Cruz aurait dû croire qu'elle avait agi avec précipita tien et imprudence. Loin de là, elle publia un manifeste, dans lequel elle alléguait, pour se justlûer, la tendance pernicieuse des principes Yoddnos,c~MjC~t~rdIsaI~IIeY~N~ serait une <C~y~C ~C vingt bataillons espagnols sur la Bco~. Les auteurs du manifeste en prirent occasion d'attaquer M. Poinsett. ministre des Etats-Unis à Mexico, qu'ils j'eDrésentèrent comme un agent habite et hypocrite, aussi zélé pour la. prospérité de son pays qu'ennemi de celle du Mexique, c C'est lui qui a conçu et~exécuté, ajoutaient-Ils le )) projet le plus désastreux pour là république. Il a fomenté la a haine parmi les citoyens, il a désuni les simples et bons Mexl- ? cains Il i a établi ie rit Q~y~rc~7.M" M. Poinsett crut devoir répondre à ces imputations et le 4 juillet 182~, il publia un exposé de sa conduite, ainsi que de la politique des Etats-Unis a l'égard du. Mexique. Il existait cinq loges du rit d'Yorck à Mexico, à son arrivée dans cette ville. Tout ce qu'il a fait pour elles, c'est de leur procurer, à leur invitation des chartes du grand-orient de NewYorck, et de prendre part à l'installation dé celui de Mexico. Il déclara ensuite que son gouvernement n'a cessé de manl–tester pour le Mexique, et pour les autres colonies espagnoles de FAmérIque, les intentions les plus amicales. I! nia; delà manière ~a plus formelle qu'il se fut Immiscé le moins du monde dans les affaires intérieures de la république, et défia ses accusateui'& de-prouver quils- l'eussent jamals~~u ~e ~épartir de la dignité qui convient à un ambassadeur. Le fait est qu'à l'arrivée de M. Poinsett, les Escoceses se trouvaient maîtres du pouvoir. Suivant le cours ordinaire des choses. ils devaient se voir tôt ou tard supplantés par le parti qui j)roiessait des doctrines plus exaltées, et qui s'éleva graduellement au gouvernement de la république, en s'appuyant sur les principes -qui avaient amené la révolution elle-même.Ce n'était là que la tendance naturelle de l'opinion publique