lui avait témoignée. L'Empereur, en voyant que, pour te moment, don Miguel était pleitiëmentrésolù~ ne pas céder, l'engagea à réfléchir sérieusement sur là conversation qu'ils venaient d'avoir ensemble. Sa Majesté désira, en même temps, que je m'informasse moi même si l'infant, après avoir plusmûrement examiné sa position, ne sentirait pas la nécessité de se rendre aux conseils de la sagesse et de la raison. ––N~us-vo~nt-ainsl-arrêtés-dans~notre marche par la résistance inattendue que nous avions trouvée dans ce jeune prince, je me déterminai à transmettre à l'ambassadeur britannique (que j'avais précédemment informé de Fobjet et du résultat de mes conférences avec les plénipotentiaires portugais), une note confidentielle et des plus détaillées sur tout ce qui s'était passé entre eux et moi, et entre Sa Majesté et l'infant. J'invitai ensuite sir Henri Wellesley a se réunir à ces gentlemen et à moi, pour prendre en considération les moyens que nous pouvions encore adopter, afin de vaincre cette résistance, et, dans le cas de non-réussite, de nous concerter avec son gou- vernement, dont nous étions tout-à-fait résolus a ne pas nous réparer dans cette anaire, sur les mesures qu'il pourrait être nécessaire de prendre sans délai, afin de ne pas prolonger,
P~t'h)~n1 un état f!f f~nf:fr. r.! rhn~t~nv Tnnt~ ~R nptnions s'étan~~ccojpdées sur les inconvém~ns sérieux auxquels s'exposerait l'infant en persistant dans son refus de passer par. l'Angleterre, et, en même temps, sur l'avantage qu'il y aurait a avoir,. à cet égard, une dernière explication catégorique avec Son Altesse Royale, il fut résolu que cette explication aurait lieu entre l'infant et moi le même jour, a 2 heures. Comme je n'étais pas bien portant, don Miguel consentit gracieusement, sur mon invitation, à se rendre à mon hôtel. Je lui demandai la permission d'admettre à notre conférence une tierce personne, le comte de BombeHes ~anciennement attaché à sa personne en qualité de chambellan, qui était honoré de sa faveur, et qui, en outre, était destiné à