patrie, et témoigna vivement le désir de pouvoir lui en ialrc hommage. Dombrowski ne fut pas insensible a cette démarche, et pron~tant dés bonnes dispositions du consulat romain. il chargea le capitaine Kozakiewicz, qui était resté à Fano et .Smigaglla avec quelques centaines d'hommes, de prendre, à son passage parLorette, rétendard de Mahomet, et de le porter a~~Rbme. C'et~~dr'~cft~exécT<itéT'Ï~c capitaine Ko~a~=–klewicz ayant réuni tous les détachemens éparpillés, arriva h Rome le iQ prairial ( juin ) avec le drapeau, qui fut déposé avec tous les honneurs militaires, chez le général DomT)rowski. TLc drapeau ,'depuls Ce jour~, suivit constamment le quartier-général de la légion, et même lorsqu'elle jFutdjspcrsée, fidèle à la fortune de DombrowskI, il fut, après sa mort, déposé, en'1818, dans âne salle du château" de la société ~~<z~ des Amis des ,9c~ce.9 de Varsovie, où 11 est religieusement conservé.
Quant au sahrc le général DomDrowskI le reçut en présent mais, voulant donner cette arme une destination digne d'elle, il l'envoya plus tard au nom des légions rimmortel défenseur de la liberté-polonaise le généralissime Koscluszko. Le héros reçut ce gage de -reconnaissance des mains de Kniaziewicz lorsque .plus tard cet oûicter supérieur~ des légions ut le voyage de Paris, pour présenter au. Directoire les drapeaux enlevés aux Napt~Tains
« Un jour la Pologne pensa renaître; un homme eut dans la matn son avenir, car il avait, en quelque sorte, la puissance du destin, la puissance du temps. I! pouvait donner à la société polonaise, avec dcsJj)is"MuveUes une nouvelle vie. Il pouvait le tenter du moins. Il aima mieux briser des trônes que de refaire un peuple. I! courut au KrcmUn y trouva la borne"fatalc ~narqued à sa grandeur, et quand, plus tard, le mo.ndc Fenferma~ivaTtt dans~tc ~epiïtcr~dë~Sa~S'&-Hcl6nc, itemporta sur ce rocher lointain sur ce trône de FexU~ parmi Ics~dc~ris de sa gloire, le sabre de Jean Sobieski. Etait-ce comme souvenir de ses triomphe?, ou. comme monumentde ses fau tes ?. M (~V~dS'c~e T~o/o~tc, par M~. Jc~Saivand~)