Royale son lieutenant en Portugal et régent du royaume. Cette décision ( le soussigné est prêt à en convenir) peut avoir été justement exigée par la déplorable condition du pays, et elle fut, de fait recommandée subséquemmentpar Sa Majesté Britannique; mais il doit aussi prier le marquis de Barbacéna d'observer que, d'après ce qu'il vient d'avoir l'honneur de déclarer, il paraît clair que l'abdication de la~ouronhe, la conception etToctro! de la Charte constitutionnelle, la promesse, d'envoyer en Portugal la reine dona Maria, le malheureux délai dans l'exécution de cette promesse, et le peu de respect mannestê pour le gagé vir-