SOUVENÏRS DES L'AMÉMQtJE.
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L~ÏPERETJR DO~ PËDRO.
II n'est peut-être pas de situations dans la vie où l'homme~ s'ennuie plus complètement que lorsqu'il est à 1~ ibis neutre et oisif dans une ville assiégée. Tandis qu'il partage avec la "garnison toutes les privations qu'elle éprouve, le jeu magninque et glorieux de là guerre qui a chaque heure vient éblouir ses yeux, ne lui communique ni inspiration, ni enthousiasme, Ce fut sous l'influence de ce sentiment que je quittai vers la fin de l'année 1822, la ville de San-Salvador, qui était alors ~troItement-~epnée~~arJ~rmée patriote, et je m'emL~Fquaf ~pour'Rio~aneiro ave<r~OYrdB'me~ntmïe~THms: Mon compagnon, qui avait fait autrefois la campagne de la Péninsule, ennuyé, comme moi, de la vie bourgeoise et de la demi-solde, était attiré à Rio-Janeiro par l'espoir d'entrer au service de l'empereur, service qui présentait alors beaucoup d'avantages à un officier étranger. Pour mol, je n'étais point iaché d'échanger l'obscurité monotone de San-Salvador contre les scènes plus animées qui se passaient dans la capitale. J'étais is aussi curieux d'observer dans leurs développemens les effets de cet esprit de liberté qui, depuis loag-temps, m'avait
paru miaec~'mnuence de la ~nèFe-patrie, et d'etre–témotB"–
de~'impalston_d'un jeune peuple ~ntrant~tmr ta prenuërefois dans la vie politique.